Au Nigéria, au cours des 20 dernières années, 100 000 chrétiens ont été tués. Le Nigéria est en train de devenir le «plus grand terrain de meurtre de chrétiens au monde». Le président américain Donald Trump, en 2018, a soulevé la question avec le président nigérian Muhammadu Buhari. « Nous avons eu de très graves problèmes avec les chrétiens qui sont assassinés au Nigeria », lui a dit Trump. Le président Trump, cependant, est presque le seul parmi les dirigeants occidentaux à soulever la question. Lorsque son prédécesseur, le président Barack Obama, a rencontré Buhari, il n’a jamais parlé des meurtres de chrétiens. Sur la photo: Trump et Buhari le 30 avril 2018, à Washington, DC.
«Arrêtez les massacres», «Assez c’est assez», «Nos vies comptent», ont déclaré des chrétiens nigérians et des chefs d’églises réunis à Londres le 20 août pour manifester contre le massacre des chrétiens dans leur pays. Ils ont envoyé au Premier ministre britannique Boris Johnson une lettre accusant les médias internationaux de « conspiration du silence ».
Dans le même temps, un rapport de trois organisations – l’Organisation internationale pour la consolidation de la paix et la justice sociale, le Comité international sur le Nigéria et le Groupe parlementaire multipartite pour la liberté internationale de religion ou de conviction – a révélé qu’au Nigéria, ces 20 dernières années, 100 000 chrétiens ont été tués. Boko Haram, Al-Qaïda, les bergers peuls et d’autres groupes islamistes sont responsables de la mort de plus de 96 000 chrétiens lors de 21 000 attaques distinctes. Selon le rapport, 43 242 chrétiens ont été tués par Boko Haram, l’État islamique et Al-Qaïda; 18 834 sont morts dans les attaques peuls et 34 233 d’autres groupes armés. Le Nigéria est en train de devenir le «plus grand terrain de meurtre de chrétiens au monde».
«Cette chose est systématique», a déclaré l’archevêque anglican Benjamin Argak Kwashi de Jos; « c’est prévu; c’est calculé … leur intention est d’islamiser le Nigéria ».
Les enjeux sont stratégiques et immenses. Le Nigéria, déjà le pays africain le plus peuplé, pourrait avoir une population d’environ 800 millions d’habitants en 2100, selon une étude de The Lancet , et pourrait devenir la neuvième économie du monde. « Si l’Islam envahit le Nigéria, le reste de l’Afrique pourrait facilement en devenir la proie », a déclaré Mgr Hyacinth Egbebo .
Pour lire les reportages sur les massacres de chrétiens nigérians, la scène est toujours la même: un village avec quelques maisons pauvres entourées de champs ouverts. Les djihadistes apparaissent au milieu de la nuit et attaquent maison après maison. Ils enfoncent les portes, crient « Allahu akbar », assassinent les personnes âgées, violent et mutilent les femmes et les enfants, et les kidnappent contre rançon en tant qu ‘ » affaires « . Ils brûlent des maisons, des écoles et des églises. «C’est comme si la vie des chrétiens n’avait plus d’importance», a déclaré le pasteur Stephen Baba Panya, président de l’Église évangélique Winning All.
«Dans les États du nord et du centre du Nigéria, des milliers de civils ont été tués dans des attaques menées par Boko Haram, des bergers islamistes peuls et d’autres milices extrémistes», a écrit la baronne Caroline Cox. « Des centaines d’églises ont été réduites en décombres. Des communautés entières ont été forcées d’abandonner leurs maisons et leurs terres agricoles ». La Société internationale pour les libertés civiles et l’état de droit a mis en garde contre le risque d’un » génocide à la rwandaise « .
Les organisations qui suivent la persécution des chrétiens dénoncent depuis longtemps ce qui se passe. En 2012, Portes ouvertes États – Unis était déjà en soulignant le risque de génocide au Nigeria. Huit ans après cela, combien de vies chrétiennes ont été perdues? Combien pourraient être sauvés si les médias, les chancelleries et les organisations internationales avaient fait pression sur les dirigeants nigérians pour qu’ils protègent leurs chrétiens? Pourquoi l’Occident n’a-t-il jamais lié les échanges commerciaux, diplomatiques, militaires et politiques avec le Nigéria à la protection de ses chrétiens?
Le président américain Ronald Reagan a lié les discussions avec l’Union soviétique à une campagne visant à laisser les Juifs de Russie quitter le pays. Mais même les juifs de l’Union soviétique ne subissaient pas les atrocités que les chrétiens du Nigéria subissent chaque jour.
Le président américain Donald Trump, en 2018, a soulevé la question avec le président nigérian Muhammadu Buhari. « Nous avons eu de très graves problèmes avec les chrétiens qui sont assassinés au Nigeria », lui a dit Trump . Le président Trump, cependant, est presque le seul parmi les dirigeants occidentaux à soulever la question. Lorsque son prédécesseur, le président Barack Obama, a rencontré Buhari, il n’a jamais parlé des meurtres de chrétiens.
Le président Trump devrait « nommer un envoyé spécial pour le Nigéria et la région du lac Tchad pour » se concentrer comme un rayon laser « sur les attaques de Boko Haram et d’autres militants islamiques … pour mettre fin au génocide des chrétiens dans la région », a exhorté l’ ancien membre du Congrès. Frank Wolf.
Il y a six ans, l’enlèvement de 276 étudiantes, pour la plupart chrétiennes, par le groupe islamiste Boko Haram à Chibok, au Nigéria, a conduit à une condamnation internationale. #BringBackOurGirls a tendance sur Twitter – sans surprise, sans effet sur Buhari. La campagne hashtag a été brève.
Une seule de ces adolescentes nigérianes kidnappées, Leah Sharibu , n’a pas réussi à retrouver sa liberté et a donc passé deux ans en captivité à Boko Haram. Pourquoi? Parce qu’elle avait refusé de renoncer au christianisme et de se convertir à l’islam. Sa mère s’est jointe à une manifestation à Londres, mais aucun grand journal européen n’a eu le temps pour elle. « Par fatigue ou honte de soi, ou les deux, nous fermons les yeux », a déclaré le journaliste Franz-Olivier Giesbert.
« La vie des chrétiens en Orient, en Afrique ou en Asie compte-t-elle? C’est une question que nous sommes en droit de nous poser quand nous voyons la place que nos chers médias accordent aux meurtres et aux discriminations dont les catholiques ou les protestants font l’objet sur la planète: rien ou presque rien, quelques heureuses exceptions (…) C’est notre tartuferie (hypocrisie) qui nourrit le choc des civilisations ».
Une autre exception était l’auteur français Bernard-Henri Lévy . Dans un long article, Lévy a décrit sa visite dans les églises et les villages nigérians incendiés et détruits par les fondamentalistes islamiques, tandis que les prêtres et les évêques locaux lui ont montré les photos de femmes chrétiennes mutilées après avoir refusé de se convertir à l’islam. Puis un Peul lui dit :
« C’est notre terre, il y a trop de chrétiens ici, les chrétiens sont des chiens et des enfants de putes. Ce sont des traîtres parce qu’ils se sont convertis à la religion blanche. Quand ils partiront tous, le Nigéria sera enfin libre ».
