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via Podcast LNO #03 – Musique et numérique : chasse aux fantasmes — La Nouvelle Onde
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Après quatre ans d’une procédure judiciaire initiée par une fan de l’artiste, Sony a reconnu ne posséder aucune preuve de l’authenticité des chansons.
« Monster », « Breaking News »,« Keep Your Head Up » : ces trois morceaux sont attribués à Michael Jackson, sur la pochette d’un album posthume de l’artiste américain sorti en 2010 et intitulé Michael, un an après sa mort à Los Angeles.
« Attribués » seulement, car les trois chansons n’ont pas été interprétées par l’auteur de Thriller, mais par un imitateur, a concédé la maison de disque Sony, le 21 août, après quatre années de procédures judiciaires devant un tribunal de Los Angeles.
Les premiers doutes ont émergé dès 2010 par l’intermédiaire de Vera Serova, une fan de Michael Jackson persuadée de ne pas le reconnaître dans les mélodies des trois morceaux. Elle a donc lancé en 2014 une procédure judiciaire au civil contre Sony, Eddie Cascio – ami et producteur de Michael Jackson – et Angelikson, la boîte de production détenue par son frère. James Porte, qui aurait écrit plusieurs de ces chansons aux origines controversées, figure lui aussi dans la plainte déposée en Californie.
Vera Serova développe ses arguments en produisant un rapport d’expert de 41 pages, listant les incohérences entre le style de Michael Jackson et les trois morceaux concernés. Des témoignages de l’équipe de Michael Jackson, qui trouve suspect de ne pas y retrouver les célèbres claquements de doigts de l’artiste, et l’incapacité des mis en cause à apporter des preuves matérielles des enregistrements – comme des prises de voix alternatives – font douter Sony. D’autant que la famille de l’artiste exprime dès le départ, elle aussi, son scepticisme.
Après avoir mené une enquête en interne, la maison de disques a déclaré, le 21 août devant la justice, ne pas avoir de preuves établissant l’authenticité des morceaux – ses avocats l’avaient laissé entendre lors d’une précédente audience, en décembre 2016. Elle rejette la faute sur les deux producteurs, que le distributeur aurait crus de bonne foi au moment de la livraison de l’album.
Juridiquement, le changement de stratégie de Sony est déterminant pour la suite du procès : si le groupe arrive à démontrer qu’il ignorait les conditions d’enregistrement des morceaux, impossible de lui reprocher une diffusion et une publicité malhonnête du disque. Les charges pèseraient alors sur Eddie Cascio, son frère, ainsi que James Porte.
Les groupes de fans, très attentifs au déroulement du procès, demandent de leur côté que le nom de Michael Jackson ne soit plus associé aux morceaux, et que ceux-ci soient retirés de l’album.
Une récente étude a révélé que 100% de la musique électronique de merde dite « EDM » dans le monde est produite par 1% des DJs les plus riches.
Des résultats décrits comme « largement attendus » par les experts du monde entier.
« Les majors ou les gros labels ne vont pas investir de l’argent dans quelque chose qui est différent » raconte un des experts aussi compétent en sniffage de cocaïne qu’en fellations forcées. « Ils sont évidemment beaucoup plus enclins à aller vers quelque chose qui a déjà marché et qui a fait de l’argent. C’est pourquoi tout ce qui tourne autour de l’EDM suit une formule simple et identique ».
« C’est simple… Ecoutez un morceau de musique électronique et si vous pensez qu’il a sa place dans une discothèque pour ados boutonneux ou que vous le trouvez simpliste et chiant au bout de 20 secondes, c’est qu’il a été produit par ces fameux 1% » précise un observateur.
Comme David Guetta, Martin Garrix ou Calvin Harris pour ne pas les nommer mais en nommer certains quand même.
« C’est un déséquilibre permanent dans l’économie de la musique électronique mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose » poursuit l’initié. « Imaginez… On sait qu’il y a deux sortes de musique : la bonne et la mauvaise. OK ? 1% des producteurs produisent 100% de la musique de merde, cela signifie donc que 99% font 100% de la bonne musique. C’est énorme, c’est bien ! »
« Bien sûr, ils font de l’argent maintenant mais personne n’aura plus aucun respect pour eux dans deux ou trois ans quand la bulle éclatera. On les retrouvera gisant sur un trottoir dégueu dans leur propre sperme à force de se branler sur leur propre musique. Et on pourra leur cracher dessus et leur jeter des cailloux ».
« Le seul aspect malheureux dans tout ça est que la bonne musique est largement méconnue du grand public. En effet, ces gros tourteaux pleins de fric ont une telle emprise sur les médias et sur le marketing qu’ils peuvent vomir leur soupe indéfiniment sans que personne n’aille chercher plus loin ».
« Un peu comme Fox News mais avec de la musique à la place de la propagande ».
Source : Wunderground
En hommage aux Chercheurs et Diseurs de Vérité,nous avons fait un montage sur le thème du retour des Dieux.
Il s’agit d’un livre que j’ai lu plusieurs fois dans ma vie,car il m’a fait rêvé à des jours meilleurs,suite à un contact officiel avec une puissance extraterrestre.
