The Department of Homeland Security said today that about 200,000 Salvadoreans will lose their right to stay in the US next year. Most have been US residents for a decade or more, and many have children who born here and hold US citizenship. With studied nonchalance, officials from DHS answered questions about the impact of…
Symptôme de la mise au pas idéologique que traverse une France en voie d’afro-islamisation avancée, les publications les plus emblématiques – et les plus identitaires – sont purgées pour se conformer au dogme du remplacement ethnique.
Ainsi en est-il de la fameuse bande dessinée « Astérix & Obélix »mettant en scène les deux fameux Gaulois déterminés à s’opposer à la conquête de leur pays par Rome. Las, cette trame de fond est précisément devenue « trop gauloise » à mesure que l’immigration de peuplement modifie le « public moyen ».
C’est la conclusion que l’on retire en lisant l’hebdomadaire Valeurs Actuelles qui s’en fait l’écho dans ses colonnes.
QUARANTE ANS APRÈS LA MORT DE GOSCINNY ET SIX ANS APRÈS QU’UDERZO A RENONCÉ À DESSINER, LE SCÉNARISTE JEAN-YVES FERRI ET LE DESSINATEUR DIDIER CONRAD SORTENT LE 37E VOLUME DES AVENTURES D’ASTÉRIX INTITULÉ ASTÉRIX ET LA TRANSITALIQUE.
Et :
UN DÉTAIL INTRIGUE CEPENDANT DANS CE NOUVEL ALBUM : LA DISPARITION DE LA FAMEUSE PAGE D’OUVERTURE PRÉSENTANT UNE CARTE DE LA GAULE AVEC LA LOUPE POSÉE SUR LE VILLAGE GAULOIS ENTOURÉ DES CAMPS ROMAINS D’AQUARIUM, DE BABAORUM, DE LAUDANUM ET DE PETIBONUM. EXIT ÉGALEMENT LES QUELQUES LIGNES SITUANT L’ACTION : “NOUS SOMMES EN 50 AVANT JÉSUS-CHRIST. TOUTE LA GAULE EST OCCUPÉE PAR LES ROMAINS… TOUTE ? NON. UN VILLAGE PEUPLÉ D’IRRÉDUCTIBLES GAULOIS RÉSISTE ENCORE ET TOUJOURS ET À L’ENVAHISSEUR…”
Cette page est maintenant censurée car il est devenu interdit de montrer des blancs qui se tiennent debout pour résister à un « envahisseur »!
Interrogée par 20 Minutes, une représentante d’Hachette balaie le sujet, estimant que“cette question n’a pas d’intérêt”.
Elle a bien sûr un intérêt éminent et c’est la raison pour laquelle on la maison d’édition ne préfère s’exprimer sur la question.
La dépossession culturelle et identitaire des Blancs d’Europe s’intensifie et le peu de place accordée en général à l’héritage celtique de l’Hexagone semble déjà trop importante dans la France multiraciale en gestation.
« Le temps n’est plus à tenter de convaincre mais à chercher à rassembler. Ceux qui n’ayant toujours rien compris aujourd’hui, demeurent nos farouches adversaires, ne comprendront pas d’avantage demain. Laissons-les s’enliser dans leurs polémiques et attaques stériles – bien dignes de leur médiocrité – et, fraternellement, travaillons ! »
(Jimmy Guieu,Nos maîtres les extraterrestres)
Il y a 18 ans aujourd’hui,s’éteignait Jimmy Guieu,mais qui était-il?
Jimmy Guieu est le pseudonyme littéraire de Henri-René Guieu (19 mars 1926 – 2 janvier 2000), écrivain français de science-fiction publiant notamment au Fleuve noir. Guieu a aussi écrit sous d’autres pseudonymes moins connus : Jimmy G. Quint, Claude Rostaing ou Dominique Verseau.
Jimmy Guieu rédige son premier roman dès l’âge de 25 ans pour les éditions du Fleuve noir. Le pionnier de l’atome était le numéro 5 de la fameuse collection « Anticipation », collection qui compte aujourd’hui plus de 2 000 titres, tous auteurs confondus.
Durant l’occupation Jimmy Guieu se signale par des actes de résistance dans le maquis de Dompierre-sur-Yon (Vendée, maquis SR-1). Cette notion de résistance, qu’elle soit contre les totalitarismes, les mafias ou les mauvais extra-terrestres, restera omniprésente dans son œuvre.
Dans les années 1950, il devient l’un des pionniers de l’ufologie française, avec Aimé Michel.
Vaincu par la maladie, il laisse un dernier manuscrit : “Terre, ta civilisation fout le camp“. (Vaincu par la maladie? regardez plus bas pour voir si c’était vraiment une maladie.)Je me propose de vous faire une vidéo de cette dernière oeuvre du Maître!
