These guys are getting more and more abusive every day – and there is no sign that the trend is slowing.
By tolerating drug laws – originated by criminals like Richard Nixon and Ronald Reagan, and expanded by coke heads like Bill Clinton and George Bush Jr – we’ve also allowed the building of a police state where police can pretty much anything they want in pursuit of the « War on Drugs. »
The profit in arresting and harassing law-abiding people is huge.
Cops who engage in this – and the judges that enable it – are thugs pure and simple.
Le Maître d’oeuvre de la gérance du crime organisé au Québec et l’héritier des manoeuvres de John james Charest,Philippe Couillard,l’espion bien payé ,le loup qui criait aux loups et l’arroseur arrosé.
Les décisions de John James Charest
Québec — Les importants surplus d’électricité avec lesquels Hydro-Québec est aux prises sont entièrement imputables aux achats que lui a imposés par décret le gouvernement Charest. Leur coût : 1,5 milliard de dollars qui gonfleront la facture d’électricité des Québécois d’ici la fin de la décennie.
C’est ce qu’a révélé mardi le p.-d.g. d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, en commission parlementaire lors de l’étude des crédits du ministère des Ressources naturelles.
Dans la planification d’Hydro-Québec, dès 2007, « on établissait qu’on n’avait plus aucun besoin », a indiqué Thierry Vandal. C’était après le contrat visant la centrale au gaz de TransCanada Énergie à Bécancour en 2002 et après les grands appels d’offres en énergie éolienne de 1000 MW et de 2000 MW en 2003. Qui plus est, la fermeture de plusieurs usines de pâtes et papier en 2007 et la récession de 2008-2009 ont entraîné une chute marquée de la consommation industrielle d’électricité.
Or, le gouvernement Charest en a rajouté en 2009, lançant des appels d’offres en biomasse et en éolienne communautaire tout en créant un programme de petites centrales hydrauliques.
Ces approvisionnements en trop, de l’ordre de 24 TWh entre 2013-2020, équivalent grosso modo aux surplus d’électricité de 21,4 TWh qu’Hydro-Québec doit supporter, a expliqué le p.-d. g.
« Les décisions sur les approvisionnements d’électricité n’ont pas été le fait d’une planification des besoins d’Hydro-Québec, mais le fait de décisions – que l’on respecte comme société d’État, bien sûr – de développement industriel de la part du gouvernement », a-t-il souligné.
Ces surplus entraîneront des coûts de 1,5 milliard de dollars répartis sur les sept prochaines années, une facture qu’Hydro-Québec refilera à ses clients québécois. « Ça va rentrer graduellement dans les tarifs au fur et à mesure que les projets entrent en service », a signalé Thierry Vandal. À compter de 2020, compte tenu de la croissance de la demande, la société d’État ne sera plus en surplus, selon ses prévisions.
Dans cette optique, Thierry Vandal a salué la décision du gouvernement Marois de mettre un terme au programme des petites centrales, « une bonne décision », a-t-il dit.
Des propos choquants
Lors de la période de questions à l’Assemblée nationale, la députée de Laviolette, Julie Boulet, a défendu un des projets de petites centrales, celui de Manouane Sipi mené par la municipalité de Lachute et la communauté autochtone Weymontachie. « S’il y a des sauvages dans ce dossier, les sauvages sont devant nous », s’est écriée la députée libérale en pointant les banquettes du gouvernement. Elle citait un article du journal Le Nouvelliste, a-t-elle mentionné. Le président l’Assemblée nationale, Jacques Chagnon, n’entendait pas à rire et lui a demandé de retirer ses propos.
En guise de réponse, la ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, a affirmé que pour chaque million de revenus tirés de ces petites centrales par les communautés, il en coûtait quatre millions à Hydro-Québec.
En point de presse, Julie Boulet, accompagnée du député de Brome-Missisquoi, Pierre Paradis, s’est présentée avec le maire de La Tuque, Normand Beaudoin, qui a fait valoir les qualités du projet.
Pour sa part, Pierre Paradis a défendu la décision du gouvernement Charest de faire du développement économique en faisant casquer Hydro-Québec. « Des surplus, ce n’est pas la fin du monde. Ça en prend pour créer de l’emploi, ça en prend pour développer l’économie », a-t-il dit, en ajoutant que c’était là la façon libérale de considérer l’économie.
LA VISITE DE L’UPAC À L’HYDRO QUÉBEC
Par ailleurs, interrogé par le député caquiste François Bonnardel, Thierry Vandal a reconnu que des enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) s’étaient présentés dans les bureaux d’Hydro-Québec et ont posé des questions sur l’octroi des contrats par la société d’État. L’UPAC a aussi dépêché ses enquêteurs sur le chantier de la Romaine. « Que l’UPAC s’intéresse à un projet ou à des contrats particuliers, c’est normal. On va fournir l’information », a-t-il dit. « Nos pratiques sont robustes et diversifiées. »
Que ceux et celles qui ont voté libéral et qui sentent qu’ils (elles) ont perdu la face,se fassent hara kiri!
Les citoyens et citoyennes du Québec s’apprêtent à aller voter en donnant un chèque en blanc à n’importe lequel des scénarios possibles…Jugez par vous -mêmes:
L’avocate de l’ancien ministre libéral Marc-Yvan Côté a obtenu que de nouveaux documents d’enquête policière concernant le Parti libéral du Québec (PLQ) restent secrets jusqu’après les élections provinciales de lundi.
Le 27 février dernier, les enquêteurs de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ont mené une perquisition au domicile de Côté, qui a été ministre sous le gouvernement libéral entre 1985 et 1994, puis vice-président au développement des affaires pour la firme de génie Roche.
Peu de temps après, un consortium de médias, dont Groupe TVA, Radio-Canada et Le Soleil, s’est adressé aux tribunaux pour obtenir une copie des affidavits présentés par les policiers en soutien à leur demande pour obtenir un mandat de perquisition chez Côté.
Deux mandats cachés
Or, Me Suzanne Gagné, qui représente l’ancien élu libéral, a demandé et obtenu du juge Rémi Bouchard une ordonnance de non-publication concernant ces documents, jusqu’au 11 avril. Radio-Canada et Le Soleil ne se sont pas opposés à cette demande. Elle souhaitait protéger son client si des éléments pouvant porter atteinte à sa réputation étaient publiés.
Mercredi, Le Journal a obtenu copie des affidavits. Mais ce n’est que le 11 avril, à 17h, que tout le contenu lisible dans ces documents caviardés pourra être dévoilé au grand jour.