La journaliste américaine Kirsten Powers a écrit :
<< Les chrétiens du Moyen-Orient et d’Afrique sont massacrés, torturés, violés, kidnappés, décapités et forcés de fuir le berceau du christianisme. On pourrait penser que cette horreur pourrait dévorer les chaires et les bancs des églises américaines. Pas si. Le silence a été presque assourdissant. «
Les principales églises américaines ont adopté le «signalement de la vertu» sur le racisme après la mort de George Floyd, mais aucun dirigeant chrétien n’a dit «Black Christian Lives Matter» pour sensibiliser le public au massacre des chrétiens. Comme l’a dit un évêque, le silence occidental sur la persécution des chrétiens a été » sinistre « .
Le « génocide culturel » des Ouïghours par le régime chinois a été dénoncé et est carrément sur le radar de nos médias, et le « génocide des Rohingyas » au Myanmar a abouti à la Cour internationale de justice de La Haye; Les députés allemands et européens l’ ont condamné. Cependant, sur le génocide de 100 000 chrétiens dans le plus grand pays d’Afrique, l’Occident a simplement haussé les épaules.
Des djihadistes de l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap)/
Mardi soir, les djihadistes de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap) sont arrivés en hors-bord sur l’île de Bulgaram, une localité camerounaise du lac Tchad, depuis leur enclave du côté nigérian de la frontière, et ont commis des exécutions ciblées, ont annoncé des sources sécuritaires nigérianes.
“Ils sont arrivés à 18H30 (18H30 GMT) pendant que les gens se préparaient pour les prières du soir, et ils ont abattu 14 chefs de la communauté”, a précisé une source. Certaines victimes ont été assassinés dans leur maison tandis que d’autres ont été tuées dans la mosquée où elles étaient venues prier, a détaillé une autre source.
L’attaque est survenue après que cette localité, importante pour la logistique de l’Etat islamique, ait banni l’approvisionnement en vivres des terroristes à destination de zones sous leur contrôle de l’autre côté du lac, en territoire nigérian.
Quelques jours auparavant, les chefs locaux avaient invoqué le Coran lors d’une réunion, et lancé une malédiction contre tout habitant qui ravitaillerait les djihadistes, une décision interprétée par les islamistes comme une trahison.
Plusieurs frappes aériennes nigérianes la semaine dernière ont touché des bastions de l’Iswap, faisant plusieurs dizaines de morts, dont des chefs militaires d’importance, selon des sources locales et militaires.
Source: AFP
EN COMPLÉMENTAIRE
La région du Sahel en Afrique de l’Ouest est devenue la dernière zone de combats djihadistes, après que le groupe d’État islamique (IS) a révélé qu’il combattait des groupes affiliés à Al-Qaïda au Mali et au Burkina Faso.
L’IS a fait cette révélation le 7 mai dans un rapport détaillé de son hebdomadaire Al-Naba.
L’organisation a accusé la filiale d’Al-Qaïda au Sahel, le Jamaat Nusrat al-Islam wal-Muslimin (JNIM), d’avoir commencé le combat et d’avoir mobilisé des forces importantes pour attaquer les positions de l’IS dans les deux pays.
Le scénario est familier. L’IS et les affiliés d’Al-Qaïda ont déjà pris d’assaut d’autres points chauds du djihadisme, comme le Yémen, la Somalie et la Syrie, en se disputant les zones d’influence, les recrues et les ressources.
L’article de l’IS contredit les rapports du début de l’année qui suggéraient que les deux groupes collaboraient dans la région.
Les combats internes pourraient avoir un impact sur les opérations djihadistes contre les troupes locales et étrangères dans le Sahel, où les deux groupes ont considérablement intensifié leurs attaques depuis l’année dernière.
Que dénonce l’État islamique ?
Dans son rapport, IS a dénoncé les récentes attaques d’Al-Qaïda contre des militants d’IS au Mali et au Burkina Faso, où les deux groupes sont actifs.
Le JNIM, sur ordre de ses dirigeants Iyad Ag Ghaly et Amadou Koufa, a rassemblé des forces importantes pour cibler les l’État islamique à plusieurs reprises dans les deux pays depuis avril.
Il s’est également plaint que le JNIM bloquait l’approvisionnement en carburant de ses militants et détenait des locaux soupçonnés de le soutenir.
Cette action du JNIM, a déclaré l’IS, coïncide avec une intensification des opérations contre ses combattants par les troupes régionales africaines et françaises dans le Sahel.
Le JNIM selon l’État islamique, a utilisé ces conditions comme une opportunité pour cibler ses troupes à ce moment précis.
Il a affirmé que les événements étaient le seul obstacle auquel est confronté le JNIM aujourd’hui, puisque ce dernier a accepté de tenir des discussions avec le gouvernement du Mali et a prétendument fait la paix avec toutes les forces pro et anti-gouvernementales et les tribus du nord du Mali, y compris les milices d’autodéfense Dogon « païennes ».
L’IS a précédemment cherché à utiliser la volonté du JNIM d’ouvrir le dialogue avec les autorités maliennes comme un moyen de saper les références djihadistes du groupe Al-Qaida.
Pourquoi maintenant ?
On ne sait pas très bien pourquoi l’IS et le JNIM n’ont pas discuté publiquement des affrontements jusqu’à ce dernier rapport de l’IS, d’autant plus que, selon l’IS, les combats sont intenses depuis le 17 avril.
La révélation de l’IS, cependant, fait suite à une déclaration non vérifiée attribuée au JNIM et partagée en ligne le 5 mai par des témoignages djihadistes non officiels, dans lesquels le groupe Al-Qaida a fermement rejeté une prétendue proposition de cessez-le-feu de l’IS.
Si la déclaration est authentique, elle peut expliquer pourquoi l’État islamique a décidé de rendre publique l’histoire maintenant.
La prétendue déclaration du JNIM est venue en réponse à un message audio non vérifié partagé en ligne en avril et attribué à un commandant malien de l’IS identifié comme Abdel Hakim al-Sahraoui.
Le prétendu message de l’IS proposait une trêve si le JNIM acceptait de payer le prix du sang des combattants de l’IS tués et de libérer les prisonniers de l’IS.
Aucun des deux groupes n’a officiellement fait référence aux messages non vérifiés qui leur ont été attribués.
L’Etat Islamique a récemment publié un « documentaire » qui condamne Al-Qaïda comme « apostat » et comme « vendu »
Les derniers combats au Sahel coïncident également avec le renforcement de la rhétorique du SI contre la branche d’Al-Qaïda au Yémen, AQAP. Les deux groupes se battent depuis juillet 2018.
Au Mali comme au Yémen, le SI accuse ses rivaux d’Al-Qaïda de collaborer secrètement avec des forces et des milices « laïques » ou liées au gouvernement pour combattre le SI.
L’IS est également engagé dans la lutte contre les Talibans en Afghanistan. L’IS a utilisé les pourparlers de paix des talibans avec les États-Unis et la volonté du JNIM de parler au gouvernement du Mali comme arguments clés pour saper ces groupes, dans l’espoir de gagner la confiance de leurs membres les plus intransigeants.
