Le roi Louis XIV est décédé dans la nuit du 20 août 1715
« Mardi 20, à Versailles – Le roi a mieux passé la nuit que les précédentes, et n’a bu que trois fois ; il a travaillé le matin avec M. le chancelier, après avoi…r entendu la messe dans son lit, comme il l’entend depuis quelques jours. Il vit peu de gens à son dîner, mais il y fit entrer les ambassadeurs; le mardi est le jour que les ambassadeurs viennent ici. Il tint le conseil de finances après son diner, et travailla ensuite avec M. Desmaretz, et puis il envoya dire à madame de Maintenon de passer dans sa chambre. Sa jambe lui fait beaucoup moins de mal quand il est dans son lit, et après l’avoir bien frottée, on met des linges dessus qui l’empêchent de s’habiller. Madame de Caylus et madame de Dangeau furent assez longtemps dans sa chambre avec madame de Maintenon, et il leur parut fort tranquille ; il nous parut de même à son souper. Il se leva en robe de chambre pour se mettre à table, passa ensuite dans son cabinet pour voir les princesses demeura un quart d’heure avec elles, et se coucha à dix heures. »
(Journal du Marquis de Dangeau).
Portrait équestre de Louis XIV.
BIOGRAPHIE
Louis XIV
Né à Saint-Germain-en-Laye (France) le 05/09/1638 ; Mort à Versailles (France) le 01/09/1715
Au cours d’un règne personnel de 54 ans, Louis XIV a su apporter à la France un immense prestige au sein de l’Europe. Malgré les guerres et les crises financières, il s’est toujours efforcé de protéger et d’enrichir son royaume, tant sur le plan économique, géographique que culturel. Le « Roi-Soleil », grand monarque absolu, laisse le souvenir d’une France rayonnante, comme en témoigne le splendide château de Versailles.
Une enfance marquée par la Fronde
Louis XIV est né à Saint-Germain-en-Laye en 1638. Ses parents, Louis XIII et Anne d’Autriche, attendaient désespérément la naissance de leur premier enfant depuis plus de vingt ans. Surnommé « Dieudonné », le futur roi était donc plus que désiré. Mais seulement cinq ans plus tard, Louis XIII décède, laissant seuls son fils et sa femme. Cette dernière obtient alors la régence du pays, aidée de Mazarin, tandis que Louis XIV devient roi de France.
L’éducation du roi est prise en charge par Mazarin, lequel influence considérablement le jeune enfant. Il lui trouve plusieurs grands précepteurs, mais Louis XIV n’est pas un élève très assidu et préfère des activités plus concrètes, telles que la danse, l’art ou la stratégie militaire.
D’un point de vue général, l’enfance du Roi n’est pas très heureuse, car profondément marquée par les événements de la Fronde : à partir de 1648, le parlement et la haute noblesse, puis le prince de Condé se révoltent contre le pouvoir, obligeant la famille royale à fuir sans cesse, sous les affronts et la violence. Anne d’Autriche regagne finalement la capitale en octobre 1652, puis rappelle Mazarin en 1653, mettant un terme aux insurrections.
Témoin des événements, le jeune Louis XIV en est quelque peu traumatisé. C’est sans doute la raison pour laquelle il mènera plus tard un règne absolutiste, affaiblissant toujours le pouvoir de la noblesse. Le 7 juin 1654, il est sacré roi à Reims mais préfère, pour l’instant, laisser les rênes du royaume entre les mains de Mazarin. Pendant ce temps, il parfait son initiation militaire auprès de Turenne. En 1659, la guerre franco-espagnole prend fin avec la signature du traité des Pyrénées. En respect de l’une des closes de cet accord, Louis XIV épouse Marie-Thérèse d’Espagne.
Vers un règne absolu et centralisé
Mazarin meurt en 1661, laissant au roi toutes les ficelles du pouvoir. Ce dernier décide alors, désormais, de régner seul, sans Premier ministre. Cette décision d’un pouvoir absolu ne l’empêche pas de s’appuyer sur des hommes de confiance, dont il sait s’entourer et qui sont principalement issus de la bourgeoisie. Plusieurs conseils, tels que celui des finances, à la tête duquel sera placé Colbert, guident ainsi le jugement du roi. Comme pour montrer sa détermination et inspirer le respect parmi ses hommes, Louis XIV fait arrêter et condamner le surintendant des finances, Fouquet.
De même, le roi s’applique à organiser un réseau d’intendants afin d’être informé de tous les événements du royaume, tant économiques qu’humains. Les parlementaires perdent également leur pouvoir d’autrefois, désormais limité au simple enregistrement des édits. Poursuivant cette politique de centralisation, Louis XIV prive les états provinciaux de leur autorité, ou va même jusqu’à les supprimer.
Le roi se lance par la suite dans de grandes réformes et édits. Le Code Louis, pouvant s’assimiler à un code civil, est promulgué en 1667, le Code criminel en 1670, le Code forestier en 1669, l’ordonnance de commerce en 1673 et le Code noir, portant sur l’esclavage, en 1685.
Le rayonnement du « Roi-Soleil »
Dessin d’époque représentant le roi dansant.
Outre l’organisation de son règne, Louis XIV est un homme qui attache une importance capitale à l’image du royaume. Ce n’est donc pas par hasard qu’il a choisi le Soleil comme emblème. D’une prestance exceptionnelle, il veut que le pays rayonne à tous les niveaux, autant que lui-même.
Depuis son enfance, il s’est toujours passionné par l’art et la culture, bien que n’étant pas un grand intellectuel. Aidé de Colbert, il s’applique ainsi à valoriser ce domaine au sein du pays, en fondant tout d’abord l’Académie royale de peinture et de sculpture (1655), puis la Petite Académie (qui deviendra l’Académie des inscriptions et belles-lettres), l’Académie royale d’architecture, l’Observatoire et bien d’autres encore. Louis XIV se fait également le mécène de nombreux artistes, tels que Lully, Racine ou Molière.
Parallèlement, il applique son désir de grandeur et de rayonnement culturel à l’architecture. C’est ainsi que naissent, entre autres, la colonnade du Louvre, l’hôtel des Invalides et la future place Vendôme. C’est aussi dans cette optique qu’il fait agrandir le château de Versailles et lui donne ainsi une splendeur sans pareille. Il en fait d’ailleurs le centre du royaume en y installant définitivement la Cour en 1682.
Vers l’agrandissement du royaume
Médaille à l’effigie du roi.
Louis XIV ne conçoit pas son règne sans conquête. Tout commence avec la modernisation de l’armée française, placée sous la responsabilité de Le Tellier puis de son fils, Louvois. Cette totale réorganisation militaire accroît considérablement la force et l’enthousiasme de l’armée. Avec elle, le roi marche tout d’abord vers les Pays-Bas, déclenchant la guerre de Dévolution (1667-1668). Grâce à cette première entreprise, il obtient Lille et une partie de la Flandre. Le conflit est suivi de la guerre de Hollande, qui commence dès 1672 et se conclut en 1678 par la paix de Nimègue. Le roi détient désormais la Franche-Comté, mais s’est trouvé un ennemi en la personne de Guillaume d’Orange.
Louis XIV ne s’en tient pas là. La politique des « réunions » qu’il applique, et par laquelle il annexe Strasbourg et le Luxembourg, fait naître de nouvelles tensions internationales. De plus, lorsqu’il révoque l’édit de Nantes, il se met à dos l’Allemagne et les puissances protestantes. C’est dans ce contexte que débute la guerre de la ligue des Augsbourg (1688), qui ne s’achève qu’en 1697, avec la signature des traités de Ryswick.
Malgré l’affaiblissement du royaume, lié au coût des campagnes militaires, Louis XIV approuve le testament de Charles II et provoque la guerre de Succession d’Espagne. Cette fois, le conflit, qui prend fin avec le traité d’Utrecht en 1713, finit de vider les coffres du pays.
Après plus d’un demi-siècle de rayonnement, le royaume sombre peu à peu. Afin d’assurer la succession au trône, le roi a décidé de légitimer ses enfants bâtards, qu’il a notamment conçus avec Mme de Montespan. La mort du Grand Dauphin, en 1711, suivie de celle de son petit-fils, le duc de Bourgogne l’affecte profondément et complique la situation. Après plusieurs jours d’agonie, Louis XIV s’éteint en 1715 à l’âge de 72 ans. C’est finalement son arrière-petit-fils de cinq ans, le duc d’Anjou, qui accède au trône, sous la régence du duc d’Orléans.
LOUIS XIV ET LE CANADA
Le 10 mars 1661, le roi Louis XIV s’érige en monarque absolu, après avoir aboli le poste de principal ministre. L’onde de choc provoquée par cet événement sans précédent se propage jusqu’en Nouvelle-France. Le Canada saisit alors sa chance en attirant les regards de la Cour sur ce pays perdu.
Si le parti des jésuites entend en profiter pour mousser les missions évangéliques auprès des Sauvages, le camp du gouverneur s’empresse de déléguer Pierre Boucher auprès du jeune souverain afin de promouvoir les intérêts temporels de la colonie. Les ambitions convergentes des deux partis portent le roi à envoyer des troupes pour mater les Iroquois encore récalcitrants. Mais, pour Louis XIV, le véritable enjeu est moins la pacification du pays que le statut à lui accorder. Le verdict tombe, sans appel, en 1666: le roi écarte le projet d’un vaste royaume en Amérique sous prétexte que sa création compromettrait son prestige et la sécurité de ses sujets d’outre-mer.
CITATIONS
L’artifice se dément toujours, et ne produit pas longtemps les mêmes effets que la vérité. »
« L’état c’est moi! »
<« >Tout l’art de la politique est de se servir des conjectures. »
Des centaines de personnes ont été blessées et au moins 88 ont été tués après une série d’ explosions massives ont eu lieu dans la ville portuaire chinoise de Tianjin au nord-est mercredi soir ,le 12 août 2015. Environ 75 miles au sud-est de Pékin, la ville est un centre majeur pour le raffinage du pétrole et de la pétrochimie.
Les explosions dramatiques survenus à un terminal maritime dans le quartier de Binhai de la ville, après des matériaux explosifs mis à feu dans un conteneur, le Quotidien du Peuple-Etat de fonctionner rapporté . La première explosion a eu lieu vers 23h30 heure locale, suivie par un plus gros environ 30 secondes plus tard. Plusieurs autres explosions se sont produites pendant les efforts de sauvetage.
Les explosions enregistrées sur les équipements de tremblement de terre suivi. La première explosion a eu une magnitude de 2,3, l’équivalent de trois tonnes de TNT, selon le Centre du réseau sismique de Chine (lien en chinois). Le deuxième siège à 2,9, équivalent à 21 tonnes de l’explosif.
Plusieurs heures après l’explosion,la fumée et le feu continuaient toujours .
Des milliers de voitures détruites.
Douze pompiers furent tués en plus des 520 blessés civils.On continue de parler de plus de 100 morts…sans parler des personnes disparues.
Le Conseil d’Etat a ordonné la suspension des efforts de lutte contre l’incendie en raison d’un manque de clarté sur les «marchandises dangereuses» dans l’entrepôt concerné. Une équipe de spécialistes chimiques (lien en chinois) sera déployée à la place.
La superficie brûlée par les explosions mesures environ 20.000 mètres carrés, selon CCTV radiodiffuseur national (lien en chinois). Le gouvernement n’a pas fait de commentaires sur ce qui a causé l’explosion. Les reporters ont été déplacés à environ 10 kilomètres (6,2 miles) de la zone de l’explosion, parce que les bâtiments environnants sont en train de s’effondrer. Les reporters disent que l’air sent âcre et les pompiers ont noté que l’eau sur le terrain est colorée (lien en chinois).
Les explosions ont eu lieu dans un entrepôt de Ruihai International Logistic au port de Dongjiang, qui représentait 70% (lien en chinois) des «marchandises dangereuses» de livraisons à Tianjin l’année dernière. Un site de l’entreprise , ne fonctionne plus, a déclaré l’entreprise a été créée en 2011 et est autorisé à transporter des marchandises dangereuses. Il dispose de 70 employés, les postes des revenus annuels de plus de 30 millions de yuans (4,7 millions de dollars), et peut traiter environ 1 million de tonnes de fret par an.
Face à une montagne de conteneurs soufflés par l’explosion,un homme portantun masque marche tranquillement.
Une publication numérique financée par l’état chinois a fait une liste (lien en chinois) des catégories de «marchandises dangereuses» stockées à Ruihai Logistic International, basée sur le site de la société:
Argon et gaz naturel comprimé
Liquides inflammables tels que de la butanone
Solides inflammables et auto-combustibles marchandises
Comburants et agents
Produits toxiques, dont du cyanure de sodium
Produits corrosifs, y compris l’acide formique
En mars 2014, le gouvernement de Tianjin a organisé un exercice d’urgence (lien en chinois) sur les produits chimiques hautement toxiques et dangereuses chez Ruihai International Logistics. Une inspection gouvernementale entre novembre et décembre 2013 a signalé que cinq des plus de 4 300 conteneurs sur le site étaient mal fermés (lien en chinois).
Un représentant de la société est détenu par la police, selon un quotidien national chinois.
LES IMPACTS ÉCONOMIQUES
1-Tianjin: corruption, mousse inquiétante? La censure des autorités nourrit la suspicion
Un habitant de Tianjin quitte sa maison le 15 août 2015, après que les autorités aient ordonné l’évacuation des quartiers voisins des entrepôts où se sont produites les explosions du 13 août, par crainte de propagation de substances toxiques
Les explosions survenues le 12 août dans un entrepôt de produits chimiques de la ville de Tianjin, en chine, ont fait 114 victimes, et les risques d’une contamination de grande ampleur ne sont pas écartés. Mais la gestion de cette catastrophe présente la plupart des caractéristiques habituelles de la réaction de Pékin face aux catastrophes: censure, débat étouffé, dissimulation des autorités et médias qui osent parler voués aux gémonies. Résultat, il est très difficile de savoir ce qu’il se passe sur place, alimentant parfois de nombreuses suspicions et la paranoïa. Sur internet par exemple, la moindre critique est rapidement supprimée. Pékin a d’ailleurs puni 50 sites web et 360 comptes sur les réseaux sociaux pour avoir « répandu des rumeurs », ou plutôt pour avoir critiqué les autorités en leur reprochant de ne pas avoir donné de détails sur l’explosion, ni sur la nature des produits présents.
Une inquiétante mousse apparaît sur les routes
Désormais, c’est la pluie qui inquiète les habitants de Tianjin. Car une étrange mousse blanche apparait sur plusieurs routes de la ville après des averses. Certains riverains se seraient même plaints d’irritation au visage à son contact, selon le site Caixin. Et si des photos diffusées sur les réseaux sociaux montrent une écume intrigante, les autorités se bornent à répéter que l’air et l’eau ne présentent pas de danger pour la population.Impossible donc de savoir si cette mousse est bien en liens direct avec les explosions du 12 août, ni si elle est dangereuse, et si oui à quel point.
Corruption endémique et règles de sécurité non appliquées
« La transparence des informations n’a pas été satisfaisante », estime Joseph Cheng, ancien professeur de sciences politiques à l’université de la ville de Hong Kong. « Les catastrophes d’origine humaine comme l’explosion de Tianjin montrent que la société n’est pas bien gérée, parce que les règles de sécurité ne sont pas appliquées et la corruption est endémique »; ajoute-t-il, tranchant avec le discours des autorités centrales qui insistent sur le caractère local de la catastrophe et soulignent les responsabilités individuelles plutôt que la responsabilité du système de gouvernance.
Un étrange délai
La Chine a été régulièrement confrontée à des catastrophes naturelles ces dernières années et l’ancien Premier ministre Wen Jiabao avait initié la tradition de se rendre rapidement sur le terrain pour signifier l’implication du gouvernement.Son successeur, l’actuel Premier ministre Li Keqiang, l’avait imité mais cette fois-ci, il ne s’est rendu sur place que quatre jours après. Un délai « très étrange » pour Willy Lam, professeur de sciences politiques à l’université chinoise de Hong Kong, « qui laisse penser qu’il y a des divisions au sommet quant à celui qui devrait démissionner ».
