En mémoire de Hans Westmar: un héros national-socialiste

En tant que jeune étudiant, Horst Ludwig Wessel a rejoint le NSDAP parce qu’il s’est rendu compte que la seule voie possible pour le salut de l’Allemagne est la voie montrée par Adolf Hitler.

Hans Wesmar

Il a travaillé dur pour diffuser les idées nationales-socialistes dans les quartiers communistes de Berlin, aidé par ses fidèles soldats de la SA Sturm 5. Grâce à lui, de nombreux communistes se sont réveillés et ont même rejoint le NSDAP.

Les dirigeants du KPD (le parti communiste allemand) ont décidé de le tuer afin d’arrêter la progression du NSDAP à Berlin. Il est mort de la main d’un criminel   rouge, mais sa mort a fait de lui l’un des plus grands symboles du national-socialisme, sa chanson “Die Fahne hoch!” devenu l’hymne du NSDAP et un hymne d’État après “Deutschland über alles”. Il a été choisi  le 30 janvier 1933 !

Hans Westmar (titre complet : Hans Westmar. Einer von vielen. Ein deutsches Schicksal aus dem Jahre 1929 “Hans Westmar. L’un des nombreux. Un destin allemand de l’année 1929”) était le dernier d’une trilogie officieuse de films commandée par les national – socialistes  allemands peu après leur arrivée au pouvoir en janvier 1933, célébraient leur Kampfzeit – une période de leur histoire dans l’opposition,ou ils ont lutté pour accéder au pouvoir. Le film dépeint la vie du célèbre martyr et héros de la Nouvelle-Allemagne, Horst Wessel. À l’origine, le film, basé sur la biographie romanesque de Hanns Heinz Ewers, s’appelait Horst Wessel.

Voici le film que j’ai retrouvé:

 

Voici “Die Fahne hoch!”,un hymne à la grandeur de la nation allemande:

 

Voici une représentation moderne d’un  jeune groupe polonais:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le héro servit bien la propagande politique de l’époqueè

 


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C’était hier:Le 6 octobre 1939,le Führer Adolph Hitler prononçait ce discours historique devant le Reichstag

C’était le 6 octobre 1939

 

 

 

 

 

 

 

Voici un discours historique traduit récemment prononcé le 6 octobre 1939 par le Führer Adolph Hitler:

Délégués ! Hommes du Reichstag allemand ! À un moment fatidique, vous, mes délégués, vous êtes réunis ici en tant que représentants du peuple allemand le 1er septembre de cette année.

À l’époque, je devais vous informer des décisions difficiles qui nous avaient été imposées par l’attitude intransigeante et provocatrice d’un État. Depuis, cinq semaines se sont maintenant écoulées. Si je vous faisais à nouveau convoquer ici, alors c’est pour pouvoir vous rendre compte du passé et vous donner l’aperçu nécessaire du présent et, dans la mesure du possible, de l’avenir.

Pendant deux jours, nos villes, marchés et villages ont été décorés des drapeaux et symboles du nouveau Reich. Au milieu du carillon de cloche, le peuple allemand célèbre une grande victoire, par sa nature historiquement unique. Un état d’encore 36 millions d’habitants, une armée d’environ 50 divisions d’infanterie et de cavalerie, s’étaient rassemblés contre nous. Leurs intentions étaient vastes, la confiance dans l’anéantissement de notre Reich allemand était considérée comme une évidence.

Huit jours après le déclenchement de cette lutte, cependant, les dés de la guerre étaient tombés. Partout où les troupes polonaises sont entrées en collision avec des formations allemandes, elles ont été rejetées ou écrasées. La structure audacieuse de l’offensive stratégique de la Pologne s’est effondrée dès les premières 48 heures de cette campagne. La mort défiant à l’attaque et avec des performances de marche incomparables, nos divisions allemandes, l’air et le panzer arm ainsi que les unités de la marine, arrachèrent la loi de l’initiative ; elle ne pouvait plus leur être arrachée à aucun moment.

Après 14 jours, la plus grande partie de l’armée polonaise a été soit dispersée, capturée ou encerclée. Les armées allemandes, cependant, avaient au cours de cette période parcouru des distances et occupé des espaces pour surmonter plus de 14 mois il y a 25 ans. Même si un certain nombre de stratèges de journaux particulièrement inventifs de l’autre monde ont néanmoins cherché à dépeindre le rythme de cette campagne comme décevant pour l’Allemagne, nous savons tous, après tout, qu’il n’y a pratiquement jamais eu de plus grand accomplissement de soldat dans l’histoire militaire. . Que les derniers restes des armées polonaises aient réussi à tenir à Varsovie, à Modi et à Hela jusqu’au 1er octobre, ce n’était pas le résultat de leur capacité, c’est plutôt dû à notre sang-froid et à notre conscience des responsabilités. J’ai interdit de sacrifier plus de personnes qu’il n’était inconditionnellement nécessaire, cela signifie que j’ai intentionnellement libéré la direction militaire allemande de l’opinion qui prévalait encore pendant la guerre mondiale selon laquelle, pour des raisons de prestige, elle devait résoudre certaines tâches en toutes circonstances et dans une période déterminée. Ce qui est inconditionnellement nécessaire de faire, arrive sans égard au sacrifice. Mais ce qui peut être évité, c’est perdu. Cela ne nous aurait posé aucun problème de briser la résistance de Varsovie du 10 au 12 comme nous l’avons brisée du 25 au 27 septembre. Je voulais juste, premièrement, épargner des vies allemandes et, deuxièmement, m’abandonner à l’espoir – même trompeur – que du côté polonais, pour au moins une fois, la raison consciente de la responsabilité au lieu de la folie irresponsable puisse triompher. J’ai volontairement libéré la direction militaire allemande de l’opinion qui prévalait encore pendant la guerre mondiale selon laquelle, pour des raisons de prestige, elle devait résoudre certaines tâches en toutes circonstances et dans un délai déterminé. Ce qui est inconditionnellement nécessaire de faire, arrive sans égard au sacrifice. Mais ce qui peut être évité, c’est perdu. Cela ne nous aurait posé aucun problème de briser la résistance de Varsovie du 10 au 12 comme nous l’avons brisée du 25 au 27 septembre. Je voulais juste, premièrement, épargner des vies allemandes et, deuxièmement, m’abandonner à l’espoir – même trompeur – que du côté polonais, pour au moins une fois, la raison consciente de la responsabilité au lieu de la folie irresponsable puisse triompher. J’ai volontairement libéré la direction militaire allemande de l’opinion qui prévalait encore pendant la guerre mondiale selon laquelle, pour des raisons de prestige, elle devait résoudre certaines tâches en toutes circonstances et dans un délai déterminé. Ce qui est inconditionnellement nécessaire de faire, arrive sans égard au sacrifice. Mais ce qui peut être évité, c’est perdu. Cela ne nous aurait posé aucun problème de briser la résistance de Varsovie du 10 au 12 comme nous l’avons brisée du 25 au 27 septembre. Je voulais juste, premièrement, épargner des vies allemandes et, deuxièmement, m’abandonner à l’espoir – même trompeur – que du côté polonais, pour au moins une fois, la raison consciente de la responsabilité au lieu de la folie irresponsable puisse triompher.

Mais ici, dans un cadre plus petit, c’est précisément la même pièce de théâtre qui s’est répétée, que nous devions auparavant expérimenter à plus grande échelle. La tentative de convaincre la direction militaire polonaise responsable, dans la mesure où une telle chose existait, de l’absurdité, oui, de la folie d’une résistance précisément dans une ville d’un million d’habitants, a échoué. Un généralissime, qui prit lui-même la fuite d’une manière peu glorieuse, imposa à la capitale de son pays une résistance qui, au mieux, devait conduire à sa destruction. Sachant que la fortification de la forteresse de Varsovie ne pouvait à elle seule résister à l’attaque allemande, on transforma la ville en tant que telle en forteresse, la traversa de barricades, érigea des positions de batteries sur toutes les places, dans les rues et les cours,

Simplement par pitié pour les femmes et les enfants, j’ai alors proposé aux dirigeants de Varsovie de laisser au moins la population civile évacuer. J’ai laissé opérer un armistice, assuré les voies d’évacuation nécessaires, et nous avons tous attendu aussi vainement un émissaire qu’à la fin août un négociateur polonais. Le fier commandant polonais de la ville ne nous a même pas honoré d’une réponse. Je fis en tout cas allonger les délais, ordonnai aux bombardiers et à l’artillerie lourde de n’attaquer que des objets clairement militaires, et réitérai mes exigences : cela resta de nouveau en vain. J’ai alors proposé de ne pas bombarder du tout tout le quartier de la ville de Praga, mais plutôt de le réserver à la population civile afin de lui donner la possibilité de s’y replier. Même cette proposition a été punie par le mépris polonais. Je m’efforçai une seconde fois d’enlever alors au moins les colonies étrangères de la ville. Cela a finalement réussi avec beaucoup de difficultés, avec le Russe seulement à la dernière minute.

J’ai maintenant ordonné pour le 25 septembre le début de l’attaque. Cette même défense, qui a d’abord trouvé indigne de sa dignité d’entrer ne serait-ce que dans les propositions humanitaires, a cependant changé d’orientation extrêmement vite. Le 25, l’attaque allemande commence et le 27, elle capitule ! Il n’a pas osé avec 120 000 hommes, comme autrefois notre général allemand Litzmann avec des forces bien inférieures à Brzeciny, faire une sortie audacieuse, il a plutôt préféré maintenant déposer les armes.

Il ne faut donc pas faire ici de comparaison avec Alkazar. Les héros espagnols là-bas ont héroïquement défié les attaques les plus lourdes pendant des semaines et se sont ainsi vraiment immortalisés à juste titre. Mais ici, on soumet une grande ville à la destruction sans scrupules puis, au bout de 48 heures, on capitule. Le soldat polonais s’est battu individuellement avec bravoure à de nombreux endroits. Son leadership, cependant, en commençant par le sommet, ne peut être qualifié que d’irresponsable, sans scrupules et incapable.

Devant Hela également, j’avais ordonné de ne sacrifier aucun homme avant la préparation la plus minutieuse. Là aussi, la capitulation intervient au moment où l’attaque allemande est enfin annoncée et prend son envol.

Je fais ces déclarations, délégués, afin d’anticiper la formation historique des légendes. Car si une légende peut se former autour de n’importe qui dans cette campagne, alors seulement autour du mousquetaire allemand, qui, attaquant et marchant, a ajouté une nouvelle page à son histoire immorale et glorieuse. Il peut se former autour des armes lourdes qui se sont précipitées au secours de cette infanterie au milieu d’efforts indicibles. Les hommes noirs de notre branche blindée sont dignes de cette légende, qui, avec une détermination audacieuse, sans égard pour les forces supérieures et la résistance, maintes et maintes fois porté l’attaque en avant, et, enfin, la légende peut glorifier ces pilotes défiant la mort qui , sachant que tout être abattu qui les a tués dans les airs devait signifier leur terrible massacre sur terre après leur parachutage, observé avec une persévérance inébranlable et attaqué avec des bombes et des mitrailleuses partout où l’attaque était ordonnée ou une cible se présentait. Il en va de même pour les héros de notre branche U-boot.

Si un état de 36 millions d’habitants et cette force militaire sont totalement détruits en quatre semaines, et si dans cette période aucun revers n’est venu pour le vainqueur, alors on peut y voir non pas la grâce d’une chance spéciale, mais plutôt la preuve de la formation la plus élevée, du meilleur leadership et de la bravoure la plus provocante.

Les soldats allemands ont à nouveau fermement mis sur leur tête les lauriers qui leur avaient été traîtreusement volés en 1918. Nous nous tenons tous avec une profonde gratitude devant les nombreux hommes vaillants inconnus et sans nom de notre peuple. Ils se sont maintenant rassemblés pour la première fois de toutes les provinces de la Grande Allemagne ; le sang répandu, cependant, les liera les uns aux autres encore plus fortement que n’importe quelle construction légale de l’État.

La conscience de cette force de notre Wehrmacht nous remplit tous d’un calme confiant, car elle a prouvé sa force non seulement à l’attaque, mais aussi dans la tenue de l’acquis. La formation exemplaire de l’officier individuel et du soldat a fait ses preuves à l’extrême. C’est à cela qu’il faut attribuer ce nombre de pertes beaucoup plus faible, qui, même s’il est individuellement douloureux, n’en restent pas moins globalement bien en deçà de ce que l’on croyait devoir espérer. Cependant, la somme totale de ces pertes ne fournit aucune image de la gravité des batailles individuelles ; car il y avait des régiments et des divisions qui, attaqués par une force suprême de formations polonaises ou eux-mêmes à l’attaque se heurtant à elles, devaient faire de très lourds sacrifices de sang.

Je crois ne pouvoir vous citer que deux épisodes de la grande série des batailles et combats qui se succèdent si rapidement comme exemple pour beaucoup. Lorsque, pour couvrir l’armée du général von Reichenau avançant vers la Vistule, sur son flanc gauche, les divisions de l’armée du général Blaskowitz avançaient contre Varsovie avec pour mission de repousser l’attaque de l’armée centrale polonaise contre le flanc du général von L’armée de Reichenau, se produisit soudain, au moment où l’on présumait que les armées polonaises étaient généralement déjà en retraite vers la Vistule, leur poussée dans l’armée en marche du général Blaskowitz. C’était une tentative désespérée des Polonais pour faire éclater l’anneau qui les entourait. Quatre divisions polonaises et quelques formations de cavalerie se jetèrent sur une seule division active allemande, qui, elle-même étalée, devait parcourir une ligne de près de 30 kilomètres. Malgré la supériorité ennemie quintuple et sextuple et malgré l’épuisement de ses propres troupes, combattant et marchant pendant des jours, cette division a paré l’attaque et l’a en partie rejetée dans le corps à corps le plus sanglant et ne s’est pas pliée ni abandonnée. jusqu’à ce que les renforts nécessaires puissent être apportés. Et tandis que la radio ennemie répandait déjà triomphalement la nouvelle de la percée à Lodz, le général de division, le bras levé en attelle, me rapporta le déroulement de l’attaque, l’empêchement de la percée, la conduite vaillante de ses soldats. Ici, les pertes étaient certes importantes. cette division a paré l’attaque et l’a en partie rejetée dans le corps à corps le plus sanglant et n’a pas plié ni abandonné jusqu’à ce que les renforts nécessaires puissent être amenés. Et tandis que la radio ennemie répandait déjà triomphalement la nouvelle de la percée à Lodz, le général de division, le bras levé en attelle, me rapporta le déroulement de l’attaque, l’empêchement de la percée, la conduite vaillante de ses soldats. Ici, les pertes étaient certes importantes. cette division a paré l’attaque et l’a en partie rejetée dans le corps à corps le plus sanglant et n’a pas plié ni abandonné jusqu’à ce que les renforts nécessaires puissent être amenés. Et tandis que la radio ennemie répandait déjà triomphalement la nouvelle de la percée à Lodz, le général de division, le bras levé en attelle, me rapporta le déroulement de l’attaque, l’empêchement de la percée, la conduite vaillante de ses soldats. Ici, les pertes étaient certes importantes.

Une division de milice allemande, avec d’autres petites formations, avait pour mission de pousser les Polonais dans le couloir nord, de prendre Gdingen et d’avancer en direction de la péninsule de Hela. Cette division de milice était opposée par des formations d’élite polonaises, des troupes navales, des écoles d’enseignes et de sous-officiers, de l’artillerie navale et de la cavalerie. Avec une certitude tranquille, cette division de milice allemande est allée à la solution de sa mission, qui a pour ennemi un adversaire numériquement aussi bien supérieur. En quelques jours, cependant, le pôle a été rejeté de position en position, 12 600 prisonniers ont été faits, Gdingen libéré, Oxhoeft a pris d’assaut et 4 700 autres hommes ont été repoussés et isolés sur la péninsule de Hela. Lorsque les prisonniers s’éloignèrent, une image émouvante se présenta : les vainqueurs, pour la plupart des hommes plus âgés,

 

Puisque je vais maintenant vous annoncer le nombre de nos morts et blessés, je vous demande de vous lever.

Même si ce nombre, grâce à l’entraînement de nos troupes, grâce à l’effet de nos armes et au leadership de nos formations, constitue à peine le vingtième de ce que nous croyions avoir à craindre au début de cette campagne, nous ne Je veux oublier que chaque individu qui a donné sa vie ici a fait pour son peuple et notre Reich le plus grand sacrifice qu’un homme puisse faire pour son peuple.

Selon les chiffres du 30 septembre 1939, qui ne connaîtront plus de changements significatifs, dans l’armée, la marine et la Luftwaffe, officiers compris, il y a eu 10 572 hommes tués, 30 322 blessés et 3 404 disparus. Parmi ces disparus, une partie tombée aux mains des Polonais doit malheureusement également être considérée comme massacrée et tuée. A ces victimes de la campagne polonaise appartient notre gratitude, aux blessés nos soins, aux membres de la famille sont notre empathie et notre aide.

Avec la chute de la forteresse de Varsovie, Modlin et la reddition de Hela, la campagne de Pologne est terminée. La sécurisation des terres contre les maraudeurs errants, les bandes de voleurs et les terroristes individuels est menée avec détermination. Le résultat du conflit est l’anéantissement de toutes les armées polonaises. La dissolution de cet État en fut la conséquence. 694,00 prisonniers ont commencé la « marche vers Berlin » jusqu’à présent. Le butin en matériel est encore totalement incalculable.

Depuis le début de la guerre, la Wehrmacht allemande se tient simultanément à l’ouest dans une préparation calme et attend l’ennemi. La marine du Reich a rempli son devoir dans les combats pour la Westerplatte, Gdingen, Oxhoeft et Hela, dans la sécurisation de la mer Baltique et de la baie de Helgoland, notre branche U-boot, cependant, combat digne des anciens héros inoubliables.

Face à cet effondrement historiquement unique d’une soi-disant structure étatique, se pose pour chacun la question de la cause d’un tel processus. Le berceau de l’État polonais se trouvait à Versailles. De sacrifices sanglants incommensurables – non seulement des Polonais, mais aussi des Allemands et des Russes – est née cette structure. Ce qui avait déjà prouvé pendant des siècles son incapacité à vivre, n’a été conçu artificiellement qu’en 1916 par une direction de l’État allemande également incapable de vivre et étrangère à la réalité et en 1920 est né non moins artificiellement. Au mépris de près d’un demi-millénaire d’expérience, au mépris d’un développement historique de plusieurs siècles, au mépris des conditions ethnographiques et au mépris de toutes les pratiques économiques, un État s’est construit à Versailles, qui, selon toute sa nature, devait tôt ou tard devenir la cause des pires crises. Un homme, qui est malheureusement encore aujourd’hui l’un de nos adversaires les plus farouches, l’avait clairement prévu à l’époque, Lloyd George, et comme beaucoup d’autres, lui aussi a mis en garde non seulement lors de l’émergence de cette structure, mais aussi à l’époque de la expansion ultérieure, qui fut entreprise contre toute raison et contre tout droit. À l’époque, il s’inquiétait du fait que dans cet État, toute une série de matériaux de conflit ont été créés, qui pourraient tôt ou tard fournir les raisons de graves conflits européens. trop averti non seulement lors de l’émergence de cette structure, mais aussi lors de l’expansion ultérieure, qui a été entreprise contre toute raison et contre tout droit. À l’époque, il s’inquiétait du fait que dans cet État, toute une série de matériaux de conflit ont été créés, qui pourraient tôt ou tard fournir les raisons de graves conflits européens. trop averti non seulement lors de l’émergence de cette structure, mais aussi lors de l’expansion ultérieure, qui a été entreprise contre toute raison et contre tout droit. À l’époque, il s’inquiétait du fait que dans cet État, toute une série de matériaux de conflit ont été créés, qui pourraient tôt ou tard fournir les raisons de graves conflits européens.

Le fait est que ce nouveau soi-disant État ne pouvait pas être clarifié jusqu’à nos jours dans la structure de ses nationalités. Il faut connaître les méthodes de recensement polonaises pour savoir à quel point les statistiques sur la composition ethnique de cette région étaient et sont totalement étrangères à la réalité et donc dénuées de sens. En 1919, des régions ont été revendiquées par les Polonais dans lesquelles ils prétendaient détenir une majorité de 95%, par exemple, en Prusse orientale, tandis que les plébiscites qui ont eu lieu plus tard ont donné 2% pour la Pologne. Dans l’État alors finalement créé aux dépens de l’ancienne Russie, de l’Autriche et de l’Allemagne, les non-polonais ont été traités et réprimés, tyrannisés et torturés de manière si barbare que tout vote dépendait désormais de la faveur des Woiwoden respectifs et donnait donc le résultat souhaité. ou exigé un résultat falsifié. Juste que l’élément sans doute polonais lui-même n’a guère été mieux traité. Si cette structure était encore considérée comme une démocratie par les hommes d’État de notre hémisphère occidental, alors c’était une parodie des fondements de leurs propres systèmes. Car dans ce pays régnait une minorité de grands propriétaires aristocratiques ou non aristocratiques et de riches intellectuels, pour lesquels leur propre peuple polonais représentait, dans le cas le plus favorable, une masse de force de travail. Derrière ce régime, il n’y a donc jamais eu plus de 15 % de la population totale. A cela correspond l’état d’urgence économique et le nadir culturel. Dans le 1919, cet état a succédé à la Prusse et aussi à l’Autriche des provinces laborieusement développées à travers des siècles de travail, oui, en partie carrément épanouies. Aujourd’hui, 20 ans plus tard, elles sont sur le point de redevenir steppiques. La Vistule, le fleuve dont l’embouchure maritime a toujours été d’une si grande importance pour le gouvernement polonais, est déjà aujourd’hui, faute d’entretien, impropre à tout commerce réel et selon la saison soit un fleuve sauvage, soit un ruisseau asséché. Les villes et les villages sont devenus désolés, les rues, à de très rares exceptions près, se sont délabrées et délabrées. Quiconque regarde cette terre pour la première fois pendant deux ou trois semaines se fait d’abord une idée du sens de l’expression : « économie polonaise ! »

Malgré les conditions insupportables de cette terre, l’Allemagne a essayé d’établir une relation supportable avec elle. J’ai moi-même essayé dans les années 1933 et 1934 de trouver une sorte d’arrangement juste et raisonnable entre nos intérêts nationaux et le souhait de préserver la paix avec cette terre. Il fut un temps, où vivait encore le maréchal Pilsudski, où il semblait réussir, de pouvoir réaliser cet espoir – même si à un degré modeste. Une patience sans précédent et encore plus de maîtrise de soi allaient avec cela. Parce que pour de nombreux Woiwoden polonais, l’accord gouvernemental entre l’Allemagne et la Pologne semblait n’être qu’une licence pour la seule persécution et l’anéantissement de la domination allemande désormais vraiment sûres. Dans les quelques années qui ont précédé 1922, plus d’un million et demi d’Allemands ont dû quitter leur ancienne patrie. Ils ont été chassés, souvent même sans pouvoir emporter les vêtements les plus essentiels. Lorsque, en 1918, la région d’Olsa tomba aux mains de la Pologne, ils procédèrent avec les mêmes méthodes contre les Tchèques qui y vivaient. Plusieurs milliers d’entre eux, souvent en quelques heures, ont dû quitter leurs lieux de travail, leurs résidences, leurs appartements, leurs villages, à peine autorisés à apporter ne serait-ce qu’une valise ou une boîte avec des vêtements. C’est ainsi que les choses se sont passées dans cet État pendant des années, et pendant des années nous avons regardé, en s’efforçant toujours de pouvoir peut-être, par une restriction de nos conditions politiques d’État, parvenir à une amélioration du sort des malheureux Allemands qui y vivent. Seulement, on ne pouvait pas surveiller que chaque tentative allemande d’éliminer les mauvaises conditions le long de cette voie était interprétée par les dirigeants polonais comme une faiblesse,

Etant donné que le gouvernement polonais s’employait maintenant à soumettre progressivement Dantzig aussi par mille voies, j’ai essayé d’obtenir une solution par des propositions appropriées, qui pourraient, sur le plan national et politique, intégrer Dantzig à l’Allemagne selon la volonté de sa population sans nuire aux exigences économiques de la Pologne et ainsi -appelés droits. Si quelqu’un prétend aujourd’hui qu’il s’agissait ici d’exigences d’ultimatum, alors c’est un mensonge. Car les propositions de solution transmises au gouvernement polonais en mars 1939 n’étaient rien d’autre que les suggestions et les idées déjà discutées longtemps à l’avance par moi personnellement avec le ministre des Affaires étrangères Beck. Seulement que je croyais, au printemps 1939,

Si le gouvernement polonais de l’époque refusait maintenant d’accepter une discussion sur ces propositions, il y avait alors deux raisons à cela.

Premièrement : les forces motrices chauvines rebelles qui l’ont soutenu ne pensaient pas du tout à résoudre le problème de Dantzig, bien au contraire, elles vivaient déjà dans l’espoir, présenté plus tard dans le texte et le discours, d’acquérir le territoire du Reich bien au-delà de Dantzig, cela signifiait donc pouvoir attaquer et vaincre. Et en effet, ces souhaits ne se sont pas arrêtés à la Prusse orientale, non, dans un flot de publications et dans une série continue d’adresses et de discours, de résolutions etc., au-delà de l’annexion de la Prusse orientale, l’annexion de la Poméranie, de la Silésie, a été exigée. , l’Oder comme frontière minimale, oui, finalement, même l’Elbe désigné comme la ligne de démarcation naturelle entre l’Allemagne et la Pologne.

