Published on Nov 6, 2016 People trust the “unbiased” internet search giant Google so much it can actually influence up to 10 million undecided voters to choose Hillary Clinton for president, prominent US psychologist and author Robert Epstein told RT following years of research. – Google is NSA. Who is in charge of the Beast […]
Les parlementaires européens ont voté cette semaine en faveur d’une résolution appelant à de plus grandes « capacités institutionnelles pour contrer la propagande inspirée par le Kremlin ». La résolution a été votée par la commission des Affaires étrangères de l’UE et sera présentée devant le parlement européen le mois prochain. Si la résolution est adoptée, la prochaine étape sera la mise en place de mécanismes institutionnels pour bloquer l’accès aux médias russes.
L’expansion de l’OTAN
Ce serait un événement monumental, mais les pays occidentaux semblent se diriger, inéluctablement, vers l’interdiction des médias d’information russes à partir de plates-formes satellitaires et de l’Internet. Ce résultat – avec des implications éthiques et politiques énormes – semble être la conclusion logique de la campagne transatlantique de plus en plus frénétique visant à diaboliser la Russie.
Vladimir Poutine et Bachar al-Assad:l’OTAN cherche continuellement à associer les deux chefs d’états en oubliant leurs travers.
Washington, Londres et Paris semblent coordonner une attaque médiatique sans précédent qui diffame la Russie pour pratiquement tous les méfaits imaginables : crimes de guerre en Syrie, menaces contre la sécurité de l’Europe, avions civils abattus, subversion des élections présidentielles américaines. Et ce n’est qu’un échantillon.
Le Secrétaire britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a déclaré cette semaine que la Russie risque de devenir un « Etat paria ». Ironiquement, ce destin a moins à voir avec le comportement réel de la Russie qu’avec les objectifs recherchés de la politique occidentale vis-à-vis de Moscou, à savoir isoler et présenter la Russie comme un voyou international.
Si les gouvernements occidentaux réussissent à diaboliser suffisamment la Russie aux yeux de leurs opinions publiques, alors un contexte politique sera créé pour procéder à des mesures drastiques qui autrement seraient considérées comme des violations inacceptables des droits démocratiques. Des mesures qui iraient bien au-delà des sanctions économiques et viseraient la censure des médias. N’est-ce pas étrange ? Le « monde libre » qui déplore « l’autoritarisme russe » se dirige vers la censure des médias et la répression de ce qu’il considère comme un « crime de pensée ».
Les parlementaires européens ont voté cette semaine en faveur d’une résolution appelant à de plus grandes « capacités institutionnelles pour contrer la propagande inspirée par le Kremlin ». La résolution a été votée par la commission des Affaires étrangères de l’UE et sera présentée devant le parlement européen le mois prochain. Si la résolution est adoptée, la prochaine étape sera la mise en place de mécanismes institutionnels pour bloquer l’accès aux médias russes.
L’hostilité envers la Russie telle qu’elle apparaît dans la formulation de la résolution de l’UE ne peut être décrite que comme enragée, pour ne pas dire paranoïaque. Le gouvernement russe y est accusé de recourir activement à une « campagne de désinformation », de « ciblage des politiciens et des journalistes de l’UE », et de « perturber les valeurs démocratiques à travers l’Europe ». En bref, Moscou est accusée de comploter la chute du bloc Européen.
Il convient de noter un point particulièrement sinistre, le comité des affaires étrangères de l’UE a accordé une attention particulière au recours par la Russie d’un « large éventail d’outils et d’instruments tels que des stations de télévision multilingues et de pseudos organismes d’information pour diviser l’Europe ».
Ainsi donc, non seulement le gouvernement russe est ouvertement accusé de nourrir des desseins subversifs et destructeurs envers les Etats européens, mais ses professionnels dans les médias sont confondus avec un supposé projet politique russe de guerre hybride. L’Etat russe est diabolisé comme un ennemi étranger et ses médias font partie de son arsenal de guerre hybride. En d’autres termes, les médias d’information publics russes légitimes sont en train d’être délégitimés par le Parlement européen.
Étonnamment, les médias professionnels tels que RT et Sputnik sont qualifiés de « pseudo agences de presse » et « d’outils de propagande du Kremlin ».
Le fait, souvent avancé, que ces médias « appartiennent à l’État » et sont financés par le gouvernement est sans importance. Car il en est de même pour Voice of America, Radio Free Europe, BBC, France 24et Deutsche Welle, pour ne citer que quelques-uns des diffuseurs occidentaux appartenant à des Etats. En fait, le budget global des gouvernements occidentaux consacré au financement de médias d’information est plusieurs fois supérieur au budget de la Russie.
Le battement de tambour occidental visant à délégitimer les médias d’information russes populaires a augmenté au cours des derniers mois. Le mois dernier, par exemple, l’alliance militaire de l’OTAN sous commandement US a publié un autre rapport d’avertissement : « L’Occident est en train de perdre la guerre de l’information contre la Russie ».
Voici une bonne question à se poser : pourquoi une organisation supposément dédiée à la sécurité militaire intervient-elle dans les domaines du journalisme et des services d’information publics ?
Un article de Voice of Americaajoute : « Selon les responsables de l’OTAN, l’Occident doit intensifier ses efforts pour combattre et contrer la guerre de l’information menée par ses adversaires. Ils avertissent que des pays comme la Russie exploitent la liberté de la presse dans les médias occidentaux pour répandre la désinformation ».
Remarquez comment la Russie est accusée en quelque sorte d’« exploiter » sournoisement la liberté des médias occidentaux. L’implication ici est que les sanctions-représailles contre les médias russes seraient donc justifiées à cause de ces transgressions supposées.
Pendant ce temps, toujours le mois dernier, le directeur de l’US National Intelligence, James Clapper Jr, aurait informé des membres du Congrès sur la « guerre de l’information » russe. Il a cité RT et Sputnik comme armes médiatiques de la « guerre de l’information » russe [pas le Grand Soir ? snif, snif… grosse déception du traducteur]. Leur but, selon Clapper, est de subvertir les sociétés occidentales en influençant les groupes radicaux et en semant la confusion dans le public.
Ceci marque une détérioration dramatique des relations entre l’Occident et la Russie, où des médias d’information russes sont désignés comme des armes ennemies. Une telle pensée trahit aussi à quel point de dégénérescence les dirigeants politiques occidentaux ont sombré dans leurs stéréotypes de guerre froide ; et comment ils sont disposés à aller encore plus loin pour contrer la Russie.
Depuis que la politique tant vantée de rétablissement de relations « plus amicales » avec la Russie a été abandonnée sous la première administration du président Barack Obama, vers 2011, l’hostilité de Washington et de ses alliés européens est allé crescendo pour atteindre les niveaux actuels d’hystérie.
La raison principale pour laquelle Washington a abandonné sa politique de normalisation est probablement parce qu’il a compris que le président russe Vladimir Poutine ne sera pas aussi docile que son prédécesseur Boris Eltsine, qui a lâchement soumis son pays à l’hégémonie US, que ce soit sur des questions d’intérêts géopolitiques, de la finance mondiale, ou de ressources/guerres à l’étranger. Poutine ne veut rien entendre. La Russie ne sera pas un Etat vassal des Etats-Unis, contrairement aux Etats membres de l’Union européenne qui le sont de toute évidence.
C’est à cause de l’indépendance et de l’audace de la Russie à s’exprimer contre la désinvolture des Etats-unis à l’égard du droit international, par exemple dans sa conduite de guerres illégales et de changements de régime au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Ukraine, que Washington trouve cette attitude si intolérable.
