Un géant objet céleste flotte à l’extérieur de notre Système solaire sans que les astrophysiciens puissent déterminer de quoi il s’agit. Certains d’entre eux supposent toutefois que c’est un objet libre de masse planétaire, autrement dit un objet possédant la masse d’une planète, mais qui n’est attaché gravitationnellement à aucune étoile.
Des astrophysiciens ont découvert à l’aide du Très Grand Télescope installé au Chili un objet céleste flottant au-delà de notre Système solaire et ayant une masse 12.7 fois plus importante que celle de Jupiter. D’après les chercheurs, il ne gravite autour d’aucune étoile et se trouve seulement à 20 années-lumière de la Terre.
Loin ,très loin dans l’espace!
«Compte tenu de sa taille, cet objet est juste à la limite entre une planète et une naine brune, ou une étoile manquée. Il nous réserve sans doute son lot de surprises susceptibles de nous aider à comprendre les processus magnétiques se déroulant sur d’innombrables étoiles et planètes», a expliqué l’astrophysicienne Melodie Kao, chargée des observations.
Pour rappel, une naine brune est un objet trop gros pour être une planète, mais en même temps n’est pas assez grand pour maîtriser une fusion nucléaire d’hydrogène dans son noyau, ce qui est essentiel pour les étoiles.L’objet en question, déjà nommé SIMP J01365663 + 0933473, avait été détecté pour la première fois en 2016, et avait d’abord été qualifié comme une naine brune. Les dernières observations laissent toutefois supposer qu’il serait plus jeune qu’on ne le pensait auparavant car son âge ne s’élèverait qu’à 200 millions d’années, et que sa masse ne serait pas si imposante, si bien qu’il pourrait être classé comme une planète. Sa température serait également beaucoup plus froide que celle du Soleil, à savoir 825°C. L’objet possèderait en outre un fort champ magnétique, dont la force serait 200 fois plus grande que celle de Jupiter.
La nature exacte de l’objet reste ainsi à déterminer. Au demeurant, les méthodes utilisées pour sa détection pourraitent constituer «une nouvelle technique permettant de détecter des exoplanètes, y compris celles qui ne gravite autour d’aucune étoile parentale», a conclu le chercheur Gregg Hallinan.
Donc,tout est possible même la Planète Nibiru associée aux sumériens!
La sonde spatiale Cassini réalise sa dernière mission et signe un baroud d’honneur étonnant. En effet, plongée dans l’atmosphère de Saturne, cette sonde nous offre encore une fois des données exceptionnelles.
Bien sûr, il est impossible pour le son de se déplacer dans l’espace. Mais ce n’est pas le cas des ondes radio. Elles sont une forme de rayonnement électromagnétique qui est créé par des champs électriques et magnétiques auto-propagatifs.
Le relevé des données de Cassini
Ce sont des ondes radio que la sonde Cassini a captées. Les scientifiques ont ensuite transformé ces ondes en sons.
Plus précisément, il semble que ces ondes soient produites lors d’interactions entre Saturne et Encelade, l’un des satellites naturels les plus étonnants et intéressants pour les astronomes.
Lorsque Cassini se rapprocha de Saturne avant de plonger dans l’atmosphère de la planète, elle enregistra des mesures uniques qui n’auraient pas été possibles à une plus grande distance.
En orange, les dernières orbites de Cassini avant de plonger. Crédits : NASA/JPL-Caltech
Deux semaines avant le dernier plongeon, la sonde a utilisé son instrument Radio Plasma Wave Science (RPWS) pour capturer les sons des ondes de plasma voyageant entre Saturne et Encelade, montrant pour la première fois les lignes de champ magnétique reliant les deux corps.
Le résultat est un hurlement étrange, comme un cliquetis sifflant qui tombe puis se lève. Cette signature est souvent (mais pas toujours) associée aux aurores, et est ainsi appelée un sifflement auroral.
Le rôle d’Encelade pour Saturne
« Encelade est ce petit générateur qui circule autour de Saturne, et nous savons qu’il s’agit d’une source d’énergie continue », a déclaré le scientifique Ali Sulaiman de l’Université de l’Iowa (États-Unis) et membre de l’équipe du RPWS.
« Maintenant, nous constatons que Saturne répond en lançant des signaux sous forme d’ondes de plasma, à travers le circuit des lignes de champ magnétique qui la relient à Encelade à des centaines de milliers de kilomètres. »
De plus, le scientifique David G. Simpson a émis l’hypothèse que l’un des cercles de Saturne aurait pour origine un rejet de matière d’Encelade.
Les Ukrainiens accueillent les troupes allemandes comme des libérateurs de la tyrannie soviétique.
