Vous n’avez pas le temps de le voir, car vous êtes déjà mort.
Le nouveau missile air-air russe R-37M a montré la plus grande efficacité au combat lors de son utilisation dans le cadre de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine, a déclaré une source informée à Sputnik.
« Le missile R-37M a démontré la plus grande efficacité lors de l’opération militaire spéciale. Lorsque le missile a été utilisé, la probabilité de toucher des cibles est proche de 1, c’est-à-dire qu’un missile suffit pour abattre un avion militaire ukrainien », a déclaré la source.
La source a ajouté que le R-37M a été utilisé contre diverses cibles aériennes ukrainiennes et a été lancé à partir de chasseurs multi-rôles russes Su-35S, de l’avion intercepteur MiG-31BM, ainsi que des chasseurs Su-57 de cinquième génération.
« Les missiles R-37M ont abattu des chasseurs ukrainiens Su-27 et MiG-29, des avions d’attaque Su-25, des bombardiers de première ligne Su-24M, des hélicoptères volant à basse altitude et divers drones, dont des Bayraktars« , a déclaré la source à Sputnik.
« Dans le même temps, le missile a démontré une grande efficacité pour atteindre des cibles, en manœuvrant avec une surcharge importante. »
La source a souligné que le nouveau missile russe R-37M présente des caractéristiques uniques pour un missile air-air en termes de portée, de vitesse, ainsi que de vitesse et des plages d’altitude des cibles touchées.
La portée de lancement maximale du R-37M est d’environ 300 kilomètres (186 miles); l’altitude des cibles potentielles est comprise entre 30 mètres (98 pieds) et 25 kilomètres, tandis que la vitesse de vol maximale du missile est six fois la vitesse du son, ce qui le rend essentiellement hypersonique.
Ainsi, la Russie continue évidemment d’humilier les agents du Nouvel Ordre Mondial et leurs laquais sionistes/juifs néoconservateurs.
La Russie fait exploser le « Stormer » britannique en morceaux en Ukraine
Stormer Combat Vehicles from 9 Bty 12 Regiment of The Royal Artillery, serving with 1 Royal Regiment of Fusiliers (1RRF) on Exercise MedMan. 1RRF Battle group were based at the British Army Training Unit Suffield (BATUS) in Canada, taking part in Ex MedMan using Bowman across a complete battlegroup.
Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une « usine à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.
La vidéo a été publiée par The People’s Voice, et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la désinformation ou de la propagande.
Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.
Il y a deux ans, était publié le documentaire du producteur de films polonais Patryk Vega, intitulé « Les yeux du diable ».
Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants.
Nous vous avons ajouté ce vidéo à la fin de l’article afin de l’archiver.Il a été censuré et exclus de you tube…bien entendu : « Un célèbre producteur de films polonais crée un documentaire exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes » .Notre site web va rester une mémoire vivante de ces crimes!
Ce n’est pas un documentaire facile à regarder, et j’ai été émotionnellement perturbé en le regardant, et j’ai couvert ce sujet du trafic sexuel d’enfants depuis près d’une décennie maintenant.
Voici la vidéo du soldat russe avec des sous-titres en anglais:
[videopress Jn2iEr2i]
Voici pour finir le vidéo exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes:
[videopress FkE9uzrV]
John Podesta a été pris en photo avec Justin Trudeau,le pseudo premier ministre cool et pro-arabe du Canada:le complot peut même avoir commencé là! John Podesta est impliqué dans le vaste réseau de pédophilie mondial.
Jerry Epstein le fournisseur de jeunes victimes du réseau pédophile qu’il a créé.
Hunter Biden a profité de ce réseau pédophile de l’élite.
Qui est l’Américain de 21 ans accusé d’avoir révélé des documents confidentiels et mis la plus grande puissance militaire mondiale dans l’embarras ?
Le suspect, Jack Teixeira, est accusé d’avoir fait fuiter des documents secrets du Pentagone, notamment sur la guerre en Ukraine.
Jack Teixeira
Le Pentagone tient-il le coupable ? Un jeune homme a été arrêté jeudi aux États-Unis dans le cadre de l’enquête sur la fuite de documents confidentiels américains, une affaire posant un risque « très grave » pour la sécurité nationale, selon le Pentagone. Le suspect, Jack Teixeira, employé subalterne de la garde nationale aérienne, « a été interpellé sans incident » et doit comparaître prochainement devant un tribunal de l’État du Massachusetts, a affirmé le ministre de la Justice Merrick Garland lors d’une brève conférence de presse. Le jeune homme, âgé de 21 ans, a été inculpé pour « conservation et transmission non autorisées d’informations relatives à la défense nationale », et « retrait et conservation non autorisés de documents ou de matériels classifiés », selon un document judiciaire.
L’arrestation, annoncée par des médias américains avant d’être confirmée par les autorités, a eu lieu à Dighton, une petite ville rurale au sud de Boston, dans le Massachusetts.
Les télévisions américaines ont diffusé en boucle des images aériennes montrant l’arrestation d’un individu par des agents des forces de sécurité. On pouvait y voir un homme, mains sur la tête et portant un t-shirt gris et un short rouge, reculer lentement vers des soldats avant d’être interpellé, puis escorté vers un véhicule d’allure civile.
Biden « préoccupé »
« Il y a une enquête complète en cours […] et ils se rapprochent » de l’aboutissement, avait déclaré un peu plus tôt le président américain Joe Biden lors d’une visite en Irlande. « Je suis préoccupé que ce soit arrivé », avait-il ajouté. Le ministère américain de la Justice a ouvert une enquête pénale après la fuite de ces documents en ligne, qui détaillent les vues de Washington sur la guerre en Ukraine et semblent indiquer une collecte d’informations sur de proches alliés des États-Unis, notamment Israël et la Corée du Sud.
Le Washington Post a rapporté mercredi que la fuite était l’œuvre d’un jeune homme ayant travaillé sur une base militaire, qui a partagé ses informations sur un groupe privé en ligne du réseau social Discord. Constitué d’environ 24 personnes, dont certaines originaires de Russie et d’Ukraine, ce groupe s’était formé dès 2020 autour de leur passion mutuelle pour les armes à feu, le matériel militaire et la religion. Sous le pseudonyme « OG », le suspect aurait publié pendant des mois des documents issus de la base militaire où il travaille.
OG avait demandé aux autres membres du groupe de ne pas diffuser les documents, assurant qu’il n’avait pas l’intention d’être un lanceur d’alerte, indique le Washington Post en citant l’une de ses sources. Il était critique envers l’État – dont il dénonçait « l’abus de pouvoir » –, les forces de l’ordre et la communauté du renseignement.
La garde nationale a indiqué que Jack Teixeira s’était engagé en septembre 2019, travaillait en tant que spécialiste informatique et communications et avait atteint le rang d’aviateur de première classe, le troisième le plus bas de la hiérarchie.
« Pour la sécurité nationale »
Le groupe, composé d’une vingtaine de personnes, s’est formé dès 2020 autour de leur passion mutuelle pour les armes à feu, le matériel militaire et la religion. La porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que les États-Unis examinaient les « implications » de cette fuite « pour la sécurité nationale ».
Le ministre de la Défense, Lloyd Austin, a salué dans un communiqué l’« arrestation rapide » du suspect, ajoutant qu’il avait ordonné un « audit des accès à [leur] renseignement […] et des procédures de contrôle au sein du ministère pour mieux orienter [leurs] efforts visant à éviter que ce genre d’incident ne se reproduise ».
Arrestation de Jack Teixeira
Le Pentagone a également décidé de restreindre davantage l’accès à ce type d’informations sensibles, a déclaré Karine Jean-Pierre à la presse, en marge du déplacement de Joe Biden en Irlande.
La porte-parole a ajouté que le gouvernement américain souhaitait que les réseaux sociaux « évitent de faciliter » la distribution de tels documents confidentiels, estimant qu’ils avaient « une responsabilité envers leurs utilisateurs et le pays ».
Risque « très grave »
Un porte-parole de Discord a affirmé à l’Agence France-Presse que la sécurité de ses utilisateurs était la priorité de la plateforme et que tout contenu enfreignant son règlement pouvait aboutir à l’exclusion du contrevenant, à la fermeture de groupes de discussion et à un signalement aux autorités. L’entreprise a également dit coopérer avec les forces de l’ordre concernant les fuites. Le fait que ces documents circulent en ligne représente « un risque très grave pour la sécurité nationale et peut potentiellement alimenter la désinformation », avait indiqué lundi un porte-parole du ministère américain de la Défense, Chris Meagher.
Les documents mis en ligne révèlent notamment les inquiétudes des services de renseignement américains quant à la viabilité d’une contre-offensive ukrainienne contre les forces russes. Un document examiné par l’Agence France-Presse fait aussi état des préoccupations des États-Unis à propos de la capacité de l’Ukraine à continuer à se défendre contre les frappes russes. Des dizaines de photos de ces documents ont été relayées sur Discord, mais aussi Twitter et Telegram, certains ayant sans doute circulé depuis des semaines, sinon des mois, avant d’attirer l’attention de la presse.
Les autorités américaines n’ont toutefois pas publiquement confirmé l’authenticité de ces documents publiés en ligne, et elle n’a pas encore été vérifiée de manière indépendante. Beaucoup de ces documents ne sont plus disponibles sur les sites où ils sont initialement apparus, et les autorités américaines travaillent à ce qu’ils soient tous retirés.
EN COMPLÉMENTAIRE
Washington tente de rassurer ses alliés, dont Kiev
Touchés par une fuite massive de documents, liés notamment à l’invasion russe en Ukraine, les États-Unis cherchent à apaiser les tensions diplomatiques…mais le mal est fait depuis longtemps et tous ceux et celles éveillées par une information réelle …connaissent très bien le secret de Polichinelle que la dictature corrompue de Zelensky va perdre rapidement cette guerre!
Un scandale qui dépasse les frontières. Les chefs de la diplomatie et de la défense américains ont échangé avec leurs homologues ukrainiens mardi 11 avril alors que les États-Unis cherchent à rassurer leurs alliés, dont Kiev, après la fuite de documents classifiés du renseignement américain.
Tout en refusant de commenter l’authenticité ou le contenu de ces documents, le secrétaire d’État Antony Blinken a dit avoir parlé avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba pour lui signaler « le soutien continu » des États-Unis. Le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a également dit avoir parlé avec son homologue Oleksiï Reznikov, réitérant que Washington prenait cette fuite de documents classifiés « très au sérieux ».
Selon des informations de presse et des documents consultés mardi par l’Agence France-Presse, le renseignement américain a émis des doutes sur une potentielle contre-offensive ukrainienne qui ne pourrait obtenir que de « modestes gains territoriaux » face aux forces russes. Ces documents classifiés figurent parmi ceux étant apparus en ligne après une fuite révélée jeudi par le New York Times et dont le Pentagone a estimé qu’elle représentait un « risque très grave » pour la sécurité nationale des États-Unis.
Des documents classifiés et sensibles
« J’ai été briefé pour la première fois sur la divulgation non autorisée de ces documents classifiés et sensibles le matin du 6 avril », a déclaré Lloyd Austin, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse conjointe à Washington avec les ministres philippins des Affaires étrangères et de la Défense.
« Depuis lors, j’ai convié quotidiennement les responsables du département afin d’examiner notre réponse et ordonné une enquête » interne, a-t-il dit, en rappelant que le département de la Justice avait ouvert de son côté une enquête criminelle.
« Nous prenons cela très au sérieux et nous continuons de travailler étroitement avec nos alliés et partenaires », a-t-il encore dit, en précisant que les documents en question dataient du 28 février et du 1er mars.
De sérieux doutes sur la contre-offensive ukrainienne
Une contre-offensive ukrainienne face aux troupes russes est attendue au printemps. L’Ukraine assure avoir, en amont, formé des brigades d’assaut et stocké des munitions tout en s’efforçant d’épargner ses troupes et d’épuiser celles de son adversaire sur le front. Elle a aussi reçu des chars de combat et de l’artillerie à longue portée de ses soutiens occidentaux.
Mais de robustes défenses russes et « des déficiences persistantes ukrainiennes dans la formation et les réserves de munitions vont probablement mettre à rude épreuve tout progrès et aggraver les pertes durant l’offensive », avance un document du renseignement américain classé secret-défense, selon le Washington Post.
Un autre document, classé « secret » et consulté par l’Agence France-Presse, détaille l’état préoccupant des défenses aériennes ukrainiennes, qui ont jusqu’ici joué un rôle crucial contre les frappes russes, empêchant Moscou de prendre le contrôle de l’espace aérien. Mais ce document affirme que 89 % des défenses de moyenne et longue portée de l’Ukraine étaient constituées de systèmes SA-10 et SA-11 de l’ère soviétique, qui pourraient vite être à court de munitions.
En se basant sur le rythme actuel de consommation de ces munitions, les systèmes SA-11 pourraient être à sec fin mars, et les SA-10 début mai, ajoute le document. La capacité de Kiev à maintenir des défenses aériennes de moyenne portée pour protéger la ligne de front « sera réduite à néant d’ici au 23 mai », conclut le document.
Des roquettes égyptiennes livrées à la Russie ?
Un autre document ayant fuité affirme que le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a ordonné la production de 40 000 roquettes devant être livrées à la Russie, sommant des responsables de garder un tel projet secret « pour éviter des problèmes avec l’Occident », a rapporté le Washington Post dans un article distinct.
Mais le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, un organe directement rattaché au président Joe Biden, a démenti l’information, précisant n’avoir « aucune indication que l’Égypte fournisse un armement létal à la Russie ». « L’Égypte est et reste un important partenaire sur les questions de sécurité », a déclaré ce porte-parole, John Kirby.
« L’armée américaine entretient une relation de défense de longue date avec l’Égypte », a-t-il souligné. Le flot régulier de photographies de documents classifiés a été découvert sur Twitter, Telegram, Discord et autres plateformes ces derniers jours, bien que certains aient pu circuler en ligne pendant des semaines avant d’attirer l’attention médiatique. Beaucoup de ces documents ne sont plus disponibles sur les sites où ils sont initialement apparus, et les autorités américaines travailleraient à ce qu’ils soient tous retirés.
QUELS SONT LES DOCUMENTS SUR LESQUELS LE PENTAGONE FAIT -IL UNE CHASSE À L’HOMME DEPUIS PLUS D’UN MOIS
Ces documents évoquent l’utilisation des munitions, le calendrier des livraisons d’armes ou des formations fournies par l’Occident aux soldats de Kiev.
Le Pentagone cherche à identifier la taupe. Le gouvernement américain a remarqué des fuites de documents classifiés détaillant la stratégie des États-Unis et de l’Otan pour soutenir l’Ukraine face à l’invasion russe, qui ont été publiés cette semaine sur les réseaux sociaux, a révélé jeudi le New York Times. Interrogé, le Pentagone a dit être en train d’enquêter sur le sujet. « Nous sommes au courant des informations de presse concernant des messages publiés sur les réseaux sociaux et le ministère est en train d’examiner la question », a déclaré une porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh.
Ces documents, qui datent du début du mois de mars selon le quotidien américain, évoquent par exemple le rythme auquel les forces ukrainiennes utilisent les cruciales munitions des lance-roquettes mobiles Himars, ou encore le calendrier des livraisons d’armes ou des formations fournies par l’Occident aux soldats de Kiev.
Les documents, partagés sur Twitter et Telegram, semblent authentiques, selon des experts cités par le journal new-yorkais, mais certains auraient été altérés de façon à présenter la situation russe sous un jour plus favorable, notamment en minimisant l’ampleur de leurs pertes. Selon ces fuites, 12 brigades ukrainiennes seraient en train d’être constituées, dont 9 entraînées et équipées par les États-Unis, note le New York Times.
Le 27 mars 2023,selon un responsable britannique:les premiers chars lourds britanniques et allemands sont arrivés en Ukraine, un apport de forces souhaité depuis longtemps par Kiev pour faire face à l’invasion russe.
Ces chars de combat Challenger et Leopard, promis à Kiev au début de l’année, arrivent à temps pour l’offensive de printemps que prévoient les forces ukrainiennes.
Dans le même temps, la Russie a confirmé son projet de déployer des armes nucléaires tactiques au Bélarus, son allié voisin de l’Ukraine et de l’Union européenne, malgré les vives protestations des Occidentaux.
Dans un message publié lundi sur Facebook, le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov, a annoncé que « des Challengers britanniques, des Strykers et des Cougars américains et des Marders allemands » se sont « ajoutés aux unités ukrainiennes ».
ll est aussi à prévoir que les chars d’assault akllemands (désuets) que le Canada de Justin Trudeau a promis au dictateur Zelensky…arriveront quant l’armée russe défilera au centreville de Kiev…comme les bateaux de guerre des années ’50 qui avaient été envoyé en Irak,en 1991.
Il a également publié une photo de ces véhicules, sans préciser le jour où ils sont arrivés.
Une porte-parole du ministère ukrainien, Iryna Zolotar, a confirmé à l’AFP que les tanks Challenger « se trouvaient déjà en Ukraine », sans en donner le nombre exact.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a pour sa part annoncé lundi que Berlin a fourni des chars de combat Leopard « très modernes » à Kiev, et le ministère de la Défense a déclaré plus tard que 18 chars ont été livrés.
Tout cela,vous l’aurez rapidement compris ,ne sont que de la propagande pourrie!
« Faire la différence » (ne rions pas!)
« Nos chars sont arrivés comme promis et ponctuellement entre les mains de nos amis ukrainiens », a déclaré le ministre de la Défense, Boris Pistorius, dans un communiqué. « Je suis sûr qu’ils pourront faire la différence sur le terrain ».
Le Royaume-Uni avait également annoncé début février qu’il formerait des pilotes de chasse ukrainiens, ouvrant la porte à terme à la fourniture d’avions aux normes de l’Otan.
Les Occidentaux considèrent que l’Ukraine a le droit de se défendre, mais certains sont réticents à livrer des armes qui provoqueraient une escalade du conflit en permettant à l’Ukraine de frapper la Russie.
Donc :on attaque,mais pas trop fort…car on a peur!
La Slovaquie a livré récemment quatre MiG-29 à l’Ukraine et la Pologne a promis de faire de même.
A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a affirmé lundi que la Russie ne changerait pas son projet de déployer au Bélarus des armes nucléaires tactiques, malgré les critiques occidentales.
« Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie », a déclaré à la presse M. Peskov.
Les Etats-Unis ont eux réaffirmé n’avoir aucune raison de penser que la Russie se préparerait à utiliser l’arme nucléaire, tout en condamnant l’annonce russe.
« Rhétorique irresponsable »
« C’est l’un des derniers exemples en date de la rhétorique nucléaire irresponsable que nous avons constaté de la part de la Russie », a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.
« Aucun autre pays n’a évoqué la possibilité d’une utilisation de l’arme nucléaire dans ce conflit », a-t-il ajouté, rappelant qu' »aucun pays (n’avait) menacé la Russie » ou « le président Poutine ».
Sur le terrain, des missiles russes se sont abattus lundi sur la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, tuant deux personnes dans leur voiture, blessant plus de 30 autres et détruisant des immeubles, selon la police et les autorités locales.
Dans l’après-midi, une casquette maculée de sang reposait dans la rue à côté d’une voiture dont le siège avant était couvert de sang et de bris de glace, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Oleksandr, 34 ans, croisé devant un immeuble administratif éventré, le visage recouvert d’un bandage, a raconté à l’AFP qu’il était venu faire une visite médicale « dans un centre d’enrôlement militaire ».
Non loin de lui, plusieurs voitures gisaient, totalement carbonisées, et une pelleteuse était à l’oeuvre pour retirer un imposant bloc de béton qui s’est abattu sur l’une d’elles.
« Je travaille ici et je suis arrivée juste au moment de l’explosion », a déclaré, en larmes, Yelena, une coiffeuse de 42 ans.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré lundi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, qui doit se rendre cette semaine dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes.
« Sans le retrait immédiat des troupes et du personnel russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia et des territoires adjacents, toute initiative visant à rétablir la sûreté et la sécurité nucléaires est vouée à l’échec », a déclaré M. Zelensky à M. Grossi, selon un communiqué de la présidence.
Sur Twitter, M. Grossi a indiqué avoir eu avec le président ukrainien « un échange fructueux sur la protection de la centrale nucléaire de Zaporijjia et de son personnel ». « J’ai réitéré le soutien total de l’AIEA aux installations nucléaires ukrainiennes », a-t-il ajouté.
La Slovaquie a livré récemment quatre MiG-29 à l’Ukraine et la Pologne a promis de faire de même.
A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a affirmé lundi que la Russie ne changerait pas son projet de déployer au Bélarus des armes nucléaires tactiques, malgré les critiques occidentales.
« Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie », a déclaré à la presse M. Peskov.
Les Etats-Unis ont eux réaffirmé n’avoir aucune raison de penser que la Russie se préparerait à utiliser l’arme nucléaire, tout en condamnant l’annonce russe.
« Rhétorique irresponsable »
« C’est l’un des derniers exemples en date de la rhétorique nucléaire irresponsable que nous avons constaté de la part de la Russie », a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.
« Aucun autre pays n’a évoqué la possibilité d’une utilisation de l’arme nucléaire dans ce conflit », a-t-il ajouté, rappelant qu' »aucun pays (n’avait) menacé la Russie » ou « le président Poutine ».
