Los Angeles, en Californie, s’est jointe au cortège de plaignants poursuivant Bayer, tenant l’entreprise allemande responsable d’une contamination environnementale importante causée par des produits chimiques toxiques vendus par sa filiale américaine Monsanto il y a plusieurs décennies.
Prétendant que Monsanto a caché qu’il savait que les polychlorobiphényles (PCB) qu’il a fabriqués pendant 42 ans étaient nocifs, le comté de Los Angeles exige que la société paie pour les dommages que ces produits ont causés à l’environnement. La municipalité a dépensé une fortune pour l’assainissement, y compris la modernisation des réseaux d’eaux pluviales, dans le but de prévenir d’autres dommages.
La contamination par les PCB est «un gros problème dans notre comté. C’est un coût global important pour nettoyer tout cela», a déclaré Scott Kuhn, un avocat travaillant pour le comté, ajoutant que les dommages compensatoires et punitifs pourraient se chiffrer en centaines de millions de dollars.
Monsanto a cessé de fabriquer des PCB en 1977, officiellement parce qu’ils n’étaient pas «facilement biodégradables». Ces substances ont été interdites par les États-Unis en 1979 et ont été causalement liées au cancer, aux dommages au système reproductif et immunitaire et à d’autres problèmes de santé. Ils étaient autrefois utilisés dans l’isolation électrique et l’ignifugation, ainsi que dans la finition des planchers, la peinture et d’autres matériaux de construction.
Les communications internes, cependant, suggèrent que Monsanto était au courant des dangers des PCB pendant des années avant qu’ils ne cessent de les fabriquer et de les vendre. L’entreprise discutait à l’interne de sa responsabilité légale potentielle et mettait en garde contre le fait que des «poursuites directes étaient possibles» même si elle déclarait publiquement que les BPC n’étaient pas «hautement toxiques» dans ses communications avec les organismes de réglementation américains.
Après avoir acheté Monsanto l’an dernier pour 63 milliards de dollars, la société allemande Bayer s’est retrouvée à payer le prix fort pour les méfaits passés de l’entreprise à la suite de trois victoires en cour de victimes du cancer qui affirment que leur lymphome non hodgkinien a été causé par une exposition d’herbicide Roundup.
Plus tôt ce mois-ci, un jury a accordé à un couple californien des dommages-intérêts punitifs de 2,1 milliards de dollars pour avoir omis d’avertir les clients des risques posés par le glyphosate, l’ingrédient principal de l’herbicide, le plus important règlement à ce jour contre la société. Quelque 13 400 autres poursuites sont actuellement en cours.
Bayer a nié le bien-fondé des revendications de Los Angeles et s’est vanté dans son récent rapport annuel d’avoir des «défenses justifiées» contre les revendications liées aux PCB. Louis, au Missouri, a obtenu un jugement de 46,5 millions de dollars en 2016 et West Anniston, en Alabama, a conclu un règlement de 700 millions de dollars avec la société au sujet de la contamination aux BPC en 2003. Les États de Washington et de l’Ohio ont intenté des poursuites similaires.
(SAN FRANCISCO) — A jury’s $289 million award to a former school groundskeeper who said Monsanto’s Roundup left him dying of cancer will bolster thousands of pending cases and open the door for countless people who blame their suffering on the weed killer, the man’s lawyers said. “I’m glad to be here to be able…
On connaît les ennuis que rencontrent les entreprises et associations qui proposent à la vente des semences anciennes. La récente confirmation, par la Cour européenne de justice, de l’enregistrement obligatoire de toutes les semences au catalogie officiel (qui met l’association Kokopelli dans une situation très délicate) n’en est que la énième preuve.
Mais cela ne suffit pas aux cols blancs qui dirigent l’Union Européenne. Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne (qui n’a été élue par personne, rappelons-le), vise maintenant à rendre illégal le fait de « cultiver, reproduire ou faire commerce » de toute semence de légumes n’ayant pas été « testées, approuvées et acceptées » par la nouvelle paperasserie européenne qui a pour nom « Agence pour l’UE sur la diversité des plantes ».
On l’appelle la « loi sur les matériaux de reproduction des plantes » et son but est de rendre virtuellement responsable le gouvernement de toutes les plantes et semences.
Les jardiniers amateurs qui cultivent leurs propres plantes à partir de semences non-répertoriées seraient considérés comme des criminels en vertu de cette loi.
Ben Gabel, directeur du Catalogue des semences naturelles qui cultive des légumes anciens écrit :
« Cette loi stoppera immédiatement le développement professionnel des variétés de légumes pour les jardiniers amateurs, les producteurs bio, et les petits maraîchers …. Les jardiniers amateurs ont des besoins réellement différents – par exemple ils jardinent manuellement, n’ont pas de machines et ne peuvent ou ne veulent utiliser des pulvérisations chimiques. Il n’y a pas de moyen pour enregistrer les variétés qui conviennent à un usage domestique car elles ne répondent pas à des critères stricts de l’Agence pour la diversité des plantes, qui ne s’occupe que d’approuver le genre de semence utilisé par les agriculteurs industriels. »
Virtuellement toutes les plantes, légumes, graines et jardiniers seront finalement enregistrés par le gouvernement.
En vertu du paragraphe IV de la loi proposée par l’UE sur l’enregistrement des variétés dans des registres nationaux et de l’Union :
Les variétés, dans le but de les rendre disponibles sur le marché à travers l’Union, seront incluses dans un registre national ou dans un registre de l’Union via une procédure d’application directe par le CPVO (Community Plant Variety Office, Bureau de la communauté pour la diversité des plantes).
Les jardiniers doivent aussi payer une redevance à la bureaucratie de l’UE pour l’enregistrement de leurs semences.
D’après le texte de loi proposé, les autorités compétentes et le CPVO prélèveraient une redevance pour le traitement des demandes, l’examen formel et technique comprenant des audits, la dénomination des variétés et la maintenance des variétés pour chaque année pendant la durée de l’enregistrement.
Bien que cette loi ne soit censée viser au début que les jardiniers professionnels, elle constitue un précédent pour poursuivre tôt ou tard les jardiniers amateurs et exiger qu’ils respectent ces mêmes stupides règlements.
Une bureaucratie qui devient folle
Ben Gabel dit « Tout ce que fait cette nouvelle loi est de créer une tonne de fonctionnaires civils dans l’UE payés à déplacer des montagnes de papiers toute la journée, tout en supprimant un approvisionnement en semences aux jardiniers amateurs et en interférant avec les droits des agriculteurs de cultiver ce qu’ils souhaitent. Il est aussi très ennuyeux qu’ils se soient arrogés le pouvoir de réglementer et donner une autorisation dans l’avenir pour toutes les espèces de plantes – pas juste les plantes agricoles, mais les herbes, les tourbes, les fleurs, la totalité – sans avoir à le rapporter au Conseil pour être voté. »
Comme on peut le soupçonner, cette idée est la « solution finale » de Monsanto, DuPont et autres corporations de semenciers qui ont depuis longtemps admis que leur but est de dominer complètement toutes les semences et cultures de la planète. En criminalisant la culture privée de légumes – transformant ainsi les jardiniers en criminels – les bureaucrates de l’UE peuvent enfin céder le total contrôle de l’approvisionnement alimentaire à de puissantes corporations comme Monsanto.
La plupart des semences de variétés anciennes deviendront criminelles
Cela veut dire que le fait de sauvegarder des graines d’une génération pour les ressemer l’année suivante – base d’un mode de vie durable – deviendra un acte criminel. De plus, comme l’explique Gabel, cette loi « tuera efficacement l’utilisation des graines pour les jardins privés de l’UE ».
C’est le souhait ultime de tous les gouvernements, bien sûr : criminaliser toute action en vue d’une autonomie et rendre la population complètement dépendante des monopoles des corporations pour sa survie. C’est vrai aussi bien aux USA que dans l’UE. Voilà ce que font les gouvernements : ils prennent le contrôle, un secteur à la fois, année après année, jusqu’à ce que vous finissiez par vivre en esclave sous un régime dictatorial mondial.
L’Arche de Noé et 240 autres organisations de 40 pays européens ont aussi lancé une pétition pour appeler les bureaucrates de Bruxelles à stopper cette folie. Vous pouvez vous y associer en cliquant sur ce lien
Mike Adams conclut : « Les graines sont sur le point de devenir un produit de contrebande. Quiconque cultive sa propre nourriture est sur le point d’être ciblé comme criminel. Les gouvernements du monde, conspirant avec des corporations comme Monsanto, ne veulent pas qu’un individu soit capable de faire pousser sa propre nourriture. »
« Un éternuement de Sǿren tira Solveig de ses pensées. Elle se baissa pour prendre son fils dans ses bras. Un coup d’œil complice à Sven, qui était en train de l’observer et qui, lui, portait Sofie, suffit à leur faire savoir qu’ils n’allaient pas tarder à se mettre à l’abri dans le proche complexe hôtelier à demi enterré. Surfant la falaise qui surplombait l’océan Arctique de ses trois cents mètres de hauteur et sur laquelle ils se tenaient, le vent polaire de printemps s’immisçait entre les couches de vêtements et risquait de compromettre leurs vacances en les rendant tous les sept malades s’ils tardaient trop. Solveig regarda brièvement autour d’elle les touristes qui se serraient les uns contre les autres, chacun portant ces lunettes bizarres « spécial éclipse ». Ils formaient un groupe compact autour de l’imposant globe terrestre stylisé qui signalait le point nordique extrême des terres continentales européennes. Pour l’occasion, le squelette métallique de six mètres de haut irradiait une lumière bleu violacé, et, devant eux, c’était la mer à perte de vue… En la contemplant, Solveig ne put s’empêcher de penser au Global Seed Vault, ce monumental coffre-fort mondial qui conserve depuis peu des échantillons de toutes les semences et graines répertoriés sur la Terre. Creusée à cent-vingt mètres de profondeur dans le permafrost et protégée par des murs en béton armé d’un mètre d’épaisseur sous la montagne de l’île Spitzberg, cette « chambre forte de l’Apocalypse » – comme l’appellent ses détracteurs qui se demandent bien ce que nous réserve l’avenir -, se trouvait être juste en face d’eux, à huit cents kilomètres au nord dans l’archipel arctique du Svalbard, l’un des endroits les plus isolés du globe.
Sous couvert de « capitalisme philanthropique », les fondations Bill Gates, Ford et Rockefeller, ainsi que les compagnies Monsanto, Syngenta et Dupont de Nemours qui contrôlent déjà à elles seules la moitié du marché mondial de graines naturelles et transgéniques, avaient investi des dizaines de millions de dollars avec l’aval du gouvernement de la Norvège afin de regrouper en un seul lieu la totalité du patrimoine génétique de l’agriculture de la planète. Solveig avait le vertige lorsqu’elle considérait les potentialités de ce fabuleux trésor de plus de trois millions d’espèces différentes de graines, qui se trouvait dorénavant à portée de main des plus grands financiers et chimistes du monde. Y avait-il un but caché dans la construction de cette Arche de Noé végétale encerclée par une demi-douzaine d’antennes satellites géantes ? » à suivre… Seconde 9 – La Norvège – L’ADN
L’abeille:l’insecte le plus important dans la polinisation des plantes sur Terre.
Les apiculteurs américains ont perdu 42% de leurs colonies d’abeilles entre avril 2014 et avril 2015, la seconde plus grande perte sur un an, selon un rapport préliminaire de l’organisme Bee Informed Partnership et du ministère de l’Agriculture.
Ces pertes sont jugées trop fortes pour être surmontées – comme les pertes l’ont été depuis 2006 -, ont indiqué l’organisme et le ministère.
Ce rapport relance l’inquiétude sur la disparition des abeilles aux États-Unis, importants pollinisateurs pour de nombreuses cultures, comme les amandes ou les pommes.
«Des pertes de colonies si importantes durant l’été et toute l’année reste très inquiétantes», a dit Jeff Pettis, entomologiste à la section recherche du ministère de l’Agriculture et co-auteur de l’étude.
«Les chercheurs doivent trouver de meilleures réponses à l’origine des événements qui mènent aux pertes de colonies en hiver comme en été», a-t-il ajouté.
La mortalité importante des abeilles ces dernières années reste à ce stade inexpliquée.
Les mites, parasites, maladies, pesticides et autre pollution ont tous été montrés du doigt pour tenter d’apporter une réponse au phénomène appelé «colony collapse disorder», soit l’effondrement des colonies.
Egalement confrontée à une forte mortalité des abeilles depuis plusieurs années, l’Union Européenne a interdit trois grandes classes de pesticides néonicotinoïdes, accusés de décimer les colonies d’abeilles. Mais leur utilisation reste autorisée aux États-Unis.
«Ces chiffres terribles ajoutent (…) aux pertes des dernières années qui menacent notre équilibre alimentaire», a ajouté Tiffany Finck-Haynes, militante chez Friends of the Earth (Amis de la terre).
«La science est claire. Nous devons agir maintenant pour protéger ces pollinisateurs essentiels contre les pesticides» qui les menacent.
La Maison-Blanche devrait rendre public prochainement un nouveau plan de protection des abeilles.
En juin 2014, le président Barack Obama avait déjà appelé à la mise en place d’une stratégie au niveau fédéral pour leur protection.
En avril, l’Agence de protection de l’environnement a lancé un moratoire sur l’utilisation des pesticides néonicotinoïdes jusqu’à l’évaluation complète des risques.
Le rapport préliminaire sur les pertes de colonies d’abeilles a été rendu public mercredi, mais les responsables ont fait savoir que les chiffres pourraient évoluer et seront publiés dans un rapport définitif qui devrait paraître en fin d’année.
En 2012-2013, les États-Unis avaient connu leur pire épisode avec 45% des colonies d’abeilles qui avaient disparu.
LE GRAND COUPABLE
Monsanto,je ne répéterai jamais assez.Il faut abattre ce fossoyeur de Vie et ce créateur de Mauvaises Vies dont l’un des buts recherchés est le profit capitaliste.Monsanto est à la solde des Illuminati et du Nouvel Ordre Mondial et fait partie de la Solution Finale des Illuminati,telle que dévoilée dans la Georgia Guidestone.
LES PREUVES
Au Québec,un étudiant de l’Université Laval a toutefois jeté un pavé dans la mare le 29 mai 2013, en dévoilant des données très concrètes.
Dans la région de Saint-Hyacinthe, en période de semis, il a retrouvé trois fois plus d’abeilles mortes à proximité des champs où des semences enrobées sont utilisées. Et près de 25 % d’entre elles contenaient une dose mortelle de néonicotinoïdes. « Les néonicotinoïdes sont employés dans l’enrobage de semences de maïs et de certaines semences de soya. Avec un semoir pneumatique, la poussière d’insecticide se diffuse dans l’environnement.
Mais il y a plus que ça, car il s’agit d’un insecticide systémique. C’est-à-dire que le composé se répand dans toute la plante, son pollen et le nectar. Il se retrouve aussi dans l’eau », expose Olivier Samson-Robert, candidat à la maîtrise à l’Université Laval.
Une autre donnée qui fait sursauter concerne la présence de l’insecticide dans l’eau des champs.
De fait, l’abeille s’abreuve aux flaques d’eau et Olivier Samson-Robert a jugé pertinent de recueillir des échantillons dans les surfaces d’eau de certains champs. Toutes les zones échantillonnées en 2012 contenaient des néonicotinoïdes!
