Comme il fait son chemin plus profondément dans la carrière, explorateur urbain Vincent Michel ne peut pas savoir exactement ce qui nous attend. Mais quand il fait enfin la découverte surprenante, il devient évident qu’il a mis au jour quelque chose d’une grande importance historique.
À cinquante-six ans Vincent Michel,est un professeur d’éducation physique, originaire de Belgique. Dans ses temps libres,c’ est un passionné de photographie et explorateur des environnements urbains. Et ce fut au cours d’une de ses expéditions dans un tunnel minier français qu’il a fait une découverte étonnante.
Des découvertes inattendues sous la terre française.
En Août 2016, Michel était en voyage pour découvrir les secrets d’une zone urbaine abandonnée. Ce voyage, cependant, allait bientôt offrir tellement plus que des toiles de fond spectaculaires à partir de laquelle il allait prendre des photos dignes d’Indiana Jones.
Plutôt que d’être juste une autre carrière vide, le tunnel dans le centre de la France contenait un énorme trésor de voitures anciennes. Elles étaient en train de rouiller loin de la vie des humains, et donnaient l’impression qu’elles n’avaient pas vu la lumière du jour depuis des décennies.
Parmi elles, se trouvaient des véhicules qui semblaient avoir leur origine dans les années 1930 en France. Il y avait, en fait, des dizaines de ces voitures, toutes stationnés en rangées – Renault, Peugeot et Citroën parmi elles,particulièrement.Malheureusement, les voitures ne sont pas exactement en très bon état; si elles ne sont pas brisées, elles étaient couvertes de rouille. En effet, certaines d’entre elles étaient tellement délabrées qu’elles ont dû être détruites avant d’être caché.En fait, à peu près toutes les voitures avaient été vidées; tout ce qui restait de la plupart d’entre elles étaient des carosseries. Il est probable que certaines d’entre elles peuvent même avoir des certaines de parties qui ont été enlevées au cours des années, par celui qui le savait à leur sujet ou avait accès à la carrière.
Michel a veillé à documenter sa découverte avant de poster les résultats sur Flickr. A côté des images, il a écrit qu’il soupçonnait les voitures d’avoir été amenées dans la carrière au début de la Seconde Guerre mondiale, afin de les cacher des nazis.Comme c’était en mai 1940 – environ neuf mois après que la guerre avait commencé – l’armée allemande a commencé son invasion de la France. Et six semaines plus tard, les nazis avaient largement pris le contrôle du pays, revendiquant les régions du nord et de l’ ouest comme une «zone allemande d’occupation.”
Michel a écrit que les nazis ont peut-être voulu réquisitionner les voitures trouvées dans la carrière. Et cela aurait pu être la raison pour laquelle elles ont été cachées avant le début de la guerre, dans «une ancienne carrière souterraine que presque personne ne se souvient.”En effet, la réquisition des véhicules était une pratique courante par les nazis pendant la guerre. Ils dépouillaient les métaux et d’autres ressources des voitures afin de les utiliser pour fabriquer leurs propres machines de guerre et des armes.
Par conséquent, il est facile d’imaginer que les habitants ont peut-être conduire leurs voitures vers le souterrain dans la carrière pour les protéger d’être mis au rebut. Dans une telle situation, il est probable qu’ils auraient prévu de les récupérer après que la guerre aurait pris fin.Bien sûr, cette théorie est tout simplement celle prise des idées de Michel sur ce qui est arrivé – quelque chose qu’il admet librement sur son compte Flickr. En fait, la véritable histoire aurait facilement pu être toute autre chose.Par exemple, toute personne responsable de l’énorme réserve de voitures peut avoir été simplement un collectionneur ou récupérateur. Et il est possible que ledit individu n’aurait pas survécu à la guerre, auquel cas il n’aurait pas été en mesure de retourner à la carrière pour les récupérer.
Malheureusement, tout cela est une simple conjecture. Et malgré tous les efforts de Michel ou de quelqu’un d’autre, nous ne saurons jamais la véritable histoire derrière la raison dont les voitures ont fini par rouiller dans une carrière pendant des décennies. Mais au moins, maintenant, elles ont été remises en lumière.
Quelle que soit la vérité, le propriétaire ou les propriétaires, des voitures clairement ne sont pas revenus pour les récupérer après 1945. Et elles gisaient abandonnées pendant des années, jusqu’à ce que Michel a trébuché sur eux ce jour d’août 2016 qui ne sera jamais oublié.
