Troisième Guerre Mondiale en préparation:Le dictateur Erdoğan a besoin de nouveaux ennemis

*Cet article est le 4,000 ième  inscrit sur ce blog que vous appuyez de vos lectures et de vos partages.

Je tiens à vous féliciter et vous remercier pour toutes ces belles années ou j’ai eu l’immense plaisir  de Chercher et de Dire la Vérité qui est le thème de notre site.

Il y a un mois,le 22 juillet 2020,ma conjointe,amie et collaboratrice,Claudette Duval,nous a quitté après une longue suite de souffrance,de douleurs et   de séjours à l’hôpital.Elle aimait la vie et rêvait d’un monde meilleur.Elle croyait en la vie après la mort et ,pour elle,la mort n’existe pas:c’est une perception de l’esprit .En cela ,elle rejoint la pensée et la vision des grandes  Guides que furent Helena Blavastny et Maria Orsic.L’une a fondé la théosophie et l’autre,la Société du Vril.

Après avoir  longuement médité,j’ai décidé de revenir « sur les ondes » et de vous offrir  une nouvelle série d’émissions et de vidéos.

J’en profiterai pour vous offrir la science de la Grande Prêtresse du Vril.

Et en hommage à  Claudette Duval,la Grande Médium,je publierai sa biographie et fonderai une nouvelle fraternité spirituelle et philosophique.

Ainsi,malgré  que cet article annonce des relents de Troisième Guerre Mondiale,je le dédie à sa mémoire!

Votre serviteur,Michel Duchaine

 

Il y a quelques années (environ 5 ans) ,j’avais pris cette photo d’elle .
C’était juste avant de tomber gravement malade d’un avc.

 

Début de l’article numéro 4,000

 

Craignant une forte baisse de son taux d’approbation, en particulier au vu d’une crise économique imminente, l’homme fort islamiste de Turquie, le président Recep Tayyip Erdoğan, semble poursuivre de nouvelles guerres avec des ennemis réels ou imaginaires.

 

Le dictateur Erdogan,se prend pour un nouveau calife d’un nouvel empire ottoman.

Les données électorales et les recherches montrent que les Turcs ont tendance à s’unir derrière leur chef en période de crise ou de confrontation avec des ennemis étrangers. Selon le sondeur turc Metropoll, par exemple, le taux d’approbation d’Erdoğan a culminé à 71,1% en décembre 2013, lorsqu’il a présenté une série d’allégations de corruption à son sujet et à sa famille comme « une tentative de coup d’État ». Lors des élections législatives de 2015, le vote d’Erdoğan à l’échelle nationale est tombé à 37,5% et son Parti de la justice et du développement a perdu sa majorité parlementaire pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir en 2002.

La cote d’approbation d’Erdoğan a de nouveau fortement augmenté à 67,6% après un putsch raté contre son gouvernement en juillet 2016. Au plus fort de la crise du COVID-19, sa cote était de 55,8%. Metropoll a déclaré que le taux d’approbation actuel d’Erdoğan était de 50,6%. Il pense avoir besoin de nouvelles tensions avec les adversaires passés et actuels de la Turquie.

Plus récemment, condamnant l’accord de normalisation historique entre Israël et les Emirats Arabes Unis (EAU), Erdoğan a déclaré que « parce que nous soutenons la Palestine », il envisage de retirer l’ambassadeur de Turquie des Emirats Arabes Unis. «J’ai donné des instructions à mon ministre des Affaires étrangères … Nous pouvons suspendre les relations diplomatiques [avec les Émirats arabes unis] ou rappeler notre ambassadeur à Abu Dhabi», a ajouté Erdoğan.

S’il le fait, la Turquie sera le seul pays de la région à ne pas avoir de relations diplomatiques avec l’Arménie et Chypre, ni de relations au niveau des ambassadeurs avec la Syrie, Israël, l’Égypte et les Émirats arabes unis. Les relations de la Turquie avec de nombreux pays où elle entretient des relations diplomatiques complètes ne sont pas en bien meilleure forme.

Fin juillet, avant même l’accord EAU-Israël, le ministre turc de la Défense Hulusi Akar a déclaré à Al Jazeera que la Turquie tiendrait Abu Dhabi, le principal émirat, responsable au bon moment et au bon endroit des «actions malveillantes commises en Libye et en Syrie». Il a déclaré que les EAU sont « un pays fonctionnel qui sert les autres politiquement ou militairement et est utilisé à distance ».

La Turquie a manifestement une profonde colère pour tout accord qui pourrait aider à stabiliser l’une des régions les plus instables du monde. Le 3 août, le ministère turc des Affaires étrangères a condamné un accord pétrolier conclu entre une société basée aux États-Unis et des Kurdes syriens pour le développement de champs pétrolifères dans le nord-est de la Syrie. Dans le nord-ouest de la Syrie, où la Turquie contrôle de petites poches de terres, Ankara a menacé de répondre militairement à des attaques potentielles contre ses forces.

 

Il y a aussi des différends «plus chauds». Ignorant les efforts internationaux pour trouver une solution diplomatique aux différends frontaliers maritimes avec son rival traditionnel de la mer Égée, la Grèce, le 10 août, la Turquie a repris l’exploration pétrolière et gazière en mer Méditerranée – quelques jours seulement après que le gouvernement turc a déclaré qu’il retarderait les enquêtes offshore pour rechercher un résolution diplomatique avec la Grèce.

Le président français Emmanuel Macron a appelé la Turquie à être sanctionnée et a accusé son gouvernement de violer les droits de la Grèce et de Chypre. Face à l’affirmation croissante de la Turquie, Macron a également ordonné à la marine française de la Méditerranée orientale de fournir une assistance militaire à la Grèce. Dans un autre mouvement, la France a signé un accord de défense avec Chypre. L’accord est entré en vigueur le 1er août. L’accord de coopération en matière de défense, d’une durée de deux ans, couvre l’énergie, la gestion des crises, la lutte contre le terrorisme et la coopération en matière de sécurité maritime entre Chypre et la France.

Alors que l’impasse s’approfondissait, le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a convoqué son conseil de sécurité nationale. Une déclaration publiée à l’issue des réunions rappelait l’époque d’avant-guerre: « Nous sommes en pleine préparation politique et opérationnelle », a déclaré le ministre d’État George Gerapetritis sur la chaîne de télévision publique ERT. « La majeure partie de la flotte est prête à être déployée partout où cela est nécessaire. »

Si vous ajoutez à ce tableau périlleux les marines chypriote, israélienne et égyptienne, la Turquie se heurte à de formidables forces navales en Méditerranée. Lors d’un incident dangereux le 14 août, deux navires de guerre, la frégate Limnos de la marine grecque et le TCG Kemalreis de Turquie , sont entrés en collision en Méditerranée orientale.

Toutes ces tensions turco-grecques dans les mers de la mer Égée et de la Méditerranée renforcent une nostalgie turque d’un siècle de reprendre certaines îles grecques. Yeni Safak , un journal farouchement pro-Erdoğan, a suggéré que l’armée turque envahisse 16 îles grecques.

Le site Web Greek City Times a commenté :

« La discussion sur les guerres et l’invasion des îles grecques est … une tactique utilisée par le régime du président turc Recep Tayyip Erdoğan pour détourner l’attention de la population turque de la situation économique déplorable »,

L’idée d’Erdoğan de chasser le vote par des troubles régionaux ne se limite pas aux seules aventures navales. Dans le contexte d’une soudaine flambée de frontière entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie le 12 juillet, les armées turque et azérie ont lancé un exercice militaire conjoint de deux semaines, impliquant les forces aériennes et terrestres des alliés traditionnels.

Dans le sud-est de la Turquie, l’Irak a blâmé Ankara pour une attaque de drone qui a tué deux officiers militaires irakiens de haut rang. L’incident s’est produit peu de temps avant une visite prévue du ministre turc de la Défense Hulusi Akar à Bagdad. Un gouvernement irakien furieux a déclaré que le ministre turc n’était plus le bienvenu.

Erdoğan a besoin d’histoires épiques de puissance militaire contre des ennemis étrangers réels ou fabriqués pour raconter à un nombre croissant d’électeurs réticents face à une économie en difficulté. C’est une mauvaise nouvelle pour toute la région.

 

 

 

 

 

 

 

Troisième Guerre Mondiale en préparation:La base d’al-Watiya se prépare ; des soldats de l’OTAN débarquent en Lybie

Pour la première fois depuis le début de la pseudo guerre libyenne, les médias font état des avions transportant des terroristes ont atterri mercredi 29 juillet sur la base militaire d’al-Watiya, non loin de la Tunisie et de l’Algérie. Parallèlement des informations reliées par les sources algériennes font état des tentatives des services secrets « étrangers » destinés à faciliter des opération d’infiltration sur le sol algérien en vue des violences terroristes et ce, dans l’objectif d’en accuser l’armée et les forces de sécurité algériens.

Après avoir signé des accords de sécurité avec le Niger, la Turquie otaniste est-elle sur le point de placer des soldats de l’OTAN sur les frontières tunisiennes et algériennes?
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, vitrine médiatique de l’opposition pro-occidentale anti-Etat syrien, la Turquie aurait déjà envoyé 17 000 mercenaires, dont 350 âgés moins de 18 ans, en Libye, et ce, après une formation militaire ». Ce chiffre est revu à la baisse par d’autres sources qui mettent en avant un contingent de 12 000 à 15 000 mercenaires étrangers, venus non seulement d’Idlib mais aussi des provinces séparatistes chinoises mais aussi de l’Asie centrale et des républiques de l’ex Union soviétique. Ils combattant aux côtés du Gouvernement d’union nationale (GNA) dirigé par Fayez el-Sarraj qui sert de paravent aux équipées militaires turques, diligentées par le QG OTAN/USA.
Depuis plusieurs mois, des mercenaires de plusieurs nationalités affluent en Libye, affirme Sky News. « Les observateurs estiment leur nombre à plusieurs milliers.
« La majorité de ces mercenaires sont syriens, ce qui rend la tache infiniment plus dure non pas pour l’agent Haftar et ses soutiens qui ne sont dans cette histoire – a part évidemment la Russie) de simples acteurs à la solde des Etats-Unis mais pour l’armée algérienne, la plus puissante de la région car elle se devra s’apprêter à faire face à une guérilla bien aguerri et expérimentée. Au nombre des terroristes il y aurait aussi des daechistes d’origine irakienne et syrienne, ceux-là mêmes qui sont formé par les Etats-Unis à Ain al-Asad (Irak) ou encore à al-Tanf (Syrie). Bref l’axe US/Israël est en train de masser sur les frontières algérienne et tunisienne un cocktail explosif . Des Yéménites et des Somaliens ou des Maghrébin s’y trouvent et la Turquie continue d’envoyer davantage de troupes en Libye », toujours selon l’OSDH.
Mais qui les commandent? « Ces mercenaires, répartie en unités, sont dirigés par 3.000 soldats et agents de renseignements turcs, appuyés par les officiers de détachement américain et otanien et présents dans le pays pour soutenir le GNA. Ces mercenaires reçoivent 2 000 dollars par mois et la Turquie a promis de leur accorder la citoyenneté turque ».
Selon ce rapport, « 481 personnes, dont 34 enfants et adolescents à la solde d’Ankara ont déjà été tués dans le conflit libyen. Il y a quelque temps, des centaines de mercenaires pro-turcs s’étaient rendus de Syrie en Turquie pour que leur procès de recrutement par les forces de l’Armée nationale syrienne (Al-Jaysh al-Watani), soit mené sous l’ordre des services de renseignement turcs ».
Interrogé sur le sujet le politologue Kanani Moghadam va de son commentaire : « En effet, alors que les Emirats et l’Egypte secondés plus ou moins par la Russie continuent à déployer des missiles Scud-B, des S-200 et des avions de combat à Syrte, Ankara dit vouloir coûte que coûte contrôler cette ville stratégique et verrou du croissant pétrolier, tout comme al-Jufra. Mais les deux villes sont des lignes rouges pour l’Égypte qui menace d’intervenir. Mais de plus en plus d’observateurs voient à travers les menaces du Caire un simple verbiage tout comme l’est la rhétorique belliciste d’Erdogan. A vrai dire, ces altercations et menaces mutuelles visent à occulter le sale jeu qui se déroule aux portes de l’Algérie et de la Tunisie à savoir « la transformation de la Libye en un stock d’armes et de terroristes, propres à nourrir une longue et interminable guerre comme celle en Somalie. Surtout que les accords de sécurité signé par Ankara avec le Niger ouvrira grand les portes du Sahel aux terroristes multinationaux ».
Le pont aérien transportant armes et mercenaires d’Ankara à Tripoli est incessant. Le plus souvent, ce sont des avions civils qui sont utilisés en vue de la bataille de Syrte. Mercredi 29 juillet, pour la première fois, ces avions ont atterri sur la base militaire d’al-Watiya, à 30 kilomètres de la Tunisie et de l’Algérie, alors qu’habituellement, ces mercenaires atterrissent à Tripoli ou à Misrata. C’est un signe peu rassurant surtout que les informations font état d’une réactivation des cellules pro-Ankara en Algérie.
Alger et Tunis s’inquiètent d’une possible infiltration sur leur territoire d’éléments terroristes venant de Syrie. Une majeure partie de ces mercenaires ont été membres du groupe terroriste Daech, du Front al-Nosra ou d’al-Qaïda en Syrie. Et ils ont parfaitement raison. Mais qu’ont-elles fait jusqu’ici? « La volonté de créer une coalition militaire nord-africaine est là mais il semble que les moyens manquent. L’Egypte a le cœur qui bat auprès des Saoudiens et des Emiratis. La Russie refuse d’apporter son appui à un plan Alger-Moscou. La situation est grave et le temps presse. Et si l’axe Alger-Tunis se tourner vers d’autres horizon? Le problème; c’est que l’Algérie croit toujours à une solution politique, erreur qu’a déjà commise la Syrie, juste à la veille de la guerre, estime le politologue Kanani Moghadam.

EN COMPLÉMENTAIRE

L’Algérie renforce sa défense avec des missiles antichars chinois portables

A travers l’acquisition de missiles antichars guidés HJ-12 produits par la firme chinoise Norinco, l’Algérie sera le premier client export de cette arme de guerre de troisième génération. Ainsi l’Algérie renforce ses capacités militaires.

Missile de troisième génération HJ-12 antichar.

 

Selon Algérie 360, l’information a été donnée par China Défense, qui reprend le site spécialisé Mena Défense. L’arme en question un missile clone, serait redoutable. Puisque, outre le fait d’être un missile antichar de combat de troisième génération, il peut être porté par l’homme. Une fois la cible détectée par le système électro optique, le missile, sans guidage additionnel, accomplit sa mission.

Le missile se dirige et attaque le char par sa partie la plus exposée et la moins bien blindée, le toit. L’avantage majeur de cette arme est qu’elle est, selon le journal algérien, beaucoup moins chère que le lance-missile américain FGM-148 Javelin. Sans compter que le HJ-12 est équipé d’un chercheur infrarouge, qui reçoit les informations sur la cible envoyée à partir d’un viseur d’imagerie thermique de troisième génération non refroidi.

Autre particularité importante qui fait de ce missile une arme redoutable, c’est que sa masse de 17 kg, pour une longueur de 980 mm et un diamètre de 135 mm font qu’il est portable par l’homme. D’autant qu’il a une forme de corps cylindrique avec un carénage de tête transparent. En outre, le missile est doté d’ailes repliables dans les parties centrales et arrière de la coque.

La portée de tir de nuit sans lune ne dépasse pas 2 000 m du fait de la capacité du viseur à détecter et à faire l’acquisition de la cible, alors qu’elle peut atteindre 4 000 dans des conditions de luminosité idéale. Le missile peut être équipé de têtes à fragmentation, explosives ou thermobariques. Ce qui confère à cette arme une grande capacité de destruction.

Source : afrik.com


EN COMPLÉMENTAIRE

 La présence de jihadistes parmi les mercenaires syriens envoyés en Libye par Ankara est vraisemblable

Les jeeps Toyota de l’État Islamique (on se souviendra qu’elles proviennent des vieux stocks de la CIA.)sont de retour au boulot…Elles vont en prendre du millage!

En Libye, deux camps s’affrontent. D’un côté, on trouve le gouvernement d’entente nationale [GNA], conduit par Fayez el-Sarraj et soutenu par la Turquie [et le Qatar]. De l’autre, il y l’Armée nationale libyenne [ANL] du maréchal Khalifa Haftar, qui relève du gouvernement de Tobrouk, lequel tire sa légitimité du Parlement élu en juin 2014. Cette dernière peut compter sur l’appui des Émirats arabes unis, de l’Égypte, de la Russie et de la… Syrie [en réponse à l’implication turque].

Après avoir lancé une offensive en direction de Tripoli, en avril 2019, l’ANL a subi une série de revers face aux milices pro-GNA, appuyées par des mercenaires recrutés parmi les groupes rebelles syriens pro-Turcs, par ailleurs équipés et encadrés par Ankara.

Voici les fameux mercenaires bien équipés,bien nourris et bien entraînés par la Turquie.

Désormais, la situation s’est stabilisée au niveau de Syrte, tenue par l’ANL. Mais sans doute pas pour longtemps car celui qui contrôle cette ville a la mainmise sur le croissant pétrolier, et donc sur la manne qui va avec. En outre, l’Égypte a prévenu : toute avancée du GNA et des mercenaires turcs vers l’est de la Libye pourrait déclencher une intervention militaire de sa part.

Des troupes du GNA du général Haftar.

Cela étant, le 8 juillet, ayant dénoncé « la livraison d’équipements sophistiqués et le nombre de mercenaires impliqués dans les combats » en Libye, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, s’est dit « très préoccupé » par la « concentration militaire alarmante autour » de Syrte et le « haut niveau d’interférence étrangère directe dans le conflit en violation de l’embargo sur les armes décrété par l’ONU, les résolutions du Conseil de sécurité et les engagements pris par les États membres à Berlin » en janvier dernier.

Lors d’une audition devant la commission sénatoriale des Affaires étrangères et des Forces armées, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, a expliqué les enjeux de la situation en Libye, après avoir fait un rappel historique des relations de la France à l’égard du maréchal Haftar. Ainsi, Paris a effectivement soutenu ce dernier car, en 2015, l’ANL était « internationalement reconnue pour son combat contre Daesh », en plus d’être légitimée par le Parlement de Tobrouk, dont la légalité avait été reconnue par l’accord de Skhirat.

« Nous étions en 2014-2015 : Daesh attaquait la France sur son territoire, et ses forces occupaient plusieurs villes libyennes, comme Benghazi. Ce n’est qu’à partir du début de l’année 2019 que la guerre a changé de nature : les forces de l’Armée nationale libyenne ne se sont plus mobilisées pour combattre le terrorisme, mais se sont organisées militairement dans un combat de guerre civile. Il faut mettre toute cette histoire en perspective pour comprendre la relation de la France avec le maréchal Haftar », a ainsi rappelé M. Le Drian.

Quoi qu’il en soit, la situation actuelle libyenne réunit tous les ingrédients d’un cocktail explosif… « La syrianisation de la Libye est réelle et pas uniquement symbolique », a estimé le ministre. Notamment en raison de l’implication grandissante de la Turquie auprès du GNA et, dans une moindre mesure, selon lui, de celle de la Russie, via les « groupes parallèles dits ‘forces Wagner’ », en soutien de l’ANL.

« Il importe néanmoins que l’Union européenne prenne conscience que la maîtrise de cette partie du nord de l’Afrique sera assurée par des acteurs qui n’ont pas les mêmes normes de sécurité que nous ni les mêmes intérêts. Cette situation réduit considérablement nos marges de manoeuvre stratégiques. Il y a là pour l’Europe des risques en termes de sécurité et de souveraineté, qu’il s’agisse des flux migratoires incontrôlés ou de la menace terroriste », a prévenu M. Le Drian. Et, a-t-il ajouté, cela « n’est pas acceptable » et « nous oeuvrons donc à une solution politique, mais sans l’ingérence de puissances extérieures, comme c’est le cas aujourd’hui. »

Par la suite, le chef du Quai d’Orsay a surtout dénoncé le comportement d’Ankara. « Je n’ai pas eu le sentiment que la Turquie regrettait son action sur le territoire libyen. J’observe que les capacités militaires se renforcent de façon significative. Il s’agit aussi de prendre en considération les voisins de la Libye. Avec l’Égypte, les relations de la Turquie ne sont pas très conviviales. Il n’est pas certain que les Tunisiens ou les Algériens apprécieraient la présence à leurs frontières des successeurs de l’Empire ottoman, dont se revendique le président Erdogan », a-t-il fait valoir.

Cette implication turque en Libye est susceptible d’avoir plusieurs conséquences pour l’Europe. En premier lieu, a avancé M. Le Drian, il « peut y avoir des résurgences de Daesh au sud de la Libye, voire même à Derna » et il est « vraisemblable que les forces militaires syriennes accompagnant les manoeuvres de la présence turque soient infiltrées par d’anciens responsables de groupes jihadistes qui soutenaient les Turcs à Idlib. »

Ces mercenaires rentreront-ils en Syrie? « On ne le sait pas. Nous parlons de milliers de soldats, tout cela à 200 kilomètres de Lampedusa. La situation est extrêmement préoccupante, d’où la nécessité d’agir ensemble pour aboutir à une solution », a dit le ministre.

Les 600,000 migrants entassés au nord de la Libye servent d’otages pour ralentir la domination complète du pays!

Ensuite, le soutien turc au GNA obéit à une autre raison : la délimitation des frontières maritimes entre la Libye et la Turquie, objet d’un protocole d’accord signé en novembre 2019 et permettant à Ankara d’étendre la superficie de son plateau continental de 40% et donc de s’inviter dans les projets gaziers de la République de Chypre.

« D’une part, la Turquie ne reconnaît pas la convention de Montego Bay sur le droit de la mer alors que tous les pays de l’Union européenne l’ont fait. D’autre part, la Turquie a un accord avec le gouvernement d’entente nationale de Libye, dont la légitimité internationale est relative, sur la délimitation des frontières maritimes. Par conséquent, la République de Chypre et la Grèce sont inquiètes », a résumé M. Le Drian.

Mercenaires syriens anciennement de l’État Islamique…Vous vous rappelez?

En outre, a-t-il poursuivi, la « Turquie a réalisé des forages en mer, au sud de Chypre, dans les zones 7 et 8, qu’elle considère comme relevant de son domaine économique maritime, et elle a annoncé des forages au large de la Crète, en violation du droit international maritime. »

Aussi, « nous réagissons fortement contre cela et, sans entrer dans les détails, nous allons prendre des initiatives », a annoncé le ministre. « Du reste, nous en avons déjà pris, notamment au Caire, avec mes homologues égyptien, chypriote, grec et italien, afin de définir une position commune sur cette zone », a-t-il précisé avant de souligner que cette question « peut entraîner des tensions majeures. »

Les mercenaires sont signés à $2,000 par mois et reçoivent la citoyenneté turque.

AUTRE COMPLÉMENTAIRE

L’armée algérienne opte pour le « Kornet chinois »

Le général en chef des forces algériennes passe en revue ses troupes déployées près de la frontière libyenne
Alors que le cercle de la guerre déclenché par les États-Unis et leurs alliés turcs et émiratis en Libye s’approche à grand pas des portes de l’Algérie, l’armée algérienne commence à calibrer ses commandes militaires. Le ministère chinois de la Défense a annoncé la vente de son système antichar de type HJ-12 à l’Algérie, l’équivalent chinois de Kornet russe. L’exercice “Bourkane” 2019 tenu par l’armée algérienne a été l’occasion pour celle-ci d’exposer ses Kornet EM mais il semble que l’arsenal anti blindé algérien se veut le plus performant possible. 

 

Selon le blog China Defense, il s’agit du système antichar Red Arrow-12 de troisième génération, également connu sous le nom de HJ-12 et l’Algérie est le premier client arabe de ce système antichar chinois récemment mis à jour.
Il convient de noter que l’armée algérienne est l’un des plus grands clients de l’industrie de défense et d’équipements militaires chinois : les mortiers, les avions militaires, les lanceurs de missiles, les drones militaires et de reconnaissance, ainsi que les équipements de défense navale.
Des rumeurs ont auparavant circulé selon lesquels l’armée algérienne avait l’intention d’utiliser le système pour soutenir le gouvernement d’union nationale (GNA) de Fayez al-Sarraj contre les forces de Khalifa Haftar. Le 23 juillet, des chefs de la diplomatie algérien et russe à Moscou se sont rencontrés à Moscou. Le ministre russe des A.E. Sergueï Lavrov a confirmé lors de cette visite qu’il n’y avait pas de «feuille de route bilatérale» algéro-russe et que Moscou s’en tenait aux résolutions de la Conférence de Berlin. 
La proposition algérienne de paix durable s’appuie pourtant sur la nécessité de mettre un terme à l’ingérence étrangère en Libye. Certes, la Conférence de Berlin impose également une telle mesure, mais la quasi-totalité des États signataires des résolutions de cette rencontre internationale ont un bras ou une main dans le pétrin libyen, ce qui empêche l’Algérie mais aussi la Tunisie de pouvoir leur faire confiance. L’achat de ces Kornet chinois qui pourrait signifier une possible demande d’alliance d’Alger auprès de la Chine dans le cadre du règlement de la crise libyenne, intervient alors que les deux parties en présence, toutes deux alliés des Etats-Unis affûtent les armes pour la ville de Syrte. Samedi, le porte-avions Eisenhower et 12 autres de navires de guerre avec à leur bord des F-16 et des F-18 se sont mis à manœuvrer en Méditerranée orientale non loin de l’Algérie. 

HJ-12, le Javelin chinois

 

Ce missile est un clone, beaucoup moins cher, du lance-missile américain FGM-148 Javelin dont la particularité est qu’il est Fire and Forget avec une trajectoire en cloche. Une fois la cible acquise par le système électro optique, le missile s’envole sans guidage additionnel et attaque le char par sa partie la plus exposée et la moins bien blindée, le toit.
Le HJ-12 est équipé d’un chercheur infrarouge, auquel les informations sur la cible sont envoyées à partir d’un viseur d’imagerie thermique de troisième génération non-refroidi, après quoi la cible est capturée et lancée.
La masse du projectile est de 17 kg, pour une longueur de 980 mm et un diamètre de 135 mm. L’ATGM a une forme de corps cylindrique avec un carénage de tête transparent. Dans les parties centrale et arrière de la coque se trouvent les ailes repliables et les gouvernes. La tête explosive est en fait constituée d’une charge tandem pour défaire les blindages réactifs. Le missile peut être équipé de têtes à fragmentation, explosives ou thermobariques. La portée de tir maximale peut atteindre 4000 m. Dans l’obscurité et par mauvaise visibilité, la portée de tir est limitée par la capacité du viseur à détecter et à faire l’acquisition de la cible. Par nuit sans lune, la portée de l’optique de nuit ne dépasse pas 2000 m. NORINCO propose également une version avec missile à guidage TV qui peut être contrôlé par un opérateur.
A l’instar du Javelin, le HJ-12 est composé d’un lanceur et d’un missile dans un conteneur jetable qui est orienté vers le haut et non parallèle au sol comme les autres ATGM.
L’Algérie dispose d’une grande quantité de missiles anti-chars russes Kornet qui ont fait leurs preuves au combat. La différence entre le Kornet et le HJ-12 est de taille, le HJ-12 a, en théorie une meilleure capacité de destruction que le Kornet à cause de son angle d’attaque et le fait qu’il soit fire and forget laisse le temps à son opérateur de se mettre à l’abri ou se déplacer après le tir, alors que l’opérateur du Kornet doit guider son missile jusqu’à l’impact.
Source : MENA Defense

 

Troisième Guerre Mondiale en développement:La Turquie se plaint du déploiement de soldats égyptiens à Idlib,en Syrie

L’armée égyptienne aurait déployé environ 150 soldats sur la ligne de front dans la région syrienne du Grand Idlib pour soutenir les forces du gouvernement de Damas, ont affirmé des sources turques le 30 juillet. « Les soldats ont ensuite été déployées dans la région de Khan al-Asal dans la campagne occidentale d’Alep et autour de la ville de Saraqib dans la campagne méridionale d’Idlib », a indiqué l’agence Anadolu citant sa source. L’agence de presse a affirmé que les membres du service militaire égyptien étaient arrivés via la base aérienne de Hama.

Plus tard, Youssef al-Hamoud, un porte-parole de l’Armée nationale syrienne, une coalition de terroristes sous contrôle turc, basés dans le nord d’Alep, a déclaré que le nombre de soldats égyptiens était en fait de 148. Ils auraient été déployés en Syrie en 3 groupes via le Hama Air Base. Selon lui, 98 membres du personnel égyptien seraient venus de la ville d’Ismailia le 26 juillet et auraient ensuite été déployés à Khan al-Asal. 50 autres sont arrivés de l’aéroport du Caire le 27 juillet. Ils seraient déployés à Saraqib.

 

 

L’armée égyptienne a déployé environ 150 soldats sur la ligne de front dans la région syrienne du Grand Idlib pour soutenir les forces du gouvernement de Damas, ont affirmé des sources turques le 30 juillet.

« Les soldats ont ensuite été déployées dans la région de Khan al-Asal dans la campagne occidentale d’Alep et autour de la ville de Saraqib dans la campagne méridionale d’Idlib« , a indiqué l’agence Anadolu citant sa source. L’agence de presse a affirmé que les membres du service militaire égyptien étaient arrivés via la base aérienne de Hama.

Plus tard, Youssef al-Hamoud, un porte-parole de l’Armée nationale syrienne, une coalition de terroristes sous contrôle turc, basés dans le nord d’Alep, a déclaré que le nombre de soldats égyptiens était en fait de 148. Ils auraient été déployés en Syrie en 3 groupes via le Hama Air Base. Selon lui, 98 membres du personnel égyptien seraient venus de la ville d’Ismailia le 26 juillet et auraient ensuite été déployés à Khan al-Asal. 50 autres sont arrivés de l’aéroport du Caire le 27 juillet. Ils seraient déployés à Saraqib.

Cependant, aucun vol depuis l’Égypte vers ladite base n’a été enregistré ces derniers jours. De plus, il est presque impossible de cacher le déploiement de troupes étrangères en première ligne dans les conditions de la guerre syrienne, alors que presque un combattant sur deux possède un téléphone portable et des comptes sur les réseaux sociaux et les utilise pour partager des photos et des vidéos du champ de bataille.

Très probablement, les médias d’État turcs et les groupes mandataires fidèles à Ankara ont trouvé un nouveau moyen original de justifier la présence illégale de leurs propres forces en Syrie. L’accusation selon laquelle d’autres partis font quelque chose que le gouvernement Erdogan fait lui-même est quelque chose que les médias turcs, réputés super menteurs, font régulièrement.

Dans les premiers stades du conflit, la Turquie et ses services de renseignement ont ouvertement autorisé divers terroristes de l’Etat islamique et d’al-Qaïda à utiliser le territoire de la Turquie et les camps situés à la frontière syro-turque comme plaque tournante du transport sur leur route vers la Syrie. Dans le même temps, la Turquie était activement impliquée dans le commerce illégal de pétrole volé en Syrie par  Daech et d’autres, dont des groupes mafieux turcs appartenant au fils d’Erdogan.

Plus tard, lorsque l’opération militaire russe, y compris les bombardements massifs des infrastructures pétrolières de l’Etat islamique, des convois et la révélation publique des faits de la coopération turque avec l’Etat islamique, a mis un terme à cela, la propagande officielle turque a porté son attention sur les accusations de toutes les autres parties impliquées dans le conflit de coopération avec Daech. Il a même affirmé que son opération militaire contre les milices kurdes à Afrin était dirigée contre Daech.

Ankara a envoyé près de 10.000 militants syriens en Libye pour soutenir le gouvernement d’accord national basé à Tripoli. Néanmoins, les médias turcs crient au scandale sur le petit nombre d’entrepreneurs militaires privés liés à la Russie embauchés par les Émirats arabes Unis pour soutenir l’armée nationale libyenne de général Haftar contre les forces soutenues par la Turquie.

Au cours des dernières années, la Turquie a occupé une partie notable du nord de la Syrie et a déployé des milliers de soldats dans le Grand Idlib pour protéger les terroristes liés à Al-Qaïda contre de l’armée syrienne. Par conséquent, il serait logique qu’Ankara trouve une «force étrangère» qu’elle puisse accuser de déployer ses propres troupes dans le pays.

Dans le même temps, si le déploiement de troupes égyptiennes pour soutenir l’armée syrienne s’avère vrai, ce sera une très mauvaise nouvelle pour la Turquie. Ankara semble toujours incapable de contrôler ses partenaires locaux d’Al-Qaïda et les chances d’une nouvelle vague d’escalade dans la région augmentent.

Les puissantes forces armées turques n’ont jusqu’à présent pas réussi à vaincre l’armée syrienne épuisée par des années de conflit contre des terroristes islamiste. Le résultat de la nouvelle escalade sera encore plus sombre pour la Turquie si les forces égyptiennes rejoignent la coalition soutenant Damas.

Source : SouthFront


EN COMPLÉMENTAIRE

La CIA exploite illégalement le pétrole au Nord-Est de la Syrie

Pétrole syrien

 

Le sénateur Lindsay Graham a interrogé le secrétaire d’État Mike Pompeo, lors d’une audition de la Commission sénatoriale des Affaires étrangères, le 30 juillet 2020, à propos d’une société US qui vient de signer un contrat avec l’« Administration autonome » du Nord-Est syrien (YPG) pour l’exploitation de champs pétroliers et la fourniture de raffineries.  Le secrétaire d’État a confirmé que la négociation de cet accord avait pris plus de temps que prévu et qu’il le soutenait. Il devrait débuter à 60.000 barils/jour et pourrait s’élever rapidement à 380.000 barils/jour.

L’Administration autonome » est une fiction mise en place par le Pentagone au Nord-Est syrien dont elle a remis la gérance à une faction kurde. Ni Damas, ni Ankara n’ont fait de commentaires. Crescent Energy Services, qui a signé le contrat, est une société écran de la CIA. Elle est enregistrée au paradis fiscal du Delaware, mais basée en Louisiane.

