Dans une entrevue accordée à la télévision tchèque, le président syrien, Bachar Al-Assad a affirmé que la paix reviendrait dans son pays lorsque les pays occidentaux et l’Arabie saoudite cesseront de « soutenir les terroristes ».
« Pour ramener la paix, a-t-il affirmé, il faut que plusieurs pays – la France, la Grande-Bretagne, les États-Unis, l’Arabie saoudite, le Qatar et quelques autres – arrêtent de soutenir les terroristes. Le lendemain, la situation sera déjà meilleure et en quelques mois nous aurons la paix complète en Syrie. »
La majorité des pays occidentaux exigent depuis le début de la crise syrienne le départ du président Assad comme préalable à toute solution politique. Mais le soutien indéfectible de l’allié russe et de l’Iran a empêché cette exigence de voir le jour.
Depuis les attentats de Paris du 13 novembre, la priorité pour les Occidentaux est devenue la destruction de l’organisation armée État islamique (EI). Ce qui a relégué l’exigence du départ d’Assad au second plan.
Paris tente d’ailleurs de rallier Moscou à une coalition internationale contre l’EI.
Concernant ce projet de coalition, M. Assad s’est montré dubitatif. « Pourquoi n’ont-ils rien appris de Charlie Hebdo? (…) Vous ne pouvez pas combattre le terrorisme alors que vous soutenez directement les terroristes avec des armes et avez une alliance avec ce plus grand soutien du terrorisme dans le monde qu’est la monarchie saoudite », a-t-il assené.
Pour lui, la France ne fait « rien de sérieux, tandis que les Russes sont très sérieux dans le combat contre le terrorisme et il y a une coopération entre eux et l’armée syrienne », a-t-il affirmé.
Le président syrien estime que l’Europe a échoué à intégrer des immigrants venant d’horizons culturels différents, alors que des « institutions wahhabites » ont financé des activités pour « fausser l’interprétation de l’islam ».
« En fait, cette région (le Proche-Orient) avait exporté un certain extrémisme vers l’Europe, dans notre crise c’est l’Europe qui exporte l’extrémisme vers chez nous », faisant référence aux nombreux jeunes européens qui se sont engagés dans les rangs de l’EI en Syrie et en Irak.
Sur la question de son départ du pouvoir, M. Assad a affirmé qu’il n’allait pas démissionner « au milieu de la guerre ». Mais a assuré que « quand il y aura une élection, les Syriens décideront s’ils veulent de moi. S’ils veulent de moi, je serai heureux d’être président. S’ils ne veulent pas, je serai heureux de partir. Je n’ai aucun problème », a-t-il conclu.
L‘Etat Islamique détruit des temples antiques de Syrie pour cacher que tout y a été pillé, écrit Mick Van loon sur Newsmonkey . L’EI vend en effet, les statues, les frontons en pierre et les fresques à des commerçants internationaux, avance L’archéologue franco-libanaise Joanna Farchakh, une sommité en matière d’antiquités du Moyen-Orient. « Des antiquités de Palmyre sont déjà en vente à Londres », déclare l’experte. Mais ce n’est pas tout, des objets syriens et irakiens volés par l’EI se trouvent déjà en Europe. Ils ne se sont plus en Turquie où ils étaient arrivés en premier.
Cette statue d’un dieu-lion vieille de 1900 ans aurait été détruite ou…vendue.
La destruction de temples n’a en soi rien à voir avec l’idéologie du groupe, bien qu’il utilise ces saccages à des fins idéologiques. L’EI dissimule en fait ses gains et efface les preuves de ses pillages. « Ils détruisent les preuves. Personnes ne sait donc ce qui a été dérobé précédemment », affirme l’archéologue.
L’EI collabore notamment avec des organisations de malfaiteurs turcs pour faire passer en fraude les inestimables trésors de l’Antiquité en Europe et trouver des acheteurs. Des preuves existent démontrant que des collectionneurs et des marchands d’art passent des commandes auprès de l’EI qui pille d’abord l’endroit où se trouvent ces trésors et le fait ensuite exploser.
L’entrée de Palmyre.
L’EI emploie toute une équipe de spécialistes qui utilisent des pelleteuses et d’autres outils pour prendre les objets d’art. Selon des sources syriennes, ces voleurs professionnels d’œuvres d’art percevraient même un salaire fixe.
Que ces objets ne puissent pas être montrés tout de suite une fois achetés n’est visiblement pas un problème. Il existe deux sortes de clients et dans les deux cas, ils ont beaucoup d’argent. La première catégorie se compose de collectionneurs qui aiment les antiquités. L’autre catégorie est composée d’investisseurs qui envisagent la chose à long terme. Ils comptent sur le fait que dans 15 ans ou plus, ces objets auront perdu de leur intérêt et que plus personne ne les réclamera. Contrairement aux œuvres d’art que les nazis ont volées aux Juifs, il n’y a dans ce cas aucun descendant qui pourrait exiger de les récupérer, explique le journaliste.
Destruction du temple de Baal,à Palmyre.
D’un côté, ces deux dernières années, l’EI a appris comment faire grimper les prix et, de l’autre, comment obtenir un rendement maximal du vol d’antiquités. Palmyre en est l’exemple parfait. C’est une raison pour laquelle l’EI ne détruit pas tout immédiatement à cet endroit.
Destruction du lion Athéna ,à Palmyre.
