L’État Islamique frappe encore:Les djihadistes de l’Etat islamique tuent les chefs d’une île camerounaise pour leur avoir refusé le ravitaillement

Des djihadistes de l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap)/

 

Mardi soir, les djihadistes de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap) sont arrivés en hors-bord sur l’île de Bulgaram, une localité camerounaise du lac Tchad, depuis leur enclave du côté nigérian de la frontière, et ont commis des exécutions ciblées, ont annoncé des sources sécuritaires nigérianes.

“Ils sont arrivés à 18H30 (18H30 GMT) pendant que les gens se préparaient pour les prières du soir, et ils ont abattu 14 chefs de la communauté”, a précisé une source. Certaines victimes ont été assassinés dans leur maison tandis que d’autres ont été tuées dans la mosquée où elles étaient venues prier, a détaillé une autre source.

L’attaque est survenue après que cette localité, importante pour la logistique de l’Etat islamique, ait banni l’approvisionnement en vivres des terroristes à destination de zones sous leur contrôle de l’autre côté du lac, en territoire nigérian.

Quelques jours auparavant, les chefs locaux avaient invoqué le Coran lors d’une réunion, et lancé une malédiction contre tout habitant qui ravitaillerait les djihadistes, une décision interprétée par les islamistes comme une trahison.

Plusieurs frappes aériennes nigérianes la semaine dernière ont touché des bastions de l’Iswap, faisant plusieurs dizaines de morts, dont des chefs militaires d’importance, selon des sources locales et militaires.

Source: AFP


EN COMPLÉMENTAIRE

La région du Sahel en Afrique de l’Ouest est devenue la dernière zone de combats djihadistes, après que le groupe d’État islamique (IS) a révélé qu’il combattait des groupes affiliés à Al-Qaïda au Mali et au Burkina Faso.

L’IS a fait cette révélation le 7 mai dans un rapport détaillé de son hebdomadaire Al-Naba.

L’organisation a accusé la filiale d’Al-Qaïda au Sahel, le Jamaat Nusrat al-Islam wal-Muslimin (JNIM), d’avoir commencé le combat et d’avoir mobilisé des forces importantes pour attaquer les positions de l’IS dans les deux pays.

Le scénario est familier. L’IS et les affiliés d’Al-Qaïda ont déjà pris d’assaut d’autres points chauds du djihadisme, comme le Yémen, la Somalie et la Syrie, en se disputant les zones d’influence, les recrues et les ressources.

L’article de l’IS contredit les rapports du début de l’année qui suggéraient que les deux groupes collaboraient dans la région.

Les combats internes pourraient avoir un impact sur les opérations djihadistes contre les troupes locales et étrangères dans le Sahel, où les deux groupes ont considérablement intensifié leurs attaques depuis l’année dernière.

Que dénonce l’État islamique ?

Dans son rapport, IS a dénoncé les récentes attaques d’Al-Qaïda contre des militants d’IS au Mali et au Burkina Faso, où les deux groupes sont actifs.

Le JNIM, sur ordre de ses dirigeants Iyad Ag Ghaly et Amadou Koufa, a rassemblé des forces importantes pour cibler les l’État islamique à plusieurs reprises dans les deux pays depuis avril.

Il s’est également plaint que le JNIM bloquait l’approvisionnement en carburant de ses militants et détenait des locaux soupçonnés de le soutenir.

Cette action du JNIM, a déclaré l’IS, coïncide avec une intensification des opérations contre ses combattants par les troupes régionales africaines et françaises dans le Sahel.

Le JNIM selon l’État islamique, a utilisé ces conditions comme une opportunité pour cibler ses troupes à ce moment précis.

Il a affirmé que les événements étaient le seul obstacle auquel est confronté le JNIM aujourd’hui, puisque ce dernier a accepté de tenir des discussions avec le gouvernement du Mali et a prétendument fait la paix avec toutes les forces pro et anti-gouvernementales et les tribus du nord du Mali, y compris les milices d’autodéfense Dogon « païennes ».

L’IS a précédemment cherché à utiliser la volonté du JNIM d’ouvrir le dialogue avec les autorités maliennes comme un moyen de saper les références djihadistes du groupe Al-Qaida.

Pourquoi maintenant ?

On ne sait pas très bien pourquoi l’IS et le JNIM n’ont pas discuté publiquement des affrontements jusqu’à ce dernier rapport de l’IS, d’autant plus que, selon l’IS, les combats sont intenses depuis le 17 avril.