Les djihadistes ont considérablement intensifié leurs attaques dans les pays du Sahel depuis l’année dernière, suscitant de nouvelles alliances régionales et internationales et des campagnes militaires pour tenter de faire face à cette menace croissante.
Le JNIM est certainement devenu l’une des deux branches les plus meurtrières d’Al-Qaïda, avec Al-Shabab en Somalie.
Entre-temps, l’IS du Sahel – qui s’appelle officiellement « Province de l’Afrique de l’Ouest » mais qui est largement connu sous le nom d’État islamique du Grand Sahara (ISGS) – a rapidement pris pied dans les pays du Sahel malgré le fait qu’il n’y ait eu des activités révélatrices qu’en mars de l’année dernière.
Le groupe a revendiqué un certain nombre d’attaques qui ont fait de nombreux morts dans les armées du Mali, du Niger et du Burkina Faso.
Les derniers combats djihadistes internes pourraient distraire les deux groupes et affecter leur capacité à continuer à planifier et à organiser des attaques contre les armées locales et leurs bailleurs de fonds étrangers.
Le rapport du SI a brossé un tableau des graves affrontements entre le SI et le JNIM impliquant des attaques mortelles et un grand nombre de combattants. Il suggère également que le SI est numériquement désavantagé par rapport au JNIM.
Les combats internes peuvent également nuire à la réputation de djihadiste des deux groupes et à leur capacité de gagner des recrues dans la région.
Il est plus difficile de convaincre les habitants de la région de se joindre à un combat contre leurs camarades djihadistes plutôt que contre le gouvernement ou des troupes étrangères.
Les djihadistes eux-mêmes attribuent souvent l’affaiblissement des efforts djihadistes en Syrie aux combats internes entre les différents groupes.
C’est peut-être une autre raison pour laquelle l’IS et le JNIM n’ont pas parlé publiquement des combats jusqu’à présent.
L’Etat Islamique a révélé les affrontements avec le JNIM par le biais de son journal hebdomadaire al-Naba
La journaliste, Cheryl K. Chumley, allègue dans un article du Washington Times que l’OMS a été influencée par Bill Gates pour déclarer la situation actuelle liée au coronavirus comme une pandémie alors qu’elle refusait de la reconnaître comme tel auparavant.
Bill Gates et Tedros Adhanom Ghebreyesus
Elle aurait reconnu la pandémie le lendemain d’un don important à une société partenaire de l’OMS de la part de la fondation Bill et Melinda Gates. L’auteure dans l’article, intitulé « Bill Gates and his coronavirus conflicts of interest » (« Bill Gates et son coronavirus : conflits d’intérêts ») publié le 2 avril 2020 dans le Washington Times, allègue qu’il ne s’agit pas d’une coïncidence (traduction SLT) :
« …En fait, l’OMS n’a annoncé le coronavirus comme une pandémie que le lendemain de la déclaration de Gates – qui souhaitait depuis un certain temps que l’OMS déclare le coronavirus comme une pandémie – ou plutôt le lendemain du don très important que Gates a fait à une cause qui bénéficie à l’OMS. »
Elle relaie ensuite la chronologie dans son article (traduction SLT) :
« Le 10 mars, Business Insider écrivait : « Bill Gates a tiré la sonnette d’alarme sur le COVID-19, le qualifiant de « pandémie », bien que l’Organisation mondiale de la santé ne lui ait pas encore accordé cette distinction« …. Il s’agissait simplement d’un aparté à l’article principal de Business Insider, qui annonçait que « la Fondation Gates, Wellcome et Mastercard s’engagent à verser 125 millions de dollars aux entreprises qui développent des traitements pour le nouveau coronavirus » et que « le financement serait utilisé pour Therapeutics Accelerator COVID-19 » pour aider à accélérer les traitements contre le coronavirus pour les personnes infectées. La Fondation Gates, quant à elle, a précisé dans son propre message en ligne que la part des 125 millions de dollars donnée par Gates serait de 50 millions de dollars.
La Fondation Gates a également publié cette information : « Therapeutics Accelerator COVID-19 travaillera avec l’Organisation mondiale de la santé, les bailleurs de fonds et les organisations du secteur public et privé, ainsi qu’avec les institutions mondiales de réglementation et d’élaboration des politiques »… »
« …Le 11 mars, un jour après que Business Insider ait rapporté comment Gates avait fait pression pour que l’OMS déclare une pandémie sur le coronavirus – un jour après que Gates ait annoncé l’injection de millions de dollars dans une entreprise partenaire de l’OMS appelée COVID-19 Therapeutics Accelerator, qui faisait miroiter la perspective de mettre plus de pouvoirs réglementaires entre les mains des élitistes mondiaux – un jour après cela, le directeur général de l’OMS a fait une annonce intéressante. Le 11 mars, lors d’une conférence de presse sur le coronavirus, Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré ceci : « Nous avons donc fait l’évaluation que le COVID-19 peut être caractérisé comme une pandémie ».
En vertu des nouvelles directives élaborées pour faire face à la pandémie de coronavirus (COVID-19), les migrants illégaux en Suède pourraient bénéficier d’une priorité plus élevée en matière de soins de santé que les personnes âgées de la population indigène du pays.
Le Conseil national de la santé et du bien-être social a publié des directives à l’intention du personnel médical qui stipulent spécifiquement que les patients doivent être traités en fonction de leur santé – et donc des chances de guérison – plutôt qu’en fonction de leur nationalité suédoise ou de leur statut juridique, selon un rapport de Nyheter Idag.
Dans la pratique, cela signifie que les personnes âgées, ou celles qui ont des problèmes de santé préexistants, parmi la population indigène de Suède pourraient se voir accorder une priorité plus faible que les migrants illégaux car l’épidémie fait des ravages.
Un porte-parole du Health Board a déclaré que ces directives étaient nécessaires pour arrêter la propagation du virus.
Nyheter Idag a déjà signalé que le gouvernement avait déjà des plans en place pour trier les patients au cas où l’épidémie submergerait les services de santé. Si cela se produit, ces directives peuvent en effet être mises en pratique – avec des conséquences potentiellement fatales pour certains Suédois.
Et le spécialiste des infections Staffan Sylvan a déclaré à Expressen le mois dernier que le système médical suédois n’était absolument pas préparé à une épidémie majeure.
La communauté d’immigrés de Suède est déjà affectée de manière disproportionnée par le virus, avec un nombre élevé de cas signalés dans la communauté somalienne, comme indiqué précédemment par Voice of Europe. Les migrants ont également éternué et toussé sur les gens comme une «farce» dans les efforts pour les effrayer et potentiellement propager le virus.
Combiné avec le fait que la Suède, à la différence du reste de l’Europe, n’a pratiquement pas imposé de restrictions sur les interactions sociales jusqu’à présent, le pays peut être dans une période difficile à venir.
Les seules personnes assez idiotes pour croire au «rêve» de MLK de «nous sommes tous égaux» sont les Blancs de propagande
Parfois, ils vont jusqu’à adopter des non-Blancs ou les invitent à vivre chez eux. Parfois, ces Blancs paient leur folie de leur vie, comme l’a fait un couple du Wisconsin l’autre jour.