Un autre affidavit de l’UPAC, qui vise la perquisition à la permanence du PLQ, doit quant à lui rester secret jusqu’au 14 avril.
Commission Charbonneau
Le Journal a tout tenté pour dévoiler le contenu de ces documents avant l’élection, sans succès. Leur publication précédant l’heure prescrite par le juge pourrait être passible d’accusations d’outrage au tribunal.
Malheureusement pour les électeurs, l’information contenue dans cet affidavit ne pourra être connue avant le scrutin du 7 avril.
Les Québécois doivent également attendre après l’élection pour entendre la suite des témoignages devant la commission Charbonneau, qui s’apprêtait à aborder la question du financement politique provincial.
Le 5 mars, la commission a annoncé l’interruption de ses travaux pour un mois, en justifiant qu’elle «ne voudrait pas influencer d’une façon ou d’une autre l’électorat».
Aucune accusation n’a encore été déposée dans les dossiers de l’UPAC qui concernent le PLQ.
Marc-Yvan Côté plusieurs fois visé
►Devant la commission Charbonneau, l’organisateur politique Gilles Cloutier a expliqué avoir eu l’aval de Marc-Yvan Côté, vice-président chez Roche, pour organiser des dizaines d’élections clé en main, dans les années 1990 et 2000. Les stratagèmes de financement illégal décrits par Gilles Cloutier étaient la norme plutôt que l’exception, selon son témoignage devant la juge Charbonneau.
►Marc-Yvan Côté a également été une des figures marquantes de la commission Gomery sur le scandale des commandites.
► En 2005, lors de cette enquête publique, Côté a avoué qu’il avait reçu 120 000$ comptant destinés à du financement politique illégal pour le compte du Parti libéral du Canada (PLC). Plus tard, ces révélations lui ont valu d’être banni à vie du PLC.
………………………………………………………………………………………………………….
L’enquête de l’UPAC sur l’Hôpital général juif sera aussi connu plus tard
L’Hopital Général Juif de Montréal
L’émission Enquête d’ICI Radio-Canada a appris que l’Unité permanente anticorruption (UPAC) enquête à l’Hopital général juif. Une affaire qui a mené récemment à la démission de deux cadres de la haute direction.
Les seuls qui ont accepté de dénoncer publiquement ce dont ils ont été témoins à l’Hôpital général juif sont des ouvriers. Ils travaillaient pour une entreprise qui avait un contrat d’entretien avec l’hôpital – R.A. Rénov-Action – et d’autres compagnies qui gravitaient autour.
Roberto Astorga
Alors qu’il oeuvrait à l’hôpital, Roberto Astorga s’est rendu travailler chez certains cadres de la haute direction, dont Kotiel Berdugo.
Roberto Astorga : « Il [Kotiel Berdugo] a tellement aimé mon travail qu’il m’a recommandé pour aller peinturer chez ses parents. On avait peinturé l’appartement au complet. »
Question : « Et ça, c’était pendant votre temps de travail à l’hôpital? »
Roberto Astorga : « Ben, on devait remplir le rapport comme si on était à l’hôpital. »
M. Berdugo dit que ce n’est pas l’hôpital qui a payé ces travaux, une information impossible à vérifier puisque ceux-ci ont été réglés sans factures, en argent comptant. Une enquête interne a été déclenchée à la suite de cette histoire.
Kotiel Berdugo
Selon nos informations, l’UPAC s’intéresse aussi à la construction de la nouvelle salle d’urgence, logée dans le pavillon K, où d’autres irrégularités ont été découvertes.
Plusieurs des compagnies qui ont participé à la construction du pavillon K se plaignent d’avoir perdu de l’argent sur le chantier.
Mais une seule aurait été dédommagée à l’époque. Et c’est grâce à de fausses factures que nous avons obtenues : 50 000 $ pour une chambre de patients et une autre pour une salle de procédure qui n’ont jamais existé.
Les factures ont été fabriquées à la demande du directeur du développement immobilier Philippe Castiel.
Les deux cadres ont démissionné dans la controverse. Leurs révélations ainsi que celles obtenues au cours de l’enquête interne pourraient éclabousser d’autres joueurs. Le ministère de la Santé et des Services sociaux suit l’affaire de près.
François Legault,le plan B des Illuminati au Québec…en cas de défaillance des libéraux.
1) NOUS PRENEZ-VOUS POUR DES CAVES ?
Quand vous essayez de traumatiser la population avec la dette qui s’accroît continuellement », à nulle part vous faites référence à la responsabilité des entreprises dans l’accroissement de cette dette : de 1964 à 2004, la contribution des entreprises aux recettes fiscales du Québec est passée de 38% à 12% et n’a cessé de décroître depuis ce temps. En résumé, ces entreprises paient aujourd’hui 42% moins d’impôts qu’il y a quarante ans, alors que leurs bénéfices ont triplé. Vous nous prenez pour des caves ?
2) LES RETOURS D’ASCENSEURS SONT-ILS EN VENTE ?
Avocats, comptables, et professionnels de tout acabit, achètent déjà à rabais des retours d’ascenseur en vente libre au marché de la CAQ de Legault et Sirois. Des employés d’Ernst & Young ont donné 10 000$ à la CAQ, 46 avocats de la firme de Mario Charpentien, BCF, ont aussi grassement collaboré, etc.
Ces renseignements démontrent aussi que certaines contributions n’étaient pas conformes à la Loi sur le financement des partis politiques. Concernant la liste des donateurs rendue publique, puis retirée ensuite, des faits «louches et bizarres» choquent les militants de la CAQ et font peur à plusieurs. Par exemple : deux Montréalais, Winston Chan et Martin Cossette, se trouvent dans cette liste alors qu’ils jurent ne pas avoir donné un sou à la CAQ.
La liste rendue publique, remplacée dès le lendemain, «contenait des informations voilées, à la fois personnelles et, aussi, intrigantes». Ainsi, 157 donateurs n’ont tout simplement pas d’adresse, «alors que d’autres semblent résider à leur bureau», observe le PLQ. On note aussi que, dans une colonne, certains dons se voient attribuer une cote, S ou C. «Cela disait si le don avait été fait sur le site internet (S) ou par chèque (C)», a expliqué Jean-François Del Torchio, attaché de presse de M. Legault.
Enfin, une centaine de dons totalisant 36 000$ sont marqués de la mention «de FL et CS», probablement François Legault et Charles Sirois. «C’est une note que s’était mise le comptable pour inscrire les contributions de MM. Legault et Sirois, qui n’ont pas dépassé 1000$ chacun», a dit M. Del Torchio. Vous nous prenez pour des caves ?
3) PEUT-ON FAIRE CONFIANCE À LEGAULT & SIROIS ?
46 importants donateurs venaient du même bureau d’avocats, BCF, à Montréal, dont l’un des dirigeants est Mario Charpentier, un ex-président de l’ADQ, et membre de l’exécutif de la CAQ.
Suite à la liste qui est sortie par erreur des bureaux de la CAQ, incluant noms et adresses des compagnies de certains donateurs, la CAQ a fait retirer ces informations du web le plus vite possible. Mais j’ai pu récupérer une bonne partie de cette liste très embarrassante pour Legault et Sirois.
Dans cette liste de donateurs au mouvement et/ou au parti de la CAQ, nous retrouvons le même système et style que les donateurs du PLQ, soit des gens du secteur de la construction, des gens ayant trempés près du scandale des commandites, plusieurs italiens reliés au PLQ et au PLC, des gens du milieu bancaire, des membre du CA de Quebecor, des gens d’affaires près de Charles Sirois et de François Legault, bref, une belle brochette d’individus.
J.-M. Aussant s’interroge.
Selon J.-M. Aussant, en analysant une nouvelle liste communiquée par la CAQ, Option nationale a en outre constaté que certains noms, qui apparaissaient dans la première liste diffusée par la CAQ en août dernier, ont disparu. « De plus, nous avons constaté que le document joint dans les premières heures au communiqué a changé dans la soirée. Parmi ces changements, au moins un montant de contribution avait été revu nettement à la baisse, passant de 2 500 $ à 250 $. Il y a donc lieu de se questionner sur la fiabilité des informations communiquées », de dire Aussant.
En décembre dernier, Jean-Martin Aussant interrogeait le DGEQ sur l’éventuel irrespect de l’esprit de la loi par la CAQ, même si cette loi pouvait être respectée sur papier. Les faits semblent lui donner raison aujourd’hui. Grâce à l’utilisation d’un OSBL, plusieurs personnes auront donné, au total, davantage que les 1 000 $ permis aux partis politiques. Ironiquement, ces personnes incluent les deux cofondateurs de la CAQ eux-mêmes, François Legault et Charles Sirois, ainsi que leurs proches collaborateurs Martin Koskinen et Dominique Anglade.
« On comprend bien maintenant pourquoi François Rebello comparait fièrement son nouveau chef au candidat américain Mitt Romney : l’argent semble être pour eux la principale voie vers le pouvoir. Mais ce n’est certainement pas le meilleur message à envoyer à la population pour les inciter à voter avec enthousiasme », a conclu Jean-Martin Aussant.
Vous nous prenez pour des caves ?
5) LA CAQ EST-ELLE UNE BRANCHE DU PLC ?
La vieille gang du PLC semble s’être bien nichée, doucement mais sûrement, derrière la CAQ de Legault et Sirois. Nous savons que le porte-parole officiel de la CAQ est nul autre que J.-F. Del Torchio, ce même individu qui a été sur la liste de paye du gouvernement fédéral jusqu’au 2 mai dernier. Il travaillait depuis plus de 7 ans pour le Parti Libéral du Canada, donc, sous Paul Martin, Stéphane Dion et Michael Ignatieff. C’est un secret de polichinelle de savoir que la grande famille du PLC sont tous intimes et reliés au le clan Desmarais.
Pourquoi pensez-vous que Charle Sirois se fait très discret ces temps-ci, que François Legault n’ose plus associer le nom de Sirois à son parti et que les grands médias se prêtent même à ce jeu malhonnête ? Nous savons tous que Charles Sirois est l’un des instigateurs principaux de ce mouvement qui est devenu un parti. Nous savons aussi que Charles Sirois est le Président du conseil d’administration de la Banque CIBC, Banque qui traite beaucoup entre autres avec Carlyle group – Clan Desmarais (voir schéma et lien pantin). http://www.vigile.net/Les-jeux-sont-faits-Un-pantin
Mais nous savons aussi qu’un des principaux secteurs d’activité de Sirois et sa famille, est dans le domaine de la santé. Pourquoi croyez-vous, tout à coup, que Legault veut recruter un medecin – pour son ministre de la santé – qui soit assez à droite et pro-privé en soins de santé ? Voilà la réponse : redonner au clan Sirois un retour sur son investissement. L’homme d’affaires Sirois et plusieurs de ses compagnies, dont Telesystem et Placements Charles Sirois, sont les actionnaires de contrôle de Plexo , une entreprise qui exploite des cliniques privées, spécialisées en santé au travail. Source : Argent/Canoë ::http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/06/20110601-061214.html
Charles Sirois est le président du conseil de la banque CIBC, et lorsque nous regardons de plus près nous constatons que John P. Manley, ex-ministre sous Jean Chrétien, est aussi de ce conseil avec Charles Sirois. Notez que Charles Sirois est le plus vieux en temps sur le CA de la CIBC, ce dernier est en poste depuis 1997 – Donc relié à Jean Chrétien, et encore une fois, au clan Desmarais.
Il ne faut pas oublier que Charles Sirois a toujours aussi été très près de Jean Charest. Sirois a été responsable du recrutement des candidats libéraux lors de l’élection de 1998. Et François Bonnardel de l’ADQ le dénoncait en 2009 – pourtant ce même Bonnardel l’appui aujourd’hui… Que doit-on penser ?
Et ne pas oublier un autre richissime fédéraliste libéral qui est tout près de Charles Sirois : Jerry Tarasofsky, grand financier du B’nai Brith Senior Residence à Côte Saint-Luc ainsi que créateur d’un lodge B’nai Brith pour les diplômés de McGill. Tarasofsky est aussi sur le CA de iPerception avec le clan Sirois.
Charles Sirois ,ce qu’on appelle un dangereux criminel en collet blanc.
Charles Sirois, suite à son travail réussi pour le PLQ, et l’élection de Jean Charest, reçu en retour près de 2 millions de dollars en subvention des programmes FIER du PLQ. Nous voyons encore le retour d’ascenseur vers les amis du parti. Croyez-vous que Charles Sirois n’a pas rien planifié de pareil avec Legault, eux qui sont des amis de l’argent et des profiteurs du système avant tout ??? Voyez la source : Y. Chartrand – Rue Frontenac :: http://www.vigile.net/L-ADQ-implique-Charles-Sirois-dans
Extrait Du Voir- Les têtes à CAQ > Je critiquerais bien le fond et la substance du programme politique en le comparant à ce que nous offre déjà TOUS les partis souverainistes sans exceptions, même celui d’Aussant, qui est pourtant le seul de sa bande au parlement, mais l’Abrasif recruté par Legault et ses copains du PLC n’ont pas encore fini de nous concocter leur catalogue de promesse printemps-été 2012… Désolé. Ça viendra et, alors, on verra, comme dirait l’autre. Et à ce moment-là, on séparera les hommes des enfants. Ceux qui prennent leur ambitions démesurées pour des réalités incontournables… et ceux qui prennent des risques afin d’ajuster leur discours au désirata de la population. Article complet ici :: http://me.voir.ca/steve-boudrias/2012/01/31/les-tetes-a-caq/
Extrait DU Voir – J.-F. Lisée François Legault est allé dire à l’émission Le verdict, donc devant plus d’un million de personnes, que le revenu moyen des Québécois était de 46% plus bas que celui des Américains. Il s’agit d’un mensonge éhonté, un calcul basé sur le PIB qui ne tient compte d’aucun des éléments de la réalité économique de la quasi-totalité des Québécois… Lire la suite :: http://voir.ca/societe/2012/01/26/jean-francois-lisee-quand-la-droite-se-prend-une-droite/
Vous nous prenez pour des caves ?
La politique, c’est l’art de consulter les gens sur ce à quoi ils n’entendent rien, et de les empêcher de s’occuper de ce qui les regarde car les mensonges et la crédulité s’accouplent et engendrent l’opinion. – Paul Valéry
Pauline Marois et Claude Blanchet …il y a presque 4 ans.
Qui crache en l’air,tombe sur le nez,disait mon grand-père!
Au moment ou la charge du directeur général des élections est mise en doute par le PQ ,je me suis amusé à vérifier les archives du passé et voici ce que j’ai trouvé de peu reluisant :
En plus de sa famille immédiate, Pauline Marois a pu compter sur des contributions substantielles de plusieurs collègues de travail de son mari et de leurs proches pour financer sa campagne au leadership en 2005, révèle une recherche du Journal.
Toutes ces contributions sont légales, mais contredisent le discours du Parti québécois qui, depuis quelque temps, demande au gouvernement de ramener à 500 $ le maximum des contributions aux partis politiques. Selon le leader parlementaire péquiste Stéphane Bédard, une personne qui donne 3 000 $ à une formation politique, comme le permet la loi actuellement, s’attend certainement à quelque chose en retour.
Le mari de la chef péquiste, Claude Blanchet, est actuellement administrateur de la société immobilière Bassin Louise et actionnaire majoritaire de la Maison Cureux ltée, deux entreprises au sein desquelles on retrouve également M. Claude Gilbert.
Claude Gilbert est depuis 2012 :
Depuis 2012
Conseiller stratégique au Bureau de programme d’informatisation du réseau de la santé et des services sociaux
Ce dernier, qui a été chargé de la vérification à la Société générale de financement de 2000 à 2002 à titre de premier vice-président chez PriceWaterhouse Coopers, a contribué à hauteur de 2 500 $ à la campagne de Mme Marois, en 2005.
Contribution d’une mineure
La fille de Claude Gilbert, qui avait alors 17 ans, a elle aussi déboursé 2 500 $ pour encourager l’actuelle leader souverainiste. Au Directeur général des élections, on assure au Journal que puisqu’en 2005, le Parti québécois s’était lui-même assujetti à la Loi électorale pour la course à la chefferie, seul un électeur pouvait contribuer à un parti politique. C’est donc dire qu’il faut un minimum de 18 ans.
La soeur de Claude Gilbert, Hélène Gilbert, a quant à elle versé le maximum permis par la loi, soit 3 000 $; même chose pour son frère Jacques Gilbert et sa conjointe, Hélène Boissonneau, qui ont donné 3 000 $ chacun. Louis-Philippe et Yves Gilbert, deux autres membres de cette famille, ont aussi participé pour 2 895 $ et 2 995 $ à la campagne de Mme Marois.
Signalons que Claude Gilbert est aussi le frère d’Émile Gilbert, un bon ami de Pauline Marois, un architecte qui assure la présidence de la Société immobilière Bassin Louise. Ce dernier a conçu les plans pour la construction de la demeure du couple Marois-Blanchet à Saint-Augustin-de-Desmaures.
Emile Gilbert est très aimé des hauts fonctionnaires de la Capitale Nationale…la preuve,il reçoit même des prix,comme ici en 2011.
La firme d’architecte d’Émile Gilbert – Bélanger, Beauchemin, Gilbert, St-Pierre, architectes – s’est vu octroyer plusieurs contrats importants sous le précédent gouvernement péquiste. L’entreprise fut notamment chargée de la conception du projet de construction du Centre mère-enfant du CHUL en 2000, projet évalué à 68 millions de dollars, de même que de l’agrandissement du palais de justice de Trois-Rivières cette année-là, projet de 15 millions de dollars.
Fait intéressant :une archive du Journal de Montréal concernant l’embauche de l’architecte Émile Gilbert sur le projet des Nouvelles- Casernes de la Ville de Québec , a très mystérieusement disparue…juste tout récemment.
:: LA MORT DE QUÉBEC INC :: L’ETHNOCIDE FINANCIER On ressort l’épouvantail économique pour les go-go « La caractéristique principale de notre système financier québécois était qu’il n’était pas achetable, pas vendable et que les décisions étaient prises dans le cadre de la communauté québécoise. Le Québec Inc. a été le produit de la collaboration de ces institutions avec ce qu’on a appelé la ‘‘garde montante’’ du milieu des affaires. On avait alors une vision commune des choses à faire, même si certains ne l’ont réalisé qu’après coup. CE N’EST PLUS LE CAS ! » – Jacques Parizeau
Pour ajouter aux difficultés, le gouvernement Harper et Bay Street mènent, tambour battant, une offensive tous azimuts contre les mouvements souverainiste et syndical, par le biais de la Coalition pour l’avenir du Québec de Sirois-Legault, des médias de Quebecor et de Gesca et d’organismes comme l’Institut économique de Montréal et le Réseau Liberté Québec.
Devant ces assauts, les forces souverainistes combattent en rangs dispersés, sans stratégie cohérente et sans leadership affirmé et reconnu. De plus, pour avoir été trop longtemps assis entre deux chaises, celle de la « garde montante » et celle des milieux populaires, plusieurs de leurs représentants, particulièrement les députés du Parti Québécois, sont persona non grata dans les luttes en cours.
PS LE PRIX DE L’OCCUPATION FÉDÉRALISTE Seulement 11% des actifs de la Caisse investis au Québec. PIRE ! L’extraordimaire outil de Parizeau sert désormais à financer l’industrie de la mort canuck et les ‘ti-zamis’ de la Nébuleuse… BRAVO LES SERFS !
LA CAISSE DE DÉPÔT DANS LES ARMES ET LES MINES ! En investissant dans deux entreprises qui participent à la fabrication de mines antipersonnel, la Caisse de dépôt et placement du Québec viole l’esprit de la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnelles, ratifiée par 156 pays, dont le Canada. Selon des spécialistes du droit international, elle s’expose ainsi à des poursuites. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/services-financiers/la-caisse-navigue-en-eaux-troubles/514995
La Caisse de Dépot :: »C’était » notre affaire ! Les outils que Parizeau nous a donnés sont dans les mains de ses ennemis… L’ethnocide linguistique et économique vont de pair… Par ici les caves,passez à la Caisse !
« Nos efforts auront-ils été vains? Tant de labeur et de sacrifices auront-ils été passés à profits et pertes au silence de l’Histoire ou servis de paravents à l’indifférence de citoyens sans nation, déracinés, en perte de repères, grotesques apatrides d’un monde déboussolé, sans foi ni loi, esclave du marché et de la « main invisible » qui le conduit au non-être et à l’insignifiance? « – Yves Michaud
»La langue n’est qu’un prétexte; le véritable enjeu de la lutte est l’honneur de l’homme, qui ne peut se concevoir dans l’abaissement d’un peuple au profit d’un autre. » – Jacques Ferron
Je termine en disant qu’on ne libère pas un peuple en le maintenant attaché à des valeurs esclavagistes du passé.
Michael Novak était le président du conseil de SNC-Lavalin International lorsque Riad Ben Aissa a transféré plus de 50 millions de dollars dans des comptes bancaires douteux à l’étranger.
Michael Novak était le patron avec Pierre Duhaime de l’homme aujourd’hui emprisonné en Suisse.
Selon l’UPAC et l’émission Enquête de Radio-Canada, Michael Novak a signé des documents approuvant des transferts de fonds de Riad Ben Aissa.
SNC-Lavalin et Riad Ben Aissa ont transféré 22.5 millions de dollars dans un compte bancaire appartenant à Arthur Porter afin d’obtenir le contrat du Centre Universitaire de Santé McGill ( CUSM).
La co-présidente de la compagne de Philippe Couillard, l’ex-ministre Kathleen Weil, s’est dite choquée et affirma que c’était un coup bas d’associer Philippe Couillard à Arthur Porter. ( Source: Journal de Montréal et Cogeco)
En mars 2011 soit avant que les scandales n’éclaboussent SNC-Lavalin, Michael Novak a vendu la majorité de ses actions dans SNC-Lavalin et récolta la modique somme de 13 millions de dollars en pro?t.(Source: Globe & Mail)
KATHLEEN WEIL EST L’ÉPOUSE DE MICHAEL NOVAK
L’autre co-président de la campagne de Philippe Couillard est Sam Hamad. Il était un dirigeant du Groupe Roche avant de se lancer en politique.
Philippe Couillard n’a pas peur des conflits d’intérêts. N’a-t’il pas déjà travaillé pendant 4 ans pour une dictature CORROMPUE qui finance l’islam radical à travers le monde ? Il travaillait pour ARAMCO soit l’entreprise pétrolière étatique de l’Arabie saoudite dont la famille royale tire les ficelles…
Est-ce que Robert Bourassa aurait accepté d’être nommé au comité de surveillance du SCRS à Ottawa ?
L’entreprise PORTER, COULLARD ET ASSOCIÉS a été mise sur pied le 22 juin 2010 soit deux jours avant la nomination de Philippe Couillard au SCRS en compagnie d’Arthur Porter.
Saviez-vous qu’une loi du Ministère de la Santé du Québec empêche les directeurs d’hôpitaux d’avoir d’autres emplois à l’extérieur de leur fonction et qu’ils doivent consacrer leur énergie à leur emploi ?
/Philippe Couillard devait connaitre les règlements ou la loi de ce ministère… lorsqu’il travaillait avec Porter au SCRS ou à la minière Canadian Royalties ? VOTEZ EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE ! ========================================== Le 18 août 2008, Philippe Couillard se joint à Persistence Capital Partners, à titre de partenaire du Fonds d’investissements PCP en santé27. Un fond visant à financer des initiatives de santé autant publique que privée. Il fut également, de 2011 à 2012, conseiller au Groupe Secor, une firme-conseil indépendante de stratégie au Canada.
Le 24 juin 2010. il est nommé au Comité de surveillance des activités de renseignement de sécurité (CSARS) qui exerce de l’extérieur, au nom du Parlement et du public canadien, une surveillance sur le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS).
Il enseigne la gouvernance des systèmes de santé aux étudiants de l’Université McGill, poste partagé entre les facultés de médecine et de droit.
Il est membre des conseils d’administration de deux sociétés canadiennes de biotechnologie : Amorfix Life Sciences et Thallion Pharmaceuticals, inscrites à la Bourse de Toronto (TSX).
Philippe Couillard fut également (ou est encore ) membre du conseil consultatif international mis sur pied par le ministre de la santé d’Arabie saoudite, (un pays intégriste islamiste qui applique la charia).
Le 5 avril 2011, il est nommé président du Conseil d’administration de la Fondation de recherche en santé’(FRS) des Compagnies de recherche pharmaceutique du Canada (Rx&.
D’étranges relations d’affaires dans le pays le plus corrompu d’Afrique
Regardez bien ce bureau…centrez ces armoiries au mur et reconnaissez Michael Novak .Reconnaissez le même bureau avec une panoplie de hauts gradés du FMI (version Nigéria) ,de responsables économiques du Nigéria et certaines personnes liées au ministère de l’intérieur,là-bas.
L’affaire de l’île Bizard ! Une affaire peu connue.
Triste histoire révoltante. Ceci est l’histoire de la vraie Castafiore Québécoise et du Château de Moulinsart, une saga que les médias Québécois ont toujours traités du bout des lèvres, certainement à cause de l’importance du personnage politique qui est impliqué dans cette magouille et de ses influences personnelles, ainsi que du Parti séparatiste Québécois qui a eu le pouvoir durant des années. Sur l’île Bizard, dans le Château de Moulinsart, il y a eu beaucoup de magouilles qui sont l’oeuvre du Parti indépendantiste Québècois qui, en association avec certains fédéralistes notoires, et sous la protection silencieuse des médias, se sont organisés des paradis dorés au sû et à l’insu de la grande majorité des payeurs d’impots Québécois.
La deuxième maison de l’est du Canada,en terme de coûts et de richesses.
Un beau mariage en grande pompe. Pauline Marois et Claude Blanchet sont mariés depuis 1969. En 1996, alors que Pauline Marois est ministre, son mari, Claude Blanchet avec ses associés fédéralistes, Henry Walch et Mario Grilli, achètèrent des terres agricoles de l’île Bizard qui appartenaient à l’époque à Robert Campeau (Campeau Corp. Inc) qui sombrait alors tranquilllement dans la faillite. Le mari de Pauline Marois était le « bras droit » de Robert Campeau à Ottawa, et c’est grâce à ses liens intimes avec des ministres et hauts fonctionnaires fédéraux, tels Jean Chrétien, Jean Marchand, Marc Lalonde et Michael Pitfield que Campeau Corp eut tant de succès financiers en Ontario.
Claude Blanchet ,c’est lui devant le micro.En 1991, Pauline est députée péquiste de Taillon à l’Assemblée nationale pendant que son mari, Claude Blanchet est lui, à la tête du Fonds de Solidarité (FTQ). Le FSFTQ a été créé par le PQ grâce au prêt de 10 millions obtenu par la ministre du travail d’alors, Pauline Marois. Pour ne pas éveiller de soupçons, Claude Blanchet envoie à sa place, son associé fédéraliste Henry Walch faire changer le zonage des terrains de l’île Bizard afin d’en faire exploser la valeur marchande.
Depuis ce temps-là,le Fond de Solidarité FTQ est devenu une puissance politique de la corruption.
Une élection enrichissante. En 1991, Pauline est députée péquiste de Taillon à l’Assemblée nationale pendant que son mari, Claude Blanchet est lui, à la tête du Fonds de Solidarité (FTQ). Le FSFTQ a été créé par le PQ grâce au prêt de 10 millions obtenu par la ministre du travail d’alors, Pauline Marois. Pour ne pas éveiller de soupçons, Claude Blanchet envoie à sa place, son associé fédéraliste Henry Walch faire changer le zonage des terrains de l’île Bizard afin d’en faire exploser la valeur marchande. Le changement sera accepté par le gouvernement du Parti Québécois. Le couple Marois Blanchet devient alors multimillionnaire grâce à la spéculation de terres publiques et à leur positionnement privilégié avec le pouvoir en place (PQ).
Un fauteuil en « Or ». En 1997, contrairement aux règles, c’est le cabinet du PQ, au lieu du Conseil d’administration élu, qui nommera le mari de Pauline Marois (alors Ministre des finances) au poste de Président de la Société Générale de Financement.
C’est Marois elle-même qui établira son contrat et son salaire contrairement encore, à la règle qui spécifie que ceci doit être fait par le C.A. élu. Claude Blanchet recevait alors un gros salaire en plus de recevoir des bonis sur l’argent prêté par la SGF sans considération de la rentabilité de la SGF.
Heureusement pour lui car sous sa direction, la SGF accuse une perte de plus de 500 millions $. À quelques semaines des élections, perdues par le PQ, le mari de Pauline Marois obtient une bonification de son contrat lui garantissant une rente annuelle de 90,000$ au lieu de 42,000$, s’il perdait son poste. En plus, tenez vous bien, cet avantage est transformé en pension à vie.
Le silence d’or des syndicalistes notoires ! En 1997, à cette époque là, Pauline Marois était bien Ministre des finances, non ? Curieusement, aucun syndicat ne contesta cette augmentation scandaleuse : vive la sociale démocratie ! Aujourd’hui, le mari de celle qui est devenue la Chef du Parti Québécois, est associé à de nouveaux fédéralistes notoires dans une société à capital ouvert «Perceptions inc», vous connaissez? C’est à leur château de l’île Bizard que les Marois Blanchet reçoivent somptueusement leurs nouveaux associés tels que Jerry Tarasofsky, grand financier du B’nai Brith Senior Residence à Côte Saint-Luc ainsi que créateur d’un Lodge B’nai Brith pour les diplômés de McGill comme lui. Ils ont récemment fait une grande réunion de 75 membres il y a six mois à la synagogue Shaare Zion. Avis aux syndicalistes indépendantistes qui seraient intéressés à s’inscrire au Lodge du B’nai Brith, question de rencontrer de riches alliés qui pourraient « contribuer » à leur cause, bonne chance !
Comprenez-vous le pouvoir politique des « $ociaux Démocrates du Québec» ? Lorsqu’on lit tout ça on peut comprendre que la Chef du Parti Québécois n’a aucune réticence à laisser son château pour 8.000,000 de beaux dollars en plus de ce qu’elle s’est mis de côté et à taire le plus possible, l’option fondamentale et la raison d’être de son parti. Ce qui nous intéresse le plus les Québécois maintenant, c’est de savoir si tous le monde au Québec aura une retraite aussi dorée que ce couple avide de pouvoir, car on ne peut comprendre qu’autant aux Finances avec les résultats désastreux de la SGF, qu’à l’Éducation avec la complexité du système d’évaluation des élèves et les restrictions sévères sur l’apprentissage de l’Anglais, qu’à la Santé avec la mise à la retraite prématurée des infirmières et les quotas des médecins, madame Marois ait fait une tel carrière politique, car elle a toujours prouvé sa parfaite et incomparable incompétence à diriger les affaires du pays. Par contre, elle a sûrement démontré qu’elle $avait $e $ervir de ses pouvoirs politiques pour détourner des lois et des règles à ses propres intérêts. Et $i jamais elle devait être réelue, c’est $ans doute toute l’Île Bizard au complet qu’elle pourra habiter avec tous ses… Canards !
Maintenant, des nouvelles de Perceptions inc: Le 14 septembre 2007, l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) émet un avis formel à Claude Blanchet, Barry Cracower, Jerry Tarasofsky, Denis M. Sirois, Daphne Kis, Jean Lavigueur, Martin Faucher, Daniel Taras, Richard Zeidel, Jonathan Levitt, Stephen Burns, Robert Duff Anderson, Elaine Tarasofsky, Joseph Callaghan, Adelina (Lina) Continelli, Sandra Haydon et Eric Salpeter.
——– L’AMF leur interdit d’effectuer, directement ou indirectement, toutes activités reliées à des opérations sur les valeurs de Perceptions Inc., aux motifs que l’émetteur ne s’est pas conformé aux obligations de dépôt des états financiers et du rapport de gestion relatif aux états financiers prévus au Règlement 51-102 et que ces personnes ont été administrateurs ou dirigeants de l’émetteur depuis que celui-ci a déposé ses derniers états financiers, conformément aux exigences applicables et, en tant qu’initiés de l’émetteur, ces personnes peuvent avoir été informées de tout fait ou changement important concernant l’émetteur qui n’a pas été rendu public après la date des états financiers déposés.
Vive la démocratie !!! Maintenant; • Pensez-vous que vous en saurez plus ? • Pensez-vous que vous lirez la suite dans les journaux et à la télévision comme pour Earl Jones, ou les Lacroix et compagnie ? • Pensez-vous que les célèbres «Autorités des Marchés Financiers» (l’A.M.F.) vont donner une suite à ces magouilles politiques ? Je vous laisse y réfléchir …
Moralité; «Quand c’est Bizard, c’est pas clair» !
……………………………………………………..
Pauline Marois et François Legault à l’époque ou ils travaillaient ensemble.
1994-2003 – la ministre polyvalente
Elle revient à l’Assemblée nationale en tant que députée de Taillon en 1989 et se fait réélire en 1994, 1998 et 2003.
De retour au pouvoir après l’élection générale de 1994, le premier ministre Jacques Parizeau lui confie des dossiers à la fois sociaux — le ministère de la Famille — et économiques — le Conseil du trésor, et au lendemain du référendum de 1995, le ministère des Finances.
Elle a occupé pas moins de 14 charges ministérielles, parmi lesquelles : les Finances, l’Éducation et la Santé. Elle a également occupé pendant deux ans le poste de vice-première ministre du Québec (2001-2003).
Donc, on peut encore constater que Mme Marois semble s’être servie du pouvoir qui lui était attribué afin de favoriser l’accès à son mari à des emplois bien en vue au sein de la haute fonction publique, et ce à plus d’une occasion. Dans le cas de la SGF, elle a même attribué une hausse significative du fonds de pension de son mari et en a fait une mesure applicable à vie. Un avantage plus que significatif. Le document fait mention d’un montant de 90 000$ par année, alors que Le Soleil fait état de plutôt 80 000$. Toujours est-il que l’on parle d’une augmentation d’environ 100% du montant de base en plus d’en faire une extension à vie. Le fait que d’autres dirigeants de la SGF ont par la suite obtenu des fonds de pension supérieurs n’excuse en rien le fait que Mme Marois s’est servie de son influence politique afin de favoriser sa fortune personnelle par l’entremise de son mari. Le fait que d’autres ex-dirigeants de la SGF qui ont succédé à M. Blanchet ont retiré de plus grosses pensions encore n’efface pas la gravité du geste.
Les policiers de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) se retrouvent pour ainsi dire à un battement de cœur de l’ex-premier ministre Jean Charest avec les nouvelles rondes de perquisitions menées dans les entreprises de Marc Bibeau, le président de Schokbéton.
Les documents judiciaires obtenus par les médias font état de la tenue d’une activité de financement qui aurait rapporté à elle seule 428 000 dollars… sans aucune trace officielle.
Les mots «collusion entre entrepreneurs», «contrôle des soumissions», «financement politique» et enveloppes«à remettre ou à recevoir» aux bureaux de Schokbéton reviennent dans des documents caviardés, utilisés par les enquêteurs pour obtenir de nouveaux mandats de perquisition.
Ces perquisitions, faites en novembre dernier, ont permis aux enquêteurs de saisir les ordinateurs et les serveurs de Schokbéton, ainsi que toutes les images qui auraient pu être captées par des caméras de surveillance.
Les policiers seront en mesure de déterminer les allées et venues aux bureaux de Schokbéton avec d’autant plus de précisions qu’ils ont également obtenu l’accès à des courriels et des registres d’appels téléphoniques. Sans compter qu’ils ont obtenu l’aide de quelques informateurs bien placés, de toute évidence.
Marc Bibeau, grand argentier et stratège du PLQ sous Jean Charest, a défendu son intégrité dans un communiqué. Il est vrai que les informations contenues dans les documents ne constituent pas de la preuve. Il est aussi vrai qu’aucune accusation n’a été portée contre M. Bibeau.
Le mal est fait. La campagne s’annonce longue et difficile pour Philippe Couillard. Malgré toute sa bonne volonté, il ne pourra chasser l’ombre des «années Charest».
Si l’on se fie aux informations parcellaires qui ont circulé à ce jour, le processus d’octroi des contrats provinciaux aurait été affligé des mêmes tares qu’au municipal.
Des entrepreneurs triés sur le volet se seraient entendus entre eux pour se répartir les contrats, en prenant bien soin d’inonder le PLQ de contributions illégales. Un sujet en or pour l’UPAC et la commission Charbonneau, qui se garde le meilleur pour la fin, selon mes sources.
Assisterons-nous à la campagne des morts-vivants ? Combien de squelettes libéraux seront libérés du placard d’ici le scrutin ?
(Note de l’éditeur : Cet extrait d’un livre de John Hamer, Falsification de l’Histoire : La distorsion de notre réalité (2012), montre une image perturbante de la Croix-Rouge. Je soupçonne qu’il y aurait bien d’autres choses à révéler sur cette équipe)
Par John Hamer
La Croix-Rouge Internationale est une organisation-écran sous contrôle de l’élite dont le but réel est l’opposé exact de son but déclaré.
Au moment d’une catastrophe « naturelle » comme l’ouragan Katrina, le séisme d’Haïti ou le tsunami du Japon, la Croix-Rouge inonde les ondes d’annonces pour demander des dons. Avec une musique mélodramatique en arrière-plan, un annonceur nous dit que la Croix-Rouge est ‘toujours là quand on a besoin d’elle’ et avec maintenant de pauvres victimes qui souffrent terriblement, ‘voudriez-vous s’il vous plaît ouvrir votre cœur et votre porte-monnaie ?’
Ces gens ont totalement maîtrisé la technique pour soutirer de l’argent aux masses naïves. Par exemple, la poussière provenant de l’écroulement du World Trade Center n’était pas encore retombée (littéralement) que la Croix-Rouge nous appelait à donner du sang et de l’argent pour aider les familles des victimes de l’attaque ‘terroriste’. Des milliers de gens ont donné leur sang et encore plus des millions de dollars à la Croix-Rouge. Peut-être qu’il aurait été pertinent de demander « du sang pour qui ? » Tout le monde était mort (il y a eu quelques blessés, relativement parlant) pourquoi donc la Croix-Rouge a-t-elle demandé de donner du sang jour et nuit pendant une semaine ou plus ?
