La loi britannique sur le blasphème par l’arrière…une stratégie islamiste

Ministre James Bokens

 

 

Quelques jours après que le gouvernement britannique ait rejeté sa définition officielle préférée de l’islamophobie, le Conseil musulman de Grande-Bretagne, la plus grande organisation islamique de Grande-Bretagne, a appelé à l’ouverture d’une enquête sur le parti conservateur au pouvoir pour islamophobie.

Le conflit porte sur un effort du groupe parlementaire multipartite (APPG) sur les musulmans britanniques, une formation multipartite d’une vingtaine de députés au Parlement britannique, visant à institutionnaliser la définition de l’islamophobie en termes raciaux plutôt que religieux.

Dans un rapport de novembre 2018 intitulé  » Islamophobia Defined  » , l’APPG a proposé la définition suivante de l’islamophobie en une phrase:

« L’islamophobie est enracinée dans le racisme et constitue un type de racisme qui vise les expressions du musulman ou du présumé musulman. »

La définition, résultat de six mois de consultations, a été approuvée par des centaines d’organisations musulmanes, le maire de Londres, Sadiq Khan, ainsi que par plusieurs partis politiques, notamment les travaillistes, les démocrates libéraux et les conservateurs écossais.

Les défenseurs de la définition disent que s’il est vrai que l’islam n’est pas une race, mais une religion – un ensemble de croyances et d’idées – et que les musulmans sont un ensemble de croyants de différentes races, ethnies et nationalités, de nombreux musulmans subissent les préjugés, la discrimination et une forme de racisme qui, disent-ils, est structurelle. Le directeur du groupe de réflexion antiraciste Runnymede Trust, Omar Khan, a expliqué :

« Définir l’islamophobie comme un racisme antimusulman place correctement le problème dans lequel des groupes de personnes se voient attribuer des attributs culturels et raciaux négatifs, ce qui peut donner lieu à une vaste gamme d’expériences, qu’il s’agisse d’un préjugé inconscient, d’un préjudice, d’une discrimination directe ou indirecte, inégalité ou incidents de haine « .

Lors d’un débat parlementaire à la Chambre des communes le 16 mai, le secrétaire aux Communautés, James Brokens, a rejeté la définition de l’APPG – qualifiée de « loi sur le blasphème par la porte arrière » – au motif qu’elle est trop vague et qu’elle a « des conséquences potentielles pour la liberté d’expression ». Il a déclaré que la définition n’était pas conforme à la loi de 2010 sur l’égalité, qui définissait la « race » comme comprenant la couleur, la nationalité et les origines nationales ou ethniques – et non une pratique religieuse.

Un porte-parole du gouvernement a déclaré que la définition de l’APPG n’avait « pas été largement acceptée » et nécessitait un « examen plus approfondi ».

De nombreux Britanniques, y compris des musulmans britanniques, se sont opposés à la définition proposée, qui préviennent qu’elle protégerait efficacement l’Islam de tout contrôle et de toute critique valable.

Lors du débat à la Chambre des communes, le député conservateur Sir John Hayes a déclaré :

« Le rapport [APPG] identifie essentiellement l’islamophobie comme un exercice de racisme, qui suppose que les peuples musulmans de ce pays, ou de tout autre pays, sont une race. Étant donné que l’islam est une religion, cette proposition est en soi litigieuse et a été décrits comme tels par certains critiques du rapport.

« Les gens qui attribuent cette religion viennent de toutes sortes d’endroits, de toutes les couleurs et de toutes les croyances, et adoptent toutes sortes de pratiques différentes. Comme les chrétiens, certains ont une vision plus fondamentaliste de leur foi que d’autres. une race est en soi une vision audacieuse, et certains diront même qu’elle est controversée, c’est pourtant ce que fait le rapport en identifiant l’islamophobie comme une affaire de lutte contre le racisme …

« Les dispositions législatives en vigueur concernant l’incitation à la haine, la discrimination et une panoplie d’autres mesures permettent à la police, si elle le souhaite, de poursuivre des personnes qui se comportent de manière inacceptable et, bien plus sérieusement, illégale – un argument parfaitement approprié que la police ne le fasse pas assez, que je ne présente pas cet argument, mais que d’autres pourraient le faire, mais qu’il est tout à fait normal que la police poursuive ces personnes, qui devraient être interrogées, inculpées et, le cas échéant, poursuivies. nous partons d’une feuille de papier vierge pour contredire le fait qu’il existe toutes sortes de lois anti-discrimination et anti-racisme qui nous permettent de protéger ceux qui pourraient être victimes de tels préjugés. « 

Écrit pour The Spectator , David Green, fondateur et chef de la direction de Civitas, un groupe de réflexion non partisan basé à Londres sur les politiques publiques, a averti :

« Si cette définition devient loi, personne ne saura exactement quelles formes de mots pourraient les renvoyer devant les tribunaux. C’est précisément cette incertitude qui fait la différence entre un État policier et une société libre. Historiquement, le terme » État de droit « était utilisé décrire le système politique dans lequel chacun savait à quel moment la loi pouvait être utilisée contre eux et quand ils étaient libres d’agir comme chacun le croyait le mieux. Comme l’a dit John Locke, il existe en Angleterre une « règle permanente à respecter », commune à tous une de cette société « qui signifiait » une liberté de suivre ma volonté en toutes choses, là où la règle ne le prescrit pas, et de ne pas être soumise à la volonté inconstante, incertaine, inconnue, arbitraire d’une autre « …

« L’utilisation de mots dans l’intention d’attiser la haine raciale n’est pas protégée [en droit britannique] et – sans doute pour cette raison – la définition de l’APPG affirme que critiquer l’islam est une forme de racisme. Mais la race et la religion sont très différentes … .

Les mariages coraniques de groupes ou les conjoints sont « choisis » par l’autorité religieuse sont parmi les coutumes qui entrent en conflit avec l’occident chrétien.

« Nous avons ici un conflit entre deux manières très différentes de concevoir une société: l’individualisme au sens large et le collectivisme. L’individualisme considère l’objectif premier de l’État comme étant de faciliter le développement de nos qualités personnelles ….

