Joe Biden dit qu’il veut voir des filles danser quand elles auront 4 ans de plus
Dans une autre déclaration étrange, Joe Biden a dit à certaines filles qu’il voulait les voir danser quand elles auront 4 ans de plus.
“La bonne nouvelle pour moi, c’est que je suis là”, a déclaré Joe Biden à certaines de ses victimes à Miami lundi. “La mauvaise nouvelle pour vous, c’est que je reviens. Et je veux voir ces belles jeunes filles, je veux les voir danser quand elles auront quatre ans de plus”.
Deuxième vidéo:
UNE COMPILATION D’ATTOUCHEMENTS DE JOE BIDEN SUR DE JEUNES FILLES
Il semble que Biden ait un souci, probablement à cause de divers rituels auxquels il participe et qui impliquent la danse de petits enfants.
Quoi que vous pensiez de cela, vous devez penser au fait que cet homme touche constamment des enfants.
Les Etats-Unis sont évidemment dirigés par des dégénérés.
TROISIÈME VIDÉO:
LES PIRES GAFFES DE TOUS LES TEMPS COMISES PAR JOE BIDEN
Comment peut on être assez imbéciles pour élire un pareil danger public?
Des organisations de tous pays adressent leur opposition au déploiement de la 5G à leurs gouvernements respectifs.
L’appel international www.5gspaceappeal.org signé par 172 395 personnes et organisations de 204 nations et territoires, en date du 6 novembre 2019, est adressé aujourd’hui aux gouvernements fédéral et régionaux de Belgique. Partout dans le monde, cette semaine, les 204 nations et territoires adresseront l’appel à leurs gouvernements respectifs.
Le déploiement sur terre et dans l’espace de la 5G, 5e génération des normes de la téléphonie mobile, est en cours ou se prépare dans de nombreux pays. Des dizaines de satellites de télécommunication 5G ont déjà été lancés par des sociétés étasuniennes.
Cette nouvelle réalité entraînera un changement environnemental sans précédent à l’échelle planétaire. Pour la mise en ouvre de l’internet des objets (IdO), l’industrie prévoit l’installation de millions d’antennes 5G, une tous les 50 à 150 mètres en milieu urbain [1], et la mise en orbite de plusieurs dizaines de milliers de satellites. Les prévisions font état de 20 milliards d’objets connectés (émetteurs) en 2020, 30 milliards en 2022 et bien plus par la suite [2] : jusqu’à un million d’objets au kilomètre carré pourraient communiquer.
Malgré un déni généralisé, nous disposons de preuves scientifiques suffisantes indiquant que les champs électromagnétiques (CEM) de radiofréquences [3] (RF) utilisées par les techniques de communication sans fil déjà déployées, sont nuisibles aux êtres vivants. Plus de 1 500 études scientifiques évaluées par des pairs [4] rassemblent des données cliniques probantes tout comme des preuves expérimentales de dommages à l’ADN, aux cellules et aux organes d’une grande variété de végétaux et d’animaux. Des données épidémiologiques viennent étayer la thèse selon laquelle l’origine de beaucoup de maladies de la civilisation moderne, comme le cancer et la maladie d’Alzheimer, peut être expliquée, au moins en partie, par la pollution électromagnétique.
Si les plans de l’industrie des télécommunications pour la 5G se concrétisent, aucun être vivant ne pourra se soustraire à une exposition permanente à des radiations RF artificielles dont la toxicité est déjà avérée. Les conséquences probables de la prolifération des satellites 5G font craindre le pire : dégradation de la santé humaine et des écosystèmes à l’échelle planétaire, perturbation de l’ionosphère et de la magnétosphère entraînant un changement des propriétés électromagnétiques de la Terre, destruction de la couche d’ozone et augmentation de l’effet de serre suite à la combustion des carburants des fusées porteuses de satellites.
Les caractéristiques techniques de la 5G diffèrent fortement de celles des technologies existantes et font peser sur les êtres vivants des risques sanitaires potentiellement supérieurs à ceux induits par les générations antérieures (2G, 3G et 4G), sans parler de la puissance concentrée des faisceaux 5G qui pourrait donner lieu à des expositions locales et instantanées bien supérieures aux expositions actuelles. À ce jour, aucune évaluation des impacts sanitaires et environnementaux de la 5G n’a été réalisée. Son déploiement relève d’une expérimentation à grande échelle sur les êtres vivants. Par ailleurs, dans une situation climatique et sociale où l’urgence serait d’agir ensemble pour assurer l’avenir de l’humanité, une fuite en avant technologique avec des projets comme celui de la 5G est la pire des voies à prendre.
Nous demandons donc aux gouvernements fédéral et régionaux de Belgique l’arrêt du déploiement de la 5G sur son territoire. Étant donné les études scientifiques existantes et les dizaines d’appels émis par le corps médical et les spécialistes de la question[v], le principe de précaution doit primer. D’autre part, le code de Nuremberg interdit les expérimentations sur des humains non consentants.
Nous demandons également à nos gouvernements d’intervenir à l’UE, au Conseil de l’Europe et à l’ONU pour l’interdiction mondiale des satellites 5G et, à tout le moins, de leurs émissions au-dessus du continent européen et des eaux internationales limitrophes.
Des mesures immédiates doivent être prises pour protéger tous les êtres vivants, conformément aux impératifs éthiques et aux conventions internationales :
– Arrêter le déploiement de la 5G sur la Terre et dans l’espace afin de protéger les êtres humains, plus particulièrement les foetus, les enfants, les adolescents et les femmes enceintes, ainsi que les autres êtres vivants.
– Respecter la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et la résolution 1815 du Conseil de l’Europe sur les CEM en informant les citoyens, notamment les enseignants et les médecins, à propos des risques sanitaires des rayonnements émis par les technologies sans fil, ainsi que la façon dont ils peuvent réduire leur exposition.
– Privilégier et mettre en ouvre des réseaux de télécommunications câblés à la place du sans-fil. Favoriser l’usage des solutions filaires partout où cela est techniquement possible, en particulier dans les habitations, les lieux de travail et les lieux où séjournent des enfants, des femmes enceintes et des personnes vulnérables (crèches, garderies, écoles, hôpitaux.).
– Constituer immédiatement – en dehors de toute participation de l’industrie – des groupes internationaux de scientifiques indépendants, exempts de conflits d’intérêts et spécialistes des CEM et de leur impact sanitaire et environnemental ; ils établiront de nouvelles normes internationales de sécurité applicables aux CEM artificiels qui prennent en compte les effets biologiques de l’exposition sur tous les êtres vivants et pas uniquement les effets thermiques sur les êtres humains.
– Constituer immédiatement – en dehors de toute participation de l’industrie – des groupes internationaux de scientifiques ayant une expertise dans le domaine des CEM, de la santé, de la biologie et de la physique atmosphérique. Ils élaboreront un cadre réglementaire exhaustif garantissant que l’espace extra-atmosphérique est sûr pour les êtres humains et non humains en tenant compte des CEM artificiels, des gaz et de la suie noire éjectés par les moteurs des fusées ainsi que des débris spatiaux résultant de cette activité. Ils prendront la mesure des impacts sur la couche d’ozone, le réchauffement climatique, l’atmosphère et la vie sur la Terre. La technologie spatiale tout autant que la technologie terrestre doit être viable pour les adultes, les enfants, les animaux et les végétaux.