La révélation de l’IS, cependant, fait suite à une déclaration non vérifiée attribuée au JNIM et partagée en ligne le 5 mai par des témoignages djihadistes non officiels, dans lesquels le groupe Al-Qaida a fermement rejeté une prétendue proposition de cessez-le-feu de l’IS.

Si la déclaration est authentique, elle peut expliquer pourquoi l’État islamique a décidé de rendre publique l’histoire maintenant.

La prétendue déclaration du JNIM est venue en réponse à un message audio non vérifié partagé en ligne en avril et attribué à un commandant malien de l’IS identifié comme Abdel Hakim al-Sahraoui.

Le prétendu message de l’IS proposait une trêve si le JNIM acceptait de payer le prix du sang des combattants de l’IS tués et de libérer les prisonniers de l’IS.

Aucun des deux groupes n’a officiellement fait référence aux messages non vérifiés qui leur ont été attribués.

L’Etat Islamique a récemment publié un « documentaire » qui condamne Al-Qaïda comme « apostat » et comme « vendu »

Les derniers combats au Sahel coïncident également avec le renforcement de la rhétorique du SI contre la branche d’Al-Qaïda au Yémen, AQAP. Les deux groupes se battent depuis juillet 2018.

Au Mali comme au Yémen, le SI accuse ses rivaux d’Al-Qaïda de collaborer secrètement avec des forces et des milices « laïques » ou liées au gouvernement pour combattre le SI.

L’IS est également engagé dans la lutte contre les Talibans en Afghanistan. L’IS a utilisé les pourparlers de paix des talibans avec les États-Unis et la volonté du JNIM de parler au gouvernement du Mali comme arguments clés pour saper ces groupes, dans l’espoir de gagner la confiance de leurs membres les plus intransigeants.

Les djihadistes ont considérablement intensifié leurs attaques dans les pays du Sahel depuis l’année dernière, suscitant de nouvelles alliances régionales et internationales et des campagnes militaires pour tenter de faire face à cette menace croissante.

Le JNIM est certainement devenu l’une des deux branches les plus meurtrières d’Al-Qaïda, avec Al-Shabab en Somalie.

Entre-temps, l’IS du Sahel – qui s’appelle officiellement « Province de l’Afrique de l’Ouest » mais qui est largement connu sous le nom d’État islamique du Grand Sahara (ISGS) – a rapidement pris pied dans les pays du Sahel malgré le fait qu’il n’y ait eu des activités révélatrices qu’en mars de l’année dernière.

Le groupe a revendiqué un certain nombre d’attaques qui ont fait de nombreux morts dans les armées du Mali, du Niger et du Burkina Faso.

Les derniers combats djihadistes internes pourraient distraire les deux groupes et affecter leur capacité à continuer à planifier et à organiser des attaques contre les armées locales et leurs bailleurs de fonds étrangers.

Le rapport du SI a brossé un tableau des graves affrontements entre le SI et le JNIM impliquant des attaques mortelles et un grand nombre de combattants. Il suggère également que le SI est numériquement désavantagé par rapport au JNIM.

Les combats internes peuvent également nuire à la réputation de djihadiste des deux groupes et à leur capacité de gagner des recrues dans la région.

Il est plus difficile de convaincre les habitants de la région de se joindre à un combat contre leurs camarades djihadistes plutôt que contre le gouvernement ou des troupes étrangères.

Les djihadistes eux-mêmes attribuent souvent l’affaiblissement des efforts djihadistes en Syrie aux combats internes entre les différents groupes.

C’est peut-être une autre raison pour laquelle l’IS et le JNIM n’ont pas parlé publiquement des combats jusqu’à présent.


 

L’Etat Islamique a révélé les affrontements avec le JNIM par le biais de son journal hebdomadaire al-Naba

 

 

 

 

 

 

 

Remplacement de population:L’ État islamique revendique deux attaques meurtrières au Mali

Souvenons nous de Boko Haram,groupe qui s’est uni au calife de l’État Islamique depuis 2014.
Avant cela,ces terroristes avaient enlevés des centaine de jeunes filles étudiantes dont la plupart sont devenues enceintes plusieurs fois depuis.

 

49 soldats ont été tués dans une « attaque terroriste » contre un camp militaire.

