Réflexion libre:L’Occident comme bulle spéculative.

L’Occident comme bulle spéculative.
De plus en plus souvent, lorsque j’observe les Français et, de façon plus générale, les Européens, Occidentaux, j’ai le sentiment de vivre comme dans ces séquences-types qui marquent le début des films-catastrophes, vous savez, lorsque chacun vaque avec insouciance à ses occupations alors qu’un gigantesque ras-de-marée, une éruption volcanique, une météorite ou que sais-je, sont en train d’arriver et s’apprêtent à tout emporter sur leur passage.
Aussi, je veux bien me préoccuper des retraites (je suis tout à fait hostile à cette réforme) ou des poubelles parisiennes et de leurs rats, mais je me demande si, gavés d’informations de pure surface, de pur divertissement au sens quasi pascalien du terme, nos concitoyens ont bien conscience de ce qui est en train de se produire (outre que le viol désormais hebdomadaire de personnes âgées me dérange personnellement davantage pour ce qu’il révèle que quelques poubelles liées à une grève)…
Et j’ai beaucoup de mal, également, à ne pas relier ces différents phénomènes déferlants entre eux.
Une gigantesque crise bancaire, financière est en train de se dérouler, dans le silence quasi-total, pour le moment, des médias mainstream, dans le sillage de la chute de la Silicon Valley Bank, la banque des wokes, la banque des actifs financiers fondés sur rien, sur du vent, sur du néant, sur des fictions, mais attention hein, sur des fictions hyper inclusives.
Et c’est tout l’Occident actuel qui me semble être emporté par cette lame de fond qui n’est rien d’autre que le réel se rappelant au bon souvenir de l’édifice fictif et délirant qui a supplanté ce qui fut autrefois notre puissance.
Sans capacités réelles de production de richesses réelles, sans industries réelles, sans connexion avec le vrai monde, le nôtre a poursuivi malgré les précédentes crises, sa dérive au pays des fous et de la fiction spéculative, dans tous les domaines.
De la même façon, depuis un an, ce sont les mêmes qui envisageaient le plus sérieusement du monde de mettre l’économie russe à genoux et c’est tellement bien réussi qu’on en est à mettre des antivols sur les biftecks dans nos supermarchés, bravo les cadors. La guerre en Ukraine fut abordée, pareillement, comme une fiction, hélas pour ceux qui en sont morts et continueront d’en mourir. Des récits faux, des informations déconnectées du réel, des fake news à la pelle (la fable de l’auto-sabotage de NordStream par les Russes restera évidemment dans les annales de cette sinistre farce), dans l’aveuglement délibéré par rapport, comme je l’ai déjà dit, à ce qu’en pensait l’écrasante majorité du reste du monde (majorité, en termes, là encore, de démographie et de production).
Et, surtout, cette incapacité à comprendre que le reste du monde, c’est-à-dire la plus grande partie du monde, ne souhaite pas s’élaborer sur du vent et des ressources fantasmagoriques et qu’il est en quelque sorte en train de nous dire : vous êtes bien gentils les petits amis avec vos histoires d’extraterrestres, de toilettes non genrées et de morts transformés en compost mais nous on va s’organiser autrement et on va vous laisser vous suicider bien tranquillement parce que vous n’avez vraiment pas l’air d’aller très bien dans votre tête…
Je ne trouve pas cela anodin que le début de cette gigantesque crise financière, énième explosion de la bulle spéculative à laquelle l’Occident semble s’être résumé depuis quelques décennies, intervienne la même semaine que celle de l’énorme événement géopolitique que représentent les déclarations d’alliances conjointes (et ce n’est que le début) liant la Chine (et donc la Russie), l’Iran, l’Arabie Saoudite etc…
La fiction, la spéculation, le déni de réel, ce n’est pas suffisant pour entraîner le monde à sa suite de manière conquérante, sauf lorsqu’on a la force morale et matérielle de proposer aux individus des mythes fondateurs qui viendront donner du sens à leur action. Ce fut, par le passé, comme le rappelle Pierre Legendre, lui aussi mort cette même semaine, tout le rôle de l’édifice romano-canonique en Occident dont on mesure le degré d’effondrement.
Il est bien évident que la fiction générale en forme de farce cul par-dessus tête qui nous est proposée et qui nous fait quotidiennement honte, obsédée qu’elle est de questions sexuelles loufoques dignes de l’asile, de questions raciales hysterisées dont le reste du monde se contrefout, de questions nombrilistes parfaitement grotesques qui, toutes, ont la particularité désormais d’avoir quitté les rives du réel, cette fiction générale donc ne peut pas servir à autre chose qu’à nous enfoncer davantage.
Dans le fond, je ne vois guère qu’une toute petite différence de degré mais non de nature entre un édifice spéculatif financier systémique bâti sur du vent, des individus auxquels on laisse croire que le réel n’existe pas (un homme peut accoucher), et le mensonge permanent, là encore fictif et spéculatif, sur lequel est basé désormais le regard occidental porté sur le monde (et dont le système médiatique est le pathétique et burlesque reflet).
Une chose est certaine, pour l’heure, ça va tanguer et je ne suis pas sûre que tout le monde y soit bien préparé quant à ce que cela va impliquer comme bouleversements dans la durée. Au moins est-on tout à fait certain de ne pas s’ennuyer.
Je m’occuperai, pour ma part, dans la tourmente, de préserver le chant grégorien…
Texte de Anne-Sophie Chazaud.

La Criminelle Arnaque du Covid 19: Une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars pendant que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer claironne : « 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

 

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

 

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnation symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1% de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille
Michel Chossudovsky

 

 

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

 

 

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer lui même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

 


EN COMPLÉMENTAIRE CRIMINELLE

Une étude exhaustive évaluée par des pairs indique que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid

Les anglais connaissent maintenant officiellement la supercherie ! quand allons-nous réagir ?

Une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Cardiovascular Research, revue à comité de lecture, attire l’attention sur les dizaines de millions de nouveaux problèmes de santé graves qui sont apparus dans le monde entier depuis le lancement de l’opération Warp Speed.

L’arrivée des “vaccins” contre le Covid-19 a déclenché une recrudescence de toutes sortes de maladies mortelles affectant le cœur, la peau et le cerveau, révèle l’article. Et la plupart de ces affections persistent au moins 90 jours après l’injection.

Pour leurs recherches, les scientifiques ont examiné les mêmes personnes avant et après l’injection afin de déterminer comment les injections modifiaient leur risque de développer de nouveaux problèmes de santé. Ils ont constaté qu’une personne moyenne a 21 % plus de chances de recevoir un nouveau diagnostic dans les trois mois suivant l’injection que dans les trois mois précédant l’injection.

 

 

 

“Avec près de 240 millions d’adultes américains vaccinés, cette augmentation se traduit par des millions de nouveaux problèmes médicaux dans les mois qui suivent la vaccination, et des dizaines de millions dans le monde entier”,

explique Alex Berenson sur son site Substack.

(Voir aussi : Moderna a lancé une nouvelle injection d’ARNm pour “réparer le muscle cardiaque” endommagé par ses injections de covidés).

L’effet secondaire le plus probable des injections de covid semble être la myocardite (et d’autres problèmes cardiaques)

Dans les trois mois suivant l’injection, le risque d’hypertension augmente de 25 %, selon l’étude. En ce qui concerne la dépression, l’eczéma, le diabète et la cellulite, le risque augmente de 10 à 20 % après l’injection par rapport à la période précédant l’injection.

Le risque le plus grave est la myocardite, explique l’étude. L’injection de covid augmente le risque d’inflammation cardiaque de 260 %, en particulier chez les hommes.

“La myocardite est un effet secondaire connu des ARNm, et le fait qu’il y ait eu un taux particulièrement élevé de diagnostics supplémentaires constitue une preuve solide que le signal trouvé par les chercheurs était réel”, écrit Berenson.

Au total, les chercheurs ont constaté que parmi les 284 000 adultes vaccinés qu’ils ont évalués, près de 6 000 affections nouvelles et supplémentaires ont été diagnostiquées dans les 90 jours suivant l’introduction de l’aiguille dans leur bras.

“Avec environ 237 millions d’adultes américains vaccinés, cette estimation se traduirait par environ 5 millions de diagnostics supplémentaires pour des problèmes tels que le diabète dans les trois mois suivant la vaccination”,

explique M. Berenson.

“À l’échelle mondiale, ce chiffre pourrait atteindre 25 millions.

Comme on peut s’y attendre, les médias et le gouvernement n’ont accordé que peu d’attention à ce document. En effet, ses conclusions contredisent le discours officiel selon lequel les injections de COVID sont “sûres et efficaces”.

Une autre étude réalisée à Hong Kong a également mis en évidence une forte augmentation des “poussées” auto-immunes après l’injection de covidine.

Les nouveaux épisodes de lupus, de polyarthrite rhumatoïde et d’autres maladies auto-immunes graves montent en flèche à la suite de ces injections.

Cette étude a spécifiquement identifié les injections d’ARNm comme étant les coupables.

Les injections de virus inactivés de type chinois n’ont pas eu les mêmes effets, ce qui prouve que les types d’injections de Moderna et de Pfizer-BioNTech sont peut-être les injections de COVID les plus dangereuses qui soient.

“Les Américains n’ont pas cette possibilité, car les États-Unis n’autorisent pas l’utilisation des vaccins Covid inactivés chinois”, note M. Berenson, qui explique que les Américains ont reçu les pires des pires “vaccins”, tandis que la Chine communiste a reçu des vaccins “plus sûrs”.

Dans la section des commentaires, quelqu’un a écrit qu’il avait souffert d’un blocage cardiaque quelques semaines après avoir été vacciné par Pfizer. Il a fini par recevoir un stent. Son beau-frère a également été victime d’une crise cardiaque après sa troisième piqûre, tandis que sa sœur a subi deux accidents vasculaires cérébraux après la sienne.

“Les personnes que nous connaissons ont développé plusieurs allergies alors qu’elles n’en avaient jamais eu auparavant”, ajoute cette personne. “On ne peut pas expliquer cela de manière cynique en disant qu’il s’agit de simples coïncidences.

Vous souhaitez vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant les médicaments mortels proposés par Big Pharma ? Vous pouvez le faire à l’adresse suivante : BadMedicine.news.

Source

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La politique Covid n’est qu’une falsification de chiffres

Dans les révélations du journal anglais, The Telegraph, nous apprenons que les décisions de confinement Covid n’ont en rien été sanitaire mais politique.
Nous retrouvons le même constat avec l’étude menée par le statisticien Pierre Chaillot, qui démontre que sans augmentation des décès en 2020, il n’y avait aucune raison de confiner la population.
Le confinement est une expérience politique de conservation du pouvoir face à un ennemi invisible, tout comme l’était le terrorisme fabriqué de toutes pièces par la stratégie du Pentagone.
Matt Hancock, ancien ministre de la santé britannique, a déclaré (dans ses messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files) qu’il voulait « effrayer tout le monde » pour que nous nous comportions tous comme de braves petits soldats.

C’est ce que Macron nous avait décrit dans son allocution à la veille du premier confinement de mars 2020, « Nous sommes en guerre ».

Comme tout ceci est une « farce », Matt Hancock ministre de la Santé de Boris Johnson, avait même décidé de participer à une émission de téléréalité, « I Am A Celebrity » (« Je suis une célébrité »), diffusée sur ITV, aux côtés de l’ex-rugbyman Mike Tindall ou du chanteur Boy George. Il s’est justifié en disant « Tous les politiciens, et moi en particulier, ont une image très stricte et ce n’est pas la réalité ».

Pour conclure cette manipulation résumée par Pierre Chaillot :
« Les statistiques sur le Covid-19 ne valent rien ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Accusé de sabotage des Nord Stream, Washington cherche à esquiver, selon Seymour Hersh

Selon le journaliste Seymour Hersh, l’hypothèse d’une piste ukrainienne dans l’explosion des Nord Stream, relayée par plusieurs médias occidentaux, vise à détourner l’attention de son enquête désignant Washington comme commanditaire. Il a aussi mis en valeur le non-sens de cette piste, les Ukrainiens n’ayant pas de moyens de réaliser un tel acte.

Les États-Unis tentent de passer sous silence l’enquête qui les désigne comme responsables de la destruction des gazoducs Nord Stream, a déclaré le journaliste américain Seymour Hersh, auteur de la révélation, à la chaîne chinoise CGTN.
C’est pour cette raison qu’un mois après la parution de l’article, le New York Times a affirmé que, d’après les renseignements américains, le sabotage avait été perpétré par « un groupe pro-ukrainien ». Sans pour autant préciser la composition de ce groupe ou ses chefs.
« Ils [le gouvernement des États-Unis, ndlr] essaient de détourner l’attention de l’histoire que j’ai écrite et qui comprend d’énormes détails. J’ai décrit un processus qui avait commencé avant Noël 2021. Il impliquait le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan de la Maison-Blanche et le Président. Ils ont eu une série de réunions dans une salle secrète de la Maison-Blanche. Ils ont donné des indices, je connais le nom de la salle », a indiqué le journaliste, lauréat du prix Pulitzer.
Selon ses dires, l’administration Biden hésitait entre les sanctions et une bombe. Elle a opté pour la seconde option pour couper ce pipeline fournissant du gaz bon marché à l’Allemagne.

Les Ukrainiens? Incapables de faire ça

Interrogé sur la plausibilité de cette version « ukrainienne », le journaliste s’est montré dubitatif. D’après lui, la Marine ukrainienne est capable de larguer des mines mais elle n’a pas de chambre de décompression fonctionnelle.
Le journaliste Seymour Hersh
De plus, les conduites endommagées sont difficiles à faire exploser, car elles représentent des tubes d’acier recouverts d’une couche en béton pour les protéger de la salinité, du sel de l’eau, explique-t-il.
Enfin, ces manœuvres nécessitent l’implication d’experts en plongée sous-marine et d’autres qui savent manier l’explosif C-4, la substance la plus volatile qui soit, selon M.Hersh.
« Ils doivent pouvoir aller vite […] pour être sûr d’avoir une bombe, leur arme, au bon endroit, pour qu’elle détruit tout. Ils doivent s’entraîner […] pendant des semaines et des mois […] dans les eaux de la mer Baltique », conclut-il.
Le journal allemand Die Zeit avait pour sa part affirmé que l’acte de sabotage avait été effectué depuis un yacht affrété par une société située en Pologne, mais qui appartiendrait à deux Ukrainiens. Le parquet allemand avait plus tard précisé à Sputnik que le bateau en question provenait d’une société allemande qui était au-dessus de tout soupçon.

Les États-Unis et la Norvège dans le collimateur

Moscou et un nombre d’analystes et d’hommes politiques ont largement critiqué cette piste ukrainienne.
De son côté, Seymour Hersh a affirmé dans son article paru début février que c’étaient des plongeurs de l’US Navy qui avaient posé des explosifs sur les conduites de gaz pendant les exercices Baltops-2022 de l’Otan, l’été dernier. L’opération s’est tenue, dit-il, avec le concours de spécialistes norvégiens, qui ont actionné les engins explosifs.
Le Président Joe Biden a pris la décision de faire exploser les gazoducs après neuf mois de discussions au sein de l’administration américaine, d’après M. Hersh. Le Pentagone a toutefois affirmé à Sputnik que les États-Unis n’avaient rien à voir avec cela.
La dernière gaffe commise par le pseudo président pédophile Joe Biden,soit menacer que Nord Stream 2 ne marchera ras plus,est la pire  qu’il a commise …a vie!

Troisième Guerre Mondiale en développement rapide:La Russie émet un avertissement de «choc nucléaire» après que Biden ait déployé un «avion apocalyptique» en Europe

Un nouveau rapport d’avertissement du Conseil de sécurité (CS) circulant au Kremlin aujourd’hui (2 mars 2023) note que, pour la première fois, le président Poutine a condamné les terroristes néo-nazis Ukrainiens menant des attaques contre des civils russes innocents, il déclarait : « Des hommes armés se sont infiltrés dans la zone frontalière et ont ouvert le feu sur des civils… Ils ont pu voir que le véhicule était un civil, que des civils se trouvaient à l’intérieur, y compris des enfants, et ont ouvert le feu ».

En effet, l’information suivante « des villages des régions russes de Koursk et de Briansk ont essuyé des tirs d’artillerie lourde de la part des forces de Kiev. ..À 11 h 17, heure locale, l’attaque était toujours en cours et les forces russes ripostaient », a été rapidement suivie par la déclaration du FSB: « Le FSB et les forces attachées du ministère russe de la Défense prennent des mesures pour détruire les nationalistes ukrainiens armés qui ont violé la frontière de l’État ».

En réponse au bellicisme colonial occidental démoniaque contre la Russie, note ce rapport, le vice-ministre des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov a lancé l’avertissement : « L’implication accrue des États-Unis et de l’OTAN dans les hostilités est lourde de la menace d’un affrontement militaire direct des puissances nucléaires. avec des conséquences catastrophiques » – un terrible avertissement venant après que Joe Biden a déployé le commandement aérien de la guerre nucléaire E-6B Mercury de la marine américaine « Doomsday Plane », qui a atterri en Islande hier pour mener des opérations dans la zone de commandement européen de Washington.

Mikhail Ulyanov

 

Alors que le monde est au bord même de la Troisième Guerre mondiale, le négociateur en chef russe sur les armes nucléaires, Mikhail Ulyanov, observe gravement : « Je pense que dans les conditions actuelles, on ne peut pas vraiment parler de reprendre le dialogue avec les États-Unis sur la stabilité stratégique… Washington ouvertement déclare son objectif de vaincre stratégiquement la Russie et fait de nombreux pas hostiles dans cette direction… De quel dialogue peut-on parler ici? ».

