La défaite était prévisible, mais l’échec de la première ministre britannique, Theresa May, n’en est pas moins cuisant : le Parlement a rejeté par une large majorité l’accord de Brexit qu’elle a négocié pendant plusieurs mois avec Bruxelles.
Près de 75 jours avant la sortie prévue du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE), la première ministre britannique a perdu son pari.
Négocié pendant plus d’un an, le texte de 585 pages a été rejeté par 432 voix contre 202.
C’est la pire défaite parlementaire subie par un premier ministre britannique de l’ère démocratique, a souligné le site du quotidien britannique Guardian.
Ironiquement, le vote, aux conséquences imprévisibles, a uni les tenants d’un « Brexit dur », selon lesquels le Royaume-Uni maintenait des liens trop étroits avec l’UE dans le cadre de cet accord, et ceux qui s’opposent à la sortie du Royaume-Uni de l’UE.
L’opposition réclame un vote de confiance
Qualifiant l’issue de « défaite catastrophique » pour la première ministre, le chef du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, a rapidement réclamé un vote de confiance, qui sera débattu mercredi.
La Chambre a rendu son verdict sur son accord. Les reports et le déni ont atteint leurs limites.
Jeremy Corbyn, chef du Parti travailliste
Les unionistes nord-irlandais du DUP, qui ont voté contre l’accord de Brexit, ont néanmoins annoncé qu’ils soutiendraient le gouvernement lors de ce vote.
Theresa May a de son côté répété qu’elle souhaitait que le Royaume-Uni sorte de l’Union européenne « avec un accord ».
Elle s’est dite prête à aborder les futures discussions de manière « constructive », ajoutant que son gouvernement ne ferait que des propositions « réalistes ».
Si les députés lui permettent de rester en poste, Theresa May aura jusqu’à lundi prochain pour présenter une stratégie pour la suite qui permettrait d’éviter une sortie de l’UE sans entente.
Avant la tenue du vote, Theresa May avait appelé les députés à confirmer un accord qui honore le résultat du référendum du 23 juin 2016.
Auparavant, les députés britanniques avaient rejeté par une vaste majorité l’amendement soumis par le député conservateur John Baron sur la clause de « sauvegarde » irlandaise prévue dans le projet d’accord.
Cette clause prévoit d’empêcher le rétablissement d’une frontière physique entre la République d’Irlande et l’Irlande du Nord, instituant de facto un statut spécifique pour cette dernière.
Les trois autres amendements à l’entente qui devaient être soumis au vote des élus ont été retirés.
L’UE regrette l’issue du vote
Les réactions au sein de l’UE ne se sont pas fait attendre.
« Nous regrettons le résultat du vote et exhortons le gouvernement britannique à clarifier ses intentions en ce qui concerne ses prochaines étapes dès que possible », a déclaré un porte-parole du président du Conseil européen, Donald Tusk.
Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a estimé que le risque d’un Brexit désordonné venait de s’accroître.
Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a pour sa part averti qu’il n’y aurait pas de renégociation de l’accord.
Elections = aliénation Je trouve absolument incroyable qu’il y ait encore tant de gens qui s’imaginent que c’est en votant qu’ils exercent leur liberté. C’est justement tout le contraire ! En allant urner, ils aliènent totalement leur liberté. En « donnant leur voix » – peu importe à qui, en l’occurrence – ils se plient à la […]
Saint Michael the Archangel, defend us in battle, be our protection against the malice and snares of the devil. May God rebuke him we humbly pray; and do thou, O Prince of the Heavenly host, by the power of God, thrust into hell Satan and all evil spirits who wander through the world for the […]
Brexit: des conséquences immédiates pour les Britanniques
Les derniers sondages penchaient pour le “remain”. C’est finalement le “leave” qui l’emporte. Les Britanniques vont quitter l’UE, un processus qui va provoquer d’immenses remous.
Les Britanniques ont voté pour une sortie de l’Union européenne, selon les estimations vendredi matin 24 juin des grandes chaînes du pays, à l’issue d’un référendum historique qui fait déjà sentir ses premiers effets sur les marchés asiatiques.