Cependant comme pour ajouter au mystère, il semble que quelqu’un a eu accès à la carrière à un moment donné au cours de ces décennies. En effet, à côté des véhicules rouillés ,il y a une poignée de modèles plus récents, dont certains ont même conservé leur peinture d’origine – comme un bleu 1960 Opel Kapitän.
Après avoir fait sa découverte étonnante, Michel a dit que certaines des voitures ont ensuite été retirées de la carrière et vendues. Et sans doute leur âge rendait précieuses des pièces de collection, sinon leur état. La plupart des véhicules, cependant, ont été tout simplement abandonnées là, trop endommagées pour être déplacées.
” La plupart des voitures sont encore en paix à l’ intérieur de la carrière”, a déclaré Michel à Fox News . Bien que la découverte était certainement hors de l’ordinaire pour l’explorateur, il espère que ce ne sera pas la seule fois que cela va arriver. «Ce fut une expérience incroyable, et j’espère vraiment trouver un autre endroit similaire à l’avenir.”
Après tout, ce n’est pas tous les jours que vous tombez sur un trésor magnifique dans une carrière en France. Et tandis que les voitures peuvent continuer à rouiller l’intérieur du tunnel, elles vont rester loin des regards,au-delà de toute utilisation ou d’un travail, elles fournissent un aperçu étonnant de l’histoire – ce qui les rend absolument inestimable.Elles sont une capsule temporelle de notre époque,de notre civilisation qui va mourir bientôt. Notre civilisation néolibérale qui est l’héritière de la Conspiration nazi.
Un bunker allemand au beau milieu de la ville de Caen (Calvados). L’édifice a été découvert en novembre 2015. Mais le véritable dégagement du bunker n’a eu lieu que lundi 7 mars, révèle Ouest-France. Mardi, des archéologues se sont affairés toute la journée sur le site, qui servait au logement des soldats.
Les recherches se poursuivent.
“On a trouvé quelques pièces de monnaie, dont un franc de 1940, une bouteille entière, des couteaux, une conserve, une chaussure”, décrit au quotidien régional Pascal Couanon, du service régional d’archéologie.
“C’est un poste isolé, très mal connu, qui n’est pas répertorié dans les inventaires. Il défendait l’entrée de Caen, le long de la route qui mène à la mer”, explique de son côté Cyrille Billard, conservateur du patrimoine à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac).
Pour lui c’est une véritable aubaine : “Nous avons lancé un inventaire de tous les vestiges de la seconde guerre mondiale, dans les trois départements bas normands. Ce bunker, c’est l’occasion de sensibiliser le public à ce patrimoine, auquel les archéologues ne s’intéressaient pas il y a encore 10 ans.”
Trois anciennes pyramides ont été découvertes dans l’Antarctique par une équipe de scientifiques américains et européens. Deux des pyramides ont été découvertes à environ 20 kilomètres de la côte, tandis que la troisième était très proche de cette dernière.
Les premiers rapports des pyramides sont apparus dans la presse occidentale l’an dernier. Quelques photos ont été affichées sur certains sites internet avec un commentaire que les structures étranges pourraient servir de preuves, que le continent de glace a déjà du être suffisamment chaud pour avoir hébergé une ancienne civilisation.
L’image aérienne prise au pôle Sud semble en présenter deux ou peut-être trois alignées de la même façon que sur le plateau de Gizeh.
Jusqu’à présent, on en sait peu sur les pyramides et l’équipe continue à rester discrète quant à cette découverte. La seule information fiable fournie par les scientifiques était qu’ils prévoyaient une expédition à l’intérieur d’elles, afin de poursuivre l’enquête et de déterminer avec certitude si les structures étaient artificielles ou naturelles. Aucun détail sur les expéditions n’a été fourni.
Si les chercheurs peuvent prouver que les pyramides sont des structures artificielles, la découverte obligerait à ce qu’il y ait une révision complète de l’histoire de l’humanité comme jamais auparavant.