Lors du sommet des ministres des Affaires étrangères du G20 qui vient de s’achever, qui précède la réunion de septembre des dirigeants mondiaux à New Delhi-Inde, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré à ses homologues : « La Russie est choquée par l’impunité sur le sabotage du Nord Stream dans la région. de la responsabilité de l’OTAN et de l’Union européenne… Nous assistons à la dégradation des relations économiques internationales provoquée par l’Occident, à leur transformation en arme, y compris dans le secteur de l’énergie… Nous insistons sur une enquête équitable et rapide sur l’attentat terroriste avec l’implication de la Russie et d’autres personnes concernées ».
Après quoi la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a révélé que le secrétaire d’État du régime de Biden, Antony Blinken, avait demandé une rencontre avec le ministre des Affaires étrangères Lavrov, en déclarant : « Blinken a demandé un contact avec Lavrov… Sergey Viktorovich a parlé avec lui en déplacement, dans le cadre de la deuxième session du G20… Il n’y a pas eu de négociations, de réunions, etc. suivi par le ministre des Affaires étrangères Lavrov observant factuellement : « Certains membres du G20 l’ont transformé en cirque en utilisant l’agenda du groupe dans une tentative de blâmer Moscou pour leur propre mauvaise gestion… Les attaques contre Moscou au G20 semblent particulièrement sauvages venant des nations qui ne se sont jamais plaints lors des réunions de l’organisation des centaines de milliers de victimes des aventures de Washington au Moyen-Orient, menées sous prétexte de sécurité nationale à des milliers de kilomètres du sol américain ».

Le seul but du G20, détaille ce rapport, est de résoudre les problèmes majeurs liés à l’économie mondiale – envoyer les puissances coloniales occidentales dans une rage aveugle a été la révélation que « Le ratio dette/PIB de la Russie est le plus bas parmi les membres du G20« . – aujourd’hui, il a été rapporté : « La production de pétrole russe en février a atteint le niveau d’avant les sanctions pour la première fois et pourrait dépasser le chiffre de février 2022 » – cette semaine, il a été rapporté que : « Le fabricant de meubles biélorusse Swed House prévoit de combler le vide laissé par IKEA sur le marché russe » et « la société indienne Allied Blenders & Distillers, qui produit 60 % du whisky mondial et le troisième whisky le plus populaire au monde Officer’s Choice, prévoit d’entrer sur le marché russe pour remplacer les marques occidentales »
Dans l’article du New York Times qui vient de paraître « Quitter la Russie ? Un an plus tard, de nombreuses entreprises ne peuvent pas ou ne veulent pas », et le voilà révélateur : « Un an après le début de la guerre, des centaines d’entreprises occidentales sont toujours en Russie, y compris des entreprises de premier ordre et de taille moyenne d’Europe et des États-Unis… Elles sont faire des affaires malgré les sanctions occidentales et les campagnes de boycott bruyantes menées par les responsables ukrainiens, les consommateurs et les groupes de défense des droits de l’homme »
Tout cei a été rejoint par l’un des chefs de l’OTAN, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, déclarant aux puissances coloniales occidentales lors du G20 : « La Turquie ne rejoindra pas les sanctions unilatérales imposées à la Russie par l’Occident à propos du conflit en Ukraine… Nous n’avons pas besoin de résister à qui que ce soit, nous prenons nos propres décisions en tant qu’État souverain… Nous ne rejoignons aucune sanction unilatérale… Nous ne soutenons que les restrictions introduites avec le soutien des Nations Unies ».

 

Porochenko et Erdogan en discussion.

Alors que les sanctions coloniales occidentales contre la Russie échouent de manière spectaculaire, note ce rapport, cela a amené le chancelier allemand Olaf Scholz, membre de l’OTAN et de l’Union européenne, à déclarer ce matin : « Aucun accord de paix ne sera conclu au-dessus de la tête des Ukrainiens… Si l’Ukraine cesse de se défendre, cela ne signifiera pas la paix, cela signifiera la fin de l’Ukraine… La Russie attend toujours avec impatience une victoire militaire… Cependant, il n’y aura pas de victoire parce qu’avec nos partenaires, nous continuons à soutenir Ukraine » Cette déclaration a été rapidement suivie par celle du secrétaire d’État hongrois du ministère des Affaires étrangères Tamas Menczer, membre de l’OTAN et de l’Union européenne, observant : « L’UE a clairement indiqué qu’elle considère un cessez-le-feu en Ukraine comme une ligne rouge et qu’elle nacceptera pas. ..Même en sachant que Bruxelles représente la position du parti de la guerre, nous avons encore été choqués lorsque les Hongrois ont suggéré que les documents à l’occasion de l’anniversaire du début de l’opération militaire spéciale de la Russie ration contiennent des appels à un cessez-le-feu immédiat et à l’ouverture de pourparlers, ils ont été rejetés dans chaque cas », puis l’ambassadeur chinois auprès de l’Union européenne, Fu Cong, a estimé : « Il est vrai que nous ne sommes pas entièrement d’accord sur certaines positions européennes sur l’Ukraine. ..Par exemple, de nombreux hauts dirigeants du côté européen disent que ce n’est pas le moment de négocier… Est-ce une approche rationnelle ?… La diplomatie n’est pas une chose émotionnelle… Les gens peuvent avoir des souhaits, mais ils doivent aussi faire face à la réalité… L’art de la diplomatie est de choisir le moindre mal… C’est à cela qu’il faut travailler… Sinon, la guerre va se prolonger ».

Tard hier, continue ce rapport, le haut responsable du renseignement militaire ukrainien, le major-général Kyrylo Budanov, s’exprimant depuis son bureau de Kiev fortement gardé et fortifié, qu’il partage avec deux grenouilles de compagnie, des canaris détecteurs de gaz toxiques et une gamme de munitions, prédit au journal de gauche USA Today que l’Ukraine et la Russie mèneraient « une bataille décisive ce printemps, et cette bataille sera la dernière avant la fin de cette guerre » et a déclaré : « Si l’armée russe échoue dans ses objectifs ce printemps, elle sera hors de combat. » – une déclaration rapidement rejointe par l’article factuel « L’Ukraine tire des obus d’artillerie plus vite que les membres de l’OTAN ne peuvent les remplacer »
Après s’être vidé pour approvisionner l’Ukraine en armes, le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius vient d’avertir sinistrement : « Nous n’avons pas de forces armées qui sont capables de défendre le pays, c’est-à-dire capables de le défendre contre une guerre d’agression offensive, brutalement menée »
Tout cela suivi par l’avertissement adressé à l’OTAN par le commandant suprême de l’armée allemande, le lieutenant-général Alfons Mais: « Les ressources russes, comme les ressources de l’armée russe, sont pratiquement inépuisables… Beaucoup sous-estiment les forces armées russes… Cela ne devrait pas se faire… Les troupes russes font preuve d’un bon entraînement… Elles disposent d’un arsenal technique impressionnant et d’un personnel prêt au combat ».

Alors que les forces militaires russes continuent d’anéantir les forces ukrainiennes grâce à leur approvisionnement « inépuisable » en armes et en munitions, note ce rapport, le régime de Biden a simplement été contraint de diriger son vaste appareil médiatique de propagande de gauche contre le peuple américain pour le convaincre que la guerre en Ukraine est réelle.

Voici le message viral de Kyle Becker de Becker News ayant près de 5 millions de vues qui dit : « J’en ai marre du manque d’images de la guerre en Ukraine… J’ai travaillé dans cable news… Je suis initié….. Où sont les images de guerre ?… Où sont les photos qui permettent de gagner le prix Pulitzer ?… Cette guerre sent l’arnaque et le peuple américain en a ras le bol … Produisez des preuves documentaires ou fermez votre gueule … Sans preuves documentées, nous n’enverrons pas nos fils et nos filles mourir pour la politique d’un pays antidémocratique et notoirement corrompu… Nous nous foutons de vos croque-mitaines russes … Ce n’est pas une question de sécurité nationale des États-Unis … Alors, mettez-vous en place ou fermez-la« .

Colonnes de chars russes T-90

Dans le but de convaincre les peuples américains que la guerre en Ukraine est réelle, poursuit ce rapport, le Washington Post de gauche vient de publier son article “When Ukraine Goes Dark” [« Quand l’Ukraine s’assombrit »], dans lequel il contient des photos satellites nocturnes de l’Ukraine montrant comment les forces militaires russes l’ont renvoyée à l’âge de pierre – et NBC News a envoyé le journaliste de Today Show, Keir Simmons pour produire sa vidéo “Get A Rare Look Inside Russian-Annexed Territory Of Crimea”, [« Obtenez un aperçu rare à l’intérieur du territoire de Crimée annexé par la Russie »], qui a exposé aux Américains des vérités qui leur sont cachées – et pourquoi les peuples américains ne voient pas la vérité sur l’Ukraine, a été justement illustré par le journaliste de NBC News, Keir Simmons, que le gouvernement ukrainien vient d’ajouter à sa « liste de meurtres » pour avoir osé exposer aux Américains une parcelle de la vérité.

Bientôt ajouté à la «liste de meurtres» du gouvernement ukrainien de ceux qui disent la vérité, est le Dr. Thomas Meaney de la Max Planck Society à Göttingen-Allemagne, qui, dans sa lettre ouverte qui vient d’être publiée au New York Times “America Is In Over Its Head” «L’Amérique marche sur la tête », a observé le plus factuellement : « La plus grande gaffe que le président Vladimir Poutine a pu commettre jusqu’à présent en Ukraine est de donner à l’Occident l’impression que la Russie pourrait perdre la guerre » et a évalué : « La Russie a presque basculé son État dans une économie de guerre alors que les États-Unis doivent encore répondre aux besoins de production de guerre de leurs partenaires étrangers … La guerre a déjà utilisé 13 ans de production de missiles antiaériens Stinger et cinq ans de missiles Javelin, tandis que les États-Unis ont un arriéré de 19 milliards de dollars de livraisons d’armes à Taïwan ». Observation factuelle suivie par l’ancien haut conseiller du Pentagone et de la CIA, James Rickards, qui, dans sa lettre ouverte “The Horrifying Endgame In Ukraine” note honnêtement :

Des organes de presse américains tels que le New York Times (un canal au service du Département d’État) et le Washington Post (un canal e la CIA) rapportent sans cesse l’échec des plans russes, leur incompétence quant à la façon dont les Forces armées ukrainiennes (AFU ) ont repoussé les Russes dans le Donbass, et comment les armes de l’OTAN telles que les chars américains Abrams, les chars britanniques Challenger et les chars allemands Leopard vont bientôt renverser la vapeur contre la Russie.

 

l’Ukraine bascule dans les mains de la CIA et de l’Union Européenne.Je l’écrivais en 2014.

Tout cela n’a aucun sens. Rien de tout cela n’est vrai.

Tout d’abord, les avancées ukrainiennes qui ont eu lieu à la fin de l’été se sont déroulées contre des positions légèrement défendues que les Russes ont rapidement concédées pour conserver leurs forces. Les Russes étaient prêts à abandonner la terre pour ne pas perdre d’hommes et de matériel précieux.

Les Russes se sont repliés sur des positions plus défendables et ont depuis lors malmené les forces d’attaque ukrainiennes. L’Ukraine a gaspillé des quantités incroyables d’hommes et de matériel dans ces attaques futiles et malavisées.

Au total, des rapports crédibles indiquent que les victimes de l’AFU approchent les 500.000 hommes et augmentent à un rythme insoutenable.

D’un autre côté, les rapports faisant état de 100.000 morts russes sont presque certainement des exagérations abracadabrantesques émises par l’Ukraine. La BBC a tenté de vérifier ces chiffres et n’a pu trouver qu’environ 20.000 morts russes confirmés (1 mort russe pour 25 Ukrainiens) sur la base de recherches approfondies sur les avis funéraires, les archives publiques, etc.

Source : https://www.whatdoesitmean.com/index4193.htm


EN COMPLÉMENTAIRE

La France se met les pieds dans les plats

Hal Turner 03 mars 2023

Les membres de la chambre basse du Parlement russe, qu’ils appellent la « Douma », appellent maintenant ouvertement à une véritable déclaration de guerre sur la situation en Ukraine. Cela survient alors que la France est devenue le premier pays de l’OTAN à annoncer qu’elle pourrait fournir des avions de combat Mirage 2000 à l’Ukraine. La Russie sait que les Ukrainiens ne peuvent pas être formés rapidement pour les piloter, donc les pilotes de l’OTAN les piloteraient, et les Russes, semble-t-il, en ont finalement eu assez.

Viktor Sobolev, membre du Comité de défense de la Douma d’État russe, a déclaré que la Russie devait « absolument » mettre fin à « l’opération spéciale » et déclencher une véritable guerre : « Il n’y a plus de lignes rouges concernant l’Ukraine. Et nous devons mettre fin à l’opération spéciale et déclencher une guerre. »

Le ministre français de la Défense, Sebastien Lecornu, a déclaré que Paris envisageait de transférer les avions de chasse Mirage 2000 à Kiev. Selon lui, cité par la chaîne BFMTV, les négociations correspondantes entre les deux pays sont actuellement en cours. Lors des auditions au Sénat, on a demandé au ministre s’il était vrai que la France allait fournir à Kiev des avions Mirage et former des pilotes ukrainiens en Pologne. Lecornu n’a pas confirmé cette information, mais a annoncé des négociations en cours avec l’Ukraine.

La France envisage la possibilité de transférer ses chasseurs Mirage en Ukraine. Les pilotes ukrainiens peuvent être formés en Pologne. Alors que le sort de 12 chasseurs Mirage, qui ont été mis hors service et entreposés à l’été 2022, est toujours en discussion – a précisé le ministre. Il a également évoqué les difficultés liées à l’approvisionnement en combattants. Selon lui, les problèmes concernent la logistique, la formation des pilotes et le support technique. Dans le même temps, Lecornu a exclu les livraisons rapides d’avions.

Les manifestants armés de bâtons ont essayé de briser le blocus de la police et d’assaut le Parlement ukrainien le dimanche.C’était le 20 janvier 2014…

Des discussions sur la fourniture d’avions de chasse à l’Ukraine ont commencé en janvier. L’initiative a été exprimée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Elle est soutenue dans les pays baltes, a rapporté Politico.
Dans la Pologne voisine, la décision sur les avions de chasse pour Kiev est qualifiée de « difficile ».

Auparavant, le chef du ministère estonien des Affaires étrangères, Urmas Reinsalu, avait souligné l’importance de l’adhésion de Kiev à l’Alliance de l’Atlantique Nord. Dans ce cas, l’OTAN pourra, si nécessaire, fournir à l’Ukraine des armes nucléaires, s’il n’y a pas d’autre moyen de « contenir Moscou », a-t-il dit.

https://halturnerradioshow.com/index.php/en/news-page/world/russian-duma-members-calling-for-declaration-of-war

 

 

 

 

 

Pour réfléchir sur la montée de la Guerre Mondiale:Revue de presse RT du 26 février au 4 mars 2023 (extraits). La guerre chaude en Ukraine

L’Ukraine envoie plus de renforts dans le « hachoir à viande » d’Artyomovsk

L’Ukraine prête à envahir son voisin – Ministre de la défense russe

La Russie met en garde les États-Unis, l’OTAN et l’Ukraine sur la Transnistrie

Le Pentagone dévoile un nouveau programme d’aide majeur à l’Ukraine

Le Pentagone dit qu’il a du mal à suivre les armes américaines en Ukraine

L’Occident considère la date limite des pourparlers de paix pour l’Ukraine – Bild

L’assistant de Zelensky explique pourquoi l’Ukraine ne laissera pas les hommes partir

L’inspecteur général américain pour l’Afghanistan met en garde contre le « gaspillage » de l’aide ukrainienne

L’impact des livraisons d’armes pour l’Ukraine sur l’armée allemande

La Russie révèle sa position sur l’accord céréalier d’Istanbul

L’Ukraine envoie plus de renforts dans le « hachoir à viande » d’Artyomovsk/Bakhmut

Avec la ville de Donbass presque complètement encerclée, cela fait des semaines que les responsables occidentaux auraient exhorté Kiev à se retirer.

Kiev a envoyé des renforts à la ville stratégiquement vitale d’Artyomovsk / Bakhmut, a déclaré mardi le vice-ministre ukrainien de la Défense Hanna Malyar. La ville a été pilée par l’artillerie russe, au point où les bailleurs de fonds occidentaux de Kiev auraient appelé le président Vladimir Zelensky pour réduire ses pertes et se retirer.

Malyar a annoncé le déploiement de renforts à la télévision nationale, avec divers médias ukrainiens portant ses commentaires. Selon le vice-ministre, la décision de renforcer Artyomovsk (appelé Bakhmut en Ukraine) a été « prise par les militaires, qui ne sont pas guidés par des motifs politiques ».

Durant ces dernières 24 heures, l’armée russe a abattu trois hélicoptères et 11 drones, indique la Défense russe. Environ 880 soldats ukrainiens, dont 490 sur l’axe de Donetsk, ont été éliminés. Une dizaine d’obusiers ont été détruits, dont deux de production américaine, tout comme un LRM Grad.
Environ 880 militaires ukrainiens ont été éliminés ces dernières 24 heures, a rapporté ce 4 mars le ministère russe de la Défense dans son bilan quotidien de l’opération spéciale.
Environ 490 d’entre eux ont été tués sur l’axe de Donetsk, jusqu’à 150 dans la direction de Krasny Liman, et plus de 90 sur l’axe de Koupiansk.
Les forces de Kiev ont également perdu près de 80 de leurs soldats sur les axes du sud de Donetsk et de Zaporojié, et plus de 70 dans la région de Kherson.

