Comment la nouvelle route de la soie (encore en chantier) risque de bouleverser les relations entre la Chine, l’Asie centrale, la Russie et l’Europe. Un road movie géopolitique captivant. Relier l’ouest de la Chine à l’Europe grâce à un axe routier et ferroviaire long de 10 000 kilomètres, telle est l’ambition du projet de développement économique et social lancé par le président chinois Xi Jinping en 2013. À l’heure où les tensions militaires s’accumulent en mer de Chine, où les menaces nord-coréennes entraînent l’envoi d’une armada américaine en mer du Japon, il devient urgent pour Pékin d’ouvrir des voies alternatives. L’Empire du Milieu regarde donc avec insistance vers l’Asie centrale et ses abondantes ressources pétrolières mais aussi vers l’Europe, son principal partenaire économique. Des villes comme Chongquing ou Lanzhou, jusqu’alors oubliées des réformes, profitent des nouvelles infrastructures pour se développer, tout comme certaines localités du Kazakhstan. Mais cette volonté de déploiement jusqu’au bord de l’Oural, aux portes de la Russie, pourrait perturber l’alliance stratégique entre Xi Jinping et Poutine. Face à cette influence grandissante, rien ne garantit que le grand frère d’hier témoigne d’une éternelle bienveillance… Nouvel élan Étayé d’analyses de politologues, ce documentaire éclairant nous emmène le long de la nouvelle route de la soie encore en chantier. Si le film relaie le discours plein d’espérance des Chinois, enthousiasmés par la perspective d’explorer ce vaste territoire en TGV, il montre également les réactions négatives de certains habitants des steppes du Kazakhstan qui redoutent cet expansionnisme sur leurs terres.
Il y a des gens qui aiment l’isolement et la clôture. Le milliardaire juif David Geffen en fait partie. Il a posté la photo ci-dessous de son yacht sur les médias sociaux en disant « Isolé dans les Grenadines pour éviter le virus, j’espère que tout le monde est en sécurité. » C’est probablement très différent de votre confinement, et sûrement différent de la clôture imposée à une famille de cinq personnes vivant dans un bidonville, dans leur petit de deux pièces. Mais les gens très riches, eux, y sont habitués. Ils ne vont jamais à Walmart. Tout ce qu’ils achètent leur est livré. Ils voyagent en jet privé. Ils n’ont jamais serré la main d’un étranger. Ils vivent dans des résidences fermées. Ils sont naturellement auto-isolés.
Pour eux, le confinement signifie une nouvelle prospérité. Si vous en êtes à votre dernier dollar, vous serez probablement ravis d’apprendre que les milliardaires américains ont ajouté 280 milliards de dollars à leurs comptes grâce au confinement, et qu’ils en valent maintenant 3,3 trillions [1]. Ils aiment tellement le confinement qu’ils considèrent les opposants au confinement comme des tenants de la suprématie blanche et des « nazis », la pire étiquette qu’ils puissent imaginer.
L’état d’urgence sanitaire, c’est trop bon, pour ceux qui ont la responsabilité des populations. Ils s’empressent de faire adopter des règlements, s’emparent de terres, constitueent des gouvernements, créent la « nouvelle normalité », éliminent nos droits, le tout en utilisant le virus comme justification [2]. Même si la mortalité saisonnière de nombreux pays est tombée en dessous des chiffres de l’année dernière, ils nous menacent déjà d’une deuxième vague. Trop c’est trop écrivais-je il y a quinze jours, mais ce n’est toujours pas suffisant pour certains. Le monde sort lentement, trop lentement, de l’ère glaciaire du confinement, car il y a des forces qui veulent que la fête continue toujours. Quelles que soient les indications et contre-indications médicales: les objectifs sont politiques.
L’aspect médical de la crise du Corona n’est pas particulièrement impressionnant. Nous savons maintenant que le virus est parti pour rester parmi nous; aucun pays ne pourra y échapper éternellement. Avec ou sans confinement, il y a des gens qui vont mourir, mais qu’elles puissent au moins mourir en liberté. Prenons le cas du Royaume-Uni. Ils se sont précipités dans leur confinement sur les conseils du Dr Ferguson. Maintenant, ils ont plus de morts que la Suède qui n’avait pas de confinement du tout (Royaume-Uni – 384 morts par million, Suède – 244 morts par million). En outre, la Grande-Bretagne est maintenant en proie à une grave récession, la pire depuis 300 ans selon la Banque d’Angleterre, conséquence directe du confinement.
Le gouvernement britannique n’aurait pas du écouter le tristement célèbre Dr Ferguson. Il s’est trompé bien des fois auparavant, et il se trompe encore aujourd’hui. Regardez la liste de ses précédentes recommandations :
– En 2002, Ferguson a prédit 150.000 décès dus à la maladie de la vache folle, mais il n’y a eu que 177 décès.
– En 2005, Ferguson a affirmé que jusqu’à 200 millions de personnes pourraient succomber à la grippe aviaire, mais seulement 282 personnes sont mortes de la maladie dans le monde entre 2003 et 2009.
– En 2009, Ferguson et son équipe impériale ont prédit que la grippe porcine entraînerait la mort de 65.000 personnes au Royaume-Uni. Au final, la grippe porcine a tué 457 personnes au Royaume-Uni.
Pourquoi les Britanniques ont-ils choisi ce faux prophète de malheur comme guide ? Pour la même raison que d’autres pays européens sont entrés dans le maelström des fermetures, détruisant leurs propres industries et causant la détresse de millions de personnes : ils ont été convaincus ou poussés par le consortium mondial des médias libéraux, l’outil des Deep Pockets, des rapaces aux poches profondes.
Pourquoi la Suède a-t-elle refusé de se soumettre ? Ils ont eu de la chance. Les médias libéraux de Suède sont principalement concentrés dans les mains de la famille Bonnier. Ils sont extrêmement riches et puissants. Ils aiment souligner leur origine juive, au moins depuis 1944, quand ils l’ont fait pour effacer les relents de leur collaboration avec l’Allemagne nazie. Voilà à quoi ça leur sert maintenant : chaque fois qu’ils sont condamnés pour leur mainmise sur 80 % de la presse écrite suédoise, les Bonnier crient à l’antisémitisme, et les critiques se dispersent dans la honte. Rassurez-vous, les journaux et les magazines de Bonnier ont effectivement appelé au verrouillage du pays.
Seulement voilà, la presse écrite n’est pas si influente de nos jours en Suède, par rapport à la télévision. Il y a quelques années (2005-2007), les rusés Bonnier ont acheté TV4 pour quelques centimes de dollar, dans le cadre du schéma habituel des privatisations crapuleuses. L’année dernière, ils ont succombé à la cupidité et l’ont revendue à l’État (par l’intermédiaire d’une société publique) avec un bénéfice énorme. L’accord a été conclu en décembre 2019. Et soudain, la crise du virus a surpris les médias libéraux sans qu’ils aient à disposition leur propre chaîne de télévision ; et l’État a vaincu la presse écrite en utilisant le pouvoir de TV4. C’est la raison principale pour laquelle la Suède a réussi à s’en tenir à son modèle libre de lutte contre les maladies, sans confinement.
Cela n’a pas été facile ; la pression sur la Suède était exceptionnellement forte. Les médias main stream ont publié des milliers d’articles dans lesquels ils prédisaient que les Suédois allaient mourir en masse à cause du virus. Les Suédois ont été vilipendés pour avoir sacrifié leurs personnes âgées. Rien de tout cela n’était vrai, mais depuis quand la vérité interfère-t-elle avec la machinerie de la propagande ? Aujourd’hui, alors que les voisins de la Suède commencent tardivement à ouvrir leurs écoles, on peut dire que la Suède a fait le bon choix. Même la stricte OMS l’a admis : « La Suède représente un modèle d’avenir… si nous voulons revenir à une société dans laquelle nous n’ayons pas d’enfermement« . Même le principal journal libéral israélien Haaretz a publié un long article du virologiste Eyal Shahar, intitulé « La Suède prouve que le monde a fait fausse route ». Il faut garder à l’esprit qu’Israël a connu un confinement très strict. Même le New York Times a publié un article de Tom Friedman suggérant que nous aurions dû suivre le modèle suédois.
Les experts suédois pensent qu’il n’y a pas d’autre moyen de vaincre le virus : il faut s’habituer à vivre avec pour longtemps, comme nous vivons avec d’autres virus. Le confinement est inacceptable quelle qu’en soit la durée; il ne peut que retarder votre rencontre avec le virus, à moins que vous ne puissiez vous retirer de la société comme Howard Hughes. Nous devons donc continuer à vivre sans avoir recours à des extrêmités telles que le confinement.
Cependant, au Royaume-Uni, comme aux États-Unis, les médias libéraux sont tout-puissants. Ils appartiennent aux « Poches profondes » qui sont tout aussi puissantes que l’État profond. La destruction des économies, le chômage et la récession sont tous des facteurs positifs pour les Poches profondes. Les gouvernements seront contraints d’emprunter ou de vendre des actifs, et les rapaces sont prompts à prêter de l’argent et à acheter des actifs. Partout dans le monde, cette récession provoquée artificiellement va enfoncer les États et les citoyens dans l’endettement, et pendant des années, ils rembourseront l’argent emprunté avec intérêts et intérêts composés aux Deep Pockets anglo-américains.
Il y avait un homme qui aurait pu faire échouer ce projet au Royaume-Uni ; il s’appelait Jeremy Corbyn, mais, comme vous le savez, il a perdu la direction de son parti travailliste suite à des accusations d’antisémitisme [5]. Et le Premier ministre actuel, M. Johnson, a accepté le verrouillage de l’accès à l’information exigé par les Deep Pockets.
Maintenant, le pic du virus est pratiquement passé, comme d’habitude pour les maladies saisonnières. Cependant, les tests se poursuivent sans relâche, pour provoquer une auto-réalisation. Plus vous effectuerez de tests, plus vous découvrirez de porteurs de virus. Ce n’est pas très important, ni pertinent d’ailleurs : la Suède a échappé aux tests de masse. Mais en confondant les termes « infecté », « porteur » et « malade », les adeptes de la quarantaine peuvent affirmer que la pandémie continue de se propager. Pour améliorer leurs scores, ils fournissent des tests pré-infectés. Sachez, pour commencer, que de nombreux kits de test se sont révélés avoir été infectés par le virus corona.
Oui, en Tanzanie, ils ont décidé de tester les tests sur une chèvre, un agneau et une papaye. Il s’est avéré que la chèvre et la papaye souffraient du coronavirus, selon les tests. Cette histoire anecdotique montre que grâce aux tests, on peut prolonger les confinements indéfiniment.
Aux États-Unis, les Deep Pockets et le Deep State sont unis dans leur rêve de détrôner le président Trump. Ils ont échoué avec leur RussiaGate, ils ont échoué avec leur tentative de destitution, et le COVID est leur dernier espoir. Ils clament qu’il n’a pas réussi à sauver les États-Unis du virus, que tous les décès à New York sont de sa faute. Un éditorial du Boston Globe a déclaré que Trump a « du sang sur les mains » à cause du coronavirus. Comme ces campagnes médiatiques laissent de marbre l’électorat, ils ont l’intention de nuire à l’économie en prolongeant le confinement, pour faire en sorte que même les Sans-dents (les « déplorables ») refusent de voter pour Trump lors des prochaines élections de novembre.
Aux États-Unis, la bataille pour la levée du confinement ou son maintien est essentiellement une bataille pour ou contre Trump, bien que les deux parties utilisent des arguments quasi médicaux. Un observateur de la politique terrienne basé sur Mars pourrait supposer que les libéraux voudraient l’ouverture, alors que les conservateurs préféreraient maintenir le confinement. En pratique, c’est l’inverse. Les libéraux veulent que le verrouillage dure pour toujours. Il est évident que les libéraux représentent l’élite riche et les cols blancs de la nouvelle économie ; ils peuvent travailler à domicile, ils ne perdent ni argent ni emploi tant que dure la quarantaine. Les « déplorables », eux risquent fort de se retrouver sur la paille.
Une solution, ce pourrait être la rupture de l’Union. Il n’y a plus de raison pour que New York et le Dakota du Nord, le Kansas et Washington restent unis, car ils ont des tendances et des aspirations très différentes et antagonistes. Certains États libéraux aimeraient rester dans leur rêve de confinement à jamais ; d’autres préféreraient se libérer du joug fédéral. Cette solution, certains y pensent depuis longtemps : Le New York Times a, un jour, demandé à ses lecteurs : « Comment aimeriez-vous vivre dans la nouvelle nation de Nouvelle-Angleterre ? tandis que Californiens et Texans jouent périodiquement avec l’idée de l’indépendance. Si Trump gagne en novembre, les libéraux risquent de se diviser ; si Trump perd, les États rouges pourraient faire sécession. Une telle rupture serait une bonne solution pour les Américains des deux côtés, et ce serait une très bonne solution pour l’humanité en général car elle manifesterait l’effondrement des rêves de Tour de Babel des mondialistes.
Alexandre Loukachenko
Dans l’ancienne URSS, le Belarus et son président de tous les défis, M. Loukachenko, ont fait preuve d’une grande indépendance. Ce pays plutôt petit de dix millions d’habitants a suivi le modèle suédois avec de très bons résultats : 13 morts par million contre 21 par million chez son voisin, la Pologne verrouillée. Le Belarus a célébré Pâques avec ses églises ouvertes, et ils ont commémoré le jour de la Victoire en Europe, avec la seule parade militaire de tout l’espace post-soviétique. Prudent, M. Poutine a autorisé la fermeture des églises à Pâques et a annulé la parade militaire – son événement favori depuis vingt ans. La prudence est une bonne qualité chez un dirigeant, mais l’audace est plus excitante et porteuse.
En Russie, c’est le maire de Moscou, Sergey Sobyanin, qui a mené la campagne de bouclage. Ses mesures strictes n’ont pas été reproduites ailleurs en Russie, malgré ses admonestations. À Moscou, il faut un laissez-passer avec un code QR pour quitter son domicile et utiliser les transports publics. Vous n’êtes pas autorisé à vous promener dans la forêt « pour prévenir les incendies ». Une personne de plus de 65 ans n’est pas autorisée à sortir du tout « pour prévenir les infections », comme si elle n’avait pas plus de chances de mourir par manque d’air frais et d’exercice dans son minuscule logis de l’époque soviétique. Les familles ne sont pas autorisées à se promener avec leurs enfants, mais les travailleurs invités d’Asie centrale sont autorisés à travailler dans la construction et ailleurs. (Heureusement, la rigueur des lois russes est atténuée par une faiblesse chronique dans leur application, comme l’avait souligné l’auteur russe Shchedrin il y a 150 ans).
Sobyanin utilise également le verrouillage pour son propre profit : sautant par-dessus les consultations avec les citoyens, il a accéléré une grande vague d’expropriation et de privatisation de terres communales auparavant utilisées à des fins récréatives. Il est si actif dans l’extension des restrictions que de nombreux Russes soupçonnent qu’il espère remplacer Poutine à la tête de l’État. (Poutine a autorisé les maires et les gouverneurs à décider par eux-mêmes comment et quand lever les restrictions). Les Russes qui ont l’esprit conspirationniste pensent que Poutine a déjà perdu son pouvoir, ce qui est quand même loin d’être vrai. Peut-être que les Moscovites ont tenté de protester, mais le verrouillage rend cela impossible à la grande satisfaction des responsables en poste.
C’est vrai pour d’autres pays également. Comme entre les cow-boys et les Indiens, nous nous sommes battus férocement, en grinçant des dents et en nous égratignant jusqu’à ce que la nounou intervienne et impose la paix aux nations en guerre de notre jardin d’enfants. Avez-vous remarqué qu’avec la crise du Corona, la culture actuelle des révolutions a disparu comme par magie ? Les Gilets Jaunes ne défilent plus à Paris, les révolutionnaires de Hong Kong ne cassent plus les distributeurs automatiques. À Beyrouth, la forte vague révolutionnaire s’est éteinte. En Afrique du Sud, le gouvernement a interdit l’alcool et le tabac, mais grâce au confinement, il n’y a pas de protestations. En Angleterre, la police a interrompu une manifestation pacifique en faveur de Julian Assange, parce que contraire aux règles de la quarantaine. C’est une incitation supplémentaire à faire durer la crise du virus, pour les dirigeants.
Au-delà de ces considérations pratiques et politiques, le confinement conduit à un nouveau style de vie, à une « nouvelle normalité ». Plus le verrouillage dure longtemps, plus cette solution finale a des chances de se concrétiser.
Maintenant on entrevoit le plan, tel que tracé par les Deep Pockets.
Nous enfermer dans des cellules individuelles, communiquant par le biais de l’électronique. Ensemble et seuls à la fois. Pas de mariage, pas de famille, pas de religion. Juste la télévision, le chat en ligne et le porno gratuit. Toute chose emballée dans du plastique. Le rationnement, la privatisation et les Ausweiss mettront fin à l’encombrement des rues et des parcs. Chaque conducteur sera suivi, les rations attribuées seront vérifiées, les permis contrôlés, la situation professionnelle scrutée, les opinions politiques vérifiées, le casier judiciaire régulièrement vérifié, l’utilisation du temps libre dûment contrôlée et revérifiée en temps réel. Les abus seront notés et affecteront le budget mensuel pour le rationnement du conducteur. La présence de la police sera généralement invisible, car elle compte sur les frais et les amendes pour maintenir l’ordre. Même pour faire du vélo il faudra être propriétaire enregistré, avec une assurance, un permis et un dispositif de repérage.
Finis les déplacements, pour nous. Les gens très riches retrouveront leur possession solitaire de Venise, de la Côte d’Azur, et de toutes les autres destinations d’élite si inopinément gâchées par le tourisme de masse. À nouveau, les beaux sites vont retrouver leur enchantement du XIXème siècle. Voyager est un luxe, et les gens ordinaires ne méritent pas le luxe. Ils ont essayé de nous en tenir à l’écart en rendant les voyages aussi désagréables que possible avec les fouilles corporelles, mais cela n’a pas suffi.
Si cette pandémie mondiale ne nous arrête pas, ils vont tout simplement nous couper les vivres.
Vous aimeriez, vous, que des hordes d’Allemands ivres, d’Indiens arrivistes et de Chinois impénétrables envahissent vos plages préférées et vos refuges de montagne cachés ? Les riches non plus, et ce sont eux qui font les règles. Nous aurons besoin d’un visa et d’un permis pour aller partout, et nos déclarations d’impôts devront justifier pleinement nos dépenses. Et si vous n’êtes pas assez riche, on vous refusera un visa, même si vous avez économisé pour des vacances à l’étranger comme le font les élites.
Cette tendance existe aussi en Russie.