Répondre ou non de ses actes
Les autorités ont été sévèrement mises en cause pour avoir échoué à respecter la règlementation, en particulier celle qui veut que les entrepôts contenant des produits dangereux soient situés à au moins un kilomètre des quartiers d’habitation.En fait, selon Willy Lam, le rang de la personne qui sera poursuivie sera proportionnel au bilan de la catastrophe. « Si le bilan est inférieur à 200, alors seul le maire adjoint de Tianjin chargé de la sécurité devra démissionner », dit-il. « C’est le bouc émissaire évident ».Le maire actuel de Tianjin est cependant considéré par les analystes comme appartenant à la faction « Zhejiang », proche du président Xi Jinping. D’après Willy Lam, cette proximité pourrait le protéger de tout châtiment, ou en limiter la portée. « La Chine est encore loin d’être un pays développé et bien géré », conclut Joseph Cheng.
2-le coût de la catastrophe de Tianjin
Des parkings entiers de voitures neuves détruits.
Entre véhicules brûlés et sites fermés, quelles sont les répercussions économiques des explosions sur les sociétés présentes à Tianjin ? On a fait le point.
Près d’une semaine après les explosions dévastatrices à Tianjin, le bilan humain, mais aussi matériel, s’alourdit. La zone industrielle abrite de nombreux sites de production manufacturière, des raffineries pétrolières, des entreprises de technologies de pointe mais surtout des myriades d’entreprises automobiles. Une douzaine d’entre elles ont été frappées de plein fouet par la catastrophe.
Parmi elles, le groupe Renault, présent sur place, a perdu 1500 véhicules, happés par un incendie. Le constructeur pourrait ainsi voir ses livraisons diminuer en août et en septembre, indique une porte-parole de l’enteprise en Chine. Mais le groupe français maintient ses prévisions de ventes pour 2015 dans le pays.
Fermeture de site pour Toyota
Toyota est quant à lui contraint d’interrompre la production sur son site de Tianjin pendant trois jours cette semaine. Grâce aux vacances estivales, la production était en standby lorsque sont intervenues les déflagrations. Toutefois, «du fait des recommandations d’évacuation en cours, elles ne seront pas opérationnelles» avant jeudi, explique le groupe. Les répercussions de ces explosions sont importantes. L’une des trois lignes de production, pourtant située à 70km du lieu de l’accident, reste fermée car les pièces assemblées sont produites à Tianjin, métropole industrielle majeure de l’est de la Chine.
Toyota refuse pour l’instant de communiquer sur son niveau d’affection de sa production. «Tout dépendra de l’état des installations» et d’autres périmètres inconnus à ce stade, précise un porte-parole du constructeur automobile. Même réponse pour l’impact sur les importations et exportations au port de Tianjin «en cours d’évaluation».
Quelque 440.000 véhicules sont fabriqués chaque année sur le site de Toyota à Tianjin, à 140 km de Pékin. C’est la moitié de la production du groupe japonais en Chine qui compte 12.000 travailleurs sur place. Le fabricant Mitsubishi a pour sa part indiqué qu’«environ 600 véhicules» étaient entreposés dans la zone au moment des explosions. L’étendue des dégradations reste pour l’heure inconnue
Des problèmes de logistique
Parmi les autres firmes japonaises présentes dans la zone, le géant de l’électronique Panasonic a rapporté des dommages minimes. Les opérations étaient à l’arrêt ce lundi pour procéder à des vérifications.
De nombreux véhicules de l’allemand Volkswagen auraient également été perdus dans les flammes selon certaines sources. Le groupe n’a pas encore souhaité communiquer de chiffre exact. Mais des photos de véhicules parqués en attendant d’être inspectés par les douanes circulent sur les réseaux sociaux.
Le port de Tianjin est l’un des ports les plus exploités du monde. Dans l’attente d’un retour à la normale, les constructeurs utilisent d’autres ports pour «ajuster les livraisons aux concessionnaires des voitures importées et ainsi minimiser l’impact pour les clients». Ainsi, le port de Shanghaï est pris d’assaut par les opérateurs avec une augmentation du transit habituel de plus de 20%.
Veolia a la rescousse
Le groupe français Veolia conclut de nouveaux marchés pour traiter une centaine de tonnes d’eaux usées à Tianjin. Les autorités chinoises craignent une contamination chimique après les puissantes explosions de mercredi soir dans l’entrepôt où étaient stockées 700 tonnes de cyanure de sodium. Le leader mondial du secteur est très présent dans cette métropole portuaire du nord de la Chine, où il fournit par ailleurs plusieurs millions d’habitants en eau potable.
La note devrait être particulièrement salée pour les assureurs. Le coût des préjudices causés par les deux énormes explosions pourrait s’élever à 1,5 milliard de dollars, soit près de 1,3 milliard d’euros. C’est en tout cas ce qu’estiment les analystes de Crédit Suisse sur base des premières estimations fournies par les médias chinois.
Sous pression, les autorités chinoises exhortent les institutions financières de participer aux efforts après les explosions qui se sont produites à Tianjin la semaine dernière. Il est aussi demandé aux compagnies d’assurance de mettre en place un service spécial pour accueillir les réclamations des sociétés touchées de près ou de loin par la catastrophe. L’organisme de réglementation de l’État, la China Securities Regulatory Commission, demande notamment à la Banque pour le développement de la Chine de subvenir aux besoins des entreprises avec des prêts d’urgence.
PHOTOS AÉRIENNES DU DÉSASTRE
Photos prises d’un drone.
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L’INFLUENCE SUR LES MARCHÉS FINANCIERS
Une monnaie en chute libre qui annonce une crise majeure
1-Une triple dévaluation de la monnaie chinoise
La triple dévaluation du yuan la semaine dernière est un mauvais signal pour les secteurs du luxe et du tourisme en France, déjà affectés par la politique anticorruption de Pékin, estiment des analystes interrogés par l’AFP.
2-Prudence et méfiance des investisseurs
Les investisseurs mondiaux restent prudents comme en témoigne la proportion de cash toujours conséquente au sein de leur portefeuille. Selon la dernière enquête « BofA Merrill Lynch Fund Manager Survey » du mois d’août, cette part est néanmoins descendue à 5,2% après avoir atteint son plus haut niveau depuis décembre 2008 le mois précédent (5,5%). Seuls 53% des gérants interrogés anticipent un renforcement de la croissance mondiale sur les 12 prochains moins alors que la récession chinoise est désormais vue comme le risque principal pesant sur l’économie.
Les fameuses gératrices d’électricité au charbon de la Nouvelle-Zélande vivent leurs dernières heures…enfin bravo!
La compagnie d’électricité de Nouvelle-Zélande ,Genesis Energy ,a annoncé qu’il va fermer ses deux derniers générateurs électriques au charbon d’ici Décembre 2018 – un pas audacieux vers l’objectif d’être alimenté par des énergies renouvelables de 90 pour cent en 2025 du pays.
La décision signifie que, à l’exception de quelques installations industrielles à petite échelle, le pays ne sera plus la combustion du charbon pour produire de l’électricité, et arrêter le pompage autour de 1 600 kilotonnes de CO2 dans l’atmosphère dans les trois ans. « Sa fermeture marque la fin de la production d’électricité au charbon en Nouvelle-Zélande, » ministre de l’Énergie et des Ressources Simon Bridges a déclaré dans un communiqué de presse.
Parce que la majorité de l’énergie de la Nouvelle-Zélande provient déjà de l’énergie géothermique, l’hydroélectricité et le gaz naturel, d’abandonner le charbon est pas aussi grand une affaire comme il le serait pour d’autres pays (* tousse * Australie , aux États-Unis * tousse *), mais le déménagement est toujours une étape importante vers un monde où la combustion du charbon est plus le moyen le moins cher et le plus fiable pour produire de l’électricité.
«Historiquement, le charbon a joué un rôle important en assurant la sécurité de l’approvisionnement en électricité de la Nouvelle-Zélande, en particulier dans les années de sécheresse où nos niveaux hydro-lac sont bas, » dit Bridges . « Mais l’investissement sur le marché dans d’autres formes d’énergie renouvelable au cours des dernières années, en particulier dans l’énergie géothermique, signifie que la filière du charbon est de moins en moins devenue une exigence. »
Mais ce qui est vraiment cool est que la décision a été prise par Genesis Energy uniquement sur la base des bénéfices, et non à la suite d’une nouvelle législation du gouvernement. Bien qu’il serait agréable de voir les gouvernements abandonner les centrales au charbon , il est réellement plus excitant que les systèmes au charbon n’ont plus de sens pour les financier.
En fait, Genesis Energy chef de la direction d’Albert Brantley a estimé dans un communiqué que l’entreprise d’économiser environ NZ $ 20 à 25 millions (US $ 13 à 16,5 millions d’euros) chaque année en ne dirigeant pas les générateurs au charbon.
Les deux autres générateurs de charbon sont situées à Power Station Huntly ,à Waikato, sur l’île du Nord du pays. La centrale elle-même continuera à fonctionner au gaz naturel pour l’avenir prévisible.
Au cours de la dernière année et demie, la Nouvelle-Zélande a augmenté de façon significative la quantité d’électricité qu’elle produit à partir d’énergies renouvelables, avec près de 80 pour cent de son électricité provenant de sources renouvelables en 2014, grâce à une énorme expansion de l’énergie géothermique. En comparaison, la moyenne des pays de l’OCDE ne reçoit que 22 pour cent de son électricité à partir d’énergies renouvelables.
« La génération d’énergie géothermique a plus que doublée au cours de la dernière décennie, et pour la première fois en 40 ans, la production d’électricité géothermique a contribué à générer plus d’électricité que le gaz naturel au cours de 2014, »ce que Bridges a annoncé à la presse. « La part de la Nouvelle-Zélande dans la production d’électricité renouvelable est déjà la quatrième plus grande dans le monde et le passage du charbon va nous aider à atteindre notre objectif ambitieux de 90 pour cent de l’approvisionnement en électricité de la Nouvelle-Zélande généré par les énergies renouvelables d’ici 2025. »
Évidemment, l’activité géothermique importante du pays et sa faible population lui donne un avantage unique quand il vient à l’énergie renouvelable. Mais si la recherche récente nous a montré quelque chose, il est ce que il ya beaucoup de sources d’énergie renouvelables là-bas pour être exploitée, et tous les pays sur la Terre a plus que suffisamment pour faire le tour . Nous avons juste besoin de suivre l’exemple de la Nouvelle-Zélande, et de commencer à investir dans les énergies renouvelables maintenant – parce que même si le gouvernement corrompu du Québec ne donne pas un cent pour de l’environnement, il reste encore un mouvement d’affaires intelligent.
L’anomalie de la Baltique est l’une des énigmes récentes qui se pose telle un mur face à la compréhension de nos origines.
Les derniers résultatsde tests de laboratoireeffectués parArchaeological Scienceà l’Institut Weizmann, indiquent qu’une piècequi a été récupérépar les plongeursdu cercle de l’anomalieest faite delimoniteet degoethite. Ces échantillons font partiedes oxydes/famille des hydroxydesde fer.Lesessais ont été effectuésparune méthode appelée « spectroscopie infrarouge ».
De l’avis del’Institut Weizmannest qu’il estétrange de trouverces matériauxdans une structurede ce genre.L’opinion est que cesmatériauxseraient probablementtrouvés dansune construction moderne, comme sur une épavedans ce cas,mais pas dans un artéfact aussi ancien.
Découverte dans les sables du désert profond du Turkménistan.
« Il y a plusde quatre millénaires, la villeforteresse deGonur–Tepe aurait pu être unecivilisation avancée très rare avant qu’elle n’ a étéenterrépendant des siècles sousla poussièredu désertde Karakoumdans les régions éloignéesde l’Ouest du Turkménistan.
Après avoir étédécouverte par les archéologuessoviétiquesdurant le 20 ième siècle , Gonur–Tepe, jadis fut une capitale pourdes milliers de personneset le centred’une régionen plein essor, elle révèle progressivementses mystèresavec de nouveauxobjetsdécouvertssur chaquefouilled’été.
L’échellede l’immense complexe qui couvreenviron 30 hectaresne peut être correctementappréciéede l’air, d’où lesanciens bâtimentsressemblent àun labyrinthedans le désertentouré de vastesmurs« .
Fantastique!
La nécropole – découverte d’une fosse à l’intérieur duquel un homme dans une position accroupie est enterré./ The necropolis – discovery of a grave inside which a man in a squatting position is buried.
Dessin d’artiste de l’époque représentant le bombardement atomique d’Hiroshima.
A l’origine de la bombe atomique,il faut remonter à 1939 au tout début de l’arrivée massive d’émigrants venus de pays totalitaires,en Europe.
Parmi les scientifiques américains,on retrouve de nombreux réfugiés provenant des régimes fascistes en Europe, ce qui permit à l’Armée Américaine de prendre des mesures dès 1939 ,pour organiser un projet d’exploiter le processus de fission nouvellement reconnue à des fins militaires. Le premier contact avec le gouvernement a été fait par GB Pegram de l’Université de Columbia, qui a organisé une conférence entre Enrico Fermi et le ministère de la Marine, en Mars 1939. À l’été 1939, Albert Einstein a été convaincu par ses collègues scientifiques à user de son influence et de présenter le potentiel militaire d’une réaction de fission en chaîne incontrôlée au président Franklin D. Roosevelt. En Février 1940, $ 6,000 a été mis à disposition pour commencer la recherche sous la supervision d’un comité dirigé par LJ Briggs, directeur du National Bureau of Standards.
Enrico Fermi (1901-1954), physicien italien établi aux Etats Unis à partir de 1938 et prix Nobel la même année. En 1942 il réalisa à Chicago la première pile atomique. Enrico Fermi s’installa aux Etats-Unis après avoir reçu son prix Nobel en 1938. Il comprit le potentiel des découvertes d’Otto Hahn qu’il mit en pratique pour réaliser la première pile atomique.
Fait important
Le 6 Décembre 1941, le projet a été placé sous la direction de l’Office de la recherche scientifique et le développement, dirigé par Vannevar Bush,de la célèbre famille.
Vannevar Bush fut un grand inventeur,un précurceur de l’informatique et…un franc-maçon d’un haut dégré.
Vannevar Bush fut aussi l’un des membres fondateurs du Majestic 12 ,des consprateurs mis en place pour bloquer la vérité sur les ovnis.
HORS TEXTE
DES PAROLES DE VANNEVAR BUSH DURANT LE PROJET MANHATTAN
«L’opinion actuelle indique que l’utilisation réussie est possible, et que ce serait très important et pourrait être déterminant dans l’effort de guerre. Il est vrai aussi que si l’ennemi arrive avant nous à des résultats …que cela serait une affaire extrêmement grave. »
« Les meilleures estimations indiquent [mise au point de la bombe atomique] en fin 1944, si tous les efforts sont faits pour accélérer. » (Harrison-Bundy Files, RG 77, microfilm 1108, rouleau 4, dossier 58, Rapport au Président 9 Mars 1942 , Archives nationales).
« L’utilisation de la bombe atomique aurait mis fin la guerre. Sans aucun doute, la guerre aurait pris fin avant longtemps, en tout cas, pour le Japon avait été mis à genoux. … Pourtant, dans les faits nous l’avions prévu et tout était en mouvement au moment où la bombe est arrivée au moment d’un vaste programme d’invasion par les forces terrestres. … il était clair qu’une telle campagne aurait pu coûter des centaines de milliers de victimes parmi nos troupes « . (Vannevar Bush, les armes modernes et les hommes libres , p. 91-92).
Bush espère aussi l’utilisation de la bombe atomique alerterait le monde, non seulement pour les dangers de la guerre nucléaire, mais sur les dangers de la guerre moderne en général. Peu de temps après les bombardements atomiques, il écrivait à un ami:
« … Je crois qu’il est heureux que la bombe est arrivé quand elle l’a fait et de façon totalement spectaculaire. Sinon, nous aurions dérivé dans une situation, et de là à nous au moins ,de nous approcher avec nos yeux ouverts. » (Vannevar Bush Papers, Box 76, fichier RD Mershon, le 25 août 1945 lettre au colonel RD Mershon, Bibliothèque du Congrès).
