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Vidéo:Marine Le Pen défend les nations devant la chancelière Merkel et son vice-chancelier Hollande
Ère Nouvelle:Victoire du peuple grec contre la tyrannie de l’Union Européenne et les banquiers de Rotschild
Malgré une campagne de terreur et de chantage contre eux, en ce dimanche 5 Juillet 2015, le peuple grec a voté par une marge de plus de 61% à moins de 39% (oui), de ne pas se soumettre au pouvoir du tyran Zeus, de ne pas soumettre volontairement à l’austérité génocidaire européenne basée sur une dette illégitime imposée frauduleusement, comme exigé jadis par l’Empire britannique au peuple américain et au peuple québécois. Leur vote de «non» est un «oui» retentissant à un avenir, pas seulement pour les Grecs, mais pour l’humanité toute entière , même si cependant aussi incertaine que l’avenir puisse-être en ce moment.

Immédiatement après avoir entendu les résultats du vote, j’ai compris que ce vote ne sera pas seulement valable pour avoir des conséquences pour la Grèce uniquement. Le vote a des conséquences pour le monde, et surtout pour la région trans-atlantique.
Le résultat du non majoritaire grec aura d’énormes conséquences pour Stephen Harper et pour le Canada qui est le souteneur et le « faire-valoir » de la volonté mortuaire de l’Empire Britannique en Amérique du Nord.Il faut être idiot pour croire que le Canada est une démocratie au sens large du terme.Nous ,le peuple québécois, connaissons fort bien comment ça marche cette démocratie totalitaire du système parlementariste canadien.En 1995,lors du dernier référendum sur la souveraineté du Québec,on a donné leur citoyenneté canadienne à plus de 26,000 immigrants nouveaux (dont plusieurs terroristes recherchés par le FBI et la CIA américaine) en leur demandant de voter non au référendum ,au Québec.Contrairement au non grec,un vote non lors du référendum québécois sur la souveraineté signifiait que nous allons continuer à subir la honte,l’invasion,l’assimilation culturelle,politique et sociale et à travailler en esclave sur notre propre terre.Ensuite est ressortie le scandale des commandites ou des centaines de millions de dollars ont été détournés aux profits des amis du Parti libéral du Canada.Ensuite,Jean Chrétien ,notre Quisling national,s’est débarrassé de Jean Charest,alors chef du Parti Progressiste-Conservateur en lui donnant une belle enveloppe brune pour qu’il abandonne son poste pour devenir chef du Parti libéral du Québec.Personne ne voiulait plus devenir chef de ce parti politique contrôlé par le crime organisé et Jean Charest va édifier la gérance de l’état autour de la corruption et de la collusion politique.Actuellement,en 2015,le Parti libéral du Québec fonctionne sur la loi de l’omerta et si demain-matin,je deviendrais premier ministre ou président du Québec,je ferais dissoudre ce parti politique ainsi que tous les autres élu(e)s de l’Assemblée nationale tout en déclenchant une importante enquête publique.La totalité des hauts fonctionnaires de ce gouvernement seraient mis en état d’arrestation et jugé.J’embaucherais de jeunes finissants collégiaux ou universitaires pour les remplacer,car le meilleur moyen pour ne pas choisir une « pomme pourrie » ,c’est de la choisir verte dans l’arbre.
La seule façon de rémédier à l’institualisation du crime organisé,au Québec comme dans beaucoup de pays contrôlé par des sociétés secrètes (comme en France,en Angleterre,etc) est d’abattre ces institutions politiques en marchant pacifiquement,mais résolument,la tête haute en oubliant la peur…sur notre Assemblée Nationale.Il faut réclamer la démission en bloc de ces gouvernements et punir leurs petits amis.
Le gouvernement et le peuple grec ont réussi dans leur référendum en le déclenchant rapidement…Ils n’ont pas laisser le temps à l’Union Européenne pour démolir leur unité et leur résolution de vouloir changer quelque chose chez eux:ils sont souverains et ils ont profité de cette souveraineté!

Tandis que le Québec est la dernière Colonie survivante de l’Empire Britannique …administrée par les néolibéraux,comme en Europe!
VERS UNE SECONDE RÉVOLUTION AMÉRICAINE ET LA FIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL
La question fondamentale pour le peuple américain est : qu’est ce qu’Obama va faire? Ce vote aura des conséquences pour Obama, parce qu’il est une simple marionnette de l’Empire britannique et de Wall Street, qui seront tous deux durement touché par le vote grec.
En Allemagne, la chancelière allemande Angela Merkel et le ministre allemand des Finances Wolfgang Schaeuble sont dans le pétrin. L’économie allemande est en train de plonger vers le bas. Tout allemand sain d’esprit en viendra à une conclusion:se débarrasser du duo de Merkel et Schäuble. Du point de vue de l’économie allemande, aucune autre conclusion raisonnable n’existe. L’Allemagne est pratiquement le seul pays producteur qui reste en Europe. Si l’Allemagne ne veut pas se suicider, il n’a pas d’autre alternative que de se débarrasser de Merkel et Schäuble maintenant. Ils ne sont pas les dépenses Allemagne peut continuer à transporter. L’économie allemande est déjà en chute libre. Combien de temps l’Allemagne peut survivre sous sa mauvaise direction actuelle?

Et d’ailleurs, combien de temps les Etats-Unis peuvent survivre sous la mauvaise direction d’Obama? …ce n’est surement pas Hillary Clinton et ses petits amis terroristes qui vont améliorer la situation!
Il faut souligner que nous pouvons nous attendre à des changements soudains au niveau mondial immédiatement …et dans peu de temps. Il y aura un instinct de punir la Grèce, pour ne pas perdre la face …en ce qui touche l’Union Européenne.
Les changements seront de nature mondiale, frappant principalement la région transatlantique. Soyez prêt parce que l’enfer peut en sortir. Le 7 Juillet, Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) de la New Development Bank seront officiellement lancé. Les 8 et 9 Juillet 2015, les nations BRICS se réuniront en Russie. Est-ce que les laquais de l’Empire britannique vont tenter de forcer la Grèce à sortir de la zone euro? Si oui, la Grèce va-t-elle rejoindre les BRICS? Ou assisterons-nous à une tentative pour essayer de maintenir la Grèce dans la zone euro? D’après moi,les américains et les européens vont tenter de faire renverser le gouvernement légitime par leur méthode d’infiltration:une révolution colorée de type néo-nazi,comme en Ukraine!De toute façon, la question n’est pas la Grèce en soi. La question est la faillite de la région trans-atlantique dans son ensemble. Comme plusieurs économistes l’ont souligné: il n’y a pas de solution unique, mais plutôt il ya un ensemble de complications. Il y aura un effet global. Les marchés réels ne sont pas limités par tous les moyens à l’Europe. Les activités financières sont de nature mondiale.

Il nous faut aussi un front national…au Québec pour oser,nous aussi!
Par conséquent, la crise doit être examiné non pas de bas en haut, mais plutôt de haut en bas. Pour ce faire, vous avez à vous extraire de votre entourage local. Nous sommes confrontés à une crise mondiale, pas une crisette locale. Même une réduction de la dette grecque ne suffirait pas à résoudre la crise.
Comme l’ont fait remarqués quelques économistes et politiciens américains, ce qui est requis est de réimposer la législation Glass-Steagal de Franklin Roosevelt aux États-Unis et dans le monde.
DÉFINITION DU GLASS-STEAGALL ACT
Le Glass-Steagall Act est une loi, passée par le Congrès américain pendant la Grande Dépression des années 1930, promulgant la séparation des activités d’investissement et des activités commerciales des banques.
La loi visait à protéger les banques commerciales, qui acceptent les dépôts des épargnants et accordent des prêts aux particuliers et aux entreprises, des risques pris par les banques d’investissement.
La loi Glass-Steagall est abrogée en 1999 sous l’administration Clinton, principalement pour permettre la naissance d’un géant de la banque : Citigroup. De nombreux experts s’accordent à dire que l’abrogation du Glass-Steagall Act a contribué à la crise financière de 2008.
Bill Clinton est un membre important du groupe de Bilderberg et est à la solde des Illuminatis.
Comme l’ont souligné de nombreux économistes, absolument rien n’est fixé. Tout ce que vous comptez come sur ,en terme de valeurs,pourrait disparaître en quelques jours. Le monde entier pourrait être chamboulé.
Par conséquent, l’approche qui doit être prise est d’aller pour le centre de l’action. Par exemple,commencez par le centre galactique. Vous devez regarder la planète dans son ensemble, sous implications galactiques. Vous devez comprendre l’existence de ce point de vue de l’homme (par l’homme). Les processus qui régissent la galaxie déterminent tout. Vous devez aller de l’ensemble au particulier, et non pas du particulier à l’ensemble. La galaxie a des considérations multiples, dont l’humanité ainsi apprécie le bien que dans une mesure limitée.Il ne reste pas assez d’années à vivre pour les Humains de la terre afin de comprendre un seul pour cent (1%) des règles qui régissent l’univers.
Le mot de la bouche de Satan est « être pratique, » quand en fait ce qui est réellement nécessaire est d’être créatif! Il ne faut jamais oublier que la pensée est la création…et non pas l’inverse!
On en sait de plus en plus sur les dimensions des problèmes à résoudre. Comme nous explorons ces dimensions, nous devenons plus qualifié pour traiter correctement les problèmes auxquels fait face l’humanité,maintenant. Pour ce faire, Nous,le peuple des Humains de la Terre, devons nous développer davantage pour acquérir des compétences suffisantes pour prendre des décisions à l’échelle mondiale.Il nous faut remplacer la gérance maladroite des Maîtres actuels du Monde: les Illuminati et le Nouvel Ordre Mondial.

Ceci nous montre l’importance de la musique classique. La façon dont nous devons penser à un moment de crise mondiale, comme nous sommes maintenant confrontés, est de la mettre du point de vue de la musique classique,afin de la comprendre. Le principe musical classique n’est jamais trouvé dans les notes simples en tant que telles. C’est une question de placement. Le « vraiment » grand compositeur classique met son identité( ce que Beethoven a fait), dans une mission personnelle pour améliorer la condition humaine, en élevant l’esprit humain pour être en harmonie avec le principe musical du monde, pour être en concordance avec le principe créatif de la galaxie.
Depuis le (ou vers le) 21 décembre 2012,nous avons été mis en diapason avec le centre de notre galaxie,suivant le calendrier maya.De nombreuses personnes se sont fait du capital médiatique en parlant de fin du monde,mais en réalité,il fallait parler du début de l’Ère Nouvelle.
Nouvel Ordre Mondial: Washington lance une vaste campagne de désinformation sur le crash du Boeing

Plus de 70 ans après Tcherkassy, en Ukraine, les forces de Nouvelle Russie s’apprêtaient à tailler définitivement en pièces toute une partie de l’armée ukrainienne dans un « chaudron » à la frontière russe, en plein cœur du Donbass. Mais le drame du crash du Boeing de la Malaysia Airlines, tuant près de 300 personnes dont de très nombreux enfants, risque de réactualiser la situation géostratégique. En effet, Kiev et ses alliés occidentaux sont prêts à tout pour rendre Moscou et les indépendantistes responsables de la tragédie. Or, seulement 24 heures après que l’avion ait été vraisemblablement abattu, de plus en plus d’éléments mettent hors de cause la responsabilité des Russes et des indépendantistes. Mais Washington et ses alliés n’ont que faire de la vérité.
Depuis hier dans les médias français, qui suit l’ensemble des médias occidentaux, anglo-saxons en tête, la désinformation bat son plein et l’on n’hésite pas à mettre en avant des « experts » autoproclamés, grassement payés et qui n’hésitent pas à nous sortir des perles comme s’il en pleuvait. La dernière en date : Sir Malcolm Rifkind, membre éminent de l’Intelligence and Security Committee, a suggéré que le missile qui a détruit l’avion avait été lancé par les « forces spéciales soviétiques » ! (source) Heureusement que dans ISC, il y a « Intelligence »…
Laissons de côté les agitateurs, les experts à la ramasse, les désinformateurs stipendiés et autres intellectuels faussaires (tiens, BHL, où es-tu ?) pour nous concentrer sur les faits et les analyses sérieuses, comme nous l’avons toujours fait.

Le Boeing 777 malaisien volait à une altitude inférieure à celle prévue à la demande des contrôleurs aériens ukrainiens a déclaré à Amsterdam Huib Gorter, vice-président de la branche européenne de la compagnie Malaysia Airlines. Et nous n’avons toujours pas d’explications cohérentes quant à l’autorisation faite par Kiev aux compagnies aériennes de survoler la zone des combats, ni sur le fait que son trajet habituel ait été modifié.
24 heures après la terrible tragédie qui a coûté la vie à presque 300 civils lors du crash d’un Boeing de la Malaysia Airlines près de Torez-Snizhne dans le Donbass en zone indépendantiste, Kiev n’a toujours pas pris contact avec les autorités de Nouvelle Russie pour que des secours et des enquêteurs ukrainiens puissent se rendre sur les lieux où l’appareil s’est écrasé. Voilà qui en dit long sur l’esprit de la junte au pouvoir : Porochenko et le gouvernement de Yatseniuk (qui considère les Russes comme des «sous-hommes») veulent profiter du drame pour pousser la «Communauté internationale» et l’OTAN à intervenir contre les indépendantistes et la Fédération de Russie.

La plupart des systèmes d’enregistrement de l’appareil ont été retrouvés par des éléments de la milice qui sont immédiatement accourus sur place. L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a indiqué que les indépendantistes avaient accepté d’offrir « un accès sûr » à une commission nationale d’enquête, comprenant des enquêteurs internationaux (photo). Mais Washington insiste pour que l’enquête ne soit surtout pas impartiale et accuse les séparatistes… avant d’accuser Moscou. Les USA feront donc tout ce qui leur est possible pour discréditer toute investigation qui ne leur serait pas soumise.
Le document du SBU qui retracerait un soi-disant enregistrement de conversation des indépendantistes confirmant le tir sol-air contre l’avion est un vulgaire montage, bien entendu, et seuls des malfaisants peuvent en faire état. Washington a donc fait en sorte que la police politique, qui est à sa botte, le diffuse largement sur Internet.
Les données de la défense russe
Le ministère de la Défense à Moscou a souligné, lors d’un communiqué de presse, que les systèmes antiaériens des forces ukrainiennes étaient actifs lors du crash de l’avion. Et notamment une batterie longue portée S-200 (SA-5 Gammon) à Kharkov et trois batteries de moyenne portée Buk-M1, notamment aux environs de Slaviansk et de Donetsk.
Ce qui est à la fois normal et cohérent : en effet, quelques jours plus tôt, Moscou avait indirectement fait savoir que des « frappes ciblées » contre des objectifs militaires en Ukraine pouvaient être envisagées par les forces russes, si Kiev persistait à faire tirer des salves d’artillerie sur le territoire de la Fédération de Russie. L’Ukraine s’attendait donc à riposter à d’éventuels raids aériens. Cela ne signifie pas qu’une ou des batteries de DCA ukrainiennes aient tiré sur l’avion, mais comme Kiev affirme que ses défenses antiaériennes étaient alors non opérationnelles, cette précision prend tout son sens.
D’ailleurs, en raison des tirs répétés, deux villages russes près de Kuybyshevo (région de Rostov, face au « chaudron ») ont été évacués aujourd’hui.

Selon RIA Novosti un fragment de l’aile avec les marques d’éclats de shrapnels (typique des systèmes sol-air) a été trouvé près du village de Rassypnoye à moins de 2 km à l’ouest du crash.

Le 17 juillet, les systèmes de radiodétection russes ont enregistré le fonctionnement du radar 9S18M Kupol (Snow Drift en code OTAN) d’une batterie de Buk-M1 déployée près du village de Styla (environ 20 km au sud de Donetsk). Les caractéristiques techniques des Buk-M1 permettent de procéder à un échange d’informations sur les cibles aériennes entre toutes les batteries d’une même unité. Cela signifie que le missile aurait pu être tiré par chacune des batteries déployées à Avdiivka (8 km au nord de Donetsk) ou à Gruzsko-Zoryanskoye (25 km à l’est de Donetsk).

