Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une « usine à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.
La vidéo a été publiée par The People’s Voice, et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la désinformation ou de la propagande.
Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.
Il y a deux ans, était publié le documentaire du producteur de films polonais Patryk Vega, intitulé « Les yeux du diable ».
Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants.
Nous vous avons ajouté ce vidéo à la fin de l’article afin de l’archiver.Il a été censuré et exclus de you tube…bien entendu : « Un célèbre producteur de films polonais crée un documentaire exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes » .Notre site web va rester une mémoire vivante de ces crimes!
Ce n’est pas un documentaire facile à regarder, et j’ai été émotionnellement perturbé en le regardant, et j’ai couvert ce sujet du trafic sexuel d’enfants depuis près d’une décennie maintenant.
Voici la vidéo du soldat russe avec des sous-titres en anglais:
Voici pour finir le vidéo exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes:
John Podesta a été pris en photo avec Justin Trudeau,le pseudo premier ministre cool et pro-arabe du Canada:le complot peut même avoir commencé là! John Podesta est impliqué dans le vaste réseau de pédophilie mondial.
Jerry Epstein le fournisseur de jeunes victimes du réseau pédophile qu’il a créé.
Hunter Biden a profité de ce réseau pédophile de l’élite.
« Nous autres, civilisations, savons que nous sommes mortelles »(Paul Valéry)
Selon de nombreux stratèges et experts en économie et industrie militaire, pour la bonne santé du monde il faut une guerre tous les 30-50 ans : c’est ce qu’on nomme pudiquement la « destruction créatrice ». C’est d’ailleurs, une interprétation déviante de la théorie de l’économiste Schumpeter à propos des révolutions industrielles occidentales, créatrice d’emplois, de richesses et en « même temps » destructrice d’activités devenues obsolètes ainsi que des emplois inadaptés.
Or, il n’y a pas eu de guerre de haute intensité telle que celle qui oppose la Russie à l’OTAN, depuis la guerre du Vietnam.
On peut penser que nos « massacreurs du XXe siècle » soient en retard de plusieurs guerres. Mais rassurez-vous, dans cet entre temps qui n’est pas la paix mais la guerre sous le déguisement « des droits de l’homme et de la démocratie », ils ont eu le temps de massacrer plusieurs millions de musulmans, par le monde, et fait condamner à mort 500 000 enfants irakiens en les affamant par un blocus barbare… Il faut bien s’occuper quand on s’ennuie chez soi et qu’on a besoin d’énergie pour faire tourner son économie (Cf. l’Irak, la Libye la Syrie…) !
Les « 30 glorieuses » (1945-1975) qui se sont transformées en « 30 pouilleuses » sous le règne des 3 fossoyeurs, Sarkozy, Hollande et Macron, de la France gaullienne (le remplacement de la droite sociale par la gauche sociétale)… n’était, historiquement, que la fin de la queue de la comète de la reconstruction d’après-guerre et surtout du pillage industriel des richesses du continent africain !
La volonté du Forum de Davos (qui est le véritable conseil d’administration de la « multinationale monde » et qui a vocation à devenir le tuteur de la planète) était de provoquer une guerre en occident depuis au moins 2014 (date de la reprise de la Crimée par la Russie), voire début des années 2000 avec la « révolution orange de la place Maïdan).
La fin des 30 glorieuses coïncident avec la Loi du 3 janvier 1973 (ou loi Pompidou-Giscard-Rothschild) qui met fin à la nationalisation de la Banque de France et qui a pour conséquence « d’obliger » l’État a emprunté auprès des banques privées : la dette est née à cet instant. Depuis l’institution de l’Union européenne (UE), c’est même devenu interdit car c’est inscrit, expressément, dans la constitution européenne.
Au surplus, la fin de la convertibilité dollars-or, accords de Bretton-Woods n’était que l’hirondelle annonciatrice d’un « hold-up » qui permettra la mise en place de la dictature totale du billet vert sur le monde et de la financiarisation des économies occidentales : on produit moins en occident que l’on consomme, désormais !
C’est le système de l’Argent-Dette
Petite piqûre de rappel historique : C’est à la suite de 2ème Guerre mondiale que sous l’impulsion du Conseil national de la Résistance (CNR) que la nationalisation de la Banque de France, et donc, la possibilité pour l’État français à taux zéro pour les dépenses publiques (hôpitaux, infrastructures, industries, recherches…) : c’est une époque révolue, au cours de laquelle les hommes politiques servaient les intérêts supérieurs de la nation française et non ceux des USA et de quelques banquiers tyranniques de la City de Londres et de Wall Street.
Revenons en l’an de grâce de l’année 2023 ou la montagne de dettes à atteint, dans le monde, la somme inhumaine de presque 1 million de milliards de dollars (dettes publiques, privées, ménages, entreprises et produits dérivés…). C’est à travers cette dette mondiale qu’il faut appréhender le phénomène méconnu qui est tirée de cette règle historique : ce ne sont pas les crises économiques qui décident des guerres mais plutôt les liquidations qu’elles exigent face aux dérives monétaires du crédit et de la dette.
En effet, nous avons intégré cette fausse idée que ce sont les crises qui mènent aux guerres, alors que c’est l’inverse.
C’est parce que l’occident a refusé l’amplitude de la dette, qui lui pendait au nez en 2015, 2017, 2019, 2020…que nous avançons vers la guerre.
Avoir refusé la crise de 2008 et donc avoir négligé le problème de l’endettement c’est le résultat qui va nous mener, demain, à l’affrontement inévitable.
À défaut d’avoir traité le cancer monétaire et d’amputer la tumeur de la dette, celle-ci fait des métastases, depuis longtemps, dans les sphères économique, sociale, politique et aussi, désormais, dans les sphères géopolitique et militaire.
Nous sommes passés d’une diplomatie « classique » à une diplomatie militairo-judiciaire du billet vert.
Depuis le début de l’année, deux « importantes » banques américaines (SVB et la Signature Bank… et quelques petites) ont fait faillite selon le FDIC et leurs actifs combinés représentent 319 milliards de dollars en termes d’actifs perdus (soit respectivement : 209 milliards de dollars pour la SVB et 110 milliards pour la Signature Bank)… hors faillite du Crédit Suisse, notamment. Ce constat nous fait dire que la crise de 2023 est la pire crise financière depuis la crise de 1929 !
À titre de comparaison :
En 2008, 25 banques ont fait faillite pour 374 milliards de dollars de perte d’actifs,
En 2009, 140 banques ont fait faillite pour 171 milliards de dollars de perte d’actifs,
2011, 92 banques ont fait faillite pour 36 milliards de dollars de perte d’actifs.
Par ailleurs, il est erroné de croire que l’UBS (Union des Banques Suisses) a racheté le Crédit Suisse : elle a « saisi » le passif du Crédit Suisse (l’eau) pour le mélanger avec ses actifs (le lait). Ainsi l’actif net d’UBS est amoindri et l’actif net d’UBS-Crédit Suisse reste inchangé. Pourtant l’union de deux ânes n’a jamais engendré un étalon !
Il s’ensuit, à l’aune de ces observations, que d’une part, le franc suisse n’est plus une monnaie de refuge et que, d’autre part, la prochaine banque à s’effondrer sera l’USB ou la Deutsche Bank, ou la BNP… Car les causes objectives de la chute du Crédit Suisse demeurent inchangées.
Rappelons que la Deutsche Bank était cotée à 130 milliards de dollars au NYSE (New York Stock Exchange) en 2007. Après la crise de 2008, l’action a chuté brutalement et elle n’est jamais remontée : aujourd’hui l’action est estimée à 5 dollars !
La Deutsche Bank à 48 000 milliards de produits dérivés. Pour comparaison le PNB de l’Allemagne c’est 3500 milliards d’euros : presque 14 fois le PNB de l’Allemagne en produits dérivés. Le jour ou la Deutsche Bank est affectée, c’est tout le système financier qui s’effondre.
La secousse engendrée par la faillite du Crédit Suisse indique que le potentiel de crise latent va entraîner d’autres secousses et davantage violentes qui entraîneront, inévitablement, l’effondrement : le retour du réel !
Ainsi, depuis 1971 le dollar a perdu 98% de sa valeur. Les USA sont le seul pays qui peut imprimer de l’argent fictif « illimité » et l’échanger contre des biens réels provenant d’autres pays. La financiarisation des économies occidentales leur a permis de s’exonérer de produire des richesses mais de posséder les monnaies de réserve (dollar, euro). Aujourd’hui, le groupe des BRICS représente 80% de la production manufacturée mondiale ! La Chine produit 22% des machines agricoles quand les USA en produisent à peine 7% (comme l’Italie).
Les États occidentaux s’appauvrissent en ne produisant que du tourisme et des produits de luxe, mais au surplus leurs peuples font l’objet d’un « racket permanent » à travers les impôts et taxes qui au lieu de servir à financer des investissements et services publics sont destinés en réalité à payer les intérêts dont la dette publique est grevée : c’est une véritable expropriation en amont qui représente la souveraineté monétaire conférée au système financier privée.
Thomas Jefferson, père de la constitution américaine, luttait de toutes ses forces contre le pouvoir financier qui étendait ses griffes sur la nouvelle nation : « Je crois que, pour notre liberté, les institutions financières représentent un plus grand danger que les armées. Si les citoyens américains les laissaient contrôler l’émission de monnaie, les banques leur retireraient tous leurs biens jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri. »
Le système financier est une oligarchie « extractive », au sens où il extrait la richesse des peuples et des citoyens ordinaires pour la transférer à lui-même, un gouffre dévorant vers le haut. Tout doit être leur propriété, y compris les êtres humains.
Michael Hudson, économiste, a consacré sa carrière à l’étude de la dette, à la fois la dette intérieure (prêts, hypothèques, paiement d’intérêts) et la dette extérieure. Dans ses travaux, il défend constamment l’idée que les prêts et les dettes à croissance exponentielle qui dépassent les bénéfices de l’économie réelle sont désastreux à la fois pour le gouvernement et les citoyens.
À l’aune de ces développements, il ressort que le dollar et l’euro sont non seulement en sursis mais que de surcroît il va forcément y avoir une accélération de la dette ; mais qu’en plus leur avenir face aux États « émergents » (ou plutôt le reste du monde) est plus que compromis à cause des taux d’intérêts.
Par conséquent, ils sont pris entre deux feux : soit ils laissent filer la dette et donc les monnaies s’effondrent ; soit ils maitrisent l’inflation mais les risques sont bien plus grands, puisque les acteurs économiques et les populations n’auront plus accès aux crédits (comme sous le Covid-19, le remède est pire que mal !).
Quelle que soit l’alternative entreprise, la croissance disparait, les industriels fuient la zone euro (et bientôt la zone dollar) et vont s’installer là où le coût des matières premières sont plus bas.
Cette perspective, qui est tout sauf une hypothèse d’école, rappelle le cas du Japon (vassal des USA) : aujourd’hui le Japon n’est plus un Producteur mais un Assembleur, dont la dette est colossale et une population de retraités. Parallèlement, la Corée du Sud, en l’espace de 30 ans a pris la place du Japon et pourtant au départ on avait le titan SONY qui dominait le marché contre SAMSUNG, ou TOYOTA contre KIA…
Quand la machine va s’enrayer, définitivement, le crack sera long et la récession de l’occident n’en sera plus que douloureuse.
Pour Michael Hudson, chercheur et historien de l’économie à travers les âges, démontre que s’il n’y a pas à un moment donné, un effacement pur et simple de la dette, le monde contemporain sera plongé directement dans l’âge sombre. En effet, comprendre le phénomène « Clean Slate » littéralement ardoise effacée, permet d’éviter à l’humanité de passer par la case autodestruction, comme l’a toujours fait le système capitaliste en phase de crise aiguë.
Qu’adviendra-t-il de la rivalité entre la Chine et les USA ? « Mad Max » ou « Soleil vert » (deux films visionnaires sur le monde du XXIe siècles) ?
Au fait, le film dystopique Soleil Vert se passe en 2022
Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international s’est récemment exprimée1 sur l’état de l’économie mondiale et les solutions à lui apporter pour en améliorer la performance. Elle s’inquiète à juste titre de l’inflation, de l’endettement et de l’inégalité qui fragilisent les économies nationales. Malheureusement, les solutions qu’elle préconise sont mutuellement exclusives et sont donc inapplicables. La raison en tient à l’abstraction qu’elle fait des causes qui expliquent l’état de l’économie aujourd’hui. Nous nous y arrêtons un instant avant d’examiner ses propositions, et conclure que l’économie mondiale est proche d’une crise majeure.
L’état de l’économie est la conséquence des remèdes apportés à la crise financière, dite des subprimes, de 2008. En un mot, au lieu de pénaliser les banques pour leur manquement à leur devoir fiduciaire, les gouvernements – Washington en tête – les ont soutenus au travers de déficits abyssaux (9,9% et 9,4% du produit intérieur brut américain en 2009 et 2010) et la fourniture d’abondantes liquidités qui en relevant la valeur des titres en bourse – les ont sauvées de la faillite. Les montants fournis par la Réserve fédérale dépassent l’entendement : 16 100 milliards de dollars de 2008 à 2010, selon le Governement Accountability Office2, équivalent de notre Cour des comptes. Ce chiffre correspond au produit intérieur brut de 2012 – c’est-à-dire à la richesse produite aux États-Unis cette année-là.
Il en a résulté un endettement exceptionnel des États – la dette publique américaine excède son niveau de 1945 – mais aussi une inégalité croissante des revenus et des patrimoines – les « sans-grade » payant les malversations de leurs banquiers. Pas étonnant que Kristalina Georgieva – et quelques autres – s’inquiètent de ce que l’avenir nous réserve. Que préconise-t-elle ? Elle émet trois priorités : éliminer l’inflation et l’instabilité financière, améliorer les perspectives de croissance, et promouvoir la solidarité.
Pour atteindre le premier objectif (éliminer l’inflation), les banques centrales doivent réduire les liquidités dans l’économie ce qu’elles ont commencé à faire – les États-Unis en tête. Depuis le 17 mars 2022, la Réserve fédérale relève son taux directeur, le portant de 0,25% à 5,00% aujourd’hui. La Banque d’Angleterre et la Banque centrale européenne suivent la même politique. Le Japon fait exception en maintenant son taux à son niveau de 2009 (0,30%).
En revanche, restaurer la stabilité financière pose problème. Récemment, trois banques3 aux États-Unis ont fait faillite. Ces banqueroutes tiennent tout à la fois de l’incompétence des dirigeants et de la politique de la Réserve fédérale qui, en relevant ses taux, a diminué la valeur de leurs actifs en portefeuille. Elles ont été rapidement liquidées ou rachetées.
Le problème serait résolu si cette même incompétence et cette même politique ne frappait pas l’ensemble du secteur, et plus particulièrement les banques dites « systémiques »4, c’est-à-dire celles capables de faire basculer tout le secteur bancaire dans l’insolvabilité. Le montant des pertes comptables – c’est-à-dire des pertes non-réalisées mais néanmoins réelles – est de 690 milliards de dollars, selon Martin Gruenberg5, directeur du Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC)6 ce qui pourrait provoquer l’effondrement du secteur bancaire. Si une telle éventualité se présentait, la Réserve fédérale devrait injecter des liquidités dans l’économie – c’est ce qu’elle fit initialement pour soutenir les trois banques défaillantes. Ainsi donc, le premier objectif de la directrice générale du Fonds monétaire international pour consolider l’économie mondiale fait-il face à une contradiction : réduction des liquidités, d’un côté, et augmentation de l’autre.