Les habitants de Lvov ou de Lemberg, en Ukraine occidentale, accueillent les soldats qui entrent dans la ville. Les massacres de masse viennent à la lumière. Juste avant de fuir la ville, la police soviétique a utilisé des haches, des couteaux et des armes à feu pour tuer de nombreux Ukrainiens dans les locaux de la police du GPU. Les corps des victimes sont transportés depuis le bâtiment GPU et disposés pour identification. Des civils enragés se rassemblent pour se venger de ceux qui ont soutenu les Soviétiques.
Les Ukrainiens applaudissent lorsqu’une statue de Staline est détruite et qu’une affiche de propagande soviétique est détruite. Ce reportage est extrait de l’hebdomadaire allemand “Die Deutsche Wochenschau”, n ° 566 du 9 juillet 1941. La narration en allemand. Durée: 3:54 mins
Âgé de 13, un adolescent américain diagnostiqué comme étant cliniquement mort s’est réveillé juste avant d’être débranché. Ses parents avaient même engagé des démarches pour faire don de ses organes.
C’est un véritable petit miracle qui a eu lieu en Alabama, aux États-Unis. Trenton McKinley, un adolescent âgé de 13 ans, a été diagnostiqué en état de mort cérébrale par les médecins à la suite d’un accident de buggy (une sorte de quad). C’était il y a deux mois. Mais la veille du jour où il allait être débranché, le garçon a commencé à montrer des signes de vie jusqu’à se réveiller totalement, a rapporté Fox 10. Un événement largement repris par la presse américaine et internationale.
Ses parents avaient déjà signé des documents pour faire don de ses organes à cinq enfants malades en attente de donneurs. « [Les médecins] ont dit que la prochaine fois que son cœur s’arrêterait, ils devraient le laisser mourir… C’était un [samedi]… et que je pourrais signer un papier pour faire don de ses organes pour sauver cinq autres enfants », a ainsi écrit Jennifer Reindl, la mère du garçon sur une page Facebook mise en place pour aider à récolter des fonds pour le rétablissement de son fils.
Pour mémoire, en France, le don d’organe est régi par trois grands principes : la gratuité du don, l’anonymat entre le donneur et le receveur et le consentement présumé. Sur ce dernier point, la loi indique désormais que chacun est « par défaut » donneur d’organes et de tissus. Dans le cas d’un don d’organe d’une personne déclarée morte, la France a adopté la définition la plus exigeante de la mort encéphalique, à savoir celle du tronc cérébral et celle du cortex.
Dans le cas où la personne est donc déclarée morte (définition en vigueur en France), si le patient n’est pas sur la liste des refus, les proches sont consultés et leur avis est pris en compte. S’ils ne sont pas d’accord, les organes ne sont pas prélevés, même quand la personne a signifié son accord ou quand elle est porteuse d’une carte de donneur.
Le jeune homme, qui devra encore subir plusieurs opérations et suivre une longue rééducation, a décrit à Fox10 ce qu’il a ressenti lorsqu’il était dans le coma : « « J’étais dans un champ immense et marchais droit devant moi. […] Il n’y a pas d’autre explication que Dieu, même les médecins l’ont dit ».
Une incroyable vidéo tournée dans le nord-ouest de la Russie et publiée par un chercheur local laisse songeur. On y voit des troupeaux de rennes tourner en rond sans s’arrêter, une véritable course circulaire sans fin dont personne n’a encore trouvé la véritable raison.
Le 1er mai 2018, le chercheur Andrei Golovnev, par ailleurs directeur du musée d’ethnographie et d’anthropologie de l’Académie des sciences de Russie (Kunstkamera), a publié une vidéo surprenante sur sa page Facebook. Les images obtenues par un drone fin avril ont été tournées dans la péninsule de Kola, située dans l’extrême nord-ouest de la Russie.
Il est possible de voir sur ces images trois troupeaux de rennes tournant littéralement en rond à toute vitesse dans leur enclos. À défaut de donner une explication à ce phénomène, Andrei Golovnev a commenté la vidéo d’une façon non moins étonnante : « Un de mes amis dit que les combats et les tourbillons sont un chemin vers une réalité différente. »
Le fait est que ce phénomène reste toujours un épais mystère, puisque personne n’a donné d’explication jugée acceptable. Les images ont également été relayées sur le site officiel du musée de la Kunstkamera, et les internautes y sont allés de leur commentaire alors que certains évoquent des théories plus ou moins folles.
En effet, certains internautes pensent à des « cercles aliens » ou à « l’impact du champ magnétique de la Terre » puisque les animaux vivent près du Pôle Nord. D’autres personnes ont avancé des explications plus terre à terre. Il pourrait s’agir d’une technique de défense afin de protéger les individus les plus faibles contenus au centre du cercle, ou encore une manière de générer de la chaleur afin de résister au froid polaire. En revanche aucune de ces explications n’a été validée par un quelconque organisme scientifique, mais il ne serait pas surprenant que la question intéresse réellement quelques chercheurs.