Sur le terrain, des missiles russes se sont abattus lundi sur la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, tuant deux personnes dans leur voiture, blessant plus de 30 autres et détruisant des immeubles, selon la police et les autorités locales.
Dans l’après-midi, une casquette maculée de sang reposait dans la rue à côté d’une voiture dont le siège avant était couvert de sang et de bris de glace, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Oleksandr, 34 ans, croisé devant un immeuble administratif éventré, le visage recouvert d’un bandage, a raconté à l’AFP qu’il était venu faire une visite médicale « dans un centre d’enrôlement militaire ».
Non loin de lui, plusieurs voitures gisaient, totalement carbonisées, et une pelleteuse était à l’oeuvre pour retirer un imposant bloc de béton qui s’est abattu sur l’une d’elles.
« Je travaille ici et je suis arrivée juste au moment de l’explosion », a déclaré, en larmes, Yelena, une coiffeuse de 42 ans.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré lundi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, qui doit se rendre cette semaine dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes.
« Sans le retrait immédiat des troupes et du personnel russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia et des territoires adjacents, toute initiative visant à rétablir la sûreté et la sécurité nucléaires est vouée à l’échec », a déclaré M. Zelensky à M. Grossi, selon un communiqué de la présidence.
Sur Twitter, M. Grossi a indiqué avoir eu avec le président ukrainien « un échange fructueux sur la protection de la centrale nucléaire de Zaporijjia et de son personnel ». « J’ai réitéré le soutien total de l’AIEA aux installations nucléaires ukrainiennes », a-t-il ajouté.
Des soldats de Wagner aux commandes d’un canon,secteur de Bakhut.
« Plus de 100 attaques » repoussées
À Bakhmout, l’épicentre actuel du conflit, Evgueni Prigojine, le patron du groupe paramilitaire Wagner, a revendiqué une nouvelle progression de ses hommes qui s’y battent en première ligne. « C’est le bâtiment de l’administration municipale, le centre administratif de la ville », a-t-il déclaré samedi, pointant du doigt, du toit d’un bâtiment, un autre édifice, en guise d’illustration de cette avancée.
« C’est à un kilomètre deux cents », « C’est la zone, il y a des combats en cours », a-t-il ajouté dans une vidéo diffusée par le service de presse de son entreprise Concord.
CONFIRMATION. 300 morts, l’Otan décapitée à Kiev
Le mercredi 15 mars 2023, nous avions annoncé que La Russie a détruit le bunker de commandement souterrain profond de l’OTAN à Kiev. Cette annonce est confirmée dans ce qui suit.
Valérie Bérenger nous informait récemment de la destruction du bunker de commandement de l’Otan à Kiev, enterré à 120 m de profondeur et pulvérisé par une frappe hypersonique dévastatrice.
Le silence radio observé depuis dans les médias occidentaux pouvait laisser planer un doute sur la véracité de cette frappe majeure, qui a décapité le staff de l’Otan mis en place par les faucons de Washington à Kiev.
Mais l’information, bien que cachée tant elle prouve l’écrasante supériorité technologique russe sur l’Otan, et tant elle démontre que les Occidentaux sont bien des cobelligérants à part entière, semble se vérifier.
À elle seule, cette frappe tuant 300 officiers et conseillers de l’Otan, ainsi que des militaires ukrainiens, a fait plus de dégâts dans le camp ukro-otanien que les 400.000 soldats ukrainiens tués ou blessés depuis un an, pauvres bougres envoyés à l’abattoir et dont tout le monde se fout éperdument, à commencer par Biden et Zelensky.
Il va bien falloir expliquer maintenant aux familles de ces officiers anglais, polonais, américains et peut-être français, pourquoi ils sont morts, alors que la Russie n’est pas en guerre contre les pays de l’Otan ou contre l’UE.
– L’Ukraine est-elle dans l’Otan ? Non
– L’Ukraine appartient-elle à l’Union européenne ? Non
– Ces soldats sont-ils morts pour la défense de la démocratie ? Non. Un régime mis en place en 2014 suite à un coup d’État fomenté par la CIA n’a rien d’une démocratie. Assez de mensonges et d’hypocrisie
– Sont-ils morts pour défendre le droit international ? Non. Le droit international voudrait que Kiev respecte les accords de Minsk. Ce que Washington, Berlin et Paris n’ont jamais exigé de Zelensky, malgré les innombrables demandes de Poutine.
Il faut bien comprendre que Poutine n’a JAMAIS voulu cette guerre et que ce sont les Occidentaux qui ont attisé les braises depuis 2014, semant la mort dans les républiques séparatistes du Donbass, en faisant 14 000 victimes.
C’est à la demande des autorités de Lougansk et de Donetsk que Poutine est venu leur porter secours après huit années d’agression kiévienne et de crimes de guerre ininterrompus. L’offensive russe est donc un modèle de légitimité, parfaitement conforme au droit international, alors que les Occidentaux ne cessent de violer ce droit, en pillant les avoirs de la Russie, en décrétant 11 trains de sanctions économiques et en armant l’Ukraine, pays le plus mafieux et corrompu de la planète.
Mais tout cela ne fonctionne pas. Les sanctions ont échoué et ruiné l’Europe.
Et sur le plan militaire, c’est un désastre otanien sans précédent. Moscou tient tête à 40 nations hostiles en ayant engagé le minimum de son gigantesque potentiel militaire.
Par conséquent, cette frappe dévastatrice contre le commandement otanien devrait interroger Biden et ses valets.
300 morts, stop ou encore ?
Nul ne se réjouit de voir 300 soldats et conseillers pulvérisés à 120 mètres sous terre, quel que soit leur camp. Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère totalement illégitime, imposée par Washington ?
Non seulement Poutine ne reculera jamais, mais il a les moyens de faire plier ces têtes brûlées occidentales qui ne savent toujours pas ce qu’est l’âme russe, ni ce qu’est l’armée de Poutine en 2023.
Au-delà de la propagande guerrière prêchant l’escalade sans fin, l’Otan est dans une impasse.
Comment en finir sans perdre la face, après avoir braillé pendant un an que la Russie serait vaincue ?
Bakhmut va tomber. Les armes livrées, chars et avions, sont des rossignols vieux de 40 ans et totalement dépassés face aux armes de dernières génération que possède Poutine.
Kiev n’a guère les moyens de lancer une offensive de grande ampleur. La reprise du Donbass et de la Crimée est une fable.
Côté américain, une nouvelle défaite ukrainienne donnerait des ailes au camp républicain pour 2024, Donald Trump ayant toujours manifesté son opposition à la politique agressive de Biden.
Il va donc falloir négocier en sauvant la face. Pas simple.
Washington peut prétexter un risque d’escalade nucléaire et jouer la sagesse en faisant retomber la pression.
Une défaite de plus ou de moins, après les fiascos du Vietnam, de l’Irak et d’Afghanistan…
Certains pensent que la chute imminente de Bakhmut sera le tournant de la guerre.
Personnellement, je pense que ce tournant, c’est plutôt la destruction du PC enterré de l’Otan début mars.
À mon avis, les naïfs Occidentaux viennent de comprendre qu’ils ne gagneront jamais cette guerre. Ils savent dorénavant ce qui les attend s’ils s’engagent sur le terrain.
L’arme hypersonique est aussi dissuasive que l’arme atomique, sans les ravages de la radioactivité.
Et comme les Américains en sont encore au stade des essais ratés et qu’il leur faudra au bas mot 10 ans pour se doter d’une arme hypersonique opérationnelle, les Russes ont la supériorité technologique pour longtemps.
C’est pour cela que je pense que les va-t-en-guerre de l’Otan, des idiots pour la plupart, vont se calmer et que cette guerre va se terminer en négociant aux conditions de Poutine.
On habillera cette énième déculottée otanienne en prétextant que Poutine est prêt à l’escalade nucléaire et le tour sera joué. L’Otan, par sa sagesse, aura évité une troisième guerre mondiale.
Si 400 000 soldats ukrainiens sont morts pour rien, la désintégration du staff otanien sous un missile hypersonique russe pourrait bien nous ramener la paix.
Le 17 mars 2023, la Cour pénale internationale a émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine pour « crimes de guerre », en l’accusant de déportation d’enfants ukrainiens vers la Russie. La presse occidentale a aussitôt présenté ce mandat d’arrêt comme une nouvelle preuve du caractère criminel de la Russie et de ses dirigeants qui les mettrait au ban de toutes les autres nations.
François Asselineau revient sur cet évènement pour démontrer la supercherie que représente la CPI, laquelle n’a jamais dit un mot sur les crimes de guerre commis par les Occidentaux et infiniment plus nombreux que ceux dont on accuse la Russie. La CPI se révèle ainsi n’être qu’un des outils de propagande et de domination des États-Unis.
Le bruit que font aujourd’hui les médias occidentaux autour de ce mandat d’arrêt contre Poutine contraste singulièrement avec le silence de ces mêmes médias lorsque, en 2011, la « Commission contre les crimes de guerre de Kuala Lumpur » créée par des pays musulmans, condamna pour crimes de guerre l’ancien président des États-Unis George W Bush et l’ancien Premier ministre Britannique Anthony Blair.
La vérité sur le conflit avec la Russie. Et la mort imminente du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale
«En temps de guerre, la vérité est si précieuse, qu’elle doit toujours être protégée par un rempart de mensonges.» – Winston Churchill
Le conflit actuel entre les États-Unis et la Russie est dû à une raison simple : les Ashkénazes, également connus sous le nom de Juifs ashkénazes. Ils ont de nombreux comptes à régler avec la Russie.
Vengeance 1
Permettez-moi de transmettre un peu de tableaux chronologiques alors que nous nous plongeons dans le fond du conflit.
Les Ashkénazes sont les descendants des Gentils (Goy) Ashkénazes, les Japhetites. « Les fils de Japhet étaient Gomer, Javan… Les fils de Gomer : Ashkenaz, Riphath et Togarmah. » Genèse 10:2,3
«Par ceux-ci étaient les îles des Gentils divisées dans leurs terres; chacun selon sa langue, selon sa famille, selon sa nation. » Genèse 10:5
C’est un peuple turc résilient et itinérant. Les Ashkénazes ont le don de se réinventer. Ils sont d’abord apparus dans les annales mondiales en tant que Scythes ou Sakadéens, selon la phonétique régionale, et ils étaient réputés notoirement barbares,
« En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous.. » Colossiens 3 : 11
Le mot Scythe ou Sakadéen vient du mot Saka – avec sa racine verbale iranienne Sak, signifiant errer. L’Empire iranien, alors nommé Parthie et attenant à la Scythie, a influencé ce mot.
Les Scythes ont colonisé l’Eurasie centrale qu’ils ont conquise avec leur frère Gentil Togarmath et divers autres cousins, s’étendant sur une vaste étendue de terre qui englobait, mais sans s’y limiter, des parties de la Turquie et de l’Iran actuels. Leur frère Gentil, Riphath, ainsi que les descendants de leur oncle Javan se sont installés en Grèce.
Plus tard, ils se sont réinventés et se sont installés sur une terre qu’ils appellaient Khazaria – du mot Qasar, avec sa racine turque Qaz, signifiant errer – suite à l’éclatement de l’empire des steppes de la Turquie occidentale. Ensuite, le pays s’est converti en masse au judaïsme/pharisaïsme, entre 740 et 920 après JC, juste pour rester indépendant des deux empires concurrents de l’époque, le christianisme et l’islam.
« Le judaïsme était la religion qui faisait le plus de prosélytisme », a expliqué l’historien juif Shlomo Sand. « La conversion de masse la plus importante s’est produite au 8ème siècle, dans l’immense royaume Khazar entre les mers Noire et Caspienne. »
Puis, Sviatoslav Ier de Kiev détruisit la Khazarie vers 1048 et l’absorba dans la Russie de Kiev, un territoire qui deviendra plus tard une partie de l’Empire russe. Dans la Russie impériale, les Ashkénazes étaient étroitement contrôlés et enfermés dans la zone de résidence, qui, selon Wikipédia, « était une région occidentale de l’Empire russe avec des frontières variables qui existaient de 1791 à 1917 où la résidence permanente des Juifs était autorisée, et au-delà de laquelle la résidence juive, permanente ou temporaire, était pour la plupart interdite. ”
Attendant leur heure,ils ont nourri leur haine et comploté leur vengeance avec une nouvelle réinvention. Ils sont devenus le pouvoir derrière les odieux bolcheviks qui ont pris le contrôle du gouvernement russe dans les années 1910, tué 66 millions de chrétiens, dont 200.000 membres du clergé chrétien, et détruit 40.000 églises. [2]
Soljenitsyne avec Poutine
« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le contrôle de la Russie n’étaient pas des Russes« , a révélé le célèbre écrivain chrétien russe Alexandr Soljenitsyne. “ Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans la moindre once de remords humains. Ceci ne doit pas être surestimé. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore et ne se soucie pas de cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont entre les mains des perpétrateurs”.
La grande majorité de ces bolcheviks vicieux étaient des juifs ashkénazes tels que Vladimir Lénine, Léon Trosky, Lev Kamenev, Gregory Zinoviev, Yakov Sverdlov et Grigory Sokolnikov. Ils ont été financés par des banquiers ashkénazes de New York et de Londres [3], tels que Rothschild Bank et Jacob Schiff of Kuhn and Loeb & Co. qui ont eux-mêmes défendu l’idéologie destructrice de l’ashkénaze Karl Marx, et ont trouvé rentable d’investir dans la conquête désastreuse de la Russie par les communistes, tout en gagnant des dollars dans le processus en pillant le pays via des agents bien placés qui seront plus tard connus sous le nom d’« oligarques ».
L’ensemble de l’empire soviétique russe s’est effondré en 1991. Ainsi, les Ashkénazes ont réussi à mettre la Russie à genoux.
Le Round 1 de la vengeance a ainsi été accompli.
Vengeance 2
La Khazarie chevauchait l’Ukraine et la Crimée
Aujourd’hui, la Russie est sous le feu des critiques pour le conflit en Ukraine. Un conflit déclenché par la néoconservatrice ashkénaze Victoria Nuland au département d’État américain, avec son mari ashkénaze Robert Kagan [4] travaillant en arrière-plan via des organisations puissantes telles que Project for a New American Century, la Brookings Institution et le Council on Foreign Relations. L’ashkénaze George Soros a également contribué financièrement à la « révolution » ukrainienne de Maïdan.
« De nombreux participants aux manifestations » EuroMaidan « de Kiev étaient membres d’ONG financées par Soros et / ou ont été formés par les mêmes ONG dans les nombreux ateliers et conférences parrainés par la Fondation internationale de la Renaissance (IRF) de Soros et ses divers instituts d’Open Society. et fondations », a écrit William F. Jasper dans The New American. « L’IRF, fondée et financée par Soros, se vante d’avoir donné » plus que toute autre organisation donatrice « à la » transformation démocratique « de l’Ukraine. »
En d’autres termes, les Ashkénazes – ou les néo-et-vrais-cons américains qui sont majoritairement juifs – aiguillonnent l’ours russe en excitant le chien américain. Le chien ne peut pas vraiment refuser de réagie parce que le groupe de pression juif AIPAC le tient par la laisse, soudoyant à la fois les républicains (Trump inclus) et les démocrates, qui ne sont que des putains politiques prêtes à trahir leur pays et à risquer la paix du monde. . Et rappelez-vous, l’AIPAC est contrôlé par de puissants chefs d’entreprise américains ashkénazes. Découvrez comment les Juifs ashkénazes ont conquis l’Occident.
Leur seul but est de détruire à nouveau la Russie en allumant un incendie dans son ventre, l’Ukraine. Un incendie qu’ils prévoient de propager en Russie proprement dite par la guerre économique et militaire – un peu comme ce qu’ils ont fait à l’Allemagne avec le boycott économique de 1933 suivi d’un conflit militaire total. Pourquoi?
Parce que la Russie a eu le culot de se relever de ses cendres encore chaudes induites par les Ashkénazes.
Parce que la Russie a eu la témérité d’arrêter leurs agents maffieux bien placés connus sous le nom d' »oligarques », dont beaucoupont fui le pays vers l’Israël de l’apartheid [5], à partir duquel ils ne peuvent plus violer la Russie et voler ses ressources pour enrichir encore plus l’élite juive.
Parce que, comme l’expliqueDavid Sant, « la position de la Russie en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto est une épine dans la patte de la bête atlantiste depuis la guerre froide. La volonté de la Russie d’utiliser son armée pour défendre ses alliés en Syrie, en Ukraine et en Arménie présente un facteur de risque incontrôlable pour l’hégémonie (sioniste) anglo-américaine. Ils ne peuvent pas le tolérer. La Russie a utilisé son veto au Conseil de sécurité à plusieurs reprises pour bloquer le bellicisme américain.
Parce que la Russie menacela domination juive ashkénaze du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et émise par la Réserve fédérale contrôlée par les juifs : un monopole que la Russie est en train de défaire avec sa réémergence mondiale inattendue, en particulier en Europe, en Asie et au Moyen-Orient où le commerce avec la Russie contourne le dollar américain. Un tel retour de l’ours russe est quelque chose que l’élite juive essaie d’empêcher depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont été implacables dans leurs efforts pour maintenir le pays en érigeant des murs économiques et, plus tard sous Poutine, des sanctions paralysantes pour empêcher un tel scénario. Anuradha Chenoy explique :
« … Le gouvernement des États-Unis, en tant qu’émetteur de la monnaie de réserve mondiale, ne s’intéresse qu’à une chose : la prolifération du dollar américain. Ce seul fait est tout ce qu’il faut saisir pour vraiment comprendre la politique étrangère américaine.
« Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Cela signifie que le gouvernement américain, en collusion avec la Réserve fédérale, a la capacité d’imprimer le dollar américain à volonté… et peut exporter son inflation vers le reste des nations du monde. Toute nation qui souhaite s’engager dans le commerce international, y compris l’achat de matières premières telles que le gaz naturel ou le pétrole, doit maintenir d’énormes réserves de dollars américains pour ses achats.
« Le monde, en effet, agit comme une éponge pour absorber l’inflation américaine, permettant au gouvernement américain d’accumuler des déficits obscènes qui permettent un budget militaire massif et enrichissent une très petite partie de la population américaine au détriment non seulement de la population mondiale, mais aussi de la classe ouvrière américaine.
Quant à toute nation qui veut se libérer du dollar américain, nous ne savons que trop bien ce que les États-Unis lui réservent… C’est là qu’intervient la Fédération de Russie. Si l’on veut vraiment comprendre pourquoi l’establishment américain déteste la Russie sous Vladimir Poutine, il suffit de comprendre le rôle du dollar dans le monde. La Russie est une menace directe pour la prolifération du dollar américain.
« Pour sa part, la Fédération de Russie est devenue assez résiliente au cours des 20 dernières années et beaucoup moins sensible à toute pression ou influence extérieure… La Russie est une nation souveraine qui n’est pas intimidée par les États-Unis.
« Les États-Unis ne peuvent pas simplement lancer une frappe militaire contre la Fédération de Russie comme ils l’ont fait en Irak et en Libye et dans de nombreux autres pays qui ont rejeté l’hégémonie du dollar. La Russie a désormais le pouvoir d’empêcher la prolifération du dollar américain. Pour revenir à l’analogie de l’éponge : la Russie réduit la taille de l’éponge. Cela laisse le gouvernement américain avec un nombre de plus en plus petit de pays vers lesquels exporter l’inflation en dollars. Plus l’éponge devient petite, plus la politique étrangère américaine devient désespérée, alors que les dirigeants américains essaient par tous les moyens de préserver leur emprise sur la puissance mondiale… »
…. Tout cela au profit d’une petite élite juive et de leur pays d’apartheid qui leur sert de refuge au cas où les choses cesseraient soudainement d’aller dans leur sens. L’apartheid israélien n’existe pas en tant que foyer pour tous les Juifs à cause du soi-disant antisémitisme mondial, comme ils le prétendent, mais c’est :
a)le protecteurde la Réserve fédérale contrôlée par les Juifs – l’agence d’espionnage d’Israël, le Mossad, espionne les politiciens américains et les fait chanter avec leur linge sale, en même temps que l’AIPAC les soudoie sans vergogne, assurant ainsi la domination juive sur le dollar américain, la monnaie de réserve actuelle du monde ;
b)l’exécuteurchargé de détruire tout pays qui refuse d’utiliser le système financier judéo-américain et son dollar fiduciaire comme principal outil de commerce ;
c)le sanctuaire pour les criminels élitistes juifs – en particulier lorsqu’il y aura une véritable révolution américaine, similaire à ce qui s’est passé en Russie sous Poutine, qui cible les oligarques juifs détruisant l’économie américaine pour s’enrichir.
Par conséquent, parce que la Russie est une menace pour l’emprise de l’élite juive américano-ashkénaze sur le pouvoir mondial, elle est ciblée. Et ce qui suit a été lancé:
1) une guerre économique de la terre brûlée contre le pays afin de le détruire intérieurement ;
2) l’OTAN empiétant sur les frontières de la Russie, contrairement aux accords précédents, pour mieux lui faire la guerre dans un futur proche ;
3) les dirigeants juifs ukrainiens et leurs bataillons néo-nazis commettant des crimes de guerre et le nettoyage ethnique des Russes dans la région ukrainienne du Donbass en quête d’indépendance, qui est habitée principalement par des Russes, afin d’inciter la Russie à une opération militaire pour protéger ses compatriotes russes là-bas, puis les vilipender et imposer des sanctions économiques plus paralysantes.
La vengeance Round 2 est en cours.
Vengeance 3
Après la destruction de la Khazarie, un grand nombre d’Ashkénazes se sont dispersés à l’Est et à l’Ouest à travers l’Europe et se sont réinventés en tant que Juifs errants ou Juifs errants (Khazars/Sakadéens ou Scythes). Cette étiquette n’avait rien à voir avec un désir de Palestine mais un désir de Khazarie ou peut-être un désir d’une nouvelle terre, n’importe quelle nouvelle terre. Voici un extrait de Wikipédia :
En 1903, Theodore Herzl a présenté le programme de l’Ouganda britannique [comme foyer juif] au sixième congrès sioniste à Bâle.
À la fin des années 1930, la Ligue sioniste britannique a envisagé un certain nombre d’autres endroits où une patrie juive pourrait être établie. La région de Kimberley en Australie a été envisagée jusqu’à ce que le gouvernement Curtin (en fonction: 1941-1945) rejette la possibilité.
Avec le soutien du premier ministre de Tasmanie de l’époque, Robert Cosgrove (en poste depuis 1939), Critchley Parker proposa une colonie juive à Port Davey, dans le sud-ouest de la Tasmanie. Parker a arpenté la région, mais sa mort en 1942 a mis fin à l’idée.
L’oblast autonome juif créé dans l’Extrême-Orient russe en 1934 représentait une approche soviétique pour fournir une patrie juive.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre se sont assimilés à contrecœur dans toutes les Amériques. Cependant, la grande majorité a émigré en Palestine où ils ont créé de nombreux groupes terroristes tels que Irgun, le Stern gang, et Haganah.. Ils ont terrorisé la population palestinienne, tué des milliers de personnes et forcé des centaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons et à se réfugier dans les pays arabes voisins. Par conséquent, ils ont volé la Palestine et l’ont rebaptisée Israël afin de se réinventer en tant qu’hébreux et tromper les chrétiens crédules en Occident.
« Il est certain qu’il n’y a pas de continuum ethnique ou racial entre les Israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l’État juif« , a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif.
Dans leurs pays d’adoption en dehors d’Israël, y compris les États-Unis et l’Europe, les Ashkénazes sont devenus des puissances financières et influentes, non pas parce qu’ils sont juifs – au fond, la majorité d’entre eux ne sont vraiment pas religieux du tout et s’en fichent – mais parce que ce sont des rapaces avisés. Ils ont beaucoup appris de leur errance à travers l’histoire. Ce sont les ultimes nomades.
Était-ce dans l’esprit de Poutine ?
Se pourrait-il qu’après deux échecs idéologiques successifs sous les formes du communisme et la destruction actuelle au ralenti du sionisme en Israël, quelque part au plus profond de l’esprit des dirigeants ashkénazes purs et durs se trouve un plan pour une nouvelle réinvention ?
Cette réinvention sera-t-elle la reconquête de leur Khaganat Khazar – une terre située au plus profond de la Russie et englobant l’Ukraine et la Crimée ? Est-ce pour cela que Poutine a soudainement rattaché la Crimée à la Russie ?
Se pourrait-il que le plan des Ashkénazes soit de reprendre et de réinstaller leur ancienne Khazarie après la chute probable de l’apartheid Israël ? Est-ce la raison pour laquelle le président dûment élu de l’Ukraine a été destitué de force en 2014 afin d’installer un gouvernement fantoche avec un nouveau Premier ministre nommé Arseni Iatseniouk, qui, selon The Guardian, essayait de caher ses racines juives ?
Arseni Iatseniouk a ensuite été remplacé par un autre Juif, Volodymyr Groysman, avec un président juif sniffeur de coke [une tantouse idole des télévisions occidentales] Volodymyr Zelensky, un comédien cochon et grossier (voir la vidéo ci-dessous), qui aurait été « élu » (qui a volé 850 millions de dollars au Trésor ukrainien) ; faisant ainsi de l’Ukraine à ce moment-là le seul pays au monde, en dehors d’Israël de l’apartheid, dont le président et le premier ministre étaient tous deux juifs, indiquant ainsi la direction vers laquelle le pays se dirigeait. D’ailleurs, Zelensky ne s’en cache pas, il a déclaré : « L’Ukraine deviendra le Grand Israël« .
Wayne Madsen explique la conspiration derrière ce concept ukrainien du Grand Israël :
« L’histoire explosive du Times of Israel sur les racines khazars des Ashkénazes a également révélé qu’Israël, sachant qu’un État palestinien est inévitable, compte tenu de la pression croissante de l’Europe, se prépare à transférer des colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. Les recherches avancées d’Israël en génétique ont abouti à l’établissement d’une lignée ADN directe entre les Ashkénazes d’Israël et les Khazars qui ont été dispersés à travers l’Europe centrale et orientale après que la Russie a conquis l’empire khazar au 11ème siècle…
« En Ukraine, le soi-disant « deuxième Israël » (le magnat milliardaire juif ukrainien) , Ihor Kolomoisky et Kiev ont enrôlé un certain nombre d’anciens membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, y compris le bataillon (nazi) Azov. L’une des unités israéliennes est connue sous le nom de «Casques bleus de Maïdan» et est commandée par un Israélien utilisant le pseudonyme «Delta». Si Israël n’avait pas intérêt à étendre son influence en Ukraine, il pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre en Ukraine…
« Certains russophones du Donbass se méfient des intentions des pro-israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoisky a recruté un certain nombre de néo-nazis de l’ouest de l’Ukraine et d’Europe pour combattre dans ses bataillons dont les organisations de droite ont toujours souscrit à l’idée d’une future « bataille royale » entre la Russie et les restes de la Khazarie en Israël, en Ukraine, en Pologne et dans la République de Géorgie pour venger la défaite de la Khazarie au XIe siècle face à l’Empire russe. ”
Il est tout à fait possible que les Israéliens ne soient pas seulement intéressés par la vengeance et la réinstallation des voleurs de terres juifs (c’est-à-dire des colons) de la Cisjordanie de Palestine dans une région du Donbass ethniquement nettoyée et exempte d’indigènes russes, en particulier lorsque l’establishment juif d’Israël a juré qu’il n’y aura jamais d’État palestinien, et encore moins d’expulser les voleurs de terres juifs des terres volées en Cisjordanie.
Leur plan ouvertement discuté pour que les voleurs de terres israéliens se « réinstallent » en Ukraine pourrait être une couverture pour le but plus néfaste de reconquérir l’ensemble de leur Khaganat Khazar où une grande partie de la population juive d’Israël de l’apartheid, en particulier ceux qui n’ont pas de double passeport de leurs pays d’origine, migreront une fois que la Grande Guerre éclatera au Moyen-Orient.
« En regardant en arrière dans l’histoire, il faut admettre que ces terres sont les anciennes terres ancestrales de la Khazarie juive, c’est-à-dire Israël, capturées par la Rus’ de Kiev (l’ancien État de Russie avec la capitale à Kiev) au Xe siècle« , a pontifié il y a 25 ans le rabbin Menahem Mandel Schneerson, un aspirant Messie trompeur. “ Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et sont susceptibles d’être expulsés. Nous reviendrons sur ce territoire et construirons la Grande Khazarie – l’Etat juif – sur ces terres fertiles de la même manière qu’il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s’installeront partiellement ici et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Il y aura un petit Territoire du Nord, une réserve avec une population compacte – une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique. ”
Mais les Juifs ashkénazes seraient-ils d’accord avec juste l’Ukraine – moins la Crimée, le Donbass et le Sud (tous les territoires russes avant 1922, habités par des Russes de souche et récemment annexés à la Russie proprement dite par vote populaire) – comme nouvelle base à partir de laquelle ils projetteraient de détruire leur perpétuel ennemi russe, ainsi que tous les autres ennemis imaginaires, et de préserver leur emprise sur le système financier mondial en utilisant leur émission par la Réserve fédérale de dollars américains fiduciaires comme monnaie de réserve mondiale incontestée ?
Vengeance Round 3? Nyet.
ET L’ARROGANCE S’ARRÊTE ICI
La cabale juive contrôlant le monde financier occidental pensait que la patience russe face à leur agression incessante en Ukraine pour déstabiliser leur pays était une faiblesse, et donc une erreur de calcul.
« C’est un fait qu’au cours des 30 dernières années, nous avons patiemment essayé de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN concernant les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe« , a déclaré Poutine en février 2022. « En réponse à nos propositions, nous avons invariablement été confrontés soit à des tromperies cyniques et à des mensonges, soit à des tentatives de pression et de chantage, tandis que l’alliance nord-atlantique continuait de s’étendre malgré nos protestations et nos inquiétudes. Sa machine militaire est en mouvement et, comme je l’ai dit, s’approche de notre frontière même. ”
Maintenant, la Russie a agi, et après une longue hibernation, l’ours s’est réveillé avec fureur. Poutine a ordonné à son armée de libérer la région du Donbass des Ukronazis et de démilitariser et dénazifier entièrement l’Ukraine (c’est-à-dire que la région du Donbass sera coupée de l’Ukraine et deviendra indépendante tandis que l’Ukraine doit être ramenée dans l’orbite de la Russie et loin du contrôle juif).
Le Juif nazi-sioniste immoral : le président ukrainien Zelensky, centre droit, au défilé de la « fierté gay »
« L’opération militaire spéciale du président Poutine pour défendre le peuple du Donbass contre une offensive générale imminente du régime néonazi de Kiev est non seulement pleinement justifiée en droit international par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, mais elle est pleinement cohérente avec la praxis militaire et la doctrine de la légitime défense des États face à une menace imminente émanant d’un État voisin ou de forces ennemies », explique Heinz Dieterich, directeur du Centre des sciences de la transition (CTS) de l’Université métropolitaine autonome à Mexico et coordinateur du World Advanced Research Project (WARP).
Et si les conspirateurs sionistes/néocons et leurs politiciens occidentaux achetés et payés n’ont pas clairement compris le message, Poutine a fait cette déclaration sans équivoque :
“ Je voudrais maintenant dire quelque chose de très important pour ceux qui pourraient être tentés d’interférer dans ces développements de l’extérieur. Peu importe qui essaie de nous barrer la route ou, a fortiori, de créer des menaces pour notre pays et notre peuple, ils doivent savoir que la Russie réagira immédiatement, et les conséquences seront telles que vous n’en avez jamais vues dans toute votre histoire. Peu importe comment les événements se déroulent, nous sommes prêts. Toutes les décisions nécessaires à cet égard ont été prises. J’espère que mes paroles seront entendues. ”
“J’ai vu la prospérité des méchants… Leur force est ferme… L’orgueil leur sert de collier ; La violence les couvre comme un vêtement… C’est ainsi que sont les méchants – toujours sans souci alors qu’ils continuent d’amasser des richesses… Sûrement (Seigneur) Tu les places sur un sol glissant… Comme ils tombent soudainement et sont détruits, complètement emportés par des terreurs ! ” Psaume 73:2,4,6,12,18,19
CONCLUSION : LA RUSSIE ET LE $ US
La Russie est dans le collimateur des barons voleurs juifs (alias les « élites » occidentales) depuis plus d’un siècle, et sa survie même dépend de sa capacité à repousser de toutes ses forces.
« La dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes », a déclaré Poutine.
« C’est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une « religion à l’envers » – le pur satanisme. Dévoilant de faux messies, Jésus-Christ a dit dans le sermon sur la montagne : » C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Ces fruits vénéneux sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes dans le monde. Ouest lui-même. ”
Avec une victoire de la Russie commencera la destruction du système financier par lequel cette mafia juive contrôle et influence le monde. Le Russe Andrei Bezrukov, membre du Présidium du Conseil de politique étrangère et de défense, est d’accord :
« Je veux dire que l’Occident a réussi à nous entraîner dans cette guerre. Peu importe comment nous avons essayé de résister, c’est leur victoire tactique. Ils ont réussi à heurter deux nations fraternelles l’une contre l’autre.
« De cela, nous pouvons tirer la conclusion suivante – maintenant nous avons été pratiquement contraints, surtout après le dernier paquet de sanctions, dans une position où nous n’avons pas d’autre choix que de restructurer totalement notre économie, notre système financier et, en substance, notre politique intérieure .
« Le fait est qu’en gagnant tactiquement et en réussissant à nous quereller avec le peuple ukrainien – la guerre, naturellement, est le niveau ultime de querelle – ils n’ont pas compris qu’en faisant cela, ils ont totalement détruit le système même qu’ils avaient construit dans le monde. Ce n’est pas encore visible, mais dans quelques mois, leurs chaînes financières coupées, leurs messages idéologiques brisés et leur système de sécurité brisé deviendront apparents. ”
Bloomberg semble être du même avis et conclut comme suit : « Expulser la Russie du système mondial critique – qui gère 42 millions de messages par jour et sert de bouée de sauvetage à certaines des plus grandes institutions financières du monde – pourrait se retourner contre lui, faisant grimper l’inflation, poussant la Russie à se rapprocher de la Chine et protéger les transactions financières de l’examen minutieux de l’Occident. Cela pourrait également encourager le développement d’une alternative SWIFT qui pourrait éventuellement nuire à la suprématie du dollar américain. ”
Et lorsque le FMI se joint au chœur selon lequel les sanctions contre la Russie pourraient se retourner contre la position du dollar américain dans le monde, alors la situation devient vraiment grave.
« Le premier directeur général adjoint du FMI, Gita Gopinath, a averti que les sanctions occidentales contre la Russie, et plus précisément la confiscation des réserves libellées en dollars et en euros détenues par la Banque centrale russe, pourraient se retourner contre eux en rendant les autres banques centrales étrangères plus réticentes à détenir une si grande quantité de leurs propres réserves de change en dollars et en euros », a écrit Zero Hedge.
Prenant les choses d’un cran, Poutine a officiellement décrété qu’à partir du 1er avril 2022, la Russie n’acceptera que des roubles, de l’or ou des bitcoins comme paiement pour les exportations d’énergie vers des pays « inamicaux ».
« Si Poutine applique sa demande d’accepter uniquement les roubles, l’or ou le bitcoin pour les exportations d’énergie, le dollar perd instantanément une utilité significative dans le monde« , a écrit Mike Adams. « Les pays qui souhaitent acheter de l’énergie à la Russie – qui comprend la plupart des pays européens – devront d’abord acheter des roubles, puis échanger des roubles contre de l’énergie. Cela donne aux roubles un soutien instantané aux matières premières… La dernière décision de Poutine menace l’avenir même de la monnaie dollar (fiat) et pourrait signifier le début de la fin pour le dollar.”
« Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui roule une pierre, elle retombera sur lui. » Proverbes 26:27
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ADDENDA 1
Un rapide récapitulatif des sionistes ukrainiens
[videopress WuKArCJx]
Seuls les cerveaux morts à travers l’OTANstan – et il y en a des hordes – ne sont pas au courant de Maidan en 2014. Pourtant, peu de gens savent que c’est alors le ministre ukrainien de l’Intérieur Arsen Avakov, ancien gouverneur de Kharkov, qui a donné le feu vert à un groupe de 12 000 paramilitaires pour matérialiser des hooligans de football de la Sect 82 qui ont soutenu le Dynamo Kiev. C’est ainsi qu’est né le bataillon Azov, en mai 2014, dirigé par Andriy Biletsky, alias le Führer blanc, et ancien chef du gang néonazi des Patriotes d’Ukraine.
Avec l’agent de l’OTAN Dmitro Yarosh, Biletsky a fondé Pravy Sektor, financé par le parrain de la mafia ukrainienne et milliardaire juif Ihor Kolomoysky (plus tard le bienfaiteur de la méta-conversion de Zelensky de comédien médiocre à président médiocre).
Il se trouve que Pravy Sektor était farouchement anti-UE – dites-le à Ursula von der Lugen – et politiquement obsédé par l’idée de relier l’Europe centrale et les pays baltes dans un nouvel intermarium sordide. Surtout, Pravy Sektor et d’autres gangs nazis ont été dûment formés par des instructeurs de l’OTAN.
Biletsky et Yarosh sont bien sûr des disciples de Stepan Bandera, collaborateur nazi notoire de la Seconde Guerre mondiale, pour qui les Ukrainiens purs sont proto-germaniques ou scandinaves, et les Slaves sont Untermenschen.
Azov a fini par absorber presque tous les groupes néonazis en Ukraine et a été envoyé pour lutter contre le Donbass – leurs acolytes gagnant plus d’argent que les soldats réguliers. Biletsky et un autre dirigeant néonazi, Oleh Petrenko, ont été élus à la Rada. Le Führer blanc était autonome. Petrenko a décidé de soutenir le président Porochenko. Bientôt, le bataillon Azov a été incorporé en tant que régiment Azov à la Garde nationale ukrainienne.
Ils se sont lancés dans une campagne de recrutement de mercenaires étrangers – avec des personnes venant d’Europe occidentale, de Scandinavie et même d’Amérique du Sud.
Cela était strictement interdit par les accords de Minsk garantis par la France et l’Allemagne (et aujourd’hui de facto disparus). Azov a mis en place des camps d’entraînement pour adolescents et a rapidement atteint 10 000 membres. Erik « Blackwater » Prince, en 2020, a conclu un accord avec l’armée ukrainienne qui permettrait à son équipe renommée, Academi, de superviser Azov.
Ce n’est nul autre que la sinistre distributrice de biscuits Maidan, la virago Vicky « Fuck the EU » Nuland, qui a suggéré à Zelensky – tous deux, soit dit en passant, juifs ukrainiens – de nommer le nazi avoué Yarosh comme conseiller du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi. L’objectif : organiser une guerre éclair sur le Donbass et la Crimée – la même guerre éclair dont le SVR, les renseignements étrangers russes, a conclu qu’elle serait lancée le 22 février, propulsant ainsi le lancement de l’opération Z.
Tout ce qui précède montre qu’en Ukraine, il n’y a aucune différence entre les néonazis blancs et les al-Qaïda/ISIS/Daesh de couleur brune. Ainsi les néonazis sont tout aussi « chrétiens » que les takfiris salafistes djihadistes d’ISIS sont « musulmans ». .
Lorsque Poutine a dénoncé une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev, l’humoriste (qui sait jouer du piano avec son sexe et qui sait danser en tenue cuir et avec des talons hauts, d’où son succès en Occident) a répondu que c’était impossible car il était juif. Absurdité. Zelensky et son patron Kolomoysky, à toutes fins pratiques, sont des sionistes.
Alors même que des branches du gouvernement des États-Unis admettaient les néo-nazis retranchés dans l’appareil de Kiev, la machine Exceptionnaliste (US) a tout simplement fait disparaître le bombardement quotidien du Donbass pendant 8 ans. Ces 14 000 victimes civiles n’ont jamais existé.
Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien, Shlomo Sand , apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars[a].
Victor Brauner. — « Coupe du doute » (1946)
Museu de Arte, São Paulo, Brésil
Le récit officiel
Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah (1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Égypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David [b] et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.
S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.
Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe [c], dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.
D’où vient ce fantasme ?
D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.
Lorsque apparaissaient des découvertes susceptibles de contredire l’image du passé linéaire, elles ne bénéficiaient quasiment d’aucun écho. L’impératif national, telle une mâchoire solidement refermée, bloquait toute espèce de contradiction et de déviation par rapport au récit dominant. Les instances spécifiques de production de la connaissance sur le passé juif — les départements exclusivement consacrés à l’« histoire du peuple juif », séparés des départements d’histoire (appelée en Israël « histoire générale ») — ont largement contribué à cette curieuse hémiplégie. Même le débat, de caractère juridique, sur « qui est juif ? » n’a pas préoccupé ces historiens : pour eux, est juif tout descendant du peuple contraint à l’exil il y a deux mille ans.
Ces chercheurs « autorisés » du passé ne participèrent pas non plus à la controverse des « nouveaux historiens », engagée à la fin des années 1980. La plupart des acteurs de ce débat public, en nombre limité, venaient d’autres disciplines ou bien d’horizons extra-universitaires : sociologues, orientalistes, linguistes, géographes, spécialistes en science politique, chercheurs en littérature, archéologues formulèrent des réflexions nouvelles sur le passé juif et sioniste. On comptait également dans leurs rangs des diplômés venus de l’étranger. Des « départements d’histoire juive » ne parvinrent, en revanche, que des échos craintifs et conservateurs, enrobés d’une rhétorique apologétique à base d’idées reçues.
Le judaïsme, religion prosélyte
Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.
La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Égypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.
Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Égypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci… était aux mains des Égyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.
Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.
L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.
Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).
A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.
Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.
La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina [d], qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.
La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle [a]. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).
Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.
Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».
Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.
Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ».
Écrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.
Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.
2-
Les Juifs fomenteurs de la Shoah russe : Ceux qui ouvrirent la voie :
– Gesya Gelfman (juive) : criminelle responsable de l’assassinat du Tsar Alexandre II.
– Jacob Schiff (juif) : le banquier américain qui finança la révolution russe de 1917.
– Olaf Aschberg (juif) : banquier.
– Evno Azev (juif) : agent double.
– Grigori Guerchouni : assassin professionnel.
– Alexandre Parvus (juif) : révolutionnaire professionnel.
– Jacob Ganetski (Jacob Furstenberg) (juif) : larbin de Lénine. Les moteurs de la révolution de 1917 :
– Léon Trotski (juif) : révolutionnaire professionnel.
