La Criminelle Arnaque du COVID 19:Une plainte pénale en Belgique contre Ursula von der Leyen dans l’affaire des SMS avec Pfizer

Ursula von der Leyen

 

La justice belge est saisie d’une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Il lui est reproché de s’être substituée au gouvernement fédéral durant la pandémie de Covid-19, en négociant un méga-contrat de vaccins par SMS avec le CEO de Pfizer. Puis d’avoir supprimé ces textos.

Ce fut un cadeau pascal inattendu pour le juge d’instruction financier Frédéric Frenay. Le magistrat liégeois vient en effet d’être saisi par un citoyen belge afin d’instruire une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Une plainte qui n’est pas anodine puisqu’elle vise les qualifications d’« usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».

En clair, il est reproché à la présidente de la Commission de s’être substituée « sans aucun mandat » aux États membres de l’UE – dont le gouvernement fédéral belge – en négociant de façon « directe et secrète », par SMS notamment, des contrats d’achat de vaccins avec le CEO de Pfizer, Albert Bourla, durant la pandémie de Covid-19. Il est également reproché à Ursula von der Leyen d’avoir supprimé ces textos, une affaire connue sous le nom de « Deletegate » (de l’anglais to delete, effacer).

Ursula von der Leyen, ou la première plainte pénale dans l’UE

Jusqu’ici, cette affaire avait fait l’objet de plaintes administratives contre la Commission auprès de l’ombudsman européen (saisi par un journaliste allemand) et auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (saisie par le New York Times). Avec cette nouvelle plainte, le Deletegate prend pour la première fois une tournure pénale dans un des 27 États-membres de l’UE. Et, ici, ce n’est plus la Commission qui est ciblée pour manque de transparence. C’est sa présidente, à titre personnel, pour des actes réprimés par le code pénal belge.

Plainte pénale contre Ursula von der Leyen : la présidente de la Commission est accusée d’avoir négocié, à la place des États, directement avec Albert Bourla, patron de Pfizer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le plaignant, Frédéric Baldan, 35 ans, est un lobbyiste professionnel accrédité auprès des institutions européennes. Il est spécialisé dans les relations commerciales entre l’Union européenne et la Chine. En 2019, il a participé coup sur coup à la mission économique de la Région de Bruxelles-Capitale à Shenzen, puis à la mission fédérale à Pékin et Shangaï en présence de la princesse Astrid. En 2021, son principal client fut la start-up carolo Venyo, pépite wallonne de l’aéronautique alors en quête d’un repreneur.

Accompagné de son conseil, Mme Diane Protat, avocate au barreau de Paris, Frédéric Baldan a déposé plainte mercredi 5 avril, au tribunal de première instance de Liège, directement entre les mains du juge Frenay. Le lobbyiste européen, qui réside non loin de Hannut en province de Liège, s’est constitué partie civile et évalue son préjudice moral à 50 000 euros. Il estime en effet que le comportement de la présidente von der Leyen a porté atteinte « aux finances publiques de la Belgique » et « à la confiance publique ».

Cette dernière est définie dans la plainte comme étant la « croyance collective dans l’État en tant que puissance institutionnelle de réalisation du bien commun ». En quelque sorte, en négociant sans mandat, seule et secrètement avec le big boss de Pfizer, à la place du gouvernement belge, la présidente de la Commission aurait sapé la confiance citoyenne dans la puissance publique de l’État belge.

Plainte contre Ursula von der Leyen : un contrat de 35 milliards d’euros

Quant aux finances publiques belges, elles auraient, selon le plaignant, été lésées par les négociations d’Ursula von der Leyen avec Pfizer concernant un méga-contrat signé le 19 mai 2021 par la Commission et la firme américaine. Il s’agit du troisième contrat signé par l’exécutif européen avec l’entreprise new-yorkaise. Et c’est de loin le plus important : il porte sur 1,8 milliard de doses de vaccin, là où les deux premiers contrats avec Pfizer ne concernaient, chacun, « que » 300 millions de doses.

Ce troisième contrat pèserait 35 milliards d’euros s’il est pleinement exécuté. C’est le plus gros contrat de tous ceux signés par la Commission avec des firmes pharmaceutiques. En effet, comme le relève la Cour des comptes européenne, « entre août 2020 et novembre 2021, la Commission a signé 11 contrats avec huit fabricants de vaccins, permettant d’obtenir jusqu’à 4,6 milliards de doses de vaccins pour un coût total escompté proche de 71 milliards d’euros. »

Des commandes gonflées aux hormones

En juin 2022, une coalition de dix États membres d’Europe de l’Est réclamait une renégociation de tous ces contrats signés avec les fabricants, dont, forcément, le plus important d’entre eux avec Pfizer. La raison ? Les quantités de vaccins livrées dépassent largement les besoins des pays signataires. Résultat : tous ces stocks reçus et facturés ont pour effet de plomber les finances nationales de ces dix États membres.

Bref, lors des négociations préliminaires, de bonne foi ou sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, les commandes réalisées par la Commission semblent avoir été gonflées aux hormones. Cette observation concerne l’ensemble des 11 contrats dont celui qui, à lui seul, représenterait la moitié du budget global européen dévolu aux vaccins.

62% des vaccins belges « en trop »

Tous les États membres, dont la Belgique, ont donc des surplus. Les surplus belges sont de deux ordres : les stocks restants et les doses données aux pays en développement. Au 9 décembre 2022, les stocks de doses de vaccins contre le covid-19 disponibles dans le royaume s’élevaient à 13,5 millions de doses (dont 9,2 millions achetées à Pfizer), selon les chiffres publiés par l’Institut de santé publique Sciensano.

Quant au nombre de vaccins donnés via l’aide au développement, il s’élevait à 11,6 millions de doses (dont 2,5 millions de vaccins Pfizer) en date du 15 septembre 2022. L’Institut de santé publique souligne d’ailleurs que « la Belgique compte parmi les pays ayant fait proportionnellement don du plus grand nombre de doses de vaccins compte tenu de sa population ». Résultat des courses, la Belgique a acheté 25,1 millions de doses surnuméraires, soit 62% de l’ensemble des vaccins livrés. Près de la moitié de ces vaccins « en trop » (11,7 millions de doses) ont été acquis auprès de Pfizer.

Au total, fin 2022, la Belgique avait en effet reçu 40,4 millions de doses tous fabricants confondus. Au sein de ces livraisons, Pfizer se taille la part du lion avec 27,9 millions de doses, toujours selon Sciensano. Ainsi, près de sept vaccins sur dix livrés à la Belgique l’ont été par la firme dirigée par Albert Bourla.

Le CEO de Pfizer a confirmé à nos confrères du New York Times, fin avril 2021 juste avant la signature du méga-contrat, qu’il avait créé un vrai lien personnel avec la présidente de la Commission européenne. Il a déclaré avoir « développé une profonde confiance [avec elle], car nous avons eu des discussions approfondies ». Il a ajouté : « Elle connaissait les détails des variants, elle connaissait les détails de tout. Cela a rendu la discussion beaucoup plus engagée ».

Le 18 juin 2020, la Commission a signé un accord avec les 27 États membres. Cet accord autorise l’exécutif européen à conclure en leur nom des contrats d’achat anticipé (Advance Purchase Agreements ou « APA ») avec des fabricants de vaccins. L’accord met en place un comité de pilotage et des équipes de négociateurs dont les compositions sont précisées.

Or, souligne la plainte pénale entre les mains du juge Frenay, dans cet accord, « aucune attribution particulière n’est conférée à la présidente de la Commission, madame Ursula von der Leyen, qui n’est partie ni au comité de pilotage ni aux équipes de négociateurs. La présidente de la Commission ne pouvait donc se prétendre chargée de la conduite des négociations. »

Opacité et règles bafouées

Quoiqu’il en soit, la Cour des comptes européenne a épinglé ces négociations « en solo » de von der Leyen dans un rapport spécial sur l’acquisition des vaccins, publié en septembre dernier. « Nous n’avons reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE », peut-on lire en page 33. La gardienne des finances de l’UE avait demandé à la Commission de lui fournir, pour ce méga-contrat, la liste des experts scientifiques consultés et les conseils reçus, le calendrier des négociations, les procès-verbaux des discussions et le détail des modalités convenues. Elle n’a rien reçu.

