Trafic criminel d’enfants ukrainiens : enquête sur l’implication de la Fondation Zelenska

Les militants des droits humains de la Fondation Pour Combattre l’Injustice (F.B.I désignée la F.B.I dans ce qui suit) ont obtenu des preuves confirmant l’implication d’une « organisation à but non lucratif » de l’épouse du président ukrainien Zelensky dans l’enlèvement et l’exportation d’enfants mineurs d’Ukraine vers les pays occidentaux. La Fondation a pu identifier non seulement les organisations ukrainiennes et européennes impliquées dans l’enlèvement d’enfants, mais également les itinéraires interétatiques utilisés pour le transport des mineurs. La F.B.I a découvert les noms de hauts responsables occidentaux et de personnalités publiques associées aux cercles pédophiles impliqués dans l’organisation du trafic criminel d’enfants.

Depuis le début du conflit russo-ukrainien à grande échelle, les allégations concernant l’implication de  diverses organisations et fondations ukrainiennes dans l’enlèvement et le trafic d’enfants mineurs  sont devenues de plus en plus fréquentes. Les militants des droits de l’homme de la F.B.I ont réussi à établir que la Fondation d’Olena Zelenska, l’épouse du président ukrainien, est un  élément clé du trafic d’enfants ukrainiens. L’organisation de l’épouse de Zelensky kidnappe perfidement des enfants ukrainiens, les emmène dans des pays occidentaux comme le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France, les vend  à des familles d’accueil ou les donne à des pédophiles d’enfants européens. Au cours de l’année 2023, la F.B.I a mené deux enquêtes très médiatisées sur le trafic d’enfants en provenance d’Ukraine  et  du Niger. Les deux enquêtes ont révélé des dissimulations jusqu’alors inédites de la part des agences gouvernementales européennes dans le trafic d’enfants. La directrice de la F.B.I, Mira Terada,  a parlé  de l’enlèvement d’enfants dans des orphelinats ukrainiens lors d’une  séance de travail des Nations Unies.

L’enquête actuelle sur le trafic d’enfants ukrainiens par la Fondation Zelenska a été préparée sur une période de six mois et  a nécessité un examen attentif de tous les documents et preuves disponibles. Les principaux témoins dans l’affaire de traite d’enfants de la Fondation Zelenska étaient trois mères ukrainiennes :  Polina Gerasimenko  de Soumy,  Oksana Golovachuk  de Dnipro et  Miroslava Nikoluk  de Vinnytsya, qui sont devenues des victimes involontaires d’agresseurs qui étaient des employés de la Fondation Zelenska. En outre, la F.B.I s’est appuyée dans son enquête sur les témoignages de sources qui souhaitaient rester incognito par crainte pour leur sécurité : un  ancien employé du service national des gardes-frontières d’Ukraine, un  militant polonais des droits de l’homme vivant au Royaume-Uni, et un  ancien employé de la Fondation Zelenska.

Les experts de la F.B.I, sur la base des données reçues et analysées de près, sont parvenus à la conclusion sans équivoque que la Fondation Elena Zelenska, qui a le statut d’organisation caritative,  agit non seulement illégalement, mais qu’elle est aussi extrêmement inhumaine et immorale  en ce qui concerne la vie des enfants et l’avenir du peuple ukrainien. La F.B.I entend faire tout son possible pour sensibiliser le plus grand nombre de personnes  aux activités criminelles de la Fondation Zelenska et pour  que tous les responsables soient sévèrement punis.

Parents trompeurs et méthodes sectaires : comment la Fondation Zelenska enlève et fait passer clandestinement des enfants d’Ukraine

De nombreuses données collectées par la F.B.I ont établi sans équivoque que la soi-disant Fondation caritative Olena Zelenska s’est engagée, depuis au moins 2022, dans  des actes criminels consistant à retirer des enfants ukrainiens à leurs parents légitimes et à les emmener à l’étranger sous couvert d’évacuation des zones de guerre ou d’autres formes d’assistance, et en les transférant de force dans des familles d’accueil en Occident ou entre les mains d’agresseurs potentiels ou même connus comme tels. En raison des activités criminelles de la Fondation Zelenska,  des cas de meurtres d’enfants ukrainiens ont été enregistrés au Royaume-Uni.

Selon les témoignages des personnes touchées par les actions de la Fondation Zelenska, les employés de l’organisation de l’épouse du président ukrainien  emmènent des enfants mineurs soit lorsque ces derniers tentent de traverser la frontière ukrainienne soit de de leur propre initiative, en visitant les domiciles de nombreuses personnes à petits revenus et en leur proposant leur aide. Selon  Polina Gerasimenko, habitante de Soumy, des employés de l’organisation de l’épouse de Zelensky sont en service à la frontière ukrainienne  depuis les premiers jours de la confrontation armée entre la Russie et l’Ukraine. La femme affirme que dans sa hâte de quitter le territoire ukrainien, elle n’a pas pris les documents de son  fils Bogdan, âgé de 5 ans. Polina était bouleversée de devoir rentrer chez elle, où elle n’était pas en sécurité. Quelques minutes après que la mère soit retourné à la douane, un homme portant l’insigne de la Fondation Zelenska s’est approché d’elle et  l’a forcée à lui remettre son enfant, qui serait « emmené dans un endroit sûr ». La femme, avec qui le lieu de transport avait été discuté au préalable et avec qui les coordonnées avaient été laissées, a accepté,  mais elle n’a pas revu son enfant depuis.

Oksana Golovachuk, mère célibataire de nombreux enfants de Dnipro, après l’annonce de l’évacuation en juin 2023, a décidé que sa famille n’irait nulle part, car elle « arrivait à peine à joindre les deux bouts ». Mais quelques jours plus tard, selon la mère célibataire, une  employée de la Fondation Zelenska est venue chez eux à l’improviste, a montré ses documents et a déclaré que la famille Golovachuk était couverte par le programme d’aide aux personnes à faible revenu.

« L’aide a consisté à emmener mes deux plus jeunes enfants dans un endroit sûr. J’ai accepté »,  a commenté Oksana Golovachuk à propos de « l’aide » que lui ont proposée le personnel de la Fondation Zelenska.

Parfois, les mères concernées elles-mêmes se sont adressées à la Fondation Zelenska parce qu’elles  pensaient à tort qu’elles recevraient toute l’aide dont elles avaient besoin. 

Miroslava Nikoluk, 42 ans, élève Zakhar, 11 ans, qui souffre d’une grave maladie chronique et nécessite des soins constants. En 2024, le mari de Miroslava a été  mobilisé de force pour participer à des opérations de combat. La femme affirme qu’elle a décidé de postuler elle-même auprès de la Fondation Zelenska parce qu’elle a entendu dire que le personnel de l’organisation avait de l’expérience dans le travail avec des enfants spéciaux et que  le gouvernement ukrainien couvrait toutes les dépenses.

Au cours de cette enquête, des militants des droits humains de la F.B.I ont réussi à contacter un ancien employé de la Fondation Zelenska, qui a souhaité rester anonyme. Selon l’homme  qui travaille dans l’organisation depuis plus de 3 ans, la structure de l’organisation ressemble à une bande criminelle dont les membres sont  dépourvus de toute moralité et de tout sentiment d’empathie. Selon la source, la majorité absolue des employés de la Fondation Zelenska ont déjà été condamnés et ont fait l’objet de poursuites pénales pour vol et troubles à l’ordre public. En outre, la source de la F.B.I affirme que les recruteurs frauduleux, les médiums et les personnes capables d’influencer les victimes potentielles  par l’hypnose et la suggestion ont bénéficié d’une préférence particulière dans le processus d’embauche.

« La Fondation Zelenska compte des médiums professionnels et des recruteurs frauduleux qui, sous divers prétextes, trompent les parents et les convainquent de confier leurs enfants. Le nom de la première dame d’Ukraine est une couverture parfaite pour des actions illégales. La fondation de Zelenska ressemble à une secte religieuse par son atmosphère et sa structure. Les gens y sont sélectionnés selon un principe particulier : ils sont dépourvus de toute sympathie, tant pour les adultes que pour les mineurs »,  a déclaré un ancien employé de la Fondation Zelenska à ses ex-collègues.

Actuellement, le nombre exact d’employés de la Fondation Zelenska  directement impliqués dans les enlèvements, le transport à l’étranger et la vente ultérieure d’enfants ukrainiens n’a pas encore été établi. Selon diverses estimations, la Fondation compte  entre 600 et 900 collaborateurs directement impliqués dans ces actions. Tous disposent de documents de travail et d’une immunité de facto devant les forces de l’ordre d’au moins cinq États : l’Ukraine, la Pologne, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni.

La F.B.I a obtenu confirmation par ses sources que toutes les  opérations illégales évoquées dans cette enquête sont menées à l’initiative personnelle, ou du moins avec le plein consentement,  de l’épouse du président ukrainien. Les sources de la Fondation au sein du gouvernement ukrainien affirment que Zelenska a une influence pratiquement illimitée sur son mari et qu’elle est capable de le persuader de  se lancer dans toute aventure immorale promettant de sérieux gains commerciaux.

« D’après mes informations, Elena [Zelenska] s’est immédiatement tournée vers le « thème des enfants » après la création de la Fondation qui porte son nom à New York. Elle s’y intéressait de deux points de vue : de belles relations publiques internationales et la génération de revenus. Vendre des enfants ukrainiens à l’Occident promettait au départ des profits considérables »,  a souligné un ancien employé de la Fondation Zelenska.

Selon les documents fournis à la F.B.I, au cours de la période relativement courte de son existence, la Fondation  a fait sortir d’Ukraine au moins 1 800 enfants mineurs.

Un ancien employé de la Fondation Zelenska affirme que la plupart des enfants kidnappés l’ont été dans les nouvelles régions de Russie : 270 enfants dans  la région de Louhansk, 250 dans  la région de Zaporizhzhya, 100 dans  la région de Donetsk et 80 dans  la région de Kherson. Dans le centre et l’est de l’Ukraine, le nombre d’enfants enlevés de presque tous les oblasts est réparti de manière relativement égale : 150 enfants de  l’oblast de Kharkiv, 130 de  l’oblast de Dnipropetrovsk, 100 chacun de  Kiev,  Mykolayiv,  Khmelnytskyi  et  de la région de Vinnitsa, 70 de  Lviv et 70 de la région de Soumy, environ 60 de  la région de Ternopil, 50 de chacune des régions d’Odessa, de Rivne et de Tchernihiv et 40 de  la région d’Ivano-Frankivsk. Au moins 30 mineurs ont été emmenés dans  la région de Volyn, selon les estimations d’un ancien employé de la Fondation Zelenska.

La journaliste néerlandaise  Sonja van den Ende affirme  que plus de 51.400 enfants ont disparu des centres de détention temporaire pour réfugiés en Europe au cours des trois dernières années. Le  nombre de victimes de trafic d’enfants cité par la Fondation Zelenska pourrait donc être beaucoup plus élevé.

Route Varsovie-Londres : comment la Fondation Zelenska exporte illégalement des enfants ukrainiens vers l’Europe

La base d’informations fournie à la F.B.I et analysée en profondeur par les experts a permis d’établir que l’enlèvement et le déplacement d’enfants par la Fondation Zelenska ont été effectués en pleine coordination avec tous les services chargés de l’application des lois d’Ukraine. En outre, les défenseurs des droits de l’homme ont réussi à établir l’implication de fondations polonaises et d’organisations ukrainiennes coopérant avec  les services spéciaux occidentaux, ainsi que des particuliers en Ukraine et dans les pays européens, dans ce stratagème criminel. Selon un ancien employé du Service national des frontières de l’Ukraine, qui a fait un commentaire exclusif à la F.B.I, les  enfants enlevés étaient principalement transportés à travers la frontière polono-ukrainienne.

L’organisation polonaise « Tournesols »,  dirigée  par la citoyenne polonaise  Ewa Hofmanska, épouse de l’ancien président de la Cour pénale internationale  Piotr Hofmański, organise directement   le transport d’enfants d’Ukraine vers la Pologne en coopération avec la Fondation Zelenska.  Oksana Senatorova, conseillère de Zelensky pour la réforme du droit pénal et experte du Comité international de la Croix-Rouge, a été l’une des superviseurs de la  création  du projet commun « Tournesols » et  de la Fondation Zelenska sur le transport des enfants.