Notes de la complémentaire
[1] Une antenne tous les 150 mètres par réseau (opérateur) pour la 5G en ondes millimétriques.
[3] Les radiofréquences (RF) sont les ondes ou champs électromagnétiques (CEM) couvrant les fréquences de 20 kHz à 300 GHz utilisées dans les télécommunications sans fil. Les micro-ondes constituent le sous-ensemble des ondes RF qui va de 300 MHz à 300 GHz.
Un des premiers d’entre eux est l’appel de Freiburg de 2002 signé par plus de 1000 médecins demandant notamment la «réduction massive des valeurs limites, des puissances d’émission et des charges en ondes radio», un appel renouvelé en 2012 (www.freiburger-appell-2012.info).
Au 15 octobre 2019, 252 spécialistes des CEM de 43 pays avaient signé un appel adressé à l’ONU, l’OMS et l’UE. Ces scientifiques, qui tous ont publié des travaux de recherche évalués par des pairs sur les effets biologiques et sanitaires des CEM non ionisants et constituent la majorité des experts du domaine, réclament des limites d’exposition plus strictes et demandent que les impacts biologiques potentiels des technologies de télécommunication 4G et 5G sur les plantes, les animaux et les humains soient réexaminés (www.emfscientist.org).
Dans un appel adressé à l’UE le 13 septembre 2017, des scientifiques et médecins recommandent un moratoire sur le déploiement de la 5G jusqu’à ce que les risques pour la santé humaine et l’environnement aient été pleinement étudiés par des scientifiques indépendants de l’industrie. Au 17 septembre 2019, il y avait 253 signataires (www.5gappeal.eu).
La 5G est installée dans notre dos sans consultation des élus locaux
Profitant de la pandémie liée au coronavirus, selon la classique stratégie du choc, et par ordonnance N°6 publiée au J.O. ce 26 mars, le gouvernement vient de donner tout pouvoir aux opérateurs pour installer les antennes relais. (Coronavirus, téléphonie mobile et ordonnances – communiqué de presse Alerte Phone Gate – CRIIREM – Robin des Toits)
Tous pouvoirs aux opérateurs
Prétextant sans raison réellement motivée (INSEE : diminution de 35% de l’activité économique en mars), de la pandémie liée au coronavirus Covid-19, et par l’ordonnance n° 2020-320 du 25 mars 2020, publiée ce 26 mars, le gouvernement vient de donner tout pouvoir aux opérateurs pour installer de nouvelles antennes relais : suspension de l’obligation de transmission d’un dossier au maire ou au président d’intercommunalité, décision d’implantation sans accord préalable de l’Agence nationale des fréquences,dispense d’autorisation d’urbanisme pour les constructions (permis de construire ou déclaration de travaux) par les services d’urbanisme des communes.
La lecture du rapport et de l’ordonnance précités nous amène donc à nous poser de graves questions.
Nous comprenons la nécessité de garantir la continuité des services et des réseaux de communications électroniques pendant la durée de l’état d’urgence sanitaire déclaré mais à condition que la construction, l’installation, l’aménagement ou la modification d’une installation radioélectrique dans ce cadre soient limités aux cas de stricte nécessité.
Et la santé publique ?
Nous sommes par contre obligés de marquer notre désaccord quant aux questions relatives à la santé des populations impactées. En effet, la construction, l’installation, l’aménagement ou la modification d’une installation radioélectrique effectués dans le cadre juridique de l’ordonnance sont tenus à une procédure de régularisation ultérieure mais ne nécessitent aucune autorisation préalable. Nous considérons en conséquence que, sous couvert de l’urgence sanitaire, il est fait clairement peu de cas de cet enjeu de santé publique.
Par cette ordonnance, le gouvernement porte le coup de grâce à la loi 2015-136 du 9 février 2015 dite loi Abeille, “relative à la sobriété, à la transparence, à l’information et à la concertation en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques”.
Nos expériences jusqu’à un passé récent ont montré qu’il était quasiment impossible de faire retirer une antenne-relais installée. Nous ne croyons donc pas à l’affirmation du caractère temporaire de celles-ci.
Nous attendons du gouvernement qu’il s’explique clairement sur les liens entre une telle ordonnance et ses volontés récentes et répétées quant au déploiement de la 4G+ et de la 5G. Le gouvernement chinois ne vient-il pas dans le même temps, selon l’agence de presse Reuters, d’annoncer, pour lutter contre le Covid-19, une accélération du déploiement d’antennes-relais 5G pour atteindre les 600 000 à la fin de l’année 2020.
Notre gouvernement, et encore moins le ministre de la Santé, ne peuvent ignorer ni les effets sanitaires des ondes des radiofréquences, ni la tromperie généralisée des industriels ayant conduit au scandale du “Phonegate”, ni le rapport de l’ANSES du 8/07/2016 incitant à réduire l’exposition des enfants aux champs électromagnétiques, ni le classement de l’OMS des ondes comme potentiellement cancérigènes, encore moins la publication de Santé Publique France sur l’augmentation des tumeurs cérébrales et du rôle joué par les ondes dans leur étiologie. Nos associations signataires qui militent depuis 20 ans pour faire reconnaître cet enjeu de santé publique considèrent donc que le gouvernement, dans ce domaine, bafoue gravement, une fois encore, toutes les règles du principe de précaution et affirment clairement sa lourde responsabilité quant aux effets sanitaires directs qui résulteront de ces dispositions, et tout particulièrement concernant la survie des personnes Electro Hyper Sensibles.
Nous vous invitons à signer la pétition « STOP À LA 5G »
Les premières associations signataires : Alerte Phonegate, Robin des toits, Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnements Electro Magnétiques (CRIIREM
Si nous ne sommes pas entendu et nous le serons pas, une autre alternative existe : Çà brûle bien !
Ordonnance n° 2020-320 alinéa 6 publiée ce 26 mars :
Le ministre de l’économie et des finances et le secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances et du ministre de l’action et des comptes publics, chargé du numérique, ont présenté une ordonnance :
– l’ordonnance relative à l’adaptation des délais et des procédures applicables à l’implantation ou la modification d’une installation de communications électroniques afin d’assurer le fonctionnement des services et des réseaux de communications électroniques. Dans un contexte de mise sous tension des réseaux de communications électroniques résultant d’un accroissement massif des usages numériques du fait de la mise en œuvre des mesures de confinement de la population, l’ordonnance introduit, pour la durée de l’état d’urgence sanitaire, des adaptations des procédures applicables pour garantir la continuité du fonctionnement des services et de ces réseaux. Quatre procédures administratives préalables en vue de l’implantation ou de la modification d’une installation de communications électroniques sont ainsi aménagées : – suspension de l’obligation de transmission d’un dossier d’information au maire ou au président d’intercommunalité en vue de l’exploitation ou de la modification d’une installation radioélectrique ; – possibilité pour l’exploitant d’une station radioélectrique de prendre une décision d’implantation sans accord préalable de l’Agence nationale des fréquences ; – réduction du délai d’instruction des demandes de permissions de voirie relatives aux installations de communications électroniques implantées à titre temporaire et dans le cadre d’interventions urgentes ; – dispense d’autorisation d’urbanisme pour les constructions, installations et aménagements nécessaires à la continuité des réseaux et services de communications électroniques ayant un caractère temporaire.