« Plus la destruction dure longtemps, plus les prix montent sur le marché international de l’antiquité », affirme Joanna Farchakh dans The Independent. En outre, chaque destruction partielle est un spot publicitaire gratuit de l’EI à l’intention d’acheteurs potentiels. C’est pourquoi il s’est passé un certain temps avant que l’EI ne fasse exploser le premier temple à Palmyre : pour donner du temps aux clients. Selon l’archéologue, ces derniers savent déjà que le temple romain sera le prochain à être détruit, après les temples de Baal Shamin et celui de Bel. Suivront ensuite l’agora et les souks de Palmyre.
Après la lecture de ces deux pages, vous pourrez répondre aux questions suivantes :
L’islam est-il une religion comme les autres? Est-ce une religion de tolérance et de paix?
1-ISLAM,CORAN,HADITHS ET SUNNA
Support: la suite des Demandes d’Isis »Que Les musulmans Du monde Entier déclarent Leur allégeance au califat, certains des semblent déjà-soi faire. Cette photographie, prise apparemment Dans Le Pays-Bas, une partie d’ Été en ligne par les partisans ISIS
L’islam est un système religieux, politique, juridique et social initié au VIIe
siècle par Mahomet, qui se déclare être le dernier prophète et donc LE prophète
à qui Allah aurait transmis ses préceptes par l’entremise de l’ange Gabriel. Ces
préceptes sont compilés dans le Coran. Ce Coran, fixe, immuable, non interprétable
est formé de 114 chapitres appelés sourates et chaque sourate est formée
d’un nombre variable de phrases appelées versets. Les sourates et les versets sont
numérotés de manière standard depuis 1923, par exemple [4:34] désigne le verset
34 de la sourate 4. Il est à noter que Mahomet entendait les paroles de l’ange
Gabriel pendant des crises mystiques ! « Les témoins disent qu’il (Mahomet) avait
des syncopes au cours desquelles il avait de l’écume aux lèvres et des rugissements
analogues à ceux d’un jeune chameau » (Mizanu’l Haqq, p. 345).
En plus de leur livre saint, les musulmans prennent aussi pour modèle
Mahomet en s’inspirant de ses actes et paroles rapportés entre le VIIIe et le Xe
siècle par les traditionnistes, Bukhari, Muslim, Daoud et d’autres encore dans
les hadiths (les dires), qui forment la Sunna (tradition).
En parcourant les hadiths et le Coran (traduit en français par Hamidullah,
version largement acceptée par les musulmans et qui est aussi celle que l’on
trouve sur le site de l’UOIF), vous allez constater que l’islam est violent dès ses
origines, qu’il est inégalitaire et discriminatoire envers les femmes, les
non-musulmans,les homosexuels,etc,et,qu’en fait ,l’islam combat
tout ce qui n’est pas lui-même.
C’est une idéologie qui instrumentalise une religion dans le but de soumettre par la
persuasion ou la violence tous les non-musulmans du monde. D’ailleurs islam veut
dire soumission en arabe et musulman soumis. Bien sûr les musulmans ne partagent
pas cette analyse, d’où cet argumentaire ayant pour objectif de les contrer à l’aide de leur propre Coran et ainsi de montrer que l’islam est
incompatible avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui est le fondement de la Constitution de la France moderne.
2-TACTIQUE ET DIALECTIQUE DE L’ISLAM (GRANDES LIGNES)
a)Un point fondamental:Ne soyez jamais étonné qu’un musulman mente par
omission ou par action, dissimule ou falsifie car c’est une presciption coranique.
Quand il s’agit de développer l’islam, tous les coups sont permis. La taqqya, qui
s’écrit aussi takia (dissimulation) ,est un devoir pour les croyants en situation
d’infériorité (= de minorité). Par contre, dès que le rapport de force s’inverse,
alors le musulman peut envisager l’agression :
« Ne faiblissez donc pas et n’appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus
hauts,qu’Allah est avec vous ,et qu’il ne vous frustera jamais (du mérite) de
vos oeuvres. » [Coran 47:35].
On trouvera 2 exemples de cet « art de la taqqya » aux adresses suivantes :
La RUSSIE construit une base aérienne en Syrie ,depuis quelques jours afin de pouvoir déployer des pilotes de chasse et des troupes dans la bataille contre l’ État islamique (Isis) dans une tentative désespérée pour soutenir le président Bachar al-Assad, qui est apparu souriant et heureux ,aujourd’hui.
Les troupes russes sont vraiment là.
Vladimir Poutine a ordonné la construction d’un énorme complexe militaire pouvant acueuillir 1000 personnes ,au centre du dispositif militaire syrien assiégé dans un signe montrant la participation croissante de son pays dans la région.
Les responsables de la défense des États-Unis ont maintenant révélé que l’armée russe a transporté assez de bâtiments militaires préfabriqués en Syrie,déchirée par la guerre , pour abriter 1000 soldats.
Les ingénieurs ont également construit une nouvelle tour de contrôle de circulation aérienne à un aérodrome près de la ville portuaire de Lattaquié, fournissant les derniers éléments de preuve que les pilotes russes se préparent à effectuer des sorties dans le pays.
Photos très récentes montrant des soldats russes travaillant avec leurs homologues syriens…à Lattaquié.
Le mouvement va augmenter le malaise sur les politiques ouvertement déterminées du président Poutine et la Russie se met sur une trajectoire de collision avec la Grande-Bretagne et l’ Amérique une fois de plus. ..selon l’officier américain responsable de l’information.
