Alerte Fukushima:Les millions de tonnes métriques d’eau irradiée de la centrale de Fukushima seront déversées dans le Pacifique dans deux ans

Sous le couvert de la fausse pandémie,le gouvernement japonais a annoncé mardi que l’eau radioactive décontaminée provenant de la centrale nucléaire de Fukushima sera déversée dans l’océan Pacifique dans deux ans.

 

Cette décision a rapidement été condamnée par les pêcheurs de la région, les résidents et les voisins du Japon.

Déjà les manifestants contre le projet le plus nocif jamais imaginé,envahissent les rues de Tokyo.

La décision était attendue de longue date, mais elle était retardée en raison de la colère qu’elle suscite et de préoccupations liées à la sécurité. Elle a été prise lors d’une rencontre du gouvernement japonais, qui estime qu’il s’agit de la meilleure option.

L’eau qui s’accumule est stockée depuis 2011 dans des réservoirs sur le site de la centrale de Fukushima Daiichi, dont les réacteurs ont à ce moment été endommagés par un tremblement de terre et un tsunami. L’eau de refroidissement a alors été contaminée et a commencé à fuir. Les capacités de stockage maximales de la centrale seront atteintes à la fin de l’an prochain.

Le premier ministre Yoshihide Suga a dit que le déversement dans l’océan est l’option la plus réaliste et qu’on doit se débarrasser de l’eau pour pouvoir démanteler la centrale, un projet qui prendra des dizaines d’années.

Il a assuré que le gouvernement mettra tout en oeuvre pour vérifier que l’eau est sécuritaire et pour venir en aide à l’agriculture, aux pêcheries et au tourisme de la région.

Le gestionnaire de la centrale, Tokyo Electric Power Co., et le gouvernement expliquent que le tritium, qui est inoffensif en petites quantités, ne peut être éliminé de l’eau, mais que les concentrations de tous les autres radionucléides ciblés peuvent être abaissées à des niveaux permettant le rejet de l’eau dans l’environnement. Des scientifiques préviennent qu’on ne sait rien des conséquences à long terme pour la vie marine d’une exposition à de telles quantités d’eau faiblement contaminée.

Le gouvernement met l’emphase sur la sécurité de l’eau, affirmant qu’il s’agit d’eau «traitée» et non «radioactive», même si les concentrations de radionucléides peuvent seulement être réduites et non complètement éliminées. La quantité de matériel radioactif qui persisterait dans l’eau n’est pas connue.

Le rejet de l’eau dans l’océan serait la solution la plus réaliste, selon un comité gouvernemental qui s’est penché sur la question pendant près de sept ans.

Selon le plan adopté par le gouvernement mardi, TEPCO commencera à rejeter l’eau dans environ deux ans, après avoir construit un édifice et élaboré des procédures qui respectent les normes de sécurité. Le plan affirme que le rejet de l’eau ne peut être remis à plus tard, et qu’il est essentiel pour améliorer l’environnement autour de la centrale et permettre aux résidents d’y vivre en sécurité.

Des résidents, des représentants des pêcheurs et des groupes environnementaux affirment tous que la décision fait fi de la santé et de la sécurité environnementales, et qu’elle nuira encore plus à l’image et à l’économie de Fukushima.

Un représentant des pêcheurs locaux, Hiroshi Kishi, a dit que l’annonce de cette décision, moins d’une semaine après sa rencontre avec M. Suga, «piétine» tous ceux qui vivent de la pêche au Japon.

Les pêcheries locales reprennent à peine leurs activités après une décennie pendant laquelle leurs prises ont seulement servi à des tests, et elles peinent à survivre à une chute de la demande.

Des manifestants se sont massés devant le bureau du premier ministre pour réclamer l’annulation du projet.

Environ 70 % de l’eau dans les réservoirs est trop contaminée pour être rejetée dans l’environnement telle quelle. Elle devra donc être retraitée et diluée avec de l’eau de mer auparavant, explique le rapport. Des calculs préliminaires indiquent qu’il faudra près de 40 ans pour rejeter toute l’eau dans l’océan, mais que l’opération sera terminée bien avant que la centrale n’ait été entièrement démantelée.

Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Rafael Mariano Grossi, a dit dans une vidéo que le rejet dans l’océan respecte les pratiques internationales, tout en admettant que «la quantité énorme d’eau à la centrale de Fukushima en fait une affaire unique et complexe».

La Chine et la Corée du Sud ont réagi fortement à la décision de mardi.

Un ministre sud-coréen, Koo Yun-cheol, a dit que le plan est «absolument inacceptable» et a demandé au Japon de dévoiler comment l’eau sera traitée et sa sécurité vérifiée. La Corée du Sud interdit l’importation de fruits de mer provenant de certaines régions du Japon depuis 2013 et pourrait resserrer cette mesure.

La Chine a décrié une décision «extrêmement irresponsable», accusant le Japon de ne pas respecter la santé des pays voisins.


Voir nos articles antérieurs relatifs à la catastrophe qui se prépare

Nouvelle en développement:Le Japon s’apprête à inonder le Pacifique avec 1 million de tonnes d’effluent radioactif

 

 

 

Alerte Fukushima:Des déchets radioactifs à perte de vue sur l’ensemble des sites

 


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Sur ce lien: VINTAGE PAR MICHEL

 

 

 

 

Nouvelle en développement:Le Japon s’apprête à inonder le Pacifique avec 1 million de tonnes d’effluent radioactif

Le Japon s’apprête à inonder le Pacifique avec 1 million de tonnes d’eau contaminée par la centrale de Fukushima.

Des millions de tonnes d’eau radioactive sont stocké près de la centrale.

 Le gouvernement japonais est pressé par des experts de rejeter progressivement de l’eau radioactive dans l’océan Pacifique … L’eau est stockée sur le site dans environ 900 grands réservoirs complètement remplis et qui pourrait se déverser si une autre catastrophe majeure frappait le site. Le gouvernement a été supplié de donner l’autorisation de relâcher l’eau dans l’océan … Les pêcheurs locaux sont extrêmement hésitants sur cette solution … Fumio Haga, un pêcheur, a déclaré: « Les gens fuiraient le poisson de Fukushima dès que l’eau serait libérée ».

…à perte de vue!

Actuellement, la quantité d’eau radioactive à Fukushima continue de croître de 150 tonnes par jour.
 Les réacteurs sont irrémédiablement endommagés, et l’eau de refroidissement doit être constamment pompée pour éviter leur surchauffe. 
Cette eau capte la radioactivité avant de s’échapper des chambres de confinement endommagées et de se rassembler dans les sous-sols … «Notre effort de récupération jusqu’à maintenant s’effondrerait immédiatement si l’eau était libérée», a dit Yuichi Manome, fermier d’Iwaki.

Sources nombreuses: Daily Mail, 

NewsWeek

Independant

Metro UK

 

Alerte Fukushima:Des déchets radioactifs à perte de vue sur l’ensemble des sites

Le vaste chantier de décontamination à Fukushima engendre une énorme quantité de déchets radioactifs. Les autorités en attendent 22 millions de mètres cubes après incinération des déchets organiques. D’ici 2021, 15,2 millions de mètres cubes devraient être entreposés « provisoirement » sur un site de 16 km2qui entoure la centrale accidentée, sur les communes d’Ôkuma et Futaba. En attendant, ces déchets s’entassent un peu partout, parfois à perte de vue.

 

L’Acronique de Fukushima a publié, il y a un peu plus d’un an, un reportage sur toute la chaîne de gestion de ces déchets, avec des photos et des vidéos. Greenpeace Japon vient de mettre en ligne des images de ces déchets vus du ciel : La première vidéo en japonais est visible sur Youtube, la seconde en allemand est visible ici.

 Une note en anglais de Greenpeace fait aussi le point sur les déchets radioactifs.

 La décontamination, presque terminée officiellement, sauf dans les zones dites de « retour difficile », ne concerne que les zones habitées qui deviennent des oasis au milieu des montagnes et des forêts qui couvrent 75% du territoire de la province de Fukushima. La décontamination de petites zones dans les territoires les plus contaminés est prévue pour ne pas rayer de la carte deux communes, même si les habitants ne rentreront pas. L’obstination de la reconquête, jusqu’à l’absurde.

 

 

Fukushima : une bombe de la 2e guerre mondiale découverte dans la centrale nucléaire

Une bombe de la 2e guerre mondiale vient d’être découverte dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon. Heureusement, l’engin découvert à l’occasion de la construction d’un parking pour l’équipe de décontamination, se situait assez loin des réacteurs 2 et 3 du site. Les forces d’autodéfense japonaises seront chargées de l’enlever. 

 

Voici la bombe M 43:une bombe régulière embarquée jadis sur le bombardier B-17.

Un porte-parole de Tepco rapporte à l’AFP qu’une bombe de 85cm de long et 15cm de diamètre a été découverte mercredi à 7h30 locales dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Fukushima (Japon). L’obus, datant de la seconde guerre mondiale, a été découvert par une équipe de construction qui était en train de construire un parking. Les forces d’autodéfense de l’archipel seront chargées de retirer l’obus du site.

Fukushima : où en est la décontamination à la centrale nucléaire accidentée ?

La découverte n’est pas vraiment une surprise : la région a été copieusement bombardée par l’US Air Force pendant la guerre. Elle abritait une base militaire nipponne et depuis, de nombreuses bombes ont été retrouvées dans la région. Mais c’est aussi l’occasion de prendre des nouvelles de la décontamination de la centrale. Un robot a pu pénétrer récemment dans la cuve du réacteur numéro trois.

Et y a retrouvé des amas solidifiés qui pourraient être le fameux combustible fondu, que les liquidateurs peinent à retrouver depuis le tsunami et le terrible accident nucléaire qui a suivi. Le principal problème reste qu’il faut toujours continuellement refroidir les réacteurs avec de l’eau qui finit pour partie par s’infiltrer dans le sol et atteindre les nappes phréatiques et l’océan.

On estime que 300 tonnes d’eau fuient ainsi dans le sol chaque jour. Le reste de l’eau est en permanence décontaminée. Mais alors que ce procédé est capable d’éliminer 62 types de matières radioactives, elle reste tritiée, c’est à dire contaminé par le tritium, un isotope de l’hydrogène hautement radioactif, mais dont la demi-vie est relativement faible (environ 12,32 ans).

Cette eau est ainsi stockée dans 580 immenses réservoirs, mais cela ne suffit malheureusement pas. À la mi-juillet, un responsable de Tepco a annoncé que plusieurs centaines de tonnes de cette eau faiblement contaminée serait rejetée dans la mer, faute d’autre solution. Suscitant l’inquiétude des pêcheurs de la région. En outre la décontamination totale de la centrale pourrait prendre plus de 40 ans en raison du fort niveau de radiations.

 

Une bombe M 43 découverte récemment.

 

Alerte Fukushima:Tepco reconnaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits du réacteur 2

Le 30 juin 2016, Tepco reconnaissaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits dans le réacteur 2.

La photo interne du réacteur no 2 qui dérange:la matière en fusion radioactive s’est répandu partout.

Depuis ce temps,Tepco a effectué une recherche en balayage aux muons avec le KEK (High Energy Accelerator Research Organization).
Tepco décrit les résultats de cette recherche en disant qu’il est hautement probable que la majeure partie des combustibles nucléaires fondus soient restés au fond du réacteur, à l’intérieur de ses structures. Ils ont aussi détecté une partie des combustibles fondus contre un mur du réacteur. Ceci signifie que le magma a éclaté en plusieurs morceaux, restés en différents endroits.Les scientifiques de  Tepco ne précisent pas le pourcentage de combustible fondu qu’ils ont pu détecter.
Tepco n’identifie pas non plus les endroits, donc on ne peut être certain que le combustible fondu soit entièrement resté dans l’enceinte pressurisée du réacteur ou en dehors dans l’enceinte de confinement principale.

Donc,il est presqu’impossible de pouvoir dormir tranquille là-dessus car on ignore le développement réel  de la situation interne du réacteur no 2 qui,comme on le sait,a atteint un niveau record de radio-activité.


Iori Mochizuri avec son seul compagnon.

*Une information de notre correspondant  Iori Mochizuki,à Fukushima.
Il était à Yokohama, qui  se trouve environ 300 km de la centrale nucléaire de Fukushima lorsque l’événement du  311 a  eu lieu.
Il a commencé à écrire quand il a été obligé de recueillir des informations pour décider de partir  ou non.
En ce moment, c’est le seul correspondant de nouvelles au monde sur le sujet de Fukushima qui écrit en anglais en tant que  citoyen japonais qui était là le 11/03/2011.

Plusieurs articles sont publiés tous les jours et tous les articles portent sur la situation actuelle du plan de Fukushima, les problèmes de santé en cours chez les Japonais, la situation des médias et les effets globaux, etc. La plupart ne sont pas couverts par les médias partout dans le monde.

Iori Mochizuki doit constamment  se  méfier des autorités japonaises qui cherchent à le faire taire car il exporte les information à l’extérieur du Japon.

 

 

 

Alerte Fukushima: grave élévation du niveau de radioactivité sur les fruits de mer

 

Bronwyn Delacruz

 

Bronwyn Delacruz, une étudiante de l’école secondaire de Grande Prairie, Alberta, Canada a découvert qu’une variété de fruits de mer, en particulier les algues, sont imprégnées de niveaux élevés de rayonnement. (1) (7) Après cela,elle est devenue préoccupé par le peu d’inspection des aliments sur les étalages canadiens qui devrait effectivement  avoir  lieu avec notre nourriture, et de découvrir que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a cessé ses tests d’ essai  sur les aliments importés (cf: pour évaluer le rayonnement) en 2012.Depuis lors,elle a décidé de mener ses propres tests et ses propres enquêtes.

Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.
Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.

Elle a utilisé un compteur Geiger (que d’autres ont fait et ont également trouvé des niveaux élevés de rayonnement) dans le cadre d’un projet de science, qui se affiche à la Foire nationale canadienne .

Certains des échantillons de  varech que je ai trouvé était plus élevé que ce que l’Agence internationale de l’énergie atomique établit que la contamination radioactive, qui est de 1450 compte sur une période de 10 minutes. Certains de mes échantillons ont atteint des niveaux  comme 1700 ou 1800.   (1)

 

 

 

Elle assiste le Composite High School, et elle a testé plus de 300 échantillons individuels d’algues, avec 15 marques exportées du Nouveau-Brunswick, la Colombie-Britannique, la Californie, Washington, la Chine et le Japon. Chaque produit a été acheté dans un magasin d’épicerie Alberta.

Je voulais juste pour voir s’ils ont  été contaminé et j’ai trouvé des niveaux de contamination radioactive dans tous les échantillons », dit-elle. «Je suis un peu inquiète que tout cela atterrisse dans nos épiceries. Le niveau du varech était plus élevé que ce qui a été considéré comme dangereux, certains d’entre eux se rapprochait de 1700, 1800 (chiffres) »  (7)

Comme la plupart d’entre vous, la lecture de tout cela,vous  saurez, lorsqu’il s’agit de catastrophes environnementales, les retombées nucléaires de Fukushima sont parmi les pires qui se sont passé dans l’histoire. Nous parlons d’un incident qui continue de produire plus  de 300 à plus de 450 tonnes d’eau contaminée qui contient de l’iode radioactif, le césium et le strontium-89-90 fuite dans l’océan Pacifique sur une base quotidienne, même des années après que  l’événement a eu lieu .

Il n’y a pas longtemps, des poissons avec des niveaux mortels de césium radioactif ont été capturés au large de la côte de Fukushima. Plusieurs poissons ici ont montré des  niveaux de radioactivité qui ne sont pas sans danger pour la consommation humaine. L’un des échantillons (une dorade noire) pris à  40 kilomètres au sud de la centrale,a été  testé à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif, ce qui en fait 124 fois plus mortel que le seuil considéré comme sûr pour la consommation humaine.  (3)

La fameuse dorade noie testée à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif.Ce poisson aurait une dose létale 124 fois plus puissance que l’être humain peut supporter.

Mais comme ce rayonnement a atteint l’Amérique du Nord,qu’en est-il des aliments importés? Selon des chercheurs de l’Australie, la France et l’Espagne:

Suite à la catastrophe de Fukushima de Mars 2011, de grandes quantités d’eau contaminés par des radionucléides, y compris du césium-137, ont été libérés dans l’océan Pacifique. Avec une demi-vie de 30,1 années, le Cs-137 a le potentiel de se déplacer sur de grandes distances à l’intérieur de l’océan. Notre recherche suggère que les courants  d’eau près de  Fukushima vont faire  dériver le  Cs-137 qui va pénétrer l’océan intérieur et s’étendre aux autres bassins océaniques au cours des deux prochaines décennies et au-delà.  (2)

Les scientifiques ont estimé que à partir de  2014 , le panache radioactifs de la catastrophe de Fukushima ,s’échappant de la centrale nucléaire depuis 2011 ,a déjà atteint les côtes de l’Amérique du Nord, malgré que l’alarme au  rayonnement atmosphérique avait été  détecté sur la côte ouest américaine, quelques jours après l’incident. Les modèles  par ordinateur ont tous également identifié que le rayonnement voyagerait  à travers les océans du monde pour les années à venir . ( 4 ) ( 5 )

Bien que, »officiellement parlant », les évaluations gouvernementales venant des ministères  de la santé publique ont été faites illustrant que les particules radioactives qui font leur chemin jusqu’aux eaux d’Amérique du Nord auront un effet limité sur la santé humaine, beaucoup de gens ne le croient pas, et le projet de l’école secondaire de Bronwyn semble soulever de nombreuses questions.

Les quantités de rayonnement de fuite sont nocives pour la planète et la santé de toutes les espèces, y compris les humains. Une version majeure de la radioactivité, comme celle de Fukushima, est une préoccupation majeure, avec les inconnues restant autour de nombreux risques pour la santé à long terme tels que le cancer,les mutations animales,etc. (4) (5)

Une étude publiée dans la revue par des pairs  au Journal of Pediatrics  a constaté que l’iode radioactif de Fukushima a provoqué une augmentation significative de l’hypothyroïdie chez les bébés en Californie. (6)  Même si le Japon est de 5000 miles à travers l’océan Pacifique, l’étude a révélé que  les niveaux très élevés de rayonnement bêta atmosphériques sur la côte ouest sont directement corrélés avec cette tendance courante chez les nouveau-nés après la catastrophe nucléaire de Fukushima.

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DE NOMBREUSES NOUVELLES ESPÈCES EN MUTATION  …DONT UN MONSTRUEUX PRÉDATEUR

 

http://http://www.gentside.com/embed/E2A2B0aXwM_n2AXHAD4tqA
Australie : Un requin blanc de 3 mètres mangé par un super-prédateur ? 

 

Au cours d’une étude scientifique réalisée au large des côtes australiennes, le chercheur Dave Riggs a fait une découverte surprenante. Après avoir posé une balise sur un requin adulte de 3 mètres, celui-ci a retrouvé quelques mois plus tard l’appareil échoué sur une plage sans plus aucune trace du squale. En examinant la balise de plus près, le chercheur a conclu que le requin avait certainement été avalé tout cru par un monstre marin encore inconnu. Qu’a-t-il bien pu arriver à cette femelle requin que Dave Riggs et son équipe étaient parvenus à étiqueter quelques mois plus tôt dans le cadre d’une expérience scientifique? Après l’avoir relâché dans la nature, ceux-ci ont réalisé avec stupeur que quelques temps plus tard, le grand squale avait disparu au fond même de l’estomac d’un autre prédateur… La disparition mystérieuse d’un requin blanc Au cours d’un grand projet d’étiquetage des requins blancs qui se déroulait en Australie, Dave Riggs et son équipe s’étaient employés à marquer un requin femelle de 3 mètres afin de pouvoir suivre ses pérégrinations au large des côtes. Mais 4 mois plus tard, les scientifiques sont tombés des nues lorsqu’ils ont découvert la balise échouée seule sur une plage, et plus de requin du tout! En examinant d’un peu plus près la pièce contenant des informations sur l’itinéraire du grand blanc, Dave Riggs et ses équipiers ont fait une découverte plutôt troublante. La veille de Noel, le requin se serait dirigé à grande vitesse vers le fond de l’océan à près de 600 mètres de profondeurs où les températures avoisinent les 7 °C. En quelques secondes, la balise aurait ensuite enregistré un brusque changement de température équivalent à 26 degrés Celsius. Pour les chercheurs, pas de doute: le requin avait certainement dû se retrouver avalé dans le ventre d’un animal encore bien plus imposant que lui. Sur la piste d’un squale cannibale ? Car selon Dave Riggs, il ne fait aucun doute qu’un tel écart de températures ne peux s’expliquer que par le fait que le requin de 3 mètres a certainement été avalé tout rond par un autre animal. Reste à savoir lequel? Super-prédateur, squale cannibale? Quel genre de monstre marin le requin marqué par l’équipe de Dave Riggs a-t-il pu rencontrer le jour de sa disparition? Selon les hypothèses avancées, celui-ci aurait pu croiser la route d’une créature capable de mesurer plus de 5 mètres de long et de peser près de 2 tonnes.

 

 

 

 


LE CANADA DANS TOUT CELA

 

Delacruz espère également attirer l’attention des législateurs à Ottawa une pétition exhortant le gouvernement fédéral à faire plus de tests de rayonnement sur la nourriture.

L’ACIA déclare en ligne qu’il « continue de surveiller les événements au Japon », mais n’a pas de plans immédiats pour reprendre les tests de rayonnement régulier, notant que « les contrôles japonais sur la vente de produits contaminés restent intacts. »

L’agence a fait des tests approfondis sur une variété d’aliments pour un an et demi après la catastrophe nucléaire au Japon, mais n’a trouvé aucune source de préoccupation à ce moment-là.

« Plus de 200 échantillons d’aliments ont été testés et tous ont été jugés en deçà des niveaux de radioactivité de une action de Santé Canada, » l’ACIA indique dans un affichage Février 2014 son site Web . « À ce titre, l’amélioration des contrôles à l’importation ont été levées et aucun test supplémentaire n’est prévu. »

Donc,nous ,les consommateurs québécois et canadiens,sommes abandonnés  à nous-mêmes afin que la loi néolibérale du libre-marché puisse continuer à survivre…avec  les profits capitalistes qui vont avec.

Triste société qui ose prétendre respecter le droit,la démocratie,le bonheur,le respect…!Youhou Justin Trudeau sort de tes prières islamiques!

 

 

Que pouvons-nous faire à ce propos?

Pour nous ignorer complètement cette situation et nier ce ne est pas la réponse, ce est pourquoi la sensibilisation continue est essentielle pour apporter des changements. Une chose que nous pouvons faire à ce sujet, comme un eefort collectif humain, est de changer la façon dont nous regardons les méthodes de production d’énergie. De toute évidence,   nous ne avons pas besoin de réacteurs nucléaires pour bouillir l’eau pour produire de la vapeur afin de pousser une turbine qui produit de l’électricité, il y a de meilleures façons et il est temps de les mettre en œuvre.

Un autre aspect très important est la puissance de la conscience. Un certain nombre d’études scientifiques ont prouvé que la conscience seule a le pouvoir de modifier le monde matériel physique que nous percevons autour de nous (vous pouvez en lire plus à ce sujet  ici ), ce qui inclut la guérison par intention. Par la sensibilisation, et vraiment réaliser combien dommageable ces retombées sont néfastes et négatives pour toutes les formes de vie. Il nous faudra une grande quantité d’amour, la prière et l’intention de cicatriser  ces blessures  dirigées vers nos eaux et la région environnante. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que la puissance de la conscience joue un rôle important dans le nettoyage de ce gâchis.

Fukushima est juste une autre occasion pour la race humaine de se réveiller.Il ne  nous sera pas donné des possibilités illimitées, mais ces événements  nous serviront à ouvrir les yeux sur notre potentiel illimité pour créer quelque chose de nouveau,UNE ÈRE NOUVELLE, et d’exploiter d’une manière qui est plus en harmonie avec la planète et tous les êtres avec qui  nous partageons notre petite planète bleue.

Il y a aussi des exemples de scientifiques offrant des solutions. Un de ces exemples proviennent de la Fondation Keshe, et vous pouvez en savoir plus à ce sujet  ici .

 

Sources:

(1) http://metronews.ca/news/calgary/982233/alberta-students-science-project-finds-high-radiation-levels-in-grocery-store-seafood/

(2) http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S096706371300112X

(3) http://rt.com/news/fukushima-fish-cesium-radiation-548/

(4) http://www.davidsuzuki.org/blogs/science-matters/2013/10/despite-fukushima-scientists-say-eating-west-coast-fish-is-safe/

(5) http://www.climatescience.org.au/content/336-fukushima-radioactive-plume-reach-us-three-years

(6) http://www.scirp.org/journal/PaperInformation.aspx?PaperID=28599#.U0WMjV5n9GE

(7)  http://www.dailyheraldtribune.com/2014/03/25/local-science-project-finds-high-levels-of-radiation-in-seaweed

https://twitter.com/gpchs_gppsd

http://www.gppsd.ab.ca/school/gpcomposite/Pages/default.aspx

Alerte Danger Planétaire:les radiations en provenance de Fukushima ont atteint un niveau « inimaginable »

De septembre 2012 à novembre 2014,les fuites radioactives conséquentes à l’arrosage continue des réacteurs sont passées de 200 à 450 tonnes d’eau métriques chaque jour.Depuis janvier 2017,tout semble s’aggraver sans possibilité  d’en  connaître beaucoup plus.Mais depuis l’an passé,les fuites  d’informations ont forcé TEPCO à rendre public certaines informations,mais le gouvernement japonais censure tout.

 

Le niveau des radiations à l’ intérieur d’ un des réacteurs endommagés à la centrale nucléaire de Fukushima a atteint un  » inimaginable niveau » selon les experts. Parce que beaucoup de matériel nucléaire de Fukushima a échappé dans l’océan Pacifique, il y a beaucoup de scientifiques qui croient que ce fut la pire catastrophe écologique de l’histoire de l’ humanité, mais la plupart des gens dans la population générale semblent penser que , puisque les médias traditionnels vraiment ne parlent pas à ce sujet plus que tout doit être sous contrôle. Malheureusement, ce n’est pas vrai du tout. En fait, PBS arapporté l’an dernier que « il est inexact de dire que Fukushima est sous contrôle lorsque lesniveaux de radioactivité dans l’océan indiquent des fuites en cours « . Et maintenant , nous venons d’ apprendre que le niveau de rayonnement à l’ intérieur du réacteur 2 est si élevé qu’aucun humain ne pourrait survivre à une simple exposition.

Grues sur la centrale de Fukushima Daiichi en Février 2016. Le processus de démantèlement devrait prendre environ quatre décennies

Selon le Japan Times , le niveau de rayonnement à l’ intérieur de la zone de confinement du réacteur 2 est maintenant estimé à «530 sieverts par heure » …!

Le niveau de rayonnement dans l’enceinte de confinement du réacteur 2 à la centrale de Fukushima n ° 1  (qui est endommagée) a atteint un maximum de 530 sieverts par heure , le plus élevé depuis la crise de « triple core » en Mars 2011,a déclaré Tokyo Electric Power Co. Holdings Inc. .

Tepco a déclaré jeudi ,16 mars 2017 que la lecture de la radioactivité a été prise à l’entrée de l’espace juste en dessous de la cuve sous pression, qui contient le cœur du réacteur.

Le chiffre élevé indique qu’une partie du combustible fondu qui s’est échappé de la cuve sous pression est rendu à proximité.

Photo du réacteur no 2,le 30 janvier 2017

 

Photo prise par le petit robot sous le réacteur.

 

 

 

 

Il est difficile de trouver les mots pour exprimer la gravité de tout cela.

Si vous avez été exposé à un niveau de seulement 10 sieverts par heure de rayonnement, cela signifierait une mort presque certaine. Donc , 530 sieverts par heure est tout simplement hors des cartes,hors des normes. Selon le Guardian , cette mesure récente est décrite par les scientifiques comme «inimaginable» …

La lecture récente, décrite par certains experts comme «inimaginable», est beaucoup plus élevé que le précédent record de 73 sieverts une heure dans cette partie du réacteur,il y a peu de temps encore.

Une seule dose d’un sievert est suffisante pour causer la maladie d’irradiation et des nausées; 5 sieverts serait tuer la moitié des personnes exposées dans un délai d’ un mois, et une dose unique de 10 sieverts se révéler fatale en quelques semaines .

Et vraiment l’une des plus  mauvaises nouvelles est qu’il semble y avoir un trou de 2 mètres qui a été créé par la fonte du  combustible nucléaire  « dans la grille métallique sous la cuve sous pression dans la cuve de confinement primaire du réacteur » . Ce qui suit vient de Bloomberg

« De nouvelles photographies montrent ce qui peut être du combustible nucléaire fondu qui aurait coulé   sous l’un des réacteurs  (épaves) de Fukushima  , un jalon potentiel dans la recherche et la récupération du carburant près de six ans après avoir été perdu dans l’une des pires catastrophes atomiques dans l’histoire.

Tokyo Electric Power Co. Holdings Inc., la plus grande entreprise de services  du Japon, a publié des images lundi montrant une grille sous le réacteur  No 2 de Fukushima Dai-Ichi  recouvert de résidu noir. La société, mieux connu comme Tepco, a  envoyé  une espèce de robot  développé spécialement pour investiguer à Fukushima   pour déterminer la température et de la radioactivité du résidu. »

http://www.youtube.com/watch?v=infVQiVgW1k

Si cela ne suffit pas  à vous faire peur, une source de nouvelles japonaise rapporte que ce combustible nucléaire fondu « a depuis été en contact avec de l’ eau souterraine qui coule du côté de la montagne » ...

Le combustible fondu a depuis été en contact avec de l’ eau souterraine qui coule du côté de la montagne, la production d’ eau contaminés par la radioactivité tous les jours . Afin de démanteler le réacteur, il est nécessaire de retirer le combustible fondu, mais des niveaux élevés de rayonnement à l’intérieur du réacteur avait entravé le travail pour localiser les débris fondu.

Si cette catastrophe aurait été seulement limitée au Japon, tout l’hémisphère nord ne serait pas en danger.

Mais ce n’est pas le cas.

La plupart de la contamination nucléaire de Fukushima a fini dans l’océan Pacifique, et de là il a été littéralement pris dans le reste de la planète. Ce qui suit a été signalé par PBS

Plus de 80 pour cent de la radioactivité des réacteurs endommagés a fini dans le Pacifiquebien plus que le niveau atteint à  Tchernobyl ou à Three Mile Island. De cette somme , une petite fraction est actuellement sur le fond – le reste a été emporté par le courant Kuroshio, une version du Pacifique ouest du Gulf Stream, et porté à la mer où il mélangé avec (et a été dilué par) l’énorme volume de le Pacifique Nord.

Nous ne savons pas s’il y a une connexion, mais il est très intéressant de noter que la pêche le long de la côte ouest des États-Unis ne parviennent pas à trouver la  cause d’une diminution spectaculaire des populations de poissons. Il suffit de consulter l’extrait suivant d’une histoire qui a été publié le 18 Janvier 2017 …

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HORS TEXTE

Diminution des stocks de poissons

 

18 janvier 2017 Le secrétaire américain du Commerce Penny Pritzker , a déterminé aujourd’hui que la pêche commerciale pour le saumon et crabe en Alaska, en Californie et à Washington.

 

Ces dernières années, chacune de ces pêcheries ont connu defortes baisses soudaines et inattendues de la biomasse des stocks de poissons ou perte d’accès en raison des conditions inhabituelles de l’ océan et du climat. Cette décision permet auxcommunautés de pêche de demander l’ aide de secours aux sinistrés du Congrès.

En Alaska:

  • Golfe de l’Alaska pêche au saumon rose (2016)

En Californie:

  • Californie dormeur et de la pêche au crabe (2015-2016)
  • pêche au saumon yurok tribu Klamath River Chinook (2016)

A Washington:

  • Fleuve Fraser tribu Makah et du Bas-Elwha Klallam tribu pêche du saumon rouge (2014)
  • Grays Harbor et Willapa Bay non-traité pêche au saumon coho (2015)
  • Nisqually Indian Tribe, Jamestown S’Klallam tribu, Port Gamble S’Klallam Tribe et Squaxin Island Tribe Sud Puget pêche au saumon du son (2015)
  • Quinault Indian Nation Grays Harbor et Queets rivière pêche au saumon coho (2015)
  • pêche au crabe dormeur tribu Quileute (2015-2016)
  • pêche à la traîne du saumon océan (2016)

Le secrétaire américain du Commerce Penny Pritzker a déterminé aujourd’hui, qu’il y a des échecs de la pêche commerciale pour neuf saumon et crabe pêche en Alaska, en Californie et à Washington.

Au cours des dernières années, chacune de ces pêcheries ont connu soudaines et inattendues des diminutions importantes des stocks de poissons de la biomasse ou la perte d’accès en raison des conditions océaniques et climatiques inhabituelles. Cette décision permet aux communautés de pêche de chercher catastrophe une aide d’urgence du Congrès.

 

 

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Les choses sont particulièrement mauvaises en Alaska , et les biologistes sont « perplexes » sur les raisons pour lesquelles cela pourrait se produire …

En 2016, les récoltes de saumon rose à Kodiak, Prince William Sounds, Chignik et  Cook Inlet sont venus terriblement sous les prévisions et les biologistes perplexes quant à pourquoi.

La valeur estimée de 2016 courriers de Kodiak était de 2,21 millions $, comparativement à une moyenne de cinq ans de 14,64 millions $, et à Prince William Sound la valeur ex-navire était de 6,6 millions $, beaucoup moins que la moyenne de 44 millions $ sur cinq ans . La récolte totale de l’État était la plus faible depuis la fin des années 1970.

Bien que les biologistes de l’Etat ne sont pas prêts à déclarer une cause de la performance du saumon rose pauvres, le communiqué de presse du département du Commerce a attribué les catastrophes aux «conditions océaniques et climatiques inhabituelles. »

Plus au sud, on rapportait le mois dernier que des millions de sardines mortes se sont échouées  sur les côtes du Chili.

 

 

 

 

 

 

Je pourrais continuer et avec beaucoup d’autres exemples de ce genre, mais nous espérons que vous retiendrez le point.

Quelque chose de vraiment étrange  se passe dans le Pacifique, et beaucoup de gens croient qu’il y a un lien vers Fukushima.

Pas trop longtemps, je l’ ai écrit sur la façon dont l’élite de la Silicon Valley sont à se « préparer fiévreusement », mais la vérité est que nous devrions tous l’être.  Notre planète est de plus en plus instable, et la catastrophe nucléaire de Fukushima est juste un morceau du puzzle.

Mais ic’est certainement un élément très important. Les matières nucléaires de Fukushima entrent continuellement  dans la chaîne alimentaire, et une fois que les matières nucléaires pénètre dans notre corps , il va lentement irradier nos organes pour les années à venir. Ce qui suit est un extrait d’un article d’ opinion absolument remarquable par Helen Caldicott qui a été publié dans le Guardian

Le rayonnement interne, d’autre part, émane d’éléments radioactifs qui pénètrent dans l’organisme par inhalation, ingestion ou absorption cutanée.Les radionucléides dangereux tels que l’ iode-131, le césium 137 et d’ autres isotopes actuellement libérés dans la mer et l’ air autour de Fukushima sont bio-concentré à chaque étape de diverses chaînes alimentaires (par exemple dans les algues, crustacés, petits poissons, gros poissons, puis les humains ; ou le sol, l’ herbe, la viande et le lait de vache, puis les humains). Après leur entrée dans le corps, ces éléments – appelés émetteurs internes – migrent vers des organes spécifiques tels que la thyroïde, le foie, les os et le cerveau, où ils rayonnent en continu sur de petites quantités de cellules avec de fortes doses de radiations alpha, bêta et / ou gamma, et pendant de nombreuses années, peut induire la réplication cellulaire incontrôlée – qui est, le cancer . En outre, la plupart des nucléides restent radioactifs dans l’environnement pour des générations, et , finalement , causeront l’ incidence du cancer et des maladies génétiques qui ont augmenté au fil du temps.

Vous commencez à comprendre la gravité de la situation?

Malheureusement, cette crise va être avec nous pour un très, très longtemps.

Selon un journal imp en ligne, , ils ne sont même pas surs vont commencer à extraire le combustible nucléaire fondu de ces réacteurs jusqu’en 2021, et il est projeté que le nettoyage général « peut prendre aussi longtemps que 40 ans» …

La mise hors service des réacteurs coûtera ¥ 8000000000000 (70,4 G $), selon une estimation en Décembre 2016 du Ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie. Le retrait du carburant radioactif est l’une des étapes les plus importantes dans un nettoyage qui peut prendre aussi longtemps que 40 ans.

La nature sans précédent de la catastrophe de Fukushima signifie que Tepco fonde ses efforts sur la technologie pas encore inventé pour enlever le combustible fondu sur les réacteurs.

La société cherche  à se décider d’une procédure de retrait de carburant pour le premier réacteur au cours de l’exercice financier se terminant Mars 2019, et de commencer à extraire le combustible en 2021.

Beaucoup de gens qui finissent par mourir à la suite de cette crise ne pourront jamais savoir même que c’ était Fukushima qui a causé leur mort.

Personnellement, je suis convaincu que ce soit la plus grande crise de l’environnement que l’humanité ait jamais connu, et si la dernière lecture du réacteur 2 est une indication, les choses a pris une tournure très sérieuse pour le pire.

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ANNEXE1

dispersion océanique de césium radioactif dérivé de Fukushima : un examen

 

Introduction


Le 11 Mars 2011, le Grand Est du Japon Tremblement de terre ( Mw 9.0) a eu lieu à la limite de la plaque au large de la côte de Tohoku, le nord du Japon. Un énorme tsunami a été généré et a causé 15 729 morts et 4539 disparus dans les régions Hokkaido, Tohoku et Kanto (L’Agence nationale de la police, en date du 24 Août 2011). Des enquêtes préliminaires ont signalé des vagues du tsunami avec des hauteurs de roulage à haut excédant 30 m (Mori et al ., 2011 ). Le tsunami a également frappé les sites de Fukushima Dai-ichi nucléaire Power Plant (PPPN) situé à 37˚25’N, 141˚02’E, et une perte d’énergie électrique à FNPP a donné lieu à des réacteurs surchauffés et desexplosions d’hydrogène. Les matières radioactives ont ensuite été libérés dans l’océan par les retombées atmosphériques (comme les aérosols et les précipitations) et que les rejets directs (rejets contrôlés liés aux questions de sécurité au FNPP), ainsi que des fuites non contrôlée de l’eau de refroidissement fortement contaminé (Buesseler et al ., 2011 , Chino et al ,. 2011 , Takemura et al ., 2011 ). Ce rejet accidentel de radionucléides anthropiques (principalement l’ iode 131, le césium-134 et -137, 131 I, 134 Cs et 137 Cs) ont donné lieu à desaugmentations sévères de ces radionucléides dans les produits de la pêche dans les zones côtières de Fukushima et les préfectures adjacentes (Buesseler, 2012 , Yoshida et Kanda, 2012 , Wada et al ., 2013 ; et Nakata Sugisaki,2015 ). En raison de sa demi-vie relativement longue (2,07 ans pour les 134 Cs et 30,07 ans pour les 137 Cs), l’évaluation de ces isotopes radioactifs Cs dans le milieu marin est important pour tenir compte des risques pour les écosystèmes marins et la santé publique par la consommation des produits de la pêche . En général, le césium est un élément conservateur et se produit principalement dans la phase dissoute dans le milieu marin. La concentration de césium radioactif dans les organismes marins est fortement affectée par sa concentration dans l’eau de mer environnante. En fait, les changements temporels des concentrations radioactives Cs de nombreuses espèces de poissons pélagiques dans la zone côtière près de Fukushima et les préfectures voisines ont été associées à celles de l’ eau de mer après l’accident FNPP (par exemple, Wada et al ,. 2013 , Takagi et al ,. 2015 ; Morita et al ., données non publiées). Kaeriyama et al . ( 2015 ) et Morita et al . données non publiées ont révélé les changements temporels pris du retard dans le temps en Cs radioactif dans les organismes (zooplanctons et Saury Pacifique) et l’ eau de mer en régime non stationnaire après l’accident FNPP, et a montré que avaient été élevés par rapport aux taux de concentration de ces organismes avec les avant l’accident FNPP. En ce qui concerne zooplanctons, Baumann et al . ( 2015 ) ont examiné la possible absorption de Cs radioactif Fukushima-dérivé de phytoplancton dominé les particules en suspension. En conséquence, Cs radioactif serait transféré au niveau trophique supérieur non seulement par l’ eau de mer environnante , mais aussi par des interactions proies-prédateurs dans l’écosystème pélagique. Shigenobu et al . ( 2014 ) ont rapporté les concentrations radioactives Cs de graisse greenling ( Hexagrammos otakii ) capturés au large de la côte de la préfecture de Fukushima, et fait état de deux spécimens de valeurs aberrantes pris en Août 2012 et mai 2013 , qui avaient ambigüe élevées 137concentrations Cs de plus de 1000 Bq / kg humide. Analyse de probabilité a indiqué que les deux morues du gras de valeurs aberrantes avaient migré du port de FNPP. Dans le port de FNPP, extrêmement élevées 137concentrations Cs ont été signalées dans le sébaste japonais ( Sebastes cheni ), hakeling brun ( Physiculus maximowiczi ) et de la graisse greenling ( H. otakii ) pris en Janvier et Février 2013 (Fujimoto et al ., 2015 ). La concentration maximale de 137 Cs (129 kBq / kg par voie humide) a été détectée à partir de matières grasses Lesourcil. Wada et al . ( 2013 ) avec le corrigendum (Wada et al ., 2014 ) a résumé les résultats de la surveillance des concentrations radioactives Cs dans les produits de la pêche de la préfecture de Fukushima et a révélé lestendances de séries chronologiques. Des tendances claires comprennent une diminution plus lente de Cs radioactif dans les poissons démersaux par rapport aux poissons pélagiques, ainsi que l’ hétérogénéité spatiale; spécimens prélevés dans la zone sud de FNPP avaient tendance à avoir des concentrations plus élevées de Cs radioactif que ceux qui sont pris dans la zone nord de FNPP. Sohtome et al . ( 2014 ) ont rapporté les tendances au cours du temps de la concentration de Cs radioactif chez les invertébrés dans le réseau alimentaire benthique côtière près de la PPPN. La différence de tendance à la baisse observée dans les organismes et les concentrations de Cs radioactif dans certains des oursins ( Echinocardium cordatum et Glyptocidaris crenularis ) ont été clairement affecté par les sédiments contaminés dans leur prises tube digestif.

Ce document met l’ accent sur le Cs radioactif dans l’ eau de mer et résume les estimations du montant total des libérés Cs radioactifs du site FNPP, les changements spatio-temporelles des concentrations de 134 Cs et 137 Cs non seulement au large de la côte de Fukushima et les préfectures voisines, mais également dans le Pacifique Nord et des mers adjacentes telles que la mer du Japon, mer de Chine orientale, en fonction des résultats de mesure et des modèles de simulation publiés pendant 4 ans depuis l’accident FNPP.

Montant total de Césium radioactif FNPP-Libéré

Informations sur le montant total de l’radioactif libéré FNPP-Cs dans le Pacifique Nord est l’ information essentielle pour permettre un suivi et une gestion efficace des ressources. Cependant, en dépit de son importance, l’estimation des dépôts atmosphériques est complexe en raison du manque de données d’ observation de l’environnement océanique. Les rapports d’activité de 134 Cs / 137 Cs, désintégration corrigé Mars-Avril 2011, ont été signalés presque 1,0 pour l’ensemble du Pacifique Nord (par exemple, Buesseler et al ,. 2011 , 2012 , Kaeriyama et al ,. 2014 ). Ce ratio signifie une quantité équivalente de 134 Cs et 137 Cs a été libéré dans l’océan.En vertu de la limitation des données concernant non seulement la quantité de Cs radioactif dans les aérosols ,mais aussi sur les précipitations dans le Pacifique Nord, l’ estimation des dépôts atmosphériques reste une source d’incertitude considérable (5-15 PBq de 134 Cs et 137 Cs, 1 PBq = 10 15  Bq, Tableau  1 ). En revanche, le rejet direct des radioactifs Cs ( 134 Cs et 137 Cs) dans l’océan comme une fuite incontrôlée de l’eau de refroidissement fortement contaminée est bien estimée comme approximation de la valeur de 3,5 PBq, à l’exception de Bailly du Bois et al . ( 2012 ) et Charette et al . ( 2013 ) (tableau  1 ). Dietze et Kriest ( 2012 ) ont discuté des surestimations possibles par Bailly du Bois et al . ( 2012 ) en raison de problèmes méthodologiques. Charette et al . ( 2013 ) ontestimé l’inventaire de rejet direct à partir des données d’ observation de Cs radioactif avec des isotopes du radium en mai-Juin 2011, et aucun dépôt atmosphérique a été pris en charge. Leurs estimations des rejets directs peuvent être inclus dans le dépôt atmosphérique. Tsumune et al . ( 2012 ) ont montré clairement que les rejets directs ontcommencé le 26 Mars 2011 en utilisant 131 I / 137 rapports d’activité Cs, qui variait beaucoup plus avant le 26 Mars 2011 , lorsque le dépôt atmosphérique est la principale source. Les estimations les plus récentes ont révélé que 3-4 PBq de 134 Cs et 137 Cs ont été directement rejetés dans l’océan et 12-15 PBq de 134 Cs et 137 Cs ont été déposés sur l’eau de mer de surface dans le Pacifique Nord (Aoyama et al ., 2015a ).

Vue schématique du système actuel: (a) dans le Pacifique Nord et (b) autour des îles japonaises. Les lignes continues indiquent le courant de surface et les lignes en pointillés indiquent la circulation des eaux de mode. FNPP: Fukushima Dai-ichi centrale nucléaire; STMW: subtropicale mode eau; CMW: Mode Central Water. Sur la base de Kumamoto et al . ( 2014 ); Oka et al . ( 2011 , 2015 ); Talley ( 1993 ) et Yasuda ( 2003 ) [figure de couleur peut être consulté à wileyonlinelibrary.com ].

 

 

 

 

 

 

 

Ce document met l’accent sur le Cs radioactif dans l’eau de mer et résume les estimations du montant total des libérés Cs radioactifs du site FNPP, les changements spatio-temporelles dans les concentrations de 134Cs et 137Cs non seulement au large de la côte de Fukushima et les préfectures voisines, mais aussi dans le Pacifique Nord et des mers adjacentes telles que la mer du Japon, mer de Chine orientale, en fonction des résultats de mesure et des modèles de simulation publiés pendant 4 ans depuis l’accident FNPP.

Cette revue résume les plus de 70 articles publiés au cours des 4 années écoulées depuis l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi qui a eu lieu le 11 Mars 2011, et détaille le modèle de dispersion radioactive de césium dans les mers du Pacifique Nord et adjacentes. La quantité totale de césium radioactif de Fukushima dérivé libéré dans le Pacifique Nord par dépôt atmosphérique et rejet direct, des variations spatio-temporelles de la côte du Pacifique autour du lieu de l’accident, et les niveaux de concentration de césium radioactif autour des îles japonaises, non seulement le Pacifique côte mais aussi dans les mers adjacentes, comme la mer du Japon, mer de Chine orientale sont résumées. Sur la base des données d’observation obtenues principalement pendant 2 ans depuis l’accident, et les résultats de la simulation, la dispersion océanique de césium radioactif dans toute la région du Pacifique Nord est décrit. Le césium radioactif dérivé Fukushima-est dispersé sous forme de l’eau de surface et étendue sur le côté est du Pacifique Nord en 2014, et a également été observée par une intrusion vers le sud jusqu’à subsurface eaux comme subtropicale mode eau et le mode Eau Central. Le mouvement de césium radioactif lié à l’eau de mode est important en termes de circulation de césium dans l’intérieur de l’océan. Certaines nouvelles technologies et techniques relatives à la surveillance d’urgence de la radioactivité dans l’environnement de l’océan sont également signalés, dont l’efficacité a été démontrée par l’utilisation par rapport à l’accident de Fukushima.

 


ANNEXE2

DEVANT L’AMPLEUR DU DANGER,LE GOUVERNEMENT JAPONAIS ORDONNE UN PLAN  D’ÉVACUATION COMPLET

Les zones à évacuer:on parle de plus de 40 millions de personnes

 

Sur les 11 municipalités de la préfecture de Fukushima qui sont entrées sous les ordres d’évacuation après la centrale de Fukushima 2011 N ° 1 effondrements de centrales nucléaires, cinq ne disposent pas de plans d’évacuation en cas d’accident nucléaire se produit à nouveau, même si d’interdiction d’entrée des commandes sont progressivement levées.

Le gouvernement central demande des municipalités locales situées à proximité des centrales nucléaires à élaborer des plans d’évacuation en cas d’urgence nucléaire. Selon la politique du gouvernement central, les gouvernements locaux devraient donner des ordres d’évacuation immédiate aux résidents vivant à moins de 5 kilomètres d’une installation en cas d’une « urgence à grande échelle » – situations, y compris la perte de puissance à refroidissement des réacteurs nucléaires.

En règle générale, ceux qui vivent entre 5 et 30 kilomètres d’une usine font l’objet d’une évacuation à l’intérieur, et quand une dose de rayonnement de 20 microsieverts par heure est détectée, l’évacuation devrait être achevée dans un délai d’une semaine. L’évacuation immédiate est recommandée lorsque la dose atteint 500 microsieverts par heure.

Un représentant du village de Katsurao, dont les habitants ont commencé à retourner, dit Shimbun Mainichi que le gouvernement municipal n’a pas créé son plan d’évacuation, car « il n’y a que deux fonctionnaires en charge de la question. » Le fonctionnaire a ajouté: « Nous ne facturons « t ont des connaissances spécialisées (sur les évacuations nucléaires) et nous ne pouvons pas le manipuler avec tous les autres travaux que nous devons faire.Ni l’État ni le gouvernement Fukushima Préfectoral nous donne des conseils « .

Un responsable du village de Iitate, où l’ordre d’évacuation sera levée à la fin de Mars, a déclaré en plus d’une pénurie de main-d’œuvre, « il est difficile de faire un plan avant d’examiner le nombre de résidents reviendront. » La ville de Tamura , dont les habitants ont commencé à revenir, et les villes de Futaba et Okuma, où il reste inconnu alors que les résidents seront en mesure de revenir, ne pas les plans d’évacuation.

Pendant ce temps, les villes de Namie et Tomioka ont tracé leurs plans, qui prennent le principe de base d’évacuer tous les habitants de la ville en cas d’une urgence à grande échelle – mesure plus drastique que la politique du gouvernement central exige – dire que juste après la politique d’évacuation de l’Etat ne pas protéger la sécurité de leurs résidents. Namie Le maire Tamotsu Baba dit au Mainichi, « Les résidents ne croient pas qu’ils seraient en sécurité si elles restent à l’intérieur d’un bâtiment. »

En ce qui concerne les plans d’évacuation locaux, une équipe de soutien aux victimes des accidents nucléaires au Cabinet Office souligne que, si ces plans ne sont pas obligation pour l’Etat de lever les ordres d’évacuation, les gouvernements locaux devraient préparer des mesures de prévention des catastrophes.

La centrale nucléaire de Fukushima frappé n ° 1 est différent des autres centrales nucléaires dans le pays que les travaux de démantèlement est en cours pour l’ensemble de ses six réacteurs. Dans le même temps, une route rugueuse est prévue pour le projet d’enlever combustible fondu, et la dose de rayonnement à l’intérieur de l’heure estimée réacteur n ° 2 est jusqu’à 650 sieverts.

Selon un sondage d’opinion par l’Agence pour la reconstruction ciblant les habitants de la ville de Tamura, 61,5 pour cent de ceux qui ont dit qu’ils voulaient vivre dans d’autres municipalités que Tamura UCTE mentionne sur les travaux de démantèlement et de gestion de la centrale nucléaire comme raisons de ne pas vouloir venir arrière.

Hirotada Hirose, professeur émérite à l’Université chrétienne de Tokyo  et un expert en matière de prévention des catastrophes nucléaires, a déclaré: « L’état du combustible nucléaire fondu (à la centrale de Fukushima) est inconnue et les répliques sismiques continuent encore dans la préfecture de Fukushima. Il est un problème que les ordres d’évacuation sont levées tandis que les gouvernements locaux ne sont pas venus avec leurs plans d’évacuation « .

 


ANNEXE 3

LA BANALISATION ET L’EXPORTATION  DU PROBLÈME 

Au Japon et à  Fukushima ,on médite sur le recyclage du sol pour les parcs publics et espaces verts

Les travailleurs se déplacent de grands sacs en plastique noir contenant de la terre irradiée. Fukushima préfecture, près de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.

 

Le sol de la préfecture de Fukushima peut être utilisé comme site d’enfouissement pour la création de « espaces verts » au Japon, un groupe gouvernemental a proposé, face à un potentiel réaction du public sur les craintes d’exposition aux radiations résiduelles de la terre décontaminée.

Le comité consultatif du ministère de l’ Environnement a proposé lundi la réutilisation du sol qui a été contaminé lors de la crise nucléaire de Fukushima de 2011 dans le cadre des décharges futures désignées pour un usage public, que Kyodo News a rapporté

Dans sa proposition, le groupe environnemental évité ouvertement en utilisant le mot « parc » et au lieu dit « espace vert », apparemment pour éviter un tollé général prématurée, Mainichi Shimbun.

Suite à une enquête de la prise de nouvelles, le ministère de l’Environnement a précisé que « les parcs sont inclus dans l’espace vert. »

En plus de décontaminer et recycler la terre contaminée pour les nouveaux parcs, le ministère a également insisté sur la nécessité de créer une nouvelle organisation qui sera chargée de gagner la confiance du public sur les perspectives de ces modes de recyclage.

Pour calmer les inquiétudes du public immédiat, le groupe a déclaré que le sol décontaminé sera utilisé en dehors des zones résidentielles et sera couverte d’un niveau séparé de la végétation pour répondre aux directives du gouvernement approuvé l’année dernière.

En Juin l’année dernière, le ministère de l’Environnement a décidé de réutiliser le sol contaminé avec une concentration de césium radioactif entre 5 000 à 8 000 becquerels par kilogramme pour les travaux publics comme les routes dans tout le pays et les banques de marée.

En vertu de ces lignes directrices, qui peuvent désormais être étendus à utiliser pour les parcs, le sol contaminé doit être recouvert de terre propre, de béton ou d’autres matériaux.

Une telle décharge, le gouvernement a dit à l’époque, ne causera pas de mal aux résidents à proximité car ils souffriront une exposition inférieure à 0,01 mSv par an après la construction est terminée.

La centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a subi une défaillance panne et ultérieure de ses systèmes de refroidissement en Mars 2011, quand il a été frappé par un tremblement de terre et un tsunami meurtrier qui a frappé le centre, crachant le rayonnement et forçant 160.000 personnes à fuir leurs maisons. ont été touchés trois des six réacteurs de la centrale par des effondrements, ce qui rend la catastrophe nucléaire de Fukushima la plus grave depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986.

https://www.rt.com/news/382515-japan-recycling-fukushima-soil/#.WNoJ3cpBs98.facebook

Gouv propose la réutilisation du sol décontaminé sur la terre verte de Fukushima

Le ministère de l’Environnement a proposé lundi la réutilisation du sol décontaminé de la préfecture de Fukushima catastrophe a frappé les sites d’enfouissement pour les parcs et espaces verts.

Lors d’une réunion d’un comité consultatif, le ministère a également appelé à lancer une nouvelle organisation pour élaborer des plans sur la façon de gagner la compréhension du public au sujet de la réutilisation des sols décontaminés, les responsables du ministère.

Les propositions viennent à un moment où la préfecture de Fukushima fait face à une pénurie de sol en raison des travaux de décontamination à la suite de la fusion nucléaire 2011.

Source:http://english.kyodonews.jp/news/2017/03/465656.html

 

 

 

 

 

 

Alerte Fukushima: le niveau de radioactivité atteint un niveau sans précedent

l’exploitant de la centrale de Fukushima centrale nucléaire a détecté des niveaux de radiation extrêmement élevés à un réacteur endommagé à la centrale de Fukushima au Japon.

Les niveaux de rayonnement qui sont mortels après une brève exposition ont été trouvés à l’intérieur du deuxième réacteur jeudi,le 2 février 2017.

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Tokyo Electric Power Company a également trouvé un trou qui a été probablement causé par le combustible nucléaire fondu  qui a également été découvert dans le réacteur.

RT rapporte:

Des niveaux allant jusqu’à 530 Sieverts par heure de rayonnement ont été détectés à l’ intérieur du réacteur inactif 2 au complexe nucléaire de Fukushima Daiichi,la centrale  endommagée pendant le tremblement de terre et le tsunami catastrophe de 2011, ce que les  médias japonais ont rapporté jeudi citant l’exploitant de la centrale, Tokyo Electric Power Company (TEPCO).

Une dose d’environ 8 Sieverts est considérée comme incurable et fatale.

Un trou de pas moins d’un mètre carré  a également été découvert sous la cuve sous pression du réacteur, a expliqué TEPCO . Selon les chercheurs, l’ouverture apparente dans la grille métallique de l’un des trois réacteurs qui avaient fondues en 2011, est censé être avoir été causé par le combustible nucléaire fondu qui est tombé à travers le vaisseau.

L’échafaudage de fer a atteint  un point de 1500 degrés de fusion, selon TEPCO , expliquant qu’il y a une possibilité  que des débris de carburant soient tombé sur elle et ouvert le trou. De tels débris de carburant ont été découverts sur les équipements au fond de la cuve sous pression juste au-dessus du trou, a-t-on  ajouté.

Les derniers résultats ont été libérés après une sonde récente de la caméra à l’intérieur du réacteur, explique TEPCO . À partir de l‘utilisation d’une caméra télécommandée montée sur un long tuyau, les scientifiques ont réussi à obtenir des images de lieux difficiles à atteindre où des matières nucléaires résiduelles sont restées. La substance, elle est tellement toxique que les robots, même fabriqués spécialement  pour ce travail et aussi conçus pour sonder les profondeurs sous-marines sous la centrale sont déjà émietté et arrêté en cours de travail.

Cependant, TEPCO envisage toujours de lancer de nouvelles évaluations plus détaillées à la centrale nucléaire endommagée à l’aide de robots automoteurs.

Plus tôt cette semaine, les espoirs pour un nettoyage plus efficace à Fukushima étaient très  élevés, tellement que l’exploitant a annoncé qu’une partie des débris responsables d’une grande partie de la contamination radioactive  persistante depuis six ans (des combustibles nucléaires résiduels)  peut avoir finalement été trouvé.

Hors,il semble que TEPCO soit obligé et forcé de donner l’heure juste et n’aurait plus le choix que de dire la vérité après 6 ans de mensonge de cachotteries et de …détournement de fonds publics.Plus le temps passe et plus la situation devient hors de contrôle.

Il y a plus de 1100 citernes de stockage d'eau radioactive sur le site de Fukushima Daiichi.Une catastrophe écologique majeure se prépare.
Il y a plus de 1100 citernes de stockage d’eau radioactive sur le site de Fukushima Daiichi.Une catastrophe écologique majeure se prépare.

Le coût du nettoyage de Fukushima

L’administration Abe a décidé d’utiliser l’argent des contribuables pour décontaminer les zones dans la préfecture de Fukushima interdite aux personnes en raison de retombées de substances radioactives des effondrements Mars 2011 à Fukushima n ° 1 de la centrale électrique de Tokyo Electric Power. La décision, qui dévie de la politique actuelle que Tepco doit payer pour les efforts de décontamination, reflète une proposition présentée en Août par la coalition au pouvoir du  Parti libéral démocratique et du  Komeito du Premier ministre Shinzo Abe, mais jamais discuté par le conseil d’experts ou du gouvernement,soit  « Le régime politique corrompu du Japon ».

L'ensemble du Site
L’ensemble du Site

Le gouvernement peut vouloir justifier le mouvement comme un effort pour aider à accélérer le retour à leurs communautés ville natale de personnes évacuées. Pourtant, il sera difficile pour l’administration de se soustraire à la critique que la mesure est rien, mais un plan de sauvetage financé par les contribuables pour Tepco, qui est responsable de retombées nucléaires qui a touché tant de gens à Fukushima.

En procédant à des travaux de décontamination, l’administration espère lever les ordres d’évacuation dans certaines des  » zones de non-droit » dans environ cinq ans. On espère que ces zones serviront de bases pour les activités visant à promouvoir la reconstruction de la catastrophe nucléaire. Comme première étape, le gouvernement prévoit de mettre de côté 30 milliards ¥ dans le budget fiscal 2017. Jusqu’à présent, aucun travail de nettoyage à grande échelle a été réalisée à l’intérieur de ces zones, qui chevauchent sept municipalités autour de la centrale Tepco.

Il y avait plus de 1,100 réservoirs d'eau irradiée d'entreposés sur le site.
Il y avait plus de 1,100 réservoirs d’eau irradiée d’entreposés sur le site.

La position du gouvernement est qu’il est sécuritaire pour les personnes évacuées de retourner dans leurs communautés si la dose cumulative annuelle il y a 20 millisieverts (mSv) ou moins, bien que la limite légale autorisée pour les personnes dans des circonstances normales est de 1 mSv. Le millisievert est une mesure de l’absorption du rayonnement par l’organisme humain. En zones interdites, la dose annuelle tops 50 mSv et ne devrait pas tomber en dessous de 20 mSv au cours des cinq prochaines années.

Les retombées radioactives de Fukushima  continuent de préoccuper.
Les retombées radioactives de Fukushima continuent de préoccuper.

Fidèle au principe du pollueur norme payeur, qui a également été appliquée à l’Minamata empoisonnement au mercure catastrophe dans les années 1950 et 60, la loi spéciale pour faire face aux dégâts de la catastrophe de Fukushima stipule que Tepco doit assumer le coût de nettoyage, ainsi que les travaux de décontamination est payé par l’argent des contribuables, l’utilitaire doit plus tard rembourser le gouvernement. Maintenant, le gouvernement prévoit de réviser la loi spéciale sur la décontamination et d’autres lois afin qu’il puisse payer les travaux de décontamination prévue à Fukushima. Pour contrer la critique possible que le régime ne vise qu’à aider Tepco, le gouvernement fait valoir que le travail prévu vise à améliorer l’infrastructure publique dans les zones de non-droit alors évacués peuvent retourner. Cependant, le travail comprendra gratter la terre végétale et l’abattage des arbres, ce qui en fait pas différent que les efforts de décontamination dans d’autres domaines.

On continue de ramasser nombres de déchets douteux.
On continue de ramasser nombre de déchets douteux.

Pour justifier l’utilisation de l’argent des contribuables, le gouvernement dit aussi que Tepco a versé une indemnité aux personnes évacuées des zones de non-droit sur l’hypothèse selon laquelle ils ne seraient pas en mesure de retourner dans leurs foyers pendant une période prolongée. Ainsi, dans une directive révisée pour la reconstruction de la préfecture de Fukushima, le gouvernement dit qu’il va payer pour la décontamination prévue sans demander le remboursement de Tepco.

Derrière la décision du gouvernement pour l’utilisation de l’argent des contribuables est la dépense exponentielle  de décontamination, avec la dernière estimation passant de l’original ¥ 2,500,000,000,000 pour ¥ 4,000,000,000,000, qui ne comprend pas le coût du nettoyage des zones de non-droit. Le gouvernement attend les travaux prévus dans ces zones à coûté environ 300 milliards ¥ sur cinq ans, mais le prix pourrait augmenter si le travail devient prolongée. Et le fardeau des contribuables peut encore augmenter si la portée de la décontamination payé par le gouvernement dans ces domaines est élargi.

À cause de plus de 450 tonnes d'eau irradiée rejetée à la mer,ce sont des millions de poissons morts que nous retrouvons,maintenant,face à la baie de Fukushima et sur les plages japonaises.
À cause de plus de 450 tonnes d’eau irradiée rejetée à la mer,ce sont des millions de poissons morts que nous retrouvons,maintenant,face à la baie de Fukushima et sur les plages japonaises.

Dans un mouvement connexe, le Ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie est venu avec une idée de passer une partie du coût de la rémunération de Tepco pour les victimes de la catastrophe de Fukushima sur les consommateurs sous la forme de la hausse des factures d’électricité, le coût total estimé pour le démantèlement la centrale de Fukushima n ° 1 plante, la compensation et la décontamination a gonflé de l’original ¥ 11000000000000 pour ¥ 21500000000000. Ces mouvements non seulement augmenter le fardeau financier des personnes, mais brouillent également la responsabilité de la compagnie d’électricité pour les ravages qu’il a causé. Le gouvernement peut dire que les mesures sont nécessaires pour aider à promouvoir la reconstruction de Fukushima. Mais ils pourraient détourner l’attention du public à partir du principe qu’il est Tepco qui doit payer pour le démantèlement de ses réacteurs, l’indemnisation des victimes et de nettoyage des zones contaminées.

http://www.japantimes.co.jp/opinion/2016/12/23/editorials/cost-cleaning-fukushima/#.WF15Dlzia-c

 

 

Alerte Fukushima:Feu vert à la réutilisation des sols radioactifs dans des projets de travaux publics

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Selon  un de mes correspondants…en liberté surveillée au Japon:

Le ministère de l’Environnement  du Japon  a officiellement décidé,le 30 Juin  2016,de permettre une utilisation limitée des sols contaminés par la radioactivité dans des projets de travaux publics, mais a évité de dévoiler que les estimations (lors d’une réunion à huis clos ) que le sol radioactif doit  être surveillé  jusqu’à 170 ans.

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Le ministère a décidé que le sol pourrait être réutilisé pour des remblais aussi longtemps que la radioactivité du césium qu’il contenait ne dépassait pas 8.000 becquerels par kilogramme. En vertu de la Loi sur la réglementation des matières nucléaires Source, matières nucléaires combustible et des réacteurs, le sol contaminé peut être utilisé librement si le niveau de radioactivité est de 100 becquerels par kilogramme ou moins.

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Il est apparu plus tôt que le ministère avait calculé dans une réunion à huis clos que certains sols devraient être surveillé pendant 170 ans – bien au-delà de la durée de vie des remblais.Toutefois, dans la politique de base du ministère,on  a simplement déclaré, «La sécurité et les méthodes d’administration seront examinés au cours des processus de vérification à l’avenir. »

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Il est prévu que jusqu’à environ 22 millions de mètres cubes de déchets contaminés par des matières radioactives venant de la catastrophe nucléaire de Fukushima vont finir entassés dans une installation de stockage provisoire à cheval sur la frontière entre les villes de Fukushima ,la Prefecture Okuma et Futaba. Le gouvernement central prévoit d’éliminer les déchets pour le bien en dehors de la préfecture par Mars 2045, mais espère réutiliser autant  que possible pour réduire la masse énorme des déchets radioactifs.

En vertu de la politique de base du ministère, la réutilisation du sol sera limitée aux travaux publics où l’organisme chargé de l’administration.Donc, il est clairement établi, que  la dose de rayonnement à une distance de 1 mètre ne soit pas plus de 0,01 millisieverts par an. Lors de l’utilisation des sols contaminés par un niveau de radioactivité de 8.000 becquerels par kilogramme, il serait placé sous au moins 50 centimètres du sol de couverture, qui seraient alors couverts par du sable et de l’asphalte.

Au cours de la réunion à huis clos, il a été calculé qu’il faudrait 170 ans pour que la radioactivité du sol contaminé puisse  diminuer naturellement de 5.000 à 100 becquerels par kilogramme – une durée de vie beaucoup plus longue que la durabilité des monticules de terre, établie à 70 ans.

Des feuilles radioactives
Des feuilles radioactives

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Greenpeace nuclear campaigner Nikki Westwwod samples soil to test for contamination on the outskirts of Fukushima City, 60 km from the stricken Fukushima Daiichi nuclear plant. Greenpeace is working in the area to monitor radioactive contamination of food and soil to estimate the health and safety risks for the local population.
Greenpeace nuclear campaigner Nikki Westwwod samples soil to test for contamination on the outskirts of Fukushima City, 60 km from the stricken Fukushima Daiichi nuclear plant. Greenpeace is working in the area to monitor radioactive contamination of food and soil to estimate the health and safety risks for the local population.

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