Le 4 juillet, la télévision ukrainienne faisait un reportage sur une batterie Buk-M1 prépositionnée au nord-ouest de Slaviansk (AP Photo/Dmitry Lovetsky). En outre, il y a cinq jours, un des portes paroles officiels du commandement des opérations, Vladislav Seleznev, a déclaré que les opérations sur le terrain impliquaient la présence de moyens de défense antiaérienne.
Pour les lecteurs profanes, voilà schématiquement, comment fonctionne une batterie Buk-M1/2 complète. Un lanceur seul n’a qu’une capacité limitée d’attaque d’un rayon de 3 km.
Et pour recharger le lanceur, il faut un camion spécial…parce qu’un 9M38, ça fait dans les 700 kg l’unité !
Comme par grand hasard, alors que jusqu’à présent, aucune vidéo sur un éventuel Buk-M1 indépendantiste n’était disponible sur la toile, est apparu hier, en soirée (vers 21h00, heure de Paris, donc plusieurs heures après le crash du Boeing) cette mauvaise vidéo d’un automoteur sol-air Buk présenté comme ayant été filmé dans le secteur de Torez. A noter : pas de radar d’accompagnement, pas de camion « chargeur »…
Les armées de Kiev sont en pleine déroute et cherchent une sortie
Ce drame intervient dans un contexte très particulier pour le conflit du Donbass : celui de la débâcle d’un quart des troupes engagées, et notamment les 24e, 72e et 79e brigades de l’armée de terre ukrainienne, plus une « brigade » de la garde nationale, à la frontière russe, lors d’un encerclement dû à une faute stratégique majeure du commandement opérationnel de Kiev.
Dernièrement, le secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Arsen Avakov, a fait fuiter un document faisant état des pertes dans les deux camps, document dans lequel on peut se rendre compte combien les forces ukrainiennes ont été ces derniers temps éprouvées par les combats. Un document qui ne laisse aucun doute quant à la situation alarmante d’une partie des troupes engagées par la junte.
Etat des pertes des troupes ukrainiennes du 9 au 15 juillet 2014, signé par Arsen Avakov, secrétaire d’Etat à l’Intérieur :
Troupes ukrainiennes tuées -1.600
Troupes ukrainiennes blessées – 4.723
Tanks perdus – 35
Véhicules blindés – 96
Artillerie – 38
Avions – 7
Hélicoptères – 2
Véhicules – 104
Pertes des rebelles :
Tués – 48
Blessés – 64
Tanks – 2
Artillerie -5
Véhicules – 8
Pertes civiles:
Tués – 496
Blessés – 762
Ces données amènent plusieurs observations.
Tout d’abord, ces chiffres du ministère de l’Intérieur (et non pas de celui de la Défense), recoupent très largement nos observations de ces derniers jours concernant les événements qui se déroulent à la frontière, dans le « chaudron » où pas moins de 4 brigades rassemblant quelque 4.000 hommes se sont retrouvées encerclées et réduites quasiment à néant, opérationnellement parlant. Ce document est en complète contradiction avec la propagande médiatique du régime et les jacasseries intempestives et prétentieuses de ses soutiens occidentaux.
Ensuite, le fait qu’Avakov, qui est un des responsables les plus hystériques contre ses concitoyens du Donbass et contre la Russie au sein de ce gouvernement, reconnaisse lui-même ces pertes importantes, dénote un profond malaise du côté des dirigeants de l’opération dite « antiterroriste ». Kiev a conscience de son échec dans le Donbass et l’expose sur la place publique pour appeler à l’aide ses alliés occidentaux.
Enfin, ce document donne un éclairage nouveau quant à l’attitude actuelle du gouvernement ukrainien et de la présidence en ce qui concerne le crash du Boeing. Le régime est dans une impasse et a besoin d’une solution viable pour s’en sortir, l’occasion d’instrumentaliser ce drame contre les indépendantistes et Moscou est trop belle pour ne pas en profiter. Et les premières réactions de Washington à ce sujet augurent le lancement d’une campagne de désinformation massive et sans précédent.
Kiev continue sa guerre, même près du site du crash
http://rutube.ru/video/8ae95fa52f5ef18b22a13c073f033b8f/
Secteur de Snizhne : un camion Ural bricolé en camion blindé et trois T-64BV de la milice en mouvement en direction du chaudron près de la frontière russe à une bonne cinquantaine de kilomètres plus à l’est.
Et pendant ce temps, dans le Donbass, les forces ukrainiennes attaquent tout azimut. Aujourd’hui, uniquement entre 13h00 et 19h00 heure locale, on signalait sur l’ensemble du front (liste non exhaustive) :
– Au moins trois salves de BM-21 Grad sur les positions indépendantistes à Popasnaya, plus de 20 km au sud de Severodonetsk – Rubizhne (secteur nord de la poche) ; tirs d’artillerie sur Rubizhne
– Une frappe aérienne à Perevalsk, à mi-chemin entre Lugansk et Donetsk
– Tirs d’artillerie continus sur le nord de l’agglomération de Lugansk (44 morts et 2015 blessés aujourd’hui – voir la vidéo ci-dessous-) ; et une tentative infructueuse de la 30e brigade mécanisée de percer à l’ouest de l’agglomération.
– Plusieurs attaques de Su-25 vers l’aéroport de Lugansk
– Une frappe aérienne à Mikhaliivka, à l’est du chaudron de même que sur Chervonopartizansk, Sverdlovks, Dyakove (comme si cela allait sauver le peu qui reste de troupes ukrainiennes enfermées dans le chaudron)
– Des salves de Grad sur la hauteur de Saur Mogila
– Frappes aériennes sur Krasny Luch, important carrefour routier stratégique au cœur du Donbass et seulement à une vingtaine de kilomètres du lieu du crash du Boeing (Kiev ne respecte décidément rien !)
– Pilonnages d’artillerie sur Avdiivka, au nord-ouest de Donetsk
– Combats aux abords de l’aéroport de Donetsk
EN CONCLUSION
Depuis que les Américains et leur 6e flotte a du reculer face à la flotte russe fin août 2013 devant les côtes syriennes et renoncer à attaquer la Syrie pour appuyer leurs alliés jihadistes, la Russie de Vladimir Poutine est devenue l’ennemi à abattre. Avec le coup d’Etat de l’hiver dernier à Kiev, Washington pensaient mettre la main sur la Crimée et la principale base navale russe qui les avait contraints de reculer quelques mois auparavant.
Hélas, trois fois hélas, ils ont encore échoué quand Vladimir Poutine a décidé de reprendre les droits de son pays sur la Crimée. Puis le Donbass s’est soulevé, en raison de la politique ségrégationniste qui commençait à se mettre en place, après le coup d’Etat, contre les russophones chrétiens de rite orthodoxe rattaché au patriarcat de Moscou, à l’initiative de l’extrême droite galicienne. Aussi, Les États-Unis ont alors « conseillé » les forces répressives ukrainiennes afin que ces dernières, par leurs crimes contre les populations civiles, obligent Moscou à agir militairement, provoquant une crise régionale et permettant de fait à Washington et à ses alliés d’intervenir d’une façon ou d’une autre, quitte à déclencher une guerre mondiale.
Mais les forces de Kiev, en dépit des « conseillers » militaires, politiques, de la CIA et des « contractors », se sont avérées incapables de faire face aux milices indépendantistes, pourtant bien moins nombreuses et moins armées. Kiev a subi de très lourdes pertes ces dernières semaines et se trouve incapable de la moindre initiative militaire digne de ce nom, de surcroît les populations de l’ouest de l’Ukraine ne veulent plus envoyer leurs fils, leurs maris, leurs pères se faire tuer pour des intérêts oligarchiques et mondialistes à donner la nausée.
Ce dramatique crash du Boeing malaisien et ses presque 300 disparus sont donc un tournant dans l’affrontement qui oppose les tenants de la prédation mondialiste à ceux qui prônent un monde multipolaire, plus juste, plus équitable et plus pacifique.
Le tragique écrasement du Boeing 777 de Malaysia Airlines…J’accuse Jacob de Rotschild de provoquer un conflit mondial