David Cameron et Barack Obama ont tous deux insisté sur le fait que toute résolution de la guerre civile en cours en Syrie aurait finalement pour résultat :la fin du régime d’Assad.
John Kerry, secrétaire d’Etat, a téléphoné à son homologue russe pour exprimer ses préoccupations au sujet des derniers développements.
Un porte-parole du département d’Etat américain a déclaré: « Le secrétaire a précisé que si ces rapports étaient exacts, ces actions pourraient aggraver encore le conflit,et conduire à une plus grande perte de vies innocentes, augmenter les flux de réfugiés et de la confrontation des risques avec le fonctionnement de la coalition anti-Isil en Syrie. «
Cependant, les vidéos ont émergé qui semblent montrer les troupes russophones et les avions de combat russes pénètrent au plus profond de la Syrie.
Photo d’un jet russe déployé en Syrie,ce matin.
La télévision d’Etat syrienne a aussi montré des images d’une avancée de construction russe véhicule blindé dans le combat.
Une source de la défense des États-Unis a déclaré: « Si ils se déplacent les gens pour aider le gouvernement syrien à combattre leur propre lutte, qui est une chose, mais si ils se déplacent dans les forces terrestres et de larguer des bombes sur des zones peuplées, qui est une question entièrement différente.. «
Moscou justifie de plus en plus son soutien au peuple syrien, en soulignant les progrès qui Isis a faites en Syrie.
Les combattants du groupe terroriste État Islamique,financés par les alliés des États-Unis,tels Israel,le Qatar,l’Arabie Saoudite et certains pays d’Europe, ont conquis de larges pans du pays et sont l’une des principales raisons pour lesquelles tant de réfugiés fuient désormais à l’Europe.
Les soldats russes bien équipés se déploient rapidement.
Cependant, l’ingérence russe est susceptible d’être rencontré avec une extrême méfiance par les gouvernements occidentaux après son annexion de la Crimée de l’année dernière.
Israël remercie le Canada pour son opposition, la semaine dernière, à une résolution de l’ONU qui aurait permis la tenue, d’ici 2016, d’une conférence sur le désarmement – notamment nucléaire – au Moyen-Orient.
Mais d’autres nations du monde ont été déçues de la position du Canada qui, à l’instar du Royaume-Uni, a décidé de se ranger derrière les États-Unis contre la résolution au cours de la conférence quinquennale chargée d’examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), la semaine dernière à New York.
Le document prévoyait une conférence sur le désarmement au Moyen-Orient, ce qui aurait pu contraindre Israël à reconnaître publiquement qu’elle détenait l’arme nucléaire – un aveu que n’a jamais fait l’État hébreu.
Pendant un entretien téléphonique, dimanche, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a remercié Stephen Harper « d’avoir fait reposer sur des principes l’approche du Canada à l’égard de la question d’une zone sans armes de destruction massive au Moyen-Orient », selon un communiqué du cabinet du premier ministre canadien.
À l’issue de la conférence sur la non-prolifération des armes nucléaires, qui s’est achevée vendredi après un mois de débats à New York, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, s’était déclaré déçu par l’absence de résultats concrets. Il a regretté en particulier, samedi, « que les États aient été incapables de réduire le fossé qui les sépare sur l’avenir du désarmement nucléaire, ou d’arriver à une nouvelle vision collective sur la façon de parvenir à un Moyen-Orient exempt d’armes nucléaires et de toute autre arme de destruction massive », a dit son porte-parole dans une déclaration à la presse.
L’ancien ministre libéral des Affaires étrangères Lloyd Axworthy appuie la position du gouvernement conservateur dans ce dossier. Selon lui, certains pays voulaient inviter le dossier du Proche-Orient aux négociations sur le désarmement nucléaire dans le seul but d’embarrasser le gouvernement israélien.
Le premier ministre Harper, lui, a réaffirmé l’engagement du Canada à l’égard du désarmement et de la non-prolifération, « notamment dans le cadre du TNP », mais a rappelé que pour le Canada, « une zone sans armes de destruction massive ne peut être véritablement efficace que si tous les pays du Moyen-Orient participent librement et de manière constructive à son établissement ».
Une offensive aérienne et terrestre israélienne d’un mois sur la bande de Gaza a laissé les gens, à travers le territoire palestinien sous blocus, dans un état désespéré ,en manque des besoins nécessaires de la vie, rapporte Press TV.
Des Palestiniens inspectent des bâtiments détruits dans une partie de al-Tufah ,un quartier de la ville de Gaza le 6 Août 2014.
Depuis qu’Israël a retiré ses troupes du territoire assiégé, le monde a commencé à réaliser l’ampleur des dégâts causés à l’enclave déjà appauvrie.
Un correspondant de Press TV a déclaré dans un rapport, mercredi 06 août 2014, que le champ de dévastation et de misère dans la bande de Gaza est massif.
De nombreux blessés sont abandonné à eux-mêmes,dans le besoin de traitement et les résidents n’ont pas de maisons pour se loger.
Le régime de Tel-Aviv a également attaqué les hôpitaux dans son offensive militaire de grande envergure et pilonné les centres médicaux qui sont dans le besoin désespéré de médicaments et de matériel.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a fortement dénoncé les forces israéliennes pour laisser une trace massive de destruction dans des sites civils à travers la bande de Gaza.
Le président du CICR Peter Maurer a dit que la destruction laissé par les forces du régime de Tel-Aviv est sans précédent.