« Dans une société collectiviste, le but est que les dirigeants déterminent le comportement des individus (…). Les personnes au pouvoir définissent un code détaillé et menacent de sanctionner les contrevenants. Et ils n’apprécient pas les critiques en tant que moyens d’apprentissage et de pouvoir de rendre compte.

« Nous avons rencontré ces idées autoritaires tout au long de l’histoire de l’Europe et nous pensions avoir progressé au-delà d’elles … La définition de l’APPG est une tentative de recréer l’atmosphère du passé …

« Il existe un large soutien de la part de la population pour la liberté d’expression et il est peu probable que cette loi soit officiellement clôturée par une loi du Parlement, mais elle peut être progressivement réduite à néant. La reconnaissance officielle de la définition de l’islamophobie faite par l’APPG sera un pas de géant vers Etat policier arbitraire « .

De hauts responsables de la police britannique ont averti que la définition proposée de l’islamophobie pourrait semer la confusion parmi les policiers et entraver la lutte contre le terrorisme islamique. Dans une lettre au Premier ministre Theresa May qui a été divulguée au Times , Martin Hewitt, président du Conseil national des chefs de police (NPCC), a écrit que la définition de l’AAPPG risquait d’exacerber les tensions avec la communauté musulmane et pourrait saper les pouvoirs et la tactique de la police antiterroriste. :

« Nous sommes préoccupés par le fait que la définition est trop large dans son libellé actuel, pourrait semer la confusion chez les agents chargés de la faire respecter et pourrait être utilisée pour contester la liberté d’expression légitime concernant les actions historiques et théologiques des États islamiques.

« Il existe également un risque que cela sape les puissances de la lutte contre le terrorisme, qui cherchent à lutter contre l’extrémisme ou à prévenir le terrorisme. »

Le premier député musulman d’Angleterre, Khalid Mahmood, a déclaré que la définition de l’APPG conduirait à une ségrégation accrue des communautés musulmanes:

« Je suis pour l’égalité pour tous, mais je m’oppose à cela. En tant que musulmans, nous devrions être fiers de qui nous sommes et essayer de nous écarter de la mentalité de victime. »

En décembre 2017, l’agence d’aide Barnabas Fund a publié une déclaration dans laquelle elle recommandait d’utiliser le mot « Muslimophobia » pour condamner la peur et la haine des Musulmans. Elle a déclaré que le mot « islamophobie » ne devrait être utilisé que pour désigner la peur et la haine de l’idéologie religieuse Islam. La déclaration a également souligné le fait que « l’islamophobie » est couramment utilisé pour inclure également la peur et la haine des personnes musulmanes.

Le 15 mai, plus de 40 universitaires, écrivains et fonctionnaires britanniques ont signé une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur Sajid Javid. La lettre appelle le gouvernement, les partis politiques, les conseils locaux et d’autres organisations à rejeter la définition de l’islamophobie donnée par l’APPG:

« Les soussignés condamnent sans équivoque, sans réserve et avec force les actes de violence contre les musulmans et reconnaissent qu’il est urgent de lutter contre la haine anti-musulmane. Nous sommes toutefois extrêmement préoccupés par l’adoption sans réserve et hâtive de la définition de l’APGG par Islamophobia.

« Cette définition vague et expansive est adoptée sans un examen adéquat ni une prise en compte adéquate de ses conséquences négatives pour la liberté d’expression, la liberté académique et journalistique. La définition va également porter atteinte à la cohésion sociale – alimentant le très bigotisme dont elle est conçue à l’encontre des musulmans pour prévenir.

« Nous craignons que les allégations d’islamophobie soient utilisées, de fait, pour protéger efficacement les croyances islamiques et même les extrémistes des critiques, et que, en formalisant cette définition, elle devienne effectivement utilisée comme une loi de blasphème de porte dérobée.

« Manifestement, les abus, les pratiques préjudiciables ou les activités de groupes et d’individus qui défendent des idées contraires aux valeurs britanniques ont bien plus de chances de ne pas être signalés du fait qu’ils craignent d’être qualifiés d’islamophobes. Cela ne fera qu’augmenter si la définition de l’APPG est officiellement adoptée loi.

« Nous craignons que la définition ne soit utilisée pour faire taire les critiques et les enquêtes légitimes. Les auteurs de l’APPG ont assuré qu’ils ne souhaitaient pas porter atteinte à la liberté d’expression, au contenu même du rapport, à la définition elle-même et aux premiers signes de Les libertés civiles ne devraient pas être traitées comme une réflexion après coup dans le but de lutter contre les préjugés antimusulmans.

« Le mélange de race et de religion employé dans le concept confus de » racisme culturel « élargit la définition au-delà de la haine anti-musulmane pour inclure la critique » illégitime « de la religion islamique. permettre au rapport d’affirmer que la critique de l’islam est instrumentalisée pour blesser les musulmans.

« Aucune religion ne devrait bénéficier d’une protection particulière contre les critiques. Comme la haine anti-sikh, anti-chrétienne ou anti-hindoue, nous pensons que l’expression » haine anti-musulmane est plus appropriée et moins susceptible de porter atteinte à la liberté d’expression. Une prolifération de  » Les phobies « ne sont pas souhaitables, comme l’ont déjà indiqué des organisations sikhs et chrétiennes qui reconnaissent l’importance d’une discussion libre sur leurs croyances. »

Le 28 mai, le Conseil musulman de Grande-Bretagne, une filiale des Frères musulmans, a déposé une plainte auprès de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme (EHRC) pour islamophobie au sein du parti conservateur. La plainte indiquait :

« Nous avons pris cette mesure après qu’un nombre sans précédent d’affaires ait été porté à notre attention, suggérant une culture au sein du parti conservateur où l’islamophobie est non seulement généralisée, mais institutionnelle. Nous demandons maintenant à la EHRC d’examiner toutes les preuves et d’enquêter sur cette affaire. » affaire avec une grande urgence « .