Un couple blanc à Madison, Wisconsin, vient d’être exécuté par deux hommes noirs. Leur fille adoptive non blanche fait l’objet d’une enquête pour son rôle dans l’exécution.
Les corps du professeur Beth Potter, 52 ans, de l’Université du Wisconsin, et de son mari Robin Carre, 57 ans, ont été retrouvés dans un fossé mardi dernier.
Khari Sanford, 18 ans, a été arrêtée vendredi en raison de leur mort macabre
Il vivait avec le couple à Madison et leur fille Mimi, 18 ans
Potter et Carré avaient expulsé le couple de la maison parce qu’ils refusaient d’écouter les règles de distanciation sociale à la lumière de la pandémie COVID-19
Selon une plainte pénale, le jeune couple avait besoin d’argent et Mimi a déclaré à Sanford que ses parents avaient des «bandes» d’argent
Sanford et son complice présumé Ali’jah ‘Huncho’ Larrue, 18 ans, ont été inculpés de meurtre au premier degré mardi et risquent la prison à vie s’ils sont reconnus coupables
Les flics enquêtent toujours sur les actions de Mimi la nuit des tueries et si elle a joué un rôle
Ce sont les premières photos de la lycéenne qui est au centre de «l’exécution brutale» de ses parents adoptifs.
Le couple victime de sa trop grande ouverture.
La Dre Beth Potter, 52 ans et son mari Robin Carre, 57 ans, ont été retrouvés morts dans un fossé mardi dernier
Mimi Potter Carre, 18 ans, sortait avec son camarade de classe qui est maintenant accusé d’avoir tiré sur le professeur Beth Potter de l’Université du Wisconsin et son mari à moitié nu à bout portant et de les laisser pour morts.
Ses photos semblent montrer que Mimi ne se souciait pas du monde alors qu’elle se promenait avec ses frères, jouait avec son chien et posait devant un miroir pour un selfie.
Mais maintenant, son monde s’est effondré après que son petit ami Khari Sanford aurait tué le Dr Potter – qui aidait l’université dans sa réponse à la crise des coronavirus – et son mari, le conseiller pédagogique Robin Carre.
Sanford et son complice présumé Ali’jah ‘Huncho’ Larrue, tous deux âgés de 18 ans, ont été officiellement inculpés mardi à Madison (Wisconsin) pour les meurtres au premier degré de Potter, 52 ans, et de Carré, 57 ans. Sanford est également accusé d’avoir utilisé un arme dangereuse. Ils risquent chacun la prison à vie s’ils sont reconnus coupables.
Khari Sanford (à droite) était le petit ami et Ali’jah Larrue (à gauche), 18 ans, a également été arrêté pour le double homicide en tant que complice
Lors de l’audience au tribunal, tenue par vidéoconférence à cause du coronavirus, le procureur adjoint du comté de Dane, William Brown, a déclaré: « Il s’agit d’une exécution brutale ».
Il a dit que ce qui avait commencé comme un cambriolage est devenu un enlèvement puis un homicide où les victimes ont été abattues à bout portant dans la tête.
Sanford et Larrue ont chacun été détenus sous caution de 1 million de dollars.
Les documents judiciaires montrent que Potter a récemment expulsé Mimi et Sanford de leur maison de 600 000 $ à quelques pâtés de maisons du campus universitaire parce que les adolescents ont refusé de suivre ses règles de distanciation sociale pendant la crise sanitaire.
Ils avaient emmené Sanford vivre avec eux quelques semaines plus tôt. Il avait auparavant été placé en famille d’accueil.
Un ami d’école, identifié dans les journaux uniquement par ses initiales, DF a déclaré aux policiers qu’avant la fermeture de leur école, il avait entendu Mimi et Sanford parler des moyens d’obtenir de l’argent.
« DF a rapporté avoir entendu Miriam dire à Khari Sanford que ses parents avaient des » liasses « d’argent et qu’ils étaient riches, selon la plainte.
«DF a rapporté que les« liasses »signifiaient probablement des milliers de dollars en espèces.»
Mimi a d’abord dit à la police qu’elle était avec Sanford dans leur appartement le 30 mars, la nuit où ses parents ont été tués, mais l’analyse de son téléphone a montré qu’elle lui avait envoyé un texto au moment où ses parents ont été abattus.
«Au moins, ramenez la voiture et demandez à quelqu’un de vous récupérer d’ici. Je ne me sens pas en sécurité ici », a-t-elle écrit à Sanford.
Il y a tellement de leçons à tirer de cette histoire de deux hommes noirs exécutant un couple blanc à Madison, Wisconsin.
L’épisode de la « Blackface » va continuer de hanter le politicien caméléon qu’est le franc maçon Justin Trudeau.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau, récemment rendu tristement célèbre au sujet de photos refait surface, a chargé ses ministres de créer une nouvelle loi visant à lutter contre le «discours de haine» sur les médias sociaux.
La lettre de mandat , envoyée au ministre du Patrimoine canadien, appelle à l’élaboration d’une loi imposant des «sanctions importantes» aux sociétés de médias sociaux qui ne suppriment pas les soi-disant discours de haine dans les 24 heures.
La lettre mentionne le «discours de haine» pour une attention particulière, avant de passer à d’autres éléments comme l’exploitation des enfants et le terrorisme.
Créer de nouvelles réglementations pour les plateformes de médias sociaux, en commençant par l’exigence que toutes les plateformes suppriment le contenu illégal, y compris les discours de haine, dans les 24 heures ou encourent des sanctions importantes. Cela devrait inclure d’autres préjudices en ligne tels que la radicalisation, l’incitation à la violence, l’exploitation des enfants ou la création ou la diffusion de propagande terroriste.
Dans une autre lettre , envoyée au ministre de la Justice, charge le ministre de travailler avec ses collègues pour lutter contre la «haine en ligne:»
Collaborer avec le ministre de la Diversité et de l’Inclusion et de la Jeunesse et le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile pour lutter contre la haine et le harcèlement en ligne.
Le gouvernement Trudeau semble suivre l’exemple d’États européens comme l’Allemagne, qui inflige déjà des amendes pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros aux entreprises technologiques qui ne parviennent pas à supprimer rapidement le soi-disant «discours de haine». Les législateurs français ont même envisagé d’emprisonner des responsables d’entreprises technologiques. qui ne répondent pas aux demandes de suppression de contenu «haineux».
Le Canada est l’un des signataires de l ‘«Appel à l’action de Christchurch», une demande collective de divers États-nations pour que les sociétés de médias sociaux répriment «l’extrémisme». Les États-Unis ont publiquement refusé de signer, invoquant des problèmes de liberté d’expression.
Il n’est pas clair si les photos au visage noir publiées sur les médias sociaux seront qualifiées de «discours de haine» en vertu de la loi canadienne prévue.
…avec sa déclaration provocante et annonciatrice d’un futur apocalyptique pour le Canada:
Justin Trudeau : «l’Islam doit entrer dans L’ADN du Canada»
Discours de Justin qui date de 2012 qui s’adressait aux musulmans . Lisez bien c’est très clair on peu voir très bien ses intentions qui sont en train de se réaliser.