Le Brexit, ou British Exit, était en tête avec près de 51,7% des voix après dépouillement dans 300 des 382 centres du pays, peu avant 4h00 GMT, selon le décompte officiel, grâce à des résultats largement favorables dans plusieurs villes du nord de l’Angleterre et au Pays de Galles.
Dans la foulée, la bourse de Tokyo a plongé de 5% et la livre sterling est tombée au plus bas face au dollar depuis 1985. Et nombre de responsables européens devraient se lever vendredi avec une gueule de bois politique.
Peu avant les prévisions de la BBC et de plusieurs autres chaînes britanniques, le leader du parti europhobe Ukip, Nigel Farage, a dit commencer “à rêver d’un Royaume-Uni indépendant”.
“Si les prévisions se vérifient, ce sera la victoire des vrais gens, des gens ordinaires”, a lancé Nigel Farage, cofondateur de l’Ukip en 1993, qui œuvre depuis le début pour un Brexit.
“Nous l’avons fait pour l’Europe entière. J’espère que cette victoire va faire tomber ce projet raté et nous guider vers une Europe de nations souveraines”, a-t-il ajouté.
Les bookmakers, qui donnaient plus de 90% de chances à une victoire du “Remain” à la clôture des bureaux de vote jeudi à 21h00 GMT, n’accordaient plus qu’une chance infime au maintien dans l’UE aux premières heures de la matinée.
Le résultat officiel de ce référendum aux enjeux colossaux pour l’avenir du Royaume-Uni et du reste de l’Europe devrait être annoncé dans la matinée. La participation a été estimée officiellement à 72,2%.
Champagne à Vote.Leave
On attendait toujours le verdict définitif des grandes villes, dont Londres. La City de Londres, le quartier de la Finance, a voté à une majorité écrasante pour un maintien mais le nombre de voix était trop insignifiant pour peser.
Au QG de la campagne de “Vote Leave”, dans un immeuble londonien, l’atmosphère était à la fête: les bouchons de champagne ont sauté à l’annonce du premier résultat pour un Brexit, celui de la ville de Sunderland. Des cris de joie accueillaient l’annonce à la télévision de chaque résultat favorable à la sortie de l’UE.
Des drapeaux britanniques constellaient les tables et les militants attendaient d’avoir plus de résultats avant d’attaquer un gros gâteau “Leave” en forme de bouteille de champagne.
Les derniers sondages penchaient pourtant plutôt vers un maintien dans l’UE. Un ultime sondage YouGov publié à la clôture des bureaux de vote avait donné le maintien dans l’UE en tête à 52% contre 48%. Deux autres enquêtes d’opinion conduites avant et après le vote donnaient le même écart.
L’enjeu est de taille et tous les dirigeants européens sont intervenus pour retenir les Britanniques, conscients que leur départ ferait peser une menace de désintégration du club des pays membres de l’UE.
Le président français François Hollande avait estimé qu’il faudra “engager une relance de la construction européenne”, quelle que soit l’issue du référendum.
Outre les conséquences économiques immédiates pour le pays et au delà, un Brexit serait dommageable à plus long terme, ont prévenu les grandes institutions financières internationales, du FMI à l’OCDE.
Turbulences politiques
Un Brexit ouvrirait aussi une période de turbulences politiques, avec un possible départ de David Cameron.
Le Premier ministre britannique, qui a mis en jeu sa crédibilité en menant campagne pour le maintien dans l’UE, a voté à Londres sans faire de déclaration. Il a appelé un peu plus tard ses compatriotes à opter pour le maintien, gage selon lui d’un “avenir meilleur”.
Le référendum a exposé les profondes divisions au sein des Tories et de son gouvernement conservateur, dont plusieurs membres ont fait campagne pour un Brexit.
Malgré ces divisions, 84 députés conservateurs eurosceptiques ont publié après la fermeture des bureaux de vote une lettre affirmant que David Cameron devait rester Premier ministre quel que soit le résultat du référendum.
“Nous, partisans d’une sortie et membres du parti conservateur (…) estimons que, quelle que soit la décision du peuple britannique, vous avez à la fois le mandat et le devoir de continuer à diriger la nation”, ont écrit les signataires, dont Boris Johnson, chef de file du camp du Brexit et ex-maire de Londres.