Vingt-cinq ordonnances prises en application de la loi d’urgence n° 2020-290 du 23 mars 2020 pour faire face à l’épidémie de Covid-19 ont été présentées en conseil des ministres. Texte des ordonnances sur le site du gouvernement : Faire face à l’épidémie de coronavirus
Vous êtes en couple mais vous aimez vivre seul ? Vous êtes sans doute fait pour le “célicouple”.
C’est la nouvelle tendance du moment : être en couple mais vivre chacun chez soi. Un nouvel adage serait-il en train de voir le jour ? Pour vivre heureux, vivons séparés ! Pourquoi ce mode de relation semble être beaucoup plus qu’un épiphénomène ?
Il y a autant de manière d’être en couple que d’êtres humains sur cette Terre. Certains ont des relations longue distance, quelques couples emménagent très rapidement ensemble tandis que d’autres attendent des mois voir des années avant de sauter le pas et de partager le même toit.
Si habiter ensemble était à l’époque la suite logique d’une relation stable, certaines personnes préfèrent tout simplement ne jamais en arriver là. Et ce phénomène est joliment appelé le « célicouple ».
En France métropolitaine, environ 1 adulte sur 3 ne vit pas en couple. Cela ne signifie pas que ce dernier est célibataire, mais plutôt qu’il a fait le choix de ne pas vivre avec son ou sa partenaire comme un quart des personnes, décrit l’INED
Qui sont les « célicouples » ?
Cette situation est d’autant plus fréquente chez les quadragénaires et quinquagénaires, qui ont généralement refait leur vie et qui n’ont pas toujours envie de repartir sur un modèle de relation « classique ».
Arnaud Régnier-Loilier le directeur des recherches de l’INED a expliqué :
« Souvent ces personnes ne souhaitent plus avoir d’enfants, elles ont donc moins de pression sociale, moins d’impératifs à vivre en couple »
Chez les plus jeunes, vivre séparément est souvent une première étape avant une installation à deux. Seulement 22% des 51-65 ans ont indiqué avoir envie d’aménager avec leur partenaire, contre 68 % des personnes de 26 à 30 ans.
Au total, en France, près de 1,8 million de personnes en couple vivraient séparément. Un phénomène qui prend de l’ampleur bien qu’une majorité de ménages vit toujours sous le même toit.
Sachez qu’en amour, il n’y a pas de règles ! Vivez votre histoire comme vous l’entendez, sous le même toit, ou non.
Selon une enquête de l’Institut national des Études Démographiques, 1,8 millions de Français seraient en couple mais vivraient séparément. Ces Français sont ce qu’on appelle des célicouples. Qu’en est-il chez les gays ? Avec les lois sur le mariage entre personnes de même sexe, les habitudes de vie des gays en couple ont fortement évolué. On se pacse, on se marie, on est bien loin de la clandestinité dans laquelle la société nous imposait d’être. Nous étions, malgré nous, les précurseurs du célicouple. Aujourd’hui, les gays jouent avec les types de relations amoureuses : la relation ouverte, le trouple, la famille… Mais il faut bien l’admettre, le célicouple est tenace et nous sommes nombreux parmi nous à vivre séparés malgré un amour indéfectible. Pour quelles raisons est-on amené à faire ce choix ?
Peut-être plus tard !
La raison qui vient évidemment à l’esprit chez les célicouples, c’est l’âge des amoureux. En effet, plus on est jeune, moins on est indépendant économiquement… Rares sont ceux qui amènent leur chéri chez leurs parents pour l’installer dans sa chambre d’adolescent. Qu’on soit gay ou pas, d’ailleurs. S’installer avec son chéri signifie surtout aux yeux de ses proches qu’on a fait son coming-out. Ce n’est pas systématique. Là, le célicouple est imposé par la force des choses ou la peur des réactions… Mais très vite, ces jeunes, ceux qui auront éprouvé les difficultés inhérentes au manque d’intimité à deux, fonceront sur la construction du cocon familial. C’est sûr ! D’ailleurs (toujours selon l’enquête de l’INED), ce sont les couples de 30 à 44 ans qui se lancent le plus rapidement dans la cohabitation. D’autres, par contre, préfèrent attendre.
Pour être sûr !
Beaucoup veulent tester la solidité de leur couple pour passer à l’étape de la vie à deux. En effet, plutôt que se lancer dans une aventure tête baissée, les néo-amoureux préfèrent voir comment fonctionne leur histoire. D’abord en week-end, comme si partir chez l’autre et vivre le dépaysement, aidait à consolider un amour naissant. Les vacances à deux, ensuite, viennent montrer à chacun, tous les petits détails de la vie courante qu’on ne soupçonne pas quand on vit chacun chez soi… Quand on fait le grand saut, on fonce en toute connaissance de cause. On sait si on pourra s’adapter. Les malaises domestiques peuvent réellement être une cause de rupture. Chez les célicouples, ces malaises sont connus et évalués… Un mec qui ne prend pas soin de son appartement n’aura aucune chance de faire entrer un maniaque chez lui pour une vie à deux.
Pour être libre !
Enfin, il y a ceux qui préfèrent garder concrètement leur indépendance. Être heureux libre et amoureux en même temps. Nombreux sont ceux parmi ces célicouples à trouver l’image du couple en société trop hétéronormée. Vivre séparés est comme une forme de résistance à la norme. Rien ne prouve que les célicouples soient moins amoureux que les couples traditionnels. Au contraire. Il y a comme un sentiment à vouloir profiter intensément des moments à deux comme pour préserver sa vie en solo. Ceux qui vivent un amour à distance voient très bien ce qu’on entend par là. Leur retrouvailles sont des parenthèses enchantées dans leur vie. Rien ni personne ne pourra bouleverser ces moments d’intimité. C’est peut-être là que réside toute la force du célicouple. Plus forts ensemble… mais moins souvent !
y a de cela quelques semaines, Renée Wilkin était la cible de commentaires d’une méchanceté inouïe, tout cela pour avoir porté des vêtements ajustés lors d’une superbe performance à Bonsoir Bonsoir le vendredi 25 septembre dernier. La chanteuse n’avait alors pas hésité à répondre à ses détracteurs en témoignant qu’en aucun cas, elle n’accepterait de se faire insulter gratuitement et dicter ce qu’elle peut ou ne peut pas porter.
Elle avait également indiqué qu’elle allait sous peu dévoiler un tout nouveau clip qui risquait de bien davantage choquer ces mêmes personnes qui s’en étaient pris à elle. Cependant, loin de la décourager, leur haine lui a reconfirmé pourquoi elle était si fière de l’avoir fait. On comprend mieux la raison d’une telle fierté en visionnant Elle est belle, un clip résolument actuel qui prône la diversité corporelle.