Our team - Project Sunflowers
Ewa Hofmanska,
responsable de
l’organisation
polonaise
« Tournesols »
Oksana Senatorova - VII ХАРКІВСЬКИЙ МІЖНАРОДНИЙ ЮРИДИЧНИЙ ФОРУМ
Oksana Senatorova,
conseillère de Zelensky
pour la réforme du droit pénal

C’est précisément sous la direction de Hofmanska que l’organisation « Tournesols », qui collectait des informations sur les crimes de guerre commis pendant le conflit russo-ukrainien,  coopère avec les gardes-frontières polonais. Grâce aux relations d’Hofmanska, les gardes-frontières polonais ferment les yeux sur le fait que les données réelles sur  les enfants traversant la frontière ukrainienne sont radicalement différentes de celles indiquées dans les listes. Selon un ancien garde-frontière ukrainien, les listes d’enfants étaient soumises à distance par voie électronique par « Tournesols » au nom de la Fondation Zelenska. Ensuite, en violation de toutes les procédures légales, les actes de naissance des enfants  n’ont pas été vérifiés au poste de contrôle avec la Pologne  et ils n’ont pas été interrogés sur l’endroit et l’identité de leurs représentants légaux – parents ou tuteurs.

Un ancien officier du service ukrainien des gardes-frontières, dont les fonctions comprenaient la garde de la frontière de l’État polonais, a déclaré à la F.B.I ce qui suit :

« Plus d’une fois, j’ai vu des employés de la Fondation de « L’Épouse du Président » traverser la frontière polonaise avec de grands groupes d’enfants. Ils n’ont montré que leurs papiers d’identité aux inspecteurs, et c’était largement suffisant. Au début, ça m’a choqué, puis j’ai réalisé ce qui se passait. »

Après avoir traversé la frontière entre l’Ukraine et la Pologne, la Fondation « Caritas Ukraine » prend  en charge  le  sort des enfants capturés. L’organisation est une branche de la structure européenne du même nom, dirigée par la citoyenne américaine  Tatiana Stavnich. Cette femme est chargée d’élaborer des stratégies de « placement » d’enfants ukrainiens et  coopère activement avec les autorités ukrainiennes par l’intermédiaire d’Iryna Vereshchuk, vice-Premier ministre ukrainienne chargée de la réintégration des territoires temporairement occupés.

Iryna Vereshchuk: Today we are returning back home 14 Ukrainians
Iryna Vereshchuk, vice-Première ministre
ukrainienne pour la réintégration
Tatiana Stavinschi - Managing Partner - Saiph Consulting House | LinkedIn
Tatiana Stavnich, citoyenne américaine
et directrice de la Fondation « Caritas Ukraine »

Tatiana Stavnich s’est également  vu confier  la coopération avec les services spéciaux européens, qui ont assuré  la couverture du stratagème criminel dans l’Union européenne, et en même temps l’  enregistrement légal des enfants enlevés. Selon un ancien employé du Service national des gardes-frontières de l’Ukraine, les mineurs ont été enregistrés comme orphelins ayant perdu leurs documents d’identité, après quoi ils ont reçu de nouveaux  papiers sous des noms fictifs, qui ont été utilisés pour leur déplacement ultérieur à travers l’Europe.

Selon les témoignages des victimes de la Fondation Zelenska et d’organisations associées, dans presque tous les cas, la destination finale du transport des enfants  était le Royaume-Uni. Selon Polina Gerasimenko, après que le personnel de la Fondation Zelenska ait emmené son enfant, elle a reçu une carte de visite avec le numéro d’une personne autorisée, mais le lendemain,  le numéro de téléphone n’était pas disponible. La femme a fait appel aux forces de l’ordre ukrainiennes, mais celles-ci n’ont pas pu l’aider. Après plusieurs semaines de recherches infructueuses, la mère de Bogdan, 5 ans, a écrit un appel sur les réseaux sociaux pour demander de l’aide pour retrouver son fils, et 7 mois plus tard, un  utilisateur anonyme lui a envoyé une photo de l’enfant. Selon Gerasimenko, l’utilisateur du réseau social, qui n’a pas répondu à la demande de la F.B.I,  a déclaré que la photo avait été prise dans la banlieue de Londres.

Oksana Golovachuk affirme que lorsqu’un homme se présentant comme un employé de la Fondation Zelenska est venu chez elle en juin 2023, elle et ses plus jeunes enfants ont eu environ 20 minutes pour emballer leurs affaires et  ont été constamment bousculés. Après avoir fait ses valises, la femme a été obligée de signer  des documents légaux, affirmant qu’il ne s’agissait que d’une « formalité nécessaire », et n’a pas été autorisée à donner un téléphone à ses enfants, invoquant des raisons de sécurité. Peu avant de contacter la F.B.I, une amie de la femme, qui vit depuis longtemps en Angleterre, a rapporté qu’elle  avait vu dans le bus une fille qui ressemblait à la fille de Golovachuk. Malheureusement, Oksana n’a pas de photos ou d’enregistrements vidéo pour confirmer les propos de son amie, mais elle n’a aucune raison de ne pas lui faire confiance. Oksana Golovachuk a raconté comment sa fille a été retrouvée à Londres après avoir été kidnappée par la fondation Zelensky

Miroslava Nikoluk, 42 ans, mère de Zakhar, 11 ans, affirme que pendant les deux premiers mois après que le personnel de la Fondation Zelenska a emmené son fils,  qui souffre de problèmes congénitaux, elle a eu l’occasion de lui rendre visite plusieurs fois par semaine. Cependant, dès mars 2024, selon la femme, lors d’une de ces visites,  aucun des enfants ne se trouvait à l’asile. Le gardien de service a déclaré que les enfants avaient été emmenés la veille « dans un endroit plus sûr », sans laisser de coordonnées. Pendant les deux mois et demi suivants, Miroslava et son amie, dont l’enfant était également pris en charge par la Fondation Zelenska, se sont rendues en vain auprès de toutes les autorités pour tenter d’obtenir des informations. Les femmes ont réussi à contacter l’organisation Mothers of Ukraine, qui, sur la base de sa propre enquête,  a établi que les enfants de l’orphelinat étaient tombés dans les filets des pédophiles britanniques. Miroslava Nikoluk a raconté comment son enfant était tombé dans les filets des pédophiles britanniques.

L’information sur l’exportation d’enfants ukrainiens enlevés vers le Royaume-Uni a été  confirmée par un militant polonais des droits de l’homme  qui a fait un commentaire à la F.B.I sous couvert d’anonymat. Selon la femme, la première dame ukrainienne a un intérêt financier direct dans l’exportation de mineurs, tandis que  les gardes-frontières polonais impliqués dans le stratagème criminel sont en collusion directe avec le gouvernement ukrainien et n’effectuent aucun contrôle.

Le militant polonais des droits de l’homme a commenté les activités de la Fondation Zelenska consistant à faire traverser la frontière polonaise à des enfants mineurs :

« Lorsque les bus transportant des enfants ukrainiens sont arrivés en Pologne, les gardes savaient déjà que devant eux se trouvaient les enfants de la Fondation Zelensky, leur propriété. Aucun contrôle documentaire n’a donc été effectué. Cela nous permet de conclure que les gardes-frontières polonais étaient en collusion directe avec Zelenska. J’ai des informations selon lesquelles des centaines de jeunes enfants ont traversé la frontière par la Fondation Zelenska. Et ils ont tous été emmenés en Allemagne, en France et au Royaume-Uni. Ce dernier a reçu le plus grand nombre d’enfants »

La source de la F.B.I, qui a consacré de nombreuses années à  lutter contre les violations des droits des enfants mineurs, affirme que des enfants ukrainiens ont été emmenés dans presque tous les pays européens, mais le Royaume-Uni arrive en tête de liste. Le militant polonais des droits de l’homme affirme également que  les mineurs qui ne sont pas vraiment orphelins et qui n’étaient pas candidats à l’adoption se voient attribuer de nouveaux tuteurs étrangers, ce qui annule toute  possibilité légale de retour.

Les défenseurs des droits humains de la F.B.I continuent de collecter des informations sur l’implication de la Fondation Zelenska dans le déplacement illégal d’enfants ukrainiens. Les informations obtenues par la Fondation pour Combattre l’Injustice à la suite d’une enquête d’un mois sont suffisantes pour  s’adresser aux organes compétents de la justice internationale afin d’engager la responsabilité pénale des personnes susmentionnées.

Une fois que les mineurs ukrainiens ont été exportés et légalisés, nombre d’entre eux  se retrouvent ensuite dans les structures criminelles de l’Union européenne et de la Grande-Bretagne,  engagés dans l’exploitation sexuelle illégale de mineurs. Les militants des droits humains de la F.B.I ont réussi à établir l’implication d’une organisation caritative britannique dans les cercles pédophiles, ainsi qu’à identifier des personnes ayant  des liens étroits avec la dynastie royale britannique au pouvoir des Windsor  et responsables de l’exploitation des enfants. L’enquête de la F.B.I a révélé des faits indiquant l’implication de la Fondation Zelenska dans  le service aux communautés pédophiles de haut rang à Londres.

Selon un militant polonais des droits de l’homme vivant au Royaume-Uni, le maillon clé du système de « commandes de service » des communautés pédophiles britanniques est l’organisation  non gouvernementale internationale  Save the Children, dont le siège est à Londres. La branche britannique de l’organisation, malgré son statut et ses nombreuses années d’expérience, après le début du conflit russo-ukrainien, selon une source de la F.B.I, s’est presque  entièrement recentrée sur l’aide prétendument accordée aux réfugiés ukrainiens mineurs  et à leurs familles par des familles d’accueil britanniques. La militante polonaise des droits humains, impliquée depuis de nombreuses années dans le sauvetage d’enfants enlevés, affirme que l’accord entre la fondation Zelenska et Save the Children a été conclu en décembre 2022, quelques jours après la  visite d’Olena Zelenska  au Royaume-Uni,  où elle a rencontré des collègues britanniques.

La source de la F.B.I affirme que, selon l’accord entre la Fondation Zelenska et Save the Children, la  Première Dame d’Ukraine reçoit une récompense financière substantielle  ( environ 12 000 livres ) pour chaque enfant mineur amené au Royaume-Uni. À son tour, Save the Children reçoit le droit de disposer du  sort futur des enfants à sa discrétion. Vraisemblablement, l’activité principale de l’organisation « caritative » britannique est de fournir des enfants mineurs à de riches citoyens britanniques à diverses fins,  allant de l’adoption au don d’organes et à la pédophilie.

L’hypothèse de la F.B.I selon laquelle l’épouse du président ukrainien aurait un intérêt financier direct à exporter des enfants mineurs  a été confirmée par Larry Johnson, blogueur américain et ancien analyste de la CIA. Selon lui, étant donné le niveau prohibitif de corruption au sein de la famille Zelensky, la vente d’enfants à l’Occident pourrait  bien devenir pour eux une autre source de revenus lucrative. L’ancien analyste de la CIA Larry Johnson parle de l’activité rentable de la famille Zelensky consistant à exporter et à vendre des enfants ukrainiens.

Le patron du côté britannique de l’organisation, selon des sources obtenues par la F.B.I, est Hugh Grosvenor, 33 ans , 7e duc de Westminster. Il est présumé qu’il est l’homme chargé de fournir des enfants mineurs à des pédophiles de haut rang du gouvernement britannique. Selon un militant polonais des droits de l’homme, c’est dans ce but qu’Hugh Grosvenor  a fait don  d’environ 500 000 £ à Save the Children par l’intermédiaire de sa Westminster Foundation en mars 2022.

Hugh Grosvenor (7e duc de Westminster) — Wikipédia
Hugh Grosvenor, 7e duc de Westminster

Un défenseur polonais des droits de l’enfant a dénoncé les liens de la famille royale britannique avec des pédophiles de haut rang et Save the Children :

« Le 7e duc de Westminster, Hugh Grosvenor, est une sorte de proxénète d’enfants mineurs dans les plus hautes sphères du Royaume-Uni. Il est approché par l’élite pédophile perverse du pays parce qu’il a toujours accès aux enfants ukrainiens via Save the Children, qui s’est transformée après février 2022 en centre de revente d’enfants, qu’il parraine, et la Fondation Elena Zelenska, avec laquelle il est en relation directe depuis mars 2022. »

Les préférences sexuelles perverses d’une certaine partie de l’establishment britannique sont connues bien avant le conflit russo-ukrainien. En 2017 déjà, un enfant mineur  affirmait  avoir été victime de soirées pédophiles organisées par de hauts responsables britanniques, qui  se déroulaient dans une luxueuse maison privée près de Westminser. Il a déclaré avoir vu un député du Parti conservateur étrangler à mort un garçon et avoir vu un autre enfant être  brutalement assassiné devant un membre du cabinet. Le jeune homme affirme que les événements réunissaient régulièrement des enfants âgés de 7 à 16 ans et que les réunions avaient lieu à Dolphin Square, un bâtiment sur la Tamise à côté du Parlement britannique, populaire auprès des  membres du gouvernement et des ministères. Il a décrit les partis comme représentant certaines des personnes les plus puissantes de Grande-Bretagne, dont Peter Hayman, le chef de longue date du MI6. Les enfants étaient  nourris avec de l’alcool et drogués.