Cherchant à freiner les divisions au sein de son parti conservateur, David Cameron avait annoncé en janvier 2013 la tenue de ce référendum. Mais il a ouvert une boîte de Pandore et déchaîné les passions, attisées par les redoutables tabloïds britanniques, toujours prompts à vilipender l’UE.
On essuyait ou on retenait ses larmes, jeudi matin,le 3 septembre 2015, sur la campagne électorale.
L’image du petit Syrien noyé et le lien de sa famille avec le Canada ont rattrapé les chefs de parti qui ont dû s’écarter des scénarios prévus pour la 33e journée sur la route et commenter la tragédie.
Un des oncles d’Alan Kurdi et ses enfants avaient cherché, en vain, à se réfugier au Canada, selon la tante de l’enfant, une femme qui vit en Colombie-Britannique. Le petit garçon, son grand frère et sa mère sont morts noyés en tentant de rejoindre les côtes européennes.
Contrairement à ce qui avait d’abord été rapporté, la famille d’Alan n’a jamais soumis une demande au Canada, selon Tima Kurdi, la tante, qui a plutôt cherché à parrainer la famille d’un autre de ses frères.
Alors qu’une de ses candidates de la région de Montréal essuyait ses larmes, le chef libéral Justin Trudeau a blâmé, sans détour, le gouvernement conservateur pour le sort de la famille de l’enfant noyé.
«Ce gouvernement a ignoré les requêtes des ONG canadiens, des partis d’opposition, de la communauté internationale qui, tous, croient que le Canada doit en faire plus et aurait dû en faire plus», a reproché M. Trudeau.
Manifestement ému lui aussi, M. Trudeau a renouvelé son appel pour l’accueil immédiat de 25 000 réfugiés syriens, dans un premier temps. Il a reproché à Stephen Harper et à son ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration, Chris Alexander, de s’être traîné les pieds dans ce dossier en général, et dans le cas particulier de la famille Kurdi.
«C’est à eux d’expliquer aux Canadiens pourquoi ils ont choisi de rester à l’écart alors que cette tragédie humaine prend des proportions inimaginables de l’autre côté de la mer», a-t-il dit.
Son rival néo-démocrate qui, la veille, avait dit que «le Canada n’a pas fait sa part à cause des conservateurs», ne voulait plus blâmer personne, jeudi matin.
Thomas Mulcair, de passage à Toronto, retenait manifestement ses larmes en parlant de l’enfant et du désespoir de parents qui risquent la noyade pour fuir vers l’Europe. Il a réclamé que le Canada accepte tout de suite 10 000 réfugiés, comme le lui ont demandé les Nations unies.
Mais plus question de blâmer quiconque pour cette tragédie.
«Il est trop facile de blâmer. Il est le temps de passer à l’action», a-t-il répété à quelques reprises.
Le Bloc québécois tenait un discours semblable. Alors que Gilles Duceppe fait campagne en Abitibi, son parti a diffusé un communiqué, proposant une trêve. «Plutôt que de jeter le blâme sur les uns ou les autres, il me semble que nous devrions tous parler d’une même voix. Il ne s’agit pas d’une question partisane ou électorale, il s’agit d’un impératif humanitaire», peut-on lire dans une citation attribuée à un candidat bloquiste: Charles Mordret.
Le chef conservateur semblait, lui, vouloir s’accorder une trêve de sa campagne. Stephen Harper a annulé son événement prévu le matin, à Surrey, en Colombie-Britannique. Son parti n’a pas expliqué la raison de l’annulation. Mais l’événement suivant devait être remplacé par une déclaration sur la crise, suivie d’un point de presse.
Son ministre Jason Kenney qui a tenu le portefeuille de l’Immigration avant le ministre actuel, a, lui aussi, annulé un point de presse qu’il devait tenir à Brampton, en Ontario, sans dire pourquoi, lui non plus.
Au sujet de la crise des réfugiés, M. Harper avait dit, mercredi, que ce n’est pas une politique canadienne sur les réfugiés qui règlerait le problème.