« Je voudrais que le jugement des corps ne soit pas le premier réflexe. Sachant que les standards de beauté irréalistes que nous dicte la société sont souvent profondément ancrés, je souhaite que mon clip suscite des conversations. Des conversations sur le peu de place laissé aux gens qui ne cadrent pas dans lesdits standards. Je veux clamer haut et fort que tous les corps sont valides. Je veux qu’on me voie dans mon élément, souriante, heureuse, assumée et sexy. J’espère donner envie à d’autres d’accepter et de chérir leur corps », a expliqué Renée Wilkin au magazine Véro.
Le résultat est frappant et d’un bonheur contagieux. C’est une Renée Wilkin pleinement assumée, souriante et sexy à souhait qu’on y voit, et on en veut plus, ça c’est certain!
Ça tombe bien, car elle sera de retour à Bonsoir Bonsoir pour discuter des derniers événements et célébrer la sortie de sa nouvelle chanson Elle est belle.
Ce n’est pas contestable, puisque les informations proviennent de registres officiels des brevets aux Pays-Bas et aux États-Unis. Et nous avons toute la documentation. Comme nous l’avons montré dans les expositions précédentes, toute la Covidiocratie est une mascarade et une simulation préparées depuis longtemps par la Banque mondiale / FMI / Les Rothschild et leurs lemmings, avec le partenariat Rockefeller. Nos dernières découvertes viennent compléter ces révélations précédentes.
Source: site Web du registre des brevets du gouvernement néerlandais
L’invention concerne un procédé d’acquisition et de transmission de données biométriques (par exemple, des signes vitaux) d’un utilisateur, les données étant analysées pour déterminer si l’utilisateur souffre d’une infection virale, telle que COVID-19. Le procédé comprend l’utilisation d’un oxymètre de pouls pour acquérir au moins le pourcentage de saturation en oxygène du pouls et du sang, qui est transmis sans fil à un smartphone. Pour s’assurer que les données sont exactes, un accéléromètre intégré au smartphone est utilisé pour mesurer le mouvement du smartphone et / ou de l’utilisateur. Une fois les données précises acquises, elles sont téléchargées sur le cloud (ou sur l’hôte), où les données sont utilisées (seules ou avec d’autres signes vitaux) pour déterminer si l’utilisateur souffre (ou risque de souffrir) d’une infection virale, comme COVID-19. En fonction des besoins spécifiques, les données, leurs modifications,et / ou la détermination peut être utilisée pour alerter le personnel médical et prendre les mesures correspondantes.
Informations détaillées ci-dessous, mais avant cela, examinons le Facebook de l’inventeur pendant un moment ou deux
Detailed info below, but before that, let’s contemplate inventor’s Facebook for a moment or two
Notice anything?
Informations sur les brevets (copie textuelle):
Titre: Système et méthode d’utilisation, biométriques et d’affichage de données biométriques Demande de brevet des États-Unis 20170229149 Code de type: A1
Résumé: L’invention concerne une méthode pour traiter et afficher les données biométriques d’un utilisateur, soit seules, soit ensemble (en synchronisation) avec d’autres données, telles que les données vidéo de l’utilisateur pendant une période pendant laquelle les données biométriques ont été acquises. Le procédé comprend le stockage de données biométriques de sorte qu’elles soient liées à un identifiant et au moins un horodatage (par exemple, une heure de début, une fréquence d’échantillonnage, etc.), et le stockage de données vidéo de manière à ce qu’elles soient liées à l’identifiant et à au moins un horodatage (par exemple, une heure de début). En stockant des données de cette manière, les données biométriques peuvent être affichées (en temps réel ou différées) en synchronisation avec les données vidéo, et les données biométriques peuvent être recherchées pour identifier au moins un événement biométrique. La vidéo correspondant à l’événement biométrique peut alors être affichée,soit seul, soit avec au moins un élément biométrique de l’utilisateur lors de l’événement biométrique.
Inventeurs: Rothschild, Richard A. (Londres, GB)
Macklin, Dan (Stafford, GB) Slomkowski, Robin S. (Eugene, OR, US) Harnischfeger, Taska (Eugene, OR, US) Numéro de demande: 15/495485 Date de publication : 08/10/2017 Date de dépôt: 24/04/2017 Export Citation: Cliquez pour la génération automatique de bibliographie
Destinataires: Rothschild Richard A. Macklin Dan Slomkowski Robin S. Harnischfeger Taska
Plusieurs années après le meurtre prémédité du Grand Guide Lybien ,sa pensée continue de nous marquer!
Muhammar Kadhafi a été traité de fou, par les Grands Médias Menteurs, lorsqu’il a déclaré :
« Ils (les juifs?) inventent un vaccin puis ils créent la maladie qui ne peut être soignée que par ce vaccin! »
Les restrictions sanitaires sont en train de créer de sérieux problèmes chez toute une génération d’ados, croit l’Association des pédiatres du Québec, qui parle d’un « sacrifice générationnel » dans un communiqué publié lundi,le 4 octobre 2020.
Des jeunes sont réunis dans un parc, le 1er octobre 2020.
L’Association s’attaque en partie aux mesures plus restrictives annoncées lundi par le gouvernement de la CAQ, notamment le port du masque en classe dans les écoles secondaires en zone rouge. Elle estime qu’il est erroné d’affirmer que les écoles sont responsables de la deuxième vague.
«C’est si facile d’associer cette perte de contrôle à la « téméraire » rentrée scolaire alors que le coupable, le vrai, c’est le comportement du virus, écrit l’Association. En revanche, les mesures en place fonctionnent, la plupart des éclosions comportent moins de 5 cas et ne sortent pas des bulles-classes.»
«Ces éclosions scolaires reflètent davantage la transmission communautaire, dont les jeunes ne sont pas exclus, et ne semblent pas contribuer significativement à cette seconde vague.»
Toujours dans les zones rouges, le gouvernement a également annoncé lundi que les élèves de la 4e et 5e année du secondaire iront à l’école un jour sur deux, afin de réduire la concentration humaine dans les écoles. Les activités sportives de groupe seront aussi interdites.
Les ados vont mal
«On ne parle pas des adolescents […] et la réalité, c’est qu’actuellement, ils ne vont pas bien et on ne l’entend pas assez», a pour sa part déploré la médecin Marie-Claude Roy, pédiatre au CIUSSS de l’Estrie et membre du conseil d’administration de l’Association des pédiatres du Québec, en entrevue à En direct avec Patrice Roy.
C’est en ce sens que l’Association parle d’un «sacrifice générationnel».
«Des adolescents qui ne vont pas bien à cause de la COVID, il n’y en a à peu près pas, mais des adolescents qui vont mal à cause des mesures mises en place depuis six mois, il y en a des centaines et des milliers», dit la médecin Roy.
La pédiatre estime qu’avec les nouvelles mesures annoncées, le gouvernement retire à ces jeunes «ce qui les motive», soit une «socialisation saine et des sports, parce que la vague est là où elle est».
«Ce qui se passe dans les écoles, ce n’est pas la cause de la deuxième vague. La deuxième vague, elle est là, et les adolescents en font partie comme nous tous.»
Elle ne nie cependant pas que certains rassemblements sont problématiques, et que le port du masque autour de l’école puisse être utile, reconnaissant au passage que les «14-18 ans sont surreprésentés» dans les statistiques liées à la COVID-19 actuellement.