Après l’entrée en guerre des Etats-Unis, le ministère de la Guerre a donné la responsabilité conjointe pour le projet Manhattan, à la famille Bush (associée à nombres de sociétés secrètes) et à une brochette de scientifiques contrôlés par l’Armée Américaine.
Dans un mémorandum secret, un scientifique du gouvernement du Canada Wilbert Smith a révélé, en fait, que le Dr Vannevar Bush a dirigé un « petit groupe » mis en place pour enquêter sur les ovnis – une question a déclaré Smith, « … est le sujet le plus hautement confidentiel dans le Royaume, a des niveaux plus élevés que la bombe H ,elle-même ».
Depuis la mi-1942, il était évident qu’une vaste gamme d’installations pilotes, des laboratoires et des installations de fabrication devait être construit par le US Army Corps (des ingénieurs) afin que les scientifiques réunis pourraient mener à bien leur mission. En Juin 1942, le « Corps of Engineers » du district de Manhattan s’était fait initialement attribué la gestion des travaux de construction (car une grande partie des premières recherches avaient été effectuées à l’Université Columbia, à Manhattan), et en Septembre 1942,le Brigadier General Leslie R. Groves a été mis en charge de l’ensemble des activités de l’Armée (activités d’ingénierie principalement) relative au projet. Le«Projet Manhattan» est devenu le nom de code pour des travaux de recherche qui s’étendent à travers le pays.
C’est ainsi qu’une couverture très opaque camouflait les activités financières des Bush et d’autres « extrémistes de l’ombre » ,afin de garantir leurs sacro-saints profits!
Des hommes « d’affaires » comme Howard Bush et des financiers internationaux liés aux Rotschild de Londres,en profiteront pour établir une richesse capitaliste qui ne tiendra pas compte ni des ennemis de la nation américaine,ni de leurs objectifs politiques mondialistes.C’est ainsi qu’Howard Bush fera affaire avec des banques hollandaises pour détourner des sommes d’argent énormes du Troisième Reich,afin de lui permettre de mettre la main sur des aciers spéciaux et des métaux rares,utilisés dans la fabrication d’avions à réaction,par exemple.
Tenu à l’écart des décisions importantes sur le Projet Manhattan,jusqu’à son existence même,Franklin Delano Roosevelt verra venir le danger de ces groupes d’infiltration liés à des sociétés secrètes puissantes.Il ordonnera une très intelligente enquête de sécurité qui aboutira à l’arrestation d’Howard Bush et au blocage de ses intérêts financiers:la guerre et le patriotisme obligent!
L’expertise allemande et la course à la bombe(la filière Illuminati)
Kurt Diebner,le grand physicien allemand qui mis au point la « première Bombe Atomique »…de ce nom!Le grand technicien du « Projet Uranium » ,c’est lui!C’est lui aussi qui fit fabriquer la fameuse bombe de l’Île Rügen
À regarder le nombre de scientifiques d’origine allemande autour du Projet Mahattan,on reste pensif: les principaux acteurs sont tous soient allemands (Einstein,Bohr,Oppeinheimer)ou italien (Fermi)…ou hongrois!
Niels Bohr…il changera de camps avec adresse ,au milieu du conflit.
Indépendamment de tout ce qui sert de propagande aux américains et à leurs alliés,la première bombe atomique opérationnelle qui explosât était allemande et toute la technologie et les penseurs qui venaient avec, étaient allemands aussi.J’attire votre attention sur un outil de recherche intéressant:la photo originale de « Fat Boy » ,la première bombe américaine destinée à Hiroshima scrupuleusement examinée en détails,à la loupe ,elle nous délivre beaucoup de mystères!Cette photo parle beaucoup …à qui cherche bien!
En fait ,pour qui sait observer,cette photo parle comme le témoin bavard d’un crime douteux!Une vraie
pièce à conviction!
De nombreuses pièces répertoriées sur la bombe elle-même,montrent clairement leur origine…allemande!
La bombe « Little Boy » qui tomba sur Hiroshima fut testée avec succès …par les Allemands…bien avant que les américains puissent tout comprendre …à grands frais!
La « trace de la filière allemande » est bien visible sur la bombe nucléaire lâchée sur Nagasaki.
Comment est-ce possible…autrement que si l’on s’est procuré ces pièces directement au fournisseur…via un intermédiaire?…et le meilleur intermédiaire possible ,côté américain,c’était Howard Bush lui-même ,le grand-père de Georges W. Bush!
Carte originale retrouvée dans les archives secrètes nazies montrant les effets d’une bombe de 18 kilotonnes sur le secteur de Ruegen …dès 1943!…2 ans avant Hiroshima!!!Alors que les américains étudiaient encore!
Et ce n’était qu’au mois de mai, après la capitulation allemande. Ce résultat représentait le fruit d’une course contre la montre, engagée en 1940 avec leurs homologues allemands pour la maîtrise de la fission nucléaire dans un but militaire.
Sollicité par trois physiciens hongrois ayant fui l’antisémitisme hitlérien, Leo Szilard, Edward Teller et Eugene Wigner, et même Albert Einstein s’y était lui même impliqué en signant dès 1939 une lettre où il était demandé au président Roosevelt de prendre au sérieux les possibilités d’emploi militaire de l’atome.
Alors que la guerre s’achève en Europe, il apparaît aux Américains que les inquiétudes soulevées en 1939 par Einstein et ses amis étaient sans fondement, les Allemands sont très en retard sur le plan des applications militaires de l’atome.
Le « plan Uranium » du Reich avait bien été mis en chantier en 1939, en vue d’étudier les réacteurs nucléaires et la séparation des isotopes ainsi que les possibilités d’explosions atomiques. Mais il n’impliquait pas plus de quelques dizaines de savants éparpillés sur l’ensemble du territoire. Et, de plus, nombre d’entre eux ne se consacraient pas exclusivement aux recherches nucléaires.
Comparativement, le plan Manhattan occupait lui des milliers de savants, ingénieurs et techniciens et disposait d’un budget colossal de plusieurs milliards de dollars.
A partir de ces données, les historiens ont conclu fort logiquement que le IIIe Reich était loin de pouvoir prétendre maîtriser le nucléaire.
Mais de nouveaux éléments viennent d’amener à reconsidérer cette idée toute faite.Les choses seraient à la fois plus compliquées et plus intéressantes.
Trois physiciens hongrois fuyant l’antisémitisme ont attiré l’attention du gouvernement américain sur les risques posés par le programme allemand de recherches nucléaires.De haut en bas : Edward Teller Leo Szilard et Eugene Wigner. Une fois l’Allemagne vaincue, Szilard ne voyait plus d’utilité à la bombe et, en juillet 1945, il fit circuler une pétition signée questionnant son usage contre le Japon.
L’approche historique des projets allemands visant à réaliser des armes nucléaires lors de la Seconde Guerre mondiale a évolué au fur et à mesure que de nouvelles sources devenaient accessibles.
Ainsi en 1992 les autorités britanniques rendaient disponible la transcription des conversations entre dix savants allemands internés en 1945 à Farm Hall près de Cambridge. Elles avaient été enregistrées secrètement. Or neuf d’entre ces chercheurs avaient été impliqués dans le plan Uranium (2). La nouvelle du bombardement d’Hiroshima sembla d’autant plus les surprendre que les savants allemands étaient persuadés d’avoir pris de l’avance sur les Alliés dans la course au nucléaire !Grâce aux Erich Bagge, Kurt Diebner, Walther Gerlach, Otto Hahn, Paul Harteck, Werner Heisenberg, Horst Korsching, Carl Friedrich von Weizsäcker, Karl Wirtz.
Albert Einstein
En 1940, le jeune et brillant Carl von Weizsäcker rejoint l’équipe de recherches dirigée par Werner Heisenberg.
Otto Hann et sa complice de travail,Lise Meitner seront grandement récompensés par la République Fédérale Allemande pour leurs travaux sur la bombe atomique allemande.Sur la photo,ils entourent Willie brant dans une cérémonie ou ils recevront le Prix de l’Hommage de l’Allemagne Unanime ,c’était le 14 mars 1959. Otto Hahn avait découvert la fission nucléaire et il fut horrifié quand ses gardiens anglais l’informèrent du bombardement atomique d’Hiroshima.Il se sentait personnellement responsable de la mort de ces centaines de milliers de civils.
De nouvelles pièces d’archives dérangeantes sont apparues en 2002 lorsque, dans le fonds Niels Bohr à Copenhague, on découvrit les brouillons de lettres, écrites à la fin des années 1950, où le savant rendait compte d’une visite effectuée en septembre 1941 par Heisenberg et von Weizsäcker dans le Danemark occupé. Après la guerre, les deux physiciens allemands avaient prétendu être allés à Copenhague tout simplement pour apporter leur aide à Bohr et obtenir sa collaboration afin de mener à bien leurs efforts visant à prévenir la fabrication d’armes nucléaires. Mais dans ces lettres Bohr contestait qu’il s’agisse d’aussi nobles motifs.
Une trouvaille récente dans les archives russes est venue enrichir la saga de l’atome allemand. Il s’agit en particulier de documents provenant de l’institut de physique Kaiser Wilhelm de Berlin. Parmi ces découvertes figurent quatre pièces majeures : un rapport officiel de von Weizsäcker effectué après un voyage à Copenhague en mars 1941 ; un projet de brevet rédigé par lui durant la même année ; un texte de brevet corrigé datant de novembre 1941 ; enfin le texte d’une conférence « grand public » donnée par Heisenberg en juin 1942.
Ces documents, ainsi que d’autres, ont été utilisés par Rainer Karlsch pour son livre controversé Hitlers Bombe .
*Hitlers Bombe, édité par Deutsche Verlags-Anstalt. c.f. aussi la revue Physics World d’avril 2005
Publié en mars 2005, cet ouvrage a ouvert un débat passionné visant à déterminer jusqu’où l’Allemagne était parvenue dans sa marche vers un armement nucléaire et si celui-ci était crédible.
Travaillant en collaboration avec le journaliste Heiko Petermann, Karlsch affirme qu’en mars 1945, une équipe de savants allemands aurait expérimenté un réacteur nucléaire et testé un « engin » dans l’est du pays, sur l’île de Rügen.
Le réacteur allemand à l’arrivée des GI américains.Totalement opérationnel!
Selon des témoignages oculaires, recueillis dès la fin de l’expérience et dans les deux décennies suivantes, l’essai aurait provoqué la mort de centaines de prisonniers de guerre et de détenus de camps de concentration. Bien que l’on n’ait pu établir si l’invention testée avait fonctionné de manière satisfaisante, on sait qu’elle était destinée à faire appel à la fission et à la fusion nucléaires.
Autrement dit, il s’agissait d’une arme atomique.
A la suite de la publication de Hitlers Bombe un autre document est sorti d’archives privées. Réalisée immédiatement après la fin de la guerre en Europe, cette pièce non-datée comprend les seuls plans connus d’une arme nucléaire allemande.
Samuel Goudsmith ,officier secret du Projet Paperclip.Il sait exactement ce qu’il cherche en Allemagne…et il va le trouver.Samuel Goudsmit avait parcouru l’Allemagne de long en large en 1945 avec la mission américaine Alsos pour étudier en détail chaque site consacré à l’atome afin d’en démonter les éléments utiles et en détruire les autres. Une des obsessions des Américains était de priver les Français de tout accès aux travaux allemands.
Qu’est-ce que les savants allemands savaient vraiment ?
Les hommes de Samuel Goudsmith en train de démonter et d’analyser le réacteur atomique allemand.
Au fil des années plusieurs auteurs sont arrivés à la conclusion qu’Heisenberg et ses collègues n’avaient pas compris le fonctionnement d’une bombe atomique. Parmi ceux-ci le physicien Samuel Goudsmit, qui publia en 1947 les résultats d’une enquête de l’armée américaine consacrée à l’effort allemand pour acquérir la bombe. En 1998, l’écrivain Paul Lawrence Rose concluait de même dans son livre « Heisenberg and the Nazi Atomic Bomb Project 1939-1945 ».
Il convient de préciser que Samuel Goudsmit avait parcouru l’Allemagne de long en large en 1945 avec la mission américaine Alsos pour étudier en détail chaque site consacré à l’atome afin d’en démonter les éléments utiles et en détruire les autres. Une des obsessions des Américains était de priver les Français de tout accès aux travaux allemands.
Les Allemands auraient-ils mené à bien l’essai d’une « bombe sale » au cours des dernières semaines de la guerre sur l’île de Rügen dans la mer Baltique ?
Oui,car une photo de l ‘événement est resté cachée dans les archives secrètes du Reich!
Ces auteurs prétendaient que les savants allemands n’avaient pas compris la réaction en chaîne qui permet à des neutrons émis par de l’uranium-235 ou du plutonium de provoquer la fission du noyau atomique. Goudsmit comme Rose déclaraient aussi que les Allemands n’avaient pas compris non plus que le plutonium pouvait constituer un explosif nucléaire.
Ces critiques mettant en avant l’incompétence des chercheurs allemands semblaient être confirmées par l’enregistrement des conversations de Farm Hall, révélant qu’Heisenberg apprenant la nouvelle d’Hiroshima aurait initialement réagi par un calcul erroné concernant la masse critique, avant de rectifier celui-ci dans les jours suivants . Par ailleurs il y a d’autres preuves démontrant que, quelque soit la réaction d’Heisenberg à Farm Hall, ses collègues et lui même avaient compris que la bombe atomique fonctionnait grâce à la réaction en chaîne et que le plutonium comme l’uranium-235 étaient des matières fissibles.
Il n’est peut-être pas inutile de rappeler ici que le physicien allemand Werner Heisenberg (1901-1976) s’est fait connaître par ses travaux sur la mécanique quantique de l’atome et a obtenu le prix Nobel en 1932. Il est passé principalement à la postérité dans le domaine de la physique nucléaire grâce à son « principe d’incertitude ». Quant à Otto Hahn (1879-1968), également prix Nobel (1944), il découvrit en 1938 la fission de l’uranium.Ceci ne semble pas conforter le point de vue de Goudsmit et Rose.
Ainsi, en février 1942, les responsables militaires des recherches en armement décrivaient les progrès du « plan Uranium » dans un rapport intitulé « Production d’énergie à partir de l’uranium », retrouvé dans les années 1980. Celui-ci concluait que l’uranium-235, qui ne comprend que 0,7 % de l’uranium naturel le reste étant composé d’U-238 non-fissible, constituait un explosif nucléaire un million de fois plus puissant que les explosifs classiques. Il déclarait aussi qu’une fois le réacteur nucléaire en service, il pourrait produire du plutonium qui constituerait un explosif de puissance comparable. La masse critique d’une telle arme était située « entre 10 et 100 kilogrammes », estimation comparable à celle effectuée par les Alliés le 6 novembre 1941 et que l’on retrouve dans l’historique officiel du plan Manhattan, dit « Rapport Smyth » (2 à 100 kg).
En juin 1942, le ministre Speer et les plus hauts responsables militaires assistèrent à une réunion où Heisenberg leur expliqua les potentialités d’une bombe nucléaire.La volonté de fabriquer une bombe atomique à des fins militaires part de là.
Le projet de brevet de von Weizsäcker de 1941, qui constitue peut-être la plus remarquable trouvaille des archives russes, fait apparaître sans équivoque que celui-ci avait compris à la fois les propriétés du plutonium et ses applications militaires possibles.
L’historien David Irving avait trouvé dans les archives de Commission américaine pour l’énergie atomique à Oak Ridge, l’original de la proposition de von Weizsäcker datée du 1er juillet 1940.Rien de neuf sous le soleil.
Quelles ont été les véritables raisons du bombardement d’Hiroshima et Nagasaki par les Américains ? L’argument traditionnel (épargner les vies américaines en rendant inutile un débarquement au Japon) ne résiste pas à l’examen. Le débat fait rage entre les historiens depuis que les Américains ont publiquement admis qu’ils connaissaient en détail les positions du gouvernement japonais grâce à l’interception et au déchiffrement de ses communications les plus secrètes.Nous reviendrons là-dessus!