Le secrétaire général adjoint du MCB, Miqdaad Versi, a admis que la plainte du groupe auprès de l’EHRC visait à faire pression sur le gouvernement pour qu’il accepte sa définition préférée de l’islamophobie:

« Le gouvernement actuel dirigé par les conservateurs a également décidé de rejeter une définition de l’islamophobie acceptée par le MCB et les principales parties prenantes musulmanes, ce qui nous amène à nous demander quel message les conservateurs veulent-ils envoyer aux communautés musulmanes? »

« Alors que la course à la direction [du Parti conservateur] s’ensuit, l’un des candidats va-t-il donner la priorité à la gestion de l’ampleur de l’islamophobie qui a consumé le Parti conservateur? »

L’appel à une enquête sur l’islamophobie a été lancé le même jour lorsque la EHRC a annoncé l’ouverture d’ une enquête officielle sur l’antisémitisme au sein du parti travailliste. L’enquête déterminera si le parti « a illégalement discriminé, harcelé ou victimisé des personnes parce qu’il est juif ».

La MCB (Conseil Musulman de Grande-Bretagne) a déclaré que le moment de sa plainte – déposé le même jour dans l’enquête antisémitisme – était une coïncidence.

Boris Johnson faisait partie des députés nommés dans la plainte islamiste,
Boris Johnson faisait partie des députés nommés dans la plainte islamiste. M. Johnson a été critiqué pour ses propos comparant des femmes musulmanes voilées à des boîtes aux lettres et à des braqueurs de banque, mais il a été dégagé de toute violation du code de conduite du parti conservateur.

 

Le Conseil musulman de Grande-Bretagne (MCB) a envoyé plus de 20 pages de preuves à la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme à la suite du refus du gouvernement d’adopter une proposition de définition de l’islamophobie .

Sa plainte accusait les Tories d’avoir « ignoré » les appels en faveur d’une enquête indépendante sur la haine anti-musulmane et d’avoir omis de prendre des mesures contre les islamophobes dans ses rangs.

Boris Johnson , qui pourrait être le prochain Premier ministre, et des députés comprenant Bob Blackman , Zac Goldsmith , Michael Fabricant et Philip Hollobone ont été nommés dans le dossier.


EN COMPLÉMENT

Les conservateurs sont confrontés à plus d’une centaine d’allégations d’islamophobie et de racisme proférées à l’encontre de membres du parti

Theresa May a été forcé de donner sa démission récemment.

 

Au moins 110 personnes  possèdent une colonne vertébrale en Grande-Bretagne et elles ont eu le culot de s’exprimer!

Plus de 100 personnes prétendant être membres du Parti conservateur ont posté des commentaires islamophobes ou racistes en ligne, a-t-on révélé.

Les allégations, compilées par un chercheur sur les médias sociaux, comprennent des articles décrivant les musulmans comme des «extraterrestres» dont le «plan est de transformer ce pays en un État islamique».

D’autres commentaires incluent: « Nous n’avons pas de politicien assez fort au Royaume-Uni pour nous éloigner de cette infestation » et: « Nous laissons nos enfants tomber en permettant à ce culte de conquérir notre pays »

Il s’agirait de la première collection complète d’allégations formulées à ce jour. Elle contient des messages de 110 personnes, principalement au cours des deux dernières années. Dix-neuf ont été décrites comme de «nouvelles allégations» par ITV News, à qui le dossier a été remis par l’utilisateur de Twitter @MatesJacob.

Le Parti conservateur conteste que certaines des personnes impliquées soient membres du parti et affirme que les autres ont été traités ou font l’objet d’une enquête.

 

 

 

 

Des nationalistes patrouillent dans une ville allemande après la violence d’un «demandeur d’asile»

La police allemande enquête sur des informations selon lesquelles une patrouille de « miliciens néo-nazis » serait désormais active dans les rues d’une ville bavaroise en proie à un incident impliquant des migrants violents.

 

 

Les tensions dans la ville d’Amberg se sont apaisées depuis samedi dernier lorsqu’un groupe de jeunes « envahisseurs demandeurs d’asile » ont attaqué les passants lors d’une série d’agressions au hasard qui ont blessé douze personnes.

Selon la police, quatre suspects âgés de 17 à 19 ans, sous l’influence de l’alcool, ont harcelé et battu sans discernement des piétons se promenant dans le secteur de la gare de la ville.

Douze personnes, âgées de 16 à 42 ans, ont subi principalement des blessures mineures lors des agressions. Un adolescent de 17 ans a été hospitalisé pour des blessures à la tête. Lorsque des nouvelles ont annoncé que les suspects étaient des ressortissants syriens, iraniens et afghans, des groupes patriotiques en ont apparemment pris acte.

La section du parti nationaliste NPD à Nuremberg a publié sur Facebook des photos de ses militants dans les rues d’Amberg, portant des gilets rouges déclarant «nous créons des zones de protection».

Dans leur message daté du 1er janvier, ils affirment avoir patrouillé la zone où se sont produits les attentats et avoir visité un centre d’asile local. Des patrouilles similaires ont déjà été vues auparavant à Berlin.

Un représentant du NPD a déclaré au radiodiffuseur public DW que la campagne de vigilance avait commencé au milieu de l’année dernière et que les patrouilles étaient axées sur «des zones à problèmes». et était censé montrer aux locaux qu’il y avait « de nouveau la sécurité ». En cas d’incident, ils prévoient d’informer la police – à moins que la situation ne soit jugée « grave » et nécessite une réponse, a-t-il ajouté.

Le maire d’Amberg, Michael Cerny, a déclaré au quotidien local Mittelbayerische Zeitung qu’il avait été choqué d’apprendre l’initiative du NPD. « Je peux comprendre l’incertitude observée dans certaines des réactions d’Ambergers, mais la haine et les menaces de violence de tout le pays vont bien trop loin », a-t-il déclaré.

Cerny a également déclaré à l’agence de presse allemande DPA qu’il avait envoyé un avertissement du groupe à la police après avoir reçu un courrier électronique demandant au maire « d’envoyer des éclaireurs » dans la ville. La Mittelbayerische Zeitung a indiqué que le groupe s’était appelé «Kraut / pol» et avait accusé les autorités de ne pas avoir réussi à envoyer leur courrier électronique.

Un porte-parole de la police a confirmé l’ouverture d’une enquête, mais a souligné que la police n’avait toujours pas trouvé de preuves concrètes d’une «activité d’autodéfense» dans la ville habitée par 44 000 personnes.