– Lev Kamenev (juif) : révolutionnaire professionnel.
– Grigory Zinoviev (juif) : L’apôtre de la terreur socialiste.
– Iakov Sverdlov (juif) : Assassin du Tsar et de sa famille.
– Grigori Sokolnikov (juif) : ministre des finances de Juifs bolcheviques.
– Karl Radek (juif) : dirigeant socialiste.
– Maxim Litvinov (juif) : issu d’une famille de banquiers juifs, ministre des Affaires étrangères bolchevique.
– Adolf Joffé (juif) : commissaire du peuple aux Affaires étrangères.
– Moïsseï Ouritski (juif) : chef de la Tcheka de Petrograd et grand criminel.
– Moïse Volodarski (juif) : assassin en gros.
– Lazare Kaganovitch (juif) : assassin en gros. Les exécuteurs zélés :
– Guenrikh Iagoda (juif) : le plus grand meurtrier juif du 20è siècle.
– Martyn Latsis : l’exterminateur de la bourgeoisie.
– Jacob Agranov (juif) : « S’il n’y a pas d’ennemi, il faut en créer ».
– Iakov Iakovlev (juif) : exterminateur de la paysannerie.
– Semyon Dimanstein (juif) : rabbin promoteur de la région juive « autonome », donc sioniste.
– Alexandre Lozovski (juif) : chef syndicaliste et fondateur du Comité antifasciste juif.
– Jacob Yourovski (juif) : criminel ordonnant le massacre de la famille impériale.
– Yakov Davydov (juif) : chef du Département des affaires étrangères de la Tchéka 1921-1922, le premier chef du renseignement extérieur soviétique.
– Solomon Mogilevsky (juif) : chef du service de renseignement extérieur.
– Mikhail Trilisser (juif) : espionnage et contre-espionnage en tous genres.
– Abram Slutsky (juif) : celui qui traquait les opposants à l’étranger.
– Sergey Spigelglas (juif) : chef par intérim du service de renseignement extérieur soviétique.
– Grigori Maïranovski : chimiste assassin.
– Isaï Berg (juif) : inventeur des chambres à gaz ambulantes. Au Goulag :
– Naftali Frenkel (juif) : organisateur de l’esclavage dans l’institution du Goulag.
Bien-sûr tous les Juifs ne furent pas bolcheviques et tous les bolcheviques n’étaient pas des Juifs. Cependant incontestablement tout une génération de Juifs fut cancérisée par le pouvoir et donc participa à la Shoah anti russe qui fut commise à très grande échelle et jusqu’aux « grandes purges staliniennes » soviétiques de la fin des années 1930.
Des Juifs massacreurs sont parmi les plus grands criminels de tous les temps, et ils se moquaient totalement de leur religion.
Cette génération de Juifs joua un rôle essentiel, pourtant ils n’étaient qu’environ 4% de la population russe. De plus, cette génération de criminels bénéficia, surtout aux États-Unis, d’un fort soutien et d’une réelle sympathie de la diaspora juive.
Avec la ville de Donbass presque complètement encerclée, cela fait des semaines que les responsables occidentaux auraient exhorté Kiev à se retirer.
Kiev a envoyé des renforts à la ville stratégiquement vitale d’Artyomovsk / Bakhmut, a déclaré mardi le vice-ministre ukrainien de la Défense Hanna Malyar. La ville a été pilée par l’artillerie russe, au point où les bailleurs de fonds occidentaux de Kiev auraient appelé le président Vladimir Zelensky pour réduire ses pertes et se retirer.
Malyar a annoncé le déploiement de renforts à la télévision nationale, avec divers médias ukrainiens portant ses commentaires. Selon le vice-ministre, la décision de renforcer Artyomovsk (appelé Bakhmut en Ukraine) a été « prise par les militaires, qui ne sont pas guidés par des motifs politiques ».
Durant ces dernières 24 heures, l’armée russe a abattu trois hélicoptères et 11 drones, indique la Défense russe. Environ 880 soldats ukrainiens, dont 490 sur l’axe de Donetsk, ont été éliminés. Une dizaine d’obusiers ont été détruits, dont deux de production américaine, tout comme un LRM Grad.
Environ 880 militaires ukrainiens ont été éliminés ces dernières 24 heures, a rapporté ce 4 mars le ministère russe de la Défense dans son bilan quotidien de l’opération spéciale.
Environ 490 d’entre eux ont été tués sur l’axe de Donetsk, jusqu’à 150 dans la direction de Krasny Liman, et plus de 90 sur l’axe de Koupiansk.
Les forces de Kiev ont également perdu près de 80 de leurs soldats sur les axes du sud de Donetsk et de Zaporojié, et plus de 70 dans la région de Kherson.
Les chasseurs et la DCA russes ont détruit trois hélicoptères Mi-8 dans la région de Dniepropetrovsk et de Zaporojié.
La défense aérienne russe a également abattu 11 drones ainsi que 12 projectiles de lance-roquettes multiples HIMARS.
L’artillerie russe a en outre anéanti deux canons légers M777 de production américaine sur l’axe de Donetsk, ainsi que quatre obusiers D-30, trois D-20 et deux obusiers Msta-B.
Un système de lance-roquettes multiples Grad et le radar d’un S-300 ont aussi été détruits avec des dizaines de chars et d’autres véhicules blindés.
Au total, en 24 heures, 83 postes d’artillerie ainsi que du personnel et du matériel militaires ont été bombardés dans 197 zones.
Depuis le début de l’opération militaire spéciale en Ukraine, l’armée russe a abattu 394 avions, 215 hélicoptères et 3.324 drones. Elle a détruit 408 systèmes de défense antiaérienne, 8.145 chars et autres blindés, 1.049 véhicules de lance-roquettes multiples, 4.273 pièces d’artillerie de terrain et de mortiers, et 8.722 autres équipements militaires.
Kiev rassemble des troupes près de la frontière avec la région séparatiste de la Transnistrie en Moldavie, selon l’armée
L’Ukraine se prépare à envahir la région sécessionniste de la Moldavie en Transnistrie, a annoncé jeudi soir le ministère russe de la Défense.
Le MOD a signalé une « accumulation importante de personnel et d’équipements militaires ukrainiens près de la frontière entre l’Ukraine et la Transnistrie », ainsi que la mise en place de positions d’artillerie et une augmentation « sans précédent » des vols de drones au-dessus de la région.
« Les forces armées russes répondront de manière appropriée à la provocation imminente de la partie ukrainienne », a déclaré le ministère.
Le territoire situé sur la rive gauche du Dniestr s’est séparé de la Moldavie et s’est déclaré république indépendante au début des années 1990. Sa population majoritairement russophone ne voulait pas rester minoritaire dans le pays, lui-même devenu indépendant lors de l’éclatement de l’Union soviétique.
Moscou dit qu’il répondra à toute « provocation » de Kiev contre les Casques bleus russes en poste dans la région sécessionniste moldave
Toute action de l’Ukraine ou de l’Occident qui constitue une menace pour les casques bleus ou les ressortissants russes dans la région séparatiste moldave de Transnistrie sera considérée comme une attaque contre la Russie, a déclaré le ministère des Affaires étrangères du pays. Il a mis en garde Kiev et ses partisans occidentaux contre les «provocations» là-bas.
Dans un communiqué publié vendredi, des diplomates russes ont cité des données du ministère de la Défense du pays, selon lesquelles l’Ukraine a amassé un nombre considérable de militaires, ainsi que du matériel et de l’artillerie à sa frontière avec la Transnistrie. À la lumière de cela, Moscou a mis en garde les «États-Unis, les États membres de l’OTAN et leurs sous-fifres ukrainiens contre toute autre mesure aventureuse».
Alors que la Russie privilégie les moyens « politico-diplomatiques » de résoudre les problèmes, « personne ne devrait douter que les forces armées russes réagiront de manière appropriée à toute provocation du régime de Kiev », indique le communiqué.
Les États-Unis se sont engagés à fournir plus d’armes et d’équipements à hauteur de 2 milliards de dollars, dont plusieurs types de drones et de munitions
Washington débourse 2 milliards de dollars supplémentaires pour renforcer l’armée ukrainienne, a annoncé le Pentagone. Le département américain de la Défense a souligné une fois de plus que la Maison Blanche, avec ses alliés occidentaux, continuera à soutenir Kiev « aussi longtemps qu’il le faudra ».
Dans un communiqué publié vendredi, à l’occasion du premier anniversaire de l’offensive russe en Ukraine, le Pentagone a déclaré que son engagement à soutenir Kiev n’avait « que renforcé » au cours des 12 derniers mois.
Le dernier programme d’assistance à la sécurité met un accent particulier sur les systèmes aériens sans pilote supplémentaires, y compris les drones kamikazes Switchblade 600 UAS, ainsi que les équipements de détection anti-drones et de guerre électronique. En plus de cela, Washington s’est engagé à fournir à l’Ukraine un nombre non divulgué de missiles pour les systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité (M142 HIMARS) et des obus d’artillerie de 155 mm.
Le Pentagone a déclaré que contrairement au « Presidential Drawdown », les armes constituant le dernier paquet ne proviendraient pas des propres stocks de l’armée américaine, mais plutôt achetées spécifiquement auprès des fabricants.
L’inspecteur général de l’armée a apparemment admis que les États-Unis ne peuvent pas suivre ses propres lois sur le contrôle des armes
Un rapport classifié l’année dernière a révélé que le Pentagone n’était pas en mesure de garder un œil sur des dizaines de milliards de dollars d’armes envoyées en Ukraine. Les détails du rapport ont été révélés – apparemment par inadvertance – par un législateur républicain lors d’une audience mardi.
S’exprimant mardi lors d’une audition du comité des services armés de la Chambre à Washington, l’inspecteur général du Pentagone, Robert Storch, a noté que les États-Unis avaient alloué 113 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine depuis le début du conflit en février dernier, dont environ 60% sont allés à l’armée du pays.
Storch – qui est chargé de veiller à ce que cet argent soit comptabilisé et non perdu par les déchets, la fraude ou les abus – a refusé de dire si son équipe avait rencontré une telle corruption en Ukraine. Cependant, le représentant républicain Mike Johnson a déclaré qu’un rapport du bureau de Storch en octobre dernier révélait que le Pentagone n’était pas en mesure d’effectuer une surveillance des livraisons d’armes à l’Ukraine conformément à ses propres politiques. Storch a répondu que le rapport en question était censé rester classé, mais a admis qu’il était «exact» en reconnaissant les «défis» auxquels les États-Unis sont confrontés en Ukraine.
Kiev a jusqu’à l’automne pour reprendre les territoires saisis par la Russie ou l’Occident fera pression sur elle pour qu’elle entame des pourparlers avec Moscou, affirme Bild
Les partisans occidentaux de l’Ukraine envisagent d’imposer un ultimatum à Kiev concernant d’éventuelles discussions avec Moscou, a rapporté lundi le tabloïd allemand Bild, citant des sources gouvernementales anonymes à Washington et à Berlin.
Avec de nouveaux approvisionnements en armes, les États-Unis et leurs alliés veulent fournir à Kiev une « incitation » à tenter de reprendre les territoires saisis par les forces russes, a affirmé Bild, ajoutant que l’Occident voulait voir des résultats à cet égard d’ici l’automne.
« Si la contre-offensive échoue, la pression sur Kiev pour négocier avec le Kremlin augmentera », a rapporté le journal.
Plus tôt, le Wall Street Journal a rapporté que le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne auraient offert des armes à Kiev et des engagements de sécurité dans le cadre d’un plan visant à pousser Kiev à négocier avec Moscou. Le média américain a affirmé la semaine dernière que Londres, Berlin et Paris étaient soi-disant prêts à offrir des garanties de sécurité juste avant l’adhésion à l’OTAN.
Selon Bild, cependant, les conditions n’étaient pas si généreuses. « Les Européens et les États-Unis ne peuvent pas et ne veulent pas fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité telles que l’adhésion à l’OTAN pour le moment », a déclaré au tabloïd le député allemand Norbert Roettgen, qui dirigeait auparavant la commission des affaires étrangères du Bundestag.
Les droits de l’homme prennent le pas sur les obligations envers l’État, a déclaré Mikhail Podoliak à la télévision allemande
Le principal assistant du président ukrainien Vladimir Zelensky a défendu la décision de Kiev d’interdire aux hommes de quitter le pays, affirmant que les obligations envers l’État l’emportent sur les droits de l’homme. Fuir le projet signifie vouloir que l’Ukraine soit détruite, a déclaré Mikhail Podoliak au média allemand DW.
« Soyons francs ici. Pas besoin de spéculer. Que signifie la restriction des droits ? Les Ukrainiens n’ont-ils pas aussi des obligations ? Ou parlons-nous simplement de droits ? Podoliak a déclaré à DW dans une interview faisant le tour des réseaux sociaux lundi.
« L’État a le devoir de fournir des choses, de laisser les gens voyager, de laisser les gens vivre comme ils l’entendent. Oui, en temps de paix », a-t-il poursuivi. « Mais en temps de guerre, ce n’est pas une question à se poser. Vous souhaitez traverser la frontière ? Cela signifie que vous voulez que l’Ukraine cesse d’exister, parce que vous avez traversé la frontière.
« Parce que quand vous dites ‘Ouvrez les frontières aux hommes’, cela signifie ouvrir la frontière pour qu’ils puissent fuir. Et ils veulent s’enfuir », a déclaré Podoliak.
Ses commentaires sont venus alors que certains médias occidentaux soulignaient les tactiques de mobilisation «agressives» du gouvernement de Kiev.
Washington a été le plus grand contributeur financier de l’Ukraine dans son conflit contre la Russie
Des garanties solides doivent être en place pour empêcher la fraude et la corruption de saper les programmes d’aide étrangère destinés à aider l’Ukraine dans son conflit avec la Russie, selon John Sopko, l’inspecteur général spécial des États-Unis pour la reconstruction de l’Afghanistan (SIGAR).
Sopko, qui a été nommé au rôle de superviser la reconstruction de l’Afghanistan par l’administration Obama en 2012 au milieu de la présence militaire prolongée des États-Unis dans le pays, admet que des « erreurs importantes » ont été commises dans la reconstruction de l’Afghanistan – principalement en raison d’une grande partie de la les fonds alloués étant « détournés ou volés ».
« Le pire résultat est que l’aide est détournée, volée de telle manière qu’elle n’atteint pas son objectif – dans ce cas, fournir aux Ukrainiens les armes et l’argent nécessaires pour gagner leur guerre contre l’agresseur, la Russie », dit-il à Fox News.
« C’est obligé d’avoir du gaspillage », a-t-il expliqué. « C’est obligé d’avoir des éléments corrompus non seulement du gouvernement ukrainien ou hôte, mais aussi des sous-traitants du gouvernement américain ou d’autres sous-traitants tiers pour voler l’argent. »
Le chef de l’Association des forces armées allemandes doute désormais de la capacité de Berlin à remplir ses engagements envers l’OTAN
Selon le colonel Andre Wustner, chef de l’Association des forces armées allemandes (DBwV), l’armée allemande fait face à une pénurie de matériel essentiel en raison de la fourniture d’armes par Berlin à l’Ukraine pour son utilisation dans son conflit contre la Russie.
En février dernier, le chancelier allemand Olaf Scholz s’est engagé à investir 100 milliards d’euros (105,6 milliards de dollars) dans la Bundeswehr dans le but d’en faire l’armée la mieux équipée d’Europe. Cependant, Wustner a déclaré dimanche au journal Bild am Sonntag qu’un an plus tard, la promesse de Scholz n’était toujours pas tenue.
« Pour les soldats, rien ne s’est sensiblement amélioré depuis », a déclaré le chef du syndicat, qui représente les anciens et les anciens combattants allemands.
La Bundeswehr n’était pas pleinement opérationnelle avant même le conflit en Ukraine, mais les livraisons d’armes allemandes au gouvernement de Kiev ont encore creusé les lacunes dans son approvisionnement en matériel, a-t-il expliqué.
« À ce jour, nous n’avons pas reçu de remplacement pour un seul obusier automoteur que nous avons remis à l’Ukraine l’année dernière », a déclaré Wustner. Il y a aussi une pénurie de pièces de rechange et certains des quelques obusiers allemands restants doivent être mis hors service et démantelés à cette fin, a-t-il ajouté.
Le chef du DBwV a également révélé que « sur les quelque 300 chars Leopard possédés par la Bundeswehr, seuls 30% sont actuellement opérationnels ». Il est essentiel que les 18 Leopard 2 que Berlin a promis d’envoyer à Kiev plus tôt cette année soient rapidement remplacés, a-t-il déclaré.
« Je doute que nous soyons en mesure de respecter nos engagements envers l’OTAN pour 2025 », a-t-il poursuivi, notant que l’Allemagne a promis quelque 60 avions, 20 navires, 20 000 soldats et 7 000 véhicules au bloc militaire dirigé par les États-Unis d’ici là.
L’UE s’empare du grain de l’Ukraine tout en bloquant l’autre moitié de l’accord, a déclaré Moscou
L’ »accord sur les céréales » de la mer Noire conclu en août dernier ne fonctionne pas comme prévu, car les céréales d’Ukraine ne sont pas acheminées vers les pays nécessiteux d’Afrique et d’Asie, tandis que l’Occident continue de bloquer toutes les exportations russes de nourriture et d’engrais, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.
L’arrangement, négocié par l’ONU et signé le 22 juillet 2022 à Istanbul, a établi un couloir sûr pour les navires acheminant du maïs et du blé d’Odessa vers les pays confrontés à l’insécurité alimentaire. Il était également censé rétablir l’exportation de céréales et d’engrais depuis la Russie, a noté le ministère dans un communiqué.
Huit mois plus tard, seule la première partie de l’accord a été mise en œuvre, et d’une manière « éloignée des objectifs humanitaires affichés », a déclaré le ministère. Depuis le 1er août de l’année dernière, l’Ukraine a exporté plus de 23 millions de tonnes de céréales, dont 70 % d’aliments pour animaux. Sur ce total, l’UE représentait 47% et les «pays à revenu intermédiaire supérieur» 34%, a déclaré Moscou, tandis que seulement 2,6% vont actuellement aux pays qui ont le plus besoin de nourriture.
Pendant ce temps, il y a eu des progrès « presque nuls » dans le déblocage de la livraison de céréales ou d’engrais russes, dont on a cruellement besoin ailleurs. Kiev a continué de bloquer le pipeline d’ammoniac Togliatti-Odessa « pour des raisons purement politiques », entraînant une pénurie de 2,5 millions de tonnes de matières premières qui pourraient produire sept millions de tonnes d’engrais et nourrir 200 millions de personnes, a indiqué le ministère.
Derrière le dos de Zelinsky,la marionette de Kiev,se profile l’ombre du spectre du pédophile Joe Biden,
Le moyen ultime d’une nation pour faire la guerre et exercer une influence économique avec succès est sa capacité industrielle. Dans cet ordre d’idées, il est à noter que :
– La Chine à elle seule égale le bloc occidental des États-Unis et de l’Europe en termes de production productive.
– Lorsqu’on lui ajoute la Russie, cela devient un avantage de production industrielle décisif associé aux ressources nécessaires pour alimenter cette vaste base manufacturière.
– La Russie à elle seule représente 2 fois la taille de la France en termes de production et est également plus grande que l’Allemagne. Des mesures comme le PIB nominal ne sont que des mirages .
En termes simples, l’Europe n’a pas les moyens de contenir la Russie et les États-Unis ne peuvent pas être partout à la fois, d’autant plus que l’Europe est objectivement en déclin relatif au minimum. L’ordre mondial tout entier est en train de changer.
La Russie est devenue le principal allié de la Chine communiste.
Comparaison du secteur productif russe
PIB PPA % de l’économie mondiale 2010 – 19 moyenne
Part du secteur productif en points PIB dans le PPA
Part du secteur productif par rapport à la Russie
France
2,5%
0,54 %
44,31 %
Allemagne
3,5%
1,09 %
90,01 %
Russie
3,3%
1,21 %
100,00 %
Comparaison du secteur productif chinois
PIB PPA % de l’économie mondiale 2010 – 19 moyenne
Part du secteur productif en points PIB dans le PPA
Part du secteur productif par rapport à la Chine
Allemagne
3,5 %
1,09 %
11,45 %
USA
15,70 %
3,25 %
34,14 %
Chine
18,60 %
9,52 %
100,00 %
La parité de pouvoir d’achat (PPA) est une méthode statistique utilisée pour comparer des données entre des pays dont les monnaies n’ont pas la même valeur. Il s’agit de tenir compte du fait que la même quantité d’argent ne représente pas la même richesse dans des pays différents. Elle est utilisée pour comparer des données telles que le produit intérieur brut (PIB) ou le PIB par habitant. On parle alors de PIB PPA.
Pour comprendre ce qui se passe dans le monde aujourd’hui, alors que le partenariat sino-russe remet en question la puissance américaine à l’échelle mondiale, le tableau ci-dessus est fondamental.
Hawley prononce un discours sur la sécurité nationale « Chine et Ukraine : l’heure de la vérité »
Aujourd’hui, jeudi 16 février 2023, le sénateur américain Josh Hawley (R-Mo.) a prononcé une allocution à la Heritage Foundation dans un discours intitulé « La Chine et l’Ukraine : l’heure de la vérité ». La discussion a porté sur l’élaboration d’une politique de défense qui donne la priorité à notre plus grande menace, la Chine ; remise en cause du consensus sur l’Ukraine ; et des garanties pour les Américains à la maison.