Von Weizsäcker avait également établi clairement que le plutonium pouvait être utilisé pour fabriquer une bombe puissante et il écrivait « Par rapport à l’énergie dégagée pour une masse égale, cet explosif serait dix millions de fois plus puissant que tout autre (explosif connu) et seulement comparable à l’uranium 235 à l’état pur ». Et il développait sa théorie dans la suite du document.
Ce texte était de nouveau présenté le 3 novembre 1941 sous le titre « Production d’énergie et de neutrons et création de nouveaux éléments par la fission de l’uranium ou d’éléments lourds proches ».
Cette nouvelle présentation différait de la précédente en deux points significatifs.
D’abord le brevet n’était plus déposé au seul nom de von Weizsäcker, mais de l’Institut Kaiser Wilhelm dans son ensemble. Ensuite toutes les mentions relatives à un explosif nucléaire ou à une bombe avaient été supprimées.
Ceci peut correspondre à une évolution dans le déroulement du conflit mondial : en novembre 1941, la perspective d’une rapide victoire allemande s’éloignait, ce qui n’était pas le cas auparavant . L’explication peut aussi résider dans une baisse d’enthousiasme de von Weizsäcker et de ses collègues pour l’application militaire de la fission nucléaire. Ce qui pourrait justifier les déclarations d’après-guerre d’Heisenberg et von Weizsäcker selon lesquelles ils avaient rendu visite à Bohr en septembre 1941 car ils avaient des scrupules à travailler sur cette arme de destruction massive.
La volonté de fabriquer la bombe atomique aurait commencé ici:En juin 1942, le ministre Albert Speer et les plus hauts responsables militaires assistèrent à une réunion où Heisenberg leur expliqua les potentialités d’une bombe nucléaire.Ici une photo de Speer prise durant l’hiver 1942,lors d’un autre discours!
Rappelons que le 22 juin 1941 la Wehrmacht avait lancé avec un succès dépassant toutes prévisions sa grande offensive de Russie. A l’automne, celle-ci s’enlisait pourtant avant d’être bloquée par un froid précoce.
C’est la thèse chaudement défendue par Thomas Powers dans un ouvrage publié en 1993, intitulé Heisenberg’s War (« la Guerre de Heisenberg »).
Mais un autre document parmi ceux découverts en Russie – le rapport de von Weizsäcker concernant son voyage à Copenhague au printemps 1941 – laisse penser qu’à cette époque du moins les recherches sur l’uranium l’enthousiasmaient. Par ailleurs, on sait qu’après la guerre des savants travaillant au même institut que Bohr ont accusé leurs deux collègues allemands d’être venus au Danemark dans un but d’espionnage. Il pourrait y avoir là une part de vérité dans la mesure où en mars 1941, alors que l’Allemagne n’avait pas encore envahi l’Union soviétique et devait selon toute probabilité gagner la guerre , von Weizsäcker écrivait au commandement militaire :
Jusqu’à l’invasion de l’Union soviétique, seul le Royaume-Uni faisait encore face au IIIe Reich en position d’assiégé dans ses îles. Le Danemark était lui dans une situation particulière : occupé sans combats en 1940, son souverain le roi Christian X n’avait pas quitté le pays où il pratiquait la résistance passive.
« On n’a pas entrepris à Copenhague de produire de l’énergie par fission de l’uranium. On y sait qu’en Amérique Fermi a lancé des recherches dans ce domaine, mais il n’y a pas de nouvelles informations de parvenues depuis le début de la guerre. Manifestement le professeur Bohr ignore que nous travaillons sur ces questions et bien sûr je l’ai conforté dans cette idée… La collection de la publication américaine Physical Reviews était complète à Copenhague jusqu’au numéro du 15 janvier 1941. J’ai rapporté des photocopies des plus importants articles. Nous avons pris des dispositions pour que l’ambassade d’Allemagne photocopie (fasse des photographies )des numéros à venir ».
Ceci ressemble en effet très fort à du renseignement scientifique effectué grâce à la « documentation ouverte ».
Le livre de Rainer Karlsch « Hitler’s Bombe » rappelle ce qui était déjà connu sur les travaux de recherche nucléaire effectués par les Allemands pendant la guerre et fait appel à des documents tirés des archives russes, à des témoignages oraux comme à l’archéologie industrielle, pour ouvrir de nouvelles voies dans ce domaine historique.
Durant la majeure partie du conflit deux équipes ont travaillé concurrentiellement sur les réacteurs nucléaires : l’une implantée à Gottow près de Berlin avait à sa tête un physicien militaire (donc peu médiatisé), Kurt Diebner ; l’autre regroupant des chercheurs dirigés par Heisenberg opérait à Leipzig et Berlin.
En effet, contrairement à son « concurrent » et aux camarades de détention de celui-ci à Farm Hall, Diebner est ignoré des dictionnaires et encyclopédies généralistes.
Alors que les expériences menées par Heisenberg utilisaient des couches d’uranium alternant avec un isolant, l’équipe de Diebner faisait appel à une technique supérieure avec des cubes d’uranium noyés dans l’isolant. Heisenberg n’a jamais voulu reconnaître les mérites de Diebner et des chercheurs travaillant avec lui, mais le prix Nobel utilisa la technique de son concurrent pour sa dernière expérience, effectuée à Haigerloch dans le sud-ouest de l’Allemagne.
Grâce à Karlsch on sait désormais que Diebner s’était arrangé pour effectuer une dernière expérience vers la fin de la guerre. Mais les détails sur cet essai manquent de clarté.
Après avoir réalisé une série de mesures, Diebner écrivit une courte lettre à Heisenberg le 10 novembre 1944, l’informant de l’expérience en suggérant qu’il y avait eu des problèmes avec le réacteur. Malheureusement l’on n’a pas retrouvé d’autres documents concernant cette dernière expérimentation du réacteur de Gottow.
Les investigations d’archéologie industrielle effectuées sur le site en 2002 et 2003 laissent penser qu’une réaction en chaîne au moins brève s’est produite, entraînant la mise hors service du réacteur.
L’histoire ne s’arrête pas avec la guerre : en 1955 Diebner déposait un brevet pour un nouveau type de réacteur nucléaire, qui manifestement était issu des recherches qu’il avait effectuées à la fin du conflit et particulièrement de sa dernière expérience.
En décembre 1943, Walther Gerlach fut placé par Gœring à la tête de la recherche allemande en physique.
Autre révélation du livre de Karlsch, encore plus surprenante : une équipe de chercheurs dirigée par Diebner aurait réalisé et expérimenté une arme nucléaire avec le ferme soutien de Walther Gerlach. Ce dernier était un expert en physique nucléaire, chargé en 1944 du « plan Uranium » pour le Conseil de la recherche du Reich. Il semble que Hahn, Heisenberg, von Weizsäcker et la plupart des savants réputés travaillant au « plan Uranium » ignoraient l’existence de cette arme nouvelle.
Il s’agissait d’un système faisant appel aux réactions de fission nucléaire, sans pouvoir être pour autant qualifié de bombe « atomique » comme celles utilisées contre Hiroshima et Nagasaki. Et bien qu’il soit aussi destiné à faire appel à la fusion nucléaire, il n’aurait rien eu à voir avec les bombes « à hydrogène » expérimentées par les Etats Unis et l’Union soviétique dans les années 1950.
A leur différence, des explosifs brisants classiques étaient disposés en charge creuse et non en masse compacte pour concentrer l’énergie et la chaleur en un point situé au centre. L’arme, qui faisait appel à l’uranium enrichi, était à considérer comme tactique plutôt que stratégique et n’aurait de toutes façons pas pu gagner la guerre.
Néanmoins on ignore l’efficacité du système et comment les réactions de fission et de fusion étaient effectivement provoquées.
Mais l’important est qu’une petite équipe de chercheurs travaillant dans les derniers mois de la guerre aurait essayé d’aboutir.
Peu après la fin de la guerre en Europe, un savant allemand ou autrichien dont on ignore le nom a rédigé un rapport décrivant les recherches concernant la bombe effectuées durant le conflit.
C’est encore Rainer Karlsch qui a découvert ce document, mais après la publication de son ouvrage. On y trouve des informations fiables et des spéculations qui le sont moins, qui pourraient provenir en partie du « plan Manhattan » lui même. Ainsi l’emploi du mot « plutonium » .
Le 6 aout 1945,le bombardement d’Hiroshima.
Si la bombe lancée sur Hiroshima utilisait l’uranium-235, celle qui fut larguée quelques jours plus tard sur Nagasaki faisait appel au plutonium.
Le 9 aout 1945,ce fut le tour de Nagasdaki…afin d’essayer un nouveau type de bombe.
Malheureusement il manque la page de garde du rapport et l’on ne sait qui en est l’auteur. A moins que cette disparition soit volontaire ? L’étude du document permet néanmoins de supposer que son rédacteur n’était membre ni de l’équipe principale travaillant sur le « plan Uranium », ni de celle de Diebner.
Schéma de la bombe.
Ce rapport démontrerait que le fait que l’uranium puisse être utilisé pour la fabrication de nouvelles armes de destruction massive était bien connu de la communauté scientifique allemande durant la guerre. Il comprend aussi le croquis d’une arme nucléaire, mais encore loin d’un véritable plan de « bombe atomique ».
L’auteur inconnu fixe la masse critique à un peu plus de 5 kilogrammes pour une bombe au plutonium. Il s’agit d’une estimation raisonnable, dans la mesure où l’utilisation d’un réflecteur pour renvoyer les neutrons vers le plutonium permettait de diviser la masse critique par deux. Ceci est d’autant plus intéressant que ces détails ne figurent pas dans le « Rapport Smyth ».
Ce rapport récemment découvert présente un autre intérêt : il démontre que les savants allemands avaient effectué des recherches intensives sur les problèmes théoriques concernant la fabrication d’une bombe à hydrogène.
Ceci est confirmé par deux autres sources :
Les archives d’Erich Schumann, directeur du Service d’étude des armements militaires, comportent de nombreux documents et calculs théoriques concernant la fusion nucléaire.
Le physicien viennois Hans Thirring a de son côté traité de ces sujets dans un ouvrage publié durant l’été 1946, donc juste après la fin de la guerre et intitulé « Die Geschichte der Atombombe. Mit einer elementaren Einführung in die Atomphysik ».
Le dernier mot n’est pas dit
Von Weisacker,le penseur de la bombe allemande.
Voici des décennies que les historiens et les scientifiques discutent pour savoir si Heisenberg et von Weizsäcker voulaient fabriquer une bombe atomique.
Or les nouveaux éléments que nous venons de présenter pourraient modifier la vision antérieure de l’affaire des armes nucléaires allemandes.
Et aucun d’entre eux ne va dans le sens de la théorie selon laquelle Heisenberg et ses collègues auraient été des « résistants » (hypothèse Powers) où incapables de sympathies pour le régime nazi (hypothèse Rose).
Il est évident que toute personne désirant poursuivre sa carrière quelle qu’elle soit après guerre avait intérêt à prendre ses distances avec le régime déchu.
Farm Hall,centre de l’Opération Epsilon (L’opération Epsilon était le nom de code d’un programme dans lequel les Alliés à l’approche de la fin de la Seconde Guerre mondiale détenaient 10 scientifiques allemands dont ils pensaient qu’ils avaient travaillé sur le programme nazi de bombe atomique. Ces scientifiques furent capturés entre le 1er mai et le 30 juin 19451 et internés à Farm Hall, une maison mise sur écoute à Godmanchester, près de Cambridge en Angleterre du 3 juillet 1945 au 3 janvier 19462. Le but premier de ce programme était de déterminer l’avancée de l’Allemagne nazie dans la fabrication d’une bombe atomique en écoutant leur conversation. Les scientifiques étaient : Erich Bagge Kurt Diebner Walther Gerlach Otto Hahn Paul Harteck Werner Heisenberg Horst Korsching Max von Laue Carl Friedrich von Weizsäcker Karl Wirtz
En revanche, ces documents ajoutés aux « révélations » de Karlsch présentent les deux savants allemands sous un nouveau jour, en mettant en évidence leur attitude ambiguë vis-à-vis des armes nucléaires.
Continuant à travailler sur les réacteurs nucléaires et la séparation des isotopes, tout en hésitant à mettre les armes nucléaires à la disposition des dirigeants nazis, les deux savants précités n’ont pas fait tous les efforts nécessaires pour aboutir dans leurs recherches. D’autres l’ont fait, tels Walter Gerlach et Kurt Diebner avec son équipe.
Il serait néanmoins prématuré de conclure qu’après ces nouvelles découvertes le dossier de l’arme atomique allemande peut être définitivement refermé.
L’explosion du 12 octobre 1944,sur l’île de Ruegen.Des centaines de prisonniers mourront dans des camps de concentration,suite aux retombées radioactives!Les américains se présenteront comme étant les « vrais » inventeurs de la bombe,face au Monde Entier!..un autre mensonge propagé par les vainqueurs de la guerre!
Le 12 octobre 1944
Contre toute attente ,les physiciens allemands ont assez d’eau lourde et d’isotopes pour mettre à l’essai leur première bombe atomique.Leur choix s’arrêtera enfin sur l’Île de Rügen,en mer du Nord.Des notes retrouvées près de la seule photo existante prise lors de cette explosion ( un rapport que j’ai personnellement reçu de l’affaire indique que le photographe de l’événement serait mort sur le coup),font état de plusieurs centaines de personnes mortes dans des camps de travail et d’une grande destruction accompagnée de retombées radioactives intenses.
Études allemandes montrant les effets d’une explosion atomique centrée sur …l’île de Rügen!
L’histoire officielle niera tout!Le rationalisme combiné au patriotisme américain fera en sorte qu »on effacera d’un trait la vérité sur la découverte et la mise au point de la bombe atomique par l’Allemagne nazie et la menace extraordinaire qu’elle faisait peser sur le monde lui-même.
Himmler er Dornberger en visite à Peenemunde afin de rencontrer les savants atomistes allemands …en grand secret.Le besoin d’un porteur pour la bombe se fit sentirLe porteur accepté par la Luftwaffe fut le Junker 393.Seulement 2 prototypes eurent le temps de voler avant la défaite allemande.Il aurait été meilleur que le B-29.Sa saisie permettra d’améliorer le B-29,particulièrement la soute à bombe …conçue pour une lourde bombe atomique.
Les apprentis-sorciers auraient pu devenir des démons ,voire des « Cavaliers réels de l’Apocalypse »,laissant la mort en héritage ,à la place de la frénésie des années ’50!
Aujourd’hui,si nous recherchons l’Île de Rügen sur internet,nous verrons une multitude de place touristiques,dont les propriétaires capitalistes vont vouloir vous pendre si vous osez parler de la bombe atomique allemande qui jadis explosa sur place!
Au diable l’histoire et la santé des gens,vive les profits …et fermez-la!
Nous vivons dans un monde qui veut faire mourir la vérité sur l’hôtel du capitalisme sauvage!
L’horreur d’Hiroshima et de Nagasaki
Le bombardier B-29,l’outil du meurtre
Dans les décombres d’Hiroshima.
Au printemps de 1945,la situation du Japon était devenue catastrophique.Les attaques aériennes des Alliés détruisaient les voies ferrées,les routes et les ponts à une cadence trop rapide pour qu’on puisse les remettre en état.Des cités et des villes n’étaient plus que des ruines fumantes;des millions de personnes étaient sans abri;les vivres manquaient partout.Les avions américains avaient achevé d’anéantir la flotte japonaise.
Yosuke Yamahata,le photographe qui aura la présence d’esprit de prendre des photos qui seront censurées pendant plus de cinquante longues années…surtout aux Etats-Unis d’Amérique qui chercheront à minimiser l’impact sur la population japonaise!Sa témérité lui contera la vie quand vingt ans plus tard ,on diagnostiquera un cancer du duodénum :un cancer malin qui le tuera!
Cependant,le haut commandement refusait de déposer les armes et se promettait de combattre jusqu’à la mort.Les militaires affirmaient qu’ils allaient gagner une bataille décisive.Le général Korechika Anami,ministre de la Guerre,jurait que les américains seraient chassés d’Okinawa.