« Nous n’avons pas de véritable scène de droite à Amberg », a insisté le maire dans des remarques adressées à la DPA. L’agence de presse a toutefois noté que lors des dernières élections législatives, le parti anti-migrant Alternative pour l’Allemagne (AfD) s’est classé deuxième à Amberg avec 13,1% des voix.

Katrin Ebner-Steiner, chef de la fraction AfD au Parlement bavarois, s’est rendue à Amberg au cours de laquelle elle a rencontré la police et des citoyens inquiets pour «avoir une idée de la situation dans la ville».

Les événements de la semaine dernière ont relancé le débat national sur la manière de traiter les soi-disant «demandeurs d’asile» accusés de crimes violents.

«Les événements à Amberg sont très troublants. C’est une violence excessive, que nous ne pouvons pas tolérer », a souligné le ministre allemand de l’Intérieur et leader du parti bavarois pour l’Union sociale chrétienne (CSU), Horst Seehofer. Il a appelé à plusieurs reprises à l’expulsion de tels délinquants.

« Si les lois existantes ne suffisent pas, elles doivent être changées », a-t-il déclaré au quotidien Bild.

 

Suède: le nombre de crimes est supérieur à 20%, au 3ème rang de la population mondiale

 

 

 

Selon un nouveau rapport publié par le Conseil national suédois pour la prévention du crime, 15,6% des habitants de ce pays ont été victimes d’une ou plusieurs infractions contre la personne (définies dans l’enquête comme des voies de fait, des menaces, des infractions sexuelles, des vols, des fraudes ou du harcèlement). l’année dernière.

Ce chiffre est en hausse par rapport à 13,3% en 2015 et constitue le chiffre le plus élevé enregistré depuis le début de l’enquête annuelle sur la criminalité en Suède, qui a débuté en 2006.

Le nombre d’infractions contre des personnes « était relativement stable entre 2005 et 2014, entre 11,3% et 13,1%, mais les deux dernières années montrent une augmentation », a déclaré le conseil dans le rapport publié cette semaine. Les crimes « qui ont connu le développement le plus net ces dernières années sont le harcèlement, la fraude et les infractions sexuelles », a déclaré l’agence.

Parmi les six types d’infractions contre la personne, cinq sur six ont atteint leur plus haut niveau jamais enregistré l’année dernière. Le nombre de cas de voies de fait a atteint son deuxième rang.

Le nombre de victimes d’infractions sexuelles est passé de 0,9% en moyenne entre 2005 et 2014 à 1,7% en 2015 et à 2,4% en 2016.

«Les jeunes femmes âgées de 16 à 24 ans constituent le groupe le plus sujet aux infractions sexuelles, 14% d’entre elles déclarant avoir été victimes d’au moins un crime de ce type en 2016», a déclaré le conseil. « Parmi les hommes du même groupe d’âge, 1,2% ont déclaré avoir été victimes. »

Les jeunes femmes sont également davantage victimes de harcèlement, a déclaré le conseil.

Moins de la moitié des crimes de l’enquête ont été signalés à la police. L’enquête a révélé que les infractions sexuelles, le harcèlement et les menaces étaient les moins signalés, tandis que les personnes le plus souvent informées de la police étaient au courant des cambriolages.

Leur enquête n’a fourni aucune ventilation de la race et de la criminalité – mais il existe de nombreuses preuves permettant d’établir un lien entre l’augmentation du taux de criminalité dans une Suède autrefois pacifique et l’afflux massif de non-Blancs.

Selon Statistics Sweden, les groupes de ressortissants nés à l’étranger et résidant actuellement en Suède sont, dans l’ordre numérique, les Syriens, les Irakiens, les Iraniens, les Somaliens, les Turcs, les Thaïlandais, les Erythréens, les Afghans, les Chinois, les Indiens, les Éthiopiens, les Vietnamiens, Pakistanais.

Réparties par région, les populations sont les suivantes: Asie occidentale 392 539; Afrique de l’Est 133 181; Asie du Sud 88 780; Asie du Sud-Est 78 133; Amérique du Sud 69 645; Asie orientale 48 847; Afrique du Nord 33 044; Afrique occidentale 18 502; Amérique centrale 8 978; Asie centrale 7 493; Afrique centrale 6 982; Océanie 5 575; Caraïbes 4 709; et Afrique australe 3 049.

Ils viennent en Suède en tant que « réfugiés » pour commencer une nouvelle vie aux frais des contribuables, mais ils veulent ensuite imposer la charia. Le nombre de musulmans vivant en Suède est d’environ 810 000, soit 8,1 % de la population.

Les demandeurs d’asile ne sont pas inclus dans ces chiffres. Selon les autorités suédoises de l’immigration, depuis 2013, les demandes «d’asile» suivantes ont été déposées en Suède:

58 000 demandes ont été déposées en 2013;

81 000 demandes ont été déposées en 2014;

162 000 demandes ont été déposées en 2015;

27 000 demandes ont été déposées en 2016; et

20 000 demandes (à ce jour) ont été déposées en 2017.

Si l’on ajoute le nombre de «demandeurs d’asile» à la population née à l’étranger, le total s’élève à 1 040 309 personnes, soit 10% de la population totale actuelle de la Suède, qui s’élève à 10 093 734 personnes.

Cela ne donne toutefois pas une image complète, car d’autres statistiques officielles indiquent qu’au moins 27% de la population suédoise a au moins un parent né à l’étranger.

Étant donné que ce dernier chiffre inclura également les immigrants européens, on peut supposer que le nombre de «Suédois» d’ascendance non européenne représente au moins la moitié de ces 27% – ce qui signifie qu’environ 13% des «Suédois» « Les ressortissants ne sont pas blancs.

Si l’on ajoute cette population à la population non blanche née à l’étranger, le nombre total des pays du tiers-monde en Suède dépasse certainement 20% du total.

Des bénévoles distribuent boissons et nourritures à des réfugiés arrivant à la gare suédoise de Malmo

La criminalité en Suède n’a pas été la seule à connaître une augmentation proportionnelle depuis l’invasion massive du Tiers Monde. En 2015, l’augmentation du nombre d ‘«enfants immigrants» a été explicitement imputée aux résultats plus faibles obtenus par la Suède dans les tableaux de classement de l’éducation.

