via OVNI / ET : les témoignages officiels qui accréditent le phénomène — intérêt pour tous
Étiquette : extraterrestre
Alerte dans l’espace:des objets d’origine inconnue tombent du ciel
De petits objets en forme de sphères sont tombés du ciel.

C’est l’émoi dans un village espagnol de Murcie. Un objet non identifié de forme sphérique a été retrouvé dans les champs. Après s’être assuré qu’il n’était pas radioactif, l’objet a été transporté et analysé par des experts pour identifier son origine qui est toujours inconnue. Le même jour, une autre sphère similaire a été retrouvée à 1500 km de là en Turquie dans un village côtier de la mer Noire. Ces deux objets sont des sphères de 20 kg. Deux jours plus tard, un troisième objet semblable a fait son apparition dans un autre village espagnol à quelques kilomètres de là où a été retrouvé la première sphère. Des fermiers locaux ont témoigné avoir « aperçu plusieurs boules de feu tomber du ciel ».
Les citoyens sont inquiets pour leur sécurité se demandant ce qu’il se passerait si l’un de ces objets tombaient sur eux, rapporte l’Express. L’un d’entre eux ayant laissé derrière lui un petit cratère.
Un porte-parole de la police d’Alicante a expliqué aux journalistes que « ces sphères pouvaient provenir d’un engin aérospatial ou d’un satellite. »
Une piste confirmée par la Nasa, qui a expliqué que 500 000 débris gravitent autour de notre planète et que certains d’entre eux retombent sur la terre chaque année.
Néanmoins, la fréquence des chutes et la forme de ces objets interpellent. La Guardia civil a publié des photos des objets suspects.
D’autres parts …un étrange objet inconnu se dirige vers la Terre
Un étrange débris spatial devrait s’écraser sur Terre le 13 novembre vers 6h20 (UTC). D’après l’Agence spatiale européenne, l’objet baptisé WT1190F devrait tomber dans l’océan Indien, à environ 65 km au sud du Sri Lanka.

WT1190F a d’abord été identifié comme un astéroïde lors de sa découverte en 2013. C’est l’orbite chaotique et la faible densité de l’objet qui ont révélé aux scientifiques qu’il s’agissait plutôt d’un débris spatial.
L’objet de deux mètres de long est selon toutes vraisemblances le morceau du moteur d’une fusée lunaire, ou d’une partie d’un vaisseau du programme Apollo qui serait dans l’espace depuis plus de 40 ans.

