Guerre Russie-Ukraine:Mise à jour sommaire du front ukrainien ce 15 juin 2023

La ligne de front est stable. Les Ukrainiens sont repoussés. Les tactiques de vague d’assaut utilisées par l’AFU sont remarquables, notamment :

  • préparation d’artillerie,
  • avance de plusieurs groupes blindés (7-8 véhicules plus infanterie),
  • tentatives d’approche des positions russes et de dégagement des tranchées à l’exploitation, pour préparer le terrain pour l’approche des forces principales qui sont censées avancer profondément dans les défenses russes

En pratique, l’artillerie russe détruit les objets blindés ennemis dès qu’ils tombent à sa portée. Si le groupe d’assaut parvient à atteindre les bastions russes, l’infanterie russe intransigeante entre dans la bataille. Sinon, l’armure intacte restante des Ukrainiens se retire, fait le plein de munitions, fait le plein et retourne au combat.

Ces vagues d’assaut durent de trente minutes à plusieurs heures. L’offensive dure depuis six jours et la ligne de front est stable.

Les Ukrainiens avancent en colonnes et de manière répétitive le long des mêmes itinéraires, car en plus des frappes impitoyables de l’artillerie et de l’aviation russes, toutes les approches sont fortement protégées par des champs de mines, dont les Ukrainiens ont à juste titre peur.

Il convient également de noter le mépris absolu des commandants ukrainiens pour les pertes humaines dans leurs détachements d’assaut.

La défense russe, avec son système complet de tirs et de zones de destruction construit par les commandants russes, ne laisse aucune chance à l’ennemi.

Ajoutez à cela la patience du soldat russe. La capacité d’endurer et de rester à leurs positions jusqu’à la fin. Celui qui ne craint pas pour sa propre vie prend celle des autres.

#Source (russe)

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La Maison Blanche fait face aux lourdes pertes ukrainiennes

Des images fournies par le ministère russe de la Défense montrent une frappe contre les forces ukrainiennes lors d’un affrontement dimanche dans le sud de la République populaire de Donetsk. © Ministère russe de la Défense

L’administration du président Joe Biden a admis que les unités militaires ukrainiennes pourraient subir de lourdes pertes de troupes et d’armes fournies par les États-Unis alors qu’elles intensifient leurs attaques contre les forces russes dans la région du Donbass.

S’exprimant dans une interview à CNN jeudi soir, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré qu’il était réticent à discuter des détails sur les victimes au milieu de combats de plus en plus féroces près d’Artyomovsk (connu sous le nom de Bakhmut en Ukraine). Interrogé par l’hôte Wolf Blitzer sur les informations faisant état de graves pertes ukrainiennes d’hommes et d’équipements, il s’en est remis aux responsables ukrainiens pour commenter ces détails. 

 

«C’est la guerre, cependant, et il y en a. . . de violents combats autour de Bakhmut, et il y a des combats ailleurs le long de ce front qui s’étend du Donbass vers Zaporozhye », a  déclaré Kirby. « Et certainement, il faut s’attendre à ce qu’il y ait des victimes dans ces combats accrus. »

Kirby a fait ses commentaires au milieu d’informations selon lesquelles les forces ukrainiennes ont commencé dimanche leur contre-offensive tant attendue et ont subi la puissance de feu russe alors qu’elles tentaient à plusieurs reprises de briser les lignes défensives de Moscou. Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que les forces ukrainiennes avaient subi des pertes bien plus lourdes que le ratio de pertes typique de trois pour un généralement attendu lors d’une offensive.

Les forces ukrainiennes ont perdu des milliers de soldats et des dizaines de véhicules blindés et d’unités d’artillerie fournis par l’Occident, dont 1.240 soldats et 39 chars en 24 heures cette semaine, selon le ministère russe de la Défense. Le ministère a estimé les pertes de troupes de Kiev à plus de 3.700 soldats au cours des trois premiers jours de la contre-offensive, contre 71 du côté russe. Les responsables ukrainiens ont rejeté les allégations concernant ses pertes comme étant de la propagande russe.

Kirby a déclaré que l’administration Biden vise à permettre au régime de Kiev de lancer des attaques contre les forces russes quand il le souhaite. « Ce sur quoi nous allons nous concentrer, c’est de nous assurer que si, quand et comment le président [Vladimir] Zelensky veut se battre dans cette ligne ou sur toute autre ligne, il a le soutien dont il a besoin non seulement des États-Unis, mais de 50 autres partenaires.

Biden a promis jeudi de continuer à armer l’Ukraine  « aussi longtemps qu’il le faudra ».  Les législateurs américains ont déjà approuvé un financement de 113 milliards de dollars pour l’aide militaire et économique à Kiev, et il a déclaré qu’il s’attend à ce que les membres du Congrès continuent de soutenir les efforts de l’Ukraine pour chasser les forces russes de son territoire.

Blitzer a noté un avertissement du président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des États-Unis, Michael McCaul (R-Texas), selon lequel il sera  « très difficile »  d’obtenir l’approbation du Congrès pour plus de financement si  « l’Ukraine ne fait pas de progrès sur le champ de bataille ».  Lorsqu’on lui a demandé si cette évaluation était correcte, Kirby a déclaré que l’administration dispose de tout le financement dont elle a besoin pour l’Ukraine jusqu’à la fin de son exercice en cours, le 30 septembre.

« Nous avons reçu un soutien formidable des deux chambres du Congrès et des deux partis au cours des 15 derniers mois, et le président a déclaré qu’il s’attend à ce que ce soutien se poursuive parce que les membres du Congrès comprennent ce qui est en jeu ici – certainement à l’intérieur de l’Ukraine, mais aussi sur le continent européen »,  a déclaré Kirby.

Source : INTEL-DROP 10 juin 2023

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

 

Huit jours après le lancement de l’offensive ukrainienne, le bilan pour Kiev est désastreux

 

Huit jours après le lancement des premières tentatives d’offensive de l’armée ukrainienne contre les lignes défensives russes en région de Zaporojié et dans le sud de la République Populaire de Donetsk (RPD), le moins que l’on puisse dire est que le bilan tant en matière de pertes, qu’en matière d’avancée est un désastre.

 

 

L’offensive ukrainienne a commencé le 4 juin 2023, par une tentative de percée de la ligne de front dans le sud de la RPD. L’armée ukrainienne a déployé plusieurs bataillons mécanisés et de chars pour son offensive, qui s’est soldée par un échec cuisant, et des pertes importantes tant en hommes qu’en matériel (plusieurs chars, véhicules de combat d’infanteries et véhicules blindés ont été en mieux endommagés au pire détruits).

Malgré cet échec, dès le matin du 5 juin 20223, l’armée ukrainienne a de nouveau lancé une offensive en direction d’Ougledar, dans le sud de la RPD, et vers Velikaya Novossiolka, en région de Zaporojié.

Zone de l'offensive ukrainienne en RPD

 

Zoom sur la zone de Vremievka

Zone de l'offensive ukrainienne en RPD et région de Zaporojié

Cartes fournies par Military Maps

L’attaque du 5 juin près d’Ougledar est beaucoup plus puissante que celle de la veille, et a permis à l’armée ukrainienne de pénétrer dans la périphérie de Novodonetskoye, sans réussir à s’y installer. Les soldats de l’armée ukrainienne y sont massivement bombardés par l’artillerie russe, et un véritable système de navettes de véhicules de transport de troupes blindés fait alors des aller-retours pour amener « du sang frais ». Ces véhicules tombent eux-mêmes sous les frappes de l’artillerie russe ou explosent sur des mines, et sont remplacés au fur et à mesure des destructions.

C’est lors de cette bataille que les chars allemands Léopards ont fait leur première apparition sur la ligne de front.

Le même jour, la 23e brigade des Forces Armées Ukrainiennes (FAU) a attaqué la ligne Novopol-Novodarovka avec un groupe tactique de bataillon et deux pelotons de chars. Mais l’attaque fut repoussée par les forces russes.

Cette même brigade ukrainienne lança aussi une offensive sur les hauteurs proches de Novossiolka, et avec des renforts d’unités d’infanterie de marine et des groupes tactiques de bataillon a commencé à avancer à 2 km à l’ouest de Neskoutchnoye.

Au deuxième jour de l’offensive ukrainienne, devant l’échec manifeste de cette dernière, Kiev garde alors le silence, faisant comme si l’attaque n’avait pas encore commencé. Le lendemain, le 6 juin 2022, l’Ukraine détruit le barrage de Novaya Kakhovka, noyant plusieurs villages ainsi qu’une partie de la ville de Kherson. Dans le même temps elle détruit aussi le gazoduc d’ammoniac reliant Togliatti à Odessa, qui faisait partie de l’accord céréalier.

Entre temps, l’aviation russe a lourdement bombardé Novossiolka, où se trouve une importante zone fortifiée ukrainienne, avec près de 15 bombes planantes FAB-500 de 500 kg. Et l’armée ukrainienne a dû se retirer de Novodonetskoye après de lourdes pertes.

Les drones kamikazes ont aussi été utilisés par l’armée russe pour détruire l’équipement de l’armée ukrainienne en région de Zaporojié.

Le 6 juin, le ministre russe de la Défense annonce qu’en trois jours, 71 soldats russes sont morts et 210 ont été blessés en repoussant l’offensive ukrainienne. Côté ukrainien, les pertes sont monstrueuses. Le ministère de la Défense russe indique ainsi que l’armée ukrainienne a perdu près de 1.900 soldats (blessés et morts) lors de la même période, et plus de 200 pièces d’équipement dont de nombreux chars, incluant plusieurs Léopards.

Dans le même temps, l’armée ukrainienne retente d’attaquer Novodonetskoye depuis plusieurs directions à la fois avec une vingtaine de véhicules blindés fournis par l’OTAN, mais sans succès. Les unités de reconnaissance russes détectent le mouvement des FAU, une bataille s’engage rapidement et se solde par l’échec de l’avancée ukrainienne.

Le 7 juin, l’armée ukrainienne a tenté d’attaquer plus à l’ouest, dans la région de Zaporojié, vers le village de Lobkovoye. Un petit groupe avec deux véhicules de transport de troupes blindés et deux Hummer a tenté d’avancé prudemment vers les positions russes, mais a été découvert. Une bataille s’es

Zone de l'offensive des FAU en région de Zaporojié

Carte fournie par Military Maps

Les FAU ont ensuite lancé une bataille exploratoire entre le Dniepr et Orekhov avec une compagnie et une dizaine de blindés, pour essayer de chercher une faille dans la défense russe. Sans succès. Deux véhicules blindés américains ont explosé dans un champ de mines, les troupes ukrainiennes se sont alors arrêtées et ont commencé à reculer sous le feu de l’artillerie russe, qui a ensuite pilonné leurs positions. Les deux véhicules blindés endommagés ont été abandonnés dans le champ de mines.

Et les tentatives d’attaque vers Vremievka se sont elles aussi soldées par un échec cuisant grâce à l’intervention massive de l’aviation et de l’artillerie russe, et aux actions des troupes russes du groupe Vostok. En une journée, l’armée ukrainienne a de nouveau perdu plusieurs centaines de soldats et plusieurs dizaines de chars, de véhicules blindés et de véhicules de combat d’infanterie, plus trois systèmes d’artillerie automoteurs Krab et d’autres pièces d’armements.

Le 8 juin 2023, les forces russes signalent que l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une offensive dans la zone d’Orekhov, en région de Zaporojié. En pleine nuit, après des frappes massives de d’artillerie, 1.500 hommes et 150 véhicules blindés de la 47e brigade mécanisée des FAU ont lancé une nouvelle offensive. Mais les unités de reconnaissance ont détecté l’avancée des troupes ukrainiennes, qui ont été massivement frappées par les missiles antichars, l’artillerie et l’aviation russes. Les systèmes de guerre électronique russes s’activent aussi, et brouillent les signaux des troupes ukrainiennes, qui se retrouvent totalement désorganisées.

Après deux heures de combat, l’armée ukrainienne avait perdu plusieurs dizaines de chars et de véhicules de combat d’infanterie, et près de 350 soldats. Face aux pertes importantes, certaines unités ukrainiennes refusent alors d’appliquer les ordres et de monter à l’assaut.

Il faut souligner que la 47e brigade mécanisée des FAU, qui a subi de lourdes pertes près d’Orekhov, a été entraînée par les forces de l’OTAN dans toute l’Europe au cours des derniers mois et a été équipée d’armes occidentales. Le problème c’est qu’ils ont été entraînés à combattre avec l’aide de systèmes de coordination des troupes, qui ont été brouillés (signal GPS et communication) par les systèmes de guerre électronique russes. Privés de cette béquille high-tech, les soldats ukrainiens se sont retrouvés totalement désorganisés sur le champ de bataille, incapables de faire face efficacement aux tirs de l’armée russe.

Le même jour, les combats se sont poursuivis dans la partie sud de la RPD. Malgré les pertes effroyables l’armée ukrainienne a continué d’envoyer de nouvelles vagues de soldats sans arrêt (en fait quand les médias français accusent la Russie de faire cela, il s’agit d’inversion accusatoire, car c’est l’Ukraine qui utilise massivement cette tactique). Mais les soldats ukrainiens se rendent compte des pertes importantes dans leurs rangs, et de plus en plus refusent alors de suivre les ordres. De leur côté, les troupes russes continuent de tenir bon.

C’est à ce moment là que les premières informations sur la destruction de chars Léopard ont commencé à apparaître.

Informations confirmées par vidéo de drone dès le lendemain :

Et les chars Léopards ne sont pas les seuls à montrer une piteuse performance sur le terrain, les véhicules de combat d’infanterie M2 Bradley, et les M1224 MaxxPro se font aussi massivement détruire par les tirs de l’armée russe.

 

 

Le 9 juin au matin, l’armée ukrainienne a envoyé de nouvelles troupes tenter une percée en région de Zaporojié. Les FAU ont essayé de créer un puissant poing de choc pour encercler les troupes russes, et s’accrocher à leurs positions avancées. Des combats intensifs se sont alors engagés, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation russe pour détruire l’équipement ukrainien. Pendant tout ce temps, la ligne de front est restée stable et les forces russes n’ont pas bougé de leurs positions.

Dans la nuit du 9 au 10 juin 2023, il y a eu de nouveau des combats près d’Orekhov après de lourdes frappes de l’artillerie ukrainienne contre les positions russes. Mais toujours pas de réussite pour les FAU qui ont de nouveau subi de lourdes pertes en hommes et en matériel.

Les troupes russes ont frappé au sud de Novoandreyevka, détruisant plusieurs véhicules blindés ukrainiens. Quatre autres sont restés coincés dans les champs de mines de la région de Malaya Tokmachka. Les unités des forces spéciales russes ont aussi détruit un char et un dragueur de mines dans cette zone.

L’armée ukrainienne a aussi essayé d’organiser des contre-mesures électroniques afin de réduire les capacités des forces russes en matière de reconnaissance, et de communication. En vain. Les soldats ukrainiens ont aussi fait face à de gros problèmes dus aux champs de mines installés par les forces russes. Ces dernières utilisent des systèmes de minage à distance avant et après les combats dans les champs traversés par les FAU, ce qui fait que les troupes ukrainiennes roulent sur les mines à l’aller (lorsqu’ils tentent d’avancer vers les positions russes), mais aussi au retour lorsqu’ils tentent de fuir ou d’évacuer les blessés ou le matériel endommagé.

Au bout de six jours d’offensive, l’armée ukrainienne avait déjà perdu plus de 10 % des M2 Bradley livrés, ainsi qu’environ 20 % des chars Léopard 2A6.

Malgré cela, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une percée le 10 juin au soir, vers 21:20. Des combats ont eu lieu près d’Orekhovo, Lobkovoye, et Novodonetskoye. Mais les troupes russes ont repoussé ces attaques avec l’aide de l’aviation, de l’artillerie et des missiles antichars.

À Ougledar, les drones FPV russes ont aussi infligé des frappes destructrices sur les équipements des FAU situés en zone urbaine.

Par contre, près de Vremievka, le bataillon Kaskad (forces armées russes) a préféré se retirer vers des positions en hauteur pour éviter d’être encerclé par les troupes ukrainiennes, ce qui a permis à ces dernières de prendre le contrôle de Blagodatnoye et Neskoutchnoye sans combats. Je tiens à souligner avant que certains réagissent de manière très émotionnelle, que ces villages et les positions russes qui s’y trouvaient sont dans la zone grise. La première ligne de défense de l’armée russe est plus au sud, et n’a jamais été approchée par l’armée ukrainienne. D’ailleurs Neskoutchnoye a été reprise dès le lendemain par les forces russes, après un pilonnage massif des troupes ukrainiennes qui avaient tenté de s’y installer.

La même situation a lieu à Velikaya Novossiolka, au nord de Neskoutchnoye, qui a changé plusieurs fois de main en une seule journée. Dès que les troupes russes se sont retirées et que l’armée ukrainienne est entrée dans le village, des frappes d’artillerie lourde et de lance-roquettes multiples, ainsi que des frappes aériennes, ont été infligées à la zone. Les troupes ukrainiennes ont quitté le village, les troupes russes sont revenues. L’armée ukrainienne a de nouveau attaqué avec des unités mécanisées. Les troupes russes se sont retirées et dès que les unités des forces armées ukrainiennes sont entrées dans la localité, elles se sont de nouveau fait tirer dessus, et cela s’est répété plusieurs fois. Les pertes des forces armées ukrainiennes en 24 h ont été d’environ 350 soldats et d’environ 40 pièces d’équipement.

D’ailleurs même le Telegraph a conclu que l’offensive ukrainienne aurait du mal à franchir les lignes de défense russe, qu’elle n’a toujours pas atteintes.

Le 11 juin, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté d’approcher des positions russes situées face à Orekhov. Mais après avoir reçu des tirs de lance-grenades automatiques de mitrailleuses lourdes, les soldats ukrainiens se sont retirés avec des pertes. À en juger par les interceptions radio les pertes ont été de huit morts, et 11 blessés.

Par contre, plus à l’est, vers Vremievka et Ougledar, le mauvais temps a temporairement bénéficié à l’armée ukrainienne, en empêchant l’aviation et les drones russes de voler. Privé de reconnaissance aérienne et de possibilité de mener des frappes par avion ou hélicoptère, l’armée russe a reculé, permettant aux troupes ukrainiennes de prendre le contrôle du village de Makarovka.