Ces demandes, peut-être aujourd’hui perçues comme folles, mais présentées à l’époque avec un sérieux fanatique, étaient motivées d’une manière carrément ridicule par la revendication d’une « mission civilisatrice polonaise » et présentées comme justifiées, car réalisables, avec la référence à la force de la armée polonaise. Alors que j’envoyais au ministre polonais des Affaires étrangères de l’époque l’invitation à discuter de nos propositions, les revues militaires polonaises écrivaient déjà sur l’inutilité de l’armée allemande, la lâcheté du soldat allemand, l’infériorité des armes allemandes, la supériorité évidente de l’armée polonaise et la certitude, en cas de guerre, de battre les Allemands devant Berlin et de détruire le Reich. Mais l’homme qui voulait « hacher » l’armée allemande devant Berlin, n’était pas n’importe quel petit illettré polonais,

Les blessures et les insultes que l’Allemagne et la Wehrmacht allemande ont dû subir de la part de ces dilettantes militaires n’auraient été tolérées par aucun autre État, cependant, elles ne devaient pas non plus être attendues de la part de tout autre peuple. Aucun français et probablement aussi aucun général anglais ne se serait jamais permis un verdict similaire sur la Wehrmacht allemande et à l’inverse aucun allemand sur les soldats anglais, français ou italiens, comme nous l’avons entendu et lu depuis des années, et depuis mars 1939, encore et encore du côté polonais. Il a fallu beaucoup de sang-froid pour être calme face à cette diffamation fraîche et impertinente malgré la conscience que la Wehrmacht allemande allait en quelques semaines briser tout cet état ridicule avec son armée et le balayer du monde. Juste que ce roulement mental,

La seconde raison, cependant, résidait dans la misérable promesse de garantie que l’on faisait à l’État qui n’était nullement menacée, mais qui, désormais couverte par deux puissances mondiales, s’habituait très vite à la conviction de pouvoir provoquer une grande puissance sans être dérangée. et impuni, oui, peut-être même espéré pouvoir ainsi dégager le préalable à la réalisation de ses propres ambitions folles. Car dès que la Pologne se savait en possession de cette garantie, commença pour les minorités qui y vivaient un véritable régime de terreur. Je n’ai pas la tâche de parler du sort des éléments folkloriques ukrainiens ou russes blancs ; leurs intérêts reposent aujourd’hui sur la Russie. Mais j’ai le devoir de parler du sort de ces centaines de milliers d’Allemands, qui pendant des centaines d’années ont d’abord apporté la culture à cette terre, qu’on a maintenant commencé à chasser, à réprimer et à ravir, mais qui, depuis mars 1939, se sont livrés à un régime de terreur véritablement satanique. Combien d’entre eux ont été traînés, où ils se trouvent, ne peut être déterminé même aujourd’hui. Les villes de centaines d’habitants allemands n’ont plus d’hommes. Ils ont été complètement exterminés. Dans d’autres, on a violé et assassiné les femmes. Filles et garçons, ravagés et tués.

En 1598, l’Anglais Sir George Carew écrivit dans ses rapports diplomatiques au gouvernement britannique que les traits de caractère les plus marquants des Polonais étaient la cruauté et le laxisme moral. Cette cruauté n’a pas changé au cours des siècles passés depuis lors. De même qu’on a d’abord massacré des dizaines et des dizaines de milliers d’Allemands et les a torturés à mort d’une manière sadique, de même, pendant les combats, on a torturé et massacré des soldats allemands capturés. Cet enfant des démocraties d’Europe occidentale n’appartient pas du tout aux nations cultivées. Pendant plus de quatre ans, j’ai participé à la grande guerre de l’ouest. Sur aucun des camps de combat, rien de semblable n’a jamais été fait à l’époque. Mais ce qui s’est joué sur cette terre au cours des derniers mois et s’est produit au cours des quatre dernières semaines, c’est un seul acte d’accusation contre les auteurs responsables d’une soi-disant structure étatique, qui manquait de tout prérequis éthique, historique, culturel et moral. Si même un pour cent de ces atrocités devaient être commises n’importe où dans le monde contre des Anglais, alors j’aimerais voir les philistins indignés qui aujourd’hui, dans une indignation hypocrite, condamnent l’action allemande ou russe.

Non! Donner à cet État et à cette direction de l’État une garantie, telle que celle-ci s’est produite, ne pouvait que conduire au malheur le plus grave. Ni le gouvernement polonais, ni la petite clique qui le porte, ni le peuple polonais en tant que tel n’étaient capables de mesurer la responsabilité que la moitié de l’Europe imposait à une telle obligation en leur faveur.

De cette passion suscitée d’une part, ainsi que du sentiment de sécurité, qui, après tout, la Pologne avait été garantie en toutes circonstances, est né le comportement du gouvernement polonais dans la période comprise entre les mois d’avril et août de cette année. . Cela conditionne aussi la position vis-à-vis de mes propositions de pacification. Le gouvernement a rejeté ces propositions, parce qu’il se sentait couvert ou même poussé par l’opinion publique, et l’opinion publique l’a couvert et l’a entraîné dans cette voie, parce qu’il n’avait pas été mieux enseigné par le gouvernement et, surtout, parce qu’il se sentait suffisamment sécurisé dans chaque acte vers l’extérieur. Il fallait donc en venir à l’augmentation des terribles actes de terreur contre la nationalité allemande, au rejet de toutes les propositions de solution et, enfin, à des violations toujours plus grandes du territoire du Reich lui-même. Étant donné une telle mentalité, cependant, il était probablement aussi compréhensible que l’on considérait alors la patience allemande uniquement comme une faiblesse, cela signifie que chaque concession allemande n’était considérée que comme une preuve de la possibilité d’une action ultérieure. L’avertissement au gouvernement polonais de ne plus embêter Dantzig avec des ultimatums et, surtout, de ne pas étrangler définitivement la ville économiquement, n’a pas conduit à un assouplissement de la situation, bien au contraire, à la coupure technique des transports de la ville. L’avertissement de cesser enfin les fusillades éternelles, les mauvais traitements et la torture des Allemands de souche et de prendre des mesures contre ces actes a conduit à une augmentation de ces actes cruels et à une escalade des proclamations et des discours d’agitation des Woiwoden polonais et des dirigeants militaires. Les propositions allemandes, même à la dernière minute pour parvenir à un accord raisonnable et rationnel, ont été répondues par la mobilisation générale. La demande allemande, correspondant à la suggestion faite par l’Angleterre elle-même d’envoyer un émissaire, n’a pas été suivie et le deuxième jour a répondu par une déclaration carrément ridicule.

Dans ces circonstances, il était clair que, compte tenu de nouvelles attaques contre le territoire du Reich, la patience allemande trouverait maintenant sa fin. Ce que les Polonais avaient interprété à tort comme une faiblesse, c’était en réalité notre conscience de responsabilité et ma volonté, si possible, de parvenir encore à un accord. Mais comme ils croyaient que cette patience et cette indulgence, comme faiblesse, leur permettraient tout, il n’y avait plus qu’à les éclairer sur cette erreur et enfin riposter avec les moyens dont eux-mêmes s’étaient servis pendant des années.

Sous ces coups, cet État s’est maintenant, en quelques semaines, effondré et balayé. L’un des actes les plus insensés de Versailles a ainsi été éliminé.

Si maintenant, dans cette avancée allemande, une communauté d’intérêts avec la Russie s’est formée, cela repose non seulement sur la similitude des problèmes qui touchent les deux États, mais aussi sur la similitude de la prise de conscience qui s’est développée dans les deux États au sujet de la formation de relations les uns avec les autres.

J’ai déjà déclaré dans mon discours de Dantzig que la Russie est organisée selon des principes différents des nôtres. Juste que depuis qu’il a été démontré que Staline ne voyait aucun obstacle dans ces principes russo-soviétiques à l’entretien de relations amicales avec des États ayant des vues différentes, l’Allemagne nationale-socialiste ne voit plus aucune raison de son côté, disons, d’appliquer un critère différent. .

La Russie soviétique est la Russie soviétique ; L’Allemagne nationale-socialiste est l’Allemagne nationale-socialiste. Mais une chose est sûre : au même moment où les deux États respectent réciproquement leurs divers régimes et principes, la raison de toute attitude mutuellement hostile s’évanouit.

Il a été prouvé dans des cadres historiques de longue date que les habitants de ces deux plus grands États d’Europe étaient les plus heureux lorsqu’ils vivaient en amitié les uns avec les autres. La grande guerre que l’Allemagne et la Russie se sont autrefois livrées est devenue le malheur des deux pays. Il est compréhensible que surtout les terres capitalistes de l’ouest aient aujourd’hui intérêt, si possible, à jouer les deux États et leurs principes l’un contre l’autre. À cette fin et à ce degré, ils considéreraient la Russie soviétique comme suffisamment apte à une bonne société pour conclure avec elle des alliances militaires utiles. Mais ils considèrent comme une perfidie, si cette approche honorable est rejetée et, au lieu de cela, une approche surgit entre ces deux puissances qui ont toutes les raisons de rechercher une coopération pacifique mutuelle, dans l’expansion de leurs relations économiques, le bonheur de leur peuple. J’ai déjà déclaré il y a un mois au Reichstag que la conclusion du pacte de non-agression germano-russe signifiait un changement dans l’ensemble de la politique étrangère allemande.

Le nouveau pacte d’amitié et d’intérêt entre l’Allemagne et la Russie soviétique, conclu entre-temps, permettra aux deux États non seulement la paix, mais aussi une heureuse coopération permanente. L’Allemagne et la Russie élimineront ensemble son caractère menaçant de l’un des endroits les plus dangereux d’Europe et contribueront au bien-être des personnes qui y vivent et donc à la paix européenne.

Si aujourd’hui certains milieux, chacun par exigence, veulent bientôt voir la défaite de la Russie ou la défaite de l’Allemagne, alors je souhaite leur donner la réponse suivante : on a pendant de nombreuses années attribué à la politique allemande des objectifs qui pourraient tout au plus provenir de l’imagination d’un haut étudiant. Au moment où l’Allemagne lutte pour la consolidation d’un espace de vie qui n’englobe que quelques 100 000 kilomètres carrés, des journalistes sans vergogne déclarent dans des États qui contrôlent eux-mêmes 40 millions de kilomètres carrés que l’Allemagne, pour sa part, aspire à la domination mondiale. Les accords germano-russes devraient représenter un formidable apaisement pour ces défenseurs inquiets de la paix mondiale, car ils leur montrent, d’une manière vraisemblablement authentique, que toutes ces revendications de la lutte de l’Allemagne pour l’Oural, l’Ukraine, la Roumanie, etc.

Sur une chose, cependant, la décision de l’Allemagne est inaltérable, à savoir : dans l’est de notre Reich aussi, créer des conditions pacifiques, stables et donc tenables. Et précisément ici, les intérêts et les souhaits allemands coïncident avec ceux de la Russie soviétique. Les deux États sont déterminés à ne pas permettre que surgissent entre eux des conditions problématiques qui contiennent en elles-mêmes le germe des troubles intérieurs et donc également des perturbations externes qui pourraient peut-être affecter défavorablement les relations des deux grandes puissances entre elles. L’Allemagne et la Russie ont ainsi tracé une ligne claire des sphères d’intérêts réciproques avec la décision de se soucier chacun pour sa part de la paix et de l’ordre et d’empêcher tout ce qui pourrait porter préjudice à l’autre partenaire.

Les objectifs et les tâches qui résultent de la chute de l’État polonais, en ce qui concerne la sphère d’intérêt allemande, sont à peu près les suivants :

Premièrement, l’établissement d’une frontière du Reich qui rende justice aux faits historiques, ethnographiques et économiques.

Deuxièmement, la pacification de toute la région dans le sens de l’instauration d’une paix et d’un ordre tenables.

Troisièmement, la garantie absolue de la sécurité non seulement du territoire du Reich, mais de toute la zone d’intérêt.

Quatrièmement, le nouvel ordre, la nouvelle construction de la vie économique, du commerce et donc aussi du développement culturel et civilisateur.

Cinquièmement, comme la tâche la plus importante, cependant : un nouvel ordre des conditions ethnographiques, cela signifie une réinstallation des nationalités de sorte qu’à la fin du développement, il en résulte de meilleures lignes de séparation que ce n’est le cas aujourd’hui.

En ce sens, cependant, il ne s’agit pas seulement d’un problème limité à ce domaine, mais plutôt d’une tâche qui s’étend beaucoup plus loin. Car tout l’est et le sud-est de l’Europe sont en partie remplis d’éclats intenables de la nationalité allemande. C’est précisément en eux que réside une raison et une cause de troubles intra-étatiques continus. À l’ère du principe de nationalité et de l’idée de race, il est utopique de croire que ces membres d’un peuple de grande valeur pourraient simplement s’assimiler. Mais il appartient aussi aux tâches d’une organisation prévoyante de la vie européenne de procéder ici à des réinstallations, afin d’éliminer de cette manière au moins une partie des enjeux de conflits européens.

L’Allemagne et l’Union des Républiques soviétiques ont convenu de se soutenir mutuellement ici. Le gouvernement du Reich allemand ne permettra jamais au cours du processus que l’État polonais résiduel qui en résulterait puisse devenir un élément perturbateur pour le Reich lui-même ou même une source de troubles entre le Reich allemand et la Russie soviétique. Si l’Allemagne et la Russie soviétique entreprennent ce travail de réorganisation, alors les deux États peuvent à juste titre souligner que la tentative de résoudre ce problème avec les méthodes de Versailles a totalement échoué. Et cela a dû échouer, car cette tâche ne pouvait pas du tout être résolue sur une base théorique ou par de simples décrets. La plupart des hommes d’État qui ont eu à juger ces affaires compliquées à Versailles n’avaient pas la moindre éducation historique, oui,

Mais ils ne portaient également aucune responsabilité d’aucune sorte pour les conséquences de leur action. La prise de conscience que leur travail n’était peut-être pas juste après tout était sans importance, car, dans la pratique, la voie d’une véritable révision n’existait pas. Car dans le traité de Versailles, il était bien prévu que la possibilité de telles révisions devait rester ouverte ; juste qu’en réalité, toutes les tentatives pour parvenir à une telle révision ont échoué, et elles ont dû échouer d’autant plus qu’après tout, la Société des Nations, en tant que tribunal autorisé, a cessé de pouvoir revendiquer la justification intérieure pour l’exécution d’une telle procédure.

Après que l’Amérique ait d’abord refusé de sanctionner le traité de paix de Versailles ou même d’adhérer à la Société des Nations, mais plus tard d’autres ont également cru qu’ils ne pouvaient plus concilier leur présence dans cette organisation avec les intérêts de leurs terres, cette organisation s’enfonça de plus en plus dans le cercle des intéressés du diktat de Versailles. C’est un fait, en tout cas, qu’aucune des révisions reconnues d’emblée comme nécessaires n’a été effectuée par la Société des Nations.

Puisque, à l’heure actuelle, s’est enracinée la pratique selon laquelle un gouvernement en fuite est toujours considéré comme existant, même s’il ne comprend que trois membres, dans la mesure où ils viennent d’apporter tellement d’or qu’ils ne deviennent pas un fardeau économique pour leurs terres d’accueil démocratiques, il est à présumer, après tout, que la Société des Nations continuera aussi vaillamment à exister, même si seulement deux nations y siègent, oui, à la fin, peut-être même une seule le fait-elle ! D’après la loi de la Ligue, cependant, toute révision des clauses de Versailles serait encore exclusivement soumise à cette illustre association, cela signifie, en d’autres termes, pratiquement impossible.

Or la Société des Nations n’est pas une chose vivante, mais déjà aujourd’hui quelque chose de mort. Mais les personnes affectées ne sont pas mortes, elles vivent plutôt, et elles réaliseront leurs intérêts de vie même si la Société des Nations est incapable de les voir, de les comprendre ou de les considérer.

Le national-socialisme n’est donc pas non plus une manifestation qui s’est développée en Allemagne avec l’intention malveillante d’empêcher les efforts de révision de la Société des Nations, mais plutôt un mouvement qui est venu parce que, pendant 15 ans, on a empêché la révision de la suppression des droits humains et folkloriques naturels. droits d’une grande nation. Et je souhaite personnellement l’interdire, si un homme d’État étranger se lève maintenant et déclare que j’ai manqué à ma parole, parce que j’ai maintenant effectué ces révisions. Bien au contraire, j’ai donné au peuple allemand ma parole sacrée pour éliminer le traité de Versailles et lui rendre la vie naturelle en tant que grande nation. La mesure dans laquelle j’assure ce droit à la vie est modeste. Si 46 millions d’Anglais de la mère patrie revendiquent le droit de régner sur 40 millions de kilomètres carrés de la terre, alors ce n’est probablement pas une injustice, si 82 ​​millions d’Allemands revendiquent le droit d’habiter sur 800 000 kilomètres carrés, d’y cultiver leurs terres et d’y exercer leur métier. Et s’ils exigent en outre qu’on leur rende cette possession coloniale qui leur appartenait autrefois, qu’ils n’ont prise à personne par le vol ou la guerre, qu’ils ont plutôt acquis honnêtement par l’achat, l’échange et les traités.

J’ai en outre essayé, avec toutes les exigences que j’ai formulées, d’obtenir toujours d’abord les révisions le long du chemin des négociations. Mais je refuse de présenter le droit à la vie allemand à un consortium international non autorisé comme une demande des plus serviles. Autant je présume que la Grande-Bretagne demande le respect de ses intérêts vitaux, autant on doit attendre la même chose de l’Allemagne nationale-socialiste. Mais j’ai – je dois le déclarer ici d’une manière solennelle – extraordinairement limité l’étendue de ces révisions du traité de paix de Versailles. Partout surtout où je n’ai pas vu les intérêts de vie les plus naturels de mon peuple menacés, j’ai moi-même conseillé au peuple allemand d’être modeste ou de renoncer. Mais ces 80 millions doivent vivre quelque part. Car même le traité de Versailles n’a pas pu ôter au monde un fait : il l’a fait, en effet de manière déraisonnable, dissoudre des États, déchirer des régions économiques, des lignes de transport sévères, etc. ; mais les gens, c’est-à-dire la substance vivante de chair et de sang, sont restés, et ils resteront aussi dans le futur.

Or, il est incontestable que, depuis que le peuple allemand a reçu et trouvé sa résurrection dans le national-socialisme, une clarification de la relation allemande avec le monde environnant s’est en grande partie installée. L’incertitude qui pèse aujourd’hui sur la coexistence des peuples ne provient pas des revendications allemandes, mais plutôt des accusations médiatisées des soi-disant démocraties. Les revendications allemandes elles-mêmes ont été présentées de manière très claire et précise. Mais ils n’ont pas trouvé leur épanouissement grâce à la perspicacité de la Société des Nations de Genève, plutôt grâce à la dynamique du développement naturel. Cependant, le but de la politique étrangère du Reich que j’ai menée n’était en aucun cas différent de celui d’assurer l’existence et donc la vie du peuple allemand, d’éliminer les injustices et les folies d’un traité qui, après tout,

De plus, cependant, tout le travail de reconstruction du Reich était tourné vers l’intérieur. Dans aucun autre pays du monde, le désir de paix n’était aussi plus grand que dans le peuple allemand. C’est une bonne fortune pour l’humanité et non un malheur que j’aie réussi, sans alourdir la politique intérieure des hommes d’État étrangers, à éliminer pacifiquement les impossibilités les plus folles du traité de Versailles. Que cette élimination puisse dans les détails être pénible pour certains intéressés, c’est compréhensible. Juste que d’autant plus grand est probablement le mérite que le nouveau règlement dans tous les cas, à l’exception du dernier, a eu lieu sans effusion de sang. La dernière révision de ce traité, cependant, aurait pu se dérouler exactement de la même manière sur une voie pacifique, si les deux circonstances que j’ai mentionnées n’avaient pas fonctionné en sens inverse.

J’ai mentionné que c’était un objectif du gouvernement du Reich d’éclaircir les relations entre nous et nos voisins. Et je peux ici maintenant faire référence à des faits qui ne peuvent pas être supprimés du monde par les écrits des menteurs de la presse internationale :

Premièrement, l’Allemagne a conclu des pactes de non-agression avec les pays baltes. Ses intérêts y sont de nature purement économique.

Deuxièmement, déjà auparavant, l’Allemagne n’a pas eu de conflits d’intérêts ni même de points de litige avec les États nordiques, et aujourd’hui elle en a tout aussi peu. La Suède et la Norvège se sont toutes deux vu proposer des pactes de non-agression par l’Allemagne et ne les ont rejetés que parce qu’elles-mêmes ne se sentaient en aucun cas menacées.

Troisièmement, l’Allemagne n’a tiré aucune conséquence envers le Danemark en ce qui concerne la séparation du territoire allemand entreprise dans le traité de Versailles, au contraire, a établi une relation loyale et amicale avec le Danemark. Nous n’avons soulevé aucune sorte de demandes de révision, nous avons plutôt conclu un pacte de non-agression avec le Danemark. La relation avec cet État est donc orientée vers une coopération loyale et amicale inaltérable.

Quatrièmement, la Hollande : le nouveau Reich a cherché à poursuivre l’amitié traditionnelle avec la Hollande, il n’a adopté aucune différence entre les deux États et n’a créé aucune nouvelle différence.

Cinquièmement, la Belgique : j’ai essayé immédiatement après la prise en charge des affaires d’État de façonner la relation avec la Belgique de manière plus amicale. J’ai renoncé à toute révision, à tout souhait de révision. Le Reich n’a émis aucune exigence qui aurait été d’une manière ou d’une autre appropriée pour être ressentie comme une menace en Belgique.

Sixièmement, la Suisse : l’Allemagne adopte la même position envers la Suisse. Le gouvernement du Reich n’a jamais donné la moindre raison de douter de son souhait d’une formation loyale des relations entre les deux pays. De plus, elle n’a jamais elle-même porté plainte sur les relations entre les deux terres.

Septièmement, j’ai informé la Yougoslavie immédiatement après l’annexion accomplie que la frontière avec cet État aussi est désormais inaltérable pour l’Allemagne et que nous souhaitons seulement vivre en paix et en amitié avec elle.

Huitièmement, une longue tradition d’amitié étroite et chaleureuse nous relie à la Hongrie. Ici aussi, les frontières sont inaltérables.

Neuvièmement, la Slovaquie elle-même a adressé le souhait d’aide à l’Allemagne à l’occasion de son émergence. Son indépendance est reconnue par le Reich et non contestée.

Mais ce n’est pas seulement avec ces États que l’Allemagne a clarifié et réglé les relations, encore en partie grevées par le traité de Versailles, mais aussi avec les grandes puissances.

En union avec le Duce, j’ai produit un changement dans les relations du Reich avec l’Italie. Les frontières existant entre les deux États ont été solennellement reconnues par les deux empires comme inaltérables. Toute possibilité d’opposition d’intérêts de nature territoriale a été éliminée. Les anciens opposants à la guerre mondiale sont entre-temps devenus des amis sincères.

Cela ne s’est pas arrêté à une normalisation des relations, mais cela a conduit dans la période suivante à la conclusion d’un pacte étroit à base idéologique et politique, qui a eu pour effet un élément fort de coopération européenne.

Mais j’ai surtout entrepris de décontaminer la relation avec la France et de la rendre supportable pour les deux nations. J’ai présenté ici avec la plus grande clarté les revendications allemandes, et je ne me suis jamais écarté de ces revendications. Le retour de la Sarre était la seule exigence que je considérais comme le préalable inconditionnel d’une réconciliation franco-allemande. Après que la France elle-même ait loyalement résolu ce problème, toute autre demande allemande envers la France a été abandonnée ; une telle demande n’existe toujours pas, et une telle demande ne sera jamais non plus soulevée. Cela signifie : j’ai rejeté même la simple discussion du problème de l’Alsace-Lorraine – non pas parce que j’y aurais été contraint, mais plutôt parce que cette question n’est pas du tout un problème qui pourrait jamais se poser entre les relations franco-allemandes. J’ai accepté la décision de l’année 1919 et j’ai rejeté tôt ou tard une guerre sanglante pour une question qui n’a rien à voir avec les nécessités de la vie allemande, mais qui est en effet propre à plonger une génération sur deux dans un conflit misérable. La France le sait. Il est impossible que quelque homme d’État français se lève et déclare que j’aie jamais adressé à la France une demande dont l’accomplissement eût été incompatible avec l’honneur français ou avec les intérêts français.

Mais j’ai bien posé à la France, au lieu d’une exigence, toujours juste un souhait, d’enterrer à jamais l’ancienne hostilité et de laisser les deux nations avec leur grand passé historique trouver le chemin l’une à l’autre. J’ai tout fait pour exterminer dans le peuple allemand l’idée d’une hostilité traditionnelle inaltérable et à sa place implanter le respect des grandes réalisations du peuple français, de son histoire, tout comme tout soldat allemand a le plus grand respect pour le réalisations des forces armées françaises.

Mes efforts n’étaient pas moindres pour une réconciliation germano-anglaise, oui, au-delà, pour une amitié germano-anglaise. Jamais et à aucun moment je ne me suis vraiment opposé aux intérêts britanniques. Malheureusement, je n’ai eu que trop souvent à me défendre contre des inventions anglaises dans des intérêts allemands, même là où elles ne touchaient pas le moins du monde à l’Angleterre. J’ai carrément estimé que le but de ma vie était de rapprocher les deux personnes, non seulement rationnellement, mais aussi émotionnellement. Si mon effort a échoué, alors seulement parce qu’il existait une hostilité carrément choquante envers moi personnellement chez une partie des hommes d’État et des journalistes britanniques, qui ne cachaient pas que c’était leur seul objectif, pour des raisons qui nous sont inexplicables, de recommencer engager le combat contre l’Allemagne à la première occasion qui se présente. Moins ces hommes ont de raisons objectives pour leur plan, plus ils essaient de simuler la motivation de leur action avec des slogans et des revendications vides de sens. Mais je crois encore aujourd’hui qu’une véritable pacification en Europe et dans le monde ne peut exister que si l’Allemagne et l’Angleterre se réconcilient. De cette conviction, j’ai très souvent pris le chemin de la réconciliation. Si cela n’a finalement pas conduit au résultat souhaité, alors ce n’était vraiment pas de ma faute.