La trajectoire de l’objet ne comporte que des risques minimes pour nous. De plus, le débris se désintégrera dès qu’il entrera dans l’atmosphère au-dessus de l’océan Indien.
Par ailleurs, cette carte interactive montre que des milliers de débris spatiaux sont en orbite autour de la Terre.
Source : ESA
Divulgation du programme spatial secret …partie 1
Nous allons apprendre que le même groupe a manipulé en coulisse votre société et déclenché des guerres au moins depuis les temps de l’Empire romain. Il y aura énormément de chocs et de surprises – mais également du soulagement que la torture ait finalement pris fin. Les personnes qui ont risqué leurs vies pour dire la vérité aux autres passeront du néant au statut de héros.
La vérité est beaucoup, beaucoup plus étrange que la fiction. Nous pouvons difficilement ne serait-ce qu’imaginer le monde que nous verrons une fois que le programme spatial secret sera révélé et que le changement sera achevé. Des pas très concrets sont actuellement accomplis dans ce sens !
Il est difficile de s’imaginer a quoi va ressembler la divulgation
- Sommes-nous entourés de multiples groupes différents d’ET intelligents et humanoïdes ?
- Ont-ils interagi avec notre planète au cours de toute l’histoire archivée de notre planète ?
Pour certains, la réponse est devenue «Oui, bien sûr.»
La divulgation aura indéniablement un effet énorme, révolutionnaire et imparable. Une fois que cela deviendra de notoriété publique, l’effet sur notre civilisation sera indéniablement énorme, révolutionnaire et imparable.
L’attente d’une divulgation officielle – pour n’importe quel genre de reconnaissance formelle de la vérité – aura été désespérément longue et pénible. Il est facile de perdre espoir ; de se sentir abattu et vaincu en voyant les mêmes petits jeux se renouveler encore et encore. Cependant, le fait que la «divulgation complète» n’ait pas eu lieu ne signifie pas qu’elle n’aura pas lieu.
Les forces qui empêchent la divulgation semblent toutes puissantes à beaucoup de ceux qui ont étudié le sujet – mais entretemps des acteurs plus importants sont entrés en scène.
L’Alliance est absolument réelle
Nous avons été assez chanceux pour avoir des contacts directs avec des gens à l’intérieur du système qui travaillent pour une alliance secrète qui est en train de vaincre les Pouvoirs du Passé.
Comment est-ce arrivé ? C’était en partie un héritage : nous avons conservé une plateforme en ligne depuis 1996, et lancé ce site web en février 1999. L’internet était alors une telle nouveauté qu’il y avait des centaines de sujets paranormaux pour lesquels nous étions le seul site à posséder une recherche par mot clé.
Je me sens très privilégié d’en être arrivé où je suis. Travailler plus de 14 heures par jour, 7 jours par semaine sur ces sujets depuis juillet 1998 a été une œuvre d’amour et de service. En mai 2001, j’avais déjà écrit trois livres entiers sur la science alternative de pointe intitulés la série de la Convergence, et les avais publiés gratuitement ici.
L’intérêt de gagner la confiance des gens à l’intérieur du système est que plus vous durez et plus vous en connaissez, plus vous avez de chances d’en voir émerger de nouveaux.
Un de ces «insider» s’est maintenant manifesté sous forme d’un témoignage vidéo que nous avons enregistré ici au siège de Divine Cosmos, et nous allons le diffuser sur YouTube dès que cet énorme projet sera achevé. Pour ceux qui le réclameraient dès maintenant, gardez à l’esprit que la qualité est plus importante que la vitesse pour quelque chose d’aussi important. Ceci étant dit, l’Alliance nous demande de le terminer dès que possible.
« Vous vous rappelez le bon vieux temps ? »
La Cabale responsable de la dissimulation ne restera pas secrète plus longtemps. Nous aurons bientôt une surprise qui dépassera de loin tout autre évènement dans l’histoire. La vie de tout le monde sera irrémédiablement chamboulée une fois que cet évènement se produira.
Tous les films, séries télévisées et discussions médiatiques deviendront immédiatement des reliques du passé – comme ces vieux programmes populaires en noir et blanc du «bon vieux temps». De nombreux aspects de votre société, y compris les films et la musique pop, vont changer pour toujours aux yeux du public.
Nous allons apprendre que le même groupe a manipulé en coulisse votre société et déclenché des guerres au moins depuis les temps de l’Empire romain. Il y aura énormément de chocs et de surprises – mais également du soulagement que la torture ait finalement pris fin. Les personnes qui ont risqué leurs vies pour dire la vérité aux autres passeront du néant au statut de héros. Les paparazzis auront tout un tas de nouvelles personnalités vers lesquelles tourner leurs caméras et leurs micros.
En plus, une fois que ce processus sera lancé, il ne faudra pas longtemps avant que nous entendions la preuve absolue que nous ne sommes «pas seuls».
Les extraterrestres doivent respecter une directive essentielle
Il existe d’innombrables et puissantes raisons de croire que les ET existent, et respectent une «Directive essentielle». Il ne leur est pas permis d’intervenir dans notre histoire et à nous révéler ouvertement leur existence jusqu’à ce que nous soyons prêts pour qu’ils nous apparaissent. Ce moment pourrait être plus proche que nous ne le pensons. Révéler et nous débarrasser du contrôle mental des «Sales types» est une étape cruciale de ce processus.
Dans la deuxième partie nous allons passer en revue les preuves multiples et imbriquées qui militent en faveur d’une divulgation à court terme – et qui sont beaucoup plus spectaculaires que ce à quoi la plupart des gens s’attendent. Les récompenses pour cet évènement sont si énormes qu’il vaut la peine de faire l’effort de rechercher la preuve étonnante que nous voyons se dessiner à mesure que nous nous en approchons.
Vous trouverez également un lien vers une épique conférence de trois heures que nous avons tenue il y a un peu plus d’une semaine, le 26 avril, et qui a abordé ces sujets et beaucoup d’autres points factuels, dans une grande perspective d’ensemble. Cette conférence était pratiquement bourrée de nouvelles information, présentations et animations détaillant cet évènement à venir – et a été totalement différente de l’émission de février ! Le buzz a été considérable. Nous avons pris de gros risques en la faisant. Comme d’habitude, nous avons suivi le protocole de révéler de nouvelles informations hautement sensibles en direct et sur scène pour notre propre sécurité. C’est la suite parfaite de «Une brève histoire de cinq millions d’années de colonisation de notre système solaire», et c’est un «must» pour tous ceux qui ont vu la première. La vidéo est maintenant disponible sur streamingforthesoul.tv, sous la tab VOD. Des instructions spécifiques sur la manière de naviguer seront fournies à la fin.
https://www.streamingforthesoul.tv/index.php?pageID=63
La divulgation provoquera un âge d’or
La divulgation apportera beaucoup de fruits merveilleux – tels que :
- l’énergie libre,
- l’anti-gravité,
- le voyage à travers les portes des étoiles,
- la technologie de guérison
- et la technologie de matérialisation.
Elle préparera la voie à une interaction ouverte avec les ET humains bienveillants – un rêve dont beaucoup ne peuvent même pas s’imaginer qu’il puisse jamais se réaliser. Il ne s’agira pas d’une sorte de fin larmoyante de film de science-fiction dont nous rêvons pendant quelques précieuses minutes, pour nous «réveiller» ensuite et retourner à nos vies normales et banales.
D’anciennes prophéties du monde entier décrivant un «Age d’or» – remarquablement différent de ce que nous vivons à présent – vont bientôt se réaliser. Notre planète deviendra une oasis de paix telle que nous avons toujours voulu qu’elle soit – sans que nous ayons à nous réfugier dans des «espoirs illusoires» invariablement déçus.
L’univers n’est pas fait pour que des civilisations intelligentes vivent dans la peur et la douleur comme cela a été notre cas ici. C’est une phase transitoire qui passe habituellement assez vite – dans le grand déroulement des choses. A présent le moment est presque arrivé pour nous de quitter le nid, et de rejoindre une communauté plus importante d’explorateurs interstellaires pacifiques au service des autres.
Vous faites partie de la solution
Qu’en est-il si ces prophéties épiques ne se «réalisent» pas en vertu de quelque «loi universelle ?» Et si nous devions créer le futur dans lequel nous voulons vivre ? Si oui, cela signifie que vous faites partie de la solution. Ce que vous pensez, ce que vous ressentez et la manière dont vous agissez est beaucoup plus importante que vous ne pouvez le réaliser.
Vous vivez à présent dans une bulle, regardant un grand spectacle magique dont vous êtes déconnectés. Vous êtes des participants actifs dans une réalité partagée de co-création. Il y a d’abondantes preuves scientifiques que c’est la manière dont l’univers fonctionne réellement. Ces données ont été largement et brutalement supprimées.
Se battre pour la vérité en utilisant la télévision
Nous nous sommes vigoureusement battus pour révéler la vérité dans nos livres primés et nos émissions de TV, Enseignements de Sagesse et Divulgation. Wisdom Teachings (Les Enseignements de Sagesse) sont une «Université parallèle», où plus de 100 épisodes d’une demi-heure se consacrent à révéler les preuves scientifiques de l’Ascension – et de notre Cosmos vivant. Disclosure (Divulgation) est notre nouvelle émission dans laquelle j’interviewe quelques-uns des grands noms et des grands penseurs dans le domaine, et où nous menons des discussions animées. Lorsque vous souscrivez pour 99 cents le premier mois, vous avez accès à tout, y compris aux nouveaux épisodes chaque lundi et jeudi – et apportez une aide incommensurable pour soutenir et développer cette mission. Vous pouvez acquérir une clé de streaming Roku pour 39,99 $ ou une box Roku pour 49,99 $ et regarder nos émissions en excellente qualité HD sur votre grand écran TV.
Il est étonnant que j’aie pu dire et faire tout ce que je voulais dans ces émissions, sans aucune restriction sauf d’éviter les scènes gratuites de sexe ou de violence. Je suis en fait nu dans chaque émission, mais ce n’est pas considéré comme gratuit – aussi longtemps que c’est sous mes vêtements.
Grâce à la technologie du streaming, tout le «ressenti de l’utilisateur» est exactement le même que de regarder n’importe quoi d’autre sur une chaîne câblée. Roku propose également des locations de films de 48 heures par Amazon Instant Video, et une grande variété de chaînes qui vous permettent d’éviter les connections par câble et de continuer à regarder ce que vous voulez.
Donc oui. Vous pouvez maintenant vous gaver de Wisdom Teachings et de Disclosure sur votre divan pendant un mois pour 41 $ et conserver Roku même si vous résiliez votre abonnement. Nous ne vous fabriquerons pas le popcorn, mais nous maintiendrons certainement vos cellules cérébrales en fusion d’étonnement. Si vous avez une Playstation ou une Xbox, vous n’aurez même pas besoin d’acheter d’équipement supplémentaire – vous êtes parés. Ou alors vous pouvez les regarder sur votre ordinateur portable, votre tablette numérique ou votre smartphone.
Et si vous avez besoin de sexe et de violence, mélangés avec une bonne dose de propagande luciférienne dissimulée (LOL), il vous suffit d’insérer un épisode de Game of Thrones (Le Trône de Fer).
Il ne reste qu’un petit groupe pour s’interposer
Un petit groupe, dont le pouvoir vacille davantage de jour en jour, est la seule chose qui s’interpose entre nous et un genre de société à la Star Trek qui pourrait devenir la nôtre en l’espace de quelques mois. Ce groupe connaît de gros ennuis. Il perd la guerre sur tous les fronts. Les défections massives ont déjà commencé, et se sont accélérées au cours des dernières semaines. De multiples «factions à l’intérieur des factions» se forment à mesure que chacun retourne contre l’autre – y compris dans les échelons supérieurs qui ne se privent pas de trahir tous leurs subordonnés.
Des témoins de haut rang ont d’ores et déjà été mis en lieu sûr dans l’attente d’une série d’évènements épiques qui vont bientôt se dérouler sur terre. Ces évènements épiques décisifs pour la civilisation seront appelés les Tribunaux Illuminati. Les Tribunaux Illuminati seront les plus grandes émissions les plus regardées dans l’histoire des médias télévisés. Elles seront absolument inattendues et révélatrices et pleines de nouvelles informations.
Quelques-uns des personnages les plus célèbres sur terre seront directement impliqués – et nous allons voir un côté d’eux-mêmes auquel nous ne nous serions jamais attendus. Tout ce que nous croyions savoir sur notre monde – ainsi que sur les annales de notre histoire – changera instantanément. Du jour au lendemain. Les informations déferleront sur nous à une telle vitesse que la «courbe d’apprentissage» sera stupéfiante – même pour ceux qui croyaient tout savoir.
La preuve absolue en images que le 11 septembre était une blessure mise en scène et auto-infligée par la structure de pouvoir américaine ne sera que le tout début de ce que nous allons voir.
Personne ne s’y attendra véritablement jusqu’à ce que cela se produise
Tout comme n’importe quel autre bouleversement politique dans l’histoire, l’essentiel de la planification est fait dans le secret le plus absolu jusqu’à ce que le changement fasse son apparition. Cela s’avère d’autant plus nécessaire lorsqu’il s’agit de s’élever contre un groupe qui a accès aux moyens de surveillance universels de toutes les formes de communication.
Les indices d’un changement épique sont là, et sont devenus de plus en plus évidents – mais, pour beaucoup, aucun niveau de preuve ne les convaincra jamais. Ce n’est que lorsque les évènements énormes commenceront à se produire – probablement tout aussi détonants et inattendus que le 11 septembre dans les premières phases – que la plupart des gens seront forcés de les accepter. Le déclencheur de ces changements épiques sera apparemment un bouleversement économique majeur, y compris l’Oncle Sam piochant dans votre portefeuille pour se payer ses Rolls-Royce. Des «saisies», par lesquelles le gouvernement essaiera de mettre de force la main sur vos comptes bancaires pour payer ses propres mauvaises dettes, seront probablement l’étincelle qui déclenchera la mise en œuvre des Tribunaux Illuminati.
Il y a des plans prévus pour restaurer et améliorer notablement le système financier, donc ce moment où l’on croit que «tout est perdu» sera extrêmement frustrant, mais seulement temporaire. Personne au sein de l’Alliance ne «tournera le bouton» de la phase finale de ce plan avant que le public ne soit assez en colère pour qu’il veuille que cela se produise.
Fin de la première partie
par David Wilcox
Selon Edward Snowden,les extraterrestres cryptent leurs communications
Depuis l’apparition d’Edward Snowden et la révolution WikiLeaks, tous les passionnés d’OVNIs, en particulier ceux convaincus que les gouvernements cachent des secrets concernant une éventuelle présence extraterrestre sur Terre, scrutent avec avidité les informations confidentielles divulguées par le lanceur d’alerte. Jusqu’à présent leurs espoirs ont été déçus. Plusieurs fois interrogés sur cette question, Edward Snowden et Julian Assange assurent qu’aucun document confidentiel attestant de la visite d’aliens n’est passé entre leurs mains.
Toutefois, ce manque de preuves n’empêche pas Snowden d’avoir une opinion intéressante sur le sujet. Jeudi dernier, l’ancien analyste de la NSA était l’invité surprise jeudi dernier de l’émission scientifique StarTalk présentée par l’astrophysicien Neil deGrasse Tyson.
Il est intervenu en duplex de Russie, où il est actuellement réfugié, par le biais d’un dispositif intrigant : un écran fixé sur un support robotisé que Snowden pouvait déplacer à distance…
Edward Snowden: « Les communications extraterrestres sont sans-doute cryptées par défaut »
Dans ce cadre futuriste, l’entretien a moins porté sur les aspects politiques de son action que sur les techniques au coeur du travail de renseignement, le cryptage et le décryptage des données. C’est donc assez naturellement que l’interview s’est orientée vers le cas de figure le plus délicat: la communication entre des êtres humains et une civilisation extraterrestre en l’absence totale de références.
A cela s’ajoute une difficulté supplémentaire, selon Edward Snowden, «si une civilisation s’efforce d’en écouter une autre, ou si nous-même tentons de capter les communications d’une civilisation extraterrestre, il n’y a qu’une très brève période de temps dans le développement de ces sociétés au cours de laquelle leurs informations sont transmises par des technologies primitives et non protégées. Donc, toutes les communications que nous pouvons capter (NDR: en dehors de ce cours laps de temps) et tout ce que d’éventuels extraterrestres peuvent écouter de nous est crypté par défaut.
Si bien que ce que nous sommes en mesure d’entendre, l’équivalent d’une émission de télé ou d’une conversation téléphonique alien, est indiscernable du rayonnement cosmologique fossile», le bruit de fond électromagnétique né du Big Bang qui continue de parcourir l’espace infini.
L’intéressant commentaire d’Edward Snowden relève d’un certain anthropocentrisme puisque qu’il suppose que la sécurisation et le cryptage des données constituent une préoccupation universelle. D’où peut-être la nécessité d’un CosmicLeaks…
Selon Edward Snowden, les pratiques de chiffrement pourraient nous empêcher d’établir une communication avec des extra-terrestres.
Lorsque l’ancien analyste de la NSA Edward Snowden a levé le voile sur les pratiques de surveillance massive des diverses agences de renseignement à travers le monde, la communauté high-tech s’est davantage intéressée aux outils de chiffrement pour les communications, qu’il s’agisse de l’email, de la messagerie instantanée ou des échanges téléphoniques.
Dans une interview recueille par Neil deGrasse Tyson pour son podcast Star Talk, Edward Snowden explique ainsi : « Si vous regardez les communications chiffrées – et si elles sont bien chiffrées – il n’y a pas vraiment moyen de dire qu’il s’agit de données sécurisées. ». Ainsi selon l’homme, lorsque le message est protégé de manière efficace, on ne peut le distinguer d’une chaîne de caractère aléatoire et immédiatement en reconnaître sa nature.
Edward Snowden affirme alors que les civilisations (humaines ou extra-terrestres) devenant plus avancées, elles migreront depuis des communications ouvertes vers des échanges chiffrés. Cela compliquera donc la recherche de signaux extra-terrestres, tant pour les aliens que pour nous.
Pour M. Snowden les choses sont claires : le chiffrement constitue une avancée majeure dans toutes les civilisations. Et d’affirmer à propos des extra-terrestres : « il n’y a qu’une courte période dans le développement de leurs sociétés durant laquelle toutes leurs communications seront envoyées de la manière la plus primitive et via les moyens les moins sécurisés ».
En suivant ce raisonnement, l’humain ne sera donc pas en mesure de distinguer un message chiffré envoyé par un extra-terrestre d’une micro-onde cosmique.
Reste que les petits hommes verts n’ont peut-être pas forcément envie qu’on intercepte leurs communications intergalactiques…
Souces: Paris Match
Voici 16 signes évidents qui prouvent l’existence des extraterrestres


L’astrophysicienne malaisienne Mazlan Othman est directrice du Bureau des affaires spatiales des Nations Unies (United Nations office of outer space Affairs ou UNOOSA), qui s’occupe de tous les dossiers relatifs à l’activité spatiale. Mazlan est mandatée pour accueillir les visiteurs extra-terrestres et coordonner leur reconnaissance s’ils venaient à entrer en contact avec nous.
Lire un formidable interview avec elle: lien Ambassadrice extra-terrestre.

Le méthane est normalement produit par des organismes vivants et une quantité importe de ce gaz a été trouvé dans l’atmosphère de Mars, ce qui nourrit encore une fois l’idée de la possibilité d’une forme de vie sur Mars.

En 1977, des scientifiques de l’Université de l’Ohio ont intercepté des signaux qui avaient voyagé dans l’espace pendant plus de 200 millions d’années avant de nous rejoindre. Ces signaux remarquablement forts ont laissé les scientifiques perplexes et ces derniers tentent toujours d’en identifier la source.

Après avoir reçu des images de Vénus de la sonde Venera-13, le scientifique russe Leonid Ksanfomaliti a affirmé que des êtres ressemblant à des scorpions pourraient exister sur la planète Vénus.
Photo : Sur cette image de la planète Vénus, les zones sombres dans les plaines vénusiennes sont en fait des dépôts associés à l’impact de grosses météorites.

Des études récentes suggèrent qu’il y a peut-être des bactéries rouges gelées sur Europa, la lune de Jupiter. Selon les scientifiques, la présence de bactéries indique que des formes de vie plus avancées pourraient y évoluer.
Photo : Photo de la lune de Jupiter rendue publique par la NASA le 12 novembre 1996.

Ce n’est pas pour rien que la petite ville de Bonnybridge est reconnue pour être la capitale de l’observation d’ovnis en Écosse : on observe chaque année plus de 300 ovnis dans le ciel de la région.
Photo : Un document rendu public par les archives nationales britanniques présente un rapport d’observation d’ovnis.

Des scientifiques ont trouvé un corps étranger d’un peu plus d’un centimètre logé dans le crâne de Napoléon Bonaparte. Napoléon lui-même a dit qu’il avait été fait prisonnier par des hommes étranges quand il a disparu pour quelques jours en 1794. Coïncidence? Peut-être pas!

Certains hiéroglyphes égyptiens présentent des gravures qui suggèrent que des machines volantes ressemblant à des ovnis ont déjà visité la vallée du Nil.
Certains textes anciens parlent d’apparitions de disques volants.

En 2013, quand des scientifiques britanniques ont lancé un ballon dans la stratosphère, ils ont été étonnés de constater qu’à son retour, il contenait de minuscules organismes vivants. Les scientifiques croient que ces organismes ne peuvent pas venir d’ailleurs que de l’espace

Des chercheurs ont découvert une pierre de Mars en Antarctique et soutiennent qu’elle contient des nanobactéries. Cette découverte laisse supposer que des pierres de ce genre se sont retrouvées sur notre planète il y a de cela des millions d’années et qu’elles ont fait éclore la vie sur Terre.
Photo : Micrographie d’une météorite martienne Alh84001 présentant ce qui ressemble à un microorganisme fossilisé.

Récemment, des Russes ont trouvé un microorganisme dont la qualité de survie face à des doses massives de radiations dangereuses n’a jamais été observée sur aucun autre organisme sur Terre. Les scientifiques croient que le germe provient de Mars, ce qui alimente la thèse d’une vie extra-terrestre.

Il n’y a pas que la circulation aérienne régulière qui garde les pilotes alertes ces jours-ci. À plusieurs occasions, des jets commerciaux ont passé à un cheveu d’entrer en collision avec un ovni. Un pilote rapporte avoir vu un objet volant de forme triangulaire se diriger vers l’appareil alors qu’il s’approchait de Manchester, en Angleterre. L’ovni a disparu avant qu’il ne puisse réagir pour éviter une collision.
Certains sont vraiment entré en collision…

Notre galaxie, la Voie lactée, contient plus de 400 milliards d’étoiles et les scientifiques croient que la moitié de ces étoiles ont au moins une planète dans leur orbite. L’astronome et astrophysicien américain Frank Drake a mis au point une équation afin d’estimer le nombre potentiel de civilisations extraterrestres, en tenant comptant de la probabilité que certaines planètes inhibent les êtres vivants.


Quand les astronautes américains ont aluni durant la mission Apollo 11, ils ont aperçu un objet non identifié qui volait tout près d’eux. Ils ont d’abord cru qu’il s’agissait d’une pièce détachée de la fusée SIV- B, qui, a-t-on confirmé plus tard, se trouvait à 9 656 km d’eux. C’est un mystère que les scientifiques sont incapables d’expliquer encore aujourd’hui.
Ceci est la vision rationnelle de la science actuelle ,mais moi je considère qu’Apollo XI n’a pas été sur la Lune.

Depuis des décennies, des astronomes tentent d’entrer en contact avec la planète Mars en envoyant des ondes radio dans l’espace extra-atmosphérique. En 2004, ils ont observé un signal radio non identifié qui devenait de plus en plus fort et ont cru que des extra-terrestres tentaient peut-être de communiquer avec nous.
La conjuration du secret:les révélations d’Arthur Newman sur les secrets de la Nasa
Le temps est une sorte d’arbre aux multiples branches, où les événements futurs ne sont que des possibilités. Mais nous sommes en train de finir de couper la branche sur laquelle nous nous croyions assis et installés à jamais. C’est ce qui ressort du témoignage d’Arthur Newman, plus connu sous le pseudonyme d’Henry Deacon.
Henry Deacon est un physicien, haut fonctionnaire américain impliqué dans la question des relations du gouvernement des États-Unis avec les extraterrestres. À plusieurs reprises, il a pris des risques pour dénoncer les méfaits de l’incroyable technologie développée dans l’ombre par les « black programs » américains : voyages spatio-temporels, portes des étoiles, colonisation de Mars, armes climatiques et contrôle démographique.
La réalité va bien au-delà des fictions les plus audacieuses, puisqu’il s’avère que ces technologies ont déjà provoqué des fissures au niveau de notre trame spatio-temporelle. Le problème de ces ruptures dans notre espace-temps est qu’elles ouvrent la voie à des choses et même à des êtres « indésirables » qui risquent de nous compliquer la tâche au cours de notre transition vers l’Ère Nouvelle.

Voici une partie de son témoignage.
« Je suis fonctionnaire au sein d’un organisme gouvernemental bien connu dont le sigle se compose des trois lettres NSA. J’ai été impliqué dans de nombreux projets, au sein de plusieurs agences différentes et durant plusieurs années.
Pour commencer par l’essentiel, je pense être un « walk-in », c’est-à-dire une âme ayant remplacé au début de son incarnation celle d’un jeune collégien. J’ai des souvenirs d’une autre planète qui se mélangent dans un certain désordre avec mes souvenirs d’enfance. Ce que je ressens est bizarre et difficile à expliquer. J’ai toujours eu, intuitivement, la capacité de pénétrer des informations scientifiques complexes et de comprendre des systèmes savants sans avoir reçu de formation préalable. Je travaille principalement sur ces systèmes. En toute modestie, je dois vous dire que je suis en possession d’une grande masse d’informations scientifiques avancées ; mais je ne peux rien révéler à ce sujet pour le moment.
Il y en a tant de choses à dire…Je ne sais par où commencer. Par exemple, concernant le 11 septembre, j’étais au courant deux ans avant, pas en détail, mais dans les grandes lignes. On en parlait, il fallait un événement susceptible de changer la donne. Je sais qu’une guerre est prévue et planifiée depuis des années entre les États-Unis et la Chine. Voilà deux sujets dont j’ai eu vent au passage, mais je n’ai jamais eu accès à des informations détaillées…
Cela vous semblera peut-être invraisemblable, mais c’est une réalité : les États-Unis et la Chine travaillent en commun depuis plusieurs années à un projet de guerre simulée. Le Pentagone s’y est mis dès 1998. Il vous faut savoir que les États-Unis et la Chine sont comme cul et chemise pour pratiquement tout ; cette guerre est une sorte d’opération conjointe en préparation depuis des années.
Les physiciens et programmateurs du complexe militaro-industriel ont des décennies d’avance sur la physique officielle publiée dans les revues spécialisées et accessibles au public. Certains programmes abordent des sujets qui dépassent ce qui est concevable pour des physiciens classiques..
Ils ont développé à Livermore un projet qui s’appelle Shiva Nova et qui utilise des batteries de lasers géants. Ils sont vraiment énormes, avec des condensateurs géants, des terawatts d’énergie. Les essais se passent dans un énorme bâtiment construit sur des ressorts, les lasers sont braqués sur un minuscule petit point. Cela provoque une réaction de fusion qui reproduit certaines conditions d’essais d’armes nucléaires. Ce sont des essais nucléaires en laboratoire qui permettent d’enregistrer des données très avancées sur le petit point où se concentre toute cette énergie.

Le problème, c’est que ces tirs à très hautes énergies provoquent des déchirures dans le tissu spatio-temporel. On a déjà pu observer cela à Hiroshima et Nagasaki et on peut même le déceler dans d’anciens documents cinématographiques qui montrent les premiers essais nucléaires. Le problème des ruptures dans l’espace-temps, grandes ou petites, c’est qu’elles ouvrent la voie à des choses ou à des êtres indésirables.
La venue de ces êtres bizarres, leur influence cacophonique, crée d’énormes problèmes. Lorsqu’on provoque des ruptures du tissu spatio-temporel, qu’on le veuille ou non, on brouille le temps lui-même. Les tentatives de réparation n’ont fait qu’engendrer une superposition complexe de boucles temporelles. Il y a des extraterrestres qui essayent de nous aider, d’autres qui se réjouissent de ces perturbations et qui les utilisent pour essayer de nous contrôler. C’est un énorme désordre ! Nous avons ouvert la boîte de Pandore mais restons incapables d’en gérer les conséquences.

Le risque, c’est que chaque fois qu’on essaye de rétablir la situation, on aggrave les choses, et cela ne fait qu’empirer. Montauk, par exemple, n’est pas une fable. c’était une expérience authentique. Et cela s’est terminé par un désastre; ils ont provoqué une rupture du temps qu’ils sont toujours dans l’impossibilité de réparer.

Notez que cela concerne aussi le Programme Ar-en-Ciel (Rainbow Project), les Portes des Étoiles… ils y travaillaient aussi. L’une de ces portes nous connecte à Mars, et c’est un lien stable, quelles que soient les positions respectives des deux planètes. Nous avons déjà une base là-bas depuis les années 60, plusieurs bases en fait.
Si vous avez quelques notions de physique, vous savez ce qu’est un signal non local : deux particules en des endroits différents de l’univers, peuvent communiquer entre elles instantanément, quelle que soit la distance. Des systèmes ont été mis au point qui permettent des communications, localement ou sur de vastes distances, en ayant recours à une technologie qui rend toute écoute indiscrète impossible parce que rien, aucun signal, ne circule entre les deux stations qui puisse être codé ou intercepté. L’élégance de la chose, c’est que ces systèmes sont très faciles à construire. Sur deux planches à pain, avec des composants bon marché que n’importe qui peut acheter, vous pouvez créer deux circuits chaotiques et communiquer de cette façon ; c’est à votre portée si vous savez comment faire.
Il y a d’ailleurs d’autres applications que les communications : on peut voyager sur de très grandes distances en utilisant des portes. Certains parmi nous sont passés par des portes des étoiles, mais pas pour se rendre sur Zeta de Reticulum, comme on l’a dit. Ils sont allés sur Alpha du Centaure. Zeta 1 et 2 sont très loin l’une de l’autre, alors que Alpha et Proxima du Centaure sont très proches. Alpha du Centaure possède un système solaire très semblable au nôtre, bien que plus ancien, et ses planètes sont sur des orbites stables. Il y a trois planètes habitées, la deuxième, la troisième et… je crois, la cinquième.
Il est relativement facile d’arriver là-bas, c’est à moins de cinq années-lumière, autrement dit, à côté de la porte. Les gens là-bas ont un aspect très humain, ils ne sont pas du tout comme les « Gris », ils nous ressemblent beaucoup. D’ailleurs, la forme humaine est très répandue dans l’univers. Ils ont des enfants, qu’ils élèvent avec amour, mais ils ne sont pas soumis à la dualité et vivent dans l’harmonie.
Une autre application a été le projet Looking Glass [nom emprunté au titre du tome II d’Alice au Pays des Merveilles : Through the Looking Glass = « À travers le miroir »]. Il s’agissait d’une technologie qui permettait de lire dans le futur. Nous ne sommes pas les concepteurs de cette technologie, nous l’avons reçue ou récupérée d’un vaisseau capturé. Je n’ai pas travaillé là-dessus.
Je préférerais vous parler d’un événement réel qui s’est produit à Hunter Liggett, et auquel j’ai directement participé.
Hunter Liggett se trouve à 145 km dans le sud-est de Monterey en Californie. À l’époque, j’étais à Fort Ord. C’était au début des années 70, j’étais militaire et enrôlé au CDCEC (Combat Developments Command Experimentation Command). Vous pouvez vérifier. Nous faisions les essais de toutes sortes de systèmes et nous vivions en campagne. Nous portions souvent des lunettes de protection contre les lasers et devions régulièrement subir des examens de la rétine. On avait même posé des lunettes spéciales au bétail qui se trouvait dans les champs ! C’était le spectacle le plus insolite que vous puissiez imaginer. Un jour; pendant nos essais, un disque est venu se placer en vol stationnaire juste devant nous au-dessus des champs. Alors nous avons abattu ce foutu machin !
Nous n’aurions jamais dû ; ce n’était pas moi personnellement, mais mon groupe. Nous avions toutes ces armes spéciales sous la main et je crois qu’ils ont paniqué et se sont crus en train de jouer dans un polar. Le vaisseau endommagé a été capturé ainsi que ses occupants, que j’ai pu apercevoir brièvement. C’était des humanoïdes de taille enfantine au crâne glabre avec de petits yeux, et non les grands yeux en amande. Je ne sais pas si ce fait est connu, je ne crois pas que cela se trouve sur Internet.
La plupart des autres témoins se sont retrouvés au Vietnam et beaucoup ont été tués ; peut-être suis-je le dernier témoin vivant de cette affaire… Je ne sais pas. J’ai possédé jadis une vraie photo d’un alien. Je l’ai montrée à une femme remarquablement intelligente, une microbiologiste qui travaillait pour l’une des agences.
Cela lui a fichu une trouille terrible, je n’en revenais pas. Elle ne voulait pas en entendre parler. J’en conclus que le public, y compris les scientifiques, ne sont pas prêts à recevoir ce genre d’information. Cette personne était intelligente mais cela ne l’a pas empêché de péter les plombs, de refuser de savoir.
Cette photo montrait un petit être à peau sombre, presque noire et ridée, le seul survivant d’un accident ; il est mort peu après. Il portait un vêtement auto-régénérant, une sorte de tissu capable de se réparer tout seul. Il était muni d’un instrument qui ressemblait à une télécommande, on le lui a confisqué.
Comment cet être est arrivé sur la Terre ? C’est tellement complexe que peut-être personne ne possède toute l’information. Tout est tellement cloisonné, jusqu’au sommet, que la plupart des agences ne savent pas ce que savent les autres, personne ne parle à personne.
Il arrive que des projets entiers soient réalisés en double, au prix de Dieu sait combien de milliards, parce que l’existence de l’autre projet est complètement ignorée. En tant que scientifique, je peux vous assurer que ceux de notre espèce travaillent souvent avec un bras lié derrière le dos parce que nous ne pouvons communiquer librement.
En fait, la plupart du temps, nous ne pouvons pas même communiquer du tout ! Et il y a des dizaines, des centaines de projets classifiés, de grands projets, c’est un désordre total. Notez ceci : il y a de nombreux groupes d’aliens, et d’ailleurs nos propres ancêtres y sont étroitement mêlés. Les boucles temporelles se superposent dans une grande confusion. Même avec un QI de 190, vous ne pourriez y voir clair !
La plupart des photos de la Lune ont été retouchées. C’est une pratique courante à la NASA. Peu de gens savent que les images radar du National Weather Service (Service Météo National) sont aussi retouchées ; il y en a qui ne sont pas publiées. Je ne parle pas de retouches manuelles, mais de filtrage électronique avec un logiciel. Certaines traces radar sont énormes.
En outre, les radars météo sont incapables de déceler les objets qui ce déplacent au-delà d’une certaine vitesse, environ 3.200 km/h, mais il reste des traces qui sont supprimées. La plupart sont des OVNI. Ils sont souvent invisibles à l’œil nu mais apparaissent au radar. On les détecte aussi par l’ultraviolet. Je ne pense pas que cela soit connu du public.
Revenons aux boucles temporelles : qu’arrive-t-il si je remonte dans le temps et que je tue mon grand-père ? Rien. Si vous remontez le temps et modifiez le passé, cela crée une nouvelle série chronologique qui est un embranchement de la première. Sur cette nouvelle branche, vous ne seriez pas né et donc vous n’existeriez pas, c’est le seul fait exact du paradoxe. Mais sur la ligne chronologique actuelle, qui vous situe ici et maintenant, vous existez et poursuivez votre existence ; il n’y a donc pas de paradoxe. Le temps est une sorte d’arbre aux multiples branches ; aucun principe n’est violé. Quant aux événements futurs, ce sont des possibles, pas des certitudes et c’est une nuance très importante.
J’ai travaillé dans un groupe ; « ils » nous ont remis un rapport qui, curieusement, ne semblait avoir aucun lien avec nos activités ; c’est arrivé comme ça, personne ne s’y attendait. Je n’oublierai jamais ce que le type nous a dit ; sur le moment, cela m’a semblé vraiment incohérent : « Il y a les loups et il y a les moutons, et nous sommes les loups. » « Ils » nous l’ont fait lire et puis c’est tout. Il n’y avait pas de choix et il n’y en a toujours pas. « Ils »considèrent que nous sommes trop nombreux et, vous savez, au fond « ils » n’ont pas tort ! « Ils »cherchent donc des moyens de réduire le nombre ; mais il se trouve que je n’approuve pas leur méthodes. Outre les problèmes d’espace-temps dont j’ai parlé, il y a celui du surpeuplement. C’est très simple : il existe des programmes de réduction de la population mondiale pour le bien de tous. Croyez-le ou non, l’intention est positive. Kennedy avait élaboré cela il y longtemps. La RAND Corporation était impliquée ainsi qu’un des Rockefeller…, Lawrence, je crois.
On a généré des virus artificiels, disséminés de manières diverses, qui sont difficiles à détecter, à identifier et impossibles à soigner. Tout a été calculé pour que les médecins ne puissent pas comprendre ni même soupçonner ce qui se passe.
En tant qu’individu humain de chair et d’os, je suis épouvanté. En tant que scientifique entraîné à prendre du recul, à voir les choses d’un point de vue global, je dois avouer que je comprends la logique de la démarche. Comprenez-moi bien, je ne cherche ni à défendre, ni à ignorer cela ; mon commentaire procède d’un point de vue scientifique abstrait. Nous devons faire face, sur cette planète, à des problèmes si énormes que peu de gens possèdent la formation ou l’expérience permettant d’appréhender l’ensemble dans un même champ de vision.
La nature de mon travail m’a offert la chance de voir beaucoup de choses que la plupart des gens ne voient pas. J’ai travaillé dans plusieurs agences différentes et cela me donne une vue d’ensemble. Savez-vous qu’il est légal d’essayer des agents chimiques et biologiques sur des citoyens américains ? C’est légal, il suffit d’obtenir l’approbation du maire d’une ville, ou de son équivalent n’importe où, ou d’un représentant officiel, Personne ne sait cela, mais vous pouvez vérifier. C’est bien caché dans la loi mais c’est du domaine public.
Je n’aime choquer personne, mais je ne suis pas optimiste. Les problèmes auxquels notre race doit faire face sur cette planète sont gigantesques. Je ne pense pas que la plupart des civils soient prêts et aptes à comprendre ni à en gérer la complexité. Ils ont tous assez de mal à s’occuper de leur vie quotidienne et ceci est d’un tout autre niveau. Le surpeuplement est une affaire très grave et tous les autres problèmes y sont liés. Je comprends que les militaires doivent prendre les choses en main.
Je voudrais terminer sur ce message essentiel : j’espère vraiment et je voudrais croire qu’en tant que peuple humain, nous puissions gérer tout cela, mais en me réveillant le matin, parfois j’en doute. Pourtant, profondément, je souhaite que les gens prennent conscience des choses importantes qui nous ont toujours été dissimulées et décident de travailler ensemble à changer tout cela. »
Henry Deacon
Il est clair que les inventions diaboliques de l’homme et ses actes d’agression envers la Terre et le système solaire tout entier, résultent de notre façon de penser et d’envisager la relation avec notre milieu naturel. Nous pensons que la Terre ne mérite pas d’être prise en considération, que nous pouvons agir pour notre seul intérêt personnel sans avoir à nous soucier d’elle, et nos actes sont le prolongement de cette pensée.
Chacun sait désormais que les inondations, les ouragans, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques et toutes les terribles catastrophes que subit la Terre depuis quelques années ne sont pas des accidents qui surviennent au hasard. Les bouleversements terrestres sont principalement la conséquence logique du manque de spiritualité de l’humanité et de ceux qui la gouvernent.
Nous pouvons pourtant atténuer ou supprimer ces catastrophes planétaires et les souffrances humaines consécutives. La parade semble même évidente : il suffirait que chacun adopte un comportement de bienveillance et de compréhension vis-à-vis des animaux, de la nature et des autres humains, que chacun prenne conscience que l’humanité, la planète et tous les êtres vivants qui la peuplent forment une véritable unité. C’est ce que savent et affirment depuis toujours les grands Maîtres spirituels de l’humanité et les peuples de la Terre qui ont su rester en contact avec la nature et les forces cosmiques de l’Univers, notamment les Amérindiens. Ils se sont toujours sentis unis à la nature, ils savent l’écouter, la respecter, la comprendre.
L’intelligentsia scientifique et politique occidentale s’imagine que l’avenir de l’humanité dépend entièrement des avancées technologiques, mais ce n’est qu’un aveu d’orgueil et d’ignorance. Et cela le restera aussi longtemps que la science demeurera coupée du cœur de l’Univers et des forces de la nature. Si ceux qui ont échafaudé des plans diaboliques de domination planétaire et de conquête spatiale, si ceux qui ont mis au point les « black programs » commençaient enfin à faire preuve d’un peu d’humilité, à s’interroger sur leur conduite et à porter attention aux multiples signes par lesquels leur répond la Terre, les effets les plus désastreux de la déchirure actuelle de notre trame spatio-temporelle pourraient peut-être encore être évités.
Cultivons des pensées d’humilité et de respect. Agir avec compréhension et bienveillance dans notre quotidien, c’est contribuer au nettoyage de la Terre et de la conscience collective de l’humanité. Respectons les autres, comprenons que nous sommes tous et toutes les cellules d’un même corps. Nous avons trop tendance à nous critiquer et à nous juger. Aidons à construire un monde de paix, sans luttes territoriales ou économiques, sans projets de guerres et de colonisations planétaires. Mettons en place la coopération, le partage, la Fraternité. Et alors nous aborderons tous ensemble et sans encombre une nouvelle boucle spatio-temporelle, qui sera celle d’un nouvel Âge d’Or de l’humanité.
Le dossier troublant des implants extraterrestres

Depuis de nombreuses années une quantité phénoménale de personnes, hommes, femmes et même des enfants ayant été témoin d’une observation d’ovni ou déclarant voir fait l’objet d’un enlèvement, découvrent parfois bien plus tard un minuscule corps étranger à l’intérieur de leur organisme. Celui-ci est détecté après un scanner ou examen radiologique, l’ « hôte » se plaignant souvent de ressentir une gêne ou même des douleurs à l’endroit de l’implant, une petite cicatrice peut également être visible.
Certains chercheurs pensent que ces implants pourraient être des objets artificiels placés par des extraterrestres dans le corps des » enlevés « , dans le but de pouvoir les suivre, contrôler leurs mouvements et même leurs fonctions biologiques ! Pour d’autres il s’agirait d’un fragment de météorite, à cause de la composition du corps étranger dans lequel entre autre Ferro-nickel, chlorapatite et chlorique, sont retrouvés, substances fréquemment identifiées dans les météorites. Mais que ferait donc un morceau de météorite dans le corps d’une personne affirmant avoir fait l’objet d’un enlèvement extraterrestre ?

Un implant peu prendre plusieurs formes, généralement il est triangulaire et bien fini. Les études font ressortir que celui-ci se trouve le plus souvent dans les sinus, la nuque, l’abdomen et les pieds. La nature de ces implants aurait pour fonction de localiser les sujets implantés, de contrôler la pensée et même de procurer des pouvoirs télépathiques, mais tout cela reste à prouver.


CE QUE L’ON SAIT ET CONNAIT BIEN SUR LES IMPLANTS

1- Absence de réaction inflammatoire autour du corps étranger. Les spécialistes constatent également une absence de rejet du corps, courante avec des implants classiques.
2- Les tissus sont étroitement liés au corps étranger ou à sa membrane biologique….
3- Présence de néorécepteurs nerveux, leur existence dans le tissu cellulaire sous-cutané est… aberrante.
4- Les implants ont une forme et une structure particulières : pastilles métalliques, formes en T ou en triangle, microtiges ou microbilles. Certaines pièces sont agencées pour s’emboîter exactement entre elles.
5- Les objets metalliques sont un alliage particulier de métaux et metalloides ; les principaux éléments trouvés sont l’aluminium, le fer, le calcium et le baryum.
6- On ne trouve aucune cicatrice ni de point d’entrée pour fixer les implants.
7- Le corps étranger peut être magnétique ou magnétoconducteur.
8- Sous lumière noire, les implants et leur membrane présentent une fluorescence particulière.
9- Tous les objets suspects sont situés dans le côté gauche du corps.
10- Les porteurs d’implants présumés ont fait une ou plusieurs rencontres rapprochées du 3 ème type, avec souvenir plus ou moins conscient d’abduction confirmée sous hypnose.
L’un des domaines d’étude les plus controversés, mais important dans l’ufologie actuelle, est l’extraction chirurgicale, suivie d’analyse en laboratoire, d’implants supposés d’origine non-humaine (ou « alien » en empruntant le mot anglais), trouvés dans le corps de personnes ayant eu une expérience ovni de quelque sorte, peut-être un enlèvement à bord d’un ovni.
Jusqu’en 1995, peu de tentatives avaient été faites, et aucun résultat décisif n’avait été obtenu pour l’origine alien d’un implant extrait.. Le cas le plus connu est l’histoire bizarre du supposé implant de Richard Price, étudié pendant près de cinq ans par le physicien réputé David Pritchard, professeur au MIT (Massachussets Institute of Technology). Après avoir mentionné, au début, sa nature métallique, il avait finalement diagnostiqué…une fibre de coton (voir Alien Discussions. Proceedings of the Alien Study Conference, au MIT en 1992, pp. 279 à 295).La question des implants rebondit en 1995 quand un podologue californien (un chirurgien des pieds aux Etats-Unis), le Dr Roger K. Leir, accepta d’extraire un implant repéré par radiographie dans le pied d’un enlevé supposé (on dit aussi « abducté« , de l’anglais abductee), un cas qui lui fut présenté par l’enquêteur texan Derrel Sims. De 1995 à 2001, dix opérations furent réalisées, soit par le Dr Leir lui-même, soit par d’autres chirurgiens lorsque l’implant se trouvait dans d’autres endroits du corps. Plusieurs analyses de laboratoire ont été accomplies, dont les résultats ont été rendus publics en partie. Certaines opérations et analyses d’implants ont été patronnées et subventionnées par le National Institute for Discovery Science (NIDS), un groupe de recherche privé créé par Robert Bigelow à Las Vegas, doté d’un groupe de conseillers scientifiques réputés. Aucun résultat décisif n’a été encore publié, mais les données rassemblées par le Dr Leir et ses partenaires dans cette recherche sont déjà assez impressionnantes pour mériter l’attention de tous les chercheurs sur les ovnis..
Le Dr Roger Leir a été assailli de critiques dures et répétées dès qu’il a commencé à parler publiquement de ses opérations d’implants (voir la note ci-dessous sur cet aspect de l’histoire). J’ai eu la chance de rencontrer le Dr Leir en septembre 1999, à la conférence internationale de Leeds (Grande-Bretagne) à laquelle j’avais été invité comme conférencier. J’étais justement en train de lire son livre, et nous avons dîné ensemble. Je peux témoigner que j’ai rencontré un homme sympathique et crédible, bien différent de certaines critiques ad hominem faites contre lui.
Une critique sérieuse, cependant, est que lui et ses collègues n’ont pas encore écrit d’article scientifique, accepté dans une revue reconnue. Il est vrai que c’est une sérieuse lacune, mais il apparaît aussi qu’un volume significatif d’informations crédibles est disponible sur ces opérations, sur les objets extraits, sur les supposés abductés et leur histoire personnelle. Essayons de résumer brièvement quelques informations de bases sur tous ces points. Dans une note jointe, le Dr Jacques Costagliola fait une évaluation plus technique et détaillée de ces données.
Les opérations
Voici la liste des opérations d’extraction d’implants supposés, réalisées soit par le Dr Leir (pour les implants situés dans le pied) ou par d’autres chirurgiens avec son assistance. Cette liste provient du livre du Dr Leir The Aliens and the Scalpel, publié en 1998, et de plusieurs articles pour les opérations postérieures au livre (voir liste des articles ci-dessous). Pour toute personne intéressée, la première chose à faire est de lire son livre. Il peut être commandé sur son site web dont l’adresse est http://www.alienscalpel.com
Opération d’implant (Dr Leir à gauche
Selon le tableau 1 du livre (p. 164), huit opérations ont eu lieu de 1995 à 1998. (la liste résumé qui suit indique la date, le prénom de l’opéré(e), l’emplacement et la forme de l’implant). La plupart des noms sont des pseudonymes donnés par le Dr Leir dans son livre.
Première série de trois opérations, avant l’entrée en scène de NIDS
19-8-95, Patricia. Deux implants dans l’orteil gauche, tous deux métalliques, l’un en forme de « pépin de cantaloup », l’autre en forme de « T« . (Le cantaloup est un melon à côtes rugueuses)
19-8-95, Paul. Main gauche, métallique, « pépin de cantaloup »
2-1-96, Babs. Epaule gauche, petite boule « élémentaire, solide
Deuxième série, patronnée et payée par NIDS
18-5-96, Annie, jambe gauche, petite boule « élémentaire, solide«
18-5-96, Doris. Jambe gauche, petite boule « élémentaire, solide«
18-5-96, Don. Mâchoire gauche, triangle métallique
12-1-97, Lyla. Talon gauche, fragment de verre (origine terrestre, écarté)
17-8-98, Pablo. Main gauche, métallique, de nouveau en forme de « pépin de cantaloup« , comme d’autres précédemment (filmée par NBC et diffusée en février 1999)
Autres opérations, après la publication du livre
Opération de Tim Cullen, en février 2000
5-2-2000, Tim Cullen (vrai nom). Poignet gauche, métallique, « pépin de melon » (cas présenté au Congrès OVNI de Laughlin en mars 2000 avec la présence de Tim Cullen. Présenté dans le Mufon UFO Journal de mai 2000, et au symposium du Mufon de juillet 2000, à Irvine en Californie (voir les actes du symposium, disponibles au Mufon). Etant invité comme conférencier à cette conférence, j’ai pu rencontrer Tim, et il m’a semblé être une personne crédible. C’est un homme robuste, en bonne santé et de bon caractère, patron d’une petite entreprise de bâtiment, et il n’a certainement pas besoin de ce genre de publicité pour son métier.
29-10-2001, une hôtesse dans une importante compagnie aérienne. Petit fragment dans le bras droit, de la taille d’un pois. Cas présenté au congrès OVNI de Laughlin, en mars 2002. Rapporté dans le UFO Magazine britannique de mai 2002 et dans le Mufon UFO Journal de novembre 2002. Présenté également à la conférence internationale de Leeds, 20-22 septembre 2002. Selon le Dr Leir, cet objet est un cas à part, « totalement biologique ».Deux séries de tests ont été réalisées en 1998 sous la direction de NIDS, plus précisément du colonel John Alexander qui était un membre important de son équipe de conseillers scientifiques (le colonel Alexander a fait une longue carrière dans des domaines de recherches secrètes, notamment au Laboratoire National de Los Alamos). Les tests ont été exécutés d’abord au Laboratoire National de Los Alamos et ensuite au New Mexico Tech.Dans son livre, dans ses articles et conférences, le Dr Leir mentionne d’autres études de laboratoires, mais pour lesquels aucun résultat précis n’a encore été publié.Nous avons d’abord les résultats des analyses faites à New Mexico Tech en 1996, payées pas NIDS, publiées sur son site web, à http://www.nidsci.org/articles/metal/metal.html » reproduites ici, grâce à la contribution du Dr Leir.Ces analyses montrent une composition métallique remarquable et inusitée des fragments étudiés.En plus de ce document, nous avons la « lettre d’opinion » de l’ingénieur métallurgiste qui fit les tests, M Paul A. Fuierer. Elle n’est pas sur le site de NIDS, mais elle fait partie du rapport envoyé par le Dr Leir. Elle est également reproduite dans le livre du Dr Leir, avec ses commentaires ainsi que sur son propre site web, à http://alienscalpel.com/NMTech-opinion.htm.
Il paraît important de signaler ici que le métallurgiste a donné en fait deux opinions successives. Quand il a donné la première, il n’avait pas été informé de l’origine des fragments. Il exprima l’opinion que leurs composants métalliques étaient analogues à ceux que l’on trouve dans les météorites. Lorsqu’il reçut cette première lettre d’opinion, le Dr Leir fut si surpris qu’il appela le métallurgiste et lui révéla que les échantillons avaient été extraits de corps humains. M Fuierer, qui n’a pas caché son scepticisme sur les ovnis, donna alors une opinion complémentaire. Il dit qu’un mélange de fer et d’argent enfoui dans le corps pouvait provoquer une réaction de calcification, d’où il résulterait un matériau comparable aux céramiques utilisées en médecine et en dentisterie. Mais le Dr Leir note dans son livre que de tels matériaux ne sont plus utilisés car ils produisent une « énorme réaction d’inflammation« . Cependant, aucun implant n’avait produit une telle réaction. Le métallurgiste ne savait pas cela et il ne savait pas non plus que, comme dit le Dr Leir: « une membrane biologique étrange, d’aspect grisâtre et dense, recouvrait les spécimens. De plus, il n’y avait pas de trace d’une porte d’entrée » (p. 170 de son livre).Cette lettre d’opinion est aussi sur le site web du Centre d’information sur les enlèvements (Abduction Information Centre, AIC) dirigé par John Velez, sur lequel on trouve des critiques de l’analyse de New Mexico Tech, à :http://www.virtuallystrange.net/aic/pa2.htm.
En ce qui concerne les analyses faites à Los Alamos, il semble qu’elles soient présentées seulement, et très brièvement, dans le livre du Dr Leir, qu’il a d’ailleurs publié à sa seule initiative. Il est important de souligner ici que, dans l’accord initial entre NIDS et l’équipe Leir-Sims, il était entendu que NIDS publierait un article scientifique (selon Leir dans son livre). Mais au lieu de cela, en 1966, ils poussèrent Leir à publier rapidement un article dans le Mufon UFO Journal (p. 175 de son livre). Souhaitons que cet objectif soit atteint dans un avenir pas trop éloigné. Quoi qu’il en soit, le Dr Leir m’a dit combien il était reconnaissant pour l’aide apportée par Robert Bigelow et NIDS.
Articles
Voici les principaux articles qu’on peut trouver facilement dans la littérature sur les ovnis.Dans le Mufon UFO Journal http://www.mufon.com
Avril 1996 (No 336) In search of hard evidence » par le Dr Roger Leir
Juin 1998 (No 362) « Alien implants. A 1998 update » par le Dr Leir
Novembre 1998 (No 367): « The effects of implant » removal discussed by five individuals« , par Eve Frances Lorgen
Décembre 1998 (No368):NBC films « implant » removal« , par le Dr Leir
Novembre 2002 (No 415): « Implant anomalies continue« , par le Dr Leir
Actes du symposium du Mufon de juillet 2001: « Alien abduction – Alien implants. Why? » par le Dr Leir.
Dans UFO magazine (EU), janvier 1999:« NBC Special to air surgical removal of purported implant« , par Jack Carlson.
Dans UFO Magazine (GB), mai 2002:dans le compte-rendu du congrès international de Laughlin, par Graham Birdsall.
Quelques cassettes vidéo sont également disponibles, sur les opérations et les conférences du Dr Leir.
Résumé des données scientifiques
Comme indiqué dans la liste ci-dessus, deux sortes principales d’implants ont été trouvées, métalliques (de diverses formes), et non-métalliques (petites boules). Dans son livre, le Dr Roger Leir fait un résumé des données biologiques et métallurgiques (pp 162 à 171). Voici une brève description de ces données. Dans l’article joint à celui-ci, le Dr Jacques Costagliola en donne une description et une évaluation détaillées.
Données biologiques
Sur les objets métalliques
Quatre objets métalliques produits étaient recouverts par une membrane d’aspect gris sombre et brillant, qui ne pouvaient être ouvertes avec une lame chirurgicale. Cette membrane s’est avérée être composée d’un coagulat protéinique, d’hémosidérine et de kératine. Ces trois substances existent naturellement dans le corps, mais notre investigation n’a permis de trouver aucune combinaison de cette sorte dans la littérature médicale ».
Les tissus mous adjacents aux objets métalliques ont été aussi analysés, et il a été trouvé qu’ils comportaient des conglomérats de cellules nerveuses, et qu’il y avait aucune réaction d’inflammation.Dans un nouvel article, publié dans le Mufon UFO Journal de novembre 2002, Leir met à part ce dernier implant, opéré en octobre 2001. C’est, selon lui, un objet « totalement biologique, bilobé, de couleur jaunâtre, ayant la faculté de se déplacer sous la peau« . Il a constaté cette étrange faculté dès le premier examen médical: « l’objet pouvait se déplacer n’importe où à l’intérieur d’un cercle d’environ deux pouces et demi« . Malheureusement, cet implant n’a pas encore fait l’objet d’une étude approfondie, par manque d’argent. Seul un examen visuel au microscope a été effectué au laboratoire Digital Instruments de Santa Barbara en Californie.
Photographies en gros plant de deux implants, après extraction, avec leur membrane biologique
Implant en forme de « pépin de cantaloup » (Tim Cullen)
Implant en forme de « T » (Patricia)
Sur les objets non-métalliques« Trois opérations ont consisté à enlever une lésion cutanée avec la présence d’une petite boule ronde, d’aspect gris blanc, dans le tissu mou sous-jacent. Nous avons trouvé une élastose solaire (voir l’article du Dr Costagliola), des amas de cellules nerveuses, et peu ou pas du tout d’inflammation« .Les lésions cutanées avaient l’aspect de cuvette ronde (« scoop mark« , selon l’expression consacrée : cet aspect est assez classique dans le dossier des enlèvements.

Le Dr Leir indique ensuite une série de constatations de nature biologique, parmi lesquelles:Presque tous les objets ont été trouvés dans le côté gauche du corpsPresque tous les spécimens sont devenus fluorescents sous lumière noire ultraviolette;Tous les sujets ont eu des réactions anormales aux anesthésiques locaux à la procaïne (pas de réaction, ou réaction allergique);Tous ont eu une propension à absorber beaucoup de sel.En plus de cela, il est à noter que tous les sujets ont paru « normaux » aux yeux d’un docteur en psychologie.
Le lien avec les ovnis
Eve Frances Lorgen (ufologue américaine connue, spécialiste des enlèvements) a interviewé cinq des personnes ayant subi une opération, et elle a trouvé que « toutes les personnes, un homme et quatre femmes, avaient un point en commun des rencontres avec des ovnis et des contacts avec des êtres non-humains » ( Mufon UFO Journal, nov. 1998).
Les deux cas les plus récents entrent eux aussi dans cette catégorie. Tim Cullen a eu une rencontre rapprochée en 1978, alors qu’il voyageait en voiture avec sa femme. Il n’en a parlé que vingt ans plus tard quand il a jugé que ses enfants étaient assez âgés pour connaître cette histoire.L’hôtesse de l’air, opérée en octobre 2001, a le souvenir d’une observation nocturne d’ovni il y a une vingtaine d’années. Elle fut réveillée dans sa chambre par une vive lumière, et vit au dehors un ovni en vol stationnaire. Le lendemain matin, elle découvrit une protubérance sous-cutanée: c’était l’implant qui a été extrait en 2001.

2) Données métallurgiques
Les découvertes principales étant sur internet (voir ci-dessus), je vais juste citer le livre du Dr Leir, sur une intéressante description de l’objet en forme de « T » (dans le pied de Patricia: voir photo ci-contre).
Radio de l’implant en T
L’objet en forme « de T » est composé de petites tiges métalliques. La portion horizontale contient un cœur métallique en fer magnétique qui est plus dur que le meilleur acier au carbure. Une couche complexe d’éléments recouvre le cœur, formant un revêtement. Une partie de ce revêtement comporte une bande cristalline qui entoure la tige. Lorsqu’on observe la tige sur une photographie au microscope électronique, on voit qu’elle est structurée. Une extrémité est en forme de pointe (« barbe« ) alors que l’autre extrémité est plate. Au centre, apparaît une petite dépression. La forme de cette dépression correspond exactement à celle d’une extrémité de la tige verticale. La tige verticale comporte un revêtement similaire, mais le cœur est composé de carbone au lieu de fer. Il a une propriété de conducteur magnétique, mais il n’est pas magnétique« .
Il y a d’autres données intéressantes, qu’il serait trop long de lister dans ce petit résumé. Cependant, il faut au moins mentionner des propriétés électromagnétiques, trouvées notamment pour l’implant de Tim Cullen, quand l’objet était encore en place dans le corps. Le Dr Leir était assisté dans ce domaine par l’ingénieur électronicien Bob Beckwith, et par Greg Avery, responsable du Mufon pour la Louisiane. Tout d’abord, ils trouvèrent un champ de 3 à 6 milligauss à l’aide d’un simple magnétomètre. Puis, malgré quelques difficultés, ils parvinrent à détecter un « signal pulsé » qui « montra que l’objet avait une capacité d’émetteur et de récepteur d’un signal.
Leir a présenté ce cas dans plusieurs conférences, notamment à Laughlin en mars 2000, et au symposium du Mufon de juillet 2001. J’ai le texte publié dans les actes de ce symposium. Leir y signale que de nouveaux tests sont en cours avec d’excellents équipements à Digital Instruments Inc. à Santa Barbara, en Californie. Il mentionne des équipement exceptionnels appelés « microscope de force atomique » et « microscope de champ atomique ».Selon le Dr Leir, des études supplémentaires ont été menées dans un « laboratoire de classe internationale au Texas« , qui ont révélé que le principal composant élémentaire était le fer, et ils ont été stupéfaits de constater que, bien qu’il soit à l’état amorphe, il était hautement magnétique. Ils ont expliqué à Leir que « nous ne connaissons aucun procédé permettant d’atteindre ce résultat« .
Pour conclure ce court résumé, je suggère aux personnes intéressées par la question des ovnis de ne pas écarter cette histoire, déjà longue, des implants du Dr Leir.
Deux notes complémentaires
1– Attaques contre le Dr Leir
Le Dr Roger Leir a subi des attaques personnelles très dures, notamment sur internet, depuis qu’il a commencé ses opérations, en 1995. Sa compétence médicale a été mise en doute, ainsi que son honnêteté. Pourtant, sa formation médicale est incontestable. Après avoir obtenu une licence de science (B.S.) à l’Université de Californie du Sud en 1961, il a reçu en 1964 un diplôme de docteur en médecine « podiatrique » (spécialité américaine) au collège de médecine « podiatrique » de Californie. Quant à son honnêteté, il suffit de signaler que plusieurs opérations ont été effectuées gratuitement, et qu’il n’a pas fait fortune, comme on va le voir tout de suite.
Le Dr Leir s’est trouvé en grande difficulté en 1999. Je rappelle simplement le scénario
Publication de son livre en 1998.
Une opération filmée par la chaîne NBC en août 1998, et diffusée publiquement en février 1999 (émission spéciale de la NBC « Confirmation« ).C’est alors que le ciel lui est tombé sur la tête. Dans la deuxième édition de son livre, en édition de poche parue en 2000 (voir son site web), Leir a raconté la suite de l’histoire.Le 23 avril 1999, Leir reçoit un avis de l’Ordre des médecins de Californie (Medical Board) qui ressort une plainte contre lui, ancienne et enterrée, faite dix ans auparavant, et qui le suspend de pratique médicale pour trois ans. Il apparaît que le patient était décédé depuis cinq ans, que l’hôpital où avait eu lieu l’opération avait fermé ses portes depuis sept ans, et que ses archives étaient indisponibles! Peu après, son partenaire, Derrel Sims, qui le critiquait de plus en plus, met fin à leur accord de collaboration (le 26 avril).
En mai 1999, Leir a une crise cardiaque, pour cause de stress selon les médecins. Il se trouve en grand danger, ne pouvant être opéré car il avait déjà subi plusieurs pontages cardiaques. En juin, Derrel Sims fait un appel public urgent sur internet pour l’aider, notamment financièrement, car Roger Leir est en grande difficulté, devant payer de lourdes factures médicales alors qu’il n’a plus de revenus.Au cours des mois suivants, Leir s’est rétabli. Il a pu venir à la conférence de Leeds en septembre 1999, où je l’ai rencontré. Il m’a confirmé qu’il s’était bien rétabli et que sa suspension avait été annulée.Cette attaque n’a pas été la seule contre le Dr Leir. Il a dû faire face à des attaques mordantes et répétées de la part d’un certain nombre de personnes, dont certaines étaient sans doute mal informées sur lui et sa recherche. Voir par exemple, sur les archives de la liste (forum) de discussion internet « UFO Updates« , un débat qui a eu lieu pendant l’été 2002, sous le titre « On the Surgical Removal Of Alleged Alien Implants« , à: http://www.virtuallystrange.net/ufo/updates.
L’ayant rencontré et ayant eu un bon échange avec lui, j’ai pris sa défense sur cette liste, d’autant que Leir refuse de répondre à toutes ces critiques. En fait, ce résumé est inspiré de mes messages sur cette liste. John Velez, membre de la liste qui l’avait critiqué, m’a finalement remercié pour ces informations, qu’il a trouvées impressionnantes (« compelling« ), et les a mises avec mon accord sur son site web …(voir son message du 10 septembre 2002). En septembre, le physicien et ufologue Stanton Friedman, qui revenait de la conférence internationale de Leeds, a fait l’éloge de la conférence de Leir, qu’il a trouvée exceptionnelle (« outstanding.
Note sur les relations entre le Dr Leir, Derrel Sims et NIDS.
Dans le cas des études de laboratoire faites par le canal de NIDS, il semble que le droit de publication soir détenu par NIDS. Citons ce qu’en dit Roger Leir dans son livre The Aliens and the Scalpel, publié en 1998. Il y détaille les conditions posées au départ par Robert Bigelow à Leir et Sims, pour passer un accord (pp. 141 et 142 .L’une des demandes les plus importantes était de ne pas divulguer qui travaillerait sur ces spécimens d’implants. Au début, il souligna que même NIDS ne devait pas être mentionné. En plus, il demanda que restent confidentiels les noms des laboratoires qui seraient appelés à faire les tests.Cette demande s’avéra être l’une des conditions les plus faciles de l’accord à respecter car ils ne nous dirent pas à qui ils envoyaient les échantillons. La troisième partie de notre arrangement était que nous ne devrions publier aucun résultat d’analyse tant que nous n’aurions pas le feu vert de NIDS. A ce moment, ils nous diraient aussi où ils pensaient que nous devrions les publier..Il nous était difficile de donner notre accord sur ces points, mais Derrel et moi avions mis en balance soigneusement ces contraintes vis à vis des bénéfices offerts par Bigelow…la mise à disposition de fonds illimités pour mener à bien le projet.
le recours aux meilleurs laboratoires
une qualité de tests qui ne pourrait être surpassée
une revue critique par le Conseil scientifique de NIDS, qui comprenait quelques-uns des meilleurs esprits scientifiques des États-Unis et la possibilité d’avoir un article publié dans un journal scientifique.
Un autre aspect intéressant de l’histoire, telle qu’elle est racontée par Leir, est que Robert Bigelow et le colonel Alexander étaient très désireux d’obtenir un accord. Lorsque Leir prit un premier contact avec le colonel Alexander, sur le conseil de son cousin Kenneth Ring qui le connaissait comme chercheur scientifique – c’était selon ses propres mots « un scientifique brillant avec qui il avait travaillé sur la question des NDE » (p 78), celui-ci réagit promptement. Alexander et Bigelow appelèrent Leir à sept heures du matin pour lui demander de venir avec Sims à Las Vegas!Trois opérations avaient déjà été effectuées, avant l’accord avec NIDS, en 1995 et 1996. NIDS finança les opérations suivantes, et les tests de laboratoires pour plusieurs implants. Après la réalisation des premiers tests, Bigelow demanda à Leir son accord pour une publication rapide dans le <em>Mufon UFO Journal, mais Leir pensait qu’il fallait attendre d’avoir des résultats plus complets. Il visait la publication dans une revue scientifique (voir p. 87 de son live). Cependant, un premier article, signé par Leir, parut effectivement dans le Mufon UFO Journal d’avril 1996. Un deuxième article, plus détaillé, fut publié dans le numéro de juin 1998. La même année, Leir publia son livre, présentant huit opérations réalisées de 1995 à 1998. Il semble que NIDS n’ait pas été pleinement d’accord avec cette publication car le livre parut avec un autocollant en page de titre, disant .Le contenu, les points de vue et opinions de ce livre sont ceux de l’auteur et non ceux de la Fondation Bigelow ou de NIDS.
Ainsi, NIDS n’a pas encore respecté le dernier terme de l’accord initial, une publication dans une revue scientifique à comité de lecture. Espérons que cet objectif puisse être atteint prochainement.
« Pour finir, en ce qui concerne le désaccord qui est apparu progressivement entre Roger Leir et Derrel Sims, j’en ai discuté avec chacun d’eux. J’ai rencontré Derrel Sims plusieurs fois, et il m’a exposé ses griefs en détail. A mon avis il s’agit surtout d’une affaire privée entre eux. Je respecte les deux hommes et je n’ai pas à les départager. Cette question n’a pas à être prise en compte dans le débat sur les implants du Dr Leir. C’est aussi l’opinion d’autres personnes qui les connaissent bien et avec qui j’en ai discuté… »(W.Runner,témoignage)

Entrevue secrète et révélation de William Milton Cooper
Voici un document écrit par Mr William Milton Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une traduction de la version originale de 1989 de ce document, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de document de départ pour la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper.Je tiens à saluer Richard Glenn qui fut un grand ami de Jimmy Guieu et qui fut un précurceur de l’ufologie,au Québec.

J’ai récemment rencontré, par l’intermédiaire d’un ami, quelqu’un dont le témoignage a corroboré certains passages d’un de mes dossiers, intitulé MAJIC.TXT (que je vais reproduire prochainement sur ce site web). Je suis sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices au cours de cette conversation, que l’interviewer a essayé de vérifier si son interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés dans mon document relatif à Majestic 12. Il faut vous dire que M. William Milton Cooper n’a pas été forcé à révéler quoi que ce soit; il lui a simplement demandé de lire un exemplaire de son document (le même que j’ai en ma possession) et de le rappeler s’il le désirait. Il ne l’a rencontré qu’à deux reprises, la première fois pour lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.
Voici le document:
Je prenais part à une réception organisée par un ami de longue date à l’occasion de Noël quand, au cours de la soirée, cet ami m’a pris à part pour me dire que l’un de ses invités aurait sans doute quelque chose d’intéressant à me révéler relativement aux informations que je venais tout juste de recevoir. Son intuition s’appuyait sur le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu’il avait été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ.
Dés l’abord, j’ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son esprit, alors qu’il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis longtemps rompu à la discipline militaire.
J’ai entamé la conversation en lui confiant que j’avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d’Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part de mon étonnement de ce qu’il ait pu être affecté à une base de l’armée de l’air, lui qui était de l’armée de terre. « C’est vrai, m’a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité de plusieurs projets interarmes. » Je lui ai ensuite demandé s’il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J’ai remarqué qu’il est aussitôt devenu mal à l’aise – Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d’oeil autour comme s’il cherchait un endroit plus discret. « C’est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles j’étais affecté. » J’espérais le rassurer en lui expliquant que j’avais sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j’avais mentionné le nom de Redlight, rien n’y faisait pour arriver à dissiper son malaise.
Nous avons encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui j’ai demandé s’il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après s’être absenté quelques instants, il est revenu avec le document en main.
J’ai attendu que le vétéran de l’armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le document pour qu’il regarde le dessin que j’avais esquissé à l’endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant que je l’observais en silence, d’examiner cette reproduction de l’Insigne trilatéral. Il m’a d’abord demandé où j’avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de renseignements de la Marine. Puis c’est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m’a dit l’avoir vu sur une pièce d’équipement. « Savez-vous de quel type d’équipement il s’agit? » m’a-t-il demandé. « D’un appareil qui ne fait pas de bruit », lui ai-je dit. « Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le projet Redlight! » J’en ai alors profité pour lui expliquer que le document qu’il tenait dans les mains contenait justement toute mon information à ce sujet et que j’aimerais bien qu’il le lise d’abord et me donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais l’identité de mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m’a alors regardé droit dans les yeux en me prévenant que, si jamais je l’impliquais dans cette affaire en rapportant notre conversation, il n’éprouverait aucun remords à me faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s’enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun, qu’il connaissait « depuis près de sept ans », m’a-t-il dit. Il m’a salué et est parti en emportant mon document.
Il m’a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.
La première chose qu’il a dite en me voyant a été d’insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu’il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre. J’ai accepté ses conditions et il m’a alors donné son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier. « Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler, m’a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela ne présage rien de bon. » Je lui ai proposé de me raconter ce qu’il savait, mais il préférait que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j’enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur qu’on identifie sa voix. Je me suis soumis d’autant plus volontiers qu’il avait tout à fait raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre des notes par écrit.
Voici donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n’ai aucun point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou l’authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il lui aurait fallu être un acteur doué d’un talent vraiment exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper:
Où aviez-vous vu l’Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de notre ami?

Le vétéran:
Sur une soucoupe volante que j’avais mission de surveiller à la base aérienne d’Edwards. Je l’ai revu sur différentes soucoupes quand j’ai été affecté à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j’ai été étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.

Cooper:
La plupart d’entre elles découlent de documents dont j’ai personnellement pris connaissance au début des années 70. Le reste m’a été transmis par des informateurs. Le dossier que j’ai monté est le fruit de 17 années de recherche. En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran:
On m’avait assigné la garde d’un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.
Cooper:
Quel était le nom de ce hangar’?

Le vétéran:
Il ne portait ni nom ni numéro. On l’appelait le hangar Delta.
Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?
Le vétéran:
Il est isolé sur la partie nord, complètement à l’écart, et personne ne peut y avoir accès sans être muni d’un sauf-conduit et d’un insigne spécial.
Cooper: À quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran:
À celui que vous m’avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l’endos, il porte une description du détenteur comme toute autre carte d’identité.
Cooper:
Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran:
On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l’officier en devoir m’a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu qu’il n’était pas dans mes attributions de le savoir. Il m’a alors demandé si j’étais intéressé à le voir. Croyant qu’il cherchait simplement à me mettre à l’épreuve, je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Il m’a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a déverrouillé la porte du hangar. C’est là que j’ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins.
Cooper:
Vous employez le mot « soucoupe ». Est-ce à dire que cet engin était circulaire?
Le vétéran:
Oui, c’était exactement le genre de soucoupe volante qu’on est habitué à voir au cinéma.
Cooper:
Pouvez-vous me la décrire?
Le vétéran:
Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d’un métal non brillant, comme de l’argent terni.
Cooper:
Quelle hauteur avait-elle?
Le vétéran:
De cinq à six mètres environ. L’Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.
Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran:
Non, mais il faut dire que je n’en ai vu qu’un seul côté et à peine trois ou quatre minutes.
Cooper:
Avez-vous aperçu des hublots?
Le vétéran:
Je crois qu’il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l’intérieur.
Cooper:
Etaient-ils ronds?
Le vétéran:
Non, ils étaient rectangulaires. J’ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l’une sur la face supérieure et l’autre sur la face inférieure à un peu plus d’un mètre de l’intersection de ces deux moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.
Cooper:
L’officier vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran:
Simplement qu’il ne m’avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.
Cooper:
Etrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran:
Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l’on voyait, tout ce que l’on faisait… Par moments, j’ai vu des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.
Cooper:
Qu’advenait-il à ces hommes?
Le vétéran:
Je ne sais pas et je n’ai jamais cherché à le savoir.
Cooper:
Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?
Le vétéran:
Non, pas du tout.
Cooper:
Comment êtes-vous entré à Delta?
Le vétéran:
J’avais d’abord été recruté dans l’Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j’ai été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par les services de sécurité Delta, à l’issue de laquelle ils m’ont enrôlé.
Cooper:
Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?
Le vétéran:
Premièrement, m’a-t-on dit, parce que j’étais orphelin. Imaginez un instant qu’un homme soit victime d’un accident grave dans le cadre d’opérations secrètes. S’il a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de leur cher fils.
Cooper:
Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?
Le vétéran:
D’une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.
Cooper:
N’étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si important qu’on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran:
J’ai vu certaines choses… On racontait des histoires… au sujet de Dreamland surtout… Avez-vous entendu parler des chasseurs de primes de Dreamland?
Cooper Que voulez-vous dire?
Le vétéran:
Quand un homme est affecté à Dreamland, s’il sort en permission ou en devoir et qu’il lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations souterraines où vivent les visiteurs… Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m’en souviens presque plus… et n’étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?
Cooper:
Nous n’avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?
Le vétéran:
Oui, il vaut mieux parler d’autre chose. Je peux seulement vous dire qu’il se passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.
Cooper:
Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?
Le vétéran:
Je n’arrive plus à me rappeler… Je n’ai vraiment pas envie d’en parler, voilà tout…
Cooper:
Non, s’il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m’en parlez ou vous ne m’en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu’avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c’est situé?
Le vétéran:
Non, je cours un trop grand risque, c’est trop dangereux, et maintenant je suis marié.
Cooper:
Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.
Le vétéran:
C’est le quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en plein coeur d’un champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une carte. Il s’agit d’un lac asséché sur le lit duquel on a érigé des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d’essai à bord de soucoupes volantes.
Cooper:
En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?
Le vétéran:
Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses prodigieuses.
Cooper:
Est-ce le même type d’appareil qu’à Edwards?
Le vétéran:
L’un des deux que j’ai vus est semblable. Quant à l’autre, il ressemble à un diamant qu’on aurait retourné à l’envers après l’avoir sorti du chaton d’une bague de fiançailles.
Cooper:
Voulez-vous dire qu’il donne vraiment l’impression du diamant?
Le vétéran:
Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d’Edwards.
Cooper:
À quelle distance de l’appareil vous teniez-vous quand vous l’avez vu?
Le vétéran:
Assez loin puisque personne n’a le droit de s’en approcher, à cause des radiations, sans doute.
Cooper:
Entendez-vous par là qu’il était propulsé à l’énergie nucléaire?
Le vétéran:
Je n’en suis pas certain, mais je suppose qu’il représentait un risque élevé de radioactivité puisqu’il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur nous et aller l’échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper:
Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?
Le vétéran:
Mon premier stage a duré trois mois. D’ailleurs, jamais personne n’y est affecté plus longtemps que quelques mois. La seconde fois, j’y ai été consigné près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d’excellents équipements récréatifs.
Cooper:
Je suis navré de vous talonner, mais j’aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes autres sources d’information. On m’a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S’agirait-il de Dreamland?
Le vétéran:
Il y a plusieurs bases… Mais je dois maintenant partir. J’ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c’est beaucoup trop dangereux, bien plus que vous ne l’imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l’avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de quoi il s’agit; mais je suis certain qu’il se trame quelque chose. On construit actuellement d’immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m’en aille. C’est la veille de Noël et je demeure assez loin.
Cooper:
Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d’oeil aux notes que je viens de prendre et les rectifier s’il y a lieu?
Le vétéran:
Ce n’est pas la peine. J’ai observé pendant que vous écriviez, et vous n’avez rien oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?
Cooper::
Je vais d’abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme d’un dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.
Le vétéran:
Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.
Cooper::
Soyez sans crainte, je n’ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l’intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro…
Le vétéran:
Je ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous devriez y réfléchir.
Cooper Que pensez-vous qu’il puisse m’arriver’?
Le vétéran:
La même chose qu’aux autres… Vous devriez laisser tomber… Vous…
Personne n’y peut plus rien changer!
Le reste de notre conversation n’a consisté qu’en salutations d’usage. Cet homme m’a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu’il racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour la sienne.
Il est le deuxième à me donner la description d’une soucoupe volante à la base d’Edwards. Tous deux m’ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c’est la première fois que j’entendais mentionner l’existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu’il y a un lien significatif à établir entre l’usage des dosimètres et l’incident qui est survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards. Pour ma part, je n’en connais pas l’emplacement. Cette allusion au « pays des rêves » dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles que l’armée à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J’aimerais préciser que mes informateurs m’avaient d’abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque fois qu’il est question de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les victimes d’enlèvement invoquent unanimement la défaillance de leur mémoire?
En définitive, les réponses du vétéran de l’armée ne m’auront personnellement apporté que de nouvelles questions.., encore plus troublantes !
*Le type de dosimètre qu’on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu’ils travaillaient dans des zones où ils risquaient d’être exposés à des radiations nucléaires. En raison de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son degré d’exposition, il était possible d’évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement aérostratégique, je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d’alerte étaient équipés en permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par semaine. S’ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure n’a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
Des preuves de vie extraterrestre photographiées sur Mars
Il y a plus de 3 ans,la NASA rendait publique une longue séquence de photos de la surface de la planète Mars .Une courte séquence de 5 photos révélait que la petite sonde robotisée Spirit Rover avait capté sur une période approximative de sept jours ,ce qui semble être un animal à proximité d’un ensemble distinctif de roches. Deux des cinq images montrent un objet qui apparaît là où d’autres images de la séquence ne montrent rien d’autre auparavant. L’objet, de la même taille qu’un ballon de basket, s’était clairement déplacé, non pas une fois mais plusieurs fois dans la séquence. L’objet semble avoir relativement parlant …un long cou et se marie bien avec les roches environnantes,comme un caméléon. La conclusion tirée par Scott Waring, propriétaire du quotidien UFO Sightings est particulièrement surprenante : Spirit Rover avait capté des images d’une forme de vie indigène sur la surface martienne qui s’harmonise bien avec les roches environnantes.Il s’agirait d’une forme de vie parfaitement adaptée à son environnement aride …pour nous ,bien sur!