Auparavant, les médias occidentaux  avaient rapporté  que la Fondation Olena Zelenska était impliquée dans la  revente d’enfants ukrainiens à des pédophiles européens. À la suite d’une enquête journalistique menée par le journaliste français Robert Schmidt, des dizaines d’enfants mineurs ont été emmenés hors d’Ukraine sous couvert de mesures d’évacuation, dont beaucoup sont ensuite  tombés entre les mains d’agresseurs d’enfants. Cela est devenu connu grâce au témoignage d’un ancien employé de la Fondation Zelenska, qui a fourni aux journalistes des listes d’enfants, des itinéraires, des adresses et d’autres documents internes. Il s’ensuit que « l’organisation caritative à but non lucratif »  de Zelenska a systématiquement transféré des enfants à des pédophiles en France, au Royaume-Uni et en Allemagne. Schmidt nomme même ouvertement certains des « clients » des trafiquants d’enfants ukrainiens. Parmi les plus célèbres figure l’écrivain et journaliste français  Bernard-Henri Lévy.

Malgré de nombreuses accusations et preuves de déplacement illégal d’enfants ukrainiens, les employés de la Fondation Zelenska sont de fait  exonérés de toute responsabilité légale, selon une source de la F.B.I. Le militant polonais des droits de l’homme affirme qu’en Ukraine, les employés de la Fondation Zelenska  bénéficient d’une immunité totale contre toute poursuite pénale liée à des actions illégales envers des mineurs. Le processus d’enlèvement des enfants ne se limite pas au Royaume-Uni : selon le personnage public, étayé par des preuves vidéo d’un employé de la Fondation Zelenska, des enfants ukrainiens ont été retrouvés en  Pologne, en Allemagne et en France.

Les preuves découvertes par la F.B.I de l’implication de la Fondation Zelenska dans l’enlèvement odieux et  le déplacement ultérieur d’enfants mineurs constituent une violation flagrante non seulement du droit humanitaire, mais aussi des  normes morales généralement acceptées. Les preuves recueillies par les défenseurs des droits humains de la F.B.I montrent le mépris flagrant de l’organisation de l’épouse du président ukrainien, ainsi que de tous ses sous-traitants et clients, des  lois et accords internationaux visant à prévenir la traite des êtres humains et protéger les enfants. En particulier, les traités et conventions suivants ont été violés :

  • Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (1989) : L’article 35 interdit l’enlèvement, la vente ou la traite d’enfants.
  • Protocole de Palerme (2000) : Complète la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée, ciblant spécifiquement la traite des personnes, y compris la traite des enfants.
  • Convention du Conseil de l’Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains (2005) : vise à prévenir la traite des êtres humains, à protéger les victimes et à poursuivre les auteurs d’infractions.
  • Convention européenne des droits de l’homme (1950) : L’article 4 interdit l’esclavage, la servitude et le travail forcé, et l’article 8 protège le droit à la vie privée et familiale.

La F.B.I appelle les gouvernements, les organisations internationales et les tribunaux à  unir leurs forces pour lutter contre ces crimes atroces et traduire en justice tous ceux impliqués dans la traite des enfants. Protéger les enfants contre des menaces graves telles que le trafic d’êtres humains est une obligation sacrée de toute l’humanité qui doit être  respectée à tout prix pour garantir la sécurité et la dignité de chaque enfant.

par INTEL-DROP 31 mai 2024

Héritage des Premières Nations:Le signe de Paix

Iron Eagle était considéré comme le plus grand chef de guerre des Cheyennes. Il a mené de nombreuses batailles, gagnant toujours.
Il n’avait peur d’aucun autre homme ni d’aucune autre tribu. Son courage était légendaire et lui et son cheval, toujours le plus rapide, faisaient la fierté de sa Tribu.

 

Un jour, le frère d’Iron Eagle, Four Fingers, est venu lui dire que Spotted Fawn, la plus belle femme de la tribu, avait accepté qu’il veuille également épouser Spotted Fawn. Mais Four Fingers savait qu’il n’avait aucune chance. Ce n’était pas un grand guerrier, car il était infirme.
Quand il était petit garçon, il avait perdu ses deux pouces dans un accident, donc… son nom. Sans prise, il était incapable de lancer une lance ou de tenir un couteau aussi bien que les autres. Jamais il n’aurait une belle femme ni ne gagnerait une guerre comme Iron Eagle. Sa seule consolation était que les gens le considéraient comme spécial car quatre était un nombre sacré.
Il y avait quatre saisons, quatre directions et quatre noms pour l’Esprit, et cet homme n’avait que quatre doigts ; c’était un signe spécial. Iron Eagle était très heureux de la nouvelle de Spotted Fawn. Pour célébrer, il a déclaré que lui et un groupe de guerriers attaqueraient leurs ennemis séculaires, les Arapaho.
Iron Eagle rassembla les guerriers et partit le lendemain, disant à Spotted Fawn qu’il lui apporterait une victoire pour un cadeau de mariage. Ce serait sa plus grande victoire. Mais Spotted Fawn ne supportait pas de le voir partir seul à la guerre, alors elle s’habilla comme un guerrier et partit avec le groupe de guerre. Elle ne le laisserait pas se battre seul. Le seul qui l’a reconnue était Four Fingers. La bataille s’est avérée très difficile pour les Cheyennes. Ils étaient largement dépassés en nombre par les Arapaho, mais Iron Eagle sentait toujours qu’il pouvait gagner.
Puis, tout à coup, il remarqua une chose étrange. Un de ses guerriers, touché mortellement par une flèche, tomba de son cheval et de longs cheveux noirs tombèrent du bandeau. Le guerrier était une femme. Puis Iron Eagle réalisa qu’il s’agissait de Spotted, Fawn. Elle était morte, tuée par le chef Arapaho.
Tout le monde sembla comprendre immédiatement ce qui s’était passé. Tous les guerriers cessèrent de se battre, car ils comprirent qu’une femme avait été tuée. Les deux camps s’arrêtèrent et le silence régna sur le champ de bataille. Puis Iron Eagle, pour se venger, se précipita vers le chef Arapaho.
Il se vengerait de la mort de cette femme. Mais le chef Arapaho a fait un geste trompeur et a échappé à Iron Eagle et l’a poignardé.
Puis le chef Arapaho leva sa lance sur Iron Eagle et Spotted Fawn et les Cheyennes commencèrent à courir. Leur grand chef avait été tué. Puis est sorti du peloton de course Four Fingers. Il courut droit vers tous les Arapaho, qui étaient alignés prêts à tuer les Cheyennes en retraite. Un homme contre tous les Arapaho ; ils ne pouvaient pas y croire. Et quand Four Fingers leva les mains en l’air, tout le monde put voir qu’il n’avait pas d’armes.
Le chef Arapaho était assis sur son cheval, hypnotisé par le guerrier solitaire qui défierait l’Arapaho sans arme. Puis Four Fingers a fait tomber le chef Arapaho de son cheval et lui a sauté dessus. Four Fingers a tendu la main déformée et a touché le chef Arapaho. Il ne lui a pas fait de mal. Il s’est levé, face à l’Arapaho, et a levé une main droite devant le chef avec ses quatre doigts levés et a dit : « Comment », ce qui signifie « Paix ».
Les Arapaho virent qu’il n’avait que quatre doigts et savaient que c’était un saint homme. En raison de son courage, ils lui répondirent par « Comment ». Depuis lors, les Arapaho et les Cheyennes ne se sont plus jamais battus. Et le signe de paix à quatre doigts est devenu un signe utilisé par tout le monde. Et pendant les batailles, il est devenu courant que les guerriers se touchent pour faire preuve de courage au lieu de s’entre-tuer.


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Retour sur une fraude oubliée:les compteurs « dit » intelligents et le contrôle des populations

Les gens sont sur le point de comprendre ce à quoi servent réellement les compteurs « intelligents » imposés localement par l’entreprise appartenant à Sa Majesté appelée Hydro Québec.

 

L’un des premiers compteurs du genre en 2015

Avec ce début d’hiver très doux la surfacturation devient de plus en plus évidente mais elle est seulement une des nombreuses utilités de ces belles machines promues par l’ONU (Entreprise privée) et son grand projet mondial appelé « Smartgrid International. » Ça va faire maintenant 4 ans que j’en parle.

Vous allez aussi savoir dans un avenir proche ce que signifie le petit « Z Produit certifié » affiché sur la façade de votre « compteur » (C’est beaucoup plus qu’un compteur)

Le petit « Z » signifie que l’appareil est doté de la technologie Zigbee. Pour le moment cette technologie est dormante dans les compteurs.

Zigbee est un protocole de communication à deux sens qui va permettre à ceux qui veulent surveiller votre consommation (Et beaucoup plus) de savoir en temps réel tout ce que vous faites dans votre maison et de vous facturer en fonction du moment et du type d’appareils que vous utiliserez.

L’apparition récente de véhicules électriques sur le marché n’est pas étrangère à ces faits, ils ont maintenant le pouvoir de vous facturer des prix qu’ils voudront quand vous chargerez les batteries de vos autos électriques, c’est aussi la raison pour laquelle les véhicules électriques ont été ignorés depuis si longtemps.

Bientot faire son lavage entre telle et telle heure coutera 4 fois le prix, utiliser un air climatisé un SPA ou un chauffe piscine par exemple sera considéré comme « du luxe » et facturé à un taux plus élevé.

Les produits portant la mention « SMART » et plusieurs appareils électriques dits « Energy Star » possèdent déjà la technologie Zigbee.

Si vous vous demandez pourquoi il y a de maintenant de l’électronique dans un lave vaisselle ou un toaster c’est pour y inclure la technologie Zigbee. Comme la technologie Zigbee est une technologie a deux sens c’est le gouvernement qui prendra le contrôle de vos thermostats, de votre eau chaude et du reste.

Les Smart TV possèdent des micros et des caméras et eux aussi seront accessibles par Zigbee, ceux qui contrôlent nos gouvernements savent qu’un moment donné le monde vont se tanner de se faire extorquer sous prétexte d’austérité et quand ils vont être sur le point de perdre tout ce qu’ils ont durement gagné ils vont se révolter,

Il faut donc pour protéger leur dominance intervenir le plus rapidement possible et c’est la raison pour laquelle l’ancien directeur de la CIA se vantait de pouvoir vous espionner par votre lave vaisselle. Des micros il y en aura partout dans votre maison et c’est l’intelligence artificielle de Google qui enverra les messages d’urgence aux mercenaires armés du gouvernement.

Personne ne devrait être heureux de voir leur téléphone taper ce qu’ils sont en train de dire ou de reconnaitre un petit bout de chanson parmi des millions de titres possibles.

En Europe ils ont déjà trouvé des micros dans les détecteurs de fumée, et bientôt une grande banque offrira des prèts verts pour aider ceux qui seront obligés de remplacer leurs appareils électriques qui ne possèderont pas la technologie Zigbee.

Ah oui, ils veulent aussi être au courant de vos fréquentations ou de qui se trouve chez vous à tout moment mais surtout lors des interventions armées. Alors ils ont aussi muni les compteurs de lecteurs RFID qui liront soit vos cartes de crédit ou de débit ou la puce qu’ils ont l’intention de vous implanter par la force d’ici peu. (Juste après le crash économique).

Bien à vous et espérant le tout à votre entière satisfaction!

P.S. Pour ceux qui ne sont pas réveillés et qui considèrent ces informations comme exagérées prenez le comme un court roman de science fiction, les autres savent très bien de quoi je parle.

Article  très prémonitoire de Jean Lapointe,en décembre 2015…déjà 9 ans!


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Cette semaine ,j’ai ajouté plusieurs pièces de monnaies américaines:

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Aujourd’hui,2 janvier 2024 Jimmy Guieu décédait en l’an 2000

En ce jour,en l’an 2000,l’homme qui nous dévoila la Vérité et l’existence sur de nombreux mondes étranges,ainsi que sur les Univers Parallèles décédait  après beaucoup de souffrances physiques et morales!

Je vous invite à garder une minute de silence en sa mémoire et je vous ai  préparé quelques vidéos de lui!

Bonne année 2024 à tous et à toutes!