Mais cet avantage météorologique n’a pas duré. Dès le lendemain, le 12 juin 2023, l’armée russe a pu de nouveau faire voler drones, avions et hélicoptères. La 127e division motorisée russe a lancé une contre-offensive massive et a pu reprendre le contrôle de Makarovka, et s’approcher de Neskoutchnoye. À l’heure où j’écris ces lignes, les combats sont toujours en cours dans cette zone.

Le bilan après huit jours d’offensive de l’armée ukrainienne est terrible pour cette dernière. Un grand nombre de réservistes ont été envoyés dans des attaques frontales, quelques semaines à peine après leur enrôlement. Les unités entraînées par les pays de l’OTAN, comme la 47e brigade des FAU ont littéralement disparu des rapports, ce qui semblent indiquer que l’unité a subi des pertes irrémédiables tellement lourdes que l’unité n’est plus opérationnelle.

À en juger par les informations de terrain, tant à Zaporojié qu’à Velikaya Novossiolka, les FAU ont perdu la partie la plus active de leurs troupes. Les chiffres exacts n’ont pas encore été établis, cependant, à en juger par la quantité d’équipement détruit, les troupes ukrainiennes auraient perdu environ entre 7.000 à 7.500 soldats (tués et blessés) en huit jours « d’assauts successifs de chair à canon ».

À Zaporojié, au cours des quatre derniers jours, presque toutes les institutions médicales de la ville étaient remplies de soldats ukrainiens. Rien qu’à l’hôpital n°5, environ 1.500 soldats blessés des FAU ont été amenés.

Les pertes matérielles de l’armée ukrainienne sont à l’avenant. Pour 100 m de gagnés, l’armée ukrainienne perd à chaque fois plusieurs chars et véhicules blindés ou de combat d’infanterie. Un pourcentage important de l’armement occidental fourni à l’Ukraine est dores et déjà détruit. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Ukraine réclame de nouveau à cor et à cri que l’Allemagne lui fournisse plus de chars Léopards, trois fois plus ! Cette nouvelle demande indique clairement que Kiev a perdu une grande partie de l’équipement précédemment fourni. Équipement qui s’est avéré ne pas être la « super arme » tant vantée par les Ukrainiens.

Je rappelle que le ministère ukrainien de la Défense avait dit aux Russes de trembler de peur car bientôt l’armée ukrainienne aurait des chars Léopards.

Résultat plusieurs de ces derniers, dont deux Léopards de déminage, ont brûlé dans les plaines des régions de Zaporojié et Donetsk, comme l’avait promis le député russe Piotr Tolstoï sur le plateau de BFM TV.

Si l’Allemagne et les autres pays occidentaux continuent de fournir ainsi leur armement à Kiev pour son offensive, l’armée russe démilitarisera non seulement  l’armée ukrainienne, mais démilitarisera aussi un grand nombre de pays de l’OTAN par la même occasion.

Ce soir, les combats se poursuivent, et pour ceux qui veulent être tenus au courant en temps réel de ce qui se passe, je vous encourage à me suivre sur Telegram, où je publie plus d’informations, et surtout de preuves vidéos, que je n’ai pas pu inclure dans cet article car les vidéos sont trop lourdes et ne peuvent être visionnées que dans l’application.

Christelle Néant   13 juin 2023;        Source : Donbass-Insider

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Poutine : l’Ukraine échoue dans toutes les directions de la contre-offensive

Jusqu’à présent, Kiev échoue dans toutes les directions de sa contre-offensive, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine, ajoutant que l’armée ukrainienne avait subi de lourdes pertes.

« L’ennemi n’a réussi dans aucune des directions. Ils ont de lourdes pertes », a déclaré Poutine lors d’une réunion avec des correspondants militaires.

Le président a mentionné que l’armée ukrainienne attaque actuellement dans les  directions Shakhtyorsk et Vremevka  « mais ne parvient pas à atteindre la ligne de front« . Au total, l’Ukraine attaque depuis quatre directions, a ajouté Poutine.

« Il s’agit  d’une contre-offensive à grande échelle  utilisant, comme je l’ai dit récemment publiquement, des réserves préparées à ces fins. Cela dure depuis le [juin] 4 et continue à ce jour, en ce moment », a déclaré Poutine.

Les pertes de l’Ukraine s’élèvent à 25-30% du volume d’équipement livré depuis l’étranger

« Selon mes calculs, cela représente environ 25% ou peut-être 30% du volume de l’équipement qui a été livré de l’étranger, c’est à peu près tout. Il me semble que s’ils les calculent objectivement, ils seront d’accord avec ce chiffre, mais d’après ce que j’ai vu de sources ouvertes, de sources occidentales, c’est à peu près ce qu’ils disent, je pense. L’offensive est donc en cours et les  résultats d’aujourd’hui sont ce que je viens de dire », a déclaré Poutine aux correspondants militaires.

L’Ukraine a perdu 160 chars et 360 véhicules blindés lors de la contre-offensive, et ce n’est que ce que Moscou voit, a ajouté le président.

« En ce qui concerne les véhicules blindés, il y a des [pertes] encore plus graves. Ils ont perdu plus de 160 chars et plus de 360 véhicules blindés de différents types pendant cette période. C’est juste ce que nous enregistrons. Il y a aussi des pertes que nous ne voyons pas, qui sont infligées par des armes à longue portée de haute précision à des groupes de personnel et d’équipement. Donc en fait, il y en a plus, ces pertes, de la part de l’Ukraine », a conclu Poutine.

Le président russe a noté qu’avec Kiev important toutes ses armes et équipements de pays étrangers, l’industrie de la défense ukrainienne cessera bientôt complètement d’exister puisqu’elle ne produit rien.

« L’industrie ukrainienne de la défense cessera bientôt complètement d’exister. Que produisent-ils ? Ils importent des munitions, du matériel, des armes, tout. On ne peut donc pas vivre et durer longtemps. C’est pourquoi la question liée à la démilitarisation revêt une dimension très pratique », a souligné Poutine.

Les mercenaires polonais en Ukraine subissent de lourdes pertes

 « Les mercenaires polonais se battent vraiment là-bas… et ils subissent de lourdes pertes. Ils les cachent vraiment [de leur propre population], mais les pertes sont sérieuses », a déclaré Poutine.

https://sputnikglobe.com/20230613/putin-ukraine-fails-in-all-directions-of-counteroffensive-1111116289.html

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Le Parlement russe annule sa coopération avec l’Ukraine sur la mer d’Azov qui est  déclarée maintenant uniquement comme étant des eaux russes !

mer d'Azov — Wiktionnaire

La Douma et le Conseil de la Fédération de Russie ont adopté hier une loi annulant l’accord de coopération avec l’Ukraine concernant la mer d’Azov. La Russie déclare que cette mer est exclusivement  russe.

 » Avec l’  admission  de la République populaire de Donetsk (RPD), des régions de Zaporozhye et de Kherson à la Russie, les rives de la mer d’Azov et du détroit de Kertch n’appartiennent désormais qu’à la Fédération de Russie –

La voie navigable qui relie la mer Noire à la mer d’Azov est le détroit de Kertch. De l’autre côté de ce détroit se trouve le nouveau pont du détroit de Kertch, que l’Ukraine a, par le passé, bombardé.

La Russie a réparé les dommages causés par les bombardements et a rouvert le pont, mais des informations récentes provenant de l’intérieur de l’Ukraine révèlent qu’il y a des discussions actives en cours en Ukraine sur la destruction de ce pont pour couper l’accès de la Russie à la Crimée.

Le Parlement russe ayant désormais déclaré sa souveraineté exclusive sur la mer d’Azov, il n’y a plus aucune raison pour que la marine ukrainienne – ou toute autre marine – entre n’importe où dans la mer d’Azov.

Le Parlement russe a pris cette décision pendant que l’OTAN renforçait ses forces dans la région.

Et si l’OTAN décidait d’envoyer un navire militaire dans la mer d’Azov parce que l’OTAN « ne reconnaît pas » l’action de la Russie ? Peut-être que le navire de l’OTAN sera coulé ? Peut-être est-ce « l’incident » qui déclenchera la troisième guerre mondiale ?

Cette situation s’aggrave de jour en jour.


Comment les Russes ont-ils détruit les blindés occidentaux ?

Chars occidentaux détruits récemments

 

 

 

 

 

 

 

 

Au cours de l’offensive ukrainienne, les véhicules blindés occidentaux ont été forcés d’avancer en colonne, à travers le champ de mines russes. À la tête de la colonne se trouve un char avec dispositif de déclenchement de mines antichar, à faible vitesse de déplacement. La colonne a été attaquée par les Russes avec des drones kamikazes Lancet-3 et des missiles antichars guidés par des hélicoptères Ka-52 et Mi-28. Tentant d’échapper aux blindés en feu, les chars Leopard ou Bradley sont sortis de la voie de sécurité et ont heurté d’autres mines antichars, sautant également en l’air. Sur une colonne de 35 véhicules blindés (groupement tactique de bataillon), seuls 15 à 20 restaient en état de combattre, de sorte qu’il n’y avait plus d’attaque possible.

Pendant ce temps, les Russes ont utilisé le système MRLS «Agriculture» pour poser des mines antichars dans le couloir où les unités blindées ukrainiennes avaient avancé, juste derrière elles. Les restes de la colonne ukrainienne sont retournés dans le couloir où ils avaient avancé, estimant qu’il n’y avait pas de danger. Cette fois, il n’y avait pas de char en tête de colonne. Et les blindés occidentaux ont recommencé à exploser, seuls 10 à 12 d’entre eux atteignant les positions d’où ils étaient partis. Contrairement aux armées de l’OTAN qui se sont concentrées sur l’invasion d’autres pays avec leurs blindés «invincibles» et ont oublié comment se défendre, les Russes ont développé de nombreux équipements nécessaires à l’organisation de la défense.

Le système «Agriculture» est un MLRS de 25 missiles qui pose des mines antichars ou antipersonnel jusqu’à une distance de 15 km. Lors de l’impact avec le sol, les mines, qui sont dotées d’un capteur sismique de proximité, s’enfouissent complètement dans le sol et ne peuvent pas être identifiées visuellement. Si les Russes décident de contre-attaquer, le champ de mines est désactivé car chaque mine est dotée d’un dispositif d’autodestruction.

C’est la partie visible de l’action de combat, illustrée par d’innombrables vidéos. Qu’est-ce qui n’est pas connu ? L’art militaire, qui repose sur des commandants tactiquement redoutables, des soldats motivés et des armes modernes, ne commence à porter ses fruits que lorsque le planificateur de l’opération a créé la «mise en scène» étape par étape de la science militaire, dans le respect des règles tactiques. Celles-ci concernent la concentration des forces sur la ligne de front et dans la profondeur, la création d’une densité optimale de moyens antichars, etc. et surtout le choix d’un secteur approprié pour briser les défenses de l’ennemi. On peut dire que les Ukrainiens ont la volonté de se battre et qu’ils disposent désormais d’une technologie occidentale très performante. Mais le planificateur de l’offensive ukrainienne était un imbécile, ne respectant aucune des lois et des principes de la science militaire.

Sur le front de Zaporijia, les Russes mettent en place un système de défense composé de 3 zones fortifiées. Au centre, à partir de la ligne de contact, les Russes ont laissé une zone non fortifiée mais minée de 35 km x 18 km, où le planificateur d’opération ukrainien a décidé d’attaquer. Jusqu’à présent, tout s’est déroulé au nord de cette bande. Au lieu d’un secteur unique brisant les défenses de cette bande, avec des blindés tenant en groupes, les Ukrainiens sont partis dans 6 directions, ce qui a dispersé les blindés occidentaux en petits groupes le long de routes divergentes truffées de mines. La carte montre que les Ukrainiens ont encore un long chemin à parcourir avant d’atteindre les zones fortifiées russes, où la densité des moyens antichars et d’artillerie est impressionnante. Si c’est à cela que ressemble la «grande contre-offensive de désengagement» annoncée par le président Zelinsky, je doute que les Ukrainiens disposent d’autant de forces et de techniques occidentales sacrificielles (2 à 3 corps d’armée) pour ne serait-ce que percer la première ligne de défense russe. Et si, par l’absurde, ils y parviennent, où trouveront-ils d’autres forces pour poursuivre l’offensive en profondeur, au moins jusqu’à la frontière de la Crimée ?

 


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Vidéo important:Les mondialistes sont en train de se servir de l’OMS pour faire un coup d’État mondial

Le «traité pandémie» est une menace pour nos libertés fondamentales.

Avec Chloé Frammery, lanceuse d’alerte et réinformatrice depuis 11 ans, professeur de maths mise au chômage anticipé pour cause de positionnement qui dérange.

 

 

 

 

 

 

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

 

La confiance envers les médias à travers le monde

Chaque année, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme publie un rapport sur l’information numérique. La dernière édition a interrogé plus de 93 000 personnes dans 46 pays sur une série de sujets liés à l’actualité en ligne : allant de la perception de la couverture médiatique de la guerre en Ukraine à l’évolution des habitudes d’information. Comme le révèle l’étude, la confiance globale dans les médias d’information a baissé dans 21 des 46 pays analysés, tandis que 18 sont restés au même niveau et que 7 seulement ont observé une hausse.

C’est en Finlande que l’on trouve le plus de personnes déclarant faire le plus souvent confiance aux médias d’information, soit 69% des répondants, en hausse de 4 points sur un an. Les États-Unis sont toujours en queue de peloton, à égalité avec la Slovaquie, avec seulement 26% de personnes estimant que la plupart des informations relayées par les médias sont fiables. La France fait à peine mieux, avec 29%, un score qui a globalement stagné depuis 2021 (-1 points).

Selon l’Institut Reuters, alors que la majorité des personnes dans les pays étudiés restent engagées et s’informent régulièrement, les nations qui affichent les plus faibles niveaux de confiance, telles que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, sont aussi celles où le phénomène «d’évitement sélectif des nouvelles» est le plus répandu. Parmi les raisons évoquées derrière le fait d’éviter certaines informations, nombreux sont ceux qui citent le caractère redondant et déprimant de l’actualité.

source : Statista

*Comme on le voit,le Canada a vu sa confiance baissée par l’ensemble de sa population…Je ne suis pas surpris!

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Les États-Unis, un géant entravé au bord de l’abime

La nouvelle réjouira tout ce que la France compte d’antiaméricains et de pro-poutiniens, à l’extrême gauche ou dans les rangs ultranationalistes : les prémices de la campagne présidentielle de 2024 pèsent déjà, de manière négative, sur la politique extérieure de Washington. À l’issue du sommet du G7, le 21 mai à Hiroshima, Joe Biden a dû annuler une mini-tournée en Asie destinée à consolider le front antichinois, qui est pourtant sa priorité diplomatique numéro un. L’urgence l’appelait à Washington, où il devait convaincre les élus républicains au Congrès de relever le plafond de la dette fédérale. Car, sans accord bipartisan, les États-Unis sont menacés d’un défaut de paiement qui aurait un impact désastreux sur les marchés financiers et pourrait déclencher une récession.

Joe Biden entouré de plusieurs dirigeants au G7 du 20 mai 2023

 

 

 

 

 

 

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Faute d’accord sur la dette, Biden écourte une tournée majeure en Asie

 

 

Joe Biden s’est dit mardi optimiste sur la possibilité d’éviter un défaut de paiement des Etats-Unis, qui pourrait survenir dans deux semaines, mais il a dû écourter son voyage diplomatique prévu en Asie pour se concentrer sur les tractations.

« Il reste du travail sur plusieurs questions difficiles », mais Joe Biden est « optimiste » quant à la conclusion d’un « accord budgétaire raisonnable », a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.

 

le G7 est un véritable spectacle de clowns nains

 

Comparer le G7 aux petites personnes (nains et gnomes) qui représentaient les Munchkins dans le célèbre Magicien d’Oz est une insulte à ces personnes de petite taille physique mais gigantesques en termes de caractère et d’intégrité. Les dirigeants du G7 sont une honte pour l’humanité.

 

Ces petites personnes dans le Magicien d’Oz étaient des exemples de talent et d’humanité. Les bâtards sans âme qui se sont réunis à Hiroshima le week-end dernier sont l’antithèse des Munchkins – physiquement plus grands que les Munchkins – à l’exception de Zelensky et du Britannique Rishi Sunak – mais totalement dépourvus de morale et de la gravité de l’art de gouverner. Quel spectacle de clowns !

Les remarques véhémentes d’Ursula von der Leyen sur la nécessité de renforcer la confrontation avec la Chine illustrent bien cette illusion :

« Il est important pour nous d’offrir de véritables alternatives à l’initiative Ceinture et Route chinoise, par exemple. Et voici notre initiative commune sur l’investissement dans les infrastructures en dehors de l’Europe, en dehors du G7. Nous parlons d’un paquet de 600 milliards d’euros que l’UE lance avec les États-Unis et d’autres pays pour des investissements ciblés dans les infrastructures dans le Sud mondial. Nous devrons faire des pas de géant. »

Plutôt que d’essayer de verser de l’huile sur des eaux troubles, la bande de mécréants du G7 a l’intention d’essayer de mettre le feu à cette huile. Leur rassemblement à Hiroshima, site de la première utilisation d’une bombe atomique, a été riche en ironie. Malgré leur rhétorique antagoniste creuse sur la défaite de la Russie, ils ont refusé d’accepter le fait que l’armée ukrainienne qu’ils ont entraînée, financée et équipée a été battue de manière décisive à Bakhmout par une force beaucoup plus petite d’une bande présumée de conscrits criminels – les 12 salopards fois 3000. En réalité, le groupe Wagner n’est pas le seul responsable de la défaite de la force soutenue par l’OTAN. Wagner a reçu un large soutien de la part des forces régulières russes, qui ont lancé des barrages aériens et d’artillerie incessants.