À peine quelques heures après que s’est produite cette tragédie, les émissions spéciales d’information se multiplient pour pointer du doigt celui ou ceux que l’on voudrait bien voir comme auteurs d’un tel crime.
Une lecture matinale de diverses agences et réseau d’information me permet de dégager un certain nombre de faits que je soumets à ceux et à celles qui s’intéressent à ce drame qui a coûté la vie à plus de 283 passagers auxquels il faut ajouter 15 membres d’équipage.
Devant les faits ou il est presque qu’impossible statistiquement parlant qu’une seconde catastrophe aérienne arrive ainsi,sur le nombre élevé d’avions circulant au-dessus de l’Europe.Prétendre qu’il s’agit d’un simple accident est prendre « les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages ».
PREMIÈREMENT:
Un des passagers aurait prédit la disparition de l’appareil avant son écrasement.
La photo a été publiée ce jeudi ,17 juillet 2014,vers 11h heure française, soit 1h30 environ avant le décollage depuis Amsterdam du vol MH17. Attendu vers minuit à Kuala Lumpur, l’appareil a disparu des radars à dix mille mètres d’altitude, puis s’est écrasé près de la ville de Chakhtarsk dans l’est de l’Ukraine, une zone contrôlée par les séparatistes pro-russes. Voici le message publié par l’internaute, et qui a suscité la surprise, l’émotion et parfois l’incrédulité des internautes.
DEUXIÈMEMENT:
Selon l’aiguilleur du ciel espagnol qui gérait le vol de l’avion de Malaysia Airlines, des avions militaires ont croisé le Boeing trois minutes avant sa disparition des radars. À peine avait-il disparu que les autorités de Kiev annonçaient qu’il s’était écrasé. Il se demande alors comment ont-elles su si vite qu’il s’agissait d’un écrasement.
TROISIÈMEMENT:
L’avion présidentiel russe, avec à son bord le président Poutin, de retour de sa tournée latino-américaine, devançait de 37 minutes sur la même trajectoire le Boeing 777 de Malaysia Airlines. L’avion présidentiel passa à 12 : 21 GMT au même point où est disparu des radars l’avion malaisien 37 minutes plus tôt, soit à 11 : 44 GMT.
Certains se demandent si la véritable cible n’était pas l’avion du président russe. Il y aurait eu de la part des auteurs une erreur de perception, confondant l’avion malaisien avec celui du président russe.
Un sujet qui fera jaser pendant encore longtemps.
QUATRIÈMEMENT:
. Le procureur général d’Ukraine, Vitali Larema, dément la prise par les miliciens de systèmes Bouk et S-300, pouvant atteindre des cibles à plus 10 kilomètres d’altitudes.
Cette déclaration met un terme aux spéculations voulant que les miliciens aient mis la main sur certains de ces missiles pouvant atteindre des cibles à plus 10 kilomètres, altitude de vol du Boeing 777 de Malaysia Airlines.
CINQUIÈMEMENT:
La Russie confirme que les moyens de la défense antiaérienne russe n’étaient pas actifs dans les zones frontalières de la Russie avec l’Ukraine ce 17 juillet, et que les Forces aériennes de Russie n’ont effectué aucun vol ce jeudi.
SIXIÈMEMENT:
Les pièces recueillies par les insurgés sur les lieux de l’écrasement de l’Avion 777 (cartes mémoires flash, cartes mémoires d’appareils photo, boîtes noires) seraient remises aux experts désignés aux fins d’enquêtes.
Ce qui par contre,a donné ce résultat:

Un Boeing 777 de la Malaysia Airlines transportant 298 personnes (283 passagers et 15 membres d’équipage) et parti d’Amsterdam aux Pays-Bas à destination de Kuala Lumpur en Malaisie, s’est écrasé près de la ville de Chakhtarsk, dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.
On ne savait pas encore jeudi soir si des Français se trouvaient à bord de l’appareil dont plus de la moitié des passagers (154) étaient Néerlandais. Aucun signe d’éventuels survivants n’était visible jeudi soir sur le site de la chute de l’avion. Une cellule de crise a été ouverte au quai d’Orsay. Elle peut être jointe au 01 43 17 56 46.
Selon le renseignement américain, l’avion aurait été abattu à l’aide d’un missile sol-air, dont la provenance n’est en revanche pas connue. Le vice-président américain Joe Biden a également déclaré que « l’avion de Malaysia avait apparemment été abattu » et qu’il ne s’agissait « pas d’un accident ». Les experts américains sont encore en train d’étudier leurs données pour savoir si l’engin a été tiré par les séparatistes prorusses, a indiqué un responsable sous couvert de l’anonymat.
Petro Porochenko, le président ukrainien a pour sa part dénoncé un « acte terroriste » et appelle avec d’autres dont l’UE, l’OTAN et l’ONU, à l’ouverture d’une enquête internationale. Les séparatistes ont au contraire affirmé la responsabilité exclusive de l’Ukraine, tout comme le président russe Vladimir Poutine.
TOUT LE MONDE S’ACCUSE MUTUELLEMENT
Pour Vladimir Poutine, l’Ukraine « porte la responsabilité de cette terrible tragédie ». « Il ne fait pas de doute que l’Etat sur le territoire duquel cela s’est passé porte la responsabilité de cette terrible tragédie », a déclaré le président russe, cité par l’agence RIA Novosti. « Cette tragédie n’aurait pas eu lieu si la paix régnait dans ce pays, si les opérations militaires n’avaient pas repris dans le sud-est de l’Ukraine ».
Le vice-président américain Joe Biden affirme jeudi soir que: « L’avion de la Malaysia a apparamment été abattu. Ce n’est pas un accident ».Par la suite ,Barack Hussein Obama va parler d’une attaque au missile.
Les services de renseignement américains affirment que l’avion a été abattu par un missile sol-air, mais dont ils ne connaissent pas l’origine, rapporte le Wall Street Journal.
Les analystes du renseignement américain « croient fortement » qu’un missile sol-air a abattu le Boeing 777 et ils sont en train d’examiner les données afin de déterminer si le missile a été tiré par les séparatistes pro-russes de l’est de l’Ukraine, les soldats russes de l’autre côté de la frontière ou les forces gouvernementales ukrainiennes, a expliqué l’un de ces responsables sous couvert d’anonymat.
Le chef de la sécurité d’Etat ukrainienne accuse deux responsables des services de renseignements militaires russes d’être impliqués dans la destruction de l’avion malaisien. Il fonde ces allégations sur des interceptions de communications téléphoniques entre ces deux Russes.
Les séparatistes prorusses favorables à un cessez-le-feu de trois jours pour laisser le temps aux équipes de secours de travailler sur le site du crash. Le »Premier ministre » de la « République populaire de Donetsk », Alexandre Borodaï, l’a confirmé jeudi soir à un journaliste de l’AFP au village de Grabove, où l’avion malaisien, probablement touché par un missile.

Dans le même temps, les employés du ministère ukrainien des Situations d’urgences, qui ont ratissé 18 km2, sur un total de 25 km2, sur les lieux de la catastrophe, ont retrouvé 186 corps.
(19 juillet 2014) Deux jours après le crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines dans l’Est de l’Ukraine, les enquêteurs et observateurs internationaux arrivent peu à peu à Kiev, en espérant pouvoir se rendre sur le lieu du crash de l’avion, sous contrôle des rebelles pro-russes. Les Pays-Bas, qui comptait 189 ressortissants parmi les 298 personnes à bord, ont envoyé une équipé du Bureau néerlandais pour la sécurité, accompagnée du ministre des Affaires étrangères, Frans Timmermans. Ce dernier espère avoir accès à la zone ‘afin que les experts puissent mener leur enquête’ et n’exclut pas de mener des négociations avec les rebelles. La Malaisie a de son côté envoyé une équipe de 62 personnes, attendue aujourd’hui dans la capitale ukrainienne. Le FBI et l’autorité américaine des transports s’apprêtent eux aussi à envoyer des enquêteurs.
Les premiers observateurs internationaux sont arrivés hier sur place, près de la frontière russe.
Un accord avec les pro-russes:
Dans le même temps, un accord a été trouvé avec les séparatistes pro-russes pour la mise en place d’une ‘zone de sécurité’ de 20 kilomètres de diamètre autour du lieu du crash, afin de permettre à l’Ukraine ‘d’identifier les corps et les remettre aux familles’.
LA VÉRITABLE RAISON DE CET ATTENTAT BIEN PLANIFIÉ:

Dans le Boeing 777 de la Malaysia Airlines qui reliait Amsterdam à Kuala Lumpur et a été abattu jeudi 17 juillet en Ukraine, figuraient six experts de la lutte contre le sida. Ils se rendaient à la Conférence internationale sur le sida qui débute ce week-end à Melbourne, en Australie. Parmi eux, Joep Lange, figure médicale de premier plan dans la lutte contre le sida.
« Une perte immense, nous sommes très affectés », a assuré le directeur exécutif de l’ONG, Onno Schellekens, cité dans un communiqué : « Son dévouement au traitement du virus HIV et du sida et à la santé en général ont été révolutionnaires ». Que lui doit-on ?
Le Pr Lange, 59 ans, était impliqué dans la recherche sur le sida depuis 30 ans. Il avait notamment travaillé à plusieurs essais importants sur les thérapies antirétrovirales et sur la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant. Père de 5 enfants, il dirigeait le département de santé mondiale à l?’université d?’Amsterdam et voyageait avec sa compagne, Jacqueline Van Tongeren.
De 1992 à 1995, il avait été chef de la recherche clinique et du développement des médicaments au sein du programme mondial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur le sida. Puis il avait présidé, entre 2002 et 2004, la Société internationale sur le sida (International Aids Society ou IAS), qui organise la conférence de Melbourne.
Dès le milieu des années 1990, il avait plaidé en faveur des thérapies combinées pour lutter contre le sida. « C’est une illusion de penser qu’une monothérapie avec un seul agent antirétroviral peut venir à bout de la maladie », écrivait-il en 1995, car le développement des résistances au traitement réduit son efficacité.
Dans le cadre de ce combat, il avait défendu le travail du chercheur controversé David Ho, qui traitait les malades en leur prescrivant une vingtaine de pilules par jour, cocktails de plusieurs traitements. Il avait été jusqu’à défendre les travaux de son collègue dans les colonnes du « Wall Street Journal », expliquant que « le travail de David ces dernières années a totalement transformé la compréhension du HIV ».
Autre cheval de bataille de Joep Lang : rendre les traitements contre le sida accessibles aux pays du continent africain. Il s’amusait à dire :
« Si on peut amener du Coca-cola dans les coins les plus reculés d’Afrique, il ne devrait pas être impossible d’en faire autant avec des médicaments », comme le rappelle le « Telegraph ».
En 2001, il avait fondé la Fondation PharmAccess, ONG basée à Amsterdam en vue de faciliter l’accès à la trithérapie pour les patients atteints du virus HIV et du sida.
En 2003, il avait apporté une nouvelle pierre à l’édifice de la lutte contre le sida en découvrant que les risques de contracter le sida pour les bébés de femmes séropositives au Rwanda et en Ouganda chutaient à 1% s’ils recevaient des antirétroviraux pendant l’allaitement.
Depuis 2010, il défendait une nouvelle cause : l’utilisation des thérapies préventives (PREP pour pre-exposure prophylaxis) en complément des méthodes classiques de prévention (préservatif), pour une plus grande efficacité.
« C’était un homme politique et un activiste dans tous les sens du terme », « Il n’a jamais pensé à prendre sa retraite, c’était toute sa vie », se souvient Jaap Goudsmit, un autre spécialiste du sida, collègue de longue date et ami proche de Joep Lange.
La chercheuse française Françoise Barré-Sinoussi qui préside actuellement la Société internationale sur le sida (IAS), a rendu hommage, vendredi, à ce chercheur néerlandais qui « a consacré sa vie à la recherche sur le VIH » :
C’est une véritable tragédie qui touche notre communauté », a indiqué cette chercheuse de l’Institut Pasteur, prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du VIH.

Il restera un modèle à suivre.
J’ACCUSE JACOB DE ROTSCHILD D’AVOIR COMMANDÉ CET ATTENTAT