La Cour des comptes européenne confirme en outre que les règles de négociation fixées par la Commission ont été bafouées par Ursula von der Leyen : « Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s’agit du seul contrat pour lequel l’équipe conjointe de négociation n’a pas participé à cette étape des négociations, contrairement à ce que prévoit la décision de la Commission relative à l’acquisition de vaccins contre la COVID-19. »

Le Parquet européen a ouvert une enquête

Un auditeur de la Cour des comptes européenne, interrogé par le magazine Politico, a déclaré que les négociations préliminaires d’Ursula von der Leyen avaient été déterminantes pour les termes de l’accord final : « Les aspects essentiels des contrats ont été convenus de manière informelle. Ce n’est qu’après la conclusion de cet accord informel que le processus formel a pu se poursuivre. C’était vraiment essentiel pour les négociations. »

En octobre dernier, le Parquet européen (OEPP) a confirmé avoir ouvert une enquête sur l’ensemble du processus d’acquisition des vaccins anti-Covid-19 dans l’Union européenne. Sur le fond, rien n’a jamais filtré. Mais la nature des SMS échangés entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla devrait logiquement constituer un des volets de cette enquête. Si ces messages ont effectivement été effacés du smartphone de la présidente de la Commission, une copie devrait toujours figurer dans celui d’Albert Bourla. Qui pourrait être saisi par le Parquet européen. Ou par le juge d’instruction liégeois.

source : Le Vif


EN COMPLÉMENTAIRE

Gros scandale Covid : L’UE a débloqué plus de 71 milliards d’euros pour acheter des vaccins

Sollicitée par des euro-députés européens et des personnalités politiques de premier plan, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, refuse, jusqu’à présent, à rendre publics les contrats de vaccins signés avec les labos. 

En attendant le verdict de la justice (car une plainte a été déposée par le New York Times pour que ces contrats soient publiés), voici ce que nous savons de cette affaire qui, depuis deux ans, alimente la chronique en Europe et déclenche une vive colère des citoyens et journalistes

Excellente lecture

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L’Union européenne a dépensé plus de 71 milliards de dollars dans des contrats signés avec des laboratoires pharmaceutiques pour se procurer des doses de vaccins.

Un pognon de dingue a été trouvé pour vacciner à tour de bras. Si l’Europe a, ces dernières années, fait de nombreux sacrifices pour supprimer des emplois faute d’argent, lors de la pandémie à Coronavirus, comme par hasard, des milliards de dollars ont été trouvés pour signer des contrats avec les labos.

Et la somme, dévoilée par le média américain Forbes, risque de déclencher l’immense courroux des antivax mais aussi des défenseurs des causes sociales qui n’ont cessé de dénoncer le piteux état de l’hôpital (français) par exemple où des milliers de lits ont été fermés ces dernières années.

En effet, d’après une information de Forbes publiée ce 12 septembre et lue par Lecourrier-du-soir.com, la Commission européenne a bien cassé sa tirelire en dépensant plus de 71 milliards d’euros dans des contrats signés avec des laboratoires. D’après cette source, cette somme a permis de garantir 4 milliards 600 millions de doses de vaccins pour les pays européens. Le média dit tenir cette information d’un rapport rendu public par le Tribunal des Comptes de l’UE.

L’information a été confirmée par le média espagnol, El Periodico. À en croire cette source, entre août 2020 et novembre 2021, l’Union européenne a passé 11 contrats avec 8 laboratoires pour un coût d’environ 15 euros la dose. Et ce n’est pas tout. La source ajoute qu’à la fin de l’année 2021, le coût s’élevait déjà à 71 milliards d’euros.

Et Pfizer remporte le gros lot. En effet, d’après les informations obtenues par le média espagnol, le géant américain Pfizer a été le plus choyé dans les contrats que l’UE a passés avec les labos. Ainsi, à lui seul, Pfizer a encaissé 2 milliards 400 millions d’euros dans trois contrats qui lui ont été accordés.

source : Le Courrier du Soir

 

 

 

 

 

Troisième Guerre Mondiale en préparation:Neuvième anniversaire de la guerre en Ukraine : Bombes, mensonges, propagande et dissonance

Les malhonnêtes marquent cette semaine le premier anniversaire de la guerre en Ukraine. Les honnêtes marqueront le 9ème anniversaire de cette guerre. Et l’autorité vient de très haut : Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’ONU.

« La guerre n’a pas commencé en février 2022, a-t-il déclaré récemment. Elle a commencé en 2014. Depuis 2014, L’OTAN et les alliés de l’Alliance ont fourni les armes et la formation pour que les Forces armées ukrainiennes soient beaucoup plus fortes en 2022 qu’en 2014. »

Malgré le spectacle « d’unité » que Biden a voulu montrer lors de sa visite surprise à Kiev, laquelle a récolté des applaudissements nourris des grands médias médiocres comme Radio-Canada, l’assourdissante dissonance venant des soi-disant alliés démontre que tout va bien dans le meilleur des mondes sur le front ukrainien.

Macron qui brille par ses contradictions : Il veut « la défaite de Moscou, mais sans l’écraser… Je ne pense pas, comme certains, qu’il faut défaire la Russie totalement, l’attaquer sur son sol. Ces observateurs veulent avant tout écraser la Russie. Cela n’a jamais été la position de la France et cela ne le sera jamais ». Une chance que la porte-parole russe lui a rappelé que la France n’est pas née avec Macron et qu’il y a eu la débâcle de Napoléon.

L’ineffable Josep Borrell, chef des affaires étrangères de l’Union européenne, celui qui prétend que l’Europe est un jardin tandis que le reste du monde est une jungle qui menace d’envahir le jardin. Pour lui, la guerre est finie si on ne résoudra le problème de fourniture d’armements et de munitions à l’Ukraine. Nous sommes en mode urgence guerre, a-t-il dit à Munich (19 fév.). Alors que la Russie produit beaucoup d’armes et de munitions 24 sur 24, ça nous prend dix mois, ajoute-t-il, pour se faire livrer une simple balle de calibre 155 mm.

Dans cette chronique, Robin Philpot revient sur les neuf ans de guerre depuis le coup d’État du 22 février 2014 : interdiction de la langue et de la culture russe, bombardements constants du Donbass, massacre de la Maison des syndicats, les accords de paix de Minsk et les fourberies de Merkel et de Hollande.

L’animateur termine sur la propagande : quand tout est propagande, les journalistes deviennent paresseux car ils savent que, quoi qu’ils écrivent, s’ils vont dans le bon sens, la direction va les féliciter.

L’exemple parfait est celui de Isabelle Hachez du journal La Presse de Montréal. Cette simple journaliste, qui vient de passer deux semaines en Ukraine sous la bienveillante protection de l’armée ukrainienne, a décider de s’en prendre au professeur d’histoire de l’Université de Montréal, Michael J. Carley, qui, lui, a consacré une bonne partie de sa vie à étudier l’URSS et la Russie et surtout la politique étrangère de l’URSS dans les années 1930 et 1940. Il sait de quoi il parle quand il s’agit de la Russie et de l’Ukraine.

Alors que Isabelle Hachez nous a habitués à des « job de bras » étoffées, bien fouillées – pensons au cas de François Bugingo – cette fois elle a tout bâclée.

Ses sources se limitent d’abord au Département d’État américain et ministère des Affaires globales du Canada, qui sont, comme on le sait, toujours neutres, objectifs et sans reproche.

Ensuite elle cite une simple « étudiante » de l’Université de Montréal, Katia Sviderskaya. Ce qu’elle n’a pas dit, c’est que Mme Sviderskaya, qui est à l’origine de l’attaque contre le professeur Carley, a reçu une subvention de $6,488.78 du ministère de la Défense du Canada pour étudier la propagande russe.

Isabelle Hachez ne pouvait pas ne pas être au courant grâce à des articles de Arnold August à ce sujet.

La conclusion : Mentez, mentez, mentez, il restera toujours quelque chose.