Dans le pays du matin calme, plusieurs entreprises confient la tâche du recrutement de personnel à des robots. Il s’agit d’intelligences artificielles qui analysent des milliers de CV afin de trouver les meilleurs candidats.
Futuristic helper. Low angle of serious middle-aged businessman sitting at table in office while big robot is passing him important documents
En janvier 2018, le géant sud-coréen des processeurs SK Hynix avait déjà utilisé une I.A pour passer au crible les lettres de motivation des candidats, même si la société a affirmé qu’un recruteur humain avait pris les décisions finales après des entretiens individuels. Une technique assez similaire a été utilisée en ce mois de mars 2018 chez le conglomérat Lotte, qui a lancé une campagne de recrutement pour 800 candidats. L’I.A a passé en revue les lettres et CV des potentiels futurs employés et a fait passer des entretiens totalement dépourvus de recruteur humain !
Comme l’explique le quotidien sud-coréen JoongAng Daily, une nouvelle technique d’embauche menée par ordinateur a été présentée par la start-up Midas IT. En pratique, le candidat se trouve face à un écran, répond à des questions et effectue de petits tests alors que le robot analyse les réponses, le ton de voix du candidat ainsi que ses expressions faciales.
Selon Midas IT, il s’agit d’un système de recrutement par I.A à même de définir quel type de poste convient à tel ou tel employé. Par le biais de cette méthode, près de 10.000 personnes auraient été embauchées l’an dernier. Ainsi, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que ce genre de système fleurisse hors des frontières sud-coréennes. La multinationale anglo-néerlandaise Unilever utilise désormais une I.A pour boucler la première étape de ses recrutements.
Les entreprises voient dans ce genre de système une façon d’économiser du temps et de l’argent. En effet, une I.A est capable d’analyser des milliers de CV et de lettres de motivation en quelques heures. Midas IT estime également que la méthode contribue à plus de diversité dans les entreprises en réduisant les discriminations à l’embauche.
En revanche, le journal JoongAng Daily n’a pas manqué d’évoquer le fait qu’en Corée du Sud, une partie des milliers de candidats ayant été obligés de parler à un ordinateur disent avoir ressenti un malaise et qualifient l’expérience de pénible.
En 2003, Chantal Plamondon et Jay Sinha étaient loin de se douter que leur virée pour trouver un biberon en verre dénué de plastique à leur nouveau-né allait les lancer dans une quête qui allait changer leur vie.
Avant même que le problème des BPA soit sur la carte, la jeune mère de famille, alertée par les premiers articles faisant état des risques posés par le plastique des biberons, s’est lancée à la recherche d’un modèle en verre.
« J’ai fouillé tous les magasins, appelé toutes les compagnies. Ça ne se vendait plus. J’ai fini par trouver un seul fabricant, en Ohio aux États-Unis, qui en avait encore en entrepôt. J’ai dû acheter un lot de 1000, que j’ai décidé d’écouler en ligne à d’autres parents qui en cherchaient. C’est là que notre aventure a commencé », raconte Chantal, aujourd’hui à la tête d’un organisme qui compte des milliers de sympathisants à travers le monde.
Ces deux Québécois visionnaires sont à la tête de Life without Plastic (LWP), un projet né du constat que le plastique est partout, au grand dam de ceux qui souhaitent s’en passer par souci de la planète ou pour des raisons de santé.
C’est en cherchant à éliminer les produits non biodégradables de leur quotidien que Chantal, conseillère en éthique, et Jay, biochimiste, se sont mis à la recherche de centaines de substituts au plastique à travers le monde.
« J’ai vite réalisé que je n’étais pas seule à chercher ses solutions. Plein de gens me demandaient en ligne où trouver ces articles », dit-elle.
EN COMPLÉMENT
Dossier «La planète plastique»:
Omniprésent de la calotte polaire aux abysses des océans, le plastique est devenu un fléau planétaire. Plus qu’un désastre environnemental, il a même intégré la chaîne alimentaire, du zooplancton aux plus grands mammifères. Après l’âge de pierre et l’âge du fer, voici venu l’âge du plastique.
En moins de 60 ans, le plastique est devenu le matériau le plus omniprésent dans l’environnement et on commence tout juste à mesurer ses effets sur la santé humaine et animale.
Il est désormais partout. Dans l’eau, l’air, dans nos maisons, nos vêtements. Présent dans presque tous les objets du quotidien, il enveloppe la plupart des aliments. Il a même migré dans nos assiettes et l’eau potable. Au point où certains scientifiques comparent désormais la menace posée par l’invasion du plastique à la survie des espèces vivantes y compris l’homme, à celle du réchauffement climatique.
