Enlevez les interprétations religieuses du conférencier (ancien franc maçon et ancien illuminati), pour le reste, ses informations sont bonnes, cela résume pour ceux qui ne connaissent pas qui sont les illuminatis, quel lien il y a avec la franc maçonnerie, comment sont nés ces réseaux pédophiles. Et surtout vous découvrirez en prime (après 38 min) quel est le secret du 33eme degré de la franc maçonnerie !
Dessin d’artiste de l’époque représentant le bombardement atomique d’Hiroshima.
A l’origine de la bombe atomique,il faut remonter à 1939 au tout début de l’arrivée massive d’émigrants venus de pays totalitaires,en Europe.
Parmi les scientifiques américains,on retrouve de nombreux réfugiés provenant des régimes fascistes en Europe, ce qui permit à l’Armée Américaine de prendre des mesures dès 1939 ,pour organiser un projet d’exploiter le processus de fission nouvellement reconnue à des fins militaires. Le premier contact avec le gouvernement a été fait par GB Pegram de l’Université de Columbia, qui a organisé une conférence entre Enrico Fermi et le ministère de la Marine, en Mars 1939. À l’été 1939, Albert Einstein a été convaincu par ses collègues scientifiques à user de son influence et de présenter le potentiel militaire d’une réaction de fission en chaîne incontrôlée au président Franklin D. Roosevelt. En Février 1940, $ 6,000 a été mis à disposition pour commencer la recherche sous la supervision d’un comité dirigé par LJ Briggs, directeur du National Bureau of Standards.
Enrico Fermi (1901-1954), physicien italien établi aux Etats Unis à partir de 1938 et prix Nobel la même année. En 1942 il réalisa à Chicago la première pile atomique. Enrico Fermi s’installa aux Etats-Unis après avoir reçu son prix Nobel en 1938. Il comprit le potentiel des découvertes d’Otto Hahn qu’il mit en pratique pour réaliser la première pile atomique.
Fait important
Le 6 Décembre 1941, le projet a été placé sous la direction de l’Office de la recherche scientifique et le développement, dirigé par Vannevar Bush,de la célèbre famille.
Vannevar Bush fut un grand inventeur,un précurceur de l’informatique et…un franc-maçon d’un haut dégré.
Vannevar Bush fut aussi l’un des membres fondateurs du Majestic 12 ,des consprateurs mis en place pour bloquer la vérité sur les ovnis.
HORS TEXTE
DES PAROLES DE VANNEVAR BUSH DURANT LE PROJET MANHATTAN
«L’opinion actuelle indique que l’utilisation réussie est possible, et que ce serait très important et pourrait être déterminant dans l’effort de guerre. Il est vrai aussi que si l’ennemi arrive avant nous à des résultats …que cela serait une affaire extrêmement grave.”
“Les meilleures estimations indiquent [mise au point de la bombe atomique] en fin 1944, si tous les efforts sont faits pour accélérer.” (Harrison-Bundy Files, RG 77, microfilm 1108, rouleau 4, dossier 58, Rapport au Président 9 Mars 1942 , Archives nationales).
“L’utilisation de la bombe atomique aurait mis fin la guerre. Sans aucun doute, la guerre aurait pris fin avant longtemps, en tout cas, pour le Japon avait été mis à genoux. … Pourtant, dans les faits nous l’avions prévu et tout était en mouvement au moment où la bombe est arrivée au moment d’un vaste programme d’invasion par les forces terrestres. … il était clair qu’une telle campagne aurait pu coûter des centaines de milliers de victimes parmi nos troupes “. (Vannevar Bush, les armes modernes et les hommes libres , p. 91-92).
Bush espère aussi l’utilisation de la bombe atomique alerterait le monde, non seulement pour les dangers de la guerre nucléaire, mais sur les dangers de la guerre moderne en général. Peu de temps après les bombardements atomiques, il écrivait à un ami:
“… Je crois qu’il est heureux que la bombe est arrivé quand elle l’a fait et de façon totalement spectaculaire. Sinon, nous aurions dérivé dans une situation, et de là à nous au moins ,de nous approcher avec nos yeux ouverts.” (Vannevar Bush Papers, Box 76, fichier RD Mershon, le 25 août 1945 lettre au colonel RD Mershon, Bibliothèque du Congrès).
Après l’entrée en guerre des Etats-Unis, le ministère de la Guerre a donné la responsabilité conjointe pour le projet Manhattan, à la famille Bush (associée à nombres de sociétés secrètes) et à une brochette de scientifiques contrôlés par l’Armée Américaine.
Dans un mémorandum secret, un scientifique du gouvernement du Canada Wilbert Smith a révélé, en fait, que le Dr Vannevar Bush a dirigé un “petit groupe” mis en place pour enquêter sur les ovnis – une question a déclaré Smith, “… est le sujet le plus hautement confidentiel dans le Royaume, a des niveaux plus élevés que la bombe H ,elle-même”.
Depuis la mi-1942, il était évident qu’une vaste gamme d’installations pilotes, des laboratoires et des installations de fabrication devait être construit par le US Army Corps (des ingénieurs) afin que les scientifiques réunis pourraient mener à bien leur mission. En Juin 1942, le “Corps of Engineers” du district de Manhattan s’était fait initialement attribué la gestion des travaux de construction (car une grande partie des premières recherches avaient été effectuées à l’Université Columbia, à Manhattan), et en Septembre 1942,le Brigadier General Leslie R. Groves a été mis en charge de l’ensemble des activités de l’Armée (activités d’ingénierie principalement) relative au projet. Le«Projet Manhattan» est devenu le nom de code pour des travaux de recherche qui s’étendent à travers le pays.
C’est ainsi qu’une couverture très opaque camouflait les activités financières des Bush et d’autres “extrémistes de l’ombre” ,afin de garantir leurs sacro-saints profits!
Des hommes “d’affaires” comme Howard Bush et des financiers internationaux liés aux Rotschild de Londres,en profiteront pour établir une richesse capitaliste qui ne tiendra pas compte ni des ennemis de la nation américaine,ni de leurs objectifs politiques mondialistes.C’est ainsi qu’Howard Bush fera affaire avec des banques hollandaises pour détourner des sommes d’argent énormes du Troisième Reich,afin de lui permettre de mettre la main sur des aciers spéciaux et des métaux rares,utilisés dans la fabrication d’avions à réaction,par exemple.
Tenu à l’écart des décisions importantes sur le Projet Manhattan,jusqu’à son existence même,Franklin Delano Roosevelt verra venir le danger de ces groupes d’infiltration liés à des sociétés secrètes puissantes.Il ordonnera une très intelligente enquête de sécurité qui aboutira à l’arrestation d’Howard Bush et au blocage de ses intérêts financiers:la guerre et le patriotisme obligent!
L’expertise allemande et la course à la bombe(la filière Illuminati)
Kurt Diebner,le grand physicien allemand qui mis au point la “première Bombe Atomique”…de ce nom!Le grand technicien du “Projet Uranium” ,c’est lui!C’est lui aussi qui fit fabriquer la fameuse bombe de l’Île Rügen
À regarder le nombre de scientifiques d’origine allemande autour du Projet Mahattan,on reste pensif: les principaux acteurs sont tous soient allemands (Einstein,Bohr,Oppeinheimer)ou italien (Fermi)…ou hongrois!
Niels Bohr…il changera de camps avec adresse ,au milieu du conflit.
Indépendamment de tout ce qui sert de propagande aux américains et à leurs alliés,la première bombe atomique opérationnelle qui explosât était allemande et toute la technologie et les penseurs qui venaient avec, étaient allemands aussi.J’attire votre attention sur un outil de recherche intéressant:la photo originale de “Fat Boy” ,la première bombe américaine destinée à Hiroshima scrupuleusement examinée en détails,à la loupe ,elle nous délivre beaucoup de mystères!Cette photo parle beaucoup …à qui cherche bien!
En fait ,pour qui sait observer,cette photo parle comme le témoin bavard d’un crime douteux!Une vraie
pièce à conviction!
De nombreuses pièces répertoriées sur la bombe elle-même,montrent clairement leur origine…allemande!
La bombe “Little Boy” qui tomba sur Hiroshima fut testée avec succès …par les Allemands…bien avant que les américains puissent tout comprendre …à grands frais!
La “trace de la filière allemande” est bien visible sur la bombe nucléaire lâchée sur Nagasaki.
Comment est-ce possible…autrement que si l’on s’est procuré ces pièces directement au fournisseur…via un intermédiaire?…et le meilleur intermédiaire possible ,côté américain,c’était Howard Bush lui-même ,le grand-père de Georges W. Bush!
Carte originale retrouvée dans les archives secrètes nazies montrant les effets d’une bombe de 18 kilotonnes sur le secteur de Ruegen …dès 1943!…2 ans avant Hiroshima!!!Alors que les américains étudiaient encore!
Et ce n’était qu’au mois de mai, après la capitulation allemande. Ce résultat représentait le fruit d’une course contre la montre, engagée en 1940 avec leurs homologues allemands pour la maîtrise de la fission nucléaire dans un but militaire.
Sollicité par trois physiciens hongrois ayant fui l’antisémitisme hitlérien, Leo Szilard, Edward Teller et Eugene Wigner, et même Albert Einstein s’y était lui même impliqué en signant dès 1939 une lettre où il était demandé au président Roosevelt de prendre au sérieux les possibilités d’emploi militaire de l’atome.
Alors que la guerre s’achève en Europe, il apparaît aux Américains que les inquiétudes soulevées en 1939 par Einstein et ses amis étaient sans fondement, les Allemands sont très en retard sur le plan des applications militaires de l’atome.
Le « plan Uranium » du Reich avait bien été mis en chantier en 1939, en vue d’étudier les réacteurs nucléaires et la séparation des isotopes ainsi que les possibilités d’explosions atomiques. Mais il n’impliquait pas plus de quelques dizaines de savants éparpillés sur l’ensemble du territoire. Et, de plus, nombre d’entre eux ne se consacraient pas exclusivement aux recherches nucléaires.
Comparativement, le plan Manhattan occupait lui des milliers de savants, ingénieurs et techniciens et disposait d’un budget colossal de plusieurs milliards de dollars.
A partir de ces données, les historiens ont conclu fort logiquement que le IIIe Reich était loin de pouvoir prétendre maîtriser le nucléaire.
Mais de nouveaux éléments viennent d’amener à reconsidérer cette idée toute faite.Les choses seraient à la fois plus compliquées et plus intéressantes.
Trois physiciens hongrois fuyant l’antisémitisme ont attiré l’attention du gouvernement américain sur les risques posés par le programme allemand de recherches nucléaires.De haut en bas : Edward Teller Leo Szilard et Eugene Wigner. Une fois l’Allemagne vaincue, Szilard ne voyait plus d’utilité à la bombe et, en juillet 1945, il fit circuler une pétition signée questionnant son usage contre le Japon.
L’approche historique des projets allemands visant à réaliser des armes nucléaires lors de la Seconde Guerre mondiale a évolué au fur et à mesure que de nouvelles sources devenaient accessibles.
Ainsi en 1992 les autorités britanniques rendaient disponible la transcription des conversations entre dix savants allemands internés en 1945 à Farm Hall près de Cambridge. Elles avaient été enregistrées secrètement. Or neuf d’entre ces chercheurs avaient été impliqués dans le plan Uranium (2). La nouvelle du bombardement d’Hiroshima sembla d’autant plus les surprendre que les savants allemands étaient persuadés d’avoir pris de l’avance sur les Alliés dans la course au nucléaire !Grâce aux Erich Bagge, Kurt Diebner, Walther Gerlach, Otto Hahn, Paul Harteck, Werner Heisenberg, Horst Korsching, Carl Friedrich von Weizsäcker, Karl Wirtz.
Albert Einstein
En 1940, le jeune et brillant Carl von Weizsäcker rejoint l’équipe de recherches dirigée par Werner Heisenberg.
Otto Hann et sa complice de travail,Lise Meitner seront grandement récompensés par la République Fédérale Allemande pour leurs travaux sur la bombe atomique allemande.Sur la photo,ils entourent Willie brant dans une cérémonie ou ils recevront le Prix de l’Hommage de l’Allemagne Unanime ,c’était le 14 mars 1959. Otto Hahn avait découvert la fission nucléaire et il fut horrifié quand ses gardiens anglais l’informèrent du bombardement atomique d’Hiroshima.Il se sentait personnellement responsable de la mort de ces centaines de milliers de civils.
De nouvelles pièces d’archives dérangeantes sont apparues en 2002 lorsque, dans le fonds Niels Bohr à Copenhague, on découvrit les brouillons de lettres, écrites à la fin des années 1950, où le savant rendait compte d’une visite effectuée en septembre 1941 par Heisenberg et von Weizsäcker dans le Danemark occupé. Après la guerre, les deux physiciens allemands avaient prétendu être allés à Copenhague tout simplement pour apporter leur aide à Bohr et obtenir sa collaboration afin de mener à bien leurs efforts visant à prévenir la fabrication d’armes nucléaires. Mais dans ces lettres Bohr contestait qu’il s’agisse d’aussi nobles motifs.
Une trouvaille récente dans les archives russes est venue enrichir la saga de l’atome allemand. Il s’agit en particulier de documents provenant de l’institut de physique Kaiser Wilhelm de Berlin. Parmi ces découvertes figurent quatre pièces majeures : un rapport officiel de von Weizsäcker effectué après un voyage à Copenhague en mars 1941 ; un projet de brevet rédigé par lui durant la même année ; un texte de brevet corrigé datant de novembre 1941 ; enfin le texte d’une conférence « grand public » donnée par Heisenberg en juin 1942.
Ces documents, ainsi que d’autres, ont été utilisés par Rainer Karlsch pour son livre controversé Hitlers Bombe .
*Hitlers Bombe, édité par Deutsche Verlags-Anstalt. c.f. aussi la revue Physics World d’avril 2005
Publié en mars 2005, cet ouvrage a ouvert un débat passionné visant à déterminer jusqu’où l’Allemagne était parvenue dans sa marche vers un armement nucléaire et si celui-ci était crédible.
Travaillant en collaboration avec le journaliste Heiko Petermann, Karlsch affirme qu’en mars 1945, une équipe de savants allemands aurait expérimenté un réacteur nucléaire et testé un « engin » dans l’est du pays, sur l’île de Rügen.
Le réacteur allemand à l’arrivée des GI américains.Totalement opérationnel!
Selon des témoignages oculaires, recueillis dès la fin de l’expérience et dans les deux décennies suivantes, l’essai aurait provoqué la mort de centaines de prisonniers de guerre et de détenus de camps de concentration. Bien que l’on n’ait pu établir si l’invention testée avait fonctionné de manière satisfaisante, on sait qu’elle était destinée à faire appel à la fission et à la fusion nucléaires.
Autrement dit, il s’agissait d’une arme atomique.
A la suite de la publication de Hitlers Bombe un autre document est sorti d’archives privées. Réalisée immédiatement après la fin de la guerre en Europe, cette pièce non-datée comprend les seuls plans connus d’une arme nucléaire allemande.
Samuel Goudsmith ,officier secret du Projet Paperclip.Il sait exactement ce qu’il cherche en Allemagne…et il va le trouver.Samuel Goudsmit avait parcouru l’Allemagne de long en large en 1945 avec la mission américaine Alsos pour étudier en détail chaque site consacré à l’atome afin d’en démonter les éléments utiles et en détruire les autres. Une des obsessions des Américains était de priver les Français de tout accès aux travaux allemands.
Qu’est-ce que les savants allemands savaient vraiment ?
Les hommes de Samuel Goudsmith en train de démonter et d’analyser le réacteur atomique allemand.
Au fil des années plusieurs auteurs sont arrivés à la conclusion qu’Heisenberg et ses collègues n’avaient pas compris le fonctionnement d’une bombe atomique. Parmi ceux-ci le physicien Samuel Goudsmit, qui publia en 1947 les résultats d’une enquête de l’armée américaine consacrée à l’effort allemand pour acquérir la bombe. En 1998, l’écrivain Paul Lawrence Rose concluait de même dans son livre “Heisenberg and the Nazi Atomic Bomb Project 1939-1945”.
Il convient de préciser que Samuel Goudsmit avait parcouru l’Allemagne de long en large en 1945 avec la mission américaine Alsos pour étudier en détail chaque site consacré à l’atome afin d’en démonter les éléments utiles et en détruire les autres. Une des obsessions des Américains était de priver les Français de tout accès aux travaux allemands.
Les Allemands auraient-ils mené à bien l’essai d’une « bombe sale » au cours des dernières semaines de la guerre sur l’île de Rügen dans la mer Baltique ?
Oui,car une photo de l ‘événement est resté cachée dans les archives secrètes du Reich!
Ces auteurs prétendaient que les savants allemands n’avaient pas compris la réaction en chaîne qui permet à des neutrons émis par de l’uranium-235 ou du plutonium de provoquer la fission du noyau atomique. Goudsmit comme Rose déclaraient aussi que les Allemands n’avaient pas compris non plus que le plutonium pouvait constituer un explosif nucléaire.
Ces critiques mettant en avant l’incompétence des chercheurs allemands semblaient être confirmées par l’enregistrement des conversations de Farm Hall, révélant qu’Heisenberg apprenant la nouvelle d’Hiroshima aurait initialement réagi par un calcul erroné concernant la masse critique, avant de rectifier celui-ci dans les jours suivants . Par ailleurs il y a d’autres preuves démontrant que, quelque soit la réaction d’Heisenberg à Farm Hall, ses collègues et lui même avaient compris que la bombe atomique fonctionnait grâce à la réaction en chaîne et que le plutonium comme l’uranium-235 étaient des matières fissibles.
Il n’est peut-être pas inutile de rappeler ici que le physicien allemand Werner Heisenberg (1901-1976) s’est fait connaître par ses travaux sur la mécanique quantique de l’atome et a obtenu le prix Nobel en 1932. Il est passé principalement à la postérité dans le domaine de la physique nucléaire grâce à son « principe d’incertitude ». Quant à Otto Hahn (1879-1968), également prix Nobel (1944), il découvrit en 1938 la fission de l’uranium.Ceci ne semble pas conforter le point de vue de Goudsmit et Rose.
Ainsi, en février 1942, les responsables militaires des recherches en armement décrivaient les progrès du « plan Uranium » dans un rapport intitulé « Production d’énergie à partir de l’uranium », retrouvé dans les années 1980. Celui-ci concluait que l’uranium-235, qui ne comprend que 0,7 % de l’uranium naturel le reste étant composé d’U-238 non-fissible, constituait un explosif nucléaire un million de fois plus puissant que les explosifs classiques. Il déclarait aussi qu’une fois le réacteur nucléaire en service, il pourrait produire du plutonium qui constituerait un explosif de puissance comparable. La masse critique d’une telle arme était située « entre 10 et 100 kilogrammes », estimation comparable à celle effectuée par les Alliés le 6 novembre 1941 et que l’on retrouve dans l’historique officiel du plan Manhattan, dit « Rapport Smyth » (2 à 100 kg).
En juin 1942, le ministre Speer et les plus hauts responsables militaires assistèrent à une réunion où Heisenberg leur expliqua les potentialités d’une bombe nucléaire.La volonté de fabriquer une bombe atomique à des fins militaires part de là.
Le projet de brevet de von Weizsäcker de 1941, qui constitue peut-être la plus remarquable trouvaille des archives russes, fait apparaître sans équivoque que celui-ci avait compris à la fois les propriétés du plutonium et ses applications militaires possibles.
L’historien David Irving avait trouvé dans les archives de Commission américaine pour l’énergie atomique à Oak Ridge, l’original de la proposition de von Weizsäcker datée du 1er juillet 1940.Rien de neuf sous le soleil.
Quelles ont été les véritables raisons du bombardement d’Hiroshima et Nagasaki par les Américains ? L’argument traditionnel (épargner les vies américaines en rendant inutile un débarquement au Japon) ne résiste pas à l’examen. Le débat fait rage entre les historiens depuis que les Américains ont publiquement admis qu’ils connaissaient en détail les positions du gouvernement japonais grâce à l’interception et au déchiffrement de ses communications les plus secrètes.Nous reviendrons là-dessus!
Von Weizsäcker avait également établi clairement que le plutonium pouvait être utilisé pour fabriquer une bombe puissante et il écrivait « Par rapport à l’énergie dégagée pour une masse égale, cet explosif serait dix millions de fois plus puissant que tout autre (explosif connu) et seulement comparable à l’uranium 235 à l’état pur ». Et il développait sa théorie dans la suite du document.
Ce texte était de nouveau présenté le 3 novembre 1941 sous le titre « Production d’énergie et de neutrons et création de nouveaux éléments par la fission de l’uranium ou d’éléments lourds proches ».
Cette nouvelle présentation différait de la précédente en deux points significatifs.
D’abord le brevet n’était plus déposé au seul nom de von Weizsäcker, mais de l’Institut Kaiser Wilhelm dans son ensemble. Ensuite toutes les mentions relatives à un explosif nucléaire ou à une bombe avaient été supprimées.
Ceci peut correspondre à une évolution dans le déroulement du conflit mondial : en novembre 1941, la perspective d’une rapide victoire allemande s’éloignait, ce qui n’était pas le cas auparavant . L’explication peut aussi résider dans une baisse d’enthousiasme de von Weizsäcker et de ses collègues pour l’application militaire de la fission nucléaire. Ce qui pourrait justifier les déclarations d’après-guerre d’Heisenberg et von Weizsäcker selon lesquelles ils avaient rendu visite à Bohr en septembre 1941 car ils avaient des scrupules à travailler sur cette arme de destruction massive.
La volonté de fabriquer la bombe atomique aurait commencé ici:En juin 1942, le ministre Albert Speer et les plus hauts responsables militaires assistèrent à une réunion où Heisenberg leur expliqua les potentialités d’une bombe nucléaire.Ici une photo de Speer prise durant l’hiver 1942,lors d’un autre discours!
Rappelons que le 22 juin 1941 la Wehrmacht avait lancé avec un succès dépassant toutes prévisions sa grande offensive de Russie. A l’automne, celle-ci s’enlisait pourtant avant d’être bloquée par un froid précoce.
C’est la thèse chaudement défendue par Thomas Powers dans un ouvrage publié en 1993, intitulé Heisenberg’s War (« la Guerre de Heisenberg »).
Mais un autre document parmi ceux découverts en Russie – le rapport de von Weizsäcker concernant son voyage à Copenhague au printemps 1941 – laisse penser qu’à cette époque du moins les recherches sur l’uranium l’enthousiasmaient. Par ailleurs, on sait qu’après la guerre des savants travaillant au même institut que Bohr ont accusé leurs deux collègues allemands d’être venus au Danemark dans un but d’espionnage. Il pourrait y avoir là une part de vérité dans la mesure où en mars 1941, alors que l’Allemagne n’avait pas encore envahi l’Union soviétique et devait selon toute probabilité gagner la guerre , von Weizsäcker écrivait au commandement militaire :
Jusqu’à l’invasion de l’Union soviétique, seul le Royaume-Uni faisait encore face au IIIe Reich en position d’assiégé dans ses îles. Le Danemark était lui dans une situation particulière : occupé sans combats en 1940, son souverain le roi Christian X n’avait pas quitté le pays où il pratiquait la résistance passive.
« On n’a pas entrepris à Copenhague de produire de l’énergie par fission de l’uranium. On y sait qu’en Amérique Fermi a lancé des recherches dans ce domaine, mais il n’y a pas de nouvelles informations de parvenues depuis le début de la guerre. Manifestement le professeur Bohr ignore que nous travaillons sur ces questions et bien sûr je l’ai conforté dans cette idée… La collection de la publication américaine Physical Reviews était complète à Copenhague jusqu’au numéro du 15 janvier 1941. J’ai rapporté des photocopies des plus importants articles. Nous avons pris des dispositions pour que l’ambassade d’Allemagne photocopie (fasse des photographies )des numéros à venir ».
Ceci ressemble en effet très fort à du renseignement scientifique effectué grâce à la « documentation ouverte ».
Le livre de Rainer Karlsch “Hitler’s Bombe” rappelle ce qui était déjà connu sur les travaux de recherche nucléaire effectués par les Allemands pendant la guerre et fait appel à des documents tirés des archives russes, à des témoignages oraux comme à l’archéologie industrielle, pour ouvrir de nouvelles voies dans ce domaine historique.
Durant la majeure partie du conflit deux équipes ont travaillé concurrentiellement sur les réacteurs nucléaires : l’une implantée à Gottow près de Berlin avait à sa tête un physicien militaire (donc peu médiatisé), Kurt Diebner ; l’autre regroupant des chercheurs dirigés par Heisenberg opérait à Leipzig et Berlin.
En effet, contrairement à son « concurrent » et aux camarades de détention de celui-ci à Farm Hall, Diebner est ignoré des dictionnaires et encyclopédies généralistes.
Alors que les expériences menées par Heisenberg utilisaient des couches d’uranium alternant avec un isolant, l’équipe de Diebner faisait appel à une technique supérieure avec des cubes d’uranium noyés dans l’isolant. Heisenberg n’a jamais voulu reconnaître les mérites de Diebner et des chercheurs travaillant avec lui, mais le prix Nobel utilisa la technique de son concurrent pour sa dernière expérience, effectuée à Haigerloch dans le sud-ouest de l’Allemagne.
Grâce à Karlsch on sait désormais que Diebner s’était arrangé pour effectuer une dernière expérience vers la fin de la guerre. Mais les détails sur cet essai manquent de clarté.
Après avoir réalisé une série de mesures, Diebner écrivit une courte lettre à Heisenberg le 10 novembre 1944, l’informant de l’expérience en suggérant qu’il y avait eu des problèmes avec le réacteur. Malheureusement l’on n’a pas retrouvé d’autres documents concernant cette dernière expérimentation du réacteur de Gottow.
Les investigations d’archéologie industrielle effectuées sur le site en 2002 et 2003 laissent penser qu’une réaction en chaîne au moins brève s’est produite, entraînant la mise hors service du réacteur.
L’histoire ne s’arrête pas avec la guerre : en 1955 Diebner déposait un brevet pour un nouveau type de réacteur nucléaire, qui manifestement était issu des recherches qu’il avait effectuées à la fin du conflit et particulièrement de sa dernière expérience.
En décembre 1943, Walther Gerlach fut placé par Gœring à la tête de la recherche allemande en physique.
Autre révélation du livre de Karlsch, encore plus surprenante : une équipe de chercheurs dirigée par Diebner aurait réalisé et expérimenté une arme nucléaire avec le ferme soutien de Walther Gerlach. Ce dernier était un expert en physique nucléaire, chargé en 1944 du « plan Uranium » pour le Conseil de la recherche du Reich. Il semble que Hahn, Heisenberg, von Weizsäcker et la plupart des savants réputés travaillant au « plan Uranium » ignoraient l’existence de cette arme nouvelle.
Il s’agissait d’un système faisant appel aux réactions de fission nucléaire, sans pouvoir être pour autant qualifié de bombe « atomique » comme celles utilisées contre Hiroshima et Nagasaki. Et bien qu’il soit aussi destiné à faire appel à la fusion nucléaire, il n’aurait rien eu à voir avec les bombes « à hydrogène » expérimentées par les Etats Unis et l’Union soviétique dans les années 1950.
A leur différence, des explosifs brisants classiques étaient disposés en charge creuse et non en masse compacte pour concentrer l’énergie et la chaleur en un point situé au centre. L’arme, qui faisait appel à l’uranium enrichi, était à considérer comme tactique plutôt que stratégique et n’aurait de toutes façons pas pu gagner la guerre.
Néanmoins on ignore l’efficacité du système et comment les réactions de fission et de fusion étaient effectivement provoquées.
Mais l’important est qu’une petite équipe de chercheurs travaillant dans les derniers mois de la guerre aurait essayé d’aboutir.
Peu après la fin de la guerre en Europe, un savant allemand ou autrichien dont on ignore le nom a rédigé un rapport décrivant les recherches concernant la bombe effectuées durant le conflit.
C’est encore Rainer Karlsch qui a découvert ce document, mais après la publication de son ouvrage. On y trouve des informations fiables et des spéculations qui le sont moins, qui pourraient provenir en partie du « plan Manhattan » lui même. Ainsi l’emploi du mot « plutonium » .
Le 6 aout 1945,le bombardement d’Hiroshima.
Si la bombe lancée sur Hiroshima utilisait l’uranium-235, celle qui fut larguée quelques jours plus tard sur Nagasaki faisait appel au plutonium.
Le 9 aout 1945,ce fut le tour de Nagasdaki…afin d’essayer un nouveau type de bombe.
Malheureusement il manque la page de garde du rapport et l’on ne sait qui en est l’auteur. A moins que cette disparition soit volontaire ? L’étude du document permet néanmoins de supposer que son rédacteur n’était membre ni de l’équipe principale travaillant sur le « plan Uranium », ni de celle de Diebner.
Schéma de la bombe.
Ce rapport démontrerait que le fait que l’uranium puisse être utilisé pour la fabrication de nouvelles armes de destruction massive était bien connu de la communauté scientifique allemande durant la guerre. Il comprend aussi le croquis d’une arme nucléaire, mais encore loin d’un véritable plan de « bombe atomique ».
L’auteur inconnu fixe la masse critique à un peu plus de 5 kilogrammes pour une bombe au plutonium. Il s’agit d’une estimation raisonnable, dans la mesure où l’utilisation d’un réflecteur pour renvoyer les neutrons vers le plutonium permettait de diviser la masse critique par deux. Ceci est d’autant plus intéressant que ces détails ne figurent pas dans le « Rapport Smyth ».
Ce rapport récemment découvert présente un autre intérêt : il démontre que les savants allemands avaient effectué des recherches intensives sur les problèmes théoriques concernant la fabrication d’une bombe à hydrogène.
Ceci est confirmé par deux autres sources :
Les archives d’Erich Schumann, directeur du Service d’étude des armements militaires, comportent de nombreux documents et calculs théoriques concernant la fusion nucléaire.
Le physicien viennois Hans Thirring a de son côté traité de ces sujets dans un ouvrage publié durant l’été 1946, donc juste après la fin de la guerre et intitulé “Die Geschichte der Atombombe. Mit einer elementaren Einführung in die Atomphysik”.
Le dernier mot n’est pas dit
Von Weisacker,le penseur de la bombe allemande.
Voici des décennies que les historiens et les scientifiques discutent pour savoir si Heisenberg et von Weizsäcker voulaient fabriquer une bombe atomique.
Or les nouveaux éléments que nous venons de présenter pourraient modifier la vision antérieure de l’affaire des armes nucléaires allemandes.
Et aucun d’entre eux ne va dans le sens de la théorie selon laquelle Heisenberg et ses collègues auraient été des « résistants » (hypothèse Powers) où incapables de sympathies pour le régime nazi (hypothèse Rose).
Il est évident que toute personne désirant poursuivre sa carrière quelle qu’elle soit après guerre avait intérêt à prendre ses distances avec le régime déchu.
Farm Hall,centre de l’Opération Epsilon (L’opération Epsilon était le nom de code d’un programme dans lequel les Alliés à l’approche de la fin de la Seconde Guerre mondiale détenaient 10 scientifiques allemands dont ils pensaient qu’ils avaient travaillé sur le programme nazi de bombe atomique. Ces scientifiques furent capturés entre le 1er mai et le 30 juin 19451 et internés à Farm Hall, une maison mise sur écoute à Godmanchester, près de Cambridge en Angleterre du 3 juillet 1945 au 3 janvier 19462. Le but premier de ce programme était de déterminer l’avancée de l’Allemagne nazie dans la fabrication d’une bombe atomique en écoutant leur conversation. Les scientifiques étaient : Erich Bagge Kurt Diebner Walther Gerlach Otto Hahn Paul Harteck Werner Heisenberg Horst Korsching Max von Laue Carl Friedrich von Weizsäcker Karl Wirtz
En revanche, ces documents ajoutés aux « révélations » de Karlsch présentent les deux savants allemands sous un nouveau jour, en mettant en évidence leur attitude ambiguë vis-à-vis des armes nucléaires.
Continuant à travailler sur les réacteurs nucléaires et la séparation des isotopes, tout en hésitant à mettre les armes nucléaires à la disposition des dirigeants nazis, les deux savants précités n’ont pas fait tous les efforts nécessaires pour aboutir dans leurs recherches. D’autres l’ont fait, tels Walter Gerlach et Kurt Diebner avec son équipe.
Il serait néanmoins prématuré de conclure qu’après ces nouvelles découvertes le dossier de l’arme atomique allemande peut être définitivement refermé.
L’explosion du 12 octobre 1944,sur l’île de Ruegen.Des centaines de prisonniers mourront dans des camps de concentration,suite aux retombées radioactives!Les américains se présenteront comme étant les “vrais” inventeurs de la bombe,face au Monde Entier!..un autre mensonge propagé par les vainqueurs de la guerre!
Le 12 octobre 1944
Contre toute attente ,les physiciens allemands ont assez d’eau lourde et d’isotopes pour mettre à l’essai leur première bombe atomique.Leur choix s’arrêtera enfin sur l’Île de Rügen,en mer du Nord.Des notes retrouvées près de la seule photo existante prise lors de cette explosion ( un rapport que j’ai personnellement reçu de l’affaire indique que le photographe de l’événement serait mort sur le coup),font état de plusieurs centaines de personnes mortes dans des camps de travail et d’une grande destruction accompagnée de retombées radioactives intenses.
Études allemandes montrant les effets d’une explosion atomique centrée sur …l’île de Rügen!
L’histoire officielle niera tout!Le rationalisme combiné au patriotisme américain fera en sorte qu”on effacera d’un trait la vérité sur la découverte et la mise au point de la bombe atomique par l’Allemagne nazie et la menace extraordinaire qu’elle faisait peser sur le monde lui-même.
Himmler er Dornberger en visite à Peenemunde afin de rencontrer les savants atomistes allemands …en grand secret.Le besoin d’un porteur pour la bombe se fit sentirLe porteur accepté par la Luftwaffe fut le Junker 393.Seulement 2 prototypes eurent le temps de voler avant la défaite allemande.Il aurait été meilleur que le B-29.Sa saisie permettra d’améliorer le B-29,particulièrement la soute à bombe …conçue pour une lourde bombe atomique.
Les apprentis-sorciers auraient pu devenir des démons ,voire des “Cavaliers réels de l’Apocalypse”,laissant la mort en héritage ,à la place de la frénésie des années ’50!
Aujourd’hui,si nous recherchons l’Île de Rügen sur internet,nous verrons une multitude de place touristiques,dont les propriétaires capitalistes vont vouloir vous pendre si vous osez parler de la bombe atomique allemande qui jadis explosa sur place!
Au diable l’histoire et la santé des gens,vive les profits …et fermez-la!
Nous vivons dans un monde qui veut faire mourir la vérité sur l’hôtel du capitalisme sauvage!
L’horreur d’Hiroshima et de Nagasaki
Le bombardier B-29,l’outil du meurtre
Dans les décombres d’Hiroshima.
Au printemps de 1945,la situation du Japon était devenue catastrophique.Les attaques aériennes des Alliés détruisaient les voies ferrées,les routes et les ponts à une cadence trop rapide pour qu’on puisse les remettre en état.Des cités et des villes n’étaient plus que des ruines fumantes;des millions de personnes étaient sans abri;les vivres manquaient partout.Les avions américains avaient achevé d’anéantir la flotte japonaise.
Yosuke Yamahata,le photographe qui aura la présence d’esprit de prendre des photos qui seront censurées pendant plus de cinquante longues années…surtout aux Etats-Unis d’Amérique qui chercheront à minimiser l’impact sur la population japonaise!Sa témérité lui contera la vie quand vingt ans plus tard ,on diagnostiquera un cancer du duodénum :un cancer malin qui le tuera!
Cependant,le haut commandement refusait de déposer les armes et se promettait de combattre jusqu’à la mort.Les militaires affirmaient qu’ils allaient gagner une bataille décisive.Le général Korechika Anami,ministre de la Guerre,jurait que les américains seraient chassés d’Okinawa.
J’ai de nombreuses photos inédites de l’événement,mais elles sont très dures à regarder.Elles frappent l’imagination!Je vais donc me limiter ici par quelques photos représentatives de l’horreur d’Hiroshima. À mon avis,ces deux photos illustrent la situation à merveille:à gauche la destruction totale de l’environnement de la ville;à droite,une femme qui allaite son enfant irradié qui s’accroche à la vie!
Un petit groupe de diplomates s’opposaient aux militaires et estimait qu’une lutte désespérée pouvait être plus néfaste au Japon qu’une capitulation immédiate.Ceux-ci espéraient que les exigences alliées n’iraient pas jusqu’à la reddition inconditionnelle et entamèrent avec l’Union Soviétique ,alors encore neutre à l’égard de leur pays,des pourparlers secrets afin de s’assurer ses bons offices pour la conclusion de la paix.
Le centre de l,explosion est le dôme de cet édifice sur lequel le navigateur du B-29 pointa son tir pour que la bombe éclate là,à 500 mètres juste au-dessus.
Le 3 juin 1945,l’ex-Premier ministre Koki Hirota alla trouver l’ambassadeur russe Jacob Malik.Malik accueillit avec réserve ses ouvertures.Le 12 juillet,l’empereur confiait au prince Konoye un message personnel pour demander la paix.Konoye avait pour instructions de se rendre à Moscou en avion et de mettre à tout prix un terme aux hostilités.Mais Staline et le commissaire aux Affaires étrangères Molotov se dérobèrent sous le prétexte qu’ils étaient absorbés par les préparatifs de la conférence de Postdam.
Conférence de Postdam:Attlee,Truman et Staline.
À Postdam,Staline avisa négligemment le président Truman que les japonais avaient abordé le sujet de la négociation de la paix;il ajouta qu’il avait repoussé ces avances dont il mettait en doute la sincérité.
L’ultimatum de Postdam au Japon fut rendu public le 26 juillet 1945.Signé par les États-Unis,la Grande-Bretagne et la Chine,il mettait le Japon en demeure de choisir entre la capitulation et l’écrasement final.Les dirigeant japonais éprouvèrent une grande joie en constatant que les conditions posées à leur pays étaient beaucoup plus modérées qu’ils ne s’y attendaient.Les Alliés s’engageaient à ne pas détruire le Japon en tant que nation et à permettre aux japonais de choisir librement leur propre gouvernement.D’autre part,on pouvait croire que l’empereur resterait sur le trône.
Il n’y avait pas assez de fours crématoires pour brûler les cadavres.
L’empereur déclara sans hésitation au ministre des Affaires étrangères Shigenori Togo qu’il trouvait la déclaration de Postdam acceptable.Le Conseil Impérial se réunit alors au complet pour discuter de l’ultimatum des alliés.
J’ai étudié avec soin de nombreux documents relatifs à cette séance dramatique du Conseil Impérial japonais et tous attestent unaniment que la décision arrêtée en cette chaude journée du 27 juillet 1945 était favorable à la paix.Le ministre de la Guerre Anami et les chefs d’état-major s’opposèrent violemment à l’acceptation des conditions de Postdam,mais ils n’obtinrent pas gain de cause.
Les victimes se rencontraient partout…brulées ,irradiées!
Il subsistait,cependant,plusieurs difficultés.Que convenait-il de faire quant aux négociations avec les russes en vue de la reddition?Deux jours seulement s’étaient écoulés depuis que la dernière proposition avait été envoyée à Moscou.
Le Conseil Impérial devait aussi tenir compte d’un autre facteur:jusqu’alors,les japonais n’avaient eu connaissance de la déclaration de Postdam qu’à travers les émissions radiophoniques captées par leurs postes d’écoute.Le gouvernement pouvait-il agir en se fondant sur des informations aussi peu officielles?
Un drame qui restera marqué dans les chairs et dans les esprits des humains.
Il paraissait probable qu’on serait bientôt en mesure d’annoncer l’acceptation des conditions des Alliés.Dans l’intervalle,le Premier-ministre Kantaro Suzuki qui devait tenir le lendemain une conférence de presse s’attendait à être assailli de questions par des journalistes japonais sur cette déclaration.On décida que Suzuki se bornerait à dire que le Conseil Impérial n’avait pris aucune décision à l’égard de l’ultimatum.Le fait que les ministres ne les rejetaient pas laissait entendre clairement au peuple japonais ce qui se préparait.
“Le gouvernement n’avait pas l’intention de repousser les demandes des Alliés”,attesta Kawai.
À la conférence de presse du 28 juillet,le Premier-ministre Suzuki déclara que le Conseil Impérial adoptait provisoirement une politique de mokusatsu .Ce mot,dont il n’existe d’équivalent dans aucune langue occidentale,est ambigu même en japonais.Il peut aussi bien traduire une fin de non-recevoir qu’exprimer la volonté de s’abstenir de tout commentaire.
Par malheur,les traducteurs employés par l’agence d’information Domei n’avaient aucun moyen de savoir quelleacception correspondait à la pensée de Suzuki.Dans leur traduction rapide en langue anglaise,ils commirent une erreur d’interprétation.Depuis les pylônes de Radio-Tokyo,les ondes diffusèrent à travers l’univers allié la nouvelle que le cabinet Suzuki avait résolu d’ignorer l’ultimatum de Postdam.
Le sens qu’on attribua hors du Japon à ce communiqué ressort clairement du titre qui s’étalait dans le numéro du New York Times du 28 juillet 1945: La flotte attaque à l’heure même ou Tokyo rejette les conditions de paix.
Le reste appartient à l’histoire “connue”.Feu Henry Stimson,alors ministre de la Guerre des États-Unis,a révélé dans son rapport sur les circonstances qui entraînèrent ,en définitive,la décision d’utiliser la bombe atomique,que la fausse interprétation du mot mokusatsu est directement à l’origine de la “démonstration atomique ” d’Hiroshima.”Le 28 juillet ,écrit Stimson,le Premier ministre japonais,M.Suzuki,rejetait l’ultimatum de Postdam…Étant donné cette fin de non-recevoir,il ne nous restait plus qu’à prouver que la menace contenue dans l’ultimatum n’était pas vaine…À cette fin,la bombe atomique était une arme appropriée.”
Mais prenez garde mes ami(e)s car cette version se l’affaire ressemble étrangement à la “balle magique” dans l’assassinat de John F. Kennedy:elle ressemble à une fable,à une tentative de falsifier les autres raisons qui restent cachées dans l’ombre en ce qui touche la décision de lâcher la bombe atomique.L’une de ces raisons est difficile à admettre pour les divers gouvernements qui se sont succédé aux États-Unis:il s’agit entre autres de la rentabilité “financière” du Projet Manhattan.
Pendant des mois,les divers groupes d’intérêts à l’intérieur des Forces Armées américaines étaient jaloux des énormes budgets accordés par décret directement à ce projet,à cette arme de destruction massive.En juillet 1945,de nombreuses fuites avaient minées le secret de ce gigantesque projet et les politiciens,les généraux,les collaborateurs et les médias renseignés sur l’affaire demandaient des comptes au gouvernement Truman “au nom des payeurs de taxes américains”.Il fallait trouver une raison pour utiliser cette fameuse bombe afin d’éviter que la guerre se termine sans l’utiliser,car cela serait devenue une terrible patate chaude …aux prochaines élections américaines.
Une vaste conjuration du silence s’était établie entre Truman,Churchill et Staline afin d’éviter à ce que les japonais puissent se rendre avant d’utiliser cette arme diabolique.La non-coopération des russes dans l’effort de médiation demandé par l’empereur nous montre clairement qu’il y a eu complot entre ces deux dirigeants politiques.L’un deux ,se verra décerné le tître du “président de la Victoire”(Truman),et l’autre,le vrai vainqueur de la guerre,se verra donné le tître de “Petit Père des Peuples”(Staline).
Le vrai responsable du financement de cette “victoire”,ce sera Churchill,l’homme aux gros cigares.Le financement de toute cette affaire sera garanti par l’or anglais mis en sécurité au Canada,durant les heures sombres de la Guerre d’Angleterre.
Le banquier responsable de ce transfert avait pour nom Rothschild.
Tous ces acteurs ont ceci en commun: ils sont tous manipulés ou proviennent du milieu des sociétés secrètes.
C’est donc pour des décisions prises dans des bureaux fermés par des ‘illuminés” que seront sacrifiés les femmes,les enfants et les vieillards sans défense d’Hiroshima et de Nagasaki afin que le Nouvel Ordre Mondial puisse prendre son envol et c’est pourquoi que les photos de Yosuke Yamahata seront censurées pendant pratiquement soixante longues années:il fallait éviter que le peuple humain puisse un jour apprendre la vérité afin que nous continuons toujours de vivre dans le même paradigme,car ainsi nous ne risquons pas de nous éveiller et de réclamer notre liberté!
Cette longue recherche confirme ce que j’ai toujours écrit:la liberté implique la vérité!
_________________________________________
P.S.
Je dédie cette recherche et ce texte à tous les chercheurs et diseurs de vérité qui furent les précurseurs de l’éveil,de la Quête de Vérité que nous connaissons maintenant.Je parle de Jimmy Guieu,d’Aimée Michel,de Robert Charroux,de Guy Tarade,de Jean sendy,d’Éric von Daniken,de James Chuchward, de henry Duran et de combien d’autres encore qui furent mes précurseurs .
Un vidéo accompagnera ce texte et j’espère que vous l’apprécierai.
J’ai tellement aimé écrire cet article que j’en ai rêvé!
Alsos était une mission de veille scientifique lancée par les Alliés à l’automne 1943 afin de déterminer l’état d’avancement de la recherche allemande sur la bombe atomique. Avec le suspense d’un thriller, Goudsmit racontera les circonstances qui ont mené à la mission, les méthodes utilisées à ses participants de faire leurs détectives scientifiques, et la réaction des scientifiques allemands le jour de la bombe atomique est tombée sur Hiroshima.
Samuel Goudsmit est né aux Pays-Bas et en 1925, lui et son collègue étudiant George Uhlenbeck ont découvert le spin de l’électron. En 1927, il émigre aux États-Unis, travaille à l’Université du Michigan, puis au MIT avant d’être détaillé au ministère de la Guerre afin de participer à la Mission Alsos. Il a servi en tant que chercheur principal au Brookhaven National Laboratory de 1954 à 1970 et fut le fondateur de la revue Physical Review Letters.
Chronologie de la bombe atomique …et activités diverses
Janvier 1933 : les nazis prennent le pouvoir en Allemagne.
(Date non précisée)en 1936: le fameux “Crash Ovni de Freiburg” ,en Forêt Noire,Allemagne.
Été 1938: Départ de la mission du Schwabenland vers l’Antartique.
Décembre 1938 : Otto Hahn, Lise Meitner et Fritz Strassmann découvrent la fission nucléaire.
2 août 1939 : Einstein met le président américain Roosevelt en garde à l’égard des dangers de la recherche allemande.
1er septembre 1939 : invasion de la Pologne par l’Allemagne et lancement du « plan Uranium ».
3 septembre 1939 : déclaration de guerre à l’Allemagne par le Royaume-Uni puis par la France.
1941 : von Weizsäcker élabore un projet de brevet concernant une bombe au plutonium.
Mars 1941 : von Weizsäcker rencontre le savant danois Bohr à Copenhague.
22 juin 1941 : invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne.
Septembre 1941 : von Weizsäcker retourne voir Bohr en compagnie d’Heisenberg.
6 décembre 1941 : lancement du « plan Manhattan » à Los Alamos.
7 décembre 1941 : les Japonais attaquent Pearl Harbour.
8 décembre 1941 : les Etats Unis entrent en guerre.
Février/juin 1942 : Heisenberg fait des exposés de vulgarisation sur les armes nucléaires.
Décembre 1943 : Bohr visite Los Alamos.
12 octobre 1944:une bombe atomique allemande explose à l’île de Rügen (Mer du Nord),faisant plusieurs centaines de morts dans un camps de concentration.Les retombées radioactives sont très élevées.
Mars 1945 : un engin hybride fusion/fission aurait été testé par les Allemands en Thuringe.
7 mai 1945 : capitulation de l’Allemagne…en Europe!
16 juillet 1945 : aux Etats-Unis, première explosion nucléaire mondiale (expérience Trinity)…un grand show américain.
6 août 1945 : lancement par un B-29 d’une bombe atomique sur la ville japonaise d’Hiroshima.
9 août 1945 : …et sur Nagasaki.
14 août 1945 : capitulation du Japon et fin de la Seconde Guerre mondiale…sur papier!
…à partir de fin 1945,de nombreux u-boats sont aperçus près de l’Antartique!
…ensuite “L’Opération Highjump”, “L’Affaire Roswell”,…la rencontre de George Adamsky,…mais les livres d’histoires dans les écoles “officielles” restent muets!
Ce sont des “écrivains rationalistes” à la solde des vainqueurs des guerres qui écrivent les livres d’histoires!
Donc apprenons la Vérité à nos enfants pour qu’ils prennent la relève des Combattants de la Liberté …d’une Ère Nouvelle…qui se débarrassera du Nouvel Ordre Mondial.
…………………………………………………………………………………………………………………………………
APPEL À L’INSURRECTION MONDIALE
Il y a 70 ans aujourd’hui que le meurtre collectif de populations civiles japonaises est entré dans l’histoire de l’humanité.
Par solidarité avec le peuple japonais,refusons la version écrite par les américains et les rationalistes.Levons nous pour demander la fin des guerres impérialistes et la démission des gouvernements corrompus de notre planète!
Vive la Révolution Mondiale!
Vive le Mouvement Mondial de Désobéissance Civile!
Vive la vie et le respect des écosystèmes de notre Terre!
En 2015,nous n’avons plus besoin des bombes pour détruire l’humanité et toutes les autres formes de vie ,car Fukushima va réussir à tout anihiler!
Suivant une tradition bien établie maintenant, dans toutes les juridictions et dans tous les organismes locaux de l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix (A.M.O.R.C.), le quatrième dimanche du mois de juin est consacré à contribution rosicrucienne pour la Paix dans le monde.C’est le moment qu’avait choisi Artrhur Porter pour mourir…Le jour de la Fête du Canada,le 1 er juillet 2015…Quel curieuse coïncidence!
Vidéo associée:
J’ai appris comme tout le monde le décès d’Arthur Porter.J’avais prévu depuis 2013 qu’il ne sortirait jamais vivant de sa prison ,car s’il aurait fallu qu’il comparaisse devant un tribunal “propre” au Québec,il aurait mis en jeu la carrière de Philippe Couillard ,son grand ami et tout le système politique du Canada lui-même ,car il est à l’origine de la mise en place d’un immense complot franc-maçon au Québec.
De plus ,suite à sa condamnation au Québec,il aurait pu être traduit en cours judiciaire au sierra Leone,son pays natal,pour un complot criminel et financier permettant à la CIA et à l’Armée Américaine d’utiliser les installations du pays afin de développer une arme bactériologique à partir du virus d’ébola.
Il fallait donc que ce franc-maçon allié aux Illuminatis , puisse mourir loin du Québec et du Canada pour blanchir le système corrompu dans lequel les citoyens et citoyennes du Québec et du Canada baignent béatement,négligemment ,bernés par des rêves trompeurs de croissance économique infinie jusqu’à la fin des Temps …qui approche.Arthur Porter en bon fanatique néolibéral et franc-maçon a donc donné sa vie pour protéger Stephen Harper et Phillippe Couillard,le néoconservateur de la droite religieuse ami de George W. Bush et le néolibéral allié du crime organisé et ami de la famille corrompue de la monarchie d’Arabie Saoudite.
Malgré l’annonce de sa mort par différentes sources, l’enquête “officielle” des forces policières québécoises sur Arthur Porter est loin d’être terminée. Les autorités veulent non seulement obtenir des preuves tangibles de la mort du gangster Arthur Porter, mais aussi continuer à suivre la piste de l’argent de l’ex-dirigeant hospitalier, qui avait mené des tractations financières avec l’entourage de l’ancien narcodictateur Manuel Noriega pendant son incarcération au Panama.Il est important pour les libéraux corrompus de suivre le chemin de l’argent sale afin d’aller le chercher.
C’est le biographe officiel d’Arthur Porter qui a annoncé le premier que celui-ci avait succombé au Panama dans la nuit de mardi à hier. Son médecin «m’a informé tôt ce matin qu’il était mort d’un cancer des poumons avec métastases», a écrit Jeff Todd, hier sur les réseaux sociaux. La maladie s’était propagée «à ses os et son foie», dit-il.
L’information a été confirmée par Jonathan Garcia, porte-parole de l’Instituto oncológico nacional de Panama. «Il est arrivé le 8 mai dernier à minuit et est décédé hier [mardi ,30 juin 2015] à 23h»
Porter aurait pu s’évader par la porte d’en arrière
Mais du côté du Directeur des poursuites criminelles et pénales, on jouait de prudence, hier, après cette annonce. Il faudra plus qu’un biographe et le porte-parole d’un établissement de santé pour conclure hors de tout doute que l’accusé n’est plus de ce monde.
«Nous n’avons pas encore eu de confirmation à ce sujet, mais je peux dire que nous allons nous assurer d’avoir une confirmation et que ce soit corroboré», a déclaré Jean-Pascal Boucher, porte-parole de l’organisme.
Soupçonné d’être au coeur de «la plus importante fraude de corruption de l’histoire du Canada» par l’Unité permanente anticorruption (UPAC), Arthur Porter a la réputation d’être un fin renard qui a menti plus d’une fois et réussi à berner les autorités de différents ordres de gouvernement, selon la thèse de la poursuite.
Selon nos informations, des canaux officiels ont été activés de toute urgence, notamment avec l’aide des bureaux de liaison de la GRC, pour obtenir des preuves indiscutables de la mort de M. Porter. Si le résultat n’est pas satisfaisant, il serait possible d’envoyer des policiers québécois sur place pour faire des vérifications.
Avec l’entourage de Noriega
Manuel Noriega,l’un des associés d’Arthur Porter en prison ,à Panama.
De leur côté, les procureurs du Bureau de lutte aux produits de la criminalité sont toujours chargés de récupérer au profit de l’État la plus grande part possible des 22,5 millions qui auraient été versés en pots-de-vin pour truquer l’appel d’offres du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). En plaidant coupable à des accusations de reyclage des produits de la criminalité, la conjointe d’Arthur Porter a consenti à la saisie d’argent et de propriétés d’une valeur de 5,5 millions.
Pour la suite, policiers et procureurs vont vraisemblablement s’intéresser à une mystérieuse entreprise fondée le 4 juin 2014 au Panama par Arthur Porter, pendant qu’il était incarcéré.
La compagnie BQ Holding n’a pas d’existence sur le web en dehors du registre des entreprises panaméen. Le registre indique qu’Arthur Porter est l’un des administrateurs, en plus d’être trésorier et secrétaire du conseil.
Son avocat au Panama, Ricardo Bilonick, est inscrit comme président de la compagnie. Il n’a pas répondu aux messages que nous lui avons adressés, hier. Me Bilonick a longtemps représenté l’ancien dictateur panaméen Manuel Noriega lors des procédures pour son extradition vers les États-Unis, où il a été condamné pour trafic de drogue massif, gangstérisme et blanchiment d’argent.
Un autre administrateur de l’entreprise est l’analyste politique panaméen Mario Rognoni, ancien ministre du Commerce sous le règne de Noriega. M. Rognoni s’est publiquement porté à la défense de l’ancien dictateur à maintes reprises, encore récemment, et il a précisé être en contact avec lui. Il a aussi pris la plume pour défendre Arthur Porter dans une lettre ouverte. Il se disait honoré d’avoir rencontré un homme de sa trempe lors d’une visite à la prison. Il n’était pas disponible pour parler à La Presse hier.
Selon nos informations, il y aurait eu des transferts d’argent en lien avec BQ Holding au cours de la dernière année. Toutefois, impossible de dire à quelle fin pour l’instant.
M. Porter, oncologue de formation, avait annoncé il y a près de trois ans qu’il s’était lui-même diagnostiqué un cancer des poumons.
Depuis, il a été suivi par le célèbre – mais controversé – médecin britannique Karol Sikora.
«Je l’avais visité il y a quatre semaines et l’avait appelé certaines fins de semaine précédant sa mort», a-t-il expliqué à La Presse. Son corps s’est montré «très réceptif» au traitement, mais il présentait des problèmes «d’électrolytes et au foie» dans les dernières semaines, toujours selon le Dr Sikora.
Ce dernier a tenu à défendre son patient et ami, proclamant que c’était «un jour triste pour les droits de la personne au Canada».
À l’Instituto oncológico nacional, le Dr Roberto López coordonnait les soins au jour le jour, sous la supervision de son confrère britannique. C’est «dans la dernière semaine» que tous ont compris qu’il n’y avait plus d’espoir de guérison, a indiqué le médecin au téléphone.
Arthur Porter était détenu dans une prison du Panama depuis son arrestation en mai 2013, à la demande des autorités canadiennes. Le Panama a accepté de l’extrader début 2015, mais M. Porter contestait toujours l’extradition au moment de sa mort.
Au Québec, peu de réactions officielles à son décès se sont fait entendre.
«Le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) souhaite transmettre ses condoléances à la famille du Dr Porter», a écrit l’hôpital montréalais dans un communiqué, en milieu de journée. «Le CUSM n’émettra aucun autre commentaire.»
Le ministère fédéral des Affaires étrangères s’est borné à dire qu’il avait été informé «de la mort d’un citoyen canadien au Panama».
La luxueuse cellule d’Arthur Porter à Panama.
Pendant son séjour au Canada, il cumulait un nombre presque inimaginable de fonctions à la fois: gestionnaire d’un centre médical privé aux Bahamas, président du Comité de surveillance des activités de renseignement de sécurité (CSAR, l’organisme qui surveille les espions canadiens), dirigeant d’une entreprise minière en Sierra Leone, membre du conseil d’administration d’Air Canada, conseiller du président de la Sierra Leone, ambassadeur plénipotentiaire de ce pays au Canada et…franc-maçon.
Ses relations ont toujours été bonnes avec le monde politique. Il a été proche des républicains à l’époque de George W. Bush aux États-Unis, du Parti libéral (PLQ) au Québec, du Parti conservateur à Ottawa et du président Ernest Koroma dans son Sierra Leone natal.
Aux États-Unis, il a dirigé un énorme centre médical à Détroit. Il s’y était fait remarquer: selon un reportage de L’actualité médicale, Porter avait été choisi par le président Bush pour devenir Surgeon General, c’est-à-dire grand patron de la santé publique aux États-Unis, mais il avait refusé l’offre en raison de différends d’opinion avec le président.
Après son passage au Canada, il s’était aussi révélé proche du pouvoir politique des Bahamas. Un de ses associés dans sa clinique privée était le conseiller spirituel du premier ministre. Le gouvernement l’a d’ailleurs nommé à la tête d’un comité consultatif spécial sur les cellules souches.
À une époque ou il était le meilleur ami de Philippe Couillard.
C’est le premier ministre Stephen Harper qui l’avait nommé à ce poste, où il a siégé aux côtés de son ami et associé – pendant une brève période -, l’ex-ministre de la Santé libéral Philippe Couillard. M. Harper avait aussi nommé Arthur Porter membre à vie du Conseil privé de la reine pour le Canada. Porter fréquentait aussi le sénateur conservateur David Angus, qui présidait le conseil d’administration de son centre hospitalier.
Arthur Porter a commencé à se retirer de la sphère publique lorsque le National Post a révélé ses tractations ratées avec Ari Ben Menashe, lobbyiste installé à Montréal, qui a été agent israélien avant de représenter le gouvernement russe, et qui a été mêlé à des histoires de trafic d’armes. M. Porter a confirmé au Post qu’il avait donné 200 000$ à Ben Menashe dans l’espoir d’obtenir des investissements russes dans son entreprise en Afrique.
Né le 10 mai 1760 à Lons-le-Saunier, fils de Claude Ignace Rouget et de Jeanne Madeleine Gaillande, il est l’aîné d’une famille de 8 enfants (5 garçons et 3 filles dont il est l’aîné). Sa naissance dans cette ville est surtout le résultat d’un cas fortuit, car ses parents habitent en fait à Montaigu petit village distant d’une lieue environ. Sa mère venue au marché hebdomadaire de Lons-le-Saunier, mais enceinte elle est prise de douleurs et accouche sur place dans une maison amie.
Rouget de Lisle passe sa jeunesse dans ce petit village où, au contact de ses parents mélomanes il se passionne vite pour la musique en général et le violon en particulier.
Toutefois son père l’oriente très vite vers le métier des armes et il entre à l’Ecole Militaire de Paris le 5 mai 1776, après avoir greffé la mention nobiliaire”de Lisle” à son nom “Rouget”, prenant par besoin la particule qui appartenait à son grand-père. En effet seuls les gentilshommes sont admis dans ces murs militaires. Resté célibataire, il revient à Montaigu comptant y passer ses vieux jours, mais ruiné il doit vendre le domaine et remonte à Paris se loger dans une mansarde du Quartier Latin.
Malade et sans argent c’est son grand ami le général Blein qui lui offre l’hospitalité à Choisy-le-Roi. Il fut aussi hébergé dans la famille Voiart qui possédait une jolie demeure dans la partie haute de la ville. C’est ainsi qu’il vivote de 1826 à 1836, grâce à une petite pension attachée à la Légion d’honneur que lui a attribué Louis-Philippe Ier.
Il décède le lundi 26 juin 1836 à plus de 76 ans, à Choisy-le-Roi et est inhumé dans l’ancien cimetière.
C’est sous la IIIe République, qu’eut lieu le 13 juillet 1915 l’exhumation et le 14 juillet 1915 la translation des cendres de Rouget de Lisle sous le dôme des Invalides.
Sa carrière
A la sortie de l’Ecole Militaire de Paris, il entre le 1er janvier 1782 à l’Ecole royale du génie de Mézières, renommée pour la qualité de ses ingénieurs de haut niveau. Ses élèves forment un corps qui est mis en valeur lors des campagnes Napoléoniennes.
Rouget de Lisle élève moyen, fait son devoir sans faillir et côtoie alors Lazare Carnot surnommé l’Organisateur de la victoire , Coulomb et sa célèbre loi sur l’électricité et le magnétisme, Cugnot qui créa un engin destiné à remplacer les attelages de l’Artillerie en campagne, Pierre L’Enfant qui fut choisi par le président George Washington lui-même pour marquer ensemble l’emplacement du bâtiment qui devait au final s’appeler la Maison Blanche. C’est dans cette école du génie civil qu’il est promu sous-lieutenant en 1782 et en sort aspirant-lieutenant en second au corps royal du génie le 1er avril 1784.Nommé lieutenant en premier le 15 septembre 1789 puis Capitaine de 5e classe en 1791, suspendu de ses fonctions en août 1792 et réintégré en octobre de la même année, suspendu à nouveau en août 1793 et réintégré le 30 Ventôse de l’an 3 (20 Mars 1795). Il fut désigné pour être employé à l’Armée du Rhin le 25 Floréal de l’an 3 (14 Mai 1795). Finalement le 30 Ventôse de l’an 4 (20 Mars 1796) nommé Chef de bataillon, il démissionne le 9 Germinal suivant (29 Mars 1796).
La Marseillaise…
Historique de la Marseillaise
Reprenons en 1791, année où il rejoint l’Armée du Rhin et se trouve en garnison à Strasbourg, affecté au bataillon “Les enfants de la Patrie”. Toujours habité par la musique et la poésie, il est très familier des milieux artistiques de la ville et finalement il est accueilli dans le salon du maire Dietrich, où se côtoient hommes politiques, officiers et nombreux musiciens dont Ignace Pleyel futur célèbre compositeur. Le baron Philippe-Frédéric de Dietrich est maire de Strasbourg en 1790, 1791 et 1792 mais guillotiné le 29 décembre 1793.
Ce dernier le 25 avril 1792, le reçoit dans son salon où ce soir là règne une grande effervescence car un courrier vient d’arriver de Paris, annonçant la déclaration de guerre faite le 20 avril 1792, par l’Assemblée législative au roi de Bohême et de Hongrie.
“Mais vous, monsieur de Lisle … trouvez un beau chant pour ce peuple soldat qui surgit de toutes parts à l’appel de la patrie en danger et vous aurez bien mérité de la Nation” lui demande alors le baron qui souhaite qu’un chant hardi puisse encourager les soldats qui montent au front, en place du traditionnel “ça ira, ça ira”.
Or le matin de ce jour, en sortant de chez lui Rouget de Lisle tombe en arrêt devant une affiche apposée sur les murs de Strasbourg dont le texte émanant de la Société des Amis de la Constitution est le suivant :
Aux armes,citoyens ! L’étendard de la guerre est déployé ! Le signal est sonné ! Aux armes ! Il faut combattre, vaincre, ou mourir.
Aux armes, citoyens ! Si nous persistons à être libres, toutes les puissances de l’Europe verront échouer leurs sinistres complots. Qu’ils tremblent donc, ces despotes couronnés ! L’éclat de la Liberté luira pour tous les hommes. Vous vous montrerez dignes enfants de la Liberté, courez à la Victoire, dissipez les armées des despotes !
Marchons ! Soyons libres jusqu’au dernier soupir et que nos vœux soient constamment pour la félicité de la patrie et le bonheur de tout le genre humain !
Ces paroles sont certainement un élément clé pour Rouget de Lisle et après une nuit passée à composer (du 25 au 26), à essayer sur son violon diverses mélodies, il se rend dès le matin chez le baron de Dietrich. Le soir nouveau repas au cours duquel il présente son essai devant un auditoire conquis.
En fait ce n’est pas Rouget de Lisle qui aurait interprété l’hymne comme le laisse supposer l’image du tableau de David en haut de cette page, mais le maire lui-même, belle voix de ténor, accompagné au clavecin par son épouse Mme de Dietrich. Le triomphe est immédiat et le “Chant de guerre de l’armée du Rhin” est adopté et repris en cœur toute la soirée.
Il est aussitôt copié et largement distribué, et c’est ainsi que des voyageurs en propagent les paroles et l’air dans tout le pays. Son exécution publique a lieu le 29 avril 1792 par les 812 hommes du Bataillon de Rhône et Loire.
Il se trouve qu’au même moment en juillet 1792, à Marseille des volontaires se préparent à monter à Paris pour combattre l’invasion et défendre “la patrie en danger”. Subjugués par les paroles de ce chant recopié sur des feuillets, les fédérés marseillais entonnent celles-ci tout au long de leur très long voyage. Dans les villes et villages traversés, ils reprennent sans cesse ce chant et des volontaires les rejoignent spontanément.
Le bataillon de Fédérés marseillais entre à Paris le 30 juillet 1792 en chantant la “Chant de guerre pour l’armée du Rhin”, puis il participe à l’insurrection du palais des Tuileries le 10 août 1792. Il n’en fallait pas plus pour que les parisiens appellent spontanément ce chant l’Hymne des Marseillais puis la Chanson Marseillaise et enfin tout simplement la “Marseillaise”, nom qui lui est resté.
Quelques semaines plus tard, lors de la bataille de Valmy les paroles de la Marseillaise sont reprises et chantées par des milliers de combattants.
Le premier couplet des Enfants a été ajouté en octobre 1792 par l’abbé Pessonneaux de Vienne, dont l’idée est empruntée au chant des Spartiates, rapporté par Plutarque. “Nous entrerons dans la carrière…”
Paroles et musique de nos jours…
Hymne national “La Marseillaise”
La Marseillaise s’appela ainsi un certain 30 juillet 1792, et fut ensuite décrétée chant national le 14 juillet 1795 par la Convention qui fait exécuter l’Hymne par l’Orchestre de l’Institut National de Musique… mais interdite sous l’Empire et la Restauration. Elle revient à l’honneur pendant les Cent-Jours, en 1815 avec Napoléon 1er.
Lors des révolutions de 1830 (Berlioz en élabore une orchestration qu’il dédie à Rouget de Lisle. ) et de 1848, la Marseillaise est universellement reconnue etdevient l’hymne national de la République Française le 14 mars 1879.
A Paris, elle est symbolisée par un bas-relief du sculpteur François Rude, sur l’Arc de Triomphe de la place de l’Étoile, intitulé “Le départ des soldats de l’An II”. (photo de la page précédente)
A Lons-le-Saunier, la statue de Rouget de Lisle qui est érigée en 1882 sur la place de la Chevalerie, est œuvre du sculpteur Bartholdi. Il est représenté portant le drapeau tricolore et chantant l’hymne qu’il a créé.
A Choisy-le-Roi une statue le représente au carrefour qui porte son nom.
Hymne national sous la IIIe République, le ministère de l’Éducation Nationale conseille d’en pratiquer le chant dans les écoles à partir de 1944. La Constitution de 1946 (IVe République) et ensuite celle de 1958 (Ve République) conservent La Marseillaise comme hymne national (article 2 de la Constitution de 1958) et cette pratique est maintenant obligatoire à l’école primaire (loi du 19 février 2005).
Conclusions
Ce chant est devenu l’hymne national de la France en 1879, ce qui est déjà tout un symbole.
Quelques personnes soulignent le caractère guerrier et féroce de certaines paroles (les mêmes peut-être qui laissent leur progéniture regarder la TV et internet sans contrôle ?). Ces utopistes n’étaient certainement pas nées lorsque des patriotes sous la torture ou encore des résistants face au peloton d’exécution tombaient en chantant “Allons enfants de la patrie…” Aujourd’hui si elles vivent librement c’est en grande partie à toutes celles et à tous ceux qui montèrent aussi à l’échafaud en scandant cet Hymne.
“Ceci s’adresse à vous, esprits du dernier ordre, qui n’étant bons à rien cherchez surtout à mordre. “ Jean de La Fontaine
Avec la Marseillaise, nous retrouvons dans l’ histoire récente de la France, les traces du patriotisme le plus profond. Il est facile de démolir mais plus difficile de construire !
“Cela est divin et rare d’ajouter un chant éternel à la voix des Nations” Michelet
*Pour votre information:Rouget de Lisle était franc-maçon.
Louis-Philippe-Joseph d’Orléans, duc de Chartres, puis duc d’Orléans, ayant changé son nom en Philippe Égalité après 1792, est un prince de sang français.…
« D’Orléans, le vase dans lequel on a jeté toutes les ordures de la Révolution », s’exclamait Talleyrand, qui s’y connaissait en pourriture.
Napoléon, moins sévère, excusait ainsi le « prince rouge » avec plus d’équité : « Il n’a été que le levier dont se sont servis les meneurs de l’époque. »
Arrière-petit-fils du duc Philippe II, époux de Louise Marie Adélaïde de Bourbon-Penthièvre.
Il descendait en ligne masculine du régent Philippe d’Orléans et du roi Louis XIII.
Dessin représentant Philippe Égalité…Nous ne voyons pas la totalité du vêtement,mais je crois reconnaître des indices franc-maçonnes.
Né au château de Saint-Cloud le 13 avril 1747 il est le fils de Louis-Philippe Ier d’Orléans, duc d’Orléans, dit « le Gros », et de Louise-Henriette de Conti (morte en 1759), cousin de Louis XVI, Louis XVIII et Charles X .
Il fut titré duc de Montpensier à sa naissance (1747-1752), puis porta le titre de duc de Chartres à la mort de son grand-père. À celle de son père, il devint alors duc d’Orléans et premier prince du sang.
D’abord Duc de Montpensier, puis Duc de Chartres et enfin Duc d’Orléans à la mort de son père. Intrigant, il est exilé entre 1771 et 1772 pour sa complicité dans une fronde princière contre Louis XV.
Gouverneur du Poitou, puis Lieutenant-Général du Royaume en 1777, il est un piètre militaire.
Plus riche homme du royaume, favorable aux idées réformatrices, ami des philosophes des Lumières, il défend pourtant les privilèges de la noblesse. Opposant au Roi, démagogue, ambitieux, il prend la tête de la révolte des notables puis de l’ordre de la noblesse aux Etats Généraux de 1789, ralliant les nobles à l’Assemblée nationale.
Il influence les émeutes parisiennes de 1789, y compris la prise de la Bastille, espérant se faire nommer Roi après la chute de Louis XVI. Le rappel de Necker, son ami, est un triomphe.
Autre portrait de Philippe Égalité.
Devenu révolutionnaire et membre du club des Jacobins, il se lie avec les révolutionnaires les plus durs (Danton, Marat) et siège aux côtés des montagnards à la Convention après avoir été élu député sous le nom de Philippe Egalité, ayant renoncé à ses titres et à sa noblesse.
Ouvert à toutes les nouveautés, franc-maçon (grand maître en 1786), il servit d’abord dans la marine.
Bientôt, il se montra opposant résolu à l’Assemblée des notables (1787), puis aux États généraux, où il fut député de la noblesse. Il fit du Palais-Royal un centre d’intrigues, peut-être avec l’ambition de remplacer Louis XVI. Il dut s’exiler en Angleterre d’octobre 1789 à juillet 1790.
Élu député de Paris à la Convention (septembre 1792), il prit le nom de « Philippe Égalité » et vota la mort du roi son cousin le 17 janvier 1793 puis participe ensuite à la Terreur.
Philippe Égalité montrant la tête du roi louis XVI guillotiné.
La trahison du général Dumouriez et la désertion de son fils, Louis-Philippe en Hollande le rendent suspect.
Le Comité de Salut Public le fait condamner à mort, il fut arrêté (avril 1793), puis condamné à mort guillotiné le 6 novembre 1793.
Le parcours de la vie de cet homme nous montre comment en cherchant à profiter des changements politiques,sans considération de la Vérité du Peuple ,on peut devenir la victime des forces occultes …dans l’antichambre du pouvoir corrompu.
Oui, je sais, c’est énervant, ça concorde avec tout… Une chose me choque quand même, c’est le parallèle entre les révélations faites aux petites bergères à Fatima par Marie (voir Notre-Dame de l’Apocalypse de P. Jovanovic), qui se plaignait de la montée de la révolution en Russie et de la destruction de toutes constructions ou objets se référerant à la religion catholique en URSS, et le discours du … Général… Et ses plans machiavéliques, chacun en tirera ses conclusions…
Général considéré comme l’un des plus grands francs-maçons, Pike a écrit quelques-uns des rituels et réécrit les autres de la franc-maçonnerie. Et cela du 4e au 33e degré. Pike a occupé le poste, tant envié, de Pontife of Universal freemasonery (tête mondiale de la franc-maçonnerie), et a été à la tête des Illuminatis durant les années 1870. Cet homme, fut grand prêtre de l’église satanique et l’un des fondateurs du KU KLUX KLAN. (Albert Pike fonda en 1867 à Nashville l’ORDRE DES CHEVALIERS DU KU KLUX KLAN”, il fut le “grand dragon” et, par conséquent, le chef du Ku Klux Klan. Le KKK utilise aussi la croix de Malte comme emblème, on trouve à sa tête d’éminents francs-maçons). Il fut choisi par Mazzini pour prendre la tête des opérations illuminatiques en Amérique.
Durant la période allant de 1859 à 1871, il mit sur papier les détails d’un plan fantastique qui devait lui permettre d’établir ” unNouvel Ordre Mondial “. Dans son ouvrage ” Morals and Dogma ” (véritable Bible dans les plus hautes sphères franc-maçonniques) destiné aux adeptes de la secte initiés au plus haut niveau, il explique ses buts et façons d’y arriver.
La force, dit-il, doit être : blindée, dirigée contre la population qui elle doit être ” managée “. Pour cela il faut employer la force économique, gérer l’intellect des masses, attaquer les institutions en place, travailler contre les religions en place…(…) ! ” La force doit avoir un cerveau et une loi : les Illuminatis ! ” Pike aimait à dire que : ” Lucifer est Dieu et que Jésus est contre Dieu ” ! Il expliqua dans son ouvrage que pour mettre en place un tel système de contrôle, il fallait trois guerres mondiale. Lors de la troisième guerre, beaucoup plus discrète et plus mentale, il n’y aurait plus qu’à lâcher les nihilistes et les athées en créant un formidable cataclysme social, en créant des désillusions dans la chrétienté, et en mettant le monde dans un état permanent d’anxiété et de peur…
Voici un extrait du discours de PIKE du 4 juillet 1889, destiné aux membres du 32e degré du “Rite écossais” :
“Nous vénérons un Dieu qui est, en fait, un Dieu qu’on prie sans superstition. Nous tous, initiés de haut grade, devons continuer à vivre notre religion dans la pureté de l’enseignement de Lucifer. Si Lucifer n’était pas Dieu, serait-il calomnié par Adonaï (le Christ) dont les actes témoignent de cruauté, de haine envers son prochain (…) et de rejet de la science ? Oui, Lucifer est Dieu et Adonaï est aussi, hélas, Dieu.
La loi éternelle dit qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blancheur sans noirceur, car l’absolu ne peut exister que dans deux Dieux. (…) C’est pour cela que l’enseignement du satanisme est de l’hérésie. La vraie religion philosophique, c’est la foi en Lucifer, le Dieu de la lumière mis au même rang qu’Adonaï. Mais Lucifer, Dieu de la lumière et du bien, se bat pour les hommes contre Adonaï, Dieu de l’obscurité et du mal”. ( Gary Allen : “Die Insider”, p. 222)
On peut lire, d’ailleurs, cette citation, en anglais et en français, dans le dossier de Pike qui se trouve à la bibliothèque du Rite écossais à Washington D.C.
Remarque sur Bill Clinton :
Concernant le président BILL CLINTON (ex-gouverneur d’Arkansas) : Le journal “Neue Solidarität” nous informe dans son article sur le Ku Klux Klan que “le prêtre W.0. VAUGHT était un franc-maçon du 32e degré du Rite écossais (c.-à-d. “maître du secret royal”)”. Il fut le maître spirituel et le père adoptif de BILL CLINTON et coopéra avec lui. En tant que gouverneur d’Arkansas, un Etat où est fortement enracinée la tradition spirituelle d’Albert Pike, Clinton soutint la peine de mort et la fit appliquer plusieurs fois : Dans la pratique, cela signifie l’exécution de Noirs et de pauvres. Ainsi que le fils de Vaught le déclarait récemment, Clinton et Vaught ont la même conception religieuse qui permet de tuer des prisonniers et des foetus (spécialement d’enfants noirs). Clinton est aussi membre du “Council On Foreign Relations”, de la “Commission trilatérale”, des “Bilderberger” (dont le rôle est expliqué plus loin) et membre à vie de l’ordre des francs-maçons de “De Molay”. [Discours prononcé par Lyndon LaRouche au Schiller-Institut : dans “Neue Solidarität” du 16 septembre 1992 “Neue Solidarität” : “Clinton : Ein neuer Carter” (11 novembre 1992) “Neue Solidarität” : Sonderbericht über den Ku Klux Klan (Ausgabe 1992) ]
C’est après la mort de Mazzini, que Pike choisit un autre Illuminati nommé Lemmi Adrien qui fût ensuite suivi, entre autres, par : Lénine et Trotsky… Tous ces hommes furent financés par des banques internationales chapeautées par le billet vert américains.
En réponse une précision de la part de Marcus sur la Lettre D’albert Pike sur Silence des Loups notifié par Chalouette:
Albert Pike et le plan luciférien de gouvernement mondial – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –
“ Cette lettre du 15.08.1871 fut révélée par le Commodore William (1895-1959) dans son livre « Pawns in the Game » (« Des Pions sur l’Échiquier », Éd. Canadienne éditée en 1954 par la « National Federation of Christian Laymen »). Cet officier de marine canadien faisait partie de l’équipe formée par l’amiral britannique Sir Barry Domville, ancien chef de la « Naval Intelligence », retraité en 1936 et plus tard incarcéré par W. Churchill comme antibelliciste. […]
“ … mais des deux défaites subies par la France, la militaire et sociale, profiteront à la fois les financiers cosmopolites et les disciples de Karl Marx, tandis que les promoteurs du « World Revolutionary » mouvement, Giuseppe Mazzini et son homologue nord-américain, le général Albert Pike [1809-1891], dans leur lettre du 15.08.1871, traitent du schéma « Crise, Guerre, Révolution » des 3 guerres mondiales suivies des 3 grandes révolutions qui doivent marquer le XXe siècle. A. Pike, 33e degré, grand commandeur du Rite écossais du Sud, fonda sa propre obédience luciférienne : le « New Reformed Palladian Rite » destiné à appuyer le Mouvement Révolutionnaire Mondial (cf. Jean Lombard, « La face cachée de l’Histoire moderne », pp. 552-554, 1984, et les pages 555-556 du tome 2 de l’éd. espagnole). ”
“ La Première Guerre Mondiale devait permettre aux Illuminati de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de transformer ce pays par la mainmise du Communisme athée. Les divergences « naturelles », attisées par les Agents des Illuminati entre les Empires Britannique et Allemand devaient servir à fomenter cette guerre. Le conflit terminé, le Communisme devait se constituer et être utilisé pour détruire les autres gouvernements et affaiblir les religions.
“La Deuxième Guerre Mondiale devait être fomentée en jouant sur les divergences entre Fascistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l’Etat souverain d’Israël put s’établir en Palestine. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la puissance du Communisme International devait arriver au niveau de celle de la Chrétienté tout entière. Arrivé à ce point, il devait être contenu et mis en réserve jusqu’à son utilisation pour le dernier cataclysme social.
“ Quelle personne informée pourrait nier que Roosevelt et Churchill ont réalisé cette politique ?
“ La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’Etat d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique.
“ Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours au Proche, au Moyen Orient et à l’Extrême Orient ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ?
“ Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu’après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres : ”
« Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »
« L’autre dessein, à la réalisation duquel les francs-maçons emploient tous leurs efforts, consiste à détruire les fondements principaux de la justice et de l’honnêteté. » Léon XIII, Humanum Genus
L’Assemblée Nationale du Québec:un milieu de complot et de traffic d’influences.
Du polar à la réalité
La franc-maçonnerie du Québec, contrairement au temps où les mises en garde de l’Église catholique gardaient la population à l’affût de ses moindres implications, prospère aujourd’hui dans une multitude de domaines, cachée derrière une réputation d’inoffensifs philanthropes ésotéristes.
De nos jours, la franc-maçonnerie est allée rejoindre les soucoupes volantes dans le domaine des mythes et légendes. La population voit la secte maçonnique comme quelque chose d’imaginaire, alimentée par les récits fantastiques (et subversifs) hollywoodiens de Dan Brown ou d’auteurs québécois de romans jeunesse à succès comme Hervé Gagnon (Vénérable Maître de la Loge Cordialité de Sherbrooke). Aborder la franc-maçonnerie et l’accuser de quelconque implication dans la sphère publique ou politique relève maintenant à tort de la théorie de la conspiration.
Pourtant, si Jean d’Erbrée dans son ouvrage « La maçonnerie canadienne-française » comptait une soixantaine de loges affiliées à la Grande Loge du Québec en 1884, nous en comptons aujourd’hui 71 pour cette même secte. À cela s’ajoute la trentaine de loges non-reconnues par la GLQ, enregistrées au Registraire des entreprises du Québec (REQ), ainsi que celles qui ne sont pas répertoriées.
En 2014, plus personne ne pointe du doigt les réalités de la franc-maçonnerie spéculative et les connaissances de la population générale sur le sujet sont extrêmement limitées. Pourtant, des dizaines de loges maçonniques sont réparties dans les régions du Québec et elles sont fréquentées par des politiciens, des hommes d’affaires et toutes sortes de personnalités publiques.
Nous n’explorerons pas le côté ésotérique de la chose, la structure de la secte (degrés) et les rituels variant d’une branche à l’autre – il est assez facile de s’y perdre. Cela n’a de toute façon rien à voir avec l’aspect sociopolitique qui nous intéresse dans cet article. Nous aborderons plutôt un exemple assez flagrant de collusion institutionnalisée au sein de la maçonnerie montréalaise, qui se trouve en fait à être un réseau social d’hommes parfois influents.
La Loge Dorchester No. 4 – Les grands esprits se rencontrent
La commission Charbonneau fait rage, l’UPAC liquide les mafieux un par un et les yachts des parrains montréalais (ou leurs restaurants) deviennent les plaques tournantes de la corruption québécoise. Du moins, celles qui paraissent aux yeux du public.
Avec les arrestations et les démissions de personnalités politiques au Québec des dernières années, le jeu du crime et de la collusion organisée commence à s’éclaircir. Beaucoup de questions restent et resteront probablement sans réponse. Toutefois, en entrouvrant les portes du Harmony Hall, lieu de réunion de la Loge Dorchester, organe de la Grande Loge du Québec dans le district Saint-Laurent, on entrevoit quelques-unes des vedettes de l’heure de la collusion, vêtues de capes et décorées de bijoux maçonniques.
La Loge Dorchester No.4 apparaissait déjà dans la liste de 1883 dressée par l’auteur Jean d’Erbrée. En 2005-2006, la rédaction du journal maçonnique de la Grande Loge du Québec, « Rough Ashlar », publiait les compte-rendus de quelques-unes de leurs cérémonies. Vous verrez, au fil des personnes citées, que les francs-maçons n’ont certainement pas le pouvoir ésotérique de prédire le futur.
Les squelettes ne sont pas vieux ; en 2006, on y voyait défiler l’ancien ministre de la Santé, maintenant chef du Parti Libéral, Philippe Couillard, son ami franc-maçon Arthur Porter, récemment accusé de multiples chefs liés à la collusion, et le très bref « premier maire juif » de Montréal Michael Applebaum, fils du Vénérable Maître franc-maçon Moishe Applebaum de la Loge Dorchester.
On trouve donc, en parcourant les années antérieures du calendrier disponible sur le site officiel de la Grande Loge du Québec, quelques communiqués de la Loge Dorchester. L’invitation de Moishe Applebaum pour une cérémonie maçonnique au Masonic Memorial Temple en l’honneur du Dr. Porter (le 25 novembre 2006) et le compte-rendu de l’événement sont les documents les plus intéressants à explorer et nos protagonistes y figurent tous…
L’invitation d’Applebaum, qui expliquait que :
« La Loge Dorchester No. 4 organise cet événement maçonnique afin de rendre hommage au Dr. Porter pour sa carrière remarquable dans le domaine de la santé et à ses nobles efforts en tant que membre proéminent de notre fraternité. »
se terminait par la signature maçonnique classique :
« Fraternally Yours, V.W. Bro. Moishe Applebaum W.M. Dorchester Lodge No. 4, A.F. & A.M., G.R.Q. » Le compte-rendu de l’événement, qui se résume en fait au discours bilingue qu’a donné le Grand Maître franc-maçon John A. Prosnick, dresse un portrait des participants les plus appréciés dans son introduction :
« Vénérable Maître Applebaum (Père et fils), Frère Dr. Porter (Père et fils), Monsieur le ministre Couillard, nos invités distingués, mesdames, mes frères…
Je vous souhaite la bienvenue au Temple maçonnique de la Grande Loge du Québec, de Maçons Anciens, Francs et Acceptés.
La franc-maçonnerie est la plus ancienne et la meilleure institution au monde, dédiée à la fraternité des hommes, sous la paternité du Grand Architecte de l’Univers.
Sa mission consiste à accueillir des hommes bons et à les rendre encore meilleurs. Elle est accessible aux hommes qui ont atteint la maturité, qui croient en un Être Suprême, sans distinction d’origine ou de croyance. »
Si Michael Applebaum et Arthur Porter (Couillard tient encore debout) étaient « des hommes bons » en 2006, l’histoire démontre que la franc-maçonnerie n‘a visiblement pas fait d’eux des hommes meilleurs depuis.
Des franc-maçons corrompus
Cette apparition du chef libéral Philippe Couillard lors d’une cérémonie rituelle maçonnique en 2006 démontre assez bien, qu’il soit membre de la secte ou non, le genre de fréquentations qu’il entretient. Ce n’est pas tout le monde qui se retrouve invité par le Vénérable Maître d’une loge, père de l’ex-maire Applebaum, à un rituel maçonnique occulte pour souligner l’implication maçonnique d’Arthur Porter.
Les liens de Couillard avec Porter, en dehors des loges bien sûr, avaient d’ailleurs été questionnés lors de l’arrestation du docteur, qui s’était enfui aux Bahamas (où il possède le plus grand bar de danseuses nues de la région) après une baignade dans les fonds de l’Université McGill. Leur histoire commune, dont certains moments chauds ne sont pas négligeables dans cette affaire, est marquée par la nomination de Porter en tant que PDG du CUSM en 2004, au début du mandat de Couillard au ministère de la Santé et des Services Sociaux et se continua lorsque Couillard quitta la politique pour aller enseigner à McGill. Puis il y eut, entres autres, les scandales du CUSM, l’arrestation d’Arthur Porter, la chefferie libérale de Couillard… Une suite d’événements qui sont venus assombrir le décor autour du chef de parti, sans toutefois l’associer à quoi que ce soit.
Michael Applebaum, pour sa part, avait impressionné l’UPAC par l’immensité du système organisé de corruption auquel il prenait part de 2002 à 2010, période que l’on pourrait qualifier « d’âge d’or » de la Loge Dorchester No.4. Parmi les dossiers enquêtés par l’UPAC ressurgissait encore une fois le fameux scandale de Porter et du CUSM de McGill. Applebaum, durant son court règne, avait accouché de l’Escouade de protection de l’intégrité municipale suite à une relation avec l’hypocrisie politique. Celle-ci survivait après son arrestation pour être intégrée à l’UPAC en décembre 2013.
Ce que les enquêteurs de nos nouvelles institutions de lutte engagée dans la corruption et la collusion ont soit négligé, soit censuré, ce sont les liens qu’entretenaient les politiciens, les fonctionnaires et les promoteurs montréalais, non pas sur le « Touch » de Tony Accurso, mais dans la pénombre des temples de la Grande Loge du Québec.
Pour un inventaire des loges
L’État laïc prétend aujourd’hui remplacer l’Église catholique dans son rôle de guide moral du peuple. Qu’il reprenne donc la surveillance de la franc-maçonnerie là où les papes l’avaient laissée. La politique et les affaires ne sont probablement pas les seuls secteurs touchés par la collusion maçonnique, puisque plus de 100 loges au Québec regroupent des hommes de tous les milieux. Des « frères de secte » pour qui le terme « conflit d’intérêts » ne veut rien dire.
Si, selon Jean d’Erbrée, 2840 maçons actifs dépendaient de la Grande Loge du Québec en 1883, il n’est pas trop difficile d’imaginer une explosion du nombre d’initiations à la secte depuis la Révolution tranquille et Vatican II. La franc-maçonnerie, dont la conscience populaire ne connaîtrait pas même le masque ésotérique et fantaisiste sans les productions hollywoodiennes et la littérature, est réelle, active et relativement représentée au Québec. La Loge Dorchester, que nous venons d’explorer, n’est forcément pas la seule plaque tournante de la corruption au sein de la Grande Loge du Québec et Philippe Couillard n’est certainement pas le seul politicien qui fréquente la secte.
Un gouvernement vraiment soucieux de lever le voile sur la corruption partout où elle champignonne, soucieux aussi de l’intégrité de ses fonctionnaires, devrait se pencher sur l’existence de la franc-maçonnerie. Qui est franc-maçon ? Qui fréquente-t-il dans sa loge ? Qu’elles sont les relations professionnelles de ces « vénérables frères » dans la vie publique ? Le peuple demande de la transparence, du respect et de l’honnêteté de la part de la classe dirigeante du Québec. Si nous avons été maintes fois scandalisés par les relations corrompues qu’ont entretenues certains politiciens et hommes d’affaires avec le crime organisé, nous ne le serons pas moins de savoir que certaines loges maçonniques au Québec rassemblent criminels et politiciens pour des cérémonies occultes qui peuvent aussi bien se terminer en négociation de contrats.
Les listes des membres des loges doivent être révélées au grand public, l’état financier de la Grande Loge du Québec aussi, de même que leurs archives. L’UPAC trouverait probablement bien des surprises dans le fond de la boîte…
Pour la préservation de notre peuple, Nationalistes Ville-Marie
Une loge franc maçonne liée aux Illuminati et aux sionistes a orchestré cette prise en main. Cette photo provient de nos nouveaux alliés en Iran.
Pas facile à voir , où manger et de ne pas répéter l’histoire,les mêmes erreurs . Nous recherchons tout ce que nous demandons , en parlant de l’Iran pour s’assurer qu’aucune mesure individuelle non seulement la sagesse ,mais aussi la connaissance de la situation réelle:la Vérité .
Récemment ,j’ai reçu quelques documents relatifs aux liens réels entre l’organisation de la révolte de l’Ayatolla Khomény,dans les années ’70 et la naissance rapide d’une loge maçonnique importante,commanditée par celles de France et du Royaume Uni.
C’était la première fois que je traduisait un texte de la langue perse au français,aussi mes nouveaux alliés en Iran m’ont apporté une aide précieuse.Il s’agit d’un rapport en plusieurs parties provenant de la police politique du shah d’Iran,à l’époque .Ce rapport nous éclaire beaucoup sur qui a financé et organisé la révolte de Khomény,depuis sa retraite en France.Les policiers de la SAVAK le savaient depuis le début,alors pourquoi ont-ils été largués par la CIA?
Les fondateurs de la Grande Loge de l’Iran La Grande Loge de l’Iran a été fondé par un franc-maçon iranien, Jafar Sharif – Emami ,membre de la Grande Loge d’Ecosse et en coordination avec de grandes loges de l’Ecosse , la France et l’Allemagne , a été fondée en 1969 . Les Loges écossaises avec 14 membres ,10 français et 3 dans les loges allemandes y travaillaient . La cérémonie d’ouverture de cette Loge le 10 Mars 1347 en temps perse (1 Mars 1969) a été suivie par un grand nombre de grandes loges européennes et américaine Masvnhay Grandmastrhay , Ecosse , France et Allemagne en tenue . Le nombre de boîtes dans les grandes loges en Iran jusqu’à la fin des années 1970 , avec plus de 5000 membres a atteint 43 .L’ Iran avait déjà trop de traîtres au sein du régime et les membres de l’opposition dans les loges de la franc-maçonnerie sont rares .
La Loge ” Lumineuse ” de la Grande Loge de l’Iran : À partir de l’année perse 1343 (1966) avec Syed Jaafar Shryfamamy ,un religieux connu ,et Sayyed Hassan Emami ( leader de la prière du vendredi ,à Téhéran et membre du Sénat ),la Loge “Lumineuse ” de la Grande Loge de l’Iran fut mise en place .Les loges de France et l’Allemagne l’ont créé .
UN RAPPORT:
*Certaines lettres en ajout sont des codes.
Dans la SAVAK (police politique de l’empereur d’Iran) un des rapports remis au Shah d’Iran stipulait à cet égard:il a été déclaré depuis que .. Adham Luqman médecin gérontologue et membre de la Prière le vendredi ,était aussi avec Mmm M. Sharif – Emami était censé être la tête de la Loge “Lumineuse” de l’Iran .
Les quelques personnes ForumRulesHelp de gauche à droite ; J. enseignant (ministre d’État , le premier ministre de l’Année 56 ) Sayed Jafar Sharif – Emami – Foi ( Président du Sénat , le premier ministre , 57 ans ) Abdullah Maths – Foi ( Président de l’Assemblée nationale , 57 ans ) Akhund , Syed Hasan Imam – Foi ( chef de prière du vendredi à Téhéran , le président des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat , 57 ans ) A. Généralités Gharehbaghi - Foi ( chef d’état-major des Forces armées de l’armée et a rendu une ordonnance à rendre aux forces , 57 ans )
Y compris les deux loges maçonnique de la Grande Loge d’Ecosse pour une interface directe Khomeini du plan de l’Iran à piller les Juifs , les bahá’ís étaient anglais et origine arabe ; Mahdavi Kani ayatollah ( Juifs – a plusieurs femme juive dans le Royaume-Uni ) Ayatollah Tabassi ( juif )
Juifs et les Baha’is , y compris une autre ; Mollah Makarem Shirazi ( Juif – une femme juive dans le Royaume-Uni ) Clerc irakien Seyyed Mahmoud Hashemi Shahroudi Mollah Hossein Nouri Hamadani Mollah Mohammad Yazdi Clerc Bahramani Ali Akbar Hashemi ( Rafsanjani ) Mollah Mohammad ( Mhyaldyn ) Haeri Shirazi A. clerc Khazali Taghi Mesbah mollah Mohammad Yazdi Clerc Sayyed Mohammad Hosseini Beheshti Clerc , Hojjat ol- Eslam Mehdi Tayb Hojjat al -Assad régime foi Mohajerani Seyyed Hossein Moussavi Khamenei Clerc Mehdi Karroubi Mollah Mohammad Khatami Habibullah musulman Sgravlady Asad musulman Sgravlady Syed Ali Naqi ( Kamal ) Fantaisie Hossein Shariatmadari les frères Larijani
………………………………………………………………………………………………..
*Voici en dessous,la signature de mes nouveaux alliés
Conscience aryenne continue .
Vive l’Iran soldat et patrie
………………………………………………………………………
EN CONCLUSION
Une photo vaut mille mots:
Voici John Kerry,un membre connu de la société secrète Skulls and Bones, avec un ancien client,Mohammed Khatami lors du forum économique de Davos ,en 2008.
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
Elle vous permettra d'acquérir des articles venant directement de Michel...D'aille elle s'appelle "Vintage par Michel que vous trouverez sur ce lien:https://www.etsy.com/ca-fr/shop/VintageParMichel?ref=seller-platform-mcnav Ignorer