Les Russes ont cessé de délivrer des passeports et ont fermé les frontières. Un citoyen russe ne peut plus du tout aller à l’étranger ; les bi-nationaux et les étrangers peuvent partir mais ils ne peuvent pas revenir. La porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Mme Zakharova, a déclaré dans une interview que les voyages à l’étranger étaient réservés aux personnes riches et bien informées, et non aux gens ordinaires qui ont du souci à se faire avec leur prêt hypothécaire (elle a ensuite affirmé qu’elle avait été mal comprise). Pour le moment, cette ambition n’est pas très pertinente, parce que la majorité des destinations est fermée à la circulation. On n’est même pas autorisé à traverser le pont entre la Suède et le Danemark. On va voir si ça continue…
Nous sommes maintenant à une croisée des chemins historique.
Le choix est ouvert, et il peut aller dans plusieurs sens en fonction des efforts que nous ferons aujourd’hui. Nous pouvons finir comme des non-entités plastifiées, contrôlées, numérisées ; nous pourrions devenir des cobayes pour les expériences de Bill Gates sur les vaccins ; nous pourrions flamber dans un holocauste nucléaire, mais nous pouvons aussi devenir des personnes libres. Il existe de nombreuses façons d’être libre, et la chose la plus importante pour nous est probablement de préserver la pluralité des choix. Ne pas succomber à l’Empire, rester libre. Des États nombreux, des cultures diverses, c’est important et nécessaire pour la planète Terre, tout comme plusieurs compartiments sont indispensables, pour un sous-marin. Tant que cette variété sera préservée, nous serons libres de comparer et de décider ce qui est le mieux pour nous. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier.
La question de la foi – ne lisez pas ce qui suit si la religion vous agace.
Au-delà des faits et des affirmations scientifiques, il y a le point de vue religieux. La première victime du bouclage a été l’Église. Partout où le pays était cadenassé, les églises l’ont été aussi. Même lorsque les magasins et les usines ont été rouverts, les églises sont restées fermées. Les princes de l’Église ont collaboré à la fermeture universelle. Le pape de Rome a célébré Pâques seul à Saint-Pierre, les patriarches de Moscou, de Constantinople et de Jérusalem ont célébré leurs Pâques sans fidèles. Les musulmans font de même : La Mecque est fermée, Médine est fermée, Al Aqsa de Jérusalem est fermée. Les fêtes de Pâques et le Ramadan se sont passées sans les gens, comme si le service divin était juste aussi important que le baseball…
C’est probablement le plus grand succès de Satan depuis la Crucifixion. C’est la grande apostasie, comme cela avait été prophétisé. Nous ne pouvons pas encore mesurer le résultat de ce méga-événement, mais certaines des personnes qui se cachent derrière le confinement en sont certainement conscientes. Ce n’est pas une coïncidence si Bill Gates a choisi le numéro 666 pour son brevet, qu’il a demandé de tamponner (tatouer) tous les hommes avec un sceau invisible, comme le suggérait la prophétie.[6]
Mais nous ne sommes pas réduits à l’impuissance. Le Ministère de la justice a été mobilisé par le président Trump pour soutenir l’ouverture des églises. Les églises et les fidèles sont dociles, tandis que ses ennemis sont effrontés. Les fidèles devraient être plus insistants, à moins que nous n’acceptions que notre foi disparaisse ou prenne une place très modeste à côté d’autres divertissements. Les exemples de l’Église de Suède et de l’Église du Belarus prouvent qu’il était possible d’observer Pâques. C’est notre faute si cela ne s’est pas fait partout.
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L’enfermement des gens dans leur maison, l’interdiction du rapprochement, la promotion de la pornographie, sont autant d’attaques intentionnelles contre un pilier très important de l’humanité et de sa relation avec Dieu. Il faut en finir avec ces attaques le plus rapidement possible afin que nos fils et nos filles puissent à nouveau s’élancer vers leurs bien-aimés.
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Donald Trump et Mike Pompeo…les agresseurs agressés dans leurs retranchements!
L’opération de guerre biologique dite Covid 19 menée par les USA à l’encontre de la Chine est un fiasco total et va même accélérer la défaite de l’Occident face à la Chine.
Cette opération de guerre biologique US « Covid 19 » visait à mettre à bas l’économie chinoise par la dissémination en Chine d’un virus hybride d’autres virus, faiblement létal, similaire celui de la grippe mais doté d’un très puissant pouvoir de propagation, et en conséquence d’invalidation de l’activité économique et globalement sociale. Les chinois ont su immédiatement juguler le virus. Il s’est quasi immédiatement disséminé en Occident en raison des échanges aériens incessants entre la Chine et l’Occident. Les occidentaux n’ont pas su eux le juguler. Le résultat obtenu par les USA est à l’inverse de celui qu’ils avaient espéré, qui était l’affaiblissement de l’économie chinoise. Cela a abouti au contraire à son renforcement puisque la Chine est incomparablement moins atteinte que l’Occident.
Il est probable que d’autres vagues de virus devaient suivre pour finir d’anéantir la Chine.
Il est aussi probable que les USA réitéreront cette opération de guerre biologique.
Cette affaire en dit long sur la qualité intellectuelle des services secrets US et sans aucun doute israéliens qui ont conçu et mis en œuvre cette lamentable affaire.
Elle révèle bien avant terme qui sera le gagnant final de l’affrontement entre l’Occident et la Chine.
Plusieurs athlètes français ont révélé ces derniers jours avoir souffert des symptômes du Covid-19 suite aux Jeux militaires qui ont eu lieu en octobre dernier. Cette compétition, à laquelle ont pris part plus de 400 sportifs tricolores, s’était déroulée à Wuhan, l’épicentre chinois de la pandémie. La médaillée olympique Elodie Clouvel pense sans équivoque avoir « déjà eu le coronavirus », ainsi que son partenaire, le pentathlète Valentin Belaud. La polémique ne cesse de prendre de l’ampleur.
Elodie Clouvel and Valentin Belaud (R), respectively world vice-champion and world champion in modern pentathlon, pose during a training session of the French team in Font-Romeu, on June 14, 2016 ahead of the Rio Olympics. (Photo by RAYMOND ROIG / AFP)
Le coronavirus pourrait avoir frappé sans prévenir plus tôt que prévu. De nombreux témoignages et indices incriminent la tenue des Jeux militaires en Chine, à Wuhan -premier foyer mondial du Covid-19- comme possible vecteur de contamination. Plusieurs athlètes français ont ainsi exprimé avoir souffert des mêmes symptômes que ceux du Covid-19 après leur participation à la compétition organisée en octobre dernier. Près de 400 Tricolores ont pris part à ces Jeux, parmi les 10.000 sportifs présents dans ce qui s’est avéré être le point de départ de la pandémie qui touche le monde entier depuis plusieurs mois.
D’hypothèses en bruits de couloir, l’affaire est devenue une onde de choc, qui pourrait sérieusement remettre en question la date de la première contamination au virus jusque-là estimée au 17 novembre 2019 en Chine, et au 27 décembre en France. La championne du monde et vice-championne olympique de pentathlon Elodie Clouvel est ainsi persuadée d’avoir contracté le Covid-19 aux Jeux mondiaux militaires. Interrogée par la chaîne locale Télévision Loire 7 le 25 mars dernier, celle qui a décroché l’or durant ces Jeux assurait ne pas craindre de devoir se rendre à nouveau en Asie pour les Jeux Olympiques de Tokyo, puisqu’elle et son compagnon (le pentathlète Valentin Belaud) avaient déjà été contaminés. « On était à Wuhan et après, on est tous tombés malades. Valentin a loupé trois jours d’entraînement. C’était très bizarre, moi aussi, j’ai eu des trucs que je n’avais pas eus avant. On ne s’est pas plus inquiété que ça parce qu’on n’en parlait pas encore.«
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Un autre athlète militaire français sous couvert d’anonymat a confirmé à BFM TV être également tombé malade (fièvre, courbatures importantes) et avoir dû être alité pendant trois jours à son retour de Chine. « On a eu un contact avec le médecin militaire qui nous a dit, ‘Je pense que vous l’avez eu parce qu’il y a beaucoup de gens de cette délégation qui ont été malades »‘ relate Elodie Clouvel. Selon BFM TV, aucun sportif français n’a été testé après Wuhan, et il n’est pas prévu qu’ils le soient à l’avenir. « On nous dit : ‘il n’y a pas de risque, vous êtes repartis le 28 octobre et le virus est arrivé le 1er novembre’« , précise un autre athlète anonyme au Parisien. Au ministère des Armées, on a été demandé aux athlètes de ne pas répondre aux questions sur ce sujet avant de transmettre un communiqué sur la santé des membres de l’équipe de France militaire. « Il n’y a pas eu, au sein de la délégation française des Jeux militaires mondiaux, de cas déclarés auprès du Service de santé des armées de grippes ou d’hospitalisation pendant et au retour des JMME, pouvant s’apparenter, à postériori, à des cas de Covid-19« , a réagi le ministère des Armées, qui ne précise pas si Elodie Clouvel a été ou non en contact avec des médecins militaires pour être testée ou comparer ses symptômes de l’époque avec ceux du nouveau coronavirus. « La délégation française a bénéficié d’un suivi médical, avant et pendant les jeux, avec une équipe médicale dédiée composée de près d’une vingtaine de personnels« , souligne encore le ministère, en rappelant que « lorsque les Jeux mondiaux militaires d’été (JMME) se sont déroulés du 18 au 27 octobre 2019, à Wuhan en Chine, l’épidémie liée au Covid-19 n’était alors pas connue » et que « le premier cas de Covid-19 n’a été rapporté par la Chine à l’OMS, que le 31 décembre 2019« . Inquiétudes également à l’étranger L’affaire ne pose pas question seulement dans l’Hexagone. Aux États-Unis, la thèse d’une arrivée du virus sur le territoire par sa délégation militaire au retour des Jeux a déjà fait surface [1]. Cette thèse avait été étayée notamment par les propos du porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, qui avait expliqué entre les lignes d’un Tweet que le Covid-19 avait pu avoir être amené sur le sol américain par l’équipe militaire ayant pris part au rassemblement de Wuhan. Au Luxembourg ou en Suède, d’autres exemples de sportifs malades ont fait surface ces derniers jours. « Mais aucune des personnes testées n’a donné de résultat positif » au Covid-19 martèle le service de communication des forces armées suédoises.
[1] Contrairement à ce que dit l’article ci-dessus, ce sont les faux athlètes américains qui ont introduit le Covid en Chine.
Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine (13 mars 2020) :
Le journal chinois Global Times a rendu public aujourd’hui le nom du sergent d’état-major Maatje Benassi, une cycliste professionnelle (femme d’origine néerlandaise) qui a participé aux jeux de Wuhan et qui, selon le Global Times, s’est révélé positif pour COVID-19.
Voici donc l’Américaine qui a participé à la diffusion délibérée du COVID à Wuhan. Elle est également «chauffeur diplomatique armé» ayant des antécédents de liens avec des opérations de renseignement impliquant des personnalités clés du canular RussiaGate.
L’attaque biologique au coronavirus contre la Chine a été révélée par un officier dénonciateur britannique en 2010 (14/03/2020) :
« …. Par la suite, ou simultanément, des armes biologiques seraient utilisées contre la population chinoise. Cela déclencherait alors une autre chaîne d’événements qui ferait s’effondrer toute l’infrastructure politique et sociale chinoise. Cela a été mentionné comme suit: Maladie, suivie de pénuries alimentaires généralisées, suivie d’une famine de masse. […] Les agents biologiques étaient décrits comme ressemblant à la grippe et se propageaient comme un feu de forêt. Cela me choque et me rend malade de décrire ces événements. Cela me choque encore plus de savoir que des événements plausibles sont manipulés pour provoquer l’extinction de toute une partie de la race humaine. »
Coronavirus. Après la Chine, les soldats américains infestent l’Europe, le Japon, la Corée du Sud, etc. (16/03/2020) :
Nous avons vu que les Chinois ont accusé les Américains d’avoir introduit l’arme biologique Covid-19 lors des jeux militaires de Wuhan. On constate aujourd’hui que les principaux foyers de contamination en Europe, au Japon, en Corée du Sud, et ailleurs se situent à proximité immédiate des grandes bases militaires américaines. Cela confirmerait que l’Otan n’est rien d’autre que l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord.
CONFIRME. Les USA ont introduit le COVID-19 en Chine à l’occasion des « Jeux Militaires » de Wuhan (26/03/2020) :
En octobre 2019, les États-Unis ont amené 172 (en réalité 369) « athlètes » militaires à Wuhan pour les Jeux militaires mondiaux. Bien qu’ils aient la « plus grande armée au monde », les États-Unis se sont classés 35e derrière des pays comme l’Iran, la Tunisie, la Finlande ou la Slovénie. Il n’y a pas de vidéo ou de photos de l’équipe américaine, aucun dossier n’a été conservé.
Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
Le journal chinois Global Times a rendu public aujourd’hui le nom du sergent d’état-major Maatje Benassi, une cycliste professionnelle (femme d’origine néerlandaise) qui a participé aux jeux de Wuhan et qui, selon le Global Times, s’est révélé positif pour COVID-19.
Voici donc l’Américaine qui a participé à la diffusion délibérée du COVID à Wuhan. Elle est également «chauffeur diplomatique armé» ayant des antécédents de liens avec des opérations de renseignement impliquant des personnalités clés du canular RussiaGate.
Benassi était chauffeur pour le général James Jones, de ShadowNet, (George Webb) et a travaillé pour le renseignement de l’armée américaine. ShadowNet et Psy-Group ainsi que Cambridge Analytica faisaient partie de l’enquête Mueller, cherchant des informations sur leurs relations avec Paul Manafort (emprisonné) et Donald Trump Jr. (pas encore emprisonné).
D’autres allégations disent que 67 militaires américains sont morts il y a une semaine, mais cela provient d’une source médicale / diplomatique à Moscou et n’est pas confirmé.
La Chine demande aux États-Unis de divulguer des informations sur le nombre de militaires américains qui ont quitté Wuhan (369 étaient là) et qui ont été testés positifs. Notez que beaucoup auraient pu être infectés dans l’avion de retour de Chine… Jim W. Dean ———————————-
Première publication… 25 mars 2020 –
Les internautes et experts chinois exhortent les autorités américaines à divulguer les informations sur la santé et les infections de la délégation militaire américaine qui est venue à Wuhan pour les Jeux mondiaux militaires en octobre pour mettre fin à la conjecture selon laquelle le personnel militaire américain aurait introduit la COVID-19 en Chine.
Un journaliste américain a affirmé qu’un athlète militaire américain dans la délégation pourrait être le « patient zéro » de la nouvelle maladie mortelle.
George Webb, un journaliste d’investigation à Washington, DC, a affirmé dans des vidéos et des tweets récents qu’il pensait que Maatje Benassi, un chauffeur diplomatique armé et cycliste qui était à Wuhan en octobre pour la compétition de cyclisme aux Jeux mondiaux militaires, pourrait être « patient zéro » de COVID-19 à Wuhan.
[Selon] un rapport du site officiel du département américain de la Défense du 25 octobre, Maatje Benassi a participé à une course cycliste sur route de 50 milles à Wuhan.
Webb a également cité un laboratoire militaire, le laboratoire de Fort Detrick , qui traite des organismes pathogènes de haut niveau tels qu’Ebola , à Fredrick, Maryland, qui a été fermé et déplacé en juillet en raison d’installations et d’un système de gestion non qualifiés.
Benny Benassi is stuck at home this season.
dancingastronaut.com
Les politiciens américains soutiennent que le nouveau coronavirus est «fabriqué en Chine», tandis que les scientifiques mondiaux, y compris ceux des États-Unis, n’ont trouvé aucune preuve solide pour prouver l’origine du virus. Compte tenu de cette situation, il est important de détecter tout point suspect dans la délégation américaine aux jeux de Wuhan dans ce scénario, et de savoir ce qui s’est réellement passé, a déclaré Li.
COVID-19, une maladie mortelle causée par le nouveau coronavirus, a infecté plus de 330.000 personnes dans le monde et en a tué plus de 14.000.
L’identification de l’origine aidera à développer une thérapie efficace contre la maladie. Les États-Unis devraient fournir des informations sur les membres de la délégation pour soutenir les recherches connexes, a déclaré Li.
Plus tôt en mars, Zhao Lijian, un diplomate chinois franc, soupçonne, sur son compte Twitter personnel, que ce pouvaient être les représentants de l’armée américaine aux Jeux mondiaux militaires qui avaient amené le nouveau coronavirus à Wuhan en octobre 2019, après qu’un haut responsable américain de la santé a admis avoir détecté des infections à coronavirus sur certains patients décédés de la grippe.
Zhao a exhorté les États-Unis à divulguer de plus amples informations, à faire preuve de transparence sur les cas de coronavirus et à fournir une explication au public. —————————————–
Une femme américaine termine 8e malgré un accident dans une course sur route de 50 miles à vélo
Par Gary Sheftick, Army News Service, 24 octobre 2019
WUHAN, Chine – Un coup par derrière dans le dernier tour a peut-être anéanti les espoirs des forces armées américaines pour l’or dans le cyclisme féminin, mais des côtes meurtries et un casque fissuré n’ont pas empêché le Sgt. 1re classe Maatje Benassi de franchir la ligne d’arrivée.
Benassi a mené le peloton pendant une grande partie du troisième et du quatrième tours des 50 milles et cinq tours sur route dimanche lors de la deuxième journée de compétition cycliste des Jeux mondiaux militaires du CISM. Elle était retombée au repêchage depuis un moment et commençait à peine sa dernière poussée lorsque le crash s’est produit.
« Mon plan était de monter sur la gauche« , a expliqué Benassi. Deux virages à droite plus larges approchaient avant l’arrivée « et donc si vous vous déplacez sur la gauche, vous n’avez pas besoin de freiner; vous pouvez porter tout cet élan – cette vitesse – dans le virage. «
Le CISM, ou International Military Sports Council, organise les Jeux tous les quatre ans, avec plus de 100 nations participant à 32 sports. Le conseil est désigné par son acronyme français, CISM, parce que le français est sa langue fondatrice.
Alors que le peloton approchait de la marque des 2 kilomètres depuis l’arrivée, «il y avait beaucoup de mouvement en cours», a-t-elle déclaré. « C’est devenu très flou. »
Quand elle est allée à pleine vitesse dans le virage à droite, elle a repéré un maillot blanc remonté par derrière. Le pneu avant de cette concurrente a heurté sa roue arrière, la faisant tomber.
Sa tête a touché le sol et elle a entendu un déclic « et je savais que j’avais cassé le casque à ce moment-là« , a-t-elle déclaré. «Ma première réaction a été:« Je ne pouvais pas respirer ».» L’impact lui a littéralement coupé le souffle. « Je devais juste reprendre mon souffle, mais ça ne vienait pas. »
Un homme portant un masque de protection passe devant une fresque murale à l’hopital Leishenshan qui a soigné des malades du coronavirus, à Wuhan (centre de la Chine) le 11 avril 2020
Un nombre de morts qui s’alourdit brutalement de près de 40%: le bilan chinois du coronavirus compte depuis vendredi près de 1.300 décès supplémentaires, alors même que les critiques s’accumulent à Paris, Londres et Washington envers la gestion de l’épidémie par Pékin.