Pendant ce temps, une série de découvertes étranges mais intéressantes ont récemment été réalisées en Antarctique. En 2009, des climatologues ont découvert des particules de pollen, ce qui pourrait éventuellement signifier que des palmiers ont autrefois agrémentés le paysage de l’Antarctique, et que les températures estivales atteignaient les 21 degrés Celsius. Trois ans plus tard, en 2012, les scientifiques du Desert Research Institute dans le Nevada ont identifié 32 espèces de bactéries vivantes dans des échantillons d’eau d’un lac situé à l’est de l’Antarctique.
Position de la première pyramide découverte en 2012. Neu Schwabenland est tout près!
Une potentielle civilisation dont l’histoire ne tient pas compte
Est-il possible que l’Antarctique était autrefois assez chaud, pour qu’une ancienne civilisation puisse y vivre ? Ce qui est encore plus surprenant, c’est la question de savoir si une culture avancée s’y est développée, et si certaines de ses structures sont encore enfouies sous la glace?
Voici ce que Google Earth permet de voir sur cette pyramide. Il ne s’agit que d’y aller.
Les chercheurs et les égyptologues ont longtemps soupçonné que le Sphinx est beaucoup plus ancien que ce qui est communément accepté, il est peut-être vieux de plus de 10 000 ans. Les scientifiques ont constaté des éléments de preuves dans l’érosion due à l’eau visible sur l’ancienne statue. Ce qui indique un changement climatique historique violent où en mille ans à peine une forêt tropicale s’est transformée en désert de sable. Si le climat en Egypte a changé aussi vite, est-il également possible que le climat en Antarctique ait pu changé de façon spectaculaire durant la même période?
Selon la théorie de la corrélation de Robert Bauval et Adrian Gilbert, la construction des pyramides de Gizeh a eu lieu dans la période précédant 10 500 ou 12 500 années avant JC, en prenant comme référence le mouvement de la bande d’Orion dans le ciel et en remontant le temps avec des données scientifiques, et que cette corrélation a été intentionnellement gravée par ceux qui ont bâti les pyramides.
D’étranges structures apparaissent sur les surfaces dégagées de glaces ,en Antartique.
La référence à 12 500 ans dans le passé est significative pour Hancock, puisque la position des pyramides indique le moment précis où une civilisation avancée précédente a vu son déclin dû à un cataclysme mondial.
Dans son livre Les Empreintes des Dieux, Graham Hancock a trouvé des indices qui mènent à une idée précise. Selon Hancock, les pyramides ont été construites dans toutes les cultures du monde et certains de ces monuments possèdent plus ou moins des configurations astronomiques évidentes.
D’anciens témoignages provenant de nombreuses sources – le Grand Sphinx d’Égypte, les temples mystérieux de Teotihuacán, les lignes géants de Nazca au Pérou, les pyramides massives du Soleil et de la Lune au Mexique – et ils les ont comparé avec les mythes et les légendes universelles. En étudiant des cartes datant de l’Antiquité, le savant suggère l’existence d’un peuple doté d’une intelligence supérieure, de technologies sophistiquées et d’une connaissance scientifique détaillée, dont les «empreintes», cependant, ont été complètement annihilées par un désastre aux proportions astronomiques.
Chaque culture adorait ses rois tel des dieux. Leurs religions ont toutes pour but de trouver l’immortalité de l’âme et certains de leurs prêtres étaient des astronomes, qui étudiaient les mouvements célestes. Le serpent est une figure symbolique présente dans toutes les cultures et qui est considéré comme sacré.
Cette grande unité culturelle, selon Hancock, suggère que la civilisation humaine n’est pas née soudainement et subitement de nulle part, mais a été «aidée» par quelqu’un de technologiquement et culturellement très avancé. La preuve à l’appui de cette théorie est l’expansion de l’agriculture.
Il est avéré que l’agriculture est née simultanément dans au moins six régions du monde qui n’avaient pas de liens apparents entre elles: en Amérique Centrale et du Sud, dans le Croissant Fertile, en Afrique centrale, à l’Est de la Chine et en Asie du Sud Est.
Première conclusion
Si nous lisons bien les rapports alarmistes des partisans du réchauffement climatique, que l’Arctique et l’Antarctique fondent. Alors, beaucoup d’entre nous pourrait vivre assez longtemps pour voir le jour où l’Antarctique sera à nu (sans neige, sans glace), pour admirer toutes les anciennes structures à sa surface. S’il y a une pyramide géante, cela changera la mentalité du monde pour toujours.