La collection « SF Jimmy Guieu » s’arrête à la fin de l’année 2003. Les derniers numéros sont écrits par Richard Wolfram (pseudonyme de Roland C. Wagner), auteur également des paroles d’une chanson hommage interprétée par le groupe Brain Damage : La Chanson de Jimmy
Les productions de Jimmy Guieu ne se limitent pas à l’écriture. Entre 1991 et 1994, dans la collection “Les portes du futur” dont il se présente comme le créateur et le directeur, il édite une série de 14 documentaires. Si l’essentiel des sujets abordés concernent les extra-terrestres, certains thèmes mystérieux comme Rennes-le-Château ou les Vortex sont aussi abordés avec l’appui de proches comme Guy Tarade. Ces documentaires sont pour Jimmy Guieu une tribune à partir desquelles il critique violemment le GEPAN, le SEPRA, ou met en garde le spectateur contre des manœuvres de désinformation orchestrées à l’échelle planétaire par des puissances occultes.
La Mort de Jimmy Guieu
Comme c’est étrange… Youtube à encore frappé, il existait plusieurs vidéos sur Jimmy Guieu, et maintenant elles ne sont plus. Encore un super utilisateur en moins, son pseudo était TheSavoisien, et il avait plus de 500 vidéos INCROYABLE à son actif… Bref on baisse pas les bras, je vais charger les vidéos sur mon site web afin de libérer la vérité… Mais je suis triste quand même, quand est-ce que les fils de **** Illuminatis vont arrêter de nous exterminer les uns après les autres sur internet et dans la réalité?
Récemment,j’ai investi une somme d’argent sur notre site web afin de pouvoir produire librement des vidéo sans me lier à Youtube qui est la propriété d’un grand ami de la fondation Clinton: George Sorros!
L’idée de la Journée Jimmy Guieu des Chercheurs et Diseurs de Vérité est venue à mon esprit il y a 10 ans maintenant.J’avais démarré cette proposition sur Facebook et j’avais entrepris de monter un site web dans ce but.
L’idée est de commémorer les Chercheurs et Diseurs de Vérité,entre autres les lanceurs d’alertes ,les écrivains et les simples penseurs.
Je vous propose donc aujourd’hui de garder une minute de silence en pensant à cette grance citation qu’il nous a laissé et que j’ai écrit au début de cet article.
EN CONCLUSION
Même si le personnage peut sembler controversé aux yeux de certains,il demeure un grand précurceur dans le combat contre le Nouvel Ordre Mondial et les Illuminatis.
Ne serait-ce par le fait des nombreuses menaces qui a reçu tout au long de sa vie,les moqueries et les condamnations qu’il a reçu sur la place publique,il restera pour toujours un exemple à suivre!
Les soldats américains qui ont combattu pendant la Seconde Guerre mondiale ont souvent été décrits comme des guerriers citoyens honorables de la «plus grande génération».
Mais un nouveau livre révèle le côté sombre de certaines indications géographiques dans la France libérée, où les vols, les viols et les prostitutions étaient monnaie courante.
Les libérateurs ont fait beaucoup de bruit et ont trop bu.
Ils ont couru dans leurs jeeps, se sont battus dans les rues et ont volé. Mais le pire était leur obsession pour les femmes françaises. Ils voulaient du sexe – certains gratuitement, d’autres pour de l’argent et d’autres de force.
Après quatre années d’occupation allemande, les Français accueillent les soldats américains débarquant en Normandie le 6 juin 1944 en libérateurs. Le pays entier délirait de joie. Mais après seulement quelques mois, une ombre a été jetée sur l’image des nouveaux maîtres parmi les Français.
Les exactions,les viols et actes violents envers les femmes,les enfants et les garçons d’âge mineure ont commencé avant même l’arrivée des troupes alliés,à Paris et le départ des soldats allemands.
À la fin de l’été 1944, un grand nombre de femmes en Normandie se plaignaient de viols commis par des soldats américains. La peur s’est répandue parmi la population, tout comme une plaisanterie amère: «Nos hommes devaient se déguiser sous les Allemands, mais quand les Américains sont venus, nous avons dû cacher les femmes.
Avec le débarquement allié sur Omaha Beach, « un véritable tsuna
mi de luxure masculine » a balayé la France, écrit Mary Louise Roberts, professeur d’histoire à l’Université du Wisconsin, dans son nouveau livre « What Soldiers Do: Sex and the American GI in World War II France. » Roberts enlève l’image idéalisée des héros de guerre. Bien que les soldats aient eu la réputation d’avoir commis des viols dans de nombreuses guerres, les GI américains ont été largement exclus de ce stéréotype. La recherche historique a porté très peu d’attention à ce côté obscur de la libération de l’Europe, longtemps considérée comme un sujet tabou aux États-Unis et en France.