L’offensive israélienne dans la bande de Gaza est également estimée avoir laissé au territoire palestinien, au moins 4,6 milliards de dollars en dommages. Les sources du ministère de l’économie palestiniennes disent que le chiffre ne comprend que les dommages directs à l’économie de Gaza.
Le développement viendra comme un cessez-le feu de 72 heures dans la bande de Gaza qui en est à sa deuxième journée. Le cessez-le feu est une pause dans un conflit de quatre semaines qui a fait au moins 1.900 morts palestiniens, dont 430 enfants.
Responsable du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a déclaré conflit avec Israël a jusqu’ici apporté la victoire aux groupes de la résistance palestinienne.
Survivre serait devenu une victoire pour le Hamas?
Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a récemment adopté une résolution appelant à une enquête indépendante sur les crimes de guerre d’Israël à Gaza.
Le brusque écroulement de l’État irakien est présenté par la presse internationale comme la conséquence de l’attaque du groupe terroriste ÉIIL. Mais qui peut croire qu’un État puissant, armé et organisé par Washington, pourrait s’écrouler en moins d’une semaine devant un groupe jihadiste officiellement indépendant de tout État ? En outre, qui peut croire que ceux qui soutiennent l’ÉIIL en Syrie condamnent sincèrement son action en Irak ?
Le projet secret du gouvernement américai: le proche-Orient élargi.
epuis 2001, l’état-major des États-Unis tente de fracturer le « Proche-Orient élargi » en une multitude de petits États ethniquement homogènes. La carte de la région remodelée a été publiée en juillet 2006 [1]. Elle prévoit de diviser l’Irak en trois, un État sunnite, un chiite et un kurde.
L’échec d’Israël face au Hezbollah, à l’été 2006 [2], et celui de la France et du Royaume-Uni face à la Syrie, en 2011-14, laissaient penser que ce plan avait été abandonné. Il n’en est rien : l’état-major US tente de le reprendre par l’intermédiaire de ces condottières modernes que sont les jihadistes.
Les événements survenus en Irak la semaine dernière doivent être vus sous cet angle. La presse internationale insiste sur l’offensive de l’Émirat islamique en Irak et au Levant (ÉIIL ou « Daesh » en arabe), mais celle-ci n’est qu’une partie de la vaste action en cours.
L’offensive coordonnée de l’ÉIIL et des Kurdes
En une semaine, l’ÉIIL a conquis ce qui devrait devenir un Émirat sunnite tandis que les peshmergas ont conquis ce qui devrait être l’État kurde indépendant.
L’armée irakienne, formée par Washington, a donné Ninive aux premiers et Kirkouk aux seconds. Sa structure même de commandement a facilité sa désagrégation : les officiers supérieurs devant en référer au cabinet du Premier ministre avant de déplacer leurs troupes étaient à la fois privés d’initiative d’ensemble et installés comme des roitelets sur leurs zones d’action. Dès lors, il était facile au Pentagone de corrompre certains officiers pour qu’ils incitent leurs soldats à faire défection.
Les parlementaires, convoqués par le Premier ministre Nouri-al-Maliki, ont également fait défection et n’ont pas voté l’état d’urgence faute de quorum, laissant le gouvernement sans possibilité de riposte.
Sans autre choix pour sauver l’unité de son pays, M. al-Maliki a fait appel à tous les alliés imaginables. Il a d’abord sollicité son propre peuple en général et la milice chiite de son rival Moqtada el-Sadr en particulier (l’Armée du Mahdi), puis les Gardiens de la Révolution iraniens (le général Qassem Suleimani, commandant la Force Jérusalem est actuellement à Bagdad), enfin les États-Unis auxquels il a demandé de revenir et de bombarder les assaillants.
La presse occidentale souligne, non sans raison, que la manière de gouverner du Premier ministre a souvent heurté à la fois la minorité sunnite arabe et les laïques du Baas, tant elle est apparue principalement favorable aux chiites. Cependant, ce constat est relatif : les Irakiens ont reconduit, lors des élections législatives du 30 avril, la coalition de Nouri al-Maliki. Celle-ci a obtenu un quart des voix, soit trois fois plus que le mouvement de Moqtada el-Sadr, le reste des voix étant éparpillé entre une multitude de petits partis.
La préparation de l’offensive contre l’autorité de Bagdad
L’offensive de l’EIIL d’un côté et des Pehmergas de l’autre a été préparée de longue date.
Le Kurdistan irakien a commencé à voir le jour, sous la protection des États-Unis et du Royaume-Uni, avec la zone d’exclusion aérienne décrétée entre les deux invasions occidentales (1991-2003). Depuis le renversement du président Saddam Hussein, il a acquis une très forte autonomie et est entré dans la zone d’influence israélienne. De ce point de vue, il est impensable que Tel-Aviv ait été absent de la prise de Kirkouk. Toujours est-il que l’actuel gouvernement régional d’Erbil a étendu sa juridiction sur l’ensemble de la zone irakienne prévue par l’état-major états-unien pour former le Kurdistan indépendant.
L’ÉIIL est une milice tribale sunnite ayant intégré les combattants d’Al-Qaïda en Irak, après le départ de Paul Bremer III et la remise du pouvoir politique aux Irakiens. Le 16 mai 2010, un responsable d’Al-Qaïda en Irak qui avait été libéré dans des circonstances inconnues, Abou Bakr el-Baghdadi, a été nommé émir et s’est efforcé, par la suite, de placer l’organisation sous l’autorité d’Al-Qaïda.
Au début 2012, des combattants de l’ÉIIL créent en Syrie le Jabhat al-Nosra (c’est à dire le Front de soutien au peuple du Levant), comme branche syrienne d’Al-Qaïda. Ce groupe se développe avec la relance de l’attaque franco-britannique contre la Syrie en juillet 2012. Il est finalement classé « organisation terroriste » par Washington à la fin de l’année, malgré les protestations du ministre français des Affaires étrangères qui salue en eux « des gens qui font du bon boulot sur le terrain » (sic) [3].
Les succès des jihadistes en Syrie, jusqu’au premier semestre 2013, ont modifié l’attractivité de leurs groupes. Le projet officiel d’Al-Qaïda d’une révolution islamiste globale est apparu utopique, tandis que la création d’un État islamique sur un territoire donné semblait à portée de main. D’où l’idée de lui confier le remodelage de l’Irak que les armées US n’étaient pas parvenues à réaliser.
Le relifting de l’ÉIIL a été réalisé au printemps 2014 avec la libération de prisonniers occidentaux qu’il détenait, Allemands, Britanniques, Danois, États-uniens, Français et Italiens. Leurs premières déclarations confirmaient en tous points les informations des services de renseignement syriens : ÉIIL est encadré par des officiers états-uniens, français et saoudiens. Cependant, rapidement les prisonniers libérés faisaient machine arrière et infirmaient leurs propos sur l’identité de leurs geôliers.
C’est dans ce contexte que l’ÉIIL a rompu avec à Al-Qaïda en mai 2014, se posant en rival, tandis qu’Al-Nosra restait la branche officielle d’Al-Qaïda en Syrie. Bien sûr tout cela n’est qu’affichage puisqu’en réalité ces groupes sont, depuis leur création, soutenus par la CIA contre des intérêts russes (Afghanistan, Bosnie-Herzégovine, Tchétchénie, Irak, Syrie).
Redevenu en mai une organisation régionale (et non plus l’antenne régionale d’une organisation mondiale), l’ÉIIL se préparait à remplir le rôle que ses commanditaires lui avaient assigné il y a plusieurs mois.
L’organisation est certes commandée sur le terrain par Abou Bakr al-Baghdadi, mais elle est placée sous l’autorité du prince Abdul Rahman al-Faiçal, frère du prince Saoud al-Faiçal (ministre saoudien des Affaires étrangères depuis 39 ans) et du prince Turki al-Faisal (ancien directeur des services secrets et actuel ambassadeur à Washington et Londres).
En mai, les al-Faiçal ont acheté une usine d’armement en Ukraine. Des stocks d’armes lourdes ont été transportés par avion vers un aéroport militaire turc, d’où le MIT (services secrets turcs) les a acheminés par trains spéciaux à l’ÉIIL. Il paraît peu probable que cette chaîne logistique ait pu être mise en place sans l’Otan.
L’offensive de l’ÉIIL
La panique qui a saisi la population irakienne est à l’image des crimes commis par l’ÉIIL en Syrie : égorgements en public des « musulmans renégats » et crucifixion des chrétiens. Selon William Lacy Swing (ancien ambassadeur US en Afrique du Sud, puis aux Nations unies, et actuel directeur de l’Office des migrations internationales), au moins 550 000 Irakiens auraient fui devant les jihadistes.
Ces chiffres montrent l’ineptie des estimations occidentales de l’ÉIIL selon lesquelles il ne dispose que de 20 000 combattants au total en Syrie et en Irak. La vérité est probablement 3 fois supérieure, de l’ordre de 60 000 combattants ; la différence étant composée exclusivement d’étrangers, recrutés dans l’ensemble du monde musulman et souvent pas arabes. Cette organisation est devenue la principale armée privée dans le monde, jouant le rôle moderne des condottières de la Renaissance européenne.
Elle devrait encore se développer compte tenu de ses prises de guerre. Ainsi, à Mossoul, elle a saisi le Trésor du district de Ninive, soit 429 millions de dollars en liquide (de quoi payer leurs combattants durant une année complète). En outre, elle s’est emparée de nombreux Humvees et de 2 hélicoptères de combat qu’elle a immédiatement intégrés à son dispositif. Les jihadistes n’ayant pas les moyens de former des pilotes, la presse internationale laisse entendre que ce sont d’anciens officiers baasistes du président Saddam Hussein. C’est hautement improbable, d’une part compte tenu de la guerre opposant les baasistes laïques aux jihadistes qui constitue la toile de fond de la guerre en Syrie, et surtout parce que des pilotes ayant interrompu leur entraînement durant plusieurs années ne sont plus aptes au combat..
Réactions internationales
L’offensive des Peshmergas et de l’ÉIIL était attendue par les partisans de l’Arabie saoudite dans la région. Ainsi, le président libanais Michel Suleiman (qui avait conclu une allocution en janvier par un retentissant « Vive l’Arabie saoudite ! » à la place d’un « Vive le Liban ! ») a tenté par tous les moyens d’obtenir une prolongation de son mandat (expirant le 25 mai) pour les six mois à venir, de manière à être aux manettes durant la crise actuelle.
Quoi qu’il en soit, les réactions internationales à la crise irakienne sont incohérentes : tous les États, sans exception condamnent l’ÉIIL en Irak et dénoncent le terrorisme, alors que certains d’entre eux —les États-Unis et leurs alliés— considèrent au même moment l’ÉIIL comme un allié objectif contre l’État syrien, et que quelques uns commanditent cette offensive —les États-Unis, l’Arabie saoudite, la France, Israël et la Turquie—.