Pour finir, j’ai maintenant essayé de normaliser les relations du Reich avec la Russie soviétique et de les mettre enfin sur une base amicale. Grâce à la même pensée de Staline, cela a maintenant également réussi. Avec cet état également, une relation amicale permanente a maintenant été établie, dont l’effet sera bénéfique pour les deux personnes.

Donc globalement, la révision du traité de Versailles que j’ai effectuée n’a pas créé le chaos en Europe, bien au contraire, le préalable à des conditions claires, stables et surtout supportables. Et seule la personne qui déteste cet ordre de conditions européennes et désire le désordre, peut être un ennemi de ces actions.

Mais si l’on croit, avec hypocrisie, devoir rejeter les méthodes par lesquelles un ordre supportable est né dans la région d’Europe centrale, alors je ne peux que répondre qu’en dernière analyse, ce n’est pas tant la méthode qui est décisive que la pratique Succès.

Avant mon accession au pouvoir, l’Europe sombrait, et en fait, non seulement l’Allemagne, mais aussi les États environnants, dans la détresse d’un chômage morne. La production a chuté et, par conséquent, la consommation des gens a invariablement diminué également. Le niveau de vie a baissé, la détresse et la misère en ont été les résultats. Aucun des hommes d’État étrangers critiques ne peut contester que, non seulement dans l’ancien Reich, mais aussi dans toutes les régions qui lui sont liées, il a été possible d’éliminer ces symptômes de décadence, et même dans les circonstances les plus difficiles. Il est ainsi prouvé que cette région d’Europe centrale n’est capable de vivre que si elle est unie et que celui qui la divise commet un crime contre des millions de personnes. Avoir maintenant éliminé ce crime n’est pas un manquement à la foi, mais plutôt mon honneur, ma fierté et une grande réussite historique. Ni le peuple allemand ni moi n’avons prêté serment au traité de Versailles, mais j’ai seulement prêté serment au bien-être de mon peuple, dont je suis l’agent, et au bien-être de ceux que le destin a mis dans notre vie. l’espace et ainsi indissolublement lié à notre propre bien-être. Assurer à tous l’existence et donc la vie, est mon seul souci. La tentative de critiquer, de juger ou de rejeter mon action à la tribune d’un obstination internationale, n’est pas historique et me laisse personnellement glacial. Le peuple allemand m’a convoqué par sa confiance et n’est renforcé dans cette position à mon égard que par une telle tentative de critique ou d’intervention étrangère. et au bien-être de ceux que le destin a mis dans notre espace de vie et ainsi indissolublement liés à notre propre bien-être. Assurer à tous l’existence et donc la vie, est mon seul souci. La tentative de critiquer, de juger ou de rejeter mon action à la tribune d’un obstination internationale, n’est pas historique et me laisse personnellement glacial. Le peuple allemand m’a convoqué par sa confiance et n’est renforcé dans cette position à mon égard que par une telle tentative de critique ou d’intervention étrangère. et au bien-être de ceux que le destin a mis dans notre espace de vie et ainsi indissolublement liés à notre propre bien-être. Assurer à tous l’existence et donc la vie, est mon seul souci. La tentative de critiquer, de juger ou de rejeter mon action à la tribune d’un obstination internationale, n’est pas historique et me laisse personnellement glacial. Le peuple allemand m’a convoqué par sa confiance et n’est renforcé dans cette position à mon égard que par une telle tentative de critique ou d’intervention étrangère.

De plus, j’ai d’abord diffusé des propositions avant chaque révision individuelle. J’ai essayé, sur la voie des négociations, d’obtenir et d’obtenir l’inconditionnellement nécessaire. J’y ai également réussi dans une série de cas. Dans d’autres cas, cependant, ma volonté de négociation, et souvent aussi le peu d’étendue de mes demandes, la modestie de mes propositions, ont été malheureusement interprétées comme de la faiblesse et donc rejetées. Cela ne pourrait blesser personne plus que moi-même. Juste qu’il existe dans la vie des gens des nécessités qui, s’ils ne trouvent pas leur solution par une voie pacifique, doivent alors se réaliser par la force. Cela peut être regrettable; mais cela est vrai aussi bien pour la vie des citoyens individuels que pour la vie de la communauté.

Le principe selon lequel le plus grand intérêt commun à tous ne peut être lésé par l’obstination, ou même la volonté malveillante, d’individus et de communautés individuelles, est irréfutablement correct.

J’ai également présenté les propositions les plus modérées à la Pologne. Ils ne sont pas tombés dans un simple rejet, bien au contraire, ils ont conduit à la mobilisation générale de cet État avec une justification qui fait parfaitement comprendre qu’on croyait voir précisément dans la modestie de mes propositions la confirmation de ma faiblesse, oui, à la fin, même pour ma peur.

En réalité, cette expérience devrait faire hésiter à présenter encore à toutes propositions raisonnables et modérées. Ces jours-ci aussi, j’ai déjà lu dans certains journaux que toute tentative d’arrangement pacifique des relations entre l’Allemagne d’un côté et l’Angleterre et la France de l’autre est hors de question, et que toute proposition en ce sens ne fait que prouver que , rempli de peur, je vois devant moi l’effondrement de l’Allemagne, d’où que je ne le fais que par peur ou par mauvaise conscience.

Si maintenant j’annonce quand même mes réflexions sur ce problème, alors je prends sur moi d’être perçu aux yeux de ces gens comme lâche ou comme désespéré. Je peux aussi le faire, parce que le verdict sur moi dans l’histoire, Dieu merci, ne sera pas un jour écrit par ces pitoyables gribouillis, mais tient plutôt à l’œuvre de ma vie et parce qu’il m’est plutôt indifférent, quel jugement je reçois maintenant à le moment de ces personnes. Mon prestige est assez grand pour me permettre une telle chose. Car si j’annonce maintenant mes pensées suivantes vraiment par peur ou par désespoir, cela, après tout, le cours ultérieur des choses le prouvera de toute façon. Aujourd’hui, je peux tout au plus regretter que les gens qui, dans leur soif de sang, ne voient pas assez la guerre, ne soient malheureusement pas là où la guerre se livre vraiment, et même déjà plus tôt n’étaient pas là où il y avait des tirs. Je comprends très bien qu’il y a des intéressés qui gagnent plus de la guerre que de la paix, et je comprends en outre que, pour une certaine espèce de journalistes internationaux, il est plus intéressant de rendre compte de la guerre que des actions ou même des créations culturelles de la paix, qu’ils ne peuvent ni mesurer ni comprendre ; et, enfin, il est clair pour moi qu’un certain capitalisme et journalisme juifs internationaux ne sympathisent pas du tout avec les gens dont ils prétendent représenter les intérêts, plutôt comme Herostratus de la société humaine voit le plus grand succès de leur vie dans l’incendie criminel. il est plus intéressant de rendre compte de la guerre que des actions ou même des créations culturelles de la paix, qu’ils ne peuvent ni mesurer ni comprendre ; et, enfin, il est clair pour moi qu’un certain capitalisme et journalisme juifs internationaux ne sympathisent pas du tout avec les gens dont ils prétendent représenter les intérêts, plutôt comme Herostratus de la société humaine voit le plus grand succès de leur vie dans l’incendie criminel. il est plus intéressant de rendre compte de la guerre que des actions ou même des créations culturelles de la paix, qu’ils ne peuvent ni mesurer ni comprendre ; et, enfin, il est clair pour moi qu’un certain capitalisme et journalisme juifs internationaux ne sympathisent pas du tout avec les gens dont ils prétendent représenter les intérêts, plutôt comme Herostratus de la société humaine voit le plus grand succès de leur vie dans l’incendie criminel.

Mais je crois aussi, pour une autre raison encore, devoir élever la voix ici. Si je lis aujourd’hui certains organes de presse internationaux ou entends les discours de divers glorifiants de guerre fougueux, alors je crois parler et répondre au nom de ceux qui doivent fournir la substance vivante à l’activité intellectuelle de ces buteurs de guerre – que vivre substance à laquelle, en tant que soldat inconnu, j’ai également appartenu pendant quatre ans pendant la Grande Guerre. L’effet est splendide, si un homme d’État ou un journaliste se lève et proclame avec des mots élogieux la nécessité de l’élimination du régime dans un autre pays au nom de la démocratie ou de quelque chose de similaire. L’exécution de ce slogan glorieux, cependant, semble alors tout à fait différente. Aujourd’hui, des articles de journaux sont écrits qui peuvent être sûrs de l’accord enthousiaste d’un public de lecteurs distingués. La réalisation des exigences qui y sont contenues a cependant un effet beaucoup moins enthousiaste. Je ne veux rien dire ici sur le jugement ou la capacité de ces personnes. Mais quoi qu’ils écrivent : la nature réelle d’un tel conflit n’en est pas touchée. Avant la campagne de Pologne, ces écrivains écrivaient que l’infanterie allemande n’était peut-être pas mauvaise, seule la branche blindée – les formations motorisées avant tout – était inférieure et échouerait tout simplement dans n’importe quelle action. – Or, après la destruction de la Pologne, les mêmes écrivent sans sourciller que les armées polonaises ne se sont effondrées qu’à cause des panzers allemands et du reste de la motorisation du Reich, mais que, en comparaison, l’infanterie allemande, d’une manière tout à fait étonnante, avait s’est détériorée et a échoué même dans l’affrontement avec les Polonais.

Je le crois aussi, dans la mesure où il y fait vraiment face et peut encore s’en souvenir plus tard. Il prendra alors vraisemblablement ce devin militaire par les oreilles. Mais, malheureusement, cela sera à nouveau impossible, car ces personnes, après tout, ne testent jamais personnellement la compétence ou l’infériorité de l’infanterie allemande sur le champ de bataille, mais ne la décrivent que dans leurs bureaux de rédaction. Six semaines – quoi alors ! – quatorze jours de tambours, et les messieurs propagandistes de guerre en viendraient rapidement à une autre vision. Ils parlent aussi des événements politiques mondiaux nécessaires, mais ils ne connaissent pas le cours militaire des choses. Juste que je le sais d’autant mieux, et c’est pourquoi je considère aussi qu’il est de mon devoir de parler ici,

Pourquoi alors cette guerre devrait-elle avoir lieu ? Pour la restauration de la Pologne ? La Pologne du traité de Versailles ne se relèvera plus jamais ! Les deux plus grands États du monde le garantissent. La formation finale de cette région, la question de la restauration d’un État polonais, sont des problèmes qui ne sont pas résolus par la guerre à l’ouest, plutôt exclusivement par la Russie dans un cas et par l’Allemagne dans l’autre. De plus, toute élimination de ces deux pouvoirs dans les régions en question ne produirait pas un nouvel État, mais plutôt un chaos total. Les problèmes qui doivent y être résolus ne le seront ni à la table de conférence ni dans les rédactions, mais au cours de plusieurs décennies de travail. Il ne suffit tout simplement pas que quelques hommes d’État, qui, en dernière analyse, se désintéressent du sort des personnes touchées, se réunissent et promulguent des décrets, il faut plutôt que quelqu’un qui soit lui-même impliqué dans la vie de ces régions prenne en charge le travail pour la restauration d’un état vraiment permanent. La capacité des démocraties occidentales à créer de telles conditions ordonnées, du moins dans la période récente, n’a été prouvée par rien. L’exemple de la Palestine montre qu’il vaudrait mieux s’occuper des problèmes existants et les résoudre rationnellement que de s’occuper de problèmes qui relèvent de la vie et des intérêts d’autrui et peuvent être mieux maîtrisés par eux. En tout cas, l’Allemagne n’a pas seulement assuré la paix et l’ordre dans son protectorat de Bohême et de Moravie, mais a surtout jeté les bases d’un nouvel épanouissement économique et d’un accord toujours plus étroit entre les deux nations.

On sait d’ailleurs très précisément que ce serait une absurdité de détruire des millions de vies humaines et de ruiner des centaines de milliards d’avoirs pour, disons, remettre en place une structure qui, déjà à sa première émergence, était qualifiée de fausse couche par tous les non -Pôles. Alors, quelle autre devrait être la raison? L’Allemagne a-t-elle adressé à l’Angleterre une demande qui, par exemple, menace l’Empire britannique ou remette son existence en question ? Non, bien au contraire ! Ni la France ni l’Angleterre n’ont adressé une telle demande à l’Allemagne. Mais si cette guerre ne devait vraiment être menée que pour donner à l’Allemagne un nouveau régime, c’est-à-dire, pour briser à nouveau l’actuel Reich et par conséquent créer un nouveau Versailles, alors des millions de personnes seront inutilement sacrifiées, car les Allemands non plus Le Reich se brisera et un deuxième Versailles n’émergera pas !

Mais même si, après une guerre de trois ou cinq ou huit ans, cela devait réussir, alors ce second Versailles redeviendrait déjà pour la période suivante une source de nouveaux conflits. Quoi qu’il en soit, cependant, une régulation des problèmes du monde sans tenir compte des intérêts de la vie de ses plus forts ne se terminerait, dans cinq ou dix ans, pas différemment de cette tentative terminée il y a 20 ans aujourd’hui. Non, cette guerre à l’ouest ne règle aucun problème, que ce soit les finances ruinées de quelques industriels de l’armement et propriétaires de journaux ou d’autres profiteurs de guerre internationaux.

Deux problèmes sont aujourd’hui en discussion :

Premièrement, le règlement des questions découlant de la désintégration de la Pologne et deuxièmement, le problème de l’élimination de ces préoccupations internationales qui entravent politiquement et économiquement la vie des gens.

Quels sont alors les objectifs du gouvernement du Reich en ce qui concerne l’ordonnancement des conditions dans cette région, qui à l’ouest de la ligne de démarcation germano-soviétique russe est reconnue comme une sphère d’influence allemande ?

Premièrement, la création d’une frontière du Reich, qui – comme déjà souligné – correspond aux faits historiques, ethnographiques et économiques, deuxièmement, l’aménagement de l’ensemble de l’espace de vie selon les nationalités, cela signifie une solution de ces questions minoritaires qui touchent non seulement cette région, plutôt, au-delà, affecte presque tous les États du sud et du sud-est de l’Europe, troisièmement, dans le cadre, la tentative d’arrangement et de régulation du problème juif, quatrièmement, la reconstruction de la vie commerciale et économique au profit de tous les peuples vivant dans cette région, cinquièmement, la garantie de la sécurité de toute cette région et sixièmement, la création d’un État polonais qui, dans sa construction et sa direction, offre une garantie qu’aucun nouveau feu contre le Reich allemand ne surgit ni une intrigue centrale contre l’Allemagne et la Russie est formée.

Au-delà, il faut immédiatement tenter d’éliminer les effets de la guerre, ou du moins de les atténuer, c’est-à-dire d’apaiser les souffrances excessives présentes par une activité d’aide pratique.

Ces tâches – comme déjà souligné – peuvent en effet être discutées à une table de conférence, mais jamais résolues. Si l’Europe est le moindrement préoccupée par le calme et la paix, alors les États européens devraient être reconnaissants que la Russie et l’Allemagne soient prêtes à transformer maintenant ce point chaud en une zone de développement pacifique, que les deux pays assument leurs responsabilités et fassent donc également des sacrifices. Pour le Reich allemand, cette tâche, puisqu’elle ne peut être prise de manière impérialiste, signifie une activité pendant 50 ou 100 ans. La justification de ce travail allemand réside dans l’organisation politique de la région ainsi que dans le désenclavement économique. En dernière analyse, cependant, les deux profitent à toute l’Europe.

La deuxième tâche, et, à mes yeux, bien plus importante, cependant, est la création non seulement de la conviction, mais aussi des sentiments, d’une sécurité européenne. Pour cela, il faut d’abord une clarté inconditionnelle sur les objectifs de la politique étrangère dans les États européens. En ce qui concerne l’Allemagne, le gouvernement du Reich est prêt à fournir une clarté complète et totale sur ses intentions en matière de politique étrangère. Dans le processus, il met en tête de cette déclaration la déclaration selon laquelle le traité de Versailles est considéré par lui comme n’existant plus, cela signifie que le gouvernement du Reich allemand, et avec lui l’ensemble du peuple allemand, ne voit aucune raison pour une nouvelle révision. en dehors de la demande de possession coloniale due et correspondant au Reich, d’où surtout le retour des colonies allemandes.

Cette demande de colonies se justifie non seulement par la revendication légale historique, mais surtout par la revendication légale élémentaire d’une participation aux sources de matières premières de la terre. Cette exigence n’est pas un ultimatum, et ce n’est pas une exigence derrière laquelle se tient la force, mais plutôt une exigence de justice politique et de bon sens économique.

Deuxièmement, la demande d’un véritable épanouissement de l’économie internationale, en lien avec l’augmentation des échanges et du commerce, est préconditionnée par la réparation des économies domestiques, ce moyen de production à l’intérieur des États individuels. Pour faciliter l’échange de cette production, il faut cependant parvenir à un nouvel arrangement des marchés et à une régulation permanente des monnaies afin de lever progressivement les obstacles au libre-échange.

Troisièmement, la condition préalable la plus importante, cependant, pour un épanouissement économique de l’économie européenne et extra-européenne est la création d’une paix inconditionnellement garantie et d’un sentiment de sécurité pour les individus. Cette sécurité sera rendue possible non seulement par la sanction définitive du statut européen, mais surtout par la réduction des armements à une ampleur raisonnable, et aussi économiquement supportable. A ce sentiment nécessaire de sécurité appartient cependant avant tout une clarification de l’utilisation et de la gamme d’utilisation de certaines armes modernes, qui, dans leur effet, sont aptes à frapper à tout moment le cœur de chaque individu, et qui laissera ainsi un sentiment d’insécurité persistant. J’ai déjà, dans mes précédents discours du Reichstag, fait des propositions dans ce sens. À l’époque – probablement déjà parce qu’ils venaient de moi -, ils tombaient dans le rejet. Mais je crois que le sentiment d’une sécurité nationale en Europe n’arrivera que si dans ce domaine, à travers des obligations internationales claires et contraignantes, une fixation approfondie du concept d’utilisation d’armes autorisée et non autorisée a lieu.

De même que la Convention de Genève a réussi autrefois, le moins sage parmi les États civilisés, à interdire la mise à mort des blessés, les mauvais traitements des prisonniers, le combat contre les non-belligérants, etc., et de même qu’elle a réussi à aider cette interdiction, au fil du temps, à l’adhésion générale, doit-elle donc parvenir à imposer ainsi l’usage de l’aviation, l’usage du gaz etc., du sous-marin, mais aussi la notion de contrebande, pour que la guerre perde le caractère terrible d’un combat contre les femmes et enfants et contre les non-belligérants en général. L’horreur de certaines actions conduira alors, à elle seule, à l’élimination des armes alors devenues superflues. Je me suis efforcé, déjà dans cette guerre avec la Pologne, de laisser la Luftwaffe n’être utilisée que contre des objets dits militaires, c’est-à-dire faire seulement une apparition, si une résistance active est offerte à un point.

Mais il doit être possible, en référence à la Croix-Rouge, de trouver une réglementation internationale fondamentale et communément valable. Ce n’est que dans de telles conditions, en particulier dans notre continent densément peuplé, qu’une paix arrivera, qui alors, libérée de la méfiance et de la peur, pourra également constituer la condition préalable d’un véritable épanouissement de la vie économique. Je crois qu’il n’y a pas d’homme d’État européen responsable qui ne souhaite, au fond du cœur, l’épanouissement de son peuple. Une réalisation de ce rêve n’est cependant concevable que dans le cadre d’une coopération générale des nations de ce continent. Assurer cette coopération ne peut donc être que le but de tout homme qui lutte vraiment pour l’avenir de son propre peuple aussi.

Pour atteindre ce grand objectif, les grandes nations de ce continent devront s’unir afin d’élaborer, d’accepter et de garantir dans un règlement étendu un statut qui leur donne à tous le sentiment de sécurité, de calme et donc de paix. . Il est impossible qu’une telle conférence se réunisse sans le travail préliminaire le plus approfondi, c’est-à-dire sans la clarification des points individuels et, surtout, sans travail préparatoire. Mais il est tout aussi impossible qu’une telle conférence, censée décider du sort de ce continent précisément pendant des décennies, soit active sous le rugissement des canons ou encore juste sous la pression des armées mobilisées. Mais si, tôt ou tard, ce problème doit quand même être résolu,

La préservation de l’état actuel à l’ouest est impensable. Chaque jour exigera bientôt des sacrifices croissants. Peut-être que la France bombardera alors un jour, pour la première fois, Sarrebruck. L’artillerie allemande, de son côté, écrasera Mülhausen pour se venger. La France va alors elle-même à nouveau, pour se venger, mettre Karlsruhe sous le feu des canons, et l’Allemagne à nouveau Strasbourg. Ensuite, l’artillerie française tirera sur Fribourg et l’artillerie allemande sur Kolmar ou Schlettstadt. On déploiera alors des canons de plus grande portée, et ce qui ne peut finalement pas être atteint par les canons à longue portée, les pilotes le détruiront. Et ce sera très intéressant pour un certain journalisme international et très utile pour les constructeurs d’avions, d’armes, de munitions etc., mais horrible pour les victimes.

Et cette guerre d’anéantissement ne se limitera pas qu’au continent. Non, il s’étendra loin au-dessus de la mer. Aujourd’hui, il n’y a plus d’îles.

Et la fortune nationale européenne éclatera en obus et l’énergie populaire saignera à mort sur les champs de bataille. Un jour, pourtant, il y aura à nouveau une frontière entre l’Allemagne et la France. Seulement que là-dessus, alors, au lieu de cités fleuries, s’étendront des champs de décombres et des cimetières sans fin.

M. Churchill et ses camarades peuvent maintenant interpréter calmement cette opinion comme de la faiblesse ou de la lâcheté. Je n’ai pas à m’occuper de leurs opinions. Je ne fais que donner cette explication, car je souhaite naturellement épargner aussi à mon peuple cette souffrance. Mais si le point de vue de M. Churchill et de son entourage devait rester fructueux, alors cette explication aura simplement été ma dernière. Nous nous battrons alors !

Ni la force des armes ni le temps ne soumettront l’Allemagne. Un novembre 1918 ne se répétera plus jamais dans l’histoire allemande. L’espoir d’une désintégration de notre peuple est cependant puéril. M. Churchill peut être convaincu que la Grande-Bretagne triomphera. Pas une seconde je ne doute que l’Allemagne triomphe !

Le destin décidera qui a raison. Une seule chose est sûre : jamais encore dans l’histoire du monde ils n’ont été deux vainqueurs, mais souvent seulement vaincus. Déjà dans la dernière guerre, cela me semble avoir été le cas.

Que ces gens et leurs dirigeants parlent maintenant, qui sont du même point de vue, et que ceux-ci repoussent ma main, qui croient qu’ils doivent voir la guerre comme la meilleure solution. En tant que Führer du peuple allemand et chancelier du Reich, je ne peux que remercier le Seigneur en ce moment de nous avoir si merveilleusement bénis dans le premier combat difficile pour notre droit, et lui demander de nous laisser, ainsi que tous les autres, trouver le droit chemin pour que non seulement le peuple allemand, mais toute l’Europe, se voit attribuer une nouvelle chance de paix.


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La Valkyrie d’Adolph Hitler: comment la britannique Unity Mitford a rencontré le Führer 140 fois

 

Le premier livre allemand sur l’aristocrate britannique et fan d’Adolf Hitler Unity  “Valkyrie” Mitford révèle que le Führer était tellement obsédé par elle qu’il l’a rencontrée 140 fois alors qu’il se préparait pour la Seconde Guerre mondiale.

 

Adolf Hitler était aussi fasciné par Unity – l’une des célèbres filles “ It ” des années 1930.

La première biographie allemande traitant de cette attraction mutuelle est publiée et intitulée: «Je feuilletais le magazine Vogue lorsque le Führer m’a parlé.”

L’auteur à succès de science politique Michaela Karl raconte comment le lien a été forgé au restaurant préféré de Hitler à Munich, l’Osteria Bavaria, le 9 février 1935.

Hitler, Unity Mitford et SA Obergruppenfuhrer Franz von Pfeffer, photos à Bayreuth, 1936 Hitler, Unity and SA Obergruppenfuhrer Franz von Pfeffer, pictures in Bayreuth, 1936
L’auteur à succès de science politique Michaela Karl raconte comment le lien a été forgé dans le restaurant préféré de Hitler à Munich.
Il s’agissait du restaurant Ostara Bavaria.

Adolf Hitler et Unity Mitford dans le restaurant préféré du Führer à Munich

Unity a écrit à sa sœur Diana: «À 15 h 00, j’avais fini de manger quand le Führer est venu avec son trench-coat doux et s’est assis avec deux autres hommes à sa table.

“Je feuilletais la vogue quand dix minutes après son arrivée, l’aubergiste est venu et a dit que le chef” voulait vous parler. “”

L’auteur Karl a dit; “Entre 1935 et 1939, Hitler et Unity se réunissaient tous les dix jours – pour un leader occupé, qui était en même temps un chef du troisième Reich allemand, c’était 140 fois au total, donc étonnamment souvent.”