Un rapport de l’Agence suédoise pour l’éducation, dirigée par le gouvernement, a déclaré qu ‘«il faudrait davantage de ressources pour les écoles accueillant un grand nombre d’élèves immigrants ou ayant deux parents immigrés».

Selon le rapport, les « enfants d’immigrés » étaient responsables à 85% d’une augmentation de 4% du nombre d’enfants qui n’obtenaient pas de bonnes notes dans les dernières années d’école.

Depuis 2006, la Suède a vu ses résultats aux tests en lecture et en sciences chuter de plus de 20%, tandis que les résultats en mathématiques ont chuté de 15%.

Selon l’enquête Pisa de l’OCDE, la Suède «est passée de la moyenne à beaucoup moins que la moyenne au cours de la dernière décennie».

Il a déclaré: « Aucun autre pays participant à Pise n’a connu une chute plus abrupte. »

Les bénévoles affluaient en 2015…au début de la vague.

 

Syrie: des hélicoptères américains évacueraient des djihadistes de Daech! — La vérité est ailleurs

Syrie: des hélicoptères américains évacueraient des djihadistes de Daech INTERNATIONAL 16:19 21.02.2018(mis à jour 16:41 21.02.2018)URL courte 25561 À Hassaké, dans le nord-est de la Syrie, les habitants locaux affirment avoir vu des hélicoptères américains se poser dans l’enceinte d’une prison pour évacuer des détenus de Daech. Ils chercheraient à y installer une base. C’est […]

via Syrie: des hélicoptères américains évacueraient des djihadistes de Daech! — La vérité est ailleurs

Alexandre Del Valle : l’islamisme est l’ennemi n°1 du monde occidental

Benjamin Constant, L’entrée de Mehmet II à Constantinople, 1876 (détail) © _____________________________________________________ Le terrorisme islamiste n’est qu’un mode d’action actionné par nos véritables ennemis, qu’une erreur stratégique persistante fait passer pour les amis de l’Occident. Alexandre del Valle est essayiste et géopolitologue. Il est chercheur associé à l’Institut Choiseul et a publié plusieurs ouvrages sur la faiblesse […]

via Alexandre Del Valle : l’islamisme est l’ennemi n°1 du monde occidental — Espace détente, poésie, judaïsme et lutte contre la désinformation

Le Québec sous la gérance du crime organisé:Danger d’islamisation au Québec, disent des musulmans laïques

Les demandes d’accommodements religieux proviennent principalement d’agents en mission pour implanter l’idéologie islamiste au Québec, prévient l’Association québécoise des Nord-Africains pour la laïcité.

Même homme…passeport différent!

«En tant qu’association de citoyens originaires principalement de pays musulmans, ce qui nous préoccupe le plus, ce sont les demandes incessantes d’accommodements religieux émanant de groupes idéologiques qui se drapent du voile de l’intégrisme et entendent imposer leur mode de vie d’un autre temps», exposé l’AQNAL devant la ministre de la Justice qui prépare l’adoption du projet de loi sur la neutralité religieuse de l’État et les accommodements religieux.

Le projet de loi 62 permettra le port du niqab, du hijab et du tchador, a soutenu l’AQNAL, qui dit y voir une brèche que s’empresseront d’emprunter les islamistes. «Le voile intégral est reconnu partout dans le monde comme l’instrument privilégié de l’idéologie prônée par les islamistes pour défier les lois du pays d’accueil et fragiliser sa cohésion sociale», a affirmé un membre de l’AQNAL, Ferid Chikhi.

«Ce projet de loi n’existerait pas si l’islamisme ne s’était pas invité dans l’espace public depuis les années 1990 (…) Il y a une idéologie qui se développe, c’est l’islamisme, le fondamentalisme wahhabite. Les musulmans qui ne pratiquent pas sont montrés du doigt (…) Les accommodements religieux ouvrent une brèche vers l’endoctrinement et la radicalisation», a ajouté M. Chikhri.
Plusieurs demandes d’accommodement ne sont pas inspirées de l’islam, ont soutenu les porte-parole de l’AQNAL. «Toutes les demandes faites dans les entreprises et les institutions tournent autour de pratiques qui sont déjà accommodées par l’islam. Ceux qui demandent un lieu de prière au travail, l’islam recommande de reporter la prière le soir ou la nuit», a précisé Ferid Chikhri.

L’AQNAL soutient que le projet de loi 62 rate la cible et réclame l’adoption d’une charte québécoise de la laïcité. «Il faut arriver à cette charte de valeurs parce qu’elle va se mettre au-dessus de toutes les religions. Elles seront toutes traitées de la même manière et personne ne viendra dire ma religion est meilleure que la tienne.

Le projet de loi 62 pèche par une méconnaissance de l’islam, convient l’AQNAL, qui prend l’exemple du port du voile. «Il y a une méconnaissance. Les exégètes de l’islam de l’Université du Caire le disent; le voile n’est pas une obligation, il n’est pas musulman, il est culturel. C’est Saint-Paul qui l’a imposé aux premières chrétiennes (…)La gardienne d’enfants qui porte le voile dans un CPE, elle envoie un message aux enfants qu’il faut se couvrir la tête et le visage», a prétendu M. Chikhri.