Seconde conclusion
Maria Orsic est une intermédiaire.
Cette affaire explique la découverte, par les explorateurs du Troisième Reich,d’une très ancienne civilisation lors de l’expédition antartique de 1938-39.Cette découverte faisait suite au crash ovni de Freiburg,en Forêt Noire et à la prise de contact entre la Société du Vril de Maria Orsic avec une civilisation extraterrestre (et/ou intra-terrestre). La découverte dans les archives secrètes allemandes ,d’une carte montrant un tunnel passant de part en part sous le continent gelé,nous fournit la preuve .Organiser une expédition vers les bases secrètes du Troisième Reich est devenu une nécessité pour apprendre davantage sur notre vérité historique,notre origine et notre avenir collectif.
Les bases secrètes allemandes furent établies près de l’entrée du fameux tunnel passant sous le continent Antartique. Cette carte fut tenue secrète jusqu’à tout récemment…une fuite!
La carte de l’expédition de 1938-39 nous montre aussi des établissements (ou colonies) du Reich ,en Amérique du Sud.
Le labyrinthe antique souterrain découvert en Égypte contient 3 000 chambres avec des hiéroglyphes ! Dans la pyramide, la chambre funéraire est une merveille de conception. Le caveau est une cuve taillée dans un gros bloc de quartzite pesant près de cent-dix tonnes.
La pyramide de Hawara est la deuxième pyramide qu’Amenemhat III se fit édifier, la préférant, pour se faire ensevelir, à la première pyramide située à Dahchour.
Entrée de la pyramide…
Voici la porte d’entrée
Elle fut explorée pour la première fois par William Petrie en 1888 et 1889. L’égyptologue a ainsi pu identifier le temple funéraire du complexe comme étant le célèbre labyrinthe, monument décrit avec enthousiasme par de nombreux voyageurs célèbres de l’antiquité comme Strabon et Hérodote. L’ensemble funéraire peut être considéré comme le chef-d’œuvre architectural du Moyen Empire.
La pyramide devait avoir à l’origine une base de 105 mètres et une hauteur de 58 mètres. Le corps était composé de briques recouvertes d’un parement de calcaire.
L’entrée était située sur la face sud et dissimulée sous le parement de la pyramide.
Le plan de son infrastructure est plus simple qu’à la pyramide de Dahchour mais les moyens mis en œuvre pour rendre la pyramide inviolable sont bien plus élaborés. Pour la première fois depuis le règne de Snéfrou (pyramide rhomboïdale) les architectes ont utilisé, en le perfectionnant, le système de fermeture avec herse sur plan incliné.
Trois herses devaient initialement bloquer les accès mais une seule (la première à partir de l’entrée) a rempli sa fonction, les deux autres herses étant restées dans leur position d’attente.
Carte du site par Lepsius…
La chambre funéraire est une merveille de conception. Le caveau est une cuve taillée dans un gros bloc de quartzite pesant près de cent-dix tonnes. Le plafond du caveau est constitué de trois dalles de quartzite dont une restait suspendue afin de pouvoir introduire le corps de pharaon et de la princesse Ptahnéférou.
La dalle en suspens pèse près de quarante-cinq tonnes et était soutenue par deux étais jusqu’aux funérailles. Deux accès latéraux au caveau ont permis de sceller le tombeau. Petrie n’en avait pas compris le fonctionnement et émis l’hypothèse que ces accès constituaient des leurres afin d’égarer d’éventuels pilleurs. Ce système se retrouve dans plusieurs pyramides postérieures au règne d’Amenemhat III : la pyramide sud de Mazghouna, la pyramide de Khendjer et la pyramide inachevée de Saqqarah sud, ces deux dernières situées à Saqqarah.
Deux sarcophages de quartzite ainsi qu’une caisse à canopes se situent dans le caveau, le premier sarcophage était destiné au pharaon, le second, plus petit, à la princesse Ptahnéférou.
Afin de le protéger de la masse de la pyramide, le caveau était couvert par d’imposantes voûtes en chevrons (en A) suivant le modèle de la pyramide d’Amenemhat II à Dahchour. Les blocs composant le toit de cette voûte pèsent cinquante tonnes.
Aujourd’hui les appartements souterrains sont complètement inondés par l’eau provenant d’une nappe phréatique.