Chers compatriotes musulmans, Bism ellahi al rahmani el rahimi.
C’est avec un profond respect et une fierté sans bornes que je m’adresse à vous, et j’aimerais tout d’abord vous remercier de m’avoir invité à vous adresser la parole. Certains se sont posé cette question : que va faire un député libéral, qui est aussi candidat à la chefferie de son parti, dans une conférence islamique ?
La réponse est simple et elle se trouve dans le thème de votre conférence : faire revivre l’esprit de l’islam.
C’est tout à fait cela, car je ne vois aucune incompatibilité entre l’esprit de l’islam et la cause que je défends et que mon propre père a défendue dans le passé. Cette conférence est également pour moi l’occasion de faire revivre l’esprit de mon père Pierre Eliott Trudeau.
Sans lui, sans la lutte qu’il a menée pour le pluralisme et le multiculturalisme, une conférence comme la vôtre n’aurait pas pu se tenir. Je veux vous dire que j’ai l’intention de m’inspirer de lui et de poursuivre son œuvre. Mon père voulait changer le visage du Canada et je crois qu’il a réussi : dans son temps on parlait de deux peuples fondateurs, cette idée est heureusement morte et enterrée.
Il n’ y a plus de peuples fondateurs mais des communautés culturelles qui, grâce à la politique d’immigration ouverte et à la protection de la Charte des droits, se sont développées et se sont imposées partout au Canada. Il n’y a pas si longtemps Gérard Bouchar d’un historien et penseur du Québec, a comparé sa province à un train où chaque communauté culturelle occupe son propre wagon, cette image est juste et elle s’applique également à tout le Canada.
Je suis fier d’être l’héritier spirituel de mon père et j e vais vous dire comment je pourrai compléter son œuvre : j’estime que le Canada n’a pas assez changé et qu’il lui reste beaucoup de chemin à faire, mais auparavant j’aimerais vous assurer de mon profond respect pour la cause que vous défendez.
En m’invitant vous étiez au courant de mon ouverture d’esprit à l’égard de l’islam, et vous ne vous êtes pas trompés. Je vois dans cette salle les hommes assis d’un bord de l’allée centrale et les femmes de l’autre, les hommes portent la barbe et les femmes sont voilées, certaines le sont complètement et cela me remplit de fierté, car c’est la preuve que les musulmans au Canada pratiquent leur religion comme ils le veulent et comme elle doit être pratiquée.
Mais cela n’est pas suffisant, car il faut que l’esprit de l’islam, cet esprit que vous faites revivre, inspire davantage les politiques des différents paliers de gouvernement. L’esprit et les valeurs de l’islam devront désormais faire partie des valeurs canadiennes.
L’islam doit entrer dans l’ADN du Canada !
Si je suis élu chef du Parti libéral et si avec votre appui je deviens Premier ministre du Canada, j’aurai comme priorité votre participation à l’élaboration et la rédaction des lois, afin qu’elles reflètent votre culture et les valeurs islamiques.
Il n’y a pas si longtemps on débattait au Québec des accommodements raisonnables. Cette expression me choque car je ne vois pas en quoi des accommodements peuvent être raisonnables ou non, c’est la notion même d’accommodement qu’il faut bannir.
Les musulmans n’ont pas à attendre ou à espérer des accommodements, dans le Canada que je dirigerai, ils prendront toute la place qu’ils jugeront nécessaire sans restriction ni compromis. Le Canada ne peut pas être multiculturel à moitié ou aux trois – quarts, il doit l’être entièrement.
Le musulman qui décide de venir vivre au Canada ne doit pas se sentir moins musulman ici que dans son pays d’origine, c’est ça l’esprit du multiculturalisme. Vivre pleinement l’islam est votre objectif, il me fait plaisir de vous annoncer qu’il est également le mien, qu’il sera très bientôt un objectif inscrit au programme du Parti libéral et, inch’Allah , un objectif du gouvernement que je dirigerai avec votre appui.
Le multiculturalisme a pour raison d’être de préserver et de faire la promotion de toutes les cultures. Cela veut dire que les cultures qui aspirent à l’authenticité et qui prêchent pour un retour aux sources doivent être encouragées à le faire.
Votre conférence d’aujourd’hui s’inscrit pleinement dans cet objectif, vous avez le droit et je dirai même le devoir de marquer votre différence, ce en quoi vous vous distinguez, la société canadienne a l’obligation de vous accepter tels que vous choisissez d’être et de vous comporter, c’est en cela qu’elle fera la preuve de sa tolérance et de son ouverture.
Le Canada ne peut pas prétendre être vraiment multiculturel s’il contraint les musulmans à se soumettre à des lois différentes de celles qui sont prescrites par l’islam. Les lois canadiennes sur le mariage, le divorce, la garde des enfants, la violence conjugale, le patrimoine familial, les successions, ne sont pas islamiques, le Canada n’a donc pas le droit de les imposer aux musulmans.
Il en va de même pour l’enseignement à l’école, si les musulmans jugent contraire à leur foi l’enseignement de certaines matières, leurs enfants devront en être exemptés. Le monde change et évolue, le Canada doit aussi changer et évoluer.
Nous avons une Charte des droits et des libertés qui a bien servi les Canadiens mais qui doit être remise à jour pour mieux les servir en tenant compte des changements sociaux et culturels survenus au cours des trente dernières années.
La conception que nous nous faisons de l’égalité entre citoyens et en particulier de l’égalité des sexes ne doit pas être imposée telle quelle à tout le monde mais adaptée ou modifiée dans l’esprit du multiculturalisme. Il n’y a rien d’absolu dans l’égalité des sexes, dans ce domaine votre conception diffère de la nôtre et je ne vois pas pourquoi notre conception doit s’appliquer sur vous.
Nous devons mettre fin à l’impérialisme dans le champ des valeurs : nos valeurs ne doivent pas empiéter sur les vôtres. Faire revivre l’esprit islamique c’est faire prendre conscience aux musulmans du Canada que le multiculturalisme canadien leur permet d’être pleinement musulmans sur tous les plans, y compris dans le domaine des droits et des libertés
Notre Charte des droits et des libertés donne une place très large à la liberté d’expression, certaines balises ont été établies pour que la liberté d’expression ne permette pas certains excès comme l’incitation à la haine.
Les temps ont changé et ces balises ne sont plus suffisantes car nous voyons de plus en plus de gens qui profitent de la liberté d’expression pour rapporter toutes sortes de choses sur des sujets que les musulmans considèrent comme sacrées.
Fort heureusement les médias s’abstiennent de les diffuser pour ne pas offenser les musulmans, mais cela ne suffit pas et il faudra se donner et vous donner les moyens légaux de mettre fin à la critique.
La politique extérieure du Canada devra refléter sa réalité intérieure et comme la communauté islamique aura une place de premier plan dans le pays que je dirigerai, il va sans dire que le Canada devra réorienter sa politique étrangère et harmoniser ses action s avec celles des pays musulmans.