C’est une centaine d’experts du VIH/SIDA qui ont péri dans l’écrasement de l’avion malaisien.
Tous se rendaient à une conférence internationale sur la maladie qui s’ouvre aujourd’hui,19 juillet 2014, à Melbourne,en Australie.Ils devaient faire escale à Kuala Lumpur avant de poursuivre
leur envolée.Il est presqu’impossible que pareilles coïncidences se reproduisent constamment dans une même compagnie d’aviation.Lors du vol MH-370 ,ce sont des experts en électroniquers,des inventeurs à la fine pointe de la technologie qui avaient en commun,des droits sur certaines inventions …avec Rotschild.Ainsi Rotschild est devenu le seul actionnaire de cette entreprise conjointe.
Avec le vol MH-17,ce sont des experts de premier plan dans la lutte contre le SIDA qui sont frappé de mort.Cela est voulu ,car le dévoilement d’un remède contre le SIDA est une nuisance pour le plan mondial de dépopulation des Illuminati…et Rotschild est un Illuminati.
Livre numérique:Les racines nazies de l’union européenne de Bruxelles ,par Dr Mathias Rath
Les informations et documents historiques qui marquent le début de la fin de la dictatoriale « U.E. de Bruxelles »
Cet article met en évidence le fait que « l’ Union Européenne de Bruxelles », telle
que nous la connaissons aujourd’hui, a pour lieu de naissance les planches à dessin du
« cartel nazi / IG-Farben » qui fut le principal moteur financier et idéologique de la
2nde guerre mondiale et qui prévoyait une Europe d’après guerre sous son contrôle
exclusif. Il s’agit d’un extrait du discours prononcé par le Dr Matthias Rath à l’occasion
de la réception du « Relais de la Vie et du souvenir », décerné par les survivants du camp
de concentration d’Auschwitz.
A la fin de ce document vous trouverez un récapitulatif des liens qui vous
permettrons de vérifier par vous même la véracité des assertions contenues dans ce
discours ainsi qu’une petite présentation de son auteur, le Dr Matthias Rath et de sa
fondation pour la santé – The Dr. Rath Health Foundation – qui lutte, aujourd’hui, plus
que jamais contre les structures de pouvoir (l’Union Européenne, OMS, AIEA, etc…)
tombées aux mains de ce puissant et maléfique cartel nazi et donc antidémocratique par
essence. Cartel mortel, qui de nos jours, est pudiquement appelé lobby pharmaceutique
et/ou pétrolier et/ou nucléaire (« Big Pharma » pour certains).
Ce que que vous avez toujours voulu savoir sur l’Union européenne Bruxelles
Mais que nul n’a osé vous dire…
Nous sommes ici aujourd’hui pour protéger la vie, la santé, la
dignité, ces valeurs qui, par le passé, ont été les plus bafoués
et par conséquent doivent être les premières à être protégées au
bénéfice des générations à venir. Cette conférence a lieu au moment
ou le monde est à la croisée des chemins, un tournant historique.
D’une part, vous, survivants d’Auschwitz avez décidé de passer
le relais du souvenir, le « Relais de la Vie et du souvenir » à la
génération à venir.
D’autre part l’humanité est arrivée à un point ou le risque
d’éclatement de la 3eme Guerre Mondiale est ouvertement au centre
des débats. Il n y’ a pas l’ombre d’un doute que cette guerre
déclencherait un holocauste nucléaire qui plongerait l’humanité
entière dans l’abîme. Cette conférence exposera ces intérêts qui sont
entrain de préparer ouvertement cette 3eme Guerre Mondiale et a
également comme but de lancer un message de paix qui sera entendu
dans le monde entier.
Vous nous avez beaucoup appris, vous les gardiens de la
mémoire d’Auschwitz, une information inestimable qui a besoin
d’être sauvegardée et protégée pour les générations futures. Nous
avons également découvert toute une mine d’informations et de faits
historiques dans les rapports du Tribunal de Nuremberg sur les
crimes de guerre ainsi que d’autres documents historiques. Nous,
comme les générations futures, ne serons capables d’éviter la
répétition des crimes commis au cours de la 2nde Guerre Mondiale,
ici à Auschwitz et dans toute l’Europe, que si nous tirons tous
ensemble « les leçons de l’histoire ».
En effet les intérêts corporatistes ont commencé à préparer la
2nde Guerre Mondiale déjà dès 1925 lorsque Bayer, BASF et Hoechst
et d’autres multinationales Allemandes formèrent le cartel de « IG
Farben ». L’objectif déclaré de ce cartel était d’exercer son contrôle
sur le marché mondial dans les secteurs clé de la chimie, des produits
pharmaceutiques et de la pétrochimie. Déjà en 1925 quand le cartel
fut créé sa valeur dépassait les 11 milliards de Reichsmark avec plus
de 80.000 employés.
L’un des secteurs stratégiques dans lequel IG Farben cherchera
à exercer le contrôle fut le secteur de l’investissement
pharmaceutique. Ils savaient d’avance que l’industrie pharmaceutique
n’était pas fondamentalement une industrie pour la santé mais un
investissement économique qui définit le corps humain comme un
marché exploitable. Alors qu’il se présente comme une industrie pour
la santé, la survie et l’existence de cette industrie ne sont basées que
sur la perpétuation et l’expansion des maladies considérées comme
source de milliards de dollars provenant des produits brevetés. La
condition préalable à cette réalisation d’un monopole mondial sur les
médicaments brevetés est la tentative d’éliminer systématiquement
du marché tous les produits thérapeutiques d’origine naturelle par
définition non brevetables.
En 1933 IG Farben devint le principal pourvoyeur de fonds
en vue de la montée en puissance des Nazis. Au cours des années qui
ont suivi, ce cartel chimico-pharmaceutique allemand devint
complice et prêta main forte aux préparatifs de la conquête militaire
de l’Europe.
Les rapports du Tribunal de Nuremberg sur les crimes de
guerre parlent d’un don de plus de 80 millions de Reichmark offert
aux Nazis et aux organisations affiliées à Bayer, BASF et Hoechst. En
retour de cet « investissement » IG Farben obtint le contrôle et la
gestion de toutes les industries chimiques, pétrochimiques et
pharmaceutiques des pays occupés pendant la 2nde Guerre mondiale
avec comme objectif final la création d’un vaste marché allant de
Lisbonne à Sofia.
Selon les rapports du Tribunal de Nuremberg sur les crimes
de guerre, Knieriem, directeur de l’IG Farben adressait le 20 Juillet
1940 une lettre au gouvernement Nazi – quelques temps après la
victoire sur la France – dans laquelle il soulignait les instruments
qu’IG Farben entendait utiliser afin d’asseoir son emprise en Europe.
La lettre d’IG Farben évoquait l’existence d’une monnaie
commune européenne, des lois communes et même un système
juridique commun et tout cela sous le contrôle et la supervision de la
coalition Nazie/IG Farben.
A Auschwitz, IG Farben y érigea le plus grand complexe
industriel européen destiné à la production des produits chimiques et
explosifs destines à être utilisés sur le front Est au cours de la 2nde
Guerre Mondiale. Ce complexe industriel de 24 km² de superficie – y
compris son énorme camp de concentration, réservoir d’esclaves
travailleurs – fut financé par les crédits d’environ 1 milliard de
Reichsmark fourni par la Deutsche Bank.
Les milliers de prisonniers de ce camp furent utilisés par la
section pharmaceutique de Bayer à de pseudo expériences médicales
en testant les produits brevetés comme la « chimiothérapie ».
Au cours des procès du Tribunal de Nuremberg sur les crimes
de guerre 24 dirigeants de IG Farben ont été traduits en justice et
beaucoup furent condamnés.
Voici comment le procureur américain Telford Taylor résuma
le rôle joué par le cartel chimique au cours du procès du Nuremberg:
« la 2 nd e guerre mondiale n’aurait jamais été possible sans IG Farben ».
Pendant plus de 6 décennies les rapports des procès du
Tribunal de Nuremberg contre les dirigeants du cartel de IG Farben
ont été tenu secrets au sein des archives de Nuremberg. En juillet de
cette année (2007) notre fondation eut accès à ces archives et publia
plus de 40.000 rapports sur Internet. Aujourd’hui tout le monde, les
enfants aussi bien que les adultes peuvent avoir accès à ces archives
quelque soit l’endroit où ils se trouvent au monde.
Avec le début de la Guerre Froide, quelques uns des dirigeants
de IG Farben ayant été traduits en justice furent reconduits dans des
postes de responsabilité dans l’industrie allemande.
Karl Wurster, président de Degesch – le fabricant du produit
Zyclon B ayant servi dans les chambres à gaz d’Auschwitz – redevint
le Directeur général de BASF.
Fritz ter Meer, le directeur de IG Farben et de Bayer coupable
de génocide et de crimes d’esclavage commis ici à Auschwitz fut libéré
de prison après seulement 4 mois. Dix ans après avoir été jugé
coupable comme criminel de guerre à Nuremberg il devint à nouveau
président du conseil de surveillance de Bayer.
Hans Globke fut coauteur de lois racistes de Nuremberg et fut
également auteur des nouvelles lois sur la Grande Europe, le
« Reich » dans les pays occupés par les Nazis pendant la seconde
guerre mondiale.
Après la 2nde Guerre Mondiale Globke devint ministre
chancelier au sein du cabinet du Chancelier allemand Adenauer. En
tant « qu’éminence grise » et en dehors de tout contrôle
parlementaire, il eut la haute main essentiellement sur tous les
aspects politiques de la période d’après guerre en Allemagne de
l’Ouest, allant des services secrets jusqu’à la poursuite des plans du
cartel pharmaceutique et pétrolier en vue de la conquête de l’Europe
et de la toute nouvelle Union Européenne fraîchement construite.
Walter Hallstein, un éminent professeur de droit à l’époque
des Nazis disait en 1939: « l’une des principales lois (dans les pays
conquis et occupés) sera la ‘loi de protection de l’honneur et du sang
all
Après la 2nde Guerre Mondiale Globke devint ministre
chancelier au sein du cabinet du Chancelier allemand Adenauer. En
tant « qu’éminence grise » et en dehors de tout contrôle
parlementaire, il eut la haute main essentiellement sur tous les
aspects politiques de la période d’après guerre en Allemagne de
l’Ouest, allant des services secrets jusqu’à la poursuite des plans du
cartel pharmaceutique et pétrolier en vue de la conquête de l’Europe
et de la toute nouvelle Union Européenne fraîchement construite.
Walter Hallstein, un éminent professeur de droit à l’époque
des Nazis disait en 1939: « l’une des principales lois (dans les pays
conquis et occupés) sera la ‘loi de protection de l’honneur et du sang
allemands’ ».
En 1957 l’avocat de « l’honneur et du sang allemands »
devint le personnage clé et l’architecte de la mouture de la future
Union Européenne et le premier responsable de la « commission
européenne », ce fut le premier responsable exécutif de l’Union
Européenne désigné dès le début en dehors de tout contrôle
démocratique.
En résumé, les Nazis et IG Farben nommèrent la
« commission Européenne » comme « Politburo » du cartel
pharmaceutique de l’après guerre pour diriger l’Europe.
Résultat de l’influence de ces intérêts, les décisions du
parlement européen n’ont que peu de cas si aucune influence n’est
exercée sur les lois, sur ce que l’on nomme « directives de l’union
européenne » imposées par la « commission européenne » sur la vie
de plus de 400 millions d’individus en Europe.
Au même moment les élections en vue de mettre en place le
Parlement européen ne sont qu’une vaste mascarade, décevante et
destinée à montrer l’Union Européenne comme une structure
démocratique.
La base de toute démocratie est le pouvoir appartenant au
peuple. À partir du moment ou le pouvoir exécutif n’est plus contrôlé
par la volonté du peuple la démocratie n’est plus rien de plus qu’une
dictature.
Aujourd’hui des silhouettes d’IG Farben subsistent toujours en
Europe. Les objectifs de ses successeurs sont rejoints par les
multinationales pharmaceutiques et pétrolières européennes. Leurs
objectifs ressemblent étrangement à ceux d’IG Farben pendant la
2nde guerre mondiale: créer et mettre sous son contrôle un marché
de produits pharmaceutiques brevetés et autres produits brevetés de
haute technologie, un marché allant de « Lisbonne à Sofia ».
L’énorme espace géographique que ces intérêts corporatistes
veulent contrôler concerne tout le monde et tout habitant de ce
continent. Ces intérêts concernent également les brevets sur les gênes
– visant à exercer tout contrôle sur la vie et le système génétique des
individus – les brevets sur les organismes génétiquement modifiés
avec comme objectif de mettre sous contrôle quotidien notre système
nutritionnel.
Il est bien connu que ces industries cherchent à exercer un
contrôle sur notre vie pour « le commerce des maladies fait par le
secteur pharmaceutique ». Comme je l’ai précédemment mentionné,
l’industrie pharmaceutique promet la santé mais toute son existence
n’est basée que sur la promotion des maladies constituant ainsi une
source de revenus. Nous savons aujourd’hui que les maladies
cardiovasculaires, le cancer, les maladies immunodéficientes et
d’autres maladies peuvent être évitées . La perpétuation délibérée des
maladies par les intérêts corporatistes de l’industrie pharmaceutique
est un crime.
Résultat de cette pratique industrielle dépourvue d’éthique, le
nombre de victimes de ce commerce frauduleux a dépassé un milliard
de personnes et déjà dépasse le nombre de victimes des guerres que
l’humanité ait connu jusques là.
Sous le prétexte de lutte contre le terrorisme, la même
Commission Européenne au sein de l’Union Européenne a émis une
directive qui risque de transformer l’Europe en un « continent
Orwelien ». Selon cette directive de l’UE désormais tous les appels
téléphoniques que vous ferez, toutes les adresses emails que vous
cherchez à contacter sont susceptibles d’être brouillés. Pas seulement
pour vous mais également pour les 400 millions d’européens. Ce n’est
pas difficile de comprendre ce que ces instruments veulent signifier
une fois aux mains de ces intérêts corporatistes qui ont si souvent
abusés de leur pouvoir par le passé.
Notre rencontre a lieu à un moment historique, le monde est
à croisée des chemins. Les responsables politiques des principaux pays
leaders en matière de production et d’exportation des produits
pharmaceutiques et pétrochimiques comme les Etats-Unis, le
Royaume Uni, l’Allemagne ainsi que la France ont déjà publiquement
parlé de la Troisième Guerre Mondiale et de leur volonté de faire
usage de l’arme nucléaire.
A la suite d’un holocauste nucléaire et la proclamation d’une
loi martiale à large échelle ces intérêts corporatistes qui soutenaient
la seconde guerre mondiale pourraient abuser de leur puissance
encore une fois.
Ces plans innommables ne peuvent être mis en pratique que
s’ils restent secrets ou si nous n’en parlons pas et restons indifférents.
Si nous exposons ces projets au grand jour, alors ils n’auront
plus de chance d’être exécuté. Dès aujourd’hui même, si il advenait
qu’une guerre aussi impensable que celle là puisse commencer elle ne
pourrait jamais être gagnée car elle serait dénoncée par le monde
entier.
Nous sommes réunis ici car Auschwitz a été un symbole pour
un des crimes les plus abominables que l’humanité ait connu.
En nous associant au lancement du « relais pour l’avenir »
nous vous promettons que nous ne nous lasserons pas tant
qu’Auschwitz ne sera pas devenu une « porte d’entrée vers l’avenir ».
Si et seulement si nous dénonçons les intérêts corporatistes
ayant contribué au déclenchement de la seconde guerre mondiale,
nous ainsi que les générations à venir seront capables de garantir la
paix à notre planète. Si et seulement si, nous parvenons à identifier le
« commerce des maladies », le commerce alimentaire, et celui de
l’énergie fossile comme les plus grands obstacles à la création d’un
monde meilleur, nous serons alors capables d’édifier un monde sain,
pacifique et un monde respectueux des droits fondamentaux de
l’homme.
Comme première étape nous prendrons la constitution de
« l’Europe pour le Peuple et par le Peuple » pour vous, survivants
d’Auschwitz comme le meilleur gardien de la mémoire, le plus
crédible de notre temps et l’utiliser pour construire une Europe du
peuple et par le peuple.
Avec ce « relais pour l’avenir » que nous recevons de vous
aujourd’hui, nous faisons un appel à tous de nous rejoindre, vieux et
jeunes de l’Est et de l’Ouest, les peuples et les organisations.
Rejoignez nous afin de créer un « mouvement pour la vie »
pour promouvoir « Relais de la Vie et du souvenir » ainsi que la
mémoire d’Auschwitz et pour l’utiliser afin de construire un monde
sain et une paix durable.
Dr Matthias Rath.
Source: http://bit.ly/nL5JNW
Pour faciliter la diffusion de l’ensemble des liens de ce document nous les avons
regroupés en une seule adresse à propager le plus possible:
Pour en savoir d’avantage su le Dr Rath et sa fondation :
qui dénonce :
Les Rapports authentiques du Tribunal de Guerre de Nuremberg :
La crise ukrainienne à travers le prisme stratégique américain
La vérité occidentale martelée veut que le président russe Vladimir Poutine entende reconstituer à la fois l’empire russe et l’Union soviétique.
Commis voyageur zélé, le président américain Barack Obama vint à Bruxelles proposer aux Européens de remplacer du gaz russe par du gaz états-unien, à l’heure où se prépare la grande affaire du Partenariat transatlantique sur le commerce et l’investissement entre l’Union européenne et les Etats-Unis d’Amérique (TTIP).
Tout cela n’est ni soudain, ni inattendu pour qui prend la peine de relire les meilleurs stratèges des Etats-Unis. Dès 1997, Zbigniew Brzezinski explique dans son maître livre, « Le grand échiquier – l’Amérique et le reste du monde » (actualisé dans « Le vrai choix » en 2004), pourquoi et comment contrôler l’Eurasie. « L’Eurasie reste l’échiquier sur lequel se déroule la lutte pour la primauté mondiale. » Né Polonais, successivement conseiller des présidents Carter et Obama, Brzezinski annonce que « le but de ce livre est de formuler une politique géostratégique cohérente pour l’Amérique sur le continent eurasien ». Hypothèses et raisonnements sont d’une grande rigueur intellectuelle. L’Eurasie est centrale, l’Amérique doit y être présente pour dominer la planète, l’Europe est la tête de pont de la démocratie en Eurasie, l’OTAN et l’Union européenne doivent, de concert, étendre leur influence en Eurasie, les Etats-Unis doivent jouer simultanément l’Allemagne et la France (carte des zones d’influences respectives de ces deux pays à l’appui), alliées fidèles mais, de façon différente, remuantes et capricieuses. Cela sera laborieux : « Quoi que l’avenir nous réserve, on peut raisonnablement conclure que la primauté américaine sur le continent eurasien sera soumise à de fortes turbulences et même confrontée à des épisodes de violence. »
L’auteur repère cinq « acteurs géostratégiques » : la France, l’Allemagne, la Russie, la Chine et l’Inde, et cinq « pivots géopolitiques » : l’Ukraine, l’Azerbaïdjan, la Corée, la Turquie et l’Iran. Russie et Chine sont les deux limites à l’expansion projetée. « Exclure la Russie (de l’UE ou de l’OTAN) pourrait être lourd de conséquences – cela validerait les plus sombres prédictions russes -, mais la dilution de l’Union européenne ou de l’OTAN aurait des effets fortement déstabilisateurs. » « Le dilemme se résume à un choix entre équilibre tactique et dessein stratégique », estime l’Américain. Le « pivot géopolitique » ukrainien fait l’objet de longs développements : « Au cours de la période 2005-2010, l’Ukraine pourrait à son tour être en situation d’entamer des négociations en vue de rejoindre l’UE et l’OTAN. » Brzezinski suggère d’étendre à l’Ukraine le « triangle de Weimar », constitué en 1991 par la France, l’Allemagne et la Pologne pour en faire « la colonne vertébrale de la sécurité européenne ». « Une question essentielle se pose, poursuit Brzezinski : ce scénario se déroulera-t-il dans un environnement apaisé ou dans un contexte de tension avec la Russie ? »
Nous avons la réponse. Mais le défi lancé aux Russes s’encombre peu de subtilités : « Pour que le choix de l’Europe – et, en conséquence, de l’Amérique – se révèle fructueux, la Russie doit satisfaire à deux exigences : tout d’abord, rompre sans ambiguïté avec son passé impérial ; ensuite, cesser ses tergiversations à propos de l’élargissement des liens politiques et militaires entre l’Europe et l’Amérique. » Bref, un désarmement unilatéral.
Benjamin Barber, ancien conseiller du président Clinton, complète utilement la vision états-unienne, dans une version plus modérée. Adversaire résolu du président George W. Bush et des néo-conservateurs, il oppose, dans son ouvrage « L’Empire de la peur » (2003), les « aigles », schématiques et brutaux, aux « chouettes », subtiles dans leur chasse entre chien et loup. Reste que les chouettes sont aussi des prédateurs. A la « guerre préventive », Barber préfère la « démocratie préventive », sans s’illusionner sur la « démocratie de marché » chère à certains démocrates : « Le désir de favoriser l’expansion de la démocratie forme une composante déterminante de la démocratie préventive comprise comme politique nationale de sécurité, mais on confond souvent ce soutien avec le désir tout aussi intense d’exporter le capitalisme et de cultiver les marchés mondiaux. […] Dans le secteur international, l’âge des « robber barons » (barons voleurs) – appelons-les les banques prédatrices ou les spéculateurs hors-la-loi – est de retour. »
La teneur de l’accord d’association entre l’Ukraine et l’UE illustre largement la volonté prédatrice de s’emparer des richesses de l’Ukraine, moyennant quelques corruptions des nouvelles élites, au nom de « la concurrence libre et non faussée », de la « mobilité des travailleurs », de la « récupération ou du rapatriement des capitaux investis, de même qu’aux profits qui en découlent. » Le volet militaire n’est pas oublié : « Promouvoir une convergence graduelle en matière de politique étrangère et de défense. »
Serait-ce l’empire euro-américain ?
SOURCES: Gabriel Galice
Président du GIPRI* (Genève).
* GIPRI : L’« Institut international de recherches pour la paix à Genève » (en anglais « Geneva International Peace Research Institute », GIPRI) est une organisation non gouvernementale basée à Genève.
TTIP : Négociations secrètes entre USA et Union européenne
C’est incontestablement la plus grande trahison à laquelle nous devons faire face ! La « vente » de l’Europe et donc des pays européens aux financiers américains. Nous aurons des normes de tout type d’imposées par les lobbys et financiers américains sans qu’il n’y ait quelque chose en retour, que celles-ci soient alimentaires, environnementales, énergétiques, etc… Les entreprises pourront même attaquer les états enjustice si ceux-ci font des difficultés, les gouvernements ont déjà perdu tout pouvoir décisionnel avec Bruxelles, cela sera pire avec le TTIP. Et que dire du secret autour de ce sujet ? Avez-vous vu un JT ou une émission de débat parler de ce sujet? un reportage ? Rien, que dalle, le tabou le plus complet.