Plan du complexe funéraire d’Amenemhat III à Hawara…
Le labyrinthe…
Le temple funéraire fut de nombreuses fois cité et décrit avec admiration par les voyageurs grecs de l’Antiquité. Sa renommée était telle que les érudits, jusqu’au XVIIIe siècle, ne manquèrent jamais de le citer et de l’indiquer sur leurs cartes. Il est pourtant si délabré que l’on ne peut se fier qu’aux anciennes descriptions de ses illustres visiteurs.
Hérodote comptait douze cours principales entourées de galeries et de salles. Strabon comptait autant de salles qu’il y avait de nomes en Égypte. Ces salles étaient regroupées par trois ou par six, chaque groupe précédant une cour. Ces salles et ces cours étaient juxtaposées dans le sens est-ouest et se succédaient du nord au sud en trois rangées, chaque rangée étant précédée d’une cour.
L’ensemble était entouré d’un déambulatoire. Petrie en a dressé un plan sans doute plus inspiré par les écrits des historiens que par les éléments, très rares, trouvés sur le terrain.
Descenderie des appartements funéraires… William Matthew Flinders Petrie découvrit un modèle en calcaire d’une pyramide ayant les mêmes proportions que la pyramide de Hawara. Ce dernier fit une découverte semblable à Meïdoum en mettant au jour une petite pyramide à degrés taillée dans la même matière.
Modèle en calcaire de la pyramide de Hawara…
Particularités du complexe funéraire :
La seule pyramide dont on ait trouvé un plan de conception, ici sous forme d’une maquette ;
L’immense temple funéraire (le labyrinthe) ;
Le mur d’enceinte à redans, typique des complexes funéraires de l’Ancien (Djéser, Sekhem-Khet) et du Moyen Empire ;
Les systèmes de fermeture avec herses ;
Le système de fermeture, très élaboré, du sarcophage de la pyramide.
Amenemhat III se fait édifier deux complexes funéraires durant son règne :
Le premier à Dahchour baptisée la Pyramide Noire en raison de son état actuel, très dégradé, dont seul le noyau en brique crue subsiste et lui donne cet aspect sombre à l’horizon oriental de la nécropole. Il semble que le projet ait été abandonné au cours du règne pour un autre emplacement ;
Le deuxième à Hawara, dans le Fayoum, complexe de grande envergure dont le temple funéraire était si vaste qu’il a été interprété par les auteurs classiques comme le prototype des labyrinthes. C’est dans la pyramide de ce complexe funéraire qu’Amenemhat III sera finalement inhumé.
Entrées souterraines, labyrinthes, culs-de-sac et passages secrets, caractérisent les deux pyramides en brique crue d’Amenemhat III.
Je signale qu’en visionnant ce reportage, en se rend compte de l’improbabilité de la façon dont la pyramide a été pillée, le tunnel creusé, les dalles soulevées et déplacées, le perçage du mur de quartzite etc, tout cela reste du domaine de la supposition, et n’a pas valeur de certitude loin s’en faut !
Pour compléter un peu ce sujet déjà très riche, voici en complément, ‘’La Cité Oubliée D’ Egypte’’
En Syrie, le site archéologique de Quatna, découvert il y a près de vingt ans, provient d’une civilisation très peu connue. Ce mystérieux royaume se trouvait à la frontière nord de l’empire égyptien. Il disparut il y a 3500 ans.
Très peu de texte en parlent. En 2009, une équipe d’archéologues a mis à jour une chambre funéraire donnant de précieuses indications.
Les fouilles sur l’ensemble du site permettent d’avoir une idée de l’ampleur du royaume. La disparition de cette civilisation semble être due aux hittites, qui détenaient une armée puissante et redoutée.
Des traces laissent penser que le royaume a ensuite été totalement brûlé.
Je signale que seulement 10% du site ont été exploré ! et il faut bien comprendre que l’histoire racontée est comme toujours une supposition, car on en sait strictement rien du tout au final !
Un maraîcher d’Ueken (AG) a découvert enterré dans son verger près de 4000 pièces datant du IIIe siècle. Les inscriptions qu’elles portent sont encore très bien lisibles.
Un maraîcher d’Ueken (AG) a fait une découverte archéologique de taille. Dans son verger de cerisiers était enterré un véritable trésor numismatique datant du IIIe siècle de notre ère. Comptant plus de 4000 pièces, il s’agit d’un des plus importants de Suisse.