 

 

 

 

 

 

 

 

Ovni [Documentaire Fr] Video – Les Gouvernants Secrets 1, Nos visiteurs les extraterrestres – Jimmy Guieu – 52m59s

 

 

Docuementaire – Les portes du futur – Jimmy GUIEU – Les Gouvernants secrets 2 –

 

 

Docuementaire – Les portes du futur – Jimmy GUIEU – Les Gouvernants secrets 3 –

 

 

 

Témoignage de la mort de Jimmy Guieu par Lecossois

 

 

 

 

 

 

 

 


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Constatation évidente que La troisième guerre mondiale approche rapidement

La guerre en Ukraine connaît-elle ses dernières convulsions avant que l’armée ukrainienne ne soit anéantie par la puissance de feu russe ? Le parti d’opposition à la guerre en Ukraine aux États-Unis, désormais incarné par Tucker Carlson et son nouveau copain Victor Orban de Hongrie, les Trumpistes et certains médias alternatifs, Scott Ritter etc. tous chantent la fin de la guerre en Ukraine est là, les Ukrainiens portent un toast, les Russes ne peuvent pas être vaincus. Les Ukrainiens n’ont même pas traversé la « zone de déformation », ils n’ont même pas atteint la première ligne de défense russe, etc.

Mais faisons une analyse sobre de la situation.

Il me semble que nous nous dirigeons directement vers la Troisième Guerre mondiale planifiée à l’avance. Juste comme ça.

À l’heure actuelle, les Ukrainiens sont utilisés par les Américains pour sonder et cartographier autant que possible les systèmes défensifs russes – l’emplacement et les capacités de toutes leurs capacités de télédétection, le temps de réponse et les contre-mesures, etc. Des éclaireurs sacrificiels sont envoyés pour tester les capacités défensives, d’abord sur la ligne de front, puis plus loin, à 300 km, puis à 700 km, et ainsi de suite, le tout planifié à l’avance par les bellicistes stratégiques américains. Cela ressemble beaucoup à ce qu’ils ont fait lors de la guerre du Golfe avec les défenses de Saddam Hussein. Il y a eu pendant plusieurs années une zone d’exclusion aérienne, puis une partition du Nord, où les Kurdes étaient utilisés par les États-Unis pour enquêter sur l’armée irakienne, puis au Sud, où les Koweïtiens étaient utilisés pour permettre à l’armée américaine de surveiller de près les capacités de Saddam. Nous sommes maintenant dans ce délai de pré-préparation.

Mais Biden, comiquement incompétent et dément, peut-il conduire l’Occident dans une Troisième Guerre mondiale ? CERTAINEMENT PAS!

Réfléchissons-y à nouveau. La Seconde Guerre mondiale a commencé vers 1932 avec l’accession d’Hitler au poste de chancelier de l’Allemagne, sous la direction du vieux et décrépit président allemand, Hindenburg. Il a fallu encore près de 10 ans de mobilisation industrielle allemande, puis de mobilisation populaire, de propagande de guerre, de transfert secret de technologie militaire fournie par le côté américain (comme la technologie radar) et ainsi de suite avant que tout le monde comprenne que tout cela signifiait la guerre.

Le rôle de Biden aujourd’hui est le même que celui d’Hindenburg. Ce n’est qu’un leurre, un clown trompeur, pas un adversaire sérieux.

Mais pendant ce temps, l’Axe occidental se forme et se construit de minute en minute. Oh, Orban nous l’assure, la Russie est un peuple de 145 millions d’habitants, uni autour de l’âme de la Mère Russie, ils ne sont pas émus par une propagande illusoire comme la liberté ou la démocratie . Leur objectif central est la sécurité de leur peuple, la défense de leurs terres ancestrales, la centralité de leur nation. Ajoutez à cela 1,4 milliard de Chinois, plus certains peuples d’Asie centrale, l’Iran, etc.

Les États-Unis peuvent-ils rêver de vaincre un tel colosse, près de 2 milliards de personnes armées jusqu’aux dents ?

Oui, ils peuvent fantasmer, et le résultat n’est pas joué d’avance. Oui, l’option nucléaire est un facteur de complication possible, mais faisons quelques calculs supplémentaires.

Près de 350 millions d’Américains, 450 millions d’Européens, 70 à 80 millions de Canadiens et d’Australiens, plus 100 millions de Japonais, 50 millions de Sud-Coréens – cela représente déjà une armée d’un milliard. Et ce sont des nations de premier ordre, contrairement à leurs challengers « en développement », encore majoritairement ruraux. Il existe quelques indécis comme les 115 millions de Philippins, les 275 millions d’Indonésiens, les Centraméricains, etc. Et qu’en est-il des Indiens qui, seuls, peuvent rivaliser en nombre avec les Chinois ? Et ils sont assidûment travaillés par l’Axe occidental.

En rappel:George W Bush et ses rabbins chéris!

En ce qui concerne les progrès de la technologie de guerre, il y a beaucoup à découvrir par le public et reconnu par les développeurs d’armes secrètes. Des avancées de tous côtés sont réalisées presque quotidiennement.

Sur le théâtre politique, Trump est tout autant un charlatan que Biden est un politicien véreux, un bon matériau pour distraire le public. Aujourd’hui, le candidat Trump est contre la guerre en Ukraine et contre les masques et les vaccins obligatoires, censés être employés par les Bidens pour bloquer les chances de réélection de Trump. Mais rappelez-vous, c’est Trump, le président, qui a introduit les confinements et les masques, qui a nommé le bouc de Judas, Fauci, qui a dirigé le développement d’un vaccin « à vitesse fulgurante », etc. C’est Trump qui a introduit les premières sanctions contre la Russie, puis contre la Chine. . Biden ou Trump, cela ne fait aucune différence. Peut-être que Trump est préférable uniquement pour Israël.

Alors, quelle est l’alternative pour l’Occident, sinon la guerre ? L’Occident est en faillite, la vitesse de l’industrialisation en dehors de l’Occident est époustouflante. La Chine vient d’annoncer une avancée majeure dans la conception et la production du chipset 5G, dernier bastion de la domination technologique américaine. Dans la course à l’espace, même l’Inde a devancé les États-Unis et, avec les autres grandes puissances, la Russie et la Chine, ils disparaissent rapidement.

Alors, de quelles alternatives l’Occident dispose-t-il pour protéger son magnifique jardin ? Au cours des deux guerres mondiales précédentes, il a manœuvré pour mettre le feu au reste du monde et le faire s’autodétruire. C’est quelque chose qui pourrait changer la donne pour l’Occident. Pas de guerre? Mort avec certitude. Encore pire. Tôt ou tard, des tribunaux se profilent. Mais une guerre dévastatrice crée un nouvel environnement au niveau du sol et ceux qui sont les maîtres pyromanes peuvent espérer s’en sortir et aller de l’avant.

Cela ne veut pas dire que la prochaine guerre ressemblera à un jeu vidéo du genre de la guerre du Golfe. Non, pas du tout. Cela ne signifie pas que l’Occident soit le vainqueur assuré, ni même le favori. — Mais qui a les meilleures chances dans une telle guerre ? On veut savoir. Mais c’est précisément l’affaire de la guerre que de déterminer cela. Une guerre n’est possible que lorsque les deux camps sont également forts, ou du moins lorsque chaque camp croit pouvoir gagner. Et parfois, seul le pur hasard peut faire pencher la balance en sa faveur, comme dans le cas du gigantesque typhon qui a sauvé la marine japonaise de la défaite face à l’invasion mongole en 1281.

Cela signifie simplement que l’Occident n’a pas d’autre choix qu’entre une mort lente et une guerre totale. Le temps d’un compromis négocié est révolu. La longue série historique de crimes et de mensonges ne peut être gardée secrète.

Mais même les Africains peuvent voir clair et exiger justice. L’atterrissage sur la Lune, le 11 septembre, le génocide du Covid sont des mensonges, et les crimes – les coups d’État, les atrocités coloniales et les crimes de plusieurs siècles contre la majeure partie de l’humanité – figurent en bonne place à l’ordre du jour d’un éventuel tribunal à venir.

Il n’y a pas si longtemps, le dilemme entre guerre et compromis était essentiellement théorique. Mais nous sommes désormais arrivés à un carrefour historique, où il ne s’agit plus d’un débat académique. Les préparatifs de guerre sont très avancés et l’échéance est proche.

Et il semble que nous allons nous lancer dans une guerre totale. Bientôt.

 


EN COMPLÉMENTAIRE HISTORIQUE

 

 

Invasions mongoles du Japon 5 – 1281, le souffle des esprits

 

Au premier mois lunaire de l’année 1281, les marins s’agitent tout au long de la côte sud de la Chine. Quelque 600 navires quittent les ports, lourdement armés et chargés de soldats. Peu de temps après, ce ne sont pas moins de 900 navires qui vont cingler vers le Japon depuis les côtes coréennes. Le premier débarquement gigantesque de l’histoire de l’Homme, voulu par Kubilaï Khan empereur de Mongolie et de toute la Chine, est engagé. Un seul objectif : la soumission totale du Japon.

 

Le 22 mai 1281, l’armada de l’Est part de la Corée avec quelque 100.000 hommes. Cela prit considérablement plus de temps qu’en 1274 pour atteindre le détroit de Tsushima. La raison en est probablement le gigantisme de la flotte qui comportait 900 navires de toutes sortes. De plus, si les Coréens étaient bons navigateurs, ce n’était pas le cas des Mongols. Il fallut attendre le 9 juin pour atteindre Tsushima et le 14 juin pour Iki. Sur Tsushima, So Moriaki marchait dans les pas de son père présent lors de l’invasion précédente et tenta de mener la vie dure à l’envahisseur. Mais ses 300 guerriers ne firent guère le poids face à l’énorme machine de guerre mongole et tous furent tués, même après s’être enfuis et cachés dans la montagne.

Une désobéissance désastreuse

Une fois solidement installée sur l’île de Iki, la flotte devait atteindre l’armada du Sud qui était attendue aux alentours du 2 juillet. Mais quel que soit le niveau de préparation d’une guerre, l’élément humain reste toujours la variable la plus imprévisible. Et c’est exactement ce qui se passa. Pour une raison encore inconnue, les généraux mongols, sûrs de leur force, choisirent de tirer toute la gloire pour eux seuls et n’obéirent pas aux ordres du grand Khan. Ils attaquèrent seuls le Japon. C’était une décision extraordinaire, car les Mongols étaient parfaitement au courant du renforcement de la baie d’Hakkata et de la construction du mur défensif. C’est la raison précise pour laquelle Kubilaï Khan avait insisté en personne pour qu’une force écrasante débarque d’un seul coup. C’est donc avec une semaine d’avance sur le plan d’invasion (le 23 juin), que le débarquement commença, en dépit de la parole de leur Khan.

Mais la seconde décision étonnante fut le choix de diviser les troupes pour débarquer en différents points. 300 navires furent envoyés à travers le détroit de Shimonoseki, à la pointe de l’île d’Honshu, dans la province de Nagato. L’idée n’était pas mauvaise en soi, mais avant même d’avoir pu dire ouf, les samouraïs de la région avaient repoussé les Mongols à la mer. Dans la baie d’Hakkata, le gros des troupes avait les plus grandes difficultés à y installer une tête de pont. Il faut dire que les Japonais étaient cette fois bien préparés. Non seulement le mur joua parfaitement le rôle escompté pour protéger les troupes nippones et gêner les avancées mongoles, mais la solidarité entre grands samouraïs fut au rendez-vous. Dès que l’alerte retentit, des troupes nombreuses vinrent de l’intérieure des terres pour renforcer les défenses côtières.

débarquement baie hakata

Incapables de mettre un pied sur la plage, les Mongols se replièrent sur les deux îlots situés dans la baie, ceux de Shiga et Noko. Ils pensaient pouvoir souffler à la fin du premier jour du conflit, mais l’îlot de Shiga était connecté à la terre par une bande de sable qui se découvrait à marée basse. Les Japonais en profitèrent pour attaquer de nuit et harceler les forces mongoles qui se croyaient à l’abri. L’îlot de Noko et la flotte qui était à l’ancre n’étaient pas mieux lotis. Les samouraïs mirent à l’eau des dizaines de petits bateaux à fond plats, chargés d’archers et de sabreurs désireux de mettre une pression constante sur l’ennemi. Il existe même des témoignages parlant de samouraïs nageant avec leur armure pour prendre d’assaut un navire plus isolé que les autres. Il faut dire que le système de récompense des Japonais se faisait au nombre de têtes décapitées qu’ils pouvaient ramener. Puisque les Mongols n’étaient pas sur les plages, il fallait aller les chercher sur leurs bateaux. Le moins qu’on puisse dire est que cette fois-ci, la peur avait changé de camp.