Les chasseurs et la DCA russes ont détruit trois hélicoptères Mi-8 dans la région de Dniepropetrovsk et de Zaporojié.
La défense aérienne russe a également abattu 11 drones ainsi que 12 projectiles de lance-roquettes multiples HIMARS.
L’artillerie russe a en outre anéanti deux canons légers M777 de production américaine sur l’axe de Donetsk, ainsi que quatre obusiers D-30, trois D-20 et deux obusiers Msta-B.
Un système de lance-roquettes multiples Grad et le radar d’un S-300 ont aussi été détruits avec des dizaines de chars et d’autres véhicules blindés.
Au total, en 24 heures, 83 postes d’artillerie ainsi que du personnel et du matériel militaires ont été bombardés dans 197 zones.
Depuis le début de l’opération militaire spéciale en Ukraine, l’armée russe a abattu 394 avions, 215 hélicoptères et 3.324 drones. Elle a détruit 408 systèmes de défense antiaérienne, 8.145 chars et autres blindés, 1.049 véhicules de lance-roquettes multiples, 4.273 pièces d’artillerie de terrain et de mortiers, et 8.722 autres équipements militaires.

 

 

 

 

L’Ukraine prête à envahir son voisin – Ministre de la défense russe

Kiev rassemble des troupes près de la frontière avec la région séparatiste de la Transnistrie en Moldavie, selon l’armée

L’Ukraine se prépare à envahir la région sécessionniste de la Moldavie en Transnistrie, a annoncé jeudi soir le ministère russe de la Défense.

Le MOD a signalé une « accumulation importante de personnel et d’équipements militaires ukrainiens près de la frontière entre l’Ukraine et la Transnistrie », ainsi que la mise en place de positions d’artillerie et une augmentation « sans précédent » des vols de drones au-dessus de la région.

« Les forces armées russes répondront de manière appropriée à la provocation imminente de la partie ukrainienne », a déclaré le ministère.

Le territoire situé sur la rive gauche du Dniestr s’est séparé de la Moldavie et s’est déclaré république indépendante au début des années 1990. Sa population majoritairement russophone ne voulait pas rester minoritaire dans le pays, lui-même devenu indépendant lors de l’éclatement de l’Union soviétique.

La Russie met en garde les États-Unis, l’OTAN et l’Ukraine sur la Transnistrie

Moscou dit qu’il répondra à toute « provocation » de Kiev contre les Casques bleus russes en poste dans la région sécessionniste moldave

Toute action de l’Ukraine ou de l’Occident qui constitue une menace pour les casques bleus ou les ressortissants russes dans la région séparatiste moldave de Transnistrie sera considérée comme une attaque contre la Russie, a déclaré le ministère des Affaires étrangères du pays. Il a mis en garde Kiev et ses partisans occidentaux contre les «provocations» là-bas.

Dans un communiqué publié vendredi, des diplomates russes ont cité des données du ministère de la Défense du pays, selon lesquelles l’Ukraine a amassé un nombre considérable de militaires, ainsi que du matériel et de l’artillerie à sa frontière avec la Transnistrie. À la lumière de cela, Moscou a mis en garde les «États-Unis, les États membres de l’OTAN et leurs sous-fifres ukrainiens contre toute autre mesure aventureuse».

Alors que la Russie privilégie les moyens « politico-diplomatiques » de résoudre les problèmes, « personne ne devrait douter que les forces armées russes réagiront de manière appropriée à toute provocation du régime de Kiev », indique le communiqué.

Le Pentagone dévoile un nouveau programme d’aide majeur à l’Ukraine

Les États-Unis se sont engagés à fournir plus d’armes et d’équipements à hauteur de 2 milliards de dollars, dont plusieurs types de drones et de munitions

Washington débourse 2 milliards de dollars supplémentaires pour renforcer l’armée ukrainienne, a annoncé le Pentagone. Le département américain de la Défense a souligné une fois de plus que la Maison Blanche, avec ses alliés occidentaux, continuera à soutenir Kiev « aussi longtemps qu’il le faudra ».

Dans un communiqué publié vendredi, à l’occasion du premier anniversaire de l’offensive russe en Ukraine, le Pentagone a déclaré que son engagement à soutenir Kiev n’avait « que renforcé » au cours des 12 derniers mois.

Le dernier programme d’assistance à la sécurité met un accent particulier sur les systèmes aériens sans pilote supplémentaires, y compris les drones kamikazes Switchblade 600 UAS, ainsi que les équipements de détection anti-drones et de guerre électronique. En plus de cela, Washington s’est engagé à fournir à l’Ukraine un nombre non divulgué de missiles pour les systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité (M142 HIMARS) et des obus d’artillerie de 155 mm.

Le Pentagone a déclaré que contrairement au « Presidential Drawdown », les armes constituant le dernier paquet ne proviendraient pas des propres stocks de l’armée américaine, mais plutôt achetées spécifiquement auprès des fabricants.

Le Pentagone dit qu’il a du mal à suivre les armes américaines en Ukraine

L’inspecteur général de l’armée a apparemment admis que les États-Unis ne peuvent pas suivre ses propres lois sur le contrôle des armes

Un rapport classifié l’année dernière a révélé que le Pentagone n’était pas en mesure de garder un œil sur des dizaines de milliards de dollars d’armes envoyées en Ukraine. Les détails du rapport ont été révélés – apparemment par inadvertance – par un législateur républicain lors d’une audience mardi.

S’exprimant mardi lors d’une audition du comité des services armés de la Chambre à Washington, l’inspecteur général du Pentagone, Robert Storch, a noté que les États-Unis avaient alloué 113 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine depuis le début du conflit en février dernier, dont environ 60% sont allés à l’armée du pays.

Storch – qui est chargé de veiller à ce que cet argent soit comptabilisé et non perdu par les déchets, la fraude ou les abus – a refusé de dire si son équipe avait rencontré une telle corruption en Ukraine. Cependant, le représentant républicain Mike Johnson a déclaré qu’un rapport du bureau de Storch en octobre dernier révélait que le Pentagone n’était pas en mesure d’effectuer une surveillance des livraisons d’armes à l’Ukraine conformément à ses propres politiques. Storch a répondu que le rapport en question était censé rester classé, mais a admis qu’il était «exact» en reconnaissant les «défis» auxquels les États-Unis sont confrontés en Ukraine.

L’Occident considère la date limite des pourparlers de paix pour l’Ukraine – Bild

Kiev a jusqu’à l’automne pour reprendre les territoires saisis par la Russie ou l’Occident fera pression sur elle pour qu’elle entame des pourparlers avec Moscou, affirme Bild

Les partisans occidentaux de l’Ukraine envisagent d’imposer un ultimatum à Kiev concernant d’éventuelles discussions avec Moscou, a rapporté lundi le tabloïd allemand Bild, citant des sources gouvernementales anonymes à Washington et à Berlin.

Avec de nouveaux approvisionnements en armes, les États-Unis et leurs alliés veulent fournir à Kiev une « incitation » à tenter de reprendre les territoires saisis par les forces russes, a affirmé Bild, ajoutant que l’Occident voulait voir des résultats à cet égard d’ici l’automne.

« Si la contre-offensive échoue, la pression sur Kiev pour négocier avec le Kremlin augmentera », a rapporté le journal.

Plus tôt, le Wall Street Journal a rapporté que le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne auraient offert des armes à Kiev et des engagements de sécurité dans le cadre d’un plan visant à pousser Kiev à négocier avec Moscou. Le média américain a affirmé la semaine dernière que Londres, Berlin et Paris étaient soi-disant prêts à offrir des garanties de sécurité juste avant l’adhésion à l’OTAN.

Selon Bild, cependant, les conditions n’étaient pas si généreuses. « Les Européens et les États-Unis ne peuvent pas et ne veulent pas fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité telles que l’adhésion à l’OTAN pour le moment », a déclaré au tabloïd le député allemand Norbert Roettgen, qui dirigeait auparavant la commission des affaires étrangères du Bundestag.

L’assistant de Zelensky explique pourquoi l’Ukraine ne laissera pas les hommes partir

Les droits de l’homme prennent le pas sur les obligations envers l’État, a déclaré Mikhail Podoliak à la télévision allemande

Le principal assistant du président ukrainien Vladimir Zelensky a défendu la décision de Kiev d’interdire aux hommes de quitter le pays, affirmant que les obligations envers l’État l’emportent sur les droits de l’homme. Fuir le projet signifie vouloir que l’Ukraine soit détruite, a déclaré Mikhail Podoliak au média allemand DW.

« Soyons francs ici. Pas besoin de spéculer. Que signifie la restriction des droits ? Les Ukrainiens n’ont-ils pas aussi des obligations ? Ou parlons-nous simplement de droits ? Podoliak a déclaré à DW dans une interview faisant le tour des réseaux sociaux lundi.

« L’État a le devoir de fournir des choses, de laisser les gens voyager, de laisser les gens vivre comme ils l’entendent. Oui, en temps de paix », a-t-il poursuivi. « Mais en temps de guerre, ce n’est pas une question à se poser. Vous souhaitez traverser la frontière ? Cela signifie que vous voulez que l’Ukraine cesse d’exister, parce que vous avez traversé la frontière.

« Parce que quand vous dites ‘Ouvrez les frontières aux hommes’, cela signifie ouvrir la frontière pour qu’ils puissent fuir. Et ils veulent s’enfuir », a déclaré Podoliak.

Ses commentaires sont venus alors que certains médias occidentaux soulignaient les tactiques de mobilisation «agressives» du gouvernement de Kiev.

L’inspecteur général américain pour l’Afghanistan met en garde contre le « gaspillage » de l’aide ukrainienne

Washington a été le plus grand contributeur financier de l’Ukraine dans son conflit contre la Russie

Des garanties solides doivent être en place pour empêcher la fraude et la corruption de saper les programmes d’aide étrangère destinés à aider l’Ukraine dans son conflit avec la Russie, selon John Sopko, l’inspecteur général spécial des États-Unis pour la reconstruction de l’Afghanistan (SIGAR).

Sopko, qui a été nommé au rôle de superviser la reconstruction de l’Afghanistan par l’administration Obama en 2012 au milieu de la présence militaire prolongée des États-Unis dans le pays, admet que des « erreurs importantes » ont été commises dans la reconstruction de l’Afghanistan – principalement en raison d’une grande partie de la les fonds alloués étant « détournés ou volés ».

« Le pire résultat est que l’aide est détournée, volée de telle manière qu’elle n’atteint pas son objectif – dans ce cas, fournir aux Ukrainiens les armes et l’argent nécessaires pour gagner leur guerre contre l’agresseur, la Russie », dit-il à Fox News.

« C’est obligé d’avoir du gaspillage », a-t-il expliqué. « C’est obligé d’avoir des éléments corrompus non seulement du gouvernement ukrainien ou hôte, mais aussi des sous-traitants du gouvernement américain ou d’autres sous-traitants tiers pour voler l’argent. »

L’impact des livraisons d’armes pour l’Ukraine sur l’armée allemande

Le chef de l’Association des forces armées allemandes doute désormais de la capacité de Berlin à remplir ses engagements envers l’OTAN

Selon le colonel Andre Wustner, chef de l’Association des forces armées allemandes (DBwV), l’armée allemande fait face à une pénurie de matériel essentiel en raison de la fourniture d’armes par Berlin à l’Ukraine pour son utilisation dans son conflit contre la Russie.

En février dernier, le chancelier allemand Olaf Scholz s’est engagé à investir 100 milliards d’euros (105,6 milliards de dollars) dans la Bundeswehr dans le but d’en faire l’armée la mieux équipée d’Europe. Cependant, Wustner a déclaré dimanche au journal Bild am Sonntag qu’un an plus tard, la promesse de Scholz n’était toujours pas tenue.

« Pour les soldats, rien ne s’est sensiblement amélioré depuis », a déclaré le chef du syndicat, qui représente les anciens et les anciens combattants allemands.

La Bundeswehr n’était pas pleinement opérationnelle avant même le conflit en Ukraine, mais les livraisons d’armes allemandes au gouvernement de Kiev ont encore creusé les lacunes dans son approvisionnement en matériel, a-t-il expliqué.

« À ce jour, nous n’avons pas reçu de remplacement pour un seul obusier automoteur que nous avons remis à l’Ukraine l’année dernière », a déclaré Wustner. Il y a aussi une pénurie de pièces de rechange et certains des quelques obusiers allemands restants doivent être mis hors service et démantelés à cette fin, a-t-il ajouté.

Le chef du DBwV a également révélé que « sur les quelque 300 chars Leopard possédés par la Bundeswehr, seuls 30% sont actuellement opérationnels ». Il est essentiel que les 18 Leopard 2 que Berlin a promis d’envoyer à Kiev plus tôt cette année soient rapidement remplacés, a-t-il déclaré.

« Je doute que nous soyons en mesure de respecter nos engagements envers l’OTAN pour 2025 », a-t-il poursuivi, notant que l’Allemagne a promis quelque 60 avions, 20 navires, 20 000 soldats et 7 000 véhicules au bloc militaire dirigé par les États-Unis d’ici là.

La Russie révèle sa position sur l’accord céréalier d’Istanbul

L’UE s’empare du grain de l’Ukraine tout en bloquant l’autre moitié de l’accord, a déclaré Moscou

L’ »accord sur les céréales » de la mer Noire conclu en août dernier ne fonctionne pas comme prévu, car les céréales d’Ukraine ne sont pas acheminées vers les pays nécessiteux d’Afrique et d’Asie, tandis que l’Occident continue de bloquer toutes les exportations russes de nourriture et d’engrais, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.

L’arrangement, négocié par l’ONU et signé le 22 juillet 2022 à Istanbul, a établi un couloir sûr pour les navires acheminant du maïs et du blé d’Odessa vers les pays confrontés à l’insécurité alimentaire. Il était également censé rétablir l’exportation de céréales et d’engrais depuis la Russie, a noté le ministère dans un communiqué.

Huit mois plus tard, seule la première partie de l’accord a été mise en œuvre, et d’une manière « éloignée des objectifs humanitaires affichés », a déclaré le ministère. Depuis le 1er août de l’année dernière, l’Ukraine a exporté plus de 23 millions de tonnes de céréales, dont 70 % d’aliments pour animaux. Sur ce total, l’UE représentait 47% et les «pays à revenu intermédiaire supérieur» 34%, a déclaré Moscou, tandis que seulement 2,6% vont actuellement aux pays qui ont le plus besoin de nourriture.

Pendant ce temps, il y a eu des progrès « presque nuls » dans le déblocage de la livraison de céréales ou d’engrais russes, dont on a cruellement besoin ailleurs. Kiev a continué de bloquer le pipeline d’ammoniac Togliatti-Odessa « pour des raisons purement politiques », entraînant une pénurie de 2,5 millions de tonnes de matières premières qui pourraient produire sept millions de tonnes d’engrais et nourrir 200 millions de personnes, a indiqué le ministère.

Derrière le dos de Zelinsky,la marionette de Kiev,se profile l’ombre du spectre du pédophile Joe Biden,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo :Histoire de la Terre:Un INCROYABLE Voyage vers les Océans Préhistoriques de la Terre

Voici une belle représentation de ce que fut la vie dans les océans préhistorique de la Terre!

J’ai  le plaisir de vous le présenter aujourd’hui!

 


NOTES

Il y a environ 541 millions d’années, la répartition des terres et des mers était bien différente de ce que nous connaissons. Tout cela a eu lieu bien avant la création de la Pangée. À cette époque du Cambrien, lors de la première phase du paléozoïque, l’océan iapétus sépare l’Amérique du Nord de l’Amérique du Sud et de l’Afrique qui était soudée entre elles, le tout appelée Gondwana. L’océan Rhéique sépare quant à lui la côte africaine du continent baltique. D’autres océans, comme la Panthalassa et le Paléotéthys couvrent une très large surface qui sépare la Chine du Nord et la Sibérie. Au fil des millions d’années, les continents se sont écartés, les océans se sont étendus et ouvert sur d’autres. Les terres se détachent et de microcontinents naissent. C’est le cas au Dévonien de L’Avalonia qui regroupe le Canada, l’Angleterre, le Pays de Galle, la France ou encore le Danemark. Au Carbonifère, la Chine du Nord s’amenuise et se retrouve isolée des autres continents et microcontinents. Le Permien amorce de nouveaux mouvements qui tendent à rapprocher les terres entre elles pour former la Pangée. Au Trias, l’océan Thétys est entaillé. Il entame une ouverture qui le mènera à l’océan Atlantique en disloquant la Pangée. Des subductions de plaque, c’est-à-dire lorsqu’une plaque glisse sous une autre et des orogenèses, ces mouvements des plaques qui mènent à la formation des montagnes, poursuivent le modelage de la planète et lui confèrent un nouveau visage au fil du temps. L’activité des dorsales océaniques maintient un niveau marin élevé. Des mers peu profondes recouvrent certains continents. D’autres phénomènes provoquent des coulées de basalte. Les continents se détachent, un à un. La terre et l’eau semblent en mouvement perpétuel. Chacun de ces mouvements mènera les continents un peu plus à la dérive pour former le monde tel que nous le connaissons aujourd’hui.

 

 

 

Nouvel ordre Mondial:Les États-Unis se tournent vers la guerre en Ukraine pour préserver leur primauté décroissante

L’avenir de l’humanité se décidera sur un champ de bataille en Ukraine. Ce n’est pas exagéré. Le conflit entre les États-Unis et la Russie déterminera si l’intégration économique mondiale s’étendra au sein d’un système multipolaire en évolution ou si «l’ordre fondé sur des règles» réussira à écraser tout opposant à son modèle centré sur l’Occident. C’est ce qui se passe en Ukraine aujourd’hui, en fait, tous les documents récents préparés par le gouvernement et liés à la sécurité nationale identifient la Russie et la Chine comme les plus grandes menaces à l’hégémonie américaine.