Lorsqu’on lui a demandé récemment dans des médias allemands pourquoi l’Occident est si hostile envers lui, Poutine aurait répondu laconiquement : « la peur ».
Le dirigeant russe ne voulait pas dire par là que l’Occident avait peur d’une agression militaire russe. Il voulait dire que la peur était due à sa puissance de démonstration. Un fort contre-poids aux menées impérialistes des Etats-Unis constituait une puissante négation de la présumée suprématie US unipolaire sur le monde entier. Ce qui signifie que le monde n’est pas un paillasson pour l’assujettissement US. Le défi de la Russie à l’hégémonie US est un signe avant-coureur d’un monde multipolaire, un monde dans lequel les Etats-Unis et ses filiales européennes devront commencer à travailler de concert avec d’autres nations, d’égal à égal et dans le cadre du droit international, et non pas comme des renégats au-dessus des lois.
La Syrie est une illustration classique. Washington et ses alliés britanniques et français, ainsi que des Etats vassaux régionaux, ont présumé qu’ils pouvaient mener une nouvelle opération illégale de changement de régime dans ce pays arabe, comme ils l’avaient fait auparavant en Libye, en Irak et en Afghanistan. L’intervention militaire de la Russie en appui à son allié syrien fut une manifestation éclatante que l’Occident ne pouvait plus continuer son petit jeu de changement de régime. En outre, l’intervention de la Russie a également exposé l’implication criminelle secrète de Washington et de ses partenaires dans le recours aux mercenaires terroristes pour mener leurs changements de régime.
La même chose peut être dite sur l’Ukraine, où le soutien politique de la Russie aux séparatistes ethniques russes a empêché que le coup d’État de Washington à Kiev en Février 2014 ne transforme le pays tout entier en un régime marionnette des Etats-Unis.
C’est la raison pour laquelle Washington craint la Russie sous Poutine. Il est un obstacle à sa « domination mondiale à spectre complet », telle que prévue par les idéologues impérialistes US suite à l’effondrement de l’Union Soviétique.
Cependant, la Russie est plus qu’un obstacle. Dans sa conduite d’une politique étrangère indépendante, la Russie expose les crimes US contre le droit international et son parrainage d’Etat du terrorisme. Et la Russie expose également la servilité pathétique et la complicité des Etats européens, des médias occidentaux et des institutions des Nations Unies pour se plier aux ambitions hégémoniques de Washington.
La politique étrangère de la Russie est, bien sûr, tout à fait légitime. Mais du point de vue de Washington, elle constitue un défi intolérable à sa volonté tyrannique. À cette fin, la Russie doit être métamorphosée en un Etat ennemi. Et les dirigeants européens serviles adhèrent à cet ordre du jour, afin de dissimuler leur complicité odieuse.
Il se trouve que les médias russes ont démontré une indépendance des journalistes et des analyses critiques sur les grands événements mondiaux, comme ce qui se passe réellement en Syrie et en Ukraine. Le fait que les gouvernements occidentaux soutiennent secrètement les réseaux terroristes pour mener un changement de régime illégal n’est plus à démontrer. Si cela vous paraît exagéré ou un « commentaire injuste », c’est uniquement parce que les médias occidentaux se sont refusés à dénoncer les fausses revendications et prétentions de leurs propres gouvernements. Ce qui n’est pas une raison pour délégitimer le journalisme des médias russes. En fait, c’est ce qui rend un tel journalisme louable.
Dire que les Etats occidentaux sont frustrés par la Russie est un euphémisme. Ils sont livides, comme on peut le voir à la façon dont leur entreprise criminelle de changement de régime en Syrie a été mise en déroute. Par conséquent, les efforts occidentaux visent à accuser la Russie de « crimes de guerre » et de la comparer à l’Allemagne nazie [Méga Point Godwin pour l’Occident – NDT].
Combinez cette diabolisation avec les affirmations à sensation selon lesquelles la Russie tente de subvertir les démocraties occidentales, le climat politique toxique devient alors propice pour des mesures de plus grande portée.
Il s’agit là d’une logique réductionniste osée : la Russie est un Etat ennemi, et les médias russes sont des outils de propagande ennemis.
Les fiers soldats russes.
Etant donné que les législateurs européens voteront cette semaine sur la lutte contre les médias russes, on peut supposer que la prochaine étape logique sera l’interdiction pure et simple des chaînes russes sur les ondes et Internet.
Mais comme a déclaré Margarita Simonyan, rédactrice en chef de RT, à Deutsche Welle, le mouvement draconien visant à interdire les médias russes ne fait que démontrer à quel point les discours occidentaux sur la « liberté d’expression » sont vides.
« C’est une interprétation plutôt intéressante des valeurs occidentales tant vantées, en particulier sur la liberté d’expression – qui dans le concret signifie apparemment d’attaquer une voix de dissidence rare parmi des milliers de médias européens » a ajouté Simonyan.
Les gouvernements occidentaux sont en train d’adopter des méthodes de despote.
Incapables de faire ce que bon leur semble, y compris de violer le droit international et d’aller en guerre où et quand bon leur semble, ils s’en prennent alors aux pays qui résistent, comme la Russie, au point de désigner la Russie comme un pays ennemi, susceptible donc de faire l’objet d’une agression militaire.
Et lorsque des médias exposent les doubles normes et l’hypocrisie criminelle de l’Occident, ces médias sont alors fustigés comme étant de la propagande ennemie, qui doivent être arrêtés et interdits.
Les dernières attaques du Nouvel Ordre Mondial.
La décadence occidentale est vraiment en train de sombrer dans le caniveau ou dans la corruption et l’absurde. Un destin qui est le résultat de l’effondrement interne due à la politique et au bellicisme de sa propre oligarchie. Et l’opinion publique occidentale le comprend de mieux en mieux, avec ou sans l’aide des Russes.
La propagande se serait étendue à tout le moyen orient.
Selon les révélations du Bureau of Investigative Journalism, lors de la guerre en Irak, Washington aurait coopéré avec une agence britannique de relations publiques pour que ses employés diabolisent l’image d’Al-Qaïda.
Le lanceur d’alerte Martin Wells, rédacteur vidéo à la société de relations publiques britannique Bell Pottinger, a raconté au Bureau of Investigative Journalism que le Pentagone avait payé 540 millions de dollars à la société pour laquelle il travaillait pour une mission peu ordinaire : d’après l’employé, l’entreprise était en charge de créer des supports de communication à propos d’Al-Qaida.
D’après les révélations de Martin Wells, la coopération entre les Etats-Unis et Bell Pottinger a commencé quelques années avant l’intervention américaine en Irak. En 2004, la société britannique a commencé à «promouvoir les élections démocratiques» en Irak.
Toutes les fameuses vidéos et cassettes mettant en sc`ne Oussama ben Laden,depuis décembre 2001,seraient fausses,car il est décédé dans un hôpital < cette époque.
Jusqu’à 2011, les employés de Bell Pottinger qui avaient pris part à ce «projet» travaillaient sur trois types de contenus : des messages publicitaires anti-Al-Qaïda, des reportages télévisés ressemblant à des productions de télévision arabe puis revendues à des chaînes d’information et enfin de fausses vidéos de propagande d’Al-Qaïda. D’après ses estimations, au moins 300 employés y ont pris part.
Une fois créées, ces fausses vidéos de propagande d’Al-Qaïda étaient diffusées via des CD piégés abandonnés par les forces américaines lors de perquisitions. Ces disques étaient ainsi suivis à la trace, en particulier lorsqu’ils étaient retrouvés à l’étranger, «car cela offrait une piste».