Selon nos informations, les profits de l’Administration autonome seront divisés en deux : une moitié pour elle, et l’autre moitié pour la CIA qui les utilisera pour financer des opérations secrètes partout dans le monde sans avoir à demander de budget au Congrès.

source:https://www.voltairenet.org/article210637.html


AUTRE COMPLÉMENTAIRE

L’accord militaire Iran-Syrie ne se réduit pas à la DCA. ..Des surprises en vue

 

Des informations font état de « l’apparition des drones de combat particulièrement performants » en Syrie. Et qu’on se rassure, ils ne sont ni de conception turque ni de conception otanienne.  Al Masdar News qui revient sur le pacte militaire signé il y a tout juste un mois entre l’Iran et la Syrie croit savoir qu’il s’agit de nouveaux types de l’UAV que « les Iraniens auraient transféré » en Syrie afin de renforcer les capacités de l’armée syrienne à faire face aux « forces d’occupations US/Turquie » sur son territoire.

Le site d’information rapporte ainsi que des véhicules aériens sans pilote de type « inconnu » ont bombardé des positions terroristes pro-Ankara dans le territoire sous leur contrôle à Idlib, pendant une semaine consécutive, frappant avec une très haute précision des QG des chefs terroristes, des dépôts d’armes, mais aussi et surtout des véhicules blindés et des convois de camions-citernes qui servent au trafic de pétrole volé en Syrie par la Turquie puis expédié à bas prix vers l’Europe. Toujours selon cette information, les positions visées appartenaient aux terroristes pro-turcs,  aux « Casques blancs » affiliés à Hayat Tahrir al-Cham et qui coopèrent active avec les États-Unis.

Le pacte militaire signé entre la Syrie et l’Iran se concentre essentiellement sur le ciel syrien avec comme une prédilection pour la DCA. Le 21 juillet lors du tout dernier raid israélien contre le sud de Damas, les batteries de Khordad-3 iraniens de l’armée syrienne ont pris de court Israël avec des missiles antimissiles Sayyad avec une portée de 200 kilomètres et qui ont réussi à intercepter et à détruire dans le ciel d’Israël les missiles de croisière Delilah. Rien n’empêche l’Iran de transmettre à son allié syrien, des drones bien performants comme Bavar (dont peu d’information sont disponiblet » ou encore le tout nouveau, « Kian » qui est conçu et développé en deux versions toutes deux furtives et destinées aux longues missions de reconnaissance et de surveillance ainsi qu’aux opérations de frappe de précision. Il se peut aussi que les opérations antiterroristes de ces derniers jours à Idlib et à Alep aient été menées par cet appareil. Surtout qu’il s’agit d’un drone qui peut voler jusqu’à 5000 mètres d’altitude sur un trajet de plus de 1.000 kilomètres, suffisant pour opérer dans la zone d’opération Idlib/Alep.  

Et Al Masdar d’ajouter :  » Il y a peu les sources militaires iraniennes qui ont dévoilé la tour de contrôle mobile censée gérer le trafic aérien (ATC). Il s’agit d’un dispositif monté sur remorque et qui peut être transporté d’un endroit à l’autre, voire déplacé sur des terrains difficiles.

Source : PressTv

Cependant, aucun vol depuis l’Égypte vers ladite base n’a été enregistré ces derniers jours. De plus, il est presque impossible de cacher le déploiement de troupes étrangères en première ligne dans les conditions de la guerre syrienne, alors que presque un combattant sur deux possède un téléphone portable et des comptes sur les réseaux sociaux et les utilise pour partager des photos et des vidéos du champ de bataille.

Très probablement, les médias d’État turcs et les groupes mandataires fidèles à Ankara ont trouvé un nouveau moyen original de justifier la présence illégale de leurs propres forces en Syrie. L’accusation selon laquelle d’autres partis font quelque chose que le gouvernement Erdogan fait lui-même est quelque chose que les médias turcs, réputés super menteurs, font régulièrement.

Dans les premiers stades du conflit, la Turquie et ses services de renseignement ont ouvertement autorisé divers terroristes de l’Etat islamique et d’al-Qaïda à utiliser le territoire de la Turquie et les camps situés à la frontière syro-turque comme plaque tournante du transport sur leur route vers la Syrie. Dans le même temps, la Turquie était activement impliquée dans le commerce illégal de pétrole volé en Syrie par  Daech et d’autres, dont des groupes mafieux turcs appartenant au fils d’Erdogan.

Plus tard, lorsque l’opération militaire russe, y compris les bombardements massifs des infrastructures pétrolières de l’Etat islamique, des convois et la révélation publique des faits de la coopération turque avec l’Etat islamique, a mis un terme à cela, la propagande officielle turque a porté son attention sur les accusations de toutes les autres parties impliquées dans le conflit de coopération avec Daech. Il a même affirmé que son opération militaire contre les milices kurdes à Afrin était dirigée contre Daech.

Ankara a envoyé près de 10.000 militants syriens en Libye pour soutenir le gouvernement d’accord national basé à Tripoli. Néanmoins, les médias turcs crient au scandale sur le petit nombre d’entrepreneurs militaires privés liés à la Russie embauchés par les Émirats arabes Unis pour soutenir l’armée nationale libyenne de général Haftar contre les forces soutenues par la Turquie.

Le général Haftar

 

 

 

Au cours des dernières années, la Turquie a occupé une partie notable du nord de la Syrie et a déployé des milliers de soldats dans le Grand Idlib pour protéger les terroristes liés à Al-Qaïda contre de l’armée syrienne. Par conséquent, il serait logique qu’Ankara trouve une «force étrangère» qu’elle puisse accuser de déployer ses propres troupes dans le pays.

Dans le même temps, si le déploiement de troupes égyptiennes pour soutenir l’armée syrienne s’avère vrai, ce sera une très mauvaise nouvelle pour la Turquie. Ankara semble toujours incapable de contrôler ses partenaires locaux d’Al-Qaïda et les chances d’une nouvelle vague d’escalade dans la région augmentent.

Les puissantes forces armées turques n’ont jusqu’à présent pas réussi à vaincre l’armée syrienne épuisée par des années de conflit contre des terroristes islamiste. Le résultat de la nouvelle escalade sera encore plus sombre pour la Turquie si les forces égyptiennes rejoignent la coalition soutenant Damas.

Source : SouthFront

L’accord militaire Iran-Syrie ne se réduit pas à la DCA. Des surprises en vue!

Des informations font état de « l’apparition des drones de combat particulièrement performants » en Syrie. Et qu’on se rassure, ils ne sont ni de conception turque ni de conception otanienne.  Al Masdar News qui revient sur le pacte militaire signé il y a tout juste un mois entre l’Iran et la Syrie croit savoir qu’il s’agit de nouveaux types de l’UAV que « les Iraniens auraient transféré » en Syrie afin de renforcer les capacités de l’armée syrienne à faire face aux « forces d’occupations US/Turquie » sur son territoire.

Le site d’information rapporte ainsi que des véhicules aériens sans pilote de type « inconnu » ont bombardé des positions terroristes pro-Ankara dans le territoire sous leur contrôle à Idlib, pendant une semaine consécutive, frappant avec une très haute précision des QG des chefs terroristes, des dépôts d’armes, mais aussi et surtout des véhicules blindés et des convois de camions-citernes qui servent au trafic de pétrole volé en Syrie par la Turquie puis expédié à bas prix vers l’Europe. Toujours selon cette information, les positions visées appartenaient aux terroristes pro-turcs,  aux « Casques blancs » affiliés à Hayat Tahrir al-Cham et qui coopèrent active avec les États-Unis.

photo distribuee par l’agence officielle syrienne sana montrant le ministre de la defense-abdallah-ayoub-d-et-son-homologue-iranien-amir-hatami-lors-de-la-signature-d-un-accord-de-cooperation militaire entre Damas et Téhéran.

Le pacte militaire signé entre la Syrie et l’Iran se concentre essentiellement sur le ciel syrien avec comme une prédilection pour la DCA. Le 21 juillet lors du tout dernier raid israélien contre le sud de Damas, les batteries de Khordad-3 iraniens de l’armée syrienne ont pris de court Israël avec des missiles antimissiles Sayyad avec une portée de 200 kilomètres et qui ont réussi à intercepter et à détruire dans le ciel d’Israël les missiles de croisière Delilah. Rien n’empêche l’Iran de transmettre à son allié syrien, des drones bien performants comme Bavar (dont peu d’information sont disponiblet » ou encore le tout nouveau, « Kian » qui est conçu et développé en deux versions toutes deux furtives et destinées aux longues missions de reconnaissance et de surveillance ainsi qu’aux opérations de frappe de précision. Il se peut aussi que les opérations antiterroristes de ces derniers jours à Idlib et à Alep aient été menées par cet appareil. Surtout qu’il s’agit d’un drone qui peut voler jusqu’à 5000 mètres d’altitude sur un trajet de plus de 1.000 kilomètres, suffisant pour opérer dans la zone d’opération Idlib/Alep.  

Et Al Masdar d’ajouter :  » Il y a peu les sources militaires iraniennes qui ont dévoilé la tour de contrôle mobile censée gérer le trafic aérien (ATC). Il s’agit d’un dispositif monté sur remorque et qui peut être transporté d’un endroit à l’autre, voire déplacé sur des terrains difficiles.

Source : PressTv


MISE À JOUR IMPORTANTE

Syrie: le « tueur » des F-35 Adir  est arrivé!

 

Un F 35 Adir abattu par la nouvelle DCA iranienne au-dessus de la Syrie.

Mercredi 8 juillet 2020, les sources iraniennes ont fait état de la signature d’un nouvel accord militaire et sécuritaire entre l’Iran et la Syrie qui n’a cessé depuis de provoquer moult analyses.

L’une des clauses de cet accord vise à « renforcer la DCA syrienne », qui a tenu bon face à des centaines de frappes israéliennes mais qui au regard d’une complexification des méthodes employées par l’agresseur, demande à être optimisée. Alors que l’Amérique de Trump fait tout pour proroger l’embargo sur la vente d’arme à l’Iran à son expiration en octobre, la Syrie devient par son alliance indéfectible avec l’Iran et l’axe de la Résistance, le théâtre d’un réel face-à-face : arme de la Résistance contre arme de l’Empire. Une chose est sûre : les éléments de la DCA made in Iran qui iront renforcer le ciel de l’est, voire du centre et de l’ouest syrien ont déjà fait leur preuve, l’US Air Force s’étant heurtée à leur pleine puissance, en été 2019 quand un Global Hawk US s’est aventuré dans le ciel iranien.

Israël use d’attaque électromagnétique, de leurre électronique, de missiles de croisières sans pour autant oser s’infiltrer réellement dans le ciel syrien. Souvent, Israël a été tenté par une infiltration tout en ayant leurré au préalable les radars de la DCA syrienne. Une fois la DCA made in Iran sur place, saura-il refaire le coup? Khordad-3 est l’une des pièces de la DCA made in Iran qui pourrait prendre de court Tel-Aviv. Le défi est de taille. Khordad-3 est une DCA propre à opérer dans un champ de guerre électronique puisqu’il a de quoi déjouer les missiles de croisière ou drones et avions agissant à distance. Mais comment? 

« Il est doté d’un système électro-optique, ce qui en a renforcé la capacité non seulement pour déjouer des attaques électroniques, mais aussi pour mieux intercepter des appareils furtifs ennemis. On sait à quel point Israël a abusé de l’usage des armes de précision à distance pour réduire à néant la DCA syrienne et dans ses toutes dernières agressions, même Pantsir, TOR et Buk qui composent le gros de la DCA syrienne ont été pris pour cible des assauts électromagnétique, dit un expert. 


VIDÉO IL Y A 1 AN

 


 

« En effet, des avions de guerre électroniques ou des drones sont engagés à créer de fausses cibles sur le radar de la DCA et quand le système de défense commence à tirer, des chasseurs, dotés des armes de précision de distance le localisent et l’interceptent avant de le détruire. Or pour faire face à cette tactique, le système Khordad-3 utilise simultanément deux systèmes, radar et dispositif électro-optique. En principe, il est très difficile voire impossible de perturber les systèmes électro-optiques d’où la vertu de Khordad-3. 

Les systèmes électro-optiques sont non détectables, au contraire des radars, ce qui les rend moins vulnérables aux ondes électromagnétique. Leur combinaison avec un système radar permettra à la DCA de continuer à opérer même en dépit d’une forte attaque électromagnétique. 

Les systèmes de défense Raad-2, le système d’artillerie Seraj et le système de défense Herz-9 sont des exemples d’équipement des systèmes de défense iraniens à se classer dans cette catégorie. Il s’agit donc d’autant de prototypes qui pourraient intéresser l’armée syrienne. Mais Khordad-3 est aussi doté d’antenne réseau à commande de phase. Il est donc en mesure de détecter et d’intercepter d’une manière passive ses cibles. C’est presque une forme de furtivité. Cela signifie que ce système peut détecter des cibles puis verrouiller des images dessus sans émettre d’ondes électromagnétiques et échapper de la sorte à l’interception enemie. Et à l’inverse, cette fonctionnalité signifie que l’ennemi est surveillé et même frappé sans en être alerté au préalable. Être passif rend également presque impossible toute tentative de brouillage. 

Un chasseur comme un F-16 utilise divers systèmes pour dévier le missile qui est tiré en sa direction, mais il est presque impuissant face aux missiles qui sont tirés sur lui à l’aide d’une DCA dotée de systèmes électro-optiques. Surtout si comme c’est le cas de Khordad-3, le système est également équipé de caméras thermique et de vision nocturne. Ce qui rend la DCA capable de poursuivre sa mission même dans la nuit et même dans des conditions météorologiques défavorables. Alors le pari est lancé : Khordad-3 contre les missiles de croisière israéliens, les drones voire même des avions furtifs. Les bluffeurs israéliens évoquent de plus en plus des missions des « F-35 » au-dessus de la Syrie. 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Des missiles anti-avion turcs arrivent en Libye. Il y aurait complot contre l’Algérie

 

Les appels à la solution diplomatique en Libye que tient à lancer l’Algérie passe parfaitement inaudible, les États-Unis d’Amérique et leurs alliés de l’OTAN dont ;la Turquie ayant pour mission de faire prolonger les 10 ans de leur guerre « mondiale » perdue en Syrie par une autre, celle qui se déroule en Libye.

Cette semaine alors même que la Turquie d’Erdogan a été menée par la force Résistance-Russie à céder le contrôle de M4 à l’État syrien, on a vu des hordes des HTC (al-Qaïda) et de l’ASL singer des « désobéissants civils » en incendiant des pneus afin de barrer la route aux patrouilles russes. Or ces mêmes terroristes quittent en ce moment même par centaines Idlib et Alep pour aller débarquer à Tripoli. C’est le porte-parole des forces pro-Haftar, Ahmed al-Mesmari, qui le confirme en accusant  Erdogan, de « transfert des centaines de mercenaires depuis la Syrie vers l’ouest de la Libye ». Cité par El Nashra, l’intéressé affirme que  » la Turquie envoie en moyenne chaque semaine 300 à 400 mercenaires dans l’ouest de la Libye  en soutien au gouvernement d’union nationale de Fayez al-Sarraj. »

« Les terroristes sont transférés par des avions de ligne protégés en vertu de la loi internationale et des navires civils dont certains battant pavillon étranger. Nous suivons de près les navires battant pavillon libanais », a-t-il indiqué renvoyant à plus de 10 ans d’activités déstabilisatrices d’Erdogan en Syrie où il a fait de son pays une voie de transit de terroristes et de la Syrie son vivier. Mais en Libye, le Frère Erdogan a aussi d’autres projets : installer un réseau de DCA sur les frontières algériennes avec missiles et rampes de lancement appropriés et tout ceci sous prétexte d’avoir à abattre des MiG russes de Haftar.
Le général de brigade Ahmed al-Mesmari l’a d’ailleurs évoqué en affirmant que les missiles en question « devraient être déployés non loin de Misrata et de Mitiga, dans le nord-ouest « . Pour ceux des analystes qui ont suivi depuis 10 ans les vicissitudes du couple USA/Turquie en Syrie, la Libye dont le gaz est déjà entre leurs mains , le principal objectif est de déployer aux portes de l’Algérie et de la Tunisie voisines, des missiles capables de faire face à la chasse made in Russia de l’Algérie. D’ailleurs cela fait longtemps que l’armée de l’air algérienne équipée d’appareils majoritairement russes pose problème aux Américains et à l’OTAN qui ne perdent aucune occasion, même la plus cynique ( crash d’avion)  pour s’en moquer. Cette tendance s’est accentuée depuis qu’Alger a décidé de commander des avions stratégiques furtifs Su-57 en septembre 2019.  A cette même époque, les Forces aériennes algériennes ont conclu deux autres contrats relatifs à l’acquisition de 14 bombardiers à long rayon d’action Su-34 et de 14 appareils de domination aérienne Su-35. Selon les prévisions, en 2025, l’Armée de l’air algérienne sera en mesure de déployer deux escadrons de Su-30MKA, un autre de Su-57, un de Su-35 et un de MiG-29M2. Et tout ceci ne pourrait laisser indifférent le camp atlantiste.
Le chef d’état-major de l’armée algérienne, le général Saïd Chanegriha, passe en revue les troupes lors d’un exercice militaire en janvier 2020

 

 

Surtout qu’Alger, note un expert, semble avoir opté pour une ligne clairement anti-Empire, en multipliant les contacts avec la Syrie dans le cadre de la lutte contre l’expansion territoriale turque en Libye. Les batteries de missiles otaniens que la Turquie veut déployer à Misrata ne se borderont sans doute pas à viser les MiG-29 de Haftar mais aussi  les MiG-29 algériens à en juger le comportement expansionniste d’Ankara. Le choix de rallier la coalition Résistance-Russie en Syrie est sans doute le meilleur choix stratégique d’Alger ait pu faire après plus d’un an d’efforts de déstabilisations US/Israël/monarchie arabe la visant, estime un expert. 
Alger avertit l’axe Israël/Émirats/France, l’ANP met en garde
C’est inouï et rare par sa clarté  : le ministre algérien de l’Intérieur vient de dénoncer dans les termes les plus clairs le couple Israël/Émirats, aidé par l’OTAN, pour avoir cherché à déstabiliser l’Algérie : « Il y a des éléments connus et qui sont soutenus par certaines régimes étrangers, à l’instar d’Israël, un État européen et un État arabe aussi qui tenteraient à travers le Hirak de détruire l’Algérie », a déclaré le ministre algérien de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud.