«Ceci étant dit, […] la propagation ne se fait certainement pas lorsque les élèves sont assis à leur bureau à faire des problèmes d’algèbre», avance-t-elle.
«Je n’ai pas l’impression que c’est là que le problème se situe. Il se situe, oui, autour de l’école, dans les récréations, dans les rassemblements. Les adolescents continuent à vivre en dehors des murs de l’école.»
« Il faut prendre les moins pires des mesures »
À Québec, le premier ministre François Legault semble tout à fait conscient de l’effort qu’il exige de la part des adolescents. «De façon générale, la pandémie n’a pas aidé les jeunes depuis le mois de mars», a-t-il reconnu en point de presse lundi.
M. Legault semble toutefois se sentir pris entre l’arbre et l’écorce en ce qui concerne la présence des secondaires 4 et 5 seulement un jour sur deux à l’école.
«Dans un monde idéal, il faudrait réduire la taille de toutes les classes. Mais on n’aurait pas assez d’écoles et d’enseignants pour faire ça.»
On essaie de «prendre les moins pires des mesures», de «trouver l’équilibre», pour «ne pas compromettre l’école pour tous les enfants», explique-t-il.
Le directeur national de santé publique du Québec, Horacio Arruda, a de son côté tenté de se faire rassurant quant à cette restriction concernant la présence en classe. «C’est transitoire. Ce n’est pas jusqu’à la fin de l’année», a-t-il assuré.
«On va faire un travail avec le ministère de l’Éducation pour balancer ce choix, entre les risques et les avantages d’être en présentiel.»
«Je comprends très bien les pédiatres, je comprends aussi les parents qui sont inquiets. C’est une balance qui est très difficile», a-t-il expliqué.
«Il n’y a pas une décision qui n’a pas un effet pervers sur un groupe.»
Donald Trump l’a annoncé : lui et son épouse Melania ont le Covid-19. Bien évidemment, les réactions ne se sont pas faites attendre…Il paraît qu’il ne faut pas rire du malheur d’autrui. Mais les règles n’existent-elles pas pour être parfois enfreintes ? N’y a-t-il pas des personnes si odieuses qu’elles ne méritent pas notre empathie ? Si néfastes et malveillantes qu’on ne peut que leur souhaiter le pire ? Rassurez-vous, la question est rhétorique. Car il ne s’agit pas ici de remplir une dissertation de philo sur la morale et la bienveillance, mais de faire un petit tour des réactions au fait que le président des États-Unis Donald Trump a annoncé avoir le Covid-19…
Donald Trump, celui-là même qui avait suggéré de s’injecter du désinfectant ou d’utiliser les UV contre le Covid-19, est contaminé par la maladie, tout comme sa femme Melania. Le couple s’est mis en quarantaine. Les réactions n’ont pas tardé à fuser ; dans cette année 2020 qui ressemble à une série apocalyptique écrite par des scénaristes jusqu’au-boutistes, la contamination du président américain est comparée à un énième rebondissement dans une intrigue déjà BIEN riche !
I—
There’s a lot to say here here but I just am gonna let go, and let God 🌚 https://t.co/gOuCZTeQxz
Girl, we gotta give it up to the 2020 writers… the way they wrote Miss Rona to go from most hated character to one you root for?! Whew character development!
Il faut reconnaître le talent des scénaristes de 2020… faire passer Miss Rona [le coronavirus, ndlr] de « personnage le plus haï » à « celle que tout le monde soutient » ?! Quelle évolution du personnage !
Un autre : *quand on racontera l’année 2020 à nos gosses dans 20 ans*
« Attends, c’est le meilleur moment : et là, LE MEC A CHOPÉ LE COVID ! »
Certains et certaines ne cachent pas leur joie, estimant que la contamination de Donald Trump est un retour de karma bien mérité pour celui qui a fait souffrir tant de gens par sa médiocrité et ses discours haineux.
Il l’a bien cherché, il l’a bien cherché [en référence à la chanson de la comédie musicale Chicago, ndlr]
Sur TikTok aussi, les réactions se sont multipliées ; la journaliste du New York Times Taylor Lorenz en a compilé une bonne brassée dans ce thread à dérouler !
La France n’est pas en reste. Avec quelques heures de retard dues au décalage horaire, le Twitter francophone a enchaîné les mèmes pour se moquer de Trump.
En parallèle des moqueries, un phénomène étrange s’est produit.
De très nombreuses réponses au tweet de Trump sont écrites dans un alphabet inconnu pour la plupart des gens, et comportent des images allant de « bizarre » à « inquiétantes » en passant par « carrément dégueu ». En voici un exemple soft :
Obscur présage ? Conglomérat de sorcières modernes jetant un sort au président américain ? Langage millénaire porteur de malédiction pour quiconque le traduira ? Eh bien non. Il s’agit, comme l’explique cette journaliste de Mashable, d’une langue tout à fait existante, et pas maudite pour un sou.
Mdr, mais non c’est pas un culte satanique maudissant Trump et la Première dame. C’est un copier-coller en en amharique, la langue officielle de l’Éthiopie. Les gens associent des messages inquiétants (souvent religieux) avec des images chelou pour troller dans les réponses […]
Le texte qui va avec l’image du Joker, ci-dessus, signifie selon Google Traduction : « Votre âme pécheresse est au-delà du salut et vous ne connaissez ni la paix ni la douleur, seul le froid de la repentance est passé, parce que vos péchés sont plus grands que toute mission, la fin est proche, les navires du péché ». Des propos similaires ont été traduits à la va-vite et postés en masse sous le tweet de Donald Trump.
C’est peut-être « pour le LOL », mais utiliser la langue bien réelle d’un pays bien réel avec sa culture et son héritage propre, et la faire passer pour un langage maudit… on a vu plus respectueux. La prochaine fois, autant insulter Trump en latin, ça fera plus traditionnel !
Avez-vous pouffé devant ces réactions ? Ou avez-vous l’âme trop pure pour rire de la maladie frappant un être humain âgé ? Promis, personne ne vous jugera.
En conclusion
L’annonce de Trump intervient à un moment très étrange. Octobre est connu pour être le mois le plus actif dans les cercles occultes et il culmine avec le sabbat le plus important de l’année – Samhain – le 31 octobre.
De plus, le mois d’octobre de cette année est spécial: il contiendra deux pleines lunes. La lune des moissons était le 1er octobre et une «lune bleue» aura lieu le… 31 octobre. Bien que, pour la plupart, ces faits soient complètement hors de propos, ils sont de la plus haute importance dans les cercles occultes.
Si certains d’entre vous sentent que cette année a été régie par «l’énergie noire», les semaines à venir pourraient sembler encore plus sombres. Cependant, comme le dit le dicton: il fait toujours plus sombre avant l’aube.
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L’hôpital Walter Reed met en danger la vie de Trump
Lettre ouverte à Scott Atlas, conseiller en coronavirus de la Maison Blanche
Scott:
Si les rapports des médias sont corrects, le président reçoit 2 médicaments expérimentaux: le cocktail d’anticorps, Regeneron, et l’antiviral, Remdesivir.
