Aung San Suu Kyi, dirigeante de facto du Myanmar, a rejeté les appels de l’ONU pour enquêter sur la situation vécue par la soi-disante minorité ethnique Rohingya du pays. Il y a eu une éruption de violence dans la province d’Arakan en octobre 2016, lorsque des terroristes djihadistes ont attaqué un barrage de police le long de la frontière bangladaise, tuant neuf policiers.
Cet attentat fut imputé à l’Organisation de Solidarité Rohingya (RSO, Rohingya Solidarity Organisation), une organisation terroriste djihadiste pourvue de liens avec l’Arabie Saoudite. Des groupes de défense des droits de l’homme en cheville avec le State Department US ont lancé un appel concerté à la « communauté internationale » pour qu’elle agisse afin de prévenir le « génocide » de la minorité Rohignya, après que les troupes birmanes aient déclenché une opération militaire visant à écraser l’insurrection islamiste. Le Bureau du Haut Commissaire des…
La fable du massacre des « Rohingyas », guerre secrète contre le Myanmar
Qui sont les « Rohingyas »?Il n’existe aucun groupe ethnique portant le nom de « Rohingya ». Le terme « Rohingya » est un terme étymologique bengali, qui signifie « arakanais ». Un « Rohinga » n’est rien de plus qu’un Musulman d’Arakan, un Musulman résident de l’État d’Arakan, la province occidentale de la République de l’Union du Myanmar. Le Dr. Jacques Leider, directeur de l’École Française d’Études Asiatiques en Thaïlande et expert de l’histoire de l’État d’Arakan, met ce nom si fréquemment cité en contexte:Rohnigya est un nom, pas une catégorie ethnique, qui a été ravivé de nos jours pour identifier les Musulmans d’Arakan, en tant que groupe social distinct. On pourrait éventuellement le comparer au nom donné aux Chinois musulmans du Myanmar, qui sont appelés « Panthay ».Contrairement aux affirmations de propagande des « Rohingyas », l’Islam n’a été enregistré dans l’État d’Arakan qu’à l’époque de la dynastie Mrauk-U au quinzième siècle. Jusqu’au dix-neuvième siècle, les Musulmans n’ont composé qu’une toute petite minorité de la population d’Arakan. Au 19ème siècle, le Raj britannique a déplaçé des Bengalis pour travailler dans l’État d’Arakan, en Birmanie occidentale et essentiellement bouddhiste. Les colons musulmans ont été utilisés d’une manière idoine aux colons presbytériens d’Irlande au 17ème siècle; des colons protestants et presbytériens y avaient été installés par l’état impérial britannique, ceci afin de constituer une force loyaliste locale contre les autochtones irlandais. Les conséquences de cette implantation se font toujours sentir, dans la portion de l’ancienne province irlandaise d’Ulster encore occupée par les Britanniques.Les Britanniques se sont servis des colons bengalis en Birmanie pour administrer l’État d’Arakan, au bénéfice des intérêts britanniques. Depuis lors, ils ont périodiquement perpétré des massacres de la population bouddhiste indigène de la région de l’État d’Arakan. L’historien Aye Chan écrit:L’une des causes sous-jacentes de cette violence commune était le Système de Zamindar, importé du Bengale par les Britanniques. Selon ce système, les administrateurs britanniques accordaient aux propriétaires terriens bengalis des milliers d’acres de terres arables, dotés de baux de quatre-vingt-dix-neuf ans. Les paysans d’Arakan, qui fuyaient le pouvoir birman et qui revenaient chez eux après l’annexion britannique, se retrouvèrent privés des terres dont ils avaient, par héritage, été les légataires. Les Zamindars bengalis (les propriétaires terriens) n’ont pas non plus voulu des Arakanais comme locataires sur leurs terres. Des milliers de paysans bengalis furent importés du District de Chittagong pour y cultiver la terre. (Rapport sur les Opérations de Colonisation dans le District d’Akyab 1887-1888:2, 21)Les paysans colons étaient fortement sous l’influence du mouvement « Faraizi » du Bengale, qui reposait sur des enseignements wahhabites importés d’Arabie. L’idéologie violente professait « l’installation des ikhwans ou frères dans les communautés agricoles proches des ressources aquifères. Les paysans selon leur enseignement, hors le fait de cultiver la terre doivent être prêts à prendre les armes dans une guerre sainte, à l’appel de leurs seigneurs. »Les Musulmans qui causent aujourd’hui tous les troubles sont appuyés par les Saoudiens, les Pakistanais, les Turcs et les Bangladais ainsi que par les Britanniques et les Étasuniens, qui veulent balkaniser le Myanmar riche en minéraux. Je souhaite mettre l’accent sur « Musulmans qui causent tous les troubles ». Car il s’agit d’une minorité des Musulmans dans l’État d’Arakan, qui s’efforce de mener un « djihad » pour le compte des intérêts géopolitiques occidentaux et de la « guerre contre le terrorisme » d’origine sioniste en cours, étiquetée faussement et avec euphémisme, comme étant un « choc des civilisations ».