Aux États-Unis, le débat politique public oppose les Républicains, qui demandent un redéploiement militaire en Irak, aux Démocrates, qui dénoncent l’instabilité suscitée par l’intervention de George W. Bush contre Saddam Hussein. Ce petit jeu oratoire permet de masquer que les événements en cours servent les intérêts stratégiques de l’état-major et qu’il y est directement impliqué.
Il se pourrait cependant que Washington ait piégé Ankara. L’ÉIIL aurait tenté au même moment de prendre le contrôle du tombeau de Süleyman Şah, en Syrie dans le district de Raqqa. Ce tombeau est propriété de la Turquie qui dispose sur place d’une petite garnison en vertu de la clause d’exterritorialité du Traité d’Ankara (imposé par le colonisateur français en 1921). Mais cette action peut très bien avoir été commanditée par la Turquie elle-même qui avait envisagé de trouver ainsi un prétexte d’intervention ouverte en Syrie [4].
Plus grave, lors de la prise de Mossoul, l’ÉIIL a fait prisonniers 15 diplomates turcs et leurs familles ainsi que de 20 membres des forces spéciales turques à leur consulat, provoquant la colère d’Ankara. L’ÉIIL avait également arrêté des chauffeurs de poids lourds qui ont été relâchés ultérieurement. La Turquie, qui a assuré la logistique de l’attaque de l’ÉIIL, se sent trahie sans que l’on sache pour le moment si elle l’a été par Washington, Riyad, Paris ou Tel-Aviv. Cette affaire n’est pas sans rappeler l’arrestation, le 4 juillet 2003, de 11 membres des forces spéciales turques par l’armée états-unienne à Souleimanieh (Irak) popularisée par le film La vallée des loups Irak [5]. Cet épisode avait provoqué la plus importante crise des soixante dernières années entre les deux pays.
L’hypothèse la plus probable est qu’Ankara ne prévoyait pas de participer à une offensive aussi large et a découvert en cours de route que Washington programmait de réaliser la création du Kurdistan qu’il avait échouée en 2003. Or, toujours selon la carte publiée en 2006, celui-ci doit inclure une partie de la Turquie, les États-Unis ayant prévu de disséquer non seulement leurs ennemis, mais aussi leurs alliés. L’arrestation des diplomates et forces spéciales turcs serait un moyen d’empêcher Ankara de saboter l’opération.
Arrivant jeudi à Ankara en provenance d’Amman, la représentante spéciale des États-Unis au Conseil de sécurité, l’ambassadrice Samantha Power, a hypocritement condamné les actions de l’ÉIIL. La présence au Proche-Orient de la thuriféraire de l’interventionnisme moral de Washington laisse à penser qu’une réaction états-unienne a été prévue dans le scénario.
De son côté, l’Iran s’est dit prêt à aider à sauver le gouvernement du chiite al-Maliki en envoyant des armes et des conseillers militaires, mais pas de combattants. L’actuel renversement de l’État irakien profite à l’Arabie saoudite, grand rival régional de Téhéran, alors que le ministre des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Faiçal (le frère du patron de l’ÉIIL), l’a invité à négocier.
Le 11 novembre 2004, Yasser Arafat, chef historique du mouvement palestinien s’éteint à Paris. Fondateur du Fatah, un mouvement de libération de la Palestine, il devient le chef de l’OLP en 1969. En dépit de son rôle controversé dans le terrorisme internationale, il fait accepter l’OLP comme seul représentant du peuple palestinien et plaide en 1974 pour une solution politique au conflit avec Israël. Finalement reconnu comme interlocuteur par l’état hébreu après les accords d’Oslo en 1993, il est élu président d’une autorité palestinienne. Mais la stagnation du processus de paix et la répression israélienne favorisent les mouvements radicaux et marginalisent le chef de l’OLP qui décède sans avoir pu instaurer un État Palestinien indépendant.