En moins de 60 ans, le plastique est devenu le matériau le plus omniprésent dans l’environnement et on commence tout juste à mesurer ses effets sur la santé humaine et animale. Or, l’engouement pour ce matériau passe-partout et « indestructible » a multiplié par 20 la quantité de plastique produit en quelques décennies. Si cette croissance se poursuit, l’industrie plastique, dopée notamment par la demande venant des pays émergents, est appelée à doubler d’ici 20 ans et à quadrupler d’ici 2050.
Si rien n’est fait, c’est plus de 12 milliards de tonnes de déchets de plastique qui pourraient souiller la planète au milieu de ce siècle, prédit Roland Geyer, chercheur et ingénieur de l’Université de Californie, auteur principal de la plus vaste étude menée sur l’emprise du plastique sur la planète, publiée en 2017 dans la prestigieuse revue Science.
« Le plastique est devenu le matériau de fabrication le plus “produit” par l’homme, hormis ceux utilisés depuis des siècles dans la construction comme le béton ou l’acier », affirme le chercheur, joint en Californie par Le Devoir. Réalisé à partir de données confidentielles obtenues des producteurs de plastique mondiaux, ce portrait mondial est le plus fiable tracé à ce jour… et le plus consternant.
Somme toute, plus de huit milliards de tonnes de plastique et de sous-produits du plastique ont été générées depuis les années 1950, assez pour recouvrir la superficie de l’Argentine.
Consommé et jeté
Or, de cette mer de polymères, contenant plastifiants et additifs souvent toxiques, à peine 9 % en moyenne ont été recyclés à l’échelle de la planète, alors que 12 % ont été incinérés, a calculé le professeur Geyer. Seule une poignée de pays européens sont arrivés à recycler tout au plus le tiers du plastique.
Le reste, soit 79 % de cette masse non biodégradable, repose dans les dépotoirs ou s’est échappé dans l’environnement, dans les lacs, rivières et océans, et va notamment grossir les fameux « continents de plastique » devenus la partie la plus visible de cette plaie planétaire. Un bilan d’autant plus alarmant que 42 % de ces plastiques balancés dans la nature n’ont servi qu’à l’emballage ou à un usage unique. Pour Geyer, le recyclage demeure un mirage réconfortant dans plusieurs pays du monde, y compris le Québec, où 18 % du plastique utilisé atterrit dans le bac de recyclage. On ignore quelle part est réellement recyclée. « Ça ne peut être qu’une partie de la solution et plusieurs plastiques sont trop pauvres pour être recyclés. Il faudra beaucoup plus juguler ce problème mondial, notamment réduire de façon drastique la consommation, et incinérer le reste », insiste le chercheur.
Jusqu’à tout récemment, une grande part du gâchis global causé par le plastique demeurait invisible. « On ne voyait que les plastiques flottant dans l’océan ou qui jonchent les plages. Or, plusieurs autres coulent à pic ou se fragmentent en millions de particules dans l’environnement », affirme Roland Geyer.
C’est maintenant la face cachée de ce paria, soit les trillions de microparticules et de microfibres invisibles, issues de la dégradation des polymères dans l’eau et l’air qui suscitent de plus en plus d’inquiétudes. Plus qu’un déchet hideux, le plastique est devenu un cheval de Troie, capable de s’immiscer ni vu ni connu dans tous les écosystèmes et l’eau potable, charriant avec lui des plastifiants dangereux, comme les phtalates, et des additifs figurant sur la liste noire des perturbateurs endocriniens et des cancérigènes potentiels. Ces particules fines transforment les eaux douces et salées en « soupes chimiques ».
Cheval de Troie
Les premières images de zooplanctons ingérant des nanoparticules de plastique ont confirmé que ce poison a infiltré les tout premiers maillons de la chaîne alimentaire, essentiels à la vie sur Terre. On estime maintenant que les humains consommant des mollusques peuvent ingérer jusqu’à 11 000 particules, mais l’on ignore complètement quels seront les effets de ce menu à saveur plastique sur l’être humain.
Cette incursion du plastique va bien au-delà des océans, comme le démontrait une étude récente révélant que l’eau embouteillée testée dans cinq continents affichait en moyenne 315 microparticules de plastique, certaines jusqu’à 10 000. « Nous vivons désormais dans un monde dominé par le plastique, à un point où nous aurions du mal à vivre autrement. Cela se produit, alors que l’industrie n’a toujours aucune obligation d’en tester les effets sur la santé. Ce fardeau retombe sur les épaules des gouvernements ou des universités, qui ont peu de fonds pour ce faire », déplore le chercheur Bernard Robaire de l’Université McGill, expert en toxicologie, qui étudie notamment les effets de certains plastifiants sur la fertilité humaine.
La filière fossile
À l’épicerie, casseaux en carton ou en bois ont presque disparu des étalages, au profit de boîtes plastifiées ou de barquettes colorées en polystyrène. Éclipsés aussi les bocaux en verre, de plus en plus boudés par l’industrie alimentaire et celle des cosmétiques.