Selon Martin Wells, en Irak, les employés de Bell Pottinger travaillaient aux côtés des militaires et agents de renseignement américains sur la base de Camp Victory, située à Bagdad. Ils rendaient compte des résultats de leurs activités au Pentagone, à la CIA et au Conseil de sécurité nationale des Etats-Unis.
Le Pentagone a confirmé avoir travaillé avec Bell Pottinger dans le cadre d’opérations informationnelles et psychologiques américaines en Irak, affirmant que les vidéos réalisées par la société britannique étaient toutes «véridiques».
Quinze des pirates de l’air des attentats du 11 septembre 2001 étaient saoudiens, agents de la CIA et travaillaient pour le gouvernement des Etats-Unis, qui cherchait à détruire le Moyen-Orient pour Israël et de doubler leur budget militaire, dit le Dr. Kevin Barrett, un académique qui a étudié les évènements du 11 septembre depuis la fin 2003.
Le Dr. Barrett est un membre fondateur de l’association the Scientific Panel for the Investigation of 9/11, et a fait ces remarques dans un entretien téléphonique avec Press Tv mercredi, après qu’un bon nombre de législateurs aient appelé la Maison Blanche à déclassifier des documents qui jettent la lumière sur la complicité possible de l’Arabie Saoudite dans les attentats terroristes du 11 septembre 2001.
Les anciens membres du congrès disent que le document classifié de 28 pages prouve que des citoyens saoudiens étaient derrière les attaques du 11/9 et reçurent le soutien et l’assistance depuis Riad alors qu’ils étaient aux Etats-Unis.
“Il apparaît que le mouvement pour la divulgation des 28 pages manquantes a eu un certain succès ou du moins est au bord du succès. Nous avons entendu lundi d’une source au sein du gouvernement Obama que le président planifie de finaliser le processus de révision, présumant qu’il déclassifierait les pages avant la fin de sa présidence,” a dit le Dr. Barrett.
“Maintenant c’est mercredi, et Nancy Pelosi a appelé pour la divulgation de ces 28 pages. Il apparaît que cela pourrait bien se produire très bientôt. Ceci est une nouvelle des plus fascinante. Cela va sans aucun doute causer plus de problèmes dans les relations entre les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite, parce qu’il apparaît que les 28 pages focalisent principalement sur le soutien des cercles du pouvoir saoudiens pour quelques uns des soi-disant 19 pirates de l’air, qui furent en fait faussement accusés des crimes liés au 11 septembre 2001,” a t-il ajouté.
“La véritable affaire ici est de savoir si cela va finalement étaler au grand jour l’affaire complète de ces attentats ou si cela serait en fait une sorte de “limited hangout” ou une révélation contrôlée. Cela pourrait simplement être utilisé pour canaliser la colère populaire contre le gouvernement d’Arabie Saoudite, peut-être pour créer plus de distance entre les deux gouvernements et leur relation, mais ne rien changer vraiment”, a t-il déclaré.
“Ceci serait une tragédie, parce que nous avons grandement besoin de rouvrir toute cette affaire du 11 septembre. La relation actuelle entre les Saoudiens et le 11/9 n’est certainement pas celle d’avoir cette famille royale régnante saoudienne complètement en contrôle des attaques du 11/9 et en charge du complot, ceci est ridicule. L’Arabie Saoudite est une marionnette des Etats-Unis.”
Les 15 Saoudiens pirates de l’air n’étaient que des hommes de paille
“Nous savons que 15 des pirates étaient saoudiens, les supposés pirates, parce qu’ils n’étaient pas dans les avions, aucun des 19 pirates, ou quelque arabe que ce soit ne se trouvait dans les quatre avions détournés, ce d’après la liste des passagers et d’après toutes les preuves qu’il y aurait s’ils avaient été dans les avions, mais rien n’a été produit,” a dit Barrett.
“Donc, ces 15 hommes de paille saoudiens, qui furent cadrés pour encaisser le blâme des attentats, étaient en fait des agents de la CIA. Nous savons cela, j’ai eu ceci confirmé directement par une source de la CIA, que ces 15 Saoudiens, entrèrent et réentrèrent de manière répétitive avec des soi-disants visas de travail, mais il y a un numéro spécial de visas de travail qui ne sont donnés qu’aux agents de la CIA en récompense de leurs services pour l’agence de renseignement centrale et ces visas leur permettent de venir aux Etats-Unis. Typiquement, ils sont payés pour leur travail pour la CIA en Arabie Saoudite, et on leur donne ce type spécial de visa qui est maquillé comme visa de travail mais c’est d’un type particulier,” a t-il déclaré.
“L’ensemble de ces 15 types possédaient ce genre de visa. Ceci montre qu’ils étaient tous en fait des agents de la CIA. Certains d’entre eux vivaient avec des personnels du FBI en Californie. Ces 15 personnes ne travaillaient pas contre le gouvernement des Etats-Unis mais pour lui et ils furent spécifiquement cadrés de manière à ce que l’Arabie Saoudite puisse être éventuellement blâmée pour les attaques du 11 septembre, qui furent en fait perpétrées par Israël et ses sbires américains,” a t-il fait remarquer.
“Le but était de s’assurer que l’Arabie Saoudite ne puisse pas sortir de l’orbite gravitationnelle américaine, comme le roi l’avait menacé en Août 2001. Similairement, le Pakistan fut aussi cadré. Le patron des services de renseignements pakistanais l’ISI fut trompé, ou on lui donna l’ordre, quoi qu’il en soit, d’envoyer de l’argent à Mohamed Atta, puis ceci fut révélé dans un canard indien. De la même manière, le Pakistan menaçait de quitter l’orbite américaine en 2001.”
“Bien évidemment, l’appareil impérialiste, dominé par les sionistes ici aux Etats-Unis, ne voulaient pas du tout d’un Pakistan nucléaire et d’une Arabie Saoudite riche en pétrole tous deux indépendants. Alors, il a utilisé le 11/9 pour les ramener dans l’orbite impérialiste, ce n’est qu’un des éléments,” a observé l’expert.
Quel fut le but du 11 septembre ?
“Bien sûr le but du 11/9 fut de détruire sept pays en cinq ans comme en a déjà parlé l’ancien général Wesley Clark, pays qui étaient des ennemis ou des menaces perçues pour Israël. Toute cette vérité fera t-elle surface lors de la publication des 28 pages manquantes, ce qui pourrait mener à la réouverture de l’affaire des attentats ?” a dit le Dr. Barrett.
“Bien si cela rouvre le fait que le bâtiment 7- la plus évidente des démolitions contrôlées de New York- fut celle du bâtiment 7 du WTC, mais les deux tours jumelles furent elles aussi des démolitions contrôlées. Il n’y a eu aucun pirate de l’air dans aucun de ces avions.Pas un seul nom arabe dans ces avions. Pas un gramme de preuve qu’aucun de ces gars ne fut dans les avions”, a t-il dit.
“Si ces faits ressortent et que nous apprenons que le 11 septembre fut une opération de couverture et d’enfumage menée par Israël et ses agents américains, ceci incluant les quasi-agents comme le sont les George W. Bush, Dick Cheney et Donald Rumsfeld etc, une opération qui fut agencée comme un nouveau Pearl Harbor, non seulement pour détruire le Moyen-Orient pour le “Grand Israël”, mais aussi pour permettre de plus que doubler le budget militaire américain et revigorer l’empire américain (NdT: via son complexe militaro-industriel et de la sécurité qui engrange le fric depuis lors…) et bien cela s’est terminé par tuer l’empire américain,” a t-il continué.