EN COMPLÉMENTAIRE

Dissonance

 

“DISSONANCE” dans le monde occidental et son “jardin” : Stoltenberg a OSE asséner une VERITE … la GUERRE a commencé en 2014 et non, comme le … “jardin” … entend le faire accroire, en 2022 … On peut même dire qu’elle a commencé bien plus tôt … en fait, dès 1945 … ainsi que l’espérait … Adolf HITLER soi-même dans ses propos parus aux Editions Arthème Fayard sous le titre fallacieux “Testament politique d’Adolf Hitler :

“En cas de défaite du Reich, et en attendant la montée des nationalismes asiatiques, africains et peut-être sud-américains, il ne restera dans le monde que deux puissances capables de s’affronter valablement : les Etats-Unis et al Russie soviétique. Les lois de l’histoire et de la géographie condamnent ces deux puissances à se mesurer, soit sur le plan militaire, soit simplement sur le plan économique et idéologique. Ces mêmes lois les condamnent à être les adversaires de l’Europe. L’une et l’autre de ces puissances auront nécessairement le désir, à plus ou moins courte échéance, de s’assurer l’appui du seul grand peuple européen qui subsistera après la guerre – le peuple allemand. Je le proclame avec force, il ne faut à aucun prix que les Allemands acceptent de jouer le rôle; d’un pion dans le jeu des Américains et des Russes.” (“Propos XVIII” – 2 avril 1945)

Propos saisissant de LUCIDITE !!! Qui niera que Hitler, en l’occurrence, avait raison sur quasi TOUTES les prévisions … ?!!! C’est bien pourquoi cette guerre a commencé dès le mois de mai1945, quand Américains (et les DEJA LARBINS européens) et Russes se sont trouvés face à face !!! D’où, la “guerre froide” … que les Etatsuniens ont cru avoir “gagnée” en 1991 avec l’effondrement de l’URSS MAIS qu’ils ont prolongée … conformément à l’INFÂME “doctrine Brzezinski entendait DEPECER la Russie … Ce qui détermine le fait que cette guerre d’Ukraine représente, pour les Etats-*Unsi, une guerre TOTALE d’ANEANTISSEMENT et, pour la Russie, une guerre pour sa SURVIE !!!

Poutine a déclaré dans son allocution aujourd’hui “Nous allons atteindre les objectifs que nous avons définis, pas à pas, progressivement et prudemment”, a-t-il insisté.
Il n’y a donc aucune annonce d’un changement de format sur le plan militaire. Dans la déclaration ci-dessus, il est même sous-entendu que le conflit pourrait se prolonger sur une longue durée.
L’hypothèse d’un renforcement progressif de l’offensive reste cependant d’actualité.

Donc,il n’y a aucune annonce de changement, sauf si des événements extérieurs survenaient !
Avec toutes les troupes qui ont été mobilisées, ce serait bizarre que ce soit pour attendre les prochaines calendes grecques …

 Poutine a été incendiaire dès l’entrée de jeu de son allocution ! Désignant le responsable des attaques Nord .Stream II trainant l’occident dans la poussière. Après avoir développé les autres questions, il est revenu à la fin pour confirmer la suspension du traité. C’est œil pour œil et dent pour dent…

La Russie s’est retirée momentanément du traité START.
“La Russie suspend sa participation au traité de réduction des armements stratégiques (START), mais ne s’en retire pas”.
Poutine a également déclaré que la déclaration de l’OTAN début février appelant la Russie à revenir à la mise en œuvre du START, y compris l’admission d’inspections dans les installations de défense nucléaire, est un non-sens.

Donc la Russie pourrait transmettre la technologie nucléaire à l’Iran? après tout la France l’a bien transmise à Israel (en fait:Israel l’ a VOLÉ à la France , avant de VOLER le matos fissile aux USA .

La suite l’a montré : les Israéliens , en dépit de leur frime intello ne sont pas des pointures en physique, nucléaire ou pas .

Poutine parle de la vraie guerre : celle des milliardaires juifs contre l’ humanité et la Russie .Celle qui fait ses premières dents de lait et ne dit pas encore’ son vrais nom.
L’ Ukraine n’est déjà plus qu’un charnier ; l’ image d’un passé sordide représentant le programme juif prévu pour les peuples racialement inférieurs . Un plan déjà vieux ! (Programme Raciste de Ariel Sharon  )

DIRE LA VÉRITÉ

L’imminence de la partie brûlante et irréversible de ce clash exige de commencer à parler en très clair et en très gros de qui fait quoi , et qui sont les assassins !
La pub ou le mensonge quotidien doivent être démontés et dénoncés au mot à mot et au même quotidien !
Alors commençons par QUI EST LE PETIT GROUPE DES FANATIQUES TOTALITAIRES QUI RECHERCHE ” PAR TOUS LES MOYENS” L’ EXPLOSION SUR TOUTE LA PLANÈTE DE LA CHARGE EXPLOSIVE DONT LE CONFLIT UKRAINIEN N’EST QUE LE DÉTONATEUR . ?
Le peuple Américain ? Celui de GB , d’ Allemagne ou de France ? Pour ce premier groupe , des quatre plus OTAN ,on peut statuer clair et vite : CES PEUPLES très concernés SONT OPPOSÉS a une telle guerre !, tout simplement parce qu’ils ne sont pas suicidaires … D’ailleurs vous avez remarqué qu’aucun des pouvoirs de ces États n’a consulté sa population sur ce grave sujet, bien au contraire tous les moyens d’ expression des populations leurs sont vite devenus inaccessibles !

 

Pourtant ces trois pays qui drivent l’ OTAN vers le clash TOTALITAIRE contre la Russie continuent – gaz à fond – vers le mur !

Il y a quelque chose qui ne va pas dans ce qu’on voit du problème sur nos écrans!
Ça ne tient la route QUE si on place sur le schéma UNE entité unique qui par folie ou fanatisme (leur raison – si il y en a une – est secondaire ), pousse ENSEMBLE ces 4 pays + OTAN vers le crime/suicide final , violant ainsi la volonté des peuples qui tous y sont opposés. Celà pour l’ objectif bidon & disproportionné des 3 arpents du Donetz !

Cette entité existe , elle est très simplement visible & remarquable par le simple fait que ce complot des milliardaires juifs qui forment ce groupe , a grossièrement disparu de tous nos médias d’information dès Decembre 2021 ! De plus leur influence ” pro conflit ” qu’on peut suivre par LEURS propres médias les a révélé chaque jour dans leurs œuvres de désinfo..pro guerre (En France = LCI, France 24 RFM ..etc..)
Parallèlement , toute cette population issue de Géorgie , et qui agit sous la fausse couverture de ” peuple juif ” s’est constituée en une véritable mafia multinationale cohérente – pour le pouvoir – en une sorte de Reich de bazar dont le führer demeure la famille Rothschild !
Et par le stratagème du faux État d’Israel , ce bazar de services secrets a réussit depuis 1948 à prendre le contrôle des pouvoirs politiques , puis s’y substituer pour piloter l’ ensemble de ces 4 pays plus l’ OTAN vers la guerre à outrance contre la Russie .
Le terrible plan de cette conspiration des faux juifs de Géorgie , organisés en dictature occidentale par le Reich Rothschild ,ne nous laisse qu’une mince porte de secours vers la paix : NOUS ENGAGER TOUS AVEC LA RUSSIE DE POUTINE !
Car le glacis des pièges bancaires montés jusqu’en Chine contre l’humanité et la Grande Russie et ceux d’une information scientifiquement falsifiée ne nous laissent que peu de chances! Le conflit est si nouveau , tordu et piégé , que Seule une puissance militaire active très majeure et dotée d’une large compréhension de cette attaque si atypique contre l’ espèce humaine peut nous sauver du pire .
Vu depuis les populations citées , déjà piégées de l’ intérieur de la tête ( falsif info) , il s’agit d’une ultime issue de secours !

 

 

Belgique: commande de masques chirurgicaux pour les migrants mais pas pour les Belges

Il y a un mois, le gouvernement belge a commandé des masques chirurgicaux pour le centre de demandeurs d’asile de Klein Kasteeltje à Bruxelles, en même temps qu’il disait aux Belges qu’ils n’avaient qu’à se laver les mains pour se protéger du COVID-19 ou du coronavirus.

La ministre belge de la Santé, Maggie De Block, est également secrétaire d’État à l’asile et aux migrations. De Block a passé une commande de masques chirurgicaux pour le centre des migrants pour un montant de 30 000 euros, selon un rapport du SCEPTR.