Et les concentrations étaient énormes : entre 32 et 186 fois supérieures à la dose mortelle pour une abeille. « Les abeilles qui ont bu dans les surfaces d’eau de ces champs ont inévitablement connu la mort », attestait-il. Des échantillons d’eau collectés récemment seront analysés sous peu, mais les résultats de 2012 inquiètent. « Je ne veux pas paraître alarmiste ou conspirateur, mais à 186 fois les doses létales pour une abeille, il y a lieu de se questionner sur les dangers pour l’humain.
Est-ce qu’une personne qui habite en bordure d’un champ peut être affectée par ces poussières d’insecticide? Est-ce que l’eau de son puits de surface pourrait en être contaminée, même à faible dose? » s’interroge l’étudiant.
Voici un lien de Santé Canada qui donnent plusieurs conseils afin de réduire le risque des semences traitées pour les insectes pollinisateurs : hc-sc.gc.ca
…et si les abeilles disparaissent ,l’humanité n’en aurait que pour 4 ans à vivre!
Sans abeilles pour les poliniser,de nombreuses variétés de fruits et de légumes verraient leur rendement diminuer fortement.Une étude experte a évalué que les fraises,par exemple,ne pourraient produire que 12 % du volume actuel.L’oignon ne pourrait fournir que 35 % du volume de production actuel.
Tout d’abord,une vaste partie de l’alimentation humaine dépend de céréales (maïs,blé,riz,orge,etc) qui sont polinisé par le vent,mais… sur 1,330 espèces de plantes utilisées par l’homme,plus de 75 % ont besoin d’un polinisateur pour produire :depuis les fruitiers ligneux (cerisiers,pommiers,etc) et les fruitiers à petits fruits (framboises,mures,bleuets,etc) jusqu’aux cultures maraichères (courges,melons,etc).
Dans une série de titres qui passeraient comme presque incroyables ,il y a plusieurs années, la majorité des économistes tirent la sonnette d’alarme sur le déclin financier des deux géant de la restauration rapide McDonald et de biotechnologie Monsanto ,le mastodonte.
…en chute libre!
CNN avait demandé : «Est-ce que McDonald est condamné? Business Insider lui déclare que «McDonald perd l’ Amérique» que la société se tire elle-même de son propre chef de la bonne direction. Ce qui se passe? Comme il s’avère, le monde commence à se demander ce qu’ils sont vraiment manger dans leur nourriture – et le nouveau conglomérat des épiceries naturelles et restaurants sont des pionniers du chemin dans un tout nouvel environnement économique. En d’autres termes: les gens sont tout simplement fatigués de pelleter des ordures dans leur corps, et ils ne vont pas en mettre plus.
Voici quelques-uns des ingrédientsque vous pouvez trouver dans de nombreux repas de restauration rapide:
– Diméthylpolysiloxane – Un produit chimique connu pour son utilisation dans les implants mammaires en silicone, pâte à modeler, et aussi … nuggets de poulet .
– Propylène glycol – Un produit chimique laxatif et de remplissage de cigarette électronique que même les entreprises de e-cigarettes commencent à éliminer .
– Azodicarbonamide – Un produit chimique utilisé dans la création d’articles en plastique mousse… comme les tapis de yoga .
Alors êtes-vous surpris de constater que beaucoup se détournent des dirigeants de restauration rapide comme McDonald?
Les nations à travers le monde sont déjà conscientent et rejettent l’ensemble des ingrédients artificiels inclus dans de nombreuses options discontinuées de repas McDonald. Retour en 2013, leurs tentatives d’élargir leurs opérations en Bolivie ont été complètement fermés par la réalité que les citoyens boliviens ne étaient pas prêts à acheter leurs créations de restauration rapide. Comme rapporté de retour en Juillet 2013:
«Les restaurants McDonald exploités en Bolivie depuis 14 ans, selon les médias hispaniques. En 2002, ils ont dû fermer leurs 8 derniers magasins restants parce qu’ils ne pouvaient tout simplement pas faire un profit et si vous connaissez les entreprises de restauration rapide, vous savez ce n’ est pas parce qu’ils n’ont pas essayé.
« The Golden Arches »ont perdues beaucoup d’argent dans le marketing et les campagnes pour essayer d’attirer les Boliviens sur leurs aliments fast foods- en essayant de les attirer à leurs frites et des hamburgers français, mais ça l’a échoué.
Et ils sont absolument encore à essayer de devenir «pertinent» à nouveau aux États-Unis, comme des géants alimentaires naturels comme Whole Foods sont en mesure d’offrir un pot-pourri d’options à base organique pour le même prix d’un Happy Meal avec des frites supplémentaires. Même CNN Money admet que la connaissance du public sur l’expansion de ses options de repas, McDonald se bat pour rester pertinent. Paul R. La Monica,faisant des rapports pour la colonne CNN Money, écrit:
»Est-ce que les clients de McDonald ne sont plus heureux comme ils ont l’habitude d’être? Le géant de la restauration rapide semble définitivement inquiet.
McDonald (MCD) a rapporté des résultats trimestriels en demi-teinte la semaine dernière. Et les dirigeants d’entreprise ont utilisé les mots «pertinence», «pertinents» et «pertinence» …encore,en un combiné de 20 fois au cours de sa conférence téléphonique avec les analystes. Traduction: les dirigeants des Golden Arches sont très préoccupés de savoir si la société est toujours d’actualité.
Si vous regardez les taux attendus de croissance pour les plus grands rivaux de burger de McDonald’- ainsi que des parvenus dans l’industrie dite de fast food – je ferais la grimace trop. »
Du Super Bowl aux campagnes de méga marketing, McDonald est à pelleter son argent dans leur machine de relations publiques – quelque chose qu’ils ont en commun avec le géant des OGM ,Monsanto . Une autre entreprise qui fait face à une perte financière au milieu sensibilisation accrue et les questions internationales d’importation. Comme l’Associated Press l’article Monsanto perd 156 millions de dollars pour l’exercice financier du quatrième trimestre », explique-t-il, la multinationale est entré dans une période de perte très unique qui énonce beaucoup de choses sur l’avenir de sa technologie basée sur les OGM:
« Monsanto Co. a rapporté mercredi une perte de 156 millions de dollars dans son quatrième trimestre fiscal.
La société basée à Saint-Louis dit qu’elle avait encaissé une perte de 31 cents par action. Des pertes, qui ajustées à des coûts non récurrents, sont venu à 27 cents par action.
Les résultats ont manqué les attentes de Wall Street. L’estimation moyenne des analystes interrogés par Zacks Investment Research était d’une perte de 24 cents par action « .
Les nouvelles viennent que Monsanto continue à dépenser des millions dans les tentatives d’arrêter les campagnes d’étiquetage des OGM autour de la nation, le financement des groupes d’opposition et s’assurer que vous ne savez pas ce qui est dans votre nourriture. Après tout, il y a une raison pour laquelle 96% des actionnaires de Monsanto ne veulent absolument pas la législation en matière d’étiquetage des OGM de passer aux États-Unis – il pourrait nuire aux affaires.
Comme l’information continue de se propager sur des questions clés comme la prévalence de substances toxiques dans les repas de restauration rapide et de la réalité des OGM et leur secret, il ne fait aucun doute que ces deux sociétés (et beaucoup d’autres) connaîtront le contrecoup économique. Vont-ils changer afin de répondre à la nouvelle pĥilosophie économique?
Les mercenaires de Boko Haram aux services du capitalisme d’affaires.
La résurgence de Boko Haram au Nigeria après la mort du fondateur de cette organisation au départ fondamentalement islamiste serait l’œuvre de 2 grosses fortunes américaines : Bill Gates et Hugh Grant PDG de la Monsanto Company.
En effet ces 2 milliardaires américains ont été identifiés par le « Global Alliance Prolife » (GPA) en tant sponsor étranger de l’insurrection de Boko Haram.