 Source:Journal de Québec

Ancien président tunisien : la CIA derrière le «Printemps arabe» – Le Saker Francophone

condolezza-rice_with_tunisian_president_ben_ali1Ben Ali termine en constatant que la Tunisie actuelle est un refuge pour les bandes criminelles et les services secrets étrangers. La CIA contrôle tout ce qu’elle veut. Un accord a été signé récemm…

Source : Ancien président tunisien : la CIA derrière le «Printemps arabe» – Le Saker Francophone

Aux héros inconnus (texte de Roméo Bouchard)

Aux HÉROS INCONNUS…

Pendant que le Québec tout entier, sans doute par un vieux complexe de colonisé, se confond en hommages pour un des siens, venu d’ailleurs, qui a fait fortune dans le grand monde avec un talent de chez nous,

beaucoup des nôtres tombent au combat dans l’indifférence et l’oubli:

 

Quatre des Québécois qui s'étaient rendus au Burkina Faso à des fins humanitaires et comptent parmi les victimes de l'attentat de vendredi, à Ouagadougou, étaient membres d'une même famille. Gladys Chamberland et son conjoint Yves Carrier, 65 ans, de même que leurs enfants Charlelie et Maude, ont été tués lorsque quatre djihadistes ont attaqué le restaurant Splendid ainsi que le café Cappucino de la capitale. La famille originaire de Lac-Beauport, dans la région de Québec, était dans ce pays africain depuis près d'un mois pour participer à la construction d'une école. Ils étaient accompagnés de deux autres bénévoles, qui seraient aussi originaires de Québec, complétant leur groupe de travailleurs humanitaires. La famille avait quitté le Québec à la fin décembre afin de se rendre en Afrique pour le compte de la Congrégation des sœurs de Notre-Dame du Perpétuel Secours. Il s'agissait du deuxième voyage sur le continent pour Gladys Chamberland, après un court séjour en 2013. Sur Facebook, elle avait d'ailleurs tenté de rassurer ses proches, en relayant un article selon lequel les chances de mourir du terrorisme étaient de 1 sur 116 millions. « Dix fois plus de chances de gagner le gros lot du 6/49 », peut-on y lire ensuite.
Quatre des Québécois qui s’étaient rendus au Burkina Faso à des fins humanitaires et comptent parmi les victimes de l’attentat de vendredi, à Ouagadougou, étaient membres d’une même famille.
Gladys Chamberland et son conjoint Yves Carrier, 65 ans, de même que leurs enfants Charlelie et Maude, ont été tués lorsque quatre djihadistes ont attaqué le restaurant Splendid ainsi que le café Cappucino de la capitale.
La famille originaire de Lac-Beauport, dans la région de Québec, était dans ce pays africain depuis près d’un mois pour participer à la construction d’une école.
Ils étaient accompagnés de deux autres bénévoles, qui seraient aussi originaires de Québec, complétant leur groupe de travailleurs humanitaires.
La famille avait quitté le Québec à la fin décembre afin de se rendre en Afrique pour le compte de la Congrégation des sœurs de Notre-Dame du Perpétuel Secours. Il s’agissait du deuxième voyage sur le continent pour Gladys Chamberland, après un court séjour en 2013.
Sur Facebook, elle avait d’ailleurs tenté de rassurer ses proches, en relayant un article selon lequel les chances de mourir du terrorisme étaient de 1 sur 116 millions. « Dix fois plus de chances de gagner le gros lot du 6/49 », peut-on y lire ensuite.

ce couple assassiné qui avait construit une école au Burkina Faso,
ces toxicomanes évincés du refuge qui était leur seul espoir,
ces assistés sociaux traités comme des voleurs alors que les banquiers et une caste de médecins cachent leur fortune dans les îles du Sud,
ces éducateurs épuisés qui tiennent le coup ou lancent la serviette,
ces jeunes qui ne trouvent pas d’emploi à leur mesure,
ces travailleurs en région qui perdent leur emploi,
ces vieux qui étirent leur vie dans la pauvreté et la grisaille des résidences après s’être usés toute leur vie pour leur patron et leur famille,
ces malades apeurés qui attendent d’être appelés,
ces travailleurs communautaires qui se voient amputés de leur soutien pendant que Bombardier et les médecins empochent,
ces citoyens auxquels ont refuse le droit de décider,

et par dessus tout, ce peuple québécois qui, si adulé soit-il à Las Vegas, n’en demeure pas moins toujours aussi ignoré et méprisé à Ottawa, dans ce qu’il a vécu et dans ce qu’il est, tant qu’on lui refusera une place digne de lui dans ce pays qu’il a fondé.

Roméo Bouchard

Alerte en Libye:l’escalade du terrorisme alimenté par les mercenaires djihadistes se poursuit

Que signifie encore le drapeau libyen?
Que signifie encore le drapeau libyen?

LE CAIRE Le ministre des Affaires étrangères de la Libye a déclaré dimanche,28 décembre 2014, que des groupes extrémistes  intensifient leurs attaques et  font  un nouvel effort pour s’emparer des ressources pétrolières du pays, après une agression sur les terminaux de l’Est  qui a mis  les réservoirs de stockage en feu, envoyant des nuages massifs de fumée noire dans le ciel.

Le ministre des Affaires étrangères Mohamed Dayri, parlant au Caire, a déclaré que les forces de son gouvernement espèrent repousser l’assaut lancé par des milices basés dans la ville occidentale de Misrata et loyal au gouvernement islamiste   rival ,basé à Tripoli (ce gouvernement a récemment reconnu l’autorité du calife de l’État Islamique). Il a dit  que des groupes djihadistes extrémistes ont rejoint l’attaque, qui a entraîné la fermeture du plus grand terminal maritime du pays.

Un fonctionnaire de compagnie pétrolière, Mohammed alHarari, a déclaré samedi soir que 850 000 barils de pétrole ont été perdus en raison de l’incendie dans cinq réservoirs de stockage.

Les combats ont éclaté autour du plus grand terminal pétrolier de la Libye, Sidra, qui est actuellement sous le contrôle des miliciens anti-islamistes alliés au gouvernement internationalement reconnu basé dans la ville orientale de Tobrouk. Le gouvernement djihadiste  basé à Tripoli avait promis de « libérer » Sidra plus tôt ce mois.

Les frappes aériennes ont été rapportés dimanche à Misrata pour la première fois, dans ce qui semblait être une réponse à l’attaque sur les terminaux pétroliers. Ahmed alMusmari, porte-parole militaire de l’armée dirigée par Tobrouk, dit alWasat (agence de nouvelles du site Web de la Libye) que les frappes aériennes  étaient ciblées  vers les bases utilisées pour attaquer ses troupes.

Un agent de sécurité à Misrata a déclaré que les frappes aériennes étaient près de l’aéroport principal de la ville, avec un missile frappant à 300 mètres d’une tour de l’aéroport mais il a manqué le tarmac. Le fonctionnaire a déclaré que le raid aérien a entraîné la suspension d’un vol Turkish Airlines, mais sans faire de victimes. Le fonctionnaire a parlé anonymement parce qu’il ne était pas autorisé à informer les journalistes.