*Traduction d’un texte en éthiopien. L’Arche d’Alliance, selon la Bible, est la boîte qui contenait les tables de la Loi de Moïse , les Dix Commandements, et est, sans aucun doute, l’objectif …le plus convoité et le plus sacré de tous ceux qui ont été recherché par les hommes, dans les différentes parties de la terre, de l’Afrique au Moyen-Orient. Entouré de mystères, encore aujourd’hui, c’est l’un des trésors les plus légendaires de l’Ancien Testament. Pendant des siècles, l’Arche a enflammé l’imagination des fans, des mystiques, des aventuriers, des archéologues et des écrivains. Toute la recherche sur l’histoire a été implacable, les maçons eux-mêmes ou les Templiers sont venu près de la trouver, mais peu furent béni pour l’avoir vu. Il semble être que l’Arche est en Ethiopie et que l’humanité est sur le point d’assister à une Révélation: La patriarche copte orthodoxe d’Ethiopie, Abuna Paulos, juste debout sur la question de la relique et a dit dans une conférence de presse à l’Hôtel Aldrovandi de Rome, qu’il a «vu» l’Arche de l’Alliance et que son état de conservation est « bon ». Paulos estime que le moment de vérité est arrivé, dit qu’il ne peut pas dire où l’arche se trouve, mais veiller à ce que la scie et c’est la façon dont il est décrit dans la Bible. Selon la tradition copte orthodoxe éthiopienne, l’Arche de l’ Alliance, est conservé dans la cathédrale de Tsion Maryam, dans le royaume d’Axoum en Ethiopie, après qu’il a été volé de Jérusalem par le fils du roi Salomon souches empereur Menelik I, et prise à Axum, considéré comme le Jérusalem de l’Ethiopie. En Axoum,elle a été gardé pendant des siècles et aujourd’hui encore, par les moines orthodoxes de la ville … Paulos dit qu’il avait invité le pape Benoît XVI à se rendre en Ethiopie et dans la ville sainte d’Axoum qui pour construire un grand musée, mais est encore à décider si elle sera le lieu idéal pour garder la vraie Arche de l’Alliance. Est-ce que le Pape François Ier sera la prochaine personne élue pour voir l’arche, devant le monde pour assister à sa révélation? Et une dernière question, si vraiment la relique a été pendant tout ce temps en Ethiopie , comment le monde n’a pas remarqué cela avant? . La réponse sera de nouveau à chercher dans la légende. Comment est arrivée l’Arche d’Israël en Ethiopie:il y a 3000 ans, l’Arche a été porté à Jérusalem et adoré comme le plus sacré des objets sacrés pour les gens de cette époque, l’Arche signifiait la personnification de la présence de Dieu sur Terre. Cependant, à un certain moment dans le passé lointain, l’Arche a disparu, ce qui a donné lieu à une quête qui a inspiré les croyants et les chasseurs de fortune depuis des millénaires. La Bible nous dit que dans les temps de Salomon et de Saba, Menelik I est né, son fils la tige et le premier roi d’Ethiopie. Menelik fut des années plus tard envoyé à la maison de son père à Jérusalem pour son éducation, malgré les efforts pour rester Salomon, est retourné à l’Ethiopie avec Ménélik le premier fils du grand prêtre. La tradition veut que des gens portaient l’arche et l’ont placé dans un temple à proximité de l’île d’Eléphantine , où il est resté pendant 800 ans. Mais que s’est-il passé après ces 800 ans? L’Éthiopie a été convertie au christianisme et le roi Christian est venu avec son armée, a pris l’Arche à Axoum et l’a placé dans l’église de Sainte-Marie de Sion où cela n’a pas changé depuis.
Fait intéressant, l’Arche est l’objet de culte chrétien d’ Ethiopie le plus vénéré, chacune des 20, 000 églises d’Ethiopie contient une réplique de l’Arche d’Alliance. Le Mystère de l’Arche d’Alliance sera finalement révélé et on a donc commencé le compte à rebours du jour et de l’heure de cette révélation du grand mystère de l’arche sacrée du Pacte . Dans plus de 200 références de l’Ancien Testament,on décrit en détail les incroyables pouvoirs légendaires de l’Arche, capable, entre autres, de libérer des éclats de lumière divine dont les rayons peuvent brûler une personne physiquement. Selon la tradition juive, il y a les tables la loi, c’est à dire les Dix Commandements et dont les matériaux peuvent être trouvés parmi les bois d’acacia. Pour que Moïse conduise le peuple vers la liberté, l’Arche d’Alliance qui contenait les Tables de la Loi,en dehors est décoré avec de l’or et était en possession du peuple juif depuis longtemps.Les Tables l’accompagnèrent sur ses expériences passées, ses batailles et de nombreuses luttes contre les Philistins et elles furent détenues dans divers endroits jusqu’à ce que le roi David a pensé les mettre dans la sécurité de Jerusalem. Mais l’Arche passa à Salomon, fils et successeur de David , qui, finalement plaça l’Arche dans le Temple de Jérusalem, qu’il avait construit. Cette histoire est étroitement liée à d’autres événements historiques et religieux. En fait, l’Arche a disparue en 586 avant JC ,lors de la conquête de Jérusalem par les Babyloniens et la destruction ultérieure du Temple, à Jérusalem.
Pendant le règne de Salomon, Jérusalem devint le centre de la vie politique et religieuse de la terre sainte. Au coeur du Temple de Jérusalem construit par Salomon, à Alvergue, l’Arche de l’Alliance. L’Arche est restée dans le temple jusqu’à ce que quelque temps après 900 avant JC quand mystérieusement elle a disparu et a résisté aux recherches. Depuis beaucoup de gens ont parlé d’elle qui n’a pas été faite dans la Bible…,mais dans les Cieux. Inexplicablement l’Arche a disparu et plus de 2000 années de recherches et de navigation , des dizaines d’écrits ,de légendes et de théories sur la photo de l’Arche Perdue.L’ Arche de la recherche pour les Templiers: il y a presque 1000 ans, les croisades chrétiennes avaient repris le contrôle de Jérusalem aux mains des musulmans qui avaient gouverné la ville depuis le septième siècle.En 1119 AD, un groupe composé de neuf nobles français, qui s’appelaient eux-mêmes les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon, vint à Jérusalem. Ils s’installèrent sur la montagne, où se dressait autrefois le temple de Salomon. Les Chevaliers ont fait valoir que leur mission en Terre Sainte a été maintenue libre de bandits sur la route de Jérusalem. Cependant, nul n’a jamais quitté le temple de la montagne et la place-forte. Ils ont commencé à creuser. Le travail se fit à l’extérieur de la mosquée:ils ont commencé à creuser la caverne naturelle située sous la pierre sacrée. La grotte, selon la tradition islamique, connue comme le « Puits des Âmes », un passage menant aux entrailles de la terre et menant à un trésor gardé par des démons; fait ce chevaliers voulaient était l’Arche de Alliance. Mais jamais trouvé. Plus récemment, les archéologues israéliens ont découvert le tunnel, ils ont creusé les chevaliers du temple de montagne. Le tunnel passe sous la montagne, mais en raison de restrictions imposées par le gouvernement musulman, n’a jamais été explorée. En 1989, un journaliste britannique a fait une déclaration qui a choqué le monde. La légendaire Arche perdue n’a pas été effectivement perdue, mais gardée en toute sécurité, cachée dans une église en Ethiopie, où elle avait été secrètement déplacée, il y a plus de 1000 ans. Maintenant, nous commençons à recevoir des nouvelles de l’existence de l’Arche en Ethiopie.
