Histoire de la Guerre Froide:Quand les États-Unis lançaient des centaines de ballons espions contre l’URSS

Les ballons de reconnaissance ont précédé l’utilisation des avions U-2 à haute altitude que les États-Unis ont utilisés pour espionner l’URSS à la fin des années 1950.
L’armée de l’air américaine a lancé le programme de ballons espions à haute altitude peu après la Seconde Guerre mondiale. Malgré de nombreuses complications, ces dispositifs se sont avérés être un moyen économique et efficace de recueillir des renseignements sur l’Union soviétique, ouvrant la voie à l’utilisation d’avions espions à haute altitude, qui provoqueront un scandale diplomatique en 1960.
Un ballon -espion américain au-dessus de l’Europe de l’Est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les années 1950, alors que les tensions de la guerre froide avec l’Union soviétique se cristallisaient, les États-Unis ont ressenti le besoin d’un outil de reconnaissance pour surveiller leur ennemi sans être repérés.

Après avoir découvert que les courants-jets de haute altitude serpentent généralement d’ouest en est, l’armée de l’air américaine a conclu que les ballons de haute altitude lâchés depuis l’Europe occidentale voleraient hypothétiquement vers l’est, ce qui signifie qu’ils survoleraient très probablement l’URSS et atteindraient ensuite les bases militaires américaines au Japon où il serait possible de collecter les données.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si tel était le cas, les ballons espions américains seraient en mesure de recueillir des renseignements précieux sur l’armée de l’URSS, notamment sur les capacités nucléaires du pays, et – surtout – de rester hors de portée de la défense aérienne soviétique en volant à 15 000 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Le 10 janvier 1956, l’armée américaine a par conséquent lancé huit ballons espions depuis le territoire de la Turquie et un depuis celui de l’Allemagne de l’Ouest. Au cours des semaines suivantes, le nombre de lancements réussis a augmenté pour atteindre le chiffre impressionnant de 448 ballons espions se dirigeant vers l’est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’apparition de centaines de ballons espions dans l’espace aérien soviétique n’est toutefois pas passée inaperçue. Le 4 février 1956, l’URSS a émis une note de protestation officielle aux États-Unis par voie diplomatique, accusant ces derniers de violer l’espace aérien et la souveraineté soviétiques. Pendant ce temps, l’armée soviétique réfléchissait aux moyens de neutraliser la menace.

Rapidement, les pilotes d’avions de chasse MiG soviétiques ont découvert que les ballons espions descendaient en altitude la nuit, dans leur zone de frappe. Ce constat s’est avéré crucial : on estime que 90% des ballons volants américains ont été abattus par les Soviétiques ou se sont écrasés dans des endroits non identifiés avant de pouvoir quitter le vaste territoire de l’URSS.

Récupération d’un ballon-espion américain par un navire US conçu a cet effet…en mer de Chine,près du Japon!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’incident de l’U-2

Système de missile sol-air S-75 Dvina de l’URSS.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À la fin des années 1950, les États-Unis sont passés des ballons espions à un outil d’espionnage plus avancé et plus fiable : l’avion de reconnaissance et de surveillance à haute altitude U-2.

En 1956, Washington a ainsi commencé à envoyer secrètement des avions U-2 au-dessus du territoire soviétique pour des missions de reconnaissance. L’on supposait à juste titre que les Soviétiques n’avaient pas les moyens d’abattre ces appareils à l’altitude de 21 000 mètres. Cependant, le président Eisenhower a insisté pour autoriser personnellement chaque vol, car il était impossible d’anticiper une réponse soviétique.

Les militaires soviétiques ont détecté les avions, mais n’ont pas réussi à les atteindre avec les missiles sol-air existants. Il est intéressant de noter que le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev n’a pas accusé les États-Unis publiquement, car une telle protestation aurait révélé l’incapacité de l’armée soviétique à abattre des avions à haute altitude.

Le 1er mai 1960 – deux semaines avant que le président Eisenhower ne rencontre le dirigeant soviétique Khrouchtchev à Paris – la Maison Blanche a autorisé un nouveau vol de l’U-2 au-dessus du territoire soviétique. Pour les Américains, ce vol s’est soldé par une débâcle.

 

Débris de l’U-2 abattu

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En effet, un missile lancé par un système de défense aérienne soviétique nouvellement déployé a frappé l’avion U-2. Celui-ci s’est écrasé et le pilote américain, Francis Gary Powers, a été capturé par les Soviétiques.

L’incident de l’U-2 a entraîné l’annulation du sommet de Paris et brisé les espoirs naissants, bien que prématurés, d’une résolution pacifique de la guerre froide.

Francis Gary Powers jugé par l’URSS pour espionnage

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fait intéressant : le programme américain de ballons espions a profité aux Soviétiques d’une manière inattendue. En examinant les ballons écrasés, les scientifiques soviétiques ont en effet découvert que le film de fabrication américaine utilisé dans les appareils photo était capable de résister à l’action des hautes températures et à l’exposition aux radiations. Il s’agissait donc d’un outil parfait pour les Soviétiques, qui l’ont utilisé pour photographier la face cachée de la Lune en 1959.


EN COMPLÉMENTAIRE

Comment les Soviétiques ont dévoilé la «face cachée de la Lune» et remporté 1.000 bouteilles de vin grâce aux infos trouvées sur les ballons-espions américains

 

 

Pour obtenir les premières photographies de la face cachée de la Lune, les scientifiques ont totalement «fait taire» la flotte de la mer Noire.

Avant que Neil Armstrong ne marche sur la Lune en 1969, le satellite de la Terre était un mystère pour l’humanité. Plus encore, son « côté obscur ». Surnommé ainsi car en permanence invisible depuis notre planète, la face cachée de la Lune était un objet de désir pour les pionniers des programmes spatiaux américain et soviétique.

En 1957, lorsque les Soviétiques ont lancé le premier satellite artificiel de la Terre – Spoutnik 1 -, cet événement a marqué une étape très importante dans l’exploration spatiale. Néanmoins, les gens du monde entier avaient du mal à croire que l’humanité puisse aller encore plus loin et observer la face cachée de la Lune de sitôt.

La perspective semblait si lointaine, mais si captivante, qu’un vigneron français, Henri Maire, a annoncé publiquement qu’il offrirait 1 000 bouteilles de vin de ses propres réserves à quiconque serait en mesure de photographier la face cachée de la Lune.

Ironie de l’histoire, les scientifiques soviétiques y travaillaient déjà…

Le plan

La mission consistant à photographier la face cachée de la Lune a été dirigée par Sergueï Korolev, père de la conquête spatiale soviétique et cerveau de la plupart des réalisations soviétiques révolutionnaires en matière d’exploration spatiale.

Sergeï Korolev

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le plan était relativement simple : lancer une boîte cylindrique – une sonde spatiale – dans l’espace vers la Lune et laisser la gravité faire le reste. La sonde spatiale était équipée d’appareils photo, d’un système de traitement de film photographique, de batteries, d’un émetteur radio, d’un gyroscope pour maintenir l’orientation et la vitesse angulaire et de plusieurs ventilateurs pour le contrôle de la température.

L’appareil n’avait pas de moteurs de fusée pour les corrections de cap, les scientifiques ayant préféré s’appuyer sur la gravité de la Lune pour les aider à effectuer la manœuvre : selon le plan, la sonde spatiale était censée se rendre sur la Lune et, une fois prise dans le champ de gravité de cette dernière, devait passer derrière le satellite de la Terre du sud au nord avant de retourner vers notre planète.

La sonde spatiale chargée d’observer la face cachée de la Lune a été baptisée Luna-3. Étonnamment, la partie la plus difficile ne fut pas de calculer l’orbite de la Lune ou du satellite, mais de gérer l’équipement et le personnel au sol.

Luna-3

Le signal de Luna-3 a été reçu par une antenne radio montée au sommet d’une montagne en Crimée. Au grand dam de Korolev, le personnel local a signalé des problèmes de communication : Luna-3 ne recevait pas certains des ordres envoyés depuis la Terre. Le commandant a ordonné à son équipe de le suivre en Crimée pour résoudre d’urgence la situation.

Une fois le tout-puissant Korolev arrivé en Crimée, il a pris les choses en main et mis en œuvre des mesures sans précédent : sur ses ordres, les navires de la flotte de la mer Noire devaient cesser toutes communications, tandis qu’un bateau dédié devait naviguer sur la mer Noire afin de rechercher et supprimer les sources possibles d’interférences radio, tandis que la police de la circulation devait bloquer les routes à proximité de l’observatoire.

Ces mesures ont contribué à améliorer le signal, mais un nouveau problème est apparu. À sa grande surprise, Korolev a appris que l’observatoire pourrait se retrouver à court de film magnétique pour enregistrer les images du paysage lunaire.

Une reproduction cinématographique du moment où les scientifiques soviétiques ont photographié la face cachée de la Lune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Sergueï Pavlovich [Korolev] était hors de lui. Je le comprenais. Après tout, si nous avions été prévenus, nous aurions pu apporter ce film rare avec nous de Moscou »a écrit l’académicien Boris Tchertok qui a aidé Korolev lors du lancement.

Ironie du sort, si le film était si rare, c’est parce qu’il avait été extrait de ballons de reconnaissance américains abattus qui espionnaient l’URSS. Ce film était d’une qualité inégalée par l’industrie soviétique.

Furieux, Korolev a ordonné que des pellicules de film supplémentaires soient livrées à l’observatoire de Moscou par avion, puis par hélicoptère.

Tôt le matin du 7 octobre 1959, l’équipe de scientifiques soviétiques attendait avec impatience que Luna-3 s’approche de la Lune. Soudain, la première image a commencé à apparaître sur le papier…

Une copie réduite de la sonde spatiale soviétique Luna-3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le concepteur légendaire, responsable de la réception des données, a regardé le papier et, à la grande surprise de l’assistance, a déchiré la toute première photo jamais réalisée de la face cachée de la Lune. La qualité n’était pas bonne et Korolev était prêt à parier que les prochaines photos seraient meilleures.

L’une des premières photographies de l’autre côté de la Lune prise par la sonde Luna-3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au grand soulagement de tous, les photos suivantes étaient en effet de bien meilleure qualité. Korolev a pris la première photo de la face cachée de la Lune de qualité décente et y a écrit : « La première photo de l’envers de la Lune qui n’aurait pas dû être révélé ». Il l’a signée et dédiée au directeur de l’observatoire astrophysique de Crimée, Andreï Severny.

Un timbre postal soviétique dédié à l’obtention des premières photographies de la face cachée de la Lune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Encore une fois, la science soviétique avait triomphé. Les Soviétiques ont commencé à nommer les sites géographiques nouvellement découverts sur la Lune tandis que les photographies de la face cachée ont été publiées en une du journal soviétique Pravda, la nouvelle se répandant dans le monde entier.

Parole donnée, parole tenue

À l’autre bout de l’Europe, le vigneron français Henri Maire a lu un article sur l’exploit soviétique et a admis qu’il avait perdu son propre pari. M.Maire a envoyé par la poste 1 000 bouteilles de vin à l’Académie des sciences de l’URSS.

Le président de l’Académie a ordonné que les bouteilles soient livrées à l’équipe qui avait travaillé sur le projet Luna 3. « Nous avons eu l’honneur de recevoir plusieurs dizaines de bouteilles de l’Académie des Sciences. Vous recevrez quelques bouteilles, le reste sera distribué à l’administration et aux autres non-participants », a déclaré Korolev à son équipe.

Des années plus tard, lorsque la fille de Korolev, Natalia Koroleva, a eu vent de cette anecdote, elle s’est donné pour mission de retrouver au moins une de ces bouteilles. Il s’est avéré que l’ancienne secrétaire de Korolev avait conservé une bouteille, bien que vide.

 

Aujourd’hui, une réplique miniature de Luna 3 et la fameuse bouteille peuvent être observées au Musée de l’astronautique de Moscou.

 

 

 

 

 

 

 

Civilisations extraterrestres:L’IA a trouvé d’éventuelles « technosignatures »extraterrestres cachées dans les signaux radio de l’espace

Bien que les scientifiques ne retiennent pas leur souffle, l’IA pourrait être un outil puissant dans la recherche permanente de vie extraterrestre.
Fouiller le ciel à la recherche d’ovnis ou d’extraterrestres nostalgiques est pratiquement un passe-temps américain, et personne ne le fait mieux que l’Institut SETI (SETI signifiant Search for Extraterrestrial Intelligence).
Fondé en 1984, le SETI s’est donné pour mission de scruter le ciel à la recherche de signaux radio composés de « technosignatures » non terrestres qui pourraient appartenir à des technologies extraterrestres. Ces signaux – qui peuvent indiquer l’utilisation d’une technologie de communication, et donc d’une intelligence – sont recherchés par les scientifiques à la recherche de signes de vie extraterrestre. Jusqu’à présent, cette recherche, qui dure depuis des décennies, n’a donné lieu à aucune piste convaincante, mais un nouvel article publié lundi dans la revue Nature Astronomy espère changer cela en utilisant l’apprentissage automatique pour s’attaquer au problème.
En utilisant les données du télescope qui ont été recueillies pour la première fois en 2016, l’algorithme d’apprentissage automatique a analysé plus de 480 heures de données provenant de 820 étoiles et a identifié huit signaux d’intérêt que les algorithmes précédents n’avaient pas détectés.
Peter Ma est le premier auteur de l’article et un étudiant de premier cycle à l’Université de Toronto. Il a déclaré à dans un courriel que si l’IA a été appliquée aux données radio du SETI dans le passé, cette nouvelle approche retire complètement la recherche des mains humaines.
« Auparavant, les gens ont inséré des composants ML [apprentissage automatique] dans divers pipelines pour aider à la recherche », a déclaré Ma. « Ce travail repose entièrement sur le seul réseau neuronal sans aucun algorithme traditionnel pour le soutenir et a produit des résultats que les algorithmes traditionnels n’ont pas relevés. »
Les données radio en provenance de l’espace sont une ressource abondante, mais elles peuvent aussi être facilement confondues avec nos propres signaux radio terrestres. Ma a déclaré que les signaux intéressants qui sont extraits de cette brume sont ceux qui « sont des signaux à bande étroite et à dérive doppler provenant d’une source extraterrestre ».
En d’autres termes, il s’agit de signaux radio qui se déplacent et se situent dans une gamme de fréquences particulière. Cependant, la façon dont ces signaux peuvent se transformer avec le temps ou la distance reste une question ouverte.
La recherche de ces signaux dans les données peut s’apparenter à la recherche d’une aiguille dans une botte de foin – un travail long et fastidieux – mais c’est là que l’apprentissage automatique peut être utile. Ma et ses collègues ont conçu leur réseau neuronal pour identifier puis classer ce qu’il « pense » être les caractéristiques les plus importantes des données SETI, tout en essayant de filtrer les interférences d’origine terrestre.
En plus d’être deux fois plus rapide que les algorithmes traditionnels, Ma a déclaré que l’utilisation d’un réseau neuronal pour étudier ces données permet également un type de réflexion hors des sentiers battus que les algorithmes dictés par l’homme ont du mal à atteindre.
« Les algorithmes traditionnels fonctionnent à partir d’un ensemble donné d’instructions conçues par nous… l’algorithme ne découvrira donc jamais que ce que nous lui disons de trouver », a-t-il expliqué. « Le problème est que la nature d’un signal ET n’est pas complètement connue… L’approche que nous proposons consiste donc à l’apprendre. »
Le réseau neuronal de Ma et de ses collègues a pu trouver huit signaux uniques cachés dans les données qui pourraient potentiellement provenir de sources extraterrestres, mais aucune recherche n’a encore été effectuée pour les confirmer. Et si une analyse plus poussée peut permettre de confirmer que ces sources ne sont pas d’origine terrestre, cela ne signifie pas que les scientifiques sauront exactement à quel type de technologie elles sont connectées, a déclaré Ma.
Dans le meilleur des cas, ces signaux peuvent contenir des informations intégrées sur l’ingénierie de la technologie ou même une collection de technosignatures d’une civilisation étrangère.
« Mais nous ne comptons pas là-dessus », a déclaré M. Ma.
Espérons qu’ils analysent rapidement + en détails ces 8 potentiels signaux, pour en connaître la véritable nature dans les prochaines semaines!
Un bémol : ils ont réécouté une fois les étoiles potentiellement émettrices, et ils n’ont pas pu de nouveau entendre ces signaux pour le moment.
Mais c’est en tout cas très prometteur pour les futures recherches, et grâce à cette technologie de l’intelligence artificielle il sera possible d’analyser 20 000 étoiles en seulement quelques semaines!

Groenland:découverte du plus vieil échantillon d’ADN

Quand les mastodontes habitaient le désert polaire…

 

 

 

 

 

 

 

 

C’était une forêt fabuleuse

 

Décrypter l’ADN congelé

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus de 100 espèces de plantes

 

 

 

 

 

 

 

 

Des forêts de bouleaux mais pas uniquement

 

 

 

 

 

 

 

 

Des roses datant de millions d’années

 

 

 

 

 

 

 

 

Les caribous vivaient là

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y avait aussi des lièvres

 

 

 

 

 

 

 

 

Autre faune datant de millions d’années

 

 

 

 

 

 

 

 

Voyage dans le temps

 

 

 

 

 

 

 

 

Un ADN plus ancien que celui des mammouths

 

 

 

 

 

 

 

 

Regarder au-delà

 

 

 

 

 

 

 

 

Explorer la glace du Canada

 

 

 

 

 

 

 

 

De l’ADN de dinosaure ?

 

 

 

 

 

 

 

 

Des pistes pour résoudre la crise climatique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La vie nous réserve pleins de surprises

 

 

 

 

 

 

La Sexualité Sacrée: Chaque fois qu’une femme a des relations sexuelles avec un homme, elle conserve son ADN dans son cerveau

De nouvelles recherches de l’Université de Seattle et du Fred Hutchinson Cancer Research Center ont accidentellement révélé qu’une partie de l’ADN de chaque homme avec lequel une femme a des relations sexuelles finit par rester avec elle pour toujours, logée dans son cerveau.

 

L’étude visait à l’origine à déterminer si les femmes qui tombent enceintes d’un garçon finissent par devenir plus prédisposées à développer certaines maladies neurologiques courantes chez les hommes. Cela a fini par révéler des mystères encore plus grands sur le fonctionnement interne du cerveau féminin.

Il s’avère que le système neurologique d’une femme abrite souvent un « microchimérisme masculin », ce qui signifie que son cerveau absorbe l’ADN masculin qui reste avec elle chaque fois qu’elle procrée avec un homme. Plus une femme couche avec des hommes, plus l’ADN masculin devient une partie d’elle.

L’étude explique que 63% des femmes (37 sur 59) testées présentaient un microchimérisme [1] masculin dans le cerveau – et dans plusieurs régions du cerveau. Cela signifie que l’ADN masculin fait désormais partie du système neurologique de ces femmes.

Pour rester politiquement correct, l’étude conclut que l’ADN masculin doit provenir d’une grossesse masculine. La réalité, cependant, est que même les femmes qui n’ont jamais été enceintes, mais qui ont couché avec beaucoup d’hommes, portent le même microchimérisme masculin que les femmes qui sont mères de garçons.

Tentant comme ils pourraient de cacher la vérité, les chercheurs qui ont été assez courageux pour approfondir ce phénomène ont conclu que les femmes sexuellement actives absorbent en fait l’ADN masculin chaque fois qu’elles s’engagent dans l’acte, qu’elles tombent enceintes ou non..

« Outre les grossesses connues, d’autres sources possibles de microchimérisme masculin comprennent un avortement spontané non reconnu, un jumeau mâle disparu, un frère aîné transféré par la circulation maternelle ou des RAPPORTS SEXUELS. », explique un rapport.

« Le microchimérisme masculin était significativement plus fréquent et les niveaux étaient plus élevés chez les femmes ayant subi un avortement provoqué que chez les femmes ayant d’autres antécédents de grossesse. D’autres études sont nécessaires pour déterminer les origines spécifiques du microchimérisme masculin chez les femmes. ”

Il y a beaucoup de mystères inconnus dans les rapports sexuels, c’est pourquoi ils étaient censés rester sacrés

Certaines des causes suggérées du microchimérisme masculin semblent peu susceptibles d’expliquer les découvertes des chercheurs car elles ne sont pas assez fréquentes. Il n’est pas non plus très courant qu’un jumeau mâle «disparaisse» ou qu’un frère aîné transfère de l’ADN par la circulation maternelle.

Non, la seule conclusion logique est que le simple fait d’avoir des relations sexuelles, quel que soit le résultat, suffit à transférer l’ADN masculin dans le cerveau d’une femme, où il reste en permanence et devient une partie de sa propre constitution génétique.

« Cela a des ramifications très importantes pour les femmes« , rapporte Newspunch. “Chaque homme dont vous absorbez les spermatozoïdes devient une partie vivante de vous pour la vie. Les femmes autopsiées dans cette étude étaient âgées. Certains portaient l’ADN masculin vivant en elles depuis plus de 50 ans. ”

« Le sperme est vivant. Ce sont des cellules vivantes. Lorsqu’il vous est injecté, il nage et nage jusqu’à ce qu’il s’écrase tête baissée dans un mur, puis il s’attache et s’enfouit dans votre chair. S’il est dans votre bouche, il nage et grimpe dans vos voies nasales, votre oreille interne et derrière vos yeux. Ensuite, il s’enfonce. Il pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans votre cerveau et votre colonne vertébrale. 

Les femmes qui se réservent pour le mariage et qui n’ont jamais de relations sexuelles qu’avec un seul homme s’unissent à cet homme et à lui seul. Nous savons maintenant que les femmes qui se livrent à des relations sexuelles sans scrupule modifient leur corps d’une manière qui commence à peine à être comprise.

Des nouvelles scientifiques intéressantes comme celle-ci peuvent être trouvées sur Brain.news.

Les sources de cet article incluent : Newspunch.comPLoS.orgNaturalNews.com

[1] Le microchimérisme se définit par la présence en faible quantité dans un organisme, sur le long terme, de cellules ou d’ADN provenant d’un autre individu sans qu’il n’y ait apparemment de réaction de greffon contre l’hôte (GvDH) ou de rejet de greffe.


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Passez une bonne journée,mes ami(e)s!

Importante découverte en paléontologie:La plupart des dinosaures avaient le sang chaud, comme les oiseaux

La majorité des dinosaures étaient des animaux à sang chaud, comme les oiseaux et les mammifères, plutôt qu’à sang froid comme les reptiles, révèle une étude qui apporte une première mesure directe de leur métabolisme.

Quetzalcoatlus flying reptiles join Tenontosaurus and Argentinosaurus dinosaurs on a migration in search of water.

 

Cette recherche s’appuie sur une nouvelle technique mesurant le taux métabolique des dinosaures, c’est-à-dire leur capacité plus ou moins grande à convertir l’oxygène en énergie pour vivre, selon les scientifiques menés par la paléobiologiste Jasmina Wiemann, du California Institute of Technology.

Les animaux à sang chaud, comme les oiseaux ou les humains, ont un métabolisme élevé. Ils absorbent beaucoup d’oxygène nécessaire à la production de calories, ce qui leur permet de maintenir leur température et de rester actifs.

À l’inverse, ceux à sang froid, comme les reptiles, ont une activité plus modérée et dépendent des conditions externes pour maintenir leur température corporelle. En bref, ils ne lézardent pas au soleil par plaisir, mais par nécessité.

Cette dichotomie a posé un problème aux naturalistes pour les dinosaures. Car une de leurs branches descendantes, les oiseaux, est à sang chaud, alors que leurs plus proches cousins à l’époque, comme les crocodiles, étaient des reptiles à sang froid.

Tyrannosaure

Au point qu’une étude retentissante de 2014 a même attribué aux dinosaures un système… à sang tiède. Mais toujours en estimant leur métabolisme par des méthodes indirectes et peu fiables, tenant compte de la température de formation de minéraux dans leurs os ou de leur vitesse de croissance osseuse.

L’étude publiée dans Nature se penche sur l’élément clé du métabolisme, l’utilisation de l’oxygène, et plus particulièrement l’étude de ses traces sous forme de restes» dans les os.

Cela laisse un enregistrement de la quantité d’oxygène qu’un dinosaure respirait, et donc de son taux de métabolisme», a expliqué Jasmina Wiemann dans un communiqué.

Son équipe a appliqué cette méthode non destructive, basée sur la spectroscopie infrarouge, à des fémurs de 55 groupes d’animaux, dont des dinosaures, pour y mesurer les marqueurs moléculaires (des restes) qui sont liés au taux métabolique», selon la chercheuse.

Résultat : dans les deux grands groupes de dinosaures, celui des ornithischiens comptait des spécimens à sang froid, comme le tricératops, avec sa grande collerette et deux cornes imposantes, ou le stégosaure, avec son épine dorsale. Des herbivores massifs, mais lents.

En revanche, l’autre groupe, celui des saurischiens, le plus nombreux en termes d’espèces et surtout de descendance, était essentiellement à sang chaud. Avec des herbivores géants, comme les sauropodes, et des carnivores iconiques, comme le tyrannosaure, ou le bien nommé vélociraptor, popularisé par le film Parc jurassique.

Vélociraptor

Ce groupe est surtout célèbre pour abriter toutes les lignées d’oiseaux, les uniques descendants des dinosaures à avoir survécu à la grande extinction des espèces survenue il y a 65 millions d’années.

On a pu croire que le sang chaud et le métabolisme élevé des oiseaux leur avaient permis de survivre à cette catastrophe, due au bouleversement climatique provoqué par une gigantesque météorite.

Dans le cas des dinosaures, le sang chaud ne les en a pas protégés, remarque l’étude.

Nous vivons une sixième extinction des espèces», selon Mme Wiemann, il est donc important de comprendre comment les animaux actuels et éteints ont répondu aux précédents changements climatiques et perturbations environnementales pour mieux saisir les enjeux à venir de la biodiversité».


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L’éruption des Tonga était « des centaines de fois » plus puissante que la bombe atomique d’Hiroshima, selon la NASA

L’éruption ce mois-ci d’un volcan sous-marin près des Tonga était des centaines de fois plus puissante que la bombe atomique d’Hiroshima, selon la NASA.
Jim Garvin, scientifique en chef au Goddard Space Flight Center de la NASA, a déclaré que l’éruption du volcan Hunga-Tonga-Hunga-Ha’apai le 15 janvier a libéré « des centaines de fois l’énergie mécanique de l’explosion nucléaire d’Hiroshima« , faisant référence à l’une des deux bombes atomiques larguées par les États-Unis sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale.
« Il s’agit d’une estimation préliminaire, mais nous pensons que la quantité d’énergie libérée par l’éruption équivalait à quelque part entre 4 et 18 mégatonnes de TNT », a déclaré Garvin sur le site Web de l’Observatoire de la Terre de la NASA.

En comparaison, les scientifiques estiment que l’éruption du mont St. Helens en 1980 a libéré 24 mégatonnes d’énergie, et le Krakatoa – l’un des plus grands événements volcaniques de l’histoire – a éclaté en 1883 avec 200 mégatonnes, selon la NASA.

L’éruption près des Tonga a envoyé des matériaux volcaniques jusqu’à 40 kilomètres  dans l’atmosphère et a généré des vagues de tsunami  de15 mètres de haut qui ont frappé certaines parties de l’archipel, y compris l’île principale de la nation du Pacifique.

Un nuage volcanique s’est étendu pour couvrir l’ensemble des quelque 170 îles du pays, selon le Premier ministre des Tonga, touchant l’ensemble de la population de plus de 100.000 personnes.

Les images satellites du 6 janvier (à gauche) et du 18 janvier (à droite) montrent l’impact de l’éruption volcanique Hunga-Tonga-Hunga-Ha’apai.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Garvin et une équipe de chercheurs internationaux ont évalué les changements dans la masse terrestre du volcan depuis 2015, lorsqu’une éruption a relié deux îles préexistantes, Hunga Ha’apai et Hunga Tonga, en une seule masse terrestre.

Suite à l’éruption de ce mois-ci, toutes les nouvelles terres des deux îles préexistantes, se sont cassées en « gros morceaux », ont déclaré les chercheurs.

L’éruption et le tsunami ont tué un nombre encore indéterminé de personnes, détruit des centaines de maisons et laissé des îles éloignées coupées du monde sans aucune communication. Les photos montrent des îles entières recouvertes d’épaisses cendres volcaniques et de débris.

L’éruption du volcan Tonga a produit des ondulations concentriques mystérieuses et déroutantes dans l’atmosphère

Les scientifiques sont déconcertés par une étrange série d’ondulations qui ont été observées dans l’atmosphère terrestre à la suite de la récente éruption du volcan tongien.

L’imagerie satellite montre un schéma inhabituel d’ondes de gravité qui n’a pas été vu dans le passé avec des éruptions volcaniques. Se pourrait-il qu’un certain type d’armement ait été impliqué pour provoquer la récente éruption aux Tonga ?

« C’est vraiment unique », a commenté Lars Hoffman, un scientifique de l’atmosphère au Jülich Supercomputing Center en Allemagne. « Nous n’avons jamais rien vu de tel dans les données auparavant. »

La découverte a été faite sur des images recueillies par le sondeur infrarouge atmosphérique (AIRS), qui est monté sur le satellite Aqua de la NASA. Il a capturé les vagues dans les heures qui ont suivi l’éruption du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha?apai le 14 janvier.

Des dizaines de cercles concentriques pouvaient être vus, chacun représentant une onde se déplaçant rapidement dans les gaz atmosphériques qui s’étendait sur plus de 16.000 kilomètres. Ces vagues ont atteint la surface de l’océan jusqu’à l’ionosphère.

Les chercheurs pensent également que ces ondes ont fait plusieurs fois le tour du globe avant de se dissiper.

« Cet instrument fonctionne depuis environ 20 ans maintenant et nous n’avons jamais vu d’aussi beaux modèles d’ondes concentriques« , a ajouté Hoffman.

Des armes nucléaires ont-elles été impliquées dans l’éruption du volcan tongien ?

Les ondes de gravité atmosphériques se produisent lorsque les molécules d’air dans l’atmosphère se répartissent verticalement plutôt qu’horizontalement. Cela peut se produire lorsque le vent accélère et monte au sommet d’une montagne, par exemple, ou à la suite de la convection dans les systèmes météorologiques locaux.

Les ondes de haut en bas transfèrent de l’énergie et de l’élan à travers l’atmosphère, montrant souvent leurs effets sous forme d’ondulations dans les nuages ​​élevés.

Dans le cas du volcan tongien, il se pourrait que le courant ascendant rapide d’air chaud et de cendres de l’éruption ait déclenché ces vagues, bien qu’à une échelle beaucoup plus grande. Cependant, rien de tel n’a jamais été observé avec des éruptions antérieures depuis le lancement de l’instrument AIRS en mai 2002 .

« C’est ce qui nous laisse vraiment perplexe« , a ajouté Corwin Wright, physicien de l’atmosphère à l’Université de Bath au Royaume-Uni. « Cela doit avoir quelque chose à voir avec la physique de ce qui se passe, mais nous ne savons pas encore quoi. »

Le mieux que Wright et ses collègues aient trouvé jusqu’à présent est qu’un « gros tas de gaz chauds et graisseux » dans la haute atmosphère peut avoir déclenché ces ondes en « montant haut dans la stratosphère et en heurtant l’air tout autour « .

Une autre idée est que la composition fondamentale de l’atmosphère a été modifiée électrochimiquement d’une manière ou d’une autre, peut-être avec la géo-ingénierie ou les « chemtrails ».

Il y a même des rumeurs selon lesquelles les volcans auraient peut-être été déclenchés par une sorte de détonation nucléaire [1].

Quoi qu’il en soit, l’éruption du volcan tongien a été si bruyante que des habitants de tout le Pacifique Sud et même de certaines régions des États-Unis ont déclaré avoir entendu des bruits extrêmes au fur et à mesure qu’ils se produisaient.

Encore une fois, cela indique-t-il une possible cause nucléaire ou autre cause militaire de l’étrange explosion ?

D’autres reportages connexes peuvent être trouvés sur Nuclear.news..

Les sources de cet article incluent :

StrangeSounds.org

NaturalNews.com

NOTES

1-Une explosion massive au milieu du Pacifique

Une explosion sous-marine massive s’est produite ce samedi dans les profondeurs de l’océan Pacifique. Elle était si puissante qu’elle a été vue de l’espace. 

 

 

Cette explosion sous-marine était si terrifiante que son onde de choc a été entendue dans toute la région du Pacifique. Après cette explosion, des vagues de tsunami ont frappé des îles Tonga juqu’au Pérou en passant par le Japon et ont inondé les ports comme Santa Cruz en Californie.

 

Certains observateurs attribuent cette explosion à la super bombe atomique russe, qui serait une première mise en garde adressée aux  Américains et à l’OTAN, qu’une telle explosion serait tout aussi possible dans l’Océan Atlantique. Elle détruirait toutes les villes et régions bordant cet océan.  Cette menace est d’autant plus terrifiante que les sous-marins russes (ou bien la torpille Poséidon) n’ont pas été détectés par la marine américaine.
Cependant, afin de limiter les dégâts dans les pays limitrophes, les Russes auraient choisi un endroit extrêmement profond, et le plus loin possible de toutes les terres émergées.

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Astronomie:Les scientifiques ont peut-être trouvé la première planète connue en orbite autour de trois étoiles

Une image réalisée par le télescope ALMA, à gauche, montre la structure annulaire du disque GW Ori, l’anneau le plus interne étant séparé du reste du disque. Les observations de SPHERE, à droite, montrent l’ombre de cet anneau le plus interne sur le reste du disque.Crédit…

 

 

 

 

Les astronomes ont découvert plusieurs planètes en orbite autour de deux étoiles à la fois, appelées planètes circumbinaires. Et maintenant, ils pourraient avoir trouvé la première planète en orbite autour de trois étoiles , rapporte The New York Times. Un système stellaire à 1300 années-lumière de la Terre appelé GW Ori a deux étoiles en orbite étroite l’une autour de l’autre avec une troisième étoile plus loin qui les entoure, et un énorme disque de poussière qui entoure les trois (vue d’artiste, en haut à gauche). Ce disque poussiéreux est divisé en trois anneaux, avec un grand espace entre l’anneau intérieur et les deux autres. Les scientifiques se sont demandé si cet écart dans l’anneau était un symptôme du couple gravitationnel causé par les trois étoiles, ou s’il s’agissait plutôt d’une preuve que la première planète « circontriple » connue a creusé son orbite. Une nouvelle modélisation pointe vers une planète massive – ou même plusieurs planètes – comme le meilleur moyen d’expliquer cet écart , rapportent des scientifiques dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society. Si cela est confirmé, cela pourrait renforcer l’idée que les planètes se forment plus fréquemment dans l’univers qu’on ne le pense, même dans des systèmes particulièrement étranges.

 


UNE DÉCOUVERTE FANTASTIQUE

 

Animation d’un artiste du mouvement des trois étoiles au centre de GW Orionis, basée sur un modèle informatique utilisant des observations faites par le Very Large Telescope de l’Observatoire européen austral. Animation par ESO/Exeter/Kraus et al./L. Calçada

 

GW Ori est un système stellaire situé à 1 300 années-lumière de la Terre dans la constellation d’Orion. Il est entouré d’un énorme disque de poussière et de gaz, une caractéristique commune des jeunes systèmes stellaires qui forment des planètes. Mais de façon fascinante, c’est un système avec non pas une étoile, mais trois.

Comme si cela n’était pas assez intriguant, le disque de GW Ori est divisé en deux, presque comme les anneaux de Saturne s’ils avaient un espace énorme entre eux. Et pour le rendre encore plus bizarre, la bague extérieure est inclinée à environ 38 degrés.

Les scientifiques ont essayé d’expliquer ce qui se passe là-bas. Certains ont émis l’hypothèse que l’espace dans le disque pourrait être le résultat de la formation d’ une ou plusieurs planètes dans le système. Si tel est le cas, ce serait la première planète connue qui orbite autour de trois étoiles à la fois, également connue sous le nom de planète circumtriple.

Maintenant, le système GW Ori a été modélisé plus en détail, et les chercheurs disent qu’une planète – un monde gazeux aussi massif que Jupiter – est la meilleure explication de l’écart dans le nuage de poussière. Bien que la planète elle-même ne soit pas visible, les astronomes pourraient l’observer se tailler son orbite au cours de son premier million d’années d’existence.

Un article sur la découverte a été publié en septembre dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society. Les scientifiques disent que cela réfute une explication alternative – que le couple gravitationnel des étoiles a nettoyé l’espace dans le disque. Leur article suggère qu’il n’y a pas assez de turbulence dans le disque, connue sous le nom de viscosité, pour que cette explication suffise.

La découverte met également en évidence combien il reste encore à apprendre sur les manières inattendues dont les planètes peuvent se former.

 

 

 

 

 

 

 

 

Quiconque a regardé « Star Wars » (l’original de George Lucas) est familier avec les planètes qui peuvent avoir deux étoiles montantes et descendantes dans leur ciel. La maison poussiéreuse de Luke Skywalker, Tatooine, était dans un tel système stellaire binaire. Mais une planète en orbite autour de trois étoiles serait plus inhabituelle.

Si une forme de vie familière pouvait habiter une géante gazeuse comme celle qui serait en orbite autour de GW Ori, elle ne serait pas réellement capable de voir les trois étoiles dans son ciel. Au contraire, ils ne verraient qu’une paire alors que les deux étoiles les plus à l’intérieur orbitent si près qu’elles apparaissent comme un seul point de lumière. Pourtant, au fur et à mesure que la planète tournait, ses étoiles se levaient et tombaient dans des levers et couchers de soleil fascinants qui ne ressemblent à aucun autre monde connu.

« ‘Star Wars’ a raté un tour », a déclaré Rebecca Nealon de l’Université de Warwick en Angleterre, co-auteur de l’article.

Les scientifiques ont recherché une planète en orbite autour de trois étoiles et ont trouvé des preuves potentielles dans un autre système, GG Tau A , situé à environ 450 années-lumière de la Terre. Mais les chercheurs disent que l’écart dans l’anneau de gaz et de poussière de GW Ori en fait un exemple plus convaincant.

« C’est peut-être la première preuve qu’une planète circumtriple creuse un fossé en temps réel », a déclaré Jeremy Smallwood de l’Université du Nevada à Las Vegas, auteur principal du nouvel article.

William Welsh, astronome à l’Université d’État de San Diego, a déclaré que les chercheurs « présentent de bons arguments. Si cela s’avérait être une planète, ce serait fascinant.

Alison Young de l’Université de Leicester en Angleterre, qui a soutenu que les étoiles de GW Ori ont causé l’espace dans le disque du système, plutôt qu’une planète, note que les observations du télescope ALMA et du Very Large Telescope au Chili dans les prochains mois pourraient mettre fin au débat .

« Nous serons en mesure de rechercher des preuves directes d’une planète dans le disque », a déclaré le Dr Young.

Si l’hypothèse de la planète est confirmée, le système renforcerait l’idée que la formation des planètes est courante. Plusieurs mondes, connus sous le nom de planètes circumbinaires, sont déjà connus pour orbiter deux étoiles à la fois. Mais les planètes circumtriples ont été plus difficiles à trouver – malgré les estimations selon lesquelles au moins un dixième de toutes les étoiles se regroupent dans des systèmes de trois ou plus. Pourtant, leur existence possible suggère que les planètes surgissent dans toutes sortes d’endroits, même ici dans ce système des plus étranges.

« Trois étoiles ne suffisent pas pour tuer la formation des planètes », a déclaré le Dr Nealon.

Cela suggère que les exoplanètes sont susceptibles d’apparaître dans des endroits de plus en plus inhabituels. « Ce que nous avons appris, c’est que chaque fois que les planètes peuvent se former, elles le font », a déclaré Sean Raymond, un astronome de l’Université de Bordeaux en France qui n’était pas impliqué dans l’article.

Peut-être même un monde en orbite autour de quatre, ou cinq, ou six étoiles à la fois ?

« Pourquoi pas ,dit-il.


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Radioastronomie:Des scientifiques étudient de mystérieuses ondes radio en provenance du centre de la Voie Lactée

Des signaux inhabituels ont été détectés au cœur de la Voie lactée grâce au travail d’une équipe internationale de scientifiques.

Les ondes détectées ne correspondent à aucun des modèles connus.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces ondes radio ont d’abord été repérées à l’aide du réseau australien de radiotélescopes ASKAP composé de 36 antennes paraboliques.

D’autres observations réalisées par le télescope MeerKAT de l’Observatoire sud-africain de radioastronomie ont confirmé l’existence du signal nommé « ASKAP J173608.2-321635 » en fonction de ses coordonnées.

Ces ondes radio ne correspondent à aucun de nos modèles connus. Elles pourraient appartenir à une nouvelle classe d’objets stellaires», affirme Ziteng Wang, de l’École de physique de l’Université de Sydney, dans un communiqué.

La caractéristique la plus étrange de ce nouveau signal est qu’il présente une très forte polarisation. Cela signifie que sa lumière oscille dans une seule direction», explique M. Wang.

Plusieurs types d’objets émettent une lumière variable à travers le spectre électromagnétique, tels que les pulsars, les supernovae, les étoiles filantes et les sursauts radio rapides.

Nous avons d’abord pensé qu’il pouvait s’agir d’un pulsar – un type d’étoile morte en rotation très dense – ou d’un type d’étoile qui émet d’énormes éruptions solaires. Mais les signaux de cette nouvelle source ne correspondent pas à ce que nous attendons de ces types d’objets célestes», a déclaré M. Wang.

Les scientifiques estiment que le nouvel objet partage certaines caractéristiques avec d’autres signaux découverts dans les dernières années, les sursauts radio rapides. Les deux phénomènes présentent toutefois quelques différences.

Dans les prochaines années, de nouveaux instruments plus précis entreront en fonction et permettront de mieux observer ces objets. C’est notamment le cas du radiotélescope géant SKA, en Afrique du Sud.

Le détail de ces travaux est publié dans l’Astrophysical Journal (en anglais).

Pourrai-il s'agir d'une civilisation extraterrestre?
Pourrai-il s’agir d’une civilisation extraterrestre?

 


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C’était hier:Le 27 septembre 1822 Champollion révèle le secret des hiéroglyphes

Le 27 septembre 1822, à Paris, Jean-François Champollion (32 ans) expose devant l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres ses découvertes relatives aux hiéroglyphes. Deux semaines plus tôt, au terme de recherches harassantes qui ont beaucoup affecté sa santé, il est arrivé en effet à déchiffrer l’écriture des anciens Égyptiens.

Rivalité franco-britannique

Né à Figeac, dans le département du Lot, ce surdoué apprend très tôt de nombreuses langues anciennes et, poussé par la nécessité, devient professeur d’histoire. 

Il se passionne bientôt pour la civilisation des pharaons, mise à la mode par l’expédition en Égypte de Bonaparte, en 1798-1799.

En 1798, des soldats français découvrent à Rosette, dans le delta du Nil, une pierre noire gravée de trois textes dont l’un en grec ancien, un autre en démotique, une écriture égyptienne tardive, et le troisième en hiéroglyphes.

La fameuse Pierre de Rosette

 

La pierre est embarquée sur un navire à destination de la France mais les Anglais l’interceptent et la transportent à Londres, au British Museum.

Elle va dès lors exciter la curiosité des savants, en particulier du jeune Champollion et d’un Anglais de quinze ans son aîné, Thomas Young. Young déchiffre la version démotique et découvre que les cartouches en hiéroglyphes contiennent les noms de divers pharaons.

Jean-François Champollion

Jean-François va plus loin. Il observe que le texte hiéroglyphique contient trois fois plus de signes que le texte grec ne compte de mots. Il en déduit que les hiéroglyphes (on en recense environ 5 000) ne sont pas seulement des idéogrammes, contrairement aux préjugés ambiants. Ils peuvent aussi dans un même texte servir de signe phonétique comme nos lettres de l’alphabet.

C’est ainsi qu’il déchiffre les noms de Cléopâtre, Ramsès et Thoutmosis le 14 septembre 1822. L’émotion le fait alors sombrer dans un état d’inconscience. Il révèle un peu plus tard sa découverte dans une lettre à l’Académie des Inscriptions et des Belles Lettres.

Jean-François Champollion meurt de surmenage à 42 ans, au milieu des honneurs, après avoir enfin visité l’Égypte, le pays de ses rêves.

Timbre poste commémoratif sur Champollion

 

 

 

 

 

 

 

 

Mandatory Credit: Photo by Historia/Shutterstock (7664999kw)
The Discovery of the Rosetta Stone by Boussard A French Officer J P Champollion Was Able to Translate the Hieroglyphs Through Comparison with the Greek Text August, 1799
Historical Collection 106

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

carnet de notes de Champollion

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Exploration de l’espace:le rover chinois Tianwen-1 a atterri sur Mars

La Chine vient de débarquer avec succès son premier rover sur Mars, devenant ainsi le deuxième pays à le faire. 

Concept d’artiste de la première mission de rover sur Mars par la Chine, Tianwen-1, sur la planète rouge.

La mission Tianwen-1 , la première tentative interplanétaire de la Chine, a atteint la surface de la planète rouge vendredi (14 mai) vers 19 h 11 HAE (23 h 11 GMT), bien que les responsables spatiaux chinois n’aient pas encore confirmé l’heure et le lieu exacts de l’atterrissage. . Tianwen-1 (qui se traduit par « Heavenly Questions ») est arrivé sur l’orbite de Mars en février après avoir été lancé sur la planète rouge sur une fusée longue du 5 mars en juillet 2020. 

Après avoir fait le tour de la planète rouge pendant plus de trois mois, l’atterrisseur Tianwen-1, avec le rover attaché, s’est séparé de l’orbiteur pour commencer sa plongée vers la surface de la planète. Une fois que l’atterrisseur et le rover sont entrés dans l’atmosphère de Mars, le vaisseau spatial a subi une procédure similaire aux « sept minutes de terreur » que les rovers martiens de la NASA ont éprouvées en tentant d’atterrir en douceur sur Mars. 

La Chine vient de débarquer avec succès son premier rover sur Mars, devenant ainsi le deuxième pays à le faire. 

La mission Tianwen-1 , la première tentative interplanétaire de la Chine, a atteint la surface de la planète rouge vendredi (14 mai) vers 19 h 11 HAE (23 h 11 GMT), bien que les responsables spatiaux chinois n’aient pas encore confirmé l’heure et le lieu exacts de l’atterrissage. . Tianwen-1 (qui se traduit par « Heavenly Questions ») est arrivé sur l’orbite de Mars en février après avoir été lancé sur la planète rouge sur une fusée longue du 5 mars en juillet 2020. 

Après avoir fait le tour de la planète rouge pendant plus de trois mois, l’atterrisseur Tianwen-1, avec le rover attaché, s’est séparé de l’orbiteur pour commencer sa plongée vers la surface de la planète. Une fois que l’atterrisseur et le rover sont entrés dans l’atmosphère de Mars, le vaisseau spatial a subi une procédure similaire aux « sept minutes de terreur » que les rovers martiens de la NASA ont éprouvées en tentant d’atterrir en douceur sur Mars. 

Un bouclier thermique a protégé le vaisseau spatial pendant la descente enflammée, après quoi la mission a parachuté en toute sécurité dans la région d’ Utopia Planitia , une plaine à l’intérieur d’un énorme bassin d’impact dans l’hémisphère nord de la planète. Tout comme lors de l’atterrissage du rover Perseverance de la NASA, la plate-forme d’atterrissage de Tianwen-1 a tiré quelques petits moteurs de fusée orientés vers le bas pour ralentir pendant les dernières secondes de sa descente. 

L’Administration spatiale nationale chinoise (CNSA) n’a pas encore officiellement confirmé le succès de l’atterrissage, mais il a été annoncé sur les réseaux sociaux par le China Global Television Network ( CGTN ) et par des chercheurs de l’Université des sciences et technologies de Macao en Chine. 

Le rover chinois sur Mars, appelé Zhurong d’ après un ancien dieu du feu dans la mythologie chinoise, se séparera de l’atterrisseur en descendant une rampe pliable. Une fois déployé, le rover devrait passer au moins 90 jours sur Mars (ou environ 93 jours sur Terre; un jour sur Mars dure environ 40 minutes de plus qu’un jour sur Terre) à errer sur Mars pour étudier la composition de la planète et rechercher signes de glace d’eau. On pense qu’Utopia Planitia contient de grandes quantités de glace d’eau sous la surface. C’est également là que la mission Viking 2 de la NASA a atterri en 1976.

Le rover à six roues, qui a à peu près la taille des deux rovers Mars Spirit et Opportunity de la NASA, transporte à bord six instruments scientifiques, dont deux caméras panoramiques, un radar pénétrant dans le sol et un détecteur de champ magnétique. Il dispose également d’ un laser qu’il peut utiliser pour zapper les roches et étudier leur composition, ainsi que d’un instrument météorologique pour étudier le climat et la météo sur Mars.

Une image d’Utopia Planitia prise par l’orbiteur Tianwen-1 à une altitude d’environ 350 kilomètres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zhurong travaillera en tandem avec l’orbiteur Tianwen-1 pour étudier la planète rouge, et l’orbiteur servira de station de relais de données pour les communications entre Zhurong et les contrôleurs de mission sur Terre. L’orbiteur est conçu pour durer au moins une année sur Mars, soit environ 687 jours terrestres.

Concept d’artiste de la première mission de rover sur Mars en Chine, Tianwen-1, sur la planète rouge. (Crédit d’image: CCTV / China National Space Administration)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tianwen-1 est peut-être la première mission d’atterrissage sur Mars de la Chine, mais ce n’est pas le premier tir de la Chine sur Mars. Le premier, un orbiteur appelé Yinghuo-1, lancé en 2011 avec l’échec de la mission russe de retour d’échantillons Phobos-Grunt Mars, qui n’a jamais dépassé l’orbite de la Terre après le lancement, s’écrasant dans l’océan Pacifique et détruisant le vaisseau spatial.

La Chine est désormais le deuxième pays à avoir réussi à faire atterrir un rover sur Mars (la NASA a atterri cinq rovers sur Mars). L’insertion en orbite réussie de la mission Tianwen-1 en février a fait de la Chine la sixième entité à le faire, après la NASA, l’Union soviétique, l’Agence spatiale européenne (ESA), l’Inde et les Émirats arabes unis. 

Mis à part la Chine et la NASA, l’Union soviétique est le seul autre pays à avoir posé une sonde sur Mars, mais cette mission (appelée Mars 3) s’est terminée prématurément lorsque le vaisseau spatial a échoué quelques minutes seulement après son atterrissage. L’Agence spatiale européenne a tenté deux atterrissages sur Mars, mais les deux engins spatiaux se sont écrasés. 

Tianwen-1 est la première mission interplanétaire de la Chine; Jusqu’à présent, les vaisseaux spatiaux chinois ne se sont pas aventurés au-delà de la lune terrestre, où la nation a réussi à atterrir deux rovers dans le cadre de son programme Chang’e , qui a récemment amené des roches lunaires sur Terre en décembre. La Chine prévoit également de lancer une ambitieuse mission de retour d’échantillons sur Mars en 2028, un peu comme une mission conjointe de retour d’échantillons de la NASA et de l’ESA qui devrait être lancée la même année.

En attendant, la Chine travaille à la construction de sa nouvelle station spatiale, dont la première pièce a été lancée en avril – et a provoqué la panique mondiale la semaine dernière lorsque de gros débris de fusées sont tombés sur Terre de manière incontrôlée. La Chine collabore également avec la Russie sur une mission de retour d’échantillons d’astéroïdes prévue pour 2024.


EN COMPLÉMENTAIRE

La mission Tianwen-1 en images
La fusée chinoise Long March 5 transportant la mission chinoise Tianwen-1 Mars se déploie sur la rampe de lancement le 17 juillet 2020.
La mission Tianwen-1 a été lancée sur une fusée chinoise Long March 5 le 23 juillet 2020, depuis le centre de lancement de satellites de Wenchang sur l’île de Hainan.

 

 

 

 

 

 

La sonde chinoise Tianwen-1 sur Mars est vue par une minuscule caméra éjectée du vaisseau spatial sur une photo prise à 15 millions de kilomètres de la Terre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

…autre photo de la caméra

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Terre et la lune imagées par Tianwen-1 le 27 juillet 2020, alors qu’elle se trouvait à 750000 miles de sa planète d’origine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une partie du bassin d’impact Utopia Planitia de Mars, photographiée par la caméra HiRISE à bord de Mars Reconnaissance Orbiter de la NASA. Le rover chinois Tianwen-1 Mars atterrira dans une section d’Utopia Planitia en 2021.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fusée Long 5 March a été transportée verticalement vers la zone de lancement du centre de lancement spatial chinois de Wenchang le 17 juillet 2020. Notez les logos des agences spatiales européenne (ESA), française (CNES), argentine (CONAE) et autrichienne (FFG) en plus de celui de l’Agence spatiale nationale chinoise (CNSA).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mise à feu de la fusée
La fusée en haute altitude

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’orbiteur, le rover et l’atterrisseur Tianwen-1 Mars séparés de leur fusée Long 5 mars après un lancement réussi le 23 juillet 2020.

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette capture d’écran d’une émission de vidéosurveillance montre une représentation de l’orbiteur-rover-atterrisseur Tianwen-1 Mars de la Chine après la séparation de l’engin spatial et le déploiement du panneau solaire le 23 juillet 2020.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une image fixe montrant le vaisseau spatial chinois Tianwen-1 Mars vu par le levé d’astéroïdes ATLAS basé à Hawaï.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le rover chinois Tianwan-1 Mars est photographié au «chantier de Mars», un terrain d’essai simulé de la planète rouge à l’Académie chinoise de technologie spatiale à Pékin, en Chine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une vue rapprochée des roues du rover Tianwen-1.

 

 

 

 

 

 

 

 

Concept d’artiste de la première mission de rover sur Mars en Chine, Tianwen-1, arrivant en orbite sur la planète rouge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Concept d’artiste de la première mission de rover sur Mars en Chine, Tianwen-1, atterrissant sur la planète rouge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tianwen-1 prèt à prendre contact avec le sol martien (dessin d’artiste)

 

 

 

 

 

 

 

 

Le concept d’un artiste du rover chinois Tianwen-1 déployé depuis l’atterrisseur sur la planète rouge.

 

 

 

 

 

 

 

 


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