Ma priorité si je deviens Premier ministre du Canada sera d’établir des relations amicales et de collaborer étroitement avec l’Organisation de la Conférence Islamique. Il y a deux semaines certains Canadiens musulmans ont exprimé leur désaccord avec ma participation à cette conférence.
Ces gens ne démontrent pas beaucoup d’enthousiasme pour le multiculturalisme, j’ignore s’ils sont d’authentiques musulmans mais ils préfèrent que le Canada ne change pas, qu’il continue à se ressembler, pour eux tous les Canadiens doivent partager les mêmes valeurs ! Moi je dis que le Canada doit changer profondément par l’immigration, les nouveaux venus ne doivent pas ressembler aux Canadiens de souche, autrement comment pourrons – nous prouver que nous sommes ouverts et tolérants.
Je suis troublé par le fait que beaucoup d’immigrants s’intègrent et se laissent assimiler par la société canadienne, cela prouve que le multiculturalisme qui nous est si cher n’est pas soutenu par des politiques appropriées qui visent à cultiver et à approfondir les différences entre les communautés.
Heureusement la communauté islamique a su résister à la tentation de s’assimiler, elle est pour les autres communautés un exemple à suivre, voilà pourquoi nous devons la soutenir dans ses efforts et c’est de ce sujet que je suis venu vous entretenir aujourd’hui.
Plus j’y pense, plus je réalise que l’œuvre de mon père doit être défendue par tous les moyens, c’est l’héritage que j’ai reçu de lui. Mon père m’a transmis cette cause et je dois la porter et la conduire à son terme.
J’ai besoin d’alliés sûrs et déterminés et c’est en vous que je les trouve, je vous ai exposé ma vision et je vois par vos réactions que vous la partagez, cela me réconforte et m’encourage, il me reste seulement à vous dire Merci, choukran et Al salamou alykoumou wa rahmatou Allahi wa barakatouhou .
« Humiliée par un groupe d’hommes à Telford, dans le Shropshire, elle a été contrainte de commettre des actes sexuels dans le cimetière paroissial. »
Une jeune fille de 12 ans a “circulé comme un morceau de viande” alors qu’elle était vendue pour du sexe par un groupe d’hommes étrangers, a annoncé aujourd’hui un tribunal britannique.
L’enfant aurait été contrainte de commettre des actes sexuels dans un cimetière, violée au-dessus d’un magasin et maltraitée lorsqu’elle aurait tenté de refuser leurs avances.
Les infractions auraient eu lieu dans et autour de Telford, dans le Shropshire, et ont duré quelques années.
La jeune fille a “circulé comme un morceau de viande” (image du fichier)
Les cinq hommes accusés de ces actes horribles: Mohammed Ali Sultan, Amjad Hussain, Shafiq younas, Nazam Akhtar et Mohammad Rizwan nient tous les faits.
Michelle Heeley, QC, en charge du procès, a déclaré:
“Cette affaire concerne l’exploitation sexuelle d’une jeune fille, une fille traitée comme un morceau de viande pour la gratification sexuelle de plusieurs jeunes hommes, dont certains sont sur le banc des accusés.”
Elle s’est liée d’amitié à un moment où elle était très jeune, avec un homme appelé Tanveer Ahmed. La jeune fille a alors raconté comment Ahmed, qui travaillait à la livraison de plats à emporter pour Perfect Pizza, la récupérait tous les jours, après l’école.
“Après avoir “noué des amitiés” avec la jeune fille, Ahmed aurait commencé à la forcer à se livrer à des actes sexuels avec d’autres hommes.“
Mme Heeley a déclaré:
“Une nuit, il l’a conduite dans un appartement au-dessus d’un magasin, il l’a emmenée dans une pièce où se trouvaient trois hommes plus âgés, et il lui a dit qu’elle devait avoir des relations sexuelles avec ces hommes.
Elle ne voulait pas avoir de relations sexuelles, mais elle y a été forcée. Elle a été poussée sur un vieux matelas sale et violée.”
“Elle a vu des échanges d’argent.”
“Malheureusement pour elle, cela ne s’est pas produit une seule fois, mais à d’autres occasions, le tout orchestré par Tanveer Ahmed.”
“Il l’a elle-même obligée à lui faire une fellation, et si elle refusait, il la giflerait et la laisserait dans des endroits aléatoires à Telford.”
Ahmed a continué à la “vendre” pour des relations sexuelles, notamment en transmettant ses informations à d’autres hommes, a déclaré le parquet.
Les jurés ont appris que c’est ainsi que la jeune fille est entrée en contact avec le premier accusé, Mohammed Ali Sultan, 33 ans, anciennement de Telford.
“Ali Sultan la maltraiterait verbalement, l’appelant sal***, la frappait parfois ou lui tirait les cheveux.”
Ali Sultan fait face à quatre chefs d’accusation d’attentat à la pudeur et une accusation de viol.
Ahmed était absent du procès car il a été renvoyé au Pakistan pour des « infractions non liées ».
Shafiq Younas, âgé de 35 ans, est accusé d’avoir violé oralement la jeune fille dans le cimetière Wellington.
Nazam Akhtar a été accusé de viol.
Mohammad Rizwan est accusé d’avoir forcé la jeune fille à des actes sexuels. Il fait face à deux accusations d’attentat à la pudeur.
Des centaines de soldats américains restent en Syrie, non pas pour assurer la sécurité de groupe de personnes, mais pour occuper les réserves pétrolières du pays et priver le gouvernement syrien des revenus nécessaires à la reconstruction. Le président américain Donald Trump a rassuré ses partisans en leur disant qu’il « ramène des soldats à […]
Donald Trump,ce matin du 27 octobre 2019 ,à la conférence de presse ou il annonce la mort du calife autoproclamé.
Pour la enième fois:
Abou Bakr Al-Baghdadi a été tué au cours d’une opération menée dans la province d’Idlib, en Syrie.
Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche, a lancé Donald Trump, lors de son allocution depuis la Maison-Blanche dimanche matin, avant de préciser qu’un « grand nombre de combattants djihadistes » ont péri au cours de l’attaque.
Traqué par les forces spéciales aidées de chiens, Abou Bakr Al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel avec trois de ses enfants et a déclenché sa veste d’explosifs, se tuant ainsi que [ses] trois enfants, a précisé le président américain. L’identité d’Al-Baghdadi a pu être confirmée par un test d’ADN réalisé sur place.
Il est mort après avoir couru dans un tunnel sans issue, gémissant, pleurant et criant, a affirmé le président républicain. Son corps a été mutilé par l’explosion, a-t-il précisé.
L’homme le plus recherché du monde, considéré comme responsable de multiples exactions et atrocités en Irak et en Syrie et d’attentats sanglants dans plusieurs pays, avait été plusieurs fois annoncé mort ces dernières années.
Donald Trump, qui a assisté à l’assaut en direct de la Maison-Blanche, a insisté sur le « succès incroyable » de cette mission, qui constituait la priorité de son administration en matière de sécurité nationale. Il a également avancé qu’il s’agissait d’une nouvelle de « plus grande envergure » que la mort d’Oussama ben Laden en 2011 sous l’administration de Barack Obama.