Le dérèglement des dirigeants du G7 a été saisi dans un discours prononcé par Eliot Cohen, un néocon fanatique, à la conférence de l’Arche stratégique de l’Institut polonais des affaires internationales, le 17 mai 2023. Cohen a déclaré :

« Les Russes doivent en outre conclure que l’Ukraine – autrefois, selon eux, un pseudo-État contenant des « cousins » ou des « petits frères » – a disparu à jamais. Cela signifie une adhésion rapide à l’UE et à l’OTAN, mais aussi un engagement profond de l’Occident à reconstruire l’Ukraine sur le plan économique et, surtout, à l’armer jusqu’aux dents pour les années à venir.

Les palinodies de l’administration sur la possibilité de donner nos F-16 surabondants à l’Ukraine sont stupides et à courte vue. Ces avions ne feront peut-être pas la différence sur le champ de bataille dans deux mois, mais le fait de savoir que plusieurs centaines d’entre eux sont dans le pipeline pour les cinq prochaines années aurait une profonde importance symbolique. Nous devrions parler de la manière dont nous allons reconstruire les forces armées ukrainiennes, l’armée la plus importante, la plus éprouvée au combat et, à certains égards, la plus déterminée de l’Occident.

L’Occident a besoin d’une campagne d’information agressive pour faire comprendre la réalité de la défaite russe. Il faut rappeler aux Russes que leur économie chancelante ne représente qu’un dixième de la taille de l’UE, qu’ils sont incapables de construire et de déployer un char moderne, que leur dernier jet haute performance, le Su-57, sera surpassé en nombre par les F-35 des quatre petits États nordiques, que leurs généraux sont surannés et incompétents, que leur haut commandement est indifférent à la vie de leurs hommes, que leur équipement est inférieur à celui de l’Ukraine et que leur logistique est gangrenée par la corruption. »

C’est de la pure folie. Cohen, et le reste des dirigeants du G7, n’ont pas encore compris que les Russes « superannués et incompétents » viennent de leur botter le cul à Bakhmout et que la technologie soi-disant « supérieure » de l’OTAN est décimée par l’économie militaro-industrielle d’une Russie « chancelante ». Il serait tragique que Cohen débite ces absurdités alors qu’il est attaché à une camisole de force dans un établissement psychiatrique. Nous pourrions espérer qu’une combinaison de médicaments et de traitements médicaux le libère de sa psychose. Mais il n’est pas enfermé dans un service psychiatrique. Au lieu de cela, il est accepté comme un expert avisé qui présente une vision viable de la politique occidentale à l’égard de la Russie.

Cela signifie que l’Occident continuera à utiliser l’Ukraine comme un bélier flasque, essayant futilement d’écraser la Russie et garantissant le massacre de dizaines de milliers de militaires ukrainiens dans le processus. La Russie, pour sa part, semble reconnaître que les dirigeants de l’Occident sont saisis d’une folie qui ne peut être combattue qu’en détruisant les armées et les équipements que l’Occident déploie contre elle.

Alors que Cohen et le G7 continuent de succomber à l’erreur fatale de prétendre que la Russie est une autocratie grinçante au bord de l’effondrement, Vladimir Poutine et son équipe de sécurité nationale continuent de forger de nouveaux liens avec les plus grandes nations du monde en termes de population et sont occupés à ériger de nouveaux systèmes économiques qui contourneront le système hégémonique occidental basé sur la suprématie du dollar américain. La fixation de l’Occident sur l’écrasement de la Russie élimine toute voie viable pour un règlement négocié et le rétablissement de normes diplomatiques normales. Il s’agit d’une lutte à mort, à laquelle l’Occident n’est pas préparé. La Russie et la Chine semblent désormais réaliser que l’Occident n’est plus digne de confiance et s’engagent sur la voie de la défense et de l’obligation pour l’Occident d’en subir les conséquences.

source : A Son of the New American Revolution


 

 


DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE

Brésil : Lula met fin à sa participation au G7

Luiz Inácio Lula da Silva
Luiz Inácio Lula da Silva

 

Le président Luiz Inácio Lula da Silva (PT) a mis fin à sa participation au sommet des dirigeants du G7 avec une position considérée comme contestataire et critique envers le pouvoir des pays les plus industrialisés du monde qui font partie du groupe. Pour finir, Lula a  critiqué la façon dont les puissances affrontent les crises géopolitiques et a affirmé : « Il faut rompre avec la logique des alliances excluantes et les faux conflits entre civilisations. »

« La multi-polarité que cherche le Brésil est basée sur les prémices du droit international et sur la promotion du multi-latéralisme. Représenter à nouveau la guerre froide serait une folie. Diviser le monde en est et ouest ou nord et sud serait aussi anachronique qu’inutile. Il faut rompre avec la logique des alliances excluantes et des faux conflits entre civilisations », a déclaré le président dans son dernier discours au sommet.

Cette réunion s’est déroulée à Hiroshima, Japon, et a débuté vendredi dernier (19). Des dirigeants et des représentants du G7, composé par l’Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l’Italie, le Japon et le Royaume-Uni, y ont participé.

« le monde n’est plus le même. Les guerres traditionnelles continuent à éclater et nous voyons des retours en arrière préoccupants dans le régime de non prolifération nucléaire qui devra nécessairement inclure la dimension du désarmement. Les armes nucléaires ne sont pas une source de sécurité mais un instrument d’extermination massif qui nie notre humanité et menace la continuité de la vie sur la terre », a-t-il déclaré.

À propos de l’Ukraine, Lula a déclaré : « Aucune solution ne sera durable si elle n’est pas basée sur le dialogue » et il faut « travailler pour créer des espaces de négociation ». « Nous condamnons énergiquement l’utilisation de la force comme moyen pour résoudre les différents. Nous condamnons la violation de l’intégrité territoriale de l’Ukraine. En même temps, chaque jour, pendant lesquels la lutte continue, la souffrance humaine, la perte de vies et la destruction de foyers augmentent. »

Cette position du président a attiré l’attention des spécialistes en politique étrangère parce qu’elle remet en question le pouvoir des pays du G7 dans le monde. Le professeur en relations internationales et en économie de l’université fédérale de l’ABC (UFABC),  Giorgio Romano Schutte, qui est aussi membre de l’observatoire de politique étrangère et d’insertion internationale du Brésil (au PIB) défend cette position.

« Lula a été clair, par exemple, sur le fait que le forum de débat doit être le G20 auquel les pays du Sud mondial participent sur un pied d’égalité, et que les décisions doivent être prises dans le forum multilatéral des Nations unies, », déclare Schutte.

D’après lui, Lulla, « a remis en question la légitimité des pays du G7 en tant que dirigeants mondiaux » et a critiqué la création « d’alliances excluantes et de faux conflits entre civilisations », qui, à son avis, rendent difficile la création des alliances nécessaires pour résoudre les problèmes mondiaux. Des problèmes comme les crises environnementales, la sécurité alimentaire, les pandémies et la paix.

« Lula a dit explicitement ce qu’il devait dire, entre lignes et gestes non verbaux. Mais on a l’impression que les dirigeants du G7 ont fait la sourde oreille tandis que l’opinion publique des pays du G7 est appelée à s’indigner parce que Lula ne veut soi-disant pas rencontrer Zelensky.Tous les dirigeants du G7 reconnaissent son autorité et son charisme, ils aiment être sur la photo avec le président, mais ils attendent de lui qu’il se limite à l’ordre du jour qui les intéresse aussi », a conclu  Schutte.

Contrairement à ce qui avait été annoncé initialement, Lula n’a pas rencontré le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, pour une conversation bilatérale pendant le sommet à cause d’un problème d’emploi du temps, selon ce qu’il a dit.

À la différence des autres pays occidentaux, le Brésil n’était pas d’accord avec l’imposition de sanctions financières à la Russie et cherche, pour cette raison, à se situer en tant que médiateur entre les deux pays, ainsi que la Chine.

source : Resumen Latinoamericano via Bolivar infos

 

 

 

 

 

 

 

Le méprisable traffic mondial d’enfants de l’Ukraine

… Tu sais bien sûr que les crimes contre le peuple ( NDT : Ukrainien ) ici sont sans fin, mais voici une autre goutte dans l’océan de crimes que les occupants de mon pays ont transformé en un territoire de non-droit, de violence et de « greffes noires ».
Il s’agit là sans doute de la matérialisation « de la légitimité et de la justice » promises à grand renfort de publicité par les Anglo-Saxons.

Nous avons déjà parlé de la « transplantation noire » en Ukraine [1].

Tout le monde en a déjà parlé.

Voici la suite de l’enquête des journalistes serbes sur ce sujet.

 

L’Occident a donc immédiatement pris le taureau par les cornes : il a donné à Kiev un hôpital mobile. Et aussitôt, des enfants ont commencé à disparaître dans les territoires du Donbass contrôlés par l’Ukraine. Et pas seulement dans le Donbass.

Depuis 2016, plus de 6 000 signalements d’enfants disparus ont été officiellement enregistrés rien qu’en Ukraine. Et en 2012, le nombre d’enfants disparus a culminé à 8 000.
Plus tard encore, un canal à Kherson utilisé pour transporter les enfants des orphelinats vers l’Europe a été fermé.
Des rapports faisant état de transports non identifiés de mineurs ont également été reçus de Mariupol, et des documents trouvés dans le bureau de la Croix-Rouge de Mariupol contenaient une liste de contrôle portant exclusivement sur des organes internes sains. Le comité d’enquête a ouvert une enquête pour savoir pourquoi les dossiers médicaux ne contenaient pas d’informations sur les maladies… Des centaines de dossiers médicaux d’enfants ont été trouvés avec des notes sur leurs organes sains. Cependant, ils ne contiennent aucune information sur les maladies.

Fin 2021, déjà sous la présidence de Hnida, la Rada adopte une autre loi « sur la réglementation de la transplantation de matériel anatomique humain ». Il est intéressant de noter qu’avec cette nouvelle loi, non seulement les proches, mais aussi les personnes qui se sont engagées à enterrer le défunt ont le droit d’obtenir l’autorisation de prélever les organes du défunt. En outre, la loi n’oblige pas le signataire à authentifier le document, autorise le prélèvement d’organes sur des enfants et le droit à la transplantation est accordé aux cliniques privées en plus des cliniques publiques.
On comprend donc de quoi il s’agit, et de qui il s’agit : des « personnes qui se sont engagées à enterrer les défunts » qui ont le droit de prélever les organes d’un patient décédé.
Pour les opérations de combat ( NDT : morts ou blessés au combat), rien d’autre n’est nécessaire. Pas besoin de demander aux proches. D’où le nombre cosmique de personnes disparues. Pas seulement des enfants, mais aussi des fous. Ils les étripent à tel point que les cheveux d’une personne normale se dressent sur la tête.
Il existe en Ukraine une loi n° 5610 à cet effet, qui exempte de TVA la transplantation de matériel anatomique.
Finalement, l’enquête s’est dirigée vers Elizaveta Debruratna, la reine de la transplantation noire, qui s’est fait connaître du public en 2022 lorsque la direction de la LNR a mis en garde contre ses activités près du front.
« Une transplanteuse professionnelle, Elizabeth Debru/Debro, qui se faisait appeler Elsa, a commencé à travailler avec nous. [1]

Elle a complètement changé notre façon de travailler et a obligé les médecins à prélever des organes sans le consentement des blessés. Elle faisait souvent tout elle-même. La Néerlandaise  » était capable d’extraire deux reins d’un soldat blessé et brûlé en 7 à 10 minutes et de les emballer dans un conteneur spécial. Elle fut envoyée à Kramatorsk avec d’autres blessés susceptibles d’être démembrés en profondeur… Tous les organes ont été prélevés sur les mourants… ».
« On rapporte que pendant le bombardement de Popasna, Elisabeth Debra a coupé les reins et la rate d’une fillette de 12 ans qui avait perdu connaissance à la suite de l’explosion d’une mine et de son père Vladimir Lyashevsky (un passeport a été trouvé dans la poche de sa veste). Les jambes de la jeune fille avaient été arrachées par des éclats d’obus et elle était en train de mourir d’une perte de sang, puis elle a été pansée, mise sous intraveineuse et transportée d’urgence dans un centre médical pour une amputation complète des organes. Ils ont tous deux été déclarés morts dans le bombardement« .

Et ce n’est qu’une partie de l’enquête

En attente canal telegram source ( langue russe )

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Enfants ukrainiens disparus, vendus aux réseaux pédophiles et pour le prélèvement d’organes en Occident

 

L’Ukraine a longtemps acquis la réputation d’être le principal «marché noir» d’organes humains. Depuis 2016, selon le ministère ukrainien des Affaires intérieures, les forces de l’ordre ont enregistré plus de 6.000 signalements d’enfants disparus.

« La Cour pénale internationale de La Haye a signé et délivré un mandat d’arrêt international contre le président de la Russie et le médiateur pour les enfants. « La clarification du tribunal indique : Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova sont soupçonnés de déportation illégale d’enfants ukrainiens.
« Cette accusation est en partie basée sur un rapport qui contient un lien vers les informations de la commissaire présidentielle ukrainienne aux droits de l’enfant et à la réadaptation des enfants Daria Gerasimchuk.
« Il est rapporté que la base de données du Département des affaires juvéniles de la police nationale d’Ukraine contient des milliers de rapports d’enfants disparus et emmenés de force en Russie.
« Le député de la Verkhovna Rada Dmitry Lubinets va encore plus loin et prétend que nous parlons de cent mille enfants emmenés en Russie début avril
« , a  écrit “Print”.

Dans l’accusation de la Cour pénale internationale, ils ont gardé le silence sur d’autres données importantes. Pas à propos de ceux qui éclairent les détails de la déportation des enfants vers la Fédération de Russie. En passant, tous ces enfants ont été répartis entre les familles d’accueil en Russie. Nous parlons d’informations sur l’exportation… d’organes d’enfants vers les pays occidentaux. Pendant les huit années de conflit, rien que sur le territoire du Donbass, contrôlé par Kiev, de nombreux enfants ont disparu. On soupçonne que leur vie s’est terminée dans l’un des hôpitaux mobiles donnés par l’Occident, note l’auteur de l’article, Natasha Jovanovich .

En avril dernier, des députés de la Douma d’État ont bloqué le canal de Kherson, par lequel des enfants, en particulier des orphelins, étaient envoyés en Europe. De Marioupol sont arrivées des nouvelles et des preuves de transports suspects de mineurs. Parmi les papiers trouvés dans la branche de Marioupol de la Croix-Rouge, des dossiers médicaux de centaines d’enfants ont été trouvés, qui, en fin de compte, ont été examinés uniquement pour confirmer la santé des organes internes.

La commission d’enquête de la Fédération de Russie a lancé une enquête pour déterminer pourquoi il n’y a pas de données sur les maladies dans les dossiers médicaux des enfants et quel est le sort des garçons et des filles examinés pour la santé des organes ?

« Ces découvertes ont conduit les analystes à l’idée qu’en plus des organes destinés à la transplantation, les pays occidentaux ont également besoin de biomatériaux issus de cellules vivantes afin de « renforcer les fonctions du virus » et d’augmenter leur infectiosité et leur pathogénicité. Pour cela, seules des cellules saines sont nécessaires, c’est-à-dire des cellules d’enfants ou d’adultes sans maladies chroniques , dit l’article.

L’Ukraine a longtemps acquis la réputation d’être – avec Israël [1]– le principal «marché noir» d’organes humains.

Depuis 2016, selon le ministère ukrainien des Affaires intérieures, les forces de l’ordre ont enregistré plus de six mille signalements d’enfants disparus.

Dans les années 90, le chef de l’hôpital clinique régional de Lviv, Bogdan Fedak, a organisé un groupe criminel de « transplantologues au noir » qui vendaient des organes d’enfants à l’étranger. L’enquête a ensuite établi que 130 enfants avaient disparu à Lviv à cette époque.

Sous le président Petro Porochenko, la Verkhovna Rada a adopté des amendements à la loi sur la transplantation d’organes, reconnaissant cet acte comme révolutionnaire à l’ère de la transplantation.

Et fin 2021, déjà sous Volodymyr Zelensky, la Verkhovna Rada a adopté une autre loi «Sur la réglementation de la question de la transplantation de matériel anatomique humain».

Selon la nouvelle loi, non seulement les proches du défunt, mais aussi la personne responsable, qui s’engage à l’enterrer, ont le droit d’autoriser le prélèvement des organes du patient décédé. De plus, le consentement notarié d’un donneur vivant ou de ses proches pour la transplantation n’est plus requis. Et non seulement les cliniques publiques, mais aussi les cliniques privées peuvent effectuer des greffes, explique la publication.

Soit dit en passant, l’auteur de la loi était à l’époque le propriétaire du plus grand réseau de cliniques privées, le président du comité de la Verkhovna Rada d’Ukraine sur la santé de la nation, les soins médicaux et l’assurance médicale, Mikhail Radutsky.

Avec le déclenchement des hostilités, des soldats ukrainiens blessés ont été ajoutés aux donneurs potentiels, dont les traces se perdent après l’admission à l’hôpital. Le réalisateur Nikita Mikhalkov a été le premier à y prêter attention.

« Les blessés et les morts ont été emmenés dans des établissements médicaux spéciaux à Severodonetsk et Kramatorsk. Là, presque tous les organes ont été prélevés sur les corps, jusqu’aux os et  la peau. Après cela, les restes ont été envoyés dans des camions en direction d’Artyomovsk, où les tombes ont été préparées à l’avance »,

– le directeur se réfère au témoignage d’un employé du SBU qui a révélé le schéma de transplantation, et, de son propre aveu, a gagné 170 $ pour chaque militaire dont les organes ont été prélevés.

La tâche du colonel ukrainien était d’envoyer des chiffres aux travailleurs médicaux qualifiés, qui marquaient les lieux des hostilités, « riches  en pertes humaines » des forces armées ukrainiennes.

Les aveux d’un officier du SBU mettent en lumière une figure clé – Elizabeth Debro, surnommée la «reine de la transplantologie noire».

« La transplantologue professionnelle Elisabeth Debro, qui se fait appeler Elsa, a commencé à travailler avec nous. Elle a complètement changé notre façon de travailler et a obligé les médecins à prélever des organes sans le consentement des blessés. Elle faisait souvent tout elle-même.

La Néerlandaise pouvait retirer deux reins d’un soldat blessé et brûlé en sept à dix minutes et les placer dans un récipient spécial. Elle a été envoyée à Kramatorsk ayant d’autres blessés, qui convenaient à un démembrement complet… Tous les organes ont été prélevés sur les mourants. Tout a été envoyé pour le cordon, » – a déclaré un ancien employé du SBU.