Pour atteindre le second objectif, améliorer les perspectives de croissance à moyen terme, Kristalina Georgieva recommande de « stimuler la productivité et le potentiel de croissance en réalisant des réformes structurelles ». L’expression « réformes structurelles » est un euphémisme qui désigne les réformes à entreprendre pour limiter, voire éliminer, certaines formes de protection sociale. Ce commentaire confirme le précédent qu’elle inclut dans son premier objectif, à savoir la réduction des déficits budgétaires – autre euphémisme visant la protection sociale, jugée trop coûteuse. Les réformes structurelles réduiront la consommation des ménages. Or, les deux-tiers du produit intérieur brut des nations avancées reposent sur cette consommation.
Est-il possible d’accroître la croissance tout en réduisant la capacité des personnes à consommer ? Bien sûr que non. Stimuler la productivité, comme le recommande Kristalina Georgieva, augmentera le potentiel de croissance mais cela prendra du temps, sans compter que le résultat est incertain au vu des paramètres que cette solution implique. En résumé, la solution proposée pour atteindre le deuxième objectif est inopérante.
Le troisième objectif, la promotion des solidarités, fait partie du crédo occidental auquel plus personne ne croit depuis longtemps, les nations émergentes en premier auxquelles il est destiné. Inutile de s’y arrêter.
En résumé, il s’agit là d’un exercice de pure forme, convenu, sans grand intérêt d’autant qu’il occulte l’un des risques majeurs qui menace l’économie mondiale : les produits dérivés7. Ils sont inscrits au passif des banques, hors bilan, et échappent de ce fait aux règles prudentielles émises par les autorités nationales et internationales.
Le Crédit Suisse – 45ème banque mondiale – très actif en tant que contrepartie sur ce marché, virtuellement en faillite depuis plusieurs mois, a été racheté par son concurrent, l’Union des banques suisses (UBS), le 19 mars. Etonnant que Kristalina Georgieva n’y ait pas fait allusion car le marché des produits dérivés – cause probable mais non exprimée officiellement – de la faillite du Crédit Suisse est un marché énorme. Selon la Banque pour les règlements internationaux, il s’élève à 632 238 milliards de dollars, soit six fois le produit intérieur brut mondial.
Or ce marché qui couvre de nombreux segments de l’économie (taux de change, taux d’intérêt, produits pétroliers, céréales, etc.) est extrêmement spéculatif. Les banques les plus actives sont cinq banques américaines, JPMorgan Chase, Goldman Sachs, Citigroup, Bank of America et Morgan Stanley qui à elles seules comptabilisent près d’un tiers du risque total (189 893 milliards de dollars)8. Pour limiter leurs risques, elles s’en déchargent pour partie auprès d’autres banques. En tant que contrepartie, le Crédit Suisse est donc tout aussi exposé au risque de faillite que le sont ces banques. Le 19 septembre 2019, le marché au jour le jour de New York, ou marché des « repos »9, connut une crise de liquidité inattendue qui obligea la Réserve fédérale à intervenir. Aucune explication ne fut donnée mais la rumeur laissa entendre que les acteurs de ce marché ne souhaitaient plus prêter au Crédit Suisse. L’intervention de la Réserve fédérale sauva temporairement la banque et la crise fut évitée.
Les produits dérivés sont l’une des causes principales de la fragilité des banques systémiques, comme l’a démontré la crise des subprimes de 2008. Par nature spéculatifs, ils sont sensibles aux variations de taux d’intérêt et aux évènements politiques. Le relèvement des taux d’intérêt, la guerre en Ukraine et les tensions en mer de Chine sont autant de facteurs susceptibles de provoquer des variations importantes dans la valeur des actifs auxquels ils sont adossés. Compte tenu de cette instabilité, une crise financière majeure ne peut être exclue. Le danger, dans cet environnement fragile, est qu’une banque systémique entraîne dans sa chute l’ensemble du secteur par un effet de dominos sans possibilité pour les banques centrales d’endiguer ce flot tant le volume des produits dérivés est important. Voilà l’état de l’économie mondiale – un état qui requiert l’attention des autorités.
Sur la voie de la croissance : trois actions prioritaires, 6 avril 2023.
Opportunities exist to strengthen policies and processes for managing emergency assistance. July 2011.
Silicon Valley Bank, Signature Bank, First Republic.
Les banques « systémiques » sont dites « trop grosses pour faire faillite », la défaillance de l’une d’elles entraînant l’effondrement du système bancaire. Cette désignation est une garantie informelle, mais réelle, du gouvernement fédéral qu’elles ne peuvent faire faillite.
« Recent Bank Failures and the Federal Regulatory Response », March 28, 2023.
Agence fédérale dont la responsabilité est de garantir les dépôts bancaires faits à concurrence de 250 000 dollars.
Les produits dérivés sont des produits financiers dont la valeur dépend du prix d’un actif sous-jacent. Les banques les utilisent pour spéculer sur les cours d’actifs financiers ou réels sans avoir à le détenir.
Source : Office of the Comptroller of the Currency, fourth quarter 2022.
Fin février 2023, l’Ukraine était sur le point de perdre la bataille de Bakhmut, selon une évaluation contenue dans un lot de ce qui semble être des notes opérationnelles classifiées préparées par le Pentagone et l’état-major interarmées et divulguées sur les médias sociaux ce mois-ci. […]
À l’époque, deux manœuvres de flanc russes au nord-ouest et au sud-ouest de la ville étaient sur le point d’encercler Bakhmut. Une seule route d’accès, la 506, restait ouverte pour les forces ukrainiennes et les quelques civils encore présents dans la ville, mais elle était sous le feu de l’artillerie russe. Le général Oleksandr Syrsky, commandant de l’Ukraine dans l’est du pays, a qualifié cette route de « dernier tube respiratoire » .
Les commandants ukrainiens ont décidé de renforcer les défenses des routes plutôt que de battre en retraite, selon les documents divulgués. L’armée ukrainienne a déployé dans la bataille de Bakhmut de nombreux soldats qu’elle espérait garder en réserve pour une contre-offensive prévue dans les semaines ou les mois à venir, et ses forces ont subi de lourdes pertes.
Soldats ukrainiens dans une tranchée à Bakhmout en novembre 2022
Le hachoir à viande qu’est devenu Bakhmout continue de faire son œuvre.
C’est pourquoi l’armée ukrainienne recrute de plus en plus d’hommes :
Les hommes en uniforme peuvent se présenter presque n’importe où, n’importe quand.
Ils frappent aux portes d’entrée des civils et les arrêtent au hasard des coins de rue, distribuant des bulletins de recrutement qui peuvent bouleverser des vies.
L’Ukraine a besoin de plus de soldats, et vite. Kiev se prépare à un assaut imminent contre les forces d’occupation russes et, bien que l’Ukraine ne divulgue pas le nombre de ses victimes, les commandants sur le terrain ont fait état de pertes importantes.
…
Auparavant, les fonctionnaires ne pouvaient délivrer les avis de recrutement qu’au domicile des citoyens, et certains les évitaient en demeurant à des adresses différentes de celles où ils étaient officiellement enregistrés. Mais de nouvelles règles ont élargi le champ des lieux où les hommes peuvent être arrêtés et interrogés sur leur statut de conscrit.
…
Oleksii Kruchukov, 46 ans, réparateur de machines à laver qui fait la queue devant un bureau de recrutement à Kiev, a déclaré qu’on lui avait ordonné de se présenter à cet endroit après que la police eut mis fin à une bagarre qu’il avait eue dans la rue. Il n’avait aucune exemption militaire valable et a déclaré qu’il s’attendait à ce que l’incident lui permette d’être bientôt envoyé à l’entraînement, puis au front.
Oleksandr Kostiuk, 52 ans, réparateur de routes qui a participé à la mise en place de barrières contre les forces russes autour de Kiev l’année dernière, a récemment reçu sa convocation par l’intermédiaire de son service des ressources humaines. Il est prêt à aller au front s’il le faut, mais craint pour sa sécurité. « Maintenant que nous comprenons ce qui se passe, je suis plus nerveux » , a-t-il déclaré.
Les pauvres. Ils seront maltraités pour s’accrocher à des terres qui seront de toute façon perdues.
Ce qui suit est aussi préoccupant : Depuis le début du mois de février, plus de 5 000 personnes ont demandé à rejoindre ce qui était connu sous le nom de Bataillon Azov, une ancienne milice de droite controversée qui a été incorporée à la garde nationale ukrainienne. L’année dernière, ce groupe aguerri a été qualifié d’héroïque pour avoir résisté à un siège de plusieurs mois de la ville de Marioupol, dans le sud-est du pays.
Puis, en février, le ministère ukrainien de l’intérieur a annoncé qu’Azov deviendrait une brigade d’assaut dans le cadre de la nouvelle Garde offensive.
Selon ses règles, Azov n’accepte que les personnes qui s’engagent de leur propre chef – et non les appelés – et se réserve le droit de rejeter les personnes qui ne lui semblent pas convenir, ce qui, selon elle, lui permet de sélectionner les soldats les plus motivés. Azov a lancé une vaste campagne de recrutement pour son nouveau statut de brigade, et nombre de ses hommes capturés à Marioupol l’année dernière et finalement libérés forment aujourd’hui des recrues.
Le fait de sélectionner ses propres recrues transforme-t-il une « milice de droite controversée » en une « ancienne milice de droite controversée » ? J’en doute. Devinez maintenant qui forme ces nazis :
Pendant ce temps, dans un camp d’entraînement de la région de Kiev, les nouvelles recrues d’Azov s’alignent sur un stand de tir et apprennent à utiliser des fusils C7A1. L’un de leurs formateurs, un ancien marine américain russophone qui a rejoint Azov et se fait appeler Frodo, a déclaré que « la majorité de ces gars, il y a un mois, étaient des civils » . L’un d’eux, assis contre un mur, étudie une traduction d’un manuel militaire américain.
Le fait qu’ils aient été suffisamment motivés pour s’inscrire de leur propre chef signifie qu’ils agissent davantage comme des « guerriers que comme des soldats » , a déclaré Frodo.
La formation condense l’entraînement de base du corps des Marines, qui dure environ trois mois, en quatre semaines seulement. Pendant cette période, les troupes apprennent tout, de l’adresse au tir à la cartographie, en passant par les radios et l’ingénierie. Il est possible, voire probable, qu’ils soient ensuite déployés presque immédiatement sur les lignes de front les plus chaudes du pays.
Le mouvement Azov dans les rues de Kiev avant le déclenchement des hostilités en 2014é
La formation de base que reçoivent les recrues habituelles ne semble pas avoir la même efficacité :
Lors d’un récent après-midi à Lyman, dans l’est de l’Ukraine, un officier expérimenté s’est plaint de la qualité de la formation initiale des troupes nouvellement arrivées, la décrivant comme négligeant largement les principes fondamentaux nécessaires sur le terrain, qui doivent être enseignés une fois qu’ils sont arrivés dans leurs unités.
« On leur apprend à chanter des chansons et à marcher » lors de la formation de base, a déclaré le chef, sous couvert d’anonymat parce qu’il n’était pas autorisé à parler aux journalistes.
Une fois déployées, les troupes ont besoin d’instructions, même sur la pratique la plus ancienne du soldat : comment creuser, a déclaré le chef. Ils ne savent pas comment tenir leurs pelles ou fortifier les tranchées et les positions de combat. Pour s’entraîner, un groupe de troupes fraîches a creusé avec ses pelles dans une ligne de tranchées voisine.
Des ukrainiens moyens sont envoyés au front sans entraînement ni équipement appropriés. Pendant ce temps, les idéologues reçoivent un entraînement spécial et des Colt M16A3 équivalents fabriqués au Canada. Les conséquences à long terme de cette fracture sociale pour l’Ukraine seront terribles.
Il semble que les diapositives du briefing qui ont été divulguées n’évoquent guère de telles préoccupations. Comme le fait remarquer Yves dans son article sur les reportages qui leur sont consacrés :
Les bons renseignements perdent de leur utilité lorsqu’ils sont filtrés par des préjugés. Comme nous pouvons le voir ci-dessus, les États-Unis n’arrivent pas à se défaire de l’idée que la Russie cherche à acquérir des territoires, et non pas avant tout à détruire la capacité de l’Ukraine (et maintenant de l’OTAN) à faire la guerre. Les articles contiennent des commentaires dénigrants sur la façon dont la Russie a mené la guerre. On sent qu’il ne s’agit pas d’un simple message médiatique, mais qu’il est bien intériorisé par les décideurs des États-Unis et de l’OTAN. Ce genre de sous-estimation aide beaucoup la Russie. Et la chambre d’écho très solide de la Beltway signifie qu’il est probable que cela continue ainsi.
Le 11 avril 2023, le PMS de Wagner a remis le contrôle des positions militaires sur les flancs du front de Bakhmut au ministère russe de la Défense.
Le chef du groupe Wagner a confirmé que les villages à la périphérie de Bakhmut sont passés sous le contrôle des unités du ministère russe de la Défense, tandis que les combattants Wagner se concentrent sur les opérations militaires dans les rues de la ville.
Prigozhin a affirmé que 80% de Bakhmut sont sous le contrôle des forces russes.
Nous avons remis le contrôle des flancs de Bakhmut au ministère russe de la Défense. Aujourd’hui, les unités du ministère de la Défense, y compris les forces aéroportées, ont pris les flancs droit et gauche. Autant que je sache, ils ont tout ce qu’il faut pour organiser la défense et mener des actions offensives si nécessaire. Par conséquent, aujourd’hui, Zaliznyanskoe, Sacco et Vanzetti, Nikolaevka et d’autres colonies qui ont été prises d’assaut par les unités du PMC Wagner ces derniers mois, se trouvent dans la zone de responsabilité des Forces aéroportées et d’autres unités du ministère de la Défense.
A notre tour, nous nous concentrons pleinement sur Bakhmut, la partie de la ville où nous continuons à mener nos missions de combat. Plus de 80% de la ville est sous notre contrôle, y compris tous les centres administratifs, les usines, l’administration municipale, comme vous le savez.
Il y a les zones résidentielles laissées avec des immeubles d’habitation, où les Ukrainiens ont fortifié leurs positions. Il y a des tunnels sous ces immeubles. Comme je l’ai déjà dit, la guerre 3D continue. Voici la partie de Bakhmut qui est restée sous contrôle ukrainien.
Plus tôt, Yevgeny Prigozhin a déclaré que la victoire du Wagner PMC dans la bataille de Bakhmut serait un tournant dans l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine.
La défense des flancs par les unités du ministère russe de la Défense permettra définitivement au PMC Wagner de renforcer son assaut dans la ville et de se rapprocher de sa victoire dans la bataille de Bakhmut.
Le chef du Wagner PMC, Yevgeny Prigozhin, affirme que 80% de Bakhmut est passé sous contrôle russe; Les villages à la périphérie de Bakhmut sont passés sous le contrôle des unités du ministère russe de la Défense, qui ont sécurisé les flancs pour l’avance de Wagner; Des affrontements se poursuivent près de la gare de Bakhmut ; Des affrontements se poursuivent près de la rue Chaikovskoho ; Des affrontements se poursuivent près du stade Avangard.
Le député de la Douma d’Etat, Dmitry Gusev, a proposé de donner des terres en Russie
aux Européens, aux Américains et possiblement aux Canadiens).
« Sept millions de personnes qui vivent aujourd’hui l’enfer et l’horreur
viendront à nous avec plaisir » !
Qui est l’Américain de 21 ans accusé d’avoir révélé des documents confidentiels et mis la plus grande puissance militaire mondiale dans l’embarras ?
Le suspect, Jack Teixeira, est accusé d’avoir fait fuiter des documents secrets du Pentagone, notamment sur la guerre en Ukraine.