Selon Wikileaks, la CIA pourrait prendre à distance le contrôle d’une voiture pour provoquer un accident, et donc procéder « à des assassinats presque indétectables ». Wikileaks vient de publier une énorme quantité de leaks qui révèlent comment la CIA peut accéder à tous les objets qui nous sont familiers : smartphones, TV Connectées, voitures… pour servir ses objectifs.
Si les données contenues dans les leaks publiées par Wikileaks se révèlent exactes, il y a de quoi vouloir vivre éloigné de toute technologie. On apprend ainsi que la CIA possède de nombreux exploits zero day lui permettant d’entrer dans des ordinateurs tournant sous Windows, Mac OS, diverses distributions Linux, Solaris, iOS, Android, et une kyrielle d’autres systèmes.
En outre ce qui nous a particulièrement frappé, c’est qu’à en croire ces fuites, la CIA sait également infecter le système de contrôle utilisé dans les voitures et camions récents. Wikileaks explique :
« La raison d’un tel contrôle n’est pas spécifiée, mais cela permettrait à la CIA de s’engager dans des assassinats presque indétectables »
Wikileaks : la CIA peut prendre le contrôle d’une voiture pour provoquer un accident
Outre les voitures, on apprend que la CIA saurait entrer dans n’importe quelle Smart TV de Samsung, en mode « fake-off » c’est à dire en faisant croire que la TV est éteinte, de manière à la transformer en dispositif d’espionnage. En outre, l’agence serait capable de contourner le chiffrement de WhatsApp, Signal, Telegram, Wiebo, Confide et Cloackman, « en collectant l’audio et les messages avant que le chiffrement ne soit appliqué ».
Pablo Escobar’s Son Reveals His Dad “Worked for the CIA Selling Cocaine” — Media Silent by Claire Bernish, http://thefreethoughtproject.com/ Juan Pablo Escobar Henao, son of notorious Medellín cartel drug kingpin, Pablo Escobar, now says his father “worked for the CIA.” – In a new book, “Pablo Escobar In Fraganti,” Escobar, who lives under the pseudonym, Juan Sebastián […]
Ben Ali termine en constatant que la Tunisie actuelle est un refuge pour les bandes criminelles et les services secrets étrangers. La CIA contrôle tout ce qu’elle veut. Un accord a été signé récemm…
La CIA vient de déclassifier et quelques 930.000 documents secrets datant de sa création à aujourd’hui et a rendu le tout accessible avec un moteur de recherche dédié. Parmi ces documents, on trouve des photographies de soucoupes volantes, ou plus précisément d’OVNI, et des détails sur le projet d’expériences psychiques nommés « Stargate » entre autres perles.
En 1995, Bill Clinton signait un document qui allait permettre d’accéder à une montagne d’archives secrètes datant de plus de 25 ans. « Normalement », car la CIA s’est immédiatement exécutée, mais, volontairement, on imagine, avec la pire des volontés du monde : ces archives n’étaient accessibles qu’entre 9h et 16h30 sur 4 ordinateurs d’une salle des archives nationales. Alimentant tout un tas de théories du complot…
Alors en 2014, une association américaine, Muckroach, a trainé l’agence de renseignement américaine en justice pour que celle-ci publie enfin ses « x-files ». L’association a eu le soutien de la NSA et d’un journaliste qui souhaitait lui aussi obtenir une copie de ces documents, Michael Best. Et cette année, victoire : l’agence les a enfin mis en ligne, et on peut librement les consulter avec un moteur de recherche dédié.
En tout ce sont plus de 12 millions de pages qui sont disponibles. N’espérez cependant pas y trouver de vrais secrets d’Etat : les documents ont été dument relus et expurgés de contenu trop sensible. Alors on y trouve pêle-mêle des observations d’OVNI supposés avec des photos de piètre qualité, des documents au sujet d’un tunnel secret entre Berlin Est et Ouest construit par la CIA durant la guerre, et un mystérieux programme Star Gate entre autres perles.