Josh Hawley
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Hawley prononce un discours sur la sécurité nationale « Chine et Ukraine : l’heure de la vérité »
Aujourd’hui, jeudi 16 février 2023, le sénateur américain Josh Hawley (R-Mo.) a prononcé une allocution à la Heritage Foundation dans un discours intitulé « La Chine et l’Ukraine : l’heure de la vérité ». La discussion a porté sur l’élaboration d’une politique de défense qui donne la priorité à notre plus grande menace, la Chine ; remise en cause du consensus sur l’Ukraine ; et des garanties pour les Américains à la maison.
Chine et Ukraine : l’heure de la vérité
Manifestations a Hong Kong en 2019 et 2020
Il y a trois ans, en octobre 2019, je suis allé visiter Hong Kong. Ce n’était pas une visite standard et cérémonielle. En fait, le Département d’État n’était pas du tout fan de mon départ. J’y suis allé au milieu de grandes manifestations contre le gouvernement chinois. Pékin avait initialement promis aux habitants de Hong Kong qu’une fois la ville passée sous contrôle chinois, elle conserverait ses libertés uniques. « Un pays, deux systèmes. » Ou alors c’est parti. Mais c’était un mensonge. Dès qu’il a pu, le Parti communiste chinois a réprimé Hong Kong avec une «loi de sécurité nationale» draconienne pour écraser toute dissidence. La voie de Xi Jinping serait la seule voie. Je voulais voir ce qui se passait pour moi. Quand j’étais là-bas, j’ai vu des voitures flamber dans les rues et des manifestants appelant à « libérer Hong Kong ». J’ai entendu les explosions. J’ai vu la police anti-émeute chinoise affronter de jeunes hommes et femmes luttant pour la liberté. Je m’y suis fait des amis. Beaucoup d’entre eux sont allés en prison, comme Joshua Wong et Jimmy Lai. Je n’oublierai jamais ce voyage. Parce que là, j’ai pu voir de mes propres yeux le cauchemar que le Parti communiste chinois offre au monde. Dans la répression de Hong Kong, nous avons vu le vrai visage de la tyrannie chinoise. Nous pourrions tous le revoir bientôt à Taiwan. Et nous ne pourrons peut-être rien y faire. Ce n’est pas populaire de le dire ouvertement. Des dizaines de législateurs, d’experts et de têtes parlantes ont affirmé qu’une invasion de Taïwan ne se produira tout simplement pas – ou si c’est le cas, que nous pouvons l’emporter. Que la Chine aura trop peur de nous défier ou ne le fera pas. Au lieu de cela, ils préfèrent raconter une histoire familière et réconfortante, où gagner la guerre froide signifiait que nous pouvions contrôler le monde pour toujours. Ils veulent nous faire croire que notre puissance militaire est infinie, que la puissance américaine n’est soumise à aucune contrainte réelle et que nous devons l’utiliser pour remodeler le monde. Ils veulent nous faire croire que nous pouvons mener une guerre interminable par procuration en Ukraine. Et d’une manière ou d’une autre, cela n’aura pas d’impact sur notre capacité à dissuader la Chine d’envahir Taïwan. Curieusement, cette histoire d’omnicompétence américaine n’est pas vraiment partisane. Elle est racontée à la fois par les néoconservateurs de droite et les mondialistes libéraux de gauche. Ensemble, ils forment le « Uniparty », l’establishment DC qui transcende toutes les administrations changeantes. Il est difficile de défier l’Uniparty. Ils sont devenus très bons pour raconter leur histoire préférée. C’est pourquoi quiconque les questionne se fait traiter d’« anti-américain » ou de « marionnette de Vladimir Poutine. Mais aujourd’hui, je veux vous dire autre chose. Je veux dire la vérité. Et la vérité, c’est que les Américains se sont vu vendre une facture de marchandises. Notre politique étrangère actuelle ne fonctionne pas. Cela ne fonctionne pas pour le peuple américain. Cela a coûté à beaucoup d’entre eux leur emploi, leurs villes, leurs communautés, tout cela grâce aux mauvais accords commerciaux dont on nous avait promis qu’ils nous rendraient tous plus riches. Cela n’a pas si bien fonctionné pour les gens de mon état. Ou pour tous ceux qui ont vu leur travail de fabrication expédié à l’étranger. Mais notre politique étrangère actuelle ne fonctionne même pas selon ses propres normes. Elle s’effondre au niveau des coutures, l’Uniparty faisant de son mieux pour la réparer en signant des chèques en blanc à d’autres pays. Rien de tout cela n’est suffisant. Parce que nous sommes simplement sur-engagés, pris sous l’emprise d’une idéologie d’empire libéral. Notre idéologie unipartite nous dit que nous sommes du bon côté de l’histoire et que les compromis difficiles n’existent pas. Nous avons beaucoup de puissance militaire de notre côté. Mais elle n’est pas déployée là où elle devrait l’être, et le monde est sur le point d’en subir les conséquences. Alors permettez-moi de partager une autre vérité : dans l’état actuel des choses, si la Chine envahit Taïwan dans les prochaines années, elle l’emportera probablement. Je vais le répéter. Nous sommes aujourd’hui à un point d’inflexion. Et il est temps pour un vrai changement. Il est temps d’adopter une politique étrangère véritablement nationaliste. * * *
L’accord économique entre la Russie et la Chine communiste sur Gazprom.
Nous entendons beaucoup parler ces jours-ci de ce qu’on appelle « l’ordre international fondé sur des règles ». Les politiciens et les soi-disant experts l’invoquent chaque fois qu’ils veulent que nous envoyions quelques milliards de dollars supplémentaires à l’étranger. Maintenant, « l’ordre international fondé sur des règles » n’est pas un royaume des cieux. C’est une sorte d’empire libéral américain. Il est fondé sur l’hypothèse que, si nous établissons les règles du jeu économiques de cette manière, les gens au sommet s’enrichissent beaucoup, et peut-être que cela se répercutera sur tous les autres. Alors ça va. Et en prime, nous finirons par refaire le monde à l’image de New York et de la Silicon Valley. Esprits libres et marchés libres, ou quelque chose comme ça. Il était une fois, cela sonnait bien. Mais c’était un mauvais plan dès le départ. Dès décembre 2001, nous avons admis la Chine dans l’Organisation mondiale du commerce. L’Uniparty voulait croire que cela nous rendrait tous plus riches, que nous pourrions délocaliser des emplois et importer des déchets bon marché sans nuire à notre propre prospérité. Ils voulaient aussi croire que nous pourrions peut-être démocratiser la Chine. Peut-être que si nous faisions entrer la Chine dans l’ordre économique mondial, des horreurs comme la place Tiananmen pourraient appartenir au passé. C’était une erreur catastrophique. « Un pays, deux systèmes » n’était pas la première promesse non tenue de la Chine. Après avoir rejoint l’OMC, la Chine a triché. Le Parti communiste chinois a pleinement profité de son accès aux marchés mondiaux pour s’enrichir, mais a simultanément protégé sa propre économie de la concurrence étrangère. Les Américains en ont payé le prix. De bons emplois de cols bleus – des emplois qui offraient autrefois aux travailleurs américains un salaire décent – ont été siphonnés à l’étranger. Pendant ce temps, le Parti communiste chinois s’est enrichi alors que l’économie chinoise explosait. Ils ont bâti leur armée sur le dos de la classe moyenne américaine. Maintenant, cette armée – non seulement massive mais de plus en plus modernisée – est prête pour une invasion à travers le détroit de Taiwan. Qu’est-ce que nos dirigeants ont fait pendant que tout cela se passait? Exactement les mauvaises choses. Alors que la Chine prospère et que les villes américaines dépérissent, l’Uniparty jette son dévolu sur le Moyen-Orient. Nous avons beaucoup entendu parler de rendre le monde sûr pour la démocratie, de la façon dont le sang et le trésor américains pourraient transformer ces nations en images de l’Occident. Ce projet impérial a échoué. Il a échoué lamentablement. Nous y avons investi des milliards de dollars et y avons perdu des centaines de vies américaines, tandis que la Chine progressait sans entrave. Et les responsables sont tous encore membres en règle de l’establishment DC. Personne n’a jamais été tenu pour responsable. En fin de compte, le changement de régime n’a pas fonctionné. Mais l’Uniparty n’apprend pas. Et maintenant, nous entendons à nouveau leur même chant de sirène. Cette fois, il s’agit de l’Ukraine. Si seulement nous envoyons quelques armes de plus, envoyons quelques milliards de dollars de plus… nous aurons vraiment un ordre international fondé sur des règles. Peut-être devrions-nous faire un peu plus d’édification de la nation. Peut-être pouvons-nous même forcer un changement de régime en Russie. Toutes les idées qui enthousiasment Uniparty. Ils sont absurdes. Ce sont les mauvaises idées au mauvais moment. Le seul problème est que nous aurions dû voir la menace de la Chine venir il y a des années. Mais l’Uniparty ne l’a pas fait. Et ils ne le prennent toujours pas au sérieux, même maintenant. À l’heure actuelle, nous avons des dirigeants d’Uniparty et d’anciens hauts gradés de l’OTAN qui nous disent que défendre l’Ukraine revient fondamentalement à dissuader la Chine. Que si un dictateur est autorisé à s’emparer d’un territoire par la force, cela enhardira les autres, et donc arrêter Vladimir Poutine revient fondamentalement à arrêter Xi Jinping. C’est la pensée magique de l’Uniparty au travail. Il est enraciné dans l’idée fantaisiste que si nous voulons arrêter les tyrans, tout ce que nous devons faire est de leur montrer que nous n’avons pas peur. Que si nous tenons tête à un tyran, tous les autres s’éclipseront. C’est Hollywood. Ce n’est pas la réalité. Dans le monde réel, nos ressources militaires sont limitées et nos adversaires le savent. Le Parti communiste chinois comprend que si nos ressources sont bloquées en Ukraine, ce sont des ressources que nous ne pouvons pas utiliser pour dissuader une invasion de Taiwan. Comme disait Napoléon : « Si tu veux prendre Vienne, prends Vienne ». La Chine veut le contrôle de l’Indo-Pacifique, et nous devons les y arrêter.
Le dernier sommet des BRICS montre la puissance économique grandissante de leurs membres et leur confiance en Poutine et Xi.
Et pourtant, le Congrès a versé des milliards de dollars dans les défenses ukrainiennes, à un moment où le peuple américain est toujours aux prises avec une inflation vertigineuse. Et il n’y a pas de fin en vue. Ce n’est pas le problème principal, cependant. Le problème central est que nos actions en Ukraine affectent directement notre capacité à projeter notre force ailleurs. Plus précisément, pour dissuader la Chine dans le Pacifique. Considérons notre position. Pour commencer, plus nous consacrons de ressources américaines à l’Europe, moins nous en avons de disponibles pour renforcer la dissuasion dans le Pacifique. Pour certaines choses, comme les unités blindées lourdes, cela peut ne pas avoir beaucoup d’importance. Mais cela compte beaucoup pour les capacités dont nous avons besoin pour dissuader la Chine d’envahir Taïwan. L’Ukraine et Taïwan ont besoin d’un grand nombre des mêmes armes, y compris des choses comme les missiles Javelin et Stinger. Et notre base industrielle est à court de capacité. C’est parce que nous devons faire appel à bon nombre des mêmes fournisseurs pour la défense de l’Ukraine et de Taïwan. Nous faisons de notre mieux pour augmenter la production, mais cela prendra des années. Tout cela signifie que lorsque nous déversons notre puissance militaire sur l’Ukraine, cette décision a un coût. Par conséquent, nous ne pouvons pas répondre aux exigences militaires ukrainiennes, taïwanaises et nos propres besoins militaires en même temps, dans un avenir prévisible.
Zelinsky est un franc maçon sioniste juif et un sataniste.Il est devenu « la pompe a fric de l’Occident chrétien « naïf » ».
En d’autres termes, nous ne pouvons pas tout faire. Et, franchement, nous ne devrions pas avoir à le faire. Certaines des nations les plus riches du monde sont nos alliés en Europe. Mais pour le moment, nous sommes les seuls à faire le gros du travail. En fait, nous avons envoyé plus d’armes à l’Ukraine que toute l’Europe réunie. Et ces choix nous affaiblissent au seul endroit, le Pacifique, où nous avons besoin de force. La voie de l’Uniparty n’est pas durable. C’est un chemin vers l’échec. Et c’est pourquoi la Chine est maintenant positionnée pour frapper avec une force écrasante et s’emparer de Taiwan. Envahir Taïwan est l’objectif de Xi Jinping depuis des années. Il veut le contrôle du Pacifique. Il est déterminé à cimenter sa place dans l’histoire chinoise.
COMPARAISON ENTRE LES FORCES TAÏWANAISES ET CHINOISES
CHINE
TAÏWAN
Soldats
2 millions
170 000
Budget militaire
250 milliards $
16 milliards $
Chars d’assaut
5250
1110
Avions de combat
1250
288
Sous-marins
79
4
Destroyers
41
4
Frégates
49
22
Source : Globalfire.com
Il y a moins de six mois, devant le Congrès du Parti communiste chinois à Pékin, Xi a déclaré que « les roues historiques de la réunification nationale et du rajeunissement national avancent, et la réunification complète de la patrie doit être réalisée[.] » Nous le savons. Mais nous ne l’avons pas pris assez au sérieux. Et si nous ne l’arrêtons pas – si nous ne pouvons pas – rien de ce que nous ferons ailleurs n’aura beaucoup d’importance. * * * Alors que se passe-t-il, si nous nous réveillons demain et qu’une invasion a commencé ? Que peut faire l’Amérique à ce sujet ? Encore une fois, évaluons notre position stratégique, cette fois dans le Pacifique. Eh bien, nous avons beaucoup d’avions. Mais ils sont concentrés dans un petit nombre de bases aériennes, ce qui en fait des cibles faciles. Et la Chine a investi dans des armes et des capteurs que nous n’avons pas déployés, ce qui a sapé notre avantage en matière de puissance aérienne. Nous avons des groupes de grève des transporteurs. Mais on ne sait pas comment ils nous aideront à vaincre une invasion chinoise. La Chine a construit des défenses conçues pour les neutraliser au début d’un combat, ou les garder si loin qu’elles ne seront pas utiles. Nous avons un avantage sous-marin. Mais nous n’avons qu’un nombre limité de sous-marins, nous n’avons qu’un nombre limité de torpilles et d’autres armes à tirer depuis eux, et nous n’avons qu’un nombre limité d’endroits pour les recharger ou les remettre en état. Ce sont des limites strictes. Nous sommes également en danger nous-mêmes, en particulier nos forces à Guam. Guam n’est pas bien défendue contre les missiles chinois, sans parler des forces d’opérations spéciales chinoises. Et je n’ai même pas mentionné l’arsenal nucléaire chinois, qui bien sûr se profile toujours en arrière-plan. Pendant ce temps, notre propre architecture spatiale militaire est dangereusement vulnérable et nos forces logistiques sont déjà surchargées. Supposons donc que le pire arrive. Supposons que la Chine envahisse et s’empare de Taïwan. Nous essayons de l’arrêter, mais nos forces sont vaincues et l’île est perdue. Qu’est-ce que cela signifierait ? Si la Chine conquiert Taïwan, Xi et le Parti communiste chinois y verront une victoire historique mondiale. Ils y verront l’aube d’un « siècle chinois » qui dément la promesse de liberté de l’Amérique.
DÉVELOPPEMENT DES NOUVELLES ARMES CHINOISES
Le porte-avions chinois Liaoning:navire amiral sorti en 2017.
Une des ile fortifiées parmi les iles Paracels
Les torpilles à supercavitation peuvent avancer à 500 km/h sous l’eau grâce à une bulle d’air formée à leur tête. Elles rendraient les porte-avions vulnérables.
Un drone furtif chinois Hondu GJ-11.
Un navire d’assaut amphibie chinois Hainan.
Et les Américains seront confrontés à une nouvelle réalité terrifiante. Chaque Américain le ressentira. Les hausses de prix et les perturbations que nous avons connues ces dernières années seront pâles en comparaison. Les pénuries de produits seront monnaie courante – des pénuries de tout, de la médecine de base à l’électronique grand public. Selon certaines estimations, une guerre contre Taïwan nous enverrait dans une profonde récession sans issue claire, car d’énormes pans de notre économie fonctionnent avec des semi-conducteurs taïwanais. Mais les conséquences économiques ne sont que le début. Si la Chine prend Taïwan, elle pourra y stationner ses propres forces militaires. Il peut alors utiliser sa position comme tremplin pour de nouvelles conquêtes et intimidations – contre le Japon, les Philippines et d’autres îles du Pacifique, comme Guam et les Mariannes du Nord. Nos grands-parents se sont battus et ont saigné pour libérer ces îles pendant la Seconde Guerre mondiale. Maintenant, ils sont à nouveau menacés par une nouvelle puissance impérialiste. En tant que nouvelle puissance régnante en Asie, la Chine pourrait restreindre le commerce américain dans la région, voire le bloquer complètement. Peut-être serons-nous autorisés à entrer, mais seulement à des conditions favorables à la Chine. La Chine a exploité le système commercial une fois auparavant. Ils peuvent le refaire. Il y a plus. Nous avons récemment assisté à une croisière en ballon espion chinois à travers le cœur des États-Unis. Mais les choses peuvent empirer. Imaginez un monde où des navires de guerre chinois patrouillent dans les eaux hawaïennes et où des sous-marins chinois arpentent la côte californienne. Un monde où l’Armée populaire de libération a des bases militaires en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Un monde où les forces chinoises opèrent librement dans le golfe du Mexique et l’océan Atlantique. C’est un avenir sombre. Et c’est un avenir de plus en plus plausible. Mais ce n’est pas un avenir inéluctable. Il est peut-être encore temps de tracer une voie différente, si nos dirigeants ont la volonté de le faire. * * * Ce cours différent est une politique étrangère nationaliste. Une politique étrangère dans l’esprit d’Alexander Hamilton et de Theodore Roosevelt. Une politique étrangère nationaliste place les intérêts de l’Amérique en premier. Et dissuader la Chine de s’emparer de Taïwan devrait être la priorité absolue des États-Unis.
Cela signifie que nos dépenses de défense devraient être concentrées sur la dissuasion dans le Pacifique. Fini le « désinvestir pour investir » dans l’Indo-Pacifique. Plus de priorités non financées d’INDOPACOM. Au lieu de cela, nous devrions stocker des armes, disperser nos forces dans l’Indo-Pacifique et accélérer le développement avancé de l’espace, du cyber et d’autres capacités critiques, comme le bombardier stratégique B-21. Rien de tout cela n’est nouveau, mais nous avons des années de retard. Renforcer la dissuasion dans l’Indo-Pacifique signifie réduire nos engagements militaires ailleurs. Cela nous amène en Europe. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un nouvel accord de partage des charges au sein de l’OTAN. Nos alliés de l’OTAN devraient prendre l’initiative d’armer l’Ukraine. Et ils devraient également assumer la responsabilité de défendre l’Europe elle-même, en ne s’appuyant sur les États-Unis que pour une dissuasion nucléaire étendue et quelques autres capacités. Cela libérera des ressources américaines pour dissuader la Chine. Cela garantira également que les alliés de l’OTAN peuvent dissuader la Russie ou se défendre avec un soutien américain limité si nos forces sont attirées par une crise ou un conflit dans le Pacifique. C’est vital car, comme l’ont clairement indiqué nos propres stratégies de défense nationale de 2018 et 2022, nous ne pouvons pas combattre et gagner des guerres majeures en Asie et en Europe en même temps. Quelles mesures concrètes pouvons-nous prendre en vue de ce nouvel accord de partage des charges ? Premièrement, nous devrions couper l’aide militaire américaine à l’Ukraine, jusqu’à ce que nos alliés européens interviennent. Cela n’arrivera pas tant que nous ferons leur travail pour eux. Deuxièmement, nous devons clarifier les enjeux pour nos alliés européens. Ils doivent savoir que nous ne pourrons pas les défendre pleinement si un conflit avec la Chine éclate. Nous devons préciser que, compte tenu de la menace chinoise et du besoin de dissuasion, nous serons contraints de soustraire nos forces à tout conflit direct avec la Russie. Ainsi, même si les forces américaines ne sont pas en guerre dans le Pacifique, l’Europe ne peut toujours pas compter sur nous comme avant. Nous devrions commencer à réduire les niveaux de forces américaines en Europe. Et nous devrions continuer à réduire, jusqu’à ce que nous soutenions les défenses de l’OTAN avec uniquement les capacités dont nous n’avons pas besoin pour dissuader la Chine, et avec notre arsenal nucléaire. Nos alliés européens peuvent combler la différence. Ils doivent prendre la tête de la défense conventionnelle de l’Europe. Voilà à quoi ressemble un véritable accord de partage des charges. C’est ainsi que nous protégeons nos intérêts en Europe, tout en dissuadant la Chine en Asie. Enfin, les États-Unis devraient armer Taïwan. Mais l’aide américaine devrait être conditionnée à ce que Taiwan augmente ses dépenses de défense et adopte une stratégie de défense asymétrique. Si Taïwan ne se défend pas, comment peuvent-ils s’attendre à ce que les Américains se battent et meurent en leur nom ? Taïwan doit également intensifier ses efforts. * * * L’Uniparty ne va pas aimer ce message. Ils l’appelleront probablement « propagande russe » ou une autre foutaise. Mais quand je suis arrivé au Sénat, j’ai prêté serment. J’ai juré de « bien et fidèlement m’acquitter des devoirs » de ma charge. Je prends ce serment très au sérieux. Et pour moi, remplir fidèlement les devoirs de ma charge signifie défendre l’Amérique.