La réponse reflète le réel but de la Croix-Rouge. Triste à dire que la Croix-Rouge est un ‘racketteur’ de catastrophes qui s’enrichit grâce aux malheurs des gens, spécialement avec des catastrophes totalement manigancées comme le 11 septembre. Ils revendent le sang, bien sûr, mais ils utilisent apparemment le sang aussi pour d’autres choses inavouées et on pourrait légitimement se demander où va tout l’argent et pour qui ?
Pour la plus grande partie, ils le gardent pour eux-mêmes comme le font une grande majorité d’œuvres de bienfaisance archi-connues. Les familles des victimes du 11 septembre ont dû harceler, s’acharner et menacer la Croix-Rouge pour tenter d’obtenir les 11 millions de dollars qu’ils ne voulaient pas lâcher pour les familles, un an au moins après l’événement – et on ne sait que ce qui a transpiré dans les médias, j’ai donc le sentiment que le chiffre réel était nettement plus élevé.
Le directoire de la Croix-Rouge et ses autres administrateurs reçoivent des salaires obscènes et d’énormes avantages en nature, provenant tous directement des contributeurs. À l’époque de la rédaction de cet article (2012, NdT), le salaire du président en exercice est de presque 700.000 dollars par an (523.700 €) et le revenu total de la Croix-Rouge présente un excédent de 3 milliards de dollars !
KATRINA ET LE 11 SEPTEMBRE
En septembre 2005, Paul Joseph Watson et Alex Jones écrivaient, « Pendant que les conséquences de l’ouragan Katrina continuent de provoquer des troubles et le chaos avec des compte-rendus de pillages, de fusillades, de viols et de meurtres, les médias des organes de l’Establishment font la promotion de la Croix-Rouge comme une louable organisation à laquelle il faut envoyer des dons. Le plus gros site web au monde, Yahoo.com, affiche un lien pour donner à la Croix-Rouge bien en évidence sur sa page d’accueil. À chaque fois que se produit une catastrophe majeure la Croix-Rouge et des organisations du même genre comme United Way reçoivent toute l’attention des média alors que d’autres œuvres de bienfaisance sont laissées dans l’ombre. Nous ne voulons pas dire qu’une grande majorité des employés de la Croix-Rouge ne sont pas des gens décents qui veulent simplement aider ceux dans le besoin ».
En fait, la Croix-Rouge a été attrapée « la main dans le sac » à refuser de l’argent au lendemain de terribles catastrophes qui réclamaient des fonds immédiats. Au nom du ‘Liberty Fund’ (Fonds Liberté de la Croix-Rouge américaine. Il s’agit d’une collecte spécifique que la Croix-Rouge a lancée à la suite des attentats de 2001, NdT) pour l’aide aux familles du 11 septembre, la Croix-Rouge a collecté 564 millions de dollars en dons dont seuls 150 millions ont été en réalité distribués.
La présidente de la Croix-Rouge d’alors, le Dr Bernadine Healy a proclamé avec arrogance, « Le Liberty Fund est un fonds pour les guerres. Il a évolué en fonds de guerre. Nous devons anticiper les effusions de sang. Nous devons pouvoir aider nos troupes si nous entrons dans des affrontements au sol. Nous devons pouvoir aider les victimes de demain ». (Elle démissionna en décembre 2001 sous le feu des critiques et décéda en 2011.)
Le 3 janvier 2005, CNN publia : « Les œuvres de bienfaisance se sont démenées après les attaques terroristes du 11 septembre, réunissant plus d’un milliard de dollars. Mais des questions sont soulevées sur le lieu, la manière et la quantité d’argent distribuée. C’est la présidente de la Croix-Rouge, le Dr Bernadine Healy qui en a fait les frais mardi pendant une audition devant le panel d’un comité de la Chambre des Représentants. Healy a été durement accusée par un officiel de New York pour la décision de la Croix-Rouge de mettre de côté presque la moitié de l’argent récolté pour de futurs besoins qui peuvent inclure des attaques terroristes. ‘Je vois que la Croix-Rouge, qui a collecté des centaines de millions de dollars prévus pour des dons publics à usage des victimes du 11 septembre – je vois que ces fonds ont été mis sous séquestre dans des plans à long terme’, a déclaré le procureur général de New York, Eliot Spitzer. »
UNE CORRUPTION DE LONGUE DATE
La Croix-Rouge a en fait une longue et sordide histoire de vol de dons en espèces prévus pour les aides humanitaires des catastrophes. Suite au séisme désastreux de San Francisco en 1989, la Croix-Rouge n’a donné que 10 millions de dollars sur les 50 millions collectés et a gardé le reste.
De même, après l’explosion de la bombe d’Oklahoma City en 1995 et l’inondation de la Red River en 1997, une grande partie des dons ont été aussi gardés. En remontant jusqu’à la guerre de Corée, la Croix-Rouge récupérait les paquets humanitaires des soldats, les fameux « colis de la Croix-Rouge » envoyés par les familles.
La Croix-Rouge excelle dans l’art de voler l’argent et le courrier et a été prise sur le fait de nombreuses fois mais on l’a autorisée à échapper aux sanctions, ou aux révélations car l’organisation est un très proche allié de l’élite avec laquelle elle est inextricablement liée. C’est sans doute une organisation dirigée par des gens appartenant à l’élite dont le but est de rassembler des renseignements et de voler l’argent aux pauvres, défavorisés et nécessiteux pour remplir ensuite les poches des riches.
Plusieurs œuvres de bienfaisance secondaires qui étaient impliquées dans le projet d’aide humanitaire après le tsunami de 2004 ont exprimé publiquement leur colère en disant que des œuvres de bienfaisance connues comme la Croix-Rouge et Oxfam s’étaient engagées secrètement dans des négociations qui ont résulté en un montant élevé de dons publics non distribués aux plus touchés de la catastrophe.
Le message ici devrait être clair pour tous. Ne donnez sous aucun prétexte d’argent aux grandes organisations charitables sauf si vous voulez que votre argent aille bénéficier à l’expansion des empires de l’élite et à voir un état policier en développement rapide au coin de la rue. Trouvez des œuvres de bienfaisance plus petites et indépendantes que vous savez être fiables et c’est à elles que vous enverrez vos dons.
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
Elle vous permettra d'acquérir des articles venant directement de Michel...D'aille elle s'appelle "Vintage par Michel que vous trouverez sur ce lien:https://www.etsy.com/ca-fr/shop/VintageParMichel?ref=seller-platform-mcnav Ignorer