Aucun militaire américain n’aurait perdu la vie dans le cadre de l’opération, a précisé M. Trump.
La planification du raid a débuté il y a deux semaines, a ajouté le président, après l’obtention d’informations sur la localisation du chef terroriste. Le président américain a expliqué avoir approuvé cette attaque presque une semaine avant qu’elle n’ait lieu.
Huit hélicoptères militaires ont survolé pendant plus d’une heure la zone contrôlée par les forces russes et syriennes avant de se poser au sol, en essuyant des tirs. Lors de son allocution télévisée, il a notamment remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes.
Tout d’abord lancée par Newsweek, la nouvelle avait été rapportée samedi soir par plusieurs médias américains, dont CNN, ABC News et NBC News. Samedi soir, le président avait d’ailleurs tweeté que quelque chose de majeur venait de se passer sans toutefois donner plus de détails.
Image de Abou Bakr Al-Baghdadi tirée de la vidéo diffusée sur un site lié à l’État islamique.
Par ailleurs, bien que les principaux élus démocrates n’aient pas été informés de la tenue de cette opération par Donald Trump, la présidente de la Chambre des représentants et figure de proue du Parti démocrate, Nancy Pelosi, a tenu à saluer dimanche « l’héroïsme, le dévouement et les compétences » des militaires et professionnels du renseignement américain.
Le bureau de Nancy Pelosi avait notamment confirmé à CNN qu’« aucun avis n’avait été donné avant l’attaque ».
L’annonce de la mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi pourrait bien donner un nouvel élan à la popularité de Donald Trump, embourbé dans des procédures de destitution. Sa décision de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie avait été critiquée tant par des démocrates que des républicains, craignant que le groupe armé État islamique ne regagne du terrain.
Un travail conjoint avec le renseignement américain
Les autorités irakiennes ont confirmé dimanche avoir fourni la localisation du chef du groupe djihadiste aux troupes américaines.
Une section spécialisée a travaillé pendant un an et le renseignement national a pu localiser le repaire d’Al-Baghdadi, indique un communiqué du commandement militaire irakien.
Samedi soir, une vidéo de l’opération a été diffusée sur la chaîne de télévision d’État irakienne.
Le président turc Tayyip Ergodan a également réagi dimanche à la mort du chef de l’El, en indiquant qu’elle marquait un tournant décisif dans la lutte conjointe contre le terrorisme.
Du côté des forces kurdes, partenaires de Washington dans la lutte contre l’EI, le commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi, a salué sur Twitter une « opération historique réussie », résultant d’un travail conjoint avec les services d’intelligence américains. Mais il a toutefois mentionné redouter des représailles de la part du groupe armé État islamique.
Les cellules dormantes vont venger Al-Baghdadi. Donc, on s’attend à tout, y compris des attaques contre les prisons gérées par les forces kurdes, où sont détenus des milliers de djihadistes, a-t-il illustré.
Des réactions internationales unanimes, sauf du côté russe
Les réactions à l’international ne se sont pas fait attendre, notamment en Israël, où le premier ministre Benyamin Nétanyahou a félicité un allié clé du pays.
Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.
«Je veux féliciter le président Trump pour cet accomplissement impressionnant ayant mené à la mort du chef de l’EI. Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue», a-t-il déclaré, alors qu’il était en visite dans une base militaire israélienne.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a quant à lui souligné qu’il s’agissait d’un moment important dans le combat contre la terreur, mais que la guerre contre le groupe armé État islamique n’est pas encore terminée. «Nous travaillerons avec nos partenaires de la coalition pour mettre un terme aux activités meurtrières, barbares de Daech (El) une bonne fois pour toute»s, a-t-il mentionné.
Le président français Emmanuel Macron a joint sa voix aux autres dirigeants en déclarant que la mort d’Al-Baghdadi était « un coup dur porté contre Daech (El) ».
«Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant», a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Mais tandis que les réactions se multiplient pour saluer l’opération américaine, Moscou reste quant à elle sur sa réserve et met en doute l’annonce présidentielle.
Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a notamment déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une énième mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi, faisant par ailleurs état de détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur la réalité et, surtout, le succès de l’opération américaine.
Une première apparition en cinq ans
Fin avril, l’EI a diffusé une première vidéo en cinq ans d’Abou Bakr Al-Baghdadi, un peu plus d’un mois après la chute de son « califat » autoproclamé.
La vidéo n’était pas datée et le lieu de tournage était inconnu, mais Al-Baghdadi y évoquait les attentats de la Pâque catholique contre des églises et des hôtels au Sri Lanka, survenus un peu plus tôt en avril.
Al-Baghdadi, de nationalité irakienne, était un ultraconservateur devenu actif dans l’insurrection islamiste contre les forces américaines à la suite de l’intervention en 2003 qui a renversé le président Saddam Hussein.
Il a notamment été détenu par les forces américaines à la prison irakienne d’Abou Graïb, qui a été connue en raison des abus commis par des soldats américains à l’égard de ses prisonniers.
Par la suite, Al-Baghdadi a joint les rangs d’Al-Qaïda, où il a pris du galon. Ce groupe a fini par rejoindre l’organisation armée État islamique et Al-Baghdadi en est devenu le chef en 2010, à la suite de l’assassinat de son prédécesseur lors d’une opération militaire conjointe américano-irakienne.
L’EI a rapidement pris de l’expansion et, en 2014, Abou Bakr Al-Baghdadi a autoproclamé son « califat » sur de vastes territoires en Irak et en Syrie, au terme d’une offensive de combattants arabes et kurdes soutenus par la coalition internationale.
Déclenchée en 2011, la guerre civile en Syrie a fait plus de 370 000 morts, selon l’ONU.
Raid contre al-Baghdadi : Donald Trump était dans la Situation Room…Une belle mise en scène
Donald Trump dans le Situation Room
«C’était comme de regarder un film», a assuré dimanche Donald Trump. Le président américain a confirmé qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le fondateur et dirigeant du groupe terroriste Etat islamique, était décédé lors d’un raid mené par les forces américaines dans la nuit de samedi à dimanche. Il a suivi l’opération des militaires depuis la Situation Room de la Maison-Blanche. Sur l’image publiée dans un premier temps par le directeur des réseaux sociaux de la Maison-Blanche Dan Scavino, on voit le milliardaire entouré, de gauche à droite, du Conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien, du vice-président Mike Pence, du secrétaire à la Défense Mark Esper, du président du Comité des chefs d’état-major interarmées le général Mark Milley et du directeur adjoint des opérations spéciales le brigadier général Marcus Evans.
«C’est un coup dévastateur» porté au groupe terroriste, a assuré Mark Esper à l’antenne de CNN peu après l’intervention de Donald Trump. «Ce n’est pas seulement leur dirigeant, c’est leur fondateur. C’était un dirigeant qui les inspirait de bien des façons. Il a formé l’EI en 2014, il a mené à la création du califat physique à travers la région, donc c’est un coup majeur contre eux.» Il a donné quelques informations sur les heures précédant le raid et insisté sur le rôle de Donald Trump : «Le président a approuvé un raid contre la cible, Abou Bakr al-Baghdadi, et si nous ne le capturions pas, bien sûr, nous allions le tuer. Il a étudié, a posé quelques questions géniales, a choisi l’option qui nous donnait les plus grandes chances de réussir et la confirmation que la tête de l’EI serait là et soit capturé ou tué, puis nous avons agi à partir de là. Le président a eu une action décisive et nos troupes et nos partenaires inter-agences l’ont mise en oeuvre brillamment.»