Un membre des services de santé se prépare à vérifier la température d’un photojournaliste de l’AFP, devant un centre de tests pour le coronavirus à Wuhan (centre de la Chine) le 16 avril 2020
La ville de Wuhan (centre de la Chine), où le virus est apparu fin 2019, a révisé à la hausse sa totalisation du nombre des victimes du Covid-19, annonçant 1.290 décès supplémentaires.
Une passante au visage couvert d’un masque de protection contre le coronavirus, à Wuhan (centre de la Chine) le 13 avril 2020
Ce nouveau décompte porte à 4.632 le bilan des décès enregistrés dans le pays le plus peuplé du monde, trois mois après l’annonce d’un premier mort du coronavirus le 11 janvier.
Dans un communiqué, la ville mise en quarantaine de fin janvier à début avril a expliqué qu’au plus fort de l’épidémie, certains patients étaient décédés chez eux faute de pouvoir être pris en charge par les hôpitaux.
Ils n’avaient donc pas été comptabilisés jusqu’à présent dans les statistiques officielles, qui ne prennent en compte que les personnes décédées à l’hôpital.
Commentant ces chiffres et les doutes venus de l’étranger quant à la maîtrise de l’épidémie sur le sol chinois, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a reconnu « des retards, des omissions et des imprécisions » dans l’enregistrement des décès. Mais il a démenti toute « dissimulation » de la part de Pékin.
Un passager portant un masque de protection contre le coronavirus attend devant une entrée de l’aéroport de Tianhe à Wuhan (centre de la Chine), le 11 avril 2020
« Questions difficiles »
Le pouvoir chinois affirme avoir largement endigué l’épidémie mais, à l’étranger, de nombreuses voix mettent en doute le bilan des autorités.
Le président français Emmanuel Macron a ainsi estimé jeudi qu’il existait des zones d’ombre dans la gestion de l’épidémie par la Chine, déclarant au quotidien Financial Times qu’il y avait « manifestement des choses qui se sont passées qu’on ne sait pas ».
Une femme lance des bulles de savon en jouant avec son fils près du lac de l’Est à Wuhan (centre de la Chine), le 12 avril 2020
Le Royaume-Uni, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Dominic Raab, a averti Pékin qu’il devrait répondre à des « questions difficiles sur l’apparition du virus, et pourquoi il n’a pas été stoppé plus tôt ».
L’administration américaine accuse de son côté depuis des semaines le régime communiste d’avoir « dissimulé » la gravité de l’épidémie.
Transparence totale
La révision annoncée vendredi reste très en-deçà de certaines estimations qui circulent en Occident, relève le sinologue Jean-Pierre Cabestan, de l’Université baptiste de Hong Kong.
Elle ne suffira pas « à juguler les doutes dans le reste du monde à l’égard des chiffres chinois », ajoute-t-il, notant que le bilan affiché par Pékin est largement inférieur à celui des pays européens, pourtant beaucoup moins peuplés.
Si Wuhan et sa province, le Hubei, ont été placées en quarantaine à partir du 23 janvier, des milliers de personnes potentiellement contaminées ont pu se répandre dans le reste du pays avant cette date, souligne le sinologue.
Quant à l’armée, largement mobilisée à Wuhan pour combattre le virus, elle ne compte officiellement aucun cas de contamination dans ses rangs, s’étonne-t-il.
En relevant le bilan, le régime cherche « à projeter une image de transparence totale », relève le sinologue Willy Lam, de l’Université chinoise de Hong Kong. Mais la totalisation pourrait s’envoler si toutes les provinces révisent à leur tour leurs bilans, prévoit-il.
Dents de scie
Avec un système politique qui pousse à cacher les mauvaises nouvelles, les autorités locales ont dans un premier temps tenté d’étouffer l’information.
Des médecins qui avaient alerté leur entourage ont été convoqués par la police. L’un d’entre eux, le docteur Li Wenliang, décédé du Covid-19 début février, fait désormais figure de héros national.
La comptabilisation des cas de contamination a depuis évolué en dents de scie. Mi-février, elle a brusquement augmenté de 15.000, lorsque les autorités du Hubei ont décidé d’inclure les malades dépistés « cliniquement », par exemple via une radio des poumons.
Mais ces patients ont finalement été retirés des statistiques à la fin du même mois.
Plus récemment, le ministère de la Santé a commencé à dénombrer les porteurs asymptomatiques du virus, à savoir ceux qui sont contaminés sans être malades.
Sur les réseaux sociaux, la plupart des commentateurs saluaient la révision des statistiques, avec parfois une pointe d’insolence en direction du pouvoir: « on dirait que vous ressentez la pression de l’étranger, non? Pas facile d’embrouiller tout le monde avec cette épidémie… Il vaudrait mieux être honnête ».
Le président américain Donald Trump a annoncé mardi qu’il suspendait la contribution des États-Unis à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en raison de sa « mauvaise gestion » de la pandémie de COVID-19.
«Le monde a reçu plein de fausses informations sur la transmission et la mortalité de la COVID-19», a-t-il ajouté, dans un long réquisitoire contre cette agence de l’ONU.
Donald Trump hier.
Les États-Unis sont le premier contributeur de cette agence sanitaire, dont le siège est à Genève.
Le président républicain a évoqué une étude très approfondie qui pourrait durer de 60 à 90 jours.
Soulignant que les États-Unis contribuaient à hauteur de 400 à 500 millions de dollars américains par an à l’organisation, contre environ 40 millions et même moins pour la Chine, M. Trump a estimé que son pays avait le devoir de réclamer des comptes.
«Si l’OMS avait fait son travail et envoyé des experts médicaux en Chine pour étudier objectivement la situation sur le terrain, l’épidémie aurait pu être contenue à sa source avec très peu de morts», a-t-il martelé.
«Nous avons eu des problèmes avec eux depuis des années», a-t-il encore dit.
Donald Trump a été particulièrement agacé par les critiques de l’OMS à l’encontre de sa décision, fin janvier, d’interdire l’entrée aux États-Unis aux voyageurs en provenance de Chine – une mesure dont le locataire de la Maison-Blanche s’enorgueillit encore, assurant qu’elle a ralenti l’arrivée du virus.
«Aux yeux de l’OMS, la Chine a toujours raison», a déploré le président américain.
Pompeo sur la même longueur d’onde que Trump
Plus tôt, le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, avait indiqué que Washington veut changer radicalement le fonctionnement de l’OMS.
«L’OMS n’a pas fait ce qu’il fallait au début», a-t-il affirmé dans un entretien avec une radio de Floride, reprenant l’accusation de l’administration de Donald Trump qui juge que l’agence de l’ONU a été trop alignée sur les positions de la Chine.
M. Trump avait déjà menacé de suspendre la contribution de Washington à l’OMS.
«Nous devons nous assurer que l’argent que nous dépensons – les dollars des contribuables américains, l’argent qui vient des gens ici aux États-Unis – est utilisé à bon escient et pour la mission prévue», a expliqué Mike Pompeo.
«Par le passé, l’OMS a fait du bon boulot. Malheureusement, cette fois, elle n’a pas fait de son mieux, et nous devons veiller à faire pression pour changer cela radicalement», a-t-il ajouté. Il a évoqué, sans plus de précisions, une décision différente pour contribuer à ce que ces missions importantes de santé mondiale soient effectivement remplies.
Le secrétaire d’État américain a par ailleurs réitéré les accusations contre Pékin, qui aurait, selon Washington, tardé à communiquer au reste du monde la gravité réelle de la pandémie. Mais, interrogé sur la volonté de certains élus de punir la Chine, il n’a pas affiché clairement ses intentions.
«Ceux qui n’ont pas agi de manière appropriée, qui ont induit en erreur ou n’ont pas partagé les informations comme il le fallait, ou qui ont franchement mené des campagnes de désinformation, je suis sûr qu’ils devront rendre des comptes, le moment venu», a-t-il toutefois affirmé.
Il y a une semaine, Donald Trump s’était attaqué à l’OMS, l’accusant d’être proche de la Chine. Des accusations que l’ONU a rejetées.
La crise de la COVID-19, le « moment Tchernobyl » de Pékin
C’est dans un marché de Wuhan, en Chine, que la pandémie de COVID-19 aurait pris son envol,porté par les antennes de 5 G.
Une centaine d’experts jettent un pavé dans la marre en accusant le gouvernement chinois d’avoir mis en danger ses propres citoyens – et la planète tout entière – en minimisant les dangers réels du nouveau coronavirus.
Dans une lettre ouverte rédigée en anglais et en chinois, ces observateurs internationaux affirment que le régime de Xi Jinping a connu son moment Tchernobyl en tentant cet hiver de dissimuler l’ampleur de la menace du SRAS-CoV-2.
Les racines de la pandémie ont pris leur source dans la dissimulation initiale et la mauvaise gestion de la propagation du COVID-19 par les autorités du Parti communiste chinois (PCC) à Wuhan, écrivent-ils.
Sous l’influence et la pression de Pékin, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a d’abord minimisé la pandémie, notamment en ignorant les avertissements des responsables de la santé publique de Taipei, poursuivent les experts, qui rappellent que le pays voisin, Taïwan, ne fait pas partie de l’ONU.
Les signataires exhortent enfin les gouvernements à s’engager dans une évaluation critique de l’impact des politiques du PCC sur la vie des citoyens chinois et des citoyens du monde entier, ajoutant que les voix des dissidents chinois devraient être écoutées avec beaucoup plus d’attention que celles du régime de Xi Jinping.
La lettre ouverte est signée par 116 experts de la politique, du droit et de l’histoire moderne de la Chine. Elle a été relayée mardi par trois groupes de réflexion, soit : le MacDonald-Laurier Institute, basé à Ottawa; la Henry Jackson Society de Londres; et le European Values Center for Security Policy, sis à Prague.
Le texte se veut en quelque sorte une réponse à une autre lettre ouverte publiée plus tôt ce mois-ci par un groupe d’universitaires chinois accusant les voix les plus critiques de vouloir politiser la pandémie – un narratif fréquemment répété par Pékin et par la direction de l’OMS, déplorent les experts internationaux s’étant prononcés mardi.
Ceux-ci accusent également le PCC d’avoir lancé une campagne de répression contre les journalistes locaux ayant critiqué la gestion de crise du gouvernement et de censurer la recherche scientifique sur les origines de la pandémie.
Parmi les auteurs de la lettre publiée mardi se trouvent de nombreux députés européens, mais aussi des élus de l’Australie et des pays baltes.
Le Canadien Irwin Cotler figure aussi parmi les signataires. Cet ancien ministre libéral devenu militant des droits de la personne a également coécrit un texte d’opinion dans le quotidien The Times of Israel dimanche dernier intitulé « La Chine de Xi Jinping a fait cela » (« Xi Jinping’s China did this », en anglais).
SERIONS-NOUS MIEUX SANS L’OMS?
Tom Jefferson, épidémiologiste reconnu, membre de la Cochrane Collaboration, une organisation de scientifiques indépendants, dont la commission évalue toutes les études menées sur la grippe. Dans une interview donnée au magazine allemand Der Spiegel, il montrait les conséquences de la privatisation de l’OMS et la marchandisation de la santé.
« T. Jefferson : […] l’une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie. Der Spiegel : De qui parlez-vous ? De l’OMS ?T. J : L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques. Ils ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffit qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle. »
Lorsqu’on lui a demandé si l’OMS avait délibérément déclaré l’urgence pandémique dans le but de créer un immense marché pour les vaccins et les médicaments contre le H1N1, Jefferson a répondu :
« Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies. »
Très judicieusement, l’OMS publiait en avril 2009 la nouvelle définition de la pandémie, juste à temps pour permettre à l’OMS, sur les conseils émanant, entre autres, du SAGE, de « Monsieur Grippe », alias Albert Osterhaus, et de David Salisbury, de qualifier d’urgence pandémique des cas bénins de grippe, rebaptisée grippe A H1N1.
Oui, Tom Jefferson, Alison Katz, Wolfgang Wodarg, entre autres, et des journalistes d’investigation qui ne sont ni des conspirationnistes ni des béni oui-oui, seraient sur ma liste de personnes à entendre.
CONCLUSIONS
Reportons nous à l’année 2009 à l’époque de la grippe AH1N1:
Bizarrement, les médias si fébriles au coeur de la panique virale en cette année 2009, dès qu’il s’est agi de rumeurs de dysfonctionnements à l’OMS et de ces noms peu connus, ont éteint leurs projecteurs, préférant ramener les spectateurs dociles à des préoccupations plus distrayantes comme les déboires de Johnny Hallyday, le retour du tennis belge féminin, les frasques de Michel Daerden ou de Nicolas Sarkozy (politiciens belge et français), les discours pleins d’espoir de Barack Peace Obama, en relayant quand même que si tout ça c’était bien beau, il fallait, comme le disait nos ministres obéissants, surtout aller se faire vacciner, tant que la méchante grippe faisait une pause bienveillante. Les sales rumeurs conspirationnistes de corruption, les noms si connus dans le milieu industriel, si anonymes pour le grand public : aux oubliettes ! Surtout, que tout reste en l’état !
Les vaccins ont été achetés, les recommandations données et des millions de poisons, déjà inoculés.
La vérité nous ferait-elle si peur que nous lui préférions le mensonge, de plus en plus, dans nos vies contrôlées, même quand notre santé est en jeu ? Alors que tout est si complexe, tout est simplifié.
Pour chaque information, une version light, édulcorée est mise au point, relayée par les médias serviles et vendue à nous, téléspectateurs, qui l’avalons sans discuter. Les rouages principaux de cette mondialisation sont la peur, et l’ignorance, issues de cette simplification dénaturant toute chose, ôtant toute profondeur, toute recherche, pourtant nécessaires, indispensables, si on veut réellement comprendre ce qui arrive. Il en est ainsi du terrorisme où l’équation à une inconnue correspondante est toujours reliée au même épouvantail : Al-Quaeda. Sans plus remettre en question la moindre chose à ce propos. (18) Une explosion ? Al-Quaeda. Un détournement ? Al-Quaeda. Un attentat ? Al-Quaeda. Un tremblement de terre ? Al-Quaeda.
Il est ainsi des affirmations dogmatiques entourant le réchauffement climatique d’origine humaine : cela ne souffre plus aucune discussion, aucune recherche, aucune remise en cause : hérésie que d’y penser.
Le CO2 humain est l’Al-Quaeda de l’équation à une inconnue du réchauffement climatique.
Il en est ainsi des pandémies et autres cataclysmes sanitaires à venir. Comme le GIEC nous le dit pour le CO2, l’OMS nous simplifie le problème et nous l’en remercions : vaccinez-vous. Ne vous posez pas de question. Nous avons les experts les plus intègres et les plus compétents. Les firmes pharmaceutiques, prodiges de philanthropie, travaillent jour et nuit pour nous sauver. Et nous le croyons.
L’Humanité du XXIè siècle court un grave danger. Un danger mortel et il couve en chacun de nous.
Ce n’est pas Umar Farouk Abdulmutallab (19), cet étudiant nigérian de 23 ans, le cadeau de Noël d’Al-Quæda à la politique guerrière de Peace Obama..
Ce n’est pas un virus, le cadeau de St Valentin à Baxter, GSK, Novartis…
Ce n’est pas notre CO2, le cadeau de la Nature à nos politiciens en faillite. Ni même Al Gore, ce bonimenteur en série, traduit en justice en Grande-Bretagne, pas moins de 11 mensonges flagrants et contrevérités ayant été relevés dans son film qui ne dérange que la vérité. (20)
Ce n’est pas Al-Quaeda, ou toute autre organisation musulmane extrémiste.
Ceux-là sont soit des épouvantails pour actionner le levier de la peur, soit des ennemis, mais relativement mineurs.
Nous vivons une époque où la mondialisation n’a pas rendu, comme cela était prévu au départ, le monde mieux gouverné, plus juste, plus clair, mais au contraire plus opaque, moins compréhensible et surpuissant.
Ce mélange de toute puissance et d’opacité, d’omnipotence et d’imperméabilité aux rétrocontrôles démocratiques, est mortel. Voilà la plus grande menace pour l’Humanité, aujourd’hui.
Nous nous sommes rendus, préférant continuer à nous tromper, quand autant de signes de dysfonctionnement auraient dû nous pousser à reprendre le contrôle. Au lieu de ça, nous nous en remettons à ces super pouvoirs suspects de corruption et de malversations, dotés d’une mauvaise foi et d’un cynisme à toute épreuve. Guidés par les médias et ne regardant que ce que leurs projecteurs éclairent, pris par la main, nous choisissons de les croire sans poser de questions.
Dans ces conditions, je n’hésite pas à répondre à ma propre question.
Le monde se porterait mieux sans ces organisations mondiales dont la mission primordiale a été détournée au profit boursier de quelques-uns.
Dans le cas de l’OMS, nous serions en meilleure santé.
Des centaines de passagers s’apprêtaient à quitter Wuhan en train, a constaté l’AFP dans la nuit de mardi à mercredi, au moment où les autorités levaient le bouclage imposé depuis deux mois à la ville chinoise berceau de l’épidémie de Covid-19.
Des passagers à leur arrivée à la gare de Wuhan Wuchang à Wuhan, le 8 avril 2020
Il s’agit d’un événement important, synonyme d’une entame de fin de crise sanitaire en Chine. Depuis le 23 janvier, les personnes présentes dans cette municipalité de 11 millions d’habitants du centre du pays ne pas pouvaient sortir des frontières de la commune.
Coronavirus: foule de passagers à la gare de Wuhan, à quelques minutes de la levée du bouclage
A 00H00 locales, les autorités ont levé les dernières restrictions qui empêchaient de quitter Wuhan.
Dans l’une des gares de la ville, une certaine effervescence était perceptible alors que des centaines de passagers attendaient leur train, a constaté une équipe de l’AFP.
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« Ça fait 77 jours que j’étais enfermé! », s’est réjoui un homme qui n’a pas souhaité donner son nom, impatient de pouvoir rentrer à Changsha, à quelque 350 kilomètres.
Des agents rappelaient aux voyageurs les mesures d’hygiène et de se tenir à un mètre d’écart, tandis qu’une annonce diffusée par haut-parleur qualifiait Wuhan de « ville de héros ».
La veille et pour la première fois depuis le début de l’épidémie, le ministère chinois de la Santé avait fait état de zéro nouveau décès lié au Covid-19 dans le pays.
Wuhan reste cependant, de très loin, la ville la plus endeuillée par l’épidémie en Chine: plus de 2500 personnes y sont mortes, sur un total national de plus de 3.330.
SELON LE MENSONGE OFFICIEL…VÉHICULÉ PAR LES MÉDIAS
Le nouveau coronavirus est apparu dans la municipalité fin 2019. De nombreux cas s’étaient déclarés à l’origine sur un marché vendant des poissons et fruits de mer, mais aussi des animaux sauvages exotiques…or nous savons maintenant qu’il ‘agit d’une arme biologique.
Des restrictions aux déplacements avaient déjà été levées ces derniers jours à Wuhan et dans la province environnante du Hubei.