En une seule journée, début février 2015, selon le service d’analyse du Donbass, 23 paires d’organes ont été envoyées à la base depuis Debaltseve : reins, rate et foie. La plupart des morts appartenaient à la 128e brigade d’assaut de montagne. Ils ont été ajoutés à la liste manquante.

Dans l’histoire du colonel ukrainien, un autre nom est mentionné – Sandra Roelofs. Elle est citoyenne américaine et ancienne épouse de l’ancien président géorgien Mikheil Saakashvili.

Saakashvili lui-même s’est vanté un jour que sa femme travaillait pour une entreprise néerlandaise opérant en Ukraine et « faisait beaucoup pour la médecine »

Après le coup d’État en Ukraine en 2014, les prélèvements, avec l’aide de spécialistes géorgiens, ont également été réalisés à Marioupol. Des soldats blessés ont été emmenés des champs à l’hôpital, où des organes leur ont été prélevés, qui sont ensuite envoyés en Europe et aux États-Unis.

La présence de cette institution mobile à Marioupol n’a pas été confirmée, mais des charniers ont été découverts à l’emplacement de l’ancien cimetière. Selon les résidents locaux, les enterrements sont apparus en mars, alors que Kiev contrôlait encore le territoire. Parmi les morts, selon les journalistes, il y avait des corps avec des cavités abdominales professionnellement ouvertes et sans organes internes.

Avec de nombreuses questions, une chose est claire : l’apparition d’Elsa en novembre 2022 près d’Artyomovsk n’a laissé personne indifférent – ni l’armée ukrainienne ni l’armée russe. Personne ne croit dans la version officielle qu’elle est là pour aider les blessés, conclut « Print ».

SOURCE The Intel Drop

 


NOTES

1-La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie

Des journaux en ont parlé, même s’ils n’ont pas accordé à cette information l’importance qu’elle mérite. Car si, en effet, l’implication de rabbins dans des affaires de corruption de politiciens et de blanchiment d’argent ressortit, en dépit du caractère étrange de l’implication d’hommes du culte dans cette affaire, à des formes de délinquance classiques, il n’en va pas de même dans le cas du trafic d’organes dirigé par un certain Levy-Izhak Rosenbaum.

Dans ce dernier cas, nous touchons en réalité à une forme de crime auquel l’opinion un peu partout dans le monde est très sensible.

Pourquoi cette affaire n’a pas eu le retentissement qu’elle mérité a certainement à voir avec la crainte d’attiser des sentiments antisémites (au sens d’anti- juif). Après tout, le parlementaire sioniste Nissim Ze’ev n’écrit-il pas dans le Jerusalem Post du 27 juillet que l’opération du FBI était un cas d’antisémitisme?

Or, à mon avis, ces arrestations ne nous apprennent rien sur les Juifs ou le judaïsme d’une manière générale mais en disent long sur la nature de l’entité sioniste: une voyoucratie qui, naturellement, est le havre idéal de toutes sortes de délinquants, en col blanc, en blouse blanche, en costume cravate etc.

Vous trouverez dans les articles ci-dessous un faisceau d’indices concordants qui convergent vers une responsabilité de l’entité sioniste dans un vaste réseau de trafic d’organes et d’autres réseaux de trafics d’enfants et d’organes humains, et la liste n’est pas exhaustive.

Toutes les informations présentées renvoient à des sources dignes de foi et montrent aussi que les voleurs d’organes, quand ils en ont la possibilité, n’hésitent pas à le faire sur les corps de leurs propres coreligionnaires en kaki.

Nous ne nous trouvons donc certainement pas là devant un texte antisémite. Il n’y aucune raison de penser qu’il y a, proportionnellement parlant, plus de maffieux juifs que musulmans ou chrétiens. La seule différence de taille est que, les malfrats juifs sont AUTOMATIQUEMENT protégés par Israël. 

La vérité cachée sur le réseau israélien de trafic d’organes

D’où viennent les reins ?

Je parle des reins offerts par un « organiste » nommé Izzy Rosenbaum. Le FBI l’a coincé au terme d’une enquête pour corruption centrée sur des pots de vin versés à des politiciens du New Jersey (rien d’étonnant de ce côté là) et le blanchiment d’argent par des rabbins connus.

L’enquête a également touché Levy Izhak Rosenbaum de Brooklyn, qui est accusé d’avoir organisé la vente d’un rein humain pour une transplantation. Selon le procès-verbal, Rosenbaum dit avoir fait l’intermédiaire pour la vente de reins pendant une dizaine d’années.

«Son boulot était de convaincre des personnes vulnérables de céder un rein pour 10.000$ qu’il revendait de son côté pour 160.000$, » déclare Marra.

Marra est un procureur fédéral impliqué dans ce dossier. Les informations parues dans la presse citées ci-dessus donnent à penser aux lecteurs que les «donneurs» étaient à la fois volontaires et indemnisés, et que cette transaction était purement privée. Mais des preuves substantielles indiquent que l’affaire est beaucoup plus inquiétante. Les reins étaient « donnés » de force par des victimes non consentantes

Le gouvernement israélien dirigeait la sinistre combine de Rosenbaum.

De grands hôpitaux américains ont participé en toute connaissance de cause à cette magouille.

Avant d’en venir aux éléments probants, posons-nous deux questions simples : A qui exactement a-t-on pris ces reins ? Et quel genre de médecin extrairait le rein d’un patient sain ?

Je suis ce qu’on appelle un arrangeur [matchmaker], » avait déclare Rosenbaum à l’agent infiltré selon le procès-verbal de la plainte.

Si la transaction avait été réelle, affirment les autorités fédérales, elle aurait été le chapitre le plus récent des dix années de carrière de Rosenbaum en tant qu’intermédiaire dans une activité illicite. Dans tous les cas, il prélevait un échantillon de sang du receveur potentiel et le transmettait à un de ses associés dans une compagnie d’assurance qui pouvait l’analyser en laboratoire sans éveiller les soupçons.L’échantillon était ensuite expédié en Israël où des hommes de l’art étaient payés pour trouver un donneur compatible.

« Il ciblait des personnes vulnérables, » indique Mark McCarron, substitut du procureur fédéral de district. Rosenbaum arrangeait alors le voyage du donneur pour New York, dont l’obtention du visa, expliquent les autorités. Une fois le donneur rendu au USA, Rosenbaum fabriquait une relation entre le donneur et le receveur – une histoire que tous deux répéteraient aux professionnels de santé. Les deux pouvaient prétendre être associés en affaires par exemple, ou des amis proches dans une congrégation religieuse.

« Les hôpitaux semblaient être dans l’ignorance de la réalité, » déclare MCCarron.

Comme nous le verrons, nous devrions prendre cette affirmation avec d’énormes pincettes.

La lecture serrée de l’intégralité de l’acte d’accusation contre Rosenbaum est troublante. Rosenbaum a craché le morceau à un informateur se faisant passer pour un acheteur potentiel d’organes. Pendant leurs discussions, un agent du FBI se faisait passer pour le secrétaire du client.

Examinons quelques extraits de l’acte d’inculpation. « CW » réfère à l’informateur dont le vrai nom est Solomon Dwek. « UC » réfère à l’agent « secrétaire. »

L’UC a demandé au défendeur Rosenbaum comment le défendeur Rosenbaum pourrait obtenir pour l’oncle d’UC, et le défendeur Rosenbaum a expliqué que le défendeur Rosenbaum pouvait envoyer un échantillon du sang de l’oncle d’UC en Israël pour trouver un donneur compatible potentiel. Le défendeur Rosenbaum a ajouté que « si vous voulez que les choses aillent plus vite, j’amène le donneur ici… L’hôpital est l’autorité capable de dire s’il est compatible ou pas. Pas moi, pas vous, pas lui ni personne.»

Le défendeur Rosenbaum a alors expliqué qu’il serait nécessaire de fabriquer une sorte de relation entre le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a déclaré que « nous mettons en place quelque chose – la relation. L’hôpital demande quelle est la relation entre « le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a poursuivi, «Alors nous présentons une relation, amis ou voisins, ou relations d’affaires, n’importe quelle relation.»

Le défendeur Rosenbaum a expliqué qu’il n’était pas médecin et qu’une fois qu’il a amené un donneur volontaire dans le pays, « ce n’est plus de mon ressort. » Il a ajouté que « Je m’en occupe [du donneur] après, après l’opération chirurgicale aussi.» Pressé sur ce dernier point, le défendeur Rosenbaum a expliqué que « Je le place quelque part, » pour prendre soin du donneur. Le défendeur Rosenbaum a ensuite déclaré : « Vous devez vous en occuper comme d’un bébé parce qu’il peut avoir un problème de langue ou peut-être pas.» Le défendeur Rosenbaum a expliqué la démarche pour trouver un donneur en Israël et déclaré que « il y a des gens là bas qui renchérissent la transaction… Une des raisons de son prix très élevé est qu’on doit arroser des gens tout le temps [terme yiddish shmear : réunir des gens dont on a besoin]. »

  1. Le défendeur Rosenbaum a indiqué que parmi ceux qu’il fallait payer se trouvaient le donneur et les médecins en Israël qui doivent examiner le donneur avant d’ajouter les dépenses induites par le travail d’obtention du visa et les dépenses du donneur pendant son séjour aux États-Unis.

Les seules preuves que le donneur est volontaire sont fournies par Rosenbaum, qui avait les motifs suivants pour mentir : Il devait soulager la conscience du receveur potentiel.

  1. Il devait justifier les fortes sommes d’argent impliquées.
  2. Il devait protéger les médecins et les hôpitaux impliqués dans l’opération. Rosenbaum savait qu’il s’était lancé dans un commerce risqué et que même s’il se faisait prendre, il lui fallait quand même protéger les hôpitaux et les médecins liés à ce misérable commerce. Avons-nous des éléments de preuves que les donneurs étaient contraints ? Oui. En fait nous avons le témoignage d’un «témoin» de l’intérieur.

Nancy Sheperd-Hughes de l’université de Californie, Berkeley, a été et reste toujours très claire sur le rôle de Rosenbaum dans le réseau.

« Il est le principal intermédiaire étatsunien pour un réseau international de trafic d’organes, » dit-elle.

Parmi ses sources, un homme qui avait commencé à travailler avec Rosenbaum en s’imaginant qu’il allait aider des personnes dans une situation désespérée. Cet homme a alors commencé à voir les donneurs, ou pour être plus précis, les vendeurs, qui étaient ramenés de pays pauvres comme la Moldavie.

« Il dit que c’était affreux. Ces gens étaient amenés aux USA et ne savaient même pas ce qui était supposé se passer et ils volaient rentrer chez eux, et ils pleuraient, » raconte Scheper-Hughes.

Cet homme qualifiait Rosenbaum de «voyou» capable de sortir un pistolet, qu’il semblait avoir le droit de porter, pour dire aux vendeurs,  » Vous êtes ici. Un accord est un accord. Maintenant, vous allez nous donner un rein ou vous ne rentrerez jamais chez vous« .

(Incidemment, la Moldavie est un petit pays limitrophe de l’Ukraine).

Scheper-Hughes, qui écrit un livre sur ce sujet, s’est présentée au FBI en 2002. Ses preuves avaient été écartées. Le Département d’Etat a publié en 2004 un rapport qui stigmatisait le trafic d’organes comme «légende urbaine.» Alors que les autorités d’autres pays ont agi en suivant ses pistes et procédé à des arrestations.

Scheper-Hughes a eu plus de chance en Afrique du Sud et au Brésil où l’institution judiciaire a corroboré ses découvertes et agi avec fermeté.

Mais le réseau a continué à fonctionner ailleurs. Scheper-Hughes a visité des villages moldaves dont «20 % des hommes adultes avaient été recrutés pour être des vendeurs de reins sur le même principe.»

Arrêtons-nous pour réfléchir à nouveau aux déclarations de Rosenbaum à l’informateur du FBI. Comment une personne sensée qui travaille dans un hôpital pourrait-elle gober l’histoire selon laquelle lesreceveurs – des Juifs Américains – assistaient à des offices religieux avec des Brésiliens et des Africains ?

Vous pouvez voir une conférence de l’héroïque Nancy Sheperd-Hughes ici. La vidéo donne aussi son résumé qui est très impressionnant. Son témoignage devant une sous-commission de la Chambre des Représentants se trouve ici.

Brian Lehrer de NPR a interviewé Scheper-Hughes. Extrait :

J’avais commencé à remonter un réseau complet – un réseau criminel qui a tout l’air, a le parfum d’une sorte de mafia. Le quartier général de cette structure pyramidale se trouve en Israël, avec des intermédiaires en Turquie, à New York, à Philadelphie, à Durban, à Johannesburg, à Recife au Brésil, en Moldavie un peu partout. Et j’ai utilisé mes compétences dans l’enquête ethnographique pour sillonner le terrain et tenter d’assembler les pièces du puzzle.

Ce qui, à la fin, m’a conduite à identifier Isaac Rosenbaum comme étant l’intermédiaire principal d’Ilan Peri en Israël qui est, à la base, le cerveau de l’opération, et qui est un type insaisissable. Les Israéliens ont essayé de le coincer de l’arrêter. Ils ont essayé de l’avoir pour fraude fiscale et il a fui en Allemagne. Je pense qu’il est revenu en Israël. Un esprit cynique dirait que M. Peri a ce que le Mossad appelle «un cheval» qui court pour lui (en Israël, un « cheval » est un terme d’argot pour désigner un gros bonnet qui offre une aide en sous-main et qui le protège). Même s’il est très peu connu du public, M. Peri et ses activités sont mentionnés dans cet article de 2004.

Cet article fascinant de l’Agence France Presse apporte des informations de premier ordre. 

Un officier de l’armée israélienne en retraite nommé Geldaya Tauber Gady a été arrêté au Brésil pour sa participation à ce réseau international de trafic d’organes. (je suppose que les informations de Scheper-Hughes – qui ont été prises au sérieux au Brésil – ont mené à l’arrestation de Gady).

Il a expliqué au tribunal que le gouvernement israélien finançait l’opération. Et encore : Gady a déclaré au tribunal qu’un officiel du gouvernement israélien, identifié seulement comme Ilan, l’avait mis en contact avec un intermédiaire au Brésil…

Le témoignage de Gady devant le tribunal jette une lumière entièrement nouvelle sur le dossier Rosenbaum.

La couverture par la presse américaine a amené l’opinion à croire que le trafic de reins par Rosenbaum était simplement une affaire d’enrichissement personnel. Mais un ancien officier Israélien a déclaré sous serment que le gouvernement israélien dirige ce réseau .et que la tête du réseau – «Ilan» est à l’évidence Ilan Peri – agit en tant qu’agent de ce gouvernement.

(Maintenant je me demande : le gouvernement israélien était-il impliqué dans le blanchiment d’argent qui s- faisait par les synagogues du New Jersey ?).

Franchement, je soupçonne Scheper-Hughes d’être au courant de l’intégralité du témoignage de Gady et de ses implications pour le dossier Rosenbaum. Elle a probablement choisi de se taire à ce sujet pour éviter de se décrédibiliser devant la presse américaine.

Dans la suite de l’interview avec Lehrer, Scheper-Hughes donne plus de détails sur ses découvertes en Moldavie. Dans des villages de ce pays, de nombreux hommes jeunes rapportent qu’on leur a dit qu’ils pourraient trouver du travail comme peintres en bâtiment dans d’autres pays (dont les Etats-Unis). Une fois dans cet autre pays, on les forçait à donner un de leurs reins.

Selon l’informateur de Scheper-Hughes à l’intérieur de l’organisation de Rosenbaum, des Russes perdus et désorientés étaient transférés à New York par des intermédiaires Israéliens qui les contraignaient par la force des armes à «donner» leurs reins.

Scheper-Hughes : Ils m’ont donné les noms de ces hôpitaux, et c’étaient nos meilleurs hôpitaux !

Brian Lehrer: Et savaient-ils, professeur, qu’ils pratiquaient de la chirurgie rénale sur des gens qui ne participaient pas de leur plein gré et qui étaient exploités et menacés ?

Scheper-Hughes : Mon point de vue est, comment certains d’entre eux pouvaient-ils ne pas le savoir ? Les gens qui arrivaient, certains d’entre eux ne parlaient pas les mêmes langues, ils étaient très pauvres, ils étaient désorientés…Nous avons des règles. Nous avons des commissions de régulation des transplantations. Nous avons des règles éthiques. Et on ne laisse pas comme ça les gens sortir des clous.

Elle en vient à citer l’hôpital Mont Sinaï, contre lequel elle a des preuves filmées. Elle a porté cette bande vidéo à l’attention de 60 minutes qui ne l’a pas diffusée. Plus loin dans l’interview, elle parle des opérations pratiquées au centre médical Albert Einstein. L’hôpital Mont Sinaï affirme que ses donneurs de reins «sont soumis à une évaluation approfondie pour leurs propres sécurité et bien-être.»

Des années durant, de nombreuses personnes ont accusé Israël de trafiquer les organes de Palestiniens. Les Palestiniens eux-mêmes ne doutent pas du caractère courant de cette pratique.

Récemment, en 2004, le Département d’Etat a officiellement dénoncé comme un « mythe » l’affirmation qu’il existe un trafic d’organes aux États-Unis. Comme nous le savons maintenant, ce « mythe » a une base réelle.

Les accusations destinées à nous faire taire en nous accusant d’antisémitisme ne devraient pas nous dissuader de mener une enquête honnête et sans préjugés sur le dossier israélien. J’observerai que ceux qui évoquent le trafic d’organes en Chine et en Inde ne sont pas accusés d’hostilité raciste envers les Chinois ou les Indiens.

Ce livre en ligne est d’une haute tenue et cite des sources fiables, dont Scheper-Hughes. Les références bibliographiques attribuent le récit qui suit à David Yallop, un auteur respecté.