Global alliance Prolife a révélé que le nom de Boko Haram originel a été utilisé comme couverture dans des attaques terroristes. Selon GPA les vrais coupables étaient des assassins et des mercenaires embauchés par « Blackwater » ou « Xe-Service » appelé aujourd’hui « Academy », une armée privée propriété de Bill Gates et Monsanto Company. Toujours selon Global Alliance Prolife, en 2009 après la mort du fondateur de Boko Haram (en tant secte purement islamiste opposée à la culture occidentale) Mohamed Yusuf, « Blackwater » a commencé le recrutement d’anciens enfants soldats sierra lionais et libériens de la rébellion de Charles Taylor et les a formé à Ouagadougou au Burkina Faso en dépit de l’éviction de « Blackwater » du Liberia par la présidente Ellen Johnson Sirleaf. Par la suite ces enfants soldats libériens et sierra lionais ont été amenés au Nigéria et présentés comme des employés de l’ECOMOG (The Economic Community of West African States Monitoring Group ou Groupe de Surveillance de la Communauté des Etas de l’Afrique de l’Ouest) pour officiellement combattre la secte islamiste Boko Haram. Mais en réalité, la mission de ces mercenaires libériens introduis au Nigéria par Bill Gates et Monsanto Company était de déplacer les agriculteurs locaux du Nord Est du pays ; de créer une chute de la production agricole et obliger le gouvernement fédéral à adopter les grandes exploitations des deux géants américains spécialisés dans l’agrobusiness génétiquement modifiée pour nourrir la population. Les aliments de base locales, tels le riz, le sorgho ; le millet ou le manioc serait ainsi remplacés par des variantes génétiquement modifiées de Gates et Monsanto leur cédant ainsi efficacement la sécurité alimentaire pour plus de 170 millions de nigérians. Selon l’AGP, « le volume de production des ces OGMs serait alors vendue à des prix inférieurs à celui de la nourriture cultivée biologiquement ou naturellement partout ailleurs au Nigeria, détruirait le marché des aliments biologiques traditionnels, faisant des cultures des industries agroalimentaires Gates/Monsanto dominants de l’alimentation au Nigeria. Le président de GPA, le Dr Philip Njemanze a également tiré la sonnette d’alarme sur les moyens de hautes technologies utilisées par bill Gates dans l’exécution du plan terrorisme. Selon lui ; la récente entrevue du maniaque de la micro-informatique dans le quotidien ‘’Daily trust’’ dans laquelle il a déclaré que « sa fondation effectuait de la télédétection dans les Etas du Nord Est du Nigéria fief de Boko Haram pour étudier les schémas de migration des personnes » signifiait que des images satellitaires contre la loi nigériane ont été utilisée par l’espionnage pour identifier les installations militaires nigérianes comment s’en échapper et les attaquer en état d’urgence. Le Dr Njemanze a par ailleurs dénoncé les téléphones portables distribués aux agriculteurs locaux par Bill Gates via le ministère nigérian de l’agriculture pour accorder à ces derniers des agro-crédits pour les engrais et les cultures OGM. Décrivant ces dons comme des « portes feuilles de la morts » faits et acceptés dans le mépris total de la preuve fournie par le Ministère américain de l’agriculture (USDA) que les OGM ne peuvent augmenter les rendements des cultures, sinon diminuer la production agricole globale , endommager les terres fertiles , le président de GPA soutient que les OGM constituent des risques sanitaires dangereux encore méconnus incluant des cancers et autres maladies débilitantes. Toujours selon le Dr Njemanze, grâce aux GPS des téléphones cellulaires distribués aux populations rurales du nord du Nigéria , la position de chaque agriculteurs serait connue des terroristes à la solde des multinationales agroalimentaires américaines qui utilisent des images satellitaires pour connaître l’emplacement de la JTF ( Joint Task Force) et les téléphones portables pour traquer les agriculteurs nigérians.