Les pièces de monnaie sont dans un excellent état de conservation, indiquent les services de l’archéologue cantonal argovien jeudi. Les inscriptions qu’elles portent sont encore très bien lisibles.
Un expert a identifié les frappes de plusieurs empereurs romains, allant d’Aurélien (270-275) à Maximien (286-305). Les pièces les plus récentes datent de 294.
1700 ans sous terre
Les archéologues pensent que leur propriétaire les a retirées de la circulation au fur et à mesure, peu après leur fabrication. Pour une raison qui reste mystérieuse, ils les a enterrées peu après 294 et n’est jamais revenu les chercher.
Le trésor est resté sous terre durant 1700 ans, jusqu’à juillet dernier, lorsque l’agriculteur a remarqué des pièces à l’entrée d’un terrier de taupe. Il appelle alors l’archéologue cantonal.
Une importante fouille est organisée qui permet de retrouver 4166 pièces de bronze pour un poids total de 15 kilogrammes. Elles présentent un taux particulièrement élevé de 5% d’argent.
Deux salaires annuels
Leur valeur de l’époque devait représenter un à deux salaires annuels. Sa valeur marchande actuelle n’a pas été évaluée, car ce n’est pas une priorité, a précisé à l’ats l’archéologue cantonal Georg Matter.Les objets archéologiques retrouvés dans le sol appartiennent à la collectivité publique, souligne encore M. Matter. A terme, le trésor d’Ueken sera exposé au Musée Vindonissa de Brugg (AG).
Un trésor de51piècesd’or(macédoniennes etun collier) cachées à l’intérieurd’une cavité dansla roche dansl’ancienne Corinthe. Les piècesdePhilippeIIproviennent dePella etAmphipolisen Macédoine, tandis que cellesd’Alexandre III(le Grand) d’Amphipolis, de Miletet deTarseen Asie Mineure, de Salamine à Chypreet de Sidonen Phénicie. Letrésora été cachéquelque temps après330 avant JC, lorsque Alexandreétaiten Asie etune garnisonmacédoniennegrecque avaitétéstationnéeà Corinthepour protégerl’isthme.
Découverte dans les sables du désert profond du Turkménistan.
“Il y a plusde quatre millénaires, la villeforteresse deGonur–Tepe aurait pu être unecivilisation avancée très rare avant qu’elle n’ a étéenterrépendant des siècles sousla poussièredu désertde Karakoumdans les régions éloignéesde l’Ouest du Turkménistan.
Après avoir étédécouverte par les archéologuessoviétiquesdurant le 20 ième siècle , Gonur–Tepe, jadis fut une capitale pourdes milliers de personneset le centred’une régionen plein essor, elle révèle progressivementses mystèresavec de nouveauxobjetsdécouvertssur chaquefouilled’été.
L’échellede l’immense complexe qui couvreenviron 30 hectaresne peut être correctementappréciéede l’air, d’où lesanciens bâtimentsressemblent àun labyrinthedans le désertentouré de vastesmurs“.
Fantastique!
La nécropole – découverte d’une fosse à l’intérieur duquel un homme dans une position accroupie est enterré./ The necropolis – discovery of a grave inside which a man in a squatting position is buried.
D’étranges statues au visage énorme, aux larges oreilles, aux orbites béantes et tournées vers le ciel se dressent dans la solitude désolée de Rapa-nui, nom donné par les Tahitiens à l’île de Pâques. Aujourd’hui encore, elles constituent une énigme majeure de l’archéologie.
Les yeux des statues retrouvés enfouis dans le sol en 1978 et replacés dans leur orbite, accentuent le caractère grandiose et mystérieux de ces colosses.
Fascinants vestiges d’une civilisation ancienne peu connue, ces grandioses effigies sont différentes de celles qui peuplent les autres terres du Pacifique, et les Pascuans eux-mêmes ont perdu tout souvenir de leur signification. Elles sont aperçues pour la première fois par le navigateur hollandais Roggeveen qui débarque sur l’île, terre aride et pauvre d’origine volcanique constituant l’extrême pointe de la Polynésie, le jour de Pâques 1722: la date donne son nom à la nouvelle terre.