 

 

Par exemple, jetez un œil à ce bref extrait du rapport 2021 du Congressional Research Service intitulé Renewed Great Power Competition : Implications for Defence—Issues for Congress :

L’objectif américain d’empêcher l’émergence d’hégémons régionaux en Eurasie… est un choix politique reflétant deux jugements : (1) que compte tenu de la quantité de personnes, de ressources et d’activité économique en Eurasie, un hégémon régional en Eurasie représenterait une concentration de pouvoir assez grand pour pouvoir menacer les intérêts vitaux des États-Unis….

Du point de vue américain sur la grande stratégie et la géopolitique, on peut noter que la plupart des personnes, des ressources et de l’activité économique du monde ne se trouvent pas dans l’hémisphère occidental, mais dans l’autre hémisphère, en particulier l’Eurasie. En réponse à cette caractéristique fondamentale de la géographie mondiale, les décideurs américains des dernières décennies ont choisi de poursuivre, en tant qu’élément clé de la stratégie nationale américaine, l’objectif d’empêcher l’émergence d’hégémons régionaux en Eurasie. ( « Concours renouvelé des grandes puissances : implications pour la défense — enjeux pour le Congrès » , Congrès américain)

Cela résume la politique étrangère américaine en un mot ; « empêcher à tout prix l’émergence d’un hégémon régional ». Consultez maintenant ce résumé de la stratégie de défense nationale des États-Unis pour 2022 par Andre Damon sur le World Socialist Web Site :

Ces documents, qui n’ont pas été sérieusement discutés dans les médias américains, clarifient le mensonge fondamental selon lequel le renforcement massif de l’armée américaine cette année est une réponse à « l’agression russe ». En réalité, dans la pensée des planificateurs de guerre de la Maison Blanche et du Pentagone, les augmentations massives des dépenses militaires et les plans de guerre contre la Chine sont créés par « des changements spectaculaires dans la géopolitique, la technologie, l’économie et notre environnement ».

Ces documents indiquent clairement que les États-Unis considèrent l’essor économique de la Chine comme une menace existentielle, à laquelle il faut répondre par la menace de la force militaire. Les États-Unis considèrent l’assujettissement de la Russie comme un tremplin essentiel vers le conflit avec la Chine. (« Le document de stratégie nationale du Pentagone cible la Chine », Andre Damon, World Socialist Web Site)

Ces deux extraits ne sont en aucun cas un résumé complet des objectifs de la politique étrangère des États-Unis, mais ils constituent une esquisse assez efficace. Conclusion : La guerre en Ukraine ne concerne pas l’Ukraine. Les objectifs stratégiques clairement articulés de l’Amérique sont les suivants : affaiblir la Russie, renverser son leader, prendre le contrôle de ses vastes ressources naturelles et passer à l’endiguement de la Chine. En termes simples, l’escalade de l’agression de Washington en Ukraine est une passe d’Ave Maria visant à contenir les centres émergents de puissance économique afin de préserver sa position déclinante dans l’ordre mondial.

C’est le match d’échecs géopolitique qui se joue derrière la couverture d’une « guerre contre l’agression non provoquée de la Russie ». Les gens ne devraient pas être trompés par cette tromperie absurde. Cette guerre a été concoctée comme une tentative désespérée des États-Unis pour défendre leur hégémonie mondiale vacillante. C’est ce qu’est vraiment la guerre en Ukraine.
C’est un affrontement entre, d’une part, les oligarques occidentaux bellicistes qui ont la mainmise sur les médias et l’establishment politique américains  [1] et, d’autre part,  les économies émergentes qui utilisent le système de marché pour relier leurs ressources et leurs produits manufacturés aux pays du monde entier par le biais d’infrastructures «à grande vitesse» et de coopératives. développement.

Donc, la question que tout le monde doit se poser est celle-ci : 

Voulez-vous voir plus d’intégration économique, des prix plus bas, plus de prospérité partagée et moins de guerres ou encore 80 ans de sanctions onéreuses et arbitraires, de révolutions de couleur, des opérations de changement de régime, des interventions génocidaires et la guerre avec des armes biologiques (Covid-19) ? 

Peut-être faites-vous partie des millions d’Américains qui croient que la Chine est un ennemi des États-Unis. Peut-être ignorez-vous également le rôle que les États-Unis ont joué dans la création de la Chine moderne. Voici une question pour vous : les entreprises américaines et occidentales ont-elles massivement déplacé leurs opérations en Chine pour échapper aux coûts de production élevés aux États-Unis ? 
La réponse est Oui, elles l’ont fait.

Et ont-elles trahi les travailleurs américains parce qu’elles ne voulaient pas qu’un salaire équitable interfère avec leurs profits excessifs ?

La réponse est Oui, elles l’ont fait.

Et, ont-elles délocalisé leurs entreprises, externalisé la fabrication de leurs produits et fait tout ce qui était en leur pouvoir pour devenir des gagnants tout en privant les travailleurs américains/européens de la possibilité de gagner un salaire décent afin qu’ils puissent mettre de la nourriture sur la table ?

réponse– elles l’ont certainement fait.

Alors qui est réellement responsable de l’essor de la Chine ?

réponse– Les sociétés occidentales sont responsables. Si les Américains veulent blâmer quelqu’un, blâmez ces sociétés !

Mais maintenant, les mandarins des entreprises et les autres élites sont mécontents de la Chine parce que la Chine ne leur permettra pas de prendre le contrôle de leurs marchés, de leur système financier [2] et de leur monnaie comme ils l’ont fait en Amérique (et en Europe). Alors maintenant, ces mêmes sociétés impitoyables veulent que nous menions une guerre contre le monstre qu’ils ont créé ?

Ne voyez-vous pas que les provocations incessantes contre la Chine n’ont rien à voir avec la sécurité nationale américaine ou les intérêts américains. Nous sommes conduits par le bout du nez à nous battre et à mourir pour des oligarques occidentaux voraces qui ont choisi la Chine comme prochaine cible de leur grande opération de pillage.

Mais oublions le passé un instant et concentrons-nous sur l’avenir, après tout, c’est ce qui compte vraiment, non ?

Alors, quel pays a une « vision plus positive » de l’avenir : la Chine ou les États-Unis ?

Avez-vous déjà entendu parler de l’initiative « la Ceinture et la Route (BRI)  » de la Chine, le plan d’infrastructure massif de plusieurs billions de dollars qui est la pièce maîtresse de la politique étrangère de la Chine ? C’est le plus grand programme d’infrastructure de l’histoire et plus de 150 pays ont déjà investi dans le plan. Il s’agit d’un projet axé sur le développement visant à accroître la connectivité grâce au train à grande vitesse, aux voies de navigation et aux ports, aux gratte-ciel, aux chemins de fer, aux routes, aux ponts, aux aéroports, aux barrages, aux centrales électriques et aux tunnels ferroviaires. En augmentant la vitesse de déplacement, les produits et marchandises de la Chine arriveront plus rapidement sur les marchés, générant une plus grande prospérité pour elle-même et pour les autres pays concernés. Et, gardez à l’esprit, la BRI reliera les pays du monde entier dans un système à grande vitesse qui n’obligera pas ses participants à suivre un modèle économique spécifique dicté par Pékin . En d’autres termes, l’initiative « la Ceinture et la Route » est une économie de marché libre sans la politique. C’est une situation « gagnant-gagnant » pour tout le monde, une garantie de prospérité mutuelle sans manipulation politique, coercition ou exploitation.

 

 

 

 

 

 

 

Les oligarques vénaux qui dirigent les États-Unis ne peuvent même pas imaginer un projet de cette envergure ou de ce potentiel. En fait, ils ne peuvent même pas trouver assez d’argent pour maintenir les trains sur les rails en Amérique. Les bénéfices que ces parasites milliardaires tirent de leurs activités proviennent invariablement de rachats d’actions, d’évasion fiscale et d’autres escroqueries à la Ponzi qui ne profitent à personne et ne font que transférer une plus grande partie de la richesse de la nation dans leurs propres comptes bancaires gonflés. Bien sûr, arnaquer le pays serait déjà assez grave, mais nous voyons maintenant comment cette même classe de mécréants a opté pour la santé publique comme moyen d’amplifier son pouvoir politique afin d’imposer des mesures répressives d’État policier qui restreignent considérablement la liberté de toute la population. En bref, ils veulent un contrôle social absolu et ils ne lâcheront rien tant qu’ils ne l’auront pas obtenu.

Où est la « vision positive » dans ce comportement ?

Il n’y en a pas. L’Amérique était autrefois un pays d’idées, d’idéaux et de vision. C’est maintenant un centre de détention dirigé par des oligarques dans lequel tout espoir pour l’avenir a été impitoyablement éteint par une poignée de milliardaires mercenaires.

Au moins, dans le cas de la Chine, on peut imaginer un monde meilleur, plus prospère, interconnecté et plus accessible à tous. Mais qu’en est-il des États-Unis ? Sommes-nous censés croire que mener une guerre en Europe de l’Est va améliorer nos vies ? Sommes-nous censés croire que la seule façon de « rester au top » est de pousser tout le monde vers le bas ? Sommes-nous censés haïr la Chine et la Russie alors même que notre propre gouvernement diabolise 80 millions d’entre nous pour avoir voté pour le mauvais candidat à la présidence ou pour ne pas soutenir les terroristes qui brûlent et pillent nos villes ou pour croire que les habitants d’Israël méritent davantage notre soutien et notre assistance que les nazis à Kiev ?

Le fait est que nos dirigeants ne peuvent pas imaginer consacrer des ressources publiques à un projet d’infrastructure interconnecté géant comme la BRI, car cela signifierait moins de profit pour eux-mêmes. Alors, ils ont décidé de le détruire comme ils ont détruit Nord Stream. Il suffit de lire les revues de presse sur ce projet révolutionnaire.
Une vaste zone au centre de l’Amérique a été diaboliquement bombardée de chlorure de vinyle, d’acrylate de butyle et d’isobutylène, mais les médias occidentaux préféreraient critiquer l’ambitieux projet BRI de la Chine plutôt que de tenir leurs payeurs responsables . Allez comprendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

La même règle s’applique à la Russie. L’équipe Biden et leurs riches alliés ne veulent pas de relations plus étroites entre l’Allemagne et la Russie, car des relations plus étroites signifient plus de prospérité pour les deux pays, et Washington ne veut pas avoir cela, c’est pourquoi ils ont fait sauter le pipeline qui était la bouée de sauvetage de l’Allemagne vers du carburant bon marché. . C’est ainsi que Washington a résolu le problème. Cela a poussé l’Allemagne et la Russie vers le bas afin que les États-Unis puissent rester au sommet.

En revanche, l’initiative « la Ceinture et la Route » offre une vision positive de l’avenir, une idée que la majorité du monde soutient. Cela nous met sur la voie d’un monde interconnecté dans lequel les gens peuvent élever leur niveau de vie, apporter une contribution significative à leurs communautés et profiter de leur propre culture et traditions sans craindre d’être sanctionnés, incarcérés ou bombardés à mort. Voici un extrait du Global Times chinois :

L’initiative « la Ceinture et la Route » (BRI) proposée par la Chine est déjà devenue un bien public international bien accueilli et une plate-forme importante pour la coopération internationale…

« La BRI transcende la mentalité dépassée des jeux géopolitiques et a créé un nouveau modèle de coopération internationale. Il ne s’agit pas d’un groupe exclusif qui exclut les autres participants mais d’une plate-forme de coopération ouverte et inclusive . Ce n’est pas seulement l’effort solo de la Chine, mais une symphonie interprétée par tous les pays participants….

Depuis que l’initiative « la Ceinture et la Route » (BRI) a été proposée en 2013, l’initiative a toujours été axée sur le développement, et des efforts constants ont été déployés pour s’assurer qu’elle est de haut niveau, durable et centrée sur les personnes….

En août, le commerce de marchandises de la Chine avec les pays participant à la BRI avait atteint environ 12 000 milliards de dollars et les investissements directs non financiers du pays dans ces pays dépassaient 140 milliards de dollars. … Fin 2021, les entreprises chinoises avaient investi 43 milliards de dollars dans la construction de zones de coopération économique et commerciale dans les pays de la BRI, créant plus de 340 000 emplois locaux, selon les données officielles…

La Chine est ouverte à la participation d’autres pays et régions à la BRI et envisage de se connecter aux initiatives d’infrastructure proposées par d’autres nations pour fournir davantage de biens publics de bonne qualité au monde…. La Chine espère s’associer à tous les partenaires pour faire progresser le développement de haute qualité… soulignant que la Chine vise à lutter pour une connexion mondiale plutôt que pour la fragmentation, pour une ouverture mutuelle plutôt que pour la fermeture de portes, pour une intégration mutuelle plutôt que pour des jeux à somme nulle. (« La BRI reste ouverte, inclusive pour tous, transcende la mentalité dépassée des jeux géopolitiques », Global Times)

Quel est le projet américain qui rivalise avec la Belt and Road Initiative ?

Il n’y en a pas. Les États-Unis allouent plus de 1 000 milliards de dollars par an pour les armes létales et la guerre, et des milliards de plus pour renflouer les banquiers de Wall Street, et des milliards de plus pour fermer toutes les entreprises à travers le pays qui ont été forcées de se conformer aux diktats des élites milliardaires qui voulaient injecter à la population leur boue toxique, mais donnent zéro pour tout projet d’infrastructure mondial qui rapprocherait pacifiquement les peuples du monde grâce au commerce et aux loisirs.

Personne ne dit que la Chine est parfaite, du moins je ne le dis pas. Je ne veux pas non plus vivre en Chine. Je suis américain et j’ai l’intention de mourir ici.

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais je ne suis pas aveugle. Il est facile de voir que cette guerre avec la Russie n’a rien à voir avec une « agression non provoquée ». Ce n’est qu’un écran de fumée utilisé pour dissimuler le véritable objectif, qui est de préserver l’hégémonie mondiale de l’Amérique. Ce que nous devons faire maintenant, c’est analyser honnêtement « ce qui se passe » ; essayer de comprendre « pourquoi cela se produit » et, ensuite, déterminer ce que sera le résultat si les États-Unis l’emportent. En d’autres termes, voulons-nous perpétuer un système contrôlé par des oligarques, qui écrase la Russie, contient la Chine, prive l’Europe de l’énergie dont elle a besoin, sabote le plan d’infrastructure de la Ceinture et de la Route et renforce les mêmes politiques ratées qui nous ont amené l’Afghanistan, la Libye, la Syrie et l’Irak ?

Voulons-nous cela?

Le peuple américain veut que son gouvernement coopère avec d’autres nations afin de créer un monde plus prospère et pacifique. Le peuple américain ne veut pas d’un nouvel ordre mondial et il ne veut certainement pas une troisième guerre mondiale.

Mike Whitney • 26 février 2023


NOTES

 

[1] « Voici, en une seule image, ce qui ne va pas en Amérique »

Top 20 du classement Forbes 2020 des milliardaires mondiaux. Sur les vingt, il y en a DIX qui sont juifs.

Prénom / Nom Fortune Nationalité Entreprise
#1 Jeff Bezos $113 Mds Américaine Amazon
#2 Bill Gates $98 Mds Américaine Microsoft
#3 Bernard Arnault $76 Mds Française LVMH
#4 Warren Buffett $67,5 Mds Américaine Berkshire Hathaway
#5 Larry Ellisson  $59 Mds Américain Software
#6 Amancio Ortega $55,1 Mds Espagnol Zara/Inditex
#7 Mark Zuckerberg $54,7 Mds Américaine Facebook
#8 Jim Walton $54,6 Mds Américaine Walmart
#9 Alice Walton $54,4 Mds Américaine Walmart
#10 S. Robson Walton $54,1 Mds Américaine Walmart
#11 Steve Ballmer $52,7 Mds Américaine Microsoft
#11 Carlos Slim Helu $52,1 Mds Mexicaine Télécom
#13 Larry Page $50,9 Mds Américaine Google
#14 Sergey Brin $49,1 Mds Américaine Google
#15 Françoise Bettencourt Meyers $48,9 Mds Française L’Oréal
#16 Michael Bloomberg $48 Mds Américaine Bloomberg LP
#17 Jack Ma $38,8 Mds Chinoise Alibaba
#18 Charles Koch $38,2 Mds Américaine Koch Industries
#19 Julia Koch $38,2 Mds Américaine Koch Industries
#20 Ma Huateng $38,1 Mds Chinoise Tencent

La personne la plus riche dans au moins 7 États américains est juive :

Le magazine Forbes a publié mercredi une liste des personnes les plus riches de chacun des 50 États.

Le fondateur et PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, 31 ans, est la personne la plus riche de Californie avec une valeur nette de 71 milliards de dollars. Le promoteur immobilier Ted Lerner, 93 ans, et sa famille sont les plus riches du Maryland avec une valeur nette de 5,1 milliards de dollars.

Le fondateur et propriétaire de Quicken Loans, Dan Gilbert, 57 ans, propriétaire des Cleveland Cavaliers, est la personne la plus riche du Michigan avec une valeur nette de 6,8 milliards de dollars. Le magnat du casino, le maffieux et ami de Trump, Sheldon Adelson, 85 ans, également propriétaire du quotidien Las Vegas Review-Journal, est la personne la plus riche du Nevada avec une valeur nette de 37,5 milliards de dollars.

L’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, 77 ans, co-fondateur et propriétaire majoritaire de la société d’information financière et de médias Bloomberg LP, est la personne la plus riche de New York avec une valeur nette de 58,3 milliards de dollars.

