Israël inonde l’Europe de mililons de dollars pour combattre le BDS Ramzy Baroud & Romana Rubeo 21 novmbre 2018 Source: http://www.chroniquepalestine.com/israel-inonde-leurope-avec-des-millions-de-dollars-pour-combattre-le-bds/ – Le « trésor de guerre » israélien de 72 millions de dollars pour combattre le BDS arrive en Europe. Mais chaque tentative israélienne de discréditer le mouvement de boycott palestinien […]
Étiquette : régime israélien
Arab-Israeli Intelligence Meeting in Aqaba to Discuss the ‘Deal of the Century”
Arab-Israeli Intelligence Meeting in Aqaba to Discuss the ‘Deal of the Century’ by https://www.middleeastmonitor.com/ A French periodical has confirmed that Arab Intelligence directors recently met with their Israeli counterparts, under US auspices, in the southern Jordanian city of Aqaba to discuss US President Donald Trump’s settlement plan in the Middle East, the so-called “Deal of the […]
Au cœur de la lutte US pour amender la réputation mondiale d’Israël
Originally posted on GLOBAL RELAY NETWORK: Nikki Haley a menacé le retrait de l’UNHRC des USA – Photo Bebeto Matthews/AP Par Jonathan Cook, le 8 juin 2017 À l’ONU, les USA et Israël mènent une campagne d’intimidation dans le but de forcer la réhabilitation du standing international d’Israël. L’administration Trump emploie des tons de menace…
via Au cœur de la lutte US pour amender la réputation mondiale d’Israël — salimsellami’s Blog
Nouvel Ordre Mondial:L’heure de démanteler la Turquie et de libérer Constantinople est venue

La Turquie néo-islamiste de Recep Tayyip Erdogan est occupée. Son armée est engagée dans une mission de pacification du Kurdistan turc, mène des opérations en Irak contre le PKK, intervient dans le Nord de la Syrie et doit, au surplus, assurer la garde de sa frontière avec ce pays.
Malgré cet engagement massif, la Turquie est également mobilisée à Chypre où elle occupe la moitié de cette île grecque orthodoxe. Ankara mobilise aussi en permanence son aviation pour harceler la Grèce voisine, pourtant membre comme elle de l’Otan.
Engagée sur tous les fronts contre ses voisins et les populations kurdes qu’elle opprime, le gouvernement islamiste d’Erdogan a décidé d’ajouter à la liste de ses ennemis la Fédération de Russie en abattant, le 24 novembre, un SU-24 en action au nord de la Syrie contre l’insurrection islamiste soutenue par Ankara.
L’acte de la Turquie est le fruit d’un plan d’ensemble impliquant certains éléments de l’Otan et la faction belliciste du gouvernement américain. Cette coalition – qui s’étend également à l’Arabie Saoudite, au Qatar et à Israël – tente toujours de contrer la Russie en Syrie. Et combat la politique d’apaisement de Barack Obama et de Vladimir Poutine, récemment rejoints par François Hollande, en tentant d’impliquer les états-membres de l’Otan par le soutien qu’ils seraient tenus d’apporter à la Turquie.

Extrait de l’article : La seconde ressource de Daesh est le pétrole. Erdogan, Président de Turquie, et les Turcs qui assistent aux activités de Daesh, achètent le pétrole irakien. Pour un cinquième du prix du marché et de cette façon, ce groupe gagne de grosses sommes d’argent. Le soutien d’Ankara à ce groupe terroriste est surtout destiné à affaiblir le régime syrien et les autorités politiques en Irak.
La destruction du SU-24 constitue provocation volontaire et planifiée visant à empêcher cette convergence les présidents américain et russe. Et la Turquie a accepté d’être l’instrument de cette action de guerre contre la Russie. Elle qui est impliquée, comme on le sait, dans le soutien actif à l’Etat Islamique, à Al Qaeda en Syrie en plus de l’Armée Syrienne Libre, inscrite dans la nébuleuse des Frères Musulmans à laquelle appartient l’AKP turque.
Un consensus émerge chez nos alliés russes. Il porte sur la nécessité de démanteler la Turquie une fois pour toute. Cela passe par la création d’un Kurdistan turc, rejoignant à terme celui de Syrie et d’Irak, mais aussi la restauration de la Grande Arménie chrétienne. Les Arméniens ont un solde historique à régler avec les asiates musulmans qui sont à la tête du gouvernement turc pour avoir planifié et mis en oeuvre le génocide de leur peuple, il y a 100 ans exactement.