Des soldats du califat ont attaqué une base militaire où sont stationnés des éléments de l’armée malienne apostate dans le village d’Indelimane, dans la région de Ménaka, a indiqué samedi l’État islamique dans un communiqué signé « Province Afrique de l’Ouest » et publié sur ses chaînes Telegram.

Avec la mort de 49 soldats, le bilan de l’attaque, annoncé samedi par l’armée sur sa page Facebook, est l’un des plus importants enregistrés depuis l’invasion djihadiste dans le nord du pays, en 2012, qui s’est progressivement étendue vers le centre et les États voisins.

Les terroristes ont mené une attaque-surprise à l’heure du déjeuner. Des véhicules de l’armée ont été détruits, d’autres emportés, a précisé samedi un officier de l’armée malienne présent à Indelimane. Une vingtaine de rescapés ont été retrouvés après l’assaut, selon les forces maliennes qui ont aussi fait état de trois blessés et de dégâts matériels.

Au lendemain de cette attaque, un soldat français a également trouvé la mort près de la frontière du Niger.

Les soldats du califat ont pris pour cible un convoi de véhicules des forces françaises, près d’Indelimane, dans la région de Ménaka, en déclenchant un engin explosif, a écrit l’EI dans un second communiqué.

L’explosion de l’engin artisanal est survenue à 20 km d’Indelimane pendant une mission de sécurisation prévue de longue date, mais n’aurait « aucun lien » avec l’attaque de vendredi dans cette localité, a affirmé le porte-parole de l’état-major français, le colonel Frederic Barbry.

Les deux communiqués ont été publiés une semaine après l’annonce de  la quatrième mort du chef de l’EI, Abou Bakr al-Baghdadi, supposément tué lors d’un raid américain en Syrie.

Avec l’attaque de vendredi, l’armée malienne subit une de ses plus lourdes pertes depuis plusieurs années. (photo d’archives)

Une « mobilisation africaine » contre les djihadistes

La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a condamné très fermement l’attaque terroriste et affirme que des opérations de sécurisation sont en cours dans la région avec l’appui de Casques bleus.

Cette saignée que le Mali vit ne peut plus continuer. Voulez-vous qu’on se résigne à ce calvaire?, a déclaré samedi à Bamako l’imam Mahamoud Dicko, influente figure religieuse malienne.

De son côté, le Sénégalais Alioune Tine, défenseur des droits de l’homme, a appelé samedi à une mobilisation africaine.

«Si l’Afrique ne se mobilise pas pour le Mali et le Burkina, elle ne sera pas épargnée par le feu de brousse qui va vite gagner les pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest, les prochaines cibles de choix des djihadistes.» – Alioune Tine, défenseur des droits de la personne

Le premier ministre burkinabè, Christophe Joseph Marie Dabiré, s’est quant à lui déclaré meurtri à la suite de cette barbarie inqualifiable.

La nébuleuse terroriste dans la région

L’attaque de vendredi à Indelimane suscite également des interrogations sur les capacités d’action de l’armée malienne dans cette région où se trouvent les frontières de plusieurs pays, notamment le Niger et le Burkina Faso, touchés eux aussi par les attaques djihadistes.

Elle fait notamment écho aux attaques meurtrières survenues le 30 septembre à Boulkessy et le 1er octobre à Mondoro, dans le sud du Mali, près du Burkina Faso. Quarante soldats avaient alors été tués dans ces deux attaques, selon un bilan d’un responsable du ministère de la Défense. Plusieurs sources estiment que ce bilan officiel de 40 morts a été sous-évalué.

Voisin du Mali, le Burkina Faso est pris depuis près de cinq ans dans une spirale de violences attribuées à des mouvements djihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda et d’autres au groupe État islamique.

Depuis 2016, 204 militaires burkinabè sont « tombés pour la défense de la patrie » lors d’attaques djihadistes, qui ont fait au moins 630 morts civils et militaires, selon un comptage de l’AFP. Depuis début 2015, les attaques, de plus en plus fréquentes et meurtrières, en particulier dans le Nord et l’Est, ont occasionné près de 500 000 déplacés internes et réfugiés, d’aprè l’ONU.

Ces attaques au Sahel sont d’abord parties du nord du Mali, tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupuscules liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touareg, d’abord alliée à ces groupes, qui l’ont ensuite évincée.

Les djihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France et d’une intervention militaire, qui se poursuit toujours.

Or, les violences ont non seulement persisté, mais elles se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.

