Vidéo:L’origine de l’homme selon les sumériens,par Peter Moore

NIBIRU et
L’origine de l’homme selon les Sumériens et les Annunakis (Zecharia Sitchin)

La Genèse selon les Sumériens est mal traduite dans la Bible. De toute évidence, ce ne sont pas des « erreurs » mais des manipulations. Est-ce que ça signifie que Dieu n’existe pas ou que toute la Bible est mensonge? Bien sûr que non. Mais ça signifie que certains aspects ont été honteusement falsifiés à des fins de domination politique. Il est donc impératif de ne SURTOUT pas prendre la Bible mot-pour-mot et de débattre de différents aspects. Mieux encore, il faudrait retraduire les tablettes sumériennes, mais une traduction conforme à la réalité cette fois-ci.

Malheureusement, la manipulation va encore plus loin lorsqu’on réalise que Jésus était un être de lumière à la vie éternelle sans peur, ni haine …

mais que l’image de Jésus que la haute hiérarchie chrétienne a rendue la plus populaire au monde est celle de Jésus, mort, crucifié, éteint, en sang, torturé. C’est le contraire de ce qu’il a toujours été et de ce qu’il représente.

Mais le message est clair. Vous voulez questionner la hiérarchie inéquitable et archaïque existante? Vous allez mourir comme Jésus par la torture. Et, comme NOUS, les oligarques sommes plus forts que Dieu lui-même, Jésus est mort et nous avons continué de contrôler les moutons que vous êtes. Nous pouvons tuer le fils de Dieu, sans aucune conséquence. Et, au pire, au jour du jugement, nous demanderons pardon. Dieu pardonne toujours à tous. 🙂

« Vous préférez mourir debout que vivre à genou? Et on bien on se chargera de vous tuer comme on a fait si facilement avec le fils de Dieu. »

Est-ce que ça peut être plus clair que ça?

Ne vous demandez plus pourquoi vous n’avez pas les couilles de vous révolter. En vous a endoctriné depuis la naissance à avoir peur des Oligarques et de la torture qu’ils vous réservent si vous osez.

:'(
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Ceci dit. Je vous propose de me suivre dans ce voyage fantastique au cœur de nos origines et de la civilisation sumérienne.

Survivrons-nous…comme peuple et comme espèce…?,par Roméo Bouchard

Survivrons-nous…comme peuple et comme espèce…?

 

Roméo Bouchard
Roméo Bouchard

Un ami m’écrit: pourquoi continues-tu à intervenir sur facebook si tu crois que nous ne survivrons pas?

Voici ma réponse:

Survivrons-nous comme PEUPLE? C’est de plus en plus problématique. Les Acadiens, les Louisianais, les franco-manitobains ou ontariens en sont la meilleure illustration. L’intégration du Québec comme ethnie et comme province parmi les autres a considérablement progressé depuis les années 60, sans parler de la bilinguisation, du déclin du projet indépendantiste, de l’orientation des jeunes et de nos écoles, de l’évolution de notre immigration. Alexis de Tocqueville (1840) avait d’ailleurs clairement prédit que les Canadiens-français risquaient fort de finir comme les Louisianais: la louisianisation.

Survivrons-nous comme ESPÈCE? Hubert Reeves estime que non: que nous disparaîtrons comme espèce d’ici la fin du siècle possiblement; la vie, elle, survivra sans doute. La plupart des scientifiques, dans la logique des rapports Meadows, estiment que si des virages majeurs pour inverser notre empreinte écologique sur la planète ne sont pas pris d’ici 2050 au plus tard (et dans le contexte politique actuel, dominé par les banquiers et les multinationales, ils ne le seront pas), on peut difficilement concevoir ce qui va arrivera à notre espèce tant les bouleversements sociaux, économiques et écologiques seront drastiques.

Pourquoi continuer à se battre dans ce cas, pour le Québec, pour l’humanité et pour la planète? Parce qu’on n’a pas le choix, parce qu’il faut tenter de minimiser les dégâts, parce qu’il faut nous préparer à faire face au pire, imaginer dès maintenant un autre monde, parce qu’il faut agir au coeur du mécanisme destructeur, la prise de décision, la démocratie: le seul espoir réside dans la reconquête progressive de notre souveraineté, de notre démocratie, dans le contrôle des décisions collectives, la responsabilité collective. Nous ne survivrons pas au libre-échange imposé par et pour les riches. La tâche est énorme car notre civilisation capitaliste nous a réduit au statut de consommateur individualiste.

Mais l’instinct de survie est le plus fort de tous: ce n’est pas rationnel: c’est instinctif. Ne pas chercher à survivre contre tout espoir, c’est être déjà mort. C’est pourquoi, comme le petit colibri qui apportait patiemment ses gouttes d’eau sur le feu de forêt, je fais ce que je peux.

Par Roméo Bouchard

« Le taux vibratoire du globe terrestre est en train de s’élever à grande vitesse »

 

 Ce taux  s’est élevé à grande vitesse ces derniers jours . L’univers est interconnecté . Rappelez vous des révélations de Marina Popovitch ci dessus :

Selon elle, les scientifiques estiment que le chaos émotionnel humain perturbe énormément la Terre, qui réagit de plus en plus violemment à cette saturation. Ce qui doit être porté à la connaissance des populations et doit absolument déclencher un changement radical de tous nos comportements.

– Les études réalisées à Moscou ont déterminé que la planète est entourée d’un immense réseau énergétique, un ’tissu’ d’énergie qui possède une distribution de forme géométrique. La géologie des continents répond aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. Toute la structure de ce que nous connaissons comme l’univers physique s’ordonne selon des schémas géométriques déterminés. Ceci est connu sous le terme de « Géométrie Sacrée ». Par ailleurs, en 1958, le professeur Bernascki a découvert une sorte d’anneau qui enveloppe la planète et qui contient un champ d’énergie dans lequel sont mémorisés des ‘registres’ de toutes les formes de vie et de l’histoire de la planète. Il a été découvert que ce champ d’énergie ne se situe pas sur un plan physique. Nous avons été capables de détecter cette bande et de la «lire» avec des instruments scientifiques et en utilisant des médiums entraînés à le faire.
Nous avons ainsi découvert que ce champ est un tissu ethérique chargé d’émotions. C’est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d’affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la haine et la peur, a une incidence directe sur l’état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.

Le taux vibratoire du globe terrestre est en train de s’élever à grande vitesse 

Pour Alfred Bovis, tout corps, forme, dessin ou contour de corps, est à la fois induit et inducteur. C’est à partir de cette théorie qu’il a été amené à construire tous ses appareils de détection et à concevoir son Biomètre mesurant toutes les radiations et les classant par catégorie.

Loi de Bovis : « Tout corps (dessin ou contour du corps), de forme allongée, quelle que soit sa longueur et quelle que soit sa nature, animale, végétale ou minérale, a la propriété de capter les ondes telluriennes lorsqu’il est placé en direction Nord-Sud. Si l’on donne à ce corps une forme géométrique quelconque, il deviendra émetteur et capteur d’ondes, quelle que soit sa position ».

Le Vivant est animé par deux forces : la force montante tellurique et la force descendante cosmique. Il vit en harmonie dans son environnement quand ces deux forces sont en équilibre.

Le rayonnement moyen d’une habitation « saine » pour l’homme se mesure sur cette échelle, entre 6500 et 9000 bv. Elle peut parfois atteindre parfois 12000 bv : ce sera le seuil maximum à ne pas dépasser pour l’homme ( au-delà, on trouvera un niveau vibratoire plus élevé, par exemple, dans les églises, les temples anciens, les sources thérapeutiques à l’état brut, les calvaires, etc …..).

Si on trouve un taux inférieur à 6500 bv, le lieu est considéré comme dérangeant pour l’être humain et peut même engendrer, soit des maladies à répétition, soit des maladies graves.ICI

Tout être humain possède un taux vibratoire définissant la fréquence d’énergie correspondante à son degré d’évolution spirituelle ; c’est la nature et le degré de son énergie qui caractérisent son taux vibratoire.

Échelle de Bovis

Échelle de Bovis

Ce qui implique que nous nous pouvons le modifier et le faire augmenter; c’est le but de l’évolution spirituelle. Toute l’humanité a vocation à élever sa vibration et à l’ajuster à celle de sa planète, laquelle évolue également en fonction des vibrations émises par les autres planètes de sa galaxie, et ainsi de suite à tous les niveaux de la création cosmique.

L’élévation du taux vibratoire d’un individu augmente son intuition, qui représente la capacité d’une personne à être inspirée par des êtres supérieurs désincarnés et les guides spirituels.
Les vibrations que nous émettons créent un champ autour de nous qui entre en contact avec les lieux, les êtres et les objets qui nous entourent ; cet échange de rayonnement a pour effet de créer des affinités ou des inimitiés, de nous rapprocher ou de nous éloigner les uns des autres. C’est l’application occulte du dicton populaire : « Qui s’assemble, se ressemble ». La sympathie, l’antipathie, l’amour ou la haine en découlent.
Sur le plan sanitaire, le fait d’augmenter le taux vibratoire des cellules de l’organisme a pour effet de faire barrage à la maladie qui déclenche un abaissement du même taux. Le magnétisme curatif correspond à un transfert d’énergie du magnétiseur vers le patient ayant pour effet de relever son taux vibratoire.

L’énergie est en constant mouvement; toutes les énergies vibrent à différentes fréquences. Le processus d’évolution s’accomplit par une augmentation du taux vibratoire, en réponse à l’action d’attirance des énergies supérieures. C’est la prise de conscience de ce besoin d’ajustement qui permet d’atteindre l’harmonie vibratoire nécessaire à un bon équilibre existentiel et à une progression spirituelle régulière.

Un nettoyage s’impose pour se libérer de nos peurs, de nos pulsions, de nos colères, qui nous polluent et contribuent à abaisser notre rythme vibratoire, de nos mauvaises habitudes de vie inculquées par une société de consommation, futile et matérielle, qui nous rabaissent en nous enfermant dans un comportement mécanique stéréotypé. Nous devons nous alléger, nous épurer, afin justement d’augmenter notre taux vibratoire en vivant consciemment en esprit.

Cette constatation est extrêmement importante et il est de plus en plus fréquent à présent de rencontrer des personnes dont les taux vibratoires personnels sont en cours d’harmonisation avec les nouvelles fréquences de la planète.

Le biomètre de Bovis
Pour mesurer les taux vibratoires, on utilise le biomètre de Bovis: c’est une sorte de réglette que l’on utilise avec un pendule et qui fut conçue par le physicien Bovis. Elle détermine la valeur en Unité Bovis d’un lieu (UB). Le biomètre nous donne trois dimensions de 0 à 20 000 UB : niveau physique
de 20 000 à 40 000 UB : niveau du corps éthérique, des nadis et des chakras
de 40 000 à 90 000 000 000 000 000 UB soit 16 zéro après le 9 ce qui correspond à des fréquences vibratoires presenti jusqu’à 10 km : domaine du spirituel, hauts lieux cosmo-telluriques, perceptible seulement dans les plus grands sanctuaires.

Un lieu moyennement équilibré, donc neutre, présente 20 000 UB. En-dessous, le lieu est affaibli et peut devenir nocif. Au dessus de 6 000 000 000 000, le lieu est trop fort pour l’homme : il ne peut y rester trop longtemps sans se déséquilibrer énergétiquement.

On peut aussi mesurer la vitalité de l’homme avec le biomètre : à 4 000 UB, l’homme est malade, à 3 000 UB, il est très malade, et à partir de 2 000 UB, il a un pied dans la tombe. Entre 12 000 et 70 000, il est en pleine forme physique (on ne parle que de physique) !
Le biomètre de Bovis est l’instrument de mesure indispensable pour pouvoir calculer le taux de vibration énergétique. Il est divisé en deux zones : de 0 à 12 500 unités et de 12 500 à 120 000 unités Bovis.

La nouvelle référence de base en 2014 est de 12 500 unités, mesure moyenne de l’être humain en bonne santé. Toute mesure inférieure indique une perte d’énergie, toute mesure supérieure indique un gain, une réserve d’énergie.

Le premier concerne le plan physique qui va de 0 à 20 000 unités permet de connaitre l’intensité d’un lieu, la vibration ayant un effet sur le physique de l’être humain.

Pour le second, on dépasse la conception de Bovis et on pénètre dans le domaine du monde et des corps éthériques ; le biomètre va s’étalonner de 20 000 à 40 000 unités.

Quant au troisième, il pénètre subtilement dans le domaine spirituel et dans un univers ésotérique que l’on va mesurer dans les sanctuaires et sur les personnes en pleine évolution spirituelle qui sont de l’ordre de 40 000 UB à 930 000 000 000 000 UB.

Il faut savoir que l’absolue totalité de la Terre est parcourue par des réseaux de « canaux » énergétiques, allant de la « résille » de base (3 à 4 centimètres de largeur au centre, régulièrement espacés de 8 à 12 centimètres, présentant des polarités régulièrement inversées) résille croisée qui couvre la totalité de la surface et présente (sauf cas particuliers) un Taux Vibratoire constant et régulier allant de 6 000 à 15 000 Unité Bovis (en général), jusqu’aux grands réseaux Cosmiques ou « Réseaux Sacrés » dont certains dépassent les 5 ou 600.000 U.B., 5.000.000 UB en passant par toute la gamme des réseaux Hartmann, Curry et autres …

Depuis une trentaines d’années, nous avons assisté à (et subi) des variations extrêmement importantes des T.V.

Lors de certaines périodes récentes (correspondant à de violentes manifestations telluriques : tremblements de Terre, éruptions volcaniques, tempêtes…) les T.V. de la résille sont « montés » jusqu’à + 1.800.000 UB. sur la bande de polarité positive, et – 1.800.000 UB sur la bande négative.

SOURCE COMPLETE :http://ngsm.eu/taux-vibratoire/624-le-taux-vibratoire

LES ENERGIES VIBRATOIRES

Comme dans le monde quantique les énergies sont invisibles mais tangibles puisque nous en percevons les effets

Au-delà des apparences il existe un grand champ d’énergies fait d’ondes, de vibrations reliant tous les éléments de l’Univers dont nous sommes partie intégrante

Surtout depuis 2007 la planète connait une élévation de sa fréquence vibratoire que les physiciens nomment résonnance de Shumann, permettant à la Terre de passer lentement d’une dimension à l’autre ce qui est déstabilisant pour nous terriens

De ce fait le temps s’accélère, tout va plus vite et l’Ascencion va se poursuivre.

Nous sommes donc tous reliés par ces énergies puisque nous sommes “émetteurs-récepteurs” constituant l’inconscient collectif ou conscience universelle.

La période que nous vivons actuellement est exceptionnelle du fait de l’accélération de la descente énergétique cosmique qui s’opère par vagues successives en aidant à la déprogrammation des mémoires cellulaires et on constate l’activation des vibrations que beaucoup peuvent ressentir sans en percevoir l’origine mais qui en augmentant le T.V. entrainent chez certains des malaises attribués à tout autre chose que la montée vibratoire

Ces malaises sont en général :

  • des migraines
  • des douleurs musculaires
  • dépression
  • vulnérabilité émotionnelle
  • palpitations au niveau du coeur
  • difficultés respiratoires
  • sensations de chaleur et sueurs nocturnes
  • extrême fatigue ou excès d’énergie
  • pertes de mémoire
  • extrême sensibilité
  • effets sur appareils électriques et électroniques
  • changement de goût à la nourriture

Constater ces malaises doit amener à calculer son taux vibratoire .Tous ces ressentis sont le résultat d’une dysharmonie entre la fréquence vibratoire du corps physique et celle des corps subtilshttp://ducielalaterre.org/fichiers/sante/notre_corps_change_de_frequence_vibratoire_h45.php

source complète : http://www.mondes-invisibles.fr/energie-vibratoire

Le taux vibratoire : mesurer le taux d’une personne (ou d’un lieu) à l’aide de planches existantes et connues.

Il n’est pas facile de définir exactement ce que sont les Taux Vibratoires. Tout est énergie, la matière n’est qu’une sorte d’ultime concentration de l’énergie. On peut d’ailleurs remarquer que toute matière ne possède pas la même dureté, la même masse, donc la même « concentration » d’énergie…

Or l’énergie se transmet et se mesure en « vibrations » – les sons, la lumière se transmettent par des vibrations qui leur sont propres . . .

Le Taux Vibratoire est la mesure de la qualité de cette énergie structurelle. Elle se mesure grâce au biomètre de Bovis.

Cette mesure peut s’appliquer absolument à tout : objets physiques inanimés, êtres vivants (plantes, animaux, êtres humains). Notre planète présente, selon l’endroit où les mesures sont prises, de très grandes variations de taux vibratoires allant de Taux négatifs très bas à des Taux extrêmement élevés. Les êtres humains sont en général entre 6000 et 9000 U.B. Les lieux sacrés dépassent les 5 ou 600.000 U.B : En Égypte, des mesures sur la pyramide de Louxor ont donné des mesures allant de 28 à 30 000 unités.

Si la grande majorité des gens en sont encore aux 6 à 7000 traditionnellement admis, certaines personnes dont le style de vie (physique et spirituel) est en adéquation avec les grandes valeurs humaines et universelles, ont largement dépassé les 100.000 U.B. en T.V. du corps physique.

Voici plusieurs cadrans qui vous aideront :

Le biomètre de Bovis simple :

Le biomètre de Bovis complet :

Le cadran de Bovis :

Le cadran de Bovis permettant de mesurer les 3 plans vibratoires :

1er Secteur : le physique qui va de 0 à 10 000 unités, donnera l’intensité d’un lieu, la vibration ayant un effet sur le physique de l’être humain.

2e Secteur : on dépasse la conception de Bovis et on pénètre dans le domaine du monde énergétique ou dénommé aussi corps éthérique, le Biomètre va de 11 000 à 13 500 unités.

3e Secteur : il pénètre subtilement dans le domaine spirituel et dans un univers ésotérique que l’on va mesurer dans les sanctuaires.

Pour les biomètres, positionner le pendule sur le point « neutre » qui est de 6500. Posez-vous la question : « je veux savoir le taux vibratoire de ….. ». Le pendule devrait se déplacer (horizontalement) vers la gauche ou vers la droite de ce trait neutre de lui même, laissez-le faire et précisez : « arrête-toi quand le taux vibratoire sera trouvé ».

Vous verrez alors le pendule s’arrêter sur le trait en marquant un balancement vertical léger de haut en bas et de bas en haut sur la graduation en question.

Le premier cadran de Bovis (celui qui n’est pas en couleur) a une graduation nettement plus élevée. Vous positionnez le pendule sur l’encoche et vous suivez la même procédure : cette fois, le pendule se déplacera en suivant le rayon des graduations.

Le deuxième cadran de Bovis mesure trois plans : physique, énergétique, spirituel. Il faut donc se positionner aussi sur l’encoche mais demander : « je veux connaître le taux vibratoire physique de…. » (puis pour une deuxième procédure : « je veux connaitre le taux vibratoire énergétique de… » etc). Le pendule suivra les rayons pour chaque plan et vous indiquera les taux.

Le géodynamètre est une planche complémentaire que je joins et qui est une réplique des cadrans ci-dessus.

Aussi surprenant que cela puisse paraître pour les non initiés, les réponses sont pourtant exactes et cela quelque soit le pendule utilisé. J’ai mesuré plusieurs taux vibratoires pour des personnes saines ou malades et je n’ai jamais eu d’erreur : par exemple, pour une personne dont j’ignorais qu’elle était atteinte d’un cancer généralisé, sur le biomètre de Bovis simple, le pendule s’était arrêté à 2000 ce qui signifiait maladie déjà bien avancée. Ce n’est qu’ensuite, un mois après, que j’ai appris pourquoi.

Mais qui est Bovis ?

Les passionnés de radiesthésie ou de géobiologie ont forcément entendu parler de Bovis et de sa fameuse « échelle ». Pour beaucoup, il s’agit d’un objet bien utile quand il s’agit de mesurer le « taux vibratoire » d’un lieu ou d’une personne. Mais que sait-on de Bovis, de l’origine de sa découverte et des prises de position qui furent les siennes ?

Bizarrement, on connait peu de choses sur ce personnage dont le nom et l’invention ont fait le tour du monde au point qu’on parle dorénavant d’ »Unité Bovis » (souvent simplifiée en « UB »). Il semblerait que Jacques Bovis, personnage contemporain et petit-fils du célèbre radiesthésiste, soit à l’origine de la renommée de son ancêtre. Si tout le monde semble à peu près d’accord sur ses dates de naissance et de décès (il serait né en 1871 et décédé en 1947), un doute subsiste sur son véritable prénom. Bovis tenait des conférences et présidait la « Société de Radiesthésie de la Côte d’Azur ». Dans son exposé ci-joint en document pdf téléchargeable, on peut y lire que Bovis a étudié les Pyramides d’Egypte.

Le Taux de Vitalité :

A ne jamais confondre avec le Taux Vibratoire.

Mesuré sur une échelle arbitraire qui va de 0 à 100, il va déterminer la qualité, le potentiel de vie de l’être considéré (tout être vivant, végétal ou animal). Cette mesure évidemment indépendante de l’espèce, absolument personnelle, est fondamentale pour connaître l’état de santé de l’organisme étudié.

Il est également possible, très intéressant et utile de mesurer le Taux de Vitalité de tous les organes du corps, organe par organe, ce qui permet très rapidement et avec une fiabilité remarquable de rechercher l’organe qui présente un problème.

Sur une échelle de 100 graduations, on peut prendre en considération les seuils suivants:

Au dessus de 70 : pleine forme

70 : santé normale

60 à 70 : légère déficience

50 à 60 : déficience importante nécessitant des soins

40 à 60 : pathologie grave, 40 représentant un seuil critique

30 : la personne est mourante ou l’organe est quasi complètement dévitalisé

Les polarités :

Tout dans l’Univers est partagé entre deux polarités : positif + et négatif –

Le positif est masculin, Yang et chaud, le négatif est féminin, yin et froid.

Les plantes, les animaux, et bien sûr l’homme, n’échappent pas à cette loi.

Ces polarités peuvent être particulières à chaque personne, mais en règle générale, le haut (tête) est positif, le bas (pieds) négatif, le dos est positif, le devant est négatif . . .

Sans entrer dans les détails, tout problème de santé ou de perturbations énergétiques peuvent amener des modifications de ces polarités, et donc, contrôler les polarités permet également de déceler les perturbations.

source : https://sites.google.com/site/laportesecrete/radiesthesie-planches

SOURCE

 

 

Des photos de la NASA montrent la destruction de la Terre par les humains

 

En 1882 des personnes sont sur le  Glacier Muir  en Alaska (à gauche), pour prendre des photos . Au même point  en 2005...on ne voit  que de l'eau
En 1882 des personnes sont sur le Glacier Muir en Alaska (à gauche), pour prendre des photos . Au même point en 2005…on ne voit que de l’eau
La comparaison de la capitale du Caire de l'Egypte au fil du temps. Entre 1987 (à gauche) et 2014 a augmenté la population de 6 millions à 15 millions. Pour les maisons neuves droite peut être vu, la limite de la ville est prolongée.
La comparaison de la capitale du Caire de l’Egypte au fil du temps. Entre 1987 (à gauche) et 2014 a augmenté la population de 6 millions à 15 millions. Pour les maisons neuves (à droite )peuvent  être vues, la limite de la ville est prolongée.

 

 

L’humanité a provoqué la Sixième  Extinction  Massive d’Espèces …et elle va  être décimée en tant qu’espèce animale …avant de disparaître de la surface de la planète Terre!

Il y a des photos impressionnantes. Elles montrent l’évolution de la terre.

La NASA recueille depuis 2009 ,des images avant / après ont été photographiés de l’espace ou de la terre et les stocke dans ses archives  » Images du changement « .

Certains montrent les effets du changement climatique et les catastrophes naturelles, d’autres les  changements causés par les opérations de construction. Parmi les enregistrements ,il y a également beaucoup de photos  de la mer d’Aral au Kazakhstan, qui est toujours inférieur ou la fonte des glaciers.

«Le changement climatique est un concept abstrait pour beaucoup ou l’on sent comme si   une chose invisible s’est passé ou  qui va arriver ,à l’avenir », a déclaré Randal Jackson de la NASA.

Les images d’archives aident maintenant davantage à visualiser  les changements un peu plus …à l’esprit.

 

Fondu! Liens de glace du glacier de "Muir" -Gletscher en 1941. Tout est plein de glace. La photo de droite montre la zone dans l'État de l'Alaska à la même place 63 années plus tard,
Fondu! Liens de glace du glacier de « Muir » -Gletscher en 1941. Tout est plein de glace. La photo de droite montre la zone dans l’État de l’Alaska à la même place 63 années plus tard,

 

 

 

Avant la construction de la "Ferme solaire Topaz" dans l'état américain de Californie (2012, gauche) a été utilisée la région pour l'agriculture. Sur la photo à partir de 2015 (à droite) la zone est pleine de panneaux. Ils couvrent 24,6 kilomètres carrés et fournissent assez de puissance pour 160 000 foyers. L'usine est un des plus importants aux États-Unis
Avant la construction de la « Ferme solaire Topaz » dans l’état américain de Californie (2012, gauche) a été utilisée la région pour l’agriculture. Sur la photo à partir de 2015 (à droite) la zone est pleine de panneaux. Ils couvrent 24,6 kilomètres carrés et fournissent assez de puissance pour 160 000 foyers. L’usine est un des plus importants aux États-Unis

 

 

 

Les conséquences d'une catastrophe naturelle: la gauche est une bande côtière au Mozambique enregistré en Février 2014. A droite: La zone après une inondation en Janvier, lorsque la rivière Licungo et autres eaux ont débordé et des régions entières ont été inondées
Les conséquences d’une catastrophe naturelle: la gauche est une bande côtière au Mozambique enregistré en Février 2014. A droite: La zone après une inondation en Janvier, lorsque la rivière Licungo et autres eaux ont débordé et des régions entières ont été inondées

 

 

La croissance urbaine en Egypte: En Hurghada ,il ne vivait que 12 000 personnes dans les années 80 (à gauche). En 2014 (à droite), la ville est beaucoup plus grande, a plus de 250 000 habitants. Environ un million de touristes sont là chaque année pour visiter
La croissance urbaine en Egypte: En Hurghada ,il ne vivait que 12 000 personnes dans les années 80 (à gauche). En 2014 (à droite), la ville est beaucoup plus grande, a plus de 250 000 habitants. Environ un million de touristes sont là chaque année pour visiter

 

 

La mer d'Aral au Kazakhstan a diminué. En 2000 (à gauche), il est un plan d'eau avec une forme de bulbe. Quatre ans plus tard (à droite), il est étroit. Jusqu'en 1960, il était le quatrième plus grand lac au monde. Ensuite, l'eau a été détournée pour irriguer les champs. Le contour noir montre le rivage des années 60
La mer d’Aral au Kazakhstan a diminué. En 2000 (à gauche), il est un plan d’eau avec une forme de bulbe. Quatre ans plus tard (à droite), il est étroit. Jusqu’en 1960, il était le quatrième plus grand lac au monde. Ensuite, l’eau a été détournée pour irriguer les champs. Le contour noir montre le rivage des années 60

 

 

L'aéroport de Dallas est l'une des principales plaques tournantes pour les avions aux États-Unis. Photo d'un enregistrement par satellite à partir de 1974, peu de temps après l'ouverture de la Foire. L'image de droite montre l'aéroport en 2013: de nouvelles pistes, voies de circulation beaucoup plus pour les machines. L'aéroport est à 78 kilomètres carrés
L’aéroport de Dallas est l’une des principales plaques tournantes pour les avions aux États-Unis. Photo d’un enregistrement par satellite à partir de 1974, peu de temps après l’ouverture de la Foire. L’image de droite montre l’aéroport en 2013: de nouvelles pistes, voies de circulation beaucoup plus pour les machines. L’aéroport est à 78 kilomètres carrés

 

 

 L'intervention humaine est clairement le "Wax lac Delta" de reconnaître dans l'État américain de la Louisiane. Une fois qu'un canal a été appliquée dans le golfe du Mexique, de plus en plus de sédiments  déposés vers la côte .

L’intervention humaine est clairement visible sur   le  » lac Delta »  dans l’État américain de la Louisiane. Une fois qu’un canal a été creusé  dans le golfe du Mexique, de plus en plus de sédiments se sont  déposés vers la côte .

 

 

 

 

 

Sida : les enjeux de la 20e conférence internationale sur la maladie en sérieuse progression

Melbourne accueille depuis  le 20 juillet 2014, la 20e conférence sur le SIDA de l’IAS (International Aids Society). L’occasion pour nous de revenir sur les objectifs de ce congrès.

 

20 ième Conférence sur le SIDA
L’ouverture de la 20e Conférence Internationale sur le sida a eu lieu il y a quelques jours, en Australie. Pendant cinq jours, 12 000 participants, venant de 200 pays, sont réunis pour faire le point sur le sida, alors que près de 35 millions de personnes (selon l’Onusida) sont touchées par cette maladie dans le monde.

Tout reste à faire
Quelques jours avant le début du congrès, l’Onusida a présenté son dernier rapport. Si la maladie tend à progresser moins rapidement qu’elle ne le faisait il y a quelques années, 35 millions de personnes vivraient tout de même avec le VIH à travers le monde et une petite augmentation est à déplorer ce mois-ci (voir notre vidéo sur l’OMS). Parmi les malades, seuls 14 millions suivraient un traitement adapté. Pire encore, plus de la moitié des malades ignoreraient qu’ils portent le virus en eux. Une méconnaissance qui explique le nombre de nouvelles personnes contaminées chaque jour.

Il y a pourtant des chiffres dont on peut se réjouir. Selon l’Onusida, le nombre de décès dus au virus (1,5 million) aurait reculé de -11,8% en 2013. Côté recherches aussi, la situation s’améliore. Les traitements antirétroviraux (ARV) qui répriment le virus sont de plus en plus performants et accessibles. Leur usage, à titre préventif, est même exploré. « L’épidémie du sida a dévasté les familles, les communautés et a eu un impact majeur sur les pays où l’épidémie s’est implantée. Mais ces quinze dernières années, il y a eu de remarquables progrès, et nous sommes passés du désespoir à l’espoir », souligne Michel Sidibe, directeur exécutif de l’Onusida.

Malgré cela, il reste important de souligner qu’à ce jour, la médecine ne peut pas soigner et éradiquer totalement et définitivement le sida. « Guérir le sida, ou [trouver] un moyen d’obtenir une rémission à long terme, s’annonce ardu », reconnaît Sharon Lewin de l’université Monash à Melbourne.
 
Une conférence axée sur le droit des malades
Pour gagner du terrain sur la maladie, les experts estiment que la prévention est indispensable. Tout aussi important, il faut garantir les droits des personnes atteintes par le virus, de manière à faire tomber les barrières. C’est ainsi que les organisateurs ont établi leurs objectifs dans la Déclaration de Melbourne dont voici leurs principales revendications :

– Les états doivent interdire et révoquer les lois répressives et toute politique renforçant la discrimination et la stigmatisation liées à la maladie du sida.
 
– Les décideurs ne doivent pas tirer profit des rencontres internationales pour relayer leurs idéaux discriminatoires sur les malades du sida.
 
– Les organisations qui font l’apologie de l’intolérance et de la discrimination envers les personnes malades du sida (le sexisme, l’homophobie et la transphobie…) doivent être exclues des programmes de soutien financier pour le sida.
 
– Les professionnels de santé doivent mettre en place des programmes de sensibilisation non-discriminatives avant de pouvoir bénéficier de financements pour leurs programmes sur le sida.

– Les restrictions aux financements sous des prétextes discriminatifs (prostitution, usage de drogue) doivent être interdites.
 
Mettre en avant les discriminations
Outre la réunion des scientifiques qui travaillent sur la recherche d’un traitement contre le SIDA,  la Conférence Internationale donne aussi la possibilité à tous les militants de se retrouver. Parmi eux, on retrouvera l’ancien président des Etats-Unis, Bill Clinton, qui interviendra sur les droits des patients, ainsi que le musicien Bob Geldof. Tous deux envisagent de dénoncer les discriminations rencontrées par les malades. « Nous sommes tous préoccupés par l’homophobie, les mesures répressives, et le manque de volonté politique quant à l’accès aux soins et aux traitements », a expliqué Françoise Barré-Sinoussi, présidente de l’IAS, avant d’ajouter : « Nous devons faire pression autant que nous le pouvons sur les décideurs de ces pays… Nous devons faire en sorte qu’ils respectent les droits humains ».

 
En ligne de mire cette année,  la promulgation de lois en Afrique, qui stigmatisent l’homosexualité ou celles, en Russie, qui interdisent la propagande homosexuelle. Des répressions qui ne sont pas sans conséquence, comme l’explique le professeur Chris Beyrer de l’université Johns Hopkins aux Etats-Unis : « Lorsque les séropositifs deviennent des proscrits, la maladie se répand. En dépit de tous nos progrès scientifiques, en 2014,  la nouvelle dans beaucoup, beaucoup de pays, c’est une vague de nouvelles lois et politiques répressives… et de déni de mesures scientifiquement prouvées » a-t-il déploré lors d’un point presse en amont de la conférence.
 
Une conférence endeuillée
L’ouverture du congrès a pris une tournure inattendue ce dimanche. En effet, six personnes devant intervenir lors de la conférence étaient à son bord du vol MH17 qui s’est écrasé en Ukraine jeudi. Les victimes sont Joep Lange, une des figures mondiales en matière de lutte contre le virus, Pim de Kuijer, de STOPAIDSNOW, Lucie van Mens, directrice d’AIDS Action Europe et sa collègue Maria Adriana de Schutter, Glenn Thomas, un porte-parole de l’OMS et Jacqueline van Tongeren, de l’institut Amsterdam pour la santé mondiale et le développement. Françoise Barré-Sinoussi, présidente de l’IAS a tenu à respecter une minute de silence en leur honneur.

 

Sources:TF1

 

 

Éveil et méditations:Les prédateurs de l’humanité

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Évaluation du potentiel de vie

 

Parmi les milliards de systèmes solaires que compte notre galaxie, il n’y a, hormis sur la Terre, que des naissances et pas ou peu de mortalité, de sorte que les populations des planètes habitées arrivent très vite à saturation lorsque la natalité n’est pas contrôlée. Un certain nombre de races extraterrestres se sont ainsi lancées dans une course effrénée à la colonisation de nouvelles planètes pour y trouver de la nourriture et répondre à leurs problèmes liés à la surpopulation.

Au cours de leurs expéditions, les exemples de peuples n’ayant pas hésité à s’attaquer à des planètes déjà habitées, pour en prendre le contrôle et en éliminer leurs habitants ou les transformer en esclaves, sont très fréquents et très nombreux. Dans notre système solaire, non seulement les Martiens l’ont fait, mais des groupes de colons originaires de nombreuses constellations plus ou moins éloignées de la nôtre l’ont fait également, et à différentes reprises. Parmi eux, on trouve des Hyerboréens, des Cassiopéens, des Centauriens, des Ganymédiens, des Andromédiens, des Draconiens, des Réticuliens et bien d’autres races encore.

En raison de ces attaques, les habitants des planètes de notre système sont devenus suspicieux et méfiants les uns envers les autres et se sont entourés de barrières magnétiques pour se protéger. Certains se sont exilés dans l’intérieur creux de leurs planètes, d’autres ont eu recours à différentes technologies pour dissimuler leur présence, si bien qu’ils ont fini par devenir des étrangers et des inconnus les uns pour les autres.

Dans le passé, les Terriens ont eu eux aussi à subir à différentes reprises des guerres coloniales. Même si elles prennent aujourd’hui des formes différentes, des attaques de prédateurs galactiques continuent de se dérouler sur notre planète qui est devenue un enjeu stratégique en raison des multiples formes de vie qu’elle abrite. Ces attaques touchent tous les plans et toutes les dimensions, à commencer par le plan physique.

 

Le fichier américain des personnes disparues comporte environ 100.000 noms inscrits en permanence. En France, le chiffre est de 6.500. Dans le reste du monde, bien que les statistiques soient plus difficiles à établir à l’échelon de la planète, on estime qu’environ 4.000.000 de personnes se volatilisent chaque année dans la nature sans laisser de traces. Certaines se retrouvent entre les mains d’esclavagistes ou de trafiquants d’organes qui les revendent à des cliniques, d’autres sont kidnappées par certaines races extraterrestres qui se livrent sur elles à différentes expériences ou les obligent à travailler sur d’autres planètes, dans des sortes de fermes. Il y en a également qui sont enlevées pour servir de nourriture à des prédateurs galactiques.

L’une des faiblesses des Terriens consiste à prétendre systématiquement que tout ce qui les dérange est faux, alors qu’intuitivement, ils savent que c’est vrai. La méditation et l’introspection leur permettraient pourtant de comprendre ce qui se passe réellement en eux et autour d’eux. Ils constateraient qu’il se produit partout sur cette planète des choses extrêmement malsaines, qu’il y a des horreurs cachées, des atrocités latentes, des traites d’êtres humains, des tortures, des trépanations, des abductions, des enlèvements. La plupart des gens refusent d’envisager que tout cela soit possible et ne veulent même pas en entendre parler. Pourtant, s’ils ouvraient les yeux, ils constateraient que nos systèmes politiques tendent peu à peu non seulement à nous faire consommer toujours plus, mais à nous transformer nous-mêmes en produits de consommation, et que ce n’est pas l’être humain qui est à l’origine de tout cela ; ce sont nos prédateurs.

Les prédateurs cosmiques ne se trouvent pas uniquement dans le plan physique parmi les races extraterrestres qui enlèvent des humains et se livrent sur eux à des expériences et à des abductions. Ils ont envahi bon nombre de dimensions. Il existe des entités prédatrices par lesquelles nous sommes régulièrement visités à notre insu et qui ont des cheptels dans plusieurs systèmes et niveaux dimensionnels de l’univers. Certains les appellent « les ombres ». Vous pouvez trouver des références à ces entités chez Carlos Castaneda, Michael Harner, John Lash et d’autres spécialistes du chamanisme, car ce sont les chamans principalement, qui ont défini leur nature, leur système de vie et leur état.

Carlos Castaneda
Carlos Castaneda

 

Nos modes de vie terrestres et l’injustice profonde de notre société, nos systèmes politiques conçus pour diviser les individus en classes et les manipuler, le pouvoir systématiquement confié à des rapaces et des prédateurs, tout vient d’eux. Ils sont les premiers à dénoncer le contrôle et l’influence qu’ils exercent sur nous ; mais ce sont eux qui disent « non, nous n’existons pas », qui répètent « c’est faux ». Ils font tout ce qu’il faut pour ne pas être reconnus. Pourtant, ils sont légions. On peut les voir et les ressentir, mais pour cela, il faut avoir une sensibilité très aiguisée. Ceux qui ont réussi à ouvrir en eux ce que les Orientaux nomment « le troisième œil » et à éveiller une forme de perception multidimensionnelle sont souvent les témoins conscients mais impuissants de cette entreprise d’exploitation d’origine extraterrestre.

Nos prédateurs originaires d’autres niveaux dimensionnels ont réussi à créer des système d’aliénation permanents et facilement applicables à l’homme, car ils veulent nous transformer en créatures durablement soumises et se nourrir de nos énergies chaque fois qu’ils le souhaitent. C’est bien sûr difficile à croire, mais c’et une réalité qu’aucun clairvoyant ne songe à remettre en question.

L’humanité est contrainte sans le savoir par ces entités depuis des milliers d’années. Il est étrange de constater que les hommes puissent continuer à croire qu’ils sont libres. Ils ne le seront que lorsqu’ils se seront libérés de ces prédateurs. Si l’homme était libre, il serait lui-même et la Terre serait déjà absorbée par les plans supérieurs, nous aurions atteint un niveau au moins équivalent à celui des Anges. Le combat et la victoire contre ces entités est une nécessité absolue. Sans cela, pas d’évolution ni de libération possibles !

Dans notre vie, le cheminement spirituel commence par la libération des entités que nous portons dès notre état fœtal. Car nous naissons tous avec un karma ; ce qui veut dire qu’avant même de naître, nous étions déjà programmés par des intelligences qui nous contrôlent depuis des éons du fait de nos transgressions passées.

Carlos Castaneda affirmait que les êtres humains sont les otages d’un groupe d’entités cosmiques qui se dédient à la prédation et que les sorciers appellent « les flyers ». Il déclara peu de temps avant sa mort, en 1998, que ce sujet avait été tenu secret par les anciens voyants, mais que suite à un présage, il avait décidé qu’il était temps de le révéler. Ce présage était une photographie que son ami Tony, un chrétien bouddhiste, avait prise et qu’il lui avait transmise. Sur cette photo apparaissait nettement l’image d’un être obscur et menaçant, flottant au-dessus d’une multitude de fidèles réunis sur le site des pyramides de Teotihuacan…

 

 

Pyramide  de Teotihuacan
Pyramide de Teotihuacan

 

Il était persuadé que nous sommes prisonniers d’êtres venus des confins de l’Univers, qui nous utilisent comme nous utilisons des poulets. Selon lui, la portion de l’Univers qui nous est accessible est le champ opérationnel de deux formes de conscience radicalement différentes. Celle qui inclut les plantes, les animaux et aussi les êtres humains, est une conscience blanchâtre, jeune et génératrice d’énergie. L’autre est une conscience infiniment plus ancienne et parasite, possédant une quantité énorme de connaissances, mais pauvre en énergie.

En plus de celles qui vivent dans la Terre Creuse ou habitent à la surface de notre planète, il y a dans l’Univers une immense gamme d’entités inorganiques. Elles sont présentes parmi nous, et à certains moments sont visibles. Nous les appelons fantômes ou apparitions. L’une de ces espèces, que les voyants décrivent comme d’énormes silhouettes volantes de couleur noire, arriva un jour de la profondeur du Cosmos et rencontra une oasis de conscience sur notre planète. Elles se spécialisèrent alors dans la « traite » des êtres humains.

D’où viennent les hauts et les bas émotionnels et énergétiques des gens ? Ce sont les prédateurs qui viennent périodiquement prélever leur quota d’énergie. Ils nous laissent juste ce qu’il faut pour que nous puissions continuer à vivre et remplir à nouveau notre conscience qu’ils reviendront prélever. C’est ainsi que fonctionne leur chaîne alimentaire. Parfois ils prennent trop et la personne tombe gravement malade, et peut même en mourir. Parfois ils sentent qu’ils auraient pu prendre davantage, et ils reviennent presque immédiatement.

Bien sûr, ils ne nous « mangent » pas littéralement, ce qu’ils font, selon Castaneda, c’est un transfert vibratoire. La conscience est énergie et ils peuvent s’aligner avec nous. Puisque par nature ils sont perpétuellement affamés et que nous, en revanche, exsudons de la lumière, le résultat de cet alignement peut être décrit comme une prédation énergétique. Il faut savoir que, sur le plan cosmique, l’énergie est la devise la plus forte ; nous la recherchons tous, et les humains sont une race puissamment nantie au niveau de sa force vitale.

Cependant, et contrairement à ce que l’on suppose généralement, l’homme n’est pas au sommet de la chaîne alimentaire. Pour les êtres inorganiques, nous sommes des proies. Même nos vices et nos perversions sont une nourriture pour certaines créatures. Les prédateurs cosmiques ne sont ni plus ni moins cruels que nous. Lorsqu’une race plus forte en consomme une autre, inférieure, elle contribue à son évolution.

Les confrontations entre êtres humains ne sont qu’un reflet de ce qui se passe sous nos yeux entre les quatre grands règnes de la nature : le règne végétal se nourrit du règne minéral ; le règne animal se nourrit du règne végétal ; et le règne humain se nourrit de ces trois règnes. Il est normal qu’une espèce cherche à en consommer une autre.

Voici ce que dit Castaneda à ce propos : « Un guerrier ne se lamente pas à ce sujet, il essaie de survivre.

Et comment nous consomment-ils ? Au travers de nos émotions, incessamment occasionnées par notre dialogue intérieur. Ils ont dessiné notre environnement social de telle façon que nous soyons en permanence en train de projeter des ondes d’émotions qui sont immédiatement absorbées.

Ils ont appris à métaboliser toutes les formes d’émotions. Certains nous consomment pour notre luxure, notre peur ou notre colère ; d’autres préfèrent les sentiments plus délicats, comme l’amour et la tendresse. Mais tous sont intéressés par la même chose : notre énergie vitale.

Ces êtres utilisent tout ce qui est disponible, mais ils préfèrent la conscience organisée. Ils drainent les animaux depuis la partie de leur attention qui n’est pas trop fixée. Ils attaquent aussi la plupart des êtres inorganiques, sauf lorsque ceux-ci les voient et les esquivent comme nous le faisons avec les moustiques. Les seuls qui tombent totalement dans leur piège sont les être humains !

Dimensions

 

 

Tout cela se passe sans que nous ne nous en rendions compte, parce que nous héritons de cet échange avec ces êtres comme s’il s’agissait d’une condition génétique, et cela nous semble naturel. Lorsque quelqu’un naît, la mère le fait généralement baptiser, car son esprit est lui aussi contrôlé. Baptiser l’enfant, c’est comme signer un contrat. Dès ce moment, la mère s’efforce de lui inculquer des modes de conduite acceptables ; elle l’apprivoise, réduit son côté destructeur et le convertit en une brebis docile. Lorsqu’un enfant a suffisamment d’énergie pour rejeter cette imposition, mais pas assez pour entrer sur le chemin de la Lumière, il devient un rebelle ou un délinquant.

En échange de notre énergie, ces êtres nous ont donné notre mental, nos attachements et notre ego. Pour eux, nous ne sommes pas des esclaves mais une espèce d’ouvriers salariés. Ils accordèrent ces privilèges à une race primitive et lui donnèrent la faculté de penser, qui était nécessaire à notre évolution. En fait ils nous ont civilisés. Sans cela, nous serions encore cachés dans des grottes ou en train de chercher des fruits au sommet des arbres.

Ils nous contrôlent au travers de nos traditions et de nos coutumes. Ils sont les maîtres de nos religions, les créateurs de notre histoire. Nous écoutons leur voix à la radio et nous lisons leurs idées dans les journaux. Ils dirigent tous nos moyens d’information et nos systèmes de croyance. Leur stratégie est parfaitement rodée.

Durant des millénaires, ils ont concocté des plans pour nous collectiviser. Il y eut une époque où ils n’hésitaient pas à se montrer en public, et les hommes en firent des représentations de pierre. Ces temps étaient obscurs, et ils pullulaient partout. Mais à présent leur stratégie est devenue tellement subtile que nous ne savons même plus qu’ils existent. »

Pourtant la libération est possible. Aucun être humain ne serait soumis à ces créatures s’il s’était libéré. Les hommes et les femmes qui se sont libérés ont retrouvé leur vraie personnalité, leur vraie force et leur vraie façon d’êtres humains. Mais la libération est aussi une bataille que nous devons accepter de livrer contre ces prédateurs qui considèrent que nous leur appartenons. Ceux qui sont décidés à se libérer se trouvent encore confrontés à ces êtres, mais de manière différente : ils utilisent la séduction, la fascination du mal et la tentation pour tenter de les faire rechuter et de les maintenir sous leur joug. Mais progressivement, ils finissent par lâcher prise et plier bagages.

L’enjeu de toute incarnation humaine est de gagner cette bataille ; et le jeu en vaut vraiment la chandelle. Les êtres libérés sont purs et lumineux. Lorsque le vice les a quittés, ils deviennent beaux et rayonnants et retrouvent facilement leur voie. Peu ont le courage d’entreprendre cette incroyable aventure, mais ceux qui s’y risquent ne le regrettent jamais ; c’est un courage qui est récompensé par l’éveil de nouvelles facultés et l’apparition de forces nouvelles et jusqu’alors inconnues et inaccessibles. C’est pourquoi le nouvel Âge d’Or de l’humanité ne pourra réellement commencer qu’au moment de sa libération.

Nous pouvons tous et chacun d’entre nous y parvenir en dominant notre nature inférieure, mais il faut d’abord acquérir une force de caractère, maîtriser son attirance et son entente avec le monde des possédés, ses multiples pièges et ses tentations. Il faut garder la tête froide et ne pas céder ; c’est dur, mais c’est à notre portée.

Qui fixe son idéal au-dessus de lui vers Dieu, vers le Ciel, vers le grand Tout trouve son étoile et son chemin ; et des aides accourent et l’homme accède enfin à sa vraie nature.

Ce qui subsiste en nous d’humanité, c’est-à-dire l’essence divine qui nous habite a considérablement diminué au cours des siècles. Nous nous sommes peu à peu éteints jusqu’à notre arrivée dans l’époque actuelle, celle du Kali Yuga, de l’Âge Sombre. Mais notre véritable nature originelle demeure néanmoins puissante ; c’est elle qui continue de nous pousser vers la véritable spiritualité, la quête mystique et l’idéal de fraternité entre tous les hommes. C’est aussi ce qui nous pousse vers le Ciel, vers l’Amour et vers la Vérité, car nous conservons la nostalgie de nos origines célestes et divines.

yoga

 

 

Il y a quelque chose que nous devons tenter, une chose très simple, c’est de consacrer un peu de son temps à observer ce qui se passe en soi-même ! Si l’on peut comprendre la nécessité de le faire sur une base régulière, et l’accepter, on se rapproche de la libération. Chacun peut le faire, et puisqu’il peut le faire, il doit le faire. Les ombres ont la faculté de nous faire croire que leurs pensées sont les nôtres. C’est de cette manière que fonctionne le système même de la possession. Mais c’est un système fragile qui repose sur une illusion. Et une fois l’illusion découverte, il devient facile de s’en affranchir !

Si l’on continue à nourrir les ombres, on passe l’étape et on continue, comme avant, à végéter dans le bas-astral, et rien n’évoluera ; le monde ne changera pas et ira vers une destruction irrémédiable et irréversible. Continuer c’est, comme Pilate, accepter cette éventualité en s’en lavant les mains. Mais ce n’est pas la solution !

Dans le passé, nos prédateurs nous tenaient par notre crédulité, aujourd’hui ils y parviennent par le matérialisme. Si nous parvenions à repousser ces entités, nous récupérerions en une semaine toute notre vitalité et nous serions à nouveau brillants ! Mais, en tant qu’êtres humains ordinaires, nous avons du mal à envisager cette possibilité parce qu’elle impliquerait que nous soyons prêts à renoncer à nos traditions, à nos habitudes et à notre matérialisme.

Alors nous nous sentons malheureux, accablés, nous avons la sensation que personne ne nous voit et ne peut nous secourir… Nous nous trompons : en réalité, il y a des milliers d’entités qui sont là et qui veillent. Appelez ces entités à votre secours en projetant de la lumière, votre amour, votre espérance et votre foi !

Si nous arrivons à attirer l’attention de ces entités qui travaillent au service de la Lumière, elles sont capables d’ouvrir en nous des portes, des fenêtres pour y faire entrer leur paix et leur joie. C’est tellement facile pour elles de nous apercevoir et de se diriger vers nous pour nous aider ! Même si elles sont occupées à de grands travaux, les ondes que produit une prière fervente les alertent immédiatement.

Celui qui se lamente, qui se laisse envahir par la révolte, la haine, le doute ou tout autre sentiment négatif, ne peut être vu ni secouru par les entités de la Lumière, car il reste dans les ténèbres, il se confond avec l’obscurité. Mais dès qu’il lance des signaux lumineux vers le Ciel, il se sépare alors des ténèbres et il est immédiatement aperçu.

 

Sources:A. Torres ,Rencontres avec le Nagual …conversations avec Carlos Castaneda,de Rouvroy 

 

 

 

 

 

Une prière venue du fond des âges

Les morts ne sont pas mort! Je rejoindrai la lumière de Ra, je deviendrai ancêtre au coté des ancêtres, je continuerai a veiller sur les miens car même au dela de la mort, je ne suis pas mort, je vis encore et brille plus fort! Jusqu'a la réincarnation de l'esprit dans un coprs nouveau que Amon Ra aurait choisi pour moi l'élu(e) moi "le mort" JE NE LE SUIS PAS, l'ame immortelle, je vivrai éternellement en tant que fervent défenseur de la loi divine Maat auprès du créateur Amon RA et ses enfants.
Les morts ne sont pas mort!
Je rejoindrai la lumière de Ra, je deviendrai ancêtre au coté des ancêtres, je continuerai a veiller sur les miens car même au dela de la mort, je ne suis pas mort, je vis encore et brille plus fort! Jusqu’a la réincarnation de l’esprit dans un coprs nouveau que Amon Ra aurait choisi pour moi l’élu(e) moi « le mort » JE NE LE SUIS PAS, l’ame immortelle, je vivrai éternellement en tant que fervent défenseur de la loi divine Maat auprès du créateur Amon RA et ses enfants.

Un bébé meurt de froid en Syrie :vaut-il moins qu’un bébé américain?

Ce bébé est mort de froid ,en Syrie.Comment peut-on rester impassible.
Ce bébé est mort de froid ,en Syrie.Comment peut-on rester impassible devant la mort d’un enfant?

Beaucoup  de gens,à  cause du contrôle médiatique au Canada et aux États-Unis d’Amérique croient  que c’est devenu banalisé que d’entendre parler de  personnes  qui meurent en Syrie!

Connaissant le rôle que nos gouvernements  ont joué dans la fausse rébellion organisée en Syrie ,en détournant des milliards de dollars en fonds publics ,pour déséquilibrer le gouvernement légitime du peuple ,peut-on signifier notre honte et notre totale désapprobation devant ces enfants qui meurent au nom du néolibéralisme et du capitalisme  oligarchique?

Je fais appel à vous ,journalistes occidentaux: pourriez-vous de temps en temps ,montrer un peu plus de  réalités  parfois dans vos brillants exposés mensongers?

Je pose la question : un bébé syrien qui meurt ,dans les bras de sa mère, pour les mensonges d’Obama et de la politique impérialiste du Nouvel Ordre  Mondial, vaut-il moins qu’un bébé américain qui meurt d’embonpoint dans l’opulence et l’indifférence de ses parents  riches,mais déficients ?

Le regretté président John Fitzgerald Kennedy affirmait haut et fort que nous vivions tous sur la même planète,que nous respirions tous le même air …est-ce que cette affirmation est devenue fausse et sans valeur depuis que Barack Hussein Obama est devenu président des États-Unis d’Amériques?

Je pense qu’au nom de tous les enfants  nicaraguayens ,cubains,iraniens,irakiens,syriens et peut-être un de ces jours ukrainiens  ou même russes qui sont morts dans le passé,ou qui se meurent actuellement ou qui mourront un jour ,par manque de chaleur,de nourriture ou de soins…je pense que le Peuple Américain doit se reprendre en main et mettre de l’avant une Deuxième Révolution Américaine afin de redonner le pouvoir au Peuple et… la confiance dans le coeur  de toute l’Humanité associé au respect des plus pauvres d’entre nous tous!

Périclès et la Révolution Mondiale

Périclès  prononce un discours funèbre en hommage  à ceux qui ont donné leur vie pour la patrie.
Périclès prononce un discours funèbre en hommage à ceux qui ont donné leur vie pour la patrie.

Avez-vous remarqué comment tout se brise vite ,tout s’écroule après une courte vie autour de nous?

Au Québec ,nos ponts,nos routes et nos édifices sont à l’image de notre démocratie: ces choses sont corrompues  et s’autodétruisent toutes seules.

Vous vous demandez surement ce que vient faire un homme politique grec ,comme Périclès dans la cour politique du Québec quand  je parle de corruption  et de démocratie?Bien, c’est très simple à comprendre : Périclès s’occupait avec intérêt de la chose publique,parce que c’était son bon plaisir,tandis que les politiciens que nous connaissons au Québec,s’occupent de  gérer les affaires publiques pour leurs petits intérêts personnels.

Tant que Périclès garda le pouvoir politique entre ses mains,la corruption était tenue à l’écart,mais elle se répandit dans la belle cité d’Athènes aussitôt qu’il décédait.Au Québec,c’est exactement le contraire:nous avons vécu l’évolution politique de Jean Charest qui nous montre que la corruption et le crime organisé sont devenu des composantes génétiques  du système politique ,au Québec.

Afin de pouvoir un peu s’en inspirer,je me permets  de vous  faire une petite  recherche sur ce grand homme qui donna son nom à tout un siècle:Périclès!

Périclès

Périclès régna sur la démocratie athénienne presque sans interruption pendant plus de trente ans, à partir de 462 av. J.-C. Il fit la gloire de sa cité et prépara sa ruine. Quand un homme né pour le pouvoir est aussi capable d’admirer Phidias et Anaxagore, alors l’histoire humaine connaît l’un de ses grands moments. Périclès avait le génie du génie.

Biographie

Au moment où Périclès accède aux plus hautes fonctions, Athènes est déjà engagée dans un processus qui l’oblige, pour payer ses largesses aux citoyens, à accroître son empire en augmentant le tribut exigé de chaque cité conquise. La dégradation de la situation est inévitable. Périclès fera durer le statu quo pendant plus de trente ans et ce statu quo sera l’une des époques glorieuses de l’humanité.Les conditions pour que s’accomplisse le miracle grec étaient réunies. Il ne manquait à Athènes qu’un chef qui soit à la hauteur des circonstances, comme Solon, Pisistrate et Clisthène l’avaient été. Ce chef, ce sera Périclès qui présidera aux destinées d’Athènes pendant plus de trente ans, de l’an ~ 462 à sa mort, survenue en ~ 429.Comme ses plus illustres prédécesseurs, Périclès est un aristocrate qui a conquis le coeur des Athéniens en donnant l’exemple de la vertu. À sa mort, on constata que sa fortune ne s’était pas accrue. Il donna plus à sa cité qu’il ne reçut d’elle. La sollicitude dont il fit toujours preuve pour son meilleur ami, le philosophe Anaxagore, donne la mesure de son humanité. Ayant renoncé à ses terres, Anaxagore avait toujours vécu, bien modestement, de la générosité de Périclès. «On dit, raconte Plutarque, que dans sa vieillesse, se voyant négligé par Périclès, que ses grandes affaires empêchaient de penser à lui, il se coucha et se couvrit la tête de son manteau, résolu de se laisser mourir de faim. Périclès n’en fut pas plus tôt informé qu’accablé de cette nouvelle, il courut chez lui, et employa ses prières les plus pressantes pour le détourner de son dessein: – « Ce n’est pas vous que je pleure lui disait-il, c’est moi qui vais perdre un ami dont les conseils me sont si utiles pour le gouvernement de la république ». Alors, Anaxagore se découvrant la tête: – « Ceux qui ont besoin d’une lampe ont soin d’y verser de l’huile. »»

Périclès fut-il un roi plébiscité, comme certains le lui ont reproché, ou un authentique représentant du peuple? Fut-il un démagogue rusé ou un serviteur éclairé de la chose publique? À l’altitude où il se meut, les contraires se rejoignent. Le peuple lui donna le pouvoir pour longtemps, mais Périclès fut toujours tenu de rendre des comptes. Il était aimé, admiré, mais non idolâtré et il craignait sans doute plus le peuple que le peuple ne le craignait.

Une population qui, au théâtre, accordait le premier prix tantôt à Sophocle, tantôt à Euripide, qui admirait des sculpteurs comme Phidias, discutait avec des philosophes comme Anaxagore et Socrate, pouvait-elle idolâtrer son chef? Elle se moquait plutôt de lui avec une aimable familiarité. Son surnom de «tête d’oignon» était connu de tous. Il avait, en effet, la tête d’une longueur disproportionnée. Quand il ordonna la construction de l’Odéon, le poète comique Cratinus se moqua de lui en ces termes:

«Ce nouveau Jupiter à tête d’oignon
Et dont le vaste crâne est gros de l’Odéon,
Périclès, vient à nous, tout fier de l’avantage
D’avoir de l’ostracisme évité le naufrage.»

Même quand il était au faîte de sa gloire, il pouvait accueillir de bonne grâce une critique et même une raillerie. Après son éclatante victoire contre Samos, il fit lui-même l’oraison funèbre des citoyens morts dans cette guerre. «Lorsqu’il descendit de la tribune, nous dit Plutarque, toutes les femmes allèrent l’embrasser et lui mirent sur la tête des couronnes et des bandelettes, sauf Elpinice qui lui dit, en s’approchant: « Voilà sans doute Périclès, des exploits bien admirables et bien dignes de nos couronnes, d’avoir fait périr tant de braves citoyens, non en faisant la guerre aux Phéniciens ou aux Mèdes, comme mon frère Cimon, mais en ruinant une ville alliée qui tirait de nous son origine ». Périclès se mit à sourire…»

Il arrivait que l’Assemblée refuse à Périclès les crédits qu’il réclamait. «Très bien, dit-il un jour dans une telle circonstance: je paierai moi-même les travaux, mais je mettrai mon nom sur les monuments et non celui du peuple d’Athènes». «À ces mots, nous dit Plutarque, soit par admiration pour sa grandeur d’âme, soit par jalousie, on ne voulut pas lui céder la gloire de tant de beaux ouvrages, tout le peuple s’écria qu’il n’avait qu’à prendre dans le trésor de quoi en couvrir les frais et de ne rien épargner.»

Ce fut un orateur de tout premier ordre. On a parfois le sentiment que ses concitoyens le contredisaient pour le seul plaisir de l’obliger à faire un beau discours. Thucydide, l’un de ses principaux rivaux devant l’Assemblée, était aussi un de ses admirateurs. «Quand je lutte contre lui, disait-il, et que je l’ai jeté par terre, il soutient qu’il n’est pas renversé et il finit par le persuader aux autres spectateurs.»

Il faisait la guerre par nécessité; c’est dans le développement des arts qu’il mettait son plaisir et s’il perdit jamais le sens de la mesure, ce fut dans la recherche de la beauté. Jamais un programme de plein emploi – car c’était là le but de Périclès – ne produisit tant de chefs-d’oeuvre. Le Ve siècle av. J.-C. est appelé tantôt le Siècle d’or, tantôt le Siècle de Périclès. La statue d’Athéna, exécutée par Phidias, était en or. C’est ce chef-d’oeuvre qui donna le ton des travaux d’embellissement d’Athènes, dont Phidias assura d’ailleurs l’intendance.

Cinq siècles plus tard, les visiteurs d’Athènes étaient encore étonnés qu’on ait pu en si peu de temps construire des monuments destinés à l’immortalité. D’habitude, le temps consacré à la réalisation d’une oeuvre donne la mesure de sa longévité. «Aussi, ce qui rend plus admirables les édifices de Périclès, nous dit Plutarque, c’est qu’achevés en si peu de temps, ils aient eu une si longue durée. Chacun des ouvrages était à peine fini qu’il avait déjà, par sa beauté, le caractère de l’antique; cependant aujourd’hui, ils ont toute la fraîcheur, tout l’éclat de la jeunesse: tant y brille cette fleur de nouveauté qui les garantit des impressions du temps! Il semble qu’ils aient eux-mêmes un esprit et une âme qui les rajeunissent sans cesse et les empêchent de vieillir».

Deux mille ans après ce commentaire de Plutarque, on admire toujours le Parthénon.

Anaxagore, l’ami et le maître

Quelle éducation Périclès avait-il donc reçue pour exceller ainsi dans tous les domaines, pour s’entourer de la plus belle constellation de génies qui ait jamais été rassemblée dans un même lieu et pour donner une indicible unité à la variété des oeuvres qu’il ordonnait, depuis les jeux de musique de la fête des Panathénées jusqu’à la chapelle des mystères à Éleusis?

Nous avons vu comment Périclès s’est porté au secours du philosophe Anaxagore, quand ce dernier était disposé à se laisser mourir. L’amitié de ce sage, qui était aussi un savant, eut sur lui le même effet bienfaisant que celle de Solon sur Pisistrate.

«L’ami le plus intime de Périclès, nous dit Plutarque, celui qui contribua le plus à lui donner cette élévation, cette fierté de sentiments, peu appropriée, il est vrai, à un gouvernement populaire; celui enfin qui lui inspira cette grandeur d’âme qui le distinguait, cette dignité qu’il faisait éclater dans toute sa conduite, ce fut Anaxagore de Clazomène, que ses contemporains appelaient l’Intelligence, soit par admiration pour ses connaissances sublimes et sa subtilité à pénétrer les secrets de la nature, soit parce qu’il avait le premier établi pour principe de la formation du monde, non le hasard et la nécessité, mais une intelligence pure et simple qui avait tiré du chaos des substances homogènes. Pénétré de l’estime la plus profonde pour ce grand personnage, instruit à son école dans la connaissance des sciences naturelles et des phénomènes célestes, Périclès puisa dans son commerce non seulement une élévation d’esprit, une éloquence sublime éloignée de l’affectation et de la bassesse du style populaire, mais encore un extérieur grave et sévère que le rire ne tempérait jamais, une démarche ferme et tranquille, un son de voix toujours égal, une modestie dans son port, dans son geste et dans son habillement que l’action la plus véhémente, lorsqu’il parlait en public, ne pouvait jamais altérer. Ces qualités, relevées par beaucoup d’autres, frappaient tout le monde d’admiration.»

Cette vision d’un monde gouverné par une intelligence suprême est de toute évidence le principe secret de la merveilleuse unité que Périclès a introduite dans toutes ses oeuvres. Les penseurs de cette époque s’intéressaient aussi bien aux lois qui régissent l’univers qu’à celles qui régissent les sociétés humaines. La politique était à leurs yeux indissociable de la cosmologie. La ressemblance entre le macrocosme et le microcosme allait de soi. Le macrocosme c’était l’univers, le microcosme c’était tantôt la Cité, tantôt l’âme humaine.

Cette intelligence qu’Anaxagore voyait à l’oeuvre dans le cosmos, Périclès s’efforça de la faire régner sous la forme de la justice, dans la cité qu’il dirigeait, sous la forme de l’harmonie, dans les oeuvres d’art qu’il commandait. Dans un poème intitulé Le temple d’Éphèse,Victor Hugo trouvera des accents inoubliables pour évoquer l’unité d’inspiration des grandes cités grecques dont Athènes est le modèle:

«Ma symétrie auguste est soeur de la vertu…
Sparte a reçu sa loi de Lycurgue rêveur,
Moi, le temple, je suis législateur d’Éphèse;
Le peuple en me voyant comprend l’ordre et s’apaise;
Mes degrés sont les mots d’un code, mon fronton
Pense comme Thalès, parle comme Platon,
Mon portique serein, pour l’âme qui sait lire,
À la vibration pensive d’une lyre,
Mon pérystile semble un précepte des cieux;
Toute loi vraie étant un rythme harmonieux,
Nul homme ne me voit sans qu’un dieu l’avertisse;
Mon austère équilibre enseigne la justice;
Je suis la vérité bâtie en marbre blanc;
Le beau, c’est, ô mortels, le vrai plus ressemblant;
Venez donc à moi, foule, et, sur mes saintes marches,
Mêlez vos coeurs, jetez vos lois, posez vos arches;
Hommes, devenez tous frères en admirant;
Réconciliez-vous devant le pur, le grand,
Le chaste, le divin, le saint, l’impérissable;
Car, ainsi que l’eau coule et comme fuit le sable,
Les ans passent, mais moi je demeure; je suis
Le blanc palais de l’aube et l’autel noir des nuits
Chef-d’oeuvre pour les yeux et temple pour les âmes.»

La séparation de la pensée appliquée à l’univers et de la pensée appliquée à l’humanité est au contraire l’une des caractéristiques de la modernité occidentale. D’un côté, nous ne reconnaissons dans l’univers que la force; de l’autre, nous nous croyons en mesure de faire régner dans les sociétés humaines un principe autre que la force: la justice.

Anaxagore devait cependant être bien près de penser la chaîne des causes comme nous le faisons aujourd’hui, puisqu’il a mis Périclès en garde contre la superstition. «Périclès, poursuit Plutarque, a encore appris d’Anaxagore à s’élever au-dessus de cette faiblesse qui fait qu’à la vue de certains météores, ceux qui n’en connaissent pas les causes sont remplis de terreur, vivent dans une crainte servile des dieux et dans un trouble continuel. La philosophie, en dissipant cette ignorance, bannit la superstition toujours alarmée, toujours tremblante, et la remplace par cette piété solide qui soutient une ferme espérance.»
Il y eut une fois un chef ayant comme projet d’imprégner sa cité 
d’une intelligence semblable à celle qui gouverne l’univers.

Périclès évita peut-être une catastrophe grâce à cet enseignement. Une éclipse du soleil survint un jour où une imposante flotte s’apprêtait à appareiller pour une mission importante. Craignant le pire parce que la panique s’était emparée des troupes, Périclès fit venir le pilote et lui mit son manteau devant les yeux. «Eh bien! lui dit-il, quelle différence y a-t-il entre mon manteau et ce qui cause l’éclipse, sinon que ce qui produit les ténèbres est plus grand que mon manteau?»

Le maître de Périclès apparaît comme le lointain précurseur des théories actuelles sur l’évolution de l’univers. Si, disait-il, les choses, tout en ayant une identité qui les rend irréductibles les unes aux autres, peuvent néanmoins naître les unes des autres – comme le cheveu qui sort de la tête – c’est que chacune d’elles renferme le principe de toutes les autres. Chaque chose est dénommée d’après la qualité qui prédomine en elle; mais l’infinité des autres qualités y est présente quoique indistincte. À l’origine du mouvement circulaire, qui opéra la différenciation des éléments et donc l’évolution de l’univers, il y a l’Intelligence suprême.

Anaxagore fut banni d’Athènes pour impiété, mais peut-être avait-on voulu toucher Périclès dans la personne de l’un de ses amis très chers. Les Athéniens lui reprochaient d’avoir soutenu que le soleil était une pierre incandescente et la lune une terre!

Enfin, Anaxagore a sans doute été l’un des premiers mathématiciens à apprivoiser la notion d’infini. On pense que dans la prison où il aurait séjourné avant son exil, il se serait attaqué au problème de la quadrature du cercle. Il aurait aussi soutenu que les grandeurs sont divisibles à l’infini.

Sous le charme d’Aspasie

Périclès eut aussi comme maître Zénon, un autre philosophe, de même que Damon que l’on pourrait qualifier de musicien politicologue. Périclès s’exposa en outre au rayonnement d’une grande dame qu’il aima toujours passionnément en dépit de toutes les calomnies dont elle fut l’objet: Aspasie, sa seconde femme, la première l’ayant quitté à l’amiable après lui avoir donné deux fils.

Les Athéniennes n’étaient pas toutes comme Xantippe, la femme de Socrate, reléguées à une grincheuse obscurité et les hommes en vue n’avaient pas tous des préférences pour les beaux garçons. «L’attachement de Périclès pour Aspasie, raconte Plutarque, fut une véritable passion. […] Il l’aima si tendrement, qu’il ne sortait et ne rentrait jamais chez lui sans l’embrasser».

Périclès se serait attaché à elle à cause de ses connaissances. Les poètes comiques étaient plutôt d’avis que le grand homme s’était laissé séduire par une courtisane dont l’influence était encore plus grande que la sienne. Socrate fréquentait son salon et sa réputation était telle de par le monde que le roi des Perses, Cyrus, donna le nom d’Aspasie à celle de ses concubines qu’il aimait le plus.

Platon dit qu’Aspasie était réputée pour ses leçons de rhétorique. Les Athéniens les plus en vue menaient leur femme dans sa maison, pour qu’elles apprennent à parler en l’écoutant. Ils prenaient un certain risque, disaient les méchantes langues, car elle pouvait aussi leur apprendre le métier de courtisane!

Son rôle dans la politique athénienne semble avoir été considérable, son influence sur Périclès importante. Athènes fut à un certain moment en guerre contre Milet. Or, Aspasie était de Milet, comme le sage et savant Thalès. Cette cité ionienne, exposée aux parfums de l’Orient, avait atteint un très haut degré de raffinement. Pour sauver Milet, Périclès persuada les Athéniens d’envahir plutôt Samos.

Tout au cours de l’histoire, Aspasie aura, comme ce fut le cas de son vivant, ses admirateurs et ses dénigreurs, mais saurons-nous jamais ce que pouvait être, à l’époque de Périclès une grande courtisane capable de séduire Socrate et ses amis?

Toi aussi, Périclès!

Il est difficile d’imaginer un homme d’État qui se soit plus approché de la perfection que Périclès. Hélas! Pendant tout le temps où il a exercé le pouvoir, un pouvoir devenu absolu vers la fin, on lui a adressé un reproche majeur qui semble justifié: pour financer ses grands travaux et s’attacher le peuple d’Athènes, il a puisé dans le trésor de la Confédération des cités grecques. C’est un peu comme si les présidents américains avaient, après la guerre de 1939-45, puisé en toute liberté dans le Trésor des Nations-Unies. Les cités grecques, en vue d’assurer leur défense commune contre les Perses, avaient constitué un trésor auquel elles contribuaient à proportion de leur importance. Le trésor avait d’abord été déposé à Délos. Endroit dangereux, dirent les Athéniens, à la portée de l’ennemi. Ils obtinrent ainsi qu’il soit transporté dans leur cité. La contribution des autres cités risquait alors de devenir une taxe devant servir au développement d’Athènes. C’est ce qui se produisit sous Périclès.

Ce dernier a-t-il été poussé jusqu’à la démesure par son amour de la beauté et de la gloire? La mécanique du pouvoir l’a-t-elle contraint à s’attacher le peuple d’Athènes par des libéralités qui dépassaient les moyens de cette cité? Voici en tout cas le reproche que ses adversaires adressaient à Périclès: «La Grèce ne peut se dissimuler que, par la plus injuste et la plus tyrannique dépravation, les sommes qu’elle a consignées pour les frais de la guerre sont employées à dorer, à embellir notre ville, comme une femme coquette que l’on couvre de pierres précieuses; qu’elles servent à ériger des statues magnifiques, à construire des temples, dont tel a coûté jusqu’à mille talents.»

Voici ce que Périclès répondait: «Nous combattons pour les autres cités, et nous éloignons les Barbares de leurs frontières; ils ne fournissent pour la guerre ni chevaux, ni galères, ni soldats; ils ne contribuent que de quelques sommes d’argent, qui, une fois payées, n’appartiennent plus à ceux qui les livrent, mais à ceux qui les reçoivent, lesquels ne sont tenus qu’à remplir les conditions qu’ils s’imposent en les recevant. La ville, abondamment pourvue de tous les moyens de défense que la guerre exige, doit employer ces richesses à des ouvrages qui, une fois achevés, lui assureront une gloire immortelle. Des ateliers en tous genres sont mis en activité, l’emploi et la fabrication d’une immense quantité de matières alimentant l’industrie et les arts, un mouvement général utilisant tous les bras; telles sont les ressources incalculables que ces constructions procurent déjà aux citoyens, qui presque tous reçoivent, de cette sorte, des salaires du trésor public; et c’est ainsi que la ville tire d’elle-même sa subsistance et son embellissement.»

Périclès ne niait donc pas les faits qu’on lui reprochait, il tentait seulement de les justifier. S’il a réussi à le faire devant ses concitoyens, il n’a pas réussi à le faire devant l’histoire. Force est de constater que par ses largesses suspectes, il a précipité la chute d’Athènes, en dressant contre elle les cités jadis alliées et en affaiblissant le peuple de diverses manières: par les dissensions résultant de la répartition des largesses, par la facilité et les illusions entretenues dans la population, en somme, par une démesure générale résultant du fait que, dans les sociétés humaines, l’appétit vient en mangeant. Vers la fin de son règne, mot qui convenait alors, Périclès avait en effet besoin de tout son pouvoir de persuasion pour contenir les ardeurs conquérantes du peuple athénien. Ayant pris la douce habitude de tout se permettre impunément, ce dernier ne songeait qu’à s’enrichir par de nouvelles conquêtes. Cela devait le conduire à brève échéance au désastre de Sicile et à la défaite aux mains des Spartiates.

Périclès est mort en 429 av. J.-C., pendant la grande peste qui frappait alors Athènes. Les digues morales se sont-elles rompues en même temps que les digues biologiques? On est tenté de le croire tant on est frappé par la façon dont les événements malheureux se précipitèrent par la suite.

Le prix de la justice

Par-delà l’histoire d’Athènes, la conduite de Périclès soulève une question de portée universelle: pour assurer la justice à l’intérieur d’une cité ou d’un pays, faut-il donc pratiquer l’injustice contre l’extérieur? Depuis l’avènement de l’État de droit et de la démocratie, Athènes se trouvait dans une dynamique telle que pour assurer le progrès de l’ensemble de la société, il fallait maintenir l’équilibre entre les riches et les pauvres en améliorant le sort des uns et des autres; cela ne pouvait se faire que par des injustices du genre de celle que commit Périclès à l’endroit des autres cités membres de la Confédération.

Mais Périclès avait-il le choix de ses moyens d’action? Pouvait-il faire autre chose que retarder une déchéance qui avait commencé bien avant son avènement au pouvoir? Voici en quels termes Plutarque a pardonné à Périclès: «Périclès mérite donc toute notre admiration, non seulement par la douceur et la modération qu’il conserva toujours dans une multitude d’affaires si importantes et au milieu de tant d’inimitiés, mais plus encore par cette élévation de sentiments qui lui faisait regarder comme la plus belle de ses actions de n’avoir jamais, avec une puissance si absolue, rien donné à l’envie ni au ressentiment, et de n’avoir été pour personne un implacable ennemi.[…] Les événements qui suivirent la mort de Périclès firent bientôt sentir aux Athéniens toute la perte qu’ils avaient faite, et leur donnèrent les plus vifs regrets. Ceux qui, pendant sa vie, supportaient le plus impatiemment une puissance qui les offusquait, n’eurent pas plus tôt essayé, après sa mort, des autres orateurs et de ceux qui se mêlaient de conduire le peuple, qu’ils furent forcés d’avouer que jamais personne n’avait été ni plus modéré que lui dans la sévérité, ni plus grave dans la douceur. Cette puissance si enviée, qu’on traitait de monarchie et de tyrannie, ne parut plus alors qu’un rempart qui avait sauvé la république: tant, depuis sa mort, la corruption se répandit dans toute la ville, et y fit régner cette foule de vices que Périclès avait su contenir et réduire pendant sa vie, et qu’il avait empêchés de dégénérer en une licence qui serait devenue irrémédiable!»

En conclusion

Comprendre que l’homme n’a pas beaucoup évolué depuis Périclès ,est une chose.Ce qui est important c’est le contexte:actuellement ,la population mondiale atteint 7 milliards d’individus.L’atmosphère  contient de plus en plus de polluants divers,dont du bioxyde de carbone.Bientôt,l’air que nous respirons risque de se changer en poison mortel.Les grandes zones forestières sont détruites et surexploitées.La biodiversité est grandement menacée et nous sommes  réellement entré dans la Sixième Extinction Massive d’Espèces.Pire,les océans sont menacés par la radioactivité s’échappant  de la zone des centrales nucléaires de Fukushima et cela peut suffire à tout détruire.Non seulement,l’humanité est-elle menacée physiquement ,mais moralement encore plus, car la corruption et la violence  s’étendent partout.L’humanité ,le peuple des humains de la Terre est à la Merci de l’opulence,la concentration de pouvoirs ,le système esclavagiste du Nouvel Ordre Mondial ,le vol organisé des ressources collectives  et l’eugénisme rampant ,pour ne pas parler d’un génocide de plusieurs nations dont j’accuse ces mêmes criminels qui se prennent pour les Maîtres du Monde ,mais qui jouent aux apprentis-sorciers.

En tant que personnes responsables,nous avons le devoir de nous inspirer de Périclès,parce qu’il était un homme de pouvoir et de décision.Nous nous devons de nous inspirer d’un homme qui faisait bâtir dans la pierre pour perpétuer la culture  grecque alors que nos politiciens actuels ne font bâtir que pour le rendement et le profits immédiats.Aucun politicien actuel qu’il soit du Québec ou d’ailleurs dans le monde,ne semble préoccupé par le long terme .

En tant que nationalistes et socialistes,en tant qu’hommes et femmes  du peuple,nous sommes les 99% et dans son temps,même s’il était le dirigeant ,Périclès se sentait bien plus près des 99% que du 1% au sommet.C’est ce genre d’homme très rare dans l’histoire humaine qu’il faut prendre comme modèle afin de développer « une gestion parée du bouclier de l’Incorruptiblité. »

Pour que la Révolution Mondiale commence,invitons la déesse de la Justice à revenir sur Terre pour guider le Peuple!

Thémis,déesse de la Justice
Thémis,déesse de la Justice

(Sources: (Jacques Dufresne, La démocratie athénienne),(Plutarque,La vie de Périclès).)

Les enfants « blancs » victimes de l’esclavagisme sexuel en Afrique du Sud

Voici le laxisme de l'extrème-gauche bolchévique: Un  timbre commémoratif de l'Union Soviétique sur le 70e anniversaire de naissance de Nelson Mandela. Date d'édition: 18th Juillet 1988. Portrait de Nelson Mandela (combattant pour la liberté de l'Afrique). Русский: Марка СССР Н. Мандела (1988, ЦФА № 5971).
Voici le laxisme de l’extrème-gauche bolchévique:
Un timbre commémoratif de l’Union Soviétique sur le 70e anniversaire de naissance de Nelson Mandela. Date d’édition: 18th Juillet 1988. Portrait de Nelson Mandela (combattant pour la liberté de l’Afrique). Русский: Марка СССР Н. Мандела (1988, ЦФА № 5971).

Les valeurs d’hier sont maintenant inversées.En divisant les peuples entre eux,le Nouvel Ordre Mondial se fortifie!

Ou est l’ONU pour prétendre qu’il ne doit y avoir qu’une justice égale pour tous les humains de la Terre!

Pourquoi ce racisme noir  revanchard et anti-blanc  se développe-t-il?

Tolérer un crime ,c’est participer à son éxécution!

« La violence généralisée et les nombreux  meurtres en Afrique du Sud ont entraîné de nombreuses victimes à accepter de tout perdre et de se cacher, avec  dans certains cas ,de nombreuses personnes  cherchant à survivre  dans des logements de fortune, des bidonvilles ou dans les champs près des rivières. Sur les près de quatre millions  de Blancs  minoritaires vivant en Afrique du Sud, près d’un million vivent dans la misère économique.

Sonia Hruska (ancienne  partisanne de  Mandela) a décrit comment, dans certains cas, les jeunes individus blancs, les femmes blanches, surtout en raison de leur popularité, ont été enlevés et prostitués comme esclaves sexuelles. « La Traite des êtres humains n’est pas illégale en Afrique du Sud, et de nombreux jeunes  adolescentes  blanches sont droguées et vendues pour le sexe à travers le pays. La police ne fait rien à ce sujet, en fait, dans certains cas, ils sont impliqués dans la prostitution de ces femmes. « Pour Celles  qui réussissent à s’échapper,( a expliqué Hruska) , Allez dans la clandestinité, car il n’y a pas d’aide gouvernementale pour eux, et parce qu’ils sont trop gênées pour le  dire à leur famille ou amis.

« En tant que propriétaire d’entreprise, je peux avoir jusqu’à  25 ans de prison si j’emploie une personne blanche, par exemple. C’est  totalement ridicule, tu ne peux pas imaginer  comment une action aurait pu aller si loin. «  Les lois  sud-africaines du travail  sont totalement favorables à la majorité noire et nient  l’accès des petits travailleurs de la  minorité blanche au marché de l’emploi et les prestations sociales!

« Et si j’ai l’air ingrat  envers elle (Sonia Hruska), c’est parce que sans ces personnes crédules et altruiste au milieu de nous, il serait beaucoup plus difficile pour nos ennemis à saper nos institutions  et à nous détruire. Ce fait doit être mis en évidence, en dépit de sa suite d’auto-réhabilitation ».(Jeff Goodall)

« On peut se demander à la crédulité notoire de ces gens d’esprit libéral. L’ANC était connu de tous comme un front communiste, bien avant la fin de l’apartheid. L’idéologie bornée Mme Hruska a été consultant pour le gouvernement de Nelson Mandela de 1994 à 2001, impliqué dans la mise en œuvre de la politique gouvernementale « .

« Une fois que l’administration noire était bien mise en place, le carnage a commencé. Plus de 3.000 fermiers blancs ont été tués depuis 1994, année où Mme Hruska a commencé à travailler pour l’ANC, et je suis étonné qu’il ait fallu si longtemps pour qu’elle puisse «  se rattraper » . Mais se rattraper  comme  elle l’a fait, c’est  tout à son honneur, elle a finalement vu la lumière « .

« Il est absolument étonnant de lire son récit sur  la façon dont les blancs sont exclus des opportunités d’emploi à travers la loi d’ «action  affirmative », au point que les propriétaires d’entreprises peuvent en fait être emprisonnés pour l’embauche de personnes blanches, qui sont maintenant effectivement interdit de se livrer à une forme significative d’activité .L’économie   en Afrique du Sud ne va pas s’améliorer, et les blancs sont incapables de sortir de là, (et les pays occidentaux politiquement corrects ne veulent pas  d’immigrés «  racistes blancs» , seront abattus avec le même zèle et la  même sauvagerie que lorsque  20.000 Arabes de Zanzibar ont été abattus par des Noirs en 1964 « .

«Juste une petite remarque, le monde n’a pas prêté beaucoup d’attention à cela, soit, et vous avez probablement jamais entendu parler de ceci. Mais les noirs  commémorer chaque année ,avec les célébrations et un jour férié,le jour du  massacre de Zanzibar.

Voici un aperçu de l’état d’âme dans lequel se retrouve la société blanche ,en Afrique du Sud:

« Et puis, l’Afrique du Sud qui était autrefois l’une des plus belles et les plus avancés  des colonies britanniques, et plus tard a continué son ascension en tant que république Boer, va sombrer de nouveau dans la jungle de la  barbarie et rejoindre les autres exemples pathétiques de ce qui était autrefois avancées sur le plan humain  et les économies émergentes mais qui, une fois la main ferme du contrôle blanc a été retiré, s’est effondré dans l’ignorance, la superstition et la sauvagerie « .

«Pour ne pas se laisser distancer, le Canada, la Grande-Bretagne et d’autres pays blancs, ont ouvert leurs portes à des hordes de Noirs et d’autres à faible QI, qui ne peuvent intégrer sans avantages particuliers dans l’embauche et l’éducation. Ils importent des problèmes raciaux et sociaux qui n’existaient pas auparavant « .

« Tôt ou tard, le nombre de noirs dans nos grandes villes atteindra une « masse critique », et ils vont se retourner contre nous, aussi. Et l’Amérique connaîtra probablement cela  avant que le reste d’entre nous, en particulier (…) « .

L’écriture est sur le mur.

«Nous sommes dans une bataille pour notre survie raciale, et si nous nous laissons marginaliser et éclipser, il y aura une période prolongée » Sombre Période (Dark Age) « à partir de laquelle l’humanité, avec ses meilleurs et plus brillants  éléments disparus, n’aura pas la moindre chance de récupérer « .

(Lire le rapport complet de  Jeff Goodall :    http://www.jeff-goodall.com/?p=9467       )

VIDÉO:

http://youtu.be/syhT3nTWFdI