Nos camarades d’Aube Dorée, en Grèce, ont régulièrement réitéré leur demande légitime de récupérer la ville de Constantinople, conquise en 1453 par les barbares musulmans. Avec la Thrace, l’actuelle ville d’Istanbul est la gardienne du Bosphore : les Russes, les Grecs et plus globalement, les Européens ont pour intérêt commun de reprendre la deuxième Rome, ancienne capitale de l’Empire Romain d’Orient et coeur de l’orthodoxie.
La libération de Chypre est également une nécessité urgente et constitue le prolongement de la libération de Constantinople.
La destruction de l’avion de combat russe constitue l’arrêt de mort du régime d’Erdogan comme de ce qu’il reste de l’empire ottoman. Le projet de reconstitution de cet empire, pensé et mis en oeuvre par son ministre des Affaires Etrangères, Ahmed Davutoglu, vient de prendre fin.
La Russie a d’ores et déjà entrepris d’isoler économiquement la Turquie, avant de procéder à son démantèlement. Son statut de membre de l’Otan ne pourra empêcher la libération prochaine des Kurdes, non plus que la revanche des Arméniens et Grecs, mais aussi des Bulgares.
Le moment est venu d’écraser une bonne fois ce foyer de pestilence islamo-asiatique.
LES 10 GRANDS MEDIAMENSONGES D´ISRAËL
En préparant le livre « Israël, parlons-en », le journaliste belge Michel Collon a demandé à deux assistantes d’aller dans les rues de Bruxelles demander aux gens ce qu’ils savaient sur l’histoire et la situation d’Israël. Les réponses furent catastrophiques. Elles ont montré une ignorance du public, ignorance qui n’est pas, selon lui, due au hasard, mais bien à 60 ans de propagande et de mensonges israéliens, relayés par les grands médias. Collon les a résumés dans ce qu’il a appelé les 10 grands médiamensonges qui justifient Israël. Cette présentation vidéo de Michel Collon, retranscrite ici par le Couac, est accessible via son site web au http://www.michelcollon.info/
1) Israël a été créé en réaction au génocide contre les juifs en 1940-1945. Ça, c’est totalement faux. C’est un projet colonial qui est bien plus vieux et qui a été décidé au congrès de Bâle en 1897. Le mouvement nationaliste juif décide alors de coloniser la Palestine. À ce moment-là, on emploie le mot colonialisme qui n’est pas du tout honteux. Ils font appel aux puissances coloniales de l’époque parce qu’ils se rendent compte qu’ils ont besoin d’être protégés. L’Empire britannique se montre intéressé à avoir des colons au milieu du monde arabe, veut affaiblir l’Égypte qui est une puissance qui les inquiète, et veut contrôler le canal de Suez qui est la route vers la colonie des Indes qui leur rapporte énormément. Ensuite, les États-Unis vont prendre le relais. Eux ce qui les intéresse c’est le pétrole, ils veulent un flic du pétrole. Et donc, on voit que cette création d’Israël est un projet colonial qui s’inscrit dans une époque où les puissances coloniales européennes se partagent l’Afrique comme un vulgaire morceau de gâteau.
2) Les juifs retournent sur la terre dont ils auraient été chassés par l’Empire romain en 70 après Jésus-Christ. Ça, c’est aussi un mythe total. L’historien Shlomo Sand a interviewé plusieurs historiens et archéologues israéliens qui disent non, il n’y a pas eu d’exode, et donc il n’y a pas de retour. En gros, les populations n’ont pas bougé. Bien sûr il y a eu des invasions, des migrations, des mélanges, mais en gros les populations sont restées là. Ce qui a deux conséquences cocasses. La première, c’est qu’au fond, les descendants des juifs de l’époque de Jésus-Christ, ce sont les Palestiniens qui vivent là aujourd’hui maintenant. Et la deuxième conséquence, c’est que si les gens ne sont jamais partis, quels sont ces gens qui nous disent qu’ils reviennent. En fait, ce sont des convertis, des Européens de l’est, de l’ouest, des Maghrébins, qui se sont à divers moments convertis à la religion juive. Comme le dit Shlomo Sand, le « peuple juif », ça n’existe tout simplement pas : il n’y a pas d’histoire commune, pas de langue commune, pas de culture commune. Il y a juste une religion, mais une religion, ce n’est pas un peuple. On ne parle pas du peuple chrétien, du peuple musulman, donc pas de peuple juif non plus.