Dayri, le ministre des Affaires étrangères pour le gouvernement   « dit légal »  de Tobrouk, dit  que les extrémistes, dont certains ont prêté allégeance au groupe extrémiste État islamique, ont accru leur présence en Libye, y compris dans la capitale.

« Nous sommes préoccupés ,nous  les Libyens. Mais le monde arabe et la communauté internationale devraient l’être aussi à cause de la volonté de ces groupes terroristes extrémistes pour atteindre les ressources pétrolières et les revenus de l’état. C’est une question dangereuse « , a déclaré Dayri.

Des pourparlers parrainés par l’ONU entre les gouvernements rivaux sont prévues pour le 5 janvier 2015.

Nouvel Ordre Mondial: les appuis djihadistes vers l’État Islamique arrivent à un rythme sans précédent

Le drapeau de l'État Islamique flotte au-dessus du nord de l'Irak et de la Syrie.
Le drapeau de l’État Islamique flotte au-dessus du nord de l’Irak et de la Syrie.

L’ONU a averti qu’un nombre sans précédent d’étrangers se ruent sur l’Irak et la Syrie pour rejoindre des groupes extrémistes comme l’État Islamique (ISIS), malgré les frappes des  États-Unis contre les positions de ces  groupes.

Selon un rapport publié par le Conseil de sécurité de l’ONU, 15.000 personnes ont afflué vers la Syrie et l’Irak pour combattre aux côtés de l’État Islamique ou d’autres groupes.

Le rapport a ajouté que les militants viennent de plus de 80 pays, et ils n’ont  pas contribué au  terrorisme international avant…ils ne sont donc pas suivis .

Au nord de la Syrie,comme au nord de l'Irak,les jeunes djihadistes "auto-convertis" sont bien encadrés en arrivant d'Europe,des États-Unis,du Canada ,d'Afrique et d'Asie.
Au nord de la Syrie,comme au nord de l’Irak,les jeunes djihadistes « auto-convertis » sont bien encadrés en arrivant d’Europe,des États-Unis,du Canada ,d’Afrique et d’Asie.

En outre, plus de pays plus  que jamais auparavant devront faire face à un nouveau  jeu comme des terroristes aguerris qui commencent à revenir dans  leur pays d’origine en provenance de Syrie et de l’Irak…ramenant avec eux leurs expériences d’assassins et d’illuminés.

Le rapport de l’ONU a également révélé que la plupart des militants étrangers  venant  en Irak et en  Syrie sont des jeunes comme l’État Islamique  les a converti par  l’utilisation massive des médias sociaux et de sa propagande.

Depuis la fin de Septembre, les Etats-Unis, avec certains de ses alliés arabes, ont  conduit des  frappes aériennes contre l’État Islamique ,à  intérieur de la Syrie sans aucune autorisation de Damas ou d’un mandat de l’ONU. Les États-Unis avaient déjà commencé une campagne de bombardements aériens contre les terroristes takfiristes en Irak ,en Août.

Le drône est devenu l'arme des lâches au-début du 21 ième siècle. Ce n'est surement pas cette arme qui va chasser les djihadistes de l'État Islamique.
Le drône est devenu l’arme des lâches au-début du 21 ième siècle.
Ce n’est surement pas cette arme qui va chasser les djihadistes de l’État Islamique.

Et ce ,alors que de nombreux pays membres de la Coalition soutiennent et participent à des bombardements menée par les USA, comme l’Arabie saoudite et le Qatar,qui  ont été de fervents partisans des éléments ISIS takfiri dans la région.

Les terroristes ISIS contrôlent actuellement de larges pans de territoire à travers la Syrie et l’Irak. Ils ont commis des crimes odieux dans les domaines capturés, y compris des exécutions de masse et la décapitation de la population locale ainsi que sur  les ressortissants étrangers.Tous ces crimes sont considérés comme des « Crimes contre l’Humanité » et le  pseudo-calife autoproclamé,al Baghdadi,devra tôt ou tard répondre de ces crimes  dans une cour de Justice…ou devant Dieu lui-même!

Un religieux sunnite irakien de premier plan, dit la coalition sous commandement américain formé pour lutter contre l’ISIL ne sera pas en mesure d’éliminer le groupe terroriste takfiri.

L'origine ethnique de plusieurs djihadistes se voit du premier regard.
L’origine ethnique de plusieurs djihadistes se voit du premier regard.

« Les Bombes des avions ne pourront  pas éliminer le terrorisme de la soi-disante Daesh », a déclaré un irakien religieux sunnite Cheikh Abdel Malik al-Saadi, qui réside dans la capitale jordanienne, Amman, en utilisant un acronyme arabe pour l’ISIS.

La campagne de bombardement menée par les USA contre l’ISIL a commencé le 8 Août en Irak; et depuis la fin de Septembre, les Etats-Unis et ses alliés arabes ont mené des frappes aériennes contre des positions ISIL intérieur de la Syrie ainsi, sans aucune autorisation de Damas ou d’un mandat de l’ONU.

Saadi a également averti que la coalition sous commandement américain doit «réviser ses positions parce que la situation va empirer à travers le monde. »

Le président américain Barack Obama a autorisé des frappes aériennes sur des cibles ISIS en Irak depuis  la mi-Août.

Yahya al-Kubaisi, un consultant pour le Centre irakien basé à Amman pour les études stratégiques, a également appelé à l’unité politique de l’Irak pour faire face à la menace du  groupe takfiri.

Sauf si un accord politique est atteint entre tous les Irakiens « , nous ne serons pas en mesure de battre Daesh, et même si nous réussissons, un autre groupe sortira – un autre Daesh», a déclaré al-Kubaisi.

L’Irak a été confronté à la violence brutale par le groupe terroriste takfiri ISIS dans le nord du pays et à l’ouest depuis le début de Juin. Les terroristes de l’État Islamique  ont menacé  toutes les communautés, y compris les chiites, les sunnites, les Kurdes et les chrétiens au cours de leurs progrès en Irak.