Souvent nommées les “têtes” ou les “bustes” les statues de l’île, les moai, dont la taille varie de un à vingt et un mètres représentent cependant une silhouette entière. Mais les visages sont si disproportionnés et énormes que le reste du corps passe inaperçu. Leur nombre est évalué à six cents environ. Elles ont été taillées dans le tuf, roche du volcan Rano Raraku, à l’Est de l’île.
Dans la carrière creusée dans le flanc du volcan se trouvent jusqu’à deux cents statues restées inachevées, sans qu’on puisse s’expliquer les raisons de l’abandon de ce gigantesque chantier. Les plus anciennes semblent avoir été fabriquées entre 500 et 800 de notre ère. Les moai peuvent être regroupés en deux catégories. Les premiers se dressent sur les versants du Rano Raraku et leurs corps sont recouverts de symboles. Les seconds, ornés à l’origine de couvre-chefs cylindriques appelés pukaos, ont été levés sur des autels (les âhu : murs érigés parallèlement à la côte et hauts de cinq mètres) et tournant le dos à la plage. Ils ont été renversés pendant les violentes guerres tribales du XVIIIème siècle.
En 1978, l’archéologue pascuan Sergio Rapu découvre dans le sol d’immenses yeux de corail blanc et de tuf rouge, ce qui infirme la théorie selon laquelle les orbites des statues avaient été volontairement laissées béantes.
La population pascuane, au moment de la découverte de l’île, se divise en une dizaine de clans différents sur lesquels règne un roi. Le premier d’entre eux aurait été un certain Hotu Matua, venu avec sa femme et ses compagnons d’un autre atoll polynésien en proie à la guerre. Dans les années 1950, le navigateur norvégien Thor Heyerdahl avance que les premiers habitants de cette terre ont été les descendants de Péruviens (hommes dits “aux longues oreilles”) et qu’une seconde vague d’immigration a gagné la Polynésie juste avant la découverte de l’île.
Mais cette thèse ne rencontre plus guère d’écho à l’heure actuelle en dépit du succès de l’expédition du Kon-Tiki, en 1947, traversée effectuée entre le Pérou et la Polynésie dans le but de démontrer l’origine amérindienne des populations océaniennes. La seule certitude en ce qui concerne les Pascuans semble être leur parenté avec les Polynésiens.
Une trentaine de souverains ont succédé à Hotu Matua jusqu’en 1862. Un second roi, ou chef militaire, est aussi choisi chaque année, après une cérémonie religieuse consacrée au culte d’un Homme-Oiseau. C’est au printemps que cette fête s’organise. Elle consiste en une compétition où chaque homme doit s’emparer, avant les autres, du premier oeuf pondu par les sternes, hirondelles de mer, sur l’îlot voisin de Moto Nui. Le vainqueur (en fait, chaque concurrent est représenté par son serviteur) prend alors le nom de Tangata Manu et incarne sur terre le dieu Maké Maké, créateur de l’Univers.
Les ressources et la configuration de l’île expliquent que la société pascuane soit formée pour l’essentiel de pêcheurs et de cultivateurs. Très hiérarchisée, elle est continuellement en proie à des luttes violentes et le cannibalisme y est une pratique courante. Mais c’est une grande rafle d’esclaves menée en 1862 par des négriers péruviens qui lu, porte un coup fatal en décimant la quasi totalité de ses habitants. Aujourd’hui, les Pascuans d’origine ont pratiquement disparu, et l’île de Pâques, avec environ deux mille habitants, n’est plus qu’un département ci du Chili, qui l’a annexée en 1888.
Pendant longtemps, les savants se sont demandé comment les Pascuans avaient pu ériger des statues aussi imposantes. Une réponse est apportée en 1955 par Thor Heyerdahl qui, en dix-huit jours, parvient, avec l’aide d’une douzaine de Pascuans, à dresser une statue de 23 tonnes.
Armés de madriers, les ouvriers inclinent un côté de la statue et glissent des pierres dessous. Ensuite, ils soulèvent un peu plus la statue et recommencent l’opération jusqu’à ce qu’elle soit presque amenée à la verticale contre les pierres amassées. Puis ils finissent de la redresser avec des cordes.
Mais Heyerdahl ne peut expliquer comment ont été posés les “chapeaux” des statues, lourds de plusieurs tonnes. Le transport des statues, des carrières à leur lieu d’érection, a également suscité maintes interrogations. En 1955, une expérience est tentée : les colosses de pierre sont couchés, sur le ventre, sur des traîneaux tirés par des cordes. Mais, si le problème du transport se trouve ainsi résolu, celui des matériaux nécessaires à ces différentes opérations demeure.