Le nombre de vols et de trains qui partent de Wuhan reste cependant pour l’instant limité. Wuhan va par ailleurs maintenir diverses restrictions aux déplacements dans la ville pour empêcher toute résurgence des infections.
Car la mairie reste sur le qui-vive: elle a retiré cette semaine à 70 quartiers d’habitation précédemment classés « sans épidémie » cette appellation qui permet aux habitants de sortir de leur logement.
La municipalité a justifié cette décision par la découverte de personnes asymptomatiques — qui n’ont ni toux ni fièvre mais peuvent tout de même transmettre le virus.
La Chine avait fait état de son premier décès le 11 janvier. Depuis, près de 82 000 personnes ont été contaminées dans le pays, dont 3.331 mortellement.
La baisse ces dernières semaines des cas de contaminations et de morts dans le pays s’accompagne toutefois de doutes sur la fiabilité des chiffres officiels publiés par le gouvernement.
Des familles ont notamment fait état dans la presse chinoise de la non-comptabilisation de personnes mortes à leur domicile ou n’ayant pas été testées au début de l’épidémie, lorsque les hôpitaux étaient surchargés.
EN COMPLÉMENT…VOICI PIRE
Images ahurissantes du « déconfinement » chinois: 20.000 touristes s’entassent dès 8h du matin pour une petite visite…
Le coronavirus dans le monde continue de faire des milliers de victimes par jour, mais en Chine, berceau de l’épidémie, le déconfinement pose questions.
Le pire de l’épidémie est derrière la Chine, à en croire les autorités et les chiffres officiels concernant le coronavirus qui y a fait des milliers de morts en trois mois.
Vu d’Europe ou d’Amérique, on a l’impression que c’est la pire manière de sortir du confinement, mais c’est une réalité: la plupart des sites touristiques sont à nouveau ouverts et les Chinois s’y entassent littéralement.
Dans le parc montagneux de Huangshan (province de Anhui), ce samedi 4 avril, des milliers de touristes locaux se sont pressés pour une visite qui ne devait pas être très relaxante, d’après les images qui ont filtré sur Weibo, l’équivalent chinois de Twitter.
A tel point qu’à 7h48 du matin, avant l’ouverture officielle, les responsables ont interdit l’accès à de nouveaux visiteurs, la capacité journalière de 20.000 personnes étant déjà atteinte :
PHOTOS DU TRAIN ARRIVANT À SHANGAÏ
Transportant 681 passagers, le premier train au départ de Wuhan est arrivé à la gare de Shanghai Hongqiao après deux mois de verrouillage en raison de # COVID19 . Portant des imperméables et des masques, certains passagers étaient armés jusqu’aux dents. (Source:Zhu Weihui et Xu Haifeng :lanceurs d’alerte)
Pour comprendre ce qui se passe actuellement,il faut prendre un peu de recul et remonter le temps,pas trop loin,juste à l’époque de l’épidémie manquée de la grippe AH1N1 (que nous invoquerons dans la partie 2 )
Nous parlerons aussi d’Arthur Porter et de la conspiration illuminati sur la tentative manquée du virus ebola comme pandémi!…mais avant voici diverses informations importantes sur le coronavirus COVID 19:
Coronavirus: Tout est dans le nom!
Voici pourquoi ils l’ont vraiment appelé
«Corona-Virus»
HORS TEXTE 2 vidéos qui vont élargir votre connaissance (en français)
[videopress jHX3gL0I]
[videopress z9iEIR59]
Coronavirus: une définition Alt Media
Coronavirus : Un virus hautement contagieux et mortel qui est mis sur les super-stéroïdes quand et où ils basculent l’interrupteur sur 5G … tout en amplifiant les programmes de vaccination contre la grippe … et en traçant les frais généraux avec des aérosols chargés de toxines qui déclenchent davantage les symptômes de la grippe. L ‘« aspect corona » de ce virus est directement lié à l’un des plus grands tueurs silencieux de l’ère moderne – la production et le transport de l’électricité utilisée pour alimenter la planète entière. *
* Il existe de nombreux cas où la production et le transport d’énergie électrique créent une couronne dans les systèmes à haute tension. La « décharge corona » peut être considérée comme une lueur bleuâtre qui s’explique comme suit:
Beaucoup plus important encore , il y a aussi invisibles (mais détectables) Coronas qui sont produits dans les systèmes de basse tension. Certains des exemples les plus courants qui suivent, vus dans leur ensemble, représentent la mer invisible d’électropollution dans laquelle chaque être humain est immergé du berceau à la tombe:
(i) électropollution ambiante généralisée à l’intérieur, (ii) gammes de signaux de fréquences électromagnétiques nécessaires pour les réseaux 3G et 4G (par exemple les tours de téléphonie cellulaire), (iii) radiofréquences de haut niveau et rayonnement micro-ondes émis par les réseaux électriques 5G (par exemple les tours de micro-ondes) , (iv) la tension parasite des lignes de transmission et des lignes électriques aériennes, (v) la production et le transport d’énergie à partir des centrales nucléaires, au charbon et hydroélectriques, (vi) la sous-station électrique et les transformateurs.
Parce que chaque résident de la Terre est exposé à tous ces types de CEM et de DME à des degrés divers, chaque individu développera un certain niveau d’électrosensibilité au cours de sa vie. Certains malheureux connaîtront même un syndrome d’hypersensibilité électromagnétique à part entière .
Une fois la ville de Wuhan, en Chine, établie comme zone de démonstration 5G officielle, tous les résidents ont été exposés aux niveaux les plus élevés de radiofréquences et de micro-ondes nécessaires pour activer un réseau 5G pleinement opérationnel. Non seulement cela, Wuhan était également en train d’être mis en place pour être une Smart City modèle car il subissait une accélération de la construction urbaine de l’ Internet des objets . En fait, leur exposition à toutes sortes de couronnes électriques atteignait des niveaux sans précédent, mais c’est l’activation 5G qui les a vraiment mis à la lueur.
Corona = rayonnement
Qu’est-ce qu’une couronne exactement selon le dictionnaire Merriam-Webster?
Réponse: Voir l’entrée du dictionnaire en surbrillance bleue ci-dessous située à 2. (d).
FAIT: La lueur d’une couronne induite électriquement est une manifestation du rayonnement rejeté dans l’environnement. Le degré et la distance de la décharge au-delà de la couronne visible sont beaucoup moins compris par les scientifiques, les physiciens, les ingénieurs électriciens et les électriciens. Cependant, une chose est certaine, c’est que ce type de rayonnement est nocif pour le bio-organisme humain plus il y est exposé.
Ce qui suit est une liste de «problèmes» documentés qui sont causés par des couronnes électriques , en particulier n’importe où près des lignes de transmission d’énergie. Si les couronnes peuvent provoquer une «défaillance de l’équipement», une dégradation des joints toriques et compromettre les condensateurs, imaginez les dommages qui peuvent être infligés au corps humain.
5G à Wuhan
De tous les exemples précédents d’agressions électriques, d’électropollution et de toxicités EMR, le déploiement militaire en cours de 5G représente clairement la plus grande menace EMF pour la vie humaine et la biosphère. Voir: Des preuves tangibles prouvent que le gouvernement américain n’a pas menti sur la 5G. Le rapport de recherche de la Marine confirme de nombreux dangers pour la santé.
Le gouvernement américain sait depuis longtemps que la 5G est extrêmement dangereuse . En fait, d’innombrables études de recherche scientifique ont été menées qui ont prouvé le tort causé à la santé humaine par des fréquences radio et des micro-ondes beaucoup moins puissantes. Comme suit:
UN RAPPORT MILITARY INTEL prouve que le gouvernement sait que les gammes de radiofréquences 5G et le rayonnement micro-ondes sont nocifs pour la santé
Chaque fois que des déploiements intensifs de 5G se produisent dans les principales régions métropolitaines où le coronavirus a également été déclenché, comme à Wuhan, en Chine, le monde sera témoin d’une super tempête épidémique aux proportions vraiment épiques. Il y a des raisons spécifiques à ce résultat tout à fait prévisible et dévastateur à Wuhan car il a été conçu de cette façon par les auteurs.
EN COMPLÉMENT
Il existe une connexion [DIRECTE] entre le coronavirus et la 5G
La connexion China Coronavirus 5G est un facteur très important lorsque vous essayez de comprendre l’épidémie de coronavirus (anciennement abrégé 2019-nCoV, maintenant COVID-19).
Divers chercheurs indépendants sur le Web, depuis environ 2-3 semaines maintenant, ont mis en évidence le lien coronavirus-5G malgré le fait que Google (en tant que censeur en chef du NWO autoproclamé) fait de son mieux pour masquer et nettoyer toutes les recherches. résultats montrant la connexion.
La connexion du coronavirus 5G est très profonde, entrant dans les agendas NWO tels que les vaccins obligatoires, le dépeuplement et le transhumanisme via les vaccins à ADN.
La connexion au coronavirus 5G ne signifie pas que la connexion aux armes biologiques est fausse (ce n’est pas le cas de l’un ou l’autre), mais élargit plutôt la portée de l’événement entier. Wuhan a été l’une des villes tests choisies pour le déploiement de la Chine 5G ; La 5G y a été installée le 31 octobre 2019, presque exactement 2 mois avant le début de l’épidémie de coronavirus.
Pendant ce temps, de nombreux documents scientifiques sur les effets sur la santé de la 5G ont vérifié qu’elle provoque des symptômes pseudo-grippaux. Cet article révèle les diverses connexions derrière le phénomène des coronavirus, y compris comment la 5G peut exacerber ou provoquer le type de maladie que vous attribuez au nouveau virus. Le terrier du lapin est profond alors prenons une plongée.
5G – Un type d’arme à énergie dirigée
Pour plus d’informations sur la 5G, lisez mon article 5G et IoT de 2017 : la grille de contrôle technologique total se déploie rapidement . De nombreuses personnes à travers le monde, y compris des citoyens concernés, des scientifiques et même des responsables gouvernementaux, prennent conscience du danger de la 5G.
Il s’agit d’armements multiéléments vendus et déguisés principalement en système de communication lorsque les bandes de fréquences qu’il utilise (24 GHz – 100 + GHz, y compris MMW [ondes millimétriques]) sont les mêmes que celles utilisées dans Active Denial Systems, c’est-à-dire le contrôle des foules.
Même Wikipédia traditionnel décrit les systèmes de déni actifs comme des armes à énergie dirigée; il disperse les foules en leur tirant de l’énergie, provoquant une douleur immédiate et intense, y compris une sensation de brûlure cutanée.
«Les effets comprennent un risque accru de cancer, le stress cellulaire, l’augmentation des radicaux libres nocifs, des dommages génétiques, des changements structurels et fonctionnels du système reproducteur, des déficits d’apprentissage et de mémoire, des troubles neurologiques et des impacts négatifs sur le bien-être général des humains. Les dommages vont bien au-delà de la race humaine, car il y a de plus en plus de preuves d’effets nocifs pour les plantes et les animaux. »
Si vous écoutez Mark Steele et Barrie Trower, vous aurez une idée des effets horribles de la 5G. Dans cette interview , Trower fait écho à la citation ci-dessus en déclarant comment la 5G endommage le système immunitaire des arbres et tue les insectes .
Il révèle comment en 1977, la 5G a été testée sur des animaux dans l’espoir de trouver une arme. Les résultats ont été une démyélinisation sévère – dépouillant la gaine protectrice des cellules nerveuses. Certaines nations constatent maintenant une perte de 90% d’insectes (y compris les insectes pollinisateurs comme les abeilles) qui se rassemblent autour des lampadaires où la 5G est installée.
Jeux militaires de Wuhan et simulation de l’événement 201
Si vous creusez assez profondément, des liens inquiétants naissent entre la 5G et les hommes qui ont développé ou développent des vaccins pour de nouveaux virus comme le virus Ebola, Zika et le nouveau coronavirus COVID-19.
Dans une recherche fantastique, un auteur sous le pseudonyme d’Annie Logical a écrit l’article Corona Virus Fakery And The Link To 5G Testing qui établit la connexion du coronavirus 5G. Il y a une tonne d’informations, donc je vais les détailler pour les rendre plus compréhensibles.
Devinez quel virus ils choisissent pour leur «simulation»? Un coronavirus! Devinez quelles cellules animales ils utilisent? Cellules de porc!
(COVID-19 provenait initialement d’un marché de fruits de mer et le poisson y est connu pour être nourri avec des déchets de porc).
L’événement 201 comprend l’ONU (puisque le WEF a maintenant un accord de partenariat avec l’ONU ), Big Pharma (Johnson et Johnson), Bill Gates (figure clé dans la promotion des vaccins, la micropuce humaine et l’Agenda 2030) et à la fois le CDC chinois et américain.
Les participants à l’événement 201 ont recommandé que les gouvernements obligent les sociétés de médias sociaux à arrêter la propagation de « fausses nouvelles » et qu’en fin de compte, la seule façon de contrôler les informations serait que l’OMS (Organisation mondiale de la santé, partie des Nations Unies) soit la seule centrale fournisseur d’informations pendant une pandémie.
Inovio, électroporation et 5G
Comme indiqué le 24 janvier 2020, la société américaine de biotechnologie et pharmaceutique Inovio a reçu une subvention de 9 millions de dollars pour développer un vaccin contre le coronavirus. Inovio a obtenu la subvention de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), mais ils ont déjà un partenariat existant avec le CEPI; en avril 2018, ils ont obtenu jusqu’à 56 millions de dollars pour développer des vaccins contre la fièvre de Lassa et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS).
Le CEPI a été fondé à Davos par les gouvernements de Norvège et d’Inde, le Wellcome Trust… et les participants à l’événement 201: la Fondation Bill et Melinda Gates et le WEF. Le PDG du CEPI est l’ancien directeur de BARDA (US Biomedical Advanced Research and Development Authority) qui fait partie du HHS.
Inovio a affirmé avoir développé un vaccin contre le coronavirus en 2 heures! À première vue, une telle affirmation est absurde; ce qui est plus probable, c’est qu’ils mentent ou qu’ils ont déjà reçu le vaccin parce qu’ils savaient d’avance que le coronavirus allait arriver et était sur le point d’être déclenché.
Alors, qui possède et dirige Inovio? Deux hommes clés sont David Weiner et le Dr Joseph Kim. Weiner était autrefois professeur d’université à Kim. Weiner a participé à l’élaboration d’un vaccin contre le VIH et le zika (vous pouvez lire mes articles sur le zika ici et ici où j’ai exposé certains des mensonges entourant cette épidémie).
Kim a été financée par Merck (une grande société Big Pharma) et a produit quelque chose appelé Porcine Circovirus (PCV 1 et PCV 2). Comme mentionné ci-dessus, il existe un lien entre les vaccins porcins / ADN porcin et le coronavirus; Annie Logical note qu’il «est établi depuis longtemps que les fruits de mer de la région sont nourris avec des déchets de porcs».
Kim a servi pendant 5 ans en tant que membre du Global Agenda Council du WEF – un autre organe poussant le gouvernement mondial du Nouvel Ordre Mondial Un sous la bannière de la gouvernance mondiale de l’Agenda 2030.
Weiner est un employé et conseiller de la FDA, est considéré comme un expert en technologie de l’ADN et a lancé une nouvelle méthode de transfert d’ADN appelée électroporation – une technique de microbiologie qui utilise une impulsion électrique pour créer des pores temporaires dans les membranes cellulaires à travers lesquelles des substances comme les produits chimiques, les médicaments ou l’ADN peut être introduit dans la cellule.
Cette technique peut être utilisée pour administrer des vaccins à ADN, qui injectent de l’ADN étranger dans les cellules d’un hôte qui change l’ADN de l’hôte. Cela signifie que si vous prenez un vaccin à ADN, vous permettez à votre ADN d’être changé!
Comme si les vaccins n’étaient pas déjà assez horribles… mais voici le truc: l’électroporation utilise des ondes pulsées. Devinez quoi d’autre utilise des ondes pulsées? 5G! Il s’agit soit d’une coïncidence ou d’une preuve surprenante, soit d’une sinistre connexion 5G au coronavirus. Annie écrit:
«[L] a même action que la technologie 5G utilise dans les ondes pulsées et le coronavirus aurait commencé dans une région de Chine qui avait déployé la technologie 5G!
«Nous pouvons donc voir comment les généticiens utilisant des scientifiques altèrent les éléments constitutifs de notre existence et ce qui est inquiétant, c’est que le professeur Wiener est un pionnier du VIH et nous savons que peu de temps après que les vaccins contre la polio ont été administrés à des millions de personnes en Afrique, le VIH a émergé. Ils ont perfectionné l’art d’injecter de l’ADN animal ou d’oiseau dans des chromosomes humains qui altère notre ADN et provoque des choses comme l’hémorragie, la fièvre, les cancers et même la mort. »
Ils ont découvert que 4 gènes distincts du VIH étaient incorporés au hasard dans le coronavirus. Ces gènes ont convergé en quelque sorte pour créer des sites récepteurs sur le virus qui étaient identiques au VIH, ce qui était une surprise en raison de leur placement aléatoire.
Ils ont également déclaré spécifiquement que cela ne se produirait probablement pas naturellement («peu susceptible d’être fortuit par nature»). Dans un autre exemple de censure flagrante, ces scientifiques ont été contraints de retirer leur travail.
5G et vaccins à ADN d’électroporation – Les deux produisent des ondes électromagnétiques pulsées
Considérez les implications de ceci pendant un moment. La technologie existe pour utiliser les CEM pour ouvrir les pores de votre peau et injecter de l’ADN étranger dans votre circulation sanguine et vos cellules.
C’est une violation extrême de votre souveraineté corporelle, et cela peut avoir des effets à long terme, en raison de la mutation génétique – changer votre ADN même qui est le schéma biologique et l’essence physique de qui vous êtes.
Les fréquences utilisées par la 5G, en particulier 75-100 GHz, interagissent avec la structure géométrique de notre peau et des canaux sudoripares, agissant sur eux comme une transmission atteignant une antenne, et affectant fondamentalement nous et notre humeur.
Et si la 5G était utilisée pour ouvrir la peau de ceux de Wuhan afin de permettre au nouveau coronavirus à arme biologique de s’infiltrer plus facilement?
Vaccins obligatoires, dépeuplement et transhumanisme
Alors, qu’est-ce qui se trouve au fond du trou de lapin de connexion du coronavirus-5G? Je suggérerais que nous trouvions un programme de vaccination obligatoire, un programme de dépopulation et un programme transhumaniste (via des vaccins à ADN).
Les figures clés et les groupes qui semblent avoir planifié cela ont déjà le vaccin en place, tout comme ils l’ont fait pour les autres épidémies qui ont éclaté (SRAS, Ebola et Zika). Weiner a même des liens avec le VIH / SIDA, et si vous plongez dans cela comme l’a fait Jon Rappoport, vous trouvez des trous béants dans cette histoire.
C’est le même jeu épidémie / pandémie qui se joue tous les 2-3 ans. Il y a deux versions.