Des aviculteurs américains utilisent cette mousse pendant plus de 15 minutes pour étouffer les poulets. Il s’agit d’une « invention américaine » par Kifco, un fabricant d’équipement d’irrigation dans l’Illinois. Notez les humains dans des costumes blancs debout dans les fenêtres:on dirait des employés de Monsanto. Il s’agit d’une ferme « libre parcours », parce qu’ils ne sont pas dans des cages individuelles, de sorte que la FDA permet l’emballage de leur chair morte pour être vendu comme «libre». Les poulets heureux de mourir pour l’agriculture humaine – tous est fait pour que l’on peut se sentir bien dans nos achats d’animaux emballés.
Le chasseur devient le chassé : un insecte évolue pour manger du maïs OGM empoisonné
Au fil des années, un insecte nuisible a réussi à développer une résistance à la toxicité d’une certaine variété de maïs OGM.
Aujourd’hui, les champs sont à nouveau ravagés. Voici la preuve que la nature est capable d’évoluer pour survivre ! Bien que nous comprenons que cela puisse causer des problèmes vis-à-vis de la nourriture, nous sommes heureux de voir que la vie triomphe après tout.
Lorsque le maïs Bt a été conçu pour la première fois, il a été annoncé comme étant l’arme parfaite pour lutter contre le plus grand fléau dévoreur de maïs : la chrysomèle des racines du maïs.
En 1996, quand cette variété génétiquement modifiée a été plantée, les populations de ces insectes invasifs ont massivement diminué, ce qui a permis aux agriculteurs d’économiser des milliards de dollars.
Pourtant, les années passant, des chercheurs ont exprimé leurs inquiétudes quant au fait que la chrysomèle pouvait devenir résistante au maïs Bt. Les fermiers n’ont pas écouté ces avertissements et aujourd’hui, l’animal dévaste les cultures à nouveau.
Le maïs Bt représente 75 % de la production de maïs aux Etats-Unis. Très efficace il y a 15 ans, il est censé tuer les chrysomèles grâce à une protéine qui cible les intestins de l’animal. Cette substance nommée endotoxine Bt Delta détruit les parois intestinales de l’insecte et laisse ainsi un passage aux bactéries qui y vivent.
Elles se répandent alors dans tout le corps et causent une infection létale. Selon une étude publiée dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, certaines chrysomèles supportent très bien cette protéine.
un insecte très social.
L’étude explique que la résistance à la toxine a commencé à se développer car certaines plantes produisent de plus faibles quantités de poison. Les doses réduites continuaient à tuer une partie des insectes, mais les plus résistants ont survécu, se sont reproduits et ont enfanté des générations d’individus résistants également. Avec le temps, ne sont restées que les chrysomèles les plus fortes.
Cela n’aurait pas dû être un problème si sérieux car les agriculteurs ont pour obligation de conserver des zones appelées « refuges », dans lesquelles ils font pousser du maïs classique. Ces lieux sont essentiels car ils abritent des insectes toujours vulnérables aux toxines Bt.
Lorsque ces populations s’accouplent avec les individus immunisés, cela diminue la résistance de leur progéniture. Pourtant, de nombreux fermiers ont abandonné l’idée de créer des zones « refuges » du fait de leurs trop faibles revenus. Les compagnies qui achètent le maïs ne font pas évoluer les choses non plus.
Bien que les chrysomèles résistantes se retrouvent toujours en plus grand nombre, le maïs Bt va rester la norme, car il continue d’être efficace contre d’autres types d’insectes.
Champ de maïs BT…une monstruosité qui nous vient de Monsanto.
Cela va obliger les agriculteurs à utiliser plus de pesticides, avec les conséquences sur l’écologie et notre organisme que nous connaissons. Enfin, le recours à l’utilisation d’insecticides augmente les coûts d’entretien des cultures, donc les prix du produit final.
Cette espèce d’insecte résistant aux maïs génétiquement modifiés nous prouve que nous ne réglerons pas les problèmes à coup de pesticides et autres produits chimiques.
L’homme a effectivement besoin de produire sa nourriture, mais nous devons maintenant trouver d’autres solutions plus subtiles pour y parvenir. Pensez-vous que nous arriverons un jour à mettre au point une agriculture en harmonie avec la nature ?
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