Dans le même temps, De Block et le virologue Marc Van Ranst disaient aux Belges dans les interviews télévisées de ne pas paniquer, car se laver les mains suffisait à prévenir une infection par un coronavirus.

Un centre de rétention surchargé de migrants en Belgique.

Dimanche, la Belgique a signalé près de 1 100 cas confirmés d’infection à coronavirus et le personnel médical belge souffre d’une pénurie de masques.

Pour faire face à l’urgence, la semaine dernière, le gouvernement belge a passé une commande de 5 millions de masques chirurgicaux d’une entreprise en Turquie qui devaient être livrés dimanche au plus tard. Dans un autre échec du gouvernement, les masques ne sont jamais arrivés, et De Block a admis aujourd’hui qu’ils avaient été fraudés par leur fournisseur turc et que les chances étaient « minimes » qu’ils en recevraient jamais, selon un autre rapport du SCEPTR.

Compte tenu de cette situation, la Belgique est actuellement confrontée à une véritable crise, car elle ne dispose actuellement que de 500 000 masques en stock. En tant que mesure d’urgence, le gouvernement a demandé que des particuliers avec des masques supplémentaires les donnent aux hôpitaux.

Le fait que la Belgique ait pensé à la sécurité des migrants avant celle de ses propres citoyens est ironique, d’autant plus que, comme l’a récemment souligné le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, l’immigration est ce qui a amené le coronavirus en Europe en premier lieu, comme le rapporte Voice of Europe .

 

 

 

 

Courte opinion du jour :honte à l’Union Européenne … 2 poids,2 mesures

Un coup de poignard aux victimes italiennes: l’UE accorde 250 millions d’euros à la Tunisie pour faire face au coronavirus MAIS REFUSE D’AIDER L’ITALIE ET ​​L’ESPAGNE.

…et pire encore : »#UE a annoncé ajd qu’elle inflige 1 amende à Italie € 80K/jour jusqu’à ce qu’ils soient en mesure payer € 8,5 millions d’amendes de l’UE…la même UE qui a annoncé hier qu’elle enverra € 20 millions de dollars d’aide pour contrer le  Covid19 à l’Iran.

L’Union Européenne baigne dans le monde d’Orwell

  • Le problème est que cette noble initiative est une organisation qui censure depuis plusieurs années déjà la liberté d’expression en Europe.
  • Les directives du manuel stipulent que les journalistes doivent « Veiller à ne pas stigmatiser davantage des termes tels que » musulman « ou » islam « en les associant à des actes particuliers … Mettez en surbrillance … la diversité des communautés musulmanes … où il est nécessaire et d’actualité de signaler des commentaires haineux contre des musulmans, négociez l’information « . En d’autres termes, les directives demandent aux journalistes de désinformer le public.
  • C’est la même Commission européenne qui a exprimé récemment sa désapprobation du retrait de l’Autriche du « Pacte mondial pour la migration sûre, ordonnée et régulière » des Nations unies. Le Pacte stipule que les médias qui ne soutiennent pas le programme de migration des Nations Unies ne seront pas éligibles au financement public. En quoi cela consiste-t-il à « respecter pleinement les principes fondamentaux de l’Europe en matière de liberté d’expression, de presse libre et de pluralisme »?

L’UE a lancé un plan d’action global contre la désinformation . Selon un récent communiqué de presse de la Commission européenne, son objectif est apparemment de « protéger ses systèmes démocratiques et ses débats publics et dans la perspective des élections européennes de 2019 ainsi que d’un certain nombre d’élections nationales et locales qui se dérouleront dans les États membres d’ici 2020 ».

En juin 2018, les dirigeants des États membres de l’UE s’étaient réunis au Conseil européen et avaient invité la Commission européenne à « présenter … un plan d’action avant décembre 2018 contenant des propositions spécifiques pour une réponse coordonnée de l’UE au défi de la désinformation … ». est ce plan d’action que la Commission a présenté au public le 5 décembre.

Le plan d’action se concentre sur quatre domaines :

  1. Détection améliorée de la désinformation (la Commission européenne a consacré 5 millions d’euros à ce projet et s’attend apparemment à ce que les États membres contribuent également au niveau national).
  2. Réponse coordonnée – les institutions de l’UE et les États membres mettront en place un système d’alerte rapide « pour faciliter le partage des données et l’évaluation des campagnes de désinformation ». Le système d’alerte rapide sera mis en place d’ici mars 2019 et « sera complété par un renforcement supplémentaire des ressources nécessaires ».
  3. Les plateformes en ligne et l’industrie sont appelées à assurer « la transparence de la publicité politique, en intensifiant les efforts pour fermer les faux comptes actifs, en étiquetant les interactions non humaines (messages transmis automatiquement par des » robots « ) et en coopérant avec des vérificateurs de faits et des chercheurs universitaires pour détecter la désinformation campagnes et de rendre le contenu factuel plus visible et plus répandu « conformément au Code de pratique contre la désinformation signé précédemment .
  4. Sensibilisation et autonomisation des citoyens: outre les « campagnes de sensibilisation ciblées », les « institutions de l’UE et les États membres encourageront l’initiation aux médias par le biais de programmes spécifiques. Un soutien sera apporté aux équipes nationales multidisciplinaires de vérificateurs de faits indépendants et de chercheurs afin de détecter et de révéler la désinformation. campagnes sur les réseaux sociaux « . En 2018, les citoyens ne sont soudainement plus « familiarisés avec les médias » et ont besoin d’être « responsabilisés » pour se faire dire comment et quoi penser.

Comme il est dit plus haut, le plan d’action repose sur le code de pratique sur la désinformation , introduit précédemment , que les géants de la technologie en ligne – Facebook, Google, Twitter et Mozilla – ont signé en octobre 2018. Le code de pratique est nécessaire, parce que selon le commissaire de l’Union européenne pour la sécurité, Sir Julian King:

« La militarisation de fausses informations et de désinformations en ligne constitue une menace sérieuse pour la sécurité de nos sociétés. La subversion de canaux de confiance pour colporter des contenus pernicieux et conflictuels nécessite une réponse lucide basée sur une transparence accrue, la traçabilité et la responsabilité. Les plates-formes Internet ont rôle vital à jouer pour contrer les abus de leurs infrastructures par des acteurs hostiles et pour assurer la sécurité de leurs utilisateurs et de la société. « 

En septembre, la commissaire à l’économie et à la société numériques, Mariya Gabriel, a déclaré à propos du code de pratique:

«C’est la première fois que le secteur s’est mis d’accord sur un ensemble de normes d’autoréglementation pour lutter contre la désinformation dans le monde, sur une base volontaire. Le secteur s’engage dans un large éventail d’actions, allant de la transparence de la publicité politique à la fermeture des faux la comptabilité et la démonétisation des fournisseurs de désinformation, et nous nous en félicitons.Ces actions devraient contribuer à une réduction rapide et mesurable de la désinformation en ligne.A cette fin, la Commission accordera une attention particulière à sa mise en œuvre effective.

« Le code de pratique devrait contribuer à une campagne en ligne transparente, juste et digne de confiance avant les élections européennes de printemps 2019, tout en respectant pleinement les principes fondamentaux de l’Europe en matière de liberté d’expression, de presse libre et de pluralisme. »

Selon Andrus Ansip, vice-président responsable du marché unique numérique, le code de pratique et le plan d’action contre la désinformation visent à « protéger nos démocraties contre la désinformation. Nous avons assisté à des tentatives d’ingérence dans les élections et les référendums, avec des preuves La Russie comme source principale de ces campagnes « .

Federica Mogherini, responsable de la politique étrangère de l’UE, a déclaré : « Il est de notre devoir de protéger cet espace et de ne permettre à personne de répandre une désinformation qui alimente la haine, la division et la méfiance à l’égard de la démocratie. »

Cela semble noble: l’UE veut protéger les citoyens des « fausses informations » et de l’ingérence des processus étrangers nationaux et européens dans les processus démocratiques de puissances étrangères telles que la Russie.