Jimmy Guieu avait établi un code de lecture dans ce livre:il donnait aussi une marche à suivre …de lectures,aux néophytes afin qu’ils puissent comprendre le sens profond de certains de ses livres,mêmes ceux de science fiction.
Il y a donc un Code Jimmy Guieu.
Je ferai une livre audio et je reproduirai cette oeuvre ici,sur ce site…afin que tous puissent s’abreuver de la Compréhension.
Merci de m’avoir lu.
LE RETOUR DES DIEUX : NOTRE CHANSON THÈME
Prenons plaisir à écouter cette magnifique musique:
Si le mot “diva” n’avait pas existé avant elle, on l’aurait inventé pour elle. Maria Callas est née le 2 décembre 1923. Une date qui n’est pas un hasard ! C’est un 2 décembre (1804) que Bonaparte se fit sacrer empereur et que, un an plus tard, en guise de cadeau d’anniversaire, il s’offrit la plus flamboyante de ses victoires : Austerlitz. Maria Callas fut à la fois une impératrice et un chef de guerre. Relisons André Tubeuf dans son Dictionnaire amoureux de la musique (Éd. Plon) : “Cadette physiquement moche d’une aînée brillante et préférée, s’en consolant par les sucreries qui l’enflaient, regard pis que caché, nié, par de grosses lunettes de myope ; puis rapatriée (sans le père) à Athènes et réfugiée dans l’étude, avide de tout, absorbant tout.” Mais plus que tout, la voix était là, et c’est sur ce don de Dieu qu’elle battit son empire.
Un industriel fondu de musique la remarqua, l’épousa et la propulsa sur les plus grandes scènes italiennes, puis à Buenos Aires, à Mexico et bientôt dans le monde entier. Un charmant petit monstre était né, capable de chanter Wagner, Bellini, Haydn, l’opéra français et le reste. Le monde entier était à ses genoux, les hommes la trouvèrent soudainement belle, tandis qu’elle jouait presque quotidiennement la grande scène du quatre à un Meneghini désarmé, amoureux, dépassé, qui aurait tout donné pour rester près de son miracle. Il suffira d’une croisière sur un yacht pour que la Callas trouve son égal, son frère, son compatriote. Aristote Onassis était grec, richissime, capricieux, séducteur, m’as-tu-vu, connu dans le monde entier. Il faisait plier les puissants, pouvait humilier ses collaborateurs, ne connaissait rien à la musique classique, ni à l’art en général. L’idéal pour la diva assoluta qui n’écoutait personne !
Leur liaison fut aussi brève que passionnée, aussi sensuelle que destructrice. Entourée de dorures et de courtisans, réclamée par les opéras du monde entier, Callas n’avait plus faim. En 1957, elle abandonne une Sonnambula, l’année suivante elle délaisse une Norma. Le milieu très conservateur de la musique classique proteste, les puristes arguent que sa voix n’est plus là. Elle répond avec morgue à tout ce petit monde, multiplie les scènes de hargne, les caprices de star et s’abîme dans des régimes qui lui esquintent la santé. Onassis, lui, est déjà occupé à multiplier ses millions et ses conquêtes. En 1968, moins de dix ans après leur rencontre, il épouse Jackie Kennedy. Les amis d’hier s’éloignent… De temps à autre, elle montre qu’elle est encore la meilleure, celle qui est capable de faire pleurer une salle de 1 000 personnes, mais le coeur n’y est plus. Le sien donne d’ailleurs des signes inquiétants. Maria avale des médicaments et exige auprès de ses agents des cachets que sa valeur lyrique ne justifie plus toujours. Elle donne des master class très courues à Londres et à Paris. Elle noue une relation avec le ténor Giuseppe Di Stefano. Elle s’installe avenue Georges-Mandel, dans le 16e arrondissement. Elle rend visite à Onassis hospitalisé en 1975 pour une pneumonie qui lui sera fatale. Pendant ce temps, Renata Tebaldi, sa rivale dès les années 50, conquiert les scènes du monde entier. La boucle est bouclée, la fin est proche. Le glas sonne le 16 septembre 1977. La plus grande cantatrice du XXe siècle meurt d’une embolie pulmonaire à Paris. Aux dernières nouvelles – décembre 2010 –, Callas est morte d’une maladie dégénérative qui a affecté ses cordes vocales, soutiennent deux médecins italiens spécialistes en orthophonie.
Mais sa vie romanesque ne pouvait pas s’arrêter là ! Elle fut incinérée au cimetière du Père-Lachaise où une plaque (division 87) lui rend hommage, mais la mort de la Callas connut un ultime rebondissement. Après le vol de son urne funéraire, retrouvée quelques semaines plus tard, ses cendres (ou ce que l’on pense être les siennes) furent dispersées en mer Égée, au large des côtes grecques, selon son voeu. Ce 2 décembre 2013, Google rend hommage à la diva divine. Au même titre que les sorcières d’Halloween, le designer Raymond Loewy, le philosophe Friedrich Nietzsche ou l‘anthropologue Claude Lévi-Strauss, Maria Callas est honorée par un Doodle mondial.
Voici le Doodle consacré à Callas, lundi ,le 2 décembre 2013: