Charlie Hebdo – /08/02/2017 – Jacob Hamburger – La question tournait en boucle avant son investiture : une fois au pouvoir, Trump allait-il s’abstenir fr tweeter compulsivement ? Enfin, on a la réponse : c’est non. Ceux qui pensaient que Trump allait délaisser son compte twitter, pour accepter tout d’un coup les normes traditionnelles de […]
20 JANVIER 2017CYRIAQUE DE CASTELNAU COMMENTER L’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche a provoqué la stupéfaction dans le monde entier. Comment celui que tous les médias nous ont présenté comme un aventurier semi-débile a-t-il pu battre Sainte Hillary Clinton ? Le traumatisme a obscurci les esprits et il était très difficile, sans un travail […]
Par Philip Weiss, le 17 octobre 2016 Les emails de John Podesta n’en finissent pas de sortir de WikiLeaks. Comme Haaretz le note platement, “beaucoup des emails ayant fuité de la campagne Clinton concernent Israël.” Oui: les emails démontrent la centralité d’Israël comme thème pour la clique des Clinton, ainsi que l’agonie qu’ils ont traversé […]
Bien entendu les médias officiel taisent cette longue liste de morts,de meurtres et de décès inexpliqués:il faut protéger le système qui nous nourrit.
Hillary Clinton est la femme de cet ancien président américain qui avait été choisi longtemps à l’avance par le groupe de Bilderberg.Pendant que Bill Clinton vit les derniers moments de sa vie,malade de divers virus liés à une habitude personnelle de ne jamais mettre de condom pour ses ébats sexuels avec des partenaires différents,qui a trahi son pays dans l’affaire de l’attaque de l’ambassade américaine à Tripoli,doit à tout prix vaincre Donald Trump et devenir présidente!
Elle n’a pas le choix,car c’est la prison à vie qui attend ce dangereux personnage…Voyez par vous mêmes,mes ami(e)s:
Et ce sentier des morts est très long.Vincent Foster, Mary Mahoney, Judi Gibbs, Walter Scheib, Charles Ruff, Jim McDougal, l’amiral Boorda, Barry Seal, Michael Hastings, Sandy Hume, Gareth Williams sont quelques-uns des fantômes que l’on retrouve dans le passé d’Hillary Clinton.Ces fantômes et ces morts annoncent le début de la Seconde Révolution Américaine!
Entre Trump et Hillary Clinton,c’est elle qui est dangereuse
La vérité va t-elle finir par pousser Obama dehors…avant le dernier jour de sa présidence pourrie par les mensonges?
Il y a huit ans, aux États-Unis, Barack Hussein Obama est devenu président en faisant campagne sur une plate-forme d’espoir, d’intelligence et de compétence.
Il mentait effrontement,mais il a gagné!
Cette année, Donald Trump est devenu le candidat républicain en faisant campagne sur une plate-forme de grognements et d’aboiements en tous genres. Le style a changé !
Cette transition, de l’intellectuel à l’anti-intellectuel, est un phénomène mondial.
Les bonnes nouvelles c’est que Donald Trump ne va probablement pas être le prochain président américain. Mais les mauvaises nouvelles sont qu’il est un signe avant-coureur des choses à venir, un signe véritable et terrifiant de l’époque.
En d’autres mots: Hillary Clinton va gagner la bataille si elle tient le coup physiquement, mais de son côté elle est en train de perdre la guerre.
Hillary Clinton lors de sa comparution sur l’enquête de l’attaque contre l’ambassade américaine de Bengazi.
La chose la plus effrayante au sujet de la perspective d’une autre présidence de Clinton est que, dans le monde tumultueux de la montée des inégalités, Hillary Clinton est considérée comme étant le problème, plutôt que de la solution. Quand les choses vont mal et les choses iront mal, non seulement Hillary sera blâmée mais aussi tout ce qu’elle représente.
Clinton est la femme incarnée de Davos, l’incarnation même de la compétence protéiformes et de la sophistication associées à un diplôme de Yale Law School, huit ans comme Première Dame, huit de plus comme sénatrice américaine, et un mandat en tant que secrétaire d’État.
Elle suscite également un degré étonnant de haine pour une partie de l’électorat américain. Cette haine ne va se renforcer une fois qu’elle deviendrait le leader du “monde libre” (comme les élites américaines aiment appeler cette partie du monde). Elle va être dirigée non seulement personnellement sur Hillary Clinton, mais sur l’ensemble du programme néolibéral. Et le mouvement anti-élite aura son jour de gloire, qui vient.
Hillary Clinton recouverte d’un tchador.
Les graines de tout ce mécontentement ont été semées pendant la crise financière, lorsque l’élite mondiale (les personnes qui ont provoqués la crise) s’est donnée un plan de sauvetage généreux, tandis que les classes moyennes souffrent depuis longtemps et ont reçu un peu plus d’un tsunami de mises à pied et les avis de forclusion sur leur habitation.
Les Etats-Unis, cependant, manquent en grande partie d’une telle tradition électorale. En conséquence, les populistes ont pris un peu plus de temps à émerger comme une force politique. En dépit d’être exposés comme des racistes et des menteurs, ils ont déjà remporté deux votes clés: la primaire républicaine, dans le États-Unis, et le référendum sur l’UE. Ce dernier est, pour le moment, le plus conséquent. La décision collective de la Grande-Bretagne de quitter l’Union européenne est sans ambiguïté, et la classe politique du pays se démène de façon assez incohérente pour essayer de sauver la mise.
Durant la présidence de Bill Clinton,Hillary Clinton se permit de recevoir le puissant contrebandier de drogues dures (cocaîne,etc) ,Jorgue Cabrera ,à la Maison Blanche…durant les fêtes.
Aux États-Unis, en revanche, l’identité d’un candidat du parti, tant qu’il perd l’élection présidentielle, a tendance à avoir relativement peu d’importance politique. En conséquence, la révolte populiste ne pourrait pas venir jusqu’à l’élection de 2020. Hillary Clinton, la représentante universellement reconnaissable de l’élite globaliste, affrontera quelqu’un portant tous les ressentiments de 99% des Américains, quelqu’un qui représente une population qui ne veut rien de plus que donner un coup solide sur la stagnation et l’inégalité.
Elle aura gagné deux choses en 2016, bien sûr : d’abord voir Bernie Sanders hors de la primaire démocrate, puis battre Donald Trump à l’élection présidentielle. Mais ses victoires contre ces septuagénaires seront d’une utilité limitée en 2020, si et quand elle se trouvera en lutte contre une personne plus jeune, plus intelligente et plus difficile que Sanders et Trump.
Les forces inexorables de la mondialisation sont tout aussi puissantes aux États-Unis qu’elles sont partout ailleurs : en effet, l’inégalité a augmenté beaucoup plus rapidement en Amériquequ’elle ne l’a été en Grande-Bretagne. À son tour, le système d’état américain est devenu plus polarisé comme jamais, avec des couches flambant neuf d’insularité et de méfiance. Les riches se fréquentent de plus en plus les uns avec les autres, tout en dédaignant les avis de la majorité. Rien de tout cela ne passe inaperçu par les masses, qui réagissent à ce dédain en ayant moins de confiance que jamais dans tout type d’institution civique des élites, jusqu’à et y compris la présidence elle-même.
Voilà pourquoi le discours de Clinton à Goldman Sachs est si préjudiciable, et restera dommageable en 2020: il représente toutes les raisons pour lesquelles Hillary Clinton est et sera toujours « eux » plutôt que « nous ».
L’apothéose de ce genre d’onanisme professionnel peut être trouvé dans les organisations à but non lucratif comme la Fondation Clinton et le Forum économique mondial. Une chose que vous voyez partout lors de la réunion annuelle du WEF (World Economic Fund) à Davos est la richesse et la consommation ostentatoire, qui aident à lubrifier les discussions rancunières sur l’amélioration de la situation des personnes non invitées à se joindre à la fête. Et l’autre chose que vous voyez partout est la devise du WEF, « engagé à améliorer l’état du monde. » C’est le genre de devise idiote et provocatrice que la plupart des gens sont prêts à renvoyer au visage du monde globaliste.
Les Nations ne sont pas des cas de charité; elles ont des populations fières qui veulent prendre le contrôle de leur propre destin.
Les copinages capitalistes de financement de la campagne Clinton; les PDG; les millionnaires et les milliardaires que Bernie Sanders déteste tellement vont être les perdants, sinon de la course présidentielle 2016, mais de l’orientation générale de l’histoire politique au cours des années à venir.
Nous entrons dans une ère des nationalismes hargneux et à somme nulle rhétorique, et les nouvelles lignes sont en cours d’élaboration. Jusqu’à présent, la politique anglophone a généralement joué le long d’un axe de la politique : les libéraux contre les conservateurs, la gauche contre la droite. De plus en plus, cependant, la nouvelle ligne de front dans les guerres politiques entre les technocrates et les populistes, entre les élites sophistiquées et les masses en colère.
Hillary Clinton, l’élite de l’élite, ne va pas trouver un moyen d’exploiter cette colère. Elle ne peut tout simplement pas. Et tandis que les démocrates pourraient soutenir Clinton cette année, ils vont probablement devoir la renier par la suite.
La plupart d’entre eux sont très peu susceptibles d’opposer un président en exercice à leur propre parti. Mais si et quand Clinton perd en 2020, les démocrates sont susceptibles de se fracturer de la même manière que les républicains.
D’ailleurs tout ça pourrait se jouer avant 2020, dès 2016, compte-tenu de la santé physique d’Hillary Clinton et de ses problèmes graves au cerveau. Elle pourrait être lâchée par les élites, ou disparaître, morte ou quasi.
Si Hillary Clinton est élue,la seconde Révolution Américaine va s’accélérer!
LE CONGRES USA A VOTE LE 17 JUILLET UNE DÉCLARATION DE GUERRE CONTRE LA RUSSIE
Le jour du crash du Boeing , voici ce qui avait été voté…
Ils ont voté la Guerre …
Au Congrès des USA,ils doivent prendre les gens pour des idiots.
Le congrès a adopté, le 17 juillet, le jour du crash du boeing 777 de la Malaysia MH17, l’ « Acte de prévention de l’agression russe», qui garantit à l’Ukraine, la Géorgie et la Moldavie, le statut d’«alliés majeurs non-OTAN des États-Unis», autorisant le président à fournir à ces pays et à d’autres pays de l’Est, directement ou par l’intermédiaire de l’OTAN, le maximum d’aide militaire et économique pour s’opposer à la Russie.
Le crash est la signature de déclaration de guerre envoyée à la Russie.
Le Département d’Etat des États-Unis va fournir 30 milliards de dollars afin de financer une ingérence directe dans les affaires intérieures de la Russie, ou, pour être exact, renverser Poutine.
Numéro de document 2277 sur le site officiel du Congrès des États-Unis appelé «Loi sur la prévention de l’agression russe 2014» (la «Loi sur la prévention de l’agression de la part de la Russie 2014»).
Budget: 10 milliards de dollars par an sur la période 2015-2017.But des crédits « le développement de la démocratie en Russie ». (amélioration de la gouvernance démocratique, la transparence, la responsabilité, la primauté du droit et mesures anti-corruption)
Le site du crash du Vol MH17.
En fait cette guerre était déjà décidée
“Le département d’Etat américain n’envisage pas de répondre aux questions de l’Etat-major de l’armée russe relatives au crash du Boeing 777 malaisien dans l’est de l’Ukraine, a annoncé lundi aux journalistes la porte-parole de la diplomatie US Mary Harf.
Selon cette dernière, les déclarations publiques de la partie russe ne méritent aucune confiance, Moscou étant impliqué “dans la propagande et la désinformation”.
Le parlement Européen a également voté une loi le 17 Juillet qui considère que l’annexion de la Crimée est une violation du Droit International. L’UE est donc complice des USA.
Quelle est la probabilité pour qu’un avion s’écrase le jour où le Congrès Américain décide d’autoriser l’implantation de soldats dans les pays limitrophes du pays qu’on rend responsable de ce crash et le jour ou le Parlement européen adopte une résolution lui donnant le droit de faire une intervention armée pour réparer une annexion déclarée comme étant une violation du droit international ?
* 4 jours après le crash de l’avion ,Moscou accusait l’Ukraine:lien vidéo
Miliciens de la République de Nova Russia près des décombres de l’avion.
Plus de 70 ans après Tcherkassy, en Ukraine, les forces de Nouvelle Russie s’apprêtaient à tailler définitivement en pièces toute une partie de l’armée ukrainienne dans un « chaudron » à la frontière russe, en plein cœur du Donbass. Mais le drame du crash du Boeing de la Malaysia Airlines, tuant près de 300 personnes dont de très nombreux enfants, risque de réactualiser la situation géostratégique. En effet, Kiev et ses alliés occidentaux sont prêts à tout pour rendre Moscou et les indépendantistes responsables de la tragédie. Or, seulement 24 heures après que l’avion ait été vraisemblablement abattu, de plus en plus d’éléments mettent hors de cause la responsabilité des Russes et des indépendantistes. Mais Washington et ses alliés n’ont que faire de la vérité.
Depuis hier dans les médias français, qui suit l’ensemble des médias occidentaux, anglo-saxons en tête, la désinformation bat son plein et l’on n’hésite pas à mettre en avant des « experts » autoproclamés, grassement payés et qui n’hésitent pas à nous sortir des perles comme s’il en pleuvait. La dernière en date : Sir Malcolm Rifkind, membre éminent de l’Intelligence and Security Committee, a suggéré que le missile qui a détruit l’avion avait été lancé par les « forces spéciales soviétiques » ! (source) Heureusement que dans ISC, il y a « Intelligence »…
Laissons de côté les agitateurs, les experts à la ramasse, les désinformateurs stipendiés et autres intellectuels faussaires (tiens, BHL, où es-tu ?) pour nous concentrer sur les faits et les analyses sérieuses, comme nous l’avons toujours fait.
Une zone de débris très étendue…
Le Boeing 777 malaisien volait à une altitude inférieure à celle prévue à la demande des contrôleurs aériens ukrainiens a déclaré à Amsterdam Huib Gorter, vice-président de la branche européenne de la compagnie Malaysia Airlines. Et nous n’avons toujours pas d’explications cohérentes quant à l’autorisation faite par Kiev aux compagnies aériennes de survoler la zone des combats, ni sur le fait que son trajet habituel ait été modifié.
24 heures après la terrible tragédie qui a coûté la vie à presque 300 civils lors du crash d’un Boeing de la Malaysia Airlines près de Torez-Snizhne dans le Donbass en zone indépendantiste, Kiev n’a toujours pas pris contact avec les autorités de Nouvelle Russie pour que des secours et des enquêteurs ukrainiens puissent se rendre sur les lieux où l’appareil s’est écrasé. Voilà qui en dit long sur l’esprit de la junte au pouvoir : Porochenko et le gouvernement de Yatseniuk (qui considère les Russes comme des «sous-hommes») veulent profiter du drame pour pousser la «Communauté internationale» et l’OTAN à intervenir contre les indépendantistes et la Fédération de Russie.
Un pénible pèlerinage…
La plupart des systèmes d’enregistrement de l’appareil ont été retrouvés par des éléments de la milice qui sont immédiatement accourus sur place. L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a indiqué que les indépendantistes avaient accepté d’offrir « un accès sûr » à une commission nationale d’enquête, comprenant des enquêteurs internationaux (photo). Mais Washington insiste pour que l’enquête ne soit surtout pas impartiale et accuse les séparatistes… avant d’accuser Moscou. Les USA feront donc tout ce qui leur est possible pour discréditer toute investigation qui ne leur serait pas soumise. Le document du SBU qui retracerait un soi-disant enregistrement de conversation des indépendantistes confirmant le tir sol-air contre l’avion est un vulgaire montage, bien entendu, et seuls des malfaisants peuvent en faire état. Washington a donc fait en sorte que la police politique, qui est à sa botte, le diffuse largement sur Internet.
Les données de la défense russe
Le ministère de la Défense à Moscou a souligné, lors d’un communiqué de presse, que les systèmes antiaériens des forces ukrainiennes étaient actifs lors du crash de l’avion. Et notamment une batterie longue portée S-200 (SA-5 Gammon) à Kharkov et trois batteries de moyenne portée Buk-M1, notamment aux environs de Slaviansk et de Donetsk. Ce qui est à la fois normal et cohérent : en effet, quelques jours plus tôt, Moscou avait indirectement fait savoir que des « frappes ciblées » contre des objectifs militaires en Ukraine pouvaient être envisagées par les forces russes, si Kiev persistait à faire tirer des salves d’artillerie sur le territoire de la Fédération de Russie. L’Ukraine s’attendait donc à riposter à d’éventuels raids aériens. Cela ne signifie pas qu’une ou des batteries de DCA ukrainiennes aient tiré sur l’avion, mais comme Kiev affirme que ses défenses antiaériennes étaient alors non opérationnelles, cette précision prend tout son sens. D’ailleurs, en raison des tirs répétés, deux villages russes près de Kuybyshevo (région de Rostov, face au « chaudron ») ont été évacués aujourd’hui.
Le morceau d’aile de l’avion qui prouve qu’un missile a été lancé dessus.
Selon RIA Novosti un fragment de l’aile avec les marques d’éclats de shrapnels (typique des systèmes sol-air) a été trouvé près du village de Rassypnoye à moins de 2 km à l’ouest du crash.
Le système de radiodétection russe 9S18M1-1 .
Le 17 juillet, les systèmes de radiodétection russes ont enregistré le fonctionnement du radar 9S18M Kupol (Snow Drift en code OTAN) d’une batterie de Buk-M1 déployée près du village de Styla (environ 20 km au sud de Donetsk). Les caractéristiques techniques des Buk-M1 permettent de procéder à un échange d’informations sur les cibles aériennes entre toutes les batteries d’une même unité. Cela signifie que le missile aurait pu être tiré par chacune des batteries déployées à Avdiivka (8 km au nord de Donetsk) ou à Gruzsko-Zoryanskoye (25 km à l’est de Donetsk).
« Aucun missile antiaérien n’a été déployé pendant l’opération antiterroriste (…) Ils sont tous à leur place », a affirmé aujourd’hui Bohdan Senik, porte-parole du ministère de la Défense de l’Ukraine.
Le 4 juillet, la télévision ukrainienne faisait un reportage sur une batterie Buk-M1 prépositionnée au nord-ouest de Slaviansk (AP Photo/Dmitry Lovetsky). En outre, il y a cinq jours, un des portes paroles officiels du commandement des opérations, Vladislav Seleznev, a déclaré que les opérations sur le terrain impliquaient la présence de moyens de défense antiaérienne.
Le système de batteries de missiles BUK-M1 déployé en Ukraine.
Pour les lecteurs profanes, voilà schématiquement, comment fonctionne une batterie Buk-M1/2 complète. Un lanceur seul n’a qu’une capacité limitée d’attaque d’un rayon de 3 km.
Et pour recharger le lanceur, il faut un camion spécial…parce qu’un 9M38, ça fait dans les 700 kg l’unité !
Comme par grand hasard, alors que jusqu’à présent, aucune vidéo sur un éventuel Buk-M1 indépendantiste n’était disponible sur la toile, est apparu hier, en soirée (vers 21h00, heure de Paris, donc plusieurs heures après le crash du Boeing) cette mauvaise vidéo d’un automoteur sol-air Buk présenté comme ayant été filmé dans le secteur de Torez. A noter : pas de radar d’accompagnement, pas de camion « chargeur »…
Les armées de Kiev sont en pleine déroute et cherchent une sortie
Ce drame intervient dans un contexte très particulier pour le conflit du Donbass : celui de la débâcle d’un quart des troupes engagées, et notamment les 24e, 72e et 79e brigades de l’armée de terre ukrainienne, plus une « brigade » de la garde nationale, à la frontière russe, lors d’un encerclement dû à une faute stratégique majeure du commandement opérationnel de Kiev.
Dernièrement, le secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Arsen Avakov, a fait fuiter un document faisant état des pertes dans les deux camps, document dans lequel on peut se rendre compte combien les forces ukrainiennes ont été ces derniers temps éprouvées par les combats. Un document qui ne laisse aucun doute quant à la situation alarmante d’une partie des troupes engagées par la junte.
L’état des troupes
Etat des pertes des troupes ukrainiennes du 9 au 15 juillet 2014, signé par Arsen Avakov, secrétaire d’Etat à l’Intérieur : Troupes ukrainiennes tuées -1.600 Troupes ukrainiennes blessées – 4.723 Tanks perdus – 35 Véhicules blindés – 96 Artillerie – 38 Avions – 7 Hélicoptères – 2 Véhicules – 104
Ces données amènent plusieurs observations. Tout d’abord, ces chiffres du ministère de l’Intérieur (et non pas de celui de la Défense), recoupent très largement nos observations de ces derniers jours concernant les événements qui se déroulent à la frontière, dans le « chaudron » où pas moins de 4 brigades rassemblant quelque 4.000 hommes se sont retrouvées encerclées et réduites quasiment à néant, opérationnellement parlant. Ce document est en complète contradiction avec la propagande médiatique du régime et les jacasseries intempestives et prétentieuses de ses soutiens occidentaux. Ensuite, le fait qu’Avakov, qui est un des responsables les plus hystériques contre ses concitoyens du Donbass et contre la Russie au sein de ce gouvernement, reconnaisse lui-même ces pertes importantes, dénote un profond malaise du côté des dirigeants de l’opération dite « antiterroriste ». Kiev a conscience de son échec dans le Donbass et l’expose sur la place publique pour appeler à l’aide ses alliés occidentaux. Enfin, ce document donne un éclairage nouveau quant à l’attitude actuelle du gouvernement ukrainien et de la présidence en ce qui concerne le crash du Boeing. Le régime est dans une impasse et a besoin d’une solution viable pour s’en sortir, l’occasion d’instrumentaliser ce drame contre les indépendantistes et Moscou est trop belle pour ne pas en profiter. Et les premières réactions de Washington à ce sujet augurent le lancement d’une campagne de désinformation massive et sans précédent.
Kiev continue sa guerre, même près du site du crash
Secteur de Snizhne : un camion Ural bricolé en camion blindé et trois T-64BV de la milice en mouvement en direction du chaudron près de la frontière russe à une bonne cinquantaine de kilomètres plus à l’est.
Et pendant ce temps, dans le Donbass, les forces ukrainiennes attaquent tout azimut. Aujourd’hui, uniquement entre 13h00 et 19h00 heure locale, on signalait sur l’ensemble du front (liste non exhaustive) : – Au moins trois salves de BM-21 Grad sur les positions indépendantistes à Popasnaya, plus de 20 km au sud de Severodonetsk – Rubizhne (secteur nord de la poche) ; tirs d’artillerie sur Rubizhne – Une frappe aérienne à Perevalsk, à mi-chemin entre Lugansk et Donetsk – Tirs d’artillerie continus sur le nord de l’agglomération de Lugansk (44 morts et 2015 blessés aujourd’hui – voir la vidéo ci-dessous-) ; et une tentative infructueuse de la 30e brigade mécanisée de percer à l’ouest de l’agglomération. – Plusieurs attaques de Su-25 vers l’aéroport de Lugansk – Une frappe aérienne à Mikhaliivka, à l’est du chaudron de même que sur Chervonopartizansk, Sverdlovks, Dyakove (comme si cela allait sauver le peu qui reste de troupes ukrainiennes enfermées dans le chaudron) – Des salves de Grad sur la hauteur de Saur Mogila – Frappes aériennes sur Krasny Luch, important carrefour routier stratégique au cœur du Donbass et seulement à une vingtaine de kilomètres du lieu du crash du Boeing (Kiev ne respecte décidément rien !) – Pilonnages d’artillerie sur Avdiivka, au nord-ouest de Donetsk – Combats aux abords de l’aéroport de Donetsk
EN CONCLUSION
Depuis que les Américains et leur 6e flotte a du reculer face à la flotte russe fin août 2013 devant les côtes syriennes et renoncer à attaquer la Syrie pour appuyer leurs alliés jihadistes, la Russie de Vladimir Poutine est devenue l’ennemi à abattre. Avec le coup d’Etat de l’hiver dernier à Kiev, Washington pensaient mettre la main sur la Crimée et la principale base navale russe qui les avait contraints de reculer quelques mois auparavant. Hélas, trois fois hélas, ils ont encore échoué quand Vladimir Poutine a décidé de reprendre les droits de son pays sur la Crimée. Puis le Donbass s’est soulevé, en raison de la politique ségrégationniste qui commençait à se mettre en place, après le coup d’Etat, contre les russophones chrétiens de rite orthodoxe rattaché au patriarcat de Moscou, à l’initiative de l’extrême droite galicienne. Aussi, Les États-Unis ont alors « conseillé » les forces répressives ukrainiennes afin que ces dernières, par leurs crimes contre les populations civiles, obligent Moscou à agir militairement, provoquant une crise régionale et permettant de fait à Washington et à ses alliés d’intervenir d’une façon ou d’une autre, quitte à déclencher une guerre mondiale. Mais les forces de Kiev, en dépit des « conseillers » militaires, politiques, de la CIA et des « contractors », se sont avérées incapables de faire face aux milices indépendantistes, pourtant bien moins nombreuses et moins armées. Kiev a subi de très lourdes pertes ces dernières semaines et se trouve incapable de la moindre initiative militaire digne de ce nom, de surcroît les populations de l’ouest de l’Ukraine ne veulent plus envoyer leurs fils, leurs maris, leurs pères se faire tuer pour des intérêts oligarchiques et mondialistes à donner la nausée. Ce dramatique crash du Boeing malaisien et ses presque 300 disparus sont donc un tournant dans l’affrontement qui oppose les tenants de la prédation mondialiste à ceux qui prônent un monde multipolaire, plus juste, plus équitable et plus pacifique.
Si une image vaut mille mots, alors cette image vaut des milliers de bisons. Cette photo des années 1870 montre un homme tenant fièrement devant une montagne de dizaines de milliers de crânes de bisons – une espèce américaine emblématique qui a été systématiquement abattue par millions par les Américains d’origine européenne installés à l’ouest. L’armée américaine a activement approuvé le massacre de ces animaux pour deux raisons principales: pour éliminer toute concurrence avec le bétail, et à laisser mourir de faim les tribus amérindiennes qui dépendaient fortement du bison pour la nourriture. Sans le bison, les tribus résistant de la Great Plains seraient soit obligés de partir ou mourir de faim.
Le gouverneur de la Louisiane Bobby Jindal, a samedi soir, accusé le président Barack Obama et d’autres démocrates de mener des guerres contre la liberté et l’éducation religieuse et a déclaré que la rébellion se prépare aux Etats-Unis avec des gens prêts à « une prise de contrôle hostile » de la capitale de la nation.
Jindal a parlé lors de la conférence annuelle organisée par la foi et Freedom Coalition, un groupe dirigé par l’activiste chrétien de longue date Ralph Reed. Les organisateurs ont déclaré plus de 1000 leaders évangéliques ont assisté à la rencontre de trois jours. Fonctionnaires républicains à travers le spectre politique concèdent que les électeurs évangéliques continuent à jouer un rôle essentiel dans la politique de GOP.
Le gouverneur de la Louisiane Bobby Jindal, a samedi soir, accusé le président Barack Obama et d’autres démocrates de mener des guerres contre la liberté et l’éducation religieuse et a déclaré que la rébellion se prépare aux Etats-Unis avec des gens prêts à « une prise de contrôle hostile » de la capitale de la nation.
« Je peux sentir en ce moment un brassage de rébellion parmi les Etats-Unis », a déclaré Jindal, « où les gens sont prêts pour une prise de contrôle hostile de Washington, DC, pour préserver le rêve américain pour nos enfants et nos petits-enfants. »
Le gouverneur a déclaré qu’il y avait une « guerre silencieuse » sur la liberté religieuse étant combattu aux États-Unis – un pays qu’il a dit a été construit sur cette liberté.
« Je suis fatigué de la gauche Ils disent qu’ils sont pour la tolérance, ils disent qu’ils respectent la diversité La réalité est la suivante:.. Ils respectent tout le monde sauf si vous êtes en désaccord avec eux », a t-il dit. « La gauche essaie de nous faire taire et je suis fatigué de lui, je ne vais pas le prendre plus. »
Plus tôt cette semaine, Jindal a signé un décret pour bloquer l’utilisation de tests liés au niveau d’éducation de base commune dans son état, une position privilégiée par les partisans du Tea Party et les conservateurs. Il a dit qu’il continuerait à lutter contre les tentatives de l’administration pour mettre en œuvre de base commun.
«Le gouvernement fédéral n’a pas de rôle, pas le droit et pas de place à dicter des normes dans nos écoles locales dans ces 50 États des États-Unis d’Amérique », a déclaré Jindal.
Jindal utilisé l’humour pour critiquer l’administration Obama sur plusieurs fronts, en faisant référence à l’échange de prisonniers Bergdahl et l’attaque meurtrière sur la mission américaine à Benghazi, en Libye.
« Sommes-nous témoins de ce moment le plus radicalement, très libéral, président idéologique de notre vie entière ici aux États-Unis d’Amérique, ou assistons-nous le président le plus incompétent des États-Unis d’Amérique dans l’histoire de nos vies? Vous savoir, c’est une question difficile « , at-il dit. «J’ai longuement réfléchi à ce sujet Voici la seule réponse que je suis venu avec, et je vais citer Secrétaire Clinton:.` Quelle différence cela fait-il? « ‘
La conférence a comporté la plupart des républicains bien connus qui envisagent une course présidentielle 2016, y compris gouverneur du New Jersey Chris Christie, sénateur de Floride Marco Rubio et Kentucky sénateur Rand Paul. Jindal devrait annoncer après les élections de mi-mandat Novembre si oui ou non il va lancer une candidature présidentielle.
Washington pense que la guerre nucléaire peut-être gagnée et planifie une première frappe nucléaire sur la Russie et peut-être la Chine, afin de prévenir tout défi à son hégémonie mondiale.
Le plan est dans un stade déjà bien avancé et sa mise en application est en cours. Comme je l‘ai rapporté auparavant, la doctrine stratégique américaine a changé et le rôle des missiles nucléaires a été élevé de celui de rôle de frappe en retour à celui de frappe offensive. Des bases de missiles anti-balistiques (MAB) ont été établies en Pologne à la frontière avec la Russie et d’autres bases sont en cours d’établissement. Une fois terminée la mise en place, la Russie sera complètement encerclée par des bases de missiles américaines.
Les MAB, connu aussi sous le nom de “guerre des étoiles”, sont des armes faites pour intercepter et détruire les Missiles Balistiques Inter-Continentaux (MBIC ou ICBM en anglais). Dans la doctrine guerrière de Washington, les Etats-Unis frappent la Russie en premier et quelque soit la force de rétaliation dont dispose encore la Russie, celle-ci est empêchée d’atteindre les Etats-Unis par les MAB. La raison donnée par Washington pour changer sa doctrine de guerre est la possibilité que des terroristes puissent obtenir une arme nucléaire avec laquelle ils pourraient détruire une ville américaine. Cette explication est un non-sens total. Les terroristes sont des individus ou un groupe d’individus, pas un pays ayant un pouvoir de menace militaire. Utiliser des armes nucléaires contre des terroristes détruirait bien plus que les terroristes et serait inutile dans la mesure où une frappe par missile conventionnel embarqué sur drone serait bien suffisant.
La raison donnée par Washington pour sa base de MAB en Pologne est de protéger l’Europe des MBIC iraniens. Washington et les gouvernements européerns savent que l’Iran n’a aucun MBIC et que l’Iran n’a aucune intention manifeste d’attaquer l’Europe.
Aucun gouvernement ne croit aux raisons invoquées par Washington. Chaque gouvernement réalise que les raisons de Washington ne sont que de faibles tentatives de masquer le fait qu’il est en train de créer la capacité au sol de gagner une guerre nucléaire.
Le gouvernememt russe comprend que le changement de la doctrine de guerre américaine et la construction de bases de MAB à ses frontières est dirigée contre la Russie et est une indication évidente que Washington planifie une frappe nucléaire initiale contre la Russie.
La Chine a aussi compris que les intentions sont les mêmes à son encontre. Comme je l’ai écrit il y a plusieurs mois, en réponse à la menace de Washington, la Chine a appelé l’attention du monde en signifiant sa capacité de détruire les Etats-Unis si Washington initiait un tel conflit.
Quoi qu’il en soit, Washington pense qu’il peut gagner une guerre nucléaire avec peu ou pas de dommages aux Etats-Unis. Cette croyance rend la possibilité de cette guerre encore plus possible (et plausibe).
Steven Starr est clair, cette croyance est fondée sur l’ignorance. Une guerre nucléaire n’a aucun vainqueur. Même si les villes américaines étaient sauvées de la frappe en retour par les MAB, les effets des radiations et de l’hiver nucléaire qui s’en suivraient après la destruction de la Russie et de la Chine, détruiraient également les Etats-Unis.
Les médias, maintenant concentrés en très peu de mains de manière si convéniente, sont complices en ignorant ce problème. Les gouvernements des états vassaux de Washington en Europe de l’ouest et de l’est, au Canada, en Australie et au Japon, sont aussi complices, parce qu’ils acceptent cet état de fait et le plan de Washington en lui fournissant ces bases pour pouvoir le réaliser. Le gouvernement polonais dont l’insanité ne fait plus de doute, a probablement signé l’arrêt de mort de l’humanité. Le congrès des Etats-Unis est complice, parce qu’aucun débat, aucune enquête ne sont faits au sujet des plans de la branche exécutive de déclencher une guerre nucléaire.
Washington a créé une situation très dangereuse. La Russie et la Chine étant clairement menacées d’une frappe nucléaire initiale, elles pourraient bien décider elles-mêmes de frapper en premier. En effet, pourquoi la Russie et la Chine devraient-elles attendre gentiment l’inévitable, tandis que leurs adversaires créent la capacité de se protéger en développant un bouclier AMB ? Une fois que le bouclier sera terminé, la Russie et la Chine seront certaines qu’elles seront attaquées, à moins qu’elles ne capitulent avant.
Ce rapport de 10min ci-dessous émanant de Russia Today (RT) clarifie que le plan secret de Washington pour une frappe nucléaire initiale contre la Russie n’est pas en fait un secret. Le rapport clarifie également que Washington se prépare à éliminer tous leaders politiques européens ne s’alignant pas avec son plan.
Alors les lecteurs vont me demander: “Mais que pouvons-nous faire ?” Voici ce que vous pouvez faire.Si vous résidez aux États-Unis d’Amérique ou au Canada anglais: Vous pouvez mettre un terme au ministère de la propagande en refusant d’allumer vos télés, de regarder Fox News, CNN, the BBC, ABC, NBC, CBS, en arrêtant de lire le New York Times, le Washington Post, le LA Times.Si vous résidez au Québec : boycottez Radio Canada,TéléMédia,etc…fermez votre télé et profitez du bon air.Renseignez-vous auprès de réseaux anti-système sur le web.
Sortez tout simplement des médias officiels. Ne croyez pas un mot de ce que vous dit le gouvernement, Ne votez pas. Comprenez que le mal est concentré à Washington. Au XXIème siècle (13 ans et demis), Washington a détruit en partie ou totalement 7 pays. Des millions de gens ont été assassinés, estropiés, déplacés et Washington n’a montré absolument aucun remord ou quoi que ce soit s’en approchant ; les églises “chrétiennes” non plus du reste. La dévastation que Washington a infligé est dépeinte comme étant un grand succès (de la démocratie). Washington a prévalu.
Washington est absolument déterminé à prévaloir et le mal absolu que Washington représente et mène le monde à la destruction.Bien sur ,Ottawa suit derrière,comme un “petit chien de poche”!
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