La Grande Arnaque du COVID 19:Un déclin important s’annonce pour les États-Unis

En réponse à plusieurs commentaires dans le dernier fil de conversation libre – légèrement modifié.

En fait, il y a même un  déclin réel absolu, et pas seulement relatif, aux États-Unis, par exemple l’espérance de vie y est en baisse. C’est un très mauvais signe pour un pays développé. Pareil pour le Royaume-Uni d’ailleurs.

Sur la question du profit que la Chine a tiré pendant la crise Covid, elle a gagné en puissance brute, par exemple en PIB par rapport aux États-Unis. Et elle a également gagné en termes d’endettement, relativement, alors que les niveaux de dette américaine ont explosé en raison de la crise. Vous avez maintenant une récupération en forme de V en Chine et une pauvre récupération en forme de W aux États-Unis. Avec beaucoup plus de dette ajoutée.

Il y a bien sûr la question des relations publiques et du soft power. D’une part, les États-Unis ont blâmé la Chine pour la pandémie, mais d’autre part, ils se sont mis dans l’embarras en raison de leurs faibles performances en matière de maîtrise de la pandémie, par rapport à d’autres pays. Et ils ont perdu des points dans le monde entier en raison de leur retrait de l’OMS en plein milieu de la pandémie. L’Europe et les pays en développement n’ont pas du tout aimé cela. N’oubliez pas que la Covid a également affaibli l’armée américaine, elle a des problèmes avec ça, y compris sur les navires et les bases à l’étranger, la maladie a même saboté le plus grand exercice américain prévu en Europe depuis 30 ans. Et la pandémie aux États-Unis fait toujours rage, elle n’est pas du tout contenue et les taux de mortalité augmentent à nouveau.

Ici par exemple, les futurologues de Pardee UNC Health Care disent que la Chine a gagné pendant la crise, en capacités brutes. La recherche sur le futur et le pouvoir relatif entre les pays est leur spécialité :

En ce qui concerne les mesures générales des capacités matérielles, l’image est claire : la COVID-19 réduit l’écart des capacités relatives des États-Unis et de la Chine et accélère la transition entre les deux pays. Grâce à plusieurs scénarios de prévision à long terme utilisant l’outil International Futures, Collin Meisel, associé de recherche, et Jonathan Moyer, directeur du Pardee Center, expliquent sur le blog Duck of Minerva que la Chine gagnera probablement en puissance mondiale par rapport aux États-Unis d’ici 2030 en raison de l’impact économique et de la mortalité de la COVID-19. Ce gain en pouvoir mondial est égal aux capacités de la Turquie aujourd’hui.

Sur la question du dollar US, Stephen Roach affirme également qu’il y aura une baisse significative à moyen terme. Et l’argument est assez logique – si la part des États-Unis dans l’économie mondiale est en baisse – et elle diminuera au moins jusqu’en 2060 – et si le niveau de la dette américaine atteint des niveaux sans précédent, le dollar baissera. Je suis d’accord avec cet argument. C’est tout à fait logique.

Sur la question des puces et semi-conducteurs, David Goldman est sceptique quant à la capacité des États-Unis à arrêter la Chine à ce sujet :

L’interdiction des puces donne au monde une énorme incitation à contourner les États-Unis.

Fondamentalement, Huawei a toujours des fournisseurs avancés, en Corée du Sud et au Japon. Et certains d’entre eux refusent de céder. Le problème pour les États-Unis est que la Chine est le plus grand marché mondial de semi-conducteurs et le plus grand importateur de puces au monde, ce qui donne aux entreprises privées de très bonnes raisons pour contourner les équipements fabriqués aux États-Unis afin d’exporter vers la Chine. Ensuite, la Chine stocke également de grandes quantités de puces. D’ici 2025, elle devrait être en mesure de remplacer la production étrangère par la production locale. Donc, ces interdictions sont perdantes pour les États-Unis, et la Chine – oui, cela entraînera des coûts pour la Chine jusqu’en 2025. Mais cela conduira également des entreprises américaines, telles que Qualcomm, à perdre le marché chinois des puces, qui est le plus grand au monde, et il n’y a rien pour le remplacer.

Ce sont des centaines de milliards perdus pour les États-Unis en raison de la réduction progressive du marché le plus lucratif. Ainsi, en termes relatifs, la Chine ne perdra pas dans cette bataille, car les États-Unis perdront aussi beaucoup, tout comme la Chine. C’est une situation perdant-perdant. Et n’oubliez pas que la Chine a averti qu’une attaque américaine totale contre Huawei entraînerait l’expulsion de Boeing du pays qui devient le plus grand marché de l’aviation au monde, et entraînera également des centaines de milliards de pertes pour cette société, et cela va probablement l’enterrer sous Airbus. La Chine a besoin de beaucoup d’avions jusqu’en 2028, date à laquelle elle les remplacera par les siens, d’une valeur de centaines de milliards de dollars. Élever Airbus au-dessus de Boeing, qui connaît déjà de gros problèmes, sera un coup dur pour l’industrie aérospatiale américaine.

La Chine a donc aussi des cartes à jouer. Sur la question des États-Unis qui obligent certains pays à interdire Huawei, c’est à nouveau une situation perdant-perdant. Les États-Unis et certains de leurs alliés perdront en raison de l’utilisation d’équipements 5G plus coûteux, et mettront plus de temps pour construire leurs réseaux. Donc, la Chine perd, et les États-Unis et certains alliés perdent aussi, mais en termes relatifs, les choses ne changent pas en termes de pouvoir, car ils perdent tous les deux. N’oubliez pas que l’Allemagne a déclaré qu’elle continuerait à utiliser des équipements Huawei, et c’est la plus grande économie d’Europe :

Les trois principaux opérateurs de télécommunications allemands, Deutsche Telekom, Vodafone et Telefonica, ont activement promu la 5G ces dernières années. Ils mettent en œuvre une stratégie de «diversification des fournisseurs» et utilisent les équipements Huawei dans leurs réseaux parmi d’autres fournisseurs. Peter Altmaier, ministre allemand de l’Économie, a déclaré le 11 juillet au Frankfurter Allgemeine Zeitung que l’Allemagne n’exclurait pas Huawei du déploiement du réseau 5G du pays. « Il ne peut y avoir d’exclusion que si la sécurité nationale est manifestement menacée. Cependant, nous renforcerons nos mesures de sécurité, quel que soit le pays d’origine des produits », a déclaré Altmaier. « Il n’y a pas de changement dans la position de l’Allemagne », a déclaré le 16 juillet un porte-parole du ministère de l’Intérieur du pays.

Nous pouvons donc dire que très probablement la moitié de l’Europe utilisera Huawei. Pourtant, comme vous l’avez dit, une grande partie du monde l’exclura. Peut-être la moitié du PIB mondial. Malheureusement, les choses ne sont pas parfaites. Un point positif en cela est que Huawei parie sur les marchés émergents et que ceux-ci ont des taux de croissance plus élevés que les marchés occidentaux – c’est-à-dire qu’ils auront plus d’importance à l’avenir.

Je conviens que les États-Unis nuisent à la Chine, mais les dommages ne sont pas importants à mon avis, car ce sont principalement des situations perdantes où le pouvoir relatif reste le même. Et avec le temps, il y aura également des dommages importants pour les États-Unis, comme la perte du plus grand marché des puces et de l’aviation et la montée en puissance des concurrents de Boeing tels qu’Airbus.

Donc ce n’est pas si mal que ça pour la Chine. Ainsi, après avoir mentionné tout cela, je ne pense pas que Pompeo renifle l’odeur du sang et cherche à attaquer la jugulaire. Ce n’est pas tellement la vulnérabilité de la Chine qui attise la colère de l’élite américaine, mais plutôt l’affaiblissement des États-Unis, et ce que la Chine gagne pendant la crise de la Covid.

À Hong Kong, la Chine n’avait aucune option. C’était une situation perdante. Si elle permettait le statut-quo, il y aurait eu une révolution de couleur permanente à la une des médias. Il vaut peut-être mieux arrêter cela une fois pour toutes. Ils espéraient que la crise de la Covid leur donnerait une couverture pour ce faire. Cela n’a pas très bien fonctionné.

Malheureusement, il est vrai que la stratégie Trump d’intimidation fonctionne souvent. On suppose que cela devrait avoir un coût pour les États-Unis en matière de relation publique dans l’opinion mondiale, mais nous ne le voyons pas. Je suppose que la plupart des pays du monde sont trop lâches et préfèrent suivre le courant. Ils abandonneront les États-Unis seulement après que ceux-ci auront irrémédiablement perdu. Eh bien, ce n’est pas une situation facile. Les réactions américaines sont très fortes, et haineuses, précisément parce que les choses ne sont toujours pas bonnes pour eux et que leur déclin se poursuit, indépendamment de certaines victoires tactiques – à la Pyrrhus, où dans certains cas, c’est de toute façon une situation perdante.

Les données montrent une baisse significative pour les États-Unis.

  • 2019 Chine 1,27 fois plus élevée en Parité de pouvoir d’achat (PPA)
  • 2030 Chine 1,8 fois plus grand en PPA
  • Dette américaine / PIB en 2019 :   80%
  • Dette américaine / PIB en 2030 : 125%
  • Dette américaine / PIB en 2050 :  230%

Le Highway Trust Fund (HTF) sera épuisé d’ici 2021, le fonds fiduciaire Medicare Hospital Insurance (HI) au début de 2024, le fonds fiduciaire Social Security Disability Insurance (SSDI) dans les années 2020, la Pension Benefit Guarantee Corporation (PBGC), le Multi-Employer fund à un moment donné au milieu des années 2020, et le Social Security Old-Age and Survivors Insurance (OASI) d’ici 2031. Nous estimons que le fonds Social Security OASDI Trust combiné sera à court de réserves d’ici 2031.

  • Budget militaire – avant estimation Covid, et budget Trump – en 2019 : 3,2% du PIB, en 2030 : 2,5% du PIB – pourrait chuter à 2,3% du PIB grâce à Covid.
  • Dépenses discrétionnaires civiles – avant estimation Covid – en 2019 : 3,2% du PIB, en 2030 : 1,8% du PIB – chute à son plus bas niveau historique, pourrait encore baisser en raison de Covid

Cela sans parler du grand fossé social et sociétal aux États-Unis, et de la crise de la Covid en cours, qui est en grande partie réglée en Chine. Voyez-vous le déclin maintenant ? Ils ont une très bonne raison de s’inquiéter. Un déclin significatif attend les États-Unis.

Par Moon of Alabama − Le 27 juillet 2020

 

 

 

 

 

Chute de l’Empire : Londres, Washington et Paris au bord de l’effondrement

Malgré les gesticulations hystériques de l’appareil de désinformation de l’OTAN, le cœur de l’empire a démarré l’année 2019 dans un état de chaos intégral.

 

Washington, Londres et Paris — les trois capitales de l’Empire — sont aujourd’hui effectivement en panne de gouvernance, paralysées, au bord de l’effondrement ou assiégées par leur propre peuple.

 

Les Némésis qu’elles se sont elles-mêmes choisies —Moscou et Pékin — ont entre-temps porté un toast à la nouvelle année dans un état d’optimisme et de confiance en soi considérables. Ce sont les faits, ce sont les informations.
Commençons par le sommet de l’Empire. Le gouvernement des États-Unis a fermé ses services fédéraux dans un contexte de paralysie politique et de tirs de barrage intergouvernementaux.[1]
Le secrétaire à la défense, « Mad Dog » (« chien fou ») Mattis, a démissionné, tout comme d’autres subalternes en uniforme en colère contre la détermination retrouvée du président à se retirer de guerres étrangères coûteuses et perdantes. Le véritable « chien fou » — John Bolton — défie ouvertement le président Trump sur la Syrie, Mueller se rapproche de son but[2] et la nouvelle majorité démocrate à la Chambre se prépare à « destituer ce fils de p**e ».
Personne ne sait si le président Trump sera encore là longtemps, mais un simple regard sur son successeur possible — le vice-président Mike Pence — rappelle la célèbre image du président Nixon avec son vice-président, Spiro Agnew, debout derrière lui. La légende de l’image montrait Nixon qui pointait par-dessus son épaule et disait : « Personne ne va me tirer dessus avec ce type comme successeur. »
Theresa May
À Londres, la Première ministre britannique Theresa May est un cadavre ambulant ; la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne est encore dans un flou total, à 80 jours à peine de son entrée en vigueur. Des violences ont commencé à éclater à l’extérieur du Parlement, aucune faction n’a de majorité, aucune élection ne peut avoir lieu parce que son résultat le plus probable serait l’élection de Jeremy Corbyn, un anti-impérialiste chevronné que « l’État profond » préférerait arrêter (ainsi que votre serviteur, selon l’appareil à coups d’État appelé « Integrity Initiative » [3]).
Un Brexit sans accord paralyserait le sud de l’Angleterre, faute de préparation. Une fois à l’arrêt, les camions en provenance et à destination du continent transformeraient le Kent, le « Jardin de l’Angleterre », en parking géant.
Le « Brexit » purement cosmétique concocté par Theresa Mayne pourra pas être adopté par la Chambre des communes, la semaine prochaine, étant donnée l’opposition des travaillistes, d’au moins cinquante députés du gouvernement et des dix membres des partenaires de la coalition des Tories, le DUP.
La troisième option, un nouveau référendum, risque de déclencher le même scénario que dans les rues de Paris et les autres villes françaises (qui est au passage presque entièrement occulté par la presse britannique). Défier le résultat du premier référendum, déposséder 17,4 millions de personnes des résultats de leur vote, c’est mettre en danger la paix sociale en Angleterre. Des millions d’électeurs du Brexit comptent parmi ceux qui, en Grande-Bretagne, n’ont plus rien à perdre.
En France, l’Élysée est devenue la Bastille de Macron et il n’est pas du tout inconcevable qu’elle soit prise.
Le week-end dernier, son propre porte-parole a dû être évacué en catastrophe par une porte arrière après qu’un véhicule de chantier détourné par des manifestants ait défoncé la porte cochère de son immeuble gouvernemental. Les conditions mêmes que Macron s’était tant acharné à créer à Damas et que la France avait aidées à créer à Kiev font maintenant trembler les fondations de la République française .
Aucun « œil de Nelson » – dans un célèbre épisode de la Bataille de Trafalgar, quand l’amiral anglais Nelson avait appris que la marine française avançait à sa rencontre, il avait collé son télescope au bandeau noir qui cachait son œil manquant et avait dit « Je ne vois aucun bateau » – ne changera le fait que, pendant huit semaines, des centaines de milliers de Français de toutes allégeances politiques se sont retrouvés dans les rues des villes du pays pour exiger à cor et à cri la démission de leur président. Et le fait que Macron fasse pleuvoir des euros sur les Champs-Élysées – en contravention absolue des règles fiscales de l’UE — n’a fait qu’encourager « les autres » à continuer à manifester.
Gilets jaunes italiens.
Cette semaine, le gouvernement italien, membre de l’UE (et de l’OTAN) s’est joint aux Gilets jaunes, avec l’Italien Salvini dénonçant personnellement le président français qui « gouverne contre son peuple. »
Ce samedi, une manifestation gigantesque est prévue à Londres pour porter sur la place publique les mêmes exigences anti-austérité contre le gouvernement britannique que celles des Gilets jaunes contre Macron.
Le centre de l’Empire ne peut pas tenir.
L’ancien ordre se meurt, le nouvel ordre n’arrive pas à naître. Si nous ne faisons pas attention, nous serons bientôt au temps des monstres. [4]
Un article de George Galloway
(Il a été membre du Parlement britannique pendant presque trente ans. Il présente des émissions de radio et de télévision (y compris sur RT). C’est un célèbre réalisateur, écrivain et tribun.)

Notes de la traduction :

[1] Un « partial government shutdown », une fermeture partielle des services fédéraux des USA, a été décrétée pour une durée de 19 jours en réponse à l’opposition du Parti démocrate à la construction du mur de Trump.

[2] L’enquête de Mueller, dite « Russiagate » et menée depuis le 17 mai 2017, cherche à établir la preuve d’une collusion entre la Russie et Trump dans le but de le faire élire. En l’absence de preuves formelles, elle a élargi le champ de ses investigations etinculpé plusieurs personnes de l’entourage de Trump sous divers chefs d’accusation, dont des fraudes fiscales et bancaires, des mensonges sous serment, du blanchiment d’argent, de la subornation de témoins, du détournement de fonds, des financements étrangers illégaux, etc. Il semble que ces derniers jours, l’enquête ait révélé l’existence d’un milliardaire russe devenu informateur du FBI sous Obama, et qui serait lié à Trump. A suivre.

[3] « Integrity Initiative » : A la suite de fuites, les Britanniques ont eu la surprise de découvrir, il y a quelques semaines, que les méga-campagnes de diabolisation contre Jeremy Corbyn, RT, la Russie, etc, qui faisaient les Unes de leurs médias avaient été organisées par le gouvernement britannique… sur l’argent des contribuables.

[4] Allusion à la célébrissime citation d’Antonio Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Source: RT sous le titre Fall of Empires: London, Washington & Paris on brink of collapse (by George Galloway)

Detroit: La mort de la civilisation occidentale

 

Avis aux Justin Trudeau et autres néolibéraux  corrompus de part ce vaste monde:

Quiconque doute de l’effet à long terme de l’inondation du Premier Monde par le Troisième, n’a pas besoin de chercher plus loin que Detroit, où un nouveau rapport a révélé que près de la moitié des adultes de la ville sont «analphabètes fonctionnels» et essentiellement incapables de opérer dans une société normale.