J’ai de nombreuses photos inédites de l’événement,mais elles sont très dures à regarder.Elles frappent l’imagination!Je vais donc me limiter ici par quelques photos représentatives de l’horreur d’Hiroshima. À mon avis,ces deux photos illustrent la situation à merveille:à gauche la destruction totale de l’environnement de la ville;à droite,une femme qui allaite son enfant irradié qui s’accroche à la vie!
Un petit groupe de diplomates s’opposaient aux militaires et estimait qu’une lutte désespérée pouvait être plus néfaste au Japon qu’une capitulation immédiate.Ceux-ci espéraient que les exigences alliées n’iraient pas jusqu’à la reddition inconditionnelle et entamèrent avec l’Union Soviétique ,alors encore neutre à l’égard de leur pays,des pourparlers secrets afin de s’assurer ses bons offices pour la conclusion de la paix.
Le centre de l,explosion est le dôme de cet édifice sur lequel le navigateur du B-29 pointa son tir pour que la bombe éclate là,à 500 mètres juste au-dessus.
Le 3 juin 1945,l’ex-Premier ministre Koki Hirota alla trouver l’ambassadeur russe Jacob Malik.Malik accueillit avec réserve ses ouvertures.Le 12 juillet,l’empereur confiait au prince Konoye un message personnel pour demander la paix.Konoye avait pour instructions de se rendre à Moscou en avion et de mettre à tout prix un terme aux hostilités.Mais Staline et le commissaire aux Affaires étrangères Molotov se dérobèrent sous le prétexte qu’ils étaient absorbés par les préparatifs de la conférence de Postdam.
Conférence de Postdam:Attlee,Truman et Staline.
À Postdam,Staline avisa négligemment le président Truman que les japonais avaient abordé le sujet de la négociation de la paix;il ajouta qu’il avait repoussé ces avances dont il mettait en doute la sincérité.
L’ultimatum de Postdam au Japon fut rendu public le 26 juillet 1945.Signé par les États-Unis,la Grande-Bretagne et la Chine,il mettait le Japon en demeure de choisir entre la capitulation et l’écrasement final.Les dirigeant japonais éprouvèrent une grande joie en constatant que les conditions posées à leur pays étaient beaucoup plus modérées qu’ils ne s’y attendaient.Les Alliés s’engageaient à ne pas détruire le Japon en tant que nation et à permettre aux japonais de choisir librement leur propre gouvernement.D’autre part,on pouvait croire que l’empereur resterait sur le trône.
Il n’y avait pas assez de fours crématoires pour brûler les cadavres.
L’empereur déclara sans hésitation au ministre des Affaires étrangères Shigenori Togo qu’il trouvait la déclaration de Postdam acceptable.Le Conseil Impérial se réunit alors au complet pour discuter de l’ultimatum des alliés.
J’ai étudié avec soin de nombreux documents relatifs à cette séance dramatique du Conseil Impérial japonais et tous attestent unaniment que la décision arrêtée en cette chaude journée du 27 juillet 1945 était favorable à la paix.Le ministre de la Guerre Anami et les chefs d’état-major s’opposèrent violemment à l’acceptation des conditions de Postdam,mais ils n’obtinrent pas gain de cause.
Les victimes se rencontraient partout…brulées ,irradiées!
Il subsistait,cependant,plusieurs difficultés.Que convenait-il de faire quant aux négociations avec les russes en vue de la reddition?Deux jours seulement s’étaient écoulés depuis que la dernière proposition avait été envoyée à Moscou.
Le Conseil Impérial devait aussi tenir compte d’un autre facteur:jusqu’alors,les japonais n’avaient eu connaissance de la déclaration de Postdam qu’à travers les émissions radiophoniques captées par leurs postes d’écoute.Le gouvernement pouvait-il agir en se fondant sur des informations aussi peu officielles?
Un drame qui restera marqué dans les chairs et dans les esprits des humains.
Il paraissait probable qu’on serait bientôt en mesure d’annoncer l’acceptation des conditions des Alliés.Dans l’intervalle,le Premier-ministre Kantaro Suzuki qui devait tenir le lendemain une conférence de presse s’attendait à être assailli de questions par des journalistes japonais sur cette déclaration.On décida que Suzuki se bornerait à dire que le Conseil Impérial n’avait pris aucune décision à l’égard de l’ultimatum.Le fait que les ministres ne les rejetaient pas laissait entendre clairement au peuple japonais ce qui se préparait.
« Le gouvernement n’avait pas l’intention de repousser les demandes des Alliés »,attesta Kawai.
À la conférence de presse du 28 juillet,le Premier-ministre Suzuki déclara que le Conseil Impérial adoptait provisoirement une politique de mokusatsu .Ce mot,dont il n’existe d’équivalent dans aucune langue occidentale,est ambigu même en japonais.Il peut aussi bien traduire une fin de non-recevoir qu’exprimer la volonté de s’abstenir de tout commentaire.
Par malheur,les traducteurs employés par l’agence d’information Domei n’avaient aucun moyen de savoir quelleacception correspondait à la pensée de Suzuki.Dans leur traduction rapide en langue anglaise,ils commirent une erreur d’interprétation.Depuis les pylônes de Radio-Tokyo,les ondes diffusèrent à travers l’univers allié la nouvelle que le cabinet Suzuki avait résolu d’ignorer l’ultimatum de Postdam.
Le sens qu’on attribua hors du Japon à ce communiqué ressort clairement du titre qui s’étalait dans le numéro du New York Times du 28 juillet 1945: La flotte attaque à l’heure même ou Tokyo rejette les conditions de paix.
Le reste appartient à l’histoire « connue ».Feu Henry Stimson,alors ministre de la Guerre des États-Unis,a révélé dans son rapport sur les circonstances qui entraînèrent ,en définitive,la décision d’utiliser la bombe atomique,que la fausse interprétation du mot mokusatsu est directement à l’origine de la « démonstration atomique » d’Hiroshima. »Le 28 juillet ,écrit Stimson,le Premier ministre japonais,M.Suzuki,rejetait l’ultimatum de Postdam…Étant donné cette fin de non-recevoir,il ne nous restait plus qu’à prouver que la menace contenue dans l’ultimatum n’était pas vaine…À cette fin,la bombe atomique était une arme appropriée. »
Mais prenez garde mes ami(e)s car cette version se l’affaire ressemble étrangement à la « balle magique » dans l’assassinat de John F. Kennedy:elle ressemble à une fable,à une tentative de falsifier les autres raisons qui restent cachées dans l’ombre en ce qui touche la décision de lâcher la bombe atomique.L’une de ces raisons est difficile à admettre pour les divers gouvernements qui se sont succédé aux États-Unis:il s’agit entre autres de la rentabilité « financière » du Projet Manhattan.
Pendant des mois,les divers groupes d’intérêts à l’intérieur des Forces Armées américaines étaient jaloux des énormes budgets accordés par décret directement à ce projet,à cette arme de destruction massive.En juillet 1945,de nombreuses fuites avaient minées le secret de ce gigantesque projet et les politiciens,les généraux,les collaborateurs et les médias renseignés sur l’affaire demandaient des comptes au gouvernement Truman « au nom des payeurs de taxes américains ».Il fallait trouver une raison pour utiliser cette fameuse bombe afin d’éviter que la guerre se termine sans l’utiliser,car cela serait devenue une terrible patate chaude …aux prochaines élections américaines.
Une vaste conjuration du silence s’était établie entre Truman,Churchill et Staline afin d’éviter à ce que les japonais puissent se rendre avant d’utiliser cette arme diabolique.La non-coopération des russes dans l’effort de médiation demandé par l’empereur nous montre clairement qu’il y a eu complot entre ces deux dirigeants politiques.L’un deux ,se verra décerné le tître du « président de la Victoire »(Truman),et l’autre,le vrai vainqueur de la guerre,se verra donné le tître de « Petit Père des Peuples »(Staline).
Le vrai responsable du financement de cette « victoire »,ce sera Churchill,l’homme aux gros cigares.Le financement de toute cette affaire sera garanti par l’or anglais mis en sécurité au Canada,durant les heures sombres de la Guerre d’Angleterre.
Le banquier responsable de ce transfert avait pour nom Rothschild.
Tous ces acteurs ont ceci en commun: ils sont tous manipulés ou proviennent du milieu des sociétés secrètes.
C’est donc pour des décisions prises dans des bureaux fermés par des ‘illuminés » que seront sacrifiés les femmes,les enfants et les vieillards sans défense d’Hiroshima et de Nagasaki afin que le Nouvel Ordre Mondial puisse prendre son envol et c’est pourquoi que les photos de Yosuke Yamahata seront censurées pendant pratiquement soixante longues années:il fallait éviter que le peuple humain puisse un jour apprendre la vérité afin que nous continuons toujours de vivre dans le même paradigme,car ainsi nous ne risquons pas de nous éveiller et de réclamer notre liberté!
Cette longue recherche confirme ce que j’ai toujours écrit:la liberté implique la vérité!
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P.S.
Je dédie cette recherche et ce texte à tous les chercheurs et diseurs de vérité qui furent les précurseurs de l’éveil,de la Quête de Vérité que nous connaissons maintenant.Je parle de Jimmy Guieu,d’Aimée Michel,de Robert Charroux,de Guy Tarade,de Jean sendy,d’Éric von Daniken,de James Chuchward, de henry Duran et de combien d’autres encore qui furent mes précurseurs .
Un vidéo accompagnera ce texte et j’espère que vous l’apprécierai.
J’ai tellement aimé écrire cet article que j’en ai rêvé!
Alsos était une mission de veille scientifique lancée par les Alliés à l’automne 1943 afin de déterminer l’état d’avancement de la recherche allemande sur la bombe atomique. Avec le suspense d’un thriller, Goudsmit racontera les circonstances qui ont mené à la mission, les méthodes utilisées à ses participants de faire leurs détectives scientifiques, et la réaction des scientifiques allemands le jour de la bombe atomique est tombée sur Hiroshima.
Samuel Goudsmit est né aux Pays-Bas et en 1925, lui et son collègue étudiant George Uhlenbeck ont découvert le spin de l’électron. En 1927, il émigre aux États-Unis, travaille à l’Université du Michigan, puis au MIT avant d’être détaillé au ministère de la Guerre afin de participer à la Mission Alsos. Il a servi en tant que chercheur principal au Brookhaven National Laboratory de 1954 à 1970 et fut le fondateur de la revue Physical Review Letters.
Chronologie de la bombe atomique …et activités diverses
Janvier 1933 : les nazis prennent le pouvoir en Allemagne.
(Date non précisée)en 1936: le fameux « Crash Ovni de Freiburg » ,en Forêt Noire,Allemagne.
Été 1938: Départ de la mission du Schwabenland vers l’Antartique.
Décembre 1938 : Otto Hahn, Lise Meitner et Fritz Strassmann découvrent la fission nucléaire.
2 août 1939 : Einstein met le président américain Roosevelt en garde à l’égard des dangers de la recherche allemande.
1er septembre 1939 : invasion de la Pologne par l’Allemagne et lancement du « plan Uranium ».
3 septembre 1939 : déclaration de guerre à l’Allemagne par le Royaume-Uni puis par la France.
1941 : von Weizsäcker élabore un projet de brevet concernant une bombe au plutonium.
Mars 1941 : von Weizsäcker rencontre le savant danois Bohr à Copenhague.
22 juin 1941 : invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne.
Septembre 1941 : von Weizsäcker retourne voir Bohr en compagnie d’Heisenberg.
6 décembre 1941 : lancement du « plan Manhattan » à Los Alamos.
7 décembre 1941 : les Japonais attaquent Pearl Harbour.
8 décembre 1941 : les Etats Unis entrent en guerre.
Février/juin 1942 : Heisenberg fait des exposés de vulgarisation sur les armes nucléaires.
Décembre 1943 : Bohr visite Los Alamos.
12 octobre 1944:une bombe atomique allemande explose à l’île de Rügen (Mer du Nord),faisant plusieurs centaines de morts dans un camps de concentration.Les retombées radioactives sont très élevées.
Mars 1945 : un engin hybride fusion/fission aurait été testé par les Allemands en Thuringe.
7 mai 1945 : capitulation de l’Allemagne…en Europe!
16 juillet 1945 : aux Etats-Unis, première explosion nucléaire mondiale (expérience Trinity)…un grand show américain.
6 août 1945 : lancement par un B-29 d’une bombe atomique sur la ville japonaise d’Hiroshima.
9 août 1945 : …et sur Nagasaki.
14 août 1945 : capitulation du Japon et fin de la Seconde Guerre mondiale…sur papier!
…à partir de fin 1945,de nombreux u-boats sont aperçus près de l’Antartique!
…ensuite « L’Opération Highjump », « L’Affaire Roswell »,…la rencontre de George Adamsky,…mais les livres d’histoires dans les écoles « officielles » restent muets!
Ce sont des « écrivains rationalistes » à la solde des vainqueurs des guerres qui écrivent les livres d’histoires!
Donc apprenons la Vérité à nos enfants pour qu’ils prennent la relève des Combattants de la Liberté …d’une Ère Nouvelle…qui se débarrassera du Nouvel Ordre Mondial.
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APPEL À L’INSURRECTION MONDIALE
Il y a 70 ans aujourd’hui que le meurtre collectif de populations civiles japonaises est entré dans l’histoire de l’humanité.
Par solidarité avec le peuple japonais,refusons la version écrite par les américains et les rationalistes.Levons nous pour demander la fin des guerres impérialistes et la démission des gouvernements corrompus de notre planète!
Vive la Révolution Mondiale!
Vive le Mouvement Mondial de Désobéissance Civile!
Vive la vie et le respect des écosystèmes de notre Terre!
En 2015,nous n’avons plus besoin des bombes pour détruire l’humanité et toutes les autres formes de vie ,car Fukushima va réussir à tout anihiler!
Belozero – Russie ( 15 août 1663 ) Extrait du rapport du monastère St Cyrille: « Le paysan Levka Fedorov du village de Mys m’a dit ce qui suit: … de diverses terres et de divers domaines se tenaient des gens à la messe,… en grande foule.. et à ce moment-là retentit, venant des cieux, un bruit très fort et beaucoup de gens sortirent sur le parvis et virent… du côté hivernal du plus clair des cieux, non d’un nuage, sortit un grand feu sur Roboziero et se dirigea vers le Midi, le long du lac, au-dessus de l’eau et avait cette flamme vingt sagènes (1 sagène = 2,13 m) et davantage de toutes parts, et une fumée bleue était à côté et devenant la flamme, sur vingt sagènes, deux rayons de feu aussi … et du grand feu et des deux flammes plus petites, plus rien ne fut. Après une heure environ, le même feu revint à nouveau sur le lac, de la place même où il avait la première fois disparu et alla du midi vers l’ouest sur une demi-verste (1 verste = 1.066m) et disparut de la même manière. La troisième fois ce feu devint plus effrayant que la première par sa grandeur et par la suite s’en alla vers l’ouest. Et resta en tout sur Roboziero, ce feu, au-dessus du lac, environ une heure et demie et ledit lac à deux verstes en long et une en travers… Sur le lac naviguaient des paysans dans une barque et la flamme de ce feu était si brûlante qu’ils ne purent s’en approcher. Et le lac lui était éclairé jusqu’au fond, au plus profond, au centre il, ce lac, quatre sagènes et le poisson qui s’enfuyait vers les rives, tous l’ont vu et en dessous du feu, l’eau devenait par la flamme, comme couverte de rouille.