Pas ce qu’on appelle « l’ordre international fondé sur des règles ». Je veux dire l’Amérique.
Cela signifie aussi dire la vérité au peuple américain. Même la vérité dure et douloureuse. C’est le cœur d’une politique étrangère nationaliste – un réalisme lucide, au service du peuple américain. Changer de cap ne sera pas facile. Il faudra des sacrifices. Et cela nécessitera des choix difficiles. Mais l’Amérique a déjà relevé d’innombrables défis. Et je crois que nous pouvons le faire à nouveau. Dès maintenant, aujourd’hui, nous pouvons commencer à regarder la réalité dans les yeux. Nous pouvons résister à la menace à laquelle nous – et Taïwan – sommes actuellement confrontés. Nous pouvons faire ces choix difficiles. Nous pouvons choisir la vérité plutôt que le confort. Et pour le bien du monde dans lequel nos fils et nos filles vivront, je prie pour que nous le fassions.
Les malhonnêtes marquent cette semaine le premier anniversaire de la guerre en Ukraine. Les honnêtes marqueront le 9ème anniversaire de cette guerre. Et l’autorité vient de très haut : Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’ONU.
« La guerre n’a pas commencé en février 2022, a-t-il déclaré récemment. Elle a commencé en 2014. Depuis 2014, L’OTAN et les alliés de l’Alliance ont fourni les armes et la formation pour que les Forces armées ukrainiennes soient beaucoup plus fortes en 2022 qu’en 2014. »
Malgré le spectacle « d’unité » que Biden a voulu montrer lors de sa visite surprise à Kiev, laquelle a récolté des applaudissements nourris des grands médias médiocres comme Radio-Canada, l’assourdissante dissonance venant des soi-disant alliés démontre que tout va bien dans le meilleur des mondes sur le front ukrainien.
Macron qui brille par ses contradictions : Il veut « la défaite de Moscou, mais sans l’écraser… Je ne pense pas, comme certains, qu’il faut défaire la Russie totalement, l’attaquer sur son sol. Ces observateurs veulent avant tout écraser la Russie. Cela n’a jamais été la position de la France et cela ne le sera jamais ». Une chance que la porte-parole russe lui a rappelé que la France n’est pas née avec Macron et qu’il y a eu la débâcle de Napoléon.
L’ineffable Josep Borrell, chef des affaires étrangères de l’Union européenne, celui qui prétend que l’Europe est un jardin tandis que le reste du monde est une jungle qui menace d’envahir le jardin. Pour lui, la guerre est finie si on ne résoudra le problème de fourniture d’armements et de munitions à l’Ukraine. Nous sommes en mode urgence guerre, a-t-il dit à Munich (19 fév.). Alors que la Russie produit beaucoup d’armes et de munitions 24 sur 24, ça nous prend dix mois, ajoute-t-il, pour se faire livrer une simple balle de calibre 155 mm.
Dans cette chronique, Robin Philpot revient sur les neuf ans de guerre depuis le coup d’État du 22 février 2014 : interdiction de la langue et de la culture russe, bombardements constants du Donbass, massacre de la Maison des syndicats, les accords de paix de Minsk et les fourberies de Merkel et de Hollande.
L’animateur termine sur la propagande : quand tout est propagande, les journalistes deviennent paresseux car ils savent que, quoi qu’ils écrivent, s’ils vont dans le bon sens, la direction va les féliciter.
L’exemple parfait est celui de Isabelle Hachez du journal La Presse de Montréal. Cette simple journaliste, qui vient de passer deux semaines en Ukraine sous la bienveillante protection de l’armée ukrainienne, a décider de s’en prendre au professeur d’histoire de l’Université de Montréal, Michael J. Carley, qui, lui, a consacré une bonne partie de sa vie à étudier l’URSS et la Russie et surtout la politique étrangère de l’URSS dans les années 1930 et 1940. Il sait de quoi il parle quand il s’agit de la Russie et de l’Ukraine.
Alors que Isabelle Hachez nous a habitués à des « job de bras » étoffées, bien fouillées – pensons au cas de François Bugingo – cette fois elle a tout bâclée.
Ses sources se limitent d’abord au Département d’État américain et ministère des Affaires globales du Canada, qui sont, comme on le sait, toujours neutres, objectifs et sans reproche.
Ensuite elle cite une simple « étudiante » de l’Université de Montréal, Katia Sviderskaya. Ce qu’elle n’a pas dit, c’est que Mme Sviderskaya, qui est à l’origine de l’attaque contre le professeur Carley, a reçu une subvention de $6,488.78 du ministère de la Défense du Canada pour étudier la propagande russe.
Isabelle Hachez ne pouvait pas ne pas être au courant grâce à des articles de Arnold August à ce sujet.
La conclusion : Mentez, mentez, mentez, il restera toujours quelque chose.
EN COMPLÉMENTAIRE
Dissonance
“DISSONANCE” dans le monde occidental et son “jardin” : Stoltenberg a OSE asséner une VERITE … la GUERRE a commencé en 2014 et non, comme le … “jardin” … entend le faire accroire, en 2022 … On peut même dire qu’elle a commencé bien plus tôt … en fait, dès 1945 … ainsi que l’espérait … Adolf HITLER soi-même dans ses propos parus aux Editions Arthème Fayard sous le titre fallacieux “Testament politique d’Adolf Hitler :
“En cas de défaite du Reich, et en attendant la montée des nationalismes asiatiques, africains et peut-être sud-américains, il ne restera dans le monde que deux puissances capables de s’affronter valablement : les Etats-Unis et al Russie soviétique. Les lois de l’histoire et de la géographie condamnent ces deux puissances à se mesurer, soit sur le plan militaire, soit simplement sur le plan économique et idéologique. Ces mêmes lois les condamnent à être les adversaires de l’Europe. L’une et l’autre de ces puissances auront nécessairement le désir, à plus ou moins courte échéance, de s’assurer l’appui du seul grand peuple européen qui subsistera après la guerre – le peuple allemand. Je le proclame avec force, il ne faut à aucun prix que les Allemands acceptent de jouer le rôle; d’un pion dans le jeu des Américains et des Russes.” (“Propos XVIII” – 2 avril 1945)
Propos saisissant de LUCIDITE !!! Qui niera que Hitler, en l’occurrence, avait raison sur quasi TOUTES les prévisions … ?!!! C’est bien pourquoi cette guerre a commencé dès le mois de mai1945, quand Américains (et les DEJA LARBINS européens) et Russes se sont trouvés face à face !!! D’où, la “guerre froide” … que les Etatsuniens ont cru avoir “gagnée” en 1991 avec l’effondrement de l’URSS MAIS qu’ils ont prolongée … conformément à l’INFÂME “doctrine Brzezinski entendait DEPECER la Russie … Ce qui détermine le fait que cette guerre d’Ukraine représente, pour les Etats-*Unsi, une guerre TOTALE d’ANEANTISSEMENT et, pour la Russie, une guerre pour sa SURVIE !!!
Poutine a déclaré dans son allocution aujourd’hui “Nous allons atteindre les objectifs que nous avons définis, pas à pas, progressivement et prudemment”, a-t-il insisté. Il n’y a donc aucune annonce d’un changement de format sur le plan militaire. Dans la déclaration ci-dessus, il est même sous-entendu que le conflit pourrait se prolonger sur une longue durée. L’hypothèse d’un renforcement progressif de l’offensive reste cependant d’actualité.
Donc,il n’y a aucune annonce de changement, sauf si des événements extérieurs survenaient ! Avec toutes les troupes qui ont été mobilisées, ce serait bizarre que ce soit pour attendre les prochaines calendes grecques …
Poutine a été incendiaire dès l’entrée de jeu de son allocution ! Désignant le responsable des attaques Nord .Stream II trainant l’occident dans la poussière. Après avoir développé les autres questions, il est revenu à la fin pour confirmer la suspension du traité. C’est œil pour œil et dent pour dent…
La Russie s’est retirée momentanément du traité START. “La Russie suspend sa participation au traité de réduction des armements stratégiques (START), mais ne s’en retire pas”. Poutine a également déclaré que la déclaration de l’OTAN début février appelant la Russie à revenir à la mise en œuvre du START, y compris l’admission d’inspections dans les installations de défense nucléaire, est un non-sens.
Donc la Russie pourrait transmettre la technologie nucléaire à l’Iran? après tout la France l’a bien transmise à Israel (en fait:Israel l’ a VOLÉ à la France , avant de VOLER le matos fissile aux USA .
La suite l’a montré : les Israéliens , en dépit de leur frime intello ne sont pas des pointures en physique, nucléaire ou pas .
Poutine parle de la vraie guerre : celle des milliardaires juifs contre l’ humanité et la Russie .Celle qui fait ses premières dents de lait et ne dit pas encore’ son vrais nom. L’ Ukraine n’est déjà plus qu’un charnier ; l’ image d’un passé sordide représentant le programme juif prévu pour les peuples racialement inférieurs . Un plan déjà vieux ! (Programme Raciste de Ariel Sharon )
DIRE LA VÉRITÉ
L’imminence de la partie brûlante et irréversible de ce clash exige de commencer à parler en très clair et en très gros de qui fait quoi , et qui sont les assassins ! La pub ou le mensonge quotidien doivent être démontés et dénoncés au mot à mot et au même quotidien ! Alors commençons par QUI EST LE PETIT GROUPE DES FANATIQUES TOTALITAIRES QUI RECHERCHE ” PAR TOUS LES MOYENS” L’ EXPLOSION SUR TOUTE LA PLANÈTE DE LA CHARGE EXPLOSIVE DONT LE CONFLIT UKRAINIEN N’EST QUE LE DÉTONATEUR . ? Le peuple Américain ? Celui de GB , d’ Allemagne ou de France ? Pour ce premier groupe , des quatre plus OTAN ,on peut statuer clair et vite : CES PEUPLES très concernés SONT OPPOSÉS a une telle guerre !, tout simplement parce qu’ils ne sont pas suicidaires … D’ailleurs vous avez remarqué qu’aucun des pouvoirs de ces États n’a consulté sa population sur ce grave sujet, bien au contraire tous les moyens d’ expression des populations leurs sont vite devenus inaccessibles !
Pourtant ces trois pays qui drivent l’ OTAN vers le clash TOTALITAIRE contre la Russie continuent – gaz à fond – vers le mur !
Il y a quelque chose qui ne va pas dans ce qu’on voit du problème sur nos écrans! Ça ne tient la route QUE si on place sur le schéma UNE entité unique qui par folie ou fanatisme (leur raison – si il y en a une – est secondaire ), pousse ENSEMBLE ces 4 pays + OTAN vers le crime/suicide final , violant ainsi la volonté des peuples qui tous y sont opposés. Celà pour l’ objectif bidon & disproportionné des 3 arpents du Donetz !
Cette entité existe , elle est très simplement visible & remarquable par le simple fait que ce complot des milliardaires juifs qui forment ce groupe , a grossièrement disparu de tous nos médias d’information dès Decembre 2021 ! De plus leur influence ” pro conflit ” qu’on peut suivre par LEURS propres médias les a révélé chaque jour dans leurs œuvres de désinfo..pro guerre (En France = LCI, France 24 RFM ..etc..) Parallèlement , toute cette population issue de Géorgie , et qui agit sous la fausse couverture de ” peuple juif ” s’est constituée en une véritable mafia multinationale cohérente – pour le pouvoir – en une sorte de Reich de bazar dont le führer demeure la famille Rothschild ! Et par le stratagème du faux État d’Israel , ce bazar de services secrets a réussit depuis 1948 à prendre le contrôle des pouvoirs politiques , puis s’y substituer pour piloter l’ ensemble de ces 4 pays plus l’ OTAN vers la guerre à outrance contre la Russie . Le terrible plan de cette conspiration des faux juifs de Géorgie , organisés en dictature occidentale par le Reich Rothschild ,ne nous laisse qu’une mince porte de secours vers la paix : NOUS ENGAGER TOUS AVEC LA RUSSIE DE POUTINE ! Car le glacis des pièges bancaires montés jusqu’en Chine contre l’humanité et la Grande Russie et ceux d’une information scientifiquement falsifiée ne nous laissent que peu de chances! Le conflit est si nouveau , tordu et piégé , que Seule une puissance militaire active très majeure et dotée d’une large compréhension de cette attaque si atypique contre l’ espèce humaine peut nous sauver du pire . Vu depuis les populations citées , déjà piégées de l’ intérieur de la tête ( falsif info) , il s’agit d’une ultime issue de secours !
Dans ce qui suit, je vais essayer de souligner mes prédictions, à quoi pourrait ressembler la planification stratégique russe. Bien sûr, nous devons garder à l’esprit que ce ne sont que des HYPOTHÈSES. Cela pourrait aussi s’avérer totalement différent.
Eh bien, comme je l’ai écrit dans la plupart de mes analyses, l’objectif russe est de déclencher un effondrement de la logistique ukrainienne, de l’approvisionnement en main-d’œuvre et donc de la résistance armée.
Gardez à l’esprit: le but est l’effondrement, et non pas conquérir chaque village d’Ukraine par des assauts frontaux.
En raison du cadeau que l’Ukraine fait à la Russie, non seulement pour défendre chaque centimètre carré du Donbass, mais aussi pour essayer de reconquérir des territoires, la Russie peut remplir sa tâche dans une large mesure uniquement dans les régions orientales.
Les réserves de main-d’œuvre ukrainiennes ne sont pas illimitées et elles arrivent lentement mais sûrement à leur fin. En forçant l’ennemi à se battre dans le Donbass, la Russie s’assure que la main-d’œuvre ennemie est attirée hors de toutes les autres grandes villes importantes. Comme Kharkov, Dnipropetrovsk, Zaporozhye, Nikolayev, Kherson, Odessa etc. etc.
À son tour, cela signifie qu’il y a une forte probabilité que les Russes n’auront pas besoin de se battre dans ces villes dès que l’armée ukrainienne s’effondrera.
Carte
Dans ce qui suit, j’ai créé une carte avec cinq théâtres de guerre potentiels. Je vais passer en revue les cinq et décrire mes réflexions à leur sujet.
Théâtre 1 : Artemovsk-Soledar-Seversk
D’où les retraits de Surovikin, l’égalisation des lignes de front et la création d’un sac de feu parfait pour détruire la main-d’œuvre ennemie. Artemovsk (Bakhmut), c’est l’endroit le plus défavorable pour l’Ukraine pour se battre. Et pourtant, l’Ukraine essaie de la défendre avec tout ce qu’elle a, pour des raisons politiques. Sinon, la rupture de soutien public occidental. La Russie a des lignes d’approvisionnement courtes, une supériorité aérienne, une population amie et des positions favorables pour les bombardements. On pourrait dire que l’armée ukrainienne est enterrée à Artemovsk. Il y a déjà des dizaines de milliers de morts et peut-être le double de blessés. Il faut garder à l’esprit que les soldats blessés sont un fardeau encore plus lourd pour une nation que les morts, en temps de guerre.
De mon point de vue, et comme décrit dans une analyse précédente, la Russie aurait pu prendre Artemovsk avant. … Les réserves russes sont actuellement préparées pour l’offensive. Artemovsk ne doit pas tomber avant qu’ils ne soient prêts. De plus, Artemovsk doit provoquer la mort d’autant de soldats ukrainiens que possible avant le début de l’offensive. Ce qui signifie à son tour que cela n’a aucun sens de la prendre, tant que l’ennemi est capable de se nourrir de troupes. Lorsque l’ennemi commence à avoir des problèmes pour alimenter des troupes supplémentaires, en les tirant d’autres lignes de front importantes, alors la Russie est prête pour les autres opérations offensives.
Ainsi, les conditions requises pour déclencher la prise d’assaut d’Artemovsk sont :
En attendant que le flux des troupes ukrainiennes se tarit.
Les autres formations offensives de l’armée russe doivent être en place.
Je suppose que ce moment pourrait être atteint en février. Quand exactement? Je ne sais pas. Nous verrons.
Théâtre 2 : Izyum-Sloviansk-Kramatorsk
Dès que ces offensives commenceront, je suppose que les défenses ukrainiennes commenceront à s’effondrer, puisque la plupart des troupes ukrainiennes seront déjà mortes ou blessées. À ce stade, l’armée russe se déplacera très probablement de Kupiansk à Izyum par le nord et occupera des positions favorables au nord et peut-être même à l’ouest de Kramatorsk et Sloviansk.
Selon l’état de résistance de l’armée ukrainienne, il y aura soit une prise d’assaut directe du groupe Artemovsk et Sloviansk de Sloviansk et Kramatorsk, soit un siège. Il n’est pas nécessaire de sacrifier des troupes pour des victoires rapides, car il y aura plus de fronts pour déclencher l’effondrement ukrainien.
Théâtre 3
Peut-être que simultanément il y aura une poussée vers Ugledar et les villages environnants du sud, pour mettre une pression supplémentaire sur les lignes d’approvisionnement ukrainiennes, tant en matériel qu’en personnes.
Théâtre 4
Comme vous le voyez sur ma carte, le théâtre « 4 » est assez long.
Pour le moment, au moment où j’écris cet article, je ne vois aucune possibilité physique de mener une offensive à grande échelle de la Biélorussie vers l’Ukraine. Il n’y a ni assez d’équipement ni la logistique nécessaire en place. Ainsi, les grosses flèches du Bélarus sont actuellement physiquement impossibles.
Ce que je suppose en effet, est ce qui suit.
On verra localement, pas partout où j’ai mis un chiffre 4 dessus, mais à certains endroits (je ne sais où) de petites incursions, pour coincer et lier l’ennemi au plus près de la frontière. Engager le plus possible de troupes, d’équipements et d’efforts logistiques dans le nord. En même temps, je suppose que nous pourrions commencer à vivre le début d’une campagne aérienne russe sur des cibles de l’autre côté de la frontière nord de l’Ukraine. Étant donné que la plupart des défenses aériennes sont actuellement concentrées autour de l’infrastructure critique ou déjà épuisées, nous verrons très probablement le nouveau rôle du général Surovikin. Matraquant et dégradant les ressources ukrainiennes dans le nord. Et l’Ukraine devra constamment les remplacer, pour ne pas ouvrir la porte de Kiev.
En même temps, nous pourrions peut-être voir l’accumulation de troupes et d’équipements en Biélorussie.
Cela pourrait durer peut-être jusqu’au début de l’été 2023.
Ici, nous avons la même situation qu’à Artemovsk. Dès que l’approvisionnement en troupes et en matériel commence à diminuer dans le nord, la Russie peut supposer que le moment est venu de sécuriser Kiev.
Exigences pour un déménagement vers Kiev :
Effondrement complet du front du Donbass.
Effondrement complet du front nord.
En fonction de la situation politique à ce moment-là, nous pourrions voir déjà une reddition totale ou seulement le déplacement des troupes russes à proximité de Kiev. Peut-être même déjà le début de l’encerclement de Kiev.
Théâtre 5
Soit simultanément au théâtre 4, soit après le déplacement sur Kiev (entourant ou prépositionnant au nord, à l’ouest et à l’est de Kiev), on peut voir s’ouvrir une cinquième ligne de front au sud. L’objectif serait d’atteindre la ville de Zaporozhye. Encore une fois, dans le but d’attirer au maximum les ressources et la logistique ukrainiennes.
Perspectives
Encore une fois, je suis sûr que l’objectif de la Russie est de déclencher un effondrement, de ne pas être obligé de se battre pour chaque village jusqu’à Lvov. Après ces cinq « phases » ou théâtres, je suppose, que nous verrons l’effondrement de l’Ukraine. Ce qui entraînera soit une reddition, soit nous pourrions simplement voir un passage des forces russes vers leurs futures frontières souhaitées en contournant les derniers nids de résistance. Qui devront de toute façon se rendre après un certain temps, lorsqu’ils seront encerclés loin derrière les frontières de l’OTAN.
En appliquant cette stratégie, la Russie peut infliger un maximum de dégâts à l’armée ukrainienne tout en épargnant la vie de ses propres soldats et l’infrastructure civile ukrainienne des grandes villes russes (Odessa, etc.).
Quel est le but ultime de la Russie.
Selon le degré de résistance et l’escalade occidentale, nous pourrions assister à une reddition de Kiev au plus tôt à l’été 2023. Au plus tard ? C’est impossible à dire. Si la Russie doit traverser l’Ukraine, encercler les grandes villes et les forcer sans violence à se rendre, cela pourrait durer encore deux ans. Qui sait? Et bien sûr, il reste la question de la main-d’œuvre. Comme dans mon analyse de la phase 3 décrite, la Russie aurait besoin de mobiliser davantage de troupes, si elle était forcée de prendre l’Ukraine sans qu’elle se rende. Pas pour les combats proprement dits, mais simplement pour l’occupation et la sécurisation des arrières (contre insurrection etc.), de ce grand pays.
Livraisons d’armes et terre brûlée
De plus en plus de rapports font état de livraisons de chars et de véhicules de combat d’infanterie, ainsi que d’artillerie à l’Ukraine par l’OTAN.