Le secret des négociations et le silence complice des grands médias. Aucune ébauche, aucun plan, aucun schéma du TTIP ne sont aujourd’hui disponibles. Tout ce que nous savons, c’est que le Président Obama et la Commission européenne ont donné mandat à l’ambassadeur américain Michael Froman et au commissaire Karel de Gucht (ci-contre) pour confectionner un Traité transatlantique aux objectifs mirobolants : augmenter le commerce entre les USA et l’UE de 120 milliards de dollars dans les prochaines cinq années et créer deux millions d’emplois. À quel prix ? On ne doit pas le savoir. Les tractations se déroulent en secret, à huis clos, et dans ces salles secrètes se sont déjà tenues plus de 100 réunions avec les principaux lobbyistes, sur la base de volumineuses documentations partisanes, et à l’insu le plus complet de la société civile. Tout ce donc nous disposons sont des communiqués laconiques ou de brèves déclarations, et quelques rumeurs qui ont fuité. Le plus significatif reste les études commissionnées par les mandataires, et qui ont pour objectif d’embellir les splendides accords qui sont en train d’être conclus. Et c’est en analysant ces extraordinaires objectifs que nous pouvons nous faire une idée de ce qui est en préparation.(*)
Le Transatlantic trade and investment partnership (ou Traité de Partenariat USA-UE pour le commerce et les investissements) nous promet un revenu additionnel par famille de 4 personnes s’élevant à 545 dollars par an, à condition que soient démantelées toutes les lois et règlements de protection de la santé, de l’environnement, du travail, qui interdisent actuellement, ou limitent, la possibilité de réaliser les profits optimaux dans les échanges et les investissements. Ce qui signifie : libre production, circulation et vente sur le marché européen des organismes génétiquement modifiés, de la viande aux hormones et des poulets au chlore. Ainsi que le remplacement du « principe de précaution » par la nécessité de la preuve scientifique sur les produits particuliers, les composants, ou les processus de production. Ce principe de précaution avait été adopté en Europe au milieu des années 1990 à la suite de l’épidémie de la « vache folle », pour réduire ou éliminer – à l’aide de mesures de prévention – des risques qui encore aujourd’hui ne sont toujours pas prouvés scientifiquement. Et donc également, abolition des étiquetages et de la traçabilité des produits alimentaires et chimiques.
Le cas le plus emblématique est celui sur l’extraction et l’exploitation du gaz de schiste (fracking) : environ 11 000 nouveaux puits ont été creusés aux États-Unis l’an dernier, contre une douzaine seulement en Europe, du fait des interdictions et moratoires dans l’attente de la vérification des risques que la technologie d’extraction pourrait faire courir à la sécurité des personnes et de l’environnement. L’aspect secret des négociations sur le TTIP s’accommode parfaitement de la passivité des grands médias qui se gardent bien de rompre le silence, lequel est à peine égratigné par les habituels médias alternatifs. Et vu que c’est la Commission européenne qui négocie et qui signera l’Accord au nom de, et pour le compte des États membres, nous risquons de nous retrouver fin 2014 – date prévue pour la conclusion des négociations -, avec la mauvaise surprise d’un cadeau déjà tout emballé et prêt à l’usage sous notre l’Arbre de Noël. Pourtant, il est encore temps de les arrêter. À la fin des années 1990, un paquet-cadeau similaire de libre-échange, l’AMI – Accord multilatéral sur les Investissements -, avait été préparé en secret par ces mêmes oligarchies qui aujourd’hui l’ont réintroduit dans le TTIP, mais il avait été abandonné précisément grâce au fait que son contenu démentiel avait été porté à la connaissance du public. Et il y avait encore à l’époque les Tribunaux auxquels on pouvait avoir recours pour la restitution des droits usurpés. Mais la suppression de l’État social européen que propose aujourd’hui le TTIP, la subordination affichée de toute protection du travail, de la santé ou de l’environnement au seul « profit », pourrait encore rencontrer de fortes résistances dans le système judiciaire des pays les plus évolués. Voilà donc la raison d’être du « Tribunal spécial », un organisme supranational et extraterritorial – dont on dit que son siège serait la Banque mondiale – sur le modèle du collège arbitral, dont les verdicts ne pourraient plus faire l’objet d’appels, puisque se situant au-dessus des Constitutions nationales. Il est très probable qu’il s’agira de tribunaux semblables à ceux qui étaient déjà prévus dans les accords comme le NAFTA1, sur le modèle des tribunaux d’arbitrage privés composés de trois arbitres choisis en général parmi des « maîtres de barreau » en faisant abstraction de leurs possibles conflits d’intérêts et qui, une fois nommés, ne doivent plus rendre de comptes à personne. Ils peuvent se prévaloir de n’importe quel outil ou ressource, en général de couteuses prestations de consultants, de tests ou d’expertises, et leurs décisions sont définitives et ne peuvent être contestées. Une gestion de la justice par les riches pour les riches, et qui en réalité n’émet pas de verdicts, mais des amendes, des sanctions, et exige des indemnisations. Selon cette méthode, la justice se mesure en dollars. La Lone Pine, par exemple, une entreprise californienne de l’énergie a demandé au tribunal spécial institué par le NAFTA(**), de condamner l’État du Canada à lui verser un dédommagement de 191 millions de dollars pour avoir imposé un moratoire sur le fracking, le système de fracturation hydraulique pour l’extraction des gaz ou des pétroles de schiste. Un moratoire adopté suite aux préoccupations quant aux risques que représentaient ces techniques vis-à-vis de la santé et de l’environnement. La société Philip Morris a, quant à elle, dénoncé l’Australie devant le Tribunal spécial du WTO pour les lois antitabac, et a demandé une indemnisation gigantesque pour les profits non réalisés. Autre exemple, ce sont 3,7 milliards de dollars de manque-à-gagner de ses deux centrales nucléaires allemandes qui ont été demandés par le suédois Vattenfall à l’Allemagne, laquelle avait abandonné la production d’énergie nucléaire après le désastre de Fukushima. On compte pas moins de 514 procès de ce genre ces 20 dernières années : 123 ont été intentés par des investisseurs américains, soit 24 % du total ; 50 par des investisseurs hollandais, 30 par des Britanniques et 20 par des Allemands. La menace de tels procès avec des montants de plusieurs millions d’Euros intentés par des cabinets juridiques employant des centaines d’avocats pour le compte de grandes multinationales peut à elle seule mettre les gouvernements sur le qui-vive, et les inciter à atténuer, voire à renoncer à promulguer des lois en faveur de la protection du travail, de la santé ou de l’environnement. Si les décisions politiques au niveau local, régional ou national, courent ces risques d’étranglement économique, au-delà du poids d’un verdict pénal ou civil, ce qui est en jeu, c’est la démocratie elle-même.
Mais on voit un peu partout, en Europe comme aux États-Unis, naître des mouvements sociaux et syndicaux qui revendiquent la transparence des négociations et le bannissement de ces Tribunaux spéciaux dans tout type de Traité.
Continuons à le demander avec force, et tout spécialement aux futurs candidats au Parlement européen. __________________________________________________________ Source(s) : Sott.net / Les Moutons Enragés
Vidéo:Ukraine: un putsch néonazi poussé par l’OTAN