Leslie Wexner, 81 ans, fondatrice et PDG de L Brands, est la personne la plus riche de l’Ohio avec une valeur nette de 4,7 milliards de dollars. Anita Zucker, PDG d’InterTech Group, un fabricant de produits chimiques, est la personne la plus riche de Caroline du Sud avec une valeur nette de 1,8 milliard de dollars.

 

 

 

La personne la plus riche de tous les États – également considérée comme

l’homme le plus riche du monde – est le fondateur et propriétaire d’Amazon, Jeff Bezos, avec une valeur nette estimée à 157 milliards de dollars.

Or les juifs représentent 1,8% de la population américaine.  Les milliardaires juifs sont en tête dans 7 états sur 50, soit un score de 7/50 c’est-à-dire 14%. Ils sont donc surreprésentés dans les milliardaires dans une proportion de 14%/1,8% = 7,8, arrondi à 8. 

Cela veut dire que, si vous êtes juif aux USA, vous avez 8 fois plus de chances de devenir milliardaire que si vous êtes goy. Il en est de même en France ,au Canada,au Québec,etc…

Au niveau mondial :

Selon le bureau central des statistiques (CBS) israélien, la population juive mondiale serait de 13,855 millions, que l’on arrondit à 15 millions. La population mondiale est de 7,7 milliards. Donc les juifs représentent 15/7700= 0,19%, arrondi à 0,2%. Si les juifs étaient aussi riches (ou pauvres) que les goys, leur nombre parmi le top 20 des milliardaires serait de 20*0,02=0,4. Or leur nombre actuel est de 10, ils sont donc surreprésentés dans un rapport de 10/0,04= 250. Cela veut dire que, dans le monde, si vous êtes juif, vous avez 250 fois plus de chances de faire partie du top20 des plus riches (donc faisant partie des 1%) que si vous êtes goy.

Selon Forbes, il y a 2604 milliardaires dans le monde, dont le quart réside aux États-Unis. Parmi les 100 premières fortunes américaines, 30 sont juives, soit 30%.

Si nous faisons varier la proportion de milliardaires juifs, en considérant que les 30% en Amérique sont un maximum,  nous obtenons :

(a) 2604 2604 2604 2604 2604 2604
(b) 5% 10% 15% 20% 25% 30%
(c) 130 260 391 521 651 781

(       a)    Nombre de milliardaires dans le monde

(       b)   Proportion de juifs parmi les milliardaires

(     c) Nombre de milliardaires juifs estimés dans le monde : au minimum 130, au   maximum 781, sachant que les juifs représentent au maximum 0,2% de la population mondiale.

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Naturellement, expliquer des statistiques relatives à la position hors normes des juifs par rapport aux non-juifs, c’est de l’antisémitisme. Le « politiquement correct » impose de cacher des vérités élémentaires et connues depuis des lustres. C’est pour cela que notre Blog est  puni par Facebook and Co. 

 [2] La liste de Wikipédia des banquiers juifs américains est éclairante

Wikipédia a une liste très utile de banquiers juifs « américains ».

C’est utile dans le sens de « wow, regardez la longueur de cette liste – wow, c’est vraiment, vraiment une très longue liste. »
Maintenant : imaginez que ce ne sont que les personnes suffisamment connues pour avoir une page Wikipédia.
Imaginez, si vous voulez, que ce genre de surreprésentation se retrouve à tous les niveaux du secteur bancaire, du secteur de l’information [1], du cinéma, etc.
Ensuite, imaginez : ils vous disent de penser que c’est parce que l’Église catholique les a forcés à faire de l’usure. Des centaines d’années plus tard, ils contrôlent toujours les banques.
Dans une prétendue méritocratie démocratique.
Je vais copier la liste complète, car j’ai l’impression que quelqu’un va demander que cette liste soit retirée, et il est important que nous en gardions une trace.

Voici  cette fameuse liste:

Leonard L. Abess (né en 1948), propriétaire et PDG de la City National Bank of Florida [1]
– Bill Ackman (né en 1966), gestionnaire de fonds spéculatifs et investisseur, fondateur de Pershing Square Capital Management et co-fondateur de la société d’investissement Gotham Partners [2]
– Les Alexander (né en 1944), investisseur, fondateur du groupe Alexander, ancien propriétaire des Houston Rockets de la NBA [3]
– Sergey Aleynikov (né en 1969/1970), fondateur russo-américain du cabinet de conseil financier Omnibius [4]
– Bill (né en 1949), Peter (1952-2017), Susan (née en 1946) et Ted Alfond (né en 1945), investisseurs ; membres de la famille Alfond [5]
– James Altucher (né en 1968), gestionnaire de fonds spéculatifs et investisseur technologique, fondateur de StockPickr [6]
– Shari Arison (née en 1957), investisseur américano-israélien, propriétaire de Bank Hapoalim ; membre de la famille Arison [7]
– Jeff Aronson (né en 1958), co-fondateur de Centerbridge Partners , ancien associé chez Angelo Gordon [8] [9]
– Cliff Asness (né en 1966), gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondateur d’ AQR Capital [10] [11]
– Jules Bache (1861-1944), fondateur de JS Bache & Cie [12]
– Ronald S. Baron (né en 1943), investisseur, fondateur de Baron Capital Management [13]
– Joseph Ainslie Bear (1878–1955), co-fondateur de la banque d’investissement Bear Stearns [14]
– Jordan Belfort (né en 1962), ancien courtier en valeurs mobilières, fondateur de Stratton Oakmont [15]
– Rebecka Belldegrun (née en 1950), investisseuse d’origine finlandaise, PDG de BellCo Capital ; épouse d’ Arie Belldegrun [16]
– Bob Benmosche (1944-2015), banquier d’investissement, ancien président et chef de la direction de l’ American International Group (AIG) [17]
– Roger Berlind (1930–2020), co-fondateur de Carter, Berlind, Potoma & Weill [18]
– David Bergstein (né en 1962), fondateur de la société de capital-investissement Cyrano Group [19]
– Bruce R. Berkowitz (né en 1957/1958), fondateur de Fairholme Capital Management [20]
– Paul P. (né en 1934) et Zalman Bernstein (1926–1999), cofondateurs de la société de gestion de placements Sanford C. Bernstein & Company (aujourd’hui AllianceBernstein) [21]
– Leon Black (né en 1951), co-fondateur d’ Apollo Global Management [22]
– Lloyd C. Blankfein (né en 1954), ancien PDG de Goldman Sachs [23]
– Leonard Blavatnik (né en 1957), investisseur anglo-américain d’origine ukrainienne, fondateur d’ Access Industries (propriétaire de Warner Music Group , Deezer , DAZN ) [24] [25] [26]
– Michael Bloomberg (né en 1942), co-fondateur de la société mondiale de services financiers, de logiciels et de médias de masse Bloomberg [27]
– Alfred S. Bloomingdale (1916-1982), co-fondateur de Diners Club International [28]
– Richard C. Blum (né en 1935), fondateur de Blum Capital [29]
– Ivan Boesky (né en 1937), ancien financier et initié , fondateur d’Ivan F. Boesky & Company [30] [31]
– David Bonderman (né en 1942), co-fondateur de TPG Capital [32]
– Bill Browder (né en 1964), financier américano-britannique, co-fondateur de Hermitage Capital Management [33]
– B. Gerald Cantor (1916–1996), fondateur de Cantor Fitzgerald [34]
– Arthur L. Carter (né en 1931), banquier d’investissement, co-fondateur de Carter, Berlind, & Weill [35]
– Stanley Chais (1926–2010), ancien conseiller en placement et gestionnaire de fonds [36]
– Marshall Cogan (né en 1937), ancien associé chez Cogan, Berlind, Weill & Levitt et fondateur du United Automotive Group [37]
– Abby Joseph Cohen (née en 1953), directrice consultative chez Goldman Sachs [38]
– Peter A. Cohen (né en 1946/1947), président-directeur général de Cowen Group [39]
– Steven A. Cohen (né en 1956), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Point72 Asset Management et SAC Capital Advisors [40]
– Gary Cohn (né en 1960), ancien COO de Goldman Sachs ; Conseiller économique en chef du président Trump (jusqu’en mars 2018) [41]
– Leon Cooperman (né en 1943), investisseur et gestionnaire de fonds spéculatifs, président d’ Omega Advisors [42] [43]
– Mark Cuban (né en 1958), investisseur dans une start-up, propriétaire des Dallas Mavericks de la NBA , co-fondateur de 2929 Entertainment [44]
– Jon P. Diamond (né en 1957), co-fondateur de la Safe Auto Insurance Company [45]
– Glenn Dubin (né en 1957), gestionnaire de fonds spéculatifs, cofondateur de Highbridge Capital Management , copropriétaire de la société marchande mondiale CCI [46]
– Asher Edelman (né en 1939), raider d’entreprise [30]
– Joseph Edelman (né en 1955), fondateur du fonds spéculatif Perceptive Advisors [47]
– David Einhorn (né en 1968), investisseur, gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Greenlight Capital [48]
– Lewis Eisenberg (né en 1942), co-fondateur de la société de capital-investissement Granite Capital International Group [49]
– Thomas George Stemberg (1949–2015), Il a été un pionnier de l’industrie des grandes surfaces de fournitures de bureau [50]
– Michael R. Eisenson , co-fondateur de Charlesbank Capital Partners [51]
– Steve Eisman (né en 1962), investisseur, co-fondateur d’ Emrys Partners , directeur général chez Neuberger Berman [52]
– Israël « Izzy » Englander (né en 1948), investisseur, fondateur de Millennium Management [53]
– Boris Epshteyn (né en 1982), banquier d’investissement d’origine russe [49]
– Jeffrey Epstein (1953–2019), financier, fondateur d’ Intercontinental Assets Group et de J. Epstein Co. [54]
– Andrew Fastow (né en 1961), ancien directeur financier d’ Enron [55]
– Irwin Federman (né en 1936), associé général de US Venture Partners (USVP) [56]
– Steve Feinberg (né en 1960), co-fondateur de Cerberus Capital Management [57]
– Karen Finerman (née en 1965), cofondatrice du fonds spéculatif Metropolitan Capital Advisors [58]
– Laurence D. Fink (née en 1952), cadre financier, co-fondatrice de BlackRock , le plus grand gestionnaire d’actifs au monde. [59]
– William S. Fisher (né en 1958), investisseur, gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Manzanita Capital ; Gap héritier [60]
– Lee Fixel (né en 1980), investisseur, associé chez Tiger Management [61]
– John Frankel (né en 1961), fondateur anglo-américain de ff Venture Capital [62]
– Martin Frankel (né en 1954), investisseur, fondateur de Winthrop Capital ; connu pour utiliser l’astrologie pour prendre des décisions de trading financier [63] [64]
– Jacob A. Frenkel (né en 1943), président israélo-américain de JPMorgan Chase International [65] [66]
– Tully Friedman (né en 1942), co-fondateur de Hellman & Friedman (H&F), Friedman Fleischer & Lowe (FFL) [67] [68]
– Jeremy Frommer , gestionnaire de fonds spéculatifs, ancien co-PDG de RBC Capital Markets [69]
– Richard S. Fuld Jr. (né en 1946), ancien (et dernier) PDG de Lehman Brothers [70]
– Lewis Glucksman (1925–2006), PDG et président de Lehman Brothers, Kuhn, Loeb [71] [72]
– Stanley Gold (né en 1942), ancien président et chef de la direction de Shamrock Holdings ( société d’investissement familiale de Roy E. Disney ) [73]
– Stanley Golder (1929–2000), co-fondateur de la société de capital-investissement GTCR [74]
– Marcus Goldman (1821-1904), co-fondateur d’origine allemande de Goldman Sachs ; membre de la famille Goldman-Sachs [75]
– David Gottesman (1926–2022), fondateur de First Manhattan Co. ; membre de la famille Gottesman [76]
– Noam Gottesman (né en 1961), gestionnaire de fonds spéculatifs et investisseur anglo-américain d’origine israélienne, co-fondateur de GLG Partners , PDG de TOMS Capital [77]
– Jonathan D. Gray (né en 1970), président et directeur de l’exploitation du groupe Blackstone , président de Hilton Worldwide Holdings [78]
– Leonard I. Green (1934–2002), fondateur de Leonard Green & Partners , la plus grande société de LBO de la côte ouest [79]
– Pincus Green (né en 1934), négociant en matières premières pétrolières et gazières [80] [81]
– Alan Greenspan (né en 1926), ancien président de la Réserve fédérale , (co-)fondateur de Townsend-Greenspan & Co. et Greenspan Associates [82]
– John Gutfreund (1929–2016), ancien PDG de Salomon Brothers [83] [84]
– Rich Handler (né en 1961), banquier, président-directeur général de la banque d’investissement indépendante Jefferies Group [85]
– Joshua Harris (né en 1965), investisseur, co-fondateur d’ Apollo Global Management , propriétaire des New Jersey Devils et des Philadelphia 76ers [86] [87]
– Adrian (né en 1966) et Nick Hanauer (né en 1959), capital-risqueurs [88]
– Alfred S. Hart (1904–1979), fondateur d’origine hongroise de la City National Bank [89] [90]
– Andrew Hauptman (né en 1969), fondateur de la société d’investissement Andell Holdings et propriétaire du Chicago Fire Soccer Club ; gendre de Charles Bronfman [91]
– Isaias W. Hellman (1842–1920), banquier d’origine allemande, co-fondateur de la Farmers and Merchants Bank of Los Angeles (F&M), président de la Wells Fargo Nevada National Bank [92]
– Samuel J. Heyman (1939–2009), gestionnaire de fonds spéculatifs et président de GAF Materials Corporation [93]
– Ben Horowitz (né en 1966), investisseur dans une start-up , co-fondateur d’ Andreessen Horowitz [94]
– Carl Icahn (né en 1936), raider d’entreprise , fondateur d’ Icahn Enterprises [95]
– Mat Ishbia (né en 1979/1980), PDG et président du prêteur hypothécaire United Wholesale Mortgage [96]
– Samuel Israel III (né en 1959), ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur du Bayou Hedge Fund Group [97]
– Kenneth M. Jacobs (né en 1957/1958), président-directeur général de Lazard Ltd [98]
– Mitchell R. Julis (né en 1955), co-fondateur du fonds spéculatif Canyon Capital Advisors [99]
– David Kabiller (né en 1964), co-fondateur de la société de gestion d’investissements AQR Capital [100]
– Neil Kadisha (né en 1955), co-fondateur d’origine iranienne de la société d’investissement Omninet Capital [101]
– Irving Kahn (1905–2015), investisseur, co-fondateur de Kahn Brothers Group [102] [103]
– Otto Hermann Kahn (1867–1934), banquier d’affaires d’origine allemande, associé chez Kuhn, Loeb & Co. ; connu pour la réorganisation des systèmes ferroviaires américains [104]
– George Kaiser (né en 1942), président de BOK Financial Corporation [105] [106]
– Robert S. Kapito (né en 1957), investisseur, co-fondateur de BlackRock , président du conseil d’administration de la UJA-Federation of New York [107]
– Steven Kaplan , co-fondateur d’ Oaktree Capital Management , copropriétaire de DC United de la MLS et Swansea City AFC du championnat EFL [108]
– George Karfunkel (né en 1948/1949), co-fondateur d’origine hongroise d’ AmTrust Financial Services et d’American Stock Transfer & Trust Company (AST) [109] [110]
– Bruce Karsh (né en 1955), investisseur, co-fondateur d’ Oaktree Capital Management , président de la Tribune Media Company [111]
– Richard A. Kayne (né en 1945/1946), co-fondateur de Kayne Anderson Capital Advisers [112]
– Tal Keinan (né en 1969), investisseur américano-israélien, co-fondateur de Clarity Capital [113]
– Barry Klarberg (né en 1961), fondateur de Monarch Business & Wealth Management ; copropriétaire des New York Yankees de la MLB et du New York City FC de la MLS [114]
– Seth Klarman (né en 1957), investisseur et gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur du groupe Baupost ; propriétaire minoritaire des Boston Red Sox de la MLB [115]
– Eugene Kleiner (1923–2003), capital-risqueur d’origine autrichienne qui a cofondé KPCB et est considéré comme un pionnier de la Silicon Valley [116]
– Jerome Kohlberg Jr. (1925–2015), co-fondateur de KKR , fondateur de Kohlberg & Company [117]
– Sonja Kohn (née en 1948), banquière austro-américaine [118] [119]
– Bruce Kovner (né en 1945), investisseur, gestionnaire de fonds spéculatifs, président de CAM Capital [120]
– Orin Kramer (né en 1945), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Boston Provident [121]
– Peter S. Kraus , PDG d’ AllianceBernstein (AB) [122]
– Henry R. Kravis (né en 1944), co-fondateur de KKR [123]
– Rodger Krouse (né en 1961), co-fondateur de Sun Capital Partners [124]
– Joe Lacob (né en 1956), investisseur de la Silicon Valley, associé chez Kleiner Perkins Caufield & Byers (KPCB), copropriétaire des Golden State Warriors de la NBA [125]
– Andrew A. Lanyi (1925–2009), investisseur d’origine hongroise, fondateur du groupe Lanyi [126] [127]
– Marc Lasry (né en 1959), gestionnaire de fonds spéculatifs d’origine marocaine, cofondateur (avec sa sœur Sonia (née en 1962)) du groupe Avenue Capital , copropriétaire des Milwaukee Bucks de la NBA [128]
– Henry Laufer (né en 1945), investisseur, ancien vice-président de la recherche chez Renaissance Technologies , co-fondateur du Medallion Fund [129] [130]
– Jonathan Lavine (né en 1966), co-gérant de la société d’investissement Bain Capital et CIO de Bain Capital Credit ; copropriétaire des Boston Celtics de la NBA [131]
– Solomon Lazard (1827–1916), fondateur d’origine française de Lazard Frères and Company ; membre de la famille Lazard [132] [133]
– Sayra (1898–1994), Jim (1928–2014) et Alexandra Lebenthal (née en 1964), Lebenthal & Company [134] [135]
– Bennett S. LeBow (né en 1937), président du conseil d’administration du groupe Vector , ancien propriétaire du groupe Liggett [136]
– Marc J. Leder (né en 1962), cofondateur de Sun Capital Partners , copropriétaire des Philadelphia 76ers [137]
– Thomas H. Lee (né en 1944), fondateur des sociétés de capital-investissement THL et Lee Equity Partners [138] [139]
– Henry (1822–1855), Mayer (1830–1897) et Emanuel Lehman (1827–1907), fondateurs d’origine allemande de Lehman Brothers ; membres de la famille Lehman [140]
– Al Lerner (1933–2002), ancien président du conseil d’administration de la société de cartes de crédit MBNA et propriétaire des Cleveland Browns de la NFL [141]
– Randy Lerner (né en 1962), investisseur, ancien propriétaire de MBNA Corporation ; ancien propriétaire de l’ Aston Villa FC de l’ EPL [141]
– Dennis Levine (né en 1952), ancien directeur général de Drexel Burnham Lambert [142]
– Leon Levy (1925–2003), investisseur, ancien associé chez Oppenheimer & Co. [143]
– Peter B. Lewis (1933–2013), ancien président et propriétaire de la Progressive Insurance Company [144]
– Cy Lewis (1908–1978), associé directeur de longue date de Bear, Stearns & Company [145] [146]
– Josh Linkner (né en 1970), ancien PDG de Detroit Venture Partners [147]
– Greg Lippmann (né en 1968/1969), gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondateur de LibreMax Partners [148]
– Daniel S. Loeb (né en 1961), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Third Point Management [149]
– Solomon Loeb (1828-1903), co-fondateur d’origine allemande de Kuhn, Loeb & Co. [150]
– Howard Lorber (né en 1948), PDG de New Valley LLC (anciennement Western Union ), président de Douglas Elliman et de Nathan’s Famous [151]
– Howard Lutnick (né en 1961), président-directeur général de Cantor Fitzgerald & BGC Partners [152]
– Bernie Madoff (1938-2021), financier et président du Nasdaq , fondateur de Bernard L. Madoff Investment Securities ; Intrigant à la Ponzi [153] [154]
– Stephen Mandel, Jr. (né en 1956), gestionnaire de fonds spéculatifs, investisseur, fondateur de Lone Pine Capital , ancien directeur général du Tiger Fund [155]
– Leo Melamed (né en 1932), pionnier des contrats à terme financiers d’origine polonaise , président émérite du groupe CME [156]
– James Melcher (né en 1939), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Balestra Capital Management ; ancien escrimeur olympique [157]
– J. Ezra Merkin (né en 1953), investisseur, gestionnaire de fonds spéculatifs, ancien président de la Synagogue de la Cinquième Avenue ; Madoff victime du stratagème de Ponzi [158] [159]
– André Meyer (1898-1979), banquier d’affaires franco-américain, ancien associé principal de Lazard Frères & Co. [160]
– Marc Eugene Meyer (1842–1925), ancien président franco-américain de Lazard Frères & Co. [161]
– Marc Mezvinsky (né en 1977), banquier d’affaires, co-fondateur d’ Eaglevale Partners ; époux de Chelsea Clinton [162] [163]
– Michael Milken (né en 1946), financier, spécialiste des obligations de pacotille , fondateur du Milken Institute [30]
– Eric Mindich , gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur d’ Eton Park Capital Management [164] [165]
– Steven Mnuchin (né en 1962), ancien gestionnaire de fonds spéculatifs ; 77e secrétaire au Trésor des États-Unis [49]
– David Morgenthaler (1919–2016), fondateur de Morgenthaler , l’une des plus anciennes sociétés d’investissement en capital-investissement aux États-Unis [166]
– Sir Michael Moritz (né en 1954), capital-risqueur anglo -américain de la Silicon Valley , associé chez Sequoia Capital [167]
– Alfred Huger Moses (1840–1918), banquier et investisseur qui a fondé la ville de Sheffield, Alabama [168]
– Andrew M. Murstein (né en 1964), fondateur de la société d’investissement Medallion Financial Corp. , ancien responsable des prêts de médaillons de taxi , propriétaire des New York Lizards de MLL [169]
– Arthur Nadel (1933–2012), ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Scoop Management Co. [170]
– Ezri Namvar (né en 1951/1952), fondateur d’origine iranienne du Namco Capital Group et ancien propriétaire de la Security Pacific Bank [171] [172]
– Jack Nash (1929-2008), pionnier des fonds spéculatifs d’origine allemande, ancien président d’ Oppenheimer & Company , co-fondateur du New York Sun [173]
– Elkan Naumburg (1835–1924), banquier d’origine allemande, fondateur de E. Naumburg & Co. [174]
– Izak Parviz Nazarian (1929–2017), investisseur irano -américain, associé directeur chez Omninet Capital ; membre de la famille Nazarian [175] [176] [177]
– Roy Neuberger (1903–2010), financier, co-fondateur de Neuberger Berman [178]
– Aviv Nevo (né en 1965), capital-risqueur israélo-américain d’origine roumaine, fondateur de NV Investments ; actionnaire majoritaire de Time Warner [179]
– Roy (né en 1966) et Victor Niederhoffer (né en 1943), gestionnaires de fonds spéculatifs [180] [181]
– Mark Nordlicht (né en 1968), gestionnaire de fonds spéculatifs américano-israélien, fondateur de Platinum Partners [182] [183]
– Nelson Obus (né en 1947), gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondateur de Wynnefield Capital [184] [185]
– Daniel Och (né en 1961), investisseur et gestionnaire de fonds spéculatifs , fondateur du Och-Ziff Capital Management Group (aujourd’hui Sculptor Capital Management ) [186]
– Bernard Osher (né en 1927), directeur fondateur de la Banque mondiale d’épargne [187]
– Jacob Ostreicher (né en 1959), investisseur [188]
– Alan Patricof (né en 1934), pionnier du capital-risque et du capital-investissement ; co-fondateur d’ Apax Partners et de Greycroft [189]
– David L. Paul (1939–2022), banquier, fondateur de la CenTrust Bank basée à Miami [190]
– John Paulson (né en 1955), investisseur, fondateur de Paulson & Co. [191]
– Stephen M. Peck (1935–2004), co-fondateur de la société de gestion d’actifs Weiss, Peck & Greer [192]
– Nelson Peltz (né en 1942), investisseur, co-fondateur de Trian Fund Management [193]
– Jeffrey , Raymond (1917-2019) et Ron Perelman (né en 1943), investisseurs [194]
– Richard C. Perry (né en 1955), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Perry Capital [195] [196]
– Carl Pforzheimer (1879–1957), banquier, co-fondateur de l’ American Stock Exchange , fondateur de Carl H. Pforzheimer & Co. [197] [198]
– Lionel Pincus (1931–2009), co-fondateur de la société de capital-investissement Warburg Pincus [199]
– Danny Porush (né en 1957), ancien courtier en valeurs mobilières et président de Stratton Oakmont [200] [201]
– Victor Posner (1918-2002), pionnier du LBO [202]
– Michael F. Price (né en 1951), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de MFP Investors [203]
– Nicholas (né en 1945), Karen (née en 1958), Jennifer (née en 1950) et John Pritzker (19&3–), investisseurs ; membres de la famille Pritzker [204]
– Dan Rapoport (1970–2022), investisseur d’origine lettone, fondateur de Rapoport Capital [205]
– Ira Rennert (née en 1934), investisseur industriel, fondatrice du groupe Renco [206]
– Tony Ressler (né en 1960), magnat du capital-investissement et capital-risqueur, co-fondateur d’ Ares Management et d’Apollo Global Management ; propriétaire des Atlanta Hawks de la NBA [207]
– Marc Rich (1934–2013), ancien trader pétrolier belgo-américain, gestionnaire de fonds spéculatifs et fondateur de Glencore plc [208] [209]
– Larry Robbins (né en 1969), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Glenview Capital Management [210]
– Stephen Robert (né en 1940), ancien président-directeur général d’ Oppenheimer & Co. et de Renaissance Institutional Management (filiale de Renaissance Technologies ) [211]
– George R. Roberts (né en 1944), co-fondateur de KKR [212]
– Arthur Rock (né en 1926), premier capital-risqueur de la Silicon Valley , co-fondateur de Davis & Rock et Fairchild Semiconductor [213]
– George Rohr (né en 1954), co-fondateur d’origine colombienne de la société de capital-investissement NCH Capital [214] [215]
– David S. Rose (né en 1957), investisseur en démarrage , fondateur des New York Angels [216]
– Barry Rosenstein (né en 1960), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de JANA Partners [217]
– Mack Rossoff , fondateur de la banque d’investissement indépendante Rossoff & Co. [218] [219]
– David René de Rothschild (né en 1942), banquier ; actuel président de Rothschild & Co ; membre de la famille Rothschild [220]
– Marc Rowan (né en 1962), co-fondateur d’ Apollo Global Management [221]
– David M. Rubenstein (né en 1949), financier, co-fondateur de la société mondiale d’investissement en capital-investissement The Carlyle Group [222]
– Robert Rubin (né en 1938), ancien secrétaire au Trésor, directeur du Conseil économique national et président de Citigroup [223]
– Samuel Sachs (1851-1935), co-fondateur de Goldman Sachs [224]
– William Salomon (1914–2014), ancien associé directeur de Salomon Brothers [225] [226]
– Arthur J. Samberg (1941–2020), fondateur de Pequot Capital Management [227]
– Morris Schapiro (1903–1996), banquier d’investissement d’origine lituanienne, fondateur de MA Schapiro & Company ; connu pour avoir négocié la fusion de Chase Bank et Bank of Manhattan [228]
– Jacob H. Schiff (1847–1920), banquier d’origine allemande ; ancien dirigeant de Kuhn, Loeb & Co. [229]
– Peter Schiff (né en 1963), PDG et stratège mondial en chef d’Euro Pacific Capital. [230]
– Rick Schnall (né en 1970), associé de la société de capital-investissement Clayton Dubilier & Rice et propriétaire minoritaire des Atlanta Hawks de la NBA [207]
– Alan Schwartz (né en 1950/1951), président exécutif de Guggenheim Partners , ancien (et dernier) PDG de Bear, Stearns & Company [134]
– Stephen A. Schwarzman (né en 1947), co-fondateur du groupe Blackstone [231]
– Joseph Seligman (1819–1880), co-fondateur d’origine allemande de la banque d’investissement J. & W. Seligman & Co. [232]
– David E. Shaw (1951–), fondateur de DE Shaw & Co. [233]
– Bruce Sherman (né en 1948), co-fondateur de la société de gestion de patrimoine Private Capital Management (PCM) et propriétaire des Miami Marlins de la MLB [234] [235]
– Eugene Shvidler (né en 1964), magnat du pétrole russo-américain, président de Millhouse Capital [236] [237]
– Jim Simons (né en 1938), gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondateur de Renaissance Technologies [238] [239]
– Nat Simons (né en 1966), gestionnaire de fonds spéculatifs et investisseur, (co-)fondateur du groupe Meritage et Prelude Ventures, coprésident de Renaissance Technologies [240]
– Paul Singer (né en 1944), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de la Elliott Management Corporation [241]
– David M. Solomon (né en 1962), disc-jockey et banquier d’investissement, PDG de Goldman Sachs [242]
– George Soros (né en 1930), investisseur et magnat des affaires hongrois-américain, fondateur de Soros Fund Management ; membre de la famille Soros [243]
– James Speyer (1861–1941), ancien chef de la société bancaire Speyer & Co .; membre de la famille Speyer [244]
– Robert B. Stearns (1888–1954), financier, co-fondateur de Bear, Stearns & Co. Inc [245]
– Amanda Steinberg (née en 1977/1978), fondatrice de DailyWorth [246]
– Saul Steinberg (1939–2012), raider d’entreprise [247]
– Michael Steinhardt (né en 1940), investisseur et gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondateur de Steinhardt Partners , président de WisdomTree Investments [248]
– Lee Stern (né en 1926), négociant en contrats à terme et options ; fondateur de Lee B. Stern & Company; copropriétaire des White Sox de Chicago de la MLB [249] [250]
– Leonard N. Stern (né en 1938), investisseur, président et chef de la direction du groupe Hartz et de Hartz Mountain Industries [251]
– Marc Stern , président du groupe TCW , copropriétaire des Milwaukee Bucks de la NBA et des Milwaukee Brewers de la MLB [252] [253]
– Stuart Sternberg (né en 1959), investisseur de Wall Street, propriétaire des Rays de Tampa Bay de la MLB [254]
– Barry Sternlicht (né en 1960), co-fondateur de la société d’investissement Starwood Capital Group , ancien président de Starwood [255]
– Donald Sussman (né en 1946), financier, gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Paloma Funds et New China Capital Management [256] [257]
– Leonard M. Tannenbaum (né en 1971), fondateur de Fifth Street Asset Management [258]
– David Tepper (né en 1957), investisseur, gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur d’ Appaloosa Management [259] [124]
– David Tisch (né en 1981), investisseur en start-up , co-fondateur de BoxGroup ; membre de la famille Tisch [260]
– Igor Tulchinsky (né en 1966), gestionnaire de fonds spéculatifs né en Biélorussie, fondateur de WorldQuant [261]
– Cliff Viner (né en 1948), gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondateur de III Capital Management et AVM, ancien copropriétaire des Florida Panthers [262] [263]
– Jeffrey Vinik (né en 1959), ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, propriétaire du Lightning de Tampa Bay de la LNH [264] [265]
– Paul Wachter (né en 1956), fondateur de Main Street Advisors, une société de conseil en gestion financière et patrimoniale axée sur les VIP [266]
– Eric M. Warburg (1900–1990), co-fondateur germano-américain de Warburg Pincus ; membre de la famille Warburg [267] [268]
– James Warburg (1896–1969), banquier d’origine allemande et conseiller financier de Franklin D. Roosevelt [268]
– Paul Warburg (1868–1932), ancien président d’origine allemande de la Bank of the Manhattan Company (prédécesseur de la Chase Manhattan Bank ) et directeur de la Federal Reserve Bank [268]
– Bruce Wasserstein (1947–2009), banquier d’investissement, ancien PDG de Lazard et co-fondateur de Wasserstein Perella & Co. [269]
– Sanford I. Weill (né en 1933), banquier et financier, ancien président-directeur général de Citigroup , co-fondateur de Carter, Berlind, Potoma & Weill [270] [271]
– Peter Weinberg (né en 1957), co-fondateur de Perella Weinberg Partners [272]
– Boaz Weinstein (né en 1973), gestionnaire de fonds spéculatifs, fondateur de Saba Capital Management [273]
– Sholam Weiss (né en 1954), spécialiste de la faillite [274] [275]
– Allen Weisselberg (né en 1947), directeur financier de l’organisation Trump [276]
– Maurice Wertheim (1886–1950), fondateur de Wertheim & Co. [277]
– Oren Zeev (né en 1964), investisseur israélo-américain dans une start-up , fondateur de Zeev Ventures , co-fondateur de Tipalti [278]
– Nancy Zimmerman (née en 1963/1964), gestionnaire de fonds spéculatifs, co-fondatrice de Bracebridge Capital [279]
– Eric Zinterhofer (né en 1971), financier de capital-investissement, associé fondateur de Searchlight Capital ; membre de la famille Lauder [280]
– Barry Zubrow (né en 1953), fondateur de la société d’investissement privée ITB, ancien CRO de JPMorgan Chase [281] [282]

Notez combien d’entre eux sont issus de familles bancaires.

On m’a dit que dans une démocratie des droits de l’homme, n’importe qui pouvait devenir n’importe quoi, comme par exemple, banquier.

Mais il semble que les enfants de riches banquiers juifs à l’esprit criminel veulent devenir des riches banquiers juifs à l’esprit criminel – et ils repoussent tous les autres goyim (Blancs, Noirs et Latinos) qui voudraient un morceau de cet argent d’escroquerie bancaire.

Par Andrew Anglin • 18 février 2023

Source

[1] Des enquêteurs accusent un groupe israélien de s’immiscer dans les élections dans le monde

« Team Jorge » aurait déployé des milliers de bots pour changer l’opinion publique

Un groupe israélien secret aurait manipulé plus de 30 élections dans le monde en utilisant des techniques de piratage et de désinformation de pointe, selon une enquête menée par un consortium international de journalistes.

Plusieurs médias, dont The Guardian, Le Monde, ZDF, Der Spiegel et El Pais, se sont penchés sur une équipe de sous-traitants connue sous le nom de « Team Jorge », dirigée par Tal Hanan, un ancien agent des services secrets israéliens âgé de 50 ans. Ce dernier a nié tout acte répréhensible.

Pour exposer les opérations clandestines présumées du groupe, les journalistes se sont fait passer pour des clients potentiels tout en enregistrant secrètement plusieurs heures de séquences à l’intérieur des réunions avec les membres de l’unité. Hanan aurait déclaré aux journalistes que ses services pourraient être utilisés à la fois par des entreprises privées et des agences de renseignement, avec des opérations se déroulant en Europe et en Afrique, ainsi qu’en Amérique du Nord, centrale et du Sud.