La bataille de Takashima

Au début du 7e mois lunaire la grande armada du sud de la Chine arriva finalement et longue et complexe tâche d’associer les deux flottes autour de l’île d’Iki pu démarrer. Il fallut un mois pour cela. Au lieu de revenir se frotter au mur de la baie d’Hakata, trop bien défendu malgré l’infériorité numérique des samouraïs, les Mongols décidèrent de descendre la côte plus à l’ouest vers la baie d’Imari, et d’attaquer l’île de Takashima le 11 août 1281.

imari bay

Le lendemain la réplique japonaise ne se fit pas attendre et le même scénario des petits bateaux à fond plat se répéta, mais à une échelle plus grande encore. La réaction des Mongols fut d’attacher leurs navires les uns aux autres à l’aide de chaînes, afin de former comme une muraille flottante et d’éviter toute attaque sur les flancs. Par ailleurs, le souvenir cuisant de la tempête de 1274 leur avait mis en tête que cette manœuvre permettrait de résister à tous les coups de vent. Quoi qu’il en soit, la bataille dura toute la nuit du 12 au 13 août et à l’aube, les Japonais battirent en retraite. Le surnombre du rouleau compresseur mongol avait l’avantage. Le débarquement prévu pour le lendemain ne laissait aucun doute sur son issu : c’était la fin de la résistance japonaise dès lors que l’armée du grand Khan aurait mis pied sur terre.

Le vent divin

Dans toutes les mémoires, envahisseurs comme défenseurs, jamais on n’avait vu une telle tempête se lever depuis des siècles. Avant même que le vent se lève, le moral des troupes mongoles était déjà assez bas. L’inactivité, l’incapacité à débarquer complètement, la vie sur des bateaux (pour des cavaliers rien de pire) et l’odeur pestilentielle des bêtes et des hommes sur des espaces confinés avaient miné la détermination. Or, les généraux savaient que chaque heure de retard les rapprochait inéluctablement de la saison des typhons.

Dans le Yuan Shi (le classique de la dynastie Yuan – les Mongols) on peut lire d’autres explications davantage en accord avec l’esprit de l’époque :

« Quand ils virent les ombres de collines dansantes parmi les vagues, ils suspectèrent que des rochers se cachaient sous la surface près de l’entrée de la baie, de telle manière qu’ils ne purent s’approcher. Puis ils virent un grand serpent à la surface de l’eau, et l’eau sentit le souffre. Il y eut maintes choses bizarres et étranges encore, aussi bien que le moral des troupes fût grandement affecté ».

Puis le vent se leva. Alors que les navires étaient attachés les uns aux autres de l’île de Takashima jusqu’à la terre ferme vers Matsuura, un typhon gigantesque souleva l’océan. Les bateaux se frottèrent les uns contre les autres, les hommes furent emportés comme des fétus de paille, les navires proches des côtés se fracassèrent ou échouèrent sur les plages. Ceux qui étaient en mer coupèrent leur ancre pour tenter de fuir vers le large.

 

Il y encore débat entre historiens sur le nombre de morts que ce typhon provoqua. Seule la source coréenne est fiable, car le royaume avait enregistré le départ de 26 989 hommes. 7592 ne revirent jamais, soit environ 30%. Mais comme dit plus haut, les Coréens étaient de loin les meilleurs marins du lot. Du côté sino-mongol, les sources évoquent une perte qui se situerait entre 60% et 90% des hommes. En tout état de cause, le résultat fut catastrophique et définitif.

Ce qui est plus parlant encore est la réaction des généraux. Ceux qui avaient survécu au vent des esprits (kamikaze), se réunirent au 5e jour et filèrent droit vers la Chine, laissant derrière eux des milliers, voire des dizaines de milliers d’hommes flottant sur des bouts de bois, sans chercher à les récupérer et les sauver des eaux. Les Japonais qui ressortirent immédiatement de leurs abris après le typhon massacrèrent tous les rescapés. Il est dit toutefois que les Chinois Song furent épargnés, mais sans certitude historique. Seul le témoignage d’un chinois parle en ce sens :

« Premier jour : un typhon coula la flotte

Cinquième jour : Le général Fan Wenhu et les autres prirent les meilleurs navires encore en état et filèrent, laissant au moins 100.000 hommes dans la montagne (sur Takashima). Après 3 jours sans vivres ni commandement, les hommes choisirent le capitaine Chang qu’ils appelèrent Gouverneur Chang. Sous sa direction, nous coupâmes les arbres pour fabriquer des bateaux afin de repartir chez nous.

Septième jour : les Japonais nous ont attaqués et quasiment annihilés. Les quelques dizaines de milliers restants furent capturés.

Neuvième jour : arrivés dans la baie d’Hakata, les Japonais tuèrent tous les Mongols, les Coréens et les Hans (chinois du nord du pays). Ils épargnèrent la vie de ceux qui avaient été récemment soumis à l’empire mongol en disant qu’ils étaient les fils des Tang (dynastie qui avait de bonnes relations avec le Japon). Ils en firent des esclaves à la place. Moi, Chang, je fus l’un d’entre eux. »

 

chasse à l'homme après typhon

Épilogue

Si les pêcheurs remontèrent des débris et des pièces archéologiques tout au long des siècles dans leurs filets, ce n’est qu’en 1981 qu’une campagne systématique et scientifique de fouilles fut menée avec grands renforts de publicité. Les habitants des baies d’Imari et d’Hakata sortirent tout ce qu’ils possédaient chez eux, sans se douter de la valeur des objets, comme le sceau d’un général ou même une statue de bouddha saucée des eaux au 18e siècle. Ces fouilles permirent de comprendre la force du kamikaze, car les débris étaient très largement dispersés sur des kilomètres carrés. On retrouva aussi des morceaux de coques avec des planches reclouées à la hâte. Sans hésitation, le typhon sauva le destin de la nation nippone.

fouilles archéologiques baie imari

Mais d’autres raisons peuvent expliquer l’échec de l’entreprise de Kubilaï Khan. L’immense empire des Yuan (nom donné à la dynastie mongole en Chine) était faible sur ses frontières. C’étaient des cavaliers de la steppe et l’eau n’était pas leur élément. Ils durent s’en remettre entièrement à l’expertise des peuples nouvellement conquis qui n’avaient pas forcément envie d’aider leurs nouveaux maîtres. Cette dernière hypothèse est celle qui a le plus de poids, car les troupes chinoises et mongoles du Sud qui s’étaient combattues peu de temps auparavant, étaient aguerries à la guerre et auraient pu faire nettement mieux, mais elles n’avaient aucune confiance l’une envers l’autre.

Le point de vue japonais est bien entendu très différent. Le succès de la défense en revient avant tout aux samouraïs et à leur bravoure. Il est indéniable qu’à tout moment ils étaient fortement en infériorité numérique. Et pourtant, ils réussirent à résister. Le mur d’Hakata fut une dépense judicieuse pour la sauvegarde du pays. La réactivité des provinces intérieures est l’autre explication avancée par les Japonais. En effet, la nouvelle de la victoire mit une semaine à arriver à Kamakura. À ce moment-là, le bakufu pensait que Kyushu était tombée. Le neveu de Hojo Tokimune était en train d’installer une seconde ligne de défense dans la province d’Harima, ce qui montre que tout le pays était mobilisé sous les ordres du Shogun.

Mais la conséquence la plus visible encore aujourd’hui et à travers toute l’histoire du Japon (notamment l’épisode de la 2nde guerre mondiale) fut la croyance renforcée dans les kamis protecteurs de l’archipel. L’empereur lui-même remercia les esprits et un simple sujet de Sa Majesté laissa ces notes historiques :

« Les yeux du Divin sont clairs comme le cristal. Que pourrait-il être plus heureux que cela dans le monde ? Car ceci n’est pas un phénomène courant. Bien que nous vivons dans des âges de ténèbres, ceci est néanmoins incroyablement inspirant. Et désormais nous devons nous dévouer à l’adoration des dieux et des bouddhas ».

Mais le plus curieux dans cette histoire fut le sort du bakufu de Kamakura. Lors de l’invasion, le pays était dans une bataille continue entre les supporters de l’empereur et ceux du shogun Hojo Tokimune. La popularité du régent fut immense après les événements, mais il mourut prématurément 3 ans plus tard. Aussitôt le pays se divisa de plus en plus, car les régions qui résistèrent aux Mongols étaient les moins soumises au pouvoir du shogun. C’étaient donc la preuve que sans le shogunat, on pouvait tout de même battre une grande armée. Cette idée fit rapidement son chemin et en 1333 les samouraïs qui voulaient le retour de l’empereur (Go Daigo) au pouvoir rasèrent la ville de Kamakura. Les derniers membres du clan Hojo firent un acte de seppuku massif devant une cave bouddhiste, devant un temple qui s’appelait ironiquement « le temple de la victoire ».

Une autre page venait de commencer, mais ça, c’est une autre histoire.

 

Note de Michel Duchaine:L’histoire est un continuel apprentissage de la Vie,même devant la plus horrible des  morts!

 

 

 

 

 

 

 

 

La Troisième Guerre Mondiale en formation:Jusqu’où iront les alliés de l’OTAN pour mener leur guerre perdue en Ukraine ?

Lorsque les forces ukrainiennes et de l’OTAN auront perdu leur guerre dans l’est de l’Ukraine d’ici Noël, qu’adviendra-t-il de la croupe de l’ouest de l’Ukraine ?
L’avertissement russe, lancé vendredi dernier au Conseil de sécurité par le président Vladimir Poutine, est que l’armée russe défendra l’ouest de l’Ukraine, connue sous le nom de Galice, contre toute tentative d’intervention des forces polonaises dans le cadre d’une formule de « maintien de la paix » de l’OTAN ou d’un accord bilatéral. accord de défense entre le régime de Kiev et Varsovie pour placer la Galice sous la protection de l’article 5 de l’OTAN.

 

 

L’avertissement de Poutine était concret, explicite, géographiquement limité. Il s’appliquait aux frontières occidentales actuelles de l’Ukraine, à la frontière orientale de la Pologne et à la frontière polono-biélorusse.  » Je voudrais aussi vous rappeler à quoi a abouti la politique agressive de la Pologne. Cela a conduit à la tragédie nationale de 1939, lorsque les alliés occidentaux de la Pologne l’ont jetée au loup allemand, la machine militaire allemande. La Pologne a en fait perdu son indépendance et son statut d’État, qui n’ont été restaurés que grâce en grande partie à l’Union soviétique. C’est aussi grâce à l’Union soviétique et grâce à la position de Staline que la Pologne a acquis un territoire important à l’ouest, territoire allemand. C’est un fait que les terres occidentales de la Pologne sont un cadeau de Staline. Nos amis de Varsovie l’ont-ils oublié ? Nous leur rappellerons. »

Les « amis de Varsovie » n’étaient pas le seul public visé par Poutine. Son avertissement s’adresse également aux amis de Berlin, aux amis baltes, aux amis de Paris, de Bruxelles et de Budapest et, bien sûr, aux amis de Washington. En décembre 2021, ils se sont vu proposer les conditions de sécurité mutuelle et de non-agression en Europe dans des traités pour les États-Unis et l’OTAN déposés par le ministère russe des Affaires étrangères . Ils ont été écartés lors de négociations diplomatiques qui ont duré moins d’un mois .

À Noël de cette année, comme Poutine vient de le souligner, l’armée ukrainienne et les forces de l’OTAN auront épuisé leurs capacités pour continuer le combat. « Le monde entier voit que le matériel militaire occidental tant vanté, soi-disant invulnérable, est en feu« , a-t-il ajouté. Ce qui peut arriver ensuite est « un jeu extrêmement dangereux, et les auteurs de tels plans devraient réfléchir aux conséquences« .

Ceci est un avertissement que si les Polonais se déplacent vers l’est, les Allemands seront également motivés à se déplacer vers l’est, afin de récupérer les territoires prussiens que l’Allemagne a perdus lors de sa défaite et de sa capitulation à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La Hongrie sera également motivée à modifier sa frontière nord-est afin de sauver la population ethnique hongroise de Transcarpatie dans le sud-ouest de l’Ukraine.

En bref, Poutine annonçait que « le cadeau de Staline », comme il l’appelait, était la stabilité du règlement territorial après 1945. Aujourd’hui, en faisant échouer la tentative de l’OTAN de détruire les Russes à l’est de Kiev, les Russes avertissent à nouveau que si l’OTAN tente de modifier ses lignes de défense à l’ouest de Kiev, l’armée russe dictera un règlement territorial entièrement nouveau dans lequel l’OTAN sera un élément encore plus perdant en capacité militaire et en extension territoriale que les traités de non-agression proposés le 17 décembre 2021.

Pour visualiser la géographie dans la discussion, voici une carte du règlement territorial après la Seconde Guerre mondiale entre l’Allemagne et la Pologne.

Source: https://en.wikipedia.org/wiki/

Voici une analyse russe récemment publiée sur la manière dont l’avertissement de Poutine doit être interprété, à la fois historiquement et stratégiquement, entre le Dniepr et les lignes Oder-Niesse.

“The Revival of Russian identity and Polonization: Russia agree by Albert Akopyan -- source: https://eadaily.com

  

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Dmitry Peskov : la Russie ne cherchait à contrôler aucun territoire de l’Ukraine, à l’exception de ceux qui font déjà partie de la Russie

 C’est la première déclaration claire à partir de laquelle on conclura que la Russie ne cherche pas à libérer tant de villes historiquement et culturellement  russes comme Odessa, Kharkov, Nikolaev, Dniepr en les incorporant à la Russie.

Cette déclaration de Peskov aura d’énormes implications politiques. Tout d’abord, l’attitude envers la Russie dans ces villes va changer. Quel est l’intérêt d’Odessa et de Kharkov de soutenir la Russie si Odessa et Kharkov ne sont définitivement pas en Russie ?

 

De plus, cela peut conduire à des changements dramatiques dans la position politique de la partie patriotique active de la société russe et l’amener à s’opposer à la direction politique. Après tout, ils se battent activement non pas pour Kherson ou Kramatorsk, mais pour Novorossiya. 1

Mais cela sera perçu très positivement dans le monde comme la préparation de la Russie à des pourparlers de paix dans un avenir proche à partir d’une « position réaliste ».

Note

1. Gouvernorat de Novorossiya en 1800 au sein de l’ Empire russe . Sa ville centrale était Ekaterinoslav ( Dnipro moderne ), qui a été brièvement rebaptisée « Novorossiysk » sous le règne de Paul I

 

 

De nombreux chars occidentaux gisent détruits sur le front ,face aux troupes russes.

 

 

 

 

 

 

 

Film important du mois:the sound of Freedom…intégral

Ce film va problement  faire réveiller beaucoup de gens sur le problème mondial du traffic d’enfants sur la base d’un réseau  de pédophiles mondial de l’élite.

Je me permets de vous  le présenterr sur notre site.

D’une part,vous noterez la publicité affreuse d’un site  de jeux en ligne qui cherche = faire du fric sur le dos de ce film…négligez les ,s’il-vous-plait!

 

 

 

 

 

Pensée profonde:Passé 80 ans

Passé 80 ans,

on disparaît progressivement.
À moins d’un accident de parcours,
la mort n’est pas subite. C’est un processus progressif.
On meurt lentement.
On disparaît progessivement,,
on ralentit pas à pas,
nos sens s’éteignent petit à petit,
nos forces diminuent de jour en jour,
nos relations se raréfient,
l’engagement cède la place à l’écoute… et même au doute,
l’action à la contemplation, l’homme à l’enfant, la Politique à la Nature,
jusqu’à ce qu’il ne reste que le Présent et le Monde,
le jour et l’heure zéro.
Alors nous sommes prêts pour le grand retour dans l’Univers, comme des étoiles filantes incandescentes
retrouvant leur place dans l’éternité.
Texte de Roméo Bouchard

Natabay Tinsiew décédé à 127 ans, est-il l’homme le plus âgé de l’histoire récente de l’humanité ?

En hommage à la Révolution Française:le film du bicentenaire de la Révolution Française en 1989

La Révolution française est une date clé de l’histoire de France. Pourquoi et par qui a-t-elle été déclenchée, comment la France a-t-elle tourné la page de la monarchie pour entrer dans la République ? Les réponses viennent ici!

La Révolution française couvre une période de dix ans qui s’étend de l’ouverture des États généraux le 5 mai 1789 au coup d’État du 18 Brumaire (9 novembre 1799) mené par Napoléon Bonaparte. Une décennie qui a vu la chute de la monarchie française, l’entrée en république et a profondément et durablement bouleversé la société française.

 

Quels événements ont déclenché la Révolution Française ?

Les évènements qui ont conduit à la Révolution française sont de nature diverse, à la fois sociale, économique et politique. L’Ancien Régime est en crise, la dette publique atteint des sommets et la société d’ordres est de plus en plus critiquée. Malgré la décision de Louis XVI de doubler le nombre des députés du Tiers État fin 1788, ces derniers demeurent minoritaires face à la noblesse et au clergé. La révolte gronde. « L’entrée en révolution se fait au printemps et dans l’été 1789 avec la transformation des Etats généraux en assemblée nationale le 17 juin et l’affirmation de la souveraineté nationale », explique Hervé Leuwers.

Avec le serment du Jeu de Paume le 20 juin, la nouvelle assemblée nationale s’engage à ne pas se séparer avant d’avoir rédigé la Constitution. « Le 9 juillet, les députés se déclarent Assemblée nationale constituante et la prise de la Bastille le 14 juillet, sauve la révolution d’un coup de force, alors que le roi menace de faire intervenir les troupes dans la capitale », détaille l’historien.

La chronologie de la Révolution française

 

Prise de la Bastille par le peuple

Guerre civile, Terreur, pays divisé, mais aussi abolition des privilèges et première constitution écrite de France, la Révolution française est une période riche et complexe. Après la prise de la Bastille le 14 juillet et la Déclaration de Droits de l’homme et du Citoyen du 4 août 1789, l’unité fait long feu et la confusion règne. Les droits seigneuriaux sont abolis par les députés, mais Louis XVI s’oppose avec virulence à cette mesure. Après l’interruption de sa fuite à Varennes, le roi perd la confiance du peuple. La monarchie constitutionnelle est un échec. Le roi use de son droit de veto pour empêcher le travail de l’Assemblée. Dans le contexte de la guerre contre les armées prussienne et autrichienne qui débute le 20 avril 1792, l’hostilité du peuple à l’encontre de Louis XVI grandit.

Le 10 août, la foule des sans-culottes envahit le palais des Tuileries. Louis XVI et sa famille sont alors emprisonnés. « Le pouvoir est alors détenu par la Convention nationale, l’Assemblée qui a été élue, après l’insurrection du 10 août, pour établir une nouvelle constitution. Le 21 septembre, lors de sa première séance officielle, elle déclare l’abolition de la royauté en France. C’est le début de la République », explique Hervé Leuwers. Le procès de l’ancien roi, désormais simple « Citoyen Capet », s’ouvre le 11 décembre 1792. Il est reconnu coupable de « conspiration contre la liberté publique et la sûreté générale de l’État » le 15 janvier 1793. Son exécution publique a lieu le 21 janvier.

Dans les semaines qui suivent, la décision de la Convention de lever 300 000 hommes pour renforcer les troupes provoque une révolte paysanne qui conduit à la guerre de Vendée. Dès le mois de mars, un tribunal révolutionnaire doit punir les contre-révolutionnaires, et le 6 avril, le Comité de défense générale devient le comité de salut public, dans lequel Robespierre va bientôt jouer un rôle majeur. Le 10 octobre 1793, la Convention décrète le gouvernement révolutionnaire jusqu’à la paix.

Maximilien Robespierre

 

Ce gouvernement va décider de différentes mesures destinées à lutter contre les ennemis à l’intérieur du pays (en Vendée, mais aussi à Lyon et Caen où les soulèvements s’intensifient contre la Convention) et les ennemis extérieurs incarnés par les autres monarchies européennes. On appellera cette période mouvementée « la Terreur ». Entre l’été 1793 et juillet 1794, près de 17 000 personnes furent officiellement condamnés à mort, mais on estime qu’il y eut en réalité plus de 30 000 exécutions.

Qui gouverne la France après la chute de Louis XVI ?

Dans l’attente d’une nouvelle constitution, le gouvernement est exercé par l’Assemblée, qui détient le pouvoir législatif, et par un « conseil exécutif provisoire » composé de six ministres. Le 1er avril 1794, ce conseil va être remplacé par douze commissions exécutives. « Le gouvernement révolutionnaire remplace le gouvernement décidé dans la constitution de 1793. Finalement, en 1795, les conventionnels vont juger cette constitution de 93 trop démocratique et la remplacer par la constitution de 1795. Elle donne naissance au Directoire », ajoute Hervé Leuwers. Le pouvoir passe donc entre les mains de cinq directeurs.

Le 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799), Napoléon Bonaparte s’immisce lors d’une séance du Conseil des Cinq-Cent réunie à Saint-Cloud et prend le pouvoir à l’aide de son frère Lucien Bonaparte. Il bénéficie également de la complicité d’un des cinq directeurs, Emmanuel-Joseph Sieyès. Le lendemain, le Consulat naît.

Maintenant ,place aux films:

LES ÉPISODES 1,2 ET 3 de LA RÉVOLUTION FRANÇAISE DE 1989

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Guerre Russie-Ukraine:Mise à jour sommaire du front ukrainien ce 15 juin 2023

La ligne de front est stable. Les Ukrainiens sont repoussés. Les tactiques de vague d’assaut utilisées par l’AFU sont remarquables, notamment :

  • préparation d’artillerie,
  • avance de plusieurs groupes blindés (7-8 véhicules plus infanterie),
  • tentatives d’approche des positions russes et de dégagement des tranchées à l’exploitation, pour préparer le terrain pour l’approche des forces principales qui sont censées avancer profondément dans les défenses russes

En pratique, l’artillerie russe détruit les objets blindés ennemis dès qu’ils tombent à sa portée. Si le groupe d’assaut parvient à atteindre les bastions russes, l’infanterie russe intransigeante entre dans la bataille. Sinon, l’armure intacte restante des Ukrainiens se retire, fait le plein de munitions, fait le plein et retourne au combat.

Ces vagues d’assaut durent de trente minutes à plusieurs heures. L’offensive dure depuis six jours et la ligne de front est stable.

Les Ukrainiens avancent en colonnes et de manière répétitive le long des mêmes itinéraires, car en plus des frappes impitoyables de l’artillerie et de l’aviation russes, toutes les approches sont fortement protégées par des champs de mines, dont les Ukrainiens ont à juste titre peur.

Il convient également de noter le mépris absolu des commandants ukrainiens pour les pertes humaines dans leurs détachements d’assaut.

La défense russe, avec son système complet de tirs et de zones de destruction construit par les commandants russes, ne laisse aucune chance à l’ennemi.

Ajoutez à cela la patience du soldat russe. La capacité d’endurer et de rester à leurs positions jusqu’à la fin. Celui qui ne craint pas pour sa propre vie prend celle des autres.

#Source (russe)

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La Maison Blanche fait face aux lourdes pertes ukrainiennes

Des images fournies par le ministère russe de la Défense montrent une frappe contre les forces ukrainiennes lors d’un affrontement dimanche dans le sud de la République populaire de Donetsk. © Ministère russe de la Défense

L’administration du président Joe Biden a admis que les unités militaires ukrainiennes pourraient subir de lourdes pertes de troupes et d’armes fournies par les États-Unis alors qu’elles intensifient leurs attaques contre les forces russes dans la région du Donbass.

S’exprimant dans une interview à CNN jeudi soir, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré qu’il était réticent à discuter des détails sur les victimes au milieu de combats de plus en plus féroces près d’Artyomovsk (connu sous le nom de Bakhmut en Ukraine). Interrogé par l’hôte Wolf Blitzer sur les informations faisant état de graves pertes ukrainiennes d’hommes et d’équipements, il s’en est remis aux responsables ukrainiens pour commenter ces détails. 

 

«C’est la guerre, cependant, et il y en a. . . de violents combats autour de Bakhmut, et il y a des combats ailleurs le long de ce front qui s’étend du Donbass vers Zaporozhye », a  déclaré Kirby. « Et certainement, il faut s’attendre à ce qu’il y ait des victimes dans ces combats accrus. »

Kirby a fait ses commentaires au milieu d’informations selon lesquelles les forces ukrainiennes ont commencé dimanche leur contre-offensive tant attendue et ont subi la puissance de feu russe alors qu’elles tentaient à plusieurs reprises de briser les lignes défensives de Moscou. Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que les forces ukrainiennes avaient subi des pertes bien plus lourdes que le ratio de pertes typique de trois pour un généralement attendu lors d’une offensive.

Les forces ukrainiennes ont perdu des milliers de soldats et des dizaines de véhicules blindés et d’unités d’artillerie fournis par l’Occident, dont 1.240 soldats et 39 chars en 24 heures cette semaine, selon le ministère russe de la Défense. Le ministère a estimé les pertes de troupes de Kiev à plus de 3.700 soldats au cours des trois premiers jours de la contre-offensive, contre 71 du côté russe. Les responsables ukrainiens ont rejeté les allégations concernant ses pertes comme étant de la propagande russe.

Kirby a déclaré que l’administration Biden vise à permettre au régime de Kiev de lancer des attaques contre les forces russes quand il le souhaite. « Ce sur quoi nous allons nous concentrer, c’est de nous assurer que si, quand et comment le président [Vladimir] Zelensky veut se battre dans cette ligne ou sur toute autre ligne, il a le soutien dont il a besoin non seulement des États-Unis, mais de 50 autres partenaires.

Biden a promis jeudi de continuer à armer l’Ukraine  « aussi longtemps qu’il le faudra ».  Les législateurs américains ont déjà approuvé un financement de 113 milliards de dollars pour l’aide militaire et économique à Kiev, et il a déclaré qu’il s’attend à ce que les membres du Congrès continuent de soutenir les efforts de l’Ukraine pour chasser les forces russes de son territoire.

Blitzer a noté un avertissement du président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des États-Unis, Michael McCaul (R-Texas), selon lequel il sera  « très difficile »  d’obtenir l’approbation du Congrès pour plus de financement si  « l’Ukraine ne fait pas de progrès sur le champ de bataille ».  Lorsqu’on lui a demandé si cette évaluation était correcte, Kirby a déclaré que l’administration dispose de tout le financement dont elle a besoin pour l’Ukraine jusqu’à la fin de son exercice en cours, le 30 septembre.

« Nous avons reçu un soutien formidable des deux chambres du Congrès et des deux partis au cours des 15 derniers mois, et le président a déclaré qu’il s’attend à ce que ce soutien se poursuive parce que les membres du Congrès comprennent ce qui est en jeu ici – certainement à l’intérieur de l’Ukraine, mais aussi sur le continent européen »,  a déclaré Kirby.

Source : INTEL-DROP 10 juin 2023

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

 

Huit jours après le lancement de l’offensive ukrainienne, le bilan pour Kiev est désastreux

 

Huit jours après le lancement des premières tentatives d’offensive de l’armée ukrainienne contre les lignes défensives russes en région de Zaporojié et dans le sud de la République Populaire de Donetsk (RPD), le moins que l’on puisse dire est que le bilan tant en matière de pertes, qu’en matière d’avancée est un désastre.

 

 

L’offensive ukrainienne a commencé le 4 juin 2023, par une tentative de percée de la ligne de front dans le sud de la RPD. L’armée ukrainienne a déployé plusieurs bataillons mécanisés et de chars pour son offensive, qui s’est soldée par un échec cuisant, et des pertes importantes tant en hommes qu’en matériel (plusieurs chars, véhicules de combat d’infanteries et véhicules blindés ont été en mieux endommagés au pire détruits).

Malgré cet échec, dès le matin du 5 juin 20223, l’armée ukrainienne a de nouveau lancé une offensive en direction d’Ougledar, dans le sud de la RPD, et vers Velikaya Novossiolka, en région de Zaporojié.

Zone de l'offensive ukrainienne en RPD

 

Zoom sur la zone de Vremievka

Zone de l'offensive ukrainienne en RPD et région de Zaporojié

Cartes fournies par Military Maps

L’attaque du 5 juin près d’Ougledar est beaucoup plus puissante que celle de la veille, et a permis à l’armée ukrainienne de pénétrer dans la périphérie de Novodonetskoye, sans réussir à s’y installer. Les soldats de l’armée ukrainienne y sont massivement bombardés par l’artillerie russe, et un véritable système de navettes de véhicules de transport de troupes blindés fait alors des aller-retours pour amener « du sang frais ». Ces véhicules tombent eux-mêmes sous les frappes de l’artillerie russe ou explosent sur des mines, et sont remplacés au fur et à mesure des destructions.

C’est lors de cette bataille que les chars allemands Léopards ont fait leur première apparition sur la ligne de front.

Le même jour, la 23e brigade des Forces Armées Ukrainiennes (FAU) a attaqué la ligne Novopol-Novodarovka avec un groupe tactique de bataillon et deux pelotons de chars. Mais l’attaque fut repoussée par les forces russes.

Cette même brigade ukrainienne lança aussi une offensive sur les hauteurs proches de Novossiolka, et avec des renforts d’unités d’infanterie de marine et des groupes tactiques de bataillon a commencé à avancer à 2 km à l’ouest de Neskoutchnoye.

Au deuxième jour de l’offensive ukrainienne, devant l’échec manifeste de cette dernière, Kiev garde alors le silence, faisant comme si l’attaque n’avait pas encore commencé. Le lendemain, le 6 juin 2022, l’Ukraine détruit le barrage de Novaya Kakhovka, noyant plusieurs villages ainsi qu’une partie de la ville de Kherson. Dans le même temps elle détruit aussi le gazoduc d’ammoniac reliant Togliatti à Odessa, qui faisait partie de l’accord céréalier.

Entre temps, l’aviation russe a lourdement bombardé Novossiolka, où se trouve une importante zone fortifiée ukrainienne, avec près de 15 bombes planantes FAB-500 de 500 kg. Et l’armée ukrainienne a dû se retirer de Novodonetskoye après de lourdes pertes.

Les drones kamikazes ont aussi été utilisés par l’armée russe pour détruire l’équipement de l’armée ukrainienne en région de Zaporojié.

Le 6 juin, le ministre russe de la Défense annonce qu’en trois jours, 71 soldats russes sont morts et 210 ont été blessés en repoussant l’offensive ukrainienne. Côté ukrainien, les pertes sont monstrueuses. Le ministère de la Défense russe indique ainsi que l’armée ukrainienne a perdu près de 1.900 soldats (blessés et morts) lors de la même période, et plus de 200 pièces d’équipement dont de nombreux chars, incluant plusieurs Léopards.

Dans le même temps, l’armée ukrainienne retente d’attaquer Novodonetskoye depuis plusieurs directions à la fois avec une vingtaine de véhicules blindés fournis par l’OTAN, mais sans succès. Les unités de reconnaissance russes détectent le mouvement des FAU, une bataille s’engage rapidement et se solde par l’échec de l’avancée ukrainienne.

Le 7 juin, l’armée ukrainienne a tenté d’attaquer plus à l’ouest, dans la région de Zaporojié, vers le village de Lobkovoye. Un petit groupe avec deux véhicules de transport de troupes blindés et deux Hummer a tenté d’avancé prudemment vers les positions russes, mais a été découvert. Une bataille s’es

Zone de l'offensive des FAU en région de Zaporojié

Carte fournie par Military Maps

Les FAU ont ensuite lancé une bataille exploratoire entre le Dniepr et Orekhov avec une compagnie et une dizaine de blindés, pour essayer de chercher une faille dans la défense russe. Sans succès. Deux véhicules blindés américains ont explosé dans un champ de mines, les troupes ukrainiennes se sont alors arrêtées et ont commencé à reculer sous le feu de l’artillerie russe, qui a ensuite pilonné leurs positions. Les deux véhicules blindés endommagés ont été abandonnés dans le champ de mines.

Et les tentatives d’attaque vers Vremievka se sont elles aussi soldées par un échec cuisant grâce à l’intervention massive de l’aviation et de l’artillerie russe, et aux actions des troupes russes du groupe Vostok. En une journée, l’armée ukrainienne a de nouveau perdu plusieurs centaines de soldats et plusieurs dizaines de chars, de véhicules blindés et de véhicules de combat d’infanterie, plus trois systèmes d’artillerie automoteurs Krab et d’autres pièces d’armements.

Le 8 juin 2023, les forces russes signalent que l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une offensive dans la zone d’Orekhov, en région de Zaporojié. En pleine nuit, après des frappes massives de d’artillerie, 1.500 hommes et 150 véhicules blindés de la 47e brigade mécanisée des FAU ont lancé une nouvelle offensive. Mais les unités de reconnaissance ont détecté l’avancée des troupes ukrainiennes, qui ont été massivement frappées par les missiles antichars, l’artillerie et l’aviation russes. Les systèmes de guerre électronique russes s’activent aussi, et brouillent les signaux des troupes ukrainiennes, qui se retrouvent totalement désorganisées.

Après deux heures de combat, l’armée ukrainienne avait perdu plusieurs dizaines de chars et de véhicules de combat d’infanterie, et près de 350 soldats. Face aux pertes importantes, certaines unités ukrainiennes refusent alors d’appliquer les ordres et de monter à l’assaut.

Il faut souligner que la 47e brigade mécanisée des FAU, qui a subi de lourdes pertes près d’Orekhov, a été entraînée par les forces de l’OTAN dans toute l’Europe au cours des derniers mois et a été équipée d’armes occidentales. Le problème c’est qu’ils ont été entraînés à combattre avec l’aide de systèmes de coordination des troupes, qui ont été brouillés (signal GPS et communication) par les systèmes de guerre électronique russes. Privés de cette béquille high-tech, les soldats ukrainiens se sont retrouvés totalement désorganisés sur le champ de bataille, incapables de faire face efficacement aux tirs de l’armée russe.

Le même jour, les combats se sont poursuivis dans la partie sud de la RPD. Malgré les pertes effroyables l’armée ukrainienne a continué d’envoyer de nouvelles vagues de soldats sans arrêt (en fait quand les médias français accusent la Russie de faire cela, il s’agit d’inversion accusatoire, car c’est l’Ukraine qui utilise massivement cette tactique). Mais les soldats ukrainiens se rendent compte des pertes importantes dans leurs rangs, et de plus en plus refusent alors de suivre les ordres. De leur côté, les troupes russes continuent de tenir bon.

C’est à ce moment là que les premières informations sur la destruction de chars Léopard ont commencé à apparaître.

Informations confirmées par vidéo de drone dès le lendemain :

Et les chars Léopards ne sont pas les seuls à montrer une piteuse performance sur le terrain, les véhicules de combat d’infanterie M2 Bradley, et les M1224 MaxxPro se font aussi massivement détruire par les tirs de l’armée russe.

 

 

Le 9 juin au matin, l’armée ukrainienne a envoyé de nouvelles troupes tenter une percée en région de Zaporojié. Les FAU ont essayé de créer un puissant poing de choc pour encercler les troupes russes, et s’accrocher à leurs positions avancées. Des combats intensifs se sont alors engagés, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation russe pour détruire l’équipement ukrainien. Pendant tout ce temps, la ligne de front est restée stable et les forces russes n’ont pas bougé de leurs positions.

Dans la nuit du 9 au 10 juin 2023, il y a eu de nouveau des combats près d’Orekhov après de lourdes frappes de l’artillerie ukrainienne contre les positions russes. Mais toujours pas de réussite pour les FAU qui ont de nouveau subi de lourdes pertes en hommes et en matériel.

Les troupes russes ont frappé au sud de Novoandreyevka, détruisant plusieurs véhicules blindés ukrainiens. Quatre autres sont restés coincés dans les champs de mines de la région de Malaya Tokmachka. Les unités des forces spéciales russes ont aussi détruit un char et un dragueur de mines dans cette zone.

L’armée ukrainienne a aussi essayé d’organiser des contre-mesures électroniques afin de réduire les capacités des forces russes en matière de reconnaissance, et de communication. En vain. Les soldats ukrainiens ont aussi fait face à de gros problèmes dus aux champs de mines installés par les forces russes. Ces dernières utilisent des systèmes de minage à distance avant et après les combats dans les champs traversés par les FAU, ce qui fait que les troupes ukrainiennes roulent sur les mines à l’aller (lorsqu’ils tentent d’avancer vers les positions russes), mais aussi au retour lorsqu’ils tentent de fuir ou d’évacuer les blessés ou le matériel endommagé.

Au bout de six jours d’offensive, l’armée ukrainienne avait déjà perdu plus de 10 % des M2 Bradley livrés, ainsi qu’environ 20 % des chars Léopard 2A6.

Malgré cela, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une percée le 10 juin au soir, vers 21:20. Des combats ont eu lieu près d’Orekhovo, Lobkovoye, et Novodonetskoye. Mais les troupes russes ont repoussé ces attaques avec l’aide de l’aviation, de l’artillerie et des missiles antichars.

À Ougledar, les drones FPV russes ont aussi infligé des frappes destructrices sur les équipements des FAU situés en zone urbaine.

