Dictature néolibérale du Canada:Maxime Bernier arrêté et accusé au Manitoba

Maxime Bernier a été arrêté vendredi après-midi alors qu’il allait prendre la parole lors d’un rassemblement illégal contre le confinement près du village de Saint-Pierre-Jolys, au Manitoba. Le chef du Parti populaire du Canada (PPC) fait face à diverses accusations pour avoir brisé la loi et devra se présenter en cour.

Le PPC avance, dans un message transmis à sa base, qu’«il est possible que Maxime soit en prison pendant plusieurs jours». «Maxime savait qu’en allant au Manitoba, il se heurtait au despote provincial Brian Pallister, et que cette arrestation était une possibilité réelle», est-il écrit.

 

Le porte-parole du PPC, Martin Masse, a déclaré via le communiqué: « Il ne s’agit plus de la COVID. C’est de la répression politique. C’est le genre de choses que font les pays comme la Chine et la Russie. M. Bernier a été arrêté pour s’être opposé aux mesures de confinement injustifiées et non scientifiques imposées aux Canadiens par nos gouvernements fédéraux et provinciaux incompétents depuis plus de 15 mois».

Dans une vidéo diffusée sur son compte Twitter, M. Bernier est vu en train de se faire passer les menottes aux poignets alors que le conducteur du véhicule filme la scène sur un téléphone intelligent. Il ne résiste pas à l’arrestation. Lorsque le policier lui demande s’il a quelque chose de dangereux sur lui, l’homme de 58 ans répond qu’il n’a «que des mots» et que sa «philosophie».

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) du Manitoba a confirmé son arrestation par courriel peu avant 16 h, suivie du ministère de la Justice manitobaine vers 17 h.

«M. Bernier était au courant des ordonnances sanitaires et avait déjà reçu une contravention. Le fait de continuer à enfreindre les ordonnances de santé publique en vigueur au Manitoba a mené à son arrestation», a déclaré une porte-parole du corps policier, ajoutant qu’«il sera conduit devant un magistrat.

En plus d’avoir contrevenu à la Loi sur la santé en organisant un rassemblement et en refusant la quarantaine obligatoire dans la province, M. Bernier a été arrêté «pour prévenir d’autres infractions liées à la présence, à la participation et à l’organisation de rassemblements publics dans toute la province», a relaté une porte-parole du ministère de la Justice du Manitoba.

«Tous les événements précédents font toujours l’objet d’une enquête et on s’attend à ce que d’autres accusations soient portées», a-t-on fait savoir.

 

C’était la deuxième présence publique de M. Bernier de la journée. Il avait tenu un rassemblement plus tôt à Niverville, non loin de Saint-Pierre-Jolys. M. Bernier a publié une vidéo peu après 14 h dans laquelle un agent de police lui remet une contravention de 1296 $ et le prévient qu’il pourrait se faire arrêter s’il «continue avec de nouvelles actions» du genre.

M.Maxime Bernier a estimé qu’il était dans son droit en s’appuyant sur l’article 2(c) de la Charte des droits et libertés, qui garantit le droit de réunion pacifique.

Maxime Bernier est présentement en tournée à travers le Manitoba. L’événement a été baptisé «Mad Max au Manitoba».

Le leader du PPC collectionne les contraventions depuis quelques mois. Cette dernière est au mois la cinquième qu’il a reçue relativement à des manifestations contre le confinement.

Si jusqu’à présent vous étiez assez naïf pour croire que le Canada  était encore l’une des rares démocraties survivantes dans le monde,alors  aujourd’hui,vous n’avez plus aucune raison d’y croire!

Exprimer sa véritable opinion au Canada,comme au Québec,est devenu un acte criminel…et comme nous sommes administrés par des sociétés secrètes et le crime organisé,le meilleur endroit  a être dans ce cas est en prison,si l’on est un honnête homme…comme Maxime Bernier!

En passant,votre humbe serviteur qui vous livre cet article aujourd’hui,est l’un des membres fondateurs du Parti Populaire du Canada…pour qui je vous invite à voter…s’il y aura des élections…encore dans ce pays!


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Sur ce lien: Vintage par Michel

 

 

 

 

 

 

Politique canadienne:Accusation d’accointance avec le « nazisme » : Maxime Bernier refuse de se soumettre au B’nai Brith

Maxime Bernier,chef du Parti Populaire du Canada

Selon B’nai Brith:

Le gouvernement canadien est un cartel de la «mafia».

Une administration américaine antérieure s’est livrée à la «torture» et au «terrorisme d’État», et l’ancien Président Barack Obama était «sur la voie du fascisme».

Les membres des médias sont des «parasites».

Ce ne sont là que quelques exemples de déclarations publiques illustrant la vision du monde conspiratrice de Martin Massé, porte-parole clé du Parti populaire du Canada et ami et conseiller de longue date de son dirigeant, Maxime Bernier.

Une enquête indépendante menée par B’nai Brith Canada a révélé que Masse avait soit fait, soit soutenu toute une série de déclarations susceptibles de fomenter l’antisémitisme, la misogynie et le racisme. La majorité d’entre eux sont issus de son époque en tant que propriétaire et éditeur de Québécois Libre, un journal de presse libertaire en ligne qui contenait plusieurs articles péjoratifs et erronés. Il a fermé en 2016.

Dans un article, un contributeur affirme que l’Occident est à blâmer pour le terrorisme, écrivant que les attentats-suicide islamistes «ne sont pas une conséquence de l’extrémisme religieux» mais une «réponse à l’extrémisme politique – à savoir l’agression et l’interventionnisme occidentaux».

Dans d’autres articles, des chroniqueurs suggèrent qu’Abraham Lincoln était «un criminel de guerre et le pire président de tous les temps des États-Unis», qui n’avait pas pour objectif de supprimer l’esclavage et que l’Afrique avait une responsabilité égale dans le commerce des esclaves occidentaux. 

Massé a également publié un article qui discrédite les groupes LGBTQ comme voulant établir «leur propre tyrannie».

Dans plusieurs articles, Masse défend personnellement les ex-politiciens européens Jörg Haider, qui a fait l’éloge des criminels de guerre nazis et a souvent banalisé l’Holocauste, et Jean-Marie Le Pen, un négationniste invétéré qui a endossé plusieurs tropes antisémites, en affirmant que l’ancien président français Jacques Chirac était «contrôlé par des organisations juives, notamment le tristement célèbre B’nai Brith».

De même, Massé a qualifié B’nai Brith et d’autres groupes juifs au Canada de «barons ethniques» et a décrié les «médias pro-israéliens». Il a qualifié le sionisme de «simplement une justification supplémentaire de l’assassinat et du déplacement de Palestiniens», se moquant ainsi de lois égalitaires favorisant les «féministes-fascistes», et a laissé entendre qu’Israël et les États-Unis sont en partie responsables attentats terroristes contre eux, tout en qualifiant ce dernier un «Etat policier».

En tant que membre du PPC, Massé a signé un «engagement sans embarras» déclarant qu’il n’a jamais rien fait de mal à son parti.

Cependant, lorsque B’nai Brith a approché Bernier au sujet des déclarations embarrassantes de Massé, ce dernier a répondu que rien dans son long dossier ne décrivait les vues de Massé comme étant «racistes» ou «antisémites».

Bernier a également refusé la demande de B’nai Brith de renvoyer Massé de son parti.

> La suite sur B’nai Brith Canada.