Ce dernier programme ne révèle pas l’existence d’une vraie porte des étoiles mais plutôt des expériences de télépathie (oui oui!). Evidemment, ce contenu est à prendre avec des pincettes, et il est important de lire les textes des documents pour vraiment comprendre ce dont il est question. On vous a mis pour le plaisir des yeux quelques photos d’OVNI d’un document faisant partie de ces fichiers.
Le même document donne à chaque fois des explications rationnelles à ces phénomènes, et montre aussi un étonnant véhicule estampillé US Air Force dont la forme évoque une soucoupe volante ! Pour naviguer dans les méandres de ces fichiers, suivez tout simplement le lien Via en bas de cet article.
Le sénateur républicain John McCain a affirmé aujourd’hui ,10 janvier 2017 ,que le piratage informatique dont la Maison-Blanche accuse Moscou était un “acte de guerre”.
Ron McCain
“Quand on tente de détruire les fondements de la démocratie, alors on détruit un pays”. John McCain est formel : la Russie a déclaré la guerre aux Etats-Unis en piratant des emails du parti démocrate pendant la campagne présidentielle.
“Je ne dis pas qu’il s’agit d’une attaque atomique”
La déclaration virulente du sénateur républicain (rapportée par l’AFP) vient entraver, au même titre que les sanctions prises par la Maison-Blanche contre des diplomates russes, les efforts de la nouvelle administration Trump pour mettre un terme définitif à l’opposition entre Moscou et Washington. Sa nuance n’y changera rien : “Je ne dis pas qu’il s’agit d’une attaque atomique, dit-il. Je dis seulement que lorsqu’on attaque la structure fondamentale d’un pays, ce qu’ils font, alors c’est un acte de guerre”.
Donald Trump, qui ne cache pas son intention de collaborer étroitement avec Vladimir Poutine, ne fait pas non plus mystère de ses doutes quant aux conclusions de l’enquête sur les piratages informatiques. Dans le mois précédant l’élection présidentielle, les emails démocrates diffusés sur le site Wikileaks avaient mis au jour les calculs politiques de Hillary Clinton et terni sa réputation.
Réunion jeudi au Sénat
Un processus qui avait déjà été entamé par le candidat républicain lui-même, qui ne cessait de rappeler les manquements de l’ancienne première dame,Hillary Clinton, lorsqu’elle était première dame. Lors d’un débat, il avait notamment menacé la démocrate de la jeter en prison s’il était élu président. Après son élection, le milliardaire a cependant mis de l’eau dans son coca en renonçant à poursuivre Clinton.
En attendant la prise de fonction de Donald Trump dans 15 jours, John McCain organise ce jeudi,12 janvier 2017, une réunion au Sénat au sujet de ces cyberattaques.
Barack Hussein Obama et Vladimir Poutine…
Obama accuse et menace la Russie
Barack Obama a annoncé hier soir que les Etats-Unis allaient prendre des mesures contre la Russie, accusée d’avoir organisé des cyberattaques pour influencer l’élection présidentielle.
Pendant que Donald Trump s’active en coulisse pour tourner définitivement la page de la guerre froide, le torchon brûle entre Washington et Moscou. La Russie aurait-elle osé d’immiscer dans la campagne présidentielle américaine pour favoriser l’élection du candidat républicain ? “Je ne pense pas que des événements aux ramifications aussi importantes ne se produisent dans le gouvernement russe sans que Vladimir Poutine ne soit au courant” a lâché hier Ben Rhodes, un proche conseiller de Barack Obama, à la télévision.
“Nous devons prendre des mesures et c’est ce que nous ferons”
Dans la foulée, le président sur le départ explique à la Radio publique nationale (NPR) qu’il sera intransigeant avec Moscou : “Je pense qu’il ne fait aucun doute que lorsqu’un quelconque gouvernement étranger essaye d’influencer l’intégrité de nos élections (…), nous devons prendre des mesures et c’est ce que nous ferons”.
Ces piratages concernent notamment la fuite de courriers de la convention démocrate ainsi que ceux de conseillers d’Hillary Clinton, qui ont occupé une part importante du débat pendant la campagne. De quelles “mesures” parle Barack Obama ?
“Monsieur Poutine est tout à fait informé de ce que je pense”
“Elles seront mises en œuvre en temps voulu et de la manière que nous aurons choisie. Certaines pourront être explicites et visibles, d’autres peut-être pas. (…) Monsieur Poutine est tout à fait informé de ce que je pense de cela parce que j’en ai parlé directement avec lui peu de temps après”.