 

 

Documentaire important :Qui a tué Massoud?

Ahmed Shah Massoud, fréquemment appelé le commandant Massoud, était le commandant du Front uni islamique et national pour le salut de l’Afghanistan, du Jamiat-e Islami et le chef de l’Armée islamique, une armée ayant combattu contre l’occupation soviétique puis le régime des talibans de 1996 à 2001.

 

Sa mort provoqua un rapprochement avec les USA.

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American and European taxpayers have provided $ 80 million to support Islamic terrorism – Think Tank

 

 

CC0 A report from the Middle East Forum (MEF) says that one of the largest Islamic charities, indirectly funded by US taxpayers from America and Europe, is linked to terrorist groups around the world. Islamic Relief (IR), one of the largest Islamic charities in the world, is entangled in […]

Islamic Relief (IR), one of the world’s largest Islamic charities, is entangled in terrorist ties, according to a report by the Middle East Forum (MEF), an American think-tank the Daily Caller.

The report states that IR accepts and provides money to terrorist organizations.

IR claims to accept donations from the Charitable Society for Social Welfare, founded by Abdul Majeed Al-Zindani, that the MEF – a group that has set itself the task of looking for examples of extreme Islamism in the West – is a terrorist. Al Qaeda and « Loyalist of Bin Laden. « 

The non-profit organization IR is providing funding to the Hamas movement in Gaza, considered by Israel as a terrorist group and would also have close ties with the Muslim Brotherhood,

According to the MEF’s report, American and European taxpayers have provided huge amounts of funding to IR over the years. In the last ten years, said the MEF, taxpayers in Western countries have provided at least $ 80 million to Islamic Relief.

« IRW [Islamic Relief West] claims to have received grants from the United States of America […] Government of the United States Department of Health and Human Services and USAID ». read in the report.

« In 2012, IR-Canada received 1.5 million Canadian dollars ($ 1.9 million) from the government. In 2017, an additional $ 4.5 million ($ 5.7 million) in grants to Islamic Relief was posted on Canadian government websites.

The list includes funds from sources in the United Kingdom, the United Nations, Spain and Sweden.

« In total, from the available data, over the last ten years, we can find at least $ 80 million that the Islamic Relief franchise has received from Western governments, the European Union and the United Nations, » he said. The report.

Islamic Relief denies allegations of support for terrorism, accusing the MEF of « building conspiracies » from one-off individual events.

« Islamic Relief operates as a leading humanitarian organization for 25 years working to provide relief and development in a non-discriminatory and dignified way to vulnerable people in more than 40 countries around the world, » said Sharif Aly, CEO of Islamic Relief USA. . (IRUSA), in a statement to The Daily Caller.

« IRUSA upholds strict standards of neutrality and impartiality in fulfilling its global humanitarian mission, » said Aly.

The non-profit organization stresses that it only works with legitimate, accredited charities and government organizations, including FEMA, USDA, Red Cross, and HIAS – a charity for the community. resettlement of Jewish refugees – the paper said.

« [IR] has received more than $ 700,000 from [American] taxpayers’ money during the Obama administration, » said Sam Westrop, author of the MEF report. « And now, under the Trump administration, civil servants continue to talk about its events and legitimize their status as a charitable institution, but officials of this institution continue to promote non-charitable ideas: hatred of Jews, support for ideologies extremists and praise of terror. « 

According to the MEF, Islamic Relief officials « dined at the White House » and served as advisers to the US State Department. However, government funding and support is not the only or the biggest source of revenue. Corporate foundations and individual donors have provided the non-profit organization over $ 4.3 million over the last 17 years, said the MEF report, with the largest donation of 1, $ 4 million from the Bill and Melinda Gates Foundation.

Speaking to the Daily Caller, Westrop noted that the UAE and Israel have banned Islamic aid, and the EU has launched several investigations into accusations that the group is promoting extremist imams who advocate violence and hatred.

« Now is the time for US politicians and law enforcement to consider these reasons, to stop funding the work of Islamic Relief and to begin to challenge the pernicious extremism spread by this franchise. International and its Islamist militants in the United States of America « .