Pourquoi cet engouement soudain pour le plastique ? « En plus de son coût très bas, l’usage accru du plastique est alimentée par les industries fossiles qui ont trouvé de nouveaux marchés pour compenser la baisse de consommation du pétrole comme carburant », soutient le professeur Geyer. Jusqu’à 8 % de la production du pétrole dans le monde est désormais dédiée aux « pétroles solides » que sont les résines de plastiques.
Ironiquement, les efforts déployés pour juguler les émissions de gaz à effets de serre dans le secteur énergétique n’ont ainsi peu ou pas affecté l’hydre à plusieurs têtes que sont les indsutries fossiles. « Nous n’avons aucune idée de l’impact réel de ces matériaux, créés sans que quiconque ait pensé à ce qui allait advenir de ces produits non biodégradables, insiste le chercheur. En fait, nous assistons actuellement à une expérience menée à l’échelle mondiale. À du jamais vu. »
Un colocataire suspect dans notre quotidien
Faut-il se méfier de la capsule en plastique du café matinal, de la bouteille d’eau portée à la bouche, des aliments scellés dans du film plastique ou des barquettes pour viandes et légumes qui se multiplient dans nos frigos ? Une réponse simple : probablement.
Plus de 175 composants chimiques utilisés dans l’emballage alimentaire ont déjà été définis comme des cancérigènes ou mutagènes potentiels par l’industrie elle-même (Food…
Mais en fait, la science n’apporte toujours pas de réponses bétonnées à ces questions, bien que les preuves accablantes s’accumulent en défaveur de plusieurs plastiques, surtout composés de certains plastifiants et additifs présents dans les emballages alimentaires.
Nous sommes tous déjà un peu « plastifiés », porteurs de quantités détectables de résidus du plastique, présents dans les aliments, le sel de table, l’eau et l’air. La question n’est plus de savoir si on ingère ce matériau, mais à quelles doses et comment ces indésirables peuvent nuire à notre santé.
Les principaux suspects
Plus de 175 composants chimiques utilisés dans l’emballage alimentaire ont déjà été définis comme des cancérigènes ou mutagènes potentiels par l’industrie elle-même (Food Packaging Forum). Mais comment savoir si ces mauvais joueurs se retrouvent dans notre panier d’épicerie ou les rayons de la salle de bain ? Pas simple.
Car, contrairement aux aliments, aucun règlement n’oblige les fabricants de plastiques à afficher les produits contenus dans leurs emballages. Une réalité qui n’a aucun sens, déplore Bernard Robaire, expert en toxicité et en reproduction à l’Université McGill. À défaut d’interdire certains produits prouvés néfastes sur les animaux, le gouvernement devrait obliger l’étiquetage des composants plastiques sur les emballages, dit-il.
Pour l’instant, seul le numéro figurant sur les contenants plastiques aux fins de recyclage permet de démêler le bon grain de l’ivraie, ainsi que quelques indices, affirme Louise Hénault-Éthier, chef des projets scientifiques à la Fondation David Suzuki.
« Les plastiques les plus à risque de relâcher des contaminants sont le PVC (no 3), le polyéthylène des bouteilles d’eau (no 1) ou de jus et le polystyrène (no 6) des gobelets de café ou des contenants d’alimentation rapide, souvent appelé « styromousse »», affirme-t-elle.
Cocktails explosifs
Première règle, plastiques, chaleur et aliments ne font pas bon ménage. En général, « chauffer du plastique au micro-ondes, c’est maximiser les risques de transferts des sous-produits du plastique vers les aliments », insiste Sébastien Sauvé, professeur de chimie environnementale à l’Université de Montréal. Le polystyrène « fond » littéralement à une chaleur élevée.
Des millions de personnes amorcent leur journée par un café « à emporter », infusé dans une cafetière plastique, siroté dans un gobelet en polystyrène. Une habitude qui multiplie les risques d’obtenir un bouillon assaisonné au styrène, un cancérigène avéré chez l’homme, affirme Mme Héneault.
Malgré leur air inoffensif, les gobelets à café en carton, enduits de polyéthylène, peuvent aussi émettre des contaminants en présence de liquide chaud. « Plusieurs plastiques se dégradent aussi au contact des graisses et des acides. Ils sont pourtant largement utilisés dans l’industrie du fast-food dont les aliments contiennent beaucoup de gras », renchérit la scientifique.
Souplesse et brillance
Plus que les polymères de base, ce sont souvent les plastifiants et additifs ajoutés aux plastiques, comme les phtalates ou la famille des BPA, deux trouble-fête avérés des systèmes endocriniens, qui sont montrés du doigt.
