Les députés britanniques rejettent massivement l’accord du Brexit négocié avec l’UE par Theresa May

La défaite était prévisible, mais l’échec de la première ministre britannique, Theresa May, n’en est pas moins cuisant : le Parlement a rejeté par une large majorité l’accord de Brexit qu’elle a négocié pendant plusieurs mois avec Bruxelles.

 

Près de 75 jours avant la sortie prévue du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE), la première ministre britannique a perdu son pari.

Négocié pendant plus d’un an, le texte de 585 pages a été rejeté par 432 voix contre 202.

C’est la pire défaite parlementaire subie par un premier ministre britannique de l’ère démocratique, a souligné le site du quotidien britannique Guardian.

Ironiquement, le vote, aux conséquences imprévisibles, a uni les tenants d’un « Brexit dur », selon lesquels le Royaume-Uni maintenait des liens trop étroits avec l’UE dans le cadre de cet accord, et ceux qui s’opposent à la sortie du Royaume-Uni de l’UE.

 

L’opposition réclame un vote de confiance

Qualifiant l’issue de « défaite catastrophique » pour la première ministre, le chef du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, a rapidement réclamé un vote de confiance, qui sera débattu mercredi.

La Chambre a rendu son verdict sur son accord. Les reports et le déni ont atteint leurs limites.

Jeremy Corbyn, chef du Parti travailliste

Les unionistes nord-irlandais du DUP, qui ont voté contre l’accord de Brexit, ont néanmoins annoncé qu’ils soutiendraient le gouvernement lors de ce vote.

Theresa May a de son côté répété qu’elle souhaitait que le Royaume-Uni sorte de l’Union européenne « avec un accord ».

Elle s’est dite prête à aborder les futures discussions de manière « constructive », ajoutant que son gouvernement ne ferait que des propositions « réalistes ».

Si les députés lui permettent de rester en poste, Theresa May aura jusqu’à lundi prochain pour présenter une stratégie pour la suite qui permettrait d’éviter une sortie de l’UE sans entente.

Avant la tenue du vote, Theresa May avait appelé les députés à confirmer un accord qui honore le résultat du référendum du 23 juin 2016.

Auparavant, les députés britanniques avaient rejeté par une vaste majorité l’amendement soumis par le député conservateur John Baron sur la clause de « sauvegarde » irlandaise prévue dans le projet d’accord.

Cette clause prévoit d’empêcher le rétablissement d’une frontière physique entre la République d’Irlande et l’Irlande du Nord, instituant de facto un statut spécifique pour cette dernière.

Les trois autres amendements à l’entente qui devaient être soumis au vote des élus ont été retirés.

L’UE regrette l’issue du vote

Les réactions au sein de l’UE ne se sont pas fait attendre.

« Nous regrettons le résultat du vote et exhortons le gouvernement britannique à clarifier ses intentions en ce qui concerne ses prochaines étapes dès que possible », a déclaré un porte-parole du président du Conseil européen, Donald Tusk.

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a estimé que le risque d’un Brexit désordonné venait de s’accroître.

Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a pour sa part averti qu’il n’y aurait pas de renégociation de l’accord.

 

 

 

 

 

Comment les femmes allemandes ont subi le plus grand viol de masse de l’histoire par les Soviétiques

Selon les rapports de l’hôpital, Berlin, la capitale allemande, a enregistré plus de 100 000 cas de viol entre avril et mai, tandis que la Prusse-Orientale, la Poméranie et la Silésie ont été victimes de plus de 1,4 million de cas de viol.

 

 

Entre janvier et août 1945, l’Allemagne a connu le plus grand incident de viol de masse connu de l’histoire: environ deux millions d’Allemandes ont été violées par les soldats de l’Armée rouge soviétique, comme l’indique Walter Zapotoczny Jr. dans son livre ‘ Au-delà du devoir: la raison pour laquelle certains soldats commettent des atrocités ».

Les rapports d’hôpitaux ont également indiqué que des opérations d’avortement étaient effectuées quotidiennement dans tous les hôpitaux allemands.

Natalya Gesse, correspondante de guerre soviétique à l’époque, a déclaré que les Soviétiques ne se souciaient pas de l’âge de leurs victimes. «Les soldats russes violaient chaque femme allemande de huit à quatre-vingts ans. C’était une armée de violeurs », a-t-elle déclaré.

 

Cela a causé la mort de pas moins de 200 000 filles et femmes du fait de la propagation des maladies, en particulier le fait que de nombreux témoins oculaires ont raconté que des victimes avaient été violées jusqu’à 70 fois au cours de cette période.

Les soldats de l’Armée rouge violaient en masse les femmes allemandes en guise de vengeance contre leur ennemi: l’armée allemande. Ils estimaient que c’était leur droit acquis de le faire, l’armée allemande ayant «violé» leur patrie en l’envahissant. En plus de ne pas être en contact avec les femmes pendant de longues périodes, ce qui accroît leur instinct animal.

Dans son livre, Zapotoczny a déclaré que même les femmes soldats russes ne désapprouvaient pas les viols, certaines trouvaient cela amusant.

Un major soviétique a déclaré à un journaliste britannique de l’époque: «Nos camarades étaient tellement affamés de sexe qu’ils violaient souvent des femmes âgées de soixante, soixante-dix, voire quatre-vingts ans – à la grande surprise, sinon au plus grand plaisir de ces grand-mères».

 

Dans son livre, Zapotoczny a déclaré que même les femmes soldats russes ne désapprouvaient pas les viols, certaines trouvaient cela amusant.

En 1948, les cas de viol ont considérablement diminué après que les troupes soviétiques eurent ordonné le retour dans leurs camps en Russie et quitté des zones résidentielles en Allemagne.