« Il est mort comme un lâche »
Lors d’une allocution suivie d’une conférence de presse, Donald Trump est entré dans les détails des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, qu’il a suivis en direct : «Il n’est pas mort comme un héros, il est mort comme un lâche», a-t-il assuré, décrivant un homme «gémissant et pleurant et criant tout du long» en tentant d’échapper aux militaires américains qui le traquaient dans le bâtiment où il se trouvait. Abou Bakr al-Baghdadi a, a précisé le président américain, emmené avec lui dans un tunnel qu’il savait sans issue trois de ses jeunes enfants, avant de déclencher une ceinture explosive qui l’a tué, ainsi que les trois enfants. «Beaucoup de morts» ont été causés par le raid dont au moins deux épouses du calife autoproclamé, mais le président américain n’a pas voulu préciser combien de personnes avaient été interpellées. Aucun militaire américain n’a été blessé ou tué, a insisté Donald Trump, précisant qu’un chien avait été blessé : «Un « canin », comme ils les appellent. J’appelle ça un chien. Un beau chien, un chien talentueux a été blessé et ramené.»
Avant de répondre aux questions des journalistes, Donald Trump a conclu ainsi sa prise parole : «La nuit dernière a été une grande nuit pour les Etats-Unis et pour le monde. Un tueur brutal, qui a causé tant de douleur et de morts, a été violemment éliminé -il ne fera plus de mal à un enfant, une femme ou un homme innocent. Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche. Le monde est maintenant un endroit plus sûr.»
Mais qui était Abou Bakr al-Baghdadi, le calife autoproclamé de l’État Islamique, supposément tué dimanche,le 27 octobre 2019, par l’armée américaine?
Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.
Voici tout d’abord les « fausses informations » comprenant quelques vérités…véhiculées par les médias « officiels »:
Le chef autoproclamé de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi,supposément tué dimanche dans une opération américaine en Syrie (selon Donald Trump), aura toujours vécu terré dans l’ombre, même lorsque, autoproclamé « calife », il présidait aux destinées de sept millions de personnes en Syrie et en Irak.
Surnommé le « fantôme », il a d’abord été un étudiant en religion timide puis un combattant jihadiste de second rang. Mais cet Irakien de 48 ans est parvenu à réaliser l’alliance entre jihadistes convaincus venus du monde entier et anciens militaires de l’armée de Saddam Hussein, laïque et socialiste, atout clé pour conquérir en 2014 un territoire grand comme la Grande-Bretagne.
S’il a été le premier chef jihadiste à instaurer un proto-Etat, son « califat » autoproclamé a aujourd’hui fait long feu. Le dernier réduit de Daesh est tombé en mars à Baghouz, en Syrie, et des dizaines de milliers de ses jihadistes sont désormais dans les prisons des Kurdes de Syrie ou de l’Etat irakien.
Diabétique et blessé au moins une fois, Ibrahim Awad al-Badri de son vrai nom, montrait rarement son visage. Du temps du « califat », il n’a fait qu’une seule apparition publique, en juin 2014. Du haut de la chaire de la célèbre mosquée al-Nouri de Mossoul, la « capitale » de Daesh en Irak reprise à l’été 2017, il avait prononcé un sermon devant ses partisans. Son visage à la barbe poivre et sel teintée de henné rouge n’est reparu qu’une autre fois, sur une vidéo diffusée en avril. Il s’est par ailleurs exprimé via des enregistrements sonores.
Sa discrétion en a fait pour officiels et militaires occidentaux l’antithèse d’Oussama Ben Laden, qui diffusait régulièrement des cassettes vidéos avec mise en scène au combat ou à la mosquée. Le chef d’Al-Qaïda avait été traqué des années et tué en 2011 par les forces spéciales américaines au Pakistan.
Préférant l’ombre et les avancées à petits pas, Baghdadi, un passionné de football au destin d’avocat ou de militaire contrarié par des résultats scolaires insuffisants et une mauvaise vue, a, lui, longtemps attendu son heure. Prêchant dans une mosquée peu fréquentée de l’Irak alors sous la dictature de Saddam Hussein, il a développé « une vision assez claire de là où il voulait aller et de l’organisation qu’il voulait créer », explique la journaliste Sofia Amara.
« C’est un planificateur secret », explique celle qui a réalisé un documentaire sur Baghdadi. Et, s’il « donne l’impression d’un homme pas brillant », il est « patient et bosseur ».
Après avoir créé lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 un groupuscule jihadiste sans grand rayonnement, ce père de cinq enfants issus de deux mariages, est arrêté en février 2004 et emprisonné au camp Bucca. Cette immense prison installée par les Américains à l’extrême sud de l’Irak, où se côtoient dignitaires déchus du régime de Saddam Hussein et nébuleuse jihadiste, sera surnommée « l’université du jihad ».
Là, peu à peu, « tout le monde s’est rendu compte que ce type timide était un fin stratège », affirme Sofia Amara.
Traversée du désert
D’ailleurs, dix ans plus tard, lors de la percée fulgurante de Daesh, l’armée irakienne comprendra qu’elle a face à elle ses ex-commandants, de l’époque de l’ancien régime, passés dans le groupe islamiste.
Libéré faute de preuves de Bucca après 10 mois, Baghdadi prête allégeance à Abou Moussaab al-Zarqaoui, sous tutelle d’Al-Qaïda, puis devient l’homme de confiance de son successeur Abou Omar al-Baghdadi. Il prendra sa relève à sa mort en 2010 sous le nom d’Abou Bakr al-Baghdadi, en référence au premier calife successeur du prophète Mahomet.
Celui qui s’était un temps posé en chef suprême des musulmans du monde, réactivant le « califat » des premiers siècles de l’islam, aura finalement trouvé la mort à Idleb, dernier carré jihadiste de Syrie. Là, il avait dû trouver refuge parmi les groupuscules liés à al-Qaïda, le groupe de ses débuts.
Maintenant pour avoir la « vraie vérité » sur le calife autoproclamé » de l’État Islamique,voici le lien vers mon article antérieur écrit sur ce sujet:
Le 7 septembre 2014,le gouvernement américain (par l’intermédiaire d’une agence irakienne de nouvelles) annonçait la mort du calife Bagndady par cette photo mal truquée!
LES ENFANTS DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ONT DU GRANDIR (photos)
Voici des images horribles qui nous montrent que les forces armées de nombreux pays pourraient se battre pendant des décennies pour éliminer la menace des enfants-soldats endoctrinés par le faux calife al-Baghdady et l’État Islamique:
Nota Bene
L’État Islamique n’a jamais tiré une seule balle de pistolet contre Israël …coïncidence vous direz?
Des hélicoptères de l’armée américaines auraient transportées de nombreux terroristes de l’État Islamique suite…à un accord financier en or!
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