Utilisés notamment pour assouplir les films, sachets et emballages alimentaires, les phtalates sont partout. Leur triste réputation semble inversement proportionnelle à leur présence dans les petits et grands plats. Choyés pour leur brillance, ils abondent aussi dans les produits cosmétiques, notamment les shampoings, lotions, vernis à ongles, rouges à lèvres. Pourquoi sont-ils toujours autorisés ?
« Ces produits sont tellement utiles qu’on les emploie maintenant partout dans les emballages alimentaires, les plastiques médicaux et même les gélules de certains médicaments ! » explique Youssef Olhote, ingénieur de recherche à la T.H. Public School of Public Health de l’Université Harvard.
« Or, les études faites sur les animaux montrent qu’ils peuvent nuire au développement des systèmes thyroïdien et nerveux. Pour établir un lien clair de cause à effet chez les humains exposés à ces produits, il faut plusieurs d’années d’observation », dit ce chercheur qui suit à la loupe depuis 10 ans le développement de plus de 2000 enfants exposés à ces plastifiants.
Même le célèbre BPA, banni au Canada depuis 2008 dans les biberons et gobelets de plastique pour enfants, et dans tous les produits alimentaires en France, continue d’être ajouté à une foule d’emballages et contenants, insiste l’expert de Harvard. Sauf exception, il tapisse l’intérieur de toutes les boîtes de conserve et des cannettes de jus et de boissons.
Aucune pièce de la maison n’est épargnée par l’invasion du plastique. Les vêtements faits de fibres synthétiques, dont le polyester (no 1), contribuent au problème de la contamination des eaux puisqu’un seul vêtement relâche jusqu’à 1900 microfibres de plastique par lavage.
Quant aux matelas, coussins et produits électroniques, la majorité renferme des plastiques hautement inflammables, additionnés de retardateurs de flammes. Présents jusque dans certains pyjamas pour enfants, ces additifs viennent grossir le clan des perturbateurs endocriniens. « Ils peuvent représenter de 30 à 40 % du poids d’une télé, ce n’est pas négligeable », affirme le professeur Robaire.
Eaux troubles
Les microparticules de plastiques, retrouvées dans l’eau potable des systèmes d’aqueduc de tous les continents, ne peuvent être éliminées par les systèmes de filtration actuels. « On sait que ces nanoparticules peuvent traverser la paroi intestinale, affirme Sébastien Sauvé. Ce qu’on ne sait pas, c’est si le corps parvient ou pas à les éliminer. On nage encore dans l’inconnu. »
Devant le casse-tête posé par l’ubiquité des plastiques, tous les scientifiques interrogés s’entendent sur une chose : limiter le contact et la durée de l’exposition, surtout avec les aliments.
« Il faut changer les façons de faire, apporter son contenant pour les lunchs, sa tasse pour le café, sa bouteille en inox pour l’eau, affirme Louise Héneault-Éthier. Donner des assiettes et gobelets de plastique à des enfants pour manger des aliments ou du lait chaud, c’est prendre un risque bien pire à long terme que celui de se blesser en cassant une assiette. »
Souvenez-vous qu’il n’y a pas de Panète Terre B!
Une longue quête
Aujourd’hui, leur organisme gère un entrepôt aux États-Unis offrant 400 produits différents, exempts de plastique. Plus de 90 % de leurs ventes se font au sud de la frontière ou à l’international. « Notre nom est en anglais, car à l’époque, il n’y avait aucun intérêt pour cela au Québec », dit-elle.
Au fil des ans, cette quête a mené Chantal sur la piste de rares fabricants en Chine, en Corée, en Inde, en Allemagne, en Suède, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et une foule d’autres pays.
En 2006, ils furent parmi les premiers à commercialiser les bouteilles d’eau en inox, quand les dangers du BPA présent dans certaines bouteilles de plastique commençaient tout juste à être connus.
Puis l’organisme s’est évertué à trouver plats, bols, gobelets, pailles, contenants hermétiques en verre ou en acier inoxydable, autant d’objets disparus des cuisines avec l’invasion du plastique. « Nous avons même fait fabriquer en Asie des moules à cubes de glace en inox et au Québec, des boîtes à lunch lavables, isolées en laine », explique-t-elle. Leurs recherches se sont vite étendues aux objets de la salle de bain : un univers de plastique. « Nous avons trouvé l’unique fabricant de brosses à dents en bois et poils naturels en Allemagne. Aussi, des rasoirs de métal aux lames recyclables, du fil dentaire en soie naturelle, des brosses et balais en bois et fibres naturelles. Plus on avançait, plus on se rendait compte qu’il est extrêmement difficile d’éviter le plastique », reconnaît la cofondatrice de LWP.