La propagande américaine n’a pas vendu la guerre aux soldats comme une lutte pour la liberté, écrit Roberts, mais comme une «aventure sexuelle». La France était «un bordel formidable», la revue Life fantasmée à l’époque, «habitée par 40 000 000 hédonistes qui passent tout leur temps à manger, boire et faire l’amour». The Stars and Stripes, le journal officiel des forces armées américaines, a enseigné aux soldats des phrases allemandes comme: « Waffen niederlegen! » (« Jetez vos bras! »). Mais les phrases françaises recommandées aux soldats étaient différentes: «Vous avez des yeux charmants», «Je ne suis pas marié» et «Vos parents sont-ils à la maison?
Les pseudo procès d’après la libération.
Après leur victoire, les soldats ont estimé qu’il était temps pour une récompense. Et lorsqu’ils se sont amusés avec les femmes françaises, ils ne validaient pas seulement leur propre masculinité, mais aussi, métaphoriquement, le nouveau statut des États-Unis en tant que superpuissance, écrit Roberts. La libération de la France a été vendue au public américain comme une histoire d’amour entre des soldats américains et des femmes françaises reconnaissantes.
D’autre part, à la suite de leur défaite par les Allemands, de nombreux Français ont perçu les activités désinhibées des Américains dans leur propre pays comme une nouvelle humiliation. Bien que les Français étaient officiellement parmi les puissances victorieuses, les Américains étaient maintenant en charge.
Le sujet du sexe a joué un rôle central dans la relation entre les Français et leurs libérateurs. La prostitution était la source de conflits constants entre les autorités militaires américaines et les autorités locales.
Certains des reportages les plus spectaculaires proviennent de la ville portuaire du Havre, envahie par des soldats rentrant chez eux à l’été 1945. Dans une lettre adressée à un colonel Weed, le commandant régional américain, le maire Pierre Voisin se plaint que ses citoyens « Ne vont même pas faire une promenade dans le parc ou visiter le cimetière sans rencontrer des GI ayant des rapports sexuels en public avec des prostituées. »
« Des scènes contraires à la décence » se déroulaient jour et nuit dans sa ville, écrivait Voisin. Il était « non seulement scandaleux mais intolérable » que « les yeux de la jeunesse soient exposés à de tels spectacles publics ». Le maire a suggéré que les Américains installent un bordel à l’extérieur de la ville afin que l’activité sexuelle soit discrète et que la propagation des maladies sexuellement transmissibles puisse être combattue par le personnel médical.
Aucun respect pour le corps des femmes…Ici on force une femme à marcher nue devant une foule!
Mais les Américains ne pouvaient pas faire fonctionner les maisons closes parce qu’ils craignaient que les histoires sur la promiscuité des soldats reviennent à leurs femmes à la maison. En outre, écrit Roberts, de nombreux responsables militaires américains n’ont pas pris les plaintes au sérieux en raison de leur conviction qu’il était normal que les Français aient des relations sexuelles en public.
Mais les citoyens du Havre ont écrit des lettres de protestation à leur maire, et pas seulement en ce qui concerne la prostitution. Nous sommes « attaqués, volés, écrasés dans la rue et dans nos maisons », écrivait un citoyen en octobre 1945. « C’est un régime de terreur, imposé par des bandits en uniforme ».
Il y avait des témoignages similaires de partout dans le pays, avec des rapports de police énumérant holdups, vol et viols. En Bretagne, des soldats saouls ont détruit des bars quand ils n’ont plus de cognac. Les agressions sexuelles étaient monnaie courante à Marseille. A Rouen, un soldat s’est frayé un chemin dans une maison, a brandi son arme et a exigé des rapports sexuels.
Femme tondue pour avoir eu un ami allemand durant l’occupation!
Les autorités militaires ont généralement pris au sérieux les plaintes concernant le viol. Cependant, les soldats qui ont été condamnés étaient presque exclusivement afro-américains, certains d’entre eux apparemment sur la base de fausses accusations, parce que le racisme était également profondément enraciné dans la société française.
Autres femmes tondues pour avoir eu des rapports avec des soldats allemands.
Un cafetier du Havre a exprimé la profonde désillusion française sur le comportement des Américains quand il a déclaré: «Nous nous attendions à des amis qui ne nous auraient pas fait honte de notre défaite, mais à l’incompréhension, à l’arrogance, aux manières incroyablement mauvaises et à l’élan des conquérants. «
Combien d’Allemandes violées par les Alliés à la Libération ?
Un livre très bien élaboré:« Als die Soldaten kamen » (Quand les soldats sont arrivés).
Comme les soldats de l’Armée rouge, les Occidentaux se sont aussi rendu coupables de viols de masse après la défaite allemande.