Jack Teixeira
Le Pentagone tient-il le coupable ? Un jeune homme a été arrêté jeudi aux États-Unis dans le cadre de l’enquête sur la fuite de documents confidentiels américains, une affaire posant un risque « très grave » pour la sécurité nationale, selon le Pentagone. Le suspect, Jack Teixeira, employé subalterne de la garde nationale aérienne, « a été interpellé sans incident » et doit comparaître prochainement devant un tribunal de l’État du Massachusetts, a affirmé le ministre de la Justice Merrick Garland lors d’une brève conférence de presse. Le jeune homme, âgé de 21 ans, a été inculpé pour « conservation et transmission non autorisées d’informations relatives à la défense nationale », et « retrait et conservation non autorisés de documents ou de matériels classifiés », selon un document judiciaire.
L’arrestation, annoncée par des médias américains avant d’être confirmée par les autorités, a eu lieu à Dighton, une petite ville rurale au sud de Boston, dans le Massachusetts.
Les télévisions américaines ont diffusé en boucle des images aériennes montrant l’arrestation d’un individu par des agents des forces de sécurité. On pouvait y voir un homme, mains sur la tête et portant un t-shirt gris et un short rouge, reculer lentement vers des soldats avant d’être interpellé, puis escorté vers un véhicule d’allure civile.
Biden « préoccupé »
« Il y a une enquête complète en cours […] et ils se rapprochent » de l’aboutissement, avait déclaré un peu plus tôt le président américain Joe Biden lors d’une visite en Irlande. « Je suis préoccupé que ce soit arrivé », avait-il ajouté. Le ministère américain de la Justice a ouvert une enquête pénale après la fuite de ces documents en ligne, qui détaillent les vues de Washington sur la guerre en Ukraine et semblent indiquer une collecte d’informations sur de proches alliés des États-Unis, notamment Israël et la Corée du Sud.
Le Washington Post a rapporté mercredi que la fuite était l’œuvre d’un jeune homme ayant travaillé sur une base militaire, qui a partagé ses informations sur un groupe privé en ligne du réseau social Discord. Constitué d’environ 24 personnes, dont certaines originaires de Russie et d’Ukraine, ce groupe s’était formé dès 2020 autour de leur passion mutuelle pour les armes à feu, le matériel militaire et la religion. Sous le pseudonyme « OG », le suspect aurait publié pendant des mois des documents issus de la base militaire où il travaille.
OG avait demandé aux autres membres du groupe de ne pas diffuser les documents, assurant qu’il n’avait pas l’intention d’être un lanceur d’alerte, indique le Washington Post en citant l’une de ses sources. Il était critique envers l’État – dont il dénonçait « l’abus de pouvoir » –, les forces de l’ordre et la communauté du renseignement.
La garde nationale a indiqué que Jack Teixeira s’était engagé en septembre 2019, travaillait en tant que spécialiste informatique et communications et avait atteint le rang d’aviateur de première classe, le troisième le plus bas de la hiérarchie.
« Pour la sécurité nationale »
Le groupe, composé d’une vingtaine de personnes, s’est formé dès 2020 autour de leur passion mutuelle pour les armes à feu, le matériel militaire et la religion. La porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que les États-Unis examinaient les « implications » de cette fuite « pour la sécurité nationale ».
Le ministre de la Défense, Lloyd Austin, a salué dans un communiqué l’« arrestation rapide » du suspect, ajoutant qu’il avait ordonné un « audit des accès à [leur] renseignement […] et des procédures de contrôle au sein du ministère pour mieux orienter [leurs] efforts visant à éviter que ce genre d’incident ne se reproduise ».
Arrestation de Jack Teixeira
Le Pentagone a également décidé de restreindre davantage l’accès à ce type d’informations sensibles, a déclaré Karine Jean-Pierre à la presse, en marge du déplacement de Joe Biden en Irlande.
La porte-parole a ajouté que le gouvernement américain souhaitait que les réseaux sociaux « évitent de faciliter » la distribution de tels documents confidentiels, estimant qu’ils avaient « une responsabilité envers leurs utilisateurs et le pays ».
Risque « très grave »
Un porte-parole de Discord a affirmé à l’Agence France-Presse que la sécurité de ses utilisateurs était la priorité de la plateforme et que tout contenu enfreignant son règlement pouvait aboutir à l’exclusion du contrevenant, à la fermeture de groupes de discussion et à un signalement aux autorités. L’entreprise a également dit coopérer avec les forces de l’ordre concernant les fuites. Le fait que ces documents circulent en ligne représente « un risque très grave pour la sécurité nationale et peut potentiellement alimenter la désinformation », avait indiqué lundi un porte-parole du ministère américain de la Défense, Chris Meagher.
Les documents mis en ligne révèlent notamment les inquiétudes des services de renseignement américains quant à la viabilité d’une contre-offensive ukrainienne contre les forces russes. Un document examiné par l’Agence France-Presse fait aussi état des préoccupations des États-Unis à propos de la capacité de l’Ukraine à continuer à se défendre contre les frappes russes. Des dizaines de photos de ces documents ont été relayées sur Discord, mais aussi Twitter et Telegram, certains ayant sans doute circulé depuis des semaines, sinon des mois, avant d’attirer l’attention de la presse.
Les autorités américaines n’ont toutefois pas publiquement confirmé l’authenticité de ces documents publiés en ligne, et elle n’a pas encore été vérifiée de manière indépendante. Beaucoup de ces documents ne sont plus disponibles sur les sites où ils sont initialement apparus, et les autorités américaines travaillent à ce qu’ils soient tous retirés.
EN COMPLÉMENTAIRE
Washington tente de rassurer ses alliés, dont Kiev
Touchés par une fuite massive de documents, liés notamment à l’invasion russe en Ukraine, les États-Unis cherchent à apaiser les tensions diplomatiques…mais le mal est fait depuis longtemps et tous ceux et celles éveillées par une information réelle …connaissent très bien le secret de Polichinelle que la dictature corrompue de Zelensky va perdre rapidement cette guerre!
Un scandale qui dépasse les frontières. Les chefs de la diplomatie et de la défense américains ont échangé avec leurs homologues ukrainiens mardi 11 avril alors que les États-Unis cherchent à rassurer leurs alliés, dont Kiev, après la fuite de documents classifiés du renseignement américain.
Tout en refusant de commenter l’authenticité ou le contenu de ces documents, le secrétaire d’État Antony Blinken a dit avoir parlé avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba pour lui signaler « le soutien continu » des États-Unis. Le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a également dit avoir parlé avec son homologue Oleksiï Reznikov, réitérant que Washington prenait cette fuite de documents classifiés « très au sérieux ».
Selon des informations de presse et des documents consultés mardi par l’Agence France-Presse, le renseignement américain a émis des doutes sur une potentielle contre-offensive ukrainienne qui ne pourrait obtenir que de « modestes gains territoriaux » face aux forces russes. Ces documents classifiés figurent parmi ceux étant apparus en ligne après une fuite révélée jeudi par le New York Times et dont le Pentagone a estimé qu’elle représentait un « risque très grave » pour la sécurité nationale des États-Unis.
Des documents classifiés et sensibles
« J’ai été briefé pour la première fois sur la divulgation non autorisée de ces documents classifiés et sensibles le matin du 6 avril », a déclaré Lloyd Austin, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse conjointe à Washington avec les ministres philippins des Affaires étrangères et de la Défense.
« Depuis lors, j’ai convié quotidiennement les responsables du département afin d’examiner notre réponse et ordonné une enquête » interne, a-t-il dit, en rappelant que le département de la Justice avait ouvert de son côté une enquête criminelle.
« Nous prenons cela très au sérieux et nous continuons de travailler étroitement avec nos alliés et partenaires », a-t-il encore dit, en précisant que les documents en question dataient du 28 février et du 1er mars.
De sérieux doutes sur la contre-offensive ukrainienne
Une contre-offensive ukrainienne face aux troupes russes est attendue au printemps. L’Ukraine assure avoir, en amont, formé des brigades d’assaut et stocké des munitions tout en s’efforçant d’épargner ses troupes et d’épuiser celles de son adversaire sur le front. Elle a aussi reçu des chars de combat et de l’artillerie à longue portée de ses soutiens occidentaux.
Mais de robustes défenses russes et « des déficiences persistantes ukrainiennes dans la formation et les réserves de munitions vont probablement mettre à rude épreuve tout progrès et aggraver les pertes durant l’offensive », avance un document du renseignement américain classé secret-défense, selon le Washington Post.
Un autre document, classé « secret » et consulté par l’Agence France-Presse, détaille l’état préoccupant des défenses aériennes ukrainiennes, qui ont jusqu’ici joué un rôle crucial contre les frappes russes, empêchant Moscou de prendre le contrôle de l’espace aérien. Mais ce document affirme que 89 % des défenses de moyenne et longue portée de l’Ukraine étaient constituées de systèmes SA-10 et SA-11 de l’ère soviétique, qui pourraient vite être à court de munitions.
En se basant sur le rythme actuel de consommation de ces munitions, les systèmes SA-11 pourraient être à sec fin mars, et les SA-10 début mai, ajoute le document. La capacité de Kiev à maintenir des défenses aériennes de moyenne portée pour protéger la ligne de front « sera réduite à néant d’ici au 23 mai », conclut le document.
Des roquettes égyptiennes livrées à la Russie ?
Un autre document ayant fuité affirme que le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a ordonné la production de 40 000 roquettes devant être livrées à la Russie, sommant des responsables de garder un tel projet secret « pour éviter des problèmes avec l’Occident », a rapporté le Washington Post dans un article distinct.
Mais le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, un organe directement rattaché au président Joe Biden, a démenti l’information, précisant n’avoir « aucune indication que l’Égypte fournisse un armement létal à la Russie ». « L’Égypte est et reste un important partenaire sur les questions de sécurité », a déclaré ce porte-parole, John Kirby.
« L’armée américaine entretient une relation de défense de longue date avec l’Égypte », a-t-il souligné. Le flot régulier de photographies de documents classifiés a été découvert sur Twitter, Telegram, Discord et autres plateformes ces derniers jours, bien que certains aient pu circuler en ligne pendant des semaines avant d’attirer l’attention médiatique. Beaucoup de ces documents ne sont plus disponibles sur les sites où ils sont initialement apparus, et les autorités américaines travailleraient à ce qu’ils soient tous retirés.
QUELS SONT LES DOCUMENTS SUR LESQUELS LE PENTAGONE FAIT -IL UNE CHASSE À L’HOMME DEPUIS PLUS D’UN MOIS
Ces documents évoquent l’utilisation des munitions, le calendrier des livraisons d’armes ou des formations fournies par l’Occident aux soldats de Kiev.
Le Pentagone cherche à identifier la taupe. Le gouvernement américain a remarqué des fuites de documents classifiés détaillant la stratégie des États-Unis et de l’Otan pour soutenir l’Ukraine face à l’invasion russe, qui ont été publiés cette semaine sur les réseaux sociaux, a révélé jeudi le New York Times. Interrogé, le Pentagone a dit être en train d’enquêter sur le sujet. « Nous sommes au courant des informations de presse concernant des messages publiés sur les réseaux sociaux et le ministère est en train d’examiner la question », a déclaré une porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh.
Ces documents, qui datent du début du mois de mars selon le quotidien américain, évoquent par exemple le rythme auquel les forces ukrainiennes utilisent les cruciales munitions des lance-roquettes mobiles Himars, ou encore le calendrier des livraisons d’armes ou des formations fournies par l’Occident aux soldats de Kiev.
Les documents, partagés sur Twitter et Telegram, semblent authentiques, selon des experts cités par le journal new-yorkais, mais certains auraient été altérés de façon à présenter la situation russe sous un jour plus favorable, notamment en minimisant l’ampleur de leurs pertes. Selon ces fuites, 12 brigades ukrainiennes seraient en train d’être constituées, dont 9 entraînées et équipées par les États-Unis, note le New York Times.
Le 27 mars 2023,selon un responsable britannique:les premiers chars lourds britanniques et allemands sont arrivés en Ukraine, un apport de forces souhaité depuis longtemps par Kiev pour faire face à l’invasion russe.
Ces chars de combat Challenger et Leopard, promis à Kiev au début de l’année, arrivent à temps pour l’offensive de printemps que prévoient les forces ukrainiennes.
Dans le même temps, la Russie a confirmé son projet de déployer des armes nucléaires tactiques au Bélarus, son allié voisin de l’Ukraine et de l’Union européenne, malgré les vives protestations des Occidentaux.
Dans un message publié lundi sur Facebook, le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov, a annoncé que « des Challengers britanniques, des Strykers et des Cougars américains et des Marders allemands » se sont « ajoutés aux unités ukrainiennes ».
ll est aussi à prévoir que les chars d’assault akllemands (désuets) que le Canada de Justin Trudeau a promis au dictateur Zelensky…arriveront quant l’armée russe défilera au centreville de Kiev…comme les bateaux de guerre des années ’50 qui avaient été envoyé en Irak,en 1991.
Il a également publié une photo de ces véhicules, sans préciser le jour où ils sont arrivés.
Une porte-parole du ministère ukrainien, Iryna Zolotar, a confirmé à l’AFP que les tanks Challenger « se trouvaient déjà en Ukraine », sans en donner le nombre exact.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a pour sa part annoncé lundi que Berlin a fourni des chars de combat Leopard « très modernes » à Kiev, et le ministère de la Défense a déclaré plus tard que 18 chars ont été livrés.
Tout cela,vous l’aurez rapidement compris ,ne sont que de la propagande pourrie!
« Faire la différence » (ne rions pas!)
« Nos chars sont arrivés comme promis et ponctuellement entre les mains de nos amis ukrainiens », a déclaré le ministre de la Défense, Boris Pistorius, dans un communiqué. « Je suis sûr qu’ils pourront faire la différence sur le terrain ».
Le Royaume-Uni avait également annoncé début février qu’il formerait des pilotes de chasse ukrainiens, ouvrant la porte à terme à la fourniture d’avions aux normes de l’Otan.
Les Occidentaux considèrent que l’Ukraine a le droit de se défendre, mais certains sont réticents à livrer des armes qui provoqueraient une escalade du conflit en permettant à l’Ukraine de frapper la Russie.
Donc :on attaque,mais pas trop fort…car on a peur!
La Slovaquie a livré récemment quatre MiG-29 à l’Ukraine et la Pologne a promis de faire de même.
A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a affirmé lundi que la Russie ne changerait pas son projet de déployer au Bélarus des armes nucléaires tactiques, malgré les critiques occidentales.
« Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie », a déclaré à la presse M. Peskov.
Les Etats-Unis ont eux réaffirmé n’avoir aucune raison de penser que la Russie se préparerait à utiliser l’arme nucléaire, tout en condamnant l’annonce russe.
« Rhétorique irresponsable »
« C’est l’un des derniers exemples en date de la rhétorique nucléaire irresponsable que nous avons constaté de la part de la Russie », a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.
« Aucun autre pays n’a évoqué la possibilité d’une utilisation de l’arme nucléaire dans ce conflit », a-t-il ajouté, rappelant qu' »aucun pays (n’avait) menacé la Russie » ou « le président Poutine ».
Sur le terrain, des missiles russes se sont abattus lundi sur la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, tuant deux personnes dans leur voiture, blessant plus de 30 autres et détruisant des immeubles, selon la police et les autorités locales.
Dans l’après-midi, une casquette maculée de sang reposait dans la rue à côté d’une voiture dont le siège avant était couvert de sang et de bris de glace, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Oleksandr, 34 ans, croisé devant un immeuble administratif éventré, le visage recouvert d’un bandage, a raconté à l’AFP qu’il était venu faire une visite médicale « dans un centre d’enrôlement militaire ».
Non loin de lui, plusieurs voitures gisaient, totalement carbonisées, et une pelleteuse était à l’oeuvre pour retirer un imposant bloc de béton qui s’est abattu sur l’une d’elles.
« Je travaille ici et je suis arrivée juste au moment de l’explosion », a déclaré, en larmes, Yelena, une coiffeuse de 42 ans.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré lundi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, qui doit se rendre cette semaine dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes.
« Sans le retrait immédiat des troupes et du personnel russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia et des territoires adjacents, toute initiative visant à rétablir la sûreté et la sécurité nucléaires est vouée à l’échec », a déclaré M. Zelensky à M. Grossi, selon un communiqué de la présidence.
Sur Twitter, M. Grossi a indiqué avoir eu avec le président ukrainien « un échange fructueux sur la protection de la centrale nucléaire de Zaporijjia et de son personnel ». « J’ai réitéré le soutien total de l’AIEA aux installations nucléaires ukrainiennes », a-t-il ajouté.
La Slovaquie a livré récemment quatre MiG-29 à l’Ukraine et la Pologne a promis de faire de même.
A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a affirmé lundi que la Russie ne changerait pas son projet de déployer au Bélarus des armes nucléaires tactiques, malgré les critiques occidentales.
« Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie », a déclaré à la presse M. Peskov.
Les Etats-Unis ont eux réaffirmé n’avoir aucune raison de penser que la Russie se préparerait à utiliser l’arme nucléaire, tout en condamnant l’annonce russe.
« Rhétorique irresponsable »
« C’est l’un des derniers exemples en date de la rhétorique nucléaire irresponsable que nous avons constaté de la part de la Russie », a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.
« Aucun autre pays n’a évoqué la possibilité d’une utilisation de l’arme nucléaire dans ce conflit », a-t-il ajouté, rappelant qu' »aucun pays (n’avait) menacé la Russie » ou « le président Poutine ».
Sur le terrain, des missiles russes se sont abattus lundi sur la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, tuant deux personnes dans leur voiture, blessant plus de 30 autres et détruisant des immeubles, selon la police et les autorités locales.
Dans l’après-midi, une casquette maculée de sang reposait dans la rue à côté d’une voiture dont le siège avant était couvert de sang et de bris de glace, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Oleksandr, 34 ans, croisé devant un immeuble administratif éventré, le visage recouvert d’un bandage, a raconté à l’AFP qu’il était venu faire une visite médicale « dans un centre d’enrôlement militaire ».
Non loin de lui, plusieurs voitures gisaient, totalement carbonisées, et une pelleteuse était à l’oeuvre pour retirer un imposant bloc de béton qui s’est abattu sur l’une d’elles.
« Je travaille ici et je suis arrivée juste au moment de l’explosion », a déclaré, en larmes, Yelena, une coiffeuse de 42 ans.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré lundi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, qui doit se rendre cette semaine dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes.
« Sans le retrait immédiat des troupes et du personnel russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia et des territoires adjacents, toute initiative visant à rétablir la sûreté et la sécurité nucléaires est vouée à l’échec », a déclaré M. Zelensky à M. Grossi, selon un communiqué de la présidence.
Sur Twitter, M. Grossi a indiqué avoir eu avec le président ukrainien « un échange fructueux sur la protection de la centrale nucléaire de Zaporijjia et de son personnel ». « J’ai réitéré le soutien total de l’AIEA aux installations nucléaires ukrainiennes », a-t-il ajouté.
Des soldats de Wagner aux commandes d’un canon,secteur de Bakhut.
« Plus de 100 attaques » repoussées
À Bakhmout, l’épicentre actuel du conflit, Evgueni Prigojine, le patron du groupe paramilitaire Wagner, a revendiqué une nouvelle progression de ses hommes qui s’y battent en première ligne. « C’est le bâtiment de l’administration municipale, le centre administratif de la ville », a-t-il déclaré samedi, pointant du doigt, du toit d’un bâtiment, un autre édifice, en guise d’illustration de cette avancée.
« C’est à un kilomètre deux cents », « C’est la zone, il y a des combats en cours », a-t-il ajouté dans une vidéo diffusée par le service de presse de son entreprise Concord.
CONFIRMATION. 300 morts, l’Otan décapitée à Kiev
Le mercredi 15 mars 2023, nous avions annoncé que La Russie a détruit le bunker de commandement souterrain profond de l’OTAN à Kiev. Cette annonce est confirmée dans ce qui suit.
Valérie Bérenger nous informait récemment de la destruction du bunker de commandement de l’Otan à Kiev, enterré à 120 m de profondeur et pulvérisé par une frappe hypersonique dévastatrice.
Le silence radio observé depuis dans les médias occidentaux pouvait laisser planer un doute sur la véracité de cette frappe majeure, qui a décapité le staff de l’Otan mis en place par les faucons de Washington à Kiev.
Mais l’information, bien que cachée tant elle prouve l’écrasante supériorité technologique russe sur l’Otan, et tant elle démontre que les Occidentaux sont bien des cobelligérants à part entière, semble se vérifier.
À elle seule, cette frappe tuant 300 officiers et conseillers de l’Otan, ainsi que des militaires ukrainiens, a fait plus de dégâts dans le camp ukro-otanien que les 400.000 soldats ukrainiens tués ou blessés depuis un an, pauvres bougres envoyés à l’abattoir et dont tout le monde se fout éperdument, à commencer par Biden et Zelensky.
Il va bien falloir expliquer maintenant aux familles de ces officiers anglais, polonais, américains et peut-être français, pourquoi ils sont morts, alors que la Russie n’est pas en guerre contre les pays de l’Otan ou contre l’UE.
– L’Ukraine est-elle dans l’Otan ? Non
– L’Ukraine appartient-elle à l’Union européenne ? Non
– Ces soldats sont-ils morts pour la défense de la démocratie ? Non. Un régime mis en place en 2014 suite à un coup d’État fomenté par la CIA n’a rien d’une démocratie. Assez de mensonges et d’hypocrisie
– Sont-ils morts pour défendre le droit international ? Non. Le droit international voudrait que Kiev respecte les accords de Minsk. Ce que Washington, Berlin et Paris n’ont jamais exigé de Zelensky, malgré les innombrables demandes de Poutine.
Il faut bien comprendre que Poutine n’a JAMAIS voulu cette guerre et que ce sont les Occidentaux qui ont attisé les braises depuis 2014, semant la mort dans les républiques séparatistes du Donbass, en faisant 14 000 victimes.
C’est à la demande des autorités de Lougansk et de Donetsk que Poutine est venu leur porter secours après huit années d’agression kiévienne et de crimes de guerre ininterrompus. L’offensive russe est donc un modèle de légitimité, parfaitement conforme au droit international, alors que les Occidentaux ne cessent de violer ce droit, en pillant les avoirs de la Russie, en décrétant 11 trains de sanctions économiques et en armant l’Ukraine, pays le plus mafieux et corrompu de la planète.
Mais tout cela ne fonctionne pas. Les sanctions ont échoué et ruiné l’Europe.
Et sur le plan militaire, c’est un désastre otanien sans précédent. Moscou tient tête à 40 nations hostiles en ayant engagé le minimum de son gigantesque potentiel militaire.
Par conséquent, cette frappe dévastatrice contre le commandement otanien devrait interroger Biden et ses valets.
300 morts, stop ou encore ?
Nul ne se réjouit de voir 300 soldats et conseillers pulvérisés à 120 mètres sous terre, quel que soit leur camp. Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère totalement illégitime, imposée par Washington ?
Non seulement Poutine ne reculera jamais, mais il a les moyens de faire plier ces têtes brûlées occidentales qui ne savent toujours pas ce qu’est l’âme russe, ni ce qu’est l’armée de Poutine en 2023.
Au-delà de la propagande guerrière prêchant l’escalade sans fin, l’Otan est dans une impasse.
Comment en finir sans perdre la face, après avoir braillé pendant un an que la Russie serait vaincue ?
Bakhmut va tomber. Les armes livrées, chars et avions, sont des rossignols vieux de 40 ans et totalement dépassés face aux armes de dernières génération que possède Poutine.
Kiev n’a guère les moyens de lancer une offensive de grande ampleur. La reprise du Donbass et de la Crimée est une fable.
Côté américain, une nouvelle défaite ukrainienne donnerait des ailes au camp républicain pour 2024, Donald Trump ayant toujours manifesté son opposition à la politique agressive de Biden.
Il va donc falloir négocier en sauvant la face. Pas simple.
Washington peut prétexter un risque d’escalade nucléaire et jouer la sagesse en faisant retomber la pression.
Une défaite de plus ou de moins, après les fiascos du Vietnam, de l’Irak et d’Afghanistan…
Certains pensent que la chute imminente de Bakhmut sera le tournant de la guerre.
Personnellement, je pense que ce tournant, c’est plutôt la destruction du PC enterré de l’Otan début mars.
À mon avis, les naïfs Occidentaux viennent de comprendre qu’ils ne gagneront jamais cette guerre. Ils savent dorénavant ce qui les attend s’ils s’engagent sur le terrain.
L’arme hypersonique est aussi dissuasive que l’arme atomique, sans les ravages de la radioactivité.
Et comme les Américains en sont encore au stade des essais ratés et qu’il leur faudra au bas mot 10 ans pour se doter d’une arme hypersonique opérationnelle, les Russes ont la supériorité technologique pour longtemps.
C’est pour cela que je pense que les va-t-en-guerre de l’Otan, des idiots pour la plupart, vont se calmer et que cette guerre va se terminer en négociant aux conditions de Poutine.
On habillera cette énième déculottée otanienne en prétextant que Poutine est prêt à l’escalade nucléaire et le tour sera joué. L’Otan, par sa sagesse, aura évité une troisième guerre mondiale.
Si 400 000 soldats ukrainiens sont morts pour rien, la désintégration du staff otanien sous un missile hypersonique russe pourrait bien nous ramener la paix.
La justice belge est saisie d’une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Il lui est reproché de s’être substituée au gouvernement fédéral durant la pandémie de Covid-19, en négociant un méga-contrat de vaccins par SMS avec le CEO de Pfizer. Puis d’avoir supprimé ces textos.
Ce fut un cadeau pascal inattendu pour le juge d’instruction financier Frédéric Frenay. Le magistrat liégeois vient en effet d’être saisi par un citoyen belge afin d’instruire une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Une plainte qui n’est pas anodine puisqu’elle vise les qualifications d’« usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».
En clair, il est reproché à la présidente de la Commission de s’être substituée « sans aucun mandat » aux États membres de l’UE – dont le gouvernement fédéral belge – en négociant de façon « directe et secrète », par SMS notamment, des contrats d’achat de vaccins avec le CEO de Pfizer, Albert Bourla, durant la pandémie de Covid-19. Il est également reproché à Ursula von der Leyen d’avoir supprimé ces textos, une affaire connue sous le nom de « Deletegate » (de l’anglais to delete, effacer).
Ursula von der Leyen, ou la première plainte pénale dans l’UE
Jusqu’ici, cette affaire avait fait l’objet de plaintes administratives contre la Commission auprès de l’ombudsman européen (saisi par un journaliste allemand) et auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (saisie par le New York Times). Avec cette nouvelle plainte, le Deletegate prend pour la première fois une tournure pénale dans un des 27 États-membres de l’UE. Et, ici, ce n’est plus la Commission qui est ciblée pour manque de transparence. C’est sa présidente, à titre personnel, pour des actes réprimés par le code pénal belge.
Plainte pénale contre Ursula von der Leyen : la présidente de la Commission est accusée d’avoir négocié, à la place des États, directement avec Albert Bourla, patron de Pfizer
Le plaignant, Frédéric Baldan, 35 ans, est un lobbyiste professionnel accrédité auprès des institutions européennes. Il est spécialisé dans les relations commerciales entre l’Union européenne et la Chine. En 2019, il a participé coup sur coup à la mission économique de la Région de Bruxelles-Capitale à Shenzen, puis à la mission fédérale à Pékin et Shangaï en présence de la princesse Astrid. En 2021, son principal client fut la start-up carolo Venyo, pépite wallonne de l’aéronautique alors en quête d’un repreneur.
Accompagné de son conseil, Mme Diane Protat, avocate au barreau de Paris, Frédéric Baldan a déposé plainte mercredi 5 avril, au tribunal de première instance de Liège, directement entre les mains du juge Frenay. Le lobbyiste européen, qui réside non loin de Hannut en province de Liège, s’est constitué partie civile et évalue son préjudice moral à 50 000 euros. Il estime en effet que le comportement de la présidente von der Leyen a porté atteinte « aux finances publiques de la Belgique » et « à la confiance publique ».
Cette dernière est définie dans la plainte comme étant la « croyance collective dans l’État en tant que puissance institutionnelle de réalisation du bien commun ». En quelque sorte, en négociant sans mandat, seule et secrètement avec le big boss de Pfizer, à la place du gouvernement belge, la présidente de la Commission aurait sapé la confiance citoyenne dans la puissance publique de l’État belge.
Plainte contre Ursula von der Leyen : un contrat de 35 milliards d’euros
Quant aux finances publiques belges, elles auraient, selon le plaignant, été lésées par les négociations d’Ursula von der Leyen avec Pfizer concernant un méga-contrat signé le 19 mai 2021 par la Commission et la firme américaine. Il s’agit du troisième contrat signé par l’exécutif européen avec l’entreprise new-yorkaise. Et c’est de loin le plus important : il porte sur 1,8 milliard de doses de vaccin, là où les deux premiers contrats avec Pfizer ne concernaient, chacun, « que » 300 millions de doses.
Ce troisième contrat pèserait 35 milliards d’euros s’il est pleinement exécuté. C’est le plus gros contrat de tous ceux signés par la Commission avec des firmes pharmaceutiques. En effet, comme le relève la Cour des comptes européenne, « entre août 2020 et novembre 2021, la Commission a signé 11 contrats avec huit fabricants de vaccins, permettant d’obtenir jusqu’à 4,6 milliards de doses de vaccins pour un coût total escompté proche de 71 milliards d’euros. »
Des commandes gonflées aux hormones
En juin 2022, une coalition de dix États membres d’Europe de l’Est réclamait une renégociation de tous ces contrats signés avec les fabricants, dont, forcément, le plus important d’entre eux avec Pfizer. La raison ? Les quantités de vaccins livrées dépassent largement les besoins des pays signataires. Résultat : tous ces stocks reçus et facturés ont pour effet de plomber les finances nationales de ces dix États membres.
Bref, lors des négociations préliminaires, de bonne foi ou sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, les commandes réalisées par la Commission semblent avoir été gonflées aux hormones. Cette observation concerne l’ensemble des 11 contrats dont celui qui, à lui seul, représenterait la moitié du budget global européen dévolu aux vaccins.
62% des vaccins belges « en trop »
Tous les États membres, dont la Belgique, ont donc des surplus. Les surplus belges sont de deux ordres : les stocks restants et les doses données aux pays en développement. Au 9 décembre 2022, les stocks de doses de vaccins contre le covid-19 disponibles dans le royaume s’élevaient à 13,5 millions de doses (dont 9,2 millions achetées à Pfizer), selon les chiffres publiés par l’Institut de santé publique Sciensano.
Quant au nombre de vaccins donnés via l’aide au développement, il s’élevait à 11,6 millions de doses (dont 2,5 millions de vaccins Pfizer) en date du 15 septembre 2022. L’Institut de santé publique souligne d’ailleurs que « la Belgique compte parmi les pays ayant fait proportionnellement don du plus grand nombre de doses de vaccins compte tenu de sa population ». Résultat des courses, la Belgique a acheté 25,1 millions de doses surnuméraires, soit 62% de l’ensemble des vaccins livrés. Près de la moitié de ces vaccins « en trop » (11,7 millions de doses) ont été acquis auprès de Pfizer.
Au total, fin 2022, la Belgique avait en effet reçu 40,4 millions de doses tous fabricants confondus. Au sein de ces livraisons, Pfizer se taille la part du lion avec 27,9 millions de doses, toujours selon Sciensano. Ainsi, près de sept vaccins sur dix livrés à la Belgique l’ont été par la firme dirigée par Albert Bourla.
Le CEO de Pfizer a confirmé à nos confrères du New York Times, fin avril 2021 juste avant la signature du méga-contrat, qu’il avait créé un vrai lien personnel avec la présidente de la Commission européenne. Il a déclaré avoir « développé une profonde confiance [avec elle], car nous avons eu des discussions approfondies ». Il a ajouté : « Elle connaissait les détails des variants, elle connaissait les détails de tout. Cela a rendu la discussion beaucoup plus engagée ».
Le 18 juin 2020, la Commission a signé un accord avec les 27 États membres. Cet accord autorise l’exécutif européen à conclure en leur nom des contrats d’achat anticipé (Advance Purchase Agreements ou « APA ») avec des fabricants de vaccins. L’accord met en place un comité de pilotage et des équipes de négociateurs dont les compositions sont précisées.
Or, souligne la plainte pénale entre les mains du juge Frenay, dans cet accord, « aucune attribution particulière n’est conférée à la présidente de la Commission, madame Ursula von der Leyen, qui n’est partie ni au comité de pilotage ni aux équipes de négociateurs. La présidente de la Commission ne pouvait donc se prétendre chargée de la conduite des négociations. »
Opacité et règles bafouées
Quoiqu’il en soit, la Cour des comptes européenne a épinglé ces négociations « en solo » de von der Leyen dans un rapport spécial sur l’acquisition des vaccins, publié en septembre dernier. « Nous n’avons reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE », peut-on lire en page 33. La gardienne des finances de l’UE avait demandé à la Commission de lui fournir, pour ce méga-contrat, la liste des experts scientifiques consultés et les conseils reçus, le calendrier des négociations, les procès-verbaux des discussions et le détail des modalités convenues. Elle n’a rien reçu.
La Cour des comptes européenne confirme en outre que les règles de négociation fixées par la Commission ont été bafouées par Ursula von der Leyen : « Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s’agit du seul contrat pour lequel l’équipe conjointe de négociation n’a pas participé à cette étape des négociations, contrairement à ce que prévoit la décision de la Commission relative à l’acquisition de vaccins contre la COVID-19. »
Le Parquet européen a ouvert une enquête
Un auditeur de la Cour des comptes européenne, interrogé par le magazine Politico, a déclaré que les négociations préliminaires d’Ursula von der Leyen avaient été déterminantes pour les termes de l’accord final : « Les aspects essentiels des contrats ont été convenus de manière informelle. Ce n’est qu’après la conclusion de cet accord informel que le processus formel a pu se poursuivre. C’était vraiment essentiel pour les négociations. »
En octobre dernier, le Parquet européen (OEPP) a confirmé avoir ouvert une enquête sur l’ensemble du processus d’acquisition des vaccins anti-Covid-19 dans l’Union européenne. Sur le fond, rien n’a jamais filtré. Mais la nature des SMS échangés entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla devrait logiquement constituer un des volets de cette enquête. Si ces messages ont effectivement été effacés du smartphone de la présidente de la Commission, une copie devrait toujours figurer dans celui d’Albert Bourla. Qui pourrait être saisi par le Parquet européen. Ou par le juge d’instruction liégeois.
Gros scandale Covid : L’UE a débloqué plus de 71 milliards d’euros pour acheter des vaccins
Sollicitée par des euro-députés européens et des personnalités politiques de premier plan, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, refuse, jusqu’à présent, à rendre publics les contrats de vaccins signés avec les labos.
En attendant le verdict de la justice (car une plainte a été déposée par le New York Times pour que ces contrats soient publiés), voici ce que nous savons de cette affaire qui, depuis deux ans, alimente la chronique en Europe et déclenche une vive colère des citoyens et journalistes
Excellente lecture
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L’Union européenne a dépensé plus de 71 milliards de dollars dans des contrats signés avec des laboratoires pharmaceutiques pour se procurer des doses de vaccins.
Un pognon de dingue a été trouvé pour vacciner à tour de bras. Si l’Europe a, ces dernières années, fait de nombreux sacrifices pour supprimer des emplois faute d’argent, lors de la pandémie à Coronavirus, comme par hasard, des milliards de dollars ont été trouvés pour signer des contrats avec les labos.
Et la somme, dévoilée par le média américain Forbes, risque de déclencher l’immense courroux des antivax mais aussi des défenseurs des causes sociales qui n’ont cessé de dénoncer le piteux état de l’hôpital (français) par exemple où des milliers de lits ont été fermés ces dernières années.
En effet, d’après une information de Forbes publiée ce 12 septembre et lue par Lecourrier-du-soir.com, la Commission européenne a bien cassé sa tirelire en dépensant plus de 71 milliards d’euros dans des contrats signés avec des laboratoires. D’après cette source, cette somme a permis de garantir 4 milliards 600 millions de doses de vaccins pour les pays européens. Le média dit tenir cette information d’un rapport rendu public par le Tribunal des Comptes de l’UE.
L’information a été confirmée par le média espagnol, El Periodico. À en croire cette source, entre août 2020 et novembre 2021, l’Union européenne a passé 11 contrats avec 8 laboratoires pour un coût d’environ 15 euros la dose. Et ce n’est pas tout. La source ajoute qu’à la fin de l’année 2021, le coût s’élevait déjà à 71 milliards d’euros.
Et Pfizer remporte le gros lot. En effet, d’après les informations obtenues par le média espagnol, le géant américain Pfizer a été le plus choyé dans les contrats que l’UE a passés avec les labos. Ainsi, à lui seul, Pfizer a encaissé 2 milliards 400 millions d’euros dans trois contrats qui lui ont été accordés.
Pascal Najadi : « Notre procès, Ana McCarthy et moi, à la Cour suprême de l’État de New York, Manhattan, contre Pfizer Inc. est le seul au monde qui va de l’avant. Comme vous le savez peut-être, même les nations ne peuvent pas poursuivre Pfizer Inc. parce qu’elles ont signé des accords d’immunité. Cependant, Ana McCarthy et moi avons réussi à le faire… »
EN RAPPEL
VACCINS PFIZER:LE SCANDALE DES SMS CONTINUE
Février 2023
Le quotidien américain New York Times vient d’attaquer la Commission européenne en justice pour obtenir le contenu des sms échangés entre sa présidente, Ursula von der Lyen et le PDG de Pfizer à propos de l’achat des vaccins contre le Covid par l’UE. Le journal américain, premier média à révéler l’affaire des SMS en avril 2021, cible les SMS que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a échangés avec Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Ces messages pourraient contenir des informations sur l’achat, par les États européens, de 1,8 milliard de doses de vaccins contre le Covid-19. Que cachent ces SMS ? Décryptage de l’affaire et de ses derniers développements avec la députée européenne Michèle Rivasi (Les Verts), vice-présidente de la Commission spéciale sur le Covid 19.
EN COMPLÉMENTAIRE
LE GRAND MENSONGE MONDIAL SUR LE COVID
AUTRES FAITS
L’exclusion des non vaccinés jusqu’au génocide se poursuit : exemple de l’OMS et de la France
Il est clair, au moins depuis la crise du Covid-19, que des groupes entiers de personnes – c’est-à-dire les personnes non vaccinées – peuvent être exclus de la vie publique. L’exclusion des non vaccinés ne concernait pas seulement les activités « facultatives » pendant les loisirs, mais était également possible sur le lieu de travail ou dans une grande partie du commerce de détail. Il est probable que cela ait conduit certaines personnes à la limite de la survie. La prétendue protection des autres par le vaccin Covid-19 a été à l’origine de nombreuses mesures politiques contre les personnes non vaccinées. Car celui qui se vaccine protègerait aussi les autres. La vaccination serait ainsi quasiment un acte de solidarité avec les personnes âgées, les malades et les faibles.
Aujourd’hui, même le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, a dû l’admettre : Les vaccins ne protègent pas contre la contagion ! Lors d’une audition au Parlement européen à la mi-octobre 2022, la manager de Pfizer Janine Small a ouvertement admis que le vaccin n’avait pas été testé avant sa mise sur le marché pour savoir s’il empêchait la transmission du virus. On aurait manqué de temps.
Dès janvier 2022, le rapport hebdomadaire de l’Institut Robert Koch (RKI) indiquait que sur les 30 914 adultes atteints du variant Omicron recensés, 83% étaient vaccinés et que 26% d’entre eux avaient même reçu un rappel. Parmi les patients en soins intensifs, le taux de vaccination était de 68%.
Dans un commentaire daté du 2 décembre 2022, Christiane Cichy, rédactrice à MDR, est arrivée à la conclusion suivante : sans protection extérieure prouvée, l’obligation de vaccination, même dans le secteur de la santé, n’est pas défendable, ni d’un point de vue scientifique ni d’un point de vue juridique.
Et pourtant, l’exclusion des personnes non vaccinées n’a pas disparu ! Dans l’émission du 1er avril, Kla.TV a indiqué que depuis janvier 2023, sous l’impulsion de l’OMS, des codes sur le statut sanitaire et vaccinal Covid sont disponibles. De même, lors du sommet du G20 de 2022, il a été annoncé qu’un système de carnet de vaccination numérique mondial basé sur les normes de l’OMS serait mis en place. Cela autorise une exclusion et jusqu’à un génocide [explication : la destruction d’un groupe national, ethnique ou religieux en tant que tel – en tout ou en partie] des personnes non vaccinées !
Un autre exemple est celui de la France : tous les employés du secteur de la santé qui ont refusé la « vaccination Covid-19 » étaient suspendus depuis septembre 2021. Ce n’est que récemment, le 31 mars 2023, que le ministre français de la Santé, François Braun, a déclaré vouloir lancer « dans les prochains jours ou les prochaines semaines » le processus qui ouvrira la voie à la réintégration des soignants non vaccinés.
Cette suspension ne concernait pas seulement les médecins, les infirmiers et les aides-soignants, mais aussi les orthophonistes, les ergothérapeutes et les kinésithérapeutes, les sages-femmes, les pompiers, le personnel administratif des hôpitaux sans contact avec les patients, les cuisiniers des hôpitaux et des maisons de retraite, les chauffeurs de transport sanitaire et bien d’autres encore. Ces 15 000 employés environ n’ont pas été payés depuis leur suspension et n’ont pas eu accès aux allocations de chômage ou à l’aide sociale, car ils sont restés employés par leur employeur.
Parmi les 15 000 personnes suspendues, nombreuses sont celles qui ont trouvé un autre emploi, même sans l’autorisation de leur employeur. Alors que ces médecins, soignants en gériatrie, infirmiers, etc. ont dû chercher un petit boulot, il y avait une pénurie de personnel soignant.
Les personnes non vaccinées continuent d’être exclues dans plus de 50 pays dans lesquels il n’est pas possible d’entrer sans avoir été vacciné contre le Covid-19. Situation au 3 avril 2023.
Comme nous l’avons expliqué au début, l’exclusion des personnes non vaccinées ne peut se justifier ni d’un point de vue scientifique ni d’un point de vue juridique. Pourquoi l’exclusion ne s’arrête-t-elle pas pour autant ? En fin de compte, plus que des non vaccinés, ne s’agit-il pas plutôt de l’exclusion des « dissidents » qui ne sont pas prêts à se soumettre au diktat d’une opinion publique uniforme ?
De nombreux opposants à la vaccination ARNm, comme le médecin américain Dr Carrie Madej, vont même plus loin : il s’agit principalement d’injecter « à tout prix » dans le corps une substance qui a le potentiel de reprogrammer les personnes vaccinées dans le sens de l’agenda 2030 du FEM. Il s’agit de garder cela en vue et de s’opposer dès le départ à l’exclusion des personnes non vaccinées.
Il n’y a PAS de matériel biologique dans les échantillons des « vaccins ».
De toute évidence, la plate-forme d’ARNm et l’affectation de la célèbre protéine de pointe n’étaient que des écrans de fumée afin de détourner les recherches de quiconque analysait, in situ, les « vaccins ».
Ricardo Delgado dit au public: «Ce qu’ils ont appelé Covid-19 est l’interaction dans notre biologie de ce matériau non déclaré : le graphène ».
D.: « La Quinta Columna (La Cinquième Colonne)a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, à ce jour, personne n’a vu. »
« En effet, c’est terrifiant, la pire chose qui soit arrivée à des êtres+humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres+humains dans les plus brefs délais ; malgré les graves dommages et effets de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de l’encadrement de tous les individus directement depuis leurs neurones, bref la perte totale de l’espèce humaine actuelle, c’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « quelque chose » d’autre « , privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui agit comme une INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de façons.
Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire protéique. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de corps étrangers pour la faire passer inaperçue. Cependant, certains groupes le qualifient de toxique et le relient à la protéine de pointe. Encore une fois, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tout dommage en biologie, puisque le mal est causé par la cause – le graphène – et non par sa conséquence – la couronne de protéines.
QUESTION: En supposant que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais détailler les points les plus importants sur la situation que nous vivons et, plus précisément, sur le contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans The Fifth Column (La cinquième colonne) est alarmant. Comment sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelle base sont-elles?
D.: Nous nous appuyons sur des preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils validés scientifiquement pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a permis d’anticiper même plus facilement ce qui allait se passer.
QUESTION: Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons ; cependant, beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?
D.:Quand on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, tels que le graphène-oxyde réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices ; magnétique en contact avec des cellules vivantes ; piézoélectrique; capacité élevée; radiomodulable; souple et transparente….
QUESTION: Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?
D.:Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où la matière traverse notre biologie. C’est pourquoi vous voyez une myocardite; péricardite; myopéricardite; inflammation pulmonaire… Il passe aussi par des systèmes d’épuration comme le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation de celui-ci (hépatite) et des problèmes importants dans le rein -où il reste longtemps-, lorsqu’il filtre le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones entraînant divers types de neuropathies, notamment la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou la difficulté à se concentrer.
En amplifiant les dommages des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de tissus cancéreux et tumoraux.
Dans les cellules reproductrices – et selon la littérature scientifique elle-même – il affecte la motilité et la mobilité du sperme humain, réduisant considérablement la fertilité masculine.
Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant, en somme, à leur infertilité et générant un syndrome post-ménopausique.
QUESTION: Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que quatre , puisque l’organisme élimine le graphène.
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C’est ce qui se passe – Mon martien préféré 1963-1966
D.:C’est vrai. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de rayonnement électromagnétique que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.
Tous ces dommages et d’autres que nous n’avons pas évoqués, sont non seulement à l’origine de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais sont clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution du graphène-oxyde en biologie sont passées en revue. Dont le fameux « poumon covid » qui n’est qu’une pneumonie ou inflammation pulmonaire, comme l’une des voies d’élimination de la matière, contribuant aux dyspnées – difficultés respiratoires – et bronchiolites que l’on voit quotidiennement.
QUESTION: Et alors que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Cinquième Colonne (The Fifth Column), avec vous en tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.
D.:En effet, La Cinquième Colonne a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, à ce jour, personne n’a vu.
QUESTION: Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un jalon important, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité du présent, mais pour celle du futur dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela n’arrive-t-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, le fait-il accompagné d’un certain scepticisme ?
D.: Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes à travers le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne grippale de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou de gériatrie,ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».
Nous avons également montré que ce qu’ils ont appelé des « épidémies » et des « vagues » n’est rien de plus que la conséquence de l’élévation du rayonnement environnemental au moyen d’antennes téléphoniques, dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer plus de stress oxydatif et, in fine, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne sait toujours pas.
QUESTION: Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou est-ce autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?
D.: À mon avis, il y a des facteurs importants pour que cette preuve n’ait pas été révélée par son propre poids, mais laissez-moi laisser cela pour la fin.
QUESTION: Eh bien, continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?
D.: C’est la grande question à laquelle on trouve aussi une réponse, justement à travers les institutions officielles de très haut niveau, et par la revue de la littérature scientifique elle-même.
Nous avons évoqué plus haut la nature magnétique du graphène au contact des molécules organiques, non ? Eh bien, si nous avons un support magnétique dans la biologie et, en plus, supraconducteur – avec une affinité avec le cœur et les neurones – alors nous avons la capacité de lire et d’écrire des informations dessus, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est une surveillance ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique – qui est l’oxyde de graphène réduit – imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. C’est-à-dire la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier les comportements humains à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle aussi de biocapteur du cœur ou de stimulation de celui-ci à distance.
QUESTION: Apparemment, tout cela éclot d’un coup, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement dessiné qui synchronise plusieurs fronts.
D.: En effet. Toutes ces recherches et sa propre littérature scientifique sont présentes en même temps que des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, apparaissent en train de parler « d’insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres du réseau 5G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est amendée pour tenir compte de la « loi sur les neurodroits », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum économique mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée en puissance du transhumanisme » ou du nouvel être+humain « Humain 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle » .
QUESTION: Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme dit José Luis Cordeiro. Vous ne trouvez pas ça terrifiant ?
D.:En effet, c’est terrifiant, la pire chose qui soit arrivée à des êtres+humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres+humains dans les plus brefs délais ; malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie pour les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement depuis leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « quelque chose d’autre », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui fait office d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de façons.
QUESTION: Nous avions laissé pour la fin la réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte ne s’est pas révélée d’ailleurs sous la forme d’un grand scandale. Quels facteurs ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?
D.: Il y a plusieurs facteurs ; Le premier, très évident, est le contrôle même que les gouvernements ont sur les institutions dont ils ont la charge, y compris les médias ; établissements de santé; judiciaire; syndicats; et ainsi de suite. Cela leur permet de mener à bien leurs agendas, parfaitement planifiés à l’avance. Mais, il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.
C’est le concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Ce sont des gens qui prétendent travailler pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas révélée. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne divulgue rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire guerre de toutes, où l’ennemi à battre est l’être+humain lui-même.
QUESTION: Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage, et qu’il y a un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?
D.: C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas qui nous intéresse :
En général, ILS font généralement tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler le but de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.
Ils se caractérisent par la négation de l’évidence ou des propriétés qu’elle présente. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique des inoculés ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.
Ils infiltrent la bonne recherche pour essayer de la retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.
Ils introduisent de nouveaux foyers, vraisemblablement nuisibles, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir, à tout prix. Par exemple, ils essaient de masquer l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine de pointe (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).
Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément de distraction afin qu’elle perde sa force.
Ils utilisent la violence et les attaques personnelles, manipulant ou dénaturant même la vie personnelle de ceux qui découvrent des preuves qu’ils veulent et doivent dissimuler.
Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou ont des promesses de promotions sociales ou d’autres types d’avantages.
Les groupes de dissidence contrôlée se sont créés avant que de véritables collectifs dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi a ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes sont les collectifs “for the truth”, « pour la vérité », générés, a priori, dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée, à partir de l’observation, par des groupes véritablement dissidents.
Comme la version officielle elle-même, ils utilisent des attributs dans leurs noms et slogans où leur véritable sens est juste le contraire de la façon dont ils sont étiquetés. Le vrai sens de « par la vérité » est « de dissimuler la Vérité ».
Ils sont généralement actifs dans le système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le domaine universitaire ou autres (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).
Ils sont organisés hiérarchiquement, de sorte que leurs dômes sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’ils en ont, elle est éclipsée par le dôme lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.
Ils introduisent des bots et des followers fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils ont un soutien humain inconditionnel. La réalité est que, pratiquement, personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, auxquelles assistent un petit nombre de personnes.
Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les présenter en collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pouvaient donner. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple; Avocats pour la Vérité ou Journalistes pour la Vérité. Ils ont tendance à fonder leurs « recherches » sur les « articles » eux-mêmes, qui sont écrits dans la version officielle elle-même, contre lesquels ils sont censés être en désaccord.
Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire que « l’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas sous le microscope, car vous ne pourrez rien voir », ou « Se faire vacciner est très difficile ».
Les travaux de ceux qui ANALYSENT en utilisantRAMAN, la microscopie optique, l’électronique ou toute technique permettant de SAVOIR caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés, et attaqués par cette fausse dissidence aux arguments très pèlerins. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.
Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par les mêmes ou l’institution à laquelle ils appartiennent, mais pas par « le principe scientifique de la preuve. »
Ils utilisent des arguments de la version officielle – contre laquelle ils font semblant de sebattre – pour discréditer les œuvres sérieuses et indépendantes. Par exemple, en s’appuyant sur les notices officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés y sont dénoncés et qui pourraient faire tomber toute l’opération.
Ils font des approches des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capturer un certain éventail de personnes honnêtes, puis à abandonner ce paradigme et à revenir à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais affirment qu’il y en a très peu dans les «vaccins», ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.
Ils vantent des phrases comme « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble nous sommes plus forts » justement pour s’infiltrer.
Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.
Ils s’occupent de dénoncer les problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui nuit le plus. Par exemple, dénoncer les masques, la perte des libertés et des droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en masquant l’introduction de l’interface dans les injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.
QUESTION: S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a beaucoup de difficulté. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil pour finir ?
D.: L’identification de ces « personnes » est primordiale pour continuer à avancer, mettre à jour la PREUVE et stopper ou empêcher l’opération.La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est purement et simplement impossible, car ils font confiance et communient avec des traîtres, quotidiennement et sans le savoir. . Ils doivent choisir et abandonner tout intérêt autre que la Vérité, par-dessus tout. Il n’y a pas lieu de faire des demi-mesures, à cause de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue d’essayer de discréditer les preuves, et qu’elle ne soit pas révélée avec suffisamment de force, garantissant ainsi que l’opération contre l’être humain continue. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.
Des « vaccins » au nano-graphène super magnétique, pour l’Intelligence artificielle et l’Internet des corps
Nous publions un article de Theara Truth sur les vaccins anti-COVID-19 pouvant contenir, selon une hypothèse, du graphène, utilisé en médecine -recherche médicale- depuis plusieurs années. Cet article informatif comporte de nombreux liens internet (études scientifiques et vidéos) démontrant le magnétisme chez des hommes et des femmes pouvant être provoqué par la vaccination. Des experts scientifiques ont fait des enquêtes sur ce phénomène étrange et des équipes indépendantes ont analysé le contenu du vaccin dans des laboratoires.
Le site Factuel de l’AFP a tenté de nier les faits du magnétisme malgré les nombreuses recherches scientifiques sur cette question. L’AFP souligne entre autres que l’experte scientifique « Pour appuyer ses propos, Jane Ruby montre des captures d’écran de documents d’une société allemande, Chemicell, et assure, en la citant, que « les réactifs de magnétofection sont développés, conçus et prévus, pour la recherche », et ne doivent pas être utilisés « pour tout médicament destiné à l’homme »… L’AFP cite d’autres experts qui nient le phénomène dont ceux de la mégasociété pharmaceutique Pfizer qui vend son vaccin partout dans le monde. Faut-il faire confiance à une société poursuivie en justice (“fraudulent marketing”, etc.) ?
Mondialisation.ca vous invite à consulter les documents cités dans cet article.
Bonne lecture.
***
Fin avril j’ai écrit l’article ‘La bombe humaine’ sur les ‘vaccins’ qui contamineraient les non vaccinés ‘ par « transmission de quelque chose » , prétendument la protéine S [spike], touchant notamment les femmes et le système reproducteur, avec à l’appui des milliers de témoignages de femmes, d’articles et de papiers scientifiques sur les ‘ vaccins « auto -disséminants ».
On peut croire que ce phénomène d’excrétion est « simple » car les protéines spike seraient transmises physiquement, par l’ air ou la peau, mais ça reste à prouver !
Pourtant, le Dr Carrie Madej , ainsi que moi même, parlions déjà des FRÉQUENCES comme le véritable facteur de cette éventuelle “transmission ».
Certains faits sont déjà prouvés, d’autres sont des hypothèses, résultat des connections issues de tous les éléments de recherches -dans mes dossiers- et de liens avec des documents officiels.
Nous avons vu des centaines de vidéos de personnes « vaccinées », mettant des aimants et des objets métalliques sur le bras supérieur vacciné ou parfois sur leur front. On peut ainsi observer dans ces vidéos que : – Des aimants collent. – Des objets métalliques collent aussi. – Des smart phones collent… Ce n’est pas du « fake ». Nous pouvons voir que cela se produit réellement, comme par exemple dans ces vidéos : Il y a de plus en plus de vidéos et donc de plus en plus de personnes vaccinées qui subissent ensuite un effet électromagnétique inhabituel. Loin d’être une simple idée, cet effet est testé en plaçant du métal, des cuillères, des fourchettes, un aimant et même un téléphone portable sur le site d’inoculation. Ils collent à la peau de la personne vaccinée.
Le Dr. Pedro Chavez a fait une entrevue sur le sujet (en espagnol, traduit en anglais) :
» Il y a de plus en plus de vidéos et donc de plus en plus de personnes vaccinées qui souffrent ensuite d’un effet inhabituel de l’électromagnétisme. Loin d’être une simple idée, cet effet est testé en plaçant du métal, des cuillères, des fourchettes, un aimant et même un téléphone portable sur le site d’inoculation. Ils adhèrent à la peau de la personne vaccinée. » Le médecin mexicain Pedro Chavez, qui a traité et enregistré plusieurs patients souffrant de ce phénomène (voir ci-dessous), affirme que personne ne peut expliquer ce qu’il peut être ou ce qui le provoque, tout n’est que spéculation. Les endroits magnétisés le sont aussi : les bras, le cou, la zone sous la clavicule, le front ? Il est également frappant de constater que cet effet a été produit chez des patients qui ont été vaccinés contre la grippe l’année dernière.
Chavez estime que pour savoir ce qui leur arrive, il est nécessaire de réaliser de nombreuses études dans l’organisme des personnes magnétisées armées de fréquencemètres. Il propose de les faire même dans les endroits où il y a des antennes 5G, antennes qui seront activées entre juin et juillet. Conversation très intéressante avec le colonel et aussi un docteur en médecine Pedro Chavez. » (Extrait du texte en espagnol, Traduit avec www.DeepL.com) (1) Source: Madrid Market Magazine
En tant que médecins, nous sommes confrontés aux dommages biologiques causés par les vaccins, il y a des études très poussées sur le sujet, mais ici nous sommes confrontés aux dommages électro-physiques, c’est-à-dire les particules ferriques et l’électromagnétisme de ces particules.
Sur Uno TV de Mexico, on dit que l’aimant est faux. Et, Maldita, un ‘fact checker’ a publié que nous mettions un aimant dans leur aisselle et que cet aimant est celui qui a attiré la particule métallique (Hahaha…). Et un autre a dit que nous leur mettions de la colle pour que l’aimant ou le métal reste là. Il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Au sein du COMUSAV, nous avons eu une réunion avec des médecins de différentes parties du monde, il y avait des gens du Japon, car il y a le COMUSAV Japon, et le COMUSAV Indonésie, le COMUSAV Europe est en train d’être formé avec certains pays, et nous avons discuté de la façon dont nous pouvons aider les patients avec le peu que nous savons. Il y a un moyen qui consiste à utiliser un feutre en coton, celui que les femmes utilisent pour se démaquiller, au centre duquel nous avons placé un aimant, collé avec du silicone, qui à son tour serait placé à l’endroit de l’inoculation lorsque peu de temps s’est écoulé. Il est retiré lorsque la personne prend un bain et laissé pendant 3 ou 4 jours. Quand il est finalement retiré, il doit être imprégné de noir, c’est ainsi que je l’ai vu dans un documentaire de La Quinta Columna, c’est arrivé à un médecin. Cela est censé éliminer les particules magnétiques sous la peau. Mais si nous faisons cela et que quelqu’un tombe malade, il pourrait penser que c’est parce que nous avons enlevé l’ingrédient actif du vaccin. L’autre solution est celle des paires biomagnétiques. Dans ce cas, il faudrait faire des études pour voir si les effets peuvent être contrecarrés, que seules les particules restent en circulation, mais pas magnétisées. Il existe une autre théorie qui dit que mettre deux aimants, l’un sur le poignet gauche et l’autre sur le droit, de pôle opposé, désactiverait apparemment le magnétisme qui circule dans le corps. Mais il faut le vérifier.
Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.
Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.
Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?
Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :
1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ? 2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ? 3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?
Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques, avec l’ouverture rapide d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.
En résumé :
A la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.
A la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ? Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.
Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules super-para-magnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.
C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.
Pour consulter le site European Forum for Vaccine Vigilance, cliquez ICI
Bien sûr, il semble évident que l’on ait injecté (sans le dire) quelque chose qui présente de fortes propriétés électro magnétiques, allant d’un effet » doux » à un effet très puissant, dans ces vaccins à ARN messager. Dans le but de « booster le passage de l’ARN messager dans la cellule par une magnétofection « . [magnétofection : méthode de transfection qui utilise des champs magnétiques pour concentrer les particules contenant l’acide nucléique dans les cellules cibles.]
Pour en savoir plus consultez ce site : chemicell.com
Nous avons appris depuis qu’il est scientifiquement possible d’injecter des nanoparticules EMF programmables dans des vaccins ou des systèmes d’administration de médicaments.
Nous avons trouvé plusieurs articles scientifiques prouvant que c’est FAISABLE et que cela peut même conduire à une dépendance à la dopamine chez les rats qui sont ‘magnétisés’ dans le cerveau puis placés dans un environnement à forts CEM où la dopamine est produite, et non » heureux’ dans un environnement sans CEM (pensez aux ‘villes intelligentes’).
Une nouvelle méthode « audacieuse » utilise une protéine magnétisée pour activer les cellules du cerveau de manière rapide, réversible et non invasive.
Des chercheurs américains ont mis au point une nouvelle méthode pour contrôler les circuits cérébraux associés aux comportements complexes des animaux, en utilisant le génie génétique pour créer une protéine magnétisée qui active à distance des groupes spécifiques de cellules nerveuses.
Comprendre comment le cerveau génère le comportement est l’un des objectifs ultimes des neurosciences – et l’une de leurs questions les plus difficiles. Ces dernières années, les chercheurs ont mis au point un certain nombre de méthodes qui leur permettent de contrôler à distance des groupes spécifiques de neurones et de sonder le fonctionnement des circuits neuronaux.
(…)
Plusieurs études antérieures ont montré que les protéines des cellules nerveuses qui sont activées par la chaleur et la pression mécanique peuvent être génétiquement modifiées pour devenir sensibles aux ondes radio et aux champs magnétiques, en les attachant à une protéine stockant le fer appelée ferritine, ou à des particules paramagnétiques inorganiques. Ces méthodes représentent une avancée importante – elles ont, par exemple, déjà été utilisées pour réguler le taux de glucose dans le sang des souris – mais elles impliquent de multiples composants qui doivent être introduits séparément.
Ensuite, les chercheurs ont inséré la séquence d’ADN Magneto dans le génome d’un virus, avec le gène codant pour la protéine fluorescente verte et des séquences d’ADN régulatrices qui font que la construction n’est exprimée que dans des types spécifiques de neurones. Ils ont ensuite injecté le virus dans le cerveau de souris, en ciblant le cortex entorhinal, et ont disséqué le cerveau des animaux pour identifier les cellules qui émettent une fluorescence verte. A l’aide de microélectrodes, ils ont ensuite montré que l’application d’un champ magnétique sur les tranches de cerveau activait Magneto afin que les cellules produisent des impulsions nerveuses.