Entretien avec Natalia Vitrenko, présidente du Parti socialiste progressiste d’Ukraine. Cette opposante à Ianoukovitch dénonce fermement le péril néonazi qui menace l’Ukraine depuis que l’UE et les Etats-Unis ont légitimé et rendu incontrôlable l’extrême droite ukrainienne.
+ sur http://www.solidariteetprogres.org/vi…
Ukraine : Le choix de l’UE ,Le néo nazi Iatseniouk devient Premier Ministre

Le pro-européen Arseni Iatseniouk a été désigné mercredi soir à la tête du gouvernement ukrainien tandis que Moscou ordonnait une inspection surprise des troupes près de la frontière et que des heurts opposaient militants pro et anti-russes en Crimée. Solennellement dévoilé mercredi soir par le conseil du Maïdan –qui regroupe les leaders politiques de la contestation ukrainienne, de la société civile et des groupes radicaux– devant une place de l’Indépendance noire de monde, le nouveau gouvernement rassemble plusieurs personnalités issues du mouvement de contestation. Ces nominations doivent encore être confirmées au parlement jeudi.
A 39 ans, Arseni Iatseniouk va prendre la tête du gouvernement d’union nationale appelé à diriger le pays, avant l’élection présidentielle anticipée prévue le 25 mai. Membre du parti de l’égérie de la Révolution orange Ioulia Timochenko, il a déjà été ministre de l’Économie et des Affaires étrangères.
Il aura à faire face à une tâche herculéenne pour empêcher l’Ukraine de sombrer dans la banqueroute et pour contrer des tendances séparatistes de plus en plus vives dans le sud du pays, en particulier en Crimée, péninsule où une grande partie de la population se sent plus proche de Moscou que de Kiev. (…)