3) La colonisation de ces terres n’est pas grave, car c’était un désert, une terre sans peuple. Ça aussi c’est un mensonge total. Les témoins de l’époque déjà au début du XIXe siècle disaient que la Palestine, c’était un « océan de blé ». Il y a donc eu des cultures, des exportations vers la France notamment d’huile, de savon, les fameuses oranges de Jaffa. Et d’ailleurs, quand les colons britanniques puis juifs vont commencer à vouloir s’installer en Palestine à partir de 1920, les Palestiniens refusent de céder leurs terres. Et donc, il y a des révoltes, des grèves générales, des manifestations avec de nombreux morts… Donc c’était tout sauf un désert, et tout ça n’a été brisé que par une répression très féroce de l’occupant britannique et des sionistes ensuite.
4) Il y avait peut-être des Palestiniens, mais ils sont partis d’eux-mêmes. Ça aussi c’est faux. Tout le monde a cru ça longtemps, et ça a été la grande version officielle d’Israël. Jusqu’à ce que ce qu’on a appelé les nouveaux historiens israéliens, Morris, Pappe, et d’autres, disent non, les Palestiniens ont été chassés, par la violence, par la terreur, par une opération systématique pour les expulser du pays. Voilà donc un autre mythe qui clôt cette partie « historique ». Sur la période actuelle maintenant…
5) Israël est la seule démocratie au Moyen-Orient, donc il faut la défendre, c’est un État de droit. Premièrement, ce n’est pas un État de droit. C’est le seul État au monde où la constitution ne fixe pas les limites du territoire. Dans tous les pays du monde, les limites territoriales sont clairement définies. Israël non, parce que c’est simplement un projet d’expansion qui n’a pas de limites. En plus, la constitution d’Israël est totalement raciste, car elle dit qu’Israël c’est l’État des juifs, ce qui veut dire que les autres ce sont de sous-citoyens. C’est donc la négation même de la démocratie une constitution pareille. En fait, Israël c’est le colonialisme, c’est le vol de la terre, c’est le nettoyage d’une population, ça ne peut pas être considéré comme une démocratie. Alors bien sûr on me dira « y’a un parlement, y’a des médias, y’a des profs d’université qui critiquent », c’est vrai. Mais étant donné que c’est un État qui est basé sur le vol de la terre, ça veut dire que c’est une démocratie entre les voleurs pour savoir comment ils vont continuer à voler. Et ça, ce n’est pas une démocratie, c’est du colonialisme, c’est de la dictature.
6) On nous dit aussi que les États-Unis, ce qu’ils veulent, c’est protéger la démocratie au Moyen-Orient, en mettant bien sûr plus de 3 milliards de dollars par année en armement pour aider Israël à bombarder ses voisins… Si les États-Unis étaient pour la démocratie, ça se saurait puisque c’est eux qui protègent les dictatures épouvantables de l’Arabie Saoudite, du Koweit, le tyran Moubarak avec du sang sur les mains… Donc, en fait, ils ont installé tout ça et eux ce qui les intéresse dans Israël c’est pas du tout la démocratie, c’est le « flic du pétrole », c’est contrôler le pétrole, donc le Moyen-Orient. Ils veulent briser tout État qui voudrait refuser ce projet et qui n’accepterait pas de donner son pétrole pour rien. Seulement, ils ne peuvent pas attaquer à tout bout de champ tous les pays du moyen orient qui ne leur plaisent pas. Donc, ils ont besoin de ce que Chomsky appelle le « flic de quartier », rôle que joue parfaitement Israël. Et c’est pour ça qu’ils le protègent alors qu’Israël viole le droit international, viole les conventions de l’ONU, viole l’égalité entre les êtres humains. Alors, c’est clair que c’est une guerre économique qui est menée là par les États-Unis.
7) L’Europe, elle, est plus neutre et recherche une solution entre Israéliens et Palestiniens. C’est absolument faux. D’abord avec des gens comme Lagardère et Dassault qui sont en France tout proche de Sarkozy et qui collaborent avec l’industrie de l’armement israélienne. Et en plus, lorsque les Palestiniens ont élu leur gouvernement, l’Union européenne a refusé de le reconnaître et a clairement donné le feu vert à Israël pour bombarder Gaza. Et donc, ce doit être bien clair que quand Israël bombarde les Palestiniens, c’est Sarkozy, c’est Merkel, ce sont les gouvernements européens qui bombardent aussi.
8) Et quand vous dites tout ça, on essaie de vous faire taire en vous disant : vous êtes un antisémite. Il y a une chose qui doit être très claire : quand on critique le gouvernement d’Israël, on n’est pas raciste anti-juifs, au contraire, on critique un gouvernement qui nie l’égalité entre les êtres humains, entre les juifs et les musulmans. Et donc, on veut au contraire voir possible une paix entre les juifs, les chrétiens, les laïcs et les musulmans au Moyen-Orient. Et c’est pour ça qu’il faut arrêter le gouvernement d’Israël dans ses crimes, car il ne fait que semer la haine, créer de la tension, et c’est sa stratégie.
9) Oui, mais les Palestiniens sont violents, c’est du terrorisme, etc. Mais la vraie violence, c’est le colonialisme, c’est l’armée d’occupation Israélienne qui a volé depuis 60 ans aux Palestiniens leurs terres et leurs maisons, c’est l’armée israélienne qui empêche les Palestiniens d’avoir une vie normale avec les « check points » de la maison au bureau, où vous devez parfois attendre une journée. Il y a des femmes enceintes qui sont mortes parce qu’elles étaient bloquées par l’arbitraire des « check points », etc. Donc la violence, c’est l’occupation.
De plus, l’ONU, dans ses textes fondamentaux, reconnaît le droit de tout peuple colonisé, de tout peuple occupé, de résister par tous les moyens qu’ils jugent bon. Donc, la résistance est légitime.
10) Mais alors face à tant de haine de la part d’Israël et de ceux qui les soutiennent, beaucoup de gens pensent que c’est un conflit qui va durer toujours, qu’il n’y a pas de solutions. Il faut savoir que la solution elle existe. Parce qu’en fait, les grandes organisations palestiniennes, dès le milieu des années 1960, ont proposé une solution très démocratique et très simple, à savoir, un seul État, sans discrimination, où il y aurait une égalité de droit entre les juifs, les musulmans, les chrétiens et les laïcs. C’est la définition même de la démocratie : un homme, une femme, une voix. Et Israël a toujours refusé de négocier ces solutions. Il a emprisonné ou assassiné les dirigeants du Hamas, mais aussi les dirigeants du Fatah et d’autres groupes palestiniens. Donc, Israël refuse de négocier et il faut donc se demander pourquoi. Et la seule raison, je l’ai dit, c’est qu’Israël sert aux États-Unis de flic du pétrole, et donc c’est une guerre économique pour les multinationales.

Et la seule chose qui peut arrêter ça, c’est la pression de tout le monde, des citoyens partout dans le monde, sur les dirigeants politiques qui sont complices d’Israël, la pression sur les médias qui, il faut le dire, ne disent pas la vérité. Et donc ça veut dire que chacun fasse de l’information, rétablisse la vérité, démasque les médiamensonges et les mythes justificateurs d’Israël. Et en appliquant cette idée « nous sommes tous des journalistes », on arrivera véritablement, je pense, à une possibilité de négocier et de trouver une solution pour rétablir la paix au Moyen-Orient.
(Source : MICHEL COLLON)
Les corrupteurs sionistes et islamistes s’unissent contre le peuple syrien

AVEC LA BÉNÉDICTION D’OBAMA
Alors que les forces syriennes continuent de libérer l’ensemble des zones occupées par les mercenaires associés à Al Qaïda,l’une après l’autre, près de la capitale Damas , l’opposition à l’étranger, soutenant la Syrian Free Army,forme un gouvernement de transition en Turquie pour remplacer le président Bachar al -Assad. Damas a cependant rejeté cette initiative comme délirante . L’Arabie saoudite a unilatéralement décidé d’affecter plus de 300 millions de dollars pour financer le soi-disant gouvernement de transition. Les rapports indiquent que le gouvernement de transition sera sur le sol turc à proximité de la frontière syrienne. Son budget mensuel est estimé à cinquante millions de dollars . Donc, l’argent alloué par Riyad est défini pour une durée de six mois. Ces événements surviennent comme un journal israélien , Haaretz parle de la relation entre Israël et l’Arabie Saoudite sur la Syrie alors que le secrétaire général Sayyed Hassan Nasrallah au Liban a déclaré mercredi qu’Israël se nourrit de la guerre dans la région, étant déjà empêtré dans le conflit palestinien et la guerre civile.