L’île, découverte en 1722, n’a qu’une maigre végétation. Enfin, en 1983, des noix de jubea, fruits d’un palmier dit du Chili, abandonnées depuis des siècles, sont découvertes. La théorie du botaniste britannique John Flenley affirmant qu’autrefois l’île était couverte d’une forêt dense est ainsi confirmée. Les Pascuans disposaient donc du matériel nécessaire à la construction des leviers et des madriers…mais ceci est une explication rationnelle de la situation:elle ne tient pas compte d’une possibilité d’intervention ,d’une aide venue …d’ailleurs!
Un système unique pour l’exploitation des sources d’eau souterraine a été développé dans le bassin du Rio Grande de Nasca dans l’époque précolombienne. Cette technique implique l’excavation de tranchées et tunnels horizontaux pour atteindre les aquifères souterrains qui retiennent l’eau en profondeur sous le sol. Encore en usage aujourd’hui par les habitants de la vallée, ces tunnels, puits et tranchées sont connus collectivement comme étant les puquios.
L’incroyable aqueduc de Cumbermayo ,à Nazca.
Les anciens du Pérou construisirent un extraordinaire système d’irrigation qui assurait une mobilité de l’eau et les technologies la préservant comme les aqueducs de Cumbe Mayo ( c. 1500 BCE) ou de la Nazca …des aqueducs souterrains appelés Puquios (date incertaine de fabrication selon la science officielle), ou sur les jardins en terrasses de la Huari . Des aqueducs ont également été utilisés par le peuple Moche .
Une autre technique utilisée pour adapter le terrain escarpé de la Cordillère des Andes à l’agriculture est par le moyen des terrasses. Les peuples Chavin, Moche, et celui des Incas ont construit des terrasses ou des zones aplaties de terres, sur les côtés des collines. Les terrasses réduisent l’érosion des sols qui seraient normalement en haut d’une colline escarpée. Ces terrasses sont encore utilisés au Pérou. Les Incas ont également leurs champs irrigués avec un système de réservoirs et des citernes pour recueillir l’eau, qui a été ensuite distribuée par des canaux et des fossés.
La nécessité d’une source supplémentaire d’eau peut être clairement vu dans les statistiques nationales du Pérou concernant les ressources en eau disponibles aujourd’hui. Les observations modernes indiquent que dans les parties médianes des affluents du Rio Grande de Nasca, les rivières transportent de l’eau de surface seulement deux ans sur sept (Schreiber et Lancho 1995: 231) Lorsque l’eau ne s’écoule pas , le volume est bien inférieur à celui des autres systèmes des vallées plus au nord. Dans le drainage du plateau de Nasca, les affluents du sud de l’Aja, Tierras Blancas, Nasca, Taruga et Las Trancas reçoivent le moins d’eau.
“Le fleuve Aja … .a un flux annuel moyen de seulement 30,27 millions de m3 d’eau, par rapport à 198 050 000 m3 d’eau qui se jettent sur le Rio Grande (ONERN 1971). La quantité d’eau n’est tout simplement pas suffisante pour les habitants, passés et présents, en particulier pendant les périodes de sécheresse…donc de là ,l’importance de ces canaux dont la technologie qui a permis leur existance,à une lointaine période,nous étonne.
Voir notre vidéo sur Rutube …Vous allez visiter ce site directement: Lien vidéo sur le site
*Photos de la technologie inca:
L’aqueduc de Sayamarca est en pierres taillées sans joints de ciment ou mortier.Près de Machu Pichu,on peu admirer cette fontaine.
Aqueduc inca:même sans habitant,l’eau continue de couler depuis plus de 1,000 ans.
Autre aqueduc inca près de Nazca:les dessins gravés avec un angle de 90 dégrés …nécessiteraient une foreuse à diamant pour effectuer le machinage de précision que l’on peut facilement voir.
Photo d’une canalisation en cercle…savamment conçue pour recueillir l’eau.
Forteresse de Sacsayhuanam ,Pérou. Les pierres taillées sont ajustées avec une précision défiant l’imagination. La science actuelle est embarrassée par son existence qui prouve une civilisation très avancée.
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