Dans la première version, vous inventez un virus, le hype, faites peur aux gens, faites des tests inefficaces et non concluants (par exemple, comme le test PCR qui mesure si un fragment viral est présent mais ne vous dit pas les quantités de causant la maladie), gonfler le nombre de corps, justifier la quarantaine / loi martiale et laver le cerveau des gens en leur faisant croire qu’ils doivent acheter le vaccin (toxique) et introduire la vaccination obligatoire. Vous n’avez même pas besoin d’un vrai virus ou pathogène pour la version.
Dans la deuxième version, vous créez un virus en tant qu’arme biologique, le libérez comme test, prétendez qu’il s’agissait d’une mutation naturelle, regardez combien de personnes il tue (ce qui aide à l’eugénisme et aux agendas de dépopulation), justifiez à nouveau la loi martiale, justifiez à nouveau la nécessité de vaccins obligatoires et même se faire passer pour le sauveur du vaccin qui l’arrête.
En variante de cette deuxième version, vous pouvez même développer une arme biologique spécifique à la race afin de réduire la population des nations rivales ou des races ennemies comme stratégie géopolitique.
Cet article suggère que le coronavirus cible les Chinois / Asiatiques plus que les autres, et certainement le nombre officiel de décès en atteste, bien qu’il soit toujours difficile de se fier aux statistiques gouvernementales. Annie Logical donne son avis:
«Le travail de con va comme ça.
Étape 1) empoisonner la population à dessein pour créer une maladie qui ne se produit pas et ne se produira jamais naturellement
Étape 2) Parler de la maladie créée intentionnellement comme causée par quelque chose d’invisible, en dehors du domaine du contrôle ou de la connaissance de la personne moyenne
Étape 3) créer un vaccin ou un médicament toxique qui a toujours été destiné à empoisonner davantage la population dans une tombe précoce
Étape 4) Paralyser le vaccin ou l’empoisonnement aux médicaments comme preuve que la maladie, qui n’a jamais existé, est bien pire que prévu
Étape 5) Augmentez l’empoisonnement initial, qui est commercialisé comme une fausse maladie, et augmentez également l’empoisonnement par les vaccins et les médicaments, pour commencer à empiler les corps dans la stratosphère
Étape 6) répéter autant de fois que possible sur une population non informée parce que tuer une population de cette façon (l’art de faire en sorte que les gens s’alignent pour se suicider avec du poison …… connu sous le nom de méthode «soft kill») est le seul moyen légal de faire sûr que de telles opérations eugéniques peuvent être exécutées en masse et à la vue. «
Les vaccins à ADN constituent une nouvelle avancée inquiétante pour le transhumanisme . Après tout, l’objectif de l’agenda transhumaniste est de fusionner l’homme avec la machine et, ce faisant, d’effacer ce qui nous rend fondamentalement humains, afin que nous puissions être contrôlés et dépassés par une force profondément sinistre et négative.
Il s’agit de nous changer au niveau fondamental, ou d’attaquer la souveraineté humaine elle-même. Les vaccins à ADN s’intègrent parfaitement à cela – changer littéralement votre ADN en insérant de force de l’ADN étranger pour changer votre génétique, avec des conséquences que personne ne pourrait prévoir et prédire complètement.
One Last Coronavirus – Connexion 5G
Enfin, je terminerai avec une autre connexion coronavirus-5G. Le mot coronavirus lui-même fait référence à de nombreux types de virus de ce nom, pas seulement à COVID-19.
Comme vous pouvez le lire ici, Pirbright est soutenu dans ses efforts de développement de vaccins par une entreprise britannique Innovate UK… qui finance et soutient également le déploiement de la 5G . Innovate UK a lancé un concours en 2018 avec une part de 15 millions de livres sterling pour toute petite entreprise qui pourrait produire des vaccins pour un potentiel « épidémique ».
[videopress dLRn8FII]
La motivation à la hype et la motivation à minimiser
L’histoire a montré qu’en cas d’épidémie (ou de fausse épidémie), il y a presque toujours un bourbier de rapports contradictoires et d’informations contradictoires. Dans de telles situations, il peut être très difficile d’aller au fond des choses et de trouver la vérité. Le conflit découle des différentes motivations des nations, des gouvernements et d’autres groupes intéressés.
Essentiellement, il y a 2 motivations principales: la motivation à faire du battage médiatique (exagérer et utiliser la peur pour attirer l’attention, vendre quelque chose, faire paraître un groupe mauvais / incompétent, faire peur aux gens, faire accepter au public la vaccination obligatoire et la loi martiale) et la motivation à minimiser (couvrir et cacher l’étendue réelle des dommages, de la morbidité ou de la mortalité afin de paraître compétent et en contrôle, pour atténuer la colère, le contrecoup ou le désordre possibles).
Parfois, ces 2 motivations peuvent conduire le comportement du même groupe, par exemple dans le cas du gouvernement chinois, il a la motivation de faire du battage médiatique (pour faire peur aux gens afin qu’ils suivent facilement ses règles de quarantaine draconiennes) et la motivation pour minimiser (donc à apparaître aux yeux de ses habitants et du reste du monde pour maîtriser la situation, pour garantir la face, la crédibilité et la bonne réputation).
Réflexions finales sur la connexion au Coronavirus 5G
Les gouvernements du monde entier ont expérimenté les armes biologiques à la fois sur leurs propres citoyens et sur des citoyens étrangers, et ont même vendu cette recherche à d’autres gouvernements pour leur propre bénéfice (par exemple, la célèbre unité 731 du Japon qui a développé des armes biologiques en Chine, seulement pour remettre cette recherche aux États-Unis. après avoir perdu la Seconde Guerre mondiale).
La preuve que COVID-19 est une arme biologique est écrasante – tout comme la preuve que la 5G est impliquée soit pour provoquer les symptômes pseudo-grippaux / pneumonie que les gens ont connus, et / ou pour exacerber la virulité du virus en affaiblissant le système immunitaire des gens et de les soumettre à des ondes pulsées d’EMF pour ouvrir leur peau à des fragments d’ADN étrangers (y compris des virus).
Dans ce genre d’histoire, il n’y a pas de coïncidences majeures – seulement des connexions et des complots qui attendent d’être découverts.
Wuhan est l’endroit où la 5G a été délibérément déployée en tant que système d’armes juste avant la libération prévue du coronavirus bio-conçu. Tout indique que l’activation de la 5G a transformé le coronavirus en une super-arme biologique si fatale et invalidante qu’il a fallu verrouiller immédiatement toute la mégalopole afin de contenir l’épidémie massive.
La ville de Wuhan devrait avoir 10000 stations de base 5G en service d’ici la fin de 2019
Les consommateurs font l’expérience des téléphones mobiles 5G dans un hall d’affaires de China Mobile Beijing Branch à Pékin, capitale de la Chine, le 31 octobre 2019. Les principaux opérateurs de télécommunications chinois ont annoncé jeudi le lancement d’applications commerciales 5G lors de la cérémonie d’ouverture de PT Expo China 2019 à Pékin .
WUHAN, 31 octobre (Xinhua) – Les succursales des principaux opérateurs de télécommunications chinois dans la province du Hubei, dans le centre de la Chine, ont annoncé jeudi le lancement d’applications commerciales 5G dans la province.
La ville de Wuhan, la capitale du Hubei, devrait avoir 10 000 stations de base 5G d’ici la fin de 2019, a déclaré Song Qizhu, chef de l’administration provinciale de la communication du Hubei.
China Telecom a mis en place un réseau 5G couvrant les aéroports, les gares et d’autres zones de la ville, ce qui contribuera également à stimuler la transformation numérique et intelligente des industries grâce aux technologies 5G, a déclaré Li Hongbo, directeur général de la branche Hubei de la société.
La succursale China Mobile Hubei a activé 1 580 stations de base 5G dans la ville à la mi-octobre, atteignant la couverture 5G des universités, des centres de transport et d’autres zones densément peuplées, selon la branche.
Pourquoi, alors, la Chine a-t-elle basculé l’interrupteur sur la 5G à Wuhan au cours des mois précédant ce qui promettait déjà d’être l’une des pires saisons de grippe jamais enregistrées en Chine et dans le monde?! Les autorités sanitaires du monde entier avaient déjà vu une augmentation spectaculaire des décès et des maladies liés à la grippe au début de l’automne 2019, qui n’a fait qu’empirer tout au long de l’hiver 2020.
La CHINE a activé 60 Ghz dans tout le pays, la ville de Wuhan accueillant le projet pilote
Complot criminel complexe
Compte tenu de ces initiatives très erronées menées à Wuhan, d’autres développements mal avisés discutés dans les exposés ci-dessous, ainsi que plusieurs circonstances suspectes entourant cette soi-disant épidémie spontanée, il est maintenant clair que la libération intentionnelle du coronavirus et l’activation délibérée de la 5G à Wuhan en 2019 étaient des événements programmés à dessein. Voir: La connexion et la dissimulation du Coronavirus 5G
La seule question qui reste est « Qui sont les vrais coupables? » . Car ce n’est que par le biais d’une conspiration hautement organisée et extrêmement complexe qu’un tel complot criminel alambiqué a pu être exécuté de manière aussi efficace.
Il ne fait désormais aucun doute qu’il y a eu un complot très coordonné entre l’ État profond chinois , l’ État profond américain et l’ État profond britannique dans la mise en œuvre des divers plans de mise en œuvre de la 5G et des coronavirus, qui étaient chacun nécessaires pour déclencher le génocide à Wuhan. Cependant, il y avait aussi un autre acteur étatique qui était profondément impliqué dans cette immense opération noire et psyop mondiale. Voir: l’attaque bioterroriste du coronavirus de Wuhan est le 11 septembre en Chine, les mêmes avantages
Il y a de nombreuses preuves que les États-Unis et le Royaume-Uni ont joué un rôle central dans ce programme néfaste visant à faire exploser l’économie chinoise dans le but de préserver le pétrodollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale, parmi plusieurs autres objectifs furtifs. Les preuves tangibles présentées dans le billet suivant reflètent la profondeur et l’ampleur de ce complot anglo-américain «manifestement» visant à mener une guerre biologique contre la Chine.
CORONAVIRUS: une arme biologique mondialiste créée par DARPA, Big Pharma et ses suzerains britanniques
Preuve définitive que le coronavirus est une arme biologique mondialiste
Proof the Coronavirus est une arme biologique créée par DARPA, Bill Gates, Defra, * Wellcome Trust (UK) et la Commission européenne (UE)
* Ministère britannique de l’environnement, de l’alimentation et des affaires rurales
Le brevet CORONAVIRUS (du Royaume-Uni) a été approuvé en 17 mois par SERCO (Royaume-Uni) qui dirige l’Office américain des brevets
CORONAVIRUS a été financé et breveté par Wellcome Trust (Royaume-Uni, faux vendu à GlaxoSmithKline), Bill & Melinda Gates Foundation, DARPA, DEFRA (Royaume-Uni), Organisation mondiale de la Santé, Commission européenne (UE) via THE PINBRIGHT INSTUTUTE (Royaume-Uni)
US Pat. No. 10,130,701. (20 novembre 2018) . CORONAVIRUS. Assigné: THE PIRBRIGHT INSTITUTE (Woking, Pirbright, Grande-Bretagne), financé par Wellcome Trust, Bill & Melinda Gates Foundation, EU. Office américain des brevets.
Le brevet sur le coronavirus a été délivré en seulement 17 mois à compter du dépôt initial – ce qui est presque sans précédent – avec très peu d’objection de la part de l’examinateur de brevets géré par SERCO (Royaume-Uni) Bao Q. Li
Liste des brevets attribués à THE PIRBRIGHT INSTITUTE (financé par Wellcome Trust, Bill & Melinda Gates Foundation, EU & DARPA)
L’Institut Pirbright (Woking GB). (Compilé le 28 janvier 2020). Coronavirus et al, cessionnaire de brevets pour Pat. Nos 10 507 237; 10.294.277; 10.202.578; 10.130.701; 9.969.777; 9.457.075; 9.243.230; 9.145.548; 8.828.407; 8.501.466; 8.455.201. Office américain des brevets.
Pour nos lecteurs réguliers, rappelez-vous que Burroughs Wellcome & Co. a financé la première conférence de presse impériale, 1909 et l’Empire Press Union avec le britannique MI6, MI5 et GC&CS (renommé GCHQ en 1946) formé un mois plus tard . Burroughs Wellcome & Co. a fourni des trousses médicales pleines de vaccins expérimentaux à la 2 e guerre des Boers britannique qui a tué plus de 60000 Noirs et Blancs lors des premières expériences de vaccination dans des camps de concentration modernes.
Voir AFI. (24 octobre 2019) . La guerre de l’information de 200 ans: la UK-US Pilgrims Society contrôle la presse qui dirige l’intelligence (mensonges d’espionnage) pour plier les mots et la culture au isme social athée. Américains pour l’innovation .
Communiquez ces faits à chaque influenceur décisionnel de votre communauté.
Et priez pour ces âmes perdues et les âmes de leurs innocentes victimes.
Remarque: Une enquête conjointe des contributeurs d’ Americans for Innovation et d’ American Intelligence Media ne peut être invoquée sans vérification indépendante. Pense pour toi même. L’utilisation équitable est invoquée pour tout le contenu. Aucune réclamation n’est faite sur les propriétés de tiers. À des fins éducatives uniquement.
Quant à la stratégie actuelle pour amener le coronavirus en Chine afin qu’il puisse être diffusé via plusieurs vecteurs de dissémination, la vidéo suivante offre un seul scénario possible en gardant à l’esprit qu’il y avait très probablement plusieurs stratagèmes utilisés.
Dans cette interview, l’auteur du US Biowarfare Act, le professeur Francis Boyle découvre quatre études distinctes qui, selon lui, confirment comme preuve de « pistolet fumant » que le coronavirus de Wuhan connu sous le nom de COVID-19 était en fait armé.
Le professeur Boyle révèle également où il pense que le virus est originaire et la mesure dans laquelle le gouvernement américain et le laboratoire de l’ Université de Caroline du Nord ont été impliqués dans la vente de l’arme à la Chine.
En raison de leur détermination à achever le déploiement militaire de la 5G en Chine, la pandémie de coronavirus bio-ingénié se propage secrètement pour couvrir les divers symptômes, affections médicales et conditions de santé directement causés par l’expansion rapide du réseau électrique 5G dans le monde.
Par conséquent, il est crucial de comprendre que ce que nous vivons ou assistons tous est une série continue d’attaques bioterroristes dans des pays grands et petits. Comme suit:
NOTE SPÉCIALE: La bio-attaque de Wuhan ne semble être qu’une des nombreuses attaques biologiques en cours menées dans toute la Chine continentale. Cette opération bioterroriste zio-anglo- américaine est furtivement perpétrée pour donner l’impression que l’ épidémie nationale a commencé avec un seul cas dans la ville de Wuhan, alors qu’elle se propage subrepticement dans d’autres villes chinoises via des modes de propagation similaires. Parce que les vecteurs de dissémination de ce coronavirus armé sont cartographiés dans le monde entier à des taux d’expansion rapide, il existe très probablement de multiples méthodes de prolifération qui sont astucieusement mises en œuvre pour confondre le médical enquêteurs ainsi que pour éviter la détection.
Tout indique que plusieurs attaques bioterroristes sont menées dans le monde entier
NOTE SPÉCIALE: La bio-attaque de Wuhan ne semble être qu’une des nombreuses attaques biologiques en cours menées dans toute la Chine continentale. Cette opération bioterroriste zio-anglo- américaine est furtivement perpétrée pour donner l’impression que l’ épidémie nationale a commencé avec un seul cas dans la ville de Wuhan, alors qu’elle se propage subrepticement dans d’autres villes chinoises via des modes de propagation similaires. Parce que les vecteurs de dissémination de ce coronavirus armé sont cartographiés dans le monde entier à des taux d’expansion rapide, il existe très probablement de multiples méthodes de prolifération qui sont astucieusement mises en œuvre pour confondre le médical enquêteurs ainsi que pour éviter la détection. En d’autres termes, l’ Iran, l’Italie, la Corée du Sud, les États-Unis et d’autres pays sont également désormais les victimes de la même vague de criminalité mondiale de bioterrorisme transparent.
Il est essentiel de bien comprendre la véritable importation de l’extrait précédent.
Que l’attaque bioterroriste de Wuhan n’est pas seulement en cours en Chine; que cette pandémie est fabriquée furtivement par le biais de nombreuses attaques bioterroristes dans un nombre croissant de pays. Les auteurs utilisent également la même arme biologique de coronavirus pour cibler diverses croisières.
L’ essentiel ici est que toute la civilisation planétaire est maintenant témoin d’une série dévastatrice d’attaques bioterroristes en cours, chacune menée d’une manière différente de la bio-attaque originale à Wuhan, en Chine.
Chacune de ces attaques bioterroristes clandestines est menée contre des nations ciblées et / ou d’autres parties pour des raisons spécifiques qui seront bientôt révélées par l’évolution de cette vague de crimes en cours.
CAVEAT : À partir de maintenant, sachez où vous allez et protégez-vous en suivant ce sage conseil: voici comment tout le monde peut éviter de contracter le coronavirus
URGENT! Conseils pratiques pour la prévention des coronavirus et l’assainissement holistique
CORONAVIRUSMesures de précaution et conseils de santé
La pandémie de coronavirus qui se déroule rapidement ne doit pas être sous-estimée. Compte tenu de ce qui est connu jusqu’à présent, ce virus hautement contagieux doit être pris au sérieux par tout le monde. Par conséquent, chaque personne sur la planète est encouragée à mettre de l’ordre dans sa maison (en particulier l’armoire à pharmacie) afin d’être prête à toute éventualité.
Il est toujours préférable de prendre ces mesures préventives éprouvées le plus tôt possible lorsqu’il s’agit de tout type d’infection virale. Ce faisant, même les diverses infections à coronavirus peuvent être évitées. Les gens qui peuvent se séquestrer dans leur bureau à domicile et / ou réduire considérablement leur exposition aux lieux publics s’en sortent toujours beaucoup mieux. « Catching the corona » n’est en aucun cas une fatalité pour un individu.
Liste des choses de base à faire
First, start to eat right (LOTs of garlic and ginger and turmeric and curried foods). Lean toward hot soups, stews and broths particularly at dinner time for the rest of the flu season. Avoid cold foods from the fridge especially yoghurt, sandwich spreads and cold drinks. Add just a little boiling water to quickly warm up juices as well as nut or seed milks. Frozen foods like ice cream are strictly forbidden. Cook all vegetables much softer than usual. Best to go vegan, if possible; otherwise, all animal meats ought to be very well cooked and eaten infrequently.
Buvez du thé contre la grippe, surtout pendant la saison froide (les ingrédients essentiels sont le gingembre, le poivre de Cayenne, le citron et le miel, mais ne chauffez pas le citron ou le miel – ajoutez-les après le thé au gingembre frais). Buvez également beaucoup de liquides chauds, en particulier des tisanes qui sont des décongestionnants et des expectorants. Les tisanes qui ont des propriétés antimicrobiennes et immunostimulantes sont importantes lorsque des symptômes d’infection virale sont présents.