Le problème est que cette noble initiative a été lancée par une organisation qui censure déjà les discours en Europe depuis plusieurs années, ce qui rend difficile la compréhension de ces intentions déclarées. C’est après tout la Commission européenne qui, en mai 2016, a convenu avec Facebook, Twitter, YouTube et Microsoft d’un  » Code de conduite sur la lutte contre le discours de haine en ligne illégal en ligne  » (Google+ et Instagram ont également rejoint le Code de conduite en janvier 2018).

Le code de conduite engage les entreprises de médias sociaux à examiner et à supprimer, dans les 24 heures, le « discours de haine illégal ». Selon le code de conduite, lorsque les entreprises reçoivent une demande de suppression de contenu, elles doivent « évaluer la demande par rapport à leurs règles et directives de la communauté et, le cas échéant, à leur législation nationale relative à la lutte contre le racisme et la xénophobie … ». les géants des médias agissent comme des censeurs volontaires au nom de l’Union européenne.

Outre le code de conduite, l’UE organise plusieurs initiatives visant à renforcer la censure. Récemment, par exemple, l’UE a lancé un appel à propositions de recherche sur la manière de « surveiller, prévenir et combattre les discours de haine en ligne ». Il sponsorise également des projets qui « guident » les journalistes sur ce qu’il faut écrire: dans le cadre du programme Droits, égalité et citoyenneté (REC) de l’UE, l’UE a financé la publication d’un manuel contenant des lignes directrices à l’intention des journalistes sur l’écriture des migrants et des migrations. Les lignes directrices font partie du projet RESPECT WORDS – également financé par l’UE – qui vise à promouvoir la qualité de l’information sur les migrants et les minorités ethniques et religieuses en tant qu’outil indispensable dans la lutte contre la haine « .déclarent , entre autres, que les journalistes devraient:

« Veillez à ne pas davantage stigmatiser des termes tels que » musulman « ou » islam « en les associant à des actes particuliers … Ne laissez pas les » affirmations d’actes extrémistes « au nom de l’islam » sans opposition … la diversité des communautés musulmanes … où il est nécessaire et d’actualité de signaler des commentaires haineux contre des musulmans, médiatisez l’information. Mettez au défi tous les faux postulats sur lesquels reposent de tels commentaires « .

En d’autres termes, les directives demandent aux journalistes de désinformer le public. Comment donc devrait-on logiquement réagir à un « plan d’action contre la désinformation » parrainé par l’UE?

Enfin, c’est la même Commission européenne qui a récemment exprimé sa désapprobation du retrait de l’Autriche du « Pacte mondial pour les migrations sûres, ordonnées et régulières » de l’ONU. Le Pacte stipule que les médias qui ne soutiennent pas le programme de migration des Nations Unies ne seront pas éligibles au financement public. En quoi cela consiste-t-il à « respecter pleinement les principes fondamentaux de l’Europe en matière de liberté d’expression, de presse libre et de pluralisme »?

À l’heure où ce nouveau plan d’action contre la désinformation est mis en œuvre, l’Europe devrait s’attendre à davantage de censure.

Les députés britanniques rejettent massivement l’accord du Brexit négocié avec l’UE par Theresa May

La défaite était prévisible, mais l’échec de la première ministre britannique, Theresa May, n’en est pas moins cuisant : le Parlement a rejeté par une large majorité l’accord de Brexit qu’elle a négocié pendant plusieurs mois avec Bruxelles.

 

Près de 75 jours avant la sortie prévue du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE), la première ministre britannique a perdu son pari.

Négocié pendant plus d’un an, le texte de 585 pages a été rejeté par 432 voix contre 202.

C’est la pire défaite parlementaire subie par un premier ministre britannique de l’ère démocratique, a souligné le site du quotidien britannique Guardian.

Ironiquement, le vote, aux conséquences imprévisibles, a uni les tenants d’un « Brexit dur », selon lesquels le Royaume-Uni maintenait des liens trop étroits avec l’UE dans le cadre de cet accord, et ceux qui s’opposent à la sortie du Royaume-Uni de l’UE.

 

L’opposition réclame un vote de confiance

Qualifiant l’issue de « défaite catastrophique » pour la première ministre, le chef du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, a rapidement réclamé un vote de confiance, qui sera débattu mercredi.

La Chambre a rendu son verdict sur son accord. Les reports et le déni ont atteint leurs limites.

Jeremy Corbyn, chef du Parti travailliste

Les unionistes nord-irlandais du DUP, qui ont voté contre l’accord de Brexit, ont néanmoins annoncé qu’ils soutiendraient le gouvernement lors de ce vote.

Theresa May a de son côté répété qu’elle souhaitait que le Royaume-Uni sorte de l’Union européenne « avec un accord ».

Elle s’est dite prête à aborder les futures discussions de manière « constructive », ajoutant que son gouvernement ne ferait que des propositions « réalistes ».

Si les députés lui permettent de rester en poste, Theresa May aura jusqu’à lundi prochain pour présenter une stratégie pour la suite qui permettrait d’éviter une sortie de l’UE sans entente.

Avant la tenue du vote, Theresa May avait appelé les députés à confirmer un accord qui honore le résultat du référendum du 23 juin 2016.

Auparavant, les députés britanniques avaient rejeté par une vaste majorité l’amendement soumis par le député conservateur John Baron sur la clause de « sauvegarde » irlandaise prévue dans le projet d’accord.

Cette clause prévoit d’empêcher le rétablissement d’une frontière physique entre la République d’Irlande et l’Irlande du Nord, instituant de facto un statut spécifique pour cette dernière.

Les trois autres amendements à l’entente qui devaient être soumis au vote des élus ont été retirés.

L’UE regrette l’issue du vote

Les réactions au sein de l’UE ne se sont pas fait attendre.

« Nous regrettons le résultat du vote et exhortons le gouvernement britannique à clarifier ses intentions en ce qui concerne ses prochaines étapes dès que possible », a déclaré un porte-parole du président du Conseil européen, Donald Tusk.

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a estimé que le risque d’un Brexit désordonné venait de s’accroître.

Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a pour sa part averti qu’il n’y aurait pas de renégociation de l’accord.

 

 

 

 

 

Hongrie: C’est maintenant une infraction criminelle que d’ aider les envahisseurs de quelque façon que ce soit

Selon un article paru dans le journal Magyar Hirlap à Budapest, la loi – sous la forme d’un amendement constitutionnel visant à « préserver la culture chrétienne de la Hongrie » – était soutenue par l’alliance Fidesz-KDNP et le parti d’opposition le plus puissant Jobbik, lui donnant facilement une majorité de 72% au parlement.

2018. február 6. STOP SOROS! plakát. Soros milliókat telepítene be Afrikából és a Közel-Keletről, felirat. Kormány kampányplakátja. Kampány, óriásplakát. Le Parlement hongrois a adopté l’ensemble de lois connu sous le nom de «Stop Soros», qui criminalise toutes les activités qui soutiennent l’immigration illégale, y compris l’aide juridique et physique de toute sorte.

Selon le cabinet du Premier ministre, le «paquet législatif Stop Soros et l’amendement à la loi fondamentale affirment la volonté du peuple hongrois, en fournissant au pays une protection supplémentaire contre la migration illégale».

En ce qui concerne l’amendement, la loi sur la police, le code pénal, la loi sur l’asile, la loi sur les frontières et la loi sur les délits ont été amendés pour déclarer que l’organisation de l’immigration clandestine est illégale. Le scénario pénal pertinent sera par conséquent incorporé dans le Code pénal.

La loi interdit d’aider les envahisseurs en Hongrie avec des conseils juridiques ou de leur fournir une aide financière. Les infractions seront passibles d’une peine d’emprisonnement de 12 mois.

L’amendement a également changé la Constitution pour rendre illégal «d’installer des populations étrangères» en Hongrie. Ceci est destiné à définir les paramètres juridiques du refus du pays d’accueillir les envahisseurs invités en Europe par l’Allemagne et d’autres pays de gauche en termes d’arrangement de «redistribution» de l’Union européenne.

« La Hongrie doit être protégée contre les migrations illégales; C’est pourquoi nous avons besoin de l’amendement de la Constitution et du paquet législatif « Stop Soros », a déclaré Gergely Gulyás, le ministre qui dirige le bureau du Premier ministre.

La loi a été appelée le projet de loi « Stop Soros », après le juif d’origine hongroise George Soros qui finance des organisations anti-blanches en Europe et en Amérique.