Leipzig – Allemagne ( 23 mars 1665 ) Il y aurait eu une chute tellement abondante de filaments de soie bleue, que des champs entiers en furent recouverts. Ces filaments seraient tombés du ciel et s’accrochaient aux pieds des hommes et des animaux. (Inforespace n° 52 – 1980, p. 3)
Mer dans la Manche ( 8 février 1672 ) » A une heure après mydy par le temps du monde le plus serain, s’est apparue à nous une estoille au-dessus de nostre teste, environ de la longueur de quinze pieds. De là est allée tomber du costé du nort, lessant une fumée qui s’est formée en deux navirs avec chacun leurs deux hunières et la mizene et leurs grandes voiles serrés et envergés, ayant tous deux le devant au sus. Celuy du nort estoit plus grand que celuy du sus. Et comme ils alloient ainsy, ils se sont séparés environ de quatre pieds de large l’un de l’autre, au milieu desquels s’est formé un autre navire, paroissant plus gros que les autres, tout noir, nous monstrant le derrière et tournant le devant au nort, sans aucune voile mais pourtant garny de ses mas, vergues et cordages, comme s’il avait esté à l’ancre. Ce qui nous a paru l’espace d’une grosse demi heure. Et puis après, s’estant point ensemble, se sont dissipés en allant du costés du sus sans en lesser aucune marque…
Nous sommes surveillés depuis longtemps,il semble!
Grenade – Espagne ( 1677 ) Pierre Boutard, officier à bord du brûlot » La Maligne » note dans le livre du bord: » le jeudy 30ème décembre 1677 le matin su les 4 heures, nous avons veu unne estoille o nord/ouest 1/4 d’ouest et a finy du suest 1/4 d’est, mais portant une grande lumière que nous croyons tous dens nostre bord que le feu fut partout, mais elle estoit acompengnée de plus de 200 rayons portant tous un clerté sans pareille, que nous estions tous esperdus. Nous mouliame sur les 9 ou 10 heures du matin à la pettite rade de la Grenade ».
Crosford, Nanark – Ecosse ( juin et juillet 1686 ) Du chroniqueur Patrick Malker: » … près le bac de Crosford, deux miles au-dessous de Nanark et particulièrement aux Mains, sur la rivière de la Clyde, une grande foule se rassembla plusieurs fois l’après-midi. Il y avait là une pluie de bonnets, de drapeaux, de fusils et d’épées. Les arbres et le terrain en étaient couverts. Des compagnies d’hommes armés marchaient en ordre le long de la rivière , des compagnies rencontrant des compagnies se ruaient les unes contre les autres et tombant à terre, disparaissaient. D’autres réapparaissaient immédiatement et marchaient dans la même direction… ceux qui avaient vu étaient saisis d’une telle frayeur et d’un tel tremblement que ceux qui n’avaient pas vu en étaient troublés ».
Kunmin ( province de Yun’nan ) – Chine ( 1688 )
Notes du Gu-Sheng, chap. 6: » Entre la fin du printemps et le début de l’été de l’an vingt-sept sous le règne de l’empereur Kangxi de la dynastie des Qing, mon beau frère Bixilin se rendit chez lui dans les montagnes à 20 kilomètres de la ville de Kunmin. Pendant son séjour, il vit chaque midi, lorsqu’il faisait beau, un grand couvercle jeune comme un parapluie monter lentement d’une crête. Cette chose jetait de brillantes lumières qu’il n’osa pas regarder en face. Elle prenait de la hauteur et pénétrait dans les nuages. Peu après elle descendait, toujours lentement, pour remonter et redescendre de la même façon. Quand la nuit tombait, l’objet volant perdait l’éclat de sa couleur jaune et devenait plus pâle et flou. Il disparaissait complètement lorsque le ciel devenait noir « .
Pays de Galles – Grande Bretagne ( 1692 )
D’après » Morden’s Atlas of Wales « : « une exhalation ardente traversa la mer et mit le feu à des meules de foin, aux champs de blé et à des granges, tout près de Harlech. Cette chose infecta l’herbe mais elle n’était pas dangereuse pour les hommes, même pour ceux qui se sont trouvés au beau milieu d’elle. Cela se produisait toujours à la nuit tombée, le plus souvent un samedi ou un dimanche, et cela dura pendant quelques mois. La seule façon de l’éteindre et la faire fuir était de sonner d’une corne de chasse ou de tirer des coups de fusil… »
Dolgelly ( Pays de Galles ) – Grande Bretagne ( janvier 1694 ) Le curé de Dolgelly rapportait que » seize meules de foin et deux granges avaient été brûlées par une sorte de vapeur enflammée que l’on voit souvent venir de la mer… »
Hambourg – Allemagne ( 4 novembre 1697 ) Une sorte d’énorme sphère très lumineuse, survola lentement Hambourg et d’autres villes du nord-ouest de l’Allemagne.
Hambourg – Allemagne ( 1697 ) Cette image montre un OVNI sur Hambourg le 4 novembre 1697. Les objets ont été décrits comme « deux roues rayonnantes » par la population.
Avignon – France ( 1699 ) Extrait de » L’histoire du diocèse d’Avignon » par l’abbé Granget: « Arrivé près de l’oratoire qui se trouve vis à vis de la chapelle de Notre Dame Ste Garde (St Didier, Vaucluse) je vis le ciel s’ouvrir, une grande lumière parut et bientôt j’aperçus trois globes de feu. Celui du milieu était élevé au-dessus des autres. Voilà me dis-je, les lumières dont on m’a parlé. Aussitôt je tombai à genoux et je bénis Dieu d’une si grande merveille. En même temps, deux nouvelles lumières apparurent mais un peu au-dessus de l’endroit où est la chapelle. Je m’avançai jusqu’à l’oratoire où se trouve représenté le mystère de la Résurrection de Jésus-Christ. Les deux globes s’unissent alors à celui du milieu et disparaissent.
Dolus ( Oléron ) France ( mardi de Pâques 1705 ) Pendant une procession on vit en l’air une croix lumineuse. Elle était longue d’environ 50 coudées et précéda la procession pendant près de deux heures. Elle s’arrêtait quand la procession s’arrêtait et disparut quand celle-ci entra dans l’église. Le temps était chaud, sans nuage, sans vent. La croix était presque couchée d’orient en occident; le pied était fort long. Plus de mille personnes la virent.
Upminster ( Essex ) – Grande Bretagne ( 3 avril 1707 ) William Derham vit un objet de forme pyramidale de couleur rouge. Il surgit environ un quart d’heure après le coucher du soleil.
Roumanie ( 5 février 1709 ) Un grand signe est apparu dans le ciel le 5 février, un vendredi. Deux larges colonnes de feu apparurent, l’une à l’ouest, l’autre à l’est et elles se déplacèrent jusqu’à former la lettre A. Elles se réunirent ensuite et se transformèrent en arc en ciel émettant une forte luminosité pendant trois heures avant de disparaître.
Leeds ( Yorkshire ) – Grande Bretagne ( 18 mai 1710 ) Vers 21 h 45 Ralph Thoresby vit au-dessus de Leeds un objet » ressemblant à une trompette « .
Séville – Espagne ( 7 juin 1712 ) A la mort de la révérende mère Thérèse de Jésus du couvent de l’Assomption , il y eut de nombreux témoignages disant qu’au moment de sa mort une grande masse de lumière pyramidale descendit sur la couvent, tellement claire et resplendissante que tous qui la virent dans et hors de la ville furent rempli d’une grande joie.
Espagne ( 1 mars 1716 ) Le capitaine écrivit à l’époque: Ce 1er mars à 21 h 00 nous nous trouvions à 45°36′ de latitude, au large des côtes nord-ouest de l’Espagne, quand un nuage brillant apparut vers l’est, mais non loin du zénith. Il se divisa en un grand nombre de rayons lumineux, chacun d’eux ressemblant à la queue d’une comète. Ce corps lumineux apparut au nord-ouest par rapport à nous et continua à briller jusqu’au lendemain midi. Il se trouvait alors à une bonne distance du navire, juste avant de disparaître subitement « .
Martinique ( 6 mars 1717 ) Le chevalier de Ricouart, commandant la frégate » La Valeur » note dans son journal de bord : « A deux heures du matin nous allions un peu de l’avant, le cap au sud-est. Nous avons vu passer le long du bord comme manière d’un mast de bâtiment, qui estoit debout à deux pieds environ au-dessus de l’eau. »
Dieppe – France ( 30 mars 1719 ) Beaucoup de gens qui se promenaient le long de la plage ont vu une colonne de feu qui émettait une très vive lumière, laquelle s’approchant de la ville, a explosé avec un bruit pareil à trois tirs d’artillerie et tomba défaite en fumée, sur les murailles, sans faire aucun mal.
Ath ( Hainaut ) – Belgique ( 19 octobre 1726 ) Dans » L’histoire de la ville de Ath » relatée par Gilles Joseph de Boussu, on fait état de phénomènes qui jetèrent la panique dans la région. « Le 19 octobre, un samedi, ils s’élevèrent sur notre horizon, vers les sept heures et demie du soir, de gros nuages de feu, poussés par le vent du midi vers le septentrion. Ils paraissaient s’entrechoquer d’une manière épouvantable et cependant sans bruit. Le ciel, quoique serein, paraissait tout embrasé. L’on remarquait aussi, parmi ces pelotons de feu, de grands cercles lumineux, ouverts par le bas, qui se poussaient les uns les autres, ainsi que les ondes d’une mer agitée. Vers les onze heures ces phénomènes passèrent par-dessus la ville, ce qui continua fort avant dans la nuit, jetant l’épouvante et l’admiration partout « .
Vilvorde ( Brabant) – Belgique ( 29 octobre 1726 ) Vers neuf heures du soir et pendant deux heures consécutives on put voir dans le ciel des météores horribles et curieux venant parmi les nuages comme des éclairs et disparaissant de même. Leur aspect était des plus terribles.
Bologne – Italie ( 17 décembre 1728 ) Le 17 on en a vu une autre ayant l’apparence d’une croix, suivie de l’apparition d’un jeune homme à cheval, avec un casque sur la tête, orné de plumes, ce qui a provoqué parmi le peuple une grande consternation. Le 18, dans la province de Marca, on a éprouvé un violent tremblement de terre.
Florence – Italie ( 9 décembre 1731 ) Un nuage lumineux, se mouvant à grande vitesse, disparaît au delà de l’horizon avant un tremblement de terre. Etranges boules lumineuses dans le ciel. Un auteur du temps, Bianchini, ajoute qu’elles faisaient entendre un ronronnement bruyant et qu’il a pu distinguer des fenêtres.
Sheffield – Grande Bretagne ( 5 décembre 1737 ) Vers 17 h 00 M. Thomas Short fut le témoin de « l’apparition d’un nuage rouge foncé en dessous duquel se trouvait un corps lumineux qui envoyait des faisceaux de lumière très brillante. Cela ne ressemblait en rien aux aurores boréales car des rayons lumineux se déplaçaient lentement pendant quelques temps puis s’arrêtaient. Il fit soudain si chaud que je dus enlever ma chemise bien que je me trouvais dehors.
Toulon – France ( nuit du 23 au 24 février 1740 )
Dans la rade de Toulon un globe de feu fut aperçu. Il plongea ensuite dans la mer d’où il remonta comme une balle qui ricoche. Parvenu à une certaine hauteur il explosa et répandit divers globes de feu dont certains tombèrent dans la mer et d’autres sur la montagne.
Bradly, Selborne, Alresford – Grande Bretagne ( 21 septembre 1741 ) D’après le Wernerian Natural Historical Society Transactions (vol. 5, p.386) il serait tombé entre Bradly, Selborne et Alresford sur plusieurs dizaines de kilomètres carrés « comme des toiles d’araignées sous forme de flocons ou lambeaux, d’environ 3 cm de large sur 15 à 18 cm de long ». Apparemment cette chute se fit en quantités importantes et en deux fois. Après plusieurs heures d’accalmie, une seconde « averse » allait durer de 9 h du matin jusqu’au crépuscule. Le » All the Year Around » décrit le même phénomène mais précise que les trois localités forment un triangle de 13 km de côté et que la matière tomba à grande vitesse.
Sussex – Grande Bretagne ( 12 décembre 1741 ) « Vers 12 h 00 ou 13 h 00 un terrible coup de tonnerre a été entendu en direction du nord. On aurait dit deux très gros canons ayant fait feu l’un après l’autre. Mais le roulement et l’écho ne ressemblaient pas à ceux qui se produisent lors d’un tir de canon. A 30 km à la ronde, toutes les maisons furent secouées ». Un autre témoin, chanoine à Canterbury, eut plus de chance. Le même jour, également vers 13 h 00 sa maison fut fortement secouée par ce qu’il prit pour un tremblement de terre. Mais il sortit précipitamment et vit alors « ce qui paraissait être un nuage d’orage dans le ciel et une boule de lumière qui passa très rapidement au-dessus de la région de l’est vers l’ouest. Cela avait commencé par deux grandes détonations comme des coups de canon. On aurait dit une très grande étoile filante en plein milieu du jour.
Castel-Nuovo et Rome – Italie ( 31 août 1743 ) Dans ses mémoires Girolamo-Giacomo Casanova, à peine âgé de 18 ans et n’ayant pas encore acquis la réputation de séducteur qu’on lui attribuera, écrit: » De Terni j’allais à Cirocoli et de là à Castel-Nuovo, d’où je me rendis à Rome où j’arrivai le premier septembre à neuf heures du matin. Je ne dois point taire ici une circonstance particulière qui plaira à plus d’un lecteur, quelque ridicule qu’elle soit au fond. Une heure après Castel-Nuovo, l’air était calme et le ciel serein, j’aperçus à ma droite et à dix pas de moi une flamme pyramidale de la hauteur d’une coudée et élevée de quatre ou cinq pieds au-dessus du niveau du terrain. Cette apparition me frappa car elle semblait m’accompagner. Voulant l’étudier, je cherchai à m’en rapprocher, mais plus j’allais de son côté et plus elle s’éloignait de moi. Elle s’arrêtait dès que je m’arrêtais et, lorsque la partie du chemin que je traversais se trouvait bordée d’arbres, je cessais de la voir, mais je la retrouvais dès que le bord du chemin redevenait libre. J’essayai aussi de retourner sur mes pas, mais chaque fois elle disparaissait et ne se remontrait que lorsque je me dirigeais de nouveau vers Rome. Ce singulier fanal ne me quitta que lorsque la lumière du jour eut chassé les ténèbres. J’eus la prudence de n’en rien dire à personne « .
Westminster – Grande Bretagne ( 16 décembre 1743 ) Mortimer Cromwell, physicien, rentrait chez lui à 20 h 40 quand il vit de St James Park une lumière vers le sud ouest. Elle se déplaça en ondulant, et il la vit pendant 30 secondes. A l’avant une flamme lumineuse projetée vers l’arrière, suivie d’un feu rougeoyant dans une capsule opaque, suivie d’une longue queue devenant de plus en plus sombre vers la fin. La tête de cet objet en forme de têtard avait un diamètre apparent d’un demi degré, la queue une longueur de trois degrés et pour l’épaisseur 1/8 de degré.
Peibio ( pays de Galles ) – Grande Bretagne ( 1743 ) A Peibio, près de Holyhead deux fermiers occupés aux champs aperçurent « un vaisseau avec ses voiles, volant dans les airs. » L’objet venait du sud-est, soit de la direction du Mont Snowdon (Caernarvan) et se dirigeait vers les témoins. Ceux-ci ajoutent qu’une « bande d’oiseaux s’assembla pour regarder le phénomène puis se dispersa dans toutes les directions ». D’après les fermiers l’objet devait peser 90 tonnes et se déplaçait à une altitude d’environ 40 m. la « navire aérien » ressemblait aux vieux paquebots qui faisaient la navette entre Holyhead et l’Irlande. Ils voyaient parfaitement le fond du « navire » quand celui-ci passait quasiment à la verticale. Le temps était assez nuageux. D’après les témoins des observations similaires avaient déjà été faites dans la région dix ou vingt ans auparavant.
Londres – Grande Bretagne ( 27 mai 1744 ) M. Henry Baker vit peu après 23 heures un étrange objet en forme de trompette au-dessus de Somserset House au moment où cet engin insolite laissait échapper une flamme blanche.
Ecosse ( 23 juin 1744 ) De deux heures avant le crépuscule jusqu’à la nuit tombée au-dessus d’une colline écossaise: « une troupe d’hommes en armes » fut observée dans les airs par 27 témoins dont un magistrat.
Londres – Grande Bretagne ( 4 juillet 1745 ) Le révérend George Costard vit un engin en forme de trompette vers 20 h 00 au-dessus de Stanlake Broad.
Slavane – Norvege ( 15 avril 1752 ) Tremblement de terre précédé par un orage virulent et une étrange étoile de forme octogonale.