«Il y a des groupes comme l’EI (…) qui font littéralement des millions de réfugiés et menacent de massacrer des gens partout dans le monde. Nous n’aurons pas une solution à ça en adoptant une politique sur les réfugiés. Nous devons prendre une position ferme, militaire, contre l’EI et c’est ce que nous faisons», avait-il dit mercredi.
C’était avant qu’on apprenne qu’il y avait un lien entre le Canada et l’enfant dont la photo du cadavre a fait le tour de la planète.
Programmes détournés et promesses multiples
Avant que les programmes de la journée ne soient détournés par l’actualité, M. Mulcair s’était arrêté à Toronto pour promettre, s’il est élu premier ministre, de bonifier le Régime de pensions du Canada ainsi que le Régime des rentes du Québec, à condition de s’entendre avec les premiers ministres des provinces.
JustinTrudeau, lui, était de passage à Brossard pour s’engager à ne pas imposer un péage sur le nouveau pont Champlain s’il est élu premier ministre, promesse qu’il a répétée après avoir rencontré le maire de Montréal, Denis Coderre, en fin de matinée, à Montréal. Aux côtés de M. Coderre, M. Trudeau a également promis de rétablir la livraison du courrier à domicile s’il était élu le 19 octobre.
Le refus de Stephen Harper de changer quoi que ce soit à sa politique d’accueil de réfugiés syriens pousse le chef libéral Justin Trudeau à adresser une prière au premier ministre sortant.
De passage à Richmond Hill, en Ontario, M. Trudeau a «imploré» M. Harper de changer d’avis, d’accueillir 25 000 réfugiés syriens tout de suite. Selon le chef libéral, ce n’est qu’une question de volonté politique.
Alors que le monde entier est encore sous le choc de l’image de l’enfant syrien noyé et que le premier ministre britannique a cédé à la pression populaire et ouvrira plus grande ses portes, M. Harper maintient que son offre d’accueillir 10 000 réfugiés syriens au cours des quatre prochaines années suffit. Et il n’a manifesté aucune intention d’accélérer le processus d’accueil de ces réfugiés qui doivent, en bonne partie, compter sur des parrainages privés.
Par ailleurs, Justin Trudeau était en Ontario pour promettre 20 milliards $ en dix ans pour le transport en commun. Il a ainsi détaillé une partie de sa promesse déjà faite d’un investissement majeur en infrastructures. À ses côtés, le ministre ontarien des Transports a applaudi la promesse. M. Trudeau croit que ces dépenses donneront un bon coup de pouce aux municipalités.
Gilles Duceppe semble sortir tout droit d’un film d’horreur de Christopher Lee,dans cette photo.
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe,dont le parti moribond suit les mêmes vieilles recettes libérales, croit qu’il est temps de mettre la partisanerie de côté pour accélérer l’arrivée de réfugiés au Canada.L’utilité de ramasser les réfugiés pour Gilles Duceppe,au Québec,s’explique par la philosophie néolibérale du Bloc québécois relative à la croissance économique…infinie jusqu’à la fin des temps…créer de la richesse pour faire croître “l’économie capitaliste du Québec”,seule garante de prospérité.
S’il n’est pas contre la campagne de frappes aériennes contre le groupe État islamique en Irak et en Syrie, Gilles Duceppe croit cependant qu’elle ne doit pas primer sur l’aide humanitaire.
Le chef bloquiste s’est exprimé sur la question, vendredi,4 septembre 2015, à Montréal, dans la foulée de cette crise qui s’est invitée dans la campagne électorale depuis que les images d’un petit Syrien mort noyé ont fait le tour du monde.L’intelligence des débats d’idée a libéré la place en faveur de l’émotion pure.
M. Duceppe croit qu’il est urgent que le gouvernement canadien déploie des efforts pour permettre à 10 000 réfugiés d’arriver «le plus vite possible». Selon lui, ce nombre pourrait être réévalué par la suite au besoin.
M. Duceppe était de passage dans les studios d’Avis de recherche pour épauler le dirigeant de la chaîne dans sa croisade contre le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC).
Vincent Géracitino affirme qu’une décision de l’organisme fédéral n’oblige plus les câblodistributeurs à offrir la chaîne, ce qui menace sa survie.