EN COMPLÉMENT

Viktor Orban: « La gauche travaille pour forcer les migrants à entrer en Hongrie avec l’aide de Soros et Bruxelles »

Georges Soros est a droite du représentant de l’Union européenne.

Les groupes d’intérêts économiques et politiques étrangers dirigés par George Soros aimeraient voir un gouvernement hongrois affaibli qui pourrait être soumis au chantage, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban.

En raison de la gestion de la crise économique après 2010, et des efforts pour mettre sous contrôle national les fournisseurs d’énergie, certaines banques et une partie des médias, le gouvernement a cessé d’être soumis aux pressions, a déclaré M. Orban lors d’une réunion des législateurs des partis Fidesz et KDNP à Visegrad, dans le nord de la Hongrie. « Aucun pays ne peut être indépendant en l’absence de médias nationaux. Il ne peut pas être non plus indépendant s’il peut faire l’objet d’une pression financière », a déclaré Orban, d’après le quotidien national Magyar Idok.

Pour cette raison, l’enjeu de la prochaine élection générale en avril est de savoir si la Hongrie aura un gouvernement indépendant ou soumis aux pressions. Ce dernier abandonnerait l’indépendance nationale et laisserait la Hongrie se transformer en un pays de migrant, a-t-il ajouté.

Citant un homme d’État étranger, Orban a déclaré que le désespoir génère la haine. Il a ajouté qu’il s’attend à ce que l’opposition lance une campagne de haine dans les jours à venir.

« C’est leur seul message. Le désir de nous traquer tous parce que nous nous opposons à ceux qui veulent transformer la Hongrie en un pays de migrant et l’Europe en un continent de migrant », a-t-il dit.

« Nous devons protéger la culture dans laquelle tous les Hongrois se sentent chez eux ; et cela s’appelle, peu importe si quelqu’un est religieux ou non, la culture chrétienne »

Il est important pour les Hongrois de protéger leur culture chrétienne, a déclaré le Premier ministre dans une interview publiée par le quotidien local Veszpremi 7 Nap.

« Nous devons protéger la culture dans laquelle tous les Hongrois se sentent chez eux ; et cela s’appelle, peu importe si quelqu’un est religieux ou non, la culture chrétienne », a déclaré Viktor Orban 

Commentant le récent plan de migration des Nations Unies, M. Orban a déclaré que la migration est un mouvement de masse qui représente un danger. La position de la Hongrie est que la migration doit être réprimée au lieu d’être soutenue, et cela doit être défendu non seulement au niveau des forums européens, mais aussi au niveau de l’ONU. Orban a réitéré la position du gouvernement selon laquelle une aide doit être fournie aux personnes dans le besoin, mais dans le pays où elles vivent.

Orban a déclaré que la coopération du groupe Visegrad formé avec la République tchèque, la Pologne et la Slovaquie est sans précédent. Il a déclaré qu’au sein de l’UE, chacun de ces pays doit défendre fermement ses intérêts nationaux et qu’il y aura alors « un combat, un débat féroce ».

« Nous sommes en ce moment engagés dans un débat, et c’est une bonne nouvelle, car cela nous permet de nous battre pour défendre nos intérêts nationaux », a conclut M. Orban.


Voilà un exemple dont nous ferions bien de nous inspirer. La Hongrie est l’un des rares pays en Europe où existent encore un Etat et une démocratie. 

Pour lutter contre l’immigration clandestine et les ONG qui la favorisent, le gouvernement a proposé le texte dit «Stop Soros» menaçant d’une peine d’un an de prison les personnes qui fourniraient de l’aide aux migrants entrés illégalement en Hongrie.

 

Le gouvernement hongrois a présenté le 29 mai devant le Parlement une loi baptisée «Stop Soros» – du nom du milliardaire George Soros – qui vise «les organisateurs des migrations illégales», et qui à ce titre, est à l’origine du départ précipité du pays de l’ONG Open Society.

Selon le texte, les personnes qui viennent en aide matériellement aux demandeurs d’asile pour qu’ils obtiennent le statut de réfugiés pourraient écoper d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à une année, si ces derniers ne sont pas en danger immédiat ou s’ils sont entrés en Hongrie de façon illégale. Les ressortissants hongrois qui auraient enfreint la loi pourraient également être interdits de s’approcher des zones frontalières à moins de huit kilomètres. Les ressortissants étrangers pourraient quant à eux être expulsés.

«Les intérêts sécuritaires de la Hongrie doivent passer en premier», a déclaré le secrétaire d’Etat chargé des affaires parlementaires Csaba Domotor lors de la présentation du texte, faisant valoir que cette loi n’était que le reflet de la volonté exprimée par les électeurs aux législatives du 8 avril, largement remportées par le parti du Premier ministre Viktor Orban, le Fidesz. Disposant d’une confortable majorité des deux tiers aux Parlement, le Fidesz ne devrait avoir aucun problème à voter le texte qui sera débattu début juin.

Depuis des années, le Premier ministre conservateur Viktor Orban accuse George Sorosde promouvoir un plan d’immigration massive en Europe, principalement en provenance de pays musulmans, dans le but de détruire les valeurs européennes et de favoriser un agenda mondialiste. Au pouvoir depuis 2010, Viktor Orban a notamment en ligne de mire les ONG du milliardaire, qu’il qualifie de «mercenaires de Soros».

Anticipant cette loi qui était une promesse de campagne du Fidesz, l’Open Society a annoncé mi-mai qu’elle déménageait ses activités à Berlin, en réaction à l’«environnement politique et juridique de plus en plus répressif» en Hongrie ».

Ce sont des bateaux financés par le milliardaire George Soros qui amènent les migrants illégaux en Europe.

La frontière hongroise va devenir plus sure.

 

 

 

Géopolitique Friction : L’OTAN panique…… après que Poutine ait mis la pression sur Trump pour qu’il retire les forces de l’Alliance de la frontière russe (Zerohedge) — Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

L’OTAN panique… … après que Poutine ait mis la pression sur Trump pour qu’il retire les forces de l’Alliance de la frontière russe Par Tyler Durden – Le 12 novembre 2016 – Source Zero hedge / le Saker Francophone Tandis que beaucoup de médias ont spéculé que le Kremlin a eu un rôle dans la diffusion des […]

via Géopolitique Friction : L’OTAN panique…… après que Poutine ait mis la pression sur Trump pour qu’il retire les forces de l’Alliance de la frontière russe (Zerohedge) — Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Nouvel Ordre Mondial:Comme l’Union soviétique, l’UE bientôt dans les poubelles de l’histoire

 

 

La récente crise des migrants a fait lumière sur la «crise d’unité» de l’Union européenne. L’organisme européen souffre des mêmes symptômes que l’URSS dans ses dernières années d’existence.

Des migrants en Macédoine, après avoir traversé la frontière grecque.
Des migrants en Macédoine, après avoir traversé la frontière grecque.

Mikhaïl Gorbatchev a très bien dit, il y a pas mal de temps : «Le développement le plus énigmatique de la politique moderne, c’est la détermination apparente des dirigeants européens occidentaux à recréer l’Union soviétique en Europe de l’Ouest.»

Le dernier dirigeant soviétique ne se référait pas à une aspiration de l’UE de s’étendre vers l’est, mais plutôt à la structure de gouvernance mal équilibrée, quand les petits Etats sont de plus en plus dominés par des membres plus grands. Cela est apparu de façon évidente l’année dernière, lorsqu’Angela Merkel a de façon quasiment unilatérale imposé à l’Union Européenne une politique d’immigration libérale, qui a entraîné une division très importante de ses membres.

Il y a dix ans, la Bulgarie et la Roumanie étaient à quelques mois de l’accession à l’UE, la Croatie faisant tout son possible pour les suivre. En effet, l’Union était tellement attirante que même les pays riches comme la Suisse et la Norvège avaient des débats sérieux en vue de la rejoindre. Si quelqu’un avait annoncé que dix ans plus tard, le président de la Commission européenne lancerait des avertissements concernant à la «crise existentielle» de l’UE, vous vous seriez probablement demandé ce qu’il avait bu.