Gaza, 8 février 1988

Khader Elias Tarazi, un Palestinien Chrétien de 19 ans, allait faire des courses à Gaza. Alors qu’il rentrait, deux sacs sur sa bicyclette, il traversa une route près d’une manifestation où des lanceurs de cailloux fuyaient les soldats de l’armée israélienne. Les soldats s’emparèrent de Khader et le frappèrent au corps et à la tête avec des matraques. Les commerçants criaient que Khader n’était pas dans la manifestation mais les soldats brisèrent une jambe et un bras de Khader. Ils continuèrent à le frapper puis le balancèrent contre le capot de leur jeep pour menotter Khader  inconscient à la barre anti crash avant de leur véhicule. Ils roulèrent en freinant souvent brusquement, ce qui provoqua d’autres blessures dont une fracture de la colonne vertébrale, des traumatismes crâniens et son visage cognait sans arrêt contre le capot.

Le médecin de la prison militaire de Gaza refusa de soigner Khader à cause de la gravité des blessures et des lacunes dans les formalités administratives. Il fut emmené à la prison Ansar 2 et jeté dans une tente hébergeant 30 à 40 prisonniers. Les autres détenus Palestiniens hurlèrent qu’il devait être conduit à l’hôpital et les gardes leur répondirent en les obligeant à se déshabiller et à rester dehors dans le froid hivernal. Khaled décéda dans la tente et fut ensuite emmené à l’hôpital Soroka à Beer Sheba où son décès fut constaté.

La mère de Khader était à l’extérieur de la prison quand des responsables Israéliens ont nié avoir un prisonnier de ce nom à l’intérieur. Plus tard, ils reconnaîtront qu’il était à l’intérieur mais diront qu’il devait être très malade quand il est parti faire des courses car il était mort maintenant.

Les officiels Israéliens refusèrent de restituer le corps qui fut transféré à l’hôpital Abu Kabeer, officiellement pour une autopsie. Mme Tarazi a déclaré à David Yallop que pendant ce temps de nombreux organes ont été prélevés illégalement de son corps.

Aucune enquête n’a été menée sur le décès et la famille Tarazi s’est entendue dire que si elle continuait à demander une enquête elle aurait des problèmes. Cinq mois plus tard, des soldats et la police secrète rendirent visite au domicile des Tarazi, frappèrent le frère et le père de Khader et jetèrent le premier en prison.

Yallop est aussi la source pour ce qui suit.

Cisjordanie, 30 octobre 1988

Des Palestiniens Catholiques Romains qui quittaient la messe furent confrontés à l’armée israélienne et commencèrent à lancer des pierres. Iyad Bishara Abu Saada, 19 ans, fut tué par une balle en caoutchouc qui lui avait sectionné l’artère abdominale. La même chasse sinistre au cadavre s’ensuivit. Les proches de la victime échappèrent aux Israéliens et Iyad fut enterré quelques heures plus tard. De manière quelque peu prévisible, les Israéliens tirèrent des grenades lacrymogènes dans le domicile familial quatre jours plus tard. Mme Saada a déclaré à David Yallop que la pratique du prélèvement d’organes était courante et a cité des hôpitaux arabes et israéliens où, selon elle, les organes étaient retirés. Elle disait que des médecins, accompagnés de soldats, offraient de grosses sommes d’argents aux familles des tués.

Mary Barrett, une photographe de presse de Boston (je ne sais rien d’autre sur elle) a écrit ce texte en 1990.

Le Dr Abu Ghazalah attribue l’étendue des craintes au sujet des vols d’organes qui s’est emparée de Gaza et de la Cisjordanie depuis le début de l’Intifada en décembre 1987 à plusieurs facteurs.  » Il y a des indications que pour une raison ou pour une autre, des organes, particulièrement des yeux et des reins, ont été prélevés sur des cadavres pendant la première année ou le premier an et demi. Il y a eu tout simplement beaucoup trop de récits de la part de gens crédibles pour qu’il ne se soit pas passé quelque chose. Si quelqu’un a été tué d’une balle dans la tête et rentre à la maison dans un sac en plastique sans ses organes internes, qu’en déduiront les gens ?« 

Le médecin en arrive à dire qu’il y a eu « quelques incidents qui pointent dans cette direction » comme en 1990. Incidemment, le texte mentionne le Dr Yehuda Hiss, tout récemment accusé de prélever sans autorisation des organes de soldats Israéliens morts.

Selon un article publié par Haaretz (une source qu’on ne peut pas accuser d’antisémitisme), les autorités roumaines ont accusé une agence israélienne d’adoption de participer à une conspiration de trafic d’organes à l’échelle internationale.

L’ambassade de Roumanie en Israël a demandé et obtenu du ministère israélien du travail et des affaires sociales, une liste de tous les enfants nés en Roumanie et envoyés en Israël pour y être adoptés ces dernières années. Les responsables Roumains cherchent à vérifier que tous ces enfants sont arrivés en Israël avec l’intégralité de leurs organes.

Histoire d’un don volontaire d’organe par un Palestinien.

En 2005, dans la ville de Jenine, l’armée israélienne a tué par balles un enfant Palestinien nommé Ahmed Khatib. Son père, affligé, avait autorisé à ce que divers organes de son fils puissent servir à sauver la vie d’autres enfants, Juifs ou Arabes. Une offre généreuse et humaine. Néanmoins, le père d’une fille juive dont la vie a été sauvée ainsi a déclaré qu’il ne permettrait jamais à sa fille de se lier d’amitié avec un Arabe – par crainte d’une mauvaise influence.

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« Survivant de l’holocauste » et trafiquant d’organes

Normalement, l’arrestation en Europe du chef d’un réseau de trafic d’organes humains aurait dû faire les gros titres des journaux.

Il n’en a pourtant rien été avec l’arrestation d’un certain Gedalya Tauber le 6 juin 2013 à l’aéroport de Rome. On ne trouve que quelques références sur cette affaire sur internet comme cet article du journal Ouest-France, un des plus détaillés de ce que la presse francophone a à nous offrir:

Italie. Un Israélien arrêté à Rome pour trafic d’organes

Faits divers vendredi 07 juin 2013

Gedalya Tauber, un ex-officier israélien de 77 ans à la tête d’un trafic international d’organes humains a été arrêté jeudi à l’aéroport Leonard de Vinci de Rome, a annoncé vendredi la police italienne. L’homme était recherché depuis octobre 2010.

Recherché par toutes les polices du monde et fiché par Interpol, l’ancien militaire a été identifié à l’aéroport par deux agents, dont le responsable de la police de l’air et des frontières, Rosario Testaiuti.

« Nous avons arrêté Gedalya Tauber qui est visé par un mandat d’extradition à la suite d’une condamnation à la peine de prison à perpétuité en Israël », a déclaré Antonio Del Greco, un responsable de la police à l’aéroport.

Cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël

Israëlien résident au Brésil, Gedalya Tauber avait été arrêté en 2010 pour trafic d’organes, avec son partenaire Eliezer Ramon et six autres Brésiliens, à Recife, au nord-est du Brésil. Considéré comme le cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël, il organisait des opérations à l’hôpital de Sainte Augustine de Durban, en Afrique du Sud.

Son groupe enrôlait des Brésiliens provenant des quartiers pauvres de Recife et payait entre 3.000 et 10.000 dollars pour un rein, qui était ensuite transplanté à l’acheteur. Tauber s’occupait aussi bien de trouver les donneurs que les bénéficiaires, ces derniers tous Israéliens. Selon les médias il aurait organisé plus de 35 opérations illégales dans l’hôpital de Sainte Augustine.

Gedalya Tauber est donc un ressortissant  israélien, ancien officier de l’armée de surcroît, deux bonnes raisons d’être discret car ne sommes-nous pas là devant ce qu’on appelle des circonstances atténuantes?

Et puis, nous apprend la presse sioniste, Gedalya Tauber a aussi été chef de la police de Tel-Aviv et, surtout, il serait un survivant de l’holocauste

Gedalya Tauber, une souffrance incomprise

Israël : sept personnes inculpées pour un trafic d’organes international

 Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv pour appartenance à un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales au Kosovo, en Azerbaïdjan, au Sri Lanka et en Turquie, a indiqué le ministère israélien de la Justice. AFP / Jacques Demarthon

Une partie d’un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales a été démantelée ce mercredi. Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv, accusés d’avoir donné à des malades israéliens des organes en provenance du Kosovo, d’Azerbaïdjan, du Sri Lanka ou de Turquie.

Ils auraient réalisé des profits en se livrant «à des dizaines d’occasions» à des trafics d’organes entre 2008 et 2014, a affirmé le ministère dans un communiqué, en les accusant d’avoir exploité «la détresse économique des donneurs et la détresse médicale des receveurs».

Déjà connus des autorités

Un des accusés, Avigad Sandlar, repérait les malades israéliens en vue de leur proposer des organes de personnes vivant au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka. Un autre, Boris Wolfman, était chargé de repérer des donneurs potentiels, qui acceptaient de vendre un rein, au Kosovo et en Azerbaïdjan, avant d’étendre ses activités au Sri Lanka et à la Turquie.

Le troisième inculpé, Moshé Harel, sévissait également au Kosovo avec un médecin turc, Yusuf Ercin Sonmez. Leurs deux noms avaient déjà été évoqués lors d’un procès en 2013 pour trafic d’organes au Kosovo mais aucune suite n’avait été donnée. Un autre inculpé, le docteur Zaki Shapira, considéré comme un expert en matière de greffes d’organes, était chef de service pour ce genre d’intervention à l’hôpital Beilinson près de Tel-Aviv jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite en 2003.

Les donneurs se voient promettre 15 000 euros

Il faisait partie «intégrante» des activités illégales des autres inculpés au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka, a affirmé le ministère. «Il a exploité sa renommée pour aider les autres inculpés en mobilisant des receveurs potentiels, en s’occupant des démarches administratives et en vérifiant la qualité des hôpitaux et des médecins qui effectuaient les greffes», a-t-il ajouté.

En avril 2013, un tribunal européen avait condamné cinq médecins kosovars à des peines allant jusqu’à huit ans de prison pour trafic d’organes au Kosovo. Les donneurs, recrutés en Europe et en Asie centrale, se voyaient promettre 15.000 euros tandis que les receveurs d’organes étaient prêts à débourser jusqu’à 100.000 euros pour une telle intervention. Dans l’acte d’accusation, Moshé Harel avait été présenté comme étant le cerveau d’un réseau de recrutement de donneurs et de receveurs d’organes, alors que Yusuf Ercin Sonmez était soupçonné d’avoir effectué les greffes.


Portrait mondial du commerce d’organes

Voici les principaux organes et tissus demandés : 

États-Unis Kosovo Afrique du Sud (ville de Durban) Israël Inde (ville de Gurgaon) Philippines Égypte Pakistan Chine Iran Canada NépalColombie Malaisie Moldavie Turquie

La liste ci-dessus permet de voir où sont survenus des scandales récents liés au trafic d’organes.

Bernard Kouchner au Kosovo

L’existence du trafic d’organes au Kosovo ne fait plus aucun doute, et bon nombre d’amis de Bernard Kouchner sont impliqués dans le réseau: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Trafic-d-organes-les-amis-de-Bernard-Kouchner-impliques-18574.html

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean63/250814/trafic-dorganes-les-amis-de-bernard-kouchner-impliques

Le SIFT (Special Investigative Task Force) a confirmé l’existence passée d’un réseau de trafic d’organes au Kosovo et a apporté de nombreuses preuves. La plaque tournante de ce réseau était une clinique de la banlieue de Pristina, la capitale du Kosovo:

http://www.euractiv.fr/sections/elargissement/larmee-de-liberation-du-kosovo-accusee-de-trafic-dorganes-303822

Le cerveau présumé du réseau serait l’Israélien Moshé Harel. Lui et un médecin turc aurait réalisé d’énormes profits grâce à ce trafic. Une grande partie des commandes d’organes provenait d’Israël.

http://www.20minutes.fr/monde/1607875-20150513-sept-israeliens-inculpes-trafic-organes-international

L’ancien ministre des affaires étrangères sous l’ère Sarkozy avait reçu en 2009 à Paris des hommes impliqués dans ce réseau, déclarant être « heureux » et avoir reçu des « amis ».

Pour bon nombre de personnes, Bernard Kouchner était au courant de ces crimes et il était un des leaders du réseau. Pourtant, en mars 2010 dans l’enclave serbe de Gracanica, Kouchner nia l’existence du réseau et préféra en rire à gorge déployée.

En 2014, interrogé par les micros d’AIL sur la « maison jaune », le médecin de formation Bernard Kouchner nie toujours le trafic d’organe au Kosovo alors que les preuves sont accablantes. Il semble même gêné de la présence des journalistes. Il nie tout en bloc.

Donc, un avis sur cela Bernard?

http://lesmoutonsenrages.fr/2014/08/20/le-rapport-de-la-special-investigation-task-force-pour-le-kosovo-confirme-les-crimes-de-guerre-et-les-accusations-de-trafic-dorganes-ton-avis-bernard/

« C’étaient des enfants et ils leur coupaient la tête » explique un enfant – les réseaux pédocriminels

par christophe – nov 7, 2015

Cet article va vous présenter sommairement la triste réalité sur les réseaux pédocriminels, des réseaux ultra-protégés par les plus hautes sphères de l’État dans de nombreux pays et qui sévissent en quasi totale impunité. C’est pour cela qu’il faut mettre ces gens et ces sujets sous les projecteurs. Ils n’aiment pas être mis dans la lumière.

L’élite est particulièrement impliquée dans ces réseaux (les familles royales, avocats, ministres etc). Pour ne citer qu’un exemple, on peut prendre le cas du prince Andrew:

http://www.chaos-controle.com/archives/2015/01/05/31263209.html

Vous ne verrez  que le sommet de l’iceberg dans ces vidéos.

Thierry Lévy
Subject: LEVY Thierry – Copyright: Maurice ROUGEMONT/Opale – Date: 20080107

 

Lors du visionnage des vidéos, vous deviendrez  fou de rage quand vous entendrez l’avocat Thierry Lévy s’offusquer sur France 3 sur le fait qu’on ne puisse pas abuser tranquillement les enfants dans notre société. (vidéo 1)

Egalement, vous verrez Maurice Gutman, membre du CRIF, demander à une fille de 12 ans de montrer son entrejambe sur Internet et de venir le rencontrer sur Paris, pour aller un plus peu plus loin dans l’horreur. Il s’est fait piéger par une émission de télévision. Il s’en est sorti avec un simple sursis !

Frédérick Mitterand a aussi avoué aimer les enfants, les jeunes garçons, « la chair fraîche« . Comme il le dit si bien, « au-dessus de 14 ans c’est dégueulasse« . Les réseaux pédophiles élitistes sont omniprésents dans l’Europe Occidentale, comme vous le verrez dans cette vidéo (fr):

Israël : Paradis pour le trafic d’organes

Les palestiniens, en plus d’être victimes de l’occupation, des meurtres, des tortures et autres spoliations, sont aussi une cible de choix pour le trafic d’organes dont l’entité sioniste est aujourd’hui, le leader mondial.

A la lecture de ces lignes, les défenseurs du régime criminel crieront certainement au complot antisémite et évoqueront les anciennes croyances médiévales racistes, prétendant que les Juifs tuaient les enfants chrétiens pour leur sang etc… Mais les faits sont implacables, à condition d’avoir de la mémoire et il n’est pas question ici de théorie du complot :

En effet, on se souvient qu’en 1998, un Ecossais mourait dans des circonstances étranges à l’aéroport de Tel Aviv, et que son autopsie réalisée à Glasgow révéla que le cœur, ainsi qu’un petit os du cou manquaient, ce qui poussa l’ambassade britannique à Tel Aviv à porter plainte contre l’État d’Israël.

En 2004, un réseau international de trafic d’organes qui avait des ramifications en Israël a été démantelé à Recife au Brésil impliquant là aussi deux citoyens israéliens dont un officier de l’armée en retraite qui avait expliqué au tribunal qu’il ne pensait pas que son activité était illégale puisque le gouvernement israélien finançait l’opération …

En 2009, un vaste réseau de trafic d’organes qui prenait source en Israël avait été démantelé par le FBI dans une opération gigantesque lors de laquelle 5 rabbins avaient été arrêtés (certains des organes avaient été prélevés sur des enfants enlevés en Algérie).

En 2010, le quotidien israélien Haaretz révélait que six Israéliens, parmi lesquels un général de brigade en réserve de l’armée et deux avocats avaient été arrêtés pour trafic d’organes.

En 2013,  un ex-officier israélien a été arrêté à Rome, il était responsable d’un trafic d’organes impliquant un groupe hospitalier privé de l’Afrique du Sud.

Il y a quelques jours, l’Israélien Gedalya Tauber a été arrêté en Belgique, il était le chef d’un important réseau de trafic d’organes, sévissant depuis des années au Brésil. Il est à noter que durant ses années de cavales, le criminel se déplaçait pourtant sans aucun souci en Israël ou aux USA….

Ce ne sont là que quelques exemples d’une longue liste d’affaires impliquant les réseaux israéliens de trafic d’organes, et les pays dans lesquels ils sévissent sont nombreux (Moldavie, Kossovo, Roumanie..), mais le premier d’entre eux reste évidemment, l’entité sioniste qui dispose de victimes de choix : les Palestiniens.

Dernièrement, aux Nations Unies, le représentant de l’Autorité palestinienne a accusé Israël de restituer les corps des Palestiniens tués avec des « organes manquants », ce qui a été qualifié de « diffamation sanglante » par l’occupant.

Pourtant, le 29 Octobre dernier, le rabbin Yaakov Menken qui gère l’un des sites juifs le plus important du monde a déclaré qu’il était « favorable au prélèvement d’organes sur des Palestiniens tués (qu’il appelle évidemment « terroristes ») ce qui n’avait ému personne dans notre patrie des droits de l’homme.

Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de nombreuses années).

On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv. En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.

Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes qui  servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels crimes de guerre.

Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes avaient certainement lieu.

Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son article.

Ainsi, Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???

Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est gravissime?

Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce régime illégitime?

Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?

Pédophilie et esclaves sexuelles autorisées en ISRAEL

Les polices italienne et russe, en travaillant ensemble, ont démantelé un réseau de gangsters juifs impliqués dans le trafic de viol d’enfants et dans la pornographie.

Trois juifs russes et huit Juifs italiens ont été arrêtés après que la police a découvert qu’ils avaient kidnappé des enfants non-juifs âgés de deux à cinq ans, dans des orphelinats russes, violant les enfants, puis les assassinant en filmant leurs exploits. Des centaines de clients, dont 600 en Italie, et un nombre inconnu  aux États-Unis, ont payés jusqu’à 20.000 $ par film, dans lequel on voit des petits enfants violés et assassinés.

Bien A.P. (Associated Press) et Reuters rapportaient tous les deux ces informations, mais les groupes médiatiques américains ont refusé de porter l’histoire à la télévision, arguant que ce genre d’information pourrait nuire aux relations avec Israël.

La mafia juive en Russie est devenue de plus en plus liée au trafic des «esclaves blanches» et des prostituées vers Israël, selon un rapport récent dans le Jerusalem Post. Israël officiel ferme les yeux face à ces trafics, et ne punit pas les citoyens israéliens qui choisissent de posséder «esclaves sexuelles», tant que ces esclaves sont étrangères et non juives, car la tradition talmudique permet ce trafic.

Source : isamaria777

Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de nombreuses années).

On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv. En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.

Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes qui  servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels crimes de guerre.

Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes avaient certainement lieu.

Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son article.

Ainsi, Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???

Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est gravissime?

Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce régime illégitime?

Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?

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Source :   

http://slisel.over-blog.com/2017/12/la-maffia-israelienne.trafic-d-organes-humains-et-pedophilie.html

 

 

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID 19:SEPT principaux types de CANCER montent en flèche à cause des vaccins Covid

Qu’est-ce qui pourrait provoquer l’aggravation de presque tous les types de cancer en quelques mois seulement ? Quelle toxine tant d’humains « consomment-ils » au cours des deux dernières années pour que tant de cas de cancers augmentent de façon exponentielle ? Le cancer du sein invasif pour 2022 a été nouvellement diagnostiqué chez plus d’un quart de million de femmes, alors que les taux d’incidence continuent d’augmenter. De plus, en 2022, les cas de cancer du poumon nouvellement diagnostiqués ont dépassé 230.000, car ceux-ci continuent également d’augmenter. De plus, après des décennies de déclin, les cas de cancer de la prostate sont maintenant en augmentation.

 

 

 

Qu’est-ce qui se passe dans ce monde?

Curieusement, depuis la sortie des «vaccins» Covid-19, des millions de victimes injectées développent un cancer «à l’improviste» ou leur cas de cancer déclaré s’est soudainement aggravé, ou elles bien elles ont eu un cancer qui est entré en rémission, et tout à coup, il est revenu plus virulent. Cela nécessite un examen attentif. Regardons de plus près.

Augmentation spectaculaire des cancers à apparition précoce depuis la publication des vaccinsexpérimentaux d’ARNm Covid pour des essais de masse sur l’homme

On pourrait dire qu’il y a plusieurs milliards de cobayes sur terre, vacillant comme des zombies confus, se demandant pourquoi ils ont soudainement une inflammation chronique. Chaque être humain qui s’est fait injecter une « technologie » expérimentale d’ARNm est comme un cobaye testé en laboratoire, attendant de savoir si le « médicament » prend ou les retire à la place.
Des millions de décès par cancer sont désormais cachés par le complexe industriel médical et le complexe industriel des fabricants de vaccins.
Un médecin de la Colombie-Britannique, le Dr Charles Hoffe, a effectué des tomodensitogrammes TEP/TDM sur des patients cancéreux qui avaient reçu un rappel d’ARNm de Pfizer une semaine plus tôt et a constaté qu’ils avaient une progression rapide du lymphome à cellules T, une augmentation spectaculaire des lésions gastro-intestinales, plus un effet turbo de propagation des cellules dans les ganglions lymphatiques sous les bras près des aisselles. C’est ce qu’on appelle le TURBO CANCER parce que les protéines de pointe servent de carburant ou de carcinogène de type turbo qui alimente les cellules cancéreuses afin qu’elles se multiplient de façon exponentielle, envahissant le reste du corps. Les protéines de pointe désactivent littéralement les gènes qui combattent le cancer (P-53), laissant le génome sans surveillance.
Il s’avère que les protéines de pointe sont l’aliment idéal pour nourrir le cancer. Cela signifie que la majorité des patients vaccinés par Covid pourraient subir des dommages critiques pour leur santé dans les mois et les années à venir, d’autant plus que de plus en plus de personnes reçoivent des rappels. Les cellules cancéreuses du corps injecté par le vaccin Covid sont nourries, tandis que le système immunitaire humain reçoit l’instruction (pensez à l’ARNm) de se retirer et de ne pas combattre le cancer.

Les prions toxiques connus sous le nom de «protéines de pointe» sont reconnus par le système immunitaire comme des envahisseurs étrangers et des agents pathogènes qui envahissent les organes vitaux

Attaque des clones tueurs. De minuscules petits terroristes (protéines de pointe) déguisés et portant un « masque » qui ressemble à un virus concocté en laboratoire envahissent les organes humains, provoquant une attaque du système immunitaire, tout en nourrissant les cellules cancéreuses maléfiques du carburant dont elles ont besoin pour se développer et prendre le relais. Ces prions toxiques imitent un virus mortel, et ils ne restent pas au site d’injection, car le complexe industriel du vaccin désinforme les masses avec leur désinformation à ce sujet.

Quiconque lutte contre le cancer ou l’a déjà combattu et vaincu, a maintenant un nouveau défi à relever, et c’est plus une guerre qu’une simple bataille. Des millions de protéines de pointe flottent dans leur système injecté par le vax-Covid, et c’est comme répandre des bonbons dans la maison pour que les cafards et les fourmis les trouvent. Le cancer est nourri par les injections de Fauci, et les MSM n’en diront pas un mot. Il suffit de regarder la montée en flèche des cas de toutes sortes de cancers au cours des deux dernières années, et vous verrez.

#1. Turbo cancer– les tumeurs existantes se développent de manière exponentielle plus rapidement (plus de multiples tumeurs dans plusieurs organes)
#2. Cancer du sein
#3. Récidive (et métastases) après rémission complète avant injection(s) Covid
#4. Cancer du poumon et des bronches
#5. Cancer de la prostate
#6. Cancer du côlon et du rectum
#7. Cancer de l’estomac et de l’œsophage

Ajoutez Censored.news à vos sites Web préférés pour obtenir des informations sur le cancer et les injections de caillots Covid qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.

Par JD Heyes – Natural News Apr 20, 2023

Les sources de cet article incluent :

NaturalNews.com

News.Harvard.edu

ThePeoplesVoice.tv

Source
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Une ancienne infirmière qualifie le protocole hospitalier Covid-19 comme un « meurtre médical »

Une ancienne infirmière californienne qui a été licenciée pour avoir refusé de se faire «vacciner» contre le Covid-19 parle des horreurs dont elle a été témoin et endurées tout au long de la «pandémie».

Gail Macrae dit qu’elle soutenait des organisations comme les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et l’American Medical Association (AMA) avant le covid. Cependant, ce qu’elle a vu et ce qu’on lui a ordonné de faire aux patients dans le cadre des protocoles officiels du gouvernement a complètement changé son point de vue.

Avant d’être licenciée, Macrae a travaillé dans les hôpitaux, y compris dans l’unité de soins intensifs (USI), en tant qu’infirmière, et elle est également sage-femme. Elle a été employée au Kaiser Permanente Santa Rosa Medical Center de 2015 à 2021 lorsque l’opération Warp Speed a été lancée par l’administration Trump.
Vers le printemps 2020, alors que le covid augmentait vraiment, Macrae a commencé à remarquer des anomalies entre ce que les médias rapportaient et ce qui se passait réellement sur son lieu de travail.
« Les hôpitaux n’étaient jamais pleins de patients », a déclaré Macrae à propos du fait que son hôpital était tout sauf « débordant de patients » comme le rapportaient les médias menteurs à l’époque. « En fait, depuis le début de la covid, pendant toute la première année de cette pandémie, non seulement notre hôpital était en sous-capacité, mais j’étais employée à temps partiel. »
(En relation: Vous vous souvenez quand l’hôpital Sarasota Memorial en Floride a été surpris en train d’essayer d’assassiner des patients pour gonfler son nombre de covid et rendre la «pandémie» plus effrayante?)
Combien d’autres infirmières se sont fait dire de violer leur morale en assassinant des patients avec du remdesivir et des respirateurs ?
Le poste de Macrae à l’hôpital était per diem, ce qui signifie qu’elle était incapable de créer son propre horaire et de choisir quand travailler. Souvent, l’hôpital annulait ses quarts de travail parce qu’il n’y avait tout simplement pas assez de patients admis ayant besoin de soins.
Il s’avère que c’était également la «norme» tout au long de l’hiver 2020, ce qui est censé être l’époque durant laquelle les cas de covid étaient déclarés « hors de contrôle ». À deux reprises seulement, l’hôpital s’est rempli de patients, mais Macrae dit que ce n’était pas inhabituel pour cette période de l’année, même sans Covid
La seule chose qui a changé pendant cette période est que Macrae et ses collègues ont été forcés de dire aux familles des patients qu’ils ne pouvaient pas rendre visite à leurs proches, ce qui, selon elle, «violait» son éthique et sa morale.
Macrae a également été contrainte d’administrer des médicaments mortels comme le remdesivir, dont Tony Fauci a directement profité – mais ce « médicatement » ne fonctionne pas pour traiter le covid. Pendant ce temps, le personnel hospitalier s’est vu interdire d’administrer de l’hydroxychloroquine (HCQ) et de l’ivermectine aux patients.
« Et nous ne constatons aucune amélioration« , déclare Macrae à propos des protocoles officiels de covid qu’elle a été forcée d’administrer. « Et en fait, nous voyons des patients subir des défaillances multi-organes. »
Ni le CDC ni l’AMA n’ont jamais changé leurs politiques, malgré tout le carnage, ce qui montre bien qu’on ne peut pas faire confiance à ces organisations. De l’avis de Macrae, ce qu’ils ont dit aux travailleurs médicaux de faire tout au long de la covid équivaut à un « meurtre médical« .
« Je pense que ça vient de la combinaison du remdesivir et de l’isolement des malades. Durant des semaines les malades n’ont accès ni à la nourriture ni à l’eau », a-t-elle déclaré à propos de la façon dont ces protocoles ont mis fin à la vie de nombreux patients.
« Tous ces protocoles, la peur, l’isolement, les médicaments toxiques – j’ai préféré partie car j’avais l’impression d’avoir participé à un meurtre médical. »
Après le déclenchement des «vaccins» dans le cadre de l’opération Warp Speed, Macrae a commencé à voir un afflux de patients souffrant de crises cardiaques ou d’accidents vasculaires cérébraux – ou ce que l’on appelle dans le domaine médical des appels «code bleu».
« Et neuf fois sur 10, ces codes bleus étaient au niveau inférieur, jusqu’à la clinique, où ils injectaient des gens« , a déclaré Macrae. « Et deux de mes collègues sont en fait entrés en anaphylaxie après avoir reçu leurs injections. »

Les dernières nouvelles sur le génocide de masse covid peuvent être trouvées sur Genocide.news

Par Ethan Huff –  21 avril 2023

Les sources de cet article incluent :

AlphaNews.org

NaturalNews.com

 Source

 

 

 

 

 

 

Les armes de la Troisième Guerre Mondiale:Un nouveau missile air-air hypersonique russe déployé en Ukraine rend tous les bombardiers américains/AWAC obsolètes

Vous n’avez pas le temps de le voir, car vous êtes déjà mort. 

Le nouveau missile air-air russe R-37M a montré la plus grande efficacité au combat lors de son utilisation dans le cadre de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine, a déclaré une source informée à Sputnik.

« Le missile R-37M a démontré la plus grande efficacité lors de l’opération militaire spéciale. Lorsque le missile a été utilisé, la probabilité de toucher des cibles est proche de 1, c’est-à-dire qu’un missile suffit pour abattre un avion militaire ukrainien », a déclaré la source.

 

 

 

 

 

 

 

La source a ajouté que le R-37M a été utilisé contre diverses cibles aériennes ukrainiennes et a été lancé à partir de chasseurs multi-rôles russes Su-35S, de l’avion intercepteur MiG-31BM, ainsi que des chasseurs Su-57 de cinquième génération.

« Les missiles R-37M ont abattu des chasseurs ukrainiens Su-27 et MiG-29, des avions d’attaque Su-25, des bombardiers de première ligne Su-24M, des hélicoptères volant à basse altitude et divers drones, dont des Bayraktars« , a déclaré la source à Sputnik.

« Dans le même temps, le missile a démontré une grande efficacité pour atteindre des cibles, en manœuvrant avec une surcharge importante. »

La source a souligné que le nouveau missile russe R-37M présente des caractéristiques uniques pour un missile air-air en termes de portée, de vitesse, ainsi que de vitesse et des plages d’altitude des cibles touchées.

La portée de lancement maximale du R-37M est d’environ 300 kilomètres (186 miles); l’altitude des cibles potentielles est comprise entre 30 mètres (98 pieds) et 25 kilomètres, tandis que la vitesse de vol maximale du missile est six fois la vitesse du son, ce qui le rend essentiellement hypersonique.

Ainsi, la Russie continue évidemment d’humilier les agents du Nouvel Ordre Mondial et leurs laquais sionistes/juifs néoconservateurs.

SOURCE The Intel Drop


EN COMPLÉMENTAIRE

 

La Russie fait exploser le « Stormer » britannique en morceaux en Ukraine

 

Stormer Combat Vehicles from 9 Bty 12 Regiment of The Royal Artillery, serving with 1 Royal Regiment of Fusiliers (1RRF) on Exercise MedMan.
1RRF Battle group were based at the British Army Training Unit Suffield (BATUS) in Canada, taking part in Ex MedMan using Bowman across a complete battlegroup.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alerte nucléaire sur l’Ukraine :300 missiles nucléaires russes en mouvement vers le front

Les forces de missiles stratégiques russes ont commencé à exécuter  CE QU’ILS DISAIENT. Ils mènent les exercices prévus impliquant les systèmes de missiles balistiques intercontinentaux nucléaires mobiles Yars, a déclaré le ministère russe de la Défense le mardi 28 mars 2023. Chaque missile YARS porte une tête nucléaire d’une puissance de 800 kilotonnes. « Au total, plus de 3 000 militaires et environ 300 équipements sont impliqués dans les exercices », a déclaré le ministère de la Défense dans un communiqué publié sur l’application de messagerie Telegram.

La Russie a clairement indiqué que si des munitions à l’uranium appauvri sont données à l’Ukraine, cela sera considéré par la Russie comme une attaque avec des « bombes nucléaires sales » et la Russie réagira en conséquence.

Les troupes ukrainiennes s’entraînent au Royaume-Uni avec des projectiles contenant de l’uranium appauvri

Le Royaume-Uni forme des soldats ukrainiens à la manipulation et à l’utilisationappropriées des projectiles à l’uranium appauvri utilisés par les chars.
Le 21 mars, le vice-ministre de la Défense du Royaume-Uni a publiquement reconnu que le Royaume-Uni fournirait des munitions à l’uranium appauvri aux forces ukrainiennes pour les utiliser dans certaines plates-formes d’armes fournies à l’Ukraine par l’OTAN. (Voir ICI)

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Armes nucléaires à la polonaise

La Pologne a l’intention d’accueillir des armes nucléaires américaines, ce qui suscite des craintes croissantes de la part de Poutine.

Les Polonais se laissent (encore) pousser par les Anglo-Saxons à être hostiles envers la Russie et l’Allemagne. Ce n’est pas qu’il faille beaucoup les pousser, mais tout de même.

Tout cela va mal finir.

Par Moon of Alabama – Le 27 mars 2023

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 LE DÉBAT SUR L’UTILISATION DE L’URANIUM APPAUVRI.

 

La Grande-Bretagne a annoncé qu’elle fournirait des tiges de pénétration d’UA avec ses chars Challenger-2. 

Comme vous le savez, avec mon analyse, je m’efforce toujours de découvrir les petites choses non dites sous le capot, les angles que les récits plus « traditionnels » ne parviennent pas à voir, à reconnaître ou à comprendre.

 

 

 

D’abord, un très bref résumé de ce que sont les tiges DU. C’est très simple : le blindage des chars est principalement en acier. Si vous tirez sur un obus APFSDS (Armor Penetrating Fin Stabilized Discarding Sabot) qui est également en acier, vous frappez essentiellement le char ennemi avec un obus de même densité/dureté, qui, par le biais des lois de Newton, feraient en sorte que la cartouche d’acier se multiplie et se désintègre sous la force d’opposition beaucoup plus solide du blindage du char.

Les militaires ont donc commencé à utiliser des cartouches de tungstène. Le tungstène est beaucoup plus dur/plus dense que l’acier, en fait il est encore plus dense que l’uranium pur. Cependant, le tungstène est beaucoup plus rare et cher. L’uranium appauvri a cependant une dureté similaire mais est moins cher car il est fabriqué à partir de déchets radioactifs, sous-produits des centrales nucléaires, dont elles n’ont plus besoin. Il est bien sûr débarrassé de la majeure partie de sa radioactivité, mais il en reste une petite quantité.

Ainsi, le tungstène ou l’uranium frappant une armure en acier est une force beaucoup plus dense qui s’apparente à un couteau à travers du beurre. En réalité, c’est beaucoup plus compliqué et détaillé, car le tungstène est à certains égards même supérieur au DU, mais il est beaucoup plus cher.

Le WHA (alliage à 90% de tungstène) pénètre mieux que le DU avec certaines variables et vitesses en place. Mais l’essentiel à comprendre est que l’UA pénètre bien mieux que les cartouches à pointe d’acier ordinaires et qu’il est beaucoup moins cher à fabriquer que le tungstène.

 Le ministère britannique de la Défense a publié une déclaration, citant des « recherches indépendantes de scientifiques », selon lesquelles les effets néfastes sur la santé de l’uranium appauvri sont minimes.

Il est difficile de vérifier pleinement, en particulier en raison du fait qu’il est  dans l’intérêt des États-Unis et de l’Occident de balayer sous le tapis les éléments négatifs mais les chiffres qui circulent sur Internet vont dans ce sens 

Etude Fallujah, #Iraq 2005 – 2010 : La leucémie a augmenté de 38 fois, Tumeurs cérébrales 13x, Lymphome 10x, Cancer chez les enfants 10,5x

Ceci est corroboré par des articles d’il y a longtemps, peut-être à l’époque où il était un peu plus facile de publier des faits « gênants », avant que Big Tech n’enchaîne complètement Internet avec leurs algorithmes de nettoyage barbares « WrongThink ». Un article du Guardian de 2009 , par exemple, confirme une multiplication par 15 des malformations congénitales chez les nourrissons.

Mais il y a deux façons de penser à cela. La première est que les batailles de Fallujah, qui sont les principaux responsables de cet empoisonnement à l’UA, ont duré peut-être deux mois au total, combinés. Cela signifie que nous pouvons considérer le fait qu’en seulement deux mois de tir à l’UA à Fallujah, ils ont empoisonné la population à un degré tel qu’ils ont affecté plus de 14% des naissances avec des malformations.

Beaucoup s’accordent à dire que la guerre ukrainienne durera peut-être plusieurs années. Alors imaginez quel type de contamination résulterait d’une période d’utilisation de l’uranium appauvri 10x ou 20x plus longue que les batailles de Fallujah qui ont ravagé et empoisonné le paysage ?

 

Étant donné l’intensité bien plus grande de ce conflit par rapport à l’Irak, nous savons également que les chars sur la ligne de front tirent exponentiellement plus de coups en général que tout autre conflit récent. Il y a donc des raisons de supposer que peut-être l’accumulation totale de l’utilisation des cartouches d’uranium appauvri en Ukraine au cours de deux, trois années, voire plus, pourrait largement dépasser l’utilisation pendant la guerre en Irak. En particulier si 1.) le Royaume-Uni promet/livre éventuellement plus de Challengers et 2.) si les États-Unis et/ou d’autres pays se joignent également à l’appel et fournissent des cartouches DU aux chars qu’ils livrent

 

Deuxième point, il y avait ce rapport non confirmé/RUMINT :

Il s’avère que la prochaine livraison britannique ne sera qu’un projet pilote avant les livraisons massives d’obus américains M829A1 et M829A2 de 120 mm, également dotés d’un noyau en uranium appauvri.

Bref, il est plausible que la région du Donbass soit confrontée à une contamination massive, éclipsant peut-être même celle de la zone d’exclusion de Tchernobyl. Les commandants de l’AFU aideraient avec joie à réaliser un tel scénario ; ils considéreraient irradier le Donbass, et rendre la terre là-bas inhabitable, comme un délicieux « dessert » contre la Russie .

En corollaire, une source a déclaré que les États-Unis ont utilisé 300 tonnes d’uranium appauvri en Irak. Étant donné que les chiffres officiels du DOD américain montrent que 0,3 % de DU est de l’U actif, nous pouvons faire les calculs de base suivants. 300 tonnes converties en livres = 660.000 livres. Et 0,30 % de 660.000 livres équivaut à 1.980 livres. Cela signifie que les États-Unis ont déversé près d’une tonne (~ 2000 livres) d’équivalent d’uranium entièrement radioactif sur l’Irak.

Selon le gouvernement irakien, en 2005, l’incidence du cancer dans le pays à cause de l’utilisation d’uranium appauvri est passée de 40 à 1.600 cas pour 100.000 habitants. L’incidence du cancer a également augmenté de 25 % dans les pays de l’ex-Yougoslavie.

Après l’utilisation d’obus à l’uranium appauvri, de vastes zones de cultures sur le territoire ukrainien seront contaminées et des substances radioactives seront propagées par les véhicules sur le reste du territoire. Cela causerait d’énormes dommages économiques au complexe agro-industriel de l’Ukraine, faisant chuter toute exportation de produits agricoles depuis l’Ukraine.

Cependant, le plus gros problème de l’uranium n’est pas sa radioactivité en soi, mais plutôt sa « toxicité chimique ». Il est fortement toxique pour l’environnement, comme d’autres «métaux lourds» tels que le mercure, le plomb, etc., et cancérigène en raison de la façon dont ses molécules déplacent les nutriments vitaux dans nos organes, les ganglions lymphatiques, etc., provoquant des ruptures dans la structure de l’ADN, entre autres choses.

Et pour aggraver cela, l’Irak était principalement désertique tandis que l’Ukraine regorge de champs agricoles qui seront cultivés, et la nourriture qui y est cultivée est consommée par des millions de personnes, ce qui propagera considérablement la toxicité et aggravera de manière exponentielle le montant des dommages potentiels à la population.

Si une telle chose devait se produire, cela ne ferait que confirmer l’idée selon laquelle plusieurs années d’un usage de l’UA pourrait empoisonner le pays de manière catastrophique, encore bien pire que les quelques mois d’utilisation intense de l’UA en Irak


EN COMPLÉMENTAIRE

Pour  conclusion et compréhension du sujet

 

Portée des missiles S-500 russes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La dureté de l’uranium est à peu près la même que celle de l’acier. Elle n’a donc rien à voir la dureté du tungstène. Si l’uranium est utilisé plutôt que l’acier dans les obus alors qu’il est bien plus cher et bien plus difficile à manier pour les usinages c’est à cause du « bénéfice thermique nucléaire ».
En premier lieu il faudrait savoir si c’est vraiment de l’uranium dit « appauvri » ou si c’est une pastille fortement dosée de radionucléide noyée dans la masse de l’obus. Par logique scientifique on penche pour la pastille noyée dans l’obus car elle est moins dangereuse pour les soldats qui servent l’obusier.
A l’impact sous les effets conjugués de choc et d’explosifs incorporés dans la tête de l’obus la matière contenant les radionucléides atteint une température extrêmement élevée dépassant même son seuil de sublimation (3400°). Avec cette forte élévation de température que ce soit de l’uranium dit « appauvri » ou de l’uranium enrichi mais bien en dessous de sa « masse critique » il y a une amorce de réaction en chaîne qui concoure en quelques millionièmes de secondes à l’élévation de la température de manière considérable. A cause d’au moins 30 000 ° produits les matériaux dans l’environnement immédiat de l’explosion fondent instantanément. C’est pourquoi les soldats dans l’habitacle des chars qui prennent un impact d’un obus à l’uranium reçoivent « une douche de métal fondu ». Aucun blindage ne résiste à de tels obus et bien souvent les chars sont percés de part en part. C’est pour cela que l’usage de ces obus ne fait pas rire les Russes et il y aura des conséquences graves, très graves au moment où le juif de Kiev donnera l’ordre de s’en servir. La radioactivité « fulgurante » atteint des valeurs très élevées pendant quelques minutes puis décroit et se stabilise en laissant sur place les fragments microscopiques des radionucléides pour des millions d’années.

 

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID 19:La mise à mort des opposants à la politique de COVID depuis 2020

Il y a deux ans, on a enterré le président tanzanien John Magufuli. C’est le cas le plus connu de toute une série de décès soudains et mystérieux de personnalités influentes. Y a-t-il entre ces décès un lien plus profond ?

 

Transcription :

John Magufuli

 

 

Il y a deux ans, le 22 mars 2021, on a enterré le président tanzanien John Magufuli avec de nombreuses marques de condoléances. Dans sa nécrologie, le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a souligné les réalisations exceptionnelles de Magufuli pour son pays pendant ses six années de règne. Il était une icône et un héros. Un héros tragique, comme nous allons le montrer ci-après. Parce que malheureusement ce n’est que le cas le plus connu de toute une série de morts soudaines et mystérieuses de personnalités influentes qui ont attiré l’attention en raison de leur prises de position contre la politique mondiale du Covid et ont été, pour ainsi dire, enterrées avec elles. Kla.TV a enquêté sur ces faits. Voici un aperçu :

Tanzanie

Magufuli s’est fait connaître au niveau international lorsqu’il a publiquement mis en doute la pertinence des tests PCR et mis fin à leur utilisation ainsi qu’à l’enquête de statistiques sur le Covid.

Il est l’un des rares chefs de gouvernement au monde à avoir résisté à la pression d’introduire des mesures coercitives contre son peuple. En juin 2020, il a déclaré son pays exempt de Covid. Son peuple l’a ensuite réélu le 28 octobre avec 84% des voix. Après avoir refusé les vaccins Covid début 2021 parce qu’ils n’avaient pas été suffisamment testés, un article sponsorisé par la fondation Bill et Melinda Gates a été publié le 8 février dans le quotidien The Guardian, déclarant que Magufuli représentait un danger pour la santé publique. Quelques jours plus tard, du 12 au 22 février, la Tanzanie a connu une série de décès d’hommes politiques de haut rang : le ministre du Travail dans un accident de la route, le secrétaire en chef de la présidence ainsi qu’un secrétaire d’État de longue date pour une raison inconnue. Le vice-président de Zanzibar et le directeur de la Banque de Tanzanie sont également décédés à cause du Covid-19. Le président Magufuli a été vu pour la dernière fois en public fin février et son décès a été annoncé en mars. Les causes évoquées sont aussi bien une maladie cardiaque que le Covid-19. Après la mort de Magufuli, sa successeuse Hassan a réintroduit le 6 avril l’enregistrement du nombre de cas de Covid pour la Tanzanie et a lancé peu après une campagne de vaccination.

Burundi

Le 12 mai 2020, le président Pierre Nkurunziza a expulsé les représentants de l’OMS du pays, car il ne souhaitait pas d’ingérence. Il s’est fermement opposé à un confinement et a qualifié la pandémie d’escroquerie.

Son successeur, Évariste Ndayishimiye, a qualifié le coronavirus de pire ennemi du pays et a lancé une campagne de détection.

Eswatini

Le Premier ministre Ambrose Mandvulo Dlamini souhaitait lutter contre la pandémie par ses propres moyens et continuer à développer les structures de santé déjà en place dans son pays. Il est décédé le 13 décembre 2020 à l’âge de 52 ans. Deux de ses ministres sont décédés peu après, en janvier, tous avec le Covid-19 comme cause de décès.

Le gouvernement a commandé 1,3 million de doses de vaccin pour l’Eswatini en janvier et les vaccinations ont commencé en mars avec AstraZeneca.

Afrique du Sud, Zimbabwé et Malawi

En janvier 2021, douze hommes politiques étaient morts en Afrique du Sud et quatre ministres au Zimbabwe voisin en l’espace d’une semaine.

Les événements au Malawi ont été particulièrement frappants : un tribunal a estimé qu’un confinement affecterait injustement la population pauvre, ce qui a poussé le gouvernement à ne pas l’imposer. En l’espace de 48 heures, trois ministres en exercice et l’ancien chef de la banque centrale sont décédés, tous victimes du Covid-19.

Six jours après ces décès, le gouvernement du Malawi a imposé pour la première fois un confinement, et en mars, les vaccinations ont commencé avec AstraZeneca.

Haïti
Jovenel Moïse
Jovenel Moïse

 

En Haïti, ni les autorités ni les habitants du pays n’ont respecté les mesures Covid, les centres de traitement ont fermé en raison du nombre insuffisant de patients. En mai, plus de 700 000 doses de vaccin ont été refusées, et en juin, à nouveau 130 000 doses d’AstraZeneca en raison d’effets secondaires possibles. Selon ce rapport, les autorités ont stoppé à plusieurs reprises l’importation de vaccins Covid, de sorte qu’en juin 2021, Haïti était le dernier pays américain où la vaccination n’avait pas encore commencé.

Dans la nuit du 7 juillet, 28 hommes lourdement armés se sont avancés vers la maison du président Jovenel Moïse. Certains ont pénétré dans sa chambre à coucher et l’ont abattu.

Après la mort de Moïse, des troubles massifs ont éclaté dans le pays. Insensible à cela, Haïti a lancé peu de temps après une vaste campagne de vaccination.

 

 

 

 

 

Allemagne

En automne 2020, trois hommes influents ont annoncé qu’ils s’opposeraient à un deuxième confinement : Thomas Oppermann, Mario Ohoven et Franz Klein.

• Thomas Oppermann a été vice-président du Bundestag allemand et a vivement critiqué la chancelière Merkel pour avoir voulu imposer les mesures Covid sans la participation du Parlement. Fin octobre, il a demandé un débat général sur les restrictions des droits fondamentaux. Il s’apprêtait à exposer sa position le 25 octobre dans l’émission « Berlin direkt » de la ZDF lorsque, à 66 ans, il s’est soudainement effondré et est décédé. La cause du décès n’a pas été élucidée.

ARCHIV – 13.02.2017, Berlin: Der BVMW-Präsident Mario Ohoven spricht während des Jahresempfangs des Bundesverbandes mittelständische Wirtschaft (BVMW). Über die Fragen Fachkräfte, Verdienst und Unternehmensstruktur diskutierten Vertreter von Wirtschaft, Politik und Wissenschaft beim ostdeutschen Wirtschaftsforum in Bad Saarow. Der Osten hat in den vergangenen Jahrzehnten zwar deutlich aufgeholt, liegt aber immer noch hinter den westlichen Bundesländern zurück. (zu «Osten liegt bei Löhnen und Produktivität weiter zurück») Foto: Rainer Jensen/dpa +++ dpa-Bildfunk +++ | Verwendung weltweit

 

• Mario Ohoven était président de l’Association fédérale allemande des petites et moyennes entreprises depuis 1998. Il a écrit plusieurs fois directement à la chancelière fédérale pour éviter un deuxième confinement. Dans un appel publié le 29 octobre, les points suivants ont été remis en question – je cite : « … si les mesures sont également proportionnées au sens juridique et donc en accord avec notre constitution. En tant qu’association, nous allons demander un tel examen dans l’intérêt des classes moyennes. A la fin, il pourrait y avoir une saisine de la Cour constitutionnelle fédérale. » Deux jours plus tard, le véhicule d’Ohoven a percuté la glissière de sécurité centrale sur l’autoroute pour une raison inconnue, entraînant son décès.

 

• Franz Klein était le chef de l’association des hôtels et restaurants de Hambourg. Lorsqu’en novembre, la loi sur la protection contre les infections devait être renforcée, l’association a annoncé qu’elle allait porter plainte devant la Cour constitutionnelle fédérale. Deux jours plus tard, Franz Klein est décédé de manière soudaine et inattendue à l’âge de 72 ans.

À partir du 2 novembre, l’Allemagne a connu un nouveau confinement, qui s’est durci en décembre. Ce n’est qu’au bout de quatre mois que des assouplissements progressifs ont été décidés.

Entre-temps, la campagne de vaccination, massivement promue comme seule issue à la pandémie, avait commencé.

Conclusion

Il est finalement impossible de dire si la mort de toutes ces personnalités est liée à leur attitude critique envers les mesures Covid. Ce qu’on peut dire, c’est que l’élimination de porteurs d’espoir qui s’opposent au diktat imposé d’un agenda global s’est déjà produite plus souvent. Selon les révélations de John Perkins, tueur en col blanc et ancien agent de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), les opposants indésirables sont soit destitués de leur poste, soit ouvertement écartés du pouvoir, soit assassinés dans le cadre d’opérations clandestines des services secrets. Il semblerait donc qu’un énorme appareil composé de services secrets corrompus, d’organisations terroristes et même de tueurs à gages agisse dans l’ombre et ne recule devant rien pour influencer les développements dans la direction souhaitée.

Mais il semble que depuis le vent ait tourné. En effet, alors que les décès décrits par John Perkins n’ont été mis en lumière qu’après des décennies, l’accumulation frappante de décès mystérieux chez les opposants à la politique Covid est aujourd’hui révélée en temps réel. Cela montre la dynamique que le mouvement de clarification a atteint aujourd’hui et que rien ne peut plus rester caché.

source : Kla.tv

 

 

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial Satanique:Des soldats russes découvrent des « usines à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour des bordels sexuels et pour le prélèvement d’organes

Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une « usine à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.

La vidéo a été publiée par The People’s Voice, et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la désinformation ou de la propagande.

Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.

Il y a deux ans, était  publié le documentaire  du producteur de films polonais Patryk Vega, intitulé « Les yeux du diable ».

Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants.

Nous vous  avons ajouté ce vidéo à la fin de l’article afin de l’archiver.Il a été  censuré et exclus de you tube…bien entendu : « Un célèbre producteur de films polonais crée un documentaire exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes » .Notre site web va rester  une mémoire vivante de ces crimes!

Ce n’est pas un documentaire facile à regarder, et j’ai été émotionnellement perturbé en le regardant, et j’ai couvert ce sujet du trafic sexuel d’enfants depuis près d’une décennie maintenant.

Voici la vidéo du soldat russe avec des sous-titres en anglais:

 

Voici pour finir le vidéo exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes:

 

 

 

John Podesta a été pris en photo avec Justin Trudeau,le pseudo premier ministre cool et pro-arabe du Canada:le complot peut même avoir commencé là!
John Podesta est impliqué dans le vaste réseau de pédophilie mondial.
Jerry Epstein le fournisseur de jeunes victimes du réseau pédophile qu’il a créé.
Hunter Biden a profité de ce réseau pédophile de l’élite.

Nouvel Ordre Mondial:La dette, arme de destruction massive des économies occidentales

« Nous autres, civilisations, savons que nous sommes mortelles » (Paul Valéry)

Selon de nombreux stratèges et experts en économie et industrie militaire, pour la bonne santé du monde il faut une guerre tous les 30-50 ans : c’est ce qu’on nomme pudiquement la « destruction créatrice ». C’est d’ailleurs, une interprétation déviante de la théorie de l’économiste Schumpeter à propos des révolutions industrielles occidentales, créatrice d’emplois, de richesses et en « même temps » destructrice d’activités devenues obsolètes ainsi que des emplois inadaptés.

Or, il n’y a pas eu de guerre de haute intensité telle que celle qui oppose la Russie à l’OTAN, depuis la guerre du Vietnam.

On peut penser que nos « massacreurs du XXe siècle » soient en retard de plusieurs guerres. Mais rassurez-vous, dans cet entre temps qui n’est pas la paix mais la guerre sous le déguisement « des droits de l’homme et de la démocratie », ils ont eu le temps de massacrer plusieurs millions de musulmans, par le monde, et fait condamner à mort 500 000 enfants irakiens en les affamant par un blocus barbare… Il faut bien s’occuper quand on s’ennuie chez soi et qu’on a besoin d’énergie pour faire tourner son économie (Cf. l’Irak, la Libye la Syrie…) !