Bien sûr, nous passerons par toutes les étapes d’escalade en termes de livraisons d’armes, jusqu’à la fin de cette guerre.
L’Occident suit une stratégie de la terre brûlée en Ukraine. Il est absolument clair pour tout le monde que ce n’est qu’une question de temps, quand l’Ukraine tombera dans son ensemble. Tous sont conscients que cela se produira très probablement cette année. Ainsi, l’objectif de l’OTAN est d’infliger autant de dommages complets et durables que possible à la Russie au cours du processus. Voir mon article à ce sujet ici.
L’Ukraine, ou la plus grande partie de celle-ci, fera à nouveau partie de la Russie. Certaines parties pourraient aller en Pologne, en Hongrie et en Roumanie en accord avec la Russie. Et une partie sera peut-être libérée dans une pseudo indépendance après avoir été dénazifiée et démilitarisée. Mais en fait, la Russie tue actuellement « en masse » ses futurs citoyens et la base d’un développement ultérieur. Bien entendu, les soldats ukrainiens d’aujourd’hui seront également les soldats russes de demain. Et plus les infrastructures sont endommagées, plus la Russie devra investir pour reconstruire. Au moins en partie, cela ira à la Russie.
Par conséquent, l’OTAN doit s’assurer que tout le potentiel masculin valide sera utilisé pour combattre la Russie. Dans le meilleur des cas, tout le monde meurt. Rappelez-vous, ce sont de futurs citoyens et soldats russes. C’est pourquoi l’Occident ne négociera jamais une fin. La Russie ne le fera d’ailleurs pas non plus, puisque toute l’Ukraine sera capturée, dénazifiée et démilitarisée. Sauf peut-être les petits lots, qui iront à d’autres États en vertu d’un accord mutuel.
Eh bien, pour autant que je sache, l’Ukraine a manqué d’armes lourdes. Et elle ne pourra plus continuer le combat sans armes lourdes. D’abord physiquement, ensuite moralement. Si les Ukrainiens ne pouvaient que jeter leurs corps contre les chars russes, il y aurait alors une reddition massive.
On pourrait penser que ces chars fournis par l’Occident seront nécessaires pour des opérations offensives. Mais plus personne ne pense aux offensives. Il s’agit plus, de prépositionner ces chars etc. sur des positions, où des offensives russes seront attendues. Préparer des embuscades et des pièges à feu pour les troupes russes entrantes. Similaire à ce qui s’est passé dans la phase 1. L’Occident fournira dans n’importe quelle phase, tant que le potentiel humain existe, pour réagir aux défis du moment/phase/théâtre donné.
Conclusion
À partir de maintenant, l’Ukraine a perdu la guerre. Je dirais que le jour où la ligne défensive de Soledar a été percée et que la nouvelle structure de commandement a été annoncée, est le jour où l’Ukraine a officiellement perdu la guerre. Maintenant, nous devons passer au peigne fin, ce qui entraînera, malheureusement pour les deux parties, d’horribles pertes en vies humaines et en matériel.
Malheureusement, les régimes fascistes ou leurs soutiens non fascistes ont tendance à sacrifier toute leur population avant que le monde ne puisse soutenir la paix. C’était comme ça pendant la Seconde Guerre mondiale, et maintenant nous avons encore la même merde.
Je pensais depuis le début que la Russie voulait crée une zone tampon qui englobe la mer noire, donnant à la future Ukraine ou ce qui restera aucun accès d’abord à la mer, puis d’avance jusqu’à Kiev pour pouvoir négocier au plus haut toute en occupant aussi des lignes a quelques kilomètres de la pologne…. Démantelant de force l’Ukraine au profit des pays limitrophe et empechant y facto, sur le plan internationale des revendications d’un état mort….. puisque offrant à la pologne et à la hongrie y compris à la Roumanie une partie du territoire Ukrainien. En sachant que de toute manière la Hongrie et la Roumanie se tournerai vers Moscou et les Brics pour recevoir de l’energie, car après cette guerre, on aura une nouvelle guerre, celle des bureaucrates, qui feront tout pour empêcher le démantèlement de l’UE, l’Allemagne ouvrira le Bal, car ces industries ont besoins d’énergie, et elle aussi fera pression sur UE qui refusera ces positions, l’Allemagne prétextant de fait, son retrait de la zone Euro… DONC la mise a mort de l’UE… les allemands ne sont pas dupes ni bêtes, il n’ont pas oublié les humiliations de 14/18 (Le traité de versailles) puis 39/45 qui a duré jusqu’en 1983, date de la dernière traite de remboursement de guerre… ils vont décider de dire que cela suffit, ils ont payés, et que tout est régler… On va donc assister à un démantèlement puis un craquement de l’OTAN car tout cela sonne la fin de l’empire américain…
EN COMPLÉMENTAIRE
Les chars américains patinent dans la neige
Génial. Tout simplement génial ! Regardez ce que nos millions de dollars pour chaque char nous rapportent. . . .
Vous voulez voir par vous-même comment nous avons été escroqués par le complexe militaro-industriel ? Nos chars Abrams . . . vous savez, nos principaux chars de combat. . . ne peuvent pas monter des collines dans la neige. Ils dérapent et glissent vers l’arrière.
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Ils coûtent de six à neuf MILLIONS DE DOLLARS CHACUN !!
C’est la qualité et l’excellence en ingénierie du complexe militaro-industriel américain ?
Avec des systèmes d’armes comme celui-ci, que vont faire les Ukrainiens ? Demander à la Russie de retarder son offensive jusqu’à l’été prochain ?
EN DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE
Des chars pour l’Ukraine : Un écran de fumée
En ce qui concerne la clameur incessante de l’information autour de la fourniture de chars à l’Ukraine, je suggère de rappeler d’abord l’histoire de la Russie. Le prince Svyatoslav de Kiev, lorsqu’il partait en guerre, annonçait à son ennemi : « Je viens à toi ! ». Il gagna la plupart des batailles, mais fut sournoisement tué par ses ennemis dans une embuscade, et le khan Pecheneg Kurya fit de son crâne un bol.
Plus de mille ans se sont écoulés, mais la Russie suit toujours cette stratégie à bien des égards. L’honnêteté, la franchise, le refus de cacher ses intentions – c’est ainsi que nos ancêtres se sont battus, et c’est ainsi que nous nous battons.
L’Ukraine, bien qu’elle considère Sviatoslav comme un souverain exclusivement ukrainien, se bat d’une manière très différente. Cela est dû en grande partie au fait que les Ukrainiens, dans la confrontation actuelle, ne sont qu’un outil, un exécuteur obéissant de la volonté de quelqu’un d’autre. Et les États-Unis, après la leçon du Viêt Nam, ne se battent eux-mêmes que lorsqu’ils ont une supériorité absolue et totale, comme ils l’ont fait en Yougoslavie, en Irak et dans tous les autres cas de figure. Après avoir fait face à une résistance insignifiante en Somalie et avoir perdu 19 Marines tués, les Américains ont immédiatement retiré leurs troupes du pays.
Cependant, cela n’a pas aidé la Somalie.
Car lorsque les Américains ne peuvent pas gagner sur le champ de bataille, ils financent activement les militants locaux et font en sorte que la situation dans les pays ciblés soit au bord de l’effondrement.
En fait, c’est exactement ce que nous voyons en Ukraine. Des deux côtés du conflit, les Russes, les Ukrainiens, les représentants d’autres peuples de l’URSS et de l’Empire russe s’entretuent. Et les États-Unis fournissent volontiers des armes aux ennemis de la Russie.
Mais les armes classiques ne se limitent certainement pas aux armes classiques. Au cours de la précédente guerre froide et des décennies que nous considérions comme pacifiques, mais qui n’étaient en réalité que la préparation de l’OTAN à un nouveau « Drang nach Osten » décisif, Washington a parfaitement maîtrisé les technologies de l’information, de la guerre psychologique et cognitive. Et si le territoire de l’Ukraine est devenu un site d’essai pour les armes américaines, alors toute la puissance des armes d’information occidentales a maintenant été déployée contre nous.
Le terme « brouillard de guerre » a été formulé au début du XIXe siècle par le commandant prussien et scientifique militaire Carl von Clausewitz : « La guerre est le domaine du non fiable : les trois quarts de ce sur quoi repose l’action dans la guerre se trouvent dans le brouillard de l’inconnu, et, par conséquent, pour découvrir la vérité, il faut avant tout un esprit subtil, souple et perspicace… Le manque de fiabilité des nouvelles et l’interférence constante du hasard conduisent au fait que le combattant fait en réalité face à une situation complètement différente de celle à laquelle il s’attendait. »
Les militaires occidentaux sont passés maîtres dans l’art du brouillard. Il suffit de se rappeler une histoire de la Seconde Guerre mondiale intitulée « Opération Mincemeat ». À l’époque, les services secrets britanniques avaient pris le cadavre d’un homme, l’avaient habillé d’un costume d’officier de marine et l’avaient emmené en sous-marin jusqu’à la côte espagnole, avant de l’allonger soigneusement sur le rivage.
Une valise contenant des « documents top-secrets » avait été enchaînée au poignet du faux « officier noyé », indiquant que les Alliés allaient lancer une attaque majeure en Grèce. Les Allemands y ont cru et, par conséquent, les Alliés ont débarqué en Sicile sans encombre.
De nombreuses opérations de ce type ont eu lieu depuis lors et nous ne les connaissons pas toutes. Je suis sûr que les publications dans les médias occidentaux à la veille de l’OMS, selon lesquelles Kiev est complètement sans défense et que la Russie la prendra en trois jours, font également partie d’une guerre cognitive destinée à montrer au public occidental la « faiblesse » de notre armée. Bien qu’aucun de nos généraux, je dois le souligner, n’ait promis quoi que ce soit de ce genre. Et les accords de Minsk, conçus, comme il s’est avéré, pour donner à l’Ukraine le temps d’améliorer l’efficacité au combat de l’armée – qu’est-ce que c’est, sinon une opération spéciale de l’Occident ?
Revenons donc au sujet principal : les chars. Abrams, Léopard et ainsi de suite. Ces dizaines de véhicules blindés sont-ils capables de renverser le cours des hostilités contre la Russie ? Non, ils ne peuvent pas. Nos soldats sont excellents pour lutter contre les véhicules blindés ennemis. Donc, le seul effet de ces chars, s’ils atteignent la ligne de contact, est de prolonger les combats (comme, soit dit en passant, la plupart des autres types d’armes occidentales).
Mais le bruit qui accompagne l’approvisionnement en chars est : « Donnons. Nous ne le ferons pas. Nous le donnerons plus tard, mais pas que. Nous le donnerons s’ils donnent. Ou peut-être que nous ne le ferons pas. Non, nous le ferons. À moins que… ? » est clairement destiné à dissimuler quelque chose d’autre, de vraiment important à la fois pour l’Occident et pour Kiev.
Par exemple, la fourniture à l’Ukraine de 300 000 obus de 155 mm provenant de dépôts américains en Israël. Et il y a de sérieux doutes sur le fait que seuls des obus américains seront présents, malgré les assurances données par Israël qu’il ne fournirait pas d’armes à Kiev.
Mais ce n’est qu’une version. Dans tous les cas, il ne faut pas trop se focaliser sur ce qui se trouve à la surface, et toujours se rappeler que si l’ennemi tient à attirer notre attention sur quelque chose, c’est qu’il est en fait occupé à faire tout autre chose.
Vous ne pouvez pas vous attendre à un honnête « Je viens à toi ! » de la part de l’Occident ou de l’actuel Kiev.
L’inévitable va se produire? aujourd’hui les intentions de la Russie sont de plus en plus claires et l’opinion américaine commence à trembler :
En effet, la guerre en Ukraine est pire que ce qu’on pensait : c’est bien évidement la troisième guerre mondiale et chaque pays devrait en tenir compte .
La Russie pendant l’invasion de l’Ukraine a balayé d’un revers de la main toutes les sanctions de l’OTAN , Parce qu’elle est capable de garantir sur un minimum de deux ans son auto suffisance alimentaire et son pouvoir d’achat interne :
c’est dire qu’il est impossible en moins de deux ans de voir surgir en Russie un soulèvement populaire de grande envergure contre le pouvoir et ce quel que soit l’issue de la guerre en Ukraine et ça , le président Poutine l’a bien compris depuis longtemps .
Les réserves des banques russes en dollars s’élevaient avant la guerre à plus de 350 milliards de dollars USA :
cette somme a bien évidement été gelée par l’OTAN avec Pour conséquence la chute drastique du rouble Russe ! Mais à la grande surprise de tous , Mr Poutine a déclaré que désormais l’achat de son pétrole et son gaz à destination des pays hostiles se feront en roubles russes et plus en dollars! et en moins de 48heures, le rouble Russe a repris une remontée en flèche sur les marchés internationaux et pire les chinois depuis quelque temps commencent à diminuer leurs réserves en dollars car ils disposent d’un peu plus de 900 milliards de dollars de réserve dans les banques américaines .
L’Inde, le Pakistan et de nombreux pays effectuent déjà des transactions avec la Chine et la Russie en contournant le dollar et récemment , l’Inde a acheté du pétrole et du gaz en Russie en transitant par un échange direct entre le rouble et le roupie .
La Chine depuis un an essaye de positionner le yuang chinois comme la monnaie de référence après le dollar et la guerre en Ukraine est une bonne option pour elle.
Xi Jinping (à gauche) a nommé Zhao Lijian (photo de droite) à la tête de l’un de ses plus importants ministères politique,l’an passé.
Le président Biden vient en fait de se rendre compte du vrai problème: la guerre est monétaire ! La troisième guerre mondiale de la Russie a pour but de détruire l’Amérique par l’anéantissement du pouvoir de monnaie de référence du dollar.
La Russie veut descendre le dollar et par là la toute puissance américaine et ce quelque soit le prix à payer .
Les États Unis vivent grâce au dollars et Biden le sait très bien , bien qu’étant le pays le plus endetté du monde , ils restent économiquement tous puissants grâce à la plate forme incontournable (?) qui est le dollar et son système swift .
Aujourd’hui, Poutine et ses allliés veulent découdre le dollar et inciter tous les pays qui auraient une devise à valoriser leur monnaie locale pour ne plus dépendre du dollar qui recevra une chute drastique si cette guerre ne prend pas fin rapidement .
La récente visite de Biden en Pologne en dit long : la situation est très grave ! Si l’Europe se sent obligée elle aussi de tout acheter à la Russie en rouble , le monde aura deux monnaies de référence très fortes : il s’agira du rouble pour l’Europe et le yuan chinois Pour le reste du monde , le dollar américain s’effondrera complètement et ce sera la fin des USA comme puissance économique.
Les protestations violentes contre la mort de George Floyd, l’Afro-américain tué à Minneapolis par un policier, durent maintenant depuis trop longtemps.
Les USA n’admettront jamais cette situation .
Biden en Pologne prépare donc la guerre : il veut utiliser la Pologne et ce qui restera de l’Ukraine après la séparation évidente qu’il y’aurait après le référendum annoncé dans les milieux de séparatistes pro russes , comme bases arrières de repli pour l’armée de terre qui fera son assaut sur la Russie .
La Russie en profitera pour détruire totalement la Pologne et ce qui restera de l’OTAN disloqué en Europe .
La guerre nucléaire aura bien lieu .
Cette guerre se précise de plus en plus et son ampleur est presque inévitable.
Ces jours-ci , le congrès américain voterait pour une entrée effective des USA en guerre car il est inadmissible que le dollar perde sa place de référence mondiale .
La confrontation tant évitée entre les deux super-puissances mondiales aura bien lieu et le monde en pâtira en dehors du continent asiatique qui fera très vite allégeance à la super puissance chinoise qui la protégera.
L’Afrique qui importe presque tout de l’Occident subira de plein fouet cette guerre et multipliera les coups d’état militaires qui augmenteront la pauvreté et sa ruine .
Le ton commence à baisser en Europe avec de plus en plus des voix qui s’élèvent contre les USA à l’instar des candidats Melanchon et Zemour qui trouvent que la France devrait cesser de suivre les USA comme un chien au détriment des français qui souffrent déjà beaucoup .
Les USA mèneront seuls leur guerre pour leur monnaie, puisque nous assisterons bientôt à la dislocation de l’OTAN avec de nombreux pays qui quitteront le bateau avec la France en premier , suivie de l’Allemagne et ensuite de l’Italie et de l’Espagne .
Nous pouvons déjà affirmer sans risque de nous tromper que les USA se sont faits piégés par la Russie qui n’a jamais avalé la pilule amère de la dislocation de l’URSS et de la chute du mur de Berlin et surtout , du non respect des accords qui s’en sont suivis .
Aujourd’hui est il tard ? Eh bah oui ! Il est tard .
La Russie ne quitera pas l’Ukraine sans la diviser .
L’Europe ne se passera pas du gaz et du pétrole russe sauf si les USA ruinent leurs économies en voulant vendre au continent européen un gaz plus cher parce qu’il sera liquéfié .
Le yuang chinois prendra le dessus des échanges parmi les pays du BRICS et se positionnera devant un dollar plus affaibli que jamais .
La guerre entre les USA et la Russie détruira totalement l’Ukraine et la Pologne; Une Russie affaiblie ainsi que les USA totalement ruinés avec tout le continent européen et même l’Afrique verront le jour d’après .
La première puissance économique mondiale sera la Chine suivie de l’Inde , etc .
La puissance des USA tient au Dollar : s’ils entrent en guerre contre la Russie avec d’un côté le yuang chinois qui veut devenir la monnaie de référence, ils n’auront jamais le temps de concilier les deux : la guerre fera rapidement chuter le dollar , et le yuang montera en flèche rendant caduque l’économie américaine.
Que faire : le président Biden n’est peut être pas le bon interlocuteur qu’il faut face à Poutine: l’Amérique devrait trouver le
meilleur moyen de rétablir un dialogue franc entre les USA et la Russie .
L’Amérique n’a pas besoin d’entrer directement ou indirectement en guerre .
L’Europe devrait sacrifier absolument l’Ukraine et se désolidariser de l’alliance atlantique pour sauver le continent si c’est encore possible .
La dislocation de l’OTAN devrait s’accélérer après les prochaines élections en France et très vite si Macron vient à perdre le pouvoir .
Les américains doivent tout faire pour garder les bonnes relations avec le continent européen y compris la Russie et tous ceux qui sortiront de l’OTAN , pour garantir leur stabilité , plus comme première puissance économique du monde , mais comme deuxième derrière la Chine sinon ce sera la fin de leurs unions avec une possible division des USA .
La troisième guerre mondiale se précise de plus en plus devant nous et elle se fait contre le dollar .
S‘il y‘a une guerre entre la russie Et les usa ça sera problablement une guerre nucléaire Et problablement la fin de l‘humanité pour les personnes resident dans ces régions.
Une nouvelle réalité est en train de se former
Une nouvelle réalité est en train de se former : le monde unipolaire est en train de devenir irrévocablement une chose du passé, un monde multipolaire est en train de prendre forme.
Il fallait voir ça. Dmitri Medvedev, ancien président russe, atlantiste impénitent, actuel vice-président du Conseil de sécurité russe, a décidé de se lâcher totalement dans un déchaînement à la hauteur de la prestation de sieur Khinzal [Khinzal=une des nouvelles armes russes – NdT], qui a provoqué « choc et effroi » palpable à travers tout l’OTAN.
Medvedev a déclaré que les sanctions occidentales « infernales » non seulement n’ont pas réussi à paralyser la Russie, mais qu’au contraire, elles » retournent à l’Ouest comme un boomerang « . La confiance dans les monnaies de réserve « s’estompe comme la brume du matin », et abandonner le dollar américain et l’euro n’est plus irréaliste : « L’ère des monnaies régionales arrive ».
Après tout, a-t-il ajouté, « qu’ils le veuillent ou non, ils devront négocier un nouvel ordre financier (…) Et la voix décisive sera alors celle des pays qui ont une économie forte et avancée, des finances publiques saines et un système monétaire fiable. »
Medvedev a relayé son analyse succincte avant même le jour J ; la date limite fixée par le président Poutine après laquelle les paiements du gaz russe par les « nations inamicales » ne seront acceptés qu’en roubles.
Le G7, comme on pouvait s’y attendre, avait pris une position (collective) : nous ne paierons pas. « Nous » signifie les 4 qui ne sont pas de grands importateurs de gaz russe. « Nous », en outre, c’est l’Empire du Mensonge qui dicte les règles. Quant aux 3 qui seront en grande difficulté, non seulement ils sont de grands importateurs mais ils se trouvent être des vaincus de la Seconde Guerre mondiale – l’Allemagne, l’Italie et le Japon, toujours territoires occupés de facto. L’histoire a l’habitude de jouer des tours pervers.
Le déni n’a pas duré longtemps. L’Allemagne a été la première à rompre, avant même que les industriels de la Ruhr à la Bavière ne se révoltent en masse. Scholz, le chétif chancelier, a appelé Poutine, qui a dû expliquer l’évidence : les paiements sont convertis en roubles parce que l’UE a gelé les réserves de change de la Russie, en violation flagrante du droit international.
Avec une patience taoïste, Poutine a également exprimé l’espoir que cela ne représente pas une détérioration des conditions contractuelles pour les importateurs européens. Les experts russes et allemands devraient s’asseoir ensemble et discuter des nouvelles conditions.