Est-ce que Ryad et Tel Aviv forment une alliance réelle sur la Syrie ou défendent-ils des intérêts divergents?
Quelle est votre compréhension de la démarche de l’ Arabie saoudite pour donner 300 M $ à l’opposition syrienne ?
Sont-ils en coordination avec les Etats-Unis ou pas?
Quelles sont les différences des politiques des États-Unis et de l’Arabie saoudite sur la question syrienne ?
Sont-ils sur la même longueur d’onde?
Donc Les islamistes ne sont qu’une conséquence de la politique génocidaire menée par les instances américano-sionistes ;coupez la tête et le problème disparaîtra de lui même (vision politique européenne).. les islamistes n’ont jamais rempli l’assiette des populations arabes, sans l’appui des américains et des sionistes leurs existences est compromise.
Conflits et guerres actuelles Guerres impérialistes: Seule la guerre permanente fait survivre Israël…
« Un analyste politique dit que le régime israélien a besoin de déclencher des guerres à travers le monde, spécifiquement au Moyen-Orient, s’il veut assurer sa survie et demeurer le récepteur principal de l’aide financière et militaire américaine, rapporte Press TV.
“Israël a besoin d’une guerre permanente pour justifier de son existence comme le receveur principal de l’aide financière et militaire américaine et aussi de démontrer que le pays demeure un partenaire et allié très important des Etats-Unis au Moyen-Orient. En fait, Israël craint la paix,” a dit Brian Becker dans une interview avec Press TV Samedi. »
Le régime israélien a besoin de la guerre pour survivre
Un analyste politique dit que le régime israélien a besoin de déclencher des guerres à travers le monde, spécifiquement au Moyen-Orient, s’il veut assurer sa survie et demeurer le récepteur principal de l’aide financière et militaire américaine, rapporte Press TV.
“Israël a besoin d’une guerre permanente pour justifier de son existence comme le receveur principal de l’aide financière et militaire américaine et aussi de démontrer que le pays demeure un partenaire et allié très important des Etats-Unis au Moyen-Orient. En fait, Israël craint la paix,” a dit Brian Becker dans une interview avec Press TV Samedi.
L’analyste a poursuivi que Washington “avait réalisé qu’il avait besoin d’une autre force, une force par procuration (proxy), une extension de sa force militaire afin de gendarmer la région et c’est ce qu’on fait les Israéliens en envahissant l’Egypte et la Syrie et en envahissant et volant la Cisjordanie et la bande de Gaza en défiance de toutes les résolutions de l’ONU.”
De plus, Becker a dit que les Etats-Unis ont utilisé “L’Arabie Saoudite, la Turquie et la Qatar, comme forces par procuration” dans la région depuis ces deux dernières années et demies afin de “financer et d’armer” des groupes étrangers militants en Syrie pour renverser le gouvernement du président syrien Bachar Al-Assad.
Becker a aussi noté que Washington ne recherche pas la paix dans la région en disant: “Les Etats-Unis ne vont pas laisser le Moyen-Orient devenir une entité auto-déterminée et ce à cause de ses très riches capacités et ressources naturelles.”
Se référant à Israël, qui est le seul pays possédant (illégalement) l’arme nucléaire au Moyen-Orient avec une estimation de 200 à 400 têtes nucléaires, l’analyste a dit que “Les Etats-Unis ne veulent pas désarmer Israël parce qu’ils voient Israël comme son pilier, comme son allié fondamental dans cette si tumultueuse partie du monde, également si riche en ressources naturelles.”
Le régime israélien, qui rejette tous les accords internationaux sur le nucléaire et particulièrement le Traité de Non Prolifération Nucléaire, maintient une politique volontairement ambigüe au sujet de ses activités nucléaires et refuse de permettre des inspections de ses sites nucléaires afin de ne pas se soumettre aux règlementations internationales en la matière.
(Source: Press TV,Sylvain Jonathan, Alter Info)