Outre leurs effets indésirables individuels…
CES MÉDICAMENTS N’ONT JAMAIS ÉTÉ ÉTUDIÉS POUR LEURS EFFETS COMBINÉS SUR UN PATIENT. ET MAINTENANT CE PATIENT… LE PREMIER PATIENT À LES RECEVOIR… EST LE PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS.
Vous connaissez les effets indésirables du Remdesivir, Scott. Ils sont plus qu’inquiétants. Lésion rénale aiguë, par exemple. Et ce médicament n’a qu’une autorisation d’urgence, et c’est explicitement pour les patients qui sont des cas de COVID GRAVE. Trump n’est pas un cas grave. Que se passe-t-il? Pourquoi les médecins de Walter Reed en font-ils des tonnes?
L’autre médicament, Regeneron, le cocktail d’anticorps, des versions synthétisées d’anticorps de souris et d’humains, est toujours en essais cliniques. Il n’y a AUCUNE autorisation pour son utilisation.
Dans les essais antérieurs de médicaments à base d’anticorps, l’infection a fortement augmenté. Très dangereux.
Et priez que ces médecins n’optent pas soudainement pour un ventilateur. Ils pourraient le faire, si l’état de Trump s’aggrave, à cause des effets des médicaments. Ils appelleront ces effets «une aggravation du COVID».
Dans une vaste étude menée à New York sur des patients atteints de COVID dans le groupe d’âge de Trump, 97% des patients sous respirateur sont décédés. Le traitement par ventilation, comme vous le savez, implique une sédation lourde et prolongée.
Le président est dans une situation très dangereuse.
Chaque foutu médecin qui a une éthique quelconque devrait crier au meurtre sanglant en ce moment. Ce n’est pas une supposition. Est-ce que vous prescririez à un patient non pas un, mais deux médicaments hautement expérimentaux, dont chacun a des effets très néfastes? Les prescririez-vous ENSEMBLE? DÉJÀ? Surtout lorsque le patient n’est pas près d’être gravement malade? Surtout lorsque les effets combinés des médicaments n’ont jamais été étudiés?
POURQUOI LES MÉDECINS DE WALTER REED TRAITENT-ILS TRUMP COMME SI IL ÉTAIT DANS ÉTAT DÉSESPÉRÉ?
Ils s’en prennent au président comme si celui-ci s’accrochait à la vie par un fil et ils doivent lui jeter tout ce qu’ils ont.
Qui veille sur la vie du président? Ces médecins essaient-ils de le tuer?
AU BOULOT, SCOTT. MAINTENANT.
Jon Rappoport
L’auteur de trois collections explosives, THE MATRIX REVEALED, EXIT FROM THE MATRIX, and POWER OUTSIDE THE MATRIX, Jon était candidat à un siège du Congrès américain dans le 29e district de Californie. Nommé pour un prix Pulitzer, il a travaillé comme journaliste d’investigation pendant 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis et en Europe. Jon a donné des conférences et des séminaires sur la politique mondiale, la santé, la logique et le pouvoir créatif à des publics du monde entier. Vous pouvez vous inscrire pour recevoir ses e-mails NoMoreFakeNews gratuits ici ou ses e-mails gratuits OutsideTheRealityMachine ici.
L’Amérique défaillante et en pleine crise vit ses moments les plus critiques en tant que grande puissance lancée dans une guerre ouverte contre l’axe de la Résistance, le front du Refus et même ses amis internationaux sur plusieurs terrains. Elle manœuvre ouvertement et sans détours en usant des reliquats de Daech afin de nous distraire de notre mission primordiale : briser sa base militaire en Palestine occupée.
Récemment, nous avons reçu un rapport intitulé : « LES PROCHAINS PLANS AMÉRICAINS VISANT LA DÉFLAGRATION DE PAYS ARABES ET D’ASIE CENTRALE ».
En voici le contenu :
« Une source européenne -spécialisée dans le suivi des déplacements d’éléments terroristes au Moyen-Orient, dans les pays d’Asie centrale et en Chine- a fait savoir que dans le cadre des opérations stratégiques visant à achever l’encerclement de la Chine et de la Russie puis de se diriger vers la mer de Chine et de s’y déployer, les services américains concernés ont mis en place un commandement militaire unifié pour l’ensemble desdits « moudjahidines » à la manière de ce qui avait été fait dans les années quatre-vingt du siècle dernier. Les premières étapes de mise en œuvre de cette planification furent les suivantes :
Confier à la Turquie la charge d’établir des camps d’entraînement pour les éléments de Daech destinés à être transférés vers des pays africains, dont l’Égypte, en superviser la formation et la préparation aux combats, suivre les opérations futures sur le terrain dans plusieurs pays arabes et musulmans.
Charger le Qatar du financement de toutes les opérations de préparation, d’entraînement et d’armement de ces éléments.
Missions accomplies par la Turquie et le Qatar avec la création de deux grands camps d’entraînement en territoire libyen hébergeant 2680 individus ainsi préparés.
Charger l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis du financement et de l’administration de camps d’entraînement situés dans les zones contrôlées par le parti yéménite « Hizb al-Islah », afin d’armer et de conditionner des éléments qui seront déployés dans certains États d’Asie centrale et en Chine occidentale. Ces camps regroupent 3842 éléments de diverses nationalités et sont destinés à être envoyés dans plusieurs directions :
1000 éléments seront transférés, sous supervisions américaine et saoudienne, en coopération avec les renseignements pakistanais, vers le Baloutchistan. Ils seront affectés au renforcement des groupes terroristes extrémistes présents dans la région frontalière entre le Pakistan et l’Iran et devront se préparer à mener des opérations militaires à l’intérieur de l’Iran.
1460 éléments, qui sont des Ouïghours chinois, seront transférés vers la province afghane du Badakhshan, limitrophe de la frontière occidentale de la Chine. Puis 460 d’entre eux seront dirigés vers le sud-est du Tadjikistan [une région appelée Gorno Badakshan au Tadjikistan]. Ils seront déployés dans les montagnes de la province de Morghob, laquelle fait partie de la chaîne des hautes montagnes du Pamir et dont la capitale, Murghab, est à environ 80 Kms de la frontière ouest de la Chine.
À noter que la tactique américaine relative à la Chine, en cours d’application via le recyclage des reliquats de Daech, ne signifie nullement l’abandon de la stratégie du retrait du Moyen-Orient pour se diriger vers l’Est, mais s’inscrit plutôt dans la stratégie visant à affaiblir la Chine par la création de foyers de chaos et de conflits entre les différentes ethnies locales, avant d’entamer des négociations sérieuses avec elle ».
En transmettant ce rapport tel quel, notre objectif est d’éclairer deux évènements majeurs :
L’escalade actuelle d’un terrorisme systématique et organisé au nord du Liban.
La réouverture d’une vieille blessure, celle du conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan sur la région du Haut-Karabakh.
Concernant le Liban, nous nous devons d’avertir que le but de la manœuvre n’est pas seulement d’épuiser l’armée libanaise maltraitée et de détourner les forces vives ainsi que la Résistance de leur lutte contre les attaques américano-sionistes, mais plutôt de tenter l’ouverture d’un nouveau front sous les auspices de la Turquie de Erdogan et d’agents locaux bien connus, afin d’achever ce que les Américains ont commencé, via l’explosion du port de Beyrouth, en élargissant les zones d’action de groupes terroristes ré-entraînés et chargés de nouvelles missions.
Le but est le contrôle du port de Tripoli comme base d’appui et de départ vers toute la région ; notamment, vers la région de Homs et la côte syrienne. En sachant qu’en cas d’échec, ils pourraient faire exploser le port de Tripoli, comme cela s’est passé pour le port de Beyrouth.
Des sources spécialisées dans l’observation de tels processus affirment que cette attaque américaine est le pendant de l’action menée par la France depuis Beyrouth, via ladite « Initiative française » et la Résidence des Pins, au profit des États-Unis et d’Israël. En effet, en dépit de leurs propres ambitions et de leurs divergences, la France et les États-Unis partagent l’objectif stratégique mené par les Américains au profit d’Israël ; à savoir, promouvoir les ports de Haïfa et d’Ashdod pour qu’ils remplacent tous les ports des Pays du Levant sur la mer Méditerranée.
D’ailleurs, des préparatifs méticuleux sont en cours afin de relier la péninsule arabique, soit au port de Ashdod via le port saoudien de Yanbu, soit au port de Haïfa via la Jordanie ; le but ultime étant de réussir à contourner le canal de Suez et les détroits de Bab al-Mandeb et d’Ormuz.
Quant au conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan autour de la région du Haut-Karabakh, le but ultime de l’Amérique via Erdogan, évidemment, est de renforcer la mobilisation stratégique contre l’Iran, la Russie et la Chine. Ce qui n’exclut pas l’existence d’ambitions propres à la Turquie ; en l’occurrence, sa volonté de relier sa géographie à celle de l’Azerbaïdjan qui penche du côté occidental. Ambition que la Turquie prétend concrétiser en deux étapes : retour à 1994, c’est-à-dire regagner le territoire arménien que Bakou a perdu cette année là, puis l’annexer à l’Azerbaïdjan.
Or, il est désormais établi que la cellule des opérations qui dirige les conseillers turcs en Azerbaïdjan ainsi que les forces azerbaïdjanaises qui combattent aux frontières de la région du Haut-Karabakh -avec le concours d’environ 4000 mercenaires issus de Daech et de différentes ethnies d’Asie centrale du Caucase et d’Idleb- est formée par un groupe de généraux israéliens et d’officiers américains.
L’objectif tactique de ces opérations est de tenter d’attirer les Russes et les Iraniens dans ce conflit régional et, par conséquent, de mesurer la solidité du front eurasien sur lequel Moscou travaille depuis un certain temps pour faire face à l’expansionnisme de l’OTAN ; les manœuvres militaires « Caucase 2020 » d’il y a quelques jours correspondant à une opération de coordination stratégique des plus importantes par la participation de la Chine, de l’Iran, du Pakistan et d’autres pays.
Il faut noter que parallèlement à la mobilisation contre la Russie, la Chine et l’Iran, se déroule une mobilisation quasi identique dans le cadre du processus dit de « normalisation » initié par le débarquement israélien à Abou Dhabi. Ce qui correspond à une tentative de prise en tenailles de ces trois puissances montantes, au nord en partant de la mer Caspienne [Azerbaïdjan], au sud en partant du golfe Arabo-Persique.
Mais ce qui manque à l’imagination du cow-boy américain est que ces deux espaces au nord et au sud sont considérés comme le ventre mou de tout agresseur ou conquérant étranger, qu’il vienne de la haute mer ou se croit capable de jouer un rôle qui le dépasse, qu’il soit ottoman ou israélien. Et ce, parce qu’il lui manque la profondeur stratégique du plateau iranien résistant à l’occupation, à la subordination et à la soumission depuis des siècles. En tout cas, au moins depuis 1826, lorsque les dernières invasions des tsars russes se sont heurtées au grand réformateur iranien Abu’l-Qasim Farahani Qà’im Maqam, lequel a payé de sa vie cette résistance ayant préservé l’intégrité territoriale de l’Iran jusqu’ici.
Quant à Téhéran qui fut, en 1943, le lieu de la première rencontre des trois grands alliés sur le chemin de la victoire contre les nazis, Roosevelt, Staline et Churchill, alors que le pays était occupé par les forces soviétiques et britanniques, il est désormais indépendante, révolutionnaire, musulmane, guidée par des dirigeants d’une grande sagesse et plus capable que jamais de repousser les attaques venues du nord ou du sud.
Nous n’attendrons pas longtemps pour voir les envahisseurs quitter la région, qu’ils soient ottomans, américains ou mandataires israéliens.
Un document sur le site Web de la Central Intelligence Agency fait une affirmation explosive, bien que bizarre: Adolf Hitler a survécu à la Seconde Guerre mondiale.
Les Soviétiques, puis la Fédération de Russie, ont prétendu pendant des années avoir des restes d’Hitler, bien que les corps de lui et d’Eva Braun, son amante de longue date devenue épouse, aient été incinérés à la hâte. Pourtant, Moscou affirme avoir récupéré des restes partiels.
«CIMELODY-3 [un nom de code] a été contacté le 29 septembre 1955 par un ami de confiance qui a servi sous son commandement en Europe et qui réside actuellement à Maracaibo», a envoyé le chef du renseignement par intérim à Caracas, au Venezuela, à son supérieur quelques jours plus tard le 3 octobre 1955. «L’ami de CIMELODY-3 a déclaré que pendant la dernière partie de septembre 1955, Phillip CITROEN, ancien soldat SS allemand, lui a déclaré confidentiellement qu’Adolph HITLER est toujours en vie. dix ans se sont écoulés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ne pouvaient plus poursuivre HITLER en tant que criminel de guerre.
De plus en plus ,avec le temps,la vérité sort de la nuit, et un jour on ne pourra voir la Lumière Éclatante de la Vérité sur la vraie vie du Führer après le 2 mai 1945…jusqu’à sa mort en Argentine!
«La source a pensé qu’il valait la peine d’être envoyé au QG, ce qui est remarquable», me dit une source du ministère de la Défense. «Même à l’époque, ces gars-là ont dû faire beaucoup pour séparer le bon grain de l’ivraie.»
De plus, il y a une prétendue photo. «Le 28 septembre 1955, l’ami de CIMELODY-3 obtint subrepticement la photographie CIMELODY-3 mentionnée. Le 29 septembre 1955, la photo a été montrée à CIMELODY-3 dans le but d’obtenir sa réaction à la véracité possible de cette histoire fantastique.
Dans le mémo déclassifié, la photo est jointe, montrant un «Adolf Schrittelmayor» à Tunga, Colombie en 1954, assis à côté d’un compagnon. «La personne de gauche serait CITROEN et la personne de droite est sans aucun doute la personne que CITROEN prétend être HITLER. Le verso de la photographie contenait les données suivantes: «Adolf Schrittelmayor, Tunga, Colombie, 1954». «
Le personnage de la prétendue photographie ressemble clairement au dirigeant national-socialiste qui s’est suicidé le 30 avril 1945, dans son bunker à Berlin, pour éviter d’être capturé par l’Armée rouge. Les théories du complot ont fleuri pendant des années selon lesquelles de hauts fonctionnaires du haut commandement national-socialiste se sont enfuis en Amérique du Sud, y compris le plus célèbre de tous.