Mais on est en 2016, et Jean-Claude Juncker a dit cela dans son discours annuel devant les députés. Il a reconnu que le bloc manquait d’unité en indiquant que «l’histoire ne se souviendra pas de nous. Elle se souviendra de nos erreurs et de leurs effet sur la prochaine génération». Alors que le chef de l’exécutif européen a tardivement informé les membres du législatif des réalités actuelles, il est raisonnable de penser que le poisson était déjà ferré. C’est apparemment comme ça que  les événements évoluent à pas géant sur le continent.

 

Une Union divisée

Cette semaine encore, le ministre des Affaires étrangères du Luxembourg a appelé à ce que la Hongrie soit jetée hors du club pour avoir refusé d’accepter des migrants, alors que l’Autriche semble incapable d’organiser une élection présidentielle. Certains pensent que c’est le cas parce que l’establishment a peur de la victoire des nationalistes, car les sondages démontrent le large soutien du candidat d’extrême-droite Norbert Hofer, mais la raison officielle est une colle défectueuse sur les enveloppes destinées au vote par correspondance.

Entre temps, à Vienne, le représentant le plus éminent du clergé autrichien, crise-euroSchönborn, avertit les catholiques que les musulmans planifient la «conquête islamique de l’Europe». Dans un contexte global, Christoph Schönborn n’est pas une figure obscure, c’est même l’un des favoris à la succession du pape François au poste d’évêque de Rome.

En même temps, les Balkans reviennent lentement vers cette l’idée. Les Serbes de Bosnie proposent un référendum sur l’indépendance de Sarajevo et la réponse de Zagreb est de menacer d’«agir pour protéger les Croates» en Bosnie, considéré par comme un «Etat qui a failli».

Comte tenu de tous ces discours présageant une crise, les Britanniques se sont libérés de ce pression en votant pour sortir du bloc. Et leurs voisins en Irlande, à l’époque figure emblématique de l’Union européenne, se sont tout-à-coup mis à remettre en question leur propre participation, au vu des pressions exercées par Bruxelles sur le système de fiscal mis en place par Dublin. Comme si ce n’était pas assez mauvais, des hommes politiques anti-Bruxelles montent dans les sondages en Italie et aux Pays-Bas, alors qu’en France, Marine Le Pen propose d’organiser un référendum sur le «Frexit». Il vaut la peine de garder à l’esprit que ces trois Etats sont les piliers du projet.

Cherchez l’erreur

Les eurocrates consacrés, comme notre vieil ami Carl Bildt, sont naturellement consternés. Mais ils semblent incapables d’accepter leur part de responsabilité dans cette lente implosion de l’UE.

Autrement dit, elle s’est agrandie trop vite. Et l’idéologie l’a emporté sur le pragmatisme pendant trop longtemps. Bruxelles a, par exemple, tendu la main à l’Ukraine en 2013, en lui proposant  un accord d’association, au moment où il était clair que la population de l’UE n’avait aucune envie d’accueillir de nouveaux entrants. Quand on se souvient des événements, la présence du commissaire britannique en charge des Affaires étrangères, Catherine Ashton, à Kiev, à Maïdan, était tellement ridicule, considérant la position déjà fragile du Royaume-Uni dans l’Union européenne. Pourtant, pas un seul commentateur des médias britanniques n’a jamais mentionné cette hypocrisie.

Les efforts se sont concrétisés en 2015, lors de la crise des migrants, lorsque certaines élites semblaient faire de la politique à la hâte. C’est comme ça qu’Angela Merkel, apparemment sans consulter personne, a unilatéralement ouvert les portes de l’Allemagne à de nouveaux arrivants.

En fin de compte, 1,1 million de migrants étaient arrivés avant la fin du mois de décembre de la même année. Seuls 54 d’entre eux ont jusqu’à présent obtenu des emplois au sein d’entreprises allemandes, en dépit de la rhétorique de représentants de l’économie, comme le président de Daimler, Dieter Zetsche, qui avait affirmé que la plupart des réfugiés étaient «bien formés et motivés» et que «Mercedes avait besoin d’eux». Son entreprise a tout de même recruté 40 stagiaires.

Angela Merkel a également échoué à se mettre d’accord sur un plan concerté avec d’autres dirigeants de l’UE. Mais maintenant, elle attend qu’ils aident à soulager le fardeau de l’Allemagne et accueillent plus de migrants. Jusqu’à présent, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie refusent de jouer à ce jeu et certains autres pays offrent une coopération minimale. La Lettonie – où la population a baissé de 15 400 personnes rien qu’en 2014 – en a accepté 47 et la Lituanie, 26.

Les migrants envahissent l'Union Européenne.
Les migrants envahissent l’Union Européenne.

Ce qui est valable pour la cane…

La racine du malaise est simple. L’establishment allemand favorise largement l’immigration à grande échelle, même si, d’après les sondages, les deux tiers des citoyens ne sont actuellement pas d’accord avec le slogan «Bienvenue aux réfugiés» . Cependant, les gouvernements de nombreux autres pays de l’UE ne soutiennent pas cet afflux, notamment en raison du fait que la plupart de ces nouveaux arrivants ne sont pas issus de la tradition chrétienne. Alors que les médias libéraux et eurocrates eux-mêmes semblent être scandalisés par cette position, c’est un point de vue qui était plus ou moins général dans toute l’Europe jusqu’à très récemment.

Par exemple, les eurocrates peuvent détester le Premier ministre hongrois Viktor Orban, mais faire cela signifie ne pas tenir compte de son électorat. Viktor Orban n’est pas un dictateur et sa position reflète très probablement le point de vue des Hongrois qui l’ont élu. Ainsi, s’il se prosternait devant les exigences de Bruxelles, de telles actions seraient antidémocratiques au niveau national.

Le 8 décembre 1991:la mort de l'URSS est fêtée par ses citoyens.
Le 8 décembre 1991:la mort de l’URSS est fêtée par ses citoyens.

Là est tout le problème. Les libéraux perçoivent l’UE comme un véhicule pour la promotion de la démocratie, mais reculent quand les politiciens élus de façon honnête poursuivent des politiques qui ne sont pas à leur goût. Nous l’avons vu en Ukraine en 2013, lorsque l’ancien président Viktor Ianoukovitch a rejeté un accord d’association avec l’UE qui consituait une très mauvaise opération financière pour son pays. Plutôt que de respecter son mandat, les eurocrates ont activement soutenu son éviction par un coup violent.

Parallèlement aux avertissements terribles lancés sur l’avenir de l’UE, le discours de Jean-Claude Juncker contenait des références à une contribution incontestable de l’alliance pour la paix et pour le travail des agriculteurs, ainsi que l’intervention de Bruxelles pour réduire les frais d’itinérance de la téléphonie mobile.

Quant à l’accord sur les migrants passé avec Ankara, qui était censé permettre aux Turcs de voyager sans visa dans l’espace Schengen dès cet automne, il n’en a pas fait mention. Le président de la Commission a également évité de s’exprimer sur les mauvaises relations avec la Russie ou sur la guerre en Ukraine, un sujet qui frémit encore.

En janvier 2004, l’UE comptait 15 membres, uniformément occidentaux, principalement progressistes et relativement riches. Une décennie plus tard, elle se vantait d’en avoir 28 et la plupart des nouveaux arrivants étaient d’anciens pays de l’Est, qui sont relativement pauvres et socialement plus conservateurs que le reste de l’Union.

C’est le problème. L’UE a grandi trop vite et récolte maintenant la tempête car ses structures ne s’en sortent pas. Les dirigeants du bloc auraient dû écouter Mikhaïl Gorbatchev. Après tout, personne ne sait mieux que lui ce qui se passe lorsqu’une grande union perd l’adhésion de ses citoyens.

La poignée de main qui sonna le glas de l'Union Soviétique...entre Gorbatchev et Boris Elsine.
La poignée de main qui sonna le glas de l’Union Soviétique…entre Gorbatchev et Boris Elsine.

 

L,expansion de l'OTAN a suivi les révolutions colorées en Europe,planifiées par la CIA. L'UE est une basse-cours  américaine,maintenant.
L’expansion de l’OTAN a suivi les révolutions colorées en Europe,planifiées par la CIA.
L’UE est une basse-cours américaine,maintenant.