Sources:Spoutniknews

A special thank for Mirastnews for the translation in french

 

 

USA Trump coupe tous les fonds visant à financer les “Casques blancs” en Syrie

Les États-Unis viennent de retirer des fonds à l’un des seuls groupes sur le terrain qui sauvent des vies en Syrie. Environ un tiers du financement de la protection civile syrienne, connue populairement sous le nom de Casques blancs, provenait des États-Unis, le reste provenant du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres gouvernements. Jusqu’à tout récemment, […]

via USA Trump coupe tous les fonds visant à financer les “Casques blancs” en Syrie — 24h Magazine

Le monde arabe se convertit à la multipolarité

Alors que la Syrie est en passe d’éradiquer la menace terroriste qui menaçait le pouvoir légal et l’intégrité territoriale du pays depuis plusieurs années, des changements évidents s’opèrent dans la région. Les succès des alliés de la Syrie, notamment de la Russie, replacent celle-ci au centre du jeu moyen-oriental, au plus grand bénéfice de la […]

via Le monde arabe se convertit à la multipolarité — L’Axe Afrique-Russie

Israel-Al Qaeda-ISIS Love Relationship in Syria — Socio-Economics History Blog

Israel-Al Qaeda-ISIS Love Relationship in Syria by http://www.presstv.com/ Bluffing its way through citing the Islamic Sharia, the al-Qaeda Takfiri group has for a while been acting directly under the auspices of the Israeli regime in an attempt to bring down the Syrian government even at the cost of uniting with the Muslim world’s sworn enemy, […]

via Israel-Al Qaeda-ISIS Love Relationship in Syria — Socio-Economics History Blog

Alerte Sérieuse Troisième Guerre Mondiale:L’Institut Weizman d’Israël fabrique des armes batériologiques et chimiques pour l’État Islamique

Faisant face à d’énormes difficultés depuis le commencement des frappes aériennes russes en Syrie le 30 septembre 2015, des groupes d’assaut relevant de Daech et des autres groupes de la rébellion en Syrie et en Irak utilisent désormais des gaz de combat mais également des bactéries pathogènes dont celle du Vibrio Cholerae.

drapeaux israel-nazi

L’usage d’armes chimiques dans la région n’est pas nouveau. Le 16 mars 1988, en pleine guerre Irak-Iran,  l’aviation irakienne avait utilisé des gaz de combat livrés avec l’aide de Washington contre des rebelles kurdes à Halabja. Si à l’époque, ce bombardement chimique avait provoqué un véritable tollé international, grandement exploité par les médias, il n’en est tout autrement aujourd’hui: Daech ( État Islamique en arabe) et la rébellion dite « modérée » utilisent ouvertement du gaz sarin, de l’Ypérite (gaz moutarde) et des germes sans la moindre condamnation de ce que l’on appelle la communauté internationale.

En Irak, Daech procède systématiquement à la contamination de points d’eau et de barrages hydrauliques avec des agents pathogènes génétiquement modifiés ou particulièrement résistants aux traitements conventionnels.

Une épidémie de Choléra fait actuellement rage au Nord de l’Irak mais également en Syrie et la Sud de la Turquie. La situation est loin d’être maîtrisée et des observateurs avisés n’écartent plus la survenue d’une épidémie régionale.Étrangement,il y a 100 ans maintenant ,la grippe espagnole avait commencée dans des circonstances similaires.

Des officiels irakiens tentent d’alerter le monde sur la gravité de la situation mais leurs appels sont pour l’instant confinés. Aucun média international et encore moins ceux des puissances atlantistes et arabes soutenant les forces radicales au Moyen-Orient n’évoque ce nouvel aspect-fort inquiétant, de la guerre en cours.

La Russie a promis de livrer plus de 1000 tenues de protection NBC (Nuclear, Biological, Chemical) à l’armée irakienne dans le cadre d’Accords bilatéraux mais les besoins des militaires irakiens en la matière risquent d’augmenter très rapidement si Daech continue à se procurer des armes bactériologiques et chimiques auprès de tierces parties dont l’objectif et de faire perdurer le chaos dans la région.

Institut  Weizmann en Israel

Des centaines d’unités de protection NBC sont actuellement livrés par la Russie à quelques régiments de l’armée syrienne dont ceux de la Garde Républicaine.

A Homs, une province du centre de la Syrie où l’armée syrienne, soutenue par l’aviation russe, tente de contrôler afin de désenclaver le littoral méditérranéen et reprendre les voix de communications entre le Sud et le Nord de la Syrie, des groupes d’assaut appartenant à Daech mais également au Front Ennosra et d’autres groupes « modérés » utilisent de plus en plus de gaz de combat pour stopper l’avancée des troupes syriennes et les milices de la défense populaire.

Au moins trois unités de l’infanterie mécanisée syrienne ont rapporté avoir été confrontées à des gaz de combat durant la seule semaine écoulée. Signe qui ne trompe pas, quelques unités du Hezbollah engagées dans des combats sur l’axe Homs-Alep commencent à s’équiper de tenues de protection NBC.

Officiellement, Damas ne dispose plus d’un arsenal chimique. Ce dernier, démantelé en 2014 suite à des menaces de guerre totale de la part des Etats-Unis, a longtemps été considéré comme la principale arme de dissuasion stratégique asymétrique face au très imposant arsenal thermonucléaire et bactériologique d’Israël avec lequel la Syrie est techiquement en guerre depuis des décennies.

 

En Iran, les officiels iraniens demeurent grandement préoccupés par la survenue subite d’une épidémie,notamment dans les provinces occidentales et l’industrie pharmaceutique iranienne, grandement perturbée par les sanctions internationales imposées par Washington à cause du programme nucléaire iranien, concentre depuis quelque temps une grande partie de ses efforts sur les traitements anti-infectieux.

Ce qui demeure étrange est le silence des médias à ce sujet. C’est à peine si on évoque l’épidémie du Choléra sévissant en Irak septentrional menaçant de déborder sur tous les pays de la région. Par contre pas un traître mot sur l’usage par les rebelles syriens et irakiens, « modérés » inclus,  d’armes chimiques dans des combats contre les armées régulières.

Il semble évident que  Daech et ses sponsors n’hésiteraient aucunement à utiliser des armes de destruction massive contre des zones densément peuplées pour jeter l’effroi et stopper les contre-offensives du camp adverse en cours. Des opérations spéciales menées par l’armée russe auraient entre autres visé un centre d’entraînement de la rébellion « modérée » où on tentait de produire des bombes « sales » (radio-actives) à partir de composants de contrebande en provenance de pays du voisinage.

La guerre au Moyen-Orient risque encore de perdurer. Si la stratégie russe s’avère rationnelle et intrinsèquement cohérente, l’entêtement irrationnel des pays soutenant la rébellion et par dessus tout le jusqu’au boutisme de pays comme l’Arabie Saoudite, Israël, le Qatar et la Turquie laissent entrevoir un intérêt marqué moins par l’extension du domaine du conflit mais son aggravation. Jusqu’à quel niveau? Tout l’art des états-majors à Moscou ou à Washington sera de savoir le  maintenir en deçà d’un certain seuil limite. Un exercice que certains analystes assimilent à une sorte de convergence sur un statu quo. Mais que l’on s’y trompe pas un instant: la moindre faille sera exploitée par les deux protagonistes pour achever une victoire, même à la Pyrrhus…

EN CONCLUSION

Le déclenchement  d’une grande pandémie entrerait parfaitement dans les vœux du Plan Illuminati de Dépopulation.Le problème est défini totalement par le rôle de téléspectateur  qu’occupe le citoyen occidental moyen:après 8 heures de travail abrutissantes,le citoyen moyen s’assoie devant sa télévision et écoute les  nouvelles choisies pour lui,par les médias  contrôlés par le système politique.Il est donc  en situation de lavage de cerveau.Pour reprendre en main son sens critique,ce même « citoyen moyen  »   doit  fermer sa télévision et apprendre à réfléchir.

 

 

 

Spectacular photos of Al Qaeda banker in Turkey

This is actually the starting point for operations against the « Turk » government in recent days. Yassin Al -Qadi is strongly believed to help whiten some 100 billion Usd hijacked by the AKP. Recall that during a police raid effected , including the home of the son of three cabinet ministers , huge sums have been found sometimes in shoeboxes sometimes in safes . The son of the Minister of the Interior had no less than 6 safes .

With the following presentation is estimated that the amounts diverted to this day have been entrusted in suitcases Yassin Al -Qadi who simply would have expatriated aboard private jets. Simple as that . Except that Yassin Al -Qadi is Al Qaeda .

The photographs show that Yassin Al -Qadi was entering Turkish territory despite the arrest warrant he is struck . It entered Turkish territory  » illegally . » Most striking , but not surprising for those of you who have a fair reading of globalism is clear that Yassin Al -Qadi is under the protection of the men of Prime Minister Recep Tayyip Erdogan, while is the stress once again actively sought by the police . Moreover, this is not the first time it is received so in this country.