Ces théories, pour Hitler, se sont généralement concentrées sur l’Argentine, pas sur la Colombie, et il était largement présumé qu’il serait lourdement déguisé – ne gardant pas son prénom et ressemblant exactement à son apparence de renommée mondiale pendant le conflit le plus sanglant de l’histoire de l’humanité. Les services secrets des États-Unis ont publié des images en 1944 sur la façon dont il pourrait essayer de se déguiser.
Les Soviétiques, puis la Fédération de Russie ont prétendu pendant des années détenir des restes d’Hitler, bien que les corps de lui et d’Eva Braun aient été incinérés à la hâte. Pourtant, Moscou affirme avoir récupéré des restes partiels. Mais les Russes ont été embarrassés en 2009 lorsqu’un scientifique américain a été autorisé à examiner le crâne pendant une heure, affirmant que le crâne était définitivement une femme, et non un homme, et d’une personne âgée de 20 à 40 ans, et non de 56 ans, l’âge de la mort déclaré par Hitler. Le FSB russe a férocement nié ce compte de Nick Bellantoni de l’Université du Connecticut.
«L’histoire soviétique de leur gestion peu de temps [après les suicides] est pleine d’incohérences», soutient le responsable de la Défense. «Il semblerait que l’URSS et les États-Unis aient sérieusement considéré qu’il n’était pas mort. C’était le Far West quand Berlin est tombé. Certains hauts responsables nationaux-socialistes ont donné de faux noms et ont survécu en tant que soldats réguliers inaperçus dans les camps soviétiques, certains auraient habillé des cadavres d’apparence similaire dans leurs uniformes, certains ont utilisé les réseaux d’exfiltration préexistants pour sortir. … Il y a des photos d’Hitler à un âge avancé, publiées par les services de renseignement américains. Pourtant, lorsqu’il a été pressé, le fonctionnaire a estimé à 5% la chance qu’Hitler ait effectivement échappé en Amérique du Sud. «Bien que suspecte et hors de son caractère, l’histoire du KGB est beaucoup plus simple et plausible que lui vivant depuis des années en Amérique du Sud.»
Pourtant, au cours de la semaine où l’administration a traîné la déclassification de tous ses dossiers d’assassinat JFK pendant encore six mois, des documents comme cette curiosité historique feront encore couler beaucoup d’encre dans le futur.
EN COMPLÉMENTAIRE
La preuve anatomique de la mort d’Hitler n’a jamais été établie
Lors d’une conférence de presse le 9 juin 1945, le maréchal Joukov, chef de l’armée soviétique et parmi les premiers sur la scène berlinoise, a déclaré qu’ils n’avaient pas identifié le corps d’Hitler, et qu’il s’était peut-être échappé. Staline était d’accord.
Même le général Dwight D. Eisenhower, commandant suprême des forces alliées en Europe occidentale, a déclaré à un journal néerlandais le 7 octobre 1945 qu’il y avait «des raisons de croire» qu’Hitler était toujours en vie.
Les livres d’histoire standard nous disent qu’Hitler et sa compagne de longue date, Eva Braun, se sont suicidés entre 14 et 15 heures l’après-midi du 30 avril 1945. On pense qu’elle est morte en avalant du cyanure, et lui par un coup de feu auto-infligé à la tête.
Leurs corps ont été ramenés du bunker sous Berlin, où Hitler et Braun vivaient depuis janvier 1945, aspergés de 200 litres d’essence et brûlés au-delà de toute reconnaissance. Personne n’a vu leurs visages.
Comment est-ce possible? Comment la personne la plus recherchée du monde aurait-elle pu échapper à la découverte? Parce que le monde européen était en plein chaos. Adolf Eichmann et Josef Mengele, presque aussi reconnaissables qu’Hitler et presque aussi recherchés par les Alliés, se sont échappés sans être détectés en Argentine. Il en a été de même pour des milliers d’autres nationaux-socialistes.
Peut-être que l’histoire de la mort d’Hitler doit être réécrite, comme le montre le livre «Grey Wolf: The Escape of Adolf Hitler». Dans cette histoire, Hitler et Braun se sont échappés pour vivre une belle vie en Amérique du Sud. Hitler s’est rasé la moustache, a subi une petite chirurgie plastique et a vécu jusqu’au 13 février 1962, date à laquelle il est décédé paisiblement à 72 ans.
Comment cela a-t-il pu arriver? Grey Wolf explique:
Le samedi 28 avril 1945 – jour où Benito Mussolini fut capturé et exécuté par des partisans italiens – Hitler et Braun, dirigés par le chef de la Gestapo Heinrich Müller, quittèrent le bunker par un tunnel caché pour le Hohenzollerndamm, un large boulevard traversant le centre de Berlin, improvisé comme une piste. L’avion d’Hitler, Tante Judy — Tante Ju — un Junkers-52, l’attendait, piloté par le capitaine Peter Baumgart de la Luftwaffe.
Alors que Hitler et Braun s’enfuyaient, leurs sosies, employés comme remplaçants pour les défilés et autres événements auxquels Hitler ne voulait pas assister, ont été escortés dans le bunker. Les sosies se sont «mariés» le lendemain, dimanche 29. Müller a drogué le couple le lundi 30 avril et les a vêtus des vêtements d’Hitler et de Braun, a enfoncé une pilule de cyanure dans la gorge de la femme et a tiré sur l’homme à la tête à bout portant pour qu’il se soit auto-infligé. Les corps, les visages couverts, ont été transportés dans le jardin pour être brûlés immédiatement. Personne ne se doutait de rien.
Hitler et Braun se sont envolés pour l’Espagne, où le général Franco leur a fourni un nouvel avion pour les îles Canaries. Un sous-marin attendait, gracieuseté de l’amiral Karl Dönitz, cerveau des U-boot et commandant en chef de la marine allemande. Il a promis «une forteresse imprenable pour le Führer au paradis». Après 10 000 kilomètres qui ont duré deux mois, ils ont atterri à Necochea, une ville portuaire sur la côte argentine, à 500 kilomètres au sud-ouest de Buenos Aires.
Initialement, Hitler a vécu en Patagonie pour jeter les bases du Quatrième Reich, le fondement du Reich millénaire. Comme je l’ai détaillé dans mon roman historique, «Pas seulement un jeu», et mes mémoires, «Damn the Naysayers», Hitler est resté de nombreuses années dans sa maison, Estancia Inalco, à Ville la Angostura, en Argentine, une ville à quelques kilomètres de Bariloche , Argentine, foyer connu des nazis d’après-guerre.
Les historiens soutiendront pour toujours l’issue de l’après-guerre d’Hitler.
Que les lecteurs croient ou non qu’Hitler a survécu à la Seconde Guerre mondiale, une vérité incontournable est que le national-socialisme l’a fait, avec ou sans son fondateur.
Prochain article sur le sujet:Les relations entre le Führer et la population locale en Argentine…après le 2 mai 1945