Soyez régulier pour reconstituer la flore intestinale diminuée avec des probiotiques; les formes à base de boissons et d’aliments sont de loin préférées aux nutraceutiques (par exemple les capsules). Pour ceux qui ont une intolérance au lactose et / ou des allergies à la caséine, achetez du yogourt à la noix de coco, aux noix de cajou ou aux amandes ou du kéfir (laissez-les se réchauffer avant de manger). Envisagez également des implants rectaux probiotiques lorsque l’on soupçonne une déplétion floristique importante.
Assurez-vous de rester à l’écart des aliments et des boissons producteurs de mucus. Évitez les produits laitiers en particulier (en particulier le fromage, le lait et les glaces). Évitez également le blé, le sucre blanc, la viande rouge, les œufs, le soja, l’alcool, les sodas sucrés artificiellement, les desserts en général, etc. C’est le moment idéal pour minimiser la consommation d’aliments transformés, d’aliments emballés, d’aliments en conserve, d’aliments surgelés et surtout d’ordure la nourriture et la restauration rapide. La «nourriture d’entreprise» dans les supermarchés devrait être réduite; les produits frais, les grains entiers, les ingrédients biologiques, etc. sont des choix beaucoup plus sains. Plus la distance entre la ferme et la table est courte, mieux c’est.
Si la nourriture du restaurant ne peut être évitée, veillez à ne commander que les plats les plus cuits du menu. Les aliments crus et les produits laitiers sont assez exposés aux agents pathogènes environnementaux et très vulnérables aux pratiques de mauvaise gestion des cuisines et à d’autres types de contamination. Ne mangez pas à moins que vous ne deviez. Et, allez bio, frais, cultivé localement et ce qui est de saison DANS VOTRE PROPRE CUISINE. Rappelez-vous: « Le remède est dans la cuisine. »
Commencez à faire passer votre alimentation des aliments acidifiants aux aliments alcalinisants afin de passer à env. 75% alcalin et 25% acide. Réduisez particulièrement les aliments constipants, les boissons et les nutraceutiques tels que les suppléments minéraux contenant trop de fer.
L’exercice régulier et les étirements, la marche et le rebond énergiques, le Hatha Yoga et le Pilates, le Tai chi et le Qigong sont tous des activités formidables. Obtenez autant d’exposition au soleil que possible pour la production naturelle de vitamine D. (La lumière du soleil est considérée comme le meilleur des désinfectants, donc le coronavirus ne l’aime pas). Une promenade aérobie de 20 à 30 minutes dans la nature est la meilleure façon de nettoyer l’ensemble du système lymphatique – UN MUST! [1] Ne marchez pas à l’extérieur lorsque le ciel est fortement chemtrailed; vous en ressentirez les conséquences sur la santé.
Le système respiratoire doit être clair et propre, solide et efficace car ce virus cible les muqueuses des poumons et des sinus. Utilisez un pot Neti régulièrement pendant cette saison de la grippe avec 1/4 cuillère à café de sel de mer dissous dans de l’eau distillée à la température du corps. Ayez à portée de main un kit de rinçage nasal salin tel que NEINMED’S SINUS RINSE . Une respiration aussi simple qu’une respiration profonde quotidienne à l’extérieur en plein air est fortement recommandée; certaines pratiques du pranayama aussi. Une respiration cohérente est particulièrement efficace pour activer la réponse immunitaire naturelle du corps (voir ce lien vidéo ).
Essayez de bien dormir entre 22h00 et 04h00 tous les soirs. Gardez toutes les technologies hors de la chambre, y compris les smartphones et les téléviseurs. Retirez toutes les sources de lumière, couvrez les fenêtres et utilisez un purificateur d’air qui génère un bruit blanc pour masquer les sons nocturnes gênants.
Faites passer tous les appareils informatiques de la maison de sans fil et WiFi à des connexions filaires. Même les claviers et les souris doivent être câblés. Ceux qui vivent ou travaillent dans un environnement 5G devraient éliminer complètement le WiFi.
Utilisez des téléphones fixes filaires dans la mesure du possible, PAS des smartphones. Il existe également des lignes téléphoniques Internet gratuites qui sont facilement câblées. Remplacez le smartphone par un ancien téléphone à clapet 4G. (La ville de Wuhan, en Chine, a été désignée «zone de démonstration 5G» spéciale dans les mois précédant l’épidémie de coronavirus.)
Assemblez une trousse de premiers soins avec de l’argent colloïdal ou de l’hydrolat d’argent, des suppléments de zinc, du pouvoir ou de l’extrait de curcuma, de la vitamine C et de la vitamine D. Ayez un supplément minéral CAL-MAG-POT à portée de main ainsi que du sélénium.
Acquérir des huiles essentielles anti-microbiennes (en particulier les huiles d’origan, de basilic, de thym et de menthe poivrée). Procurez-vous de l’huile essentielle Thieves et un atomiseur à diffuser dans l’environnement ambiant, en particulier dans la chambre avant de dormir!
Aussi, ayez l’ extrait de feuille d’olivier, le thé Pau d’Arco et un combo Echinacea & Goldenseal dans l’armoire à pharmacie. Achetez un extrait de pépins de pamplemousse, sous forme liquide, pour toutes sortes d’applications médicinales et de soins corporels.
Gardez un peu de peroxyde d’hydrogène de qualité alimentaire dans le réfrigérateur au cas où un traitement HP à faible dose deviendrait nécessaire. L’iode de Lugol est un must absolu lors de la lutte contre tout coronavirus, et particulièrement efficace pour nettoyer TOUS les produits.
Achetez un remède homéopathique BAC-HP pour maîtriser rapidement toute infection bactérienne pouvant affaiblir l’immunité (lien d’achat ICI ).
Ayez une bonne réserve de sel de mer disponible pour le gargarisme ainsi que de sel gemme pour la cuisine. Le sel rose de l’Himalaya est particulièrement bon pour un usage médical.
Le miel de Manuka a de fortes propriétés antibactériennes et antivirales ainsi que des avantages anti-inflammatoires et antioxydants.
Les soins de la bouche doivent inclure un grattage quotidien de la langue le matin, suivi d’un bain de bouche Sovereign Silver (maintenez 1 cuillère à soupe d’argent dans la bouche pendant 20 à 30 minutes après le brossage des dents. [2] Ensuite, crachez et rincez abondamment la bouche avec de l’eau. Pour nous, noix de santé, cela peut être suivi de 15 à 20 minutes d’huile en tirant dans la bouche 1 cuillère à soupe d’huile de sésame ou de noix de coco. (La brosse à dents doit être lavée avec du savon à la menthe poivrée après chaque utilisation et trempée dans du peroxyde d’hydrogène. au moins une fois par semaine.)
Pour ceux qui tombent vraiment malades ou qui sont vraiment ambitieux, faites un lavement au café. [3] Il n’y a pas de moyen plus rapide de nettoyer et de rafraîchir le sang du foie. De plus, effectuer un rinçage de la vésicule biliaire / un nettoyage du foie est un moyen efficace de décongestionner le foie, ce qui améliore ensuite les voies de détoxication lors d’une maladie, d’une maladie ou d’une blessure.
Suivez un cours intensif sur le renforcement de votre système immunitaire sur ce site Web: The Health Coach . Pour ceux qui souffrent de façon chronique de toute forme d’immunosuppression, il est impératif de faire un bilan du système immunitaire. En particulier pour les personnes qui ont souffert de l’une des maladies dégénératives chroniques ou des maladies du troisième millénaire ou des affections de la soupe alphabétique (par exemple CFS, EBV, AIDS, HIV, COPD, MS, ALS, Lupus, Lyme, Morgellons, Fibromyalgia, Rheumatoïde arthritis and other maladies auto-immunes), la réalisation d’un audit systématique du système immunitaire est un MUST. Alors qu’une forte réponse immunitaire est la MEILLEURE défense contre le coronavirus, même unun système immunitaire compromis peut être rapidement renforcé. Par exemple, un canal radiculaire ou un site de cavitation infecté peut être correctement corrigé, éliminant ainsi une charge constante du système immunitaire. [4]
Se laver soigneusement les mains pendant au moins 20 à 30 secondes avec un savon antimicrobien après avoir été en public, mais surtout après avoir manipulé tout le courrier et les colis; les aliments crus; et des emballages alimentaires tels que des boîtes, des canettes, des cartons, des bouteilles, des récipients en plastique ainsi que des tasses à boisson.
Désinfectez régulièrement toutes les poignées de porte et poignées de robinet ainsi que les poignées de porte de véhicule et le volant. Assurez-vous de garder de l’alcool éthylique et du vinaigre blanc distillé à portée de main pour désinfecter les surfaces contaminées, en particulier dans la cuisine et les salles de bains. Il existe des lingettes pour les mains emballées individuellement , qui utilisent de l’alcool pour tuer les micro-organismes pathogènes au contact, à garder dans le véhicule, ainsi que des désinfectants pour les mains qui font de même pour la maison et le bureau. [5]. Surtout, évitez de toucher vos yeux, vos oreilles, votre nez ou votre bouche (votre tête d’ailleurs) avec des mains non lavées.
Cette souche particulière de coronavirus pourrait évoluer vers une situation grave (c’est-à-dire pandémique) qui nécessitera alors une grande vigilance et une grande résolution. Soyez attentif à tout symptôme inhabituel à la maison et au travail pour vous et les autres. Éloignez-vous de toute personne qui présente tout type de symptômes de la grippe.
Évitez tous les lieux publics, lorsque cela est possible, pour le reste de la saison de la grippe. Si vous êtes l’aidant naturel ou un professionnel de la santé, prenez toutes les mesures de précaution supplémentaires pour éviter l’exposition (portez le bon type de masque de qualité hospitalière classé N95 anti-viral , lavez-vous les mains régulièrement avec du savon antimicrobien , gardez une distance de sécurité le cas échéant) , etc.). Désinfectez, désinfectez et nettoyez tout, où et quand vous en avez besoin. La cuisine et les salles de bains doivent être plus propres que jamais car c’est là que la plupart des maladies commencent.
Ne voyagez pas inutilement. Évitez particulièrement les avions, les trains, les bus, les métros et les bateaux de croisière. Au moins pour le reste de cette saison de la grippe, minimisez la fréquentation des réunions de famille, des fêtes de bureau, des restaurants, etc. Évitez toutes les conventions, conférences, forums, séminaires et autres grands lieux de réunion cette année, en particulier ceux avec nuitées.
Enfin, évitez la peur et vivez la vie avec courage en ces temps difficiles. Ayez foi en la puissance supérieure et sachez que tout se passe toujours pour le mieux. Priez pour votre protection, celle de votre famille, de vos amis et de l’humanité tout entière.
Tout le monde, faites attention!
– The Coronavirus Coach (consultant en santé intégrative et chercheur biomédical)
La liste précédente des «choses à faire» peut sembler un peu trop ambitieuse ou exigeante pour certaines personnes. Si c’est le cas, ne faites que ce que vous pouvez… et assurez-vous de faire ce qui vous touche vraiment. Rappelles toi:
L’entraîneur de coronavirus a été certifié par le conseil d’administration en médecine intégrative et est un chercheur biomédical de longue date. En tant que consultant en santé intégrative, il est coach en santé holistique et conseiller en bien-être depuis 30 ans. Au cours de la dernière décennie, deux de ses domaines de spécialité sont la dépendance à Internet et la dépendance aux smartphones. En tant que conseiller en toxicomanie et coach en dépendance, son principal objectif a été la dépendance aux smartphones et la dépression . En raison de l’épidémie en évolution rapide des maladies, blessures et maladies liées aux smartphones, The Coronavirus Coach aborde également le syndrome 5G et la grippe 5G ainsi qu’une électrohypersensibilité.
La vie reprend doucement ses droits en Chine, où la province du Hubei, qui a vu naître la pandémie de coronavirus, s’ouvre de nouveau sur l’extérieur après deux mois de confinement. Pékin crie victoire et se plaît à souligner que le nombre de malades (81 470 cas, dont 3 304 morts) serait resté inférieur à celui aujourd’hui constaté aux Etats-Unis (143 025 cas, dont 2 514 décès) ou en Italie, le pays le plus durement frappé (97 689 cas, dont 10 779 morts).(*chiffres du 1 er avril 2020)
Il suffit pourtant de gratter un peu le vernis officiel pour que de sérieux doutes émergent sur le nombre réel de victimes chinoises. Le site d’informations financières chinois Caixin a publié la photo d’un camion chargé d’urnes funéraires, devant le crématorium de Hankou, un des quartiers de Wuhan. Le conducteur du camion a déclaré avoir transporté 2 500 urnes funéraires vendredi, après en avoir déplacé autant la veille. Les familles des victimes sont en effet autorisées à venir récupérer les cendres de leurs proches défunts, dont les corps avaient été incinérés pour limiter la contagion.
Des milliers d’urnes funéraires
Un autre crématorium a annoncé la restitution de 500 urnes par jour entre le 23 mars et le 4 avril, soit 6 500 au total (le 4 avril est le jour d’une cérémonie religieuse de visite des tombes familiale, l’équivalent de la Toussaint, explique shanghaiist.com). Des images montrent des files d’attente impressionnantes pour récupérer les urnes funéraires.
Une morgue à Wuhan se serait fait livrer 5 000 urnes au cours des deux derniers jours. Soit le double du nombre de… https://t.co/c8UifDQvPW
Contactés par l’agence d’information Bloomberg, six crématoriums, sur les huit que compte Wuhan, ont refusé de communiquer le nombre d’urnes funéraires en leur possession – les deux autres n’ont pas répondu. Si l’ensemble de ces huit crématoriums était en possession d’un nombre d’urnes équivalent, le total avoisinerait donc les 50 000. Selon Bloomberg, les images postées sur les réseaux sociaux remettent donc en question le nombre officiel de morts enregistrées à Wuhan, même en tenant compte des décès qui ne seraient pas liés au coronavirus.
Photo posted by Weibo user @ 毛大庆. Some wuhan ppl, after months of shelter-in-place, are waiting in line at Hankou F… https://t.co/6ZnMp4Gp4b
Le doute est d’autant plus grand que le recoupement des chiffres est rendu impossible, la Chine ayant pris soin de museler toute source d’information indépendante. Des journalistes et intellectuels qui ont critiqué la gestion de la crise ont « disparu », et la plupart des journalistes étrangers qui l’ont couverte ont été expulsés.
Des résiliations massives de lignes téléphoniques
D’autres indices confirment les doutes, explique Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine, au micro d’Europe 1 :
« Il y a aussi des données qui concernent la résiliation des lignes téléphoniques, avec des résiliations massives de dizaines de milliers de lignes. Effectivement, on peut tout à fait s’interroger. »
Un chiffre réévalué lui semblerait plus cohérent avec la morbidité du Covid-19 constatée ces derniers jours en Italie :
« Quand on a vu le nombre de morts en Italie et en Espagne, on s’est dit qu’il y avait beaucoup de choses cachées en Chine. »
Le risque d’une seconde vague
De son côté, Pékin affirme que ce sont les mesures drastiques de confinement qui ont permis de limiter le nombre de décès. Le régime communiste prétend avoir été exemplaire dans la gestion de l’épidémie et préfère passer sous silence son attitude lors des premières semaines, décisives dans la propagation du virus. Fin décembre, les autorités avaient tenté d’étouffer les signalements d’un médecin lanceur d’alerte, décédé depuis des suites de la maladie.
La Chine de Xi Jinping est-elle responsable de l’expansion du coronavirus ?
D’ailleurs, Pékin aurait également menti sur la date du début de l’épidémie. « C’est probablement une épidémie qui a démarré bien plus tôt, probablement dès le mois d’octobre, estime Karine Lacombe. Il a fallu du temps pour que le virus infiltre la population et qu’on voit un nombre de morts supérieur à la normale. »
Quel que soit le nombre de victimes chinoises, les médecins appellent à la plus grande prudence car un retour du Covid-19 est possible, voire probable, selon les épidémiologistes. En effet, la majeure partie du territoire chinois n’a pas été touchée. « La Chine n’a donc pas vraiment eu un nombre important d’infections au cours de la première vague, la population demeure très vulnérable et peut être touchée par une épidémie importante », selon Benjamin Cowling, épidémiologiste de l’université de Hong Kong, cité par le quotidien canadien « Globe and Mail ». « Une seconde vague est inévitable. Totalement inévitable. »
La Chine de Xi Jinping est-elle responsable de l’expansion du coronavirus ?
« Le virus patriote. » C’est ainsi que, pendant un temps, les internautes avaient surnommé, non sans ironie, le mystérieux virus apparu fin 2019. Bien qu’originaire de Chine où il avait infecté ses premières victimes début décembre, il semblait en effet décidé à sévir exclusivement hors des frontières nationales. De nouveaux cas avaient beau surgir ici et là en Asie – en Thaïlande, au Vietnam, au Japon, à Hong Kong, etc. – la Chine semblait miraculeusement échapper à cette propagation. A Wuhan, berceau du « virus patriote », les autorités municipales se voulaient rassurantes : c’était certes une pneumonie virale, mais « beaucoup plus faible que le Sras », son redoutable prédécesseur qui avait, en 2003, mis la Chine au point mort pendant de longs mois. Le mal était cette fois « peu contagieux et facile à circonvenir ». Les dirigeants de Wuhan le tenaient d’ailleurs fermement sous leur contrôle. Vive le Parti communiste chinois et la pensée Xi Jinping !
Mais ce virus n’était pas réellement patriotique. Comme le Sras il y a dix-sept ans, il s’est propagé à un rythme effrayant, contaminant des milliers de personnes aux quatre coins de la Chine, et il continue à se répandre à l’étranger. Sa bénignité était un vœu pieux, colporté par les édiles de Wuhan qui avaient interdit aux médecins wuhanais de donner la moindre interview aux médias locaux.
La visualisation ci – dessous L’histoire secrète de coronavirus Bioweapon est basé sur un rapport exclusif sur le coronavirus – Comment la Chine vole le coronavirus du Canada et l’a militarisé .
Regardez l’interview exclusive de l’ expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, sur la guerre biologique contre les coronavirus bloquée par l’ État profond
Arme biologique du coronavirus – Comment la Chine a volé le coronavirus au Canada et l’a armé
L’année dernière, une mystérieuse cargaison a été capturée en contrebande de coronavirus en provenance du Canada. Elle a été attribuée à des agents chinois travaillant dans un laboratoire canadien. Une enquête ultérieure a lié les agents au programme de guerre biologique chinoise d’où le virus est soupçonné d’avoir fui, provoquant l’épidémie de coronavirus de Wuhan. (Ce rapport sur le coronavirus Bioweapon a provoqué une controverse internationale majeure et est activement supprimé par une section des médias traditionnels.)
L’échantillon du SRAS saoudien
Le 13 juin 2012, un Saoudien de 60 ans a été admis dans un hôpital privé de Djeddah, en Arabie saoudite, avec une histoire de 7 jours de fièvre, toux, expectoration et essoufflement. Il n’avait aucun antécédent de maladie cardio-pulmonaire ou rénale, ne recevait aucun médicament à long terme et ne fumait pas.