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:L’Europe s’engage dans la criminilisation des semences anciennes

On connaît les ennuis que rencontrent les entreprises et associations qui proposent à la vente des semences anciennes. La récente confirmation, par la Cour européenne de justice, de l’enregistrement obligatoire de toutes les semences au catalogie officiel (qui met l’association Kokopelli dans une situation très délicate) n’en est que la énième preuve.

Semences anciennes

Mais cela ne suffit pas aux cols blancs qui dirigent l’Union Européenne. Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne (qui n’a été élue par personne, rappelons-le), vise maintenant à rendre illégal le fait de « cultiver, reproduire ou faire commerce » de toute semence de légumes n’ayant pas été « testées, approuvées et acceptées » par la nouvelle paperasserie européenne qui a pour nom « Agence pour l’UE sur la diversité des plantes ».
On l’appelle la « loi sur les matériaux de reproduction des plantes » et son but est de rendre virtuellement responsable le gouvernement de toutes les plantes et semences.
Les jardiniers amateurs qui cultivent leurs propres plantes à partir de semences non-répertoriées seraient considérés comme des criminels en vertu de cette loi.

Ben Gabel, directeur du Catalogue des semences naturelles qui cultive des légumes anciens écrit :
« Cette loi stoppera immédiatement le développement professionnel des variétés de légumes pour les jardiniers amateurs, les producteurs bio, et les petits maraîchers …. Les jardiniers amateurs ont des besoins réellement différents – par exemple ils jardinent manuellement, n’ont pas de machines et ne peuvent ou ne veulent utiliser des pulvérisations chimiques. Il n’y a pas de moyen pour enregistrer les variétés qui conviennent à un usage domestique car elles ne répondent pas à des critères stricts de l’Agence pour la diversité des plantes, qui ne s’occupe que d’approuver le genre de semence utilisé par les agriculteurs industriels. »
Virtuellement toutes les plantes, légumes, graines et jardiniers seront finalement enregistrés par le gouvernement.
En vertu du paragraphe IV de la loi proposée par l’UE sur l’enregistrement des variétés dans des registres nationaux et de l’Union :
Les variétés, dans le but de les rendre disponibles sur le marché à travers l’Union, seront incluses dans un registre national ou dans un registre de l’Union via une procédure d’application directe par le CPVO (Community Plant Variety Office, Bureau de la communauté pour la diversité des plantes).
Les jardiniers doivent aussi payer une redevance à la bureaucratie de l’UE pour l’enregistrement de leurs semences.
D’après le texte de loi proposé, les autorités compétentes et le CPVO prélèveraient une redevance pour le traitement des demandes, l’examen formel et technique comprenant des audits, la dénomination des variétés et la maintenance des variétés pour chaque année pendant la durée de l’enregistrement.
Bien que cette loi ne soit censée viser au début que les jardiniers professionnels, elle constitue un précédent pour poursuivre tôt ou tard les jardiniers amateurs et exiger qu’ils respectent ces mêmes stupides règlements.

Une bureaucratie qui devient folle
Ben Gabel dit « Tout ce que fait cette nouvelle loi est de créer une tonne de fonctionnaires civils dans l’UE payés à déplacer des montagnes de papiers toute la journée, tout en supprimant un approvisionnement en semences aux jardiniers amateurs et en interférant avec les droits des agriculteurs de cultiver ce qu’ils souhaitent. Il est aussi très ennuyeux qu’ils se soient arrogés le pouvoir de réglementer et donner une autorisation dans l’avenir pour toutes les espèces de plantes – pas juste les plantes agricoles, mais les herbes, les tourbes, les fleurs, la totalité – sans avoir à le rapporter au Conseil pour être voté. »
Comme on peut le soupçonner, cette idée est la « solution finale » de Monsanto, DuPont et autres corporations de semenciers qui ont depuis longtemps admis que leur but est de dominer complètement toutes les semences et cultures de la planète. En criminalisant la culture privée de légumes – transformant ainsi les jardiniers en criminels – les bureaucrates de l’UE peuvent enfin céder le total contrôle de l’approvisionnement alimentaire à de puissantes corporations comme Monsanto.
La plupart des semences de variétés anciennes deviendront criminelles
Cela veut dire que le fait de sauvegarder des graines d’une génération pour les ressemer l’année suivante – base d’un mode de vie durable – deviendra un acte criminel. De plus, comme l’explique Gabel, cette loi « tuera efficacement l’utilisation des graines pour les jardins privés de l’UE ».
C’est le souhait ultime de tous les gouvernements, bien sûr : criminaliser toute action en vue d’une autonomie et rendre la population complètement dépendante des monopoles des corporations pour sa survie. C’est vrai aussi bien aux USA que dans l’UE. Voilà ce que font les gouvernements : ils prennent le contrôle, un secteur à la fois, année après année, jusqu’à ce que vous finissiez par vivre en esclave sous un régime dictatorial mondial.
L’Arche de Noé et 240 autres organisations de 40 pays européens ont aussi lancé une pétition pour appeler les bureaucrates de Bruxelles à stopper cette folie. Vous pouvez vous y associer en cliquant sur ce lien
Mike Adams conclut : « Les graines sont sur le point de devenir un produit de contrebande. Quiconque cultive sa propre nourriture est sur le point d’être ciblé comme criminel. Les gouvernements du monde, conspirant avec des corporations comme Monsanto, ne veulent pas qu’un individu soit capable de faire pousser sa propre nourriture. » 

 

Arche Noah

 

Globe du Nordkaap

Globe du Nordkaap
Globe du Nordkaap

Et pendant ce temps-là :

« Un éternuement de Sǿren tira Solveig de ses pensées. Elle se baissa pour prendre son fils dans ses bras. Un coup d’œil complice à Sven, qui était en train de l’observer et qui, lui, portait Sofie, suffit à leur faire savoir qu’ils n’allaient pas tarder à se mettre à l’abri dans le proche complexe hôtelier à demi enterré. Surfant la falaise qui surplombait l’océan Arctique de ses trois cents mètres de hauteur et sur laquelle ils se tenaient, le vent polaire de printemps s’immisçait entre les couches de vêtements et risquait de compromettre leurs vacances en les rendant tous les sept malades s’ils tardaient trop. Solveig regarda brièvement autour d’elle les touristes qui se serraient les uns contre les autres, chacun portant ces lunettes bizarres « spécial éclipse ». Ils formaient un groupe compact autour de l’imposant globe terrestre stylisé qui signalait le point nordique extrême des terres continentales européennes.
 
Pour l’occasion, le squelette métallique de six mètres de haut irradiait une lumière bleu violacé, et, devant eux, c’était la mer à perte de vue… En la contemplant, Solveig ne put s’empêcher de penser au Global Seed Vault, ce monumental coffre-fort mondial qui conserve depuis peu des échantillons de toutes les semences et graines répertoriés sur la Terre. Creusée à cent-vingt mètres de profondeur dans le permafrost et protégée par des murs en béton armé d’un mètre d’épaisseur sous la montagne de l’île Spitzberg, cette « chambre forte de l’Apocalypse » – comme l’appellent ses détracteurs qui se demandent bien ce que nous réserve l’avenir -, se trouvait être juste en face d’eux, à huit cents kilomètres au nord dans l’archipel arctique du Svalbard, l’un des endroits les plus isolés du globe.

Sous couvert de « capitalisme philanthropique », les fondations Bill Gates, Ford et Rockefeller, ainsi que les compagnies Monsanto, Syngenta et Dupont de Nemours qui contrôlent déjà à elles seules la moitié du marché mondial de graines naturelles et transgéniques, avaient investi des dizaines de millions de dollars avec l’aval du gouvernement de la Norvège afin de regrouper en un seul lieu la totalité du patrimoine génétique de l’agriculture de la planète. Solveig avait le vertige lorsqu’elle considérait les potentialités de ce fabuleux trésor de plus de trois millions d’espèces différentes de graines, qui se trouvait dorénavant à portée de main des plus grands financiers et chimistes du monde. Y avait-il un but caché dans la construction de cette Arche de Noé végétale encerclée par une demi-douzaine d’antennes satellites géantes ?  »
à suivre…
Seconde 9 – La Norvège – L’ADN

 

La Chambre forte de l'Apocalypse
La Chambre forte de l’Apocalypse

 

Sources:Yan Yoro