“Cela a certainement aidé Israël; ils ont détruit tous leurs voisins, virtuellement. Mais les Etats-Unis sont maintenant dans un triste état. Pour faire tourner la table, nous avons besoin de promesses comme celle de Trump de révéler au peuple qui a vraiment effondré les tours jumelles du WTC et ce fut les sionistes,” a noté l’analyste.
“Une fois que nous saurons tout cela, nous serons peut-être dans une position de revamper radicalement la structure du pouvoir ici aux Etats-Unis, de reprendre cette structure corporatiste dominée par les sionistes, les banques, l’industrie de l’investissement et l’appareil médiatique et ainsi de pouvoir rendre l’Amérique à son peuple, mettre fin à l’empire américain et nous presser dans une nouvelle ère de paix multi-polaire,” a conclu le Dr. Barrett.
En 1971, Daniel Ellsberg, un brillant analyste employé comme consultant par le Pentagone, fait parvenir au New York Times un dossier sur la guerre du Vietnam classé secret défense. Ce document de 7000 pages révèle les mensonges d’État sur cette guerre. Daniel Ellsberg devient alors l’homme le plus recherché en Amérique. Henry Kissinger, alors conseiller de Nixon à la Défense nationale, le baptise « l’homme le plus dangereux des États-Unis ». Richard Nixon le qualifie lui de « fils de pute ». Daniel Ellsberg sera poursuivi pour vol, conspiration et espionnage. Des agents de la CIA tenteront même de dérober son dossier médical chez son psychiatre pour le charger davantage. Pourtant, le but de l’ancien consultant était simplement d’arrêter une guerre inutile, barbare, coûteuse et injustifiée. « L’homme qui a fait tomber Nixon – Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone » est construit comme un thriller qui nous tient en haleine de bout en bout. La vidéo que nous vous proposons est un montage des meilleurs moments du documentaire original. Devenu inconditionnel militant pour la paix, Daniel Ellsberg a reçu en 2006 le prix Nobel alternatif « pour avoir placé la paix et la vérité en premier, au mépris de risques personnels considérables, et pour avoir consacré sa vie à inspirer les autres à suivre son exemple. » Tout comme l’ex-sénateur Mike Gravel – autre héros dans l’affaire des « Pentagon Papers », Daniel Ellsberg s’est prononcé en faveur d’une nouvelle enquête sur les attentats du 11 Septembre .
Système d’écoute illégale, diffusion de documents ultrasecrets : les États-Unis sont célèbres pour leurs nombreux mensonges. Voici quelques-uns des plus célèbres secrets du Pentagone.
Révélations sur la guerre du Vietnam Le dossier classé secret défense que l’analyste américain Daniel Ellsberg, employé du Pentagone, fait parvenir aux médias en 1971 révèle de nombreux mensonges. Parmi ceux-ci, l’évidence que les présidents qui se sont succédé à la Maison-Blanche entre 1955 et la fin du conflit ont tous menti à la population sur les véritables raisons de cette guerre.
La vérité sur le Vietnam en pourcentage Un mémorandum du secrétaire adjoint à la Défense adressé au secrétaire à la Défense McNamara (extrait des Pentagone Papers), en dit long : « Nous sommes au Vietnam à 10 % pour aider les Sud-Vietnamiens, à 20 % pour contenir les Chinois et à 70 % pour sauver la face ».
Incidents du golfe du Tonkin Toujours d’après les Pentagone Papers, il fut démontré que les attaques des torpilleurs vietnamiens au large des côtes du Vietnam sur les navires américains le 4 août 1964, étaient inventées de toute pièce. C’était une manœuvre du président Johnson pour convaincre le Congrès d’accorder aux États-Unis les pleins pouvoirs dans le conflit indochinois.
John Kennedy viole l’accord de Genève en envoyant des troupes Les Pentagone Papers révèlent également que John Kennedy aurait violé l’accord de Genève : en 1961, il avait envoyé des troupes de soldats au Vietnam en les faisant passer pour des conseillers militaires.
La vérité sur la zone 51 L’extra-terrestre de Roswell n’aurait pas été caché dans la zone 51 au Nouveau-Mexique. Selon deux historiens de la CIA, cette zone aurait en fait servi, lors de la guerre froide, à des tests secrets sur l’avion-espion U-2.
La torture de détenus en Irak Quand Wikileaks a rendu publics plus de 400 000 documents secrets sur la guerre en Irak, en 2010, il s’est avéré entre autres que l’armée américaine avait couvert de nombreux cas de torture, d’actes de viols et de meurtres commis par les policiers et les militaires irakiens.
La rage des soldats américains Les documents publiés par Wikileaks ont également évoqué l’attitude meurtrière des soldats américains, notamment lorsqu’ils ont carrément fait « sauter des bâtiments entiers » pour tuer un seul tireur qui se trouvait sur le toit.
Alliés contre les talibans Toujours pendant la guerre en Irak et selon les documents publiés par Wikileaks, le Pakistan recevait des États-Unis plus d’un milliard de dollars par année pour combattre les talibans.
Les détenus fantômes de Guantanamo En 2011, WikiLeaks fournissait aux médias des dossiers relatifs à plus de 700 personnes détenues de manière anonyme entre les murs de la prison de Guantanamo depuis 2002. Des centaines d’entre elles avaient été emprisonnées sur la base de renseignements peu fiables ou d’aveux extorqués sous la torture.
Prisonniers à haut risque libérés Selon les mêmes dossiers fournis aux médias par WikiLeaks, alors que des innocents étaient emprisonnés sur la base d’informations douteuses à la suite des attentats du 11 septembre 2001, des dizaines de prisonniers à haut risque étaient libérés.
Ordre de capturer les leaders talibans WikiLeaks révèle également que, sous l’administration Bush, plusieurs unités spéciales étaient chargées de capturer des dizaines de leaders talibans, morts ou vifs, sans aucune forme de procès. L’arrivée d’Obama au pouvoir a mis fin à ces missions.
Les programmes secrets du Pentagone Le drone RQ-180, les avions U2 (que les Américains ont pris pour des OVNIS en 1951) ou encore le démonstrateur Tacit Blue Whale sont tous des avions qui ont effectué des centaines de vols avant que le gouvernement américain ne révèle leur existence. Ce qui donna, comme pour l’affaire Roswell, matière à de nombreuses interprétations sur l’existence d’extra-terrestres.
Infiltration des serveurs de Google et de Yahoo En 2013, un simple post-it sème la controverse, car il révèle comment l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) infiltrait secrètement les serveurs de Google et de Yahoo pour récolter les données sur des centaines de millions d’utilisateurs.
Le scandale du Watergate Richard Nixon, président des États-Unis de 1969 à 1974, avait fait une tentative pour installer des micros dans les locaux du Parti démocrate, installé dans les bâtiments du complexe Watergate. Un système d’écoute (instauré par Nixon) qui permettait d’enregistrer toutes les conversations de la Maison-Blanche révélera son implication dans l’affaire et le forcera à démissionner de son poste.
L’invocation du «secret d’État» pour clore le litige entre Boeing et le Pentagone Il est parfois commode d’invoquer le secret d’État pour éviter de divulguer de l’information. Comme dans cette affaire qui remonte à 1991, où la Défense américaine a mis fin à un contrat pour la construction d’un bombardier. Vingt ans plus tard, la Cour suprême a dû refuser de trancher.