Grâce à leur méthode, publiée l’année dernière dans Nature, les biologistes peuvent activer ou désactiver à volonté les neurones d’un animal vivant – rapidement, à plusieurs reprises et sans implant – en modifiant les cellules pour les rendre réceptives aux ondes radio ou à un champ magnétique :
Actionner un interrupteur dans la tête Grâce à une nouvelle technologie, les scientifiques sont en mesure d’exercer un contrôle sans fil sur les cellules du cerveau des souris en appuyant simplement sur un bouton. La première chose qu’ils ont faite a été de donner faim aux souris.
Les vaccins COVID dans toutes leurs variantes, AstraZeca, Pfizer, Moderna, Sinovac, Janssen, Johnson & Johnson, etc., contiennent également une dose considérable de nanoparticules d’oxyde de graphène. C’est le résultat de leur analyse par microscopie électronique et spectroscopie, entre autres techniques utilisées par diverses universités publiques de notre pays.
« Ils ont découvert que les nanoparticules d’oxyde de graphène sont en fait compatibles avec les neurones et autres cellules du cerveau. Des nanotubes d’oxyde de graphène recherchent les synapses et s’y attachent.
Les nanoparticules de graphène étaient excitables par des fréquences chez les sujets. Pour être plus précis : les nanoparticules de graphène trouvent une résonance dans la fréquence des micro-ondes 41,6 GHz de la technologie 5G. (Source: orwell.city)
Les Etats avides du Great Reset [la Grande Réinitialisation], se pressent tous sur la « 4 ème révolution technologique » bio numérique, basée sur les nanotechnologies, la génétique, les implants cérébraux ,le numérique, la fusion de l’homme avec l’intelligence artificielle (transhumanisme). (latribune.fr)
Le Graphène nano particules, est aussi un projet européen de millions d’euros (le Graphène Flagship)
AstraZeneca fait partie de Graphène Flagship. MAIS Graphene Flagship est aussi lié à : « Human Brain Project »
« Des capteurs en graphène lisent les ondes neuronales de basse fréquence associées à des états cérébraux distincts»
« Un implant biocompatible à base de graphène mesure et prédit les états du cerveau en toute sécurité »
L’oxyde de graphène interagit avec la partie du cerveau responsable de la formation des souvenirs liés à la peur, qui provoquent l’anxiété. Il ne fonctionne pas comme un médicament, en inhibant la fonction des récepteurs – au contraire, il arrête temporairement l’ensemble du mécanisme suffisamment longtemps pour perturber la pathologie liée à la peur dans le cerveau, sans l’endommager », poursuit Ballerini. L’oxyde de graphène interrompt les signaux des neurones liés à l’anxiété sans affecter les neurones, ni les cellules environnantes. En d’autres termes, il ne fait qu’ »éteindre » les communications entre des neurones spécifiques. (Traduction de l’anglais, source : graphene-flagship.eu)
(Ça me rappelle le ‘ soma’ dans Brave New Word ! plus d’anxieté, tous calmes et dociles .. )
Cet espace commun, soutenu par le GSMA et la Commission européenne et organisé par l’ICFO, présentera les applications commerciales innovantes et les prototypes les plus récents dans les domaines du graphène, des neurosciences, de l’intelligence artificielle et du développement de médicaments personnalisés (humanbrainproject.eu)
« Inbrain Neuroelectronics développe une interface neuronale intelligente peu invasive qui, alimentée par l’intelligence artificielle (IA) et l’utilisation du big data, aura la capacité de lire et de moduler l’activité cérébrale, de détecter les biomarqueurs spécifiques à la thérapie et de déclencher des réponses adaptatives pour des résultats optimaux dans les thérapies neurologiques personnalisées. L’investissement permettra à l’entreprise de mener des essais et de solidifier la sécurité du graphène en tant que nouvelle norme de soins et d’attention médicale dans les neurotechnologies. » (www.graphene-info.com)
Ils vous disent tout, mais êtes vous capables de voir ?
Ray Kurzweil [auteur, ingénieur, chercheur, et futurologue américain] prédit que les humains deviendront des hybrides dans les années 2030. Cela signifie que nos cerveaux seront capables de se connecter directement au Cloud, où il y aura des milliers d’ordinateurs, et que ces ordinateurs augmenteront notre intelligence actuelle. Selon lui, le cerveau sera connecté via des nanorobots, de minuscules robots fabriqués à partir de brins d’ADN : « Notre pensée sera alors un hybride de pensée biologique et non biologique« , a-t-il déclaré. (money.cnn.com)
Le ministère de La Défense au Royaume-Uni déclare :
« Les perspectives éthiques sur l’augmentation humaine vont changer et cela pourrait arriver rapidement. Il pourrait y avoir une obligation morale d’augmenter les gens, en particulier dans les cas où cela favorise le bien-être ou nous protège de nouvelles menaces.» (www.fromrome.info)
Le 24 septembre 2029, Boris Jonhston fait une déclaration sur les vaccins les nanotechnologies, et le Nouvel Ordre Mondial :
Pour en revenir à la ‘transmission’ de quelque chose aux ‘non vaccinés’, je pense depuis des semaines, que c’est plutôt une question d’empoisonnement et de ‘ transmission par les EMF toxiques émis par ces nano magnéto particules de graphène, et non pas à cause d’une “ protéine spike physique “ qui sortirait intacte comme un super fantôme pour attaquer le corps à proximité, volant de leurs bouches à votre nez ( pas nécessaire ), mais surtout à cause de ces nanos magnétiques .
Une médecin britannique fait une synthèse intéressante :les nanomagnétos particules arrivent à traverser la barrière hémato encéphalique et se logent dans le cerveau. (www.brighteon.com)
Regarder en français : Médecin britannique – Les « vaccins » expérimentaux Covid-19 et le génocide
Je partage de toute urgence l’hypothèse suivante sur la manière dont les injections expérimentales de Covid-19 peuvent blesser et tuer, dans l’espoir de pouvoir contribuer d’une manière ou d’une autre à arrêter cette tentative de génocide de masse. Je ne crois pas qu’il s’agisse d’un accident et je vais vous expliquer pourquoi.
Je suis un médecin britannique. Mon hypothèse est que les injections expérimentales d’ARNm Covid-19 contiennent une nanoparticule magnétisée attachée à l’ARNm, qui traverse la barrière hémato-encéphalique et est ensuite attirée vers le cerveau, en particulier les structures de la ligne médiane. J’émets en outre l’hypothèse que deux éléments facilitent le passage de l’ARNm magnétisé vers le cerveau : les effets de température locale dus aux rayonnements électromagnétiques et à un réseau artificiel tel qu’un hydrogel. Je vais maintenant expliquer pourquoi je propose cette hypothèse.
b) ou PAS vraiment, mais la FRÉQUENCE à laquelle il est est transmis, passe, et/ou BIEN cette fréquence peut etre deployée PARTOUT.
Dans la médecine russe, étasunienne et européenne, aussi des grands pionniers des fréquences, des champs electro magnétiques, dans les études des armées, on sait que toute fréquence correspond à un organe ou une maladie ou un symptôme précis ou à un pathogène. Cela peut être utilisé pour soigner ou pour détruire personne.
Voir :
1976 RAPPORT DE RECHERCHE MÉDICALE NAVALE 3700 RÉFÉRENCES SUR LES EFFETS BIOLOGIQUES DES RADIATIONS MICRO-ONDES
Bibliographie des phénomènes biologiques (« effets »}) rappellés et manifestations cliniques attribués aux rayonnements micro-ondes et radio-fréquences : compilation et intégration du rapport et de sept suppléments
Cela est utilisé dans les guerres électromagnétiques. (riskgroupllc.com)
Alors, à quoi sert cette sorcellerie de scientifiques ? Les nanos magnétiques servent à faire rentrer plus profondément l’ARN messager dans les cellules et produire plus de ‘protéines de pointe’ [Spike] ? Oui, fort possible, mais qui nous le prouve? A-t-on analysé des non vaccinés ‘ contaminés’ pour déceler la protéine spike envahissant leurs cellules? Non.
Le fait est que ces injections changent le champ électro magnétique des victimes inconscientes qui ont couru vers les seringues.
« Récemment, l’HYDROGEL magnétiquement réactif, comme un type d’hydrogels intelligents, a été introduit dans les applications biomédicales pour améliorer les activités biologiques des cellules, des tissus ou des organes. Ceci est principalement attribué à sa réactivité magnétique au champ magnétique EXTERNE et à l’obtention de structures fonctionnelles pour réguler à distance les propriétés physiques, biochimiques et mécaniques du milieu entourant les cellules, les tissus ou les organes. »
Le ‘ Vaccin’ qui n’est pas un vaccin, n’a rien a voir avec un ‘virus’, avec ‘soigner’ avec ‘ protéger’ , beaucoup de gens le savent à présent : les morts post ‘ vaccin’ et les blessés graves se comptent par CENTAINES DE MILLIERS. On peut le vérifier sur les plateformes officielles d’Etat des ‘effets secondaires’ (Europe), qui rapporte nt seulement entre 1 et 15 % de victimes post-vaccin.
Le nano graphène, même inhalé, est très toxique et lié entre autre à la formation de thromboses, de fibrose pulmonaire, de dommages au cerveau, de perte de l’odorat, et du goût !
Dans quel but installer du nano graphène dans le corps humain? ( s’il survit )
« Le graphène est la nanoparticule la plus probable pour la fabrication de capteurs biomédicaux destinés à la bio-détection, à la bio-imagerie et à l’usage thérapeutique, en raison de certaines de ses qualités stimulantes telles qu’une remarquable aptitude au traitement en milieu aqueux, des propriétés de surface fonctionnelles, une diffusion Raman améliorée par la surface, une capacité de croissance cellulaire et des certitudes de biocompatibilité. La présente étude met en évidence l’état de l’art et les perspectives d’avenir du graphène pour son utilisation comme capteur dans des dispositifs de détection miniaturisés et biomédicaux pour des applications de bio-imagerie, de bio-détection et de diagnostic.»
il y a le fait que ces « nanomagneto » de Graphène , ces ‘ bio sensors’ , peuvent répondre et communiquer avec un signal EMF externe dans leurs propres mots.
Et sans ‘ récepteurs émetteurs internes comment la 5G pourrait-t-elle ‘lire les pensées:
ILS LE DISENT : 5G est une technologie qui peut ‘lire ‘les pensées’ et ‘ insérer des pensées’.
Le président chilien affirmait :
« Les machines seront capables d’insérer des pensées et des sentiments grâce à la 5G. »
Voir la vidéo en espagnol sous-titrée en anglais :
Les Faucons de guerre de l’establishment craignent une contagion populaire anti-interventionniste.
L’opposition à la guerre par procuration de Joe Biden pour détruire la Russie est entrée dans l’élection présidentielle américaine de 2024 . Et le sentiment anti-interventionniste croissant parmi les conservateurs et les libertaires de base inquiète les faucons de guerre de l’establishment à la fois de « gauche » et de « droite ». Ils sont furieux.
Par ailleurs, de récents sondages montrent que le soutien à l’Ukraine s’érode au sein du public occidental.
Leur colère a débordé lorsque a demandé aux candidats présidentiels probables du GOP leurs positions sur la guerre cruelle imprégnée du sang des mandataires ukrainiens; il a posté leurs réponses sur Twitter . Il n’y en avait que deux qui s’opposaient à la guerre, Donald Trump et Ronald DeSantis.
La réponse de Trump:
Les réponses de Trump n’ont pas été une surprise. Comme auparavant, il a appelé à la fin rapide de la guerre, répondant en partie à Carlson comme suit :
« La Russie n’aurait certainement pas attaqué et attaqué l’Ukraine si j’étais votre président. En fait, pendant quatre ans, ils n’ont pas attaqué, et ils n’avaient aucune intention de le faire tant que j’étais aux commandes. … C’est de l’histoire ancienne, mais comment cela se termine-t-il, et cela doit se terminer, MAINTENANT !
« Si j’étais président, cette horrible guerre se terminerait en 24 heures, voire moins. Cela peut être fait, et cela doit être fait – maintenant !
« … dites à l’Ukraine qu’il n’y aura plus beaucoup d’argent venant de nous, À MOINS QUE LA RUSSIE CONTINUE À POURSUIVRE LA GUERRE. Le président doit rencontrer chaque partie, puis les deux parties ensemble, et trouver rapidement un accord. Cela peut être facilement fait s’il est mené par le bon président. Les deux parties sont fatiguées et prêtes à conclure un accord. Les réunions doivent commencer immédiatement, il n’y a pas de temps à perdre. La mort et la destruction DOIVENT CESSER MAINTENANT ! Correctement exécutée, cette guerre terrible et tragique, une guerre qui n’aurait jamais dû commencer en premier lieu, se terminera rapidement. ”
Lorsqu’on lui a demandé si s’opposer à la Russie en Ukraine était un intérêt stratégique national américain vital, Trump a répondu : “ Non, mais c’est pour l’Europe. Mais pas pour les États-Unis. C’est pourquoi l’Europe devrait payer bien plus que nous, ou autant. ”
Carlson a également posé les questions suivantes :
Les États-Unis devraient-ils soutenir un changement de régime en Russie ?
Trump a répondu: “ Non. Nous devrions soutenir le changement de régime aux États-Unis, c’est bien plus important. C’est l’administration Biden qui nous a mis dans ce pétrin. ”
En réponse à l’observation selon laquelle l’économie et la monnaie de la Russie sont plus fortes qu’avant la guerre, on a demandé à Trump si les sanctions américaines avaient été efficaces ? “Non, ils n’ont pas été efficaces. Tout le contraire. ”
Pensez-vous que les États-Unis courent le risque d’une guerre nucléaire avec la Russie ? “ Cela dépend de qui est le président des États-Unis. Pour le moment, avec Biden comme président, absolument oui. ”
Les sentiments anti-interventionnistes de Trump étaient bien connus et lui avaient valu la colère des néocons et des interventionnistes progressistes.
DeSantis se déclare anti-interventionniste sur l’Ukraine
TAMPA, FL – NOVEMBER 08: Florida Gov. Ron DeSantis, his wife Casey DeSantis and their children walk on stage to celebrate victory over Democratic gubernatorial candidate Rep. Charlie Crist during an election night watch party at the Tampa Convention Center on November 8, 2022 in Tampa, Florida. DeSantis was the projected winner by a double-digit lead. (Photo by Octavio Jones/Getty Images)
Mais les médias ont été ébranlés dans leur noyau impérial lorsque le principal rival de Trump pour la nomination du GOP, le gouverneur de Floride, Rick DeSantis, a exprimé des hérésies anti-interventionnistes similaires. En réponse à la question de Carlson, De Santis a publié une déclaration qui comprenait ce qui suit :
« Alors que les États-Unis ont de nombreux intérêts nationaux vitaux, (par exemple)… vérifier la puissance économique, culturelle et militaire du Parti communiste chinois, s’empêtrer davantage dans un différend territorial entre l’Ukraine et la Russie n’en fait pas partie. Le financement virtuel par « chèque en blanc » par l’administration Biden de ce conflit « aussi longtemps qu’il le faudra », sans objectifs ni responsabilité définis, détourne l’attention des défis les plus urgents de notre pays…
« Sans aucun doute, la paix devrait être l’objectif. Les États-Unis ne devraient pas fournir d’assistance qui pourrait nécessiter le déploiement de troupes américaines ou permettre à l’Ukraine de s’engager dans des opérations offensives au-delà de ses frontières. Les F-16 et les missiles à longue portée devraient donc être écartés. Ces mesures risqueraient d’entraîner explicitement les États-Unis dans le conflit et de nous rapprocher d’une guerre chaude entre les deux plus grandes puissances nucléaires du monde. Ce risque est inacceptable.
« Une politique de « changement de régime » en Russie (sans aucun doute populaire parmi les interventionnistes de la politique étrangère de DC) augmenterait considérablement les enjeux du conflit, rendant l’utilisation des armes nucléaires plus probable. »
Les médias de l’establishment deviennent zinzins
Voir DeSantis grimper à bord du train de la paix MAGA, bien que juste à temps pour attraper le fourgon de queue, a incité le comité de rédaction du Wall St. Journal à rédiger un article intitulé « Le gouverneur de Floride joue avec une retraite trumpienne sur l’Ukraine » :
«Ron DeSantis esquisse une campagne présidentielle basée sur son succès manifeste au pouvoir en Floride et en tant que combattant intrépide pour le principe qui ignore les sondages. Alors comment expliquer sa capitulation déroutante cette semaine face à la tentation trumpienne du recul américain ?
« Ce n’est pas une façon trop forte de décrire sa décision d’appeler la guerre en Ukraine un « différend territorial » qui n’est pas un intérêt vital pour les États-Unis. Il a déclaré à Fox News que donner aux Ukrainiens des armes à longue portée et des avions de chasse ne devrait pas être « sur la table », évoquant la perspective d’une guerre nucléaire avec la Russie. Et il a appelé à la ‘paix’…’ »
Un appel à la paix ! Appelez Christopher Wray et dites-lui d’enfermer le gouverneur de Floride. Le WSJ, comme tant d’autres, s’est senti trahi. Leur homme pour contrer Trump était passé de l’autre côté de l’interventionnisme – du moins semblait-il.
Le New York Times s’est joint à lui et n’a pas tardé à souligner l’ampleur de la déception dans les cercles républicains de l’establishment, en titrant : » DeSantis, s’éloignant de l’Ukraine, met en colère les faucons du G.O.P.: Le gouverneur de Floride, qui s’est joint à Donald Trump pour déclarer que défendre l’Ukraine contre La Russie n’était pas un intérêt vital, a suscité des condamnations rapides de la part des républicains de l’establishment. ”
Mais dans le cas de De Santis, tout n’était pas perdu pour les interventionnistes. Le Times notait :
« M. DeSantis s’est laissé une marge de manœuvre dans sa déclaration. Le gouverneur n’a pas promis de mettre fin à toute aide américaine à l’Ukraine – une omission remarquée par certains opposants purs et durs au soutien à l’Ukraine, qui ont critiqué M. DeSantis pour avoir laissé ouverte la possibilité qu’il maintienne le flux d’aide américaine. ”
Et bien sûr, quelques jours plus tard, DeSantis s’est agité. Le Times s’est immédiatement penché sur l’affaire . Il rapportait que « le manque de critiques de De Santis à l’égard de M. Poutine » et le fait qu’il avait « tourné en dérision la notion de changement de régime en Russie » avaient dérangé les faucons de guerre. Mais DeSantis s’était racheté – ou avait tenté de le faire – en qualifiant Poutine de « criminel de guerre », ce qui était présenté comme « clarifiant » ses commentaires à Tucker Carslon, une clarification que Carlson a ridiculisée et que le Times a noté comme suit : « Le gouverneur a un enregistrement en tant que membre du Congrès qui a laissé différentes personnes croire qu’il partage leurs opinions sur la politique étrangère , même lorsque ces personnes sont aux extrémités opposées du spectre. ”
Trump s’est également offert une marge de manœuvre considérable. Donc, le scepticisme est justifié comme il l’est toujours. Après tout, Nixon a affirmé qu’il avait un « plan secret » pour mettre fin à la guerre américaine contre le Vietnam. Il n’a pas mis fin à la guerre. D’autre part, Eisenhower a promis qu’il mettrait fin aux combats dans la guerre américaine contre la Corée. Il a mis fin aux combats. Donc, le scepticisme, et non le cynisme, est de mise. Le résultat dépend en grande partie de la façon dont l’électorat en vient à voir la guerre.
La pire peur des Faucons guerriers
Comme sa contribution à cette tempête induite par Carlson, Politico a fourni une taxonomie du champ présidentiel du GOP . En arrière-plan se trouvent Biden et les démocrates, tous engagés dans la guerre contre la Russie en utilisant des mandataires (i.e. de la chair à canons) ukrainiens. Politico a classé les candidats du GOP en trois catégories, les « internationalistes basés sur des règles », c’est-à-dire les faucons de guerre ; les « internationalistes conservateurs », c’est-à-dire des faucons de guerre encore plus bellicistes; et les « nationalistes conservateurs » (peut-être mieux appelés « anti-interventionnistes conservateurs »), c’est-à-dire Trump et DeSantis. Et Politico souligne que Trump et DeSantis sont également les favoris des prochaines élections du candidat GOP.
Et cela nous amène au cœur du problème qui afflige les hégémonistes du NYT, du WSJ, de l’aile Establishment du GOP et de toutes les ailes du Parti démocrate. Trump et DeSantis reflètent les opinions d’un nombre croissant de membres de la base du GOP sur la question de l’Ukraine. C’est une menace pour toute l’entreprise hégémonique, une menace que les faucons de guerre ne peuvent ignorer.
Le sentiment anti-interventionniste de la base du GOP s’est manifesté de manière convaincante et spectaculaire au printemps dernier lorsque le Congrès a voté sur 40 milliards de dollars pour l’Ukraine en mai 2022. 68 membres du Congrès ont voté « non », 57 à la Chambre et 11 au Sénat, tous républicains. (Dans le même temps, l’absence de refus de la part de l’ensemble du caucus démocrate « progressiste » et de l’ensemble du parti démocrate a révélé leur adhésion à la guerre par procuration.)
La conservatrice Heritage Foundation, autrefois profondément belliciste, a fait pression pour voter contre les milliards en faveur de l’Ukraine. Qu’est-il arrivé au faucon intérieur d’Heritage ? Le président de la Fondation a expliqué : « C’est le travail des conservateurs à l’intérieur du Beltway de mieux se connecter avec les conservateurs à l’extérieur du Beltway, et non l’inverse. » Le Times l’a précisé : « La position de la Heritage Foundation… reflète la puissance croissante de l’impulsion « L’Amérique d’abord » au sein du Parti républicain, et à quel point elle s’est transmise aux leaders d’opinion qui façonnent sa vision du monde politique. » Une politique étrangère en cascade s’empare de la droite populiste. Et c’est la principale crainte de la foule hégémonique, à la fois libérale/progressiste et néoconservatrice.
Le mandat de vaccin contre le coronavirus du président Joe Biden est illégal en vertu de la loi fédérale, a déclaré jeudi la cour d’appel fédérale du cinquième circuit lors d’une défaite majeure pour l’administration Biden.
Biden a publié le décret exécutif 14043 le 9 septembre 2021, exigeant que 4,2 millions d’employés fédéraux reçoivent un vaccin Covid comme condition de maintien de l’emploi par le gouvernement fédéral. Il a affirmé qu’il avait ce pouvoir en vertu de la loi sur la réforme de la fonction publique (CSRA) dans le cadre de la détermination des «conditions de travail» pour les employés, et qu’il avait également le pouvoir inhérent en vertu de l’article II de la Constitution d’exiger que les employés fédéraux obtiennent le coup.
Un groupe à but non lucratif nommé Feds for Medical Freedom a poursuivi au nom de ses 6 000 membres qui sont des employés fédéraux, rejoints par d’autres groupes et des plaignants individuels, arguant tous que le président n’a pas une telle autorité, et demandant une injonction préliminaire pour bloquer le mandat pendant l’affaire se joue au tribunal. Ils sont représentés par Boyden Gray & Associates, un cabinet d’avocats spécialisé dirigé par le célèbre avocat Boyden Gray, qui a été avocat à la Maison Blanche sous le président George HW Bush et est également un ancien ambassadeur des États-Unis. Plusieurs avocats de l’administration Trump qui travaillent maintenant dans son cabinet, Jonathan Berry, Michael Buschbacher et Trent McCotter ont mené le défi.
Le juge Jeffrey Brown du tribunal de district américain du district sud du Texas était d’accord avec les challengers, estimant que le président n’avait pas cette autorité. Notant que les 6 000 employés et autres plaignants étaient dispersés dans tout le pays parmi pratiquement toutes les agences fédérales, il a émis une injonction préliminaire bloquant le mandat de vaccin de Biden à l’échelle nationale.
Joe Biden reçoit son cinquième vaccin covid….vous vous demandiez pourquoi il ne parle presque plus.
Les appels du ministère de la Justice et un panel de 3 juges composé principalement des quelques juges libéraux du cinquième circuit – qui est dans l’ensemble la cour d’appel fédérale la plus conservatrice du pays – ont jugé que les tribunaux fédéraux n’avaient pas compétence pour trancher des différends CSRA comme celui-ci, dissoudre l’injonction sans commenter le bien-fondé juridique.
Mais ensuite, l’ensemble du cinquième circuit a voté pour réentendre l’affaire en banc, ce qui signifie que tous les juges du tribunal entendront l’affaire ensemble – soit 17 juges, mais 16 juges à l’époque en raison d’une vacance – mettant de côté le 3- la décision du panel de juges, et rétablissant ainsi l’injonction du juge Brown pendant que l’appel était en cours de décision.
Le cinquième circuit complet en banc a rendu sa décision jeudi, le juge Andrew Oldham rédigeant l’opinion majoritaire pour ce qui est essentiellement une décision 10-6, bien que certains juges se soient divisés sur d’autres questions mises en évidence dans des opinions séparées.
Un manifestant tient une pancarte indiquant « End All Mandates » alors que les gens se rassemblent pour un rassemblement avec des camionneurs au début de la manifestation « The Peoples Convoy » contre le vaccin Covid-19 et les mandats gouvernementaux à Adelanto, en Californie, le 23 février 2022
Oldham a expliqué en détail pourquoi les tribunaux fédéraux ont effectivement compétence sur cette contestation, en parcourant soigneusement des arguments très techniques expliquant pourquoi cela n’est pas laissé entre les mains du conseil qui entend les plaintes du CSRA.
Passant au fond de la contestation judiciaire, Oldham a écrit pour la majorité de 10 juges, « nous n’avons pas besoin de répéter le raisonnement du tribunal de district, avec lequel nous sommes d’accord pour l’essentiel ».
Cet avis du tribunal de district de Brown avait conclu que CSRA « autorise le président à réglementer la conduite sur le lieu de travail des employés de la direction, mais pas leur conduite en général ».
« Appliquant cette même logique à l’autorité du président en vertu de [la CSRA], il ne peut pas exiger que les employés fédéraux civils se soumettent au vaccin comme condition d’emploi », a ajouté Brown.
Brown a également rejeté l’argument selon lequel l’article II de la Constitution donne au président le pouvoir inhérent d’exiger des vaccins, estimant que « le gouvernement ne mentionne aucun exemple d’un précédent directeur général invoquant le pouvoir d’imposer des procédures médicales aux employés fédéraux civils ».
Le juge James Ho a rejoint l’opinion du juge Oldham dans son intégralité, ajoutant une opinion concordante rejointe par la juge Edith Jones, soulignant que le CSRA pourrait être inconstitutionnel et soulignant comment pendant des décennies de nombreux employés fédéraux ne tiennent pas compte des directives du président élu sous lequel ils servent. , car en vertu de la CSRA, il est très difficile de licencier un employé fédéral.
Citant plusieurs universitaires, Ho écrit :
De plus, les employés fédéraux le savent et en profitent à pleine gorge. Comme toute personne ayant déjà occupé un poste de direction au sein de l’exécutif peut en témoigner, les employés fédéraux se considèrent souvent, non comme des subordonnés tenus de réaliser la vision du président, qu’ils soient personnellement d’accord avec elle ou non, mais comme un intérêt autonome groupe habilité à imposer des exigences à ses supérieurs. En conséquence, les présidents peuvent avoir du mal à mettre en œuvre leur programme si les fonctionnaires traînent collectivement les pieds ou manquent de compétence pour exécuter les ordres du président.
Ho a poursuivi, citant un éminent professeur :
En effet, un chercheur a souligné que le plus grand obstacle pour tout président n’est pas la séparation des pouvoirs conçue par nos fondateurs, mais les millions d’employés fédéraux qui sont censés travailler pour lui. Ces employés peuvent traîner les pieds, fuir dans la presse, menacer de démissionner et employer d’autres tactiques pour saper les initiatives [d’un président] s’ils s’y opposent. Ils sont également difficiles à licencier, grâce aux protections de la fonction publique.
Cependant, Ho a noté que Biden ne contestait pas la constitutionnalité du CSRA, et donc cette affaire n’est pas un moyen approprié pour déterminer si les présidents ont toujours le pouvoir de licencier les subordonnés qui refusent de suivre les instructions du président.
L’affaire revient maintenant à la salle d’audience de Brown pour des procédures supplémentaires, notamment pour déterminer si l’injonction continuerait à bloquer le mandat à l’échelle nationale ou serait limitée aux 6 000 membres représentés dans l’affaire.
Le ministère de la Justice a également la possibilité de demander à la Cour suprême de revoir la décision du cinquième circuit.
L’affaire est Feds for Medical Freedom c. Biden , n ° 22-40043 devant la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit.
DERNIÈRE NOUVELLE
Et bien le revoilà ! La rage tonitruante démocrate de l’autoritarisme est giflée !!
Exemple démocrate de « faites-le quand même, obtenez les effets désirés, et la LOI BE Maudit! » est exposée !!
Biden (ou quelqu’un) a écrit un décret en septembre 2021 qui obligeait des millions d’employés fédéraux à obtenir VAXXED ou ELSE !!
Biden n’avait bien sûr aucune « autorité » mais a dit qu’il l’avait fait (quelle frick’n surprise) 😁
Un procès multipartite a fait les défis 😁
Tout le gâchis est maintenant dans les limbes injonctif 😁
Je ne sais pas si les syndicats sont impliqués, mais sinon –
Le mandat de vaccin contre le coronavirus du président Joe Biden est illégal en vertu de la loi fédérale, a déclaré jeudi la cour d’appel fédérale du cinquième circuit lors d’une défaite majeure pour l’administration Biden.
Biden a publié le décret exécutif 14043 le 9 septembre 2021, exigeant que 4,2 millions d’employés fédéraux reçoivent un vaccin Covid comme condition de maintien de l’emploi par le gouvernement fédéral. Il a affirmé qu’il avait ce pouvoir en vertu de la loi sur la réforme de la fonction publique (CSRA) dans le cadre de la détermination des «conditions de travail» pour les employés, et qu’il avait également le pouvoir inhérent en vertu de l’article II de la Constitution d’exiger que les employés fédéraux obtiennent le coup.
Un groupe à but non lucratif nommé Feds for Medical Freedom a poursuivi au nom de ses 6 000 membres qui sont des employés fédéraux, rejoints par d’autres groupes et des plaignants individuels, arguant tous que le président n’a pas une telle autorité, et demandant une injonction préliminaire pour bloquer le mandat pendant l’affaire se joue au tribunal. Ils sont représentés par Boyden Gray & Associates, un cabinet d’avocats spécialisé dirigé par le célèbre avocat Boyden Gray, qui a été avocat à la Maison Blanche sous le président George HW Bush et est également un ancien ambassadeur des États-Unis. Plusieurs avocats de l’administration Trump qui travaillent maintenant dans son cabinet, Jonathan Berry, Michael Buschbacher et Trent McCotter ont mené le défi.