Il l’emmena bientôt au Festival de Wagner à Bayreuth, au rassemblement de Nuremberg et à d’autres grands événements du national-socialisme. 

“L’unité a rapidement fait partie du cercle restreint”, a ajouté Karl. “En Angleterre, elle est toujours bien connue, mais en Allemagne, juste une note de bas de page dans l’histoire.”

L’architecte d’Hitler, Albert Speer, a décrit plus tard Unity: «Elle était une femme très intelligente et avait sa propre tête, pas un type comme Eva Braun, qui ne s’intéressait à rien.

Mais le partenaire de longue date de Hitler, qui l’épouserait à l’effondrement de Berlin en 1945 pour devenir son épouse d’un jour avant de s’évader  avec lui vers l’Argentine, considérait Unity comme un rival.

Le 10 mai 1934, Eva, 23 ans, a écrit dans son journal que l’épouse du photographe personnel d’Hitler, Heinrich Hoffmann, lui avait parlé d’Unity. Eva a écrit: «Mme Hoffmann, sans tact et avec amour, m’a dit qu’il avait maintenant un remplaçant pour moi.

«Enfin, il a pu me connaître si bien, que je n’ai jamais pu lui mettre quelque chose sur le chemin quand il a découvert qu’il voulait son cœur pour un autre.

Une tentative de suicide ratée d’Eva en 1935 a été interprétée par beaucoup comme un acte de jalousie contre Unity.

 

«Enfin, il a pu me connaître si bien, que je n’ai jamais pu lui mettre quelque chose sur le chemin quand il a découvert qu’il voulait son cœur pour un autre.

Unity Mitford, une beauté aristocratique anglaise passionnément dévouée à Hitler

Quand Hitler prévoyait d’avaler l’Autriche en 1938, Unity écrivit à son cousin Winston Churchill: «Cher cousin Winston. L’idée que l’Allemagne tente de dévorer les pauvres, la petite Autriche, qui lutte pour son indépendance, est très ridicule pour tous les Autrichiens.

 

 

 

1932: Trois des sœurs Mitford au mariage de Lord Stanley d’Aldernay, lr Unity Mitford; Diana Mitford (Mme Bryan Guinness, plus tard Lady Diana Mosley) et l’écrivain Nancy Mitford

En mai 1939, Hitler a organisé pour elle un appartement de trois chambres dans le quartier Schwabing de Munich. Les Juifs qui vivaient dans l’immeuble sont partis à l’étranger peu de temps après et Unity a placé deux énormes drapeaux à croix gammée dans la chambre.

Joseph Kennedy Jr., le fils de l’ambassadeur des États-Unis à Londres et frère aîné de John F. Kennedy, a écrit après l’avoir rencontrée: «Mitford est convaincu que le conflit avec l’Angleterre et les États-Unis est, avant tout, la faute de la propagande juive. et le seul moyen de le résoudre était de chasser les Juifs.

Lorsque la France et l’Angleterre ont déclaré la guerre à l’Allemagne en septembre 1939, son monde s’est effondré. Ce qui s’est passé exactement après cela reste trouble: probablement le même jour de la déclaration, Unity s’est tiré une balle dans la tête dans le jardin anglais de Munich.

Hitler a organisé son placement dans le meilleur hôpital de Munich pour le traitement et lui a rendu visite le 8 novembre – la nuit où le menuisier George Elser a tenté de le tuer avec une bombe au Bürgerbräukeller où il parlait.

Il était parti tôt pour lui rendre visite et avait échappé à la mort de 13 minutes. Huit personnes sont mortes dans l’explosion.

Unity a été rapatriée en Grande-Bretagne où elle est décédée de ses blessures en mai 1948. Hitler, a déclaré Karl, ne l’a jamais surmontée.

Unity Mitford wearing a swastika badge with her sister Diana Mitford

 

 

Unity Mitford portant un badge à croix gammée: en Angleterre, elle est toujours bien connue, mais en Allemagne, juste une note de bas de page dans l’histoire

 

Réécrire l’histoire de la Bataille de Los Angeles:La plus grande observation d’ovni méconnue et cachée

Il y a maintenant 78 ans,commençait ce que l’histoire retiendra comme étant “La Bataille de Los Angeles”!

Cinq ans après le crash ovni de Freiburg en Forêt Noire,cinq ans  avant Roswell, cinq ans avant les observations emblématiques du pilote Kenneth Arnold de “soucoupes volantes” dans le nord-ouest du Pacifique, 3 ans avant la bataille des Ardennes, deux ans avant le jour J et des années avant la soi-disant “ère ovni moderne” “avait officiellement commencé, il y avait la bataille de Los Angeles, sans doute la rencontre de masse d’OVNI la plus sensationnelle et dramatique jamais enregistrée. Avez-vous déjà entendu parler de la bataille de Los Angeles? Peu de gens le savent!

Imaginez un vaisseau spatial en visite d’un autre monde ou d’une autre dimension, planant au-dessus d’un LA paniqué et noirci au milieu de la nuit quelques semaines après Pearl Harbor au plus fort de la peur et de la paranoïa de la Seconde Guerre mondiale. Imaginez comment cet énorme navire, supposé être un avion japonais inconnu, a ensuite été attaqué alors qu’il était suspendu, presque immobile, au-dessus de Culver City et de Santa Monica par des dizaines de batteries anti-aériennes de l’armée tirant près de 2000 obus explosifs de 12 livres à la vue complète de centaines de milliers de résidents. Imaginez tout cela et vous avez une idée de ce qui a été la bataille de Los Angeles. 

L’apparition soudaine de l’énorme objet rond a déclenché tout LA et la majeure partie de la Californie du Sud dans une panne de courant immédiate avec des milliers de gardiens de raid aérien se précipitant dans toute la ville sombre tandis que le drame se déroulait dans le ciel au-dessus … un drame qui résulterait dans la mort de six personnes et la pluie de fragments d’obus sur les maisons, les rues et les bâtiments à des kilomètres à la ronde. Des dizaines d’équipages d’armes à feu et de projecteurs de la 37e Brigade d’artillerie côtière de l’armée ont facilement ciblé l’énorme navire qui pendait comme une lanterne magique surréaliste dans le ciel d’hiver clair et sombre au-dessus de la Cité des Anges. Peu de personnes dans la ville se sont endormies après que les artilleurs de la défense côtière ont commencé à tirer des centaines et des centaines de rafales vers le navire incandescent qui a apparemment été aperçu pour la première fois alors qu’il planait au-dessus de points de repère du côté ouest comme les studios MGM à Culver City. Le bruit sourd des batteries et l’allumage des obus aériens se répercutèrent d’un bout à l’autre de LA alors que les équipes de tir atteignaient facilement des dizaines de ce que beaucoup appelaient des “coups directs” … tout cela en vain. Voici maintenant à quoi ressemblait le ciel nocturne de LA au plus fort du tir …

 

En rapprochant l’image,on voit très bien l’appareil,sa coupole caractéristique et des nombreux obus qui semblent exploser au contact d’une espèce de bouclier protecteur..
Plus de 15,000 tirs directs ont fait mouche sur l’engin inconnu.

 

 

 

Faites très attention à la convergence des projecteurs et vous verrez clairement la forme du visiteur dans la zone cible éclairée. C’est un GRAND appareil qui  semblait complètement inconscient des centaines d’obus anti -aériens éclatant sur lui et à côté de lui, ce qui ne lui a causé aucune difficulté évidente. Il y a eu cependant des victimes … sur le terrain. Au moins 6 personnes sont mortes à la suite de l’attaque de l’armée sur l’OVNI qui a lentement et tranquillement fait son chemin jusqu’à survoler Long Beach avant de finalement s’éloigner et disparaître.


TÉMOIGNAGES

En février 1942, Katie était une jeune et belle décoratrice d’intérieur et artiste à succès qui a travaillé avec de nombreuses célébrités et sommités de l’industrie cinématographique les plus glamour d’Hollywood. Elle habitait à l’ouest de Los Angeles, non loin de Santa Monica. Avec le déclenchement de la guerre avec le Japon et la peur croissante d’une attaque aérienne japonaise, ou même d’une invasion de la côte ouest, des milliers de résidents se sont portés volontaires pour des tâches de guerre sur le front intérieur. Katie s’est portée volontaire pour devenir directrice de raid aérien, tout comme 12 000 autres résidents de la ville tentaculaire de Los Angeles et des communautés environnantes. Tôt le matin du 25 février, le téléphone de Katie a sonné. C’était le superviseur du Raid aérien de son quartier qui lui a notifié une alerte et lui a demandé si elle avait vu l’objet dans le ciel très près de chez elle. Elle s’est immédiatement dirigée vers une fenêtre et a levé les yeux. “C’était énorme! C’était juste énorme! Et c’était pratiquement juste au-dessus de ma maison. Je n’avais jamais rien vu de tel dans ma vie!” dit-elle. “Il était juste en vol stationnaire dans le ciel et ne bougeait presque pas.” Avec la ville noircie, Katie et des centaines de milliers d’autres ont pu voir le visiteur étrange avec une clarté spectaculaire. “C’était une belle orange pâle et à propos de la plus belle chose que vous ayez jamais vue. Je pouvais la voir parfaitement car elle était très proche. Elle était grande!”Les projecteurs anti-aériens de l’armée américaine à ce moment-là avaient complètement couvert l’objet. “Ils ont envoyé des avions de chasse (l’armée a nié qu’aucun de ses combattants n’était en action) et je les ai regardés en groupe s’approcher et ensuite se détourner. Il y avait des tirs, mais cela ne semblait pas avoir d’importance.” Katie insiste sur l’utilisation d’avions dans l’attaque de l’objet. Les avions ont apparemment été arrêtés après plusieurs minutes, puis le canon au sol s’est ouvert. “C’était comme le 4 juillet mais beaucoup plus fort. Ils tiraient comme des fous mais ils ne pouvaient pas y toucher.” L’attaque contre l’objet a duré plus d’une demi-heure avant que le visiteur ne finisse par disparaître. De nombreux témoins oculaires ont parlé de nombreux “coups directs” sur le gros engin, mais aucun dégât n’a été constaté. ” Je n’oublierai jamais quel spectacle magnifique c’était. Tout simplement merveilleux. Et quelle couleur magnifique! “, A déclaré Katie.

La photo avec inversion des couleurs!

“L’objet … coincé au centre des lumières comme le moyeu d’une roue de vélo entouré de rayons étincelants était ciblé comme un éléphant dans un couloir:impossible à manquer. Le feu a semblé éclater en anneaux tout autour de l’objet.”La SEULE description dans le LA Times de l’OVNI, et un sens de l’énergie et de l’émotion de cette nuit, ont été trouvés dans ce petit article de l’encadré écrit par le rédacteur du Times le lendemain de l’événement:

 

“Des explosions poignardant l’obscurité comme de minuscules étoiles qui éclatent … Des faisceaux de projecteurs poussant de longs doigts entrecroisés dans le ciel nocturne … Des cris de gardiens et des sifflets de policiers et de shérifs adjoints … Le bref allumage et extinction des lumières, le téléphone appels, bribes de conversation: «Obtenez la saleté …» C’était Los Angeles sous le grondement des coups de feu hier.”

RÉSIDENTS RÉVEILLÉS
 Les ménages endormis se réveillèrent au bruit sourd des explosions … “Tonnerre? Impossible!” Puis: “Raid aérien! Venez vite ici! Regardez là-bas … ces projecteurs. Ils ont quelque chose … ils explosent avec des anti-aériens!” Père, mère, enfants tous réunis sous le porche, rassemblés en petits groupes dans les rues noires – contre les ordres. Les bébés pleuraient, les chiens aboyaient, les portes claquaient. Mais l’objet dans le ciel s’est lentement déplacé, pris au centre des lumières comme le moyeu d’une roue de vélo entouré de rayons étincelants.

BEAUCOUP DE SPÉCULATIONS
 La spéculation est tombée comme la pluie. “C’est un escadron entier.” “Non, c’est un dirigeable. Ce doit être parce qu’il se déplace si lentement.” “J’entends des avions.” “Non, tu ne sais pas. C’est un camion dans la rue.” “Où sont les avions alors?” “Je ne sais pas. Mais ils doivent être là-haut.” “Je me demande pourquoi ils ont choisi une nuit aussi claire pour un raid?” “Ils viennent probablement d’un transporteur.” “Naw, je parie qu’ils viennent d’une base aérienne secrète quelque part au sud.” Le tir continuait. Comme des pétards meurtriers, les obus anti-aériens ont explosé au-dessus, en dessous, apparemment juste sur la cible fixée dans les faisceaux tenaces. D’autres tirs ont échoué, explosant à mi-chemin de la longue montée. Les traceurs brillaient comme des bougies romaines. Le métal est tombé. Il est tombé en morceaux, grands et petits; pas du métal ennemi, mais les fragments sifflants d’éclats d’obus . Le bruit et les cliquetis menaçants des rues et des toits ont poussé de nombreux spectateurs à s’abriter.

LES OFFICIERS FONT DU BON TRAVAIL
 Les officiers étaient au travail, ils faisaient du bon travail. “Éteignez vos lumières, s’il vous plaît. Tirez-vous vers le trottoir et arrêtez. N’utilisez pas votre téléphone. Prenez refuge. Prenez refuge.” Sur chaque rue, de brefs éclats de lampes de poche à capuchon coupent l’obscurité, avertissant les conducteurs rampants de s’arrêter. La police a surveillé les principales intersections. Les sirènes ont hurlé en route vers et depuis les accidents de panne d’électricité. Il y a eu des accalmies dans le tir. Les lumières de recherche se sont éteintes. (Pour permettre aux avions de chasse d’attaquer?). Angelinos a respiré profondément et a dit: “Je suppose que c’est fini.” Mais avant de pouvoir dire bonne nuit à leurs voisins, les canons explosaient à nouveau, apercevant les longs faisceaux bleus des lumières.

Ce qui suit sont des extraits de la première page du LA Times du 26 février. Notez qu’il n’y a pas de description UNIQUE de l’objet même s’il était clairement enfermé dans le focus de dizaines de projecteurs pendant plus d’une demi-heure et vu par des centaines de milliers de personnes:

 

L’armée dit que l’alarme  est réelle

Les nombreux coups de canons marquent une absence totale  d’identification des aéronefs voilés de mystère; Aucune bombe larguée et
aucun coup de réplique  ennemi; Des civils rapportent avoir vu des avions et des ballons

Oubliant un maelström national de rumeurs et de rapports contradictoires, le Western Defense Command de l’armée a insisté sur le fait que le black-out et l’action anti-aérienne de Los Angeles étaient le résultat d’avions non identifiés aperçus au-dessus de la plage. Dans deux déclarations officielles, publiées alors que le secrétaire de la Marine Knox à Washington attribuait l’activité à une fausse alarme et à des “nerfs nerveux”, le commandement de San Francisco a confirmé et reconfirmé la présence au-dessus du Southland d’avions non identifiés. Relayée par le bureau sectoriel du sud de la Californie à Pasadena, la deuxième déclaration se lit comme suit: “L’avion qui a causé la panne d’électricité dans la région de Los Angeles pendant plusieurs heures ce matin n’a pas été identifié.” L’insistance des quartiers officiels sur le fait que l’alarme était réelle est venue lorsque des centaines de milliers de citoyens qui ont entendu et vu l’activité ont diffusé d’innombrables histoires différentes de l’épisode. Le spectaculaire barrage antiaérien est survenu après que le 14th Interceptor Command a ordonné la panne d’électricité lorsque des engins étranges ont été signalés au-dessus du littoral. De puissants projecteurs provenant d’innombrables stations ont poignardé le ciel avec de brillants doigts sondeurs tandis que les batteries antiaériennes parsemaient le ciel de magnifiques éclats d’oranges, quoique sinistres.

 

Une ville en  Black out pendant des heures
 La ville a été noircie de 2 h 25 à 7 h 21 après qu’une alerte jaune antérieure à 19 h 18 ait été annulée à 22 h 23. La panne d’électricité était en vigueur d’ici à la frontière mexicaine et à l’intérieur des terres jusqu’à la vallée de San Joaquin. Aucune bombe n’a été larguée ni aucun avion abattu et, miraculeusement en termes de tonnes de missiles lancés en l’air, seules deux personnes ont été blessées par des chutes de fragments d’obus. D’innombrables milliers de résidents de Southland, dont beaucoup ont été en retard au travail en raison des interruptions de circulation pendant la panne de courant, se sont frottés les yeux endormis hier et ont convenu qu’indépendamment de la question de savoir si «réelle» l’alarme de raid aérien pouvait être, il était «un grand spectacle» et «valait bien la peine de perdre quelques heures de sommeil». Le black-out n’a cependant pas été sans victimes. Un garde d’État est décédé d’une crise cardiaque alors qu’il conduisait un camion de munitions, l’insuffisance cardiaque a également causé la mort d’un gardien de raid aérien en service, une femme a été tuée dans une collision voiture-camion en Arcadie et un policier de Long Beach a été tué dans un accident de la circulation en route pour le service. La plupart des tirs semblaient provenir des environs des usines d’avions le long de la zone côtière de Santa Monica, Inglewood, Southwest Los Angeles et Long Beach.

 


Dans son éditorial de première page, le Times a déclaré: “Compte tenu de l’excitation et de la confusion considérables du public provoquées par le supposé raid aérien ennemi d’hier matin sur cette zone et de ses spectaculaires accompagnements officiels, il semble au Times que des informations publiques plus précises devraient être fournies prochainement. des sources gouvernementales sur le sujet, ne serait-ce que pour clarifier leurs propres déclarations contradictoires à ce sujet. “

“Selon l’Associated Press, le secrétaire Knox a laissé entendre que les informations faisant état d’une activité aérienne ennemie dans la région côtière du Pacifique pourraient être dues en grande partie à des” nerfs nerveux “. Quels nerfs, M. Knox? Du public ou de l’armée? “

La page 2 du Los Angeles Times du 26 février 1942.

Ce qui suit est un extrait d’un article paru dans Fate Magazine. Nos remerciements particuliers à Bill Oliver de UFO * BC pour sa transcription et son attention.

LA SECURITE OVNI DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Par Paul T. Collins
Fate Magazine juillet 1987
 Mercredi 25 février 1942, alors que la guerre faisait rage en Europe et en Asie, au moins un million de Californiens du Sud se sont réveillés au cri des sirènes des raids aériens alors que les villes du comté de Los Angeles s’éteignaient à 02h25. Beaucoup se sont assoupis à nouveau tandis que 12000 gardiens de raids aériens se sont présentés fidèlement à leurs postes, la plupart d’entre eux n’attendant rien de plus qu’une répétition générale pour un éventuel événement futur – une invasion des États-Unis par le Japon. À 3 h 36, cependant, ils ont été choqués et leurs familles endormies ont de nouveau grossièrement réveillé, cette fois par des sons inconnus de la plupart des Américains en dehors des services militaires. Le grondement des batteries antiaériennes de la 37th Coast Artillery Brigade les a fait sortir du lit et avant qu’elles ne puissent atteindre les fenêtres, les obus clignotants de 12,8 livres explosaient avec un lourd, sinistre boomp – boomp – boomp et l’acier pleuvait déjà. Toutes les stations de radio avaient été supprimées à 3 h 08. Mais la nouvelle était écrite avec des doigts de lumière à trois milles de haut sur un tableau noir clouté d’étoiles de 30 milles de long. Le tir a continué par intermittence jusqu’à 4 h 14. Des obus non explosés ont détruit des trottoirs, des maisons et des bâtiments publics, trois personnes ont été tuées et trois sont mortes d’une crise cardiaque directement imputable au barrage d’une heure. Plusieurs personnes ont été blessées par des éclats d’obus. Un troupeau laitier a été touché mais seules quelques vaches ont été blessées. Le black-out a été levé et les sirènes ont hurlé à 7h21.

Les tirs ont cessé mais les cris ont à peine commencé. Les militaires qui n’ont jamais bronché au grondement des fusils tremblaient maintenant à l’idée de faire face à la presse. Bien qu’ils ne puissent probablement pas être blâmés pour ce qui s’était passé, ils avaient une certaine raison d’être en détresse. La chose sur laquelle ils tiraient n’a pas pu être identifiée. Pris par les projecteurs et capturé sur des photographies, était un objet assez grand pour éclipser un immeuble. Les spécialistes expérimentés de l’air plus léger (dirigeable) doutaient qu’il puisse s’agir d’un dirigeable japonais car les Japonais n’avaient aucune source connue d’hélium et l’hydrogène était beaucoup trop dangereux à utiliser dans des conditions de combat. Quoi qu’il en soit, c’était un canard assis pour les canons du 37e. Les photographies montraient des obus qui éclataient tout autour. Un membre du personnel du Los Angeles Herald Express a déclaré qu’il était sûr que de nombreux obus l’ont touché directement. Il était étonné qu’elle n’ait pas été abattue. L’objet qui a déclenché l’alarme de raid aérien avait tiré 1430 cartouches de l’artillerie côtière, sans résultat. Quand il s’est déplacé du tout, l’objet s’était déplacé à un rythme tranquille au-dessus des villes côtières entre Santa Monica et Long Beach, prenant environ 30 minutes de temps de vol réel pour se déplacer de 20 milles; puis il a disparu de la vue. Vous pouvez bien imaginer avec quel chagrin les responsables de l’information ont répondu aux questions de la presse. Le bureau de Pasadena du secteur sud de la Californie du Army Western Defence Command a simplement annoncé qu’aucun avion ennemi n’avait été identifié; aucun engin n’a été abattu; aucune bombe n’a été larguée; aucun de nos intercepteurs n’a quitté le sol pour poursuivre l’intrus. Peu de temps après, le secrétaire de la Marine américaine, Frank Knox, a annoncé qu’aucun avion n’avait été aperçu. Les tirs côtiers ont été déclenchés, a-t-il dit, par une fausse alarme et des nerfs nerveux. Il a également suggéré que certaines industries de guerre le long de la côte pourraient devoir être déplacées à l’intérieur des terres à des points invulnérables aux attaques de sous-marins ennemis et d’avions embarqués. La presse a répondu par des éditoriaux cinglants, beaucoup à la première page, attirant l’attention sur les pertes en vies humaines et dénonçant l’utilisation de l’artillerie côtière pour tirer sur des fantômes. Le Los Angeles Times a demandé une explication complète à Washington. Le Long Beach Telegram s’est plaint que des responsables gouvernementaux qui avaient toujours voulu déplacer les industries manipulaient l’affaire à des fins de propagande. Et le Long Beach Independent a accusé: “Il y a une réticence mystérieuse dans toute cette affaire et il semble qu’une certaine forme de censure essaie d’arrêter la discussion sur le sujet.

L’Indépendant avait de bonnes raisons de remettre en question la compétence de certains des responsables de nos opérations de défense côtière ainsi que l’intégrité et les motivations de nos plus hauts fonctionnaires. Seulement 36 heures avant le raid aérien de Long Beach, un gigantesque sous-marin japonais avait fait surface près du rivage à 12 miles au nord de Santa Barbara et en 25 minutes de tir sans contestation, il avait lancé des obus de 25 pouces sur la raffinerie de pétrole du champ pétrolifère d’Ellwood. Le quatrième commandement intercepteur, bien que conscient de l’attaque du sous-marin, a ordonné une panne de Ventura à Goleta mais n’a envoyé aucun avion pour le couler. Pas un seul coup de feu n’a été tiré sur le sous-marin. Après que l’incident d’Ellwood ait alerté tous les postes de défense de la côte ouest de possibles attaques répétées, ces unités étaient sensibles aux tentatives d’invasion prévues. Mercredi matin, dans la région de Los Angeles, ils étaient prêts à ouvrir le feu sur le cerf-volant d’un garçon s’il ressemblait en quelque sorte à un avion ou à un ballon. Le secrétaire à la Guerre Henry Stimson a félicité la 37th Cost Artillery pour cette attitude. Il vaut mieux être un peu trop alerte que pas assez alerte, a-t-il dit. Dans le même temps, il a délicatement suggéré qu’il aurait pu être judicieux d’envoyer certains de nos avions pour identifier l’avion envahisseur avant de leur tirer dessus. Des avions du quatrième commandement intercepteur s’échauffaient en fait sur les pistes en attendant que les ordres montent et interrogent les intrus inconnus. Pourquoi, tout le monde demandait, n’a-t-on pas reçu l’ordre d’entrer en action pendant la période de 51 minutes entre la première alerte de raid aérien à 2 h 25 et le premier tir d’artillerie à 3 h 16? Dans ce contexte d’indécision et de confusion embarrassantes, le Commandement de la Défense de l’Armée de l’Ouest devait évidemment dire quelque chose rapidement. Les porte-parole ont déclaré aux journalistes qu’un à 50 avions avaient été aperçus, se donnant ainsi une grande latitude pour ajuster les histoires futures en fonction des exigences de propagande qui pourraient survenir dans les prochains jours. Lorsque des témoins oculaires ont rapporté que des milliers de personnes ont fouillé le ciel avec des jumelles sous les lumières vives de l’artillerie côtière, ont vérifié la présence d’un énorme objet non identifiable et indestructible – mais pas la présence d’un grand nombre d’avions – les communiqués de presse ont été progressivement réduits. Une semaine plus tard, le général Mark Clark a reconnu que les postes d’écoute de l’armée avaient détecté ce qu’ils pensaient être cinq avions légers approchant de la côte la nuit du raid aérien. Aucun intercepteur, a-t-il dit, n’a été envoyé pour les engager car il n’y a pas eu d’attaque de masse. Croyant qu’un bombardement aérien était en cours, certaines personnes pensaient avoir vu des formations d’avions de guerre, des combats de chiens entre des engins ennemis et nos avions de chasse et d’autres choses qui, selon eux, étaient la preuve d’une telle attaque. De toute évidence, il n’y a pas eu de combats de chiens car aucun de nos intercepteurs n’était en l’air. Des balles traçantes ont été tirées depuis des stations militaires au sol et certaines personnes ont confondu le schéma de tir de ces projectiles avec un combat aérien. D’autres observateurs ont signalé des objets éclairés qui ont été diversement décrits comme des fusées éclairantes rouges et blanches en groupes de trois rouges et trois blancs, tirés alternativement, ou des chaînes de lumières rouges en forme de chaîne ressemblant à un cerf-volant illuminé. Les gens ont suggéré que certaines de ces lumières étaient causées par des signaux japonais-américains approchant des avions japonais avec des fusées éclairantes pour les guider vers des cibles sélectionnées, mais comme aucune bombe n’a été larguée, la théorie a été rapidement abandonnée. En tout cas, de telles accusations s’inscrivaient parfaitement dans une campagne de presse hystérique pour rassembler tous les citoyens d’origine japonaise et les placer dans des camps de concentration. Au cours de la semaine de l’attaque du sous-marin japonais sur le champ pétrolifère d’Ellwood et du raid aérien sur le comté de Los Angeles, la presse a pleinement profité de la situation sur mesure. Des arrestations de suspects ont été rapidement effectuées et le FBI a été appelé, mais le Long Beach Press Telegram a déclaré que toutes les enquêtes indiquaient que personne ne signalait l’ennemi depuis le sol.


 

Des artilleurs de l’armée tirent sur des
ovnis au-dessus de Los Angeles
avec l’aimable autorisation de UFO ROUNDUP
Volume 3, numéro 8
22 février 1998
Rédacteur en chef Joseph Trainor
Le mercredi 25 février 1942, à 2 heures précises du matin, les convives du club branché du Trocadéro à Hollywood ont été surpris lorsque les lumières se sont éteintes et que des sirènes de raid aérien ont commencé à retentir dans tout le grand Los Angeles. “Les projecteurs ont scanné le ciel et des canons antiaériens protégeant les aéronefs essentiels et les usines de construction navale sont entrés en action. Au cours des prochaines heures, ils ont tiré plus de 1 400 obus sur un objet non identifié se déplaçant lentement dans le ciel au-dessus de Los Angeles qui semblait comme un dirigeable ou un ballon. ” L’auteur Ralph Blum, qui était un garçon de neuf ans à l’époque, a écrit qu’il pensait que “les Japonais bombardaient Beverly Hills”. “Il y avait des sirènes, des projecteurs, même des canons antiaériens qui se sont envolés dans le ciel de Los Angeles. Mon père avait été un homme d’observation de ballons (dans l’AEF) pendant la Première Guerre mondiale, et il connaissait de gros canons quand il les a entendus. Il a ordonné à mon ma mère pour emmener mes petites sœurs dans la salle de projection souterraine – notre maison était fortement approvisionnée en accessoires hollywoodiens – pendant que lui et moi sortions sur le balcon à l’étage. ” “Quelle scène! C’était après trois heures du matin. Des projecteurs ont sondé le ciel occidental. Des traceurs se sont dirigés vers le haut. La raquette était formidable.” Les tireurs contre les intrus aériens étaient des artilleurs du 65th Coast Artillery (Anti-Aircraft) Regiment à Inglewood et du 205th Anti-Aircraft Regiment basé à Santa Monica. L ‘”objet en forme de cigare blanc” a reçu plusieurs coups directs mais a poursuivi son vol vers l’est. Jusqu’à 25 ovnis argentés ont également été vus par des observateurs au sol. Le rédacteur en chef Peter Jenkins du Los Angeles Herald Examiner a rapporté: “Je pouvais clairement voir la formation en V d’environ 25 avions argentés se déplaçant lentement à travers le ciel vers Long Beach.” Le chef de la police de Long Beach, JH McClelland, a déclaré: “J’ai regardé ce qui a été décrit comme la deuxième vague d’avions depuis le sommet de l’hôtel de ville de Long Beach à sept étages. Je n’ai vu aucun avion, mais les plus jeunes hommes avec moi ont dit qu’ils le pouvaient. Une marine expérimentée Un observateur avec de puissantes jumelles Carl Zeiss a dit qu’il comptait neuf avions dans le cône du projecteur. Il a dit qu’ils étaient de couleur argentée. Le groupe (OVNI) est passé d’une batterie de projecteurs à l’autre, et sous le feu des canons antiaériens , a volé en direction de Redondo Beach et Inglewood du côté terrestre de Fort MacArthur, et a continué vers Santa Ana et Huntington Beach. Les tirs antiaériens étaient si lourds que nous n’entendions pas les moteurs des avions. ” Le journaliste Bill Henry du Los Angeles Times a écrit: “J’étais assez loin pour voir un objet sans être en mesure de l’identifier … Je serais prêt à parier quels shekels je possède qu’il y avait un certain nombre de coups directs marqués sur le objet.” À 2 h 21, le lieutenant-général John L. DeWitt a donné l’ordre de cessez-le-feu et la «bataille de Los Angeles» de vingt minutes était terminée. (Voir AU-DELÀ DE LA TERRE: LE CONTACT DE L’HOMME AVEC LES OVNIS par Ralph Blum, Bantam Books, New York, avril 1974, page 68. Voir aussi le Los Angeles Times, le Los Angeles Herald-Examiner et le Long Beach Press-Telegram du 25 février 1942. Toutes les citations de journaux tirées de “The Battle of Los Angeles, 1942” de Terrenz Sword, qui ont paru dans Unsolved UFO Sightings, numéro de printemps 1996, pages 57 à 62.) 


De Frank Altomontealto@earthlink.net
2-18-2 Extrait de «Les ovnis et l’État de la sécurité nationale»
par Richard M. Dolan Keyhole Publishing, 2000 

“Au moins un million d’habitants se sont réveillés pour entendre des sirènes de raid aérien à 2 h 25 du matin. Le personnel de l’armée américaine a tiré 1 430 obus antiaériens pour faire tomber ce qu’ils supposaient être des avions japonais. Mais il ne s’agissait pas d’avions japonais. George Marshall a écrit un mémorandum à Le président Roosevelt au sujet de l’incident, qui est resté classifié jusqu’en 1974. Marshall a conclu que des avions conventionnels étaient impliqués, probablement “des sources commerciales, exploitées par des agents ennemis dans le but de diffuser l’alarme, de révéler l’emplacement des positions antiaériennes et de ralentir la production par une panne d’électricité”. Malgré le barrage des tirs antiaériens américains, aucun de ces avions “commerciaux” n’a été abattu, bien que plusieurs maisons et bâtiments aient été détruits, et six morts civils ont été attribués au barrage. Compte tenu du carnage, l’explication militaire était maigre. Le secrétaire de la Marine américaine Knox a même nié que des avions aient survolé la ville; il a qualifié l’incident de fausse alarme due aux nerfs de la guerre. Inutile de dire que la presse locale n’a pas très bien pris cela. The Long Beach Independent a noté que: “Il y a une réticence mystérieuse à propos de toute l’affaire et il semble qu’une certaine forme de censure essaie d’arrêter la discussion sur la question.” Il est à noter que pendant trente ans jusqu’à la publication du mémorandum Marshall, le ministère de la Défense a prétendu n’avoir aucun enregistrement de l’événement. Cinq ans avant Roswell, ces militaires apprenaient déjà à réprimer les ovnis. “


LE PRÉALABLE AVANT LA BATAILLE DE LOS ANGELES:

L’Attaque sous-marine du champ pétrolifère d’ Ellwood à Santa Barbara

La raffinerie d’Elwood,en 1942.

Quelques jours avant la “Bataille de LA”, (23 février 1942)un sous-marin japonais avait refait surface la nuit et avait tiré avec son canon sur le champ pétrolifère d’Ellwood situé à 12 milles au nord-ouest de Santa Barbara.

The LA Times: “Depuis Santa Barbara, région de l’attaque sous-marine lundi soir, le procureur de district Percy Heckendorf a déclaré qu’il ferait appel au lieutenant-général John L. DeWitt, commandant du Western Defence Command, pour faire du comté de Santa Barbara une zone restreinte pour les ressortissants ennemis. et des Japonais d’origine américaine également. “Il existe des preuves convaincantes”, a affirmé Heckendorf, “qu’il y avait des signaux à terre envoyés à l’ennemi.” Heckendorf a déclaré que le peuple tiendrait le général DeWitt responsable s’il n’agissait pas. Les Officiers des ordonnances de l’armée, pendant ce temps, ils étudiaient plus de 200 livres de fragments d’obus provenant de missiles tirés par le sous-marin, qui n’ont causé que 500 $ de dégâts dans le champ de pétrole d’Ellwood près de Santa Barbara. ” Certains habitants disent que le capitaine ou l’un des officiers du sous-marin japonais avait travaillé dans le champ pétrolifère d’Ellwood quelques années avant le début de la guerre. L’histoire prétend que l’homme avait été maltraité par certains de ses collègues pendant cette période, qu’il était retourné au Japon avant le début de la guerre et avait ensuite aidé à ramener le sous-marin dans la région pour l’attaquer.

L’hystérie collective faisait son oeuvre déjà!


MON ÉVALUATION

En février 1942,les allemands du  Troisième Reich avaient établi des contacts depuis longtemps avec la civilisation d’Aldébaran,d’ou provenait l’appareil du crash de Freiburg,en 1936.

Maria Orsic avait déjà dessiné et mis au point un premier prototype en…rétro-ingénierie extraterrestre.Déjà les savants du Reich avaient bien organisé l’expédition antartique de 1938-39 …et ils connaissaient  l’existence d’une ancienne civilisation en Antartique.

L’appareil  qui survola Los Angeles,le 26 février 1942,correspond en tout point à la définition des détails qui sont inscrit dans les archives secrètes allemandes.

Photo d’origine du 26 février 1942.

 

Photo prise d’un ovni volant au-dessus du Reichstag peu de temps avant la guerre.Notez la ressemblance.

 

Dessin fait à partir de la description du crash ovni de Freiburg ,en 1936…Le design est là!

 

 

Héritage du Troisième Reich:La dégénérescence sociale et la dépravation sexuelle écrasées par l’arrivée du national-socialisme

Dans son livre de 2014, le professeur Robert Beachy documente la dégénérescence effrénée de la capitale allemande avant que les nazis ne mettent les choses au clair.

Sous la république de Weimar, Berlin était un foyer d’homosexualité, de prostitution masculine; domicile de la première chirurgie «homme-femme».

Couverture: photos de police de la prostituée berlinoise Johann Scheff, arrêtée en juillet 1932. Des jeunes gens vêtus de vêtements féminins qui ont réussi leur passage pour des femmes, sont descendus en masse dans les grands magasins pour voler de grandes quantités de marchandises

 

Pensez à Liza Minnelli et Joel Gray dans Caberet. Pensez à West Hollywood, Greenwich Village ,au  Provincetown et au Castro, connus comme des foyers d’homosexualité.

Mais ils ne ressemblent en rien à la scène sexuelle urbaine «gay» décomplexée et à la vaste sous-culture homosexuelle qui a prospéré à Berlin sous la République allemande de Weimar.

Tout comme en Occident aujourd’hui, la déviance sexuelle et la croyance que certaines personnes devraient être mutilées chirurgicalement parce qu’elles sont «piégées dans le mauvais corps» ont été promues par les Juifs sionistes  et leurs alliés à Berlin pré-national-socialiste.

Les années «libérales» de la ville – avant la montée d’Hitler – sont détaillées dans un nouveau livre, Gay Berlin.

La «science» de la «transsexualité» a été fondée à Berlin à l’Institut des sciences sexuelles où la première «chirurgie homme vers femme» a été réalisée. Les mots «homosexuel» ou «travesti» y ont été inventés.

La couverture de Die Intel, décembre 1930, annonçant un épisode en série de Men for Sale (Manner zu verkaufen)

 Les magazines gays allemands ont également offert des services adaptés aux homosexuels et aux lesbiennes à la sous-culture gay, notamment des médecins spécialisés dans les “ troubles sexuels ”, des agences de détectives proposant d’enquêter sur les menaces de chantage, ainsi que des couturiers et des restaurants

L’expérimentation sexuelle entre les mêmes sexes et les progrès médicaux visant à aider les sexes «piégés dans le mauvais corps» en Allemagne il y a plus de cent ans ont façonné notre compréhension de l’identité gay aujourd’hui.

 

Liza Minnelli et Joel Gray ont joué dans la version cinématographique de Carbaret en 1972

La prostitution masculine, les bars et discothèques homosexuels, les cabarets peuplés d’hommes gais, de lesbiennes et de transsexuels ont prospéré.

C’est à Berlin que les «scientifiques» et universitaires juifs ont conclu que «l’amour du même sexe était une caractéristique naturelle et innée et pas seulement la perversion d’une tendance sexuelle« normale »».

La République de Weimar est sortie de l’épave de la Première Guerre mondiale. Le Kaiser avait disparu, le Traité de Versailles de 1919 a vu l’abolition de l’Empire allemand et la perte d’une grande partie de son territoire.

Ce fut une période troublée et torturée pour l’Allemagne.

«La prostitution omniprésente (hommes et femmes), le travestissement public et l’accès facile aux bars et clubs qui accueillaient des hommes et des lesbiennes homosexuels ne sont que quelques-unes des caractéristiques qui ont soutenu l’industrie du sexe à Berlin.»

La prostitution masculine, les bars et discothèques homosexuels, les cabarets peuplés d’hommes gais, de lesbiennes et de transsexuels ont prospéré dans une sous-culture sexuelle sauvage et incomparable, excitante mais dangereuse.

C’est à Berlin que les scientifiques ont conclu que «l’amour du même sexe était une caractéristique naturelle et innée et pas seulement la perversion d’une tendance sexuelle« normale »», écrit et écrivain Robert Beachy dans son livre fascinant, Gay Berlin: lieu de naissance d’un moderne Identité par les éditeurs Knopf.

La République de Weimar est sortie des décombres de la guerre d’Allemagne. Le Kaiser avait disparu, le Traité de Versailles de 1919 a vu l’abolition de l’Empire allemand et la perte d’une grande partie de son territoire. 

C’était une période troublée et torturée pour l’Allemagne, mais Berlin, l’ancienne capitale impériale est devenue sa ville la plus libérale. 

Un niveau de vie élevé, une vie urbaine dynamique et des attitudes sociales détendues, ainsi que l’afflux d’argent américain ont défini les années vingt à Berlin qui ont été la période la plus créative de l’histoire allemande.

Des écrivains, des poètes, des artistes de Londres, de France et des États-Unis sont arrivés dans la ville allemande pour assister et expérimenter la liberté sexuelle érotique sauvage avec des chercheurs de curiosité, des voyeurs et des homosexuels.

Les Européens de l’Ouest, les Scandinaves et les Russes sont tous venus pour se livrer à leurs appétits sexuels dans la vie nocturne hédoniste et la culture festive de la capitale allemande – ou ils sont venus pour assister au “ Berlin ridiculement licencieux ”, dopant leurs propres impulsions voyeuristes.

Des prostituées travesties assis sur les genoux des hommes gais dans le populaire bar gay de Berlin Marienkasin
Hansi Sturm, a été la gagnante du concours de travesti Miss Eldorado en 1926

 

Il y avait vingt-cinq à trente périodiques homosexuels en langue allemande qui paraissaient à Berlin, hebdomadairement ou mensuellement.

Il n’y a eu aucune autre revue publiée ailleurs dans le monde avant 1945.

Des titres ouvertement nudistes et homosexuels étaient affichés dans les kiosques.

Les bars, clubs et cafés du même sexe sont annoncés ainsi que les services professionnels de médecins, dentistes, avocats, papetiers… le tout avec les «amis implicites».

Dans ces magazines, toute personne confrontée au chantage a trouvé des détectives privés pour traquer les menaces d’extorsion.

Les cross-dressers ont trouvé des couturières qui s’adaptaient aux grandes tailles.

Il y avait les annonces uniques placées à jamais par des individus en quête d’amour.

L’artiste, poète et essayiste moderniste américain Marsden Hartley, habitué du Berlin des années 1920, «a assisté à de grands bals de travestis et à des bars homosexuels fréquentés par des escrocs masculins.

Il a rappelé plus tard: «La vie à Berlin était alors au sommet – c’est-à-dire au plus haut niveau de sophistication et d’abandon. Aucun de nous n’avait rien vu de tel que le spectacle ». 

Le célèbre architecte américain Philip Johnson, souvent considéré comme le doyen des architectes américains, «s’est prévalu de la prostitution masculine de Berlin».

“Paris n’a jamais été aussi hospitalier”, a déclaré Johnson. Il a parlé couramment l’allemand plus tard en disant: «Je l’ai appris de la meilleure façon, en utilisant« la méthode horizontale ».
Travestis buvant des boissons dans le club Eldorado qui n’était pas caché mais célébré à l’âge d’or de la scène des bars et clubs gay à Weimar Berlin. C’était un point chaud pour la haute société et faire la fête jusqu’à l’aube était la norme

Le Dr Magnus Hirschfeld a ouvert en mars 1919 l’Institut des sciences sexuelles, le premier établissement de ce type au monde à offrir des conseils médicaux et psychologiques sur les questions sexuelles aux hommes et aux femmes hétérosexuels, aux homosexuels, aux travestis et aux intersexués, également appelés hermaphrodites ou individus capturés entre mâle et femelle.

«L’institut a représenté la première tentative d’établir la« sexologie », ou science sexuelle, comme sujet d’étude et de recherche universitaire légitime.

“Nulle part ailleurs dans le monde il n’y avait autant de département ou de chaire universitaire consacré au sujet, encore moins un institut entier”, écrit l’auteur Robert Beachy.

L’Institut a également mis l’accent sur l’éducation du public et avait un musée de la sexualité, le musée Hirschfeld, avec non seulement des tableaux muraux et des photographies, mais aussi des cas remplis de phallus et de fétiches du monde entier.

Des photographies d’homosexuels vêtus de chapeaux énormes, de boucles d’oreilles et de maquillage adoraient les murs ainsi que des femmes en vêtements pour hommes et chapeaux haut de forme.

Lorsque le Dr William Robinson, médecin new-yorkais et militant éminent du contrôle des naissances, a visité l’institut en 1925, il a déclaré: «C’est une institution absolument unique au monde… que j’espérais établir aux États-Unis mais que je ressentais ne prospérerait pas à cause de notre attitude prude et hypocrite envers toutes les questions de sexe.

C’est dans cet institut que Hirschfeld et ses collègues ont été les pionniers de certaines des premières chirurgies de changement de sexe ainsi que des traitements hormonaux primitifs

Le Dr Hirschfeld a étudié le travestissement, les hommes et les femmes qui portaient des vêtements de sexe opposé. 

Auparavant interprété comme un symptôme d’homosexualité par des psychiatres et des sexologues, et associé à la prostitution et à des activités criminelles, Hirschfeld pensait que les travestis étaient souvent hétérosexuels.

Carte postale illustrée du club gay Silhouette, populaire à la fin des années 1920 et au début des années 1930. Toujours sous une brume bleue de fumée de cigarette et de cigare, des stars de cinéma, des artistes de cabaret et une riche noblesse étaient des habitués, dont une jeune Marlene Dietrich aux côtés de princes, comtes et barons.
Les responsables nazis trient des documents non allemands et pervertis dans les débris de l’Institut des sciences sociales, qui ont été saccagés le 6 mai 1933, pour un événement de gravure de livres qu’ils ont organisé quatre jours plus tard.

Des imitateurs masculins et féminins ont attiré des foules énormes dans les cabarets, les cirques et les théâtres de variétés – ainsi que pour se divertir dans les grands bals travestis et les clubs homosexuels, mais ils risquaient d’être arrêtés par la police et harcelés.

Le Dr Hirschfeld a aidé à réformer les pratiques de la police de Berlin et les a convaincues de délivrer des “ laissez-passer travestis ” afin que les artistes puissent travailler sans crainte de harcèlement, bien qu’aucune loi n’interdise le travestissement public.

Mais s’habiller comme le sexe opposé a parfois inspiré le désir d’une métamorphose physique.

Le médecin a donc effectué l’une des premières chirurgies (primitives) de changement de sexe masculin à féminin sur un officier de vingt-trois ans qui avait combattu pendant la Première Guerre mondiale.

Dès son enfance, il s’est senti pris au piège dans le mauvais corps et n’est entré dans l’armée que pour démontrer sa masculinité. Mais cela n’a pas maîtrisé ses sentiments féminins et une fois la guerre terminée, il s’est senti suicidaire.

Le collègue de Hirschfeld, le Dr Arthur Kronfeld, a retiré les testicules de l’homme et l’effet a été assez réussi, conduisant à une «relaxation psychique et un sentiment permanent d’harmonie et d’équilibre».

Ses poils faciaux ont disparu et maintenant il est passé pour une femme.

Il a rendu visite à un gynécologue de Dresde, le Dr Richard Muhsam, qui a fait une “ structure semblable à un vagin ” et a rentré son membre là-dedans dans ce qui était la première tentative de construction d’un vagin pour un homme.

Page couverture du fameux livre :Gay Berlin.

Cinq mois plus tard, l’ancien officier était de retour et a déclaré avoir des érections.

Il était également tombé amoureux d’une femme, avait abandonné son travestissement et était maintenant masculin.

Le médecin a réussi à défaire la chirurgie et à restaurer sa masculinité.

Des thés de l’après-midi et de grands bals costumés ont été organisés à l’Institut comme autre lieu de rencontre pour les travestis flamboyants. Les boules ont attiré de jeunes prostituées de sexe masculin ainsi que des travestis et des homosexuels éminents et ouverts.

Hirschfeld voulait que les hommes et les lesbiennes homosexuels connaissent une plus grande épanouissement érotique qui n’était pas lié à la procréation. 

Avec la Grande Dépression de 1929 et l’effondrement du marché boursier américain, l’âge d’or glissait vers un gouvernement dirigé par Hitler au printemps 1930, les nazis étaient à la hausse avec les nouvelles élections du Reichstag.

En 1933, Adolf Hitler acheva sa marche au pouvoir – et avec fureur les nazis poursuivirent Hirschfeld comme symbole de tout ce qu’ils détestaient – en tant que juif, homosexuel et sexologue.

1933,prise du pouvoir par le Führer Adolph Hitler.

La fête à Berlin était terminée. 


MAIS…

Cela n’a pas empêché un  orateur éloquent et un véritable leader politique allemand de soulever  la jeunesse vers une  grande révolution nationale-socialiste…et il était homosexuel:

 

…et il aura une  place de choix dans un de mes prochains articles.

 

 

 

La photo surprenante du jour:Un âne et des charrettes à cheval devant un char lourd Tiger I dans une ville russe (hiver 1943-1944)

Photographe: Stöpfgeshoff
Source: Archives fédérales allemandes
Code d’identification: Bild 101I-458-0076-31

Quelle contraste durant cette guerre!…Il y a déjà plus de 75 ans!

 

 

 

 

 

La Conspiration nazi:Les Nazis ont fourni la bombe atomique aux Américains et transféré leurs autres technologies d’origine extraterrestre

Des bouteilles scellées “doublées d’or” contenaient 1.120 livres d’uranium enrichi portant la mention “U235”, la matière fissile à partir de laquelle sont fabriquées les bombes atomiques. Le livre Critical Mass décrit comment ces composants de la bombe nazie ont été utilisés par le projet Manhattan pour compléter à la fois la bombe à l’uranium  larguée sur Hiroshima et la bombe à base de plutonium larguée sur Nagasaki.

 

Preuve que Martin Bormann était un agent des Illuminati [1] et que la Seconde Guerre mondiale était une sinistre charade, il avait organisé le transfert de la technologie nazie avancée aux États-Unis à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

 Bormann était un agent banquier cabaliste qui avait subverti l’effort de guerre nazi. Hitler l’a protégé. Les deux hommes étaient des traîtres allemands.

Le sous-marin allemand ‘U234 se rend à l’USS Sutton le 14 mai 1945 pour être escorté vers NH Portsmouth. Il transportait de l’uranium enrichi et d’autres technologies nazies avancées.

 

La Seconde Guerre mondiale a été conçue pour détruire l’ancien ordre et faire place au nouvel ordre. Les Illuminati ont sacrifié 60 millions de personnes à leur dieu Satan. L’humanité est sataniquement possédée par le cabalisme.

Le transfert de technologie a été révélé dans le livre Critical Mass (1998) de Carter Hydrick. Le livre a été largement ignoré à cause de sa vérité qui dérange. En outre, Hydrick, un chercheur méticuleux, n’a pas souligné la portée de ses conclusions comme je l’ai fait. Au lieu de cela, il s’est concentré sur les détails de la production de bombe atomique américaine, les mouvements de Bormann, le journal de bord du U-234, etc. pour prouver son cas.

Kirkus fournit un excellent résumé du livre de Hydrick:

 

Critical mass…ou masse critique

 

Un regard radicalement révisionniste sur la course à la bombe atomique pendant la Seconde Guerre mondiale.

“Selon l’histoire conventionnelle, les États-Unis ont été le premier pays à inventer une bombe atomique et ont ainsi remporté la guerre contre les puissances de l’Axe. Cependant, l’auteur Hydrick affirme que le gouvernement américain n’a pas été en mesure de produire suffisamment d’uranium ni le mécanisme de déclenchement nécessaire à un appareil entièrement fonctionnel.