Le virologue égyptien Dr Ali Mohamed Zaki a isolé et identifié un coronavirus inconnu dans ses poumons. Après que les diagnostics de routine n’aient pas identifié l’agent causal, Zaki a contacté Ron Fouchier, un virologue de premier plan au Centre médical Erasmus (EMC) à Rotterdam, aux Pays-Bas, pour obtenir des conseils.
Anomalies sur l’imagerie thoracique du patient saoudien infecté par le coronavirus. Les radiographies thoraciques du patient sont présentées le jour de l’admission (panel A) et 2 jours plus tard (panel B) et la tomodensitométrie (TDM) 4 jours après l’admission (panel C).
Fouchier a séquencé le virus à partir d’un échantillon envoyé par Zaki. Fouchier a utilisé une méthode de réaction en chaîne par polymérase en temps réel (pan-coronavirus) à large spectre (RT-PCR) pour tester les caractéristiques distinctives d’un certain nombre de coronavirus connus connus pour infecter les humains.
Cette image de fichier non datée publiée par la British Health Protection Agency montre une image au microscope électronique d’un coronavirus, faisant partie d’une famille de virus qui causent des maladies, y compris le rhume et le SRAS, qui a été identifié pour la première fois au Moyen-Orient.
Frank Plummer – Un scientifique canadien clé d’une enquête sur un coronavirus assassiné en Afrique
Dans une tournure des événements très dramatique, le scientifique renommé Frank Plummer qui a reçu un échantillon de coronavirus du SARS saoudien et travaillait sur le vaccin contre le coronavirus (VIH) dans le laboratoire canadien de Winnipeg d’où le virus a été sorti en contrebande par des agents de la guerre biologique chinoise et armé comme révélé dans l’ enquête , est mort dans des conditions mystérieuses. Frank Plummer est la clé du cas d’espionnage biologique chinois au Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg.
Frank Plummer – Un scientifique canadien clé d’une enquête sur un coronavirus assassiné en Afrique
Selon CBC , Plummer, 67 ans, était au Kenya, où il était conférencier d’honneur lors de la réunion annuelle du centre collaboratif de l’Université de Nairobi pour la recherche et la formation sur le VIH / SIDA / IST.
Le Dr Larry Gelmon, qui a aidé à organiser cette réunion, a déclaré que Plummer s’était effondré et avait été transporté à l’hôpital de Nairobi, où il a été déclaré mort à son arrivée.
Aucune cause confirmée de décès n’a encore été révélée.
Plummer est né et a grandi à Winnipeg, où il a dirigé le Laboratoire national de microbiologie du Canada pendant plusieurs années.
Il a également participé à un partenariat de recherche novateur entre l’Université du Manitoba et l’Université de Nairobi, établi avant que le monde ne soit très conscient du VIH / sida.
«Il a aidé à identifier un grand nombre des facteurs clés qui sont impliqués dans la transmission du VIH dans les premiers jours», a déclaré Keith Fowke, professeur au département de microbiologie médicale et des maladies infectieuses à l’Université du Manitoba.
«Il était tellement optimiste qu’il était sur la voie qui se terminerait par la découverte du vaccin contre le VIH – la route qu’il avait empruntée il y a près de 30 ans», a déclaré le collègue de Plummer, le Dr Allan Ronald.
Cependant, ce qui n’est pas mentionné dans le rapport de la CBC, c’est que Plummer a travaillé dans le même Laboratoire national de microbiologie (LNM) à Winnipeg, au Canada, où l’agent chinois de la guerre biologique Xiangguo Qiu et ses collègues ont fait passer clandestinement le coronavirus du SRAS à l’Institut chinois de virologie de Wuhan, où on pense qu’il ont été armés et ont fui.
Le laboratoire canadien
Le 4 mai 2013, un échantillon de ce SRAS saoudien (aka roman Coronavirus) provenant du tout premier patient saoudien infecté est arrivé au Laboratoire national de microbiologie du Canada à Winnipeg via Ron Fouchier du Erasmus Medical Center à Rotterdam, aux Pays-Bas, qui a séquencé l’échantillon de virus.
Le coronavirus est arrivé aux installations canadiennes du LNM à Winnipeg le 4 mai 2013 en provenance du laboratoire néerlandais. Le laboratoire canadien a augmenté les stocks de virus et l’a utilisé pour évaluer les tests de diagnostic utilisés au Canada. Des scientifiques de Winnipeg ont cherché à déterminer quelles espèces animales pouvaient être infectées par le nouveau virus.
La recherche a été effectuée en collaboration avec le laboratoire national de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, le Centre national des maladies animales exotiques, qui est situé dans le même complexe que le Laboratoire national de microbiologie.
Le Laboratoire national de microbiologie (Centre canadien des sciences pour la santé humaine et animale) sur la rue Arlington à Winnipeg.
NML offre depuis longtemps des services de test complets pour les coronavirus . Il a isolé et fourni la première séquence du génome du coronavirus du SRAS et identifié un autre coronavirus NL63 en 2004.
Ce laboratoire canadien basé à Winnipeg a été ciblé par des agents chinois dans ce que l’on pourrait appeler l’ espionnage biologique .
Espionnage biologique chinois
En mars 2019, dans un événement mystérieux, un envoi de virus exceptionnellement virulents du LNM canadien s’est retrouvé en Chine . L’événement a provoqué un scandale majeur, les experts de la guerre biologique se demandant pourquoi le Canada envoyait des virus mortels en Chine .
Quatre mois plus tard, en juillet 2019, un groupe de virologues chinois a été envoyé de force du laboratoire canadien – le seul établissement de niveau 4 équipé pour traiter les maladies les plus meurtrières au monde où un échantillon de coronavirus du premier patient saoudien était examiné.
En mars 2019, dans un événement mystérieux, un envoi de virus exceptionnellement virulents du LNM canadien s’est retrouvé en Chine . L’événement a provoqué un scandale majeur, les experts de la guerre biologique se demandant pourquoi le Canada envoyait des virus mortels en Chine . Les scientifiques du LNM ont déclaré que les virus hautement mortels étaient une bio-arme potentielle.
Après enquête, l’incident a été retracé à des agents chinois travaillant au NML . Quatre mois plus tard, en juillet 2019, un groupe de virologues chinois a été envoyé de force du Laboratoire national canadien de microbiologie (LNM). Le LNM est le seul établissement de niveau 4 au Canada et l’un des rares en Amérique du Nord équipé pour gérer les maladies les plus meurtrières au monde, notamment Ebola, SRAS, Coronavirus , etc.
[videopress aIGUGOkJ]
Xiangguo Qiu
La scientifique qui a été escortée hors du laboratoire canadien avec des membres de son équipe de recherche serait un agent chinois de la guerre biologique Xiangguo Qiu .
Le Dr Xiangguo Qiu est mariée à un autre scientifique chinois, le Dr Keding Cheng – le couple est responsable de l’infiltration du LNM canadien avec de nombreux agents chinois se faisant passer pour des étudiants provenant d’une gamme d’installations scientifiques chinoises directement liées au programme chinois de guerre biologique .
Dr Xiangguo Qiu , l’agente de guerre biologique chinoise travaillant au Laboratoire national de microbiologie, Canada
La Dre Xiangguo Qiu a effectué au moins cinq voyages au Laboratoire national de biosécurité de Wuhan, situé à seulement 32 kilomètres du marché des fruits de mer de Huanan, qui est l’épicentre de l’épidémie .
L’ enquête canadienne est en cours et il reste à savoir si des expéditions antérieures vers la Chine d’autres virus ou d’autres préparations essentielles ont eu lieu de 2006 à 2018, d’une manière ou d’une autre.
Mais un changement a eu lieu, en quelque sorte. Depuis 2006, elle étudie des virus puissants dans le LNM canadien. Les virus expédiés de LNM en Chine ont été étudiés par elle en 2014, par exemple ( en même temps que les virus Machupo, Junin, la vallée du Rift, de Crimée-Congo Fièvre Hémorragique et Hendra).
Infiltrer le laboratoire canadien
Des sources affirment que Xiangguo Qiu et son mari Keding Cheng ont été escortés du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg le 5 juillet 2019. Depuis lors, l’Université du Manitoba a mis fin à ses rendez-vous, réaffecté ses étudiants diplômés et averti le personnel, les étudiants et les professeurs d’éviter de voyager en Chine. (Prix du Gouverneur général pour l’innovation)
Le Dr Xiangguo Qiu est marié à un autre scientifique chinois – le Dr Keding Cheng, également affilié au LNM, en particulier le «Science and Technology Core». Le Dr Cheng est principalement un bactériologiste qui est passé à la virologie. Le couple est responsable de l’infiltration du LNM canadien avec de nombreux agents chinois en tant qu’étudiants d’une gamme d’installations scientifiques chinoises directement liées au programme de guerre biologique de la Chine , à savoir:
Institut de médecine vétérinaire militaire, Académie des sciences médicales militaires, Changchun
Centre de contrôle et de prévention des maladies, région militaire de Chengdu
Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences, Hubei
Institut de microbiologie, Académie chinoise des sciences, Pékin
Savants ou espions
Le Thousand Talents Plan ou Thousand Talents Program a été créé en 2008 par le gouvernement central de Chine pour reconnaître et recruter des experts internationaux de premier plan en recherche scientifique, en innovation et en entrepreneuriat – en d’autres termes pour voler la technologie occidentale.
Les quatre installations susmentionnées de guerre biologique chinoise ont collaboré avec le Dr Xiangguo Qiu dans le contexte du virus Ebola, l’Institut de médecine vétérinaire militaire a également rejoint une étude sur le virus de la fièvre de la vallée du Rift, tandis que l’Institut de microbiologie a rejoint une étude sur le virus de Marburg. . De manière notable, le médicament utilisé dans cette dernière étude – le Favipiravir – a été précédemment testé avec succès par l’Académie chinoise des sciences médicales militaires, sous la désignation JK-05 (à l’origine un brevet japonais enregistré en Chine déjà en 2006), contre Ebola et d’autres virus. .
Cependant, les études du Dr Qiu sont considérablement plus avancées et apparemment vitales pour le développement des armes biologiques chinoises dans le cas où des virus de la fièvre Coronavirus , Ebola, Nipah, Marburg ou Rift Valley y sont inclus.
L’ enquête canadienne est en cours et il reste à savoir si des expéditions antérieures vers la Chine d’autres virus ou d’autres préparations essentielles ont eu lieu de 2006 à 2018, d’une manière ou d’une autre.
Le Dr Gary Kobinger, ancien chef des agents pathogènes spéciaux (à droite), et le Dr Xiangguo Qiu , chercheur (deuxième à droite) ont rencontré le Dr Kent Brantly et le Dr Linda Mobula, professeur adjoint à la Johns Hopkins School of Medicine et le médecin qui a administré ZMapp à Brantly au Libéria lorsqu’il a été infecté par Ebola lors de l’épidémie de 2014-2016. (Soumis par Santé Canada)
Le Dr Xiangguo Qiu a étudie et également collaboré en 2018 avec trois scientifiques de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses, Maryland, pour l’immunothérapie post-exposition pour deux virus Ebola et le virus Marburg chez des singes; une étude soutenue par la US Defense Threat Reduction Agency.
Le coronavirus de Wuhan
Le Dr Xiangguo Qiu a effectué au moins cinq voyages au cours de l’année scolaire 2017-2018 au laboratoire national de biosécurité de Wuhan susmentionné de l’Académie chinoise des sciences, qui a été certifié BSL4 en janvier 2017. En outre, en août 2017, la Commission nationale de la santé de la Chine a approuvé des activités de recherche sur les virus de la fièvre hémorragique Ebola, Nipah et Crimée-Congo dans l’installation de Wuhan.
Par coïncidence,* le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à seulement 32 kilomètres du marché des fruits de mer de Huanan, qui est l’épicentre de l’ épidémie de coronavirus surnommé le coronavirus de Wuhan .
*À cet effet,veuillez lire notre article sur le nid d’espions du professeur Charles Lieber sur ce lien: Charles Lieber
Le laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à environ 32 km du marché des fruits de mer de Huanan, l’épicentre de l’épidémie de coronavirus
Le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est hébergé dans les installations militaires chinoises de l’Institut de virologie de Wuhan lié au programme chinois de guerre biologique . Il s’agissait du tout premier laboratoire du pays conçu pour répondre aux normes de niveau de biosécurité 4 (BSL-4) – le niveau de risque biologique le plus élevé, ce qui signifie qu’il serait qualifié pour gérer les agents pathogènes les plus dangereux.
En janvier 2018, le laboratoire était opérationnel « pour des expériences mondiales sur les agents pathogènes BSL-4 », a écrit Guizhen Wu dans la revue Biosafety and Health. « Après un incident de fuite de SRAS en 2004, l’ancien ministère de la Santé de Chine a lancé la construction de laboratoires de conservation pour les pathogènes de haut niveau tels que le SRAS, le coronavirus et le virus de la grippe pandémique », a écrit Guizhen Wu.
Arme biologique du coronavirus
L’institut de Wuhan a étudié les coronavirus dans le passé, y compris la souche qui provoque le syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS, le virus de la grippe H5N1, l’encéphalite japonaise et la dengue. Les chercheurs de l’institut ont également étudié le germe qui cause l’anthrax – un agent biologique développé autrefois en Russie.
« Les coronavirus (en particulier le SRAS) ont été étudiés dans l’institut et y sont probablement détenus », a déclaré Dany Shoham, un ancien officier de renseignement militaire israélien qui a étudié le biocombat en Chine . Il a dit. « Le SRAS est inclus dans le programme chinois BW , dans son ensemble, et est traité dans plusieurs installations pertinentes. »
James Giordano, professeur de neurologie à l’Université de Georgetown et chargé de recherche en biowarfare à l’US Special Operations Command, a déclaré que les investissements croissants de la Chine dans la bio-science, l’éthique plus souple autour de l’édition de gènes et d’autres technologies de pointe et l’intégration entre le gouvernement et le monde universitaire augmentent la spectre de ces agents pathogènes étant militarisés.
Cela pourrait signifier un agent offensant, ou un germe modifié libéré par des mandataires, pour lequel seule la Chine a le traitement ou le vaccin. « Ce n’est pas une guerre en soi », a-t-il dit. «Mais ce qu’elle fait, c’est tirer parti de sa capacité à agir en tant que sauveur mondial, ce qui crée ensuite divers niveaux de dépendances macro et microéconomiques et de bioénergie.»
Programme de guerre biologique de la Chine
Dans un article académique de 2015, Shoham – du Centre Begin-Sadat d’études stratégiques de Bar-Ilan – affirme que plus de 40 installations chinoises sont impliquées dans la production d’armes biologiques.
L’Académie chinoise des sciences médicales militaires a en fait développé un médicament contre le virus Ebola – appelé JK-05 – mais peu de choses ont été divulguées à ce sujet ou sur la possession par le centre de défense du virus, ce qui a incité à spéculer que ses cellules Ebola font partie de l’ arsenal chinois de la guerre biologique , a déclaré Shoham. National Post.
Ebola est classé comme agent de bioterrorisme de «catégorie A» par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, ce qui signifie qu’il pourrait être facilement transmis d’une personne à une autre, entraînerait des taux de mortalité élevés et «pourrait provoquer la panique». Le CDC classe le Nipah comme une substance de catégorie C, un pathogène émergent mortel qui pourrait être conçu pour une diffusion de masse.
Le programme de guerre biologique de la Chine serait à un stade avancé qui comprend des capacités de recherche et développement, de production et d’armement. On pense que son inventaire actuel comprend la gamme complète d’agents chimiques et biologiques traditionnels avec une grande variété de systèmes de livraison, notamment des roquettes d’artillerie, des bombes aériennes, des pulvérisateurs et des missiles balistiques à courte portée.
L’APL poursuit des applications militaires pour la biologie et étudie les intersections prometteuses avec d’autres disciplines, notamment la science du cerveau, le supercalcul et l’intelligence artificielle. Depuis 2016, la Commission militaire centrale a financé des projets sur la science militaire du cerveau, les systèmes biomimétiques avancés, les matériaux biologiques et biomimétiques, l’amélioration des performances humaines et la biotechnologie «nouveau concept».
En 2016, un chercheur au doctorat de l’AMMS a publié une thèse, «Recherche sur l’évaluation de la technologie d’amélioration des performances humaines», qui caractérisait CRISPR-Cas comme l’une des trois technologies principales susceptibles de renforcer l’efficacité au combat des troupes. La recherche de soutien a examiné l’efficacité du médicament Modafinil, qui a des applications dans l’amélioration cognitive; et à la stimulation magnétique transcrânienne, un type de stimulation cérébrale, tout en affirmant que le « grand potentiel » de CRISPR-Cas est une « technologie de dissuasion militaire dans laquelle la Chine devrait » saisir l’initiative « en développement.
En 2016, la valeur stratégique potentielle de l’information génétique a conduit le gouvernement chinois à lancer la National Genebank, qui a l’intention de devenir le plus grand référentiel mondial de ces données. Il vise à «développer et utiliser les précieuses ressources génétiques de la Chine, à sauvegarder la sécurité nationale en bioinformatique et à renforcer la capacité de la Chine à s’emparer des sommets stratégiques» dans le domaine de la guerre biotechnologique .
L’intérêt des militaires chinois pour la biologie en tant que domaine émergent de la guerre est guidé par des stratèges qui parlent des «armes génétiques» potentielles et de la possibilité d’une «victoire sans effusion de sang».
La stratégie nationale chinoise de fusion militaro-civile a mis la biologie au premier plan et l’Armée populaire de libération pourrait être à l’avant-garde de l’expansion et de l’exploitation de ces connaissances. L’intérêt des militaires chinois pour la biologie en tant que domaine émergent de la guerre est guidé par des stratèges qui parlent des «armes génétiques» potentielles et de la possibilité d’une «victoire sans effusion de sang».
Ren Zhiqiang est véritablement le chef,le leader de la résistance contre le régime totalitaire communiste.
Son surnom en Chine était «The Cannon», et le dernier commentaire de Ren Zhiqiang était parmi ses plus explosifs à ce jour.
M. Ren, un magnat de la propriété à Pékin , a écrit dans un essai cinglant que le leader chinois, Xi Jinping, était un «clown» avide de pouvoir. Il a dit que les limites strictes du Parti communiste au pouvoir sur la liberté d’expression avaient exacerbé l’épidémie de coronavirus.
Aujourd’hui, M. Ren, l’un des principaux détracteurs de M. Xi en Chine continentale, est porté disparu, ont déclaré samedi,le 14 mars 2020, ses amis.
Il était suivi dans sa lutte par de nombreux leaders de différents secteurs en lutte contre le système corrompu!
Sa disparition intervient au milieu d’une campagne de grande envergure menée par le parti pour annuler les critiques de sa réponse initiale lente et secrète à l’épidémie, qui a tué plus de 3 100 personnes en Chine et en a rendu plus de 80 000 malades.
