Dans quelques années, les banlieues islamiques de Paris obéiront à leurs propres règles, elles disposeront de leurs propres lois, de leurs propres principes, voire de leurs propres policiers.Alexandre Mendel
C’est déjà le cas, Alexandre Mendel, auteur du livre ‘Partition’ a déclaré en interview.
L’Europe a été confrontée à un grand nombre de migrants originaires de pays d’Afrique et du Moyen-Orient déchirés par la guerre. Aujourd’hui, beaucoup s’inquiètent de l’islamisation de l’Europe et de l’échec des musulmans dans l’assimilation dans leurs nouveaux pays.
RT a rencontré l’écrivain Alexandre Mendel, dont le nouveau livre «Partition» est consacré à l’incapacité des musulmans à s’intégrer en France, et a discuté de la situation actuelle dans ce pays.
RT: Commencez par décrire votre livre à nos lecteurs.
Alexandre Mendel: Mon dernier livre, «Jihadist France», ne concernait que les terroristes français. ‘Partition’ concerne principalement l’islamisation de la France, ce qui se passe en France, dans les écoles, les hôpitaux, le travail, les clubs sportifs, etc. Je ne parle pas cette fois du terrorisme, mais de la façon dont la France a décidé le gouvernement – qu’on le veuille ou non – a collaboré et accepté une sorte d’entente avec l’islam. C’est le sujet principal du livre.
Il y a au moins deux choses importantes dans l’islamisation. La première est que vous ne pouvez pas toujours être aveugle avec ce problème. Pendant 20-30 ans, nous avons laissé tomber nos règles, nos principes, nos idéaux républicains; nous avons négocié avec les islamistes. Nous sommes totalement aveugles à ce genre de petits signaux indiquant que certaines régions de la France étaient en train de devenir islamisées. Cela peut expliquer le terrorisme d’aujourd’hui en France. Si nous n’acceptions pas ces petits arrangements avec l’islam radical, nous n’aurions probablement pas eu autant d’attaques en France. C’est pourquoi il est si important aujourd’hui de ne plus être aveugle en France et de dire la vérité.
Mon livre est composé de très nombreux reportages en France. Ce n’est pas un livre théorique – c’est un livre écrit par un journaliste. Nous sommes allés là-bas, nous sommes allés aux écoles, aux hôpitaux, aux villes où la police et la police ne se sont jamais mises à pied pour voir la réalité et parler de la réalité. Beaucoup de Français, en particulier de journalistes français et de politiciens français n’y vont jamais. Il est très important aujourd’hui d’être journaliste dans ces régions où personne ne met plus les pieds. Ceci est un témoignage de notre temps moderne.
RT: Que devrait-on faire pour intégrer les gens dans la société? Est-ce seulement un truc musulman ou d’autres groupes?
AM: Dans mon livre, je dis qu’il n’y a pas de solution, car il est trop tard. il n’y aura pas de solution. Vous ne pouvez pas les renvoyer dans leur pays – ils sont français – les Français ne peuvent pas les renvoyer. Ce que la France deviendra dans les 10 ou 20 prochaines années sera une sorte de nouveau Liban à certains endroits en France.
Par exemple, prenons des banlieues parisiennes: elles auront leurs propres règles, elles auront leurs propres lois, leurs propres directeurs, peut-être même leurs propres policiers. C’est déjà le cas. Le fait qu’en France, à l’heure actuelle, la France n’exerce aucun contrôle sur ces zones. Nous l’avions déjà accepté et nous ne nous défendrons pas pour ramener ces banlieues en France. C’est déjà fait – nous avons déjà perdu la guerre contre eux.
Ainsi, les riches en France se trouveront dans les quartiers chics de Paris, loin des problèmes, et les pauvres devront alors faire face à l’islamisme quotidiennement. C’est la façon dont nous avons déjà accepté cela.
RT: Pourquoi l’intégration a-t-elle échoué en France, selon vous?
AM: L’intégration a échoué en France, mais pas seulement en France – dans de nombreux autres pays, car nous avons enterré notre principe républicain pour imiter réellement ce qui existe en Grande-Bretagne, au Canada ou aux États-Unis. accepter que vous puissiez être français, obtenir la citoyenneté française sans même parler français, sans même aller à l’école républicaine française, obtenir la citoyenneté française, sans vivre comme les français. La France n’est pas un nouveau pays d’immigration – elle a une très longue histoire d’immigration. Dans les années 1920, les gens venaient de toute l’Europe, de Pologne, de Russie, d’Arménie, d’Italie, et il n’y avait aucun problème pour les intégrer, pas un problème du tout…
C’est l’air du temps : le Danemark, un des pays les plus progressistes d’Europe, est à son tour en train de tourner le dos aux migrants, au point où certains affirment ne plus reconnaître leur pays.
À l’extérieur de la mosquée de la capitale Copenhague, les textes sacrés gravés sur les murs sont écrits en danois, pas en arabe ni en anglais. Même chose pour les épiceries spécialisées, où le danois et l’écriture arabe se côtoient sur les affiches.
On pourrait en conclure que cette petite société bien fière peut intégrer et absorber ses nouveaux arrivants.
Mais quelque chose a changé depuis qu’une vague de migrants et de réfugiés a déferlé sur l’Europe, il y a quelques années. Cette marée humaine a bouleversé la donne politique un peu partout sur le continent.
En trois ans, les demandes d’accueil, dont une majorité venant de gens issus de pays musulmans, ont triplé au Danemark pour dépasser les 21 000 en 2015.
Maintenant, la part des « non-Occidentaux » au Danemark s’approche des 10 %. C’est beaucoup pour un pays d’à peine six millions d’habitants.
Le « plan ghetto »
De nombreux Danois ont perçu cette vague comme un raz de marée, une sorte d’invasion.
« Si trop de gens viennent trop rapidement, ça cause des problèmes », assure Mads Fuglede, responsable de l‘Intégration et de la citoyenneté au parti Venstre, le parti au pouvoir au Danemark.
Le gouvernement danois a d’abord réagi en adoptant une série de mesures strictes visant à décourager l’immigration. Parmi celles-ci :
allocations moins généreuses pour les migrants;
regroupement familial plus long et difficile;
saisie de biens et d’argent pour les réfugiés entrant au pays;
interdiction de porter le voile intégral dans les espaces publics.
Puis, il y a eu le « plan ghetto », une série de mesures controversées qui ont placé le pays sur l’avant-scène européenne.
Le Danemark a désigné comme ghettos des secteurs où la composition sociale lui paraît problématique, là où il y aurait trop de pauvres, trop de crimes et trop de gens issus de l’immigration.
La mosquée Imam Ali de Copenhague est située dans un quartier commercial où se trouvent plusieurs épiceries et restaurants moyen-orientaux.
De petites zones, soutient le député Fuglede, « que le gouvernement danois ne contrôle plus tout à fait ». « Les policiers ne peuvent y entrer librement. Les ambulances ne peuvent y aller sans escorte policière », affirme-t-il.
Il s’agit donc de lutter contre la criminalité : les crimes commis dans ces secteurs seront punis plus sévèrement, les condamnés ne pourront pas y emménager une fois sortis de prison.
Il y a aussi une série de mesures qui visent à protéger la culture danoise, comme les tests de langue pour les jeunes habitants de ces enclaves ethniques, ou la réduction du nombre de loyers subventionnés.
L’inscription obligatoire des poupons de ces zones dans une garderie située hors de l’enclave a suscité beaucoup de bruit. L’idée est d’exposer rapidement les bébés aux mœurs et à la langue danoise.
Visite dans le « ghetto » de Mjolnerparken
Janni Milsted, une des responsables de l’association des résidants de Mjolnerparken.
« Ce n’est pas un ghetto! » soutient Janni Milsted, qui tenait à le dire et à nous le montrer. Septuagénaire, elle nous fait visiter Mjolnerparken à pied. C’est le quartier qui semble le plus souvent montré du doigt par les autorités danoises.
Certes, la peinture blanche sur les balcons de ce parc de logements abordables est défraîchie et les édifices semblent vieux. Mais on y voit peu de traces d’une zone à l’abandon, où la loi ne serait plus respectée.
La grande majorité des 2000 résidents sont issus de l’immigration. Certains habitent ici depuis des décennies. L’un d’entre eux s’est arrêté quelques minutes pour se plaindre.
L’homme ne se plaint pas des voisins ou de la criminalité, mais de la mauvaise réputation que le gouvernement a faite de son quartier.
« Les compagnies d’assurances ne veulent rien savoir de nous! » lance-t-il, indigné.
Muhammed Aslam, le responsable de l’association des résidants de Mjolnerparken. Lui et sa famille habitent le quartier depuis des années.
« Straf! » Le mot sonne sévère en danois : punition. C’est ainsi que Muhammed Aslam résume sa vision du programme danois pour briser les enclaves ethniques.
C’est en danois qu’il nous accorde une entrevue, une façon subtile de démontrer que les étrangers peuvent bien s’intégrer au Danemark.
À ses yeux, Mjolnerparken est victime d’un sentiment d’intolérance qui s’est abattu sur le pays lorsque la vague de migrants a déferlé sur l’Europe.
« Les partis de droite ont peur de perdre des appuis et ils pensent à la prochaine élection. Ils luttent pour être perçus comme les plus stricts possible sur les questions d’immigration. »
Le virage de la gauche danoise
« Bien sûr que c’est une bonne chose de briser ces sociétés parallèles », avance Lisbeth Vibe Utzon la responsable de la maison d’intégration pour immigrantes Kringlebakken. Ce qu’elle n’aime pas, c’est l’aspect coercitif et répressif des mesures annoncées.
« Ils sont en train de transformer notre démocratie en quelque chose d’autre », avertit-elle. « On fait passer le besoin d’intégration avant les considérations pour les droits humains. C’est déprimant! »
Lisbeth Vibe, la responsable de la ‘maison d’intégration’ Kringlebakken de Copenhague.
Lisbeth Vibe Utzon critique directement les partis de gauche qui, traditionnellement, se portent à la défense des étrangers. La situation actuelle au Danemark les pousse à adopter des positions plutôt de droite.
La migration « remet en question la cohésion sociale », admet le député social-démocrate [opposition] Mattias Tesfaye. Lui-même fils de réfugié, il appuie les mesures sévères contre les étrangers, mais pour aider les Danois moins fortunés.
Car, à ses yeux, l’arrivée trop importante de migrants a surtout causé du tort aux moins nantis, à « ceux qui ont peu d’argent et peu d’éducation ».
« Leurs enfants vont dans des écoles à problèmes, il y a des crimes dans leurs quartiers », reconnaît-il.
Le député préfère envoyer des ressources aux réfugiés installés près des zones de conflits plutôt que de leur ouvrir les portes de son pays. Il y voit une position plus réaliste pour les partis de gauche européens. Plus adaptée aux réalités actuelles.
« L’intégration est possible », explique-t-il, avant d’ajouter qu’il« faut atteindre le bon nombre » d’immigrants. Autrement dit, pas trop.
« Pas trop », c’est la réponse danoise devant ces mouvements de population qui bousculent la donne en Europe comme ailleurs sur la planète.
Le Danemark interdit le voile intégral dans l’espace public
Deux femmes voilées marchent près du parlement danois, à Copenhague.
Le Parlement danois a adopté jeudi,le 31 mai 2018, une loi interdisant le port du voile intégral islamique (burqa ou niqab) dans l’espace public, suivant ainsi d’autres pays européens comme la France ou la Belgique.
« Toute personne qui, dans des lieux publics, porte un vêtement qui lui cache le visage est passible d’amende », indique le texte qui a été adopté par 75 voix contre 30.
Le projet de loi, porté par le gouvernement de centre-droit, avait aussi les faveurs des deux premières forces politiques au Parlement : les sociaux-démocrates et le Parti populaire danois (populiste, anti-immigration).
À partir du 1er août, date d’entrée en vigueur de la nouvelle loi, toute infraction à l’interdiction sera sanctionnée d’une amende de 1000 couronnes danoises (200 $ CA).
Si les infractions sont répétées, l’amende pourra s’élever à 10 000 couronnes (2000 $ CA).
Amnistie internationale a fustigé la loi, dont l’adoption n’a pas dans l’immédiat suscité de tollé.
Si certaines restrictions spécifiques au port du voile intégral peuvent être légitimes pour des raisons de sécurité publique, cette interdiction n’est ni nécessaire ni proportionnée et viole les droits à la liberté d’expression et de religion.
L’interdiction vise également d’autres accessoires qui dissimulent le visage, comme les cagoules ou les fausses barbes.
Aucune statistique officielle sur le nombre de femmes portant le niqab ou la burqa au Danemark n’est disponible.
« Je ne pense pas qu’il y en ait beaucoup […]. Mais si c’est le cas, il faut être puni d’une amende », avait déclaré en février le ministre de la Justice Søren Pape Poulsen à des journalistes, selon l’agence de presse Ritzau.
Selon les défenseurs de cette nouvelle loi, le voile est un outil idéologique d’oppression des femmes dans certaines cultures.
Certains utilisent le voile pour promouvoir une idéologie qui, s’ils réussissent, signifie que beaucoup d’autres perdent leurs droits à la liberté. C’est un équilibre.
Installée au Danemark avec son mari depuis six ans, la Pakistanaise Ayesha Haleem a toujours porté le niqab.
Interrogée par le quotidien DR, cette mère de famille raconte que « beaucoup croient que les hommes nous forcent à porter le niqab ou la burqa ».
« C’est complètement faux, si c’était le cas, je ne le porterais pas quand je ne suis pas avec mon mari », ajoute-t-elle. « C’est ma vie et j’en fais ce que je veux, tant qu’elle ne nuit pas à autrui. »
« Pour moi, le Danemark c’était la liberté. Les femmes pouvaient faire ce qu’elles voulaient », déplore-t-elle, n’excluant pas de quitter le pays plutôt que d’abandonner le port du niqab.
Le port du voile intégral islamique est interdit ou limité dans plusieurs pays européens.
Pays de l’UE qui ont légiféré sur le port du voile intégral
-Allemagne :le port du voile intégral est interdit depuis 2017 dans certains contextes, notamment pour les fonctionnaires qui doivent avoir le visage totalement découvert dans le cadre de leurs fonctions. La loi oblige également les personnes dont le visage est dissimulé à se découvrir en cas de vérification d’identité.
-Autriche :l’interdiction du voile islamique intégral dans les lieux publics est entrée en vigueur le 1er octobre 2017. Les infractions sont passibles d’une amende pouvant aller jusqu’à 150 euros.
-Belgique :le voile intégral est banni en public depuis 2011. Les contrevenants sont passibles d’une condamnation allant jusqu’à 7 jours de prison et/ou d’une amende. La Cour européenne des droits de l’homme a validé cette interdiction en juillet 2017.
-Bulgarie :le Parlement a adopté en septembre 2016 une loi interdisant le port du voile intégral en public, sauf pour raisons de santé ou professionnelles.
-Danemark :le Parlement a adopté jeudi une loi bannissant le port de la burqa ou du niqab dans l’espace public, qui entrera en vigueur le 1er août. Toute infraction sera sanctionnée d’une amende de 1000 couronnes danoises (200 $ CA) qui pourra être portée à 10 000 couronnes (2000 $ CA) en cas de récidive.
-France :premier pays européen à interdire le voile intégral dans l’espace public, avec une loi « interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public » promulguée en octobre 2010 et appliquée depuis avril 2011. Validée par la Cour européenne des droits de l’homme en 2014, elle prévoit en cas d’infraction jusqu’à 150 euros ( 225 $ CA) d’amende.
-Italie :une loi de 1975 interdit de sortir le visage couvert, mais les tribunaux ont systématiquement retoqué les arrêtés municipaux se prévalant de cette loi pour interdire le voile intégral, au motif que le voile résultait plus d’une tradition que d’une volonté de dissimuler son identité. Deux régions tenues par la Ligue (extrême droite), la Lombardie et la Vénétie ont interdit voile intégral et burqa dans les hôpitaux et les bâtiments publics.
-Pays-Bas :les députés ont voté en novembre 2016 un projet de loi interdisant le voile intégral dans certains lieux publics (écoles, hôpitaux, transports en commun) sous peine d’amende allant jusqu’à 405 euros (610 $ CA).
-Royaume-Uni :le ministère de l’Éducation a publié en 2007 des directives permettant aux directeurs d’établissements scolaires d’interdire le niqab. Dans le service de santé public, la décision est à la discrétion des hôpitaux.
-Suède : les établissements scolaires peuvent depuis 2006 interdire le voile s’il nuit à la communication entre élève et enseignant, s’il est dangereux (dans un laboratoire, un cours de sport) ou s’il contrevient aux règles d’hygiène. Partout ailleurs, il est autorisé.
La majorité de ces 6 000 chrétiens massacrés cette année étaient « pour la plupart des enfants, des femmes et des personnes âgées … Ce qui se passe dans … le Nigéria est un pur génocide et doit cesser immédiatement. » – Association chrétienne du Nigéria.
« Il ne fait aucun doute que le seul but de ces attaques est de purifier ethnique, d’accaparer des terres et de chasser de force les indigènes chrétiens de leurs terres et de leur patrimoine ancestraux ». – Association chrétienne du Nigéria.
« De manière réaliste, le christianisme est sur le point de disparaître au Nigéria. L’ascendant de l’idéologie de la charia au Nigeria sonne le bilan des morts pour l’Église nigériane. » – Association chrétienne du Nigéria.
« Seulement un réfugié syrien sur 400 ayant obtenu l’asile au Royaume-Uni l’année dernière était chrétien alors qu’il était soumis à une » persécution épouvantable « . » – Express, UK.
Un prêtre catholique de la grotte du lait à Bethléem (photo) a été légèrement blessé le 1er juin lorsqu’un homme l’a frappé avec ce qui semblait être un couteau.
Chej d’Al Qaeda au Mali
Le djihad sur les chrétiens nigérians
Dans ce que l’Association chrétienne du Nigeria a appelé un « génocide pur , » 238 plus chrétiens ont été tués et des églises profanées par des musulmans tout au long du mois de Juin. Cela porte le nombre de morts de chrétiens à plus de 6000 entre janvier et juin 2018 seulement. Selon une déclaration commune de l’association chrétienne, un groupe de coordination composé de diverses confessions chrétiennes, « il ne fait aucun doute que ces attaques ont pour seul but de purifier ethnique, d’accaparer des terres et d’expulser par la force les indigènes chrétiens de leurs terres ancestrales et patrimoine. » Lors de l’une des attaques, « plus de 200 personnes ont été brutalement tuées et nos églises détruites sans aucune intervention des agences de sécurité en dépit de plusieurs appels de détresse qui leur ont été adressés.
Boko Haram et les jeunes filles enlevées
La majorité de ces 6 000 chrétiens massacrés cette année étaient « pour la plupart des enfants, des femmes et des personnes âgées … Ce qui se passe dans … le Nigéria est un pur génocide et doit cesser immédiatement. » Les détails du meurtre de ces milliers de personnes, bien que rarement rapportés, sont souvent effroyables; beaucoup ont été battus à mort ou décapités à la machette; d’autres ont été brûlés vifs (y compris dans des églises ou des maisons verrouillées); et les femmes sont souvent agressées sexuellement ou violées avant d’être massacrées.
Bosun Emmanuel, secrétaire du Forum national des aînés chrétiens, a averti Bosun Emmanuel, en raison de ces attaques incessantes perpétrées par les islamistes. Le 23 juin, il aurait déclaré que l’administration actuelle du président Muhammadu Buhari au Nigeria « poursuit ouvertement un programme anti-chrétien qui a entraîné d’innombrables meurtres de chrétiens dans tout le pays et la destruction de communautés chrétiennes vulnérables ». En conséquence, « l’Eglise a été affaiblie et incapable de se tenir devant ses ennemis. De manière réaliste, le christianisme est sur le point de disparaître au Nigeria. L’ascendant de l’idéologie de la charia au Nigeria sonne le bilan des morts pour l’Eglise nigériane ».
Attaques musulmanes contre des églises chrétiennes
Bosnie : des inconnus ont incendié une église orthodoxe serbe dans la ville à majorité écrasante musulmane de Visoko. L’incendie criminel a eu lieu aux premières heures de la matinée du dimanche 24 juin. Selon le rapport , « une majorité d’objets à l’intérieur de la Nativité de Theotokos – y compris des icônes et des livres saints – a été détruite, ainsi qu’une partie du toit … La partie principale de l’autel a également été brisée. » Le fait que l’église ait été « récemment réparée sur une période de deux ans » peut être significatif: selon les conditions d’Omar, qui consiste en des stipulations discriminatoires auxquelles les chrétiens doivent adhérer pour exister sous le régime islamique, ils sont tenus « de ne pas construire une église dans notre ville – ni un monastère, un couvent ou une cellule de moine dans les environs – et ne pas réparer ceux qui tombent en ruines ou sont dans des quartiers musulmans « .
Indonésie : des musulmans locaux ont forcé la fermeture d’une autre église chrétienne à Banjarmasin. « Les musulmans ont affirmé que l’approbation donnée à l’église par les autorités locales n’était pas valide et devrait être annulée », indique le rapport.en relation. « En raison de la tension accrue, l’église a dû suspendre ses services, laissant la congrégation de 100 personnes sans aucun lieu de rencontre. » La loi indonésienne exige la signature d’au moins 60 ménages locaux et non chrétiens, c’est-à-dire musulmans, avant que les demandes d’adhésion à des églises chrétiennes soient acceptées. En raison de ces exigences, une autre église établie en 1995 dans la même ville a dû changer de lieu de réunion sept fois. « Les chrétiens représentent au moins 15% de la population indonésienne et, jusqu’à il y a une génération, chrétiens et musulmans vivaient paisiblement sur un pied d’égalité », indique le rapport.. « Cependant, les chrétiens sont confrontés à une discrimination et à une violence grandissantes. Plusieurs églises ont été attaquées, y compris les attentats-suicides à la bombe commis par des membres de la même famille le dimanche 13 mai 2018. »
Pakistan : Après des mois de harcèlement local – y compris se dit « pour supprimer tous les signes visibles du christianisme de leur église » – chrétiens ont finalement ordonné de démolir leur église parce que « les musulmans sont majoritaires dans le village, [et] nous ne pouvons pas autoriser une église ici « , citeun dirigeant musulman local. Il a ajouté que les quarante familles chrétiennes auraient besoin de construire une église en dehors du village. « Quand cela sera fait, nous ferons en sorte que les chrétiens écrivent un accord stipulant qu’ils vont vendre l’actuel bâtiment de l’église ou au moins démanteler la structure de l’église et les traverser », a-t-il déclaré. « L’église appartient à Full Gospel Assemblies, un groupe évangélique travaillant au Pakistan, et a été construite sur une terre appartenant à [un] chrétien âgé de 70 ans »le rapport indique. Selon Rafaqat Masih, qui représente la cause chrétienne: « La construction a commencé en 2012 et nous organisons des services de culte depuis. Mais en décembre 2016, les musulmans de la localité s’y sont opposés et ont déposé une requête contre nous au poste de police local. À cette époque, un compromis a été trouvé et nous avons de nouveau commencé à organiser des services. Mais, en décembre 2017, ils ont déposé une demande au poste de police, après quoi nous avons été appelés à signer un accord, « mettant un terme à toute utilisation du le bâtiment comme une église. Après la convocation des chrétiens à une autre réunion le 2 juin, Masih a déclaré:
« Nous sommes obligés de démolir la structure d’église existante et, au lieu de cela, ils nous laisseraient construire une église sur un terrain du gouvernement situé à l’extérieur du village qui est déjà dédié à une école. Ils n’ont même pas fourni de documentaire. la preuve que ce terrain serait transféré aux chrétiens. Un autre problème est que nous avons travaillé pendant plusieurs années à la construction de cette église. Maintenant, qui va payer pour la construction à partir de rien? «
« La plupart des chrétiens sont de pauvres ouvriers », ajoute le rapport.
Le mépris extrémiste et le mauvais traitement des chrétiens
Bethléem : un homme de la région a frappé un prêtre catholique avec un objet non identifié – décrit de diverses manières comme un couteau, une clé et un objet contondant. Selon un rapport :
« À la grotte du lait de Bethléem, le révérend Fadi Shallufi a ouvert les portes de la chapelle aux touristes étrangers, y compris les femmes harcelées par deux hommes, vendredi après-midi [1] … Les hommes à travers les barreaux des portes fermées. Un des hommes tire ce qui semble être un couteau de sa poche et frappe Shallufi alors que le clergyman franciscain recule, indique le film. «
Le prêtre a subi des blessures mineures. La police palestinienne aurait arrêté deux hommes alors qu’ils prenaient « de tels incidents au sérieux, car ils peuvent nuire au tourisme. Environ 80 à 85% de la population de la Cisjordanie est musulmane sunnite ». En parlant de cet incident, un activiste des droits de l’homme a déclaré :
« Bien que nous soyons reconnaissants que personne n’ait été sérieusement blessé lors de cet incident, les chrétiens du Moyen-Orient vivent constamment dans la crainte de telles attaques. Malheureusement, l’escalade de l’intimidation, du harcèlement et de la violence à l’égard des chrétiens est un phénomène trop courant Ramadan. »
Pakistan: un chrétien handicapé reconnu coupable de blasphème a été battu par des détenus musulmans pour avoir prié le 22 juin. Trois ans plus tôt, Yaqoob Bashir, 25 ans, avait été accusé par un religieux musulman d’avoir brûlé des pages d’un livret contenant des versets coran. Il a été arrêté et emprisonné. Selon un activiste des droits de l’homme local au courant du cas:
« Bashir devait se présenter devant le tribunal le 23 juin et avant de comparaître, le jeune chrétien voulait prier le soir. Cependant, les prisonniers qui l’accompagnaient ne lui ont pas permis de prier devant eux. Lorsque Bashir a poursuivi, quatre d’entre eux s’est énervé et l’a frappé très fort. Il a été blessé au visage, aux yeux, au menton et à la tête. «
« Il est triste d’entendre que les chrétiens ne sont pas sûrs même en garde à vue, » évêque Samson Shukardin du diocèse de Hyderabad a dit .
« Il est du devoir de l’État d’assurer la protection de tous les citoyens. Si un jeune chrétien est confronté à la violence et à la torture en prison, alors on ne peut qu’imaginer le nouveau sommet de la persécution … À ce stade, je m’inquiète pour Autoriser une attaque contre un détenu handicapé mental montre que les autorités pénitentiaires ne cherchent pas sincèrement à protéger les citoyens, pas plus que le gouvernement n’a de politique claire pour juguler les mouvements extrémistes. «
Tadjikistan : des musulmans locaux ont tenté d’ empêcher un chrétien d’enterrer le cadavre de sa femme jusqu’à son retour à l’islam. « Quand une femme chrétienne âgée d’origine musulmane est décédée la semaine dernière », explique le rapport du20 juin .
« … son mari Mihrab et ses enfants – tous chrétiens – ont organisé une cérémonie funèbre et invité des personnes de leur église. Mais les parents musulmans de Mihrab ont également invité des musulmans locaux, y compris un religieux, qui a exigé que Mihrab se reconvertisse refuserait de tenir la cérémonie et les empêcherait d’enterrer la femme chrétienne dans le cimetière local. Mihrab a répondu que le pasteur de son église pourrait tenir la cérémonie, mais les musulmans présents ont juré qu’ils ne laisseraient pas le corps de la femme être enterré, disant Mihrab et sa famille étaient des « traîtres à l’islam ». «
Après avoir fait appel à un responsable local, la famille chrétienne a finalement été autorisée à laisser reposer sa femme et sa mère. « Les enterrements sont un exemple de la manière dont les chrétiens sont mis sous pression en Asie centrale », indique le rapport .
« La tradition veut que les cadavres reviennent dans la communauté du village d’origine de la famille, mais les convertis sont perçus comme apportant de la honte à la communauté. souvent empêché d’y être enterré « .
Maroc : Bien que jugés nettement moins radicaux que les autres nations musulmanes, les chrétiens du royaume musulman d’Afrique du Nord sont toujours considérés et traités comme des citoyens de seconde zone. toute expression publique de la foi leur crée des difficultés. Par exemple, « [b] ien loi, seuls les chrétiens étrangers sont autorisés à adorer collectivement dans des églises, dont beaucoup ont été érigées pendant la période coloniale française, et le prosélytisme est puni de trois ans de prison », selon un rapport du 8 juin . De même, deux convertis au christianisme ont dû:
« … se marier lors d’une petite cérémonie dans la salle de réunion d’un groupe de défense des droits de l’homme dans la capitale marocaine, en ignorant les menaces proférées par des habitants de sa ville natale conservatrice … Ils font partie d’une infime minorité convertie au christianisme et exigeant des conseils juridiques. reconnaissance de leur mariage. L’islam est la religion d’État dans le Maroc à majorité sunnite, où seuls les mariages entre musulmans et juifs sont légaux. «
« A partir de maintenant, je dois porter le niqab [voile sur le visage] si je veux me promener dans les rues de ma ville natale », a déclaré la nouvelle épouse après la cérémonie. « Nous voulons être reconnus en tant que citoyens chrétiens marocains et jouir du droit aux mariages et aux cérémonies d’inhumation légaux, conformément à notre religion », a déclaré un représentant local des droits de l’homme. Un autre couple chrétien à qui ils ont refusé de se marier dans un cadre charia et, par conséquent, leur mariage chrétien reste non reconnu, a déclaré :
« Nous courons le risque d’être accusés de fornication punissable par le code pénal (…) Nous sommes victimes de discrimination de la part d’autorités qui ne nous reconnaissent pas comme chrétiens marocains, ainsi que de pressions sociales et de harcèlement en raison de notre choix de foi. »
Selon la VOA, « la communauté chrétienne autochtone est estimée à plus de 50 000 par les dirigeants locaux, mais il n’existe aucune statistique officielle ».
Abus extrémistes de chrétiens en Égypte
Après que les chrétiens eurent objecté qu’un groupe d’hommes musulmans nageait complètement nus devant leurs maisons, tandis que les femmes chrétiennes étaient assises à l’extérieur: en criant ‘Allahou Akbar’ [Allah est plus grand] et en scandant des slogans contre les Coptes « , a déclaré un habitant de la région, Nashaat Ezzat . « Ils ont brisé les fenêtres et les portes de certaines maisons, pillé et détruit des propriétés. » Six chrétiens ont été blessés et ont eu besoin de points de suture dans la tête. La police est arrivée trois heures plus tard et a arrêté sept chrétiens et deux musulmans. Selon le rapport« Des chrétiens locaux ont déclaré que la police les avait arrêtés afin de faire pression sur la communauté chrétienne pour qu’elle se réconcilie avec ses assaillants musulmans en échange de la libération des coptes détenus ». Ils ont tous été libérés cinq jours plus tard.
Bien que les chrétiens ne soient pas légalement tenus de respecter le ramadan, y compris en se joignant aux musulmans pour le jeûne pendant la journée, un chrétien a été arrêté et deux chrétiens battus pour ne pas avoir observé la fête musulmane. Quand Hani George, 31 ans, est arrivé à la gare de Gizeh, un officier de police lui a demandé son identité. Une fois que l’officier s’est rendu compte que Hani était chrétien, il a commencé à fouiller dans son sac: « Il y avait une bouteille d’eau dans mon sac et, pendant qu’il le cherchait, il regardait cette bouteille avec colère », a déclaré George . « Il m’a pris ma carte d’identité et m’a demandé de le suivre. Quand j’ai résisté et demandé où il m’emmenait, il a commencé à m’insulter et m’a ordonné de cesser de parler – comme si j’étais un criminel. »
« L’officier m’a dit: ‘Pourquoi avez-vous eu cette bouteille d’eau pendant que nous sommes en Ramadan?’ Je leur ai dit que je ne jeûnais pas parce que j’étais chrétien, mais ils m’ont insulté et ont dit que je resterais là jusqu’au coucher du soleil et que je ne pouvais pas m’asseoir … J’ai été détenu au poste de police pendant plus de deux heures. et a été traitée de façon très humiliante pour n’avoir rien fait. Quand je suis au travail, je ne mange pas et ne bois pas devant mes collègues musulmans, en signe de respect. «
Par ailleurs, le 6 juin, un agriculteur, Adel Ayoub, âgé de 52 ans, buvait de l’eau à l’extérieur lorsqu’il a été approché par un groupe de jeuneshommes. « Ils m’ont demandé : » Pourquoi rompez-vous le jeûne du Ramadan? » Je leur ai dit que j’étais chrétien. Dès qu’ils ont entendu le mot «chrétien», ils m’ont attaqué et frappé avec leurs mains jusqu’à ce que je m’évanouisse presque. «
Dans un autre incident survenu le 1er juin, un chauffeur de bus chrétien a été battu pour avoir bu du thé. En attendant à un arrêt de bus, un témoin oculaire a vu un groupe d’hommes attaquer un bus et en briser les vitres. « J’ai approché le microbus et découvert que le chauffeur avait été attaqué parce qu’il buvait une tasse de thé à l’intérieur et aussi parce qu’il était chrétien. Il portait un tatouage représentant une croix sur son poignet droit », a-t-il ajouté . Selon le rapport :
« La maison égyptienne Fatwa, un centre de recherche islamique présidé par le gouvernement, a déclaré en 2016 que manger ou boire pendant les heures de jeûne du Ramadan » ne fait pas partie de la liberté personnelle des gens « , mais plutôt d’une agression contre l’Islam. »
Enfin, discutant de ce qu’il appelle « une flambée des enlèvements et des disparitions de femmes et de filles chrétiennes dans les zones rurales d’Égypte et dans certaines villes », un rapport du 13 juin a expliqué qu’il existe une « stratégie en matière de traite qui cible les jeunes filles chrétiennes coptes et les contraint à convertissez-les en Islam, puis vendez-les soit pour des soins domestiques dans d’autres pays, soit pour le commerce du sexe. » C’est « une tactique pour démoraliser les femmes et humilier la communauté chrétienne ».
« Il y a eu sept enlèvements de femmes coptes chrétiennes au mois d’avril [seul] et un huitième le 2 mai … Une des filles qui a été kidnappée, Mirna Malak Shenouda, une chrétienne copte de 16 ans Une fille a échappé à ses ravisseurs… Il a été enlevé par deux femmes et un homme à Assouan. Elle avait été assommée, mais s’était réveillée dans un train. À l’un des arrêts, elle a sauté et a appelé ses parents. La fuite et le sauvetage de Shenouda sont rares. «
Les familles chrétiennes se plaignent du fait que la police ne fait souvent rien.
Dans un cas , « après que la famille eut signalé à la police, ils sont retournés au poste pour des mises à jour et la police a déclaré que la femme était entrée dans le poste, qu’elle ne manquait pas et qu’elle s’était volontairement convertie à l’islam. Je crois qu’elle adorerait jamais se convertir volontairement à une religion différente, car elle aime Dieu. Cependant, la police locale n’enquêtera plus sur cette affaire ou sur des affaires similaires. «
Facilitateurs occidentaux du suprématisme religieux contre les chrétiens
Irak : un dirigeant de la communauté chrétienne a déploré que « l’accent mis par le pape [François] sur une plus grande tolérance et compréhension de l’islam ait laissé la minorité chaldéenne profondément persécutée [chrétiens irakiens] se sentir insécurisée et vulnérable », selon un rapport. Dans une interview, Aziz Emmanuel al-Zebari, 68 ans, candidat politique chaldéen et professeur à l’Université catholique d’Erbil, a déclaré« Nous avons en fait été affaiblis par la position prise par le Vatican. Le Vatican enseigne à la communauté à se soumettre. Cela ne nous aidera pas à obtenir nos droits. » Zebari a qualifié l’approche du pape de « naïve et à courte vue … Il ne peut pas y avoir de dialogue quand une partie est en panne et que l’autre partie a le dessus … Il n’y a pas de terrain égal ici. » Les Chaldéens d’Irak, a-t-il déclaré, « ont payé le prix fort pour être chrétiens, et nous ne pouvons pas triompher sans protection. Quand je suis déplacée, quand ma famille est menacée de violences sexuelles, on me dit alors de prier et d’être tolérant. » Nous n’attendons aucun soutien du Vatican. Nous sommes dans une situation désespérée. «
On se rappellera les chrétiens crucifiés sur des poteaux de téléphone par l’État Islamique.
Royaume-Uni: « L’année dernière, seulement un réfugié syrien sur 400 ayant obtenu l’asile au Royaume-Uni était chrétien alors qu’il faisait l’objet d’une » persécution épouvantable « », selon un rapport du 23 juin . « Le nombre de chrétiens ayant obtenu l’asile de Grande-Bretagne a considérablement diminué depuis 2016, alors que 1,5% d’entre eux étaient chrétiens. » Les critiques de ces statistiques affirment que, comme les chrétiens représentent 10% de la population syrienne, 10% des réfugiés syriens devraient être chrétiens. Pourtant, si tant est que ce soit le cas, « ce pourcentage n’a baissé que de 0,23 l’an dernier, soit 11 des 4 832 Syriens qui ont été réinstallés au Royaume-Uni ». La grande majorité de ces près de 5 000 réfugiés sont des musulmans sunnites, la seule secte non ciblée par l’État islamique, qui est lui-même sunnite.
Canada: au cours d’une session parlementaire, le député Garnett Genius a demandé au Premier ministre Justin Trudeau s’il accepterait, comme d’autres chefs de pays, de reconnaître que l’État islamique persécutait les chrétiens. Trudeau n’a pas donné de réponse claire. Genius a écrit plus tard dans un post Facebook :
Justin Trudeau en prière
« Aujourd’hui, au cours de la période des questions, j’ai demandé au Premier ministre de reconnaître la persécution des chrétiens au Moyen-Orient et de reconnaître que les chrétiens étaient victimes du génocide commis par Daesh / ISIS. Le Premier ministre n’a pas du tout répondu à la question et Il n’a même pas utilisé le mot « chrétien » dans sa réponse. La réponse du gouvernement à la persécution des minorités dans le monde a été décevante, mais sur les questions qui touchent les chrétiens en particulier, ils ont fermement refusé de s’engager. «
Justin Trudeau:un islamiste converti et dangereux
De même, Andrew Scheer, un autre député canadien, a déclaré: « L’échec de Justin Trudeau à lutter contre la persécution des chrétiens et d’autres minorités dans le monde est totalement inacceptable. » À propos de cet incident, un rapport a noté:
« Lorsqu’il s’agit de critiquer l’islamisme radical, Justin Trudeau le dénonce immédiatement comme étant » l’islamophobie « , cherchant à mettre un terme à toute discussion. Mais lorsqu’il s’agit de persécution contre d’autres religions, en particulier le christianisme, Trudeau reste silencieux. »
Autriche: « Des enfants catholiques forcés d’apprendre des chansons islamiques à [une] école primaire autrichienne », est le titre d’un rapport du 20 juin . « Dans une école primaire de Linz, les enfants catholiques doivent mémoriser et réciter des chants islamiques dans le cadre du festival islamique du Ramadan. Ils ont été forcés de participer et punis s’ils refusaient. » Après avoir récupéré son jeune fils à l’école, une mère catholique a été choquée de l’entendre crier « Allah, Allah ». Il lui a dit que pendant deux mois, toute la classe avait été contrainte de chanter des chansons sur l’islam ou risquait d’être punie. « C’était comme une gifle au visage! » dit la mère. Selon le rapport, « L’instituteur religieux islamique est venu voir les enfants de la classe et leur a ordonné d’apprendre les chansons appropriées pour le ramadan, car toute la classe doit célébrer ce festival. »
L’école en Autriche
De tels incidents liés à l’ « islam d’abord » se multiplient autour des écoles autrichiennes. Un professeur d’école primaire de Vienne avait déclaré plus tôt qu’il devenait impossible d’intégrer les enfants musulmans. « La charia est supérieure à beaucoup de mes étudiants », a-t-elle averti.
« La musique et la danse sont rejetées pour des raisons religieuses. De plus en plus de discussions et de luttes ont lieu de plus en plus confessionnelles … De nombreuses écoles deviennent de moins en moins incontrôlables » et « les problèmes dans les salles de classe sont presque impossibles à résoudre . «
Bien que tous, voire la plupart des musulmans ne soient pas impliqués, la persécution des chrétiens par des extrémistes se développe. Le rapport postule que cette persécution n’est pas aléatoire, mais plutôt systématique, et se produit sans distinction de langue, d’ethnie ou de lieu.
L’islam est pacifique et nous tuerons tous ceux qui disent le contraire On sait que l’islam n’est compatible avec rien, sauf avec la folie meurtrière des siens en Syrie, en Irak, au Yémen, en Algérie hier, en Afghanistan, au Pakistan, au Nigéria et partout dans le monde. Aux yeux de ceux qui s’affublent du masque […]
Au moment de sa mort ,Mahomet se réconcilie avec ses ennemis et paie ses créanciers.
Moins d’un siècle après la mort de Mahomet, les guerriers musulmans avaient envahi l’Espagne. Au début du VIIIe siècle, ils franchissent les Pyrénées et investissent le Languedoc, la chrétienté n’a jamais été aussi menacée. Le duc d’Aquitaine, Eudes, était parvenu à freiner la poussée islamique près de Toulouse en 721. Le duc Eudes s’était allié avec un gouverneur berbère de Septimanie, qui de religion musulmane était en révolte contre ses coreligionnaires. Seulement le gouverneur d’Espagne, Abd al-Rahman, avait canalisé la révolte et se lançait maintenant à une expédition punitive contre les Aquitains. Devant un tel danger, Eudes fit appel à son voisin Charles Martel qui contrôle tout le Nord de la Loire. Celui-ci fait avancer son armée venue de toutes les parties du royaume franc. La bataille s’engage près de Poitiers contre les troupes d’Abd al Rahman. Charles Martel équipe chacun de ses soldats d’une épée, d’un haubert ainsi que d’une longue lance. Après sept jours durant lesquels les troupes se sont livrées seulement quelques escarmouches, les Arabes se décident enfin à attaquer, mais ils se heurtent inutilement aux défenses franques. Abd al-Rahman est tué au cours de la bataille, et les Arabes s’enfuient au cours de la nuit. La légende raconte que ce sont 375 000 Arabes qui auraient péri. Fort de ce succès, Charles Martel investi l’Aquitaine et chasse les chefs musulmans qui y sont installés. Le chef franc apparaît alors comme le sauveur de la chrétienté, et le maître incontesté du royaume franc.
La bataille de Poitiers
Charles tient son nom de Martel « celui qui frappe comme un marteau » grâce à son incroyable énergie qui lui a permis d’écraser les musulmans.
Victoire importante de Charles Martel a Poitiers en 732.Autre représentation de la Bataille de Poitiers
La Bataille de Poitiers, est connu comme étant l ‘historique Bataille européenne de Tours (a ne pas se confondre avec celle de 1356) car celle-ci eue lieu le 10 octobre 732 entre les forces sous le chef franc Charles Martel et une armée sous le contrôle du chef musulman wali d’ al-Andalus Abdul Rahman al Ghafiqi . Au cours de la Bataille, les Francs (Chrétiens) ont vaincu l’Armée musulmane d’al Gafiqi . Cette bataille marque la fin de l’extension musulmane au nord et a l’Est de la péninsule ibérique .Elle est considéré par les Historiens comme un des nombreux événements de grande importance historique, ayant empêché l’invasion de l’ Europe par les musulmans.
En 2018,l’invasion est devenue sournoise et silencieuse afin de mourir honorablement en bons démocrates néolibéraux!
Charles Martel prit position dans un endroit stratégique :il s’attendait à ce que l’armée musulmane passe dans un étroit passage…et ne s’était pas trompé! Peut-être que les francs n’étaient armés que d’épées de lances et de boucliers,et que le peu d’ infanterie qu’ils avaient présentait une formation en phalanges,inspirée des stratégies d’Alexandre le Grand. Selon des sources arabes, ils ont créé un grand déploiement. Certes, étant donné la disparité entre les deux armées , tous les soldats Francs étaient fantassins ou presque. Alors que ceux des musulmans étaient pratiquement tous des cavaliers qui arrivaient parfois a grande vitesse pour utiliser l’élément de surprise.Charles Martel a donc développé est une très brillante bataille défensive.
Abdul ar- Rahman Ibd Abd Allah al Ghafiqi est représenté ici,au centre du dessin. C’était le chef des musulmans,en 732.
Pendant six jours, les Deux armées s’observèrent en se livrant a de petites escarmouches mineures. Ni l’une, ni l’autre ne voulant attaquer. Les Francs s’étaient bien reposés et entraînés et avaient l’avantage du terrain . La bataille commença véritablement pour le septième jour, Al-Gafiqi ne souhaitant pas reporter l’affrontement indéfiniment.
Statue de Charles Martel
Abdul Rahman Al-Gafiqi avait grande confiance en la supériorité tactique de sa cavalerie expérimentée. Dans l ‘une des rares occasions ou l’infanterie médiévale résistait aux charges de cavalerie, les soldats francs disciplinés ont résisté aux assauts de la terrible armée arabe.
Cependant, selon des sources arabes de l’époque, cette cavalerie « dite » invincible par ses pairs, aurait réussi à briser plusieurs fois les rangs de bataille francs .
L’Islam vers 750.
Des érudits, tels que l’anglais Edward Gibbon (1737-1794), ont estimé que si Charles Martel aurait été défait ,les armées arabes auraient très facilement conquis l’ Europe alors divisée …et auraient fait jonction avec leurs possessions au Moyen Orient (Turquie,Arménie,etc) . Gibbon a écrit: Une marche victorieuse s’est étendue à mille lieues du Rocher de Gibraltar aux bords de la Loire; la répétition d’un espace égal aurait donné (les terres occidentales) aux Sarrasins (jusqu’aux) confins de la Pologne et des Highlands d’Ecosse; le Rhin n’était pas plus impraticable que le Nil ou l’Euphrate, et la flotte arabe aurait pu naviguer sans bataille navale aux embouchures de la Tamise.
Le gisant de Charles Martel.
L’histoire officielle du monde aurait changé et un monde uniformément islamique se serait étendu sous une tutelle maladive d’oppression sanglante!
L’expansion politique de l’Islam après la mort de Mahomet!
Un fascinant article a été posté sur le site de l’Institut des Libertés, le think tank du grand financier français Charles Gave. Dans celui-ci, il demande: Est-ce que la population indigène – par laquelle il veut dire la population blanche – de l’Europe est menacée d’extinction?
Sa réponse est « oui »: « Ce n’est pas bon ou mauvais, C’EST », écrit Gave. Son argument de base est que, avec un taux de fécondité «autochtone» de 1,4, un «migrant» – ce qui signifie musulman – taux de 3,4 à 4 enfants par femme, et en prenant la population musulmane initiale à 10% de la Au total, il faudra seulement 30 à 40 ans pour que la population musulmane devienne majoritaire. En effet, écrit Gave, avec un taux «natif» de 1,4 pour une population de 100, après seulement deux générations, on ne voit que 42 enfants «natifs» nés.
Comme prévu, Gave fut presque immédiatement méprisé comme un fou d’extrême droite pour avoir adopté la théorie connue en France comme «le grand remplacement» – de la population autochtone par une nouvelle population migrante. La théorie avait déjà été diffusée par l’écrivain Renaud Camus, proche du Front national national de Marine Le Pen.
Dans un article furieux et venimeux sur les « calculs stupides » de Gave, le journal Libération – comparé à celui du New York Times ou du Washington Post paraissant honnête et équilibré – a écrit que la population musulmane ne représente pas 10% de la population française , mais moins; que le taux de fécondité de la population autochtone est de 1,8 et non de 1,4; que le taux de fécondité des migrants du Maghreb est de 3,53, et non de 4 et que le concept d ‘«origine musulmane» est absurde.
Charles Gave
Qui a raison, Gave ou ses critiques?
Commençons par noter que l’observation de Libération est fondamentalement faible. Gave écrit que le taux de fécondité des migrants musulmans est compris entre 3,4 et 4 – pas 4, comme le prétend faussement Libération (Gave: entre 3,4 et 4, Libération: 3,53, exactement la même chose). De plus, personne ne connaît la proportion exacte de musulmans en France – l’État français interdit explicitement toute forme de recensement religieux ou racial – mais 10% semble une estimation raisonnable et modérée. De plus, Libération rate la seule vraie erreur dans le calcul de Gave: avec un taux de fécondité de 1,4 et compte tenu d’une population initiale de 100, aucun autre facteur pris en compte, après deux générations vous n’avez pas 42 enfants (Gave), mais 49 (100 x 0,7 = 70 x 0,7 = 49, pas 42). [1]
Cela étant dit, l’article de Gave a fait quelques hypothèses avec lesquelles je ne serais pas d’accord, par exemple:
« Ceux qui sont nés aujourd’hui seront là dans trente ans et ceux qui ne sont pas nés ne seront pas là, c’est CERTAIN », écrit Gave. On imagine que la même certitude était aussi vraie en 1913, 1937 ou juste avant la peste noire;
« Penser que l’immobilier va augmenter quand il n’y a que 42 acheteurs pour 100 vendeurs est une idée intéressante, mais j’ai du mal à comprendre la logique », écrit Gave; mais il venait de mentionner que la population migrante remplaçait la population indigène – en fait, la France n’a jamais été aussi peuplée qu’elle ne l’est aujourd’hui;
Gave conclut que la population indigène européenne va disparaître dans 40 ans: « L’immense nouvelle des trente ou quarante prochaines années sera donc la disparition des populations européennes, dont les ancêtres ont créé le monde moderne ». En tenant compte d’un taux de fécondité de 1,4 pour les «indigènes», il leur faudrait plus de 40 ans pour disparaître de la surface de la Terre; pour ne rien dire des mariages «mixtes», et ainsi de suite.
Plus important encore, l’Islam n’est pas une race. L’Islam est une religion et, en fait, beaucoup plus que cela; c’est une doctrine, un mouvement politique, une idéologie et un ensemble complet de normes (jurisprudence islamique sous la forme du Coran, de la Sunna, du Fiqh) destinées à régir tous les aspects de l’activité humaine. En tant que doctrine, on peut y adhérer et se convertir à l’islam. On peut aussi quitter l’Islam; Cependant, la punition pour avoir quitté, appelée «apostasie», est la mort.
Il y a néanmoins des gens qui se définissent comme des «anciens musulmans», même s’ils ne sont pas majoritaires. Cela n’a cependant pas beaucoup de sens de prétendre savoir 40 ans à l’avance quel sera l’avenir d’une croyance, d’une croyance, d’une idéologie ou d’un culte, surtout en Europe et dans le monde occidental. Comme le dit le dicton: « Il est difficile de faire des prédictions, en particulier sur l’avenir. »
Il y a seulement deux ou trois générations, des dizaines de millions d’Européens s’agenouillaient plusieurs fois par semaine dans les églises pour montrer leur adoration de Jésus-Christ. Quarante ans après cette ferveur religieuse, il ne reste presque rien. Ce que nous avons au contraire, c’est le phénomène bien connu de la «déchristianisation» qui a englouti toute l’Europe.
Pourtant, malgré quelques différences, il y a du vrai dans l’article de Gave. Franchement, les Européens ne font plus de bébés. Et cela n’a absolument rien à voir avec l’Islam; cette « maladie » est entièrement auto-infligée.
Dans son livre, The Population Bomb, publié en 1968, le biologiste américain Paul Ehrlich écrit que la meilleure méthode pour réduire la population est la légalisation de l’avortement. Et c’était sans même considérer l’effet du contrôle des naissances.
Lorsque les Européens ont commencé à légaliser le contrôle des naissances et l’avortement il y a 40 ans, quelques années après Roe contre Wade (1973), l’Église catholique a averti du risque que l’Europe entre dans une «civilisation morbide». Lorsque le Parlement belge décida de dépénaliser l’avortement en 1990, le roi – un fervent catholique – refusa de signer la loi, il y eut une « crise de régime » et le Premier ministre de l’époque devait concevoir une sorte de patch constitutionnel pour sanctionner la loi malgré le roi. Bien que cela ait été dit il y a seulement quelques années, la mentalité du roi semble maintenant archaïque.
Quarante ans plus tard, nous savons maintenant que Paul Ehrlich et l’Église catholique avaient raison: les Européens ont manifestement le sentiment d’avoir mieux à faire que de s’occuper des bébés.
L’avortement a récemment pris des proportions épiques dans des pays comme la Suède ou la France. En France, il y a 200 000 avortements par an. Pour mettre les choses en perspective, il y a en France environ 750 000 naissances par an. La France avorte donc 20% de ses bébés / fœtus / embryons / grappes de cellules – choisissez en fonction de vos convictions personnelles – chaque année.
Le Parlement français a récemment fait de l’avortement un droit absolu (la loi Vallaud-Belkacem de 2014). Avant cela, la mère devait être dans un état de détresse pour qu’un avortement soit légal. Cette «condition» – qui n’a jamais été vérifiée ni contrôlée – a maintenant été supprimée et l’avortement est maintenant un droit de tous les jours, comme le droit de conduire une voiture ou d’acheter un sandwich.
Le Parlement français a récemment approuvé l’une de ces lois – interdisant «l’obstruction numérique à l’avortement» – pour laquelle la France a un penchant. Cette nouvelle loi stipule que c’est une infraction pénale que de diffuser des « fausses informations » concernant l’avortement afin de dissuader les femmes d’en avoir un. Mais qu’est ce qui est « faux »? Est-il faux d’affirmer que les conséquences psychologiques de l’avortement sont souvent dévastatrices? Est-ce « faux » d’illustrer les étapes cliniques d’un avortement? Est-ce « faux » de mettre la valeur de la vie humaine au-dessus de toute autre chose? En passant, si la «liberté d’expression» n’entraîne pas le droit de dire des choses «fausses» ou même abominables, le discours n’est plus gratuit. Cette loi signifie que probablement environ 99,9% des sites américains pro-vie sont maintenant opposés au droit pénal français: Américains, il faut se méfier! En France, le droit à l’avortement est désormais un dogme.
Certains de ces avortements proviennent d’Occidentaux «indigènes» qui ont vécu en France pendant des générations, et d’autres de personnes venues en tant que migrants. Après un certain temps, cependant, le taux d’avortement «migrant» tend à converger avec celui de «l’indigène».
Mais cela ne nous concerne pas ici. Ce qui est préoccupant, c’est qu’il existe un sous-groupe de la population européenne qui est en train de s’effacer de manière très efficace. En effet, avec une fécondité de 1,4, le groupe initial «occidental natif» de 100 devient de moins en moins – 70, 49, 34, 24, 17, 12, 8, 6, 4, 3, 2, 1 – en treize générations. Le résultat est mathématique.
Bien sûr, même si les avortements n’étaient pas autorisés, il pourrait y avoir un déclin démographique – de la guerre, de la maladie, de la politique «un enfant» du gouvernement chinois (qui implique parfois des avortements forcés), etc. (voir John Bongaarts modèle agrégé des déterminants proches, « Demographic Research », 33, 19: 535-560, 2015). On peut penser théoriquement à une population où l’avortement est légal, mais le taux de fécondité à long terme est de 3. Mais en termes réels, il n’y a pas, à ma connaissance, dans la vaste littérature sur le sujet [2], un seul exemple une population qui n’a pas diminué après l’avortement a été largement diffusée – notamment, comme en France, comme un «droit».
Le point ici n’est pas de savoir si l’avortement est «mauvais» ou immoral, ou si la politique devrait être inversée. Il s’agit de montrer que la «mort blanche» de l’Europe est une réalité mathématique; et que ce fléau n’est pas seulement auto-infligé, mais qu’il a commencé avec la légalisation du «contrôle des naissances» et de l’avortement avant même l’afflux massif de migrants musulmans.
Qu’on profère une telle vérité – systématiquement prédit par des personnalités aussi respectées que le philosophe Raymond Aron (auteur de In Défense of Decadent Europe), les anciens premiers ministres Michel Rocard et Alain Juppé, ou même l’ancien président François Mitterrand («suicide démographique») – – provoque un tel chaos et des condamnations furieuses dans les médias, révèle qu’en Europe, non seulement la population «indigène» meurt, mais aussi la liberté d’expression.
En Arabie saoudite, « le pays référence » des islamistes, la « terre du Prophète et des lieux saints »
Pour bien comprendre comment est perçu le viol en islam, il suffit de se reporter à la sira (biographie) de Mahomet. Il est « l’homme parfait » des musulmans, qui cherchent donc à l’imiter dans ses moindres faits et gestes. Lors des razzias (ghezwas en arabe), lui et ses compagnons pratiquaient de cette manière: – Les hommes étaient tués systématiquement, sauf ceux qui acceptaient la conversion. – Les enfants étaient soit vendus comme esclaves, soit circoncis et « islamisés » d’office. Ces derniers entraient au service de Mahomet et de ses lieutenants et les autres étaient vendus. – Quant aux femmes, elles devenaient … des butins de guerre, au même titre que les chèvres, les chameaux et les moutons. Transformées en esclaves sexuelles qui, souvent, passaient d’une couche à l’autre avant d’être vendues. Mahomet et ses compagnons pratiquaient le coït interrompu afin de ne pas les féconder, ainsi elles gardaient toute leur valeur au marché aux esclaves. Quelques-unes avaient de la « chance » quand leur violeur décidait d’en faire une des épouses, polygamie oblige. Mais c’était très rare. Ce fut le cas de Safiya, une noble de la tribu juive des banu Nadir. Le soir-même de la fameuse bataille de Khaybar où il fit exécuter tous les membres de sa famille y compris son mari, Mahomet la coucha sur sa natte. Le lendemain, il l’affranchit et en fit sa 11ème femme officielle (sur 13! Sans compter les nombreuses esclaves à son service, dont une Copte du nom de Maria).
Les esclaves blanches étaient les plus prisées
Voilà donc le tableau. Je le complète avec 2 hadiths. Le 1er rapporté par abu-Daoud, un exégète des plus réputés de l’Islamie:
Mahomet envoya une expédition militaire à Awtas lors de la bataille de Hunayn. Ils se battirent avec leurs ennemis, qu’ils vainquirent. Ils prirent les survivants comme prisonniers. Certains des disciples de Mahomet hésitaient à violer les femmes capturées en présence de leurs maris, des kuffars. Alors, allah fit descendre le verset suivant: « Il vous est interdit d’épouser des femmes déjà mariées, à moins qu’elles ne soient vos captives de guerre » (coran, 4:24).
Ibn Chéhab a rapporté que l’Envoyé d’Allah se leva la nuit, regarda le ciel et dit: «Que de trésors sont ouverts cette nuit (voulant dire de miséricorde et de bienfaits)? Que de troubles sont envoyés? Combien de femmes sont vêtues (dans le monde d’ici-bas),et nues (dans le monde de l’au-delà) le jour de la résurrection. Réveillez celles qui habitent les demeures». ( Hadith 1695 de l’Imâm Mālik , )
Et le second par ibn Ishaq, auteur d’une des 2 biographies qui servent de référence aux oulémas (savants musulmans), l’autre biographie étant celle écrite par ibn Hichem:
Alors, Mahomet envoya Saad ben Zyad al-Ansari à Nadj avec quelques-unes des femmes des banu Qurayaza et il les vendit contre des chevaux et des armes.
C’est à ne rien y comprendre: malgré tout ce que peuvent faire les musulmans comme délits, viols, violences et autres méfaits, ils obtiennent toujours l’indulgence des tribunaux!
Nul ne connaît le vrai nom du mérou (tripoteur, peloteur) de Port Hills (Nouvelle-Zélande), le réfugié musulman qui a traqué et attaqué à Port Hills plus d’une douzaine de joggeuses, même si il a été arrêté, jugé et condamné. Au lieu de cela, le tribunal lui a accordé en plus « la suppression permanente de la mention de son nom », prétendument pour le protéger de sa communauté.
Le comble de la bêtise humaine et de la dhimmitude est dans les explications données par le juge pour motiver ce verdict: s’il a violé toutes ces femmes, c’est juste par « ambiguïtés culturelles« . Vous qui n’êtes pas du pays, venez vite chez nous, vous pourrez peloter et violer nos femmes car vous ne connaissez pas nos coutumes. On croit rêver, ou plutôt cauchemarder. Il ne s’agira que d’un malentendu, qu’une question de « différences culturelles« , vous ne cherchez qu’à tisser des liens d’amitiés.
Mettre en balance ce « verdict » avec le traitement que subirait un Occidental si par malheur il osait simplement porter un regard sur une moukère musulmane dans certains pays, dont le Qatar ami de la France, mais vous n’y pensez pas? De l’hérésie! Quand on va chez eux, « on doit respecter leurs coutumes« ! En Orient, on doit respecter leurs coutumes. En Occident, on doit aussi respecter leurs coutumes. Si un jour ils décidaient de s’installer sur la banquise, il faudra que les pingouins s’y mettent aussi: ils devront respecter leurs coutumes.
Respect à sens unique, toujours.
Après la Nouvelle-Zélande, L’Australie. En Australie, les malentendus culturels musulmans sont devenus un gros problème pour les femmes.
Esmatullah Sharifi, un réfugié afghan , a offert à une femme australienne de la raccompagner chez elle, puis a posé sa main droite autour de son cou et sa main gauche sur sa bouche et l’a violée. Les avocats de Sharifi ont affirmé qu’en raison des « différences culturelles« , il avait été « trompé sur la nature du consentement ».
Evidemment, il se réfère au consentement tel que le concevait son gourou Mahomet et tel qu’il est rapporté dans de très nombreux hadiths (recueil des paroles et des actes de Mahomet), je vous en cite un:
D’après Abû Hurayra, Mahomet a dit: « La femme qui a déjà été mariée (veuve ou répudiée) ne peut être donnée en mariage qu’avec son autorisation. Quant à la vierge, elle ne peut être donnée en mariage que sur son consentement ». – « O Mahomet, comment donnera-t-elle son consentement? », lui demanda-t-on. – « En gardant le silence », répondit Mahomet (hadith sahih rapporté par Muslim , n° 2543 – remarquez aussi la nuance entre « autorisation » et « consentement »).
Pourtant, ce n’était pas la première « incompréhension culturelle » pour cet obsédé sexuel inspiré par son prophète: il avait déjà été condamné à 7 ans de prison pour le viol d’une adolescente australienne le jour de Noël 2008…
Des cas d' »incompréhension culturelle » musulmane en Australie, il y en a eu d’autres.
Par exemple: un religieux musulman égyptien a été arrêté pour avoir peloté des femmes sur une plage. Ce qui n’arrange rien, du moins sur le plan moral – à supposer que certains aient un semblant de moralité -, c’est que ce malade mental est … porte-parole de la mosquée de Dee Why, banlieue nord de Sydney. Il a déclaré que par par ses tripotages, il voulait juste montrer à la grand-mère et à sa jeune petite-fille mineure tout « son amour et sa compassion, mais qu’il avait été mal compris, à cause des « différences culturelles » entre l’Australie et l’Egypte. Ce qui est normal! en Egypte, où les femmes sont à peu près aussi bien considérées que le bétail, 99,3% des femmes et des filles sont victimes de harcèlement sexuel. Seulement, ce qui est un comportement ordinaire chez les musulmans en Egypte et ailleurs en Islamie, est un acte criminel là où les femmes sont considérées comme des êtres humains et non du bétail.
Le porte-parole Almahde Ahmad Atagore avait auparavant fait preuve de beaucoup « d’amour et de compassion » en ayant agressé sexuellement sept autres femmes et jeunes filles. La plus jeune de ses victimes était âgé de seulement 13 ans. Il est vrai qu’il a en Mahomet un exemple, car « l »homme le plus parfait de la création » [sic!], comme le surnomment les musulmans, a couché avec Aïcha alors qu’elle n’avait que 9 ans. Et lui en avait 54.
Le juge, qui est pourtant … une femme, a simplement dit en s’adressant au porte-parole: « Il semble que vous étiez très mal préparé pour faire face aux « différences culturelles » « .
Ah! La belle façon de rendre la justice!Autre cas, toujours en Australie. Dans les viols d’Ashfield , quatre frères pakistanais ont violé 18 femmes et jeunes filles. Le père des violeurs a insisté pour que ses fils soient pardonnés parce qu’ils « ne connaissent pas la culture du pays« .
Un des frères a interjeté appel de sa condamnation en faisant valoir qu’il avait commis ces viols sur la base de « différences culturelles« . Pour le frère aîné, les filles « ne portaient pas de purdah [le voile intégral pakistanais] ». Pour lui, c’est une raison valable: autant dire qu’elle étaient à poil et qu’elles l’avait aguiché de manière lascive.
Il se réfère à la charia et à la coutume qui maintient les femmes isolées et enfermées à la maison. Le hidjab, la burqa et le purdah sont en quelque sorte des maisons ambulantes symboliques qui enferment la femme même en public. Dans cet univers unique au monde, tous savent qu’une femme qui montre son visage est une traînée, juste bonne à être violée puis condamnée pour les avoir excités.
Quant au père des violeurs, il a déclaré, comme pour disculper ses fils, que « les filles du Pakistan ne sortent pas la nuit« .
Mais alors, d’une: pourquoi ne restent-ils donc pas chez eux, loin des « différences culturelles » et loin des tentations des filles qui osent sortir la nuit, qui plus est sans purdah?
Et de deux: puisqu’ils ont choisi d’aller voir ailleurs, pourquoi ne respectent-ils pas les autochtones? Ce n’est pas à celui qui est chez lui de changer, c’est au nouvel arrivant: cette évidence est valable et acceptée de toute l’humanité, sauf des musulmans. Pourtant, pas besoin d’une réflexion intense: la moindre des choses quand on est invité chez quelqu’un, c’est de ne pas prendre son salon pour des toilettes publiques et ses occupants légitimes pour des schéhérazades de harem, sur qui on peut grimper à sa guise.
Coran 2 verset 223 Vos épouses sont pour vous un champ de labour; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et oeuvrez pour vous-mêmes à l’avance. Craignez allah et sachez que vous le rencontrerez.
« Différence culturelle » ou non, si on n’a pas les capacités de réflexion d’un mollusque, on se fixe des limites à ne pas dépasser. Est-ce trop demander à ces débiles incontrôlables, qui ont un sexe à la place du cerveau et qui n’ont appris à raisonner qu’à la manière coranique?
Autre « différence culturelle » entre le monde musulman et le monde occidental derrière ces cas de viol qui ont été mis en évidence lorsque le grand Mufti d’Australie, l’infâme Cheikh Hilaly, avait déclaré pour justifier un viol collectif fait par des musulmans qu’il « est à 90% de la responsabilité de la femme ».
Citant un de leurs grands « savants » [sic], il a ajouté: « Si je suis face à un crime de viol, je disculpe l’homme et j’emprisonne la femme à vie« .
Pas étonnant que « les filles musulmanes, pas seulement pakistanaises, ne sortent pas la nuit ».
Au nom des « différences culturelles« , cet déficient mental a ensuite comparé les victimes de viol à de la viande:
« Si vous prenez de la viande, que vous la découvrez pour qu’on la voit et que vous l’étalez ainsi dans la rue, sur le trottoir, dans un jardin, dans un parc ou dans une cour, les chats vont la manger, est-ce la faute des chats ou de la viande à découvert? La viande à découvert est le problème« .
Cette vomissure n’a pas été expulsé d’Australie.
« Les femmes violées sont de la viande étalée ».
Il n’y a pas de femmes libres en islam. Il y a des femmes qui appartiennent à un homme et il y a des femmes qui appartiennent à tous les hommes. Il y a des femmes et des
filles qui peuvent être réduites en esclavage.
Les femmes peuvent être couvertes ou découvertes, comme un morceau de viande , mais elles ne peuvent pas être considérées comme des personnes. Quand elles sont violées, la question ne se pose même pas de savoir si elles étaient à la maison ou à l’extérieur, si elles relèvent de la viande couverte ou de la viande à découvert, si elles ont agit comme de bonnes ou de mauvaises filles, elles sont d’office désignées comme coupables: une femme violée l’est forcément parce qu’elle n’est qu’un morceau de barbaque qui a attiré les chats. Faites un effort de « compréhension culturelle« . Ainsi, on évitera les « malentendus culturels » et la « stigmatisation« .
Aujourd’hui, les talibans ne sont pas seulement en Afghanistan et au Pakistan. On leur a permis de s’installer partout en Occident et d’amener avec eux leurs points de vue sur les femmes, des moeurs de troglodytes qui vont s’ancrer graduellement dans les sociétés occidentales.
Leur demander de respecter les lois occidentales et de respecter les femmes occidentales équivaut à leur demander de renoncer à leur dogme. Donc, on préfère les arrangements qui mettent à bas les principes pour lesquels des millions de femmes et d’hommes se sont battus. On verra progressivement la charia s’installer dans les colonies musulmanes du Royaume-Uni, de France, d’Australie … Car il semble que les juges occidentaux ont opté pour la coutume coranique plutôt que les droits des femmes.
Dans la culture musulmane, les femmes doivent faire face à un choix entre le voile et le viol. Et bientôt, les femmes des pays occidentaux aussi. La Norvège en avait fait l’amère expérience, même si aujourd’hui, avec la victoire de la droite aux élections de septembre 2013, il semble qu’il y ait une approche différente des problèmes générés par l’islam.
A force de concessions, de revendications toujours à la hausse car toujours satisfaites, ce sont ces pratiques qui s’installent sournoisement en Occident: au rythme où vont les choses, cette « incompréhension culturelle » va bientôt être admise en Europe, c’est déjà le cas en Grande-Bretagne, avec les 85 tribunaux islamiques officialisés par la Justice britannique et qui rendent des jugements basés sur la charia (lire le 4° et le 5° de mon post sur l’islamisation de l’Europe).
Voila nos mères, femmes, filles, et même petites-filles impubères prévenues. Il faudra qu’elles se montrent conciliantes et coopératives. Même les plus jeunes. Surtout, qu’elles ne portent pas plainte: perte de temps et donc d’argent pour le contribuable, merci à cette jurisprudence australe.
Finalement, si ces pratiques se produisaient déjà en France? Il n’y a aucune raison que ces faits se soient déroulés en Australie, qui compte 379.000 musulmans (1,7% de la population) et pas en France, qui en compte 4,7 millions (7,5% de la population).
Mon article est déjà trop long pour vous parler des viols commis en Grande-Bretagne mais vous pourrez en avoir un aperçu sur le site en anglais Muslim Rape-Jihad .
Lire également l’article (en anglais) de Sharia Unveiled sur: – les 6 membres musulmans d’un gang de jihad-rape – djihad du viol – de Sydney, – et sur les brutalités d’un autre gang musulman, dont fait partie … le frère d’un des violeurs!
Décidément, c’est … « CULTUREL ».
LES EXEMPLES
1) Premier exemple : Elle était domestique . Au bout de 3 ans et 10 mois de mauvais traitements, elle a fui lors d’une escale à Paris.
« J’ai 29 ans et Mary n’est pas mon vrai prénom, mais j’ai peur qu’on me reconnaisse. La plupart de mes proches ne savent rien de ce qui m’est arrivé, je ne voudrais pas leur faire de peine. Autrefois j’avais des rêves. Je voulais apprendre le droit ou devenir infirmière, je voulais être une femme indépendante. J’ai grandi dans la banlieue de Mombasa, la deuxième ville du Kenya, avec mes parents, mon grand frère et ma petite soeur. Mes parents – mon père est mécanicien et ma mère ne travaille pas – ne gagnent pas assez pour payer nos études.
Lorsque je décroche mon bac à 18 ans, je comprends que mon père a un plan pour moi. Loin de l’université : il m’a promise à un de ses amis, un « vieux » qui veut faire de moi sa quatrième épouse, en échange d’argent. Je ne veux pas de cette vie, je la repousse de toutes mes forces. Mon père ne comprend pas. C’est un homme sévère, qu’on ne conteste pas, c’est comme ça depuis que je suis petite : s’il dit quelque chose, on le fait.
Lorsque mon père est mécontent, il nous frappe avec un bâton
Ma mère n’est pas toujours d’accord mais elle ne peut rien y changer, il reproduit sur nous ce qu’il a connu enfant : quand il est mécontent, il nous frappe avec un bâton ou avec un tuyau en caoutchouc. Mon grand frère, qui s’est rebellé, a quitté la maison pour aller à la capitale, Nairobi. Je vais partir moi aussi, moi qui n’ai jamais eu le droit de sortir seule dans la rue, je veux choisir ma vie. Une de mes amies a travaillé en Arabie saoudite. Elle peut m’aider à trouver un travail là-bas, le temps de gagner de quoi payer mes études. Sans rien dire, je prépare mon départ. Une famille cherche un professeur d’anglais pour deux ans. Ce sont de lointains parents du roi Fahd. On les appelle prince et princesse. Ils sont prêts à payer mon billet d’avion et à me fournir un visa. Je mets quelques affaires dans un sac, je prends mon passeport, que ma mère garde avec les papiers de la famille dans un tiroir de sa chambre, et je pars sans laisser d’explication. Le car jusqu’à Nairobi puis l’aéroport. C’est la première fois que je prends l’avion. Je ne cesse de pleurer. Dans le miroir des toilettes, mes yeux sont gonflés et rouges.
« Je ne sais pas que j’entre en prison »
A Riyad, un policier me demande mon passeport. Je le lui tends. A ce jour, je ne l’ai pas retrouvé. Il le donne à celui qui vient me chercher, un homme très grand et très noir – c’est idiot mais ça me surprend qu’il soit si foncé. Il est l’un des chauffeurs, il ne parle pas anglais, alors nous restons silencieux pendant le trajet jusqu’à la maison. Je regarde par la fenêtre cette ville totalement vide. Je pense à mes parents, je me répète : ‘Tu fais un peu d’argent et tu rentres au Kenya.’ Je ne sais pas que j’entre en prison. Une femme me désigne ma chambre : un compartiment dans un conteneur séparé en trois pièces. Je partagerai la mienne avec une Philippine. Deux autres employées, une autre Philippine et une Sri-Lankaise, dorment à côté. Près des chambres, une petite salle de bains, pas de fenêtre, juste une ouverture pour la climatisation. La maison est immense. Des salons, des chambres, des canapés, des tapis, des meubles à n’en plus finir. Vivent ici un couple et ses sept enfants, quatre filles et trois garçons. La princesse m’explique que je dois m’occuper de deux de ses filles, âgées de 13 et 15 ans, comme une mère le ferait : les nourrir, les habiller, les accompagner partout, m’occuper de leurs affaires,être à leur disposition 24 heures sur 24.
« La princesse nous gifle »
Mes journées débutent à 5 heures du matin. Je prépare leur petit déjeuner, je les réveille et je les habille. Oui, même adolescentes, elles ne s’habillent pas seules. La première fois, la plus jeune m’a dit : ‘Mets-moi mes chaussettes, dépêche-toi !’ Ensuite, nous partons à l’école. La famille possède six voitures, des grosses cylindrées, mais personne sauf le prince ne doit être seul avec son chauffeur. Je porte leurs cartables, les monte jusqu’à leurs classes. Puis je rentre faire le ménage. Je sais que la princesse passera son doigt pour vérifier qu’il ne reste pas un grain de poussière. Le plus pénible, c’est la lessive. La machine est vétuste. Il faut faire le rinçage à la main, ça prend des heures et l’eau est glacée. La buanderie est sur le toit de la maison. En hiver, on gèle. En été, la chaleur est si insupportable que nous sommes en sous-vêtements. Nous n’avons pas le droit de laver nos affaires dans la machine, devant nous contenter du lavabo. Parfois nous trichons bien sûr mais l’une d’entre nous, je ne sais pas pourquoi, nous dénonce. La princesse nous gifle.
« Jamais un jour de repos »
Si les filles ont un problème, l’école appelle le standard central de la maison et on me prévient : à moi de gérer, aller les chercher, les conduire à l’hôpital si c’est sérieux. Les parents, eux, dorment. Ils ne se réveillent pas avant 18 heures et se couchent au petit matin, lorsque leurs enfants se lèvent. Le prince dirige une entreprise d’immobilier. Il part au bureau après la prière de la nuit. Il y reste jusqu’à 23 heures puis c’est l’heure du dîner. Nous attendons qu’ils terminent pour pouvoir manger à notre tour… s’ils nous laissent des restes, sinon nous devrons attendre le petit déjeuner du lendemain. La princesse est perpétuellement au régime, elle se nourrit d’oeufs durs et de café. Sa vie est vide. La mienne est emmurée. Je suis restée trois ans et dix mois chez eux, j’aurais pu y passer ma vie entière. Jamais un jour de repos et une vue bouchée par les rideaux aux fenêtres. Nous gagnons 600 riyals par mois (l’équivalent de 125 euros). Je n’ai pas le droit de téléphoner à ma famille. Les seules sorties, pour acheter des vêtements par exemple, doivent être autorisées par la princesse, et collectives, nous sommes toujours chaperonnées par un chauffeur. Elles sont très rares, peut-être deux fois par an. Sinon, nous sortons pour accompagner la famille.
« Sans passeport ni argent je suis prise au piège »
C’est un signe extérieur de richesse pour eux : une famille sans domestique est mal vue. Je rencontre d’autres servantes. On me raconte l’histoire de cette fille qui de désespoir s’est jetée du haut de la maison. Et celle qui a laissé son bébé de 3 mois chez elle, sans espoir de le revoir. On parle de cette patronne qui exige de sa bonne qu’elle tire la chasse d’eau à sa place. Je comprends que sans passeport ni argent je suis prise au piège. Le pire, ce sont les vacances. Les enfants sont là en permanence. L’une dort la journée et passe ses nuits devant la télé. Je dois la regarder avec elle, jusqu’au matin, mais assise par terre car on ne m’autorise pas le canapé. Et puisque sa soeur se lève le matin, je ne dormirai pas; ça amuse la plus jeune, qui est aussi la plus méchante : ‘Nettoie !’ me lance-t-elle après avoir volontairement répandu son soda au sol.
« Il est armé d’un couteau. Il me viole »
Quand ils partent en voyage, ils nous emmènent. Egypte, Dubai, Jordanie : nous ne savons jamais où ni combien de temps nous partons. Les séjours à l’hôtel nous angoissent car ils ne réservent pas de chambre pour nous. Nous dormons par terre, au pied des lits des princesses. Et, puisqu’ils mangent au restaurant, nous n’avons plus leurs restes pour nous nourrir. Nous emportons des biscuits dans nos valises mais nous avons faim. Lorsqu’ils sortent pour visiter les villes, ils nous emmènent rarement. Je me souviens d’avoir été dans une fête foraine en Egypte, c’est tout. La plupart du temps, nous restons à l’hôtel, enfermées à clé dans la chambre. En octobre 2008, la famille séjourne à Genève et décide de faire une escapade à Paris. Nous prenons le train. Je suis la seule domestique à être du voyage. Je reste dans la chambre, à faire la lessive à la main, puis à repasser le linge de toute la famille, les parents et leurs sept enfants. Un jour, alors que les autres sont sortis, le fils aîné ouvre la porte. Il est armé d’un couteau. Il me viole. Hagarde. Je marche dans cette ville qui m’est inconnue, vite m’éloigne de cette famille qui me tue. C’était simple de sortir, il a oublié de refermer la porte à clé. Descendre, passer la porte, marcher. Au loin la tour Eiffel. La vue brouillée par mes larmes, je ne détache pas mes yeux de ce phare, je marche jusqu’à lui. Arrivée au Trocadéro, je m’écroule sur un banc, en pleurs. Je n’ai rien, ni argent ni papiers. Une femme s’approche. ‘Que se passe-t-il, mademoiselle ?’ Je ne comprends pas le français. En anglais, elle me demande d’où je viens. Elle me conduit à l’ambassade du Kenya.
« Même si je n’ai plus de rêves, je me sens libre »
C’est là qu’on me met en contact avec le Comité contre l’Esclavage moderne (CCEM) qui me prend en charge. Je vais porter plainte. Mais je sais si peu de chose sur mes bourreaux : même pas leur adresse, pas un numéro de téléphone, je ne connais pas le nom de l’hôtel où ils sont descendus ni leur destination future. J’ai en tête aussi leur impunité. Membres de la famille royale saoudienne, ils ne sont jamais inquiétés chez eux.Ici, la police m’interroge mais à ce jour ça n’a encore rien donné. Je veux tourner la page. J’aurais pu rentrer au Kenya, reprendre la vie là où je l’avais laissée, sans plus de moyens. J’ai expliqué à mes parents, ils ont compris je crois. Ils ne savent pas ce que j’ai enduré, ni le viol ni l’esclavage. ça les aurait blessés. En 2011, mon père est décédé, je ne l’ai pas revu. J’aurais aimé lui parler, lui dire que malgré tout, je ne lui en veux pas. Mais il est trop tard. J’essaie de vivre chaque jour après le précédent. J’ai appris le français et obtenu une carte de séjour. J’ai fait une formation et j’ai deux emplois : je garde des enfants et je donne des cours d’anglais à domicile. J’ai un ami depuis peu, j’ai mis du temps à accorder ma confiance à un homme. Pour la première fois de ma vie, même si je n’ai plus de rêves, je me sens libre. »
Deuxième exemple. Lui: 90 ans, pédophile. Elle: 15 ans.
Le récent mariage d’un saoudien de 90 ans, avec une jeune fille de 15 ans a suscité la condamnation des groupes de droits de l’homme et des réseaux sociaux.
Dans une interview donné à la presse, le mari a insisté sur « la légalité du mariage », il a d’ailleurs payé une dot de 15.000€ pour épouser la gamine, née d’un père Yéménite et d’une mère saoudienne. Le vieillard a même raconté sa première nuit avec la mariée. « Elle est entrée dans la chambre puis a fermé la porte pour que je ne puisse pas en sortir. Et puis… Il y a eu ce qui devait avoir lieu. »Mais une fois dépucelée, le vieil homme n’est pas fou: « si la famille le veut, je suis prêt à reprendre mon argent et à divorcer. » Les amis proches de la famille de la mariée expliquent que « lors de la nuit de noces, elle était effrayée. » « Elle s’est enfermée dans la salle de bain pendant deux jours, à pleurer toutes les larmes de son corps… Elle a même essayé de fuir pour retourner chez ses parents ». Selon une organisation des droits des femmes, « le mariage dans l’Islam doit être fondé sur le consentement mutuel, et cela n’a pas été satisfait, comme l’a démontré la panique et la tentative de fuite de la jeune fille. ». Pour les islamistes, la pédophilie est halal. La preuve ? Mahomet a bien épousé une gamine, alors qu’il avait déjà plus de 40 ans, donc la charia légalise la pédophilie. Pour lui, « la famille est la seule coupable du crime qui vient d’avoir lieu ».
Troisième exemple : Un saoudien viole et tue sa fille : clémence du tribunal
Quand le scandale s’ajoute à l’horreur. En Arabie Saoudite, un prédicateur a commis l’irréparable : le 25 décembre 2011, il viole sa fille, la petite Lama, hospitalisée le 25 décembre 2011 avec le crâne fracassé, des côtes cassées, des traces de brûlures et un ongle arraché. Elle succombera à ses blessures le 22 octobre 2012. La mère, qui était divorcée et n’avait pas pu voir sa fille dans les mois précédant l’hospitalisation, et une assistante sociale ont aussi évoqué des séquelles de viols particulièrement cruels, selon trois militantes saoudiennes des droits de l’homme.
Mais il y a pire que cet inceste doublé de l’infanticide… Le père, qui participait régulièrement à des émissions de télévision sur les préceptes islamiques, a reconnu être l’auteur de ces atrocités. Il a été condamné à verser une compensation financière à la mère, appelée « prix du sang » dans la jurisprudence saoudienne basée sur la charia (loi islamique), et à une peine de prison correspondant à la durée de sa détention préventive, selon les militantes.
En Arabie saoudite, qui procède chaque année à des dizaines d’exécutions, le viol et le meurtre sont passibles de la peine capitale, mais un homme ne peut pas être condamné à mort pour le meurtre de son enfant ou de son épouse, qui valent en général entre 5 et 12 ans de prison à leurs auteurs.
Témoignages malgaches
Les témoignages de jeunes femmes malgaches victimes d’abus sexuels et d’esclavage moderne en Arabie saoudite ou au Koweït se multiplient. Fatouma n’a ni chaussures ni vêtements propres lorsqu’elle pose les pieds sur le tarmac d’Ivato, l’aéroport d’Antananarivo. Ses cheveux sont ébouriffés, son visage boursoufflé, par les sanglots peut-être. La jeune femme de 26 ans revient d’Arabie Saoudite. Sa place de domestique dans une grande maison moyennant 200 dollars par mois n’avait rien de l’eldorado promis. « Dès le début, je travaillais jour et nuit, parfois sans manger. Puis, mon patron a voulu que je couche avec son fils. J’ai refusé. Et ils m’ont violée sous la douche. J’ai fini par m’enfuir lorsque je les ai aperçus en train d’aiguiser des couteaux. » Pour payer ses études d’anglais, Fatouma s’était laissée convaincre par la promesse d’un salaire qu’elle n’a jamais touché. À Madagascar, l’histoire de Fatouma est loin d’être un cas isolé. Officiellement, elles sont 340 à travailler en tant que domestiques dans ce pays, et près de 1 700 au Koweït. « Petites bonnes maltraitées », « Domestiques abusées », font régulièrement les gros titres de la presse malgache. Mais les vagues retombent aussi vite qu’elles se lèvent.
Conclusion
Les exemples sont innombrables : ils montrent, si besoin est, la haine sans limite qu’éprouvent les islamistes envers la gent féminine. Pour ces gens, la femme ou la gamine (à partir de 6 ans, âge défini par des fatwas scélérates), n’est autre qu’un objet sexuel (mais un objet asexué, une sorte de poupée gonflable). Ces phénomènes de viol et de pédophilie étaient très rares du temps des soi-disant « dictateurs » (Boumédienne,Bourguiba, Ben Ali, Kadhafi, Assad père, Assad fils, Nasser et Moubarak, etc.), car ils étaient sévèrement punis (des travaux forcés à la peine de mort). Les « révolutions » arabes ont islamisé des pays naguère laïques,ont libéré les instincts les plus primaires et les plus dégradants du Barbicus Islamicus.
Dans le cadre de la nouvelle loi édicté par le gouvernement libéral fédéral visant à lutter contre l’islamophobie et à protéger la religion musulmane de la vindicte populaire,voici donc un autre son de cloche.
L’un des pires dangers que l’on peut retrouver en occident chrétien est la présence de politiciens néolibéraux qui croient que toutes les formes de religions ont des droits plus élevés que les droits nationaux…seul le mondialisme a le droit de parole. Justin Trudeau,Philippe Couillard et François Hollande en sont les grands exemples de cette affirmation.
ÊTES-VOUS ISLAMOPHOBE ? L’islam, la charia, le coran, les hadiths, les livres saints de l’islam prônent la lapidation pour adultère, la décapitation, la mutilation des voleurs, la ségrégation des sexes, la polygamie, l’infériorité de la femme, le meurtre des homosexuels, l’assassinat des apostats (ceux qui quittent leur religion), l’extermination de tous les infidèles (ceux qui comme nous ne croient pas en Allah), l’éradication de toutes les autres religions, l‘esclavage, le mariage des petites filles de 6 ans et donc la pédophilie, la peine de mort pour les enfants, la prohibition de l’alcool, de la danse et de la musique, la haine des animaux (porc, chien, âne, mais pas du chameau!) l’enfermement symbolique des femmes sous de noires draperies, l’excision, la mutilation génitale des femmes, l’interdiction faite aux musulmans d’avoir des amis mécréants, d’épouser une personne d’une autre religion, la crucifixion des chrétiens et j’en passe. Voilà quelques lignes directrices prônées par l’islam. De nombreux musulmans donnent le nom d’ISLAMOPHOBIE au fait d’être contre la promotion, ou pire, contre l’exécution de ces actes barbares et rétrogrades. Si c’est là la définition de l’islamophobie, alors je vous le dis, je suis islamophobe à 100% et j’en suis fier, car ce que prône l’islam est inacceptable, barbare et inhumain. Pour ces raisons, ne soyez jamais mal à l’aise de vous dire islamophobe, car bien au contraire, NE PAS ÊTRE ISLAMOPHOBE SERAIT ANORMAL.
(Note: le suffixe -phobe dans le dictionnaire signifie « craindre ou détester ». L’islamophobie concerne donc l’islam, la doctrine, l’idéologie. Être islamophobe n’est ni raciste, ni xénophobe, ni arabophobe, ni musulmanophobe, car on peut combattre une idéologie tout en respectant les personnes qui s’y sont enfermées. Être islamophobe, c’est être contre la doctrine, le dogmatisme et l’idéologie totalitaire et barbare prônée par l’islam.)
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