Les « 30 glorieuses » (1945-1975) qui se sont transformées en « 30 pouilleuses » sous le règne des 3 fossoyeurs, Sarkozy, Hollande et Macron, de la France gaullienne (le remplacement de la droite sociale par la gauche sociétale)… n’était, historiquement, que la fin de la queue de la comète de la reconstruction d’après-guerre et surtout du pillage industriel des richesses du continent africain !

La volonté du Forum de Davos (qui est le véritable conseil d’administration de la « multinationale monde » et qui a vocation à devenir le tuteur de la planète) était de provoquer une guerre en occident depuis au moins 2014 (date de la reprise de la Crimée par la Russie), voire début des années 2000 avec la « révolution orange de la place Maïdan).

La fin des 30 glorieuses coïncident avec la Loi du 3 janvier 1973 (ou loi Pompidou-Giscard-Rothschild) qui met fin à la nationalisation de la Banque de France et qui a pour conséquence « d’obliger » l’État a emprunté auprès des banques privées : la dette est née à cet instant. Depuis l’institution de l’Union européenne (UE), c’est même devenu interdit car c’est inscrit, expressément, dans la constitution européenne.

Au surplus, la fin de la convertibilité dollars-or, accords de Bretton-Woods n’était que l’hirondelle annonciatrice d’un « hold-up » qui permettra la mise en place de la dictature totale du billet vert sur le monde et de la financiarisation des économies occidentales : on produit moins en occident que l’on consomme, désormais !

C’est le système de l’Argent-Dette 

 

Petite piqûre de rappel historique : C’est à la suite de 2ème Guerre mondiale que sous l’impulsion du Conseil national de la Résistance (CNR) que la nationalisation de la Banque de France, et donc, la possibilité pour l’État français à taux zéro pour les dépenses publiques (hôpitaux, infrastructures, industries, recherches…) : c’est une époque révolue, au cours de laquelle les hommes politiques servaient les intérêts supérieurs de la nation française et non ceux des USA et de quelques banquiers tyranniques de la City de Londres et de Wall Street.

Revenons en l’an de grâce de l’année 2023 ou la montagne de dettes à atteint, dans le monde, la somme inhumaine de presque 1 million de milliards de dollars (dettes publiques, privées, ménages, entreprises et produits dérivés…). C’est à travers cette dette mondiale qu’il faut appréhender le phénomène méconnu qui est tirée de cette règle historique : ce ne sont pas les crises économiques qui décident des guerres mais plutôt les liquidations qu’elles exigent face aux dérives monétaires du crédit et de la dette.

En effet, nous avons intégré cette fausse idée que ce sont les crises qui mènent aux guerres, alors que c’est l’inverse.

C’est parce que l’occident a refusé l’amplitude de la dette, qui lui pendait au nez en 2015, 2017, 2019, 2020…que nous avançons vers la guerre.

Avoir refusé la crise de 2008 et donc avoir négligé le problème de l’endettement c’est le résultat qui va nous mener, demain, à l’affrontement inévitable.

À défaut d’avoir traité le cancer monétaire et d’amputer la tumeur de la dette, celle-ci fait des métastases, depuis longtemps, dans les sphères économique, sociale, politique et aussi, désormais, dans les sphères géopolitique et militaire.

Nous sommes passés d’une diplomatie « classique » à une diplomatie militairo-judiciaire du billet vert.

Depuis le début de l’année, deux « importantes » banques américaines (SVB et la Signature Bank… et quelques petites) ont fait faillite selon le FDIC et leurs actifs combinés représentent 319 milliards de dollars en termes d’actifs perdus (soit respectivement : 209 milliards de dollars pour la SVB et 110 milliards pour la Signature Bank)… hors faillite du Crédit Suisse, notamment. Ce constat nous fait dire que la crise de 2023 est la pire crise financière depuis la crise de 1929 !

À titre de comparaison :

  • En 2008, 25 banques ont fait faillite pour 374 milliards de dollars de perte d’actifs,
  • En 2009, 140 banques ont fait faillite pour 171 milliards de dollars de perte d’actifs,
  • 2011, 92 banques ont fait faillite pour 36 milliards de dollars de perte d’actifs.

Par ailleurs, il est erroné de croire que l’UBS (Union des Banques Suisses) a racheté le Crédit Suisse : elle a « saisi » le passif du Crédit Suisse (l’eau) pour le mélanger avec ses actifs (le lait). Ainsi l’actif net d’UBS est amoindri et l’actif net d’UBS-Crédit Suisse reste inchangé. Pourtant l’union de deux ânes n’a jamais engendré un étalon !

Il s’ensuit, à l’aune de ces observations, que d’une part, le franc suisse n’est plus une monnaie de refuge et que, d’autre part, la prochaine banque à s’effondrer sera l’USB ou la Deutsche Bank, ou la BNP… Car les causes objectives de la chute du Crédit Suisse demeurent inchangées.

Rappelons que la Deutsche Bank était cotée à 130 milliards de dollars au NYSE (New York Stock Exchange) en 2007. Après la crise de 2008, l’action a chuté brutalement et elle n’est jamais remontée : aujourd’hui l’action est estimée à 5 dollars !

La Deutsche Bank à 48 000 milliards de produits dérivés. Pour comparaison le PNB de l’Allemagne c’est 3500 milliards d’euros : presque 14 fois le PNB de l’Allemagne en produits dérivés. Le jour ou la Deutsche Bank est affectée, c’est tout le système financier qui s’effondre.

La secousse engendrée par la faillite du Crédit Suisse indique que le potentiel de crise latent va entraîner d’autres secousses et davantage violentes qui entraîneront, inévitablement, l’effondrement : le retour du réel !

Ainsi, depuis 1971 le dollar a perdu 98% de sa valeur. Les USA sont le seul pays qui peut imprimer de l’argent fictif « illimité » et l’échanger contre des biens réels provenant d’autres pays. La financiarisation des économies occidentales leur a permis de s’exonérer de produire des richesses mais de posséder les monnaies de réserve (dollar, euro). Aujourd’hui, le groupe des BRICS représente 80% de la production manufacturée mondiale ! La Chine produit 22% des machines agricoles quand les USA en produisent à peine 7% (comme l’Italie).

Les États occidentaux s’appauvrissent en ne produisant que du tourisme et des produits de luxe, mais au surplus leurs peuples font l’objet d’un « racket permanent » à travers les impôts et taxes qui au lieu de servir à financer des investissements et services publics sont destinés en réalité à payer les intérêts dont la dette publique est grevée : c’est une véritable expropriation en amont qui représente la souveraineté monétaire conférée au système financier privée.

Thomas Jefferson, père de la constitution américaine, luttait de toutes ses forces contre le pouvoir financier qui étendait ses griffes sur la nouvelle nation : « Je crois que, pour notre liberté, les institutions financières représentent un plus grand danger que les armées. Si les citoyens américains les laissaient contrôler l’émission de monnaie, les banques leur retireraient tous leurs biens jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri. »

Le système financier est une oligarchie « extractive », au sens où il extrait la richesse des peuples et des citoyens ordinaires pour la transférer à lui-même, un gouffre dévorant vers le haut. Tout doit être leur propriété, y compris les êtres humains.

Michael Hudson, économiste, a consacré sa carrière à l’étude de la dette, à la fois la dette intérieure (prêts, hypothèques, paiement d’intérêts) et la dette extérieure. Dans ses travaux, il défend constamment l’idée que les prêts et les dettes à croissance exponentielle qui dépassent les bénéfices de l’économie réelle sont désastreux à la fois pour le gouvernement et les citoyens.

À l’aune de ces développements, il ressort que le dollar et l’euro sont non seulement en sursis mais que de surcroît il va forcément y avoir une accélération de la dette ; mais qu’en plus leur avenir face aux États « émergents » (ou plutôt le reste du monde) est plus que compromis à cause des taux d’intérêts.

Par conséquent, ils sont pris entre deux feux : soit ils laissent filer la dette et donc les monnaies s’effondrent ; soit ils maitrisent l’inflation mais les risques sont bien plus grands, puisque les acteurs économiques et les populations n’auront plus accès aux crédits (comme sous le Covid-19, le remède est pire que mal !).

Quelle que soit l’alternative entreprise, la croissance disparait, les industriels fuient la zone euro (et bientôt la zone dollar) et vont s’installer là où le coût des matières premières sont plus bas.

Cette perspective, qui est tout sauf une hypothèse d’école, rappelle le cas du Japon (vassal des USA) : aujourd’hui le Japon n’est plus un Producteur mais un Assembleur, dont la dette est colossale et une population de retraités. Parallèlement, la Corée du Sud, en l’espace de 30 ans a pris la place du Japon et pourtant au départ on avait le titan SONY qui dominait le marché contre SAMSUNG, ou TOYOTA contre KIA…

Quand la machine va s’enrayer, définitivement, le crack sera long et la récession de l’occident n’en sera plus que douloureuse.

Pour Michael Hudson, chercheur et historien de l’économie à travers les âges, démontre que s’il n’y a pas à un moment donné, un effacement pur et simple de la dette, le monde contemporain sera plongé directement dans l’âge sombre. En effet, comprendre le phénomène « Clean Slate » littéralement ardoise effacée, permet d’éviter à l’humanité de passer par la case autodestruction, comme l’a toujours fait le système capitaliste en phase de crise aiguë.

Qu’adviendra-t-il de la rivalité entre la Chine et les USA ? « Mad Max » ou « Soleil vert » (deux films visionnaires sur le monde du XXIe siècles) ?

Au fait, le film dystopique Soleil Vert se passe en 2022

 

 

source : Algérie54


EN COMPLÉMENTAIRE

L’économie mondiale dans l’expectative

 

Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international s’est récemment exprimée1 sur l’état de l’économie mondiale et les solutions à lui apporter pour en améliorer la performance. Elle s’inquiète à juste titre de l’inflation, de l’endettement et de l’inégalité qui fragilisent les économies nationales. Malheureusement, les solutions qu’elle préconise sont mutuellement exclusives et sont donc inapplicables. La raison en tient à l’abstraction qu’elle fait des causes qui expliquent l’état de l’économie aujourd’hui. Nous nous y arrêtons un instant avant d’examiner ses propositions, et conclure que l’économie mondiale est proche d’une crise majeure.

 L’état de l’économie est la conséquence des remèdes apportés à la crise financière, dite des subprimes, de 2008. En un mot, au lieu de pénaliser les banques pour leur manquement à leur devoir fiduciaire, les gouvernements – Washington en tête – les ont soutenus au travers de déficits abyssaux (9,9% et 9,4% du produit intérieur brut américain en 2009 et 2010) et la fourniture d’abondantes liquidités qui en relevant la valeur des titres en bourse – les ont sauvées de la faillite. Les montants fournis par la Réserve fédérale dépassent l’entendement : 16 100 milliards de dollars de 2008 à 2010, selon le Governement Accountability Office2, équivalent de notre Cour des comptes. Ce chiffre correspond au produit intérieur brut de 2012 – c’est-à-dire à la richesse produite aux États-Unis cette année-là.

Il en a résulté un endettement exceptionnel des États – la dette publique américaine excède son niveau de 1945 – mais aussi une inégalité croissante des revenus et des patrimoines – les « sans-grade » payant les malversations de leurs banquiers. Pas étonnant que Kristalina Georgieva – et quelques autres – s’inquiètent de ce que l’avenir nous réserve. Que préconise-t-elle ? Elle émet trois priorités : éliminer l’inflation et l’instabilité financière, améliorer les perspectives de croissance, et promouvoir la solidarité.

Pour atteindre le premier objectif (éliminer l’inflation), les banques centrales doivent réduire les liquidités dans l’économie ce qu’elles ont commencé à faire – les États-Unis en tête. Depuis le 17 mars 2022, la Réserve fédérale relève son taux directeur, le portant de 0,25% à 5,00% aujourd’hui. La Banque d’Angleterre et la Banque centrale européenne suivent la même politique. Le Japon fait exception en maintenant son taux à son niveau de 2009 (0,30%).

En revanche, restaurer la stabilité financière pose problème. Récemment, trois banques3 aux États-Unis ont fait faillite. Ces banqueroutes tiennent tout à la fois de l’incompétence des dirigeants et de la politique de la Réserve fédérale qui, en relevant ses taux, a diminué la valeur de leurs actifs en portefeuille. Elles ont été rapidement liquidées ou rachetées.

Le problème serait résolu si cette même incompétence et cette même politique ne frappait pas l’ensemble du secteur, et plus particulièrement les banques dites « systémiques »4, c’est-à-dire celles capables de faire basculer tout le secteur bancaire dans l’insolvabilité. Le montant des pertes comptables – c’est-à-dire des pertes non-réalisées mais néanmoins réelles – est de 690 milliards de dollars, selon Martin Gruenberg5, directeur du Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC)6 ce qui pourrait provoquer l’effondrement du secteur bancaire. Si une telle éventualité se présentait, la Réserve fédérale devrait injecter des liquidités dans l’économie – c’est ce qu’elle fit initialement pour soutenir les trois banques défaillantes. Ainsi donc, le premier objectif de la directrice générale du Fonds monétaire international pour consolider l’économie mondiale fait-il face à une contradiction : réduction des liquidités, d’un côté, et augmentation de l’autre.

Pour atteindre le second objectif, améliorer les perspectives de croissance à moyen terme, Kristalina Georgieva recommande de « stimuler la productivité et le potentiel de croissance en réalisant des réformes structurelles ». L’expression « réformes structurelles » est un euphémisme qui désigne les réformes à entreprendre pour limiter, voire éliminer, certaines formes de protection sociale. Ce commentaire confirme le précédent qu’elle inclut dans son premier objectif, à savoir la réduction des déficits budgétaires – autre euphémisme visant la protection sociale, jugée trop coûteuse. Les réformes structurelles réduiront la consommation des ménages. Or, les deux-tiers du produit intérieur brut des nations avancées reposent sur cette consommation.

Est-il possible d’accroître la croissance tout en réduisant la capacité des personnes à consommer ? Bien sûr que non. Stimuler la productivité, comme le recommande Kristalina Georgieva, augmentera le potentiel de croissance mais cela prendra du temps, sans compter que le résultat est incertain au vu des paramètres que cette solution implique. En résumé, la solution proposée pour atteindre le deuxième objectif est inopérante.

 

Le troisième objectif, la promotion des solidarités, fait partie du crédo occidental auquel plus personne ne croit depuis longtemps, les nations émergentes en premier auxquelles il est destiné. Inutile de s’y arrêter.

En résumé, il s’agit là d’un exercice de pure forme, convenu, sans grand intérêt d’autant qu’il occulte l’un des risques majeurs qui menace l’économie mondiale : les produits dérivés7. Ils sont inscrits au passif des banques, hors bilan, et échappent de ce fait aux règles prudentielles émises par les autorités nationales et internationales.

Le Crédit Suisse – 45ème banque mondiale – très actif en tant que contrepartie sur ce marché, virtuellement en faillite depuis plusieurs mois, a été racheté par son concurrent, l’Union des banques suisses (UBS), le 19 mars. Etonnant que Kristalina Georgieva n’y ait pas fait allusion car le marché des produits dérivés – cause probable mais non exprimée officiellement – de la faillite du Crédit Suisse est un marché énorme. Selon la Banque pour les règlements internationaux, il s’élève à 632 238 milliards de dollars, soit six fois le produit intérieur brut mondial.

Or ce marché qui couvre de nombreux segments de l’économie (taux de change, taux d’intérêt, produits pétroliers, céréales, etc.) est extrêmement spéculatif. Les banques les plus actives sont cinq banques américaines, JPMorgan Chase, Goldman Sachs, Citigroup, Bank of America et Morgan Stanley qui à elles seules comptabilisent près d’un tiers du risque total (189 893 milliards de dollars)8. Pour limiter leurs risques, elles s’en déchargent pour partie auprès d’autres banques. En tant que contrepartie, le Crédit Suisse est donc tout aussi exposé au risque de faillite que le sont ces banques. Le 19 septembre 2019, le marché au jour le jour de New York, ou marché des « repos »9, connut une crise de liquidité inattendue qui obligea la Réserve fédérale à intervenir. Aucune explication ne fut donnée mais la rumeur laissa entendre que les acteurs de ce marché ne souhaitaient plus prêter au Crédit Suisse. L’intervention de la Réserve fédérale sauva temporairement la banque et la crise fut évitée.             

Les produits dérivés sont l’une des causes principales de la fragilité des banques systémiques, comme l’a démontré la crise des subprimes de 2008. Par nature spéculatifs, ils sont sensibles aux variations de taux d’intérêt et aux évènements politiques. Le relèvement des taux d’intérêt, la guerre en Ukraine et les tensions en mer de Chine sont autant de facteurs susceptibles de provoquer des variations importantes dans la valeur des actifs auxquels ils sont adossés. Compte tenu de cette instabilité, une crise financière majeure ne peut être exclue. Le danger, dans cet environnement fragile, est qu’une banque systémique entraîne dans sa chute l’ensemble du secteur par un effet de dominos sans possibilité pour les banques centrales d’endiguer ce flot tant le volume des produits dérivés est important. Voilà l’état de l’économie mondiale – un état qui requiert l’attention des autorités.

envoyé par Dominique Delawarde

NOTES

  1. Sur la voie de la croissance : trois actions prioritaires, 6 avril 2023.
  2. Opportunities exist to strengthen policies and processes for managing emergency assistance. July 2011.
  3. Silicon Valley Bank, Signature Bank, First Republic.
  4. Les banques « systémiques » sont dites « trop grosses pour faire faillite », la défaillance de l’une d’elles entraînant l’effondrement du système bancaire. Cette désignation est une garantie informelle, mais réelle, du gouvernement fédéral qu’elles ne peuvent faire faillite.
  5. « Recent Bank Failures and the Federal Regulatory Response », March 28, 2023.
  6. Agence fédérale dont la responsabilité est de garantir les dépôts bancaires faits à concurrence de 250 000 dollars.
  7. Les produits dérivés sont des produits financiers dont la valeur dépend du prix d’un actif sous-jacent. Les banques les utilisent pour spéculer sur les cours d’actifs financiers ou réels sans avoir à le détenir.
  8. Source : Office of the Comptroller of the Currency, fourth quarter 2022.
  9. « Repos » pour Repurchase agreements.