Dans un peu plus d’un mois, Obama laissera sa place à Donald Trump, qui tient pour l’instant un discours beaucoup plus favorable à Moscou. Le milliardaire a notamment nommé l’homme d’affaires Rex Tillerson, qui connait personnellement le président russe, au poste de secrétaire d’Etat.
Trop c’est trop..!
Vladimir Poutine
Le Kremlin ne supporte plus les accusations américaines d’ingérence russe dans la campagne présidentielle américaine.
C’en est trop pour la Russie. Ce lundi, le porte-parole du Kremlin a dénoncé la “chasse aux sorcières” faite par les américains à la Russie, cette dernière étant accusée depuis plusieurs par des agences de renseignement américaines d’être intervenue dans l’élection présidentielle pour favoriser une victoire du républicain Donald Trump, au détriment de la candidate démocrate Hillary Clinton.
“Nous commençons à nous lasser sérieusement de ces accusations” a ainsi déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, ajoutant que“ces accusations sans fondement, qui ne sont en rien étayées, sont réitérées de manière non professionnelle. Nous ne savons pas sur quelle information ils s’appuient”.
EN CONCLUSION
Un coup d’état se prépare sous nos yeux
George Washington à Valley Forge ou il endura la famine et le froid avec ses hommes.
Seuls ceux qui ne suivent rien de la politique américain ou qui supportent la politique mondialiste et corrompue de la Reine des Illuminati,Hillary Clinton,vont dire ou écrire que ce que j’écris ici est faux,mais force est de constater que nous assistons à un coup de force mené par la clique de l’islamiste Barack Hussein Obama,afin de disqualifier le président-élu,Donald Trump.Le plan d’Obama consiste à faire croire que Donald Trump a été élu grâce à l’intervention de la Russie,et que,par conséquent,lui,le président en exercice ,reste au pouvoir afin de reprendre des » élections plus légales » ,du à la disqualification de Donald Trump.
…ou bien,il décrétera qu’Hillary Clinton est élue!
Et vlan pour ce qui reste de démocratie au Pays des Champions de la Liberté!
Seule une Seconde Révolution Américaine peut maintenant permettre au Peuple Américain ,de reprendre son pouvoir politique!
Il faut revenir à la base de l’esprit de Georges Washington et de Benjamin Franklin,maintenant!
Une tentative de coup d’État contre Trump menée par Clinton et la CIA Par Alexander Mercouris – Le 11 Décembre 2016 – Source The Duran / Le Saker Francophone Le dernier rapport de la CIA impliquant la Russie, pour les fuites concernant la convention démocrate et Podesta, n’est fondé sur aucune preuve. Venant quelques semaines avant […]
En effet, le FBI a commencé à regrouper, dans la base MacDill Air Force (MAFB) en Floride, 13 de ses 14 équipes spéciales renforcées (Enhanced Special Weapons and Tactics (SWAT)), qui étaient réparties dans tous les États-Unis. Là, elles viennent d’être placées sous une structure de commandement conjointe avec le commandement conjoint des opérations spéciales des forces armées américaines (US Militaries Joint Special Operations Command (JSOC)).
Le fait que le FBI ait affirmé auparavant que toutes ces allégations concernant une intervention russe dans les élections étaient manifestement fausses, n’a pas été dit aux Américains par leurs grands médias pourris.
D’autre part, Craig Murray, l’ancien ambassadeur du Royaume-Uni en Ouzbékistan, a qualifié ces affirmations de la CIA, il y a quelques heures, de conneries “bullshit”. Il a dit aussi qu’il était d’accord avec le FBI sur le fait que les Russes n’ont rien à voir avec les emails d’Hillary Clinton qui ont été divulgués.
D’ailleurs, l’un de leurs agents de fausses nouvelles est Marco Chacon, qui a créé des centaines d’articles de «fausses nouvelles» sur Trump, qui ont été diffusées sans discussion par les médias traditionnels. Il a confirmé sa méthode pour tromper facilement le peuple américain en déclarant: «C’est très facile de duper la Droite grâce à l’Internet « , sachant que, dans la terminologie américaine, Clinton représente la Gauche, et Trump, la Droite.