Scandale des collectes de données Employé de la Central Intelligence Agency (CIA), Edward Snowden a révélé en 2013 de l’information détaillée sur les programmes de surveillance de masse. Ces informations, classées secrètes par la NSA, concernaient la collecte massive de données aux États-Unis au moyen de systèmes d’écoute sur Internet, de programmes de surveillance ou de la captation de données des appels téléphoniques.
Technique de torture : le waterboarding John Kiriakou a été condamné en janvier 2013 à 30 mois de prison pour avoir divulgué de l’information confidentielle aux journalistes concernant le waterboarding, une technique de torture barbare utilisée par les agents de la CIA.
Les drones américains en Somalie tuent des innocents Une source anonyme, issue des services de renseignements américains, a dénoncé les pratiques douteuses visant à classer les victimes non identifiées des frappes de drones dans la catégorie des « ennemis » afin de mieux dissimuler à la population le nombre véritable de victimes civiles et innocentes.
S’il avait su, Bradley Manning aurait probablement dissimulé son identité lorsqu’il téléchargea, en 2010, des centaines de milliers de documents relatifs à la présence américaine en Irak et en Afghanistan pour les confier au fondateur du site WikiLeaks, Julian Assange. Bradley fut ensuite condamné à 35 ans de prison.
L’assassinat de John Kennedy, à Dallas en 1963, a fait couler beaucoup d’encre et généré de nombreuses théories du complot. L’ensemble des dossiers de cette commission devait rester secret pour une période de 75 ans (soit, jusqu’en 2039), mais la plupart ont depuis été rendus publics. Plusieurs données, restées secrètes au moment du drame, remettent en question la thèse officielle de la commission.
*Je dédie cet article à Richard Glenn ,en hommage des 40 longues années qu’il a consacré à nous informer sur les ovni et nombre d’autres sujets variés,dont les activités paranormales et l’ésotérisme.
Ovni,la CIA dispose d’imposants fichiers.
Sous le titre « Jetez un coup d’oeil sur nos ‘X-Files, l’agence américaine de renseignement présente quelques dossiers que « les sceptiques comme Scully et les croyants comme Mulder pourront trouver intéressants ». Suivent cinq dossiers « qu’adorerait avoir Mulder » et cinq autres destinées à l’agent Scully, censés la confirmer dans son scepticisme. Contrairement à ce qui est affirmé ici ou là dans la presse, ces dossiers ne sont nullement inédits. Ils ont été déclassifiés en 1978, sous le mandat de Jimmy Carter, président d’autant plus sensible à cette question qu’il avait lui-même observé un OVNI en 1969. Les documents « Mulder » n’en sont pas moins intéressants car ils rappellent que même au début des années 50, les observations d’OVNIs n’étaient pas réservés aux seuls Etats-Unis. Les rapports proposés par la CIA concernent l’Allemagne de l’Est, l’Espagne, l’Afrique du Nord et même le Congo belge, avec le survol d’une mine d’uranium par des objets non identifiés en août 1952 .
HORS TEXTE
Ceci est un rapport concernant un article de presse Allemand, déclassifié et publié récemment sur le site web de la CIA. A cette époque, la CIA collectait toute information à propos des OVNIS provenant de l’étranger, y compris des articles de journaux, qui étaient résumés dans des rapports tels que celui-ci.
Ce rapport porte le numéro 00-W-23602, il a été distribué le 16 Août 1952, et sa diffusion publique a été approuvée le 6 November 1978.
Bien que non-vérifiée, ce récit est plutôt intéressant.
PUBLIE Vienne DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952 LANGAGE Allemand CETTE INFORMATION N’A PAS ETE EVALUEE SOURCE La Presse SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D’URANIUM AU CONGO BELGE Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d’uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c’est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L’observation complète dura 10 à 12 minutes. Le commandant Pierre du petit terrain d’aviation d’Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s’approcha à 120 métres d’un des deux disques. D’après ses estimations, la « soucoupe » avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d’un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L’anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l’alumimium. Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu’horizontalement. Des changements d’altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d’après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu’un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures. Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d’accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches. ARCHIVAL RECORD PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]
J. Allen Hynek, membre de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder »
Les cinq mémorandums qui devraient ravir l’agent Scully valent eux-aussi le détour. Car, loin de fournir une explication convaincante aux innombrables observations d’OVNIs durant cette période, ils montrent l’embarras et l’inquiétude des services de renseignement américains face aux soucoupes volantes. Alors qu’un document évoque un peu légèrement l’hypothèse d’une « folie de l’été », un mémo rédigé par le directeur de la CIA le 2 octobre 1952 souligne que, quelle que soit leur nature, les OVNIs présentent « deux éléments de danger dans une situation internationale tendue »: la possibilité qu’ils soient utilisés par un Etat ennemi comme une arme psychologique, et, surtout, les risques de confusion avec une « véritable alerte », autrement-dit une attaque de l’URSS.
Les dix documents exhumés par la CIAdatent tous de 1952 et 1953, années particulièrement riches en « incidents » comme le mémorable carrousel de Washington. 1952 est surtout l’année de création du projet Blue Book, la commission d’enquête sur les OVNI mise en place par l’US Air Force qui cessa ses activités en 1969 sur le constat que les OVNIs n’existent pas et que les cas résiduels inexpliqués ne le sont que par manque d’informations… Mais, comme le soulignait l’astronome J. Allen Hynek, membre démissionnaire de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder » en cours de route, les conclusions du Livre Bleu sont en contradiction flagrante avec son contenu: des dizaines de cas retenus par la commission sont irréductibles à des phénomènes connus, même avec toutes les « informations complémentaires » imaginables.
La CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs
Pour quelle raison la CIA ressort-elle maintenant ces vieux dossiers, outre la volonté évidente d’améliorer son image en se faisant mousser sur le come-back d’« X-Files » ? L’agence se garde bien de trancher d’un côté ou de l’autre, renvoyant sceptiques à la Scully et croyants façon Mulder dos à dos. De plus, la CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs. Elle aurait pu aussi présenter aussi ce mémo d’août 1952 rédigé par le directeur de la Scientific Intelligence, Marshall Chadwell, et adressé au patron de la CIA, Walter Bedell Smith où l’on peut lire:
« En ce moment, les rapports d’incidents nous ont convaincus que quelque chose se déroule qui exige notre attention immédiate. Les observations d’objets inexplicables qui volent à haute altitude et à grande vitesse dans l’espace aérien des Etats-Unis sont de telle nature qu’ils ne peuvent être attribués à aucun phénomène naturel ou type de véhicule aérien connus. »
Enfin, la CIA n’a pas toujours été aussi partageuse avec ses dossiers OVNIs. La plupart l’ont été par des particuliers tenaces qui ont fait valoir le loi sur la liberté de l’information pour obtenir des documents que l’agence rechignait à déclassifier.
Mais voici ce qu’ils obtiennent parfois…
Mulder comme Scully seraient sans doute un peu agacés…
IL Y A 1 AN,DÉBUT DE LA DIVULGATION
La presse internationale a annoncé récemment,en 2015, la déclassification des 11 107 cas d’observations d’OVNIs étudiés par le projet Blue Book entre 1952 et 1969, sous l’égide de l’US Air Force. En réalité, ces documents étaient en accès libre depuis 2007 avant d’être convertis fin janvier en fichiers PDF, plus lisibles, par un ufologue, John Greenwald. Qui a dû les retirer presque aussitôt de son site sous peine de poursuites judiciaires…
La fameuse vague ovni des années ’50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.