M. Duceppe s’est demandé pourquoi le gouvernement Harper, qui «prétend défendre la loi et l’ordre», n’est pas intervenu pour aider la chaîne qui diffuse des photos de personnes disparues ainsi que de criminels recherchés.La raison selon moi est très simple:comment rechercher des criminels djihadistes si l’organisme le mieux coté pour les rechercher n’existe plus?
Stephen Harper ne bronche pas:il représente pourtant l’Empire au Canada!
Stephen Harper maintient qu’il n’est pas nécessaire d’accueillir plus de réfugiés syriens au Canada.
En campagne électorale à Whitehorse, au Yukon, le chef conservateur a répété, vendredi,4 septembre 2015, que la réponse à cette crise est aussi militaire. Et il s’en est pris aux néo-démocrates qui ne veulent pas que le Canada participe aux bombardements aériens contre le groupe État islamique (EI) en Irak et en Syrie.
M. Harper a jugé irresponsable la position de son rival Thomas Mulcair dans ce dossier.
Il a rappelé sa promesse de recevoir 10 000 réfugiés syriens d’ici quatre ans, s’il est réélu, tout en continuant la mission militaire contre l’EI. Et toujours pas question d’accélérer le processus d’accueil de ces éventuels réfugiés au Canada.
Attaqué par ses adversaires libéral et néo-démocrate, le chef conservateur ne voulait parler que de lutte à l’EI, même si la crise des réfugiés syriens a débuté avant l’émergence de ce groupe. Il a accusé le Nouveau Parti démocratique de vouloir ignorer «le meurtre, le viol, la torture qui continuent dans ces pays».Indépendamment de mon opinion politique sur Harper,c’est le politicien qui semble donner la meilleure opinion réfléchie sur le sujet,mais pourquoi?
Comme la veille, il a répété qu’il y a des dizaines de millions de réfugiés et que le problème ne sera pas réglé par une simple politique sur les réfugiés.Le message d’Harper est donc très clair:attendons ,car le mal est fait…Nous sommes donc en danger de mort réelle,sur le plan civilisation.
Où sont les femmes ? les enfants ? les vieux ? Tous laissés dans l’enfer de la guerre ? De deux choses l’une : soit ils ne proviennent pas de zones de combat, soit ce sont des salopards …Est-ce que les téléspectateurs réfléchissent à la Vérité?
LES RAISONS DE LA TRAHISON DES POLITICIENS ACTUELS AU CANADA ET AU QUÉBEC
Ces raisons sont nombreuses,voici les plus importantes:
1- Le Canada est en fait une fausse démocratie gérée comme une colonie.Le Québec serait,de par son statut unique : la dernière colonie survivante de l’Empire Britannique qui n’existe plus,dans les faits.Simplement,le pouvoir a été retransmis au Canada par les “véritables” Héritiers de l’Empire.Donc ,à chaque fois que l’Empire adopte une règle,le Canada n’a pas le choix et doit suivre.Au Québec,on laisse planer l’illusion du choix démocratique des électeurs alors que comme on l’a vu ,le 7 avril 2014,on fraude le contenu des urnes de votation à volonté.Nous sommes donc les dindons de la farce…des esclaves aux services du Parti libéral du Québec et du crime organisé.
2-Le Nouvel Ordre Mondial actuel qui contrôle nos Vies,nos pensées,nos aliments,nos hôpitaux,nos médicaments,nos banques,nos loisirs,etc…est l’héritier direct de l’ancien Empire de Babilone ,l’empire de la luxure et de la corruption.Nous avons même hériter de sa vieille technique de contrôle de population qui consiste à déporter des populations étrangères l’une de l’autre,à l’intérieur de l’empire afin de les contrôler en les mélangeant.Ainsi on a déporter des juifs à Ur pendant que l’on déportait des individus de nations diverses vers la Judée.C’est ce que le Canada a toujours fait envers le Québec par son contrôle de l’immigration.