 

« Ces parties étrangères soutiennent des éléments connus aux intentions claires et œuvrent par leur biais à détruire le pays, le faire retourner aux années précédentes et de le plonger dans d’infinis problèmes. Il existe encore des éléments qui veulent détruire ce à quoi est parvenu le Hirak populaire et sortent les mardi et vendredi avec les manifestants œuvrant pour l’escalade », a-t-il précisé avant de mettre bien les points sur les i : « L’Algérie est bien entrée dans l’ère de la Nouvelle République dans laquelle le président Abdelmadjid Tebboune s’est engagé à concrétiser toutes les revendications du Hirak. » Le ministre a voulu ainsi faire comprendre au camp d’en face que l’Algérie reste droite dans ses bottes et qu’il est hors de question de céder aux manœuvres de déstabilisation israélo-émiraties. 
Mais qu’est-ce qui a motivé cette sortie anti-israélienne du ministre? Le 5 mars, la presse israélienne a fait état de l’arrestation par les services de sécurité algériens de deux Algériens qui auraient été en contact avec « un ressortissant étranger » (Israël), au poste frontalier d’Oum Teboul, « alors qu’ils s’apprêtaient à quitter le territoire national ». L’information reprise par Echourouk, cite « des sources sûres ».
« Pour les services de sécurité, il y aurait eu tout un plan d’espionnage exécuté par le ressortissant étranger, aidé dans sa mission par les deux Algériens, avec pour objectif d’entrer en contact avec un pays étranger, porter atteinte à la défense nationale et à la sécurité nationale. »

Et le rapport d’ajouter : « Le ressortissant étranger aurait participé à des marches dans les différentes villes du pays, avant de quitter le territoire national », rapporte la même source qui ajoute que « des drones », qualifiés « d’appareils d’espionnage », ont été retrouvés sur les deux personnes arrêtées ». Israël et ses amis franco-émiratis préparent-ils un conflit ouvert contre l’Algérie après plus d’un an d’efforts inlassables mais stériles pour mettre l’Algérie sens dessus dessous ? L’attentat du 10 février contre une base de l’armée algérienne en aurait été le prélude.
Toujours est-il que les deux personnes ont été présentées devant le tribunal d’El-Qala qui les a placées en détention provisoire pour plusieurs chefs d’accusation dont « trahison », « espionnage » et « non-signalement d’activités de nature à porter préjudice à la défense nationale». Un mandat d’arrêt international a été également délivré contre le ressortissant étranger pour les chefs d’accusation d’espionnage, complot contre la défense nationale et d’atteinte au moral de l’armée algérienne.

Les propos du ministre algérien de l’Intérieur ressemblent bien à un avertissement : que l’axe Israël-Émirats-France et Cie se détrompe ; la Libye qu’il a embrasée, le Mali qu’il déstabilise pour pouvoir déclencher une guerre sur les frontières algériennes, ne sauront prendre de court l’Algérie. Le 13 janvier et moins d’une semaine après l’attaque terroriste revendiquée par Daech qui a ciblé un détachement de l’armée algérienne à Bordj Badji Mokhtar, l’ANP a procédé aux manœuvres tactiques avec munitions réelles « Hoggar-2020 », à In Guezzam, dans le sud du pays pour signifier que la sécurité algérienne est non négociable.
Source : PressTv

 

 

 

 

Jamal Khashoggi :Les photos qui prouvent son meurtre (coeurs sensibles s’abstenir)

Les  médias ont tout fait depuis le 25 octobre 2018,afin de faire disparaître les preuves  photographiques de l’assassinat horrible de Jamal Khashoggi au Consulat d’Arabie Saoudite en Turquie.

La simple tentative de faire disparaître ces preuves  et la disparition des policiers turcs qui ont retrouvés les parties du corps de Jamal Khashoggi nous montre l’odieux des politiciens criminels et corrompus qui dominent  cette affaire.

Donald Trump nous aura prouvé qu’on ne pourra jamais faire confiance en ce goujat issu de la mafia khazare.Cet ami fidèle d’Israël ne carbure qu’en billets verts…américains!Il forme un magnifique trio de scélérats avec le  tyran de Ryad,Mohammed bin Salmane et le dictateur  de Turquie Recep Erdogan.Ce sont de dangereux criminels en liberté,auxquels l’Union Européenne cherche a dissipper les crimes afin de profiter financièrement de la situation.

J’ai reçu ces quelques photos d’un ami dont je garde l’anonymat  et je fait suivre ces  terrifiantes et sadiques photos d’une évaluation de la situation:


LES PHOTOS

La photo du visage tuméfié de Jamal Khashoggi.La tête semble avoi été coupée!

 

des membres et diverses parties du corps furent retrouvées dans des sacs.

 

On a poussé l’horreur a enlever la peau du crâne de Khashoggi et les disposer au même endroit que ses parties génitales.

UN BREF RÉSUMÉ ET UNE ÉVALUATION DE LA SITUATION

 

 

 

De la disparition du journaliste Jamal Khashoggi le 2 octobre à l’aveu, samedi matin,le 21 octobre 2018,, par Ryad qu’il a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul, les développements d’une crise majeure.

L’éditorialiste saoudien s’était exilé aux Etats-Unis en 2017, redoutant une arrestation après avoir critiqué le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS).

Le consulat saoudien.

– Disparition –

Le 2 octobre 2018,arrivée de Jamal Khashoggi au Consulat.
Une image de vidéosurveillance montre Jamal Khashoggi (dans le cercle rouge) à côté de sa fiancé devant le consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, le 2 octobre

Un mardi après-midi d’automne, le journaliste saoudien en exil Jamal Khashoggi entre dans le consulat de son pays à Istanbul. Cet ancien proche de la famille royale est devenu, depuis l’arrivée au cœur du pouvoir de Mohammed Ben Salman, un critique affirmé du régime de Riyad. M. Khashoggi, 59 ans, est fiancé à une femme turque, Hatice Cengiz. Afin de pouvoir l’épouser, il doit accomplir une formalité administrative, d’où sa visite à la représentation diplomatique saoudienne. Les heures passent, il ne réapparaît pas. Sa fiancée, qui l’avait accompagné et était restée l’attendre à l’extérieur, alerte les médias et le gouvernement d’Ankara, une consigne que le journaliste lui avait donnée dans le cas où il tarderait à revenir.

Une capture écran extraite de la vidéosurveillance, publiée par le journal turc « Sabah » le 10 octobre, montre des hommes suspectés d’avoir participé à la disparition de Jamal Khashoggi à l’aéroport Ataturk d’Istanbul, le 2 octobre.

 

Le 2 octobre, vers 10H15 GMT, Jamal Khashoggi entre au consulat saoudien à Istanbul, selon une image de caméra de surveillance publiée par le quotidien américain Washington Post, avec lequel il collabore. Selon sa fiancée, il s’y est rendu pour des démarches en vue de leur prochain mariage.

Ce van, entré dans l’aire du consulat saoudien le 2 octobre, est au centre de nombreuses questions.

Le 3, la présidence turque affirme que le journaliste se trouve au consulat saoudien.

Des médias turcs publient le 10 octobre des images de vidéosurveillance qui permettent de suivre les déplacements, le 2 octobre, du groupe de quinze personnes soupçonnées d’avoir orchestré la disparition du journaliste. Les profils se précisent : il s’agit d’officiers des forces spéciales et de l’armée de l’air saoudiennes et de membres supposés de la sécurité rapprochée de Mohammed Ben Salman, accompagnés d’un médecin légiste. Dans les médias proches du pouvoir turc, on commence à évoquer des enregistrements établissant un démembrement à la scie à os du journaliste saoudien. Plus d’une semaine après le début de l’affaire, les premières réactions internationales tombent.

 


Le Washington Post affirme que les services de renseignement américains avaient connaissance d’un projet saoudien, impliquant le prince héritier, consistant à attirer le journaliste dans un piège pour l’arrêter. « Nous n’étions pas informés à l’avance de la possible disparition de M. Khashoggi », affirme le département d’État.

Donald Trump réclame des explications à l’Arabie saoudite sur le sort du journaliste. Il dit être en contact avec la fiancée de M. Khashoggi, qui a demandé son aide.


 

Dans une interview diffusée le 5 octobre par l’agence Bloomberg, le prince héritier affirme que Khashoggi est effectivement « entré » au consulat, mais qu’il en est sorti peu après.

– « Tué au consulat » –

Le 6, une source proche du gouvernement turc déclare que la police estime « que le journaliste a été tué au consulat par une équipe venue spécialement à Istanbul et repartie dans la même journée ». Ryad dément.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan, prononce un discours devant les partisans à Istanbul dimanche. Erdogan a annoncé qu’il annoncerait les détails de l’enquête turque sur la mort de Khashoggi mardi.

Le 7, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui s’exprime pour la première fois sur cette affaire, dit attendre les résultats de l’enquête.

« Le corps de Khashoggi a été probablement découpé et mis dans des caisses avant d’être transféré par avion hors du pays », affirme le Washington Post, citant un responsable américain.

Ryad doit « prouver » que le journaliste a quitté le consulat, dit M. Erdogan.

Le 10, des télévisions turques diffusent des images de vidéosurveillance montrant l’arrivée à Istanbul de Saoudiens soupçonnés d’avoir conduit l’opération.

Selon le Washington Post, Ankara aurait affirmé à Washington détenir des enregistrements audio et vidéo montrant comment Khashoggi a été « interrogé, torturé puis tué » à l’intérieur du consulat, avant que son corps ne soit démembré.

– Washington menace puis ménage Ryad –

Le 13, Donald Trump estime que l’Arabie saoudite pourrait être derrière la disparition et menace Ryad d’un « châtiment sévère », tout en excluant un gel des ventes d’armes.

Le 15, le président des Etats-Unis suggère après un entretien téléphonique avec le roi saoudien Salmane que la disparition « pourrait être le fait de tueurs hors de contrôle ».

Le 16, le secrétaire d’Etat Mike Pompeo affirme que Ryad est favorable à une enquête « approfondie », après des entretiens avec le roi et le prince héritier.

M. Trump réclame l’application du principe de présomption d’innocence en faveur de l’Arabie saoudite.

Le lendemain, il nie chercher à « couvrir » ses alliés saoudiens. Il souligne que les Etats-Unis ont besoin de Ryad dans la lutte contre le terrorisme et insiste sur la coopération militaire et sa dimension économique.

– Une « équipe d’exécution » –

Un journal pro-gouvernemental turc, affirmant s’appuyer sur des enregistrements sonores à l’intérieur du consulat, rapporte que le journaliste y a été torturé avant d’être « décapité ».

Selon le New York Times, l’un des hommes identifiés par les autorités turques comme faisant partie de l’équipe soupçonnée d’avoir perpétré l’assassinat appartient à l’entourage du prince héritier, et trois autres aux services de sécurité rattachés au prince.

– Washington durcit le ton –

Le 18, le secrétaire américain au Trésor annonce qu’il ne se rendra pas à une conférence économique à Ryad, boycottée par un nombre croissant de personnalités.

Donald Trump admet pour la première fois que Khashoggi est très probablement mort, menaçant Ryad de « très graves » conséquences si sa responsabilité est confirmée.

Washington décide cependant d’accorder un délai supplémentaire à l’Arabie saoudite pour s’expliquer.

– Fouilles et témoignages –

Le 19, les médias turcs indiquent que les enquêteurs ont élargi les recherches à une vaste forêt d’Istanbul. Des images de vidéosurveillance prises le 2 octobre montrent, selon une chaîne de télévision privée, au moins un véhicule muni de plaques diplomatiques y pénétrer après avoir quitté le consulat.

Les enquêteurs ont fouillé cette semaine le consulat et la résidence du consul saoudien.

Mike Pompeo prévient que les Etats-Unis disposent d’une « large gamme » de sanctions possibles contre l’Arabie saoudite s’il s’avérait qu’elle était derrière la disparition du journaliste.

– Ryad reconnaît la mort –

L’Arabie saoudite reconnaît dans la nuit du 19 au 20 octobre que Jamal Khashoggi a été tué dans le consulat, et annonce une restructuration de ses services de renseignements et des limogeages à leur tête.

« Les discussions entre Jamal Khashoggi et ceux qu’il a rencontrés au consulat du royaume à Istanbul (…) ont débouché sur une rixe, ce qui a conduit à sa mort », déclare l’agence de presse officielle saoudienne SPA, citant le parquet.

Le roi ordonne au prince héritier de restructurer les services des renseignements, dont un des hauts dirigeants, Ahmad al-Assiri, est limogé, ainsi qu’un conseiller de haut rang à la cour royale.

 

…l’histoire continue!

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial: l’horreur de l’assassinat de Jamal Khashoggi…en détails!

 

« Faites ça dehors, vous allez m’attirer des problèmes », aurait lancé le consul lors de l’assassinat, selon l’enregistrement.

Jamal Khashoggi entre dans le Consulat de l'Arabie saoudite à Istanbul, le 2 octobre 2018.
Jamal Khashoggi entre dans le Consulat de l’Arabie saoudite à Istanbul, le 2 octobre 2018.

 

Le journaliste saoudien Jamal Khashoggi a été torturé avant d’être « décapité » dans le consulat de son pays à Istanbul, a affirmé ce mercredi 17 octobre le quotidien turc « Yeni Safak » qui dit avoir eu accès à un enregistrement sonore des faits.

L’éditorialiste critique de Ryad s’est rendu au consulat le 2 octobre pour des démarches administratives en vue de son mariage. Il n’a pas été vu depuis.

Affirmant avoir eu accès à des enregistrements sonores de ce qui s’est déroulé ensuite, Yeni Safak explique que Jamal Khashoggi a été torturé au cours d’un interrogatoire et que ses doigts ont été coupés par des agents saoudiens.

Il a ensuite été « décapité », selon le quotidien progouvernemental, qui ne précise pas comment il a eu accès à ces enregistrements.

Des responsables turcs ont accusé Ryad d’avoir fait assassiner le journaliste par une équipe spécialement envoyée sur place, mais les autorités saoudiennes ont démenti.

« Faites ça dehors, vous allez m’attirer des problèmes »

Certains médias, dont le « Washington Post » pour lequel écrivait Jamal Khashoggi, avaient auparavant rapporté l’existence d’enregistrements audio et vidéo prouvant que le journaliste avait été « interrogé, torturé puis tué » à l’intérieur du consulat, avant que son corps ne soit démembré.

Mais c’est la première fois qu’un média turc dit avoir eu accès à de tels enregistrements.

Selon « Yeni Safak », le consul saoudien Mohammad Al-Otaibi est entendu sur l’un des enregistrements. Il lance alors : « Faites ça dehors, vous allez m’attirer des problèmes. »

Ce à quoi un individu non identifié lui répond : « Si tu veux vivre quand tu reviens en Arabie saoudite, tais toi. » Mohammad Al-Otaibi a quitté Istanbul mardi.

Découpé vivant, en musique

Le site d’informations en ligne Middle East Eye raconte, citant une source qui a eu accès à l’enregistrement sonore des derniers moments du journaliste, que Jamal Khashoggi a été emmené dans le bureau du consul.

Selon cette source, « il n’y a pas eu de tentative d’interrogatoire. Ils étaient venus le tuer » et le consul lui-même a été sorti de la pièce.

Un médecin légiste, identifié comme Salah al-Tubaigy et qui faisait partie de la quinzaine de Saoudiens dépêchés par Ryad à Istanbul ce jour-là selon plusieurs médias, a ensuite commencé à découper le corps de Jamal Khashoggi encore vivant, d’après la source de Middle East Eye. « Yeni Safak » précise que les doigts du journaliste ont été coupés avant qu’il soit décapité.

Pendant qu’il faisait cela, Salah al-Tubaigy a commencé à écouter de la musique à l’aide d’écouteurs.

« Quand je fais ce travail, j’écoute de la musique. Vous devriez (le) faire aussi », l’entend-on dire sur l’enregistrement, selon la même source.

L’assassinat a duré sept minutes, affirme en outre Middle East Eye.

Des médias américains ont affirmé que l’Arabie saoudite, dont l’image a terriblement souffert de cette affaire, envisageait de reconnaître la mort du journaliste lors d’un interrogatoire qui aurait mal tourné au consulat.