 Le rapport, publié par le « Detroit Regional Workforce Fund » (un partenariat gouvernement-secteur privé mis en place par des libéraux aveugles), a déclaré que « l’Institut national pour l’alphabétisation estime que 47% des adultes à Detroit sont fonctionnellement analphabètes, se référant à l’incapacité d’un individu à utiliser la lecture, la parole, l’écriture et les compétences informatiques dans des situations de la vie quotidienne.

«Généralement, les adultes qui obtiennent un score de niveau 1 (sur une échelle de 1 à 5, du plus bas au plus élevé) ont des difficultés à accomplir des tâches quotidiennes telles que repérer une intersection sur une carte, lire un article sur un bon de commande, « continua-t-il.

Le rapport a admis que les niveaux choquants d’analphabétisme ne pouvaient pas être expliqués uniquement par un manque d’éducation secondaire.

« Nous savons également que sur les 200 000 adultes analphabètes fonctionnels, environ la moitié ont un diplôme d’études secondaires ou GED, ce problème ne peut pas être résolu uniquement par l’achèvement des études secondaires adultes », ont déclaré les libéraux déconcertés.

En outre, selon le rapport, ces chiffres sont des «agrégats et communiquent un problème à l’échelle de la ville. Nous savons également que certains quartiers et secteurs de recensement de la ville comptent des concentrations plus importantes d’adultes analphabètes fonctionnels et / ou qui n’ont pas de titres de compétences en éducation.

Le rapport ignore l’évidence: Detroit est maintenant une ville «noire», et a été complètement détruite après que les blancs aient été chassés par une combinaison d’horribles niveaux de criminalité noire, de normes effondrées et d’une bureaucratie inefficace. En un mot, les Blancs ont trouvé qu’il était impossible de vivre dans une région où il n’y a plus aucun semblant de fonctionnement de la société occidentale moderne occidentale.

* Le taux de criminalité violente de Detroit est l’un des plus élevés des États-Unis. Le taux de criminalité officiel est de 62,18 pour 1000 habitants pour les crimes contre les biens, et de 16,73 pour 1000 pour les crimes violents (contre 32 pour 1000 pour les crimes contre les biens et 5 pour 1000 pour les crimes violents). Les registres officiels montrent également que jusqu’à 70% des homicides sont liés à la drogue.

* Le crime noir a couru toutes les dernières grandes épiceries de Detroit. Le vol à l’étalage, le vol de stocks et les conditions inopérables du tiers-monde ont vu le dernier grand magasin, Farmer Jack, partir en 2007. Depuis lors, Detroit, l’une des plus grandes villes américaines, n’a pas de magasin d’épicerie dans les limites de la ville.

* De vastes zones de la ville sont complètement détruites et se trouvent dans des ruines, faisant de cette industrie prospère de l’industrie automobile américaine, une friche qui ressemble à une zone de guerre.

Et la raison de tout cela?

Selon le recensement de 2010 du Census Bureau américain, 1,23% de la population de Detroit est asiatique, 81,84% est noire, 10,42% est blanche et 6,51% est «autre». Fait intéressant, la population «hispanique», qui pourrait être de n’importe quelle race, est compté comme 6.56%, quoi que cela puisse signifier.

Le changement de la mer raciale à Detroit fournit la clé pour comprendre l’effondrement dans cette ville.

En 1930, 92,3% de la population de Detroit était blanche.

En 1940, 90,8% de la population de Detroit était blanche.

En 1950, 83,63% de la population de Detroit était blanche.

En 1960, 70,8% de la population de Detroit était blanche.

En 1970, 56,0% de la population de Detroit était blanche.

En 1980, 35,7% de la population de Detroit était blanche.

En 1990, 22,2% de la population de Detroit était blanche.

En 2000, 12,3% de la population de Detroit était blanche.

Et en 2010, la population blanche a chuté à environ 10%, bien que ce chiffre inclura sans doute aussi les «Hispaniques» et les Moyen-Orientaux.

La destruction de la ville autrefois grande de Detroit dans un trou du Tiers Monde est l’un des aperçus les plus évidents dans l’avenir de la civilisation occidentale si les tendances démographiques raciales actuelles se poursuivent.

Seuls les aveugles volontiers ne verront pas…et encore moins ceux qui ne voient que des Licornes et des arc-en-ciel partout!

 

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