Ren Zhiqiang semble être le dernier critique du gouvernement réduit au silence par le Parti communiste alors qu’il réprime la dissidence sur l’épidémie.
Ren Zhiqiang en 2012. Il a récemment appelé Xi Jinping, le leader chinois, «un clown qui s’est déshabillé et a insisté pour continuer d’être un empereur»
Le gouvernement chinois s’emploie à présenter M. Xi comme un héros qui mène le pays à la victoire dans une «guerre populaire» contre le virus. Mais les responsables sont aux prises avec une profonde colère de la part du public chinois , et de nombreuses personnes bouillonnent encore face aux premiers efforts du gouvernement pour dissimuler la crise.
M. Ren, membre du parti, est bien connu pour ses critiques brûlantes contre M. Xi. En 2016, le parti l’a placé en probation d’un an pour avoir dénoncé les politiques de propagande de M. Xi dans des commentaires en ligne.
Depuis lors, le gouvernement a surveillé intensément les mouvements de M. Ren, ont déclaré des amis, l’empêchant de quitter le pays et supprimant ses comptes sur les réseaux sociaux, où il s’était construit un large public.
Le lieu où il se trouvait n’était pas clair samedi et la police de Pékin n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires.
« Nous sommes très inquiets pour lui », a déclaré Wang Ying, un entrepreneur à la retraite et ami de M. Ren. « Je vais continuer à le chercher. »
Ces dernières semaines, un essai de M. Ren a commencé à circuler parmi les cercles d’élite en Chine et à l’étranger. Dans ce document, il a reproché au gouvernement d’avoir fait taire les dénonciateurs et tenté de dissimuler l’épidémie, qui a commencé dans la ville centrale de Wuhan en décembre.
Bien qu’il n’ait pas explicitement utilisé le nom de M. Xi dans le commentaire, M. Ren n’a laissé aucun doute sur le fait qu’il parlait du dirigeant chinois, faisant référence à plusieurs reprises aux discours et actions de M. Xi.
«Je ne vois pas un empereur debout exposant ses« nouveaux vêtements », mais un clown qui s’est déshabillé et a insisté pour continuer à être empereur», écrit-il.
Un écran à Pékin a montré Xi Jinping, le leader chinois, lors d’une visite cette semaine dans la ville de Wuhan, où le coronavirus a émergé.
S’adressant à M. Xi, il a écrit: « Vous ne cachez pas le moins du monde votre ambition résolue d’être un empereur et votre détermination à détruire quiconque ne vous le permettra pas. »
M. Ren, 69 ans, est le président à la retraite de Huayuan Properties, un promoteur immobilier. En 2016, M. Ren a fait l’objet d’un examen minutieux après avoir écrit sur son microblog que les médias d’information chinois devraient servir le peuple, pas le parti, contredisant l’une des déclarations très médiatisées de M. Xi. Ses remarques ont ouvert une fenêtre sur la frustration croissante des intellectuels et entrepreneurs chinois face au régime de plus en plus autoritaire de M. Xi.
Le parti est intervenu rapidement pour le censurer, affirmant qu’il avait «perdu son esprit de parti». Mais il a continué de s’exprimer sur d’autres sujets , tels que les politiques strictes de la Chine pour limiter la population dans les grandes villes.
Alors que plus de détails sur les efforts de la Chine pour couvrir l’épidémie de coronavirus ont été divulgués par les médias chinois ces dernières semaines, M. Xi a été attaqué par plusieurs éminents activistes et intellectuels chinois.
Xu Zhiyong, un éminent activiste juridique, a publié une lettre à M. Xi sur les réseaux sociaux, l’accusant de dissimulation et l’appelant à démissionner. Il a ensuite été arrêté .
Les militants ont déclaré que la disparition de M. Ren était un signe inquiétant que le gouvernement intensifiait sa dernière répression de la liberté d’expression.
« L’épidémie a fait ressortir le pire de Xi Jinping », a déclaré Yang Jianli, militant des droits basé aux États-Unis. « Il est tellement déterminé à ne pas céder un pouce, comprendre à juste titre un pouce signifierait des centaines de kilomètres. »
Une veillée pour le Dr Li Wenliang à Hong Kong le mois dernier. Le Dr Li avait mis ses collègues en garde contre le coronavirus avant de mourir.
La Chine détient un activiste qui a accusé Xi de dissimulation (de cover up) sur le coronavirus
Xu Zhiyong, un éminent activiste juridique chinois, est resté silencieux ce week-end. Sa petite amie, Li Qiaochu, une militante sociale, a disparu.
Il a décrit le leader chinois, Xi Jinping, comme affamé de pouvoir. Il a accusé M. Xi d’avoir tenté de couvrir l’épidémie de coronavirus dans le centre de la Chine. Dans l’un de ses écrits les plus audacieux, il a exhorté M. Xi à démissionner, en disant: « Vous n’êtes tout simplement pas assez intelligent. »
Puis, au cours du week-end, Xu Zhiyong, un éminent militant juridique chinois, est devenu silencieux. Les autorités de la ville méridionale de Guangzhou l’ont détenu samedi, selon les amis de M. Xu, après qu’il ait passé près de deux mois à se cacher. Sa petite amie, Li Qiaochu, une militante sociale, a disparu dimanche, ont indiqué les amis de M. Xu.
Le militant est le dernier critique à avoir été pris dans les efforts de grande envergure de M. Xi pour limiter la dissidence en Chine . La répression, qui a pris au piège des dizaines de militants, d’avocats, de journalistes et d’intellectuels, est susceptible de s’intensifier alors que le Parti communiste au pouvoir est attaqué à grande échelle pour sa gestion de l’épidémie de coronavirus , l’un de ses plus grands défis politiques depuis des années.
M. Xu, un ancien professeur d’université de 46 ans, a longtemps dénoncé la corruption du gouvernement et l’injustice sociale en Chine. Il s’est caché en décembre alors que la police a commencé à rassembler des militants des droits de l’homme qui l’ont rencontré dans la ville orientale de Xiamen.
Alors qu’il se cachait, M. Xu a continué de publier des critiques catégoriques sur M. Xi sur les réseaux sociaux, l’accusant de diriger une dictature.
Xu Zhiyong à Pékin en 2009.
Il a également critiqué la gestion par M. Xi de l’épidémie dans la province centrale de Hubei, qui a tué au moins 1 770 personnes en Chine et rendu malade plus de 70 000. Dans l’un de ses derniers écrits avant sa détention, M. Xu a pleuré la mort d’un médecin à Wuhan que la police avait réduit au silence après avoir mis en garde contre le virus.
« Dans leur cœur », a déclaré M. Xu à propos des chefs de parti, « il n’y a ni bien ni mal, ni conscience, ni résultat net, ni humanité ».
M. Xu, un brandon qui a passé des décennies à faire pression pour des réformes politiques, a longtemps affronté le gouvernement chinois.
Il a été condamné à quatre ans de prison en 2014 pour «rassemblement d’une foule pour troubler l’ordre public», une accusation qui découlait de son rôle d’organisateur du mouvement des nouveaux citoyens, un effort populaire contre la corruption et l’injustice sociale dans la société chinoise.
On ne sait pas quelles charges les autorités pourraient porter contre M. Xu. Les circonstances de la disparition de sa petite amie, Mme Li, étaient également ambiguës. La police de Guangzhou n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires.
Les amis de M. Xu ont défendu ses actions.
« C’est dans le cadre de la liberté d’expression en vertu de la Constitution chinoise », a déclaré Hua Ze, un militant basé dans le New Jersey et un ami de M. Xu qui a confirmé sa détention.
Confronté à une colère grandissante du public face à l’épidémie de coronavirus, le leader chinois a évoqué la nécessité de «renforcer l’orientation de l’opinion publique», un terme qui fait souvent référence au blocage des reportages indépendants et à la censure des commentaires critiques sur les réseaux sociaux chinois.
De nombreux militants de la liberté d’expression craignent que le parti, soucieux de maintenir son contrôle, resserre les rênes du discours public malgré une perception croissante que le fait de faire taire les médecins et d’autres qui ont tenté de sonner l’alarme a permis au virus de se propager plus largement.
Deux blogueurs vidéo qui ont attiré une grande attention pour leurs dépêches de Wuhan, l’épicentre de l’épidémie, ont disparu .
Yaqiu Wang, chercheur chinois à Human Rights Watch, une organisation de défense des droits, a déclaré que la détention de M. Xu montrait que les autorités n’avaient pas l’intention de desserrer les restrictions à la parole.
« Le gouvernement chinois persiste dans ses anciennes habitudes: faire taire ses détracteurs plutôt que d’écouter les gens qui promeuvent des politiques respectueuses des droits qui résolvent réellement les problèmes », a-t-elle déclaré.
En complémentaire
La Chine censurée
Les frustrations du public étaient autrefois laissées sans censure en ligne, et les médias ont fait un rapport rigoureux sur l’épidémie. Ces jours sont peut-être révolus.
Mercredi, une rue commerciale presque vide à Pékin.
SHANGHAI – Alors que le nombre d’ infections à coronavirus en Chine continue d’augmenter, le gouvernement communiste a réprimé les médias et Internet, signalant un effort pour contrôler le récit d’une crise qui est devenue un défi de génération en génération pour les dirigeants de Pékin.
Les autorités sanitaires chinoises ont déclaré jeudi que 563 personnes étaient mortes du virus, contre 490 la veille, et qu’il y avait 28 018 cas d’infection confirmés. Des milliers d’autres cas sont signalés chaque jour et de nombreux Chinois craignent que la propagation du virus ne soit pas suffisamment contrôlée.
Les frustrations étant nombreuses dans tout le pays, les dirigeants chinois semblent renforcer les contrôles de l’information après une brève période au cours de laquelle les organes de presse ont été en mesure de rendre compte de manière approfondie de la crise, et de nombreux commentaires négatifs sur la réponse officielle n’ont pas été censurés en ligne .
Ces derniers jours, les médias d’information et les médias à vocation plus commerciale ont été invités à se concentrer sur des histoires positives sur les efforts de secours contre les virus, selon trois personnes travaillant dans des agences de presse chinoises qui ont parlé sous couvert d’anonymat pour discuter des directives internes.
Les plates-formes Internet ont supprimé une série d’articles qui suggèrent des lacunes dans la réponse du gouvernement chinois ou sont autrement négatifs sur l’épidémie.
Les responsables locaux ont également réprimé ce qu’ils appellent des «rumeurs» en ligne sur le virus. Cette semaine, le ministère chinois de la Sécurité publique a salué ces efforts , qui se sont poursuivis même après qu’une personne réprimandée pour avoir répandu des rumeurs se soit avérée être un médecin tirant la sonnette d’ alarme concernant les premiers cas de la maladie.
Le gouvernement chinois a modifié sa stratégie de contrôle de l’information en réponse à la nature changeante du mécontentement du public, a déclaré King-wa Fu, professeur agrégé au Journalism and Media Studies Center de l’Université de Hong Kong.
Au tout début de la crise, le vitriol en ligne était largement destiné aux autorités locales. Maintenant, une plus grande partie de la colère est dirigée contre des dirigeants de haut niveau, et il semble y en avoir plus dans l’ensemble, a-t-il déclaré.
Un travailleur marche parmi les lits dans un centre de congrès qui a été converti en hôpital temporaire à Wuhan, en Chine, mardi.
À la fin du mois dernier, par exemple, après que le New England Journal of Medicine a publié un document de recherche sur les premiers cas de virus, les internautes chinois se sont prononcés sur le fait que plusieurs des auteurs travaillaient pour le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, affirmant qu’ils aurait dû informer le public, pas poursuivre sa carrière de chercheur.
« Maintenant je comprends », a écrit une personne sur la plateforme sociale Weibo. «Le but du CDC était de publier des articles de recherche.»
« Je suis tellement fou que je suis sans voix », a écrit un autre.
Les chercheurs ont déclaré plus tard que toutes leurs informations sur les infections avaient déjà été rendues publiques avant la rédaction du document.
À ce stade, a déclaré le professeur Fu, plus de censure « ne mettrait pas fin à la frustration du public ».
L’augmentation rapide du nombre d’infections et de décès dus au nouveau virus a exercé une pression renouvelée sur la haute direction en Chine. Les hôpitaux situés près du centre de l’épidémie ont été débordés et les personnes présentant des symptômes semblables à ceux de la grippe ont été refoulées. De nombreux cas n’ont pas été diagnostiqués en raison d’une pénurie de kits de test.
Pourtant, le nombre de personnes en convalescence en Chine augmente également. Mercredi, un expert chinois de la santé a attribué la forte augmentation du nombre de cas confirmés au fait que les hôpitaux avaient pu diagnostiquer le virus plus rapidement. Le nombre de cas suspects a baissé pour la même raison, a déclaré l’expert Li Xingwang lors d’ une conférence de presse officielle .
Les nouvelles restrictions à l’information semblent avoir été mises en place au début de la semaine, lorsque le dirigeant chinois Xi Jinping et d’autres hauts responsables ont déclaré lors d’une réunion qu’ils « renforceraient le contrôle sur les médias en ligne » comme l’une des nombreuses mesures visant à maintenir la stabilité sociale. .
Les dirigeants ont déclaré que les efforts de propagande du gouvernement devraient se concentrer sur « la transmission vivante des résultats émouvants des premières lignes de la prévention des épidémies » et « la démonstration de l’unité et de l’esprit de rassemblement du peuple chinois dans les moments difficiles », selon Xinhua, l’agence de presse officielle. .
Trajet en ferry vers le centre, à Hong Kong, mardi.
Après la réunion, un haut responsable du département central de propagande de la Chine a déclaré à la chaîne de télévision publique CCTV que son département avait envoyé plus de 300 journalistes sur les lignes de front de l’épidémie à Wuhan et dans la province environnante, le Hubei.
Le responsable, Zhang Xiaoguo, a déclaré que le département ferait de la publicité de la campagne de prévention et de contrôle du gouvernement sa «priorité absolue».
Il n’était pas clair si les 300 journalistes incluaient ceux qui faisaient déjà des reportages au Hubei, ou s’ils seraient de nouveaux arrivants. Il n’était pas clair non plus quels organismes de presse ils représenteraient. Une porte-parole du service de propagande a refusé de commenter.
L’effort a été rencontré avec un certain sarcasme sur les médias sociaux.
« L’énergie positive arrive enfin », a écrit un utilisateur sur Weibo, en utilisant le terme du gouvernement chinois pour le genre de ton boosterish et non critique qu’il préfère voir dans la couverture des nouvelles.
Le message a été aimé plus de 27 000 fois. Mais tous les commentaires sous le message ont finalement été supprimés et les nouveaux commentaires ont été interdits.
Les employés des agences de presse chinoises ont décrit cette semaine un changement de ton obligatoire dans leurs articles et de nouvelles commandes à publier sur la ligne officielle.
Les journalistes de l’agence de presse Xinhua, par exemple, ont reçu l’ordre de garder leur couverture du virus positive, selon des instructions internes vues par le New York Times. Il leur a été ordonné de ne pas continuer à mentionner le fait que l’Organisation mondiale de la santé avait déclaré une urgence sanitaire mondiale et de ne pas couvrir toutes les infections découvertes à l’étranger.
«Ne couvre que ce qui doit être couvert», ont indiqué les instructions.
Dans le reste du paysage de l’actualité chinoise, des articles sur un large éventail de thèmes ont été bloqués ou supprimés en ligne ces derniers jours.
Ils incluent un reportage dans le magazine financier Caijing sur les décès à Wuhan qui n’auraient peut-être pas été comptabilisés dans le décompte officiel; un récit de première main d’ un salon funéraire à Wuhan ; et même une entrevue avec le chef d’une chaîne de restaurants populaire qui a déclaré qu’il pourrait manquer d’argent dans quelques mois si le virus n’était pas contenu.
Transfert de fournitures médicales à Wuhan mardi,10 mars 2020.
Pékin s’apprête à resserrer sa gestion de l’épidémie alors que les gouvernements du monde entier continuent de se couper de la Chine pour empêcher l’importation de cas de coronavirus.
Hong Kong, un territoire chinois semi-autonome, a déclaré mercredi qu’il commencerait à exiger que toutes les personnes qui arrivent de Chine continentale subissent une quarantaine obligatoire de 14 jours. Hong Kong compte 21 cas confirmés de coronavirus, dont trois ont été transmis localement.
Carrie Lam, la plus haute responsable de la ville, a résisté aux demandes de certains législateurs et travailleurs médicaux de fermer complètement la frontière, la qualifiant de discriminatoire et non conforme aux directives de l’OMS. Mais elle a adopté une série de mesures, notamment la fermeture de tous les postes frontaliers sauf trois, qui ont entraîné une forte baisse des entrées en provenance du continent.
Les États-Unis et d’autres pays ont également imposé des restrictions d’entrée aux visiteurs en provenance de Chine. Ces mesures ont plongé l’industrie mondiale du voyage dans le désarroi.
Le ministre italien des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, a déclaré dans une interview à l’Associated Press que l’interdiction de vol imposée par l’Italie sur les vols commerciaux à destination et en provenance de la Chine, mise en place le 30 janvier, pourrait bientôt baisser maintenant que des scanners thermiques sont installés dans les aéroports de toute l’Italie et en prenant les températures des passagers arrivant de tous les vols étrangers.
Cathay Pacific, la compagnie aérienne internationale basée à Hong Kong, a demandé à ses 27 000 employés de prendre trois semaines de congé sans solde. Le transporteur a déjà supprimé presque tous les vols à destination et en provenance de la Chine continentale et a déclaré qu’il réduirait les vols sur son réseau alors qu’il fait face à sa plus grande urgence depuis les profondeurs de la crise financière en 2009.
Vingt personnes sur un bateau de croisière transportant 2 666 passagers et 1 045 membres d’équipage et mis en quarantaine à Yokohama, au Japon, ont été testées positives pour le coronavirus, a annoncé mercredi la compagnie de croisière Princess Cruises. Et 170 autres personnes qui pourraient avoir été exposées n’ont pas encore été testées.
Le navire est arrivé à Yokohama mardi, mais les autorités n’ont autorisé personne à sortir. Un résident de Hong Kong de 80 ans qui avait débarqué plus tôt dans sa ville natale a été trouvé infecté.
Mercredi, des centaines d’Américains qui se trouvaient à Wuhan à mesure que l’épidémie s’aggravait sont arrivés en Californie sur deux vols d’évacuation organisés par le gouvernement américain. Le 12e cas de coronavirus aux Etats-Unis a été confirmé mercredi.
Les chercheurs ont combiné Arbidol, un médicament antiviral utilisé en Russie et en Chine pour traiter la grippe, avec Darunavir, le médicament anti-VIH, pour traiter les patients atteints du coronavirus, selon Changjiang News, un journal d’État à Wuhan.
Les chercheurs n’ont pas dit combien de patients avaient été traités avec la thérapie combinée, et il pourrait être trop tôt pour évaluer son efficacité. Les résultats n’ont pas été examinés par des experts externes.
Une rue vide à Wuhan, la ville intérieure au centre de l’épidémie. Crédit …
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