Khashoggi : son dernier édito portait sur la liberté de la presse

 

Le « Washington Post » publie un éditorial présenté comme la dernière contribution de Jamal Khashoggi, journaliste saoudien disparu.

Selon le « Washington Post », il s’agit de la dernière contribution de Jamal Khashoggi. Dans un éditorial publié mercredi 17 octobre par le quotidien américain, le journaliste saoudien, résident permanent aux Etats-Unis et porté disparu depuis qu’il est entré au consulat saoudien d’Istanbul le 2 octobre, écrivait sur la nécessaire liberté de la presse dans le monde arabe.

« Hélas, cette situation ne changera probablement pas », déplore-t-il dans cet éditorial transmis par son traducteur au « Washington Post » au lendemain de sa disparition. Il poursuit :

« Il y avait un temps où les journalistes ont cru qu’Internet allait libérer l’information de la censure et du contrôle associé à la presse écrite. Mais ces gouvernements, dont l’existence même s’appuie sur le contrôle de l’information, ont bloqué de manière agressive Internet. »

Pour lui, « le monde arabe fait face à sa propre version du rideau de fer, imposé non pas par des acteurs externes mais à cause des forces nationales se disputant le pouvoir ».

Et le journaliste, critique du pouvoir de Ryad, de citer le Qatar, grand rival de l’Arabie saoudite au Moyen-Orient :

« Le gouvernement du Qatar continue à soutenir la couverture des informations internationales, contrairement aux efforts de ses voisins visant à maintenir le contrôle de l’information afin d’appuyer ‘l’ancien ordre arabe’. »

« Ce sera sa dernière contribution »

Alors que les soupçons d’un assassinat de Jamal Khashoggi par des tueurs envoyés par Ryad se font de plus en plus tenaces, le quotidien américain a décidé finalement de publier cette tribune.

« Le ‘Post’ a retardé la publication parce que nous espérions que Jamal allait revenir vers nous afin que nous l’éditions avec lui », écrit dans un texte accompagnant son texte l’éditorialiste Karen Attiah. Elle ajoute :

« Maintenant, je dois l’accepter : ça ne va pas arriver. Ce sera sa dernière contribution. »

« Cet éditorial saisit parfaitement son engagement et sa passion pour la liberté dans le monde arabe. Une liberté pour laquelle il a apparemment donné sa vie. »

La presse turque a publié mercredi de nouvelles informations accablantes pour les Saoudiens, selon lesquelles Jamal Khashoggi aurait été torturé et assassiné dans le consulat dès le jour de sa disparition. Selon des informations du « New York Times », l’un des hommes identifiés par les autorités turques comme faisant partie du commando de 15 agents dépêchés par Ryad et suspectés de l’avoir tué fait partie de l’entourage du prince hériter saoudien Mohammed Ben Salmane, dit « MBS ».


Ce journaliste critique du pouvoir saoudien, n’a plus donné de signe de vie depuis son entrée au consulat saoudien à Istanbul le 2 octobre.

 

Jamal Khashoggi, un journaliste critique du pouvoir saoudien, qui écrivait notamment pour le « Washington Post », n’a plus donné signe de vie depuis son entrée le 2 octobre au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul. Que sait-on pour l’instant ? Où en est l’enquête ? 

Que sait-on ?

Le consulat d’Arabie Saoudite ou le meurtre a été commis.

Selon la fiancée de Jamal Khashoggi, celui-ci s’est rendu au consulat le 2 octobre pour effectuer des démarches en vue de leur prochain mariage. « Il est allé au consulat avec un rendez-vous, donc ils savaient quand il y serait », a expliqué Yasin Aktay, un proche du journaliste. Il avait appelé le consulat un peu avant d’y aller pour voir si ses documents étaient prêts, ils lui ont dit ‘oui, c’est prêt, vous pouvez venir’.

La police turque, qui a ouvert une enquête, a estimé, dans ses premières conclusions, que le journaliste a été tué au sein du consulat d’Arabie saoudite par une équipe venue spécialement à Istanbul et repartie dans la même journée. Selon elle, un groupe de 15 Saoudiens avait fait le 2 octobre l’aller-retour à Istanbul et se trouvait au consulat en même temps que Jamal Khashoggi. Le « Washington Post » a, lui, avancé qu’Ankara aurait affirmé à Washington détenir des enregistrements audio et vidéo montrant comment Khashoggi a été « interrogé, torturé puis tué » à l’intérieur du consulat, avant que son corps ne soit démembré. D’après le « New York Times », l’équipe d’agents saoudiens avait, à cet effet, apporté une scie à os. « C’est comme dans ‘Pulp Fiction' », a déclaré un haut responsable turc cité par le quotidien.

Les quotidiens « Sözcü » et « Milliyet » ont rapporté ce vendredi 12 octobre que Jamal Khashoggi portait, quand est entré au consulat, une « montre intelligente » connectée à un téléphone qu’il avait laissé entre les mains de sa fiancée, Hatice Cengiz. Les deux journaux affirment que des enregistrements audio ont ainsi été transmis par ce téléphone et sont actuellement examinés par la justice. Toutefois, si « Milliyet » affirme que des cris et une querelle ont été enregistrés, « Sözcü » rapporte que des dialogues, mais pas de cris, peuvent être entendus dans cet enregistrement de « quelques minutes ».

Que répond l’Arabie saoudite ?

Les autorités saoudiennes, qui avaient rapidement jugé « infondées » les accusations sur leur implication dans l’assassinat à Istanbul du journaliste Jamal Khashoggi, et affirmé qu’elles n’avaient « rien à cacher », ont depuis choisi la stratégie du silence. Jusqu’à présent, la seule réponse de Ryad a été d’affirmer que les caméras de la mission diplomatique ne fonctionnaient pas le jour de la disparition du journaliste.

Mardi 9 octobre, l’Arabie saoudite avait donné son feu vert pour une fouille de son consulat à Istanbul, mais celle-ci n’avait toujours pas eu lieu. Selon le quotidien progouvernemental « Sabah », ce retard s’explique par un désaccord sur les conditions de cette recherche : après avoir donné son accord, l’Arabie saoudite a fait savoir qu’elle n’accepterait, selon les informations du quotidien, qu’une fouille « visuelle ». Les autorités turques ont refusé cette condition et d’intenses tractations sont en cours depuis entre le procureur, le ministère turc des Affaires étrangères et des responsables saoudiens pour essayer de trouver un compromis, selon « Sabah ».

On a appris, ce vendredi 12 octobre, qu’une délégation saoudienne est arrivée en Turquie pour des entretiens portant sur l’enquête. Selon l’agence de presse étatique Anadolu, elle devait rencontrer des responsables turcs pendant le week-end. Ibrahim Kalin, le porte-parole de la présidence turque, a annoncé jeudi soir la formation d’un « groupe de travail » turco-saoudien pour tenter d’élucider le mystère de la disparition du journaliste.

Comment réagissent la Turquie et les Etats-Unis ?

President turc Recep Tayyip Erdogan

Le président turc Recep Tayyip Erdogan et le président américain Donald Trump Trump mettent la pression sur Ryad.

« Cet incident s’est déroulé dans notre pays. Nous ne pouvons rester silencieux », a prévenu le premier. Alors que les Saoudiens ont expliqué que les caméras de la mission diplomatique ne fonctionnaient pas le jour de cette disparition, le dirigeant turc n’a pas caché son scepticisme, soulignant que l’Arabie saoudite avait les systèmes de vidéosurveillance « les plus avancés ». « Si un moustique sort, leurs systèmes de caméras vont l’intercepter », a-t-il ironisé.

Donald Trump, lui, continue de réclamer des explications. « Nous allons étudier cela très, très sérieusement. Je n’aime pas cela du tout. » « C’est un précédent terrible, terrible », a-t-il estimé. Le président des Etats-Unis a également déclaré que des enquêteurs américains travaillaient avec la Turquie et l’Arabie saoudite, mais cette participation a été démentie par des sources diplomatiques turques.

 

Les Etats-Unis, comme l’ensemble des Occidentaux, font toutefois preuve d’une certaine retenue dans leurs commentaires, tant l’Arabie saoudite est un partenaire clé sur tous les plans – stratégique, militaire, commercial. Le président américain a ainsi d’ores et déjà exclu un gel des ventes d’armes américaines en guise de sanctions.

L’affaire Khashoggi fait, en tout cas, des remous dans le monde des affaires. Le milliardaire britannique Richard Branson, fondateur du groupe Virgin, a annoncé sa décision de geler plusieurs projets d’affaires avec le Royaume. De grands noms de l’économie mondiale et des médias, censés participer à la deuxième édition du sommet Future Investment Initiative du 23 au 25 octobre à Ryad, ont commencé à prendre leurs distances. Plusieurs médias partenaires ont également annulé leur venue.

Menaces et contre-menaces

Mardi, Michelle Bachelet, haut-commissaire de l’ONU pour les Droits de l’homme, a réclamé la levée de l’immunité de responsables saoudiens qui pourraient être impliqués dans la disparition de Jamal Khashoggi.

« Compte tenu de la gravité de la situation […], j’estime que l’inviolabilité ou l’immunité des locaux et des fonctionnaires concernés accordée par des traités tels que la Convention de Vienne de 1963 sur les relations consulaires devrait être levée immédiatement », a-t-elle déclaré.

Samedi, le président Trump, un grand allié de Riyad, avait pour la première fois estimé possible une implication de l’Arabie saoudite et l’avait menacée d' »un châtiment sévère ».

L’Arabie saoudite avait promis le lendemain de riposter à d’éventuelles sanctions.


Pompeo et le prince héritier Mohammed bin Salman ont discuté du meurtre présumé d’un journaliste saoudien le 16 octobre. L’Arabie saoudite a rejeté à plusieurs reprises les allégations et « toute tentative visant à le saper dans l’Affaire Khashoggi.

Mike Pompeo et Bin Salman

Le président turc Tayyip Erdogan s’entretiendra avec le secrétaire d’État américain Mike Pompeo, arrivé le 17 octobre pour une visite de travail à Ankara. Les entretiens américano-turcs devraient porter principalement sur la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, ministre turc des Affaires étrangères.

Mike Pompeo a eu des entretiens avec la ministre turque des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, au sujet de la disparition du journaliste et de Manbij, en Syrie, selon des reportages.

L’agence publique Anadolu a rapporté, citant le ministre de l’Intérieur Suleyman Soylu, que la Turquie attendait un accord conjoint pour perquisitionner la résidence du consul d’Arabie saoudite à Istanbul, en lien avec la disparition de Khashoggi.

Selon le service de presse du président turc, Erdogan rencontrera Pompeo à l’aéroport d’Ankara avant de partir pour la Moldavie.

Mike Pompeo avait déclaré plus tôt que le gouvernement saoudien s’était engagé à aller au fond des choses dans l’affaire du chroniqueur du Washington Post.

 Les Saoudiens affirment que Khashoggi a quitté le bâtiment indemne et nie avec véhémence toutes les allégations de meurtre du chroniqueur.


EN COMPLÉMENT:

Qui est Jamal Khashoggi?

Jamal Khashoggi

 

Jamal Khashoggi, dont la mort a été admise tôt samedi par l’Arabie saoudite évoquant « une bagarre qui a mal tourné » à l’intérieur du consulat du Royaume à Istanbul en Turquie, était un chroniqueur connu pour ses contributions dans les médias, dont le Washington Post.

Le défunt a d’abord été un proche collaborateur de la famille royale et des services de renseignement avant de devenir un critique de la politique autoritaire du prince Mohammed ben Salmane surnommé MBS.

L’homme qui devait avoir 60 ans le 13 octobre n’a plus donné signe de vie depuis qu’il est entré dans la représentation diplomatique saoudienne à Istanbul, le 2 octobre.

Jamal Khashoggi s’est exilé aux États-Unis après une vague d’arrestations en septembre 2017 dans le royaume. Depuis, il n’a cessé de dénoncer les « excès » de MBS. Il a révélé que le Palais lui avait interdit de s’exprimer dans le quotidien panarabe Al-Hayat, propriété du prince saoudien Khaled Ben Sultan al-Saoud, pour avoir défendu la confrérie des Frères musulmans, classée « terroriste » par Riyad.

En mars dernier, M. Khashoggi a cosigné un éditorial avec l’historien britannique Robert Lacey dans The Guardian dans lequel le duo reprochait au prince héritier de n’avoir « ni encouragé ni permis le moindre débat en Arabie saoudite ».

Né le 13 octobre 1958 dans la ville sainte de Médine, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, Jamal Khashoggi obtient en 1982 un diplôme de gestion à l’Université d’État d’Indiana, aux États-Unis.

C’est pour les quotidiens Saudi Gazette et Asharq al-Awsat qu’il commence sa carrière en couvrant surtout le conflit en Afghanistan.

S’il n’a pas combattu aux côtés des moudjahidines contre les Soviétiques, il épouse rapidement leur cause financée par la CIA américaine et les services secrets saoudiens.

Jamal Khashoggi réalise une entrevue avec Oussama ben Laden, chef de l’organisation islamiste armée Al-Qaïda.

Mais dans les années 1990, il prend ses distances avec Oussama ben Laden.

Plus tard, Khashoggi occupe plusieurs postes de responsabilité dans des journaux saoudiens.

En 2003, il est contraint à la démission de son poste de rédacteur en chef au quotidien Al-Watan après seulement 54 jours.

Il revient au journal en 2007 pour en repartir en 2010 après avoir signé un éditorial jugé offensant pour les salafistes, courant rigoriste de l’islam.

Des relations ambiguës avec le Palais

Jamal Khashoggi n’est pas seulement connu pour sa carrière journalistique. Neveu du célèbre marchand d’armes Adnan Khashoggi, il vient d’une grande famille saoudienne qui a des origines turques. il a longtemps entretenu une relation particulière avec le pouvoir saoudien.

M. Khashoggi est proche conseiller du prince Turki al Fayçal, qui a dirigé les services de renseignement pendant plus de 20 ans.

Le célèbre prince milliardaire Alwalid bin Talal lui confie la responsabilité de lancer en 2015 Al Arab, une chaîne panarabe d’information en continu. Le projet tombe à l’eau lorsque les autorités de Manama, proches de Riyad opposent leur véto.

Deux ans plus tard, le prince Alwalid lui-même, est détenu à l’hôtel Ritz-Carlton de Riyad avec des dizaines de personnalités accusées de « corruption » par une commission présidée par le prince héritier MBS.

En 2017, les critiques de Jamal Khashoggi deviennent virulentes contre les dérives autoritaires de MBS.

Il critique également l’engagement de l’armée saoudienne dans la guerre au Yémen et l’embargo imposé au Qatar voisin, accusé par Riyad de soutenir les Frères musulmans et d’entretenir des liens avec l’Iran.

Le 2 octobre, il entre au consulat saoudien à Istanbul pour des démarches administratives en vue de son mariage avec une Turque, Hatice Cengiz. Il ne sera plus vu vivant.

…aussi

Le prince saoudien Khalid bin Farhan al Saoud, qui vit actuellement en exil en Allemagne, a déclaré que le prince héritier Mohammed bin Salman, qui fait face à une pression croissante pour faire face au meurtre présumé de Khashoggi, est un partenaire particulièrement important pour les États-Unis. « Le gouvernement américain pourrait difficilement se permettre de se passer d’un homme comme Mohammed bin Salman, facile à influencer et à contrôler », a déclaré bin Farhan

 

 


EN CONCLUSION

Mike Pompeo,l’envoyé de Donald Trump reçu par le président tuc Erdogan.

Les trois pays mêlés a cette affaire,les États-Unis,la Turquie et l’Arabie Saoudite semblent discuter d’un montant d’argent (en milliards de $ US) afin de  terminaliser  ce meurtre « a l’amiable » entre eux!

Les Américains viennent de perdre toute  crédibilité en s’assoyant avec ces deux dictatures pour  effacer l’assassinat monstreux d’un homme qui croyait a la liberté de parole et a la démocratie!

Des membres masculins de la famille royale entoure le prince héritier.

 

Syrie: Damas et Ankara s’opposent aux ultra-nationalistes kurdes soutenus par Washington

Soldats syriens001

 

 

Tandis que le président syrien recevait à Damas le Secrétaire d’Etat indien aux Affaires étrangères, la Syrie et la Turquie ont finalement trouvé un début de compromis basé sur un objectif commun: barrer la route à la création d’une éventuelle entité kurde ultra-nationaliste à l’extrême Nord de la Syrie.

Les turcs ont ouvert la voie à des unités de l’Armée syrienne libre (ASL) pour contrer l’avancée kurde à Hassaka. Presque au même moment, des avions de combat syriens survolaient  tout l’extrême Nord de la Syrie, Hassaka incluse, malgré la présence de forces spéciales US et britanniques au sein des unités kurdes.

 

Fort du soutien militaire de la République islamique d’Iran et de la Fédération de Russie, assuré du très important appui tactique du mouvement libanais du Hezbollah et du soutien logistique de la République populaire de Chine et de la Corée du Nord, ayant acquis un accord de principe de la part de l’Inde sur le front diplomatique, Al-Assad tente présentement d’arriver à partager un ennemi commun avec la Turquie. C’est déjà chose faite. Malgré des divergences de fond et de principe, les Syriens et les Turcs feront tout ce qui est possible de faire pour étouffer dans l’oeuf les revendications ultra-nationalistes très extrémistes des Kurdes. On verra ce que cela va donner en termes de contre-alliances et d’alliances par proxy interposés. Des rebelles syriens de l’ASL se heurtent déjà aux Kurdes.