Plan B des comploteurs: Destituer Trump avant le 20 janvier 2017
Les Américains sont tranquillement prévenus : ils doivent se préparer à une longue et violente Guerre Civile, car une nouvelle fuite de la Maison Blanche pourrait mettre le feu aux poudres. En effet, au cas où le plan ci-dessus échoue, un plan B du coup d’état silencieux contre Trump a été concocté par Obama et consorts.Ce dernier va déclarer l’élection de Trump «illégitime» en raison des «interférences russes».
« En raison de nouvelles preuves d’ingérence de la Russie, l’élection de novembre a été « illégitime » et Donald Trump ne sera pas assermenté en tant que 45e président des États-Unis. »
Obama va prétendre déclarer une « urgence catastrophique » sur ce prétendu détournement russe de cette élection et invoquer ensuite le plan de Continuité du Gouvernement (Continuity of Government ou COG) pour rester en fonction au-delà de l’expiration de son mandat. Bien sûr, cela dépendra de la coopération de l’armée américaine et de l’application de la loi; mais ni l’armée ni la loi ne sont de son côté.
Regardez les enfants ! Cette carte vous montre pourquoi les Pères Fondateurs ont créé le Collège Électoral. Ils voulaient que notre président soit élu par les États et non par les villes.
L’agence d’espionnage des États-Unis rejette l’évaluation de la CIA sur le piratage en Russie
Alors que le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) ne conteste pas l’analyse de la CIA des opérations de piratage russes, il n’a pas approuvé leur évaluation en raison d’un manque de preuves concluantes que Moscou a l’intention d’aider Trump devant son adversaire Hillary Clinton, ont indiqué des fonctionnaires de l’ODNI, qui ont refusé d’être nommés.
La position de l’ODNI, qui surveille les 17 services de renseignement américains, pourrait donner à Trump de nouvelles munitions pour contester l’évaluation de la CIA, qu’il a rejetée comme «ridicule» dans les remarques du week-end et affirmer qu’aucune preuve n’implique la Russie cyber-attaques.
Un porte-parole de l’ODNI a refusé de commenter la question.
« L’ODNI ne prétend pas que l’agence (CIA) a tort, mais seulement qu’elle ne peut prouver son affirmation« , a déclaré un des trois responsables américains.
Le FBI, dont les normes en matière de preuve l’obligent à faire valoir des arguments devant les tribunaux, a refusé d’accepter l’analyse de la CIA – une évaluation déductive des renseignements disponibles – pour la même raison.
L’ODNI, dirigée par James Clapper, a été créée après les attentats du 11 septembre 2001 contre la recommandation de la commission chargée d’enquêter sur les attaques. La commission, qui a identifié les principaux échecs du renseignement, a recommandé la création du bureau pour améliorer la coordination entre les agences de renseignement américaines.
Moscou rejette ces accusations de la CIA
Vu de Moscou, les forces de l’ordre américaines semblent avoir du mal à trouver la vraie cause des cyberattaques survenues. Une situation qui ressemble à une répartition des pouvoirs, selon Maria Zakharova. Les différends entre les services spéciaux américains sur la question des cyberattaques, dont la Russie s’est trouvée accusée, ressemblent à une redistribution de zones d’influence, a indiqué sur sa page Facebook la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.
« Cette histoire avec le « piratage » ressemble à un règlement de comptes entre les forces de sécurité américaines pour la redistribution des pouvoirs », a écrit la représentante de la diplomatie russe. Auparavant, le bureau du directeur du Renseignement national (Office of the Director of National Intelligence, ODNI) n’avait pas soutenu la position de l’Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency, CIA) sur les cyberattaques russes soutenant le président élu Donald Trump lors de l’élection américaine.
Donald Trump avait de son côté qualifié de « ridicules » toutes déclarations sur la participation du Kremlin dans la présidentielle aux États-Unis, car Washington en avait à maintes reprises accusé la Russie sans pourtant apporter la moindre preuve.
Vladimir Poutine,avait également déclaré que les documents publiés par les hackers n’avaient rien à voir avec les intérêts de la Russie et que cette crise ne servait qu’à détourner l’attention du contenu des documents révélés.
Conclusion
Pour conclure, il est essentiel de rappeler que le dernier président américain à partir en guerre contre la CIA était John F. Kennedy, qui a juré de hacher cette agence d’espionnite maladive «en mille morceaux et de les disperser au vent». La CIA l’a abattu devant tout le monde pour montrer toute sa puissance, et pour avertir tous les présidents américains que c’est elle qui détient le pouvoir.
L’autre raison qui panique la CIA et pour laquelle elle tente de renverser Trump réside dans la crainte des mondialistes sataniques que l’Allemagne soit également prête à se retourner contre eux.
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