Photo no 1 Aéroport  du secteur asiatique d'Istambul.
Photo no 1
Asiatic area of theIstambul airport.

Photo 1: This photo was taken June 14, 2012 at 17h05 . The red box represents the VIP lounge of the second airport in Istanbul on the Asian side of the city. The red arrow shows a private jet. This is the jet registered TC- ICH . This is a Turkish registration . We see the device more clearly on the images below . This device is positioned so as to make its passengers to disembark directly accessing the VIP lounge. This is the officer responsible for the protection of Prime Minister Recep Tayyip Erdogan, Ibrahim Yildiz receiving the treasurer of El Qaeda . All cameras are off for the occasion. No customs formalities are carried out on this occasion.

Yassin Al -Qadi was struck by a ban on Turkish territory taken by Order in Council of Ministers. And running until 11 October 2012. At the time when these pictures are taken , or June 14, 2012 , it is the fourth visit of the year . The first took place in February 2012.

Photo no 2
Photo no 2

Photo 2

Photo # 2: This is a picture substantially similar to the first. The box on the left refers to VIP lounges. The right one is the private jet. Finally, the box in the lower part shows a vehicle Mercedes. The registration could be found. The vehicle is registered in Ankara « 06 DF 7988 » and is engaged in the service of protection of the Prime Minister. This vehicle is assigned that day Deputy Commissioner Mevlüt Kama, this VIP lounge and responsible driving Yasin El Kadi.

The first stop of Yassin Al-Qadi will be the headquarters of the company retail BIM owned Latif TOPBAS. Very close to the Prime Minister and the « Turkish » president.

Photo no 3
Photo no 3

Photo 3: The private jet in question and its registration: TC-ICH. This photo was not taken on 14 June 2012. It was recovered on canvas. It confirms that a private jet answering this registration does exist.

Photo no 4
Photo no 4

 

Photo 4: This photo is taken once the escort arrived at its first destination. This is the outer court of the BIM. On the left side: The Assistant Commissioner Mevlüt Kama and Mercedes registered 06 DF 7988. On the right side, YASIN YASSIN AL-QADI trying to trace that vehicle to leave the premises of the BIM. He is accompanied by his son Muaz Kadi. It also shows Kadir TOPBAS.

 

Photo no 5
Photo no 5

 

Photo # 5: This is a Land Rover vehicle registered in Istanbul « 34 BT 4979 » and assigned to the use of Yassin Al-Qadi. It’s in the trunk very great indeed, in the case of a 4 × 4 with the vehicle with bags, suitcases and boxes were loaded. Today it is argued that the cargo contained huge amounts of money in cash. And this is more than a probability given the police operations from December 17 in the environment very close to the AKP government.

Photo no 6
Photo no 6

 

 

Photo # 6 : Upper left Square : The driver of El Kadi . Note that the plastic bags are loaded into the boot . ( Although the big caddy)

Upper square law : The son of El Kadi, Kadi Muaz .

Lower left square : Latif Topbas ; Yasin Yassin Al -Qadi , Assistant Commissioner Mevlüt Kama .

Lower square law: The courtyard of the headquarters of the BIM .

Among those who made a visit to Yasin Qadi Al- Yassin , Tayyip Erdogan, his son Bilal Erdogan, and many of their relatives, including the councilor of the Presidency Hasan Dogan .

According to information still confidential , Yassin Al- Qadi , with Bilal Erdogan ( the son of the Prime Minister) , equity interests in the secret society Cengiz Aktürk ; Laz company Bosphorus 360. This would have also been officially recorded by Usame ( Osama ) Kutup , the strong man of Yassin Al -Qadi in Turkey by a contract drafted by a lawyer .

 

The arrest of Yassin Al -Qadi and his son , his right arm in Turkey will never take place , although under the policy .

 

 

Photo 7
Photo 7

 

Photo # 7: Top Square: The plane used by the El Kadi.

    Lower square: Protection Service of the Prime Minister, Al-Qadi vehicle Yassin and his driver.

IN CONCLUSION

These photos prove beyond any doubt, the collaboration between Erdogan, the United States of America and Israel with Al Qaïda.La mercenaries Erdogan government corruption and the ease with which the Al Qaeda in Syria circulated supplies the border with Turkey, explain these encounters high levels with those sad characters.

The people of Turkey to make a revolution and I want to support them.

Sources: ODATV.com … Turkish newspaper free information.