Le Projet Blue Book (Livre Bleu) est la plus vaste enquête officielle jamais lancée sur les OVNIs. Mais, pour certains, elle n’est qu’une opération de couverture destinée à masquer la réalité du phénomène. L’année de la création du Projet Blue Book coïncide avec un évènement ufologique qui a fasciné l’Amérique.
En 1952, le Pentagone ne sait plus où donner de la tête: les OVNIs sont partout. Cinq ans plus tôt l’observation du pilote Kenneth Arnold près du mont Renier a fait entrer les « soucoupes volantes » dans l’actualité et dans le vocabulaire courant. Depuis, les autorités sont débordées par les témoignages quotidiens qui suscitent autant d’enthousiasme que d’inquiétude dans la population. Les Etats-Unis sont-ils menacés par ces étranges objets dont les performances dépassent celles de tous les engins connus ? Le point d’orgue est atteint le soir du 19 juillet 1952. avec l’évènement dit du « carrousel de Washington »: jusqu’à 5 heures du matin, des objets lumineux se livrent à un incroyable ballet aérien au dessus de la Maison Blanche, du Pentagone et de la base de l’US Air Force de Andrew !
Les témoins visuels se comptent par centaines, quelques photographies sont prises et il existe même un film de cette « invasion ».
Les objets sont détectés par des radars civils et militaires. Les accélérations et les vitesses enregistrées sont hallucinantes: les intrus passent de 160km/h à plus de 10000 km/h en quelques secondes. Des avions de chasse décollent pour intercepter les appareils. Sans succès. La nuit du 26 juillet, les OVNIs sont de retour, survolant toujours le coeur du pouvoir civil et militaire américain. Là, encore les observations visuelles sont confirmées par les radars. Le Pentagone est sur la sellette. Le 29 juillet, l’US Air Force organise un conférence de presse et fournit l’explication que tout le monde attendait : aucun engin n’a survolé Washington. Les échos radars ont été provoqués par de banales inversions de température, phénomène météorologique bien connu: une couche d’air chaud prise en sandwich entre deux couches d’air froid aurait créé des mirages par réfraction lumineuse et des tracés radars fantômes.
Cinq photos de l’écran radar du National Airport où apparaissent distinctement les objets qui ont survolé Washington. DR
Cette explication parvient à convaincre les journalistes et le grand public mais plusieurs scientifiques restent sceptiques comme le physicien et météorologue James E. McDonald qui a vérifié les données météos des 19 et 26 juillet et conclu que les conditions climatiques excluaient la formation d’inversions de températures. Quant aux techniciens radars, ils ont tout bonnement le sentiment d’être pris pour des idiots: en bons professionnels, ils savent identifier les faux échos radars qui sont des tâches floues et peu distinctes. Elles sont immobiles ou se déplacent lentement mais jamais ces blips fantômes ne se livrent aux extraordinaires prouesses aériennes enregistrées par les radars : accélérations fulgurantes, virages en épingle à cheveu, brusques changements d’altitude.
Gerald Ford: « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force »
Ce carrousel de Washington a fourni à la commission d’enquête sur les OVNIs nouvellement créée par le gouvernement américain l’occasion de se faire les dents sur ce cas sans précédent et de peaufiner une méthodologie qui sera, par la suite, très critiquée. Le projet Blue Book, lancé en avril 1952 par l’US Air Force, a trois objectifs formulés par l’US Air Force : « Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis, déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis ; déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. » Mais au cours de ses 17 années d’existence jusqu’à sa dissolution en 1969, le projet Blue Book s’est surtout acharné à remplir son premier objectif: trouver une explication rationnelle et scientifique à tous les cas qui lui sont soumis, quitte à prendre quelques libertés avec les données brutes et les témoignages.
Cette volonté d’expliquer à tout prix les observations par des méprises avec Vénus, la lune ou un avion finit par lasser certains membres du conseil scientifique qui quittent le projet Blue Book avec plus ou moins de fracas. Le départ le plus mémorable est celui de l’astrophysicien J. Allen Hynek, entré dès 1948 dans le projet Sign, premier avatar moins ambitieux de la commission Blue Book. Sceptique à l’origine, il déclare en 1948 que le sujet des « soucoupes volantes » est « ridicule », un « phénomène de mode qui s’éteindra bientôt ». Vingt ans plus tard, son opinion a bien changé : « Il conviendrait que l’US Air Force admette que le phénomène OVNI est un problème scientifique de dimension mondiale qui peut avoir une grande portée » écrit-il en 1968 dans une lettre furieuse adressée au colonel Raymond S. Sleeper, l’un des responsables du projet, où il déplore, entre autres, le manque de moyens alloué aux enquêteurs, les investigation bâclées et le peu de considération accordée aux témoins. J. Allen Hayek lui-même s’en est longtemps voulu d’avoir « expliqué » une observation très détaillée d’atterrissage d’OVNI en 1966 dans des marécages du Michigan par des « gaz des marais », des feus follets. L’hypothèse d’Hynek était si insuffisante, comme il l’a reconnu par la suite, que le futur président Gerald Ford, à l’époque représentant du Michigan au Congrès, avait protesté : « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force ».
« L’US Air Force ne donnait pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour »
Après avoir quitté la galère Blue Book, J. Allen Hayek, sans renoncer à sa carrière d’astrophysicien, est devenu l’un des ufologues les plus respectés et compétents d’un champ d’étude hélas délaissé par les scientifiques de haut niveau. Il a notamment mis au point la célèbre classification des observations d’OVNIs étalonnée entre Rencontre rapprochée du 1er type (RR1) et Rencontre rapprochée du 3e type (RR3), qui a donné son titre au film de Steven Spielberg dont J. Allen Hayek était le conseiller scientifique.
Quand l’US Air Force a mis fin au projet Blue Book, le major Quantanilla, directeur de la commission, a déclaré : « 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 sont inexpliquées… Il n’existe aucune preuve que les OVNIs encore inexpliqués constituent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ».
Bien différente est la conclusion de J. Allen Hayek qui en 1985, un an avant son décès, déplorait « l’attitude complètement fermée de l’Air Force. Ils ne donnaient pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour. Tout doit avoir une explication. Je commençais à m’énerver, même si, à l’origine, je ressentais la même chose qu’eux, je savais maintenant qu’ils n’étaient pas sur la bonne voie. Vous ne pouvez supposer qu’une chose n’existe pas si vous n’avez pas de preuve. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me troubler. Quelques cas ont, par exemple, été rapportés par des pilotes militaires, et je savais qu’ils avaient été bien entraînés, c’est donc là que pour la première fois, j’ai pensé que peut-être, il y avait quelque chose derrière tout cela. »
Les 11 107 cas étudiés par le projet Blue Book et les quelque 100 000 documents (photos, dessins, manuscrits, films etc) sont en réalité en accès libre depuis 2007 sur le site des archives militaires américaines, Fold3. L’ufologue et militant de la déclassification, John Greenwald a converti ces documents difficiles à consulter en fichiers PDF plus simples d’accès sur son site Black Vault. Malheureusement, pour de sombres histoires de copyright, Fold3 a sommé John Greenwald de retirer les documents sous peine de poursuites judiciaires. Dommage : l’occasion était belle de vérifier de visu si le projet Blue Book est une banale compilation de méprises et de supercheries ou, comme le disait en privé, le colonel Raymond S. Sleeper, « a great big pain in the ass », « un truc qui fait très mal au c…»
…une histoire à suivre et que nous suivrons!
Quelques photos de la Grande Vague Ovni de 1952
La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.
La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.
La circulation des ovnis sur l’écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.
Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.
Même l’aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.
Le 19 juillet 1952,on prit cette photo d’un cigare volant au-dessus de Puerto Maldonaldo au Pérou.
Au nord de l’Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde…pour une première fois.
Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.
Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar. Cette ovni correspond parfaitement au dessin d’un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il sagit de technologie pléadienne.
Comparaison entre l’ovni photographié par Adamsky et un dessin des archives du Troisième Reich.
Au-dessus du brésil…1952.
Roland Hugues ,pilote de l’US Air Force ,fit dessiner,sur son chasseur, l’ovni qu’il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.
Keffel et martins,2 chercheurs de l’époque,examinent les négatifs des photos de l’ovni prises au-dessus de Barra da Tijuca ,au Brésil.
Agrandissement de la photo principale de l »ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra da tijuca au brésil.
cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale…sous le nom de Horten.
Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.
Sources:le site de la CIA sous ce lien: Disclosure
Deux ans après avoir révélé l’étendue du programme de surveillance massive de la NSA, le lanceur d’alerte américain réfugié en Russie a confié une tribune à Amnesty International. «Libération», «The New York Times», «Der Spiegel» et «El País» la publient en exclusivité.
Edward Snowden
Il y a exactement deux ans, trois journalistes travaillaient avec fébrilité dans une chambre d’hôtel de Hongkong, attendant de voir comment le monde réagirait face à la révélation que l’Agence nationale de la sécurité (NSA) enregistrait des informations relatives à presque chaque appel téléphonique aux Etats-Unis. Les jours qui ont suivi, ces journalistes et d’autres ont diffusé des documents révélant que les gouvernements de pays démocratiques effectuaient un suivi des activités privées de citoyens ordinaires qui n’avaient rien à se reprocher.
Au bout d’à peine quelques jours, le gouvernement américain a réagi en portant plainte contre eux en vertu de lois sur l’espionnage datant de la Première Guerre mondiale. Des avocats ont indiqué aux journalistes qu’ils risquaient d’être arrêtés ou cités à comparaître s’ils retournaient aux Etats-Unis. Des politiciens se sont hâtés de condamner notre initiative, la qualifiant d’antiaméricaine, affirmant même qu’il s’agissait de trahison.
En privé, il y a eu des moments où j’ai craint que nous n’ayons mis nos confortables existences en danger pour rien – et que le public réagirait avec indifférence ou ferait preuve de cynisme face aux révélations. Je n’ai jamais été aussi heureux d’avoir eu tort.
Deux ans plus tard, la différence est profonde. En l’espace d’un mois, le programme intrusif de suivi des appels de la NSA a été déclaré illégal par les tribunaux et désavoué par le Congrès. Après qu’une enquête de la Maison Blanche a déterminé que ce programme n’avait pas permis d’empêcher une seule attaque terroriste, même le Président, qui avait plus tôt défendu son bien-fondé et critiqué la révélation de son existence, a fini par ordonner qu’on y mette un terme.
Voilà le pouvoir d’un public informé. La fin de la surveillance de masse des appels téléphoniques privés en vertu de l’US Patriot Act, une victoire historique pour les droits de chaque citoyen, n’est que la dernière conséquence en date d’une prise de conscience mondiale. Depuis 2013, des institutions à travers l’Europe ont déclaré des lois et des opérations similaires illégales et imposé de nouvelles restrictions à ce type d’activités à
l’avenir. Les Nations unies ont déclaré que la surveillance de masse constituait sans ambiguïté une violation des droits humains. En Amérique latine, les efforts de citoyens brésiliens ont mené à l’adoption du Marco Civil, la première Déclaration des droits de l’Internet au monde. Reconnaissant le rôle essentiel que joue un public informé dans la correction des dérives gouvernementales, le Conseil de l’Europe a préconisé l’adoption de nouvelles lois empêchant la persécution des lanceurs d’alerte.
Au-delà du droit, les progrès ont été encore plus rapides. Des experts travaillent inlassablement afin de revoir la sécurité des dispositifs qui nous entourent, ainsi que le langage d’Internet lui-même. Des failles secrètes dans des infrastructures essentielles, qui avaient été exploitées par des gouvernements afin de faciliter la surveillance de masse, ont été détectées et corrigées. Des mesures de protection technique de base telles que le chiffrage – un temps considéré comme ésotérique et superflu – sont désormais activées par défaut dans les produits d’entreprises pionnières comme Apple, ce qui garantit que même si votre téléphone est volé, votre vie privée reste privée. De telles évolutions structurelles sur le plan technologique peuvent permettre un accès à une protection de base du droit à la vie privée au-delà des frontières, défendant ainsi les citoyens ordinaires contre l’adoption arbitraire de lois ne respectant pas la vie privée, comme celles actuellement mises en œuvre en Russie.
Si nous revenons de loin, le droit à la vie privée – socle des libertés inscrites dans la Déclaration des droits américaine – reste menacé par d’autres programmes et autorités. Certains des services en ligne les plus populaires au monde sont devenus les partenaires des programmes de surveillance de masse de la NSA, et des gouvernements du monde entier font pression sur des entreprises technologiques afin qu’elles travaillent contre leurs clients plutôt que pour eux. Des milliards de données de géolocalisation et de communications continuent à être interceptées en vertu d’autres pouvoirs, sans considération pour la culpabilité ou l’innocence des personnes concernées.
Nous avons appris que notre gouvernement affaiblit intentionnellement la sécurité fondamentale d’Internet, par le biais de «portes dérobées» qui transforment la vie privée en livre ouvert. L’interception et la surveillance des métadonnées révélant les liens personnels et centres d’intérêt d’internautes ordinaires restent d’une ampleur sans précédent : pendant que vous lisez ceci, le gouvernement en prend note.
En dehors des Etats-Unis, les chefs des services secrets en Australie, au Canada et en France ont exploité des tragédies récentes afin d’essayer d’obtenir de nouveaux pouvoirs intrusifs, malgré des preuves éclatantes que ceux-ci n’auraient pas permis d’empêcher ces attaques. Le Premier ministre britannique, David Cameron, a récemment posé la question rhétorique suivante : «Voulons-nous autoriser un moyen de communication entre les gens que nous [l’Etat, ndlr] ne pouvons pas lire ?» Il a vite trouvé sa réponse, proclamant que, «depuis trop longtemps, notre société se montre tolérante et passive, disant aux citoyens : tant que vous respecterez la loi, nous vous laisserons tranquilles». Lors du passage à l’an 2000, rares sont ceux qui auraient imaginé que les citoyens de pays démocratiques et développés seraient bientôt obligés de défendre la notion de société ouverte contre leurs propres dirigeants.
Pourtant, les rapports de forces commencent à changer. Nous assistons à l’émergence d’une génération post-terreur, qui rejette une vision du monde définie par une tragédie particulière. Pour la première fois depuis les attaques du 11 Septembre, nous discernons les contours d’une politique qui tourne le dos à la réaction et à la peur pour embrasser la résilience et la raison. Chaque fois que la justice nous donne raison, que la législation est modifiée, nous démontrons que les faits sont plus convaincants que la peur. Et, en tant que société, nous redécouvrons que la valeur d’un droit ne se mesure pas à ce qu’il cache, mais à ce qu’il protège.
Il est intéressant de noter qu’ au même moment où les gouvernements et les grandes entreprises s’autorisent toutes les indiscrétions sur nos vies personnelles, les Européens s’apprêtent à valider la chasse ouverte aux journalistes trop curieux et aux lanceurs d’alerte comme Snowden.