Un million ? Deux millions ? Il a toujours été très difficile de donner des chiffres exacts sur le nombre de viols en Allemagne après la défaite de 1945. « À l’époque, l’administration était incapable de relever ce genre de données », explique Miriam Gebhard, auteur d’un livre [1] remarquable sur le sujet paru au début du mois de mars, à l’approche des 70 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Avec ce best-seller, l’historienne a réussi à tordre le cou à une légende : celle du violeur russe. « C’est une image véhiculée pendant la guerre froide par la propagande occidentale contre l’Union soviétique », dit-elle. Or, selon elle, sur les 860 000 viols perpétrés par les « libérateurs », 500 000 ont été commis par les soldats de l’Armée rouge mais aussi 190 000 par les Américains, 50 000 par les Français et 30 000 par les Britanniques. « J’ai été surprise par l’ampleur des viols commis par les Occidentaux », lâche-t-elle.
Femme allemande dénudée et battue devant un groupe de personnes.
Archives paroissiales
Faute de données officielles, Miriam Gebhard est allée puiser ses informations dans les archives des paroisses. Les curés des petits villages notaient minutieusement tous les événements de leur commune après la défaite. À Mossburg an der Isar (nord de Munich), par exemple, le curé Alois Schiml décrit des « viols systématiques » de la part des Américains. Les GI entraient dans les maisons et forçaient les hommes à quitter le logement. « Prises de panique, des femmes sautaient par les fenêtres », écrit-il dans son journal. « Dix-sept jeunes filles, abusées une ou plusieurs fois par des Noirs, ont été emmenées à l’hôpital », poursuit-il.
Les Afro-Américains n’étaient pas les seuls violeurs de l’armée américaine, insiste Miriam Gebhard. « Le racisme était encore très présent dans la société américaine. Les états-majors condamnaient donc surtout des Noirs », explique-t-elle. « Il était officiellement défendu de violer les Allemandes. Du côté russe, il y a même eu des exécutions », ajoute-t-elle.
Femmes tondues pour collaboration
Français logés chez l’habitant
Pour les soldats français, la situation était différente. « Ils logeaient chez l’habitant. On avait donc du mal à parler de viol parce que certains y voyaient des relations consenties », explique l’historienne. L’administration française n’ignorait pourtant pas le problème puisque ses fonctionnaires venaient en Allemagne pour annoncer que la France, qui avait besoin de main-d’œuvre, était prête à accueillir tous les enfants nés de ces viols.
L’historienne a également découvert que les Russes et les Américains avaient violé dans toute l’Europe pendant les campagnes de libération, les premiers en Pologne, en Hongrie et en Slovaquie, les autres en France.
Abusée pendant un mois
Pourquoi toutes ces années de silence ? « Après la guerre, il était difficile de parler des victimes allemandes. On risquait de passer pour quelqu’un qui cherchait à relativiser l’Holocauste. Par ailleurs, le viol n’avait pas encore clairement le caractère d’un crime dans notre société. Enfin, les victimes avaient honte », explique Miriam Gebhard. Pour en finir avec ce lourd silence, elle est allée écouter celles qui ont accepté de parler 70 ans après les faits.
Elfriede Seltenheim, par exemple, était âgée de 14 ans à la fin de la guerre lorsque les soldats soviétiques sont entrés dans son village à l’est de Berlin. Elle a été abusée pendant un mois par les Russes. Aujourd’hui, à 84 ans, elle veut que les jeunes générations sachent ce que cela signifie. « J’ai d’abord désappris à rire. Longtemps après, j’ai désappris à pleurer. Mais c’était impossible car si on peut vivre sans rire, on ne peut pas vivre sans pleurer. »
Dernier tabou
En Allemagne, aucune personnalité politique n’a encore osé parler du sujet. Il n’y a eu aucune indemnisation, le viol des femmes est ignoré dans les musées consacrés à la guerre et aucun représentant de l’Etat n’a encore évoqué dans un discours la douleur de ces victimes oubliées par l’Histoire. A l’occasion des 70 ans de la défaite allemande, Miriam Gebhard tente de briser avec ce livre l’un des derniers tabous de la Seconde Guerre mondiale.
MMe Polge
Madame polge.
Le procès de Mme Polge est un épisode culminant des journées nîmoises. Cette jeune femme très belle était devenue l’amie du commandant allemand de la place. Beaucoup de Nîmois eurent recours à elle pour arranger nombre d’affaires. Son procès est attendu par la population avec autant d’impatience qu’une corrida. L’accusée est condamnée à être tondue et promenée dans la ville avant d’être fusillée. La foule s’acharnera plusieurs heures sur son cadavre qui sera transpercé, de la manière qu’on imagine, avec un manche à balai.