La séquence d’images Spirit Rover fut d’abord trouvée et identifiée , il y a trois ans par Scott Waring. Le 14 mai 2014, il a décidé de poster une mise à jour sur son blog ,afin de fournir une analyse plus détaillée de l’objet en mouvement dans les images de Spirit Rover. Waring fourni la séquence chronologique des images qui montrent clairement un objet qui à deux reprises apparaissait où il n’y avait déjà plus rien auparavant. Aucune modification des images n’a eu lieu qui ont tous été pris directement à partir du site de la NASA JPL créé pour stocker les images du Mars Rover . La conclusion de Waring est que les images révèlent une sorte d’animal se déplaçant sur la surface de Mars.
Il est assez difficile d’ignorer la propre imagerie de la NASA qui montre clairement un objet de la taille d’un ballon de basket paraissant mobile sur la surface martienne. Alors, pourquoi la NASA n’a pas dit quelque chose à ce sujet? Scott Waring pensait donner à quelqu’un de la NASA une chance de répondre.
Le 15 mai 2014, il a écrit un post sur le forum de la science NASA affiliés, NASASpaceFlight.com, pour obtenir des commentaires d’expert sur la séquence d’images Spirit Rover. NASASpaceFlight.com a été conçu par son propriétaire, Chris Bergin, avec le soutien de la NASA gestionnaires de vols spatiaux de donner ingénieurs de différents programmes spatiaux nationaux un forum pour partager des informations sur les missions spatiales. Voici ce qu’il a écrit:
Il y a une séquence d’images par le Rover Spirit sur plus d’une semaine environ (images (Sol) 1830-1836) qui montrent un ensemble distinctif de roches. Un objet apparaît dans la séquence. Certains prétendent que c’ est une forme de vie indigène. Waring aimerait avoir l’avis d’experts sur ce qu’il est. Il a joint un composite de trois images de la séquence qui montrent l’objet (notation est par le promoteur de la vie).

Son post a été rapidement éliminé par Bergin, et il a été banni indéfiniment du forum . La raison invoquée était que le forum ne discute pas d’OVNIS, mais dans sa demande de commentaires sur les images du Spirit Rover, je ne ai pas mentionné les ovnis ou quoi que ce soit de vol pour cette question. De toute évidence, les experts de l’espace ne veulent pas discuter des questions découlant de ses instruments scientifiques de la NASA qui suggèrent la vie possible sur Mars, encore moins l’existence des ovnis.
Les cinq images de la mission Spirit Rover montrent un objet qui a clairement déplacé dans la séquence. L’objet semble être une sorte d’animal qui se marie bien avec la roche environnante. Étant donné que les experts de la NASA refusent de discuter de cette possibilité, il est raisonnable d’être en accord avec Waring. Il y a une grande évidence a été constaté qu’il ya une sorte de vie indigène itinérante sur la surface de Mars.
Autres faits:un crâne ou une statue d’une tête allongée… photographié sur le sol de Mars

NASA / JPL
Un des Mars rovers a photographié ce qui semble être une statue de pierre d’une tête allongée sur la surface martienne qui, étonnamment, la NASA avait identifié comme une anomalie d’intérêt. Dans un post publié aujourd’hui sur UFO Sightings Daily, Scott Waring décrit l’anomalie de pierre comme un «visage de Mars.« La NASA avait souligné la statue de la tête apparente avec d’autres anomalies de pierre avec différentes flèches de couleur. Cela a permis d’attirer l’attention de Waring, qui prétend que la tête était probablement partie d’une statue plus grande qui a été démantelées au cours d’un événement cataclysmique passé. La clarté de la tête et du visage est magnifique. Cela rend difficile de rejeter la conclusion de Waring que la photo est une preuve puissante d’une civilisation passée sur Mars.
La photo a été prise lors de la mission Pathfinder Mars et l’ origine est disponible sur le photojournal de la NASA Jet Propulsion Laboratory (JPL) le site. Voici l’explication de JPL pour ce que les différentes flèches actuelles dans la photo signifient.
UN OS FOSSILISÉ…CELUI D’UNE CUISSE

Le 14 Août 2014, le Mars Rover Curiosity a photographié un objet qui semble être un os de cuisse d’animal sur la surface martienne. Lorsque la photo a été libéré par la NASA de JPL affilié quelques jours plus tard, les observateurs initiaux ont affirmé que l’objet était un fragment d’os fossilisé. Les premières demandes de fossiles de la cuisse le 20 Août 2914 ont suscité beaucoup d’attention des médias et de la controverse publique avec une couverture par les grands médias comme le Huffington Post et celui de la Grande-Bretagne,le Daily Mirror Dans une réponse exceptionnellement rapide, la NASA a répondu à la controverse croissante le 21 Août en affirmant que l’objet était au peu plus …un rocher. Aujourd’hui, Science.com a publié une histoire pour sauvegarder la face…à la demande de la NASA que la photo n’est rien de plus qu’un rocher. Pas si selon un nombre croissant de chercheurs indépendants qui ont découvert,dans le passé,les images du Curiosity Rover de ce qui semblent être différentes formes de vie sur la surface de Mars.
L’image a été prise par la caméra MastCam de Curiosity Rover qui fournit en haute résolution panoramique des images en couleur de l’environnement martien. Parmi les premiers observateurs de l’objet à la recherche de la cuisse a été le site Web populaire UFO Blogger qui a publié un message le 20 Août 2014… affirmant:
« Après la colonne vertébrale fossilisée et le doigt maintenant le rover de la NASA, Curiosity ,le 14 Août, 2014,a photographié une cuisse ou un objet semblable à un os fossilisé sur Mars. »
Alors que Space.com et d’autres grands médias semblent satisfaits par l’explication de la NASA, les chercheurs indépendants sont en désaccord. En fait, les dernières images montrées par le Mars Rover ce qui semble clairement être des animaux itinérants la surface de Mars.


Dans encore une autre photo de Curiosity Rover capturé sur Septembre 2012, un écureuil semble être sur Mars. Enfin, dans une série de cinq images capturées par Rover Spirit en 2009, un objet apparaît clairement avoir déplacé; curieusement, experts de la NASA ont refusé de commenter.
L’explication de la NASA que toutes les images ci-dessus sont simplement roches apparaissent comme des animaux ou des fossiles génère controverse non seulement dans le grand public, mais parmi les scientifiques de la NASA eux-mêmes. Richard Hoover a travaillé pour la NASA comme un astrobiologiste depuis 46 ans, et affirme qu’en 2004, le Mars Rover, Opportunity a photographié ce qui ressemblait clairement les restes fossilisés d’un crinoïde, un animal marin qui ressemble à un lys de mer. Hoover a montré à des collègues qui ont immédiatement reconnu l’objet comme un crinoïde. Toutefois, plutôt que d’examiner la possibilité passionnante qui Opportunity avait photographié les restes fossilisés d’un organisme vivant, Hoover a déclaré que moins de quatre heures après la prise de la photo, l’outil d’abrasion de occasion rez la zone où le fossile possible était en poussière. Il a demandé à David McKay, l’ancien chef de astrobiologiste Johnson Space Center, pourquoi cela avait été fait. Selon Hoover, la réponse qu’il a reçue était moins que satisfaisante. La conclusion de Hoover était que les scientifiques de la NASA ont été activement en train de détruire des preuves de fossiles martiens.
Si les animaux parcourent la surface de Mars, que les photographies de Mars Rover suggèrent, puis les fossiles d’os et fragments d’os seront également susceptibles d’être détectés sur la surface de Mars comme Hoover prétend. Les preuves photographiques et les dénonciateurs suggèrent que les explications de la NASA Mars Rover que les images ne sont que des rochers, semblent être des faux-fuyants conçus pour tromper le grand public sur la véritable composition de l’atmosphère de Mars et de la vie sur Mars.
…à moins que toute l’exploration martienne ne soit qu’un immense canular ,un odieux mensonge pour détourner des fonds publics américains et autres..!
…ou bien que le canard et les deux reptiles suivis du rat …s’étaient caché dans les rovers sans que les spécialistes de la NASA les voient…!
Vidéo:Jimmy Guieu les ummites en France
http://www.youtube.com/watch?v=OIj5mHEmqO0
Jimmy Guieu nous parle des ummites qui seraient vraisemblablement un peuple extraterrestre cherchant à nous prévenir et nous guider.