Conclusion
Prochainement,devant l’authenticité confirmée des Reliques, tout nous laisse croire que nous pourrions attendre une réponse de la part des différentes communautés religieuses qui ont été impliqués dans la recherche…ou la sécurité de l’arche sainte dans le passé. Peut-être, nous devrions évaluer les avantages et les inconvénients de dire la vérité, il peut être préférable de laisser en paix , le mystère entourant l’Arche d’Alliance et surtout si les énigmes ne sont toujours pas divulgués.
Car même si nous vivons dans un monde matérialiste,il est important de se souvenir de l’avertissement inscrit dans l’Ancien Testament …concernant l’Arbre de la Science ,du Bien et du Mal…Il y a une Bonne Science et une Mauvaise Science …dépendant de la conscience et de l’interprétation des Humains qui entrent en contact avec elle,cette Science!C’est comme une arme quelconque:aucune arme n’a jamais tuée aucun humain,c’est l’homme qui prend l’arme qui est responsable de ses actes.
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Mais dans la vision du réalisme fantastique …qu’est-ce que serait l’Arche d’Alliance:
Une machine qui permet à Moïse de parler avec Dieu et qui pourrait être utilisé comme une arme et beaucoup d’autres choses. Lorsque l’on regarde la description de l’appareil à partir d’un point de vue purement ingénierie :ce dispositif pourrait bien avoir été un certain type de super ordinateur (principalement la machine ultime ).
Le dispositif n’était pas seulement un communicateur avec celui qu’on appelle Dieu, mais un certain type d’arme de haute énergie tout aussi bien, avec qui ils ont détruit les ennemis et, par exemple, créé de l’ énergie avec puissance.
Quel que puisse être l’Arche d’Alliance, quand nous commençons à assumer que le dispositif a réellement existé et qu’il il était capable de faire les choses décrites dans la Bible, nous ne pouvons que conclure que c’était une machine, un appareil ou un certain type d’ordinateur donné par une entité très avancé.Il y a de fortes chances que nous soyons,ici, en présence d’une technologie extraterrestre.
Je pense que lorsque nous regardons le passé , les textes et les histoires des temps anciens, il y a beaucoup de descriptions que si on les regarde bien, nous avons l’impression de pointer vers une ancienne connaissance des ordinateurs et machines de pointe qui ne sont pas définie ainsi dans les livres d’histoire..
Outre les faits,les ordinateurs anciens et ces machines technologiquement avancées existaient ,et je suis déconcerté par ceux qui les ont construites. Alors que certaines ont clairement été faite par l’homme d’autres descriptions semblent pointer vers les ordinateurs et les périphériques créés par différentes entités réelles…fort probablement de civilisations plus avancées que la nôtre. Une conclusion très intrigante dont j’espère que nous serons en mesure d’en savoir plus dans les années à venir.
Peut-être que nos machines et nos ordinateurs ne sont pas des inventions modernes, après tout,mais des technologies venues d’ailleurs et re-découvertes de nos jours.
Soyons patients,les dieux ont un oeil sur nous,ils nous observent et vont revenir dans toute leur Gloire!Moi,j’attend le Retour des Dieux!
Les Avions de guerre israéliens ont effectué au moins sept raids aériens sur différentes zones de la bande de Gaza assiégée, tirant près de 18 roquettes, rapporte Press TV.
Les raids ont eu lieu « juste après minuit, » résultant « de la blessure d’au moins trois personnes, »selon ce qu’ un correspondant de Press TV a rapporté de l’enclave côtière.
« Plusieurs des domaines comme les terres agricoles, les terres agricoles, les usines et quelques magasins ont également été touchés. Aussi un lieu près de Gaza centrale solaire a été frappé, « notre journaliste ajouté.
«Les gens ici se préparent à quelque chose de lourd à se produire dans la prochaine heure ou deux en raison de l’important volume de roquettes qui ont été tirés dans les 15 à 20 minutes, » at-il dit.
Tel Aviv a récemment intensifié ses attaques sur le territoire, tuant et blessant de nombreux Palestiniens.
Selon des témoins,c’est le 26 Mars 2014 que les forces israéliennes ont tiré sur les bateaux près de la ville de Rafah, située à 30 kilomètres (19 miles) au sud de la ville de Gaza, blessant quatre pêcheurs.
Gaza a été bloqué depuis Juin 2007, une situation qui a provoqué une baisse du niveau de vie, les niveaux de chômage sans précédent, et la pauvreté implacable.
Le régime d’apartheid d’Israël nie environ 1,7 millions de personnes dans la bande de Gaza de leurs droits fondamentaux, comme la liberté de mouvement, des emplois qui paient des salaires corrects, les soins de santé et une éducation adéquate.
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