C’est la stratégie de globalisation des quatre soit-disant « flows ininterrompus » (en français flux). Celle-ci provient du géostratége militaire US,l’américain Thomas P.M. Barnett. Je cite Barnett: « Comme condition préalable pour le fonctionnement sans heurts (de la globalisation), nous devons permettre quatre ‘Flows’ durables et sans entraves. » Les afflux actuels, presque surdimensionnés, de réfugiés vers l’Europe, font partie de la stratégie du « Flux sans entraves », qui en l’occurrence vise l’Europe et n’a le droit d’être empêché par aucun gouvernement ou institution selon Barnett.
Les frontières nationales doivent être dissoutes, les races mélangées, et ainsi les valeurs et les religions doivent être abolies et le chemin vers le nouvel ordre mondial (NWO) global doit être aplani. Nous voyons ainsi de quelle manière on trouve la marque des Etats-Unis derrière les afflux de réfugiés .
3-Une fois que le nombre de réfugiés syriens aura suffisamment infiltré notre territoire,le chemin sera ouvert pour les autres djihadistes et faux prophètes de malheur pour réclamer les mêmes droits que leurs prédécesseurs syriens:les marocains,les lybiens,les égyptiens,les libanais,les nigériens ,etc,etc,etc….On choisira de préférence des musulmans de langues différentes au français pour émigrer au Québec.Entre temps,on va tenter de nous intimider pour que nous,le peuple québécois ,abandonnions le Québec entre leurs mains.Regardez ce qui s’est passé récemment dans le stationnement du centre d’achat Les Galeries de la Rive-Nord ,à Repentigny,ma ville:
Voici les collants que l’on placeait sur les pare-brise des voitures dans le stationnement des Galeries de la Rive-Nord à Repentigny,le 4 septembre 2015.
Pourquoi le Maroc et de nombreux pays arabes refusent les réfugies syriens?…ils savent qu’ils sont infiltrés par des terroristes. Donc, vous pensez qu’ils sont tous les réfugiés, même si 90% d’entre eux sont tous les jeunes gens de la lutte contre l’ AGE. Eh bien jeter un oeil à cette photo. Sur la gauche est un combattant de la Syrie, sur la droite est le même homme poursuivant son chemin avec tous les autres «réfugiés» syriens fuyant en Allemagne. Il a une marque très spécifique et individuelle sur son visage. C’est le même gars. Réveillez -vous ,enfin. Vos nouvelles locales sont probablement vous montrant les enfants, les femmes … mais si vous regardez tout ce que vous pouvez voir,vous verrez que la majorité des migrants sont des JEUNES HOMMES. Bienvenue en Allemagne ISIS!
Donc,Nous,le peuple québécois,les survivants francophones de la Dernière Colonie de l’Empire Britannique d’Amérique du Nord,sommes en état de légitime défense!Notre dernière parade,notre dernier moyen est la désobéissance civile,car voter c’est collaborer avec la répression de l’Empire,avec le Canada centralisateur qu’il nous faut réformer ou quitter!
Tantôt,nous devrons choisir entre le suicide collectif ou/et individuel ou mourir en combattant debout!
Tantôt,nous devrons choisir entre la lâcheté ou le courage!…entre la Liberté ou la Mort!
Au Québec et dans tout le reste du Canada,on annule son vote le 19 octobre 2015 …car nous refusons votre complot!
C’est par centaines que les soldats américains s’affichent ainsi contre l’agression vers la Syrie …en alliance avec Al Qaïda.
La Seconde Révolution Américaine est bel et bien commencée!
Tel est le message véhiculé depuis si longtemps par Alex Jones et de nombreux journalistes d’enquêtes hors des grands réseaux d’informations.”Infowars ” le grand site d’information d’Alex Jones en fait état ,surtout de puis hier.L’information a aussi circulé vers les réseaux européens …et russes.
Au moment ou la flotte américaine est prête à faire feu sur la Syrie sans regarder “les dommages collatéraux” voici en gros ce que j’ai pu retracé un peu partout sur le web:
Une révolte militaire contre le plan de l’administration Obama pour lancer une attaque potentiellement désastreuse contre la Syrie est en train de s’accélérer, avec deux hauts gradés et membres des services réguliers qui expriment leur opposition véhémente à ce que les États-Unis s’empêtrent dans le conflit. La réaction a commencé à se répandre sur les médias sociaux hier avec de nombreux militaires postant des photos d’eux-mêmes brandissant des pancartes indiquant qu’ils refuseraient de se battre du même côté que Al-Qaïda en Syrie. D’autres ont posté leurs photos sur Twitter avec le hashtag # IdidntJoin .
Comme l’administration Obama se prépare à présenter un projet de résolution aux législateurs qui est loin d’être «limitée» dans sa portée et seraient en fait graisser les patins pour une guerre à durée indéterminée, John Kerry et d’autres fonctionnaires du Département d’Etat ont signalé que Obama va simplement ignorer le Congrès, si celui-ci vote non, et lancer l’assaut de toute façon.
Cela ne contribuera guère à rassurer un nombre croissant de personnalités influentes dans l’armée américaine qui deviennent de plus en plus récalcitrantes à ce que les Etats-Unis se laissent entraîner dans une nouvelle guerre au Moyen-Orient.
Le Washington Post rapporte que « le plan de l’administration Obama pour lancer une attaque militaire contre la Syrie est reçu avec de sérieuses réserves par beaucoup dans l’armée américaine, qui est aux prises avec les séquelles des deux guerres longues et un budget qui se contracte rapidement, selon des officiers actuels et anciens » .
Le membre républicain du Congrès, Justin Amash a également affirmé par Twitter : « J’ai entendu beaucoup de membres de nos forces armées. Le message que j’ai toujours entendu dire est : S’il vous plaît votez non sur l’action militaire contre la Syrie ». La déclaration de Amash a été suivie par une série de tweets de vétérans militaires qui ont également exprimé leur opposition à l’attaque.
Paul Szoldra de Business Insider a également parlé de « sources qui sont soit des anciens combattants ou actuellement en service actif dans l’armée », et leur a demandé s’ils appuyaient l’escalade militaire en Syrie.
« La plupart ont répondu par un non catégorique », écrit Szoldra.
Il cite un sergent d’active de première classe qui déclare: « Nous sommes débordés, fatigués, et cassés », ajoutant que les Etats-Unis « (n’ont pas) besoin d’être la police du monde ».
«Notre implication en Syrie est si dangereuse à bien des niveaux, et le vétéran américain du 21ème siècle est plus soucieux de l’éviter plus que quiconque. Ca dépasse mon entendement que nous soyons ignorés », ajoute l’ancien caporal Jack Mandaville, un vétéran du Corps d’infanterie de Marine avec 3 déploiements en Irak.
Il n’y a pas que le personnel militaire qui expose publiquement ses préoccupations, Politico rapporte que des fuites du plan d’attaque qui « émanent de la bureaucratie du Pentagone moins enthousiaste à l’idée d’une attaque que, disons, le Département d’Etat, Conseil national de sécurité ou Obama lui-même », font partie des divulgations non autorisées qui ont “irrité” la Maison Blanche.
(Sources: Voix de la Russie, Infowars,Réseau International,The Washington Post,etc)
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La fragilité relative des communications militaires américaines
Un site webpourl’US Marine Corpsa été piraté récemment par un hacker attribuéà l’arméeélectronique syriennequia critiqué le présidentaméricain BarackObamaet a appeléles soldats américains éveillés,comme étant les “frères de l’armée syrienne”. Le messagedit que les Marinesdevraient être des alliésavec les forcesqui luttent pourla Syrie eta montrécinqpersonnes habilléesen tenuearméebrandissant des pancartesqui disaientqu’ilsne se battraient paspour Al-Qaïda. “Obamaest un traîtrequi veut mettrevotre vieen dangerpour sauverles insurgésd’Al-Qaïda“, selon l’affichage sur le site ” Marines.com”. “Marines, veuillez jeter unoeil à ce quevoscamarades pensent de l’allianced’Obama avec Al-Qaïda contre la Syrie.” Lesite “lui-même n’a pas été compromisou«piraté»,selon son porte-parole,le CapitaineEricFlanagan qui a fait cette déclaration au nomdu Commandementde recrutementdu Corps des Marinesquiexploite lesite.“Il a été redirigépour un nombre limité d’heurespendant la nuit” et aucune informationconfidentielle oupersonnelle » n’a été mise en danger“, at-il dit. Flanagana dit que :”…à ce momentde la commandene peut pas confirmerqui était responsablepour rediriger lesite”.Le messageaété suppriméetle siteest de retourà la normale.Le hackfait suite à cellessur le New YorkTimes,leHuffington Postetlescomptes Twitterpour le Financial Timeset ITVparun groupeutilisant le nom del’Armée Électronique Syrienne –un réseaude piratesqui prétendsoutenirle gouvernement syrien etle président Bacharal-Assad.Les “pseudo rebelles de la prétendue “Free Syrian Army ” (Al Qaïda false flag) ont exhortéles officiers du président Bacharal-Assad à faire défectionmardi, cherchant à gagner des points sur la guerrecivile dans le pays (guerre qu’ils ont eux-mêmes provoqués) pendant une accalmiecréée parla décision d’Obamade consulterle Congrèsaméricain sur lesfrappes militaires. Les principaux conseillersd’Obama ontlancé une campagnepour obtenir le soutiend’une attaquesur la Syrie,tandis que la Russiea rejeté les données américainessur l’utilisation des armeschimiquespar le gouvernement syrien. Le site estséparé de l’adresse Web. Mil, qui est le site officiel duCorps des Marines et des informations.Flanagan adéclaré que le sitemil.N’était pas visé.
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Louis-Joseph Papineau s’adresse au peuple du Bas-Canada (nom du Québec à l’époque).Il était le chef politique incontesté du Parti Patriote. Les Patriotes étaient supportés par plus de canadiens anglophones d’origine irlandaises,écossaises et autres que de canadiens français,à l’époque…contrairement à ce que beaucoup de souverainistes actuels ignorent. La Rébellion des Patriotes du Bas-Canada avait pour but de créer un gouverment responsable,abolir la corruption et de créer une nation indépendante de l’Empire Britannique.
La Seconde Révolution Américaine lancera un appel au Peuple Québécois
Le Grand Nettoyage de la politique corrompue qui s’étend à toute l’Amérique du Nord aura un impact majeur sur les partis ,mouvements ,groupes et individus œuvrant pour la Libération du Québec.
Le moment sera opportun pour foncer et embarquer dans ce changement majeur de la politique nord-américaine.Il s’agira de manière certaine du plus profond changement à intervernir ,en Amérique du Nord depuis 1776.Ce changement surpassera en grandeur,l’assassinat de Kennedy,l’attentat du 11 septembre 2001 (qui fut un complot interne de la CIA) et même la démission de Richard Nixon.Il est impossible de négliger cette occasion en or massif de participer à un si grand nettoyage qui améliorera la vie politique de toutes les nations d’Amérique du Nord.
La Seconde Révolution Américaine commencée depuis peu,va coïncider avec une Seconde Rébellion des Patriotes Québécois ,car ceux qui agiront pour la Libération du Québec ,seront dans toute la force des Mots: de Vrais Patriotes Québécois.
L’histoire de l’Humanité est pleine de ce genre de situations ou des nations ont saisies au vol l’opportunité de devenir libres,du moins changer les règles du jeu pendant qu’un Empire s’effondrait.
Quand l’Empire Romain s’est effondré,l’Angleterre a été l’une des premières nations à saisir l’opportunité et est devenue elle-même un empire.Plus près de nous,il y eut l’Empire d’Autriche-Hongrie qui donna naissance à de nombreux pays,à la fin de la Première Guerre Mondiale.Que penser aussi de l’effondrement de l’Union Soviétique et de la République fédérale de Yougoslavie?
Le sort de l’Empire Américain est inscrit dans le temps et il est à la même enseigne que les mots inscrit sur les pièces de un cent: “E pluribus unum” (de l’union de plusieurs) …et le Canada tout comme le Québec,est un peu un petit morceau de cet empire;un petit morceau en dehors des frontières mais à l’intérieur de la zone d’influence.
Vive la Seconde Révolution Américaine !
Vive la Seconde Rébellion des Patriotes Québécois!
Vive la Lutte pour la Libération des Nations Souveraines de la Terre!
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