Aujourd’hui, plus de vêtements, de rideaux ou de matelas en fibres plastiques, susceptibles de contenir des retardateurs de flammes, chez Chantal Plamondon. « On passe le tiers de notre vie à dormir, donc mieux savoir sur quoi on dort », dit-elle. L’aventure de LWF a même donné lieu à la publication d’un livre aux États-Unis, écrit sur un ordinateur…en plastique. « Vivre sans plastique est impossible, admet l’auteure. Mais si on veut avoir le plus d’impact possible sur l’avenir de la planète, on doit diriger tous nos efforts sur tous les produits à usage unique. »
Une tendance qui monte
Aujourd’hui, plusieurs de ces produits alternatifs peuvent être trouvés dans les grandes surfaces. « Tant mieux, pense Chantal Plamondon. Malheureusement, certains de nos articles en inox venus d’Asie ne sont plus fabriqués. Là-bas, c’est le contraire. Ils se tournent de plus en plus vers le plastique et c’est inquiétant. »
Heureusement, après l’interdiction des sacs plastique, plusieurs États, notamment le Royaume-Uni, Taïwan et le Guatelama s’apprêtent à proscrire les pailles, cotons-tiges, gobelets et ustensiles en plastique à usage unique. Le premier ministre Trudeau, lui, a décidé de faire la sourde oreille à l’appel en ce sens lancé cette semaine par la première ministre britannique Theresa May.
Quelques signes tirés d’un ancien manuel maçonnique. Source: “Richardson’s monitor of freemasonry”. La dernière image, en bas à droite, provient du livre: “Scotch Rite Masonry Illustrated Part 2” page 26.
Une affiche de la chanteuse Barbara Hendricks annoncant un concert bénéfice pour une loge maçonnique. Une pose voulue, le doigt près de l’oeil.
Un exemple classique de pose voulue. Remarquez les plis dans la toile de fond du photographe.Cette photo a été prise dans un studio. Le geste est la pyramide maçonnique. Cette image a été publiée dans le journal La Presse du 29 sept. 2007. “Environnement: l’ADQ veut briser les forces de l’immobilisme”.
Ce post est inspiré du livre de l’auteur Allemand Johannes Rothkranz, “Freimaurersignale in der Presse” (signaux maçonniques dans la presse). Lire aussi le livre “codex magica” dans la même veine. Ces deux livres sont disponibles gratuitement sur des p2p comme emule. Consultez aussi ces pages web: http://www.yogaesoteric.net/content.aspx?lang=FR&item=2355 http://www.waitingtorot.blogspot.com/
Ces signes sont seulement valides quand un journal important ou une agence de presse les publient. Donc si votre voisin fait ces signes, cela ne compte pas. Si le journal explique pourquoi le sujet pointe du doigt, il ne s’agit pas d’un code. Les images d’athlètes sur le terrain de jeu ne comptent pas non plus car les sportifs ont leur propres codes reliés à leur sport. Le code a été découvert quand on s’est rendu compte que plusieurs photos publiés dans les journaux étaient des poses voulues. C’est-à-dire que le sujet photographié regarde directement la caméra en faisant le signe “OK”, par exemple. Ces 12 gestes sont très communs pour ne pas attirer l’attention mais avec un peu de patience, vous allez vite découvrir que le signe ok par exemple, revient un peu trop souvent. Quel est donc l’importance pour un journal de montrer quelqu’un faisant le signe ok? Pourquoi quelqu’un qui donne une entrevue dans un journal va t’il se laisser photographier avec un doigt dans l’oeil? Pourquoi les journaux publient ils aussi souvent des photos aussi disgracieuses? Et sourtout pourquoi s’agit il toujours des même 12 signes mais jamais de photos avec un type qui se gratte le dos?
Voici donc les 12 signes tels qu’illustrés sur la première photo du haut tiré du livre de Rothkranz. La photo du bas est un collage d’images tirées du livre: “Richardson’s monitor of freemasonry” lien
1- Pointer de l’index. L’index vers les haut est le 2e signe maçonnique du “secret monitor”. l’index près de l’oeil est le signe du degré “mark master”. l’index près de la bouche est le signe du “royal master”. Le sujet peut aussi pointer vers la caméra etc. 2- faire le signe “OK”. 3- faire un poing. 4- faire une pyramide avec ses avant bras sur une table. 5- faire un geste comme si on tenait une boule invisible avec une ou deux mains. Ce signe ressemble beaucoup au signe du “knight templar”, tel qu’illustré. 6- la main sur le coeur. Signe du “sublime knight elected”. 7- la poignée de main maçonnique. Il y a plusieurs variantes. Le pouce est tourné vers le bas et presse le revers de la main de l’autre personne. 8- regarder vers le haut de façon éxagéré dans une photo. (imitation de Jésus sur la croix). 9- se faire photographier en regardant par-dessus les lunettes. 10- la main sur les lunettes. 11- la main sur la cravatte (signe de détresse). 12- la main sur le cou (signe de détresse).