Augermannland – Suede ( 1752 ) Avant le tremblement de terre des boules de feu raient le ciel.
Fleet Dorset – Grande Bretagne ( 8 décembre 1753 ) Vers 11 h 45, par une journée ensoleillée, M. Cracker vit quelque chose ressemblant à un cerf-volant d’enfant mais brillant comme de l’argent, qui passait ça et là à travers les nuages.
Berkshire – Grande Bretagne ( 11 décembre 1753 ) Vers 17 h 00 dans une zone s’étendant de Londres au Kent, les évolutions d’un cerf-volant furent précédées d’une détonation sourde.
Turin – Italie ( 2 janvier 1756 ) Un explosion ébranla le ciel de Turin, juste après le passage d’un objet volant bleu qui, durant tout son vol, projeta des flammes. Il resta visible pendant 20 minutes.
Edimbourg – Ecosse ( 26 novembre 1757 ) Un objet conique a survolé la ville à grande vitesse. Avant de disparaître cet Ovni libéra trois satellites en forme de disque.
Liskeard ( Cornouailles ) – Grande Bretagne ( , 24 février 1759 ) A 22 heures une légère secousse tel un tremblement de terre se fit sentir: c’était un mouvement vibratoire qui dura 2 ou 3 secondes. George Thompson sortit pour observer le ciel et vit des multitudes de rayons rouge sang qui convergeaient de tous les coins du ciel vers un point sombre.
Bazas – France ( 9 juin 1759 ) A 9 heures du soir, le curé de Captioux qui se promenait devant son église en compagnie du curé de Loubens, son frère, aperçurent une colonne de feu qui allait de l’est au sud. Elle passa derrière un bois qui leur déroba la vue. Une heure après, on vit une seconde colonne de feu qui se précipita dans la rivière, auprès du moulin. Ce même soir, on vit de la ville de Bazas, à l’extrémité de l’horizon, du côté de Langdon, un tourbillon de feu.
Mendips ( Somerset ) – Grande Bretagne ( 10 octobre 1759 ) Des objets ressemblant à des balles traversèrent rapidement en direction de l’Essex. L’un d’eux émettait une lumière bleuâtre et effectua une sorte de boucle avant de disparaître à l’horizon.
Suisse ( 2 novembre 1761 ) Avant le tremblement de terre on voit une procession de » globes immenses » survolant la Suisse.
Bideford ( Devon ) – Grande Bretagne ( 5 décembre 1762 ) Vers 20 h 50 une sorte de serpent en train de se tordre descendit lentement au-dessus de Bideford et resta visible durant à peine quelques minutes.
Londres – Grande Bretagne ( 19 août 1763 ) Obscurité plus impénétrable que celle de l’éclipse de 1748. En plein jour il fit brusquement noir comme dans un four. Le plus étonnant c’est que les ténèbres étaient tout à fait impénétrables à la lumière des chandelles ou des lanternes.
Gévaudan – France ( 19 juin 1767 ) La bête tuée par Jean Chastel avec une balle bénie, était très différente du loup, avec un poil rougeâtre. L’herbe ne poussa plus pendant longtemps là où le cadavre était tombé. ( Il y eut une centaine de cas authentifiés d’enfants dévorés ).
Coupar Angus – Ecosse ( septembre 1767 ) Une sorte de maison de feu s’approcha près du sol et causa certains dommages dans la ville. « Cela prit la forme d’une pyramide et partit brusquement vers l’avant en direction de l’Erick. Elle se précipita alors dans cette rivière à grande vitesse et disparut un peu après Blairgowrie (à plus de 7 km de là). Cela provoqua une émotion considérable… Lors de son passage, cet objet emporta une grande charrette et la transporta à plusieurs mètres de là, dans un champ. Un homme qui se trouvait sur la grand-route à ce moment, fut précipité en bas de son cheval et assommé; il demeura longtemps inconscient. L’objet détruisit également une maison et l’arche du nouveau pont de Blairgowrie. Après cela il disparut rapidement. »
Francfort et Leipzig – Allemagne ( septembre 1768 ) Extrait du 6e livre de l’autobiographie de Goethe. A l’époque il avait 16 ans et se rendait à l’université de Leipzig. Le voyage était pénible sous une pluie battante et dans les côtes, les voyageurs devaient descendre pour soulager l’effort de ces cheveux. Au cours d’une de ces marches forcées, il remarqua un phénomène étonnant: « Soudain, dans un ravin à droite de la route, je vis une sorte d’amphithéâtre, merveilleusement illuminé. Dans un espace en forme de tuyau brillait un nombre incalculable de petites lumières posées comme des marches les unes sur les autres. Elles brillaient si fort que l’oeil en était ébloui. Mais ce qui troublait le plus dans cette vision, c’était que les lumières n’étaient pas fixes, elles sautaient de-ci, de-là, allaient de haut en bas et vice versa, dans toutes les directions. Le plus grand nombre d’entre elles pourtant restaient stables et rayonnaient. C’est avec la plus grande répugnance que je consentis, lorsqu’on m’appela, à m’écarter de ce spectacle que j’aurais bien désiré examiner de plus près. Le postillon, quand je l’interrogeais, déclara qu’il n’avait jamais eu connaissance d’un tel phénomène, mais qu’il y avait dans le voisinage une ancienne carrière de pierre dont l’excavation était remplie d’eau. Reste à savoir maintenant si cela était un pandémomium de farfadets, ou une assemblée de créatures lumineuses, je ne saurais décider.
Oxford – – Grande Bretagne ( 24 octobre 1769 ) Observation de » maisons de feu » volantes.
Tribu Nootka.côte nord-ouest des USA ( 1778 ) John Meares (1756-1809) était lieutenant à la Royal Navy où il s’engagea en 1771. Il fit, en tant que capitaine, trois voyages de la Chine à Nootka Sound. (…). Dans ces souvenirs de voyage il raconte une histoire d’un extraordinaire étranger venu du ciel, dont les Indiens Nootka lui parlèrent. L’étranger était habillé de cuivre, voyageait dans un canoë de cuivre et que tout ce que l’étranger possédait était fait de métal. L’étranger mit les Indiens en garde leur disant qu’il venait du ciel et qu’un jour leur nation serait détruite et tout le peuple tué. Finalement ce seraient les Nootka qui eurent raison de l’étranger en le tuant et en lui volant tous ses objets de métal.
Château de Windsor – Grande bretagne ( 18 Octobre 1783 ) Le 18 octobre 1783 à 9h45 le soir, sur la terrasse du Château de Windsor, 4 témoins ont observé un objet lumineux dans le ciel. Selon le rapport enregistré l’année suivante ( Transactions Philosophiques de la Société Royale ), les témoins ont observé « un nuage oblong se déplaçant plus ou moins parallèlement à l’horizon ». Sous ce nuage un objet lumineux qui est devenu sphérique et brillant. Cette sphère étrange a semblé d’abord être bleue pâle, mais alors sa luminosité a augmenté et s’est mise en route vers l’est. Puis a changé de direction et s’est déplacé parallèlement à l’horizon avant sa disparition au sud-est. Elle éclairait n’importe quel objet au sol. Avant sa disparition l’objet changea de forme, devint oblong et au moment où une sorte de traînée apparaissait, il semble se séparer en deux corps de petites dimensions. A peine deux minutes plus tard on entendit le bruit d’une explosion. Le même genre de phénomène fut signalé ce soir-là à Deptford ( Wiltshire ) ainsi qu’à Hartlepool. Dessin de Thomas Sandby ( Royal Academy ).
Alençon ( Orne ) – France ( 12 juin 1790 )
Rapport rédigé par l’inspecteur de police Liabeuf: » A cinq heures du matin, quelques paysans observèrent un énorme globe qui semblait être entouré de flammes. D’abord ils pensèrent qu’il s’agissait d’une montgolfière en feu, mais sa grande vitesse et le sifflement qu’il émettait les intriguèrent fortement. Le globe descendit doucement, tourna et finit par s’écraser au sommet d’une colline en déracinant la végétation qui croissait sur ses flancs. La chaleur dégagée par l’objet était si grande que l’herbe et les arbustes s’enflammèrent peu après. Les paysans arrivèrent à circonscrire le feu qui autrement se serait étendu à toute la région. Le soir, le globe était encore chaud et il se passa alors une chose extraordinaire, à peine croyable. Les témoins de cet événement sont deux maires, un médecin, et trois autres personnalités locales qui confirment mon rapport, sans mentionner les douzaines de paysans qui étaient également présents. La sphère, qui était assez grande pour contenir tout un équipage, était intacte après le vol qu’elle venait d’effectuer. Elle éveilla lentement la curiosité des gens qu’une foule vient de toutes les directions pour la voir. Alors, brusquement, une porte s’ouvrit et il en sortit une personne, juste comme nous, mais habillée d’une étrange façon avec des vêtements qui lui collaient au corps; voyant cette foule, cette personne murmura quelques paroles incompréhensibles et s’enfuit dans les bois. Les paysans reculèrent instinctivement, effrayés, et ils se sauvèrent. Peu après la sphère explosa silencieusement en envoyant des débris dans toutes les directions; ces débris se consumèrent jusqu’à ce qu’ils soient réduits en poudre. Des recherches furent entreprises pour retrouver le mystérieux homme mais il semblait s’être volatilisé dans l’air et jusqu’à présent on n’a pas découvert la moindre trace de lui. «
Chine ( 27 janvier 1795 ) Dans le ciel du sud-est une grosse étoile de la grandeur d’un boisseau surgit soudainement. Scintillante elle descendit et monta pour redescendre et remonter trois fois de suite. Une autre étoile répéta le même mouvement et enfin tomba avant de s’écraser dans un village.
Alnwick – Grande Bretagne ( 10 septembre 1798 ) Vers 20 h 40 un objet cylindrique ressemblant à un pilon d’apothicaire sort subitement d’un nuage. Un des témoins ajoute qu’il sembla se ramifier et puis se fendre en deux demi-lunes avec des rayons lumineux. Cet étrange objet disparut après 5 minutes d’observation.
Hereford – Grande Bretagne ( 12 novembre 1799 ) Un grand pilier rouge survola Hereford du nord au sud.
Sibérie( fin du XIIIe siècle ) En Sibérie existaient des hommes noirs qui se déplaçaient en volant sur des plats d’argent qui laissaient derrière eux de longs sillages de feu.
Russie ( fin du XIIIe siècle ) Les habitants d’un gros village de la région du Don eurent un jour la surprise de trouver, à 2 km de chez eux, une boule de métal de 3 mètres de diamètre. Toute la population vint admirer ce drôle d’objet en se demandant ce qu’il pouvait être et d’où il venait. Il n’était certainement pas arrivé par la route car on ne voyait ni sur le chemin, ni dans les champs, aucune trace de roues. S’il était tombé du ciel, ou s’il avait été vomi par l’enfer, on aurait dû voir un trou ou.. Mais rien, il n’y avait rien d’anormal. La surface de la boule grise était aussi lisse qu’une bille. Pas si lisse que cela car des cercles, très réguliers, comme si un compas les avait tracés, et de diverses grandeurs, y étaient gravés. Les villageois essayèrent de pousser la chose, de la faire rouler sur elle-même. Efforts inutiles: elle ne bougea pas d’un millimètre. (…) A l’arrivée de Pouchkine, cosaque de fort mauvaise réputation mais malgré tous ses défauts très courageux, les villageois l’informèrent tout de suite de la présence de l’objet mystérieux. (…) Tirant son sabre, il se rua à cheval sur elle en jurant et en la défiant de lui résister. (…) … les spectateurs sont prêts à rentrer chez eux. Mais voilà qu’ils se mettent à hurler de peur: un cercle de la boule s’est fendu en laissant apparaître un œil, un œil rond de cyclope qui regarde fixement son assaillant, qui, lui, ricane en continuant à frapper, qui frappe si fort que son sabre se fend (…) Les paysans fuient. Quelques-uns se cachent derrière les arbres. Et que voient-ils? Ils voient Pouchkine et sa monture qui deviennent transparents avant de s’évanouir définitivement dans l’air. Pourtant ils entendent encore ses malédictions (…) Deux jours après cette grande bagarre, cavalier et cheval, titubant comme des gens qui ont trop bu, faisaient leur entrée sur la place (…) Il se mettait à hurler qu’il allait de ce pas mettre le feu au petit bois et que l’horrible chose rôtirait avec tout ce qui l’entourait. Alors tout le monde courut à ses trousses pour assister au spectacle, mais n’assista qu’à sa triste déconvenue: la boule n’était plus là.
Bâton Rouge ( Louisiane ) USA ( 5 avril 1800 ) Un corps brillant d’une trentaine de mètres reste suspendu au-dessus de la ville avant de disparaître dans un bruit énorme.
Hull – Angleterre ( 20 juin1801 )
Une sphère lumineuse de la taille de la pleine Lune, traversée d’une barre sombre, se décompose en cinq corps brillants.
Ornans ( Evilliers ) – France ( 1803 ) Deux globes lumineux faisant partir les rayons du soleil, apparurent au-dessus d’un arbre à Pierre Mille, à ses trois filles ainsi qu’à un vannier du pays.
Middleton Cheney ( Northans ) – Grande Bretagne ( 22 décembre 1807 ) La localité a été survolée par un objet en forme de fusée se déplaçant à une altitude d’une trentaine de mètres. L’OVNI volait horizontalement du nord-est vers le sud-ouest, comme un oiseau et disparut avant d’arriver à une colline.
Torre Pelice – Italie ( 18 avril 1808 ) Un certain Simondi, secrétaire du juge de paix de ce village, était réveillé par un fort bourdonnement. C’est alors qu’il vit un disque lumineux s’élever au sol à grande vitesse.
…un mystérieux disque volant s’éleva du sol.
Skeninge – Suede ( 16 mai 1808 )
M. Acharius a observé à 16 heures, un phénomène extraordinaire. Le soleil devint rouge brique. Au même moment apparut, venant de l’horizon occidental, un grand nombre de corps ronds, brun sombre et de la taille apparente d’un rebord de chapeau, qui passèrent dans le ciel et disparurent vers l’orient. Procession fantastique qui dura près de deux heures. Parfois l’un des corps tombait au sol. Au lieu de chute on trouvait une pellicule qui séchait aussitôt et disparaissait. Souvent, en s’approchant du soleil, ces corps semblaient se rapprocher entre eux, en groupes ne dépassant pas huit unités et on voyait alors des queues de 5 à 8 m de long. Eloignés du soleil, leur queue redevenait invisible. Leur substance fut décrite comme savonneuse et gélatineuse.
Italie, Suisse et France ( 12 octobre 1808 )
Un dôme phosphorescent apparaît au-dessus de Naples. Des disques lumineux survolent Pinerolo en Italie. A la même époque on signale des objets lumineux et des bruits étranges dans le ciel des Alpes suisses et de la Tour d’Auvergne ( Puy-de-Dôme ).
Hatton Garden ( Londres ) – Grande bretagne ( 10 août 1809 ) Observation de sir John Staveley: » Je vis de nombreux météores près du coin d’un nuage noir duquel des lumières sortaient. C’étaient comme des taches de lumière éblouissante dansant et passant à travers le nuage. L’une d’elles augmenta de dimensions jusqu’à ce qu’elle atteignit la brillance et la grandeur de Vénus lors d’une soirée claire. Mais je ne pouvais voir aucun corps dans la lumière. Cela se déplaça avec une grande rapidité et côtoyait le coin du nuage. Alors cela devint stationnaire, perdit de son éclat et disparut. Je vis ces étranges lumières pendant des minutes, non des secondes. Pendant près d’une heure ces lueurs, aussi étrange que ce fut et en d’innombrables points, sortaient et rentraient dans ce nuage sombre. Aucune lumière ne venait des nuages là où ces lueurs s’amusaient. Au moment où ces météores augmentaient de dimensions, on aurait dit qu’ils descendaient vers le sol. «
Genève et Paris – Suisse et France ( 11 mai 1811 ) On aperçoit à 08 h 35, au nord-ouest une lumière précédée d’un sifflement. Il s’agit d’abord d’un serpent de feu puis la forme change, devient un rectangle (fer à cheval) et enfin on peut voir deux lumières aux extrémités d’une ligne incurvée. Le 11 mai 1811, à 8h35, à Genève, de nombreuses personnes dont des membres de la faculté des sciences, ont soudain vu un flash de lumière dans le nord-est. Ce flash prit ensuite la forme d’un fer à cheval.. Il s’avançait vers l’est et semblait être deux fois aussi haut que les montagnes du Jura. Un témoin qui l’examina au télescope affirma que ce trait lumineux était composé de plusieurs parties séparées.