Par contre, près de Vremievka, le bataillon Kaskad (forces armées russes) a préféré se retirer vers des positions en hauteur pour éviter d’être encerclé par les troupes ukrainiennes, ce qui a permis à ces dernières de prendre le contrôle de Blagodatnoye et Neskoutchnoye sans combats. Je tiens à souligner avant que certains réagissent de manière très émotionnelle, que ces villages et les positions russes qui s’y trouvaient sont dans la zone grise. La première ligne de défense de l’armée russe est plus au sud, et n’a jamais été approchée par l’armée ukrainienne. D’ailleurs Neskoutchnoye a été reprise dès le lendemain par les forces russes, après un pilonnage massif des troupes ukrainiennes qui avaient tenté de s’y installer.

La même situation a lieu à Velikaya Novossiolka, au nord de Neskoutchnoye, qui a changé plusieurs fois de main en une seule journée. Dès que les troupes russes se sont retirées et que l’armée ukrainienne est entrée dans le village, des frappes d’artillerie lourde et de lance-roquettes multiples, ainsi que des frappes aériennes, ont été infligées à la zone. Les troupes ukrainiennes ont quitté le village, les troupes russes sont revenues. L’armée ukrainienne a de nouveau attaqué avec des unités mécanisées. Les troupes russes se sont retirées et dès que les unités des forces armées ukrainiennes sont entrées dans la localité, elles se sont de nouveau fait tirer dessus, et cela s’est répété plusieurs fois. Les pertes des forces armées ukrainiennes en 24 h ont été d’environ 350 soldats et d’environ 40 pièces d’équipement.

D’ailleurs même le Telegraph a conclu que l’offensive ukrainienne aurait du mal à franchir les lignes de défense russe, qu’elle n’a toujours pas atteintes.

Le 11 juin, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté d’approcher des positions russes situées face à Orekhov. Mais après avoir reçu des tirs de lance-grenades automatiques de mitrailleuses lourdes, les soldats ukrainiens se sont retirés avec des pertes. À en juger par les interceptions radio les pertes ont été de huit morts, et 11 blessés.

Par contre, plus à l’est, vers Vremievka et Ougledar, le mauvais temps a temporairement bénéficié à l’armée ukrainienne, en empêchant l’aviation et les drones russes de voler. Privé de reconnaissance aérienne et de possibilité de mener des frappes par avion ou hélicoptère, l’armée russe a reculé, permettant aux troupes ukrainiennes de prendre le contrôle du village de Makarovka.

Mais cet avantage météorologique n’a pas duré. Dès le lendemain, le 12 juin 2023, l’armée russe a pu de nouveau faire voler drones, avions et hélicoptères. La 127e division motorisée russe a lancé une contre-offensive massive et a pu reprendre le contrôle de Makarovka, et s’approcher de Neskoutchnoye. À l’heure où j’écris ces lignes, les combats sont toujours en cours dans cette zone.

Le bilan après huit jours d’offensive de l’armée ukrainienne est terrible pour cette dernière. Un grand nombre de réservistes ont été envoyés dans des attaques frontales, quelques semaines à peine après leur enrôlement. Les unités entraînées par les pays de l’OTAN, comme la 47e brigade des FAU ont littéralement disparu des rapports, ce qui semblent indiquer que l’unité a subi des pertes irrémédiables tellement lourdes que l’unité n’est plus opérationnelle.

À en juger par les informations de terrain, tant à Zaporojié qu’à Velikaya Novossiolka, les FAU ont perdu la partie la plus active de leurs troupes. Les chiffres exacts n’ont pas encore été établis, cependant, à en juger par la quantité d’équipement détruit, les troupes ukrainiennes auraient perdu environ entre 7.000 à 7.500 soldats (tués et blessés) en huit jours « d’assauts successifs de chair à canon ».

À Zaporojié, au cours des quatre derniers jours, presque toutes les institutions médicales de la ville étaient remplies de soldats ukrainiens. Rien qu’à l’hôpital n°5, environ 1.500 soldats blessés des FAU ont été amenés.

Les pertes matérielles de l’armée ukrainienne sont à l’avenant. Pour 100 m de gagnés, l’armée ukrainienne perd à chaque fois plusieurs chars et véhicules blindés ou de combat d’infanterie. Un pourcentage important de l’armement occidental fourni à l’Ukraine est dores et déjà détruit. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Ukraine réclame de nouveau à cor et à cri que l’Allemagne lui fournisse plus de chars Léopards, trois fois plus ! Cette nouvelle demande indique clairement que Kiev a perdu une grande partie de l’équipement précédemment fourni. Équipement qui s’est avéré ne pas être la « super arme » tant vantée par les Ukrainiens.

Je rappelle que le ministère ukrainien de la Défense avait dit aux Russes de trembler de peur car bientôt l’armée ukrainienne aurait des chars Léopards.

Résultat plusieurs de ces derniers, dont deux Léopards de déminage, ont brûlé dans les plaines des régions de Zaporojié et Donetsk, comme l’avait promis le député russe Piotr Tolstoï sur le plateau de BFM TV.

Si l’Allemagne et les autres pays occidentaux continuent de fournir ainsi leur armement à Kiev pour son offensive, l’armée russe démilitarisera non seulement  l’armée ukrainienne, mais démilitarisera aussi un grand nombre de pays de l’OTAN par la même occasion.

Ce soir, les combats se poursuivent, et pour ceux qui veulent être tenus au courant en temps réel de ce qui se passe, je vous encourage à me suivre sur Telegram, où je publie plus d’informations, et surtout de preuves vidéos, que je n’ai pas pu inclure dans cet article car les vidéos sont trop lourdes et ne peuvent être visionnées que dans l’application.

Christelle Néant   13 juin 2023;        Source : Donbass-Insider

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Poutine : l’Ukraine échoue dans toutes les directions de la contre-offensive

Jusqu’à présent, Kiev échoue dans toutes les directions de sa contre-offensive, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine, ajoutant que l’armée ukrainienne avait subi de lourdes pertes.

« L’ennemi n’a réussi dans aucune des directions. Ils ont de lourdes pertes », a déclaré Poutine lors d’une réunion avec des correspondants militaires.

Le président a mentionné que l’armée ukrainienne attaque actuellement dans les  directions Shakhtyorsk et Vremevka  « mais ne parvient pas à atteindre la ligne de front« . Au total, l’Ukraine attaque depuis quatre directions, a ajouté Poutine.

« Il s’agit  d’une contre-offensive à grande échelle  utilisant, comme je l’ai dit récemment publiquement, des réserves préparées à ces fins. Cela dure depuis le [juin] 4 et continue à ce jour, en ce moment », a déclaré Poutine.

Les pertes de l’Ukraine s’élèvent à 25-30% du volume d’équipement livré depuis l’étranger

« Selon mes calculs, cela représente environ 25% ou peut-être 30% du volume de l’équipement qui a été livré de l’étranger, c’est à peu près tout. Il me semble que s’ils les calculent objectivement, ils seront d’accord avec ce chiffre, mais d’après ce que j’ai vu de sources ouvertes, de sources occidentales, c’est à peu près ce qu’ils disent, je pense. L’offensive est donc en cours et les  résultats d’aujourd’hui sont ce que je viens de dire », a déclaré Poutine aux correspondants militaires.

L’Ukraine a perdu 160 chars et 360 véhicules blindés lors de la contre-offensive, et ce n’est que ce que Moscou voit, a ajouté le président.

« En ce qui concerne les véhicules blindés, il y a des [pertes] encore plus graves. Ils ont perdu plus de 160 chars et plus de 360 véhicules blindés de différents types pendant cette période. C’est juste ce que nous enregistrons. Il y a aussi des pertes que nous ne voyons pas, qui sont infligées par des armes à longue portée de haute précision à des groupes de personnel et d’équipement. Donc en fait, il y en a plus, ces pertes, de la part de l’Ukraine », a conclu Poutine.

Le président russe a noté qu’avec Kiev important toutes ses armes et équipements de pays étrangers, l’industrie de la défense ukrainienne cessera bientôt complètement d’exister puisqu’elle ne produit rien.

« L’industrie ukrainienne de la défense cessera bientôt complètement d’exister. Que produisent-ils ? Ils importent des munitions, du matériel, des armes, tout. On ne peut donc pas vivre et durer longtemps. C’est pourquoi la question liée à la démilitarisation revêt une dimension très pratique », a souligné Poutine.

Les mercenaires polonais en Ukraine subissent de lourdes pertes

 « Les mercenaires polonais se battent vraiment là-bas… et ils subissent de lourdes pertes. Ils les cachent vraiment [de leur propre population], mais les pertes sont sérieuses », a déclaré Poutine.

https://sputnikglobe.com/20230613/putin-ukraine-fails-in-all-directions-of-counteroffensive-1111116289.html

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Le Parlement russe annule sa coopération avec l’Ukraine sur la mer d’Azov qui est  déclarée maintenant uniquement comme étant des eaux russes !

mer d'Azov — Wiktionnaire

La Douma et le Conseil de la Fédération de Russie ont adopté hier une loi annulant l’accord de coopération avec l’Ukraine concernant la mer d’Azov. La Russie déclare que cette mer est exclusivement  russe.

 » Avec l’  admission  de la République populaire de Donetsk (RPD), des régions de Zaporozhye et de Kherson à la Russie, les rives de la mer d’Azov et du détroit de Kertch n’appartiennent désormais qu’à la Fédération de Russie –

La voie navigable qui relie la mer Noire à la mer d’Azov est le détroit de Kertch. De l’autre côté de ce détroit se trouve le nouveau pont du détroit de Kertch, que l’Ukraine a, par le passé, bombardé.

La Russie a réparé les dommages causés par les bombardements et a rouvert le pont, mais des informations récentes provenant de l’intérieur de l’Ukraine révèlent qu’il y a des discussions actives en cours en Ukraine sur la destruction de ce pont pour couper l’accès de la Russie à la Crimée.

Le Parlement russe ayant désormais déclaré sa souveraineté exclusive sur la mer d’Azov, il n’y a plus aucune raison pour que la marine ukrainienne – ou toute autre marine – entre n’importe où dans la mer d’Azov.

Le Parlement russe a pris cette décision pendant que l’OTAN renforçait ses forces dans la région.

Et si l’OTAN décidait d’envoyer un navire militaire dans la mer d’Azov parce que l’OTAN « ne reconnaît pas » l’action de la Russie ? Peut-être que le navire de l’OTAN sera coulé ? Peut-être est-ce « l’incident » qui déclenchera la troisième guerre mondiale ?

Cette situation s’aggrave de jour en jour.


Comment les Russes ont-ils détruit les blindés occidentaux ?

Chars occidentaux détruits récemments

 

 

 

 

 

 

 

 

Au cours de l’offensive ukrainienne, les véhicules blindés occidentaux ont été forcés d’avancer en colonne, à travers le champ de mines russes. À la tête de la colonne se trouve un char avec dispositif de déclenchement de mines antichar, à faible vitesse de déplacement. La colonne a été attaquée par les Russes avec des drones kamikazes Lancet-3 et des missiles antichars guidés par des hélicoptères Ka-52 et Mi-28. Tentant d’échapper aux blindés en feu, les chars Leopard ou Bradley sont sortis de la voie de sécurité et ont heurté d’autres mines antichars, sautant également en l’air. Sur une colonne de 35 véhicules blindés (groupement tactique de bataillon), seuls 15 à 20 restaient en état de combattre, de sorte qu’il n’y avait plus d’attaque possible.

Pendant ce temps, les Russes ont utilisé le système MRLS «Agriculture» pour poser des mines antichars dans le couloir où les unités blindées ukrainiennes avaient avancé, juste derrière elles. Les restes de la colonne ukrainienne sont retournés dans le couloir où ils avaient avancé, estimant qu’il n’y avait pas de danger. Cette fois, il n’y avait pas de char en tête de colonne. Et les blindés occidentaux ont recommencé à exploser, seuls 10 à 12 d’entre eux atteignant les positions d’où ils étaient partis. Contrairement aux armées de l’OTAN qui se sont concentrées sur l’invasion d’autres pays avec leurs blindés «invincibles» et ont oublié comment se défendre, les Russes ont développé de nombreux équipements nécessaires à l’organisation de la défense.

Le système «Agriculture» est un MLRS de 25 missiles qui pose des mines antichars ou antipersonnel jusqu’à une distance de 15 km. Lors de l’impact avec le sol, les mines, qui sont dotées d’un capteur sismique de proximité, s’enfouissent complètement dans le sol et ne peuvent pas être identifiées visuellement. Si les Russes décident de contre-attaquer, le champ de mines est désactivé car chaque mine est dotée d’un dispositif d’autodestruction.

C’est la partie visible de l’action de combat, illustrée par d’innombrables vidéos. Qu’est-ce qui n’est pas connu ? L’art militaire, qui repose sur