Dans un clip vidéo publié par The Guardian mercredi, Hanan lui-même semble se vanter que son groupe a mené à bien « 33 campagnes au niveau présidentiel… dont 27 ont été couronnées de succès ». Il aurait également déclaré avoir participé à deux « grands projets » aux États-Unis, ajoutant qu’il ne s’engageait pas directement dans la politique nationale.

Selon l’enquête, la «Team Jorge» facturerait à ses clients entre 6 et 15 millions d’euros (6,4 à 16 millions de dollars) pour s’immiscer dans les élections.

Au cours des réunions, l’équipe aurait démontré ses méthodes pour influencer les élections, notamment le piratage informatique et les opérations spéciales. L’outil clé de l’arsenal du groupe semble cependant être un progiciel appelé Advanced Impact Media Solutions, ou Aims. Avec son aide, le groupe contrôlerait quelque 30 000 robots sophistiqués sur diverses plateformes de médias sociaux.

 

Histoire de la Guerre Froide:Quand les États-Unis lançaient des centaines de ballons espions contre l’URSS

Les ballons de reconnaissance ont précédé l’utilisation des avions U-2 à haute altitude que les États-Unis ont utilisés pour espionner l’URSS à la fin des années 1950.
L’armée de l’air américaine a lancé le programme de ballons espions à haute altitude peu après la Seconde Guerre mondiale. Malgré de nombreuses complications, ces dispositifs se sont avérés être un moyen économique et efficace de recueillir des renseignements sur l’Union soviétique, ouvrant la voie à l’utilisation d’avions espions à haute altitude, qui provoqueront un scandale diplomatique en 1960.
Un ballon -espion américain au-dessus de l’Europe de l’Est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les années 1950, alors que les tensions de la guerre froide avec l’Union soviétique se cristallisaient, les États-Unis ont ressenti le besoin d’un outil de reconnaissance pour surveiller leur ennemi sans être repérés.

Après avoir découvert que les courants-jets de haute altitude serpentent généralement d’ouest en est, l’armée de l’air américaine a conclu que les ballons de haute altitude lâchés depuis l’Europe occidentale voleraient hypothétiquement vers l’est, ce qui signifie qu’ils survoleraient très probablement l’URSS et atteindraient ensuite les bases militaires américaines au Japon où il serait possible de collecter les données.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si tel était le cas, les ballons espions américains seraient en mesure de recueillir des renseignements précieux sur l’armée de l’URSS, notamment sur les capacités nucléaires du pays, et – surtout – de rester hors de portée de la défense aérienne soviétique en volant à 15 000 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Le 10 janvier 1956, l’armée américaine a par conséquent lancé huit ballons espions depuis le territoire de la Turquie et un depuis celui de l’Allemagne de l’Ouest. Au cours des semaines suivantes, le nombre de lancements réussis a augmenté pour atteindre le chiffre impressionnant de 448 ballons espions se dirigeant vers l’est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’apparition de centaines de ballons espions dans l’espace aérien soviétique n’est toutefois pas passée inaperçue. Le 4 février 1956, l’URSS a émis une note de protestation officielle aux États-Unis par voie diplomatique, accusant ces derniers de violer l’espace aérien et la souveraineté soviétiques. Pendant ce temps, l’armée soviétique réfléchissait aux moyens de neutraliser la menace.

Rapidement, les pilotes d’avions de chasse MiG soviétiques ont découvert que les ballons espions descendaient en altitude la nuit, dans leur zone de frappe. Ce constat s’est avéré crucial : on estime que 90% des ballons volants américains ont été abattus par les Soviétiques ou se sont écrasés dans des endroits non identifiés avant de pouvoir quitter le vaste territoire de l’URSS.

Récupération d’un ballon-espion américain par un navire US conçu a cet effet…en mer de Chine,près du Japon!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’incident de l’U-2

Système de missile sol-air S-75 Dvina de l’URSS.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À la fin des années 1950, les États-Unis sont passés des ballons espions à un outil d’espionnage plus avancé et plus fiable : l’avion de reconnaissance et de surveillance à haute altitude U-2.

En 1956, Washington a ainsi commencé à envoyer secrètement des avions U-2 au-dessus du territoire soviétique pour des missions de reconnaissance. L’on supposait à juste titre que les Soviétiques n’avaient pas les moyens d’abattre ces appareils à l’altitude de 21 000 mètres. Cependant, le président Eisenhower a insisté pour autoriser personnellement chaque vol, car il était impossible d’anticiper une réponse soviétique.

Les militaires soviétiques ont détecté les avions, mais n’ont pas réussi à les atteindre avec les missiles sol-air existants. Il est intéressant de noter que le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev n’a pas accusé les États-Unis publiquement, car une telle protestation aurait révélé l’incapacité de l’armée soviétique à abattre des avions à haute altitude.

Le 1er mai 1960 – deux semaines avant que le président Eisenhower ne rencontre le dirigeant soviétique Khrouchtchev à Paris – la Maison Blanche a autorisé un nouveau vol de l’U-2 au-dessus du territoire soviétique. Pour les Américains, ce vol s’est soldé par une débâcle.

 

Débris de l’U-2 abattu

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En effet, un missile lancé par un système de défense aérienne soviétique nouvellement déployé a frappé l’avion U-2. Celui-ci s’est écrasé et le pilote américain, Francis Gary Powers, a été capturé par les Soviétiques.

L’incident de l’U-2 a entraîné l’annulation du sommet de Paris et brisé les espoirs naissants, bien que prématurés, d’une résolution pacifique de la guerre froide.

Francis Gary Powers jugé par l’URSS pour espionnage

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fait intéressant : le programme américain de ballons espions a profité aux Soviétiques d’une manière inattendue. En examinant les ballons écrasés, les scientifiques soviétiques ont en effet découvert que le film de fabrication américaine utilisé dans les appareils photo était capable de résister à l’action des hautes températures et à l’exposition aux radiations. Il s’agissait donc d’un outil parfait pour les Soviétiques, qui l’ont utilisé pour photographier la face cachée de la Lune en 1959.


EN COMPLÉMENTAIRE

Comment les Soviétiques ont dévoilé la «face cachée de la Lune» et remporté 1.000 bouteilles de vin grâce aux infos trouvées sur les ballons-espions américains

 

 

Pour obtenir les premières photographies de la face cachée de la Lune, les scientifiques ont totalement «fait taire» la flotte de la mer Noire.

Avant que Neil Armstrong ne marche sur la Lune en 1969, le satellite de la Terre était un mystère pour l’humanité. Plus encore, son « côté obscur ». Surnommé ainsi car en permanence invisible depuis notre planète, la face cachée de la Lune était un objet de désir pour les pionniers des programmes spatiaux américain et soviétique.

En 1957, lorsque les Soviétiques ont lancé le premier satellite artificiel de la Terre – Spoutnik 1 -, cet événement a marqué une étape très importante dans l’exploration spatiale. Néanmoins, les gens du monde entier avaient du mal à croire que l’humanité puisse aller encore plus loin et observer la face cachée de la Lune de sitôt.

La perspective semblait si lointaine, mais si captivante, qu’un vigneron français, Henri Maire, a annoncé publiquement qu’il offrirait 1 000 bouteilles de vin de ses propres réserves à quiconque serait en mesure de photographier la face cachée de la Lune.

Ironie de l’histoire, les scientifiques soviétiques y travaillaient déjà…

Le plan

La mission consistant à photographier la face cachée de la Lune a été dirigée par Sergueï Korolev, père de la conquête spatiale soviétique et cerveau de la plupart des réalisations soviétiques révolutionnaires en matière d’exploration spatiale.

Sergeï Korolev

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le plan était relativement simple : lancer une boîte cylindrique – une sonde spatiale – dans l’espace vers la Lune et laisser la gravité faire le reste. La sonde spatiale était équipée d’appareils photo, d’un système de traitement de film photographique, de batteries, d’un émetteur radio, d’un gyroscope pour maintenir l’orientation et la vitesse angulaire et de plusieurs ventilateurs pour le contrôle de la température.

L’appareil n’avait pas de moteurs de fusée pour les corrections de cap, les scientifiques ayant préféré s’appuyer sur la gravité de la Lune pour les aider à effectuer la manœuvre : selon le plan, la sonde spatiale était censée se rendre sur la Lune et, une fois prise dans le champ de gravité de cette dernière, devait passer derrière le satellite de la Terre du sud au nord avant de retourner vers notre planète.

La sonde spatiale chargée d’observer la face cachée de la Lune a été baptisée Luna-3. Étonnamment, la partie la plus difficile ne fut pas de calculer l’orbite de la Lune ou du satellite, mais de gérer l’équipement et le personnel au sol.

Luna-3

Le signal de Luna-3 a été reçu par une antenne radio montée au sommet d’une montagne en Crimée. Au grand dam de Korolev, le personnel local a signalé des problèmes de communication : Luna-3 ne recevait pas certains des ordres envoyés depuis la Terre. Le commandant a ordonné à son équipe de le suivre en Crimée pour résoudre d’urgence la situation.

Une fois le tout-puissant Korolev arrivé en Crimée, il a pris les choses en main et mis en œuvre des mesures sans précédent : sur ses ordres, les navires de la flotte de la mer Noire devaient cesser toutes communications, tandis qu’un bateau dédié devait naviguer sur la mer Noire afin de rechercher et supprimer les sources possibles d’interférences radio, tandis que la police de la circulation devait bloquer les routes à proximité de l’observatoire.

Ces mesures ont contribué à améliorer le signal, mais un nouveau problème est apparu. À sa grande surprise, Korolev a appris que l’observatoire pourrait se retrouver à court de film magnétique pour enregistrer les images du paysage lunaire.

Une reproduction cinématographique du moment où les scientifiques soviétiques ont photographié la face cachée de la Lune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Sergueï Pavlovich [Korolev] était hors de lui. Je le comprenais. Après tout, si nous avions été prévenus, nous aurions pu apporter ce film rare avec nous de Moscou »a écrit l’académicien Boris Tchertok qui a aidé Korolev lors du lancement.

Ironie du sort, si le film était si rare, c’est parce qu’il avait été extrait de ballons de reconnaissance américains abattus qui espionnaient l’URSS. Ce film était d’une qualité inégalée par l’industrie soviétique.

Furieux, Korolev a ordonné que des pellicules de film supplémentaires soient livrées à l’observatoire de Moscou par avion, puis par hélicoptère.

Tôt le matin du 7 octobre 1959, l’équipe de scientifiques soviétiques attendait avec impatience que Luna-3 s’approche de la Lune. Soudain, la première image a commencé à apparaître sur le papier…

Une copie réduite de la sonde spatiale soviétique Luna-3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le concepteur légendaire, responsable de la réception des données, a regardé le papier et, à la grande surprise de l’assistance, a déchiré la toute première photo jamais réalisée de la face cachée de la Lune. La qualité n’était pas bonne et Korolev était prêt à parier que les prochaines photos seraient meilleures.

L’une des premières photographies de l’autre côté de la Lune prise par la sonde Luna-3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au grand soulagement de tous, les photos suivantes étaient en effet de bien meilleure qualité. Korolev a pris la première photo de la face cachée de la Lune de qualité décente et y a écrit : « La première photo de l’envers de la Lune qui n’aurait pas dû être révélé ». Il l’a signée et dédiée au directeur de l’observatoire astrophysique de Crimée, Andreï Severny.

Un timbre postal soviétique dédié à l’obtention des premières photographies de la face cachée de la Lune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Encore une fois, la science soviétique avait triomphé. Les Soviétiques ont commencé à nommer les sites géographiques nouvellement découverts sur la Lune tandis que les photographies de la face cachée ont été publiées en une du journal soviétique Pravda, la nouvelle se répandant dans le monde entier.

Parole donnée, parole tenue

À l’autre bout de l’Europe, le vigneron français Henri Maire a lu un article sur l’exploit soviétique et a admis qu’il avait perdu son propre pari. M.Maire a envoyé par la poste 1 000 bouteilles de vin à l’Académie des sciences de l’URSS.

Le président de l’Académie a ordonné que les bouteilles soient livrées à l’équipe qui avait travaillé sur le projet Luna 3. « Nous avons eu l’honneur de recevoir plusieurs dizaines de bouteilles de l’Académie des Sciences. Vous recevrez quelques bouteilles, le reste sera distribué à l’administration et aux autres non-participants », a déclaré Korolev à son équipe.

Des années plus tard, lorsque la fille de Korolev, Natalia Koroleva, a eu vent de cette anecdote, elle s’est donné pour mission de retrouver au moins une de ces bouteilles. Il s’est avéré que l’ancienne secrétaire de Korolev avait conservé une bouteille, bien que vide.

 

Aujourd’hui, une réplique miniature de Luna 3 et la fameuse bouteille peuvent être observées au Musée de l’astronautique de Moscou.

 

 

 

 

 

 

 

Intervention militaire en Haïti : La stratégie Canada/US des petits pas

Intervention militaire en Haïti : La stratégie Canada/US des petits pas

ECOUTEZ ICI: https://soundcloud.com/le-pied-a-papineau/interventio..

Avec l’annonce récente du Canada de l’envoi d’un avion militaire de surveillance dans l’espace aérien d’Haïti suivie de l’annonce le 16 février dernier de Justin Trudeau de l’envoi de deux navires militaires avec 90 marins pour patrouiller les eaux haïtiennes, le Canada met en œuvre la stratégie de petits pas vers une vraie intervention militaire déjà proposée par Washington, selon Kim Ives, rédacteur de la version anglaise de Haïti Liberté.

Lors de son intervention devant le Conseil de sécurité de l’ONU le 21 décembre 2022, Kim Ives avait déjà cité l’ancienne ambassadrice des États-Unis en Haïti, Pamela White. Cette dernière a proposé que l’administration Biden déploie « 2000 forces de l’ordre armées » en Haïti, mais « en envoie quelques centaines à la fois, sur six mois, SANS FANFARE. »

Et voilà que le Canada, fidèle serviteur, exécute.

Kim Ives note aussi que, contrairement à l’attitude belliqueuse qui, à la fin de 2022, a caractérisé le comportement en particulier de Bob Rae, ambassadeur canadien à l’ONU, les pays du Core Group, surtout le Canada et les États-Unis, y vont d’un pas feutré. Notamment parce qu’ils n’arrivent pas à rallier d’autres pays à leur projet d’intervenir militairement en Haïti. Mais cela ne change rien à l’objectif principal : empêcher les Haïtiens de décider librement de leur avenir.

Kim Ives parle également d’autre méthodes utilisées pour fabriquer un consensus en faveur d’une intervention militaire.

Parmi celles-ci la visite en Haïti du Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Volker Türk, et la créations d’une bande de trolls sur Internet favorable à une telle intervention par l’entreprise torontoise INKAS.

INKAS est un fournisseur militaire, notamment de véhicules blindés, dont les clients comprennent l’OTAN, le Pentagon et le ministère de la Défense canadien.

Kim Ives déplore aussi à quel point le Canada est devenu une marionnette des États-Unis.

source : Le Pied à Papineau

Le peuple haItien a vécu trop d’interventions politiques étrangéres depuis 1985.

 

 

Alerte catastrophe écologique hors de contrôle en Ohio

USA: « Tirez-vous d’ici » – USA: « Tirez-vous d’ici » – La catastrophe chimique apocalyptique de l’Ohio se poursuit

Alors que le gouvernement américain déploie des millions de dollars de ressources pour traiter les ballons comme une crise existentielle, une petite ville de l’Ohio se retrouve engloutie dans ce qui ressemble en fait à l’apocalypse. Peut-être à dessein, tout le drame entourant les violations de l’espace aérien américain par des initiatives d’espionnage chinoises a fait en sorte que ce qui est en train de devenir l’une des pires catastrophes environnementales de l’histoire récente ne fasse pas les gros titres.

Le chaos a commencé au début de la semaine dernière lorsqu’un train de plus de 100 wagons a déraillé à East Palestine, dans l’Ohio, près de la frontière de l’État avec la Pennsylvanie, qui compte environ 5 000 habitants. L’accident a fait sortir cinquante de ces cent wagons de marchandises des rails. Vingt des wagons de marchandises du train transportaient des matières dangereuses, dont dix étaient détaillées. Si l’accident n’a fait aucun mort, sur ces dix wagons, cinq contenaient du chlorure de vinyle sous pression, un gaz cancérigène hautement inflammable.

Pour faire face au scénario explosif autour du lieu de l’accident, l’Agence de gestion des urgences de l’Ohio a exécuté son plan d’évacuation du gaz toxique par un brûlage contrôlé afin d’éviter une explosion incontrôlée qui présenterait un risque de dommages catastrophiques. « Au cours des deux dernières heures, un changement radical de température s’est produit dans un wagon de chemin de fer, et il existe désormais un risque de défaillance catastrophique de la citerne, qui pourrait provoquer une explosion avec des éclats d’obus mortels pouvant se propager sur plus d’un kilomètre », a déclaré le gouverneur Mike DeWine dans un communiqué expliquant la décision de prendre des mesures pour éviter une dévastation généralisée.

Cependant, cette opération a envoyé dans l’air d’importants panaches de fumée contenant du chlorure de vinyle, du phosgène, du chlorure d’hydrogène et d’autres gaz, tandis que les flammes de l’incendie contrôlé faisaient rage pendant des jours. Le phosgène, en particulier, est un gaz hautement toxique qui peut provoquer des vomissements et des troubles respiratoires. La toxicité du gaz phosgène est si puissante qu’il a déjà été utilisé comme arme chimique pendant la Première Guerre mondiale.