Entre Manosque et Villeneuve d’Apert – France ( 20 mars1812 ) Le jour du tremblement de terre de Marseille, accompagnés de phénomènes si effrayants que les 7 voyageurs qui étaient dans la voiture de Digne ont préféré s’arrêter à la mauvaise auberge des Quatre-Tours plutôt que de venir coucher à Manosque. Aux approches de la voiture, ce ballon lumineux qui voltigeait sur le chemin s’est divisé en 4 feux, et alors la vue des voyageurs s’est tellement troublée qu’ils ont cru voir danser autour d’eux quatre hommes enfermés chacun dans une lanterne.
Angoulême ( Charente ) – France ( 13 juin 1819 ) Le 13 juin, à 6 h du matin, rapporte Le Journal de la Charente du 19 juin 1819, « on a vu tout à coup dans l’atmosphère un météore. Il avait la forme d’une « fusée », sa longueur semblait d’environ 1200 toises et il s’inclinait vers la terre. Il jetait dans l’air un éclat extrêmement vif. Une toise vaut 1 m 95 : 1200 toises représentent donc 2340 mètres environ ! Si un véritable météore de cette taille avait été aperçu, c’est qu’il aurait été dans notre atmosphère, donc trop près du sol pour échapper à l’attraction terrestre. Il serait tombé en provoquant un formidable séisme qui ne serait pas passé inaperçu ! (Jimmy GUIEU : »Les S.V. viennent d’un autre Monde » Fleuve Noir 1954 – Réédition Omnium Littéraire 1972 p. 235)
Amherst ( Massachusetts ) – USA ( 13 août 1819 ) Le professeur Dewey, communiquant le rapport du professeur Graves, ancien conférencier au Collège de Dartmouth, raconte qu’au son d’une explosion, une vive lumière se répandit sur la ville d’Amherst, illuminant l’un des murs de la pièce où lui-même se trouvait en compagnie de sa famille. Le lendemain, dans la cour de devant du professeur Dewey, sur l’emplacement même d’où semblait provenir l’étrange lumière, on découvrit « un objet mystérieux recouvert d’un duvet jaune vif, comme on en trouve dans les fabriques de drap ». Le duvet écarté, apparut une substance pulpeuse de couleur jaune chamois qui, dégageant une odeur très nauséabonde, tourna au rouge vif par le simple contact de l’air. Il se liquéfia au bout de quelques minutes en devenant rouge sang.
Embrun ( Hautes Alpes ) – France ( 7 septembre 1820 ) Une formation de disques survole la ville d’Embrun pendant une éclipse de Lune. Ces objets pivotent à 90° avant de disparaître. Rapport établi par l’astronome Arago. De curieuses formations uniformes arrivent en ligne droite au-dessus d’Embrun opèrent un mouvement tournant de 90° et s’éloignent en un ordre parfait. Charles de Maingot, notable, écrit que les » véhicules » ressemblent à des cloches. ( Moustique n° 1508 du 19.12.1954 )
Massachussetts – USA ( 1820 ) William Denton prétendit avoir eu des contacts avec des habitants de Vénus. Ceux-ci voyageaient dans une machine en forme de soucoupe construite en aluminium. Ils employèrent un langage télépathique pour communiquer avec Denton.
Honolulu ( Hawai ) USA ( 12août 1825 ) Extrait de l’UFO Investigator, la revue du National Investigation Committee on Aerial Phenomena, de Washington. Il nous apprend que dans « The Diary of Andrew Boxam », publié en 1925 par le Musée Bernice P. Bishop de Honolulu, on trouve le passage suivant : « Ce matin vers 3 h 30 (le 12 août 1825) la bordée de quart sur le pont a été ahurie de voir que tout autour d’eux était soudain illuminé. Tournant les yeux vers l’est, ils ont aperçu un grand corps rond, lumineux, s’élevant à environ 7 degrés de l’eau jusqu’aux nuages, pour retomber hors de vue, et une deuxième fois s’élever et retomber. C’était de la couleur d’un boulet de canon rougi à blanc et semblait de la taille du soleil. Il répandait une si vive lumière qu’une épingle aurait pu être ramassée sur le pont. »
Sarrebruck – France ( 1 avril 1826 ) Un objet gris en forme de torpille approche de la Terre à grande vitesse.
Migne-Auxances ( Poitou ) – France ( 1826 ) Une croix lumineuse de 80 pieds a été vue par 3000 personnes dont 200 ont fourni un témoignage.
Forfar ( Angus ) – Ecosse ( 23 juillet 1830 ) Le révérend Alexander Espline voyageait d’Auchtermuchty à Letham quand il remarqua une lueur particulière comme suspendue dans les airs au-dessus de Whinny Park, la résidence d’un nommé James Millie. S’approchant du Park M. Espline vit deux lumières, une plus petite et plus brillante que l’autre d’une teinte de plomb, pâle comme la mort. Soudain, la plus petite de ces sphères émit un rayon lumineux d’une extrême brillance, bientôt suivie par une série de flashes des deux objets à la fois. Effrayé par ce phénomène il s’enfuit. Deux jours plus tard on retrouvait le corps de James Millie qui avait été assassiné et enfoui à l’endroit où les lueurs avaient été aperçues.
Kourianof – Russie ( Mars 1832 )
On découvrit une substance jaune, résineuse, mais s’étirant comme du coton. Il en tomba dans une zone d’environ 600 m² et cela jusqu’à une épaisseur de 5 cm. Cette substance était combustible. Dans l’eau elle prenait une couleur ambre et devenait élastique comme du caoutchouc naturel. L’odeur était celle d’huile et de cire.
La Haye – Pays-Bas ( 10 novembre 1832 ) Y. Berghelen aperçoit « un disque rond de deux mètres de diamètre, sauter d’un bord du canal à l’autre. En se déplaçant il émet un bruit sourd.
Bruneck ( Tyrol ) – Autriche ( 14 novembre 1832 ) Un nuage blanc brillamment éclairé apparaissait dans le ciel. Vers 6 h 00 il y eut d’abord un puissant faisceau lumineux dans la nuit. Cette lumière se rassembla ensuite en une forme ovoïde qui resta stationnaire pendant plus d’un quart d’heure.
Niagara Falls – USA ( 13 novembre 1833 ) Un large corps lumineux, presque stationnaire par moments, en forme de table carrée.
Mexique et Océan atlantique ( 13 novembre 1833 ) A partir de 2 heures du matin environ, dans un ciel sans nuages, commence une véritable pluie de boules de feu. De très nombreux témoins remarquent que, parmi les raies fulgurantes, il y a des corps lumineux restant longtemps visibles et presque stationnaires. Divers témoins recueillent au sol une substance gélatineuse blanchâtre qui se sublime rapidement. Phénomène principalement visible dans un quadrilatère délimité d’une part par le 61° degré de longitude ( océan Atlantique ) et le 100° degré de longitude ( Mexique central ) et, d’autre part, par les Grands Lacs de la Jamaïque.
Cologne – Allemagne ( 1834 ) Vers sept heures du soir on vit un bolide qui apparut au nord-est et se dirigeant vers le nord avec une certaine rapidité parallèlement à l’horizon. Il disparut soudainement pour réapparaître deux secondes après et pour se scinder en deux parties.
Szeged – Hongrie ( 1836 ) Des lumières sphériques et l’apparition de ce que les habitants décrivirent comme une dame en blanc créèrent un beau tumulte dans une partie de la ville.
Cherbourg – France ( 12 janvier 1836 ) Un corps lumineux représentant les deux tiers de la Lune sembla pivoter comme sur un axe: il portait en son centre une cavité sombre.
Ovni et alien…!
Tirgu-Néamt et Dorohoi – Roumanie ( nuit du 29-30 août 1837 )
Au cours de cette nuit un météore a été vu ou un phénomène physique. Une sphère lumineuse d’environ trois mètres de diamètre voyage dans le ciel. A l’aube, le météore est descendu et tout le champ s’est mis à briller d’une lumière rougeâtre très vive.
Londres – Grande Bretagne ( novembre 1837 ) Un homme volant, portant quelque chose sur son dos et faisant des bonds formidables, volant au-dessus de ceux qui voulaient l’attraper. L’amiral Codrington offrit une récompense pour sa capture.
Londres – Grande Bretagne ( 18 février 1838 ) Miss Scales passant dans l’allée du Dragon Vert, mal éclairé, près d’un cabaret, vit une haute silhouette se cacher dans l’ombre. Elle hésita et attendit sa soeur qui était restée en arrière. Sa soeur le décrivit ainsi « grand, mince, distingué » !! Il avait rejeté sa cape sur le côté et braqué une lanterne sur la jeune fille suffoquée. Elle n’eut pas le temps de pousser un cri, l’étrange flamme bleue lui cacha au visage et elle fut profondément évanouie. Là-dessus Jack se retira calmement.
Londres – Grande Bretagne ( 20 février 1838 ) Un être étrange qui semble être revêtu de ce qu’on appellerait aujourd’hui une combinaison spatiale, effraye les Londoniens. Parfois il était lumineux et pouvait sauter très haut. Baptisé « Spring Heel Jack » ce personnage a des aventures qui ne sont pas sans rappeler fortement des faits beaucoup plus modernes. Le 20 février Mlle Jane Alsop, âgée de 18 ans, rencontrait le « monstre » à Bear Bine Cottage, là où elle vivait dans le petit village d’Old Ford, près de Bow. Ayant entendu frapper violemment à la porte d’entrée, elle sortit et vit la plus hideuse des apparitions: un personnage vêtu de vêtements collants au corps et étincelants, une lampe rayonnant au milieu de sa poitrine et avec des yeux ressemblant à des boules rouges de feu. Elle se mit à crier de toutes ses forces. Spring Heel Jack saisit alors son bras dans une main métallique avec des doigts comme des griffes et envoya des boules de feu dans la figure de la jeune fille. Cette dernière tomba bientôt inconsciente et elle eut encore le temps de voir ce triste sire s’envoler dans les airs.
Liverpool – Grande Bretagne ( 6 juillet 1838 ) Dans la nuit l’inspecteur Hemer de la police de Liverpool patrouillait le long des limites de Teth Park. Soudain il aperçut une grande sphère de feu qui stationnait à quelque hauteur au-dessus d’un champ voisin. L’objet resta stationnaire pendant deux minutes. C’est alors qu’il émit des étincelles brillantes et qu’il s’éleva rapidement dans le ciel pour disparaître.
Inde ( 1838 ) Un disque prolongé d’une sorte de crochet, gros comme la lune mais plus étincelant: on en trace un diagramme.
Orenbourg – URSS ( 1842 ) De petits objets métalliques parfaitement hexagonaux sont tombés du ciel après qu’un nuage étrange ait été vu comme suspendu sur la ville un très grand laps de temps.
Clavaux ( Isère ) – France ( 1842 ) Deux fillettes virent des pierres tomber autour d’elles. Les pierres tombaient avec une lenteur étrange. Les enfants coururent à la maison familiale et revinrent sur place avec leurs parents. Les pierres tombaient encore, toujours avec la même lenteur étonnante. Puis, une sorte de courant ascendant – un tourbillon – aspira les deux fillettes qui furent soulevées mais leur parents purent grâce à la rapidité de leurs réflexes, les retenir à la dernière seconde pour les empêcher d’être emportées Dieu sait où. Les parents n’ont pas été concernés par le phénomène d’aspiration.
Meditérranée ( 18 juin 1845 ) On vit trois corps lumineux sortir de l’océan à quarante mètres du « Victoria », brigantin britannique à 1300 km d’Adalie (Asie Mineure) et rester visibles dix minutes durant. Le navire se trouvait par 36°40’56 » de latitude nord et de 13°44’36 » de longitude est. Le professeur Baden Powell a publié une lettre d’un correspondant du mont Liban qui décrit le même phénomène prodige mais ne cite que deux corps lumineux, cinq fois plus gros que la Lune et dotés d’appendices en forme de voiles ressemblant « à de grands drapeaux gonflés par la brise ». Ils furent visibles une heure. Les appendices ne ressemblaient pas à des traînes de météores, car leur lueur semblait provenir des corps eux-mêmes. A Adalie à 1300 km du Victoria et au même moment, le rév. F. Hawlett cité par le professeur Baden-Powell, assista au spectacle dont il évalua la durée à une demi-heure. Le phénomène fut également signalé de Syrie et de Malte, sous la forme de « deux corps étroitement liés. »
La Sallette ( Isère ) – France ( 1846 ) Avant de pouvoir distinguer la silhouette d’une dame lumineuse, ce fut d’abord une lueur au fond du vallon qui attira l’attention de Mélanie Calvet et de Maximin Guiraud. S’étant rapprochés ils virent une sorte de globe très brillant qui s’ouvrit pour laisser apercevoir la dame. » Nous avons vu une clarté s’ouvrir, et dedans, la Dame « .
Zheijang – Chine ( 2 juin 1846 ) A midi je suis sorti de ma maison et j’ai vu dans le ciel une grosse boule de feu, plus volumineuse qu’une cuvette. Elle volait du sud au nord, suivie d’un faisceau de lumières multicolore. Une autre colonne de lumière blanche poursuivait le faisceau. Le faisceau et la colonne avaient la même longueur. Lorsque la boule flamboyante passa au-dessus de ma tête, se fit entendre un bruit pareil au grondement du tonnerre.
Lovel ( Massachusetts) – USA ( 26 octobre (1846 ) Un disque lumineux se meut au-dessus de Lovel. Il fait choir une masse gélatineuse et puante. Elle pesait 55 kilos et mesurait 122 cm de diamètre.
Gais – Suisse ( 8 août 1849 ) A trois heures, sir Robert Inglis vit des milliers d’objets brillants, ressemblant à des flocons de neige dans un ciel sans nuages. Mais bien que ce déploiement n’ait duré que 25 minutes, aucun des flocons ne tomba au sol. Le domestique d’Inglis crut voir que certains d’entre eux possédaient des espèces d’ailes. Au cours de la même communication sir John Herschel rappela qu’en 1845 ou 1846 son attention avait été attirée par des objets de taille considérable traversant les airs. Au télescope il les identifia à des masses de foin de deux mètres de diamètre, mais, bien que seule une trombe ait pu les soulever, il remarqua que l’air était tout à fait calme. (Charles FORT: « Le livre des damnés » – éd. Eric Losfeld 1967, p. 173, 174) Des milliers d’objets lumineux sont observés par l’astronome Inglis par ciel clair. Certains semblent avoir des ailes ou un halo lumineux. (Desmond Leslie et Georges Adamski: « Les S. V. ont atterri » – J’ai Lu 1971, p. 36) Sir Robert Inglis vit à 15 heures des milliers d’objets brillants ressemblant à des flocons de neige dans un ciel sans nuage. Le phénomène dura 25 minutes. (Christiane PIENS: « Les Ovni du passé » – Marabout 1977 – p.87) En 1849, le 8 août à 15 heures, l’astronome Inglis, de Gais, voit des milliers de disques lumineux traverser un ciel clair, sans arrêt durant vingt-cinq minutes. Certains avaient des sortes d’ailes ou un éclat en forme de couronne. Son domestique les voit entourés d’un anneau ou d’un halo lumineux.
Poitou – France ( 1850 )
Un soir, près de la plage de la rivière Egray un groupe de femmes avait bavardé jusque vers minuit et s’en retournaient au village. Elles venaient juste de traverser un pont quand il y eut un bruit terrible et qu’elles virent « un chariot aux roues grinçantes grimpant la colline à une étonnante rapidité, tiré par des farfadets ». Il bondit par dessus la colline et disparut.
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