Cependant, comme avec tous les langages, il peut survenir parfois des erreurs de communication dans le code. Deux ou trois fois dans toute une année, un journal va laisser passer une photo d’un non-initié en train de faire un geste maçonnique. Rothkranz admet ce fait lui-même dans son livre. La confirmation vient quand la personne emploi d’autres gestes maçonniques dans des photos différentes ou si le sujet regarde directement la caméra sur la photo, bref si la pose est artificielle et voulue. Ces codes sont valides dans le monde entier. Au Québec, le journal La Presse ,le Devoir et http://www.radio-canada.ca participent à ces codes.
Deux codes maçonniques:regard exagéré vers le haut et signe O.K.Avec Marc Laviolette,c’est un signe de haut rang employé pour rendre une communication …silencieuse. Fort employé chez les marxistes.Gilles Duceppe:la décision vient d’en haut.Jean Charest et son poing :signification d’un agenda.Jean charest faisait alors campagne sur le thème de l’unité.
Mario Dumont nous montre un signe maçonnique du 18 ième dégré.En pointant du doigt et en parlant des accommodements raisonnables.Si vous ne voyez pas de signes maçonniques ici,c’est que les médias les ont coupé.N’oubliez pas la collaboration entre les grandes familles contrôlant les médias,les gouvernements,les francs maçons et le Nouvel Ordre Mondial qui inclus parfois le crime organisé. On voit Mario Dumont et son signe maçonnique d’origine en bas…On a coupé le doigt de Charest en haut,etc…Regard vers le haut…avec supplication.Les sondages sont un désastre pour le Parti Québécois et Boisclair tire à boulets rouges sur Dumont et l’ADQ.Mon oeil? Jean Charest reconnaît ses échecs. Cette même photo est aussi utilisée pour un autre article. Titre: “Seul le PLQ peut régler le déséquilibre fiscal, dit Charest”. Mon oeil, en effet et un futur échec de Charest, sans doutes. (03/03/07)L’index près de l’oeil est le “dueguard du mark master mason”
Doigt horizontal= “Nous allons dans cette direction” (par rapport au texte). “Charest appelle Harper à l’aide” (pour contrer la popularité de Dumont) Le Devoir (03/03/07)Un geste maçonnique très clair ici: “Boisclair adopterait un gouvernement réduit”. 04/03/07Signe OK= “bénédiction” maçonnique. Voici Le vice-président de la Commission des droits de la personne qui vient de déposer un rapport sur l’homophobie. Ce n’est probablement pas un hasard non plus. Probablement que l’animateur de radio qui a traité Boisclair de tapette travaille pour la loge péquiste question de donner à Boisclair l’occasion de passer pour une victime. Boisclair va gagner beacoup de votes avec cette histoire là.
la présidente du Conseil du trésor, Monique Jérôme-Forget. “Les libéraux chiffrent les promesses de Dumont” (9/03/07)Regard vers le haut. Le ministre des finances du gouvernement Harper,James Flaherty, s’ingère dans la campagne électorale québécoise. “Québec obtiendra 2,2 milliards de plus d’Ottawa” 19/03/07/Mario Dumont:Regard vers le haut et jeux de la main (tenir une boule invisible). Le comté baromètre de Saint-Jean voterait ADQ (22/03/07)Les libéraux sont minoritaires, l’ADQ forme l’opposition officielle et le PQ est recalé au 3e rang. Cette photo de Gérald Larose est apparue sur le site cyberpresse.ca la veille de la démission de Boisclair. L’ordre est venu d’en haut, Boisclair doit quitter. Notez le décor derriere Larose: il s’agit d’une vieille photo d’archive du temps des dépliants du conseil de la souveraineté distribués dans les écoles…
PLUS RÉCEMMENT :LES POLITICIENS MAÇONNIQUES ACTUELS ET TRÈS RÉCENTS
François Legault nous montre ici qu’il est un important personnage chez les francs maçons:François Legault donnant le signe du “Most excellent master”.
Ils ne se cachent plus. Assez évident.Toujours regarder ce qui entoure un personnage, que ce soit un politicien, scientifique ou spirituel qui parle en public cela en dit long.
La poignée de main maçonnique entre Pauline Marois et Jean charest en 2008.Arthur Porter,le grand maître franc maçon,pointe du doigt pour Philippe Couillard,l’élève!
François Legault observe sa nouvelle recrue,François Rebello faisant le geste maçonnique de l’ouverture des mains.Jean-François Lysée et le signe des mains ouvertes.Martin Coiteux,,,même signe,mais plus ouvertes.Martin Coiteux devant la pyramide inversée.Ensemble ,on fait avancer le Québec”,derrière lui!Philippe Couillard pointe du doigt.
Le 16 juin 2017,Jean-François Lisée faisait ce signe de OK du bout des doigts:les sondages sont en baisse pour le PQ.
Une poignée de main commune qui en dit tout…celle sur le dessus prend une posture semblable à une pyramide.
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