Le conflit syrien est devenu un tournant clé dans l’histoire du monde contemporain. C’est probablement le conflit le plus important du 21e siècle: ceux qui ont commandité cette guerre pour garantir qu’Israël soit en mesure de fêter son centenaire en position dominante en 2048 ne savaient certainement pas qu’elle allait changer définitivement la face du monde dans un sens tout à fait contraire à cet objectif.

Le jeu continue.

source:https://strategika51.com/2016/08/21/syrie-damas-et-ankara-sopposent-aux-ultra-nationalistes-kurdes-soutenus-par-washington/

 

Nouvel Ordre Mondial:soutenir le pouvoir néolibéral par le chaos contrôlé dans tout l’Occident chrétien

Dans un excellent article, le journaliste Christian Rioux s’interroge sur la vague migratoire actuelle. Il évoque la difficulté pour les peuples de distinguer entre l’immigrant économique et le réfugié. Pour la droite, il suffirait «de faire comprendre au bon peuple que l’immigration est bonne pour l’économie» (nous attendons encore les résultats!) Et pour la gauche, «qui confond la politique et les bons sentiments», se donner bonne conscience résume l’argumentaire des Québec solidaire et autres bobos. D’un côté, le motif d’augmenter l’immigration est bêtement sentimental. De l’autre, bêtement économique. D’aucun ne voit derrière le rideau.

De nombreuses relations qui montrent son attachement à la foie islamique.
De nombreuses relations qui montrent son attachement à la foie islamique,font de Justin trudeau ,un destructeur  invétéré de l’état-nation.Le seul motif qui fait vibrer le petit Trudeau est la formation d’un « melting pot » à l’américaine afin d’assimiler ,puis de détruire définitivement la nation québécoise.Justin Trudeau semble être de religion islamique!Une autre espèce de Quisling comme fut Jean Chrétien avant lui.

Le but occulte des élites est celui de mettre fin à l’État-nation de manière chaotique et non ordonnée. Ainsi, la mondialisation en cours est conçue par une élite, le 1% de gauche ou de droite, et pour ses seuls intérêts, dont au premier chef ceux des Américains.

Les intentions de la guerre n’ont rien à voir avec la justice, l’éthique et le respect de la démocratie; quand la fin justifie les moyens, le diable n’est jamais bien loin.

En slovénie,les migrants syriens et irakiens arrivent par milliers.
En Slovénie,les migrants syriens et irakiens arrivent par milliers.

Dans tout l’Occident,on utilise les immigrants à des fins politiques et économiques, même ici, au Québec. Rien d’humanitaire dans l’intention d’origine des gouvernements. Quand j’ai voulu obtenir plus détails sur les faits, Monsieur H. a refusé d’aller plus loin. Comme s’il ne voulait plus connecter avec une douloureuse mémoire. Il avait aussi refusé d’être la source d’un journaliste à The Gazette. Monsieur H. veut la paix. Il est fonctionnaire à la ville.

Cet été 2015, j’ai trouvé certaines réponses. Dans cet article de Manlio Dinnuci, «Ces paras sur nos têtes», il explique que l’OTAN, «dont le Commandant suprême allié en Europe est toujours nommé par le président des États-Unis et dont les autres commandements clé sont aux mains des USA – sert à maintenir l’UE dans la sphère d’influence états-unienne.».

Autrement dit, les États-Unis feront tout pour garder l’Union européenne affaiblie. La migration humaine fait partie de cette stratégie: créer un chaos grâce à l’arrivée massive d’humains dont la gestion sera impossible. Et pendant que les peuples souverains s’enliseront dans un chaos quotidien, les oligarchies garderont mainmise sur tous les leviers d’enrichissement des peuples, ses institutions.

Stratégie politique: un chaos planifié pour solliciter nos bons sentiments

Dans cet autre article, «Goldman Sachs – Otan’ corp.», Manlio Dinucci explique comment la Goldman Sachs finance les opérations de l’OTAN qu’exploitent les USA, en citant en exemple le cas de l’exode lybien. «Cet exode sert d’arme de guerre psychologique et de pression économique pour démontrer la nécessité d’une « opération humanitaire de paix », visant en réalité l’occupation militaire des zones stratégiquement et économiquement les plus importantes de la Libye. Tout comme l’OTAN, Goldman Sachs est fonctionnelle à la stratégie de Washington qui veut une Europe assujettie aux États-Unis.»

Voici la nouvelle démocratie exportée par les États-Unis en Lybie.Dans quelques secondes après la prise de cette photo,l'homme qui a le pistolet sur la tempe ,mourra...Pour la gloire des terroristes et du 1% qui contrôle les richesses du monde.
Voici la nouvelle démocratie exportée par les États-Unis en Lybie.Dans quelques secondes après la prise de cette photo,l’homme qui a le pistolet sur la tempe ,mourra…Pour la gloire des terroristes et du 1% qui contrôle les richesses du monde.

La banque Goldman Sachs porte dorénavant trois chapeaux: financier, politique et militaire. Ainsi elle financerait à la fois les crises (militaire) et la migration (politique) vers l’Europe. «Les peuples européens sont traînés dans une dangereuse et coûteuse Guerre froide contre la Russie, et dans des situations critiques, comme celle du dramatique exode de réfugiés provoqué par les guerres USA/OTAN en Libye et Syrie.»

Hillary Clinton est cette politicienne américaine qui a particulièrement aidé à l'instauration de la "Pax Americana" en Lybie.On la voit ici,le 19 octobre 2011,faisant son signe illuminati de la victoire,entourée des mercenaires terroristes qu'elle a grassement payé pour éliminer le Grand Guide Lybien Khadafi et mettre ce pays en ruines.
Hillary Clinton est cette politicienne américaine qui a particulièrement aidé à l’instauration de la « Pax Americana » en Lybie.On la voit ici,le 19 octobre 2011,faisant son signe illuminati de la victoire,entourée des mercenaires terroristes qu’elle a grassement payé pour éliminer le Grand Guide Lybien Khadafi et mettre ce pays en ruines.

Manlio Dinucci est l’un des rares Européens à faire la lumière sur la manière dont les USA ont créé la crise libyenne avant de détourner les fonds souverains que la Libye avait investis dans la Goldman Sachs. La banque a provoqué un placement baissier catastrophique pour le fonds souverain libyen, causant la perte du pays. La Goldman Sachs est la ressource complice de toutes les guerres menées par l’élite américaine dont profitent seulement quelques oligarchies mondiales. Jamais les peuples.

Marine Le Pen en visite au Québec a eu le mérite et le courage de nous avertir même si nos petits politiciens néolibéraux et véreux ne veulent rien entendre...sutout pas la vérité!
Marine Le Pen en visite au Québec a eu le mérite et le courage de nous avertir même si nos petits politiciens néolibéraux et véreux ne veulent rien entendre…sutout pas la vérité!

Christian Rioux pointe du doigt les donneurs de leçons britanniques, mais ce pourrait englober le Commonwealth: «C’est dans ces pays où l’on préfère généralement les immigrants riches, jeunes et instruits que l’on semble le plus prompt à faire la leçon aux Européens».

Ce n’est donc pas par hasard si Philippe Couillard sollicite aujourd’hui les sentiments des bons chrétiens québécois (majorité constituant le peuple) pour leur demander d’ouvrir les bras aux réfugiés.

Il doit être très aux fait du programme. Le premier ministre, supporté par la puissante machine des services secrets, des banques et oligarchies, fera tout pour en finir avec l’esprit nationaliste du Québec. Par amour pour un Canada uni? Non, pour faire partie des privilégiés qui soutirent la richesse aux peuples.

Et le Québec dans tout ça?

L’aristocratie anglaise a agi exactement de la même manière après la conquête du Canada français. Diviser pour régner et donner des leçons pour cacher la réalité des faits. Le projet souverainiste du Québec est contrecarré depuis ses débuts par cette même stratégie (lire aussi cet article) qui force à fédérer les peuples là où il y a le plus de résistance identitaire. Une propagande haineuse et réductrice envers la nation souveraine sert à affaiblir le peuple sur le plan de son identité afin de lui enlever confiance en lui. Ensuite, on peut facilement remplacer son élite de souche par une autre, sans scrupules car sans appartenance (incluant des immigrants non intégrés), commanditée par des forces souterraines. Ces pions facilitent l’accès du 1% à la richesse du peuple.

Avec notre argent, le 1% achète encore plus de pions ou les intimide, voire les élimine. C’est ce cercle vicieux qui entretient la corruption dans nos institutions.

L'espion canado-saoudien ,Philippe Couillard,franc maçon ami d'Arthur Porter et responsable de la poursuite du système politique néolibéral actuel...un système bâti sur la corruption et la collusion politique.
L’espion canado-saoudien ,Philippe Couillard,franc maçon ami d’Arthur Porter et responsable de la poursuite du système politique néolibéral actuel…un système bâti sur la corruption et la collusion politique.

Lorsque nous lisons les événements autrement que par le prisme des bons sentiments ou de l’insécurité économique, nous voyons clairement qu’un détournement de nos richesses est en train de se produire à travers le Parti libéral.

Soutenu par la richesse souterraine (M. Couillard doit en avoir appris beaucoup sur la stratégie Goldman Sachs/OTAN lors de son passage au Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) et en Arabie saoudite), le PLQ a placé ses pions dans les Conseils d’administration de nos plus grandes institutions (Caisse de dépôt, Hydro-Québec, CHUM, Université de Montréal) et les privatisera pour mieux contrôler leur orientation vers les oligarchies. Ainsi, on tue les peuples.

Ces crimes contre l’humanité resteront impunis tant que les bons chrétiens de la gauche et les absolutistes du libre-marché refuseront de regarder le diable dans les yeux. Ajoutons à cette naiveté, une immigration de remplacement ou de «chaos commandité», et le combat des peuples est perdu d’avance.

 


 

HORS TEXTE

L’origine de cette politique du chaos contrôlé remonte à l’Empire de Babylone,dont voici un bref historique:

 

Cité du pays d’Akkad (en Iraq).

Ville de Mésopotamie dont les ruines se trouvent à 90 km au sud de Bagdad (près de l’actuelle Hilla), Babylone fut la capitale d’une vaste région de Mésopotamie. Arrosée par le Tigre et l’Euphrate, elle connut l’une des plus brillantes civilisations du monde antique, qui se développa pendant près de douze siècles.

La ville de Babylone existe dès le xxiiie siècle avant J.-C., au temps de la splendeur d’Akkad.Le premier texte cunéiforme qui mentionne le nom de Babylone date du règne du roi d’Akkad Sharkali-sharri (v. 2185-2160 avant J.-C.).Son entrée dans l’histoire ne débute véritablement qu’avec l’arrivée des Amorrites, ces Sémites occidentaux qui, à la fin du xxe siècle, submergent les pays de Sumer et d’Akkad. Parmi ces envahisseurs, un certain Sumou-aboum s’installe à Babylone et y fonde une dynastie qui régne pendant trois siècles (1894-1595).

Toutefois, cette première dynastie babylonienne ne devient une puissance que sous le règne de son sixième roi Hammourabi (1793-1750), qui en fait la capitale de son empire. Hammourabi, connu surtout pour son œuvre de législateur, est aussi un grand conquérant. Sous son règne, la Babylonie (pays de Sumer et d’Akkad unifiés) tient le devant de la scène mésopotamienne. Ses successeurs tentent en vain de refaire l’unité de l’Empire mais en 1595, les Hittites s’abattent sur Babylone.

À la faveur de ce raid hittite, d’autres envahisseurs, les Kassites, descendus des montagnes de l’Est et du Nord-Est, s’emparent à leur tour de Babylone et y fondent leur propre dynastie. Tout comme leurs prédécesseurs, les Kassites adoptent la culture suméro-akkadienne et tentent de rendre à Babylone tout son prestige. Vers 1530, les Kassites récupèrent Sumer ; la Babylonie à nouveau reconstituée retrouve sa suprématie d’autrefois.Mais, à partir du xive siècle, harcelé par l’Assyrie, le royaume babylonien décline ; en 1203, le roi d’Assour Toukoulti-Ninourta Ier prend Babylone.

Dès lors, une dynastie locale prend la relève. Ses deux premiers rois reconduisent la politique de lutte contre l’hégémonie assyrienne. Avec Nabuchodonosor Ier (v. 1127-1105), troisième roi de la dynastie, la ville atteint le faîte de sa puissance. À partir du xie siècle, le royaume babylonien, en butte aux invasions des nomades araméens, entre dans une très longue période d’instabilité. Cette situation est habilement exploitée par les Assyriens qui parviennent, au viiie siècle, à annexer la Babylonie. Au siècle suivant, la ville de Mardouk, alors défendue par les Chaldéens – tribu d’origine araméenne –, est par deux fois saccagée, par les armées assyriennes de Sennachérib (689) puis d’Assourbanipal (648).

Le Chaldéen Nabopolassar (626-605) fonde la Xe et dernière dynastie de Babylone. Allié des Mèdes dès 625, il attaque l’Assyrie, qui s’écroule en 612, rendant ainsi à Babylone son prestige. Son fils, Nabuchodonosor II (605-562) – célèbre pour avoir pris Jérusalem et déporté l’élite juive sur les bords de l’Euphrate –, échoue à s’emparer de l’Égypte mais réussit à dominer toute la Mésopotamie, la Syrie et la Palestine. La Babylonie, désormais maîtresse du couloir syrien et du nord de l’Arabie, détient le monopole du grand commerce. Les revenus considérables de l’empire sont en grande partie consacrés à l’embellissement des cités ; outre Babylone, Our, Ourouk, Nippour, Sippar, Kish, Larsa et Barsippa connaissent une intense activité architecturale.

Parmi les successeurs de Nabuchodonosor, Nabonide (556-539) est le seul qui se maintienne quelque temps sur le trône, mais il ne peut repousser l’attaque du Perse Cyrus II. En 482, Xerxès Ier, irrité par l’esprit « national » de ses sujets babyloniens, démantèle leur capitale et emporte la statue d’or de Mardouk. À partir du ve siècle, écartée du grand commerce, écrasée sous les charges fiscales, la Babylonie connaît un grand marasme économique. Sa situation culturelle est aussi peu brillante : les Perses, accourus en grand nombre sous les règnes de Darios et de Xerxès, imposent dans les vallées du Tigre et de l’Euphrate les divinités iraniennes ; l’araméen, devenu la langue officielle de l’Empire achéménide, achève de supplanter le dialecte babylonien. La culture suméro-akkadienne ne survit que dans les cercles étroits des scribes et des savants.En 331, Babylone, amoindrie, opprimée et appauvrie, acclame Alexandre le Grand, qui en fait la capitale de l’Asie et voudrait lui redonner sa splendeur ; mais il la délaisse pour d’autres conquêtes. De retour neuf ans après, il a tout juste le temps d’y mourir. Dès lors, Babylone continue à courir vers son déclin ; peu après 301, la fondation macédonienne de Séleucie du Tigre lui ravit son statut de capitale. Les Parthes, indifférents à son sort, la laissent décliner. Au premier siècle avant J.-C., le géographe grec Strabon trouva le site désert.

*Voir mon article sur l‘histoire du sionisme,d’Israel et de l’Islam sur ce lien qui est en rapport direct avec cet article.


 

L’État Islamique est une répétition de l’histoire: «La surpopulation et la sécheresse»  conduisirent à  l’effondrement de l’Empire assyrien 

L'Empire assyrien...semble recouper les frontières actuelles de l'état Islamique.
L’Empire assyrien…semble recouper les frontières actuelles de l’État Islamique.

L’effondrement soudain de l’empire assyrien était due à la surpopulation et à la sécheresse,ce qu’un groupe de chercheurs a trouvé.

L’Empire assyrien a été le plus grand empire du Vieux Monde ,tellement qu’on n’avait jamais vu cela avant.Il  fonctionnait comme une «machine militaire puissante » qui a dominé l’ancien Proche-Orient – une région qui est aujourd’hui l’Irak du Nord et la Syrie.

Cependant, il ne fallut  juste que 100 ans, pour que cette civilisation  s’effondre. Les forces babyloniennes et médes alors conjointes ont attaqué et détruit Ninive en 612 avant JC et l’empire n’a jamais  pu récupérer (et  la raison a été longuement débattu depuis des siècles).
Des chercheurs de l’Université de Californie, San Diego, et de l’Université Koç à Istanbul, en Turquie, ont trouvé des preuves qui suggèrent que le changement climatique et la surpopulation ont  conduit à la destruction de l’Empire.
« Les explications traditionnelles du déclin de l’Empire néo-assyrien dans le 7ème siècle avant JC ont mis  l’accent sur le rôle du conflit militaire, et en particulier la destruction de la capitale assyrienne, Ninive, par une coalition de Babylone et les forces médes en 612 avant JC, » selon  les auteurs.
« Cependant, on ne sait pas comment l’état assyrien, la machine militaire la plus puissante de son époque et le plus grand empire du Vieux Monde n’avait jamais vu jusqu’à ce moment-là, a diminué si rapidement. »
Publié dans la revue Climatic Change Springer, les chercheurs ont comparé récemment (et publié) des données sur le climat avec le texte antique trouvé sur une tablette d’argile. Le texte – une lettre écrite au roi par un astrologue de la cour – a dit qu’il n’y avait eu « aucune récolte » cette année.

L’analyse des modèles de dossiers paléoclimatiques de la  météo de la région a constaté que cette sécheresse précise  faisait partie d’une longue période de sécheresse qui a duré plusieurs années.
Adam Schneider, de l’Université de Californie, a déclaré: « Pour autant que nous le savons, la nôtre est la première étude à mettre en avant l’hypothèse que le changement climatique – en particulier la sécheresse – a contribué à détruire l’Empire assyrien. »
Dans le même temps, l’Empire assyrien souffrait de surpopulation. La société a connu une croissance insoutenable grande pendant le règne du roi Sennachérib et l’Empire était «fatalement affaibli».

La population de l'Empire Assyrien était devenue hors contrôle à l'époque du roi Sénachérid.
La population de l’Empire Assyrien était devenue hors contrôle à l’époque du roi Sénnachérib.

Dans les cinq années qui ont suivi, l’Assyrie a été ravagé par les guerres civiles. « Nous ne disons pas que les Assyriens se sont mis  soudainement à mourir de faim ou ont été forcés à errer dans le désert en masse, abandonnant leurs villes », a déclaré Schneider. « Au contraire, nous disons que la sécheresse et la surpopulation ont affecté l’économie et déstabilisé le système politique à un point où l’empire ne pouvait pas résister à l’agitation et à l’assaut des autres peuples. »(comme cela se produit actuellement avec l’État Islamique)!
Les chercheurs ont déclaré que l’effondrement de l’Empire assyrien est comparable à la situation politique actuelle dans la Syrie et le nord de l’Irak. Ils attirent également des parallèles avec des villes comme San Diego et Los Angeles, où ces zones poussent trop rapidement (sur le plan démographique) pour leurs environnements.
« Les Assyriens peuvent être« excusés »dans une certaine mesure pour se concentrer sur des objectifs économiques ou politiques à court terme qui ont augmenté leur risque d’être impacté négativement par le changement climatique, compte tenu de leur capacité technologique et de leur niveau de compréhension scientifique sur la façon dont le monde naturel fonctionne, « écrivent les auteurs.
« Cependant, nous n’avons pas de telles excuses, et nous possédons également l’avantage supplémentaire de voir avec le recul du temps, ce qui nous permet de reconstituer le passé sur ce qui peut aller mal si nous choisissons de ne pas adopter des politiques qui favorisent la viabilité à long terme. »


BABYLONE ET LE CODE D’HAMMURABI

Babylone et le code d'Hammurabi Règne du roi Hammurabi : Les cité-états de Mari, Eshnounna, Larsa et Babylone ne cessent de guerroyer. C’est finalement Babylone qui l’emporte grâce à la ténacité, la prudence et l’habileté d’un Amorrite : Hammurabi, fils de roi. Il devient roi de Babylone et crée l’Empire babylonien grâce à ses capacités diplomatiques et politiques. En moins de 25 ans, il constitue un véritable empire qui n’est pas seulement l’œuvre d’un conquérant, mais aussi celle d’un administrateur et d’un lettré. La centralisation est extrême, bien que les villes gardent leur propre administration. Cependant, Hammurabi gère et contrôle toute l’activité économique du pays : montant des salaires, prix des marchandises, montant des taxes et impôts, etc. Babylone devient la capitale religieuse et culturelle de la Mésopotamie. Hammurabi met en place un code de châtiments destinés aux sujets de son empire qu’il fait graver sur des colonnes en pierre pour que chacun puisse les voir. Ce code de lois est destiné à fournir aux princes à venir un modèle de sagesse. Après sa conception, il fut largement diffusé dans les villes importantes. Le code comprend environ 282 articles regroupés par thème : Vols, coups et blessures, exercice des diverses professions, etc. A chaque délit, le code assigne un tarif précis, selon le rang de la victime : Si un chirurgien pratique une opération qui entraîne la mort de son patient, sa main est tranchée ! – Si un architecte construit une maison qui s’écroule et tue quelqu’un, il est mis à mort. – Un homme qui doit de l’argent à un autre peut lui prêter sa femme comme esclave. – Si quelqu’un casse un membre à un awilou (notable), on lui cassera un membre. S’il crève l’œil d’un moushkenou (simple paysans), ou s’il lui casse un membre, il paiera une mine d’argent. Bien que paraissant barbares, ces châtiments dégagent l’image d’une société d’hommes libres. Propriétaires, paysans, artisans, commerçants, fonctionnaires, prêtres, de classe inférieure (moushkenou), esclaves, prisonniers de guerre, enfants vendus, débiteurs insolvables, etc, chacun est protégé par la loi. Ils peuvent se marier, même avec une femme libre, avoir une famille, exercer un métier, posséder des biens, racheter leur liberté ou être affranchis. La femme apparaît aussi avec son statut juridique. Quand Hammurabi meurt, son empire s’affaiblit.
Babylone et le code d’Hammurabi
Sous le règne du roi Hammurabi :
Les cité-états de Mari, Eshnounna, Larsa et Babylone ne cessent de guerroyer. C’est finalement Babylone qui l’emporte grâce à la ténacité, la prudence et l’habileté d’un Amorrite : Hammurabi, fils de roi. Il devient roi de Babylone et crée l’Empire babylonien grâce à ses capacités diplomatiques et politiques. En moins de 25 ans, il constitue un véritable empire qui n’est pas seulement l’œuvre d’un conquérant, mais aussi celle d’un administrateur et d’un lettré. La centralisation est extrême, bien que les villes gardent leur propre administration. Cependant, Hammurabi gère et contrôle toute l’activité économique du pays : montant des salaires, prix des marchandises, montant des taxes et impôts, etc. Babylone devient la capitale religieuse et culturelle de la Mésopotamie. Hammurabi met en place un code de châtiments destinés aux sujets de son empire qu’il fait graver sur des colonnes en pierre pour que chacun puisse les voir. Ce code de lois est destiné à fournir aux princes à venir un modèle de sagesse. Après sa conception, il fut largement diffusé dans les villes importantes. Le code comprend environ 282 articles regroupés par thème : Vols, coups et blessures, exercice des diverses professions, etc. A chaque délit, le code assigne un tarif précis, selon le rang de la victime :
Si un chirurgien pratique une opération qui entraîne la mort de son patient, sa main est tranchée ! – Si un architecte construit une maison qui s’écroule et tue quelqu’un, il est mis à mort. – Un homme qui doit de l’argent à un autre peut lui prêter sa femme comme esclave. – Si quelqu’un casse un membre à un awilou (notable), on lui cassera un membre. S’il crève l’œil d’un moushkenou (simple paysans), ou s’il lui casse un membre, il paiera une mine d’argent.
Bien que paraissant barbares, ces châtiments dégagent l’image d’une société d’hommes libres. Propriétaires, paysans, artisans, commerçants, fonctionnaires, prêtres, de classe inférieure (moushkenou), esclaves, prisonniers de guerre, enfants vendus, débiteurs insolvables, etc, chacun est protégé par la loi. Ils peuvent se marier, même avec une femme libre, avoir une famille, exercer un métier, posséder des biens, racheter leur liberté ou être affranchis. La femme apparaît aussi avec son statut juridique. Quand Hammurabi meurt, son empire s’affaiblit.

 


 

Attentats sous faux drapeau à Bruxelles. L’opération Gladio 2.0 de l’OTAN suit son cours…

 

Nous sommes une fois de plus, nous les peuples, victimes de la stratégie de la tension exercée par intermittence et depuis environ un an avec plus d’intensité, par une oligarchie financière et industrielle qui pousse toujours plus avant sa volonté de contrôle totalitaire sur nos vies. Les opérations des oligarques sous l’égide de l’OTAN ayant échoué en Syrie et en Ukraine, la décision a été manifestement prise de faire monter de plusieurs crans la stratégie de la tension générée par l’idéologie factice et criminelle néoconservatrice du « choc des civilisations ».
Le but est de faire passer un à un tous les états d’Europe sous régime d’état d’urgence et de loi martiale, renforçant la grille de surveillance sur les peuples au nom de la « sécurité ». Pas à pas nos libertés peau de chagrin sont rognées pour que tout cela finisse dans les geôles et les camps du goulag qui s’annonce. Nous n’en sommes plus loin.


ISIS/Daesh est une création avérée et reconnue des services occidentaux des états de l’OTAN (USA, Turquie, GB, France) + Israël + les monarchies dégénérées du Golfe (Arabie Saoudite, Qatar et EAU en tête) pour le financement, monarchies qui inondent la France et les pays européens de l’ouest de leur pétrodollar corrupteur. Daesh est Gladio 2.0. Daesh est la nouvelle armée (légion mercenaire pseudo-djihadiste) secrète de l’OTAN, payée pour exécuter les basses besognes et les boucheries de la terreur. Les lampistes qui commettent ces atrocités sont des dupes, manipulés par leur nébuleuse hiérarchique qui finit invariablement par se confondre avec les « services » aux sigles connus se planquant derrière celui d’ISIS ou EI ou Daesh ou quelque soit le nom qu’on lui donne ; tout comme l’entreprise mercenaire Blackwater qui change de nom au fil de ses crimes, Daesh fut tour à tour AQI puis AQIL, puis EIIL puis ISIS ou EI (Daesh), comme Blackwater est devenue Xe, puis Academi. L’envers du décors est tapissée des barbouzes de la CIA, MI6, MIT, DGSE, Mossad, GIP et autres… Les connexions des terroristes avec les services de renseignements font toujours surface, qui peut encore s’en étonner ?
L’oligarchie transnationale a déclaré la guerre aux peuples, nous a déclaré la guerre. Le plan est de nous faire mettre à genoux, de nous soumettre et d’implorer que soit appliquer plus de restrictions, plus de contrôles des populations et mouvements des personnes et des biens, cela est déjà bien en marche… Le but est de nous abrutir de violence aveugle et forcenée pour que nous nous soumettions VOLONTAIREMENT à l’arbitraire, la loi martiale et le goulag au nom de notre SECURITE.

La mise sous tutelle de l’UE sous le joug d’un état d’urgence permanent suivi dans la foulée de l’application du traité de partenariat transatlantique (on l’a oublié celui-là hein ?..) et les peuple d’Europe seront verrouillés dans un goulag en forme de continent où toute dissidence sera réprimée au nom de la SECURITE intérieure. Ceux qu’on appelle « Daesh » ou l’EIIL n’est que l’outil, le bras armé du chaos imposé qui mènera à la dictature fasciste supranationale, encadrée par les corporations industrielles et banquières transnationales dirigées depuis la City de Londres et Wall Street.
Bienvenue dans la fin de partie qui vous est offerte par Goldman Sachs, Rothschild, Rockefeller & co…
= = =

Des réactions à chaud

Problème / Réaction / Solution.

 
1- Créer le problème (création / financement / entrainement des groupes terroristes par la Cabale)
2- Réaction des Humains de façon émotionnelle
3- Solution proposée par les pantins de la Cabale pour répondre à la peur provoquée
 
Ou comment faire passer, grâce au Terrorisme, des lois toujours plus limitatives des libertés Humaines, qui n’auraient jamais été acceptées par les Humains si ce problème n’avait pas été créé.

 

 
Voici mon résumé des attentats de Bruxelles qui se sont produit le 22 mars 2016 à 9h11 (911).
 
Attentats signés par la Cabale.
SkullBones322
Attentats effectués le 3/22, soit le 22 mars
comme spécifié sur le logo des
« Skull and Bones »,
société secrète liée à l’OTAN, et
groupe de choc maçonnique de la CIA
———–Les réactions et analyses a chaud sur le net———————————
Du coté des USA :
(L’attentat sous faux drapeau du 22/03 !Gladio frappe Bruxelles pendant les vacances sataniques)
 
Du coté de la Belgique :Vidéo.
Du coté de la France : Vidéo
Réaction d’une éveillée, membre de la Résistance :
 
Discours du criminel Manuel Valls à l’assemblée nationale et décryptage…
 
Citation de Manuel Valls du début de cette vidéo : « Le cœur de l’Europe, le siège de nos institutions Européennes, ont été frappé par le terrorisme Islamiste ».
Traduction de la manipulation mentale :
1- Ouvrez vos émotions (le cœur) / n’utilisez pas votre esprit d’analyse.
2- Réagissez émotionnellement et en tant qu’Européen et non français (nos institutions européennes)
3- Haïssez les Musulmans (terrorisme Islamiste)
 
Notez l’utilisation de la combinaison de mots qui n’ont rien a voir ensemble à l’origine mais dont la combinaison permet d’imprégner une idée négative sur un mot neutre ou positif à l’origine :
 
Terrorisme Islamiste. Terrorisme = mot négatif. Islamiste = mot neutre.
 
Utiliser la combinaison « Terrorisme Islamique » équivaut a inventer des termes comme :
 
  • Bombisme Catholique
  • Sniperisme Judaique
  • Tranchéisme Boudhique
 
La Terreur, est une techniques qui remonte a la nuit des temps.
L’utilisation de la Terreur qui normalement est le vrai langage que nous devrions utiliser, est devenu au fil du temps le Terrorisme (néologisme alliant Terreur et isme).
C’est juste une technique de guerre qui existe depuis toujours sur Terre et qui a été utilisée par tous les peuples de la Terre, quelque soit leur religion.
 
L’envoi de Bombes, que je décris ici par le néologisme Bombisme est une autre technique de guerre, plus récente. Ainsi que le Tranchéisme (prendre position défensive dans des tranchées).
 
Comme vous le voyez dans ces exemples, cela n’a aucun sens si ce n’est que de simplifier les explications de nos dirigeants afin de nous infantiliser et de nous pousser vers la peur, les réactions émotionnelles, plutôt que de creuser le sujet des raisons et des responsables de cette guerre qui utilise la Terreur.
 
Manuel Valls répète sans cesse dans cette vidéo, le mot « Guerre »
 
« Nous sommes en Guerre », « Guerre », « Guerre », « Guerre », « Guerre », « Guerre », « Guerre »,…..
 
Décryptage:
 
« Vous allez mourir », « Peur », « Peur », « Peur »,  « Peur »,  « Peur »,  « Peur »,  « Peur »,  « Peur »,  « Peur », …….
 
Émotions, au lieu de la Réflexion.

Le 18 mars, le président turc Recep Tayyip Erdogan a mis l’Europe en garde contre le risque d’attaques sur son territoire suite aux attentats d’Ankara, rapporte l’AP.

Mais personne n’a voulu donner crédit à Erdogan, qui, en étant quelque peu cinglé, avait révélé ce secret hautement dangereux de l’OTAN, secret dont il était détenteur, comme tous les chefs d’Etat des pays de l’OTAN.

 

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« Rien n’empêche que la bombe qui a explosé à Ankara n’explose à Bruxelles ou dans une autre vile européenne« , a déclaré le président turc lors de la 101ème commémoration de la bataille de Gallipoli qui s’est tenue à Canakkale. 

Et d’ajouter: « Les serpents que tu mets dans ton lit peuvent te mordre à tout moment ».

De la même manière, les judéo-sionistes new-yorkais avaient prédit, un an à l’avance, que le WTC allait être détruit, et ont agi en conséquence : ce fut le jack-pot du siècle

Comme Erdogan pour l’attentat de Bruxelles, ils étaient bien évidemment « au parfum »  des plans diaboliques de ces attentas sous faux drapeau.

Un journaliste américain avait annoncé

une attaque à Bruxelles entre le 16 et le 23 mars

Le journaliste américain David Chase Taylor, rédacteur en chef du journal de dénonciation Thruther, a annoncé le 16 mars que la CIA a planifié une attaque sous fausse bannière dans la capitale belge entre le 16 et le 23 mars 2016.
 
Ce très controversé journaliste est un dénonciateur de la même trempe que Julian Assange et Edward Snowden. Selon les dernières nouvelles, il aurait demandé l’asile politique en Suisse, mais elle lui serait toujours refusée. 
 
Il dit avoir publié des milliers de rapports dénonçant des « événements sous faux drapeaux » (false flag) perpétrés par la CIA et il croit que les attentats de Paris ont été fomentés par la CIA. Dans l’article ici-bas, publié le 16 mars dernier, il annonce une attaque sur la Belgique entre le 16 et le 23 mars 2016. 
 

Attentats de Bruxelles : le témoin israélien est issu du groupe qui diffusa la photo-choc du Bataclan

INFO PANAMZA. L’Israélien qui captura une vidéo des passagers confinés dans l’aéroport de Bruxelles fait partie d’United Hatzalah, une association -liée au Mossad- qui fut la première à diffuser la photographie du carnage du Bataclan.

Le 25.03.2016 à 16h03
{Avertissement en préambule : les « théoriciens de la coïncidence » ne manqueront pas d’aboyer sur les réseaux sociaux en dénonçant une prétendue « théorie du complot » dans les lignes qui vont suivre…}
Mardi 22 mars 2016, à « 10h00 » heure française, soit deux heures après les explosions survenues à l’aéroport de Bruxelles, un organisme israélien -dénommé United Hatzalah- publiait ce tweet

yeret

Il y est fait état d’une déclaration tenue par Yaakov Yeret, présenté comme un urgentiste (« EMT, emergency medical technician »), qui -présent à l’aéroport de Bruxelles- raconte avait été « en train de prier à la synagogue (quand) nous avons senti l’explosion ».
Auprès d’une chaîne de télévision israélienne, il fitégalement savoir que le bruit de la première explosion lui était « familier » en tant qu’Israélien.

Dans un média de la communauté juive orthodoxe (VIN News), Yeret -présenté comme un « bénévole » de United Hatzalah- précisa que ses collègues et lui, en provenance des États-Unis et à destination d’Israël, ont « assisté les infirmiers venus soigner les blessés ».
Il a d’ailleurs adressé au média en ligne sa propre vidéo capturée depuis le local de rétention des passagers rescapés.
 
L’intérêt singulier de ce témoignage?
C’est la seconde fois que le nom de cet organisme israélien (United Hatzalah, « Ichud Hatzalah » en hébreu, littéralement « Unis dans le secours ») apparaît en relation avec des attentats jihadistes commis sur le sol européen.
La première illustration avait été révélée par Panamza -le 15 décembre- dans une enquête consacrée à l’origine de la diffusion de la photo-choc du Bataclan.
Extraits :
AUCUN média de la presse traditionnelle n’a tenté d’en savoir plus sur l’origine de la photo. Au contraire : de concert avec le gouvernement et la police, la plupart des journalistes encartés et des éditorialistes se sont contentés de dénoncer la diffusion de l’image sans entamer la moindre tentative de décryptage quant à la genèse de sa propagation (…)
Il était pourtant possible d’en retracer le parcours, a fortiori quand on est censé exercer son métier dans le web-journalisme.
Panamza a tenté de percer ce mystère, pas à pas (…)
Nom du compte : « Fil d’actualités d’Israël » animé par « @IsraelHatzolah ».
Ce compte avait été en réalité le premier sur le web à diffuser la photographie.
 
 
Sur sa page d’accueil de Twitter, ce compte -qui a curieusement publié sa photo exclusive sans y apposer son nom, rendant ainsi facile sa récupération par quiconque- indique être « affilié à United Hatzalah« , une ONG israéliennequi collabore pleinement avec l’armée.
Et qui dirige -au niveau international- cette organisation para-médicale?
L’Américain Mark Gerson.
 
Sa spécificité?
Admirateur de l’ex-président républicain George Walker Bush, ce New-Yorkais est unefigure vedette des cercles neoconservateursdont la volonté de domination géopolitique est centrée sur l’axe Washington-Tel Aviv.
Détail-clé : Gerson fut le directeur exécutif d’un célèbre think-tank dénommé Project for a New American Century. Cette organisation ultra-droitière (qui fut présente dans l’Administration Bush et qui avait joué un rôle majeur dans l’instrumentalisation du 11-Septembre contre Saddam Hussein) était elle-même basée sur les grandes lignes d’unmémorandum commandé en 1996 par le Premier ministre Benyamin Netanyahou et destiné à développer une stratégie moyen-orientale en faveur des intérêts israéliens.
Et devinez qui participait -deux jours avant les attentats de Bruxelles- au congrès de l’AIPAC, célèbre rassemblement annuel à Washington de la nébuleuse sioniste internationale
Un certain Mark Gerson, patron neocon d’United Hatzalah, comme l’illustre ce tweet de Dov Maisel, responsable des opérations internationales.  
 
 
Détail à souligner : la page Facebook d’ « Hatzalah France » a rendu un vibrant hommage, le jeudi 17 mars, à « un héros d’Israël, grand soutien d’Hatzalah et membre du comité international de United Hatzalah » : le décédé Meïr Dagan, ancien « criminel de guerre »devenu le patron -de 2002 à 2010- du Mossad.
Rappel : la désignation d’United Hatzalah comme étant l’organisme à l’origine de la propagation de la photo-choc du Bataclan avait conduit l’auteur de ces lignes (HICHAM HAMZA)  à être placé en garde à vue.

 

 

 

 

Illuminati avise bbb

 

 

 

 

 

EN CONCLUSION

La filière turque confirmée depuis le 23 mars 2016

Sur cent réfugiés, vous avez un terroriste islamiste, et sur trois terroristes, vous avez un kamikaze prêt à mourir au signal émis par les Turcs.

Les Forces populaires kurdes opérant aujourd’hui en Syrie ont capturé un haut fonctionnaire du MIT  turc de renseignement (équivalent de la CIA) qui, sous la rubrique «interrogatoires renforcés», a impliqué le Président Erdogan dans les attentats de Bruxelles. Veterans Today a eu accès à des aveux enregistrés qui détaillent le rôle du MIT dans les explosions de Bruxelles ainsi que des plans pour encore plus d’attaques à travers l’Europe. Le «suspect» a avoué son rôle dans la planification de l’attaque de Bruxelles en coordination avec le commandement de Daech ISIS basé à Raqqah.

Le Mossad israélien et le MIT tuc sont deux grands amis collaborateurs dans tout genre de complot contre les peuples.
Le Mossad israélien et le MIT turc sont deux grands amis collaborateurs dans tout genre de complot contre les peuples.

 

 

Les informations précises ayant permis la capture de ce super espion ont été fournies par un signal d’interception russe. On nous dit que les Russes ne seraient pas impliqués dans la capture proprement dite, mais qu’une équipe Spetsnaz était disponible pour le soutien.

L’espionnage turc dirige un centre de planification opérationnelle dans un complexe souterrain à Raqqah, selon notre informateur qui veut rester anonyme. Le centre, construit sous une installation sportive, contient des stocks d’armes chimiques et biologiques, y compris du gaz sarin, la grippe porcine et des tonnes de matériaux pour la production du gaz  moutarde et du chlore gazeux. Les États-Unis ont frappé le centre en Octobre 2014, la coordination avec une unité syrienne « Tiger », ce  qui a conduit à la capture d’officiers qataris, saoudiens et turcs lors d’une demi-douzaine d’opérations conjointes très secrètes.

Les notes d’interrogatoire que nous avons reçues jusqu’à présent du Secrétaire Général , le DR Haissam Bou Said du Département européen pour la sécurité et de l’information (DESI) indiquent que le MIT, service  de renseignement turc , était derrière les attentats suicides jumeaux horribles de Bruxelles et que des cellules terroristes turques à travers l’Europe avaient été prévues depuis des années en coordination avec une infrastructure de la criminalité organisée (traite des personnes, de stupéfiants) et de travailler avec des groupes israéliens et saoudiens pour la mise en scène de d’attaques terroristes sous faux drapeau.

 

 

Selon notre source, Erdogan en personne a veillé à canaliser les cellules terroristes entraînées et formées par le MIT, cachées dans l’afflux soigneusement orchestrée des réfugiés. Il les a  dirigés vers des «couchettes» au sein des communautés de la pègre turque établie depuis longtemps en Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas.

 

Des sources de la communauté du renseignement américain notent que le crime organisé turc est centré à Munich attend, depuis plus d’une décennie, le « top départ » pour lancer ses attaques terroristes  contre les États-Unis à la veille de la prochaine élection présidentielle.

 

La Turquie revendique le bain de sang de Bruxelles

Depuis six mois, la Turquie menace la France, la Belgique et l’Allemagne et les somme de l’aider à éliminer le mouvement de libération nationale kurde. Idéologiquement le régime de Recep Tayyip Erdoğan considère en effet que les Turcs sont une « race supérieure » et que les Kurdes doivent obéir ou être éliminés. La France, qui avait pris l’engagement d’aider la Turquie à résoudre la question kurde « sans porter atteinte à l’intégrité de son territoire » (c’est-à-dire en déplaçant les Kurdes turcs en Syrie), mais n’était plus en mesure de tenir sa promesse, fut la première touchée. La Belgique qui donne asile aux Kurdes, a été la seconde cible.

Le quotidien {Star}, organe officieux du régime de Recep Tayyip Erdoğan, ouvre sa "une" du 22 mars 2016 (c’est-à-dire le matin même des attentats de Bruxelles) sous le titre « La Belgique État terroriste ». Le journal reproche à la Belgique d’avoir laissé des familles de victimes kurdes de la guerre civile manifester à Bruxelles pendant le sommet UE-Turquie.
Le quotidien {Star}, organe officieux du régime de Recep Tayyip Erdoğan, ouvre sa « une » du 22 mars 2016 (c’est-à-dire le matin même des attentats de Bruxelles) sous le titre « La Belgique État terroriste ». Le journal reproche à la Belgique d’avoir laissé des familles de victimes kurdes de la guerre civile manifester à Bruxelles pendant le sommet UE-Turquie.

 

Tout terroriste choisissant sa cible, veille à passer un message pour justifier son action. La plupart du temps c’est ce message qui intéresse les terroristes et non pas l’ampleur de la catastrophe que va provoquer leur acte terroriste.

De la sorte, ils parviennent à contourner l’exclusion dont ils font l’objet de la part des médias conventionnels, et se trouvent soudain au centre du débat, sous le feu des projecteurs.
Dans le cas des attentats terroristes de Bruxelles, il pourrait y avoir plusieurs messages, dont un lié à l’existence même de l’UE [1]. Cependant, le message central, qui n’a cessé d’être répété par le gouvernement turc, par des groupes étatiques et para-étatiques et par la presse turque, concernait le soutien de la Belgique et de l’UE à la cause kurde.
Le président Erdoğan en personne, pendant que se tenait le sommet de l’UE avec la Turquie, prononçait une attaque violente contre l’Union européenne accusée d’héberger et de soutenir des organisations du mouvement de libération nationale kurde.
Le quotidien Star, organe officieux du régime de Recep Tayyip Erdoğan, ouvrait sa « une » du 22 mars 2016 (c’est-à-dire le matin même des attentats de Bruxelles) sous le titre « La Belgique État terroriste ». Elle était illustrée de photographies de Kurdes brandissant le drapeau du Rojava, la région autonome du Nord de la Syrie qui sert désormais de base arrière au PKK et constitue une menace majeure pour la Turquie.

 

Le même journal publie les menaces du président Erdoğan envers la Belgique,une journée plus tard.

Une journée plus tard,le même journal turc continue ses attaques contre la Belgique.
Une journée plus tard,le même journal turc continue ses attaques contre la Belgique. « Le serpent que nourrissait la Belgique en son sein l’a mordue », faisant référence au discours prononcé par le président Erdoğan, le 18 mars dernier .

 

L’édition spéciale de Star du 23 mars est intitulée : « Le serpent que nourrissait la Belgique en son sein l’a mordue », faisant référence au discours prononcé par le président Erdoğan, le 18 mars dernier [2].

Dans le second titre du journal turc Akita,on peut lire:« La Belgique supporte les terroristes ».
Dans le second titre du journal turc Akita,on peut lire:« La Belgique supporte les terroristes ».

De plus, le journal islamiste Akita, un des organes du Parti de la Justice et du Développement, du 23 mars reprend le même argument en « une ». Elle est illustrée par des photographies de l’ancien député Zoubair Indar, l’un des dirigeants du mouvement de libération nationale kurde, et de Fehriye Erdal, accusée du meurtre d’Ozdemir Sabanci, tous deux réfugiés politiques en Belgique. Un second titre précise : « La Belgique supporte les terroristes ».
Dans son éditorial d’aujourd’hui intitulé « Celui qui dort avec le terrorisme, se réveille avec lui », Khanty Ozisik, le principal chroniqueur du journal électronique pro-ErdoğanInternethaber.com, écrit mot pour mot :
« Le gouvernement qui dirige ce pays [la Belgique], en dépit des protestations et des objections de la Turquie, autorise et permet au PKK de faire sa propagande. Il n’a pas dit mot lorsque le PKK montait ses tentes et organisait des rassemblements avec ses militants. D’autre part, le gouvernement belge, en soutenant les Forces de défense populaire (YPG) [3], qui sont considérées comme le plus grand ennemi de l’État Islamique en Irak et en Syrie, a agi comme s’il disait aux djihadistes « Venez me mettre des bombes » ».

Il y a d’autres documents et éléments attestant de la responsabilité turque, tout comme il y en a pour les attentats contre la France. Ces derniers ont eu lieu pour faire comprendre à François Hollande qui avait accueilli à Paris, à l’Élysée, les dirigeants du YPG en uniformes militaires, qu’il ne pouvait plus reculer quant à son engagement de créer un faux État kurde [4].
Ne prêtez pas attention à qui étaient les exécutants de ces attentats, ni au groupe dont ils se revendiquent. La Turquie constitue un allié stratégique de l’État Islamique  et est en mesure de passer « contrat » directement avec son équipe dirigeante.
J’espère que le Premier ministre grec et les membres de son gouvernement liront et analyseront tout cela, alors que par leurs actions ils ont livré  de nombreux pays en otage de la Turquie,mais surtout la Belgique. S’ils ne se réveillent pas, nous serons confrontés à des événements inimaginables,même ici au Québec,avec la douce protection de Justin Trudeau et de Philippe Couillard,les grands amis des islamistes dans notre pays.

 

 

 

 

 

 

Sources: Nahaid al-Husseini,chef  de bureau du renseignement du gouvernement légal de Syrie et autre lien

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Refik Tekin vient d’être assassiné

Je salue l'homme courageux que fut Refik Tekin qui osa dénoncer la collusion sioniste entre Erdogan,Israel et l'État Islamique.
Je salue l’homme courageux que fut Refik Tekin qui osa dénoncer la collusion sioniste entre Erdogan,Israel et l’État Islamique.

 

Refik Tekin, le journaliste qui avait filmé la collusion entre l’armée turque et l’état islamique et dénoncé les violences contre les kurdes a été assassiné aujourd’hui à Cizre.
Pas un mot dans les médias français qui ont préféré revenir sur la mort de l’ex espion russe Alexandre Litvinenko à Londres il y a 10 ans, et au passage charger Poutine.
La Russie attaque frontalement l’état islamique mais Poutine est une ordure.
Recep Tayyip Erdoğan copine en loucedé avec l’état islamique, fait assassiner tous ses opposants y compris journalistes et renvoi lentement mais surement son pays au moyen age mais c’est un type bien qu’il faut ménager.

Paradoxe infâme, le vice-président sioniste Joe BIDDEN menace de faire la guerre à la Syrie si les négociations pour l’opposition syrienne ne tourne pas à l’avantage des criminels sionistes…
Décidément les YANKEES Sionistes se croient au Moyen-Âge…!

 

Troisième Guerre Mondiale: le dictateur Erdogan cite l’Allemagne nazie d’Hitler comme exemple de régime présidentiel efficace

Le pseudo président,mais réel dictateur Erdogan de Turquie.
Le pseudo président,mais réel dictateur Erdogan de Turquie.

 

Le pseudo président islamo-conservateur turc, Recep Tayyip Erdogan, a évoqué l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler pour défendre le système présidentiel fort qu’il veut instaurer en Turquie. « Dans un système unitaire [comme la Turquie] un système présidentiel peut parfaitement exister. Il y a actuellement des exemples dans le monde et aussi des exemples dans l’histoire. Vous en verrez l’exemple dans l’Allemagne d’Hitler », a-t-il dit à des journalistes jeudi 31 décembre, de retour d’une visite de travail en Arabie Saoudite, cité par les journaux.

La présidence turque a réagi vendredi à la polémique suscitée par les propos de Recep Tayyip Erdogan. « La métaphore d’Erdogan sur l’Allemagne d’Hitler a été déformée par certaines sources d’information et utilisée dans un sens contraire » au message qu’il comptait adresser, assure la présidence. Il voulait démontrer que le régime présidentiel n’est pas réservé aux fédérations et que le régime parlementaire n’est pas non plus une garantie contre les abus de pouvoirs, ajoute-t-elle.

Recep Tayyip Erdogan qui dirige la Turquie depuis 2002, d’abord comme Premier ministre puis président depuis 2014, veut modifier la constitution afin que le rôle du président passe d’une fonction symbolique à celle d’un dirigeant aux pouvoirs étendus, comme aux Etats-Unis, en Russie ou en France.

A la recherche d’une majorité qualifiée pour modifier la constitution

Le dictateur  turc a indiqué qu’il entendait mobiliser dans le courant de la nouvelle année la société turque pour un débat afin de parvenir à un « consensus social » sur ses ambitions présidentielles. Le projet d’un passage à un système présidentiel défendu par l’homme fort de Turquie est revenu au premier plan après la nette victoire (49,5% des voix, 317 députés) de son parti de la justice et du développement (AKP) aux élections du 1er novembre dernier.

Mais l’AKP n’a pas obtenu la majorité qualifiée (367 députés) pour pouvoir modifier la constitution seul et doit rechercher le soutien de l’opposition, opposée en bloc à une présidentialisation du régime sous Erdogan qu’elle accuse de dérive autoritaire. Le Premier ministre Ahmet Davutoglu a, à cette fin, lancé mercredi un premier dialogue avec le chef du principal parti d’opposition CHP (Parti républicain du peuple, CHP), Kemal Kiliçdaroglu, pour relancer les efforts en vue d’une nouvelle constitution plus libérale qui remplacerait l’actuelle héritée du coup d’Etat des militaires, en 1980.

Sources:AFP

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