Elise Lucet de Cash Investigation lance une importante pétition sur le sujet :
Le captagon, drogue utilisée par les militants de l’organisation Etat islamique, serait produite en Bulgarie, dans un laboratoire de l’Otan. Les journaux bulgares s’interrogent.
Le captagon était à l’origine,uniquement produite en Bulgarie et acheminée par camions vers ses lieux de vente au Moyen Orient.
Pour la presse de Sofia, la Bulgarie s’est retrouvée, une fois de plus, au coeur d’un “scandale international”. Tous les médias relaient ainsi le contenu de plusieurs articles parus récemment et dont les auteurs disent avoir “percé le secret des djihadistes”.
Le captagon enlève la peur en créant un état second chez les consommateurs.
La cruauté – tout comme la détermination – des combattants de Daech s’expliquerait par leur consommation d’une drogue interdite, le captagon. Et qui serait produite depuis 2011 en Bulgarie dans un “laboratoire de l’Alliance atlantique”.
Pour Ria Novosti, cette “potion de la terreur” a joué un grand rôle dans les “printemps arabes”, son usage expliquant en partie l’enthousiasme des “foules de Tunis, d’Egypte et de Libye”. L’agence rappelle aussi, comme de nombreux autres médias russes, une affirmation qui n’a jamais pu être étayée de manière indépendante : le captagon aurait été également distribué à des manifestants sur la place Maïdan (Kiev), et aurait été utilisé aussi par les forces ukrainiennes comme stimulant lors de leurs opérations dans l’est de l’Ukraine.
Pour la presse de Sofia, la Bulgarie s’est retrouvée, une fois de plus, au coeur d’un “scandale international”. Tous les médias relaient ainsi le contenu de plusieurs articles parus récemment et dont les auteurs disent avoir “percé le secret des djihadistes”.
Les trafiquants de l’État Islamiste la distribue sous cette forme.
La cruauté – tout comme la détermination – des combattants de Daech s’expliquerait par leur consommation d’une drogue interdite, le captagon. Et qui serait produite depuis 2011 en Bulgarie dans un “laboratoire de l’Alliance atlantique”, comme le précise l’agence officielle russe Ria Novosti. Le journal en ligne Tunisie numérique et l’agence de presse cubaine Prensa Latina vont dans le même sens.
Vendue ainsi à l’origine.
Pour Ria Novosti, cette “potion de la terreur” a joué un grand rôle dans les “printemps arabes”, son usage expliquant en partie l’enthousiasme des “foules de Tunis, d’Egypte et de Libye”. L’agence rappelle aussi, comme de nombreux autres médias russes, une affirmation qui n’a jamais pu être étayée de manière indépendante : le captagon aurait été également distribué à des manifestants sur la place Maïdan (Kiev), et aurait été utilisé aussi par les forces ukrainiennes comme stimulant lors de leurs opérations dans l’est de l’Ukraine.
“Mensonge”
Interdite depuis 1986, la molécule du captagon (son appellation médicale est la fénéthylline) est un psychotrope puissant connu pour procurer une tonicité sans pareille, et permettrait de vaincre la peur, la fatigue et la douleur, tout en augmentant les performances sexuelles. Ce qui colle avec le contenu de nombreux témoignages de terrain, décrivant les combattants de Daech dans un état second, voire “complètement shootés”.
L’origine ethnique de plusieurs djihadistes se voit du premier regard.
Contacté par le quotidien 24 Tchassa, le ministère de la Défense bulgare a, en revanche, démenti l’existence d’un quelconque “labo” de l’Otan dans le pays :
“L’Alliance atlantique est une organisation de défense collective, dont la Bulgarie fait partie, mais la production de captagon comme de tout autre produit psychotrope ne fait pas partie des activités ni des objectifs de l’organisation.”
Déniché par le journal Vsekiden, un laboratoire travaillant pour la Défense existe bien à la faculté de chimie de Sofia, mais il s’occupe de tester différents textiles pour la fabrication d’uniformes. “C’est un mensonge éhonté”, a conclu l’ex-ministre de la Défense, Nikolaï Tsonev.
Production industrielle
Une production devenue industrielle au Moyen Orient.
Pourtant, la Bulgarie a une longue histoire avec le captagon, dans lequel le régime communiste avait vu une mine d’or. Au début des années 1980, Sofia a importé de petites quantités de captagon d’Allemagne (de l’Ouest) avant de se lancer dans sa propre production, cette fois-ci à une échelle industrielle – et illégale. Les recettes ont alimenté en devises un pays de plus en plus exsangue.
Les arabes de la drogue…aussi puissants que le pétrole.
Après la chute du Mur en 1989, les canaux et, parfois, les lieux de production survivent pendant de nombreuses années. “Privatisé”, ce trafic est à l’origine de la création des principaux groupes mafieux du pays et connaît un essor spectaculaire jusqu’à l’entrée de la Bulgarie dans l’Union européenne, en 2007. Depuis, selon les experts, la production s’est déplacée vers le Moyen-Orient et, depuis 2011, surtout la Syrie où elle échappe à tout contrôle. Mais un certain savoir-faire bulgare en la matière persiste. Issus des grandes usines pharmaceutiques communistes, des “experts” bulgares parcourent le monde arabe en faisant monnayer leurs compétences. L’un d’eux, âgé de 47 ans, a été arrêté en novembre 2014 au Liban. Selon le quotidien Dnevnik, il serait l’un des plus performants en la matière.
Les chaînes ded’anonymisation Tor (Jacob Appelbaum, Aaron Gibson et Leif Ryge), dans laquelle elles révèlent une partie du code source de XKeyScore, un logiciel mis au point par la NSA pour suivre à la trace et collecter des données sur les internautes.
Leur enquête se base sur « un accès exclusif au code source top secret de la NSA, des interviews d’anciens employés de la NSA, et l’examen de documents secrets du gouvernement américain« . Elle révèle que XKeyScore est configuré pour collecter les adresses IP de tout internaute qui utilise Tor pour masquer son identité et le contenu de ses communications, et qui est ainsi considéré par la NSA comme un terroriste en puissance. télévision publiques allemandes NDR et WDR ont publié jeudi une enquête réalisée par trois experts du réseau .
Pour y parvenir, le programme trace les communications vers les adresses IP des quelques serveurs dans le monde (actuellement neuf) qui servent de « Directory Authority » sur Tor, c’est-à-dire qui hébergent la liste de tous les noeuds publics (ou « nodes ») de connexion au réseau d’anonymisation. Toutes les heures, la liste des noeuds est mise à jour et les utilisateurs de Tor la téléchargent depuis un Directory Authority pour connaître les adresses par lesquelles ils peuvent faire transiter leurs communications.
Linux Journal, un « forum d’extrémistes » selon
La NSA collecte même la liste des utilisateurs des « ponts » (ou « bridges« ) Tor, qui sont les noeuds privés créés par des volontaires qui acceptent de servir de relais lorsqu’un pays autoritaire bloque l’accès aux adresses IP des nodes privés. Pour connaître l’adresse d’un pont, un utilisateur qui subit la censure dans son pays doit faire une demande sur le web, ou envoyer un e-mail à l’adresse bridges@torproject.org. Avec XKeyScore, la NSA intercepte les e-mails envoyés ou reçus à cette adresse, extrait l’adresse IP des ponts, et les enregistre dans une base.
La NSA cible également les utilisateurs de la distribution Linux Tails, dédiée à la sécurisation des données, oui même les lecteurs du magazine Linux Journal, considéré selon le code source comme un « forum d’extrémistes » (sic).
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
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