Les produits chimiques dangereux en suspension dans l’air ont incité les autorités à émettre des ordres d’évacuation obligatoire et de mise à l’abri dans un rayon d’un kilomètre autour de l’endroit où le train a déraillé. Ces ordres ont contraint près de 2 000 habitants d’East Palestine à quitter leur domicile. Malgré le risque pour la sécurité publique que représente la proximité du lieu de l’accident, plus de 500 personnes se trouvant dans le périmètre de l’ordre d’évacuation ont refusé de quitter leur domicile. Cependant, ces ordres ont été levés le 8 février, permettant aux résidents de retourner dans la zone adjacente à la catastrophe.

Après le brûlage contrôlé, les autorités locales ont reçu de nombreux rapports inquiétants de résidents situés à l’extérieur du rayon d’un kilomètre de la zone d’évacuation, indiquant que l’urgence posée par la catastrophe était loin d’être terminée. Un agriculteur local a signalé la mort soudaine de nombreux animaux dans sa ferme, Park Dairy. L’agriculteur, Taylor Holzer, travaille également avec le département des ressources naturelles de l’Ohio en tant que gardien de renard enregistré. À la suite du déversement d’agents chimiques dans l’air par le brûlage contrôlé, de nombreux renards de la ferme de Holzer ont subi les effets mortels de la qualité de l’air environnant.

« Sorti de nulle part, il [un renard] a commencé à tousser très fort, il s’est éteint », se souvient M. Holzer au média local WKBN 27 News. « Ce n’est pas comme ça qu’un renard doit se comporter. Il est très faible, mou. Ses yeux sont très humides et larmoyants. La fumée et les produits chimiques du train, c’est la seule chose qui peut causer cela, parce que cela n’arrive pas de nulle part », a-t-il ajouté.

« Les produits chimiques dont on nous dit qu’ils sont sans danger dans l’air ne sont certainement pas sans danger pour les animaux… ou les gens. »

 

Un homme a retrouvé son petit chien mort dans sa cour arrière…Les gaz toxiques empoisonnés!

Les inquiétudes de Holzer ont été relayées par les rapports d’autres résidents qui ont décrit des conditions similaires près de leurs propres propriétés. L’un de ces résidents était Katlyn Schwarzwaelder, l’exploitante d’un chenil local pour chiens à Darlington, en Pennsylvanie. La catastrophe l’a poussée à quitter sa maison, pourtant située à plus de 15 km du site de l’incendie contrôlé. Après s’être enfuie à Boardman, dans l’Ohio, à 15 miles du déraillement, Schwarzwaelder a déclaré avoir reçu de nombreux rapports d’amis et de connaissances faisant état de poulets, de poissons et d’autres animaux morts. L’un des habitants concernés a raconté à Mme Schwarzwaelder qu’il avait laissé son chien de deux ans sortir pour aller aux toilettes, mais qu’il n’était jamais revenu. Lorsqu’ils se sont mis à la recherche de leur animal disparu, ils l’ont trouvé mort dans leur cour.

Vidéo: Ohio Fallout https://www.youtube.com/watch?v=zzaTwHmmFIg

Les témoignages de Holzer, Schwarzwaelder et d’autres personnes brossent un tableau radicalement différent du récit officiel présenté par les fonctionnaires qui ont assuré aux habitants que la situation était sous contrôle. La mauvaise qualité de l’air présente des risques sanitaires à court et à long terme pour le public, compte tenu des effets cancérigènes des produits chimiques. Selon Kevin Crist, professeur de génie chimique et biomoléculaire et directeur du centre de la qualité de l’air de l’université de l’Ohio, des substances cancérigènes comme le chlorure de vinyle peuvent provoquer des cancers dans certains organes, notamment le foie.

Bien que les responsables de l’intervention d’urgence aient utilisé des techniques telles que la modélisation de la dispersion afin de calculer et d’atténuer le risque de produits chimiques en suspension dans l’air, les produits chimiques déversés à la suite du déraillement présentent d’autres risques importants de contamination. Les produits chimiques se sont également déversés dans la rivière Ohio en direction de la Virginie occidentale, ce qui a incité les autorités de l’État voisin à arrêter la production d’eau dans la région et à se tourner vers d’autres sources d’approvisionnement en eau. La contamination du sol est un autre risque important qui fait craindre aux responsables des répercussions sur la santé publique plus larges que celles associées à la seule pollution atmosphérique.

Cependant, l’ampleur de ces risques n’a pas été apparemment reconnue par les dirigeants des différents États touchés par la catastrophe. Selon le gouverneur de Pennsylvanie, Josh Shapiro, la qualité de l’air et de l’eau dans la région n’a suscité aucune inquiétude. Néanmoins, le gouverneur a réaffirmé qu’un ordre de mise à l’abri restait en vigueur pour les Pennsylvaniens se trouvant dans un rayon de 3 km autour d’East Palestine. Les responsables de l’Agence de protection de l’environnement ont adopté un ton similaire, déclarant que rien d’inattendu n’avait été observé à la suite de l’incendie contrôlé. James Justice, de l’EPA, a résumé la position de son agence en disant : « Jusqu’à présent, tout va bien et nous allons continuer à surveiller jusqu’à ce que le feu soit éteint ».

Vidéo: Ohio Chemical Disaster

Bien que les risques immédiats présentés par une éventuelle explosion à la suite du déraillement du train aient pu être évités, l’intervention d’urgence pourrait devenir un exemple de remède pire que la maladie à laquelle il cherche à remédier. L’accident met également en lumière l’état des règles de sécurité entourant le transport ferroviaire de marchandises dangereuses. Rien qu’au cours des cinq dernières années, huit déraillements de trains se sont produits dans la région métropolitaine de Pittsburgh, ce qui a suscité des appels à une surveillance accrue du secteur.

Malgré le risque inhérent au transport de produits chimiques tels que le chlorure de vinyle, le ministère américain des transports a approuvé une règle visant à élargir le champ des matières dangereuses pouvant être transportées par rail. Cette règle autorise l’expédition de gaz naturel liquéfié par train sans règles de sécurité supplémentaires. Les trains de marchandises peuvent ainsi transporter 100 cartes-citernes supplémentaires contenant jusqu’à 115 000 litres de gaz naturel extrait des gisements de schiste.

« Les risques de rejets catastrophiques de gaz naturel liquéfié lors d’accidents sont trop importants pour ne pas mettre en place des contrôles opérationnels avant la prolifération de grands blocs de wagons-citernes et de trains unitaires », a écrit le National Transportation Safety Board dans un commentaire en faveur de la règle proposée. En réponse à ce commentaire, les détracteurs de la règle ont souligné qu’une explosion potentielle de seulement vingt-deux cartes-citernes remplies de gaz naturel liquéfié contient la même quantité d’énergie explosive que la bombe atomique larguée sur Hiroshima dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale.

Twitter: https://twitter.com/hodgetwins/status/162511528654533..

La crise actuelle à East Palestine représente une catastrophe environnementale et humanitaire qui n’a jamais été vue aux États-Unis de mémoire récente. Les scènes d’East Palestine semblent tout droit sorties d’un film d’horreur décrivant un hiver nucléaire.

Twitter: https://twitter.com/ErinBrockovich/status/16245032131..

Malgré cela, l’ampleur de cette histoire semble avoir été effacée de l’esprit du public, les médias nationaux continuant à publier des titres sensationnalistes sur des questions qui semblent anodines en comparaison. Il s’agit d’un exemple de réécriture de l’histoire en temps réel, créant un précédent qui permettrait aux victimes d’autres dévastations de grande ampleur d’être balayées sous le tapis. Cependant, les scènes d’horreur qui ont englouti cette petite ville au cœur de l’Amérique pourraient rendre ce désastre impossible à ignorer, en mettant à juste titre l’accent sur les lacunes des agences étatiques et fédérales chargées de la gestion des interventions d’urgence, dont l’absence constante de responsabilité leur permet de laisser tomber le public américain à maintes reprises.

Alors que le gouvernement américain déploie des millions de dollars de ressources pour traiter les ballons comme une crise existentielle, une petite ville de l’Ohio se retrouve engloutie dans ce qui ressemble en fait à l’apocalypse. Peut-être à dessein, tout le drame entourant les violations de l’espace aérien américain par des initiatives d’espionnage chinoises a fait en sorte que ce qui est en train de devenir l’une des pires catastrophes environnementales de l’histoire récente ne fasse pas les gros titres.

Le chaos a commencé au début de la semaine dernière lorsqu’un train de plus de 100 wagons a déraillé à East Palestine, dans l’Ohio, près de la frontière de l’État avec la Pennsylvanie, qui compte environ 5 000 habitants. L’accident a fait sortir cinquante de ces cent wagons de marchandises des rails. Vingt des wagons de marchandises du train transportaient des matières dangereuses, dont dix étaient détaillées. Si l’accident n’a fait aucun mort, sur ces dix wagons, cinq contenaient du chlorure de vinyle sous pression, un gaz cancérigène hautement inflammable.

Pour faire face au scénario explosif autour du lieu de l’accident, l’Agence de gestion des urgences de l’Ohio a exécuté son plan d’évacuation du gaz toxique par un brûlage contrôlé afin d’éviter une explosion incontrôlée qui présenterait un risque de dommages catastrophiques. « Au cours des deux dernières heures, un changement radical de température s’est produit dans un wagon de chemin de fer, et il existe désormais un risque de défaillance catastrophique de la citerne, qui pourrait provoquer une explosion avec des éclats d’obus mortels pouvant se propager sur plus d’un kilomètre », a déclaré le gouverneur Mike DeWine dans un communiqué expliquant la décision de prendre des mesures pour éviter une dévastation généralisée.

Cependant, cette opération a envoyé dans l’air d’importants panaches de fumée contenant du chlorure de vinyle, du phosgène, du chlorure d’hydrogène et d’autres gaz, tandis que les flammes de l’incendie contrôlé faisaient rage pendant des jours. Le phosgène, en particulier, est un gaz hautement toxique qui peut provoquer des vomissements et des troubles respiratoires. La toxicité du gaz phosgène est si puissante qu’il a déjà été utilisé comme arme chimique pendant la Première Guerre mondiale.

Les produits chimiques dangereux en suspension dans l’air ont incité les autorités à émettre des ordres d’évacuation obligatoire et de mise à l’abri dans un rayon d’un kilomètre autour de l’endroit où le train a déraillé. Ces ordres ont contraint près de 2 000 habitants d’East Palestine à quitter leur domicile. Malgré le risque pour la sécurité publique que représente la proximité du lieu de l’accident, plus de 500 personnes se trouvant dans le périmètre de l’ordre d’évacuation ont refusé de quitter leur domicile. Cependant, ces ordres ont été levés le 8 février, permettant aux résidents de retourner dans la zone adjacente à la catastrophe.

Après le brûlage contrôlé, les autorités locales ont reçu de nombreux rapports inquiétants de résidents situés à l’extérieur du rayon d’un kilomètre de la zone d’évacuation, indiquant que l’urgence posée par la catastrophe était loin d’être terminée. Un agriculteur local a signalé la mort soudaine de nombreux animaux dans sa ferme, Park Dairy. L’agriculteur, Taylor Holzer, travaille également avec le département des ressources naturelles de l’Ohio en tant que gardien de renard enregistré. À la suite du déversement d’agents chimiques dans l’air par le brûlage contrôlé, de nombreux renards de la ferme de Holzer ont subi les effets mortels de la qualité de l’air environnant.

« Sorti de nulle part, il [un renard] a commencé à tousser très fort, il s’est éteint », se souvient M. Holzer au média local WKBN 27 News. « Ce n’est pas comme ça qu’un renard doit se comporter. Il est très faible, mou. Ses yeux sont très humides et larmoyants. La fumée et les produits chimiques du train, c’est la seule chose qui peut causer cela, parce que cela n’arrive pas de nulle part », a-t-il ajouté.

« Les produits chimiques dont on nous dit qu’ils sont sans danger dans l’air ne sont certainement pas sans danger pour les animaux… ou les gens. »

Les inquiétudes de Holzer ont été relayées par les rapports d’autres résidents qui ont décrit des conditions similaires près de leurs propres propriétés. L’un de ces résidents était Katlyn Schwarzwaelder, l’exploitante d’un chenil local pour chiens à Darlington, en Pennsylvanie. La catastrophe l’a poussée à quitter sa maison, pourtant située à plus de 15 km du site de l’incendie contrôlé. Après s’être enfuie à Boardman, dans l’Ohio, à 15 miles du déraillement, Schwarzwaelder a déclaré avoir reçu de nombreux rapports d’amis et de connaissances faisant état de poulets, de poissons et d’autres animaux morts. L’un des habitants concernés a raconté à Mme Schwarzwaelder qu’il avait laissé son chien de deux ans sortir pour aller aux toilettes, mais qu’il n’était jamais revenu. Lorsqu’ils se sont mis à la recherche de leur animal disparu, ils l’ont trouvé mort dans leur cour.

Voir ce vidéo qui a  sorti rapidement sur le web:

Les témoignages de Holzer, Schwarzwaelder et d’autres personnes brossent un tableau radicalement différent du récit officiel présenté par les fonctionnaires qui ont assuré aux habitants que la situation était sous contrôle. La mauvaise qualité de l’air présente des risques sanitaires à court et à long terme pour le public, compte tenu des effets cancérigènes des produits chimiques. Selon Kevin Crist, professeur de génie chimique et biomoléculaire et directeur du centre de la qualité de l’air de l’université de l’Ohio, des substances cancérigènes comme le chlorure de vinyle peuvent provoquer des cancers dans certains organes, notamment le foie.

Bien que les responsables de l’intervention d’urgence aient utilisé des techniques telles que la modélisation de la dispersion afin de calculer et d’atténuer le risque de produits chimiques en suspension dans l’air, les produits chimiques déversés à la suite du déraillement présentent d’autres risques importants de contamination. Les produits chimiques se sont également déversés dans la rivière Ohio en direction de la Virginie occidentale, ce qui a incité les autorités de l’État voisin à arrêter la production d’eau dans la région et à se tourner vers d’autres sources d’approvisionnement en eau. La contamination du sol est un autre risque important qui fait craindre aux responsables des répercussions sur la santé publique plus larges que celles associées à la seule pollution atmosphérique.

Cependant, l’ampleur de ces risques n’a pas été apparemment reconnue par les dirigeants des différents États touchés par la catastrophe. Selon le gouverneur de Pennsylvanie, Josh Shapiro, la qualité de l’air et de l’eau dans la région n’a suscité aucune inquiétude. Néanmoins, le gouverneur a réaffirmé qu’un ordre de mise à l’abri restait en vigueur pour les Pennsylvaniens se trouvant dans un rayon de 3 km autour d’East Palestine. Les responsables de l’Agence de protection de l’environnement ont adopté un ton similaire, déclarant que rien d’inattendu n’avait été observé à la suite de l’incendie contrôlé. James Justice, de l’EPA, a résumé la position de son agence en disant : « Jusqu’à présent, tout va bien et nous allons continuer à surveiller jusqu’à ce que le feu soit éteint ».

Bien que les risques immédiats présentés par une éventuelle explosion à la suite du déraillement du train aient pu être évités, l’intervention d’urgence pourrait devenir un exemple de remède pire que la maladie à laquelle il cherche à remédier. L’accident met également en lumière l’état des règles de sécurité entourant le transport ferroviaire de marchandises dangereuses. Rien qu’au cours des cinq dernières années, huit déraillements de trains se sont produits dans la région métropolitaine de Pittsburgh, ce qui a suscité des appels à une surveillance accrue du secteur.

Malgré le risque inhérent au transport de produits chimiques tels que le chlorure de vinyle, le ministère américain des transports a approuvé une règle visant à élargir le champ des matières dangereuses pouvant être transportées par rail. Cette règle autorise l’expédition de gaz naturel liquéfié par train sans règles de sécurité supplémentaires. Les trains de marchandises peuvent ainsi transporter 100 cartes-citernes supplémentaires contenant jusqu’à 115 000 litres de gaz naturel extrait des gisements de schiste.

« Les risques de rejets catastrophiques de gaz naturel liquéfié lors d’accidents sont trop importants pour ne pas mettre en place des contrôles opérationnels avant la prolifération de grands blocs de wagons-citernes et de trains unitaires », a écrit le National Transportation Safety Board dans un commentaire en faveur de la règle proposée. En réponse à ce commentaire, les détracteurs de la règle ont souligné qu’une explosion potentielle de seulement vingt-deux cartes-citernes remplies de gaz naturel liquéfié contient la même quantité d’énergie explosive que la bombe atomique larguée sur Hiroshima dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale.

Twitter: https://twitter.com/hodgetwins/status/162511528654533..

La crise actuelle à East Palestine représente une catastrophe environnementale et humanitaire qui n’a jamais été vue aux États-Unis de mémoire récente. Les scènes d’East Palestine semblent tout droit sorties d’un film d’horreur décrivant un hiver nucléaire.

Twitter: https://twitter.com/ErinBrockovich/status/16245032131..

Malgré cela, l’ampleur de cette histoire semble avoir été effacée de l’esprit du public, les médias nationaux continuant à publier des titres sensationnalistes sur des questions qui semblent anodines en comparaison. Il s’agit d’un exemple de réécriture de l’histoire en temps réel, créant un précédent qui permettrait aux victimes d’autres dévastations de grande ampleur d’être balayées sous le tapis. Cependant, les scènes d’horreur qui ont englouti cette petite ville au cœur de l’Amérique pourraient rendre ce désastre impossible à ignorer, en mettant à juste titre l’accent sur les lacunes des agences étatiques et fédérales chargées de la gestion des interventions d’urgence, dont l’absence constante de responsabilité leur permet de laisser tomber le public américain à maintes reprises.

 

 

 

 

 

 

 

 

Un reporter a été arrête par la police afin d’éviter que la Vérité sorte des lieux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’incendie fait rage actuellement.

 

 

 

 

 

 

 

Vue du ciel.