En outre, l’Allemagne hitlérienne avait certes suffisamment d’uranium de qualité pour produire la bombe, mais elle a finalement décidé qu’il n’était pas dans son intérêt de l’utiliser, car elle aurait risqué l’équivalent de 2 milliards de dollars pour ce qui était au mieux une tentative désespérée.

Au lieu de cela, l’auteur a écrit que l’Allemagne avait l’intention d’utiliser la bombe fabriquée comme levier dans les négociations ou de la livrer  au Japon. L’auteur affirme que Martin Bormann [l’adjoint de Hitler] a bien tenté de négocier un accord avec le Japon, mais a finalement secrètement pris des dispositions pour remettre les documents de la bombe aux États-Unis.

En bref, ce livre soutient que l’Amérique a perdu la course aux armements et que, sans le transfert technologique de l’Allemagne nazie, l’Union soviétique aurait été plus puissante.

Dans cette troisième édition de son livre, Hydrick adresse la critique selon laquelle, si son récit est véridique, il resterait des quantités énormes de restes d’uranium non utilisés, bien qu’aucun stock n’ait jamais été retrouvé. Mais en fait, dit-il, 126.000 barils ont été découverts, confirmant ainsi sa thèse. Les théories d’Hydrick sont aussi provocantes que méticuleuses; contrairement à d’autres chercheurs qui se sont penchés sur les comptes personnels et les documents des Archives Nationales, il a passé au peigne fin les enregistrements de production d’uranium, les documents d’expédition et les enregistrements de fabrication métallurgique qui ont été en grande partie négligés. Le récit qui suit se lit comme un drame captivant, bien que parfois le rythme général de l’histoire soit contrecarré par de longues phrases baroques et un style de prose saccadée. Néanmoins, ce livre marque un tournant dans l’histoire de l’érudition sur la bombe atomique, et aucune étude future ne peut ignorer de manière crédible ses arguments convaincants.

Une rareté dans la littérature académique – un livre véritablement original sur un sujet d’une importance capitale. “

AUTRES FRIANDISES

En plus de l’uranium enrichi, l’U-234 transportait également des plans, des pièces et du personnel pour construire des fusées V-4, des jets Messerschmidt 262 et même le plan de l’avion stratosphérique Henschell 130. (p. 294) Le projet Paperclip, le recrutement de scientifiques nazis, s’inscrivait dans la continuité de ce transfert de technologie.

Hydrick dit que l’usine de caoutchouc de Buna à Auschwitz était en réalité une usine pour enrichir l’uranium. Elle consommait plus d’électricité que toute la ville de Berlin et n’a jamais produit  de caoutchouc. (72)

Adolph Hitler souriant au côté de Gobbels.

Il dit que le sous-marin a largué Bormann en Espagne. L’ensemble de l’opération a été déguisé en transfert de technologie au Japon. Deux attachés de la marine japonaise à bord ont été autorisés à se suicider quand ils ont été informés de la véritable destination.

Hydrick a trouvé des preuves archivistiques prouvant la complicité entre les nazis et les Américains. Les États-Unis étaient au courant des progrès de l’U-234 et ont protégé le sous-marin. Ils savaient où se trouvait Bormann. (270) Selon M. Hydrick, des documents essentiels sont absents des archives visitées.

Hydrick conclut: “A croire qu’une grande partie des actions décrites dans ce livre ont réellement eu lieu, il faut croire que le gouvernement des États-Unis, sous une forme ou une autre, était en lien avec Martin Bormann et avec ceux qui ont participé à son évasion.” (269)

En effet ils l’étaient. Comme pour le sauvetage de Berlin de Bormann par les Britanniques, le transfert de technologie fut un échange pour la sécurité de Bormann (et de Hitler?[2]) Après la guerre. Borman était un agent “allié” tout au long de la guerre et même avant.

Les nazis étaient une fausse opposition. Au sommet, ils travaillaient pour les banquiers Illuminati qui contrôlent à la fois le fascisme et le communisme.

Pour les cabalistes, i.e. les juifs,  la guerre est un acte révolutionnaire car elle augmente le pouvoir et la richesse du banquier juif, sape la civilisation chrétienne (donc goyim), tue les gens et avance le but ultime: remplacer Dieu par Satan.

 C’est un projet “révolutionnaire” parce qu’il renverse la réalité. Le mal est bon; les mensonges sont la vérité, moche est belle et malade est en bonne santé. Nous avons été sataniquement possédés.


COMPLÉMENTAIRE NO 1

Pourquoi les Britanniques ont sauvé le chef des Nazis, Martin Bormann, en 1945

Je rappelle que toutes les guerres sont conçues par les banquiers maçonniques  sionistes juifs pour détruire et asservir les goyim.

Martin Bormann, qui  signait le bulletin de paie d’Hitler et savait tout de l’effort de guerre nazi, était un espion allié. Le livre “Op JB” (1996) de John Ainsworth-Davis décrit comment les Britanniques l’ont sauvé des ruines de Berlin en avril 1945.

James Bond [1] a été modelé sur Ainsworth-Davis qui était un esclave sexuel Illuminati et un meurtrier de masse. Il a peut-être rendu service à Winston Churchill [2] et à son maître-espion Desmond Morton.

Ce livre est la preuve tangible que la Seconde Guerre mondiale était une sinistre mascarade. Alors que la plupart des nazis étaient sincères, le mouvement a été parrainé et contrôlé au sommet par la banque centrale maçonnique juive afin de déclencher une guerre pour tuer les “goyim” patriotes des deux côtés et faire avancer le gouvernement mondial. Les Juifs assimilés ont également été sacrifiés à cet agenda diabolique.

 

Je me doutais que Simon & Schuster a publié ce livre en fanfare et avec une grosse avance. Cependant, ce récit des circonstances de la publication authentifie l’histoire d’Ainsworth-Davis.

D’abord, Martin Bormann était un agent Rothschild – Des preuves accablantes

(1er juillet 2009)

Le deuxième homme le plus puissant de l’Allemagne nazie, Martin Bormann, secrétaire particulier d’Hitler et responsable de l’appareil du parti nazi, était un agent des Illuminati (c’est-à-dire britannique) qui avait assuré la destruction à la fois de l’Allemagne et du judaïsme européen.

 Ainsi, il a fait avancer deux des objectifs principaux des Illuminati: intégrer l’Allemagne dans un gouvernement mondial en annihilant ses prétentions nationales, culturelles et raciales, et établir Israël en menaçant les Juifs d’Europe de disparition.

Lors de ma première présentation de cette affaire en juin 2007, un lecteur m’a suggéré de lire le livre “OPJB” (1996). Le commandant John Ainsworth-Davis explique comment, avec Ian Fleming, a dirigé une équipe de 150 hommes qui a sauvé Martin Bormann de Berlin déchirée par la guerre, le 1er mai 1945, à l’aide de kayaks de rivière. Selon ce livre, Bormann aurait vécu jusqu’en 1956 sous une fausse identité avant de mourir au Paraguay en 1959.

Le titre du livre signifie “Operation James Bond“. Ian Fleming a pris le nom de l’auteur de “Un guide de terrain pour les oiseaux des Antilles” pour le sauvetage de Bormann et l’a plus tard donné au héros de sa série d’espionnage, inspirée d’Ainsworth-Davis, qui a utilisé le nom de Christopher Creighton. Il est décédé en 2013 à l’âge de 89 ans.

Vous parlez d’une dissimulation de quelque chose qui est disponible à la vue de tous! La preuve que Bormann, l’homme le plus responsable de l’holocauste était un agent britannique est sur les étagères depuis 1996! Le livre comprend une lettre de 1963 d’Ian Fleming confirmant que lui et Creighton avaient dirigé le sauvetage de Bormann. Il comprend également une photo d’une lettre de Winston Churchill datant de 1954 donnant à Creighton l’autorisation de raconter cette histoire après la mort de Churchill, “en omettant, bien sûr, des faits qui, vous le savez, ne doivent jamais être révélés”.

Selon Creighton, Martin Bormann était en réalité assis dans la galerie d’un visiteur privé lors du procès de Nuremberg lorsqu’il a été condamné à mort par contumace! (p.243)

 La couverture prétexte  était que Bormann aiderait soi-disant les Alliés à récupérer le pillage de guerre par les nazis et à le rendre à ses propriétaires légitimes. Si vous croyez cela, j’ai des neiges éternelles sur le mont Arafat près de la Mecque. Bormann avait toujours été un agent des Illuminati britanniques et était le plus grand responsable de la défaite nazie. Louis Kilzer estimé qu’il valait, à lui seul,  50 divisions (soit entre 500 et 750 mille hommes). Hitler l’a couvert. La Seconde Guerre mondiale était une monstrueuse arnaque commise par Rothschild contre les Allemands, les Juifs et la race humaine. La razzia et le pillage commis durant cette guerre ont fini entre les mains des Illuminati.

Le véritable “JAMES BOND” était un esclave sexuel illuminati et un assassin de masse

Le vrai James Bond a aidé à tuer des milliers de personnes, principalement des alliés britanniques. Il était hanté par les fantômes des personnes qu’il a liquidées, qui sont des “personnes parfaitement loyales et innocentes qui avaient été prises dans nos opérations …” (79)

Il ne faisait que “suivre des ordres”, ce qui n’avait aucun sens pour du point de vue d’un patriote  “Nous n’agissions ni par patriotisme ni pour des principes moraux élevés. Nous ne le faisions pas pour l’Angleterre ou pour l’Oncle Sam. Comme d’habitude, nous faisions ce qu’on nous avait demandé de faire: nous exécutions nos ordres.” (170)

Par exemple, Creighton a informé les nazis de l’heure et du lieu exact du raid de Dieppe en 1942, qui coûta la vie à 3.000 Canadiens. On lui a dit que les Britanniques voulaient tester les défenses nazies. Les vraies raisons étaient de convaincre Staline qu’il était trop tôt pour un deuxième front et renforcer la crédibilité de Creighton au moment de l’invasion de la Normandie.

Creighton parle également de “Operation Tiger” en avril 1944, un exercice d’entraînement à Slapton Sands, dans le Dorset, interrompu brutalement par huit torpilleurs allemands. Le bilan: plus de 800 américains se sont noyés. (Le chef de la Gestapo, Heinrich Muller, a écrit que les nazis avaient été prévenus par un espion allemand.) Le fiasco a été gardé secret pour protéger le moral du Jour-J. Creighton dit que, pour garder le secret,  les survivants ont été soit internés soit tués par une mine marine. (p.25) Malgré le fait que le rivage dorsétien ressemblait à la Normandie, les nazis n’auraient pas réussi à en tirer la conclusion logique.

John Ainsworth Davis

 

Les agents qui ont découvert les “vrais secrets de la Seconde Guerre mondiale” (c’est-à-dire le fait que les nazis étaient infiltrés et dirigés par des “anglais“) étaient souvent trahis et assassinés au combat. Cela est arrivé à la petite amie de Creighton, Patricia Falkiner. Morton a avoué que Falkiner était sa pupille: “Il avait fait de son mieux pour que Patricia ne reste pas en opération … seulement après qu’elle ait découvert les secrets les plus vitaux à Bletchley selon lesquels il avait été forcé de la déployer ...” (p. 85)

Creighton, à gauche, s’assura également que Pearl Harbour, un autre exemple de la ruse des Illuminati, serait tenu secret. Le 28 novembre 1941, un sous-marin néerlandais, le K-XVII, intercepta la flotte japonaise en route vers Pearl Harbour et alerta le QG de la marine britannique. Afin de maintenir l’illusion que Pearl Harbour était une surprise, le sous-marin et son équipage ont été détruits. Creighton “a anéanti tout l’équipage du navire avec deux minuscules bouteilles de cyanure insérées dans leur réserve d’oxygène et une boîte d’explosifs puissants déguisés en whisky (…) la guerre m’avait transformé en un démon et un meurtrier de masse …” (p. 81)

“La Section M ” (Pour Morton), un paradis pour pédophiles?

 

Winston Churchill et Desmond Morton …souriant!

Officiellement,  Desmond Morton était le “conseiller” de Winston Churchill. En fait, il était responsable d’une organisation secrète Illuminati vouée à faire progresser la dictature du gouvernement mondial par le biais de grenouillages. Il était financé par la “Couronne”, c’est-à-dire la Rothschild’s Bank of England. Il ne répondait qu’à Churchill qui, bien sûr, ne répondait qu’à Victor Rothschild. Le directeur de la Banque d’Angleterre, Montagu Norman, a recommandé Ian Fleming à la Naval Intelligence (les Renseignements de la Marine). (Fleming avait 15 ans de plus que Creighton.)

La  “Section M” disposait des ressources de la Royal Navy et des Marines et était responsable du sauvetage de Martin Bormann, voire d’Hitler si nécessaire (voir ci-dessous).

 

Morton ne s’est jamais marié et il y a des rumeurs selon lesquelles Churchill et Morton avaient un attachement homosexuel. Il a accusé Churchill d’avoir des sentiments homosexuels envers FD Roosevelt. (Winston Churchill, par Chris Wrigley, p. 268)

Les meilleurs agents et commandos comme Creighton ont été choisis parmi des hommes et des femmes dès leur adolescence et qui étaient personnellement connus des Illuminati. Creighton n’avait que 21 ans en 1945. Souvent, les jeunes étaient orphelins ou séparés de leurs parents. Par exemple, les parents de Creighton étaient divorcés mais Louis Mountbatten et Desmond Morton étaient des amis de la famille. Morton prit Creighton sous son aile et devint son “oncle“. Dans un moment de crise, “je l’ai étreint comme je l’avais si souvent fait dans le passé“. (85)

Creighton parle de son service dans la section M en termes sinistres: “de terribles années de trahison et d’horreur dans lesquelles j’avais été forcé.” (78) Il parle de “l’influence et du contrôle de type Pygmalion (Personne amoureuse d’une autre et qui la conseille et la façonne pour la conduire au succès) que Morton exerçait sur moi depuis ma tendre enfance“.

À 15 ans, Creighton a eu l’apparition d’un “ange noir” qui l’a possédé comme un “ange de la mort”.

Je me suis réveillé au milieu de la nuit, trempé de sueur et il était là, debout au pied de mon lit … Je ne pouvais plus bouger. Avec un sentiment de dégradation totale et de terreur, j’ai réalisé que j’étais impuissant à empêcher qu’il me possède – comme il le ferait souvent dans les semaines, les mois et les années qui ont suivi “.

On dirait que Creighton a été victime d’un pédophile tenace.

Cet Ange Noir n’était autre que Morton. Creighton poursuit directement: “En regardant en arrière, je peux voir à quel point j’étais complètement sous l’emprise de Morton pendant la majeure partie de la guerre. De 1940 à 1945, j’étais sa marionnette, manipulée par lui et exécutant ses ordres.” (18)

Le dernier test d’endurance pour “les garçons et les filles consistait en 12 coups de canne administrés par un sergent des  Commandos de la Marine sur leurs fesses nues devant leur classe“. (69)

Il est possible que, comme certains agents MI-5 et MI-6 aujourd’hui, certains agents de la Section M aient été des esclaves sexuels contrôlés par l’esprit et par le corps. Greg Hallett a une explication différente, occulte.

Pions dans leur jeu

Le MO de Morton était “une supercherie et un double jeu”, dit Creighton. C’est incroyable qu’il ait pu raconter l’histoire. C’est peut-être parce qu’il a accepté la fable que Bormann a été sauvé afin de restituer le pillage nazi à ses propriétaires légitimes.

Comme Creighton, nous sommes tous des pions dans leur jeu. Par exemple, Otto Gunther, le double de Bormann, était un prisonnier de guerre trouvé au Canada. Les registres de Bormann ont été modifiés pour correspondre à Gunther. Ainsi, lorsque le cadavre de ce dernier a été retrouvé, les gens ont pensé qu’il était celui de Bormann.

Les commandos accompagnant Bormann lors de son évasion n’avaient aucune idée de son identité. Beaucoup étaient des “combattants de la liberté” juifs. Quelle triste ironie!

Les grandes nations, l’Angleterre, les États-Unis, l’Allemagne et la France sont toutes des pions aux mains des Illuminati [3]. À quoi sert une démocratie lorsque l’Ordre Illuminati possède les politiciens et contrôle l’information?

Pensez aux millions de personnes qui sont mortes au cours de la Seconde Guerre mondiale pour détruire et dégrader l’humanité afin que les membres de la famille Illuminati puissent posséder et contrôler tout le monde. Ils sont toujours occupés à nous diviser les uns contre les autres, de telle sorte que nous ne nous unirons jamais contre eux.


Le correspondant Greg Hallett décrit le “body jumping” et comment  Hitler was also saved

Article lié à “Bormann Ran Hitler for the Illuminati”   et Hitler & Bormann Were Traitors sont des lectures indispensables à cet égard.

Source importante à lire:  Les nazis n’ont jamais été détruits



AFIN DE VOIR  LA LOGIQUE  DE CET ARTICLE:

Voici un lien important qui prouve ce qui est avancé ici:

Réécrire l’histoire :la bombe atomique,Hiroshima et les débuts du terrorisme illuminati


Source : Bormann Supplied Nazi Uranium for US Atom Bombs

 

Le développement du A4 aurait pu permettre de lancer une bombe atomique par ce porteur!

 

Le futur développement du A10 aurait permis d’envoyer une fusée A9 en orbite.

Reprise d’une expérience allemande:des branchies en 3D pour permettre à l’homme de respirer en continu sous l’eau

Au beau milieu de la Seconde Guerre Mondiale,de grands scientifiques allemands  avaient rêvé de fabriquer une armée de soldats capable de  franchir des mers,voire des océans  par leurs propres moyens,sans  scaphandres autonomes!Ils pensaient à développer  une nouvelle race d’humains  hybrides:moitié homme,moitié poisson!

Regardez maintenant ou l’on est rendu en 2019:

 

Grâce au designer et chercheur en biomimétisme japonais Jun Kamei on entre dans une ère sous marine nouvelle. Ce dernier a en effet créé un équipement bien utile aux amateurs de plongée. Plus précisément, il s’agit des branchies artificielles en 3D qui devraient nous aider à continuer de respirer sous l’eau.

Comme le rythme de vie terrestre peut être assez lassant à la longue, on a tous rêvé a un moment ou à un autre de vivre sous l’eau comme les poissons; dans une « dimension » sans bruits et sans stress.

On pense d’ailleurs que Jun Kamei, qui travaille actuellement à l’université de Tokyo s’est inspiré de cette idée pour faire aboutir sa création. Le mois dernier, le chercheur a dévoilé son invention à l’Imperial College de Londres.

 

Jun Kamei a nommé son invention Amphibio. Selon le créateur, il s’agit d’un couplage entre un concept et un prototype de travail. L’équipement a été obtenu par impression 3D et est destiné à fonctionner de la même manière que la branchie des poissons. En d’autres termes, c’est un équipement qui va emprisonner l’oxygène et qui permettra à son utilisateur de respirer sous l’eau. Selon Jun Kamei, ce dispositif sera très utile lorsque la température mondiale atteindra un niveau invivable et que le niveau de la mer aura considérablement augmenté.

 

Selon les tests, le dispositif permettrait effectivement d’avoir un niveau d’oxygène plus important  que celui prodigué par le tuba ou la bonbonne d’oxygène. Il est donc plus pratique pour la plongée. Cette invention s’appuie totalement sur le mécanisme des branchies des poissons. En d’autres termes, amphibio va extraire de l’oxygène dans l’eau. La bonne nouvelle est que, ces branchies artificielles sont produites par impression 3D. Au niveau du design, elles sont proposées sous forme de combinaisons.

 

 

Alors, Amphibio est proposé en trois modules à enfiler qui vont être connectés à un masque en forme de coquille. Le combinaison va aspirer l’eau et retiendra ensuite l’oxygène pour l’acheminer vers le masque. Ensuite, le même masque va rejeter le CO2.

Outre, grâce à son système de surveillance de niveau d’oxygène, le combinaison n’expose en aucun cas son porteur aux risques de noyade. Aussi, le renouvellement de l’oxygène se fait  travers de la membrane des branchies qui va permettre l’infiltration de l’eau environnante.

 

 

Actuellement, cet équipement subit encore quelques modifications comme il présente certains limites. Jun Kamei estime que ces soucis pourront être corrigés très prochainement. D’ailleurs, jusqu’à l’aboutissement total du projet, l’inventeur compte le tester en aquarium avec des cobayes humains. Le but de Jun Kamei est notamment d’évaluer les points qu’il faut encore améliorer sur l’équipement.


EN COMPLÉMENT

L’origine de ce vieux rêve :Les Chevaliers de Poséïdon  et le projet Homo Aquaticus

LES CHEVALIERS DE POSEIDON .
En 1950, du moins en France, les hitlériens, dispersés, tenus à l’écart des fonctions publiques, paraissaient avoir usé leurs forces vives. Soudain, dans le monde entier, la 3e Force Noire resurgissait, et son noyau le plus virulent se constituait en société secrète, Les Chevaliers de Poséidon, cachant ses

desseins occultes sous une activité sportive, celle des plongeurs sous-marins
L’existence des maquis communistes du Sud-Ouest et de la 3e Force Noire ne trouve pas grand crédit auprès des milieux gouvernementaux. Il ne nous appartient pas de forcer les réserves, mais nous signalons toutefois qu’en 1948 l’hebdomadaire France-Hebdo. En marge des clubs, s’entraînant de façon intensive sur les côtes américaines, espagnoles et africaines, la 3e Force Noire regroupait ses éléments sur le principe des maquis communistes clandestins du capitaine El Sol qui, de nos jours, tiennent solidement position dans le Midi et le Sud-Ouest, notamment le long de la frontière espagnole. Les effectifs des deux groupements politiques, fondamentalement opposés, sont à peu près les mêmes : 15 000 hommes dans les rangs des Chevaliers de Poséidon, autant pour les communistes : bûcherons, ouvriers agricoles et maçons qui contrôlent les passages pyrénéens.

Quant à la 3e Force Noire, France-Dimanche, malgré des réticences avouées, dut convenir de l’authenticité du groupement devant le témoignage que vint apporter à Guy Goujon, rédacteur en chef, et au secrétaire de rédaction, un collaborateur condamné à mort, publiant une relation détaillée sur les effectifs, l’armement et les positions clefs tenues par les trois maquis communistes dans les Landes, dans les Pyrénées et dans la région de Montpellier, reçut la visite du capitaine El Sol (Coustellier), bien connu des maquis F.T.P. de 1944, qui reconnut volontiers le bien-fondé de cette information.

Une aventure attire vers les fonds marins des personnages mystérieux. En Europe, un grand nombre de plongeurs célèbres étaient, en 1940, des partisans politiques des régimes totalitaires.

Une enquête sur le trésor – contesté ― de Rommel .

 La société secrète – non déclarée évidemment – des Chevaliers de Poséidon n’a rien de commun ni aucune relation avec les Clubs et sociétés de pêche et de chasse sous-marines légalement constitués, tant en France qu’à l’étranger. Nous espérons qu’aucune association connue n’existe sous ce nom. 224 France-Hebdo, avril 1949, n° 264-265-266. 225 Voir France-Dimanche, n° 149, 10 juillet 1949.

 

C’est dans les eaux côtières de la Corse que l’on nous a confirmé l’existence d’un véritable Ordre Teutonique sous-marin. L’ex-condamné à mort, qui avait rencontré le rédacteur en chef de France-Dimanche, nous a fait à ce sujet de surprenantes confidences : Si le trésor existait, il y a belle lurette que nous l’aurions récupéré. Mais peut-être avons-nous la garde d’autres trésors, authentiques ceux-là, vous pouvez me croire… L’Ere du Verseau est arrivée, c’est-à-dire l’ère du Trident, de Poséidon, du Cheval Marin et du Cheval du Chevalier…

Sans doute le savez-vous : à l’extrême pointe occidentale des Açores, il existait encore, au XVIe siècle, une statue équestre, celle du Chevalier Noir.
Presque inconsciemment, les rescapés de la dernière guerre se sont rassemblés pour une nouvelle aventure. Vous avez dû le remarquer, la conquête du fond des mers est, en certains cas, le fait d’hommes très particuliers, qui ont été . Elle regardait l’océan Atlantique, le Nouveau Monde qui était ancien et Atlantis immergée et émergée. En 1949, vous avez, avec notre autorisation, publié un reportage sur cette jeunesse d’après la défaite, qui jouait aux SS à Ozoir-la-Ferrière. Je puis donc vous faire encore certaines confidences. Nous faisions alors un baroud d’honneur, histoire de ne pas perdre la face et de nous persuader de quelque confuse certitude. Bref, tout cela s’est dilué dans des magmas d’indifférence et de veulerie et seuls ont subsisté les plus tenaces, la meilleure trempe : les fils et les filles des Hyperboréens. Ceux-là ont réfléchi, refait les calculs et réalisé en partie le grotesque et le primaire de certaines conceptions hitlériennes (sic). Oui, avec son sens du grand-guiqnolesque et avec sa folie, Hitler a mené les Hyperboréens à la mort. Sans doute même est-il le plus grand criminel du siècle, car il a fait massacrer la véritable élite, celle qui aurait mérité de survivre et de repeupler le troisième millénaire.

Presque inconsciemment, les rescapés de la dernière guerre se sont rassemblés pour une nouvelle aventure. Vous avez dû le remarquer, la conquête du fond des mers est, en certains cas, le fait d’hommes très particuliers, qui ont été amenés là par leur dynamisme et la nécessité de cacher une activité répréhensible. Seule l’élite est agréée dans notre section, laquelle est très exactement un Ordre de Chevalerie – adapté aux temps nouveaux – avec des rites d’initiation.
Toute formation politique ouvertement déclarée, fasciste, hitlérienne ou nazie, est absolument étrangère à notre bord.
En tout cas, l’aspect sérieux de l’opération Homo Aquaticus est en partie accrédité par l’intérêt que les gouvernements portent aux questions sous-marines. En 1961, écrivant au . Si nous effleurons cette déplaisante question politique, c’est parce qu’elle revêt soudain un caractère fantastique assez inattendu, qui surgit au-dessus de l’habituel fatras. Incapables de participer à la grande aventure cosmique qui s’annonce, ils ont voulu affirmer leur présence. Il s’agit de créer un homme nouveau – l’Homo Aquaticus – artificiellement apparenté aux poissons et capable, comme eux, de vivre dans le milieu marin. Brutalement exprimé, si invraisemblable que cela puisse paraître, les Chevaliers de Poséidon veulent devenir des poissons et constituer un Empire sous-marin. De prime abord, un pareil projet, même étalé sur des millénaires, semble chimérique, pour ne pas dire démentiel. La mutation prévue pour l’Homo Aquaticus vise à le faire nager, respirer, se nourrir et procréer exactement comme les poissons, et sans le secours de scaphandres. Ce projet, très sérieux, n’appartient pas en propre aux anciens nazis. Ils l’ont emprunté à des organismes officiels absolument étrangers à leur idéologie politique. Il est vrai que même si les Chevaliers de Poséidon ont eu l’idée les premiers, ils n’avaient pas la possibilité de l’exprimer publiquement.

Homo aquaticus
De nombreuses expériences furent menées sur l’être humain par le Troisième Reich.

En tout cas, l’aspect sérieux de l’opération Homo Aquaticus est en partie accrédité par l’intérêt que les gouvernements portent aux questions sous-marines. En 1961, écrivant au président du Sénat américain, le Président Kennedy s’exprimait ainsi : La connaissance des océans est plus que de la simple curiosité. Notre survivance même en dépend peut-être. Au deuxième Congrès Mondial Subaquatique qui se tint à Londres en octobre 1962, sir Wavelle Wakefield, membre du Parlement, a repris l’idée d’un projet qui avait mystérieusement échoué en 1960. A cette époque, des plongeurs français et l’Anglais Oscar Gugen, vice-président de la Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques (CMAS), voulaient prendre place comme passagers à bord d’un transatlantique effectuant la traversée Le Havre-New York. Arrivés au milieu de l’Océan, ces hommes devaient prier le commandant de réduire la vitesse, puis, solennellement, ils auraient immergé un grand drapeau bleu foncé marqué aux initiales CMAS, en déclarant qu’ils prenaient possession du fond des mers au nom de leur groupement. Il devenait alors obligatoire pour le commandant de faire un constat de l’incident sur son registre de bord, ce qui, dans l’immédiat, n’avait aucune répercussion, mais pouvait acquérir plus tard, en droit international, une importance encore imprévisible. Or, ce projet ne fut pas mis à exécution pour des raisons mal définies, et certains y voient maintenant une manoeuvre des Chevaliers de Poséidon peu enclins à se laisser devancer dans cette entreprise. Quant à l’opération Homo Aquaticus, elle fut rendue publique au cours du Congrès d’octobre 1962 par le commandant Cousteau qui avait déjà expérimenté sur les côtes méditerranéennes un système de stations sous-marines.
L’opération Homo Aquaticus consiste dans l’étude de la possibilité, pour l’homme, de s’intégrer définitivement au milieu marin. En bref, le commandant Cousteau, représentant officiel de groupements apolitiques et agréés par le gouvernement français, préconisait de remplir la cavité thoracique des plongeurs avec une matière plastique et de remplacer le complexe poumons-coeur par un système pseudo-branchial auquel seraient branchées les veines et les artères. Ainsi, l’homme ne pourrait plus vivre à l’air libre, mais aurait les fonctions respiratoires des poissons en attendant d’acquérir, sur le plan morphologique, un hydrodynamisme défini par le milieu marin. On nous a certifié qu’en 1962 des hommes-grenouilles allemands et japonais avaient subi volontairement des interventions chirurgicales. Nous pouvons rappeler à ce propos les expériences chirurgicales réalisées en 1937-1938, au laboratoire de Physiologie de Berlin, sur des SS taillés en athlètes qui avaient accepté de se faire castrer et de subir des interventions sur le coeur, les glandes et le cerveau, dans le seul but d’études scientifiques, pour préparer l’avènement de l’Aryen nouveau. Un grand nombre de ces opérations eurent des issues mortelles. Les documents et le dossier photographique de ces expériences sont la propriété du professeur Lecerf, l’éminent expert graphologue de l’Isle-sur-Tarn. La mutation artificielle qui annoncerait l’ère de l’Homo Aquaticus apparaît pourtant très improbable, sinon impossible dans l’absolu, mais elle entraînera très certainement une révolution dans la plongée sous-marine ; en particulier, elle conduira à une plus longue immersion. Automatiquement, ce progrès sera utilisé à des fins militaires. Il entrerait dans les vues des Chevaliers de Poséidon de créer une véritable cité sous la mer, pratiquement invulnérable, d’où ils pourraient lancer des raids et contrôler de vastes espaces marins. S’ils parvenaient un jour à couler un sous-marin atomique russe, américain ou français – ce qui n’est pas exclu de leur programme – ils auraient alors à leur disposition, et pour un temps pratiquement illimité (5 000 ans), une centrale capable d’alimenter toute leur cité.
On distingue mal encore ce qu’il y a d’hypothétique et de réalisable dans ce projet, mais on ne saurait le classer a priori dans l’impossible, attendu qu’il correspond, point par point, au problème de la colonisation des planètes et principalement de la Lune. L’informateur, de qui nous tenons ces révélations, laisse paraître son pessimisme : Cette épopée sous-marine que nous sommes contraints de vivre est malgré tout une véritable évasion valable. Il est certain que nombre d’entre nous accepteraient de faire plastifier leur cage thoracique, par solution de désespoir ou par défit. En fait, nous n’avons plus d’ambitions politiques et beaucoup pensent que notre défaite de 1945 est irrémédiable. Si vous voulez une image historique, je vous dirai que cette fois, Charles Martel a été vaincu à Poitiers. Il n’y a guère d’espoir et nous le savons. Cependant, nous possédons une arme décisive et nulle puissance humaine ne peut y faire échec. Nous mourrons avec le reste des hommes. Cette arme irrésistible sortira de la mer. On peut rapprocher cette menace de deux faits connus : 1° Les services français de renseignements pensent qu’une puissance (qui n’est ni l’U.R.S.S. ni les U.S.A.) possède actuellement une arme secrète supérieure à l’arme atomique. 2° Les Allemands, en 1940, avaient mis au point une arme bactériologique d’une virulence telle qu’Adolf Hitler l’avait déclarée inutilisable. Les Français possédaient eux aussi des obus à virus qui, éventuellement, pouvaient être employés dans une guerre bactériologique. Ni les Allemands ni les Français n’engagèrent les hostilités sur ce terrain, fort heureusement, mais il se produisit un événement extraordinaire dont le public n’eut pas connaissance.
Vers mars 1940, les Français firent prisonnier – assez aisément du reste – un commando allemand dont chaque homme portait sur la bouche et sur le nez une sorte de masque de ouate imbibé d’une solution à base de sulfate de cuivre. Aussitôt, les masques à gaz français furent pourvus d’un tampon additionnel au sulfate de cuivre, de manière à établir une protection identique à celle des Allemands contre un gaz qu’on ne connaissait pas mais qu’on avait tout lieu de croire inopérant dans ces conditions. Le résultat fut sensationnel : en quelques jours, les masques à gaz de l’armée française étaient inutilisables, leurs capsules filtrantes ayant été détruites par le sulfate de cuivre. Ce n’était là qu’un épisode de la guerre psychologique. Toutefois, une arme bactériologique non mortelle, mais frappant de parésie durant plusieurs semaines, avait été inventée par les chimistes d’outre-Rhin. Les bouillons de culture existeraient encore, avec d’autres armes bactériologiques plus terribles, dans une usine souterraine dont les murs sont tapissés de plomb, à Spala et à Kouweka en Pologne. L’usine est engloutie sous plusieurs mètres d’eau dans les fortifications du blockhaus Hermann Goering. Ces révélations ont été publiées par le journal communiste polonais Trybuna Ludu, d’après les déclarations d’un ingénieur qui a transmis aux autorités le plan détaillé des souterrains inondés en 1945 lors de la retraite allemande. On pense qu’un échantillonnage de virus est entre les mains de l’Ordre Teutonique Sous-Marin. Un authentique nazi a fait la déclaration suivante : Un espion porteur de deux douzaines d’ampoules pourrait – si ce n’est déjà fait – se rendre en Russie Soviétique. Deux ampoules seraient brisées à Moscou, une à Stalingrad, une à Karkov, et 120 millions de Russes se trouveraient frappés de stupeur ou d’hystérie. Des milliards et des milliards de virus paralyseraient immédiatement la nation soviétique. Il ne s’agit pas de guerre microbienne. C’est mieux et plus facile (sic). Le métro, les wagons de chemins de fer, les places publiques, les cinémas, les stades, les fleuves, les brouillards, les vents saisonniers seraient les auxiliaires tout-puissants du contaminateur.

Ces virus ont été préférés aux microbes des maladies contagieuses parce que leur action est spontanée et localisée. Avec le prix d’une B.A. on peut paralyser le globe tout entier. Les fusées, rampes de lancement, avions stratosphériques, sont déjà dépassés. Un seul espion ferait le travail de 2 000 fusées. Cette déclaration a été faite en 1952, neuf ans avant l’apparition des psycho-drogues.
Depuis, il y a eu les expériences du Maryland, les assassinats de chercheurs de trésors à Ausse et à Rastenbourg.
Les trésors nazis enterrés sur l’ordre d’Adolf Hitler pour subventionner « le futur Grand Reich Allemand » se situent dans le Tyrol et en Prusse. Quiconque les recherche est assassiné par les SS gardiens des cachettes. , les événements raciaux du Katanga et du Mississippi, les meetings internationaux nazis de 1962 à Dead and Bury Hollow et à Narford en Angleterre. De nouvelles sociétés secrètes sont là.


Il y a 54 ans : les maisons sous la mer

L’expérience Précontinent 3 est le point d’orgue des expériences de maisons sous la mer menées par Jacques-Yves Cousteau et son équipe au début des années 60. A cette époque, Cousteau, qui a consacré 20 ans de sa vie à la pénétration du monde sous-marin, est au plus fort d’une action de visionnaire et de défricheur. La conquête spatiale bat son plein, les projets technologiques les plus fous germent dans les esprits d’ingénieurs audacieux. En 1962, porté par l’élan de sa soucoupe plongeante, Cousteau rêve à des villes sous-marines, à l’homme-Neptune, au « cybernaute », à « homo aquaticus » auquel on pourra un jour greffer des branchies. Lui et son équipe réalisent 3 expériences de maison sous la mer :

  • Précontinent 1 : Du 14 au 21 septembre 1962, au Frioul, près de Marseille, la première maison sous la mer, un gros cylindre lesté surnommé Diogène, est immergée à -10 mètres de profondeur et permet à deux hommes (Albert Falco, Claude Wesly ), pendant huit jours, d’y séjourner et d’effectuer des plongées quotidiennes à -25 mètres.
  • Précontinent 2 : Du 15 juin au 14 juillet 1963, sur le récif de Shab Rumi près de Port Soudan en mer Rouge. Une base sous-marine, constituée d’une maison centrale installée à -11 mètres, à proximité d’un hangar immergé pour garer et reconditionner la soucoupe plongeante, d’une seconde maison installée à -26 mètres, d’un garage pour le matériel annexe et de plusieurs abris à requins à -50 mètres le long du tombant, permet à 7 hommes (Claude Wesly, Raymond Vaissière, Pierre Guilbert, Pierre Vannoni, André Folco, Raymond Kientzy, André Portelatine), respirant un mélange gazeux constitué de 96 % d’hélium et de 4 % d’oxygène, de vivre un mois d’une authentique vie d’océanaute.
  • Précontinent 3 : Du 17 septembre au 17 octobre 1965, au large de Saint-Jean-Cap-Ferrat, 6 hommes (André Laban, Philippe Cousteau, Christian Bonnici, Yves Omer, Raymond Coll, Jacques Rollet) vivent dans une maison sphérique à – 100 mètres, respirent un mélange gazeux constitué de 98 % d’hélium et de 2 % d’oxygène, et travaillent quotidiennement à -120 mètres sur une tête de puits factice.

Ces expériences constituent un feuilleton ambitieux et lyrique de l’exploration des profondeurs, où les ingénieurs mettaient en acte les fictions de Jules Verne. Jacques-Yves Cousteau, génial rassembleur et catalyseur d’énergie, avait su rassembler autour de lui une équipe de pionniers astucieux et passionnés qui carburait au rêve. Bien avant de devenir les pionniers de l’écologie et de la protection des océans, cette équipe a fait faire des bonds fantastiques en matière de techniques et de matériels de plongée, de sous-marins d’exploration, de caméras étanches, d’éclairages amphibies, de télévision immergée, de téléphonie subaquatique, avancées techniques qui ont précipité l’archéologie sous-marine, la spéléologie subaquatique, fait progresser de manière irréversible la médecine hyperbare, l’océanographie, le cinéma, la photographie et la télévision sous la mer.

 


 

*Cet article sera surement censuré,s’il-vous-plait  partagez mes ami(e)s!

 

Vidéo et article:Les mystères du Troisième Reich: l’adaptation de la technologie alien et le destin actuel de l’humanité

Le Plan Z développé  par l’entourage immédiat du Führer

Carl Gustav Jung aurait déclaré qu’il n’y avait pas d’insulte plus grave que le prétendu compliment selon lequel quelqu’un n’aurait pas changé depuis dix ans (à moins qu’il ne s’agisse d’une dame); car qui ne change pas ne se développe pas davantage. En tant qu’êtres d’esprits cognitifs, nous, les humains, pouvons évoluer, et le faire est l’une de nos responsabilités dans cette vie. Cela n’a rien à voir avec la cohérence ou même la force de caractère, de se raidir sur les erreurs.Logiquement, nous avons tellement évolué. Les nouvelles informations et les résultats obtenus nous ont aidés de différentes manières à mieux comprendre les éléments importants à évaluer.Il y a dix, vingt ans ou plus, à un âge où les gens adoptent facilement un esprit d’opposition incompatible avec l’habituel, nous n’avons pas vraiment compris grand-chose des “ovnis” allemands. D’autres se sont naturellement similaires. Commençant par les travaux préliminaires sur le “Plan-Z”, nous sommes arrivés à la conclusion que toutes ces réalisations impressionnantes accomplies pendant le  Troisième Reich n’étaient pas dues au leadership de l’époque, mais qu’elles étaient contre-productives presque partout, ainsi les modifications à apporter  au chasseur à réaction Messerschmith 262 pour en faire un  bombardier ou lors du transfert des nouveaux sous-marins “U-boat Model XI ” vers les bases secrètes en Antartique .S’il est certainement faux de politiser et de nier tout et tout ce qui vient de cette époque, ce qui aujourd’hui est généralement traité de manière haineuse par la gauche bolchévique et les néolibéraux, il serait tout aussi faux de s’excuser pour ce qui était réellement faux! Nous devons apprendre à faire des discernements et à se servir de notre jugement!Et malheureusement c’est beaucoup demandé à notre époque actuelle! Cela doit également être clarifié à ce stade. L’ère nationale-socialiste a apporté beaucoup de changements rapides sur les plans scientifiques,sociaux et humanitaires et influence  encore aujourd’hui. L’adaptation des technologies alien depuis le crash ovni de Freiburg  ne fut pas chose facile pour les ingénieurs allemands et beaucoup de pilotes d’essais sont morts pour la tester!Aussi afin d’assurer le développement des nouveaux disques volants de fabrication terrienne,il fut décidé d’envoyer le maximum de matériel vers les bases de Neue Schwabenland et Neu Berlin,en Antartique.Des milliers de savants et de jeunes couples  choisis sur le volet ont été expédié sur les nouveaux sous-marins de Model XI,…car la guerre obligeait ce genre de sécurité.

Si nous avions vécu à l’époque nazie, nous nous serions aperçu  que toute l’opposition de gauche ainsi que tous les sionistes à l’emploi des médias sociaux tels que Facebook ,Twitter et autres se seraient  tous retrouvés dans un camp de concentration,un camp de travail,en prison ou…devant un peleton d’exécution!

Car la vérité, la liberté, la chevalerie et la justice sont les normes de nos vies actuelles. Nous devrions toujours être conscients de cela,même sous la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial ,même si nous devons trop tolérer des mondialistes “illuminés” comme Justin Trudeau,des mafieux sionistes travaillant pour  le totalitarisme israélien comme Donald Trump,un fier despote au service de la mafia khazare  ou une marionnette  comme Emmanuel Macron…au service des banques de Rotschild.

Le national-socialisme de 2019 n’est plus celui de 1933.Le national-socialisme a énormément évolué depuis et il est devenu la seule vraie opposition au Nouvel Ordre Mondial actuel ainsi qu’au crime organisé et ,par conséquent ,aux Triades Chinoises!

Si Adolph Hitler vivrait aujourd’hui,il serait un opposant farouche aux Donald Trump,aux Justin Trudeau,aux Emmanuel Macron …ainsi qu’aux dictateurs de la Chine Communiste et de Corée du Nord.Le Führer ne se serait jamais assis avec les talibans pour discuter.

Adolph Hitler était entouré de grands généraux ,mais prenait de douteuses décisions stratégiques qui se sont retournées contre lui.L’arrêt des bombardements sur Londres en est un exemple frappant,tout comme la décision d’envahir  l’Union Soviétique …à la date choisie.

LA DIABOLISATION D’ADOLPH HITLER  ET LE NÉGATIONISME DES DÉVELOPPEMENTS TECHNOLOGIQUES ALLEMANDS

Depuis 1945,tout ce qui se rapporte au national-socialisme,au Führer et aux nouveaux combattants pour la vérité et la liberté nationale des peuples est censuré.

Écrire ou faire un vidéo sur ces sujets est tabou et risque de vous faire exclure des réseaux sociaux pro-sioniste et gauchistes…

*Important:voir l’article antérieur sur   le même sujet pour mieux comprende celui-ci:   

https://michelduchaine.com/2014/02/26/la-societe-du-vrilmaria-orsic-et-le-crash-ovni-de-freiburg-en-1936/

 

 


Prenons un cas historique censuré:

Hitler a honoré les troupes et les infirmières britanniques pour avoir sauvé la vie de marins allemands

Adolf Hitler a décerné des croix rouges allemandes portant la croix gammée nationale-socialiste à ceux qui ont traité 55 de ses marins blessés lors de la guerre civile espagnole.

 

Le navire Deutschland a été touché par deux bombes au large d’Ibiza lorsqu’il a été pris pour cible par les républicains en 1937 alors qu’ils résistaient au dirigeant espagnol, le général Franco.

Le personnel de l’armée britannique a sauvé la totalité des personnes sauf cinq, inspirant les louanges du Fuhrer lui-même.

Quatre des médailles données par le chef fasciste sont toujours détenues dans des musées britanniques, deux au musée de la médecine militaire de Ash Vale à Surrey.

L’un se trouve au Royal Ulster Rifles Museum de Belfast et l’autre à la Spalding Gentlemen’s Society du Lincolnshire. D’autres ont été vendus aux enchères.

Ils reviennent à une époque où l’establishment britannique voulait apaiser Hitler.

La permission du monarque est requise pour que le personnel de service reçoive des médailles étrangères et le roi autorise leur acceptation et leur port par intérêt politique.

Le gouverneur de la colonie britannique, Charles ‘Tim’ Harrington, a alors déclaré à l’amiral allemand Rolf Carls: «Je garderai toujours à cœur le fait que le dernier honneur que je puisse recevoir vient de la nation pour laquelle j’ai le plus profond respect. J’espère que vous exprimerez au Führer mes plus sincères remerciements pour ce grand honneur “, at-il ajouté.

Les Allemands ont décerné des médailles de la Croix-Rouge à 37 Britanniques, dont 20 Croix  à  des Dames.

Pat Robins, maintenant âgée de 87 ans, était une écolière à l’époque. La fille du major Charles Anderson du corps médical royal de l’armée, elle a dit au Times: “C’était un jour chic.”

Elle se souvient de Margaret Russell «Madge», matrone «aux capacités féroces», originaire de Gosberton, dans le Lincolnshire.

Winston Churchill lui-même a signé les documents qui reconnaissaient la galanterie de Madge lorsqu’il était ministre. Elle a été mentionnée à trois reprises comme dépêches pendant la Grande Guerre.

Hitler a ordonné qu’elle reçoive la Croix-Rouge allemande, faisant d’elle l’une des rares personnes britanniques recommandées par le leader national-socialiste, ainsi que son plus grand adversaire de guerre.

Vingt-trois personnes sont mortes sur le coup et 100 ont été blessées lors du bombardement aérien. Deux ans plus tard,le capitaine  du Deuchland devint commandant d’un U-boat  et  il coula le Stonegate, un navire marchand britannique, dans l’Atlantique Nord.


Il y a 2 ans ,un tollé de protestations s’abattaient contre le fabricant de modèles réduits Revell …pour avoir offert un disque volant Hanebu II en vente.On accusait le fabriquant de détourner l’histoire en fake news.

 

 


Qui était Maria Orsic

Maria Orsic

 

Maria Orsic était la Grande Prêtresse de la Société du Vril.C’est elle qui l’avait fondée après la Première Guerre Mondiale  afin  d’aider la puissance de l’Allemagne en puisant dans l’héritage historique de la culture arienne et nordique.Au fil du temps,à force de faire des recherches sur elle,les Dames du Vril et la Société du Vril elle-même,cette personne est devenue une  grande inspiration pour moi.


La Société du Vril et les messages métaphysiques et scientifiques d’Aldébaran.

La race alien d’Aldébaran serait celle des “grands blonds”.
Le survivant du crash ovni de Freiburg aurait servi de modèle pour le spécimen de race arienne pure.

Presque tous ceux qui parlent de Maria Orsic et de sa Société du  Vril et qui postent des commentaires stupides sur Internet ne sont pas au courant ni intéressés à discuter des aspects métaphysiques et spirituels des messages d’Aldébaran.

Les OVNIS et les extraterrestres sont des choses amusantes, mais après un certain temps, ils deviennent ennuyeux si nous continuons à parler et parler et parler uniquement de la rapidité des OVNIS et des yeux aux formes étranges des petits hommes verts, si nous répétons à l’infini les mêmes histoires au sujet des OVNIS, de l’incident de Roswell, des enlèvements, de la Zone 51 (Area 51), des collisions ici et là avec des OVNIS, et si nous continuons à regarder des séries télévisées sur les Anciens Aliens, la mise en scène la plus stupide et la plus frauduleuse de l’histoire de la télévision américaine.

Nous connaissons déjà les accidents ici et là, les enlèvements et les dissimulations des gouvernements… Nous l’avons entendu tant de fois à la télévision, et nous lisons des millions de livres sur les OVNIS et les extraterrestres. Ce qui est le plus important, c’est ce qui se trouve au-delà de « l’apparition » des aliens et des manœuvres étonnantes de leurs OVNIS qui émergent des lacs, qui se posent dessus et qui planent au-dessus des bases militaires !
Les dimensions métaphysiques de notre relation avec les extraterrestres sont plus importantes que tout autre sujet qui nous lie aux OVNIS, comme la façon dont nos gouvernements peuvent transformer une technologie extraterrestre en outil militaire de destruction massive.

Si Maria Orsic était tout simplement un médium en transe qui parlait de manière incompréhensible de l’Amour Fraternel et des Messages Spirituels des Aliens à l’humanité, des aliens qui sont nos frères et sœurs célestes, et qui affirmait comme de nombreuses personnes enlevées et contactées de nos jours qu’elle est leur messager spirituel sur Terre, alors, et seulement alors, nous devrions nous interroger sur la véracité et la fiabilité de son témoignage.
Mais elle n’était pas tout simplement un médium, car elle nous a présenté les premières données scientifiques au monde sur la façon dont on peut construire une machine spatiotemporelle, ainsi que les plans et les formules pertinentes étudiés et utilisés par l’Armée de l’Air des États-Unis, la NASA, le DOE, le DOD, la CIA, l’OSS, la NSA, le Pentagone, le MIT, Harvard, les laboratoires les plus avancés d’Amérique, et par les scientifiques militaires les plus éminents.
C’est un fait indéniable !
Ainsi, nous devons compter sur le témoignage de Maria Orsic à propos des dimensions métaphysiques et spirituelles qui nous lient à la véritable réalité cosmique, les raisons pour lesquelles nous sommes ici, où allons-nous, qui nous a créés et dans quel(s) but(s), comment le concept (l’idée) de Dieu a-t-il été créé, la menace des religions organisées et notre destin, tel que cela a été transmis à Maria par des « êtres » qui ont des millions d’années d’avance sur nous.
Le bonheur de l’humanité est plus important que la vitesse des OVNIS. Le développement de la conscience cosmique est plus important que de transformer la technologie alien en armes spatiales. La compréhension de la structure et de l’essence des civilisations galactiques est plus importante que tous les témoignages et les contes d’OVNIS qui survolent la Californie et Washington, D.C.Donald Trump devrait lire ceci,ça le changerait peut-être!

Les thèmes et les discussions sur la façon dont les êtres avancés venus d’autres mondes et d’autres dimensions peuvent résoudre de nombreux problèmes et les combats sur Terre sont plus importants que ce qui se passe dans la Zone 51 (Area 51).
Vous allez apprendre beaucoup de choses à ce sujet  en me lisant. Mais il faut le lire avec un esprit ouvert…Votre esprit est comme un parachute : il ne fonctionne que lorsqu’il est ouvert.

 

LES DAMES DU VRIL 

Une Dame du Vril…sortie des archives cachées

En ce qui concerne les “dames de Vril” – quelle que soit leur volonté particulière – le monde n’est pas ébranlé par une vision objective, nous pourrions fondamentalement laisser en toute confiance chacun son opinion à ce sujet. Quiconque, au lieu de s’en tenir au plus réaliste possible, qui provient des archives du Troisième Reich  et donc de la première source, croirait plutôt ce qui lui est servi  en premier…et il y a beaucoup de déformation de vérité.

Gudrun…une des favorites de Maria.

“Un slogan promotionnel de Siemens disait autrefois:” Une comparaison, ça vous assure! ” C’est donc aussi le cas ici – qu’il s’agisse de l’histoire de ces femmes ou de l’aspect aldébarien, etc.À maintes reprises, nous avons été et nous sommes confrontés, en tant que nationaux socialistes, à des questions et à des déclarations qui semblent utiliser l’autonomie maintenant. Il s’agit du médiumnisme de Maria Orsic.En termes humains, Maria Orsic (ou  Orschitsch) n’est pas seulement sympathique. Elle était autoritaire, elle ne pouvait pas supporter la contradiction. En outre, elle était considérée trop vaniteuse et avait tendance à rivaliser avec d’autres belles femmes. Cela aurait dû arriver à d’autres jugés comme une décision injuste. Sauf avec Traute, Maria a très bien compris Gudrun (bien que cela ait systématiquement enfreint la proposition faite aux cheveux longs). Maria ne s’est pas comprise avec  Sigrun qu’elle s’était gagné en 1941 pour le “Vril Thing”, comme elle l’a déclaré à plusieurs reprises. Malgré cette disproportion personnelle, les deux femmes ont bien travaillé ensemble en la matière. Toutes deux placent le patriotisme nécessaire dans la guerre avant le personnel.Contrairement à ce que l’on dit souvent, Maria Osic. n’a jamais été particulièrement encline au spirituel. Elle n’était ni médiale ni perceptuelle . Les affaires magiques…elles les ont laissés à d’autres, en particulier Traute et Sigrun. Maria Orsic  était la gestionnaire idéale lorsque vous définissiez la gestion comme la capacité de déléguer correctement. Sa capacité de réflexion analytique devait être excellente, de sorte qu’elle était capable d’émerveiller même les officiers supérieurs, dont elle connaissait bien certains. Maria Orsic comprenait également les contextes militaires. Par exemple, elle a qualifié l’ordre de Hitler de prendre simultanément des mesures contre Stalingrad et le Caucase comme une grave erreur stratégique (ceci est également mentionné par GFM Erich von Manstein). La compétence de Hitler en tant que général semble l’avoir mise en doute, alors qu’elle le considérait comme un bon chancelier. Le blâme pour le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale ne l’a jamais vu. Contrairement à Erika, par exemple, qui exprimait sa crainte en 1935 dans une lettre (que Léonie / Leona ont également signée), la politique de Hitler pourrait obliger l’Allemagne à mener une guerre qui faisait cruellement défaut. Au début, Maria ne partageait pas cette inquiétude. En outre, elle avait une aversion personnelle pour Léonie et Erika, d’autant plus qu’il y avait deux très jolies femmes qui  aiment aussi briller de tous leurs éclats. 


ADAPTATION DE TECHNOLOGIE ALIEN

Le “Focke-Wulf UFO”

La société Focke-Wulf est largement connue, notamment par des machines telles que le Fw 190 ou le Fw 200. Les deux fondateurs, Heinrich Focke et Georg Wulf, ont créé leur société sur la base de l’ancienne usine Albatros, qui avait construit d’excellents avions de combat pendant la Première Guerre mondiale. a.

Il est moins connu que Focke-Wulf a également inventé l’hélicoptère. En 1936, le premier hélicoptère au monde a démarré avec Hanna Reitsch sur la manette de commande et le développement de l’hélicoptère s’est poursuivi assez rapidement, ce qui a atteint son premier sommet avec le Fa 266.

Le prototype de cet hélicoptère a été piloté par Anna Reitsch,la plus extraordinaire pilote d’essai de la Luftwaffe.

Les hélicoptères étaient la préoccupation particulière de Heinrich Focke. Il a donc créé sa propre entreprise, qui ne s’occupait que de rien. Et même pendant la Seconde Guerre mondiale, des hélicoptères d’une efficacité étonnante ont fait leur apparition. Après la fin de la guerre, Heinrich Focke est fait prisonnier de guerre et doit ensuite travailler longtemps pour la France, qui y est souvent dissimulée. C’est lui qui a permis à la France de construire des hélicoptères (Rolf Engel ayant construit la technologie de fusée en France). Hormis les Américains, où les Allemands travaillant pour eux étaient honorés publiquement, d’autres pays ont caché ce qu’ils devaient à “Beuteuteutschen”.

Dessin technique

En 1944, l’idée de l’avion rotatif est également venue à Heinrich Focke. Peut-être par Kurt Tank, le célèbre “Vril” se lie d’amitié avec le concepteur en chef de Focke-Wulf. Heinrich Focke a tout de suite pensé que son principe d’hélicoptère, combiné à de nouveaux types de propulsion, était prédestiné au concept d’avion à réaction.

Alors il est allé développer une machine complètement nouvelle qui n’était pas un hélicoptère, mais qui avait des éléments de l’hélicoptère. En raison de la forme inhérente à la construction, il a appelé cette machine «rayons». Cette forme doit, surtout en vol, avoir inévitablement donné l’impression d’une «soucoupe volante», d’un «OVNI». Le rayon avait l’air si futuriste, voire étranger. qu’il pourrait facilement être considéré comme un vaisseau spatial extraterrestre.

Tout d’abord, un modèle de tests en soufflerie réduit de manière proportionnelle a été produit. Les expériences auraient très bien fonctionné. Dans le même temps, les travaux sur les éléments d’entraînement se sont poursuivis.

La prochaine étape a été la réalisation d’un prototype.

Construction du prototype:gabarit.

On ignore dans quelle mesure le “Rochen” a prospéré au cours des premiers mois de 1945. Les déclarations et les opinions à cet égard divergent: Heinrich Focke lui-même n’a, bien entendu, rien révélé qui puisse être dissimulé après la fin de la guerre. L’incertitude quant à savoir si le premier rayon, ou peut-être deux de ces aéronefs, a contribué au phénomène connu sous le nom de “phénomène OVNI”.

Modèle réduit du Focke W Rochen ( ou Rayon)
Alors, est-ce que l’un ou l’autre “OVNI”, qui a été repéré après 1945, peut-être un “rayon”? Vous ne pouvez pas complètement exclure cela complètement.

LA PREMIÈRE MISSION VERS MARS

Partis pour Mars?

À l’heure actuelle, la mission américaine Mars continue de progresser. L’hypothèse selon laquelle vous pouvez découvrir des traces de la vie sur Mars ne semble pas sans fondement. Parallèlement, d’autres pays que les États-Unis se préparent à l’exploration de Mars.

Ceux qui auraient pu être là plus tôt seront traités dans l’article ci-dessous, qui est une adaptation de la version non publiée de: “La magie du phénomène allemand des OVNIS”.

Passons maintenant à une partie de l’histoire des ovnis allemands, qui semble difficile à croire et pour laquelle il n’y a pratiquement aucune preuve claire: L’histoire du dispositif Haunebu III et de ses diverses prétendues sociétés Mars. En raison de doutes, nous ne traiterions même pas cette partie de l’histoire si ce n’était il y a environ trois ans que de superbes photos étaient apparues; une des sources italiennes très sérieuses (ci-dessus).

Nous entrons maintenant en 1944 et le groupe de personnes en concurrence avec le peuple Vril. La relation entre ces deux formations très différentes ne semble pas avoir été particulièrement étroite avant le milieu de 1943. Mais apparemment, l’atmosphère a changé et une coopération collégiale a été instaurée dans le but commun de gagner la guerre. L’autre groupe à examiner est le centre de développement IV de la troupe technique de la SS dont le siège est à Wiener Neustadt (avant 1938 à Augsbourg). En dépit du fait que ce groupe était subordonné à la SS, appartenait à ce facto et donc sous le commandement de l’infortuné Heinrich Himmer, qui a apporté tant de souffrances et de misères à de nombreuses personnes, nous avons ici la troupe technique de la SS du scientifique – regarder le côté exploratoire. La terrible influence de Himmler sur les événements de la Seconde Guerre mondiale, en particulier dans l’est de l’Europe, ne doit pas être ignorée.

Rappelons-nous d’abord un événement de l’année 1936. À cette époque, le “peuple Vril” vendit l’intégralité des documents de construction au projet GV-1 (Groß-Vril-1) “Hauneburg” – Haunebu. L’acheteur aurait payé un prix très raisonnable pour l’énorme somme de 40 000 Reichsmark pour l’époque. La communauté Vril pourrait bien utiliser cet argent. Elle a planifié la réalisation d’un avion presque deux fois plus grand que la construction vendue. L’acheteur des plans Hau-Nebu, la troupe technique des SS, finit par en faire le Do-Stra. À l’origine, la principale préoccupation de la SS E IV n’était pas du tout un avion, mais l’utilisation du principe de l’entraînement pour l’énergie générale, rendre l’Allemagne moins dépendante des importations de pétrole brut. De telles tentatives de mise en œuvre n’ont probablement abouti à rien. Considérer que l’affinité vibratoire est au cœur des choses, et non pas «l’énergie libre», bien sûr, c’est logique. Ainsi, seule l’utilisation de la construction acquise demeurait un avion. Alors Haunebu I, Haunebu II et le Do-Stra.

Mais cela n’a pas satisfait les ambitieux techniciens du SS-E-IV. Là-bas, le “Thule-Treibwerk”, partiellement indépendant, avait été développé sur la base de l’entraînement Vril / Schumann, qui était déjà utilisé dans le Haunebu II. Il devait être possible de coupler plusieurs moteurs Thule. Trois groupes électrogènes de ce type étaient supposés déplacer un dispositif Haunebu qui éclipserait tout ce qui avait été imaginé auparavant: le Haunebu III, 71 mètres de diamètre – un véritable cuirassé du ciel; ou plus correctement: pour l’univers et pour tout l’espace aérien de la terre.

Il y a quelques années encore, les doutes sur la réalisation possible du géant Haunebu semblaient tout à fait appropriés. Non seulement à cause du manque de crédibilité de l’image, mais aussi à cause de considérations logiques à la lumière de la pénurie notoire de matières premières, qui a obstrué massivement toute la guerre allemande. Par exemple, dans une interview personnelle en 1983, Rolf Engel nous en a parlé davantage à propos de ce problème. Il a été l’un de ces experts qui ont dû se prononcer sur les projets qui justifieraient ou non l’utilisation de matières premières et de main-d’œuvre. Un Haunebu III aurait été inimaginable pour des raisons de répartition sensible des matières premières à ses yeux; il aurait consommé autant de matière que la production des réservoirs pour toute une division. Des expériences sur modèles ont peut-être eu lieu, de même que pour le Do-Stra, mais difficilement la réalisation du dispositif géant. Quiconque penserait que l’influence du SS avait été si grande dans le Troisième Reich que de telles allocations spéciales de matières premières auraient pu être exécutées serait très faux. L’influence de Himmerl et de la SS n’a pas été aussi forte qu’on le suppose souvent. Ceci est confirmé, par exemple, par le fait que Goering a pu étouffer le désir de Himmler de disposer d’une force aérienne SS, comme il l’a déjà mentionné. Si ceux-ci avaient pu être réalisés, il aurait très probablement été là que ces nouveaux types d’aéronefs ont été utilisés que Göring et Hitler ont ignoré de manière criminelle;

Un Vril-7 sorti tout droit des archives allemandes.

Le soutien de Hitler à la SS était cependant limité. Le matériel nécessaire pour un Haunebu III aurait difficilement été attribué à Himmler. Du côté “Vril”, le Vril 7, beaucoup moins coûteux, n’aurait jamais été créé si Canaris n’avait pas fourni le matériel nécessaire par le biais de contacts suisses. Une réalisation du puissant Haunebu III est donc difficile à imaginer. Cela semble très logique. Ajoutez à cela la question de savoir où, entre la mi-1943 et le début de 1945, face à la supériorité aérienne de l’ennemi, un engin aussi monstrueux aurait pu être construit sans être dérangé: plus de 30 mètres de diamètre et une hauteur comparable à celle d’une maison à plusieurs étages! En bref, cela ne semblait tout simplement pas possible. Et pourtant, apparemment, rien n’était impossible à l’époque. Alors Haunebu III est-il né? Quelque part, quand même?

C’est difficile à croire. Néanmoins, la réalité du géant Haunebu depuis l’apparition de la photo avec la silhouette derrière le char, un tigre chasseur, n’est plus à exclure. La deuxième image reproduite ici, que l’appareil Haunebu III montre ou semble montrer, provient d’une autre source, à propos de l’authenticité peut dire peu. Cette photo en vol de Haunebu III aurait été prise au-dessus du lac de Constance. Cela semble assez convaincant. Le plus important, cependant, est l’inclusion de Jagdpanzer, qui montre une structure en arrière-plan qui ressemble beaucoup à Haunebu III. C’est difficile à croire, mais vous ne pouvez pas le mettre de côté,

Kennet Arnold dessina en 1947 ce qu’il appela une soucoupe volante…mais…
…si on le compare à un Horten allemand,c’est la même chose!

Mais qu’en est-il de l’histoire aventureuse du prétendu vol à destination de Mars, qui aurait été faite avec l’appareil Haunebu III? Nous voulons examiner cette question de manière à ce que chaque lecteur puisse se faire sa propre opinion – car cela seul sera possible émotionnellement, il est impossible de fournir des faits sans équivoque.

Hans Kammler

Si l’on souhaite croire en un certain nombre de documents non étayés, qui ne sont disponibles, pour ainsi dire, que sous forme de photocopies de photographies, mais qui ont néanmoins beaucoup à leur crédit, il aurait été possible de réaliser une première copie du colossal Haunebu III de type OVNI avant Mai 1945. Le but militaire de ce géant était de combattre l’industrie de l’armement américaine, soviétique et britannique. Des attaques de représailles étaient également prévues pour le bombardement allié de villes allemandes. Ceci n’est pas explicitement mentionné, mais doit être accepté. Le fonctionnement du Haunebu III devrait être similaire à celui qui avait été conçu pour le plus petit appareil Vril 7: attaque depuis l’orbite terrestre. Donc vers l’espace. D’autre part, il n’y aurait pas de défense, même de nos jours (pour les efforts de SDI, etc., l’équipage d’un Haunebu III ou d’un Vril 7 ). Si le développement avait vraiment mûri jusqu’à présent, même un seul Haunebu III aurait bientôt été utilisé, les paroles de Hans Kammler déjà rendues apparaîtront soudain sous un jour réaliste. Cette déclaration est confirmée, mais ce n’était probablement pas – ou en tout cas pas principalement – en rapport avec l’appareil Haunebu III. l’équipage d’un Haunebu III ou d’un Vril 7 s’empêcherait de rire). Si le développement avait vraiment mûri jusqu’à présent, même un seul Haunebu III aurait bientôt été utilisé, les paroles de Hans Kammler déjà rendues apparaîtront soudain sous un jour réaliste. Cette déclaration est confirmée, mais ce n’était probablement pas – ou en tout cas pas principalement – en rapport avec l’appareil Haunebu III. l’équipage d’un Haunebu III ou d’un Vril 7 s’empêcherait de rire). Si le développement avait vraiment mûri jusqu’à présent, même un seul Haunebu III aurait bientôt été utilisé, les paroles de Hans Kammler déjà rendues apparaîtront soudain sous un jour réaliste. Cette déclaration est confirmée, mais ce n’était probablement pas – ou en tout cas pas principalement – en rapport avec l’appareil Haunebu III.

Amiral Canaris

Le prototype du Haunebu III aurait déjà été testé en pratique et effectué avec succès au moins un vol à destination du Japon. Ceci est également rapporté par une source japonaise, qui doit être qualifiée de remarquable. Indépendamment du Haunebu III, il est souligné à plusieurs reprises qu’aucune arme appropriée n’était disponible pour les OVNIS. Sans cela, cependant, ces dispositifs ne valaient rien du point de vue militaire. Le salut de l’empire par les OVNIs presque à la dernière minute est donc resté. Ce qui restait à faire était de sécuriser et d’élargir les bases extérieures déjà mentionnées de la “guerre après la guerre”, comme le voulait la stratégie envisagée. Canaris avait emprunté cette voie en premier, Himmler le rejoignit.

Enrich Himmler et sa fille Gudrun.

À la lumière de la situation que nous venons de décrire, on ne peut du moins pas entièrement nier que l’idée d’une base externe sous le code “Siegfried-Martha” ait effectivement été planifiée et même abordée. Le code Siegfried-Martha faisait référence aux deux lettres SM, et celles-ci signifiaient: Base Mars. Il y a eu ce code, cela ne fait aucun doute. Que son sens soit le même, cependant, ne peut être prouvé.

Examinons brièvement la situation des responsables de tels projets en ces temps difficiles pour l’Allemagne. Beaucoup étaient prêts à donner leur vie pour le peuple et la patrie, des millions l’ont fait. Les volontaires aux commandes spéciales extrêmes ne manquaient pas. Il n’y a pas eu d’opération similaire à celle du kamikaze japonais, mais SO existait. Celles-ci ne signifiaient pas une chance de survie nulle, mais très petite. Les volontaires SO ont été en nombre beaucoup plus élevé que n’aurait jamais pu être utilisé (de fait, cela n’est presque jamais arrivé) En bref: une mission suicide – non seulement symbolique, mais aussi littéralement, à savoir pour un vol à destination de Mars –

Dessin d’un Vril-7

À ce stade, il convient de laisser entendre qu’un vol purement informatique vers Mars avait déjà été entrepris avec le dispositif Vril 7. Afin de ne pas se méprendre: Ce n’était pas un vol qui avait pour objectif d’atteindre la planète Mars elle-même. Au lieu de cela, Mars avait été choisi simplement comme objectif mathématique pour la formation d’un “canal de vibration”. Le dispositif Vril 7 posait donc dans ce “canal” le chemin du retour vers Mars, mais sans le quitter et sur le point d’atterrir sur la planète. Le vol du Vril 7 dans le canal “Ce monde au-delà” complètement détaché de l’influence des lois de la nature du cosmos brut “, de Terre à Mars, a duré huit minutes. Le voyage de retour a pris le même temps. Étant donné que l’interaction entre le groupe “Vril” et les membres de la E-IV depuis le milieu de 1943 était une relation très étroite et bientôt probablement amicale, a reçu la E-IV de la partie “Vril” toutes informations importantes ou particulièrement souhaitables. En ce qui concerne une éventuelle opération sur Mars, le SS E-IV a pu s’appuyer sur une certaine expérience. Il y a une seule indication que l’une des dames aînées du cercle de “Vril” était presque constamment impliquée dans l’E-IV. En ce qui concerne une éventuelle opération sur Mars, le SS E-IV a pu s’appuyer sur une certaine expérience. Il y a une seule indication que l’une des dames aînées du cercle de “Vril” était presque constamment impliquée dans l’E-IV. En ce qui concerne une éventuelle opération sur Mars, le SS E-IV a pu s’appuyer sur une certaine expérience. Il y a une seule indication que l’une des dames aînées du cercle de “Vril” était presque constamment impliquée dans l’E-IV.

Un Hanebu II
Un hanebu II

Si les fragments vagues, mais à certains égards pas tout à fait incroyables, de la vérité s’approchent de la vérité, le dispositif Haunebu III a été retiré de la terre en avril 1945 et est immergé dans la direction de Mars dans le “canal”. La formation et le vol se sont bien déroulés, ainsi que la réémergence du chenal et le reste de l’approche directe vers la planète voisine. À l’atterrissage, cependant, il y avait tellement de difficultés que ce serait un atterrissage forcé. Il y a eu deux causes à cela. Premièrement, c’était la gravité de Mars, beaucoup plus basse que celle de la Terre. On pourrait imaginer cela, mais bien sûr aucune donnée exacte sur la force, resp. Faiblesse, obsédé par Mars et sa  gravitation. Ainsi, il s’agissait d’une première erreur de calcul. Encore plus grave, cependant, était une autre erreur. Pour atterrir sur Mars, il a été décidé de choisir une surface apparemment lisse, jusqu’à présent très reconnaissable. Trop tard, il s’est avéré que cette zone n’était pas faite de sol solide, mais de plusieurs mètres de poussière et de sable presque poussiéreux. La coïncidence des conséquences des deux erreurs de jugement, la gravité martienne et le sol non solide, ont conduit l’ Haunebu III  vers  un accident impuissant gisant sur Mars, s’enfonçant  profondément dans la poussière et le sable. C’est la description qui aurait été transmise par radio au bureau central d’E-IV au cours des derniers jours d’avril 1945.

Dessin technique d’un vaisseau-mère Aldébaran

Il n’y a aucune indication concrète pour l’établissement d’une base allemande sur Mars. En outre, le point de départ de l’éventuel vol de Haunebu III sur Mars ne peut que peu contribuer. D’une part, parce qu’il est question d’une rupture irréparable de ce vaisseau spatial OVNI, d’autre part, parce que, comme déjà dit, le texte le plus important à cet égard a le caractère d’un récit plutôt que d’un rapport factuel. Mais tout cela n’exclut pas complètement que la tentative aurait pu être faite. Si un nombre remarquable de sondes de reconnaissance n’arrivent pas sur Mars ou disparaissent très rapidement sans laisser de trace, cela ne signifie pas nécessairement que l’équipage d’une base allemande sur  Mars s’assure que rien ne filtrera.

La majorité des scientifiques pensent aujourd’hui que Mars aurait pu créer des conditions semblables à la Terre il y a plusieurs millions d’années. Il ne serait donc pas complètement exclu de trouver des traces de vie ou de moyens de subsistance dans la région. Au moment de la possible planification allemande du “SM”, il était supposé que, dans les grandes cavités situées sous la surface de Mars, il y avait des espaces utilisables. Là où cette hypothèse évoquée n’est pas claire, elle a au moins existé de façon manifeste. Peut-être que le vol d’essai de Vril 7 avait fourni plus de connaissances que les sources encore disponibles. Tout ce chapitre se trouve sous un épais voile d’incertitude, mêlé à des spéculations qu’il est à peine ordonné de commander et également sans fondement. Mais dans un livre comme celui-ci, qui, tout en voulant être aussi vrai et clair que le difficile, le permet, peut et devrait même être une marge de manœuvre pour ce qui pourrait être plus divertissant que informatif – si cela est indiscutable dans les passages pertinents comme nous le faisons consciencieusement. Souvent, c’est la sensation sans préjugé du lecteur, qui détecte intuitivement ce qui peut ou ne peut pas être, et donc, peut-être, être capable de voir plus profondément et de juger plus sûrement que de nombreux observateurs sobres qui suivent exclusivement le ratio. L’histoire finale de Haunebu III et de sa mission est très significative. dans la mesure où le matériel difficile permet, et peut même être, une marge de manœuvre pour peut-être plus divertissant que purement informatif – si cela est clairement noté aux endroits appropriés auparavant, comme nous le faisons avec diligence. Souvent, c’est la sensation sans préjugé du lecteur, qui détecte intuitivement ce qui peut ou ne peut pas être, et donc, peut-être, être capable de voir plus profondément et de juger plus sûrement que de nombreux observateurs sobres qui suivent exclusivement le ratio. 

Un vaisseau-mère…tel que décrit.

Le projet “Andromedagerät”, qui aurait également dû être planifié à la SS, n’est que marginalement mentionné. Une réalisation de ce vaisseau-mère OVNI n’est pas suffisamment concrète. L’idée existait.

Photographie prise après 1945 montrant ce qui semble être un transport Aldébaran…un vaisseau-mère.
À l’époque,en pleine vague ovni,on lui donnera le nom de “cigare-volant”!

Divers croquis témoignent que, du moins en théorie, l’idée de dispositifs de type vaisseau spatial Haunebu encore plus grands (alias Haunebu IV) a été évoquée. Les idées dépassaient un diamètre de plus de 100 mètres – et vers le début de l’année 1944/45, lorsqu’il n’était plus question de la faisabilité de tels projets. Le projet “Andromada device”, dont la première esquisse est susceptible de remonter à 1943, appartient à la même catégorie. L’idée de ce vaisseau-mère pour les appareils Haunebu et Vril est certainement née de la question de l’approvisionnement en nourriture des équipages, etc., sur de longues périodes. Selon toute vraisemblance, ce “cigare volant” n’était plus réalisé, bien que les hypothèses soient différentes.

Quoi qu’on en pense, il y a eu au moins des projets qui ont rendu l’imaginable bien au-delà des frontières. Que ceux-ci – ou du moins l’un ou l’autre – soient devenus une réalité et aient dépassé les limites du terrestre, cela ne veut pas dire avec certitude aujourd’hui. La probabilité parle contre, mais rien n’est complètement impossible.

Il est aussi possible que les allemands aient reçu une aide de dernières minutes:un vaisseau-mère livré clé en mains avec instructeurs compris!

Un jour,dans une autre vie…nous saurons!

Aldébaran

 

Dessin d’une pléiadienne aperçue en rêve par une voyante!