Moscou travaille sur une série de documents définissant le nouvel accord. Essentiellement, cela signifie : pas de roubles, pas de gaz. Les contrats deviennent nuls et non avenus dès lors que vous violez la confiance. Les États-Unis et l’Union européenne ont rompu des accords légaux en imposant des sanctions unilatérales et, de surcroît, ont confisqué les réserves de change d’un pays – nucléaire – du G20.
Les sanctions unilatérales ont rendu les dollars et les euros sans valeur pour la Russie. L’hystérie ne suffit pas : le problème sera résolu, mais aux conditions de la Russie. Un point c’est tout. Le ministère des affaires étrangères avait déjà prévenu que le refus de payer le gaz en roubles entraînerait une grave crise mondiale de non-paiements et de faillites en série au niveau mondial, une réaction en chaîne infernale de transactions bloquées, de gel des actifs collatéraux et de fermetures de lignes de crédit.
La suite des événements est partiellement prévisible. Les entreprises de l’UE recevront le nouvel ensemble de règles. Elles auront le temps d’examiner les documents et de prendre une décision. Celles qui diront « non » seront automatiquement exclues des livraisons directes de gaz russe, avec toutes les conséquences politico-économiques que cela implique.
Il y aura bien sûr des compromis. Par exemple, un certain nombre de nations de l’UE accepteront d’utiliser des roubles et d’augmenter leurs acquisitions de gaz afin de pouvoir revendre le surplus à leurs voisins et réaliser un bénéfice. Et certains pourraient également décider d’acheter du gaz sur le tas sur les bourses de l’énergie.
La Russie n’impose donc un ultimatum à personne. Tout cela prendra du temps – un processus graduel. Avec quelques actions latérales également. La Douma envisage d’étendre le paiement en roubles à d’autres produits essentiels – comme le pétrole, les métaux, le bois, le blé. Cela dépendra de la voracité collective des chihuahuas de l’UE. Tout le monde sait que leur hystérie non-stop peut se traduire par une rupture colossale des chaînes d’approvisionnement à travers l’Occident.
Bye bye les oligarques
Alors que les classes dirigeantes atlantistes sont devenues complètement folles mais restent concentrées sur la lutte jusqu’au dernier Européen pour extraire toute richesse palpable qui subsiste de l’UE, la Russie joue la carte du sang froid. Moscou a été plutôt indulgente en fait, brandissant le spectre d’une absence de gaz au printemps plutôt qu’en hiver.
La Banque centrale russe a nationalisé les recettes en devises de tous les grands exportateurs. Il n’y a pas eu de défaut de paiement. Le rouble continue de monter – et il est maintenant revenu à peu près au même niveau qu’avant l’Opération Z. La Russie reste autosuffisante sur le plan alimentaire. L’hystérie américaine concernant la Russie « isolée » est risible. Tous les acteurs qui comptent en Eurasie – sans parler des quatre autres BRICS et de la quasi-totalité des pays du Sud – n’ont pas diabolisé et/ou sanctionné la Russie.
En prime, le dernier oligarque capable d’exercer une influence à Moscou, Anatoly Chubais, a disparu. Une autre superbe ruse historique : L’hystérie des sanctions occidentales a démembré de facto l’oligarchie russe – le projet favori de Poutine depuis 2000 [1]. Ce que cela implique, c’est le renforcement de l’État russe et la consolidation de la société russe.
Nous ne disposons pas encore de tous les faits, mais on peut affirmer qu’après des années d’évaluation minutieuse, Poutine a choisi d’aller jusqu’au bout et de briser le dos de l’Occident, en utilisant comme casus belli ce tiercé : attaque éclair imminente du Donbass, laboratoires américains de fabrication d’armes biologiques, Ukraine travaillant sur des armes nucléaires.
Le gel des réserves de change devait être prévu, d’autant plus que la Banque centrale russe avait augmenté ses réserves de bons du Trésor américain depuis novembre dernier. Il y a ensuite la possibilité sérieuse que Moscou puisse accéder à des réserves étrangères offshore « secrètes » – une matrice complexe construite avec l’aide d’initiés chinois.
Le passage soudain du dollar et de l’euro au rouble est un acte de judo géoéconomique pur et dur, de niveau olympique. Poutine a incité l’Occident collectif à libérer son hystérie démente pour sanctionner l’attaque – et l’a retournée contre l’adversaire en un seul geste rapide.
Et nous voilà tous en train d’essayer d’absorber tant de développements simultanés qui changent la donne suite à l’armement des actifs en dollars : le roupie-rouble avec l’Inde, le petroyuan saoudien, les cartes Mir-UnionPay co-badgées émises par les banques russes, l’alternative SWIFT Russie-Iran, le projet EAEU-Chine d’un système monétaire/financier indépendant.
Sans parler du coup de maître de la Banque centrale russe, qui a fixé le prix d’un gramme d’or à 5000 roubles – qui avoisinent déjà 60 dollars et ne cessent de grimper.
Si l’on ajoute à cela le programme « Pas de roubles, pas de gaz », nous avons là une énergie de facto liée à l’or. Les chihuahuas de l’UE et la colonie japonaise devront acheter beaucoup de roubles en or ou acheter beaucoup d’or pour avoir leur gaz. Et il y a mieux. La Russie pourrait ré-arrimer le rouble à l’or dans un futur proche. On pourrait passer à 2 000 roubles, 1 000 roubles, voire 500 roubles pour un gramme d’or.
Le temps de la souveraineté
Depuis les sommets des BRICS dans les années 2000, auxquels ont participé Poutine, Hu Jintao et Lula, le Saint Graal des discussions sur un monde multipolaire a toujours été de savoir comment contourner l’hégémonie du dollar. Cette solution se trouve maintenant sous les yeux de l’ensemble du Sud, sous la forme d’une apparition bénigne arborant un sourire de chat du Cheshire : le Rouble-or, ou Rouble adossé au pétrole, au gaz, aux minéraux, aux exportations de matières premières.[2]
La Banque centrale russe, contrairement à la Fed, ne pratique pas l’assouplissement quantitatif (1) et n’exporte pas d’inflation toxique vers le reste de la planète. Non seulement la marine russe sécurise toutes les lignes maritimes russes, mais les sous-marins russes à propulsion nucléaire sont capables de surgir partout sur la planète à l’improviste.
La Russie est loin, très loin en avance, mettant déjà en œuvre le concept de « puissance navale continentale ». Décembre 2015, sur le théâtre syrien, a changé la donne stratégique. La 4e division de sous-marins basée en mer Noire est la vedette du spectacle.
Les flottes navales russes peuvent désormais employer des missiles Kalibr dans un espace comprenant l’Europe de l’Est, l’Asie occidentale et l’Asie centrale. La mer Caspienne et la mer Noire, reliées par le canal Don-Volga, offrent un espace de manœuvre comparable à celui de la Méditerranée orientale et du golfe Persique réunis. 6000 km de long. Et il n’est même pas nécessaire d’accéder aux eaux chaudes.
Cela couvre environ 30 nations : la sphère d’influence traditionnelle de la Russie, les frontières historiques de l’empire russe et les sphères de rivalité politique/énergétique actuelles.
Pas étonnant que Washington soit furieux.
La Russie garantit le transport maritime à travers l’Asie, l’Arctique et l’Europe, en tandem avec le réseau ferroviaire « Belt and Road Initiative » à l’échelle de l’Eurasie.
Et enfin, mais pas des moindres, on ne badine pas avec un ours nucléaire.
Voilà en substance ce qu’est la politique de puissance pure et dure. Medvedev ne s’est pas vanté lorsqu’il a déclaré que l’ère d’une monnaie de réserve unique était révolue. L’avènement d’une monnaie de réserve mondiale basée sur les ressources signifie, en résumé, que 13 % de la planète ne domineront plus les 87 % restants.
C’est le NATOstan contre l’Eurasia à nouveau. Guerre froide 2.0, 3.0, 4.0 et même 5.0. Cela n’a pas d’importance. Toutes les anciennes nations du Mouvement des non-alignés (MNA) savent de quel côté soufflent les vents géopolitiques et géoéconomiques : le moment est venu d’affirmer leur véritable souveraineté alors que l’ »ordre international fondé sur des règles » mord la poussière.
Bienvenue à la naissance du nouveau système mondial. Le ministre des affaires étrangères Sergei Lavrov, en Chine, après avoir rencontré plusieurs homologues de toute l’Eurasie, n’aurait pas pu mieux le décrire :
« Une nouvelle réalité est en train de se former : le monde unipolaire est en train de devenir irrévocablement une chose du passé, un monde multipolaire est en train de prendre forme. C’est un processus objectif. Il est irréversible. Dans cette réalité, plus d’une puissance « gouvernera » – il sera nécessaire de négocier entre tous les États clés qui ont aujourd’hui une influence décisive sur l’économie et la politique mondiales. En même temps, conscients de leur situation particulière, ces pays veilleront à respecter les principes de base de la Charte des Nations unies, y compris le principe fondamental – l’égalité souveraine des États. Personne sur cette Terre ne doit être considéré comme un acteur mineur. Tout le monde doit être égal et souverain. »
Pepe Escobar
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COMMENTAIRES
1-Déjà dépassés par la force de frappe au niveau militaire, les Européens vont devoir redescendre au plus vite sur terre, car la force de frappe alimentaire russe est bien plus puissante. Medvedev le rappelle : « Il se trouve que la sécurité alimentaire de nombreux pays dépend de nos approvisionnements. Il s’avère que notre nourriture est notre arme silencieuse. Et si quelqu’un ne sait pas ou a oublié, alors l’exportation de nos produits agricoles dépasse l’exportation d’armes réelles — elle s’élevait à plus de 37 milliards de dollars l’année dernière. »
2-L’inflation dans la zone euro atteint un niveau historique
La flambée des prix de l’énergie en est le principal moteur, selon les données.
Les prix à la consommation dans les 19 pays utilisant l’euro ont augmenté de 7,5 % en rythme annuel en mars, selon les données publiées vendredi par l’agence statistique de l’Union européenne. La flambée des coûts de l’énergie est le principal facteur d’augmentation de l’inflation, selon Eurostat.
C’est le cinquième mois consécutif que l’inflation dans la zone euro établit un record, ce qui la porte au niveau le plus élevé depuis le début de la comptabilisation de l’euro en 1997. Le dernier relevé a pulvérisé le sommet de 5,9 % atteint en février.
3- Le géant allemand de la chimie BASF a mis en garde contre les conséquences dramatiques d’une interruption de l’approvisionnement en gaz en provenance de Russie, a rapporté mercredi le journal allemand Frankfurter Allgemeine.
Si l’approvisionnement en gaz était réduit de moitié, l’usine de Ludwigshafen – le plus grand site chimique du monde, qui emploie près de 40.000 personnes – devrait fermer ses portes, a déclaré Michael Vassiliadis, président d’un syndicat de la chimie et membre du conseil d’administration de BASF, cité par le journal.
Si l’approvisionnement en gaz était inférieur à 50%, le site ne pourrait plus fonctionner de manière stable et devrait être complètement fermé, a expliqué M. Vassiliadis. Si la perte du gaz russe n’était pas compensée, les effets sur l’industrie chimique seraient dramatiques, la panne coûtant « des centaines de milliers d’emplois sur une période relativement courte » et affectant l’approvisionnement, a-t-il ajouté.
Le PDG de BASF, Martin Brudermüller, a déclaré précédemment qu’il n’y avait aucun moyen de remplacer le gaz russe à court terme, mais que le groupe travaillait intensivement à la réduction de sa dépendance au gaz.
Le rapport du Frankfurter Allgemeine souligne que l’industrie chimique ne peut fonctionner sans pétrole ni gaz, et que sans ce secteur, l’économie s’arrête, car les gens en dépendent fortement dans leur vie quotidienne.
Les produits pétrochimiques représentent 20% des vêtements, 40 % des produits cosmétiques et même 35% de l’aspirine, un produit essentiel dans la pharmacie de la plupart des familles.
– Ukraine / Russie. Le rôle sous-jacent des oligarques juifs
[2] Poutine réalise aujourd’hui ce que Kadhafi voulait réaliser :
Emails Clintoniens. Ben Ali, Kadhafi et Moubarak ont été « dégagés » par Washington parce qu’ils voulaient remplacer le dollar par le Dinar-or !: Dans un e-mail récemment déclassifié adressé à la secrétaire d’État Hillary Clinton en date du 2 avril 2011, Sid Blumenthal révélait la raison pour laquelle Kadhafi doit être éliminé. Citant une « source haut placée » non identifiée, Blumenthal écrit à Clinton : « Selon les informations sensibles disponibles auprès de cette source, le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or, et une quantité similaire en argent … Cet or a été accumulé avant l’actuel soulèvement et était destiné à être utilisé pour créer une monnaie panafricaine basée sur le Dinar-or libyen. Ce plan a été conçu pour fournir aux pays africains francophones une alternative au franc français (CFA. » . Cette mention était seulement la partie apparente de l’iceberg du Dinar-or de Kadhafi.
Le timing du printemps arabe, rétrospectivement, semble de plus en plus lié aux efforts déployés par Washington et Wall Street pour contrôler non seulement les énormes flux de pétrole arabe du Moyen-Orient. Il est maintenant clair, qu’il s’agissait également de contrôler leur argent, leurs milliers de milliards de dollars accumulés dans leurs nouveaux fonds souverains.
Cependant, comme cela a été confirmé dans le dernier échange d’e-mails entre Clinton et Blumenthal en date du 2 avril 2011, il y avait une nouvelle menace qui pesait sur Wall Street et la City de Londres, « dieux d’argent », émanant du monde du pétrole arabe et africain.
Le Libyen Kadhafi, le Tunisien Ben Ali et l’Égyptien Moubarak étaient sur le point de lancer une monnaie islamique basée sur l’or, indépendante du dollar américain. Ce plan a été éventé pour la première fois, début de 2012, lors d’une conférence financière et géopolitique en Suisse, par un Algérien ayant une connaissance approfondie du projet. Les données étaient rares à l’époque, mais maintenant, la situation renvoie une image beaucoup plus nette qui met en perspective la cruauté du Printemps arabe de Washington et de ses harkis islamistes et de son urgence dans le cas de la Libye, souligne le « New Eastern Outlook.
[HillaryLeaks] Le projet panafricain de « dinar-or » derrière la guerre en Libye et l’élimination de Kadhafi
Un échange de courriels déclassifiés entre l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et son conseiller Sid Blumenthal montre que Clinton était totalement impliquée dans la conspiration occidentale contre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et sa monnaie panafricaine le dinar-or, comme le raconte F. William Engdahl.
Kadhafi n’a pas été le seul dirigeant arabe qui a cherché à détourner ses revenus pétroliers vers des fonds contrôlés par l’État plutôt que de faire confiance aux banquiers de Londres et de New York, après que la guerre américaine contre le terrorisme ait débuté au Moyen-Orient et en Asie centrale.
«En 2008, la perspective d’un contrôle souverain par un nombre croissant d’États pétroliers arabes et africains de leurs revenus pétroliers et gaziers d’État a suscité de graves préoccupations à Wall Street, ainsi qu’à Londres. On parle d’énormes quantités de liquidités, des trillions de dollars qui ne seraient potentiellement plus contrôlés», poursuit Engdahl.
Pendant ce temps, en 2009, Kadhafi, alors président de l’Union africaine, a offert aux États du continent de passer à une nouvelle monnaie, indépendante du dollar américain, le soi-disant dinar-or.
Selon le chercheur, l’idée exprimée par le leader libyen a reçu les éloges de Ben Ali le Tunisien et de l’Égyptien Moubarak.
Kadhafi a appelé les pays africains à créer une alliance monétaire faisant du dinar-or le principal moyen de paiement du pétrole et d’autres ressources.
«Avec les fonds souverains pétroliers des pays arabes de l’OPEP, d’autres pays africains producteurs de pétrole, en particulier l’Angola et le Nigeria, ont commencé des actions pour créer leurs propres fonds nationaux avec la richesse pétrolière au moment où l’OTAN bombardait la Libye en 2011», écrit Engdahl, ajoutant que ces fonds souverains nationaux étaient censés rendre l’Afrique indépendante du contrôle monétaire colonial.
Le rêve des pays africains était en même temps un cauchemar pour les élites financières occidentales.
À la lumière de cela, il est peu surprenant que Wall Street et la City de Londres aient jeté tout leur poids derrière la campagne dirigée par l’OTAN contre le leader libyen rebelle.
Engdahl attire l’attention sur le fait qu’il y avait quelque chose de très louche derrière l’idée des islamistes libyens soutenus par les États-Unis de créer une banque centrale de style occidental en exil (ainsi que leur propre compagnie pétrolière) au milieu de la lutte acharnée contre le gouvernement de Kadhafi.
Le chercheur cite Robert Wenzel qui a écrit dans l’Economic Policy Journal qu’il n’a «jamais entendu parler d’une banque centrale créée seulement quelques semaines après un soulèvement populaire».
«Cela laisse penser que nous avons un peu plus qu’un tas de rebelles en action et qu’il y a des influences assez sophistiquées», a souligné Wenzel.
Les intérêts sophistiqués mentionnés ci-dessus pourraient avoir été liés aux pontes de Wall Street et aux banquiers londoniens qui ont cherché à éliminer l’idée d’une monnaie panafricaine.
«Le rêve de Kadhafi d’un système monétaire arabe et africain basé sur l’or et indépendant du dollar est malheureusement mort avec lui», note Engdahl.
L’histoire n’est pas encore finie : une nouvelle alliance monétaire soutenue par l‘or émerge à l’Est, menaçant à nouveau l’hégémonie du dollar américain. Ce groupe, dirigé par la Chine et la Russie, constitue un tout nouveau défi à la domination monétaire de l’Amérique, ainsi que le remarquent des chercheurs.
CONCLUSION D’AUJOURD’HUI
La guerre nucléaire se profile à l’horizon
« …
Certains lecteurs ont demandé pourquoi la Russie considère l’adhésion de la Finlande à l’OTAN comme une provocation. Pour la même raison que l’adhésion de l’Ukraine est une provocation : Des bases de missiles américaines à la frontière de la Russie. Les États-Unis ne disposent pas actuellement de missiles hypersoniques, mais ils en disposeront tôt ou tard. De tels missiles aux frontières de la Russie pourraient atteindre Moscou en 3 ou 4 minutes, ce qui constitue clairement une menace existentielle. Outre la Finlande, Washington veut des bases en Suède et dans les États baltes, et possède déjà des bases de missiles en Pologne et en Roumanie.
Si Washington considère l’adhésion de la Finlande à l’OTAN comme une nouvelle provocation, nous ne devons pas oublier deux autres provocations existantes que le Kremlin a déclarées inacceptables : les bases de missiles existantes en Pologne et en Roumanie. Il est absurde pour la Russie d’empêcher de manière préventive l’installation de bases de missiles en Ukraine et en Finlande tout en permettant le maintien des bases existantes en Pologne et en Roumanie. L’intervention russe contre ces deux bases est probablement la prochaine action d’autodéfense que les Russes entreprendront.
Les médias prostitués de l’Occident ont fait de leur mieux pour créer une indignation mondiale contre la Russie. Les personnes excitées par l’indignation ne perçoivent pas l’irresponsabilité des gouvernements occidentaux qui menacent gratuitement la Russie avec des bases de missiles à ses frontières. Au lieu de percevoir correctement l’installation de ces bases comme une agression contre la Russie, les personnes endoctrinées considèrent la réponse de la Russie aux menaces existentielles comme une agression.
Je souligne depuis des années que ces provocations de la Russie finiront par franchir une ligne rouge et entraîner une guerre nucléaire. J’ai longtemps critiqué le Kremlin pour ne pas avoir mis fin à ces provocations en posant un pied ferme. La Russie a eu cette opportunité en Ukraine, mais le Kremlin a choisi une voie qui n’a pas réussi à donner l’impression nécessaire que les pays qui s’accommodent de l’agression américaine contre la Russie connaîtront la dévastation. Il est moins risqué de faire cette démonstration dans un pays non-OTAN que dans un pays OTAN. En outre, le Kremlin a attendu beaucoup trop longtemps avant d’intervenir en Ukraine, donnant ainsi aux États-Unis huit ans pour armer et entraîner les forces ukrainiennes. En tergiversant en Ukraine, la Russie sera à nouveau confrontée au même problème en Finlande ou ailleurs, en plus des deux bases existantes dans deux pays membres de l’OTAN à la frontière de la Russie. Il ne fait aucun doute que les États-Unis et l’OTAN ont tracé un chemin qui mène tout droit à la guerre nucléaire. Comme rien de ce qui est en dehors du récit ne peut être publié ou discuté dans le monde occidental, rien ne peut être fait pour arrêter cette course folle vers la guerre nucléaire. Il n’est même pas possible de discuter de cette menace dans les cercles de politique étrangère occidentaux. Une fois de plus, le monde se dirige vers la guerre en somnambule, mais cette guerre sera nucléaire et sera la guerre finale.
Tout ce que le Kremlin a obtenu avec sa retenue et sa confiance dans la négociation avec l’Occident, c’est d’intensifier le rythme et le niveau des provocations. M. Stoltenberg, de l’OTAN, courtise la Finlande et la Suède pour qu’elles adhèrent à l’OTAN en leur promettant que leur adhésion serait accélérée et qu’elles bénéficieraient probablement d’autres avantages, notamment des sommes d’argent considérables. Ce rapport devrait réveiller les gens sur la situation réelle, qui est un conflit en expansion.
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