Le nombre de crimes perpétrés par l'État Islamique dépasse l'entendement.
Le nombre de crimes perpétrés par l’État Islamique dépasse l’entendement.

Des éléments du groupe ISIS takfiri sont librement présent au Qatar malgré l’adhésion de ce pays arabe dans la coalition menée par les USA contre le groupe terroriste, un rapport dit.

Selon un rapport publié lundi,le 3 novembre 2014, par Reuters, les diplomates étrangers à Doha ont vu des véhicules transportant les logos de groupe ISIS Takfiri conduites autour de  West Bay, l’un des plus riches  districts du Qatar  ou  la majorité des maisons et des entreprises appartenant à des expatriés.

« Bien sûr, nous étions inquiets quand nous avons vu les logos, mais on nous a dit qu’ils ont été suivis de près par les autorités et il n’y a pas grand chose à craindre, » dit l’un des diplomates étrangers qui ont repéré les logos d’ISIS.

Ailleurs dans la ville de Umm al-Amad, au nord de Doha, certains membres du groupe al-Tawhid takfiri, qui lutte contre le gouvernement syrien, résident dans un petit groupe de fermes et de petites mosquées, ajoute le rapport.

Bien que le Qatar a rejoint les soi-disant alliés des  États-Unis contre les groupes extrémistes en Syrie et en Irak, les avions qataris ont simplement volé une mission de reconnaissance sur la première nuit des attaques et des rapports des frappes aériennes du pays en Syrie à des stades ultérieurs …qui n’ont pas été officiellement confirmé.

Selon une source proche du gouvernement qatari , la réticence de Doha pour rejoindre les forces américaines en Syrie était en partie dû au fait qu’il cherchait à éviter de cibler les sites de l’affilié al-Nusra avant al-Qaïda à l’intérieur de la Syrie.

Les analystes soutiennent que le Qatar a rejoint la coalition soi-disant pour apaiser ses alliés, critiquant le soutien à des groupes extrémistes et en même temps le pays arabe a joué un rôle minime dans les attaques à une offre prudente de conserver son emprise sur les groupes takfiri  aussi longtemps que  durera les frappes alliées.

Les groupes takfiri « utilisent Doha comme un tremplin actif pour leurs campagnes médiatiques, les communications et la logistique qui ont un impact direct sur la sécurité des autres pays arabes », a déclaré un diplomate arabe à Doha.

Alors que le Qatar offre un havre de paix aux  groupes extrémistes comme les talibans afghans et ISIS, il accueille la plus grande base aérienne américaine au Moyen-Orient, possède des pans entiers de l’immobilier occidental et est un client clé pour les produits militaires occidentaux.


HORS TEXTE

Le signe du doigt levé des djihadistes…un signe illuminati

Ce signe montre l'appartenance non-seulement à l'État Islamique ,mais aussi relie ce mouvement à la mouvance terroriste illuminati qui divise le monde par la terreur et le meurtre.
Ce signe montre l’appartenance non-seulement à l’État Islamique ,mais aussi relie ce mouvement à la mouvance terroriste illuminati qui divise le monde par la terreur et le meurtre.

A première vue, les deux hommes barbus, certes armés de fusils mitrailleurs, semblent lever l’index pour demander poliment la parole, comme dans une salle de classe. Mais le doigt levé, geste courant dans la religion musulmane, est devenu l’un des symboles d’allégeance à l’Etat islamique, nous explique Libération dans sa rubrique « Merci de l’avoir posée ».

Pour plusieurs rationalistes ,cet index pointé vers le ciel est, traditionnellement, le symbole de l’unicité d’Allah. Ce geste rituel est pratiqué par les musulmans au moment de prononcer leur chahâda, la profession de foi dans l’islam, l’un des cinq piliers de la religion. Mais, pour Romain Caillet, chercheur à l’Institut français du Proche-Orient (IFPO) interrogé par Libération, le geste a dérivé de son sens traditionnel pour devenir une expression militante.

Les premières occurrences de cet emploi du doigt levé détourné apparaissent ainsi en marge de la première intifada, en 1987 : « Des combattants du Hamas n’hésitaient pas à faire face aux soldats israéliens, index droit vers le ciel et pierre dans l’autre main. Depuis, on retrouve ce geste dans tous les conflits à connotation islamique. »

Avec la montée en puissance de l’Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak ces derniers mois, le geste a de plus en plus été utilisé. Sur les réseaux sociaux, où les personnes se revendiquant membres du groupe djihadiste sont très actives et multiplient les « selfies », la pose doigt levé est devenue un classique.

Autre lien à lire: En Irak, l’EI décuple la terreur grâce à Internet

« Ça peut être un effet de mode – un militant le fait puis est repris par tous les autres… Ou bien une décision des communicants de l’Etat islamique qui ont jugé que c’était un signe fédérateur, dans le sens où tous les musulmans peuvent s’y identifier », analyse Romain Caillet sur le site du quotidien français.

Pour ceux et celles qui se prétendent du  réalisme fantastique,comme moi,ce geste montre clairement  le lien classique de reconnaissance des illuminati,entre eux.C’est le signe populiste des Bush,des Sarkozy et des présidents iraniens…depuis des années.C’est un signe qui ne trompe pas.C’est un lien direct entre les sionistes d’Israel et d’Amérique avec les islamistes de l’État Islamique.

L’hypocrisie de l’affaire réside dans le fait  que ce sont les sionistes ,les qataris et les saoudiens qui financent ces mercenaires et ces fanatiques dans le but de créer un « état voyou » qui permettra à ces tyrans de déformer la vérité ,de diviser les musulmans entre eux et d’attirer l’attention sur un problème créé  artificiellement afin de faire mains-basses sur le pétrole irakien:le rêve de la famille Bush et des sionistes.

Pendant que les citoyens américains s’appauvrissent et que des millions habitants des grandes villes d’Amérique commencent à vivre de plus en plus avec la faim dans le ventre,dépossédés par les banques et la mort du « Grand Rêve Américain » dans la tête,leur gouvernement  a déjà vendu leur sang sur l’hôtel  de l’énergie fossile au Moyen Orient…car le libre marché doit continuer,peu importe le nombre des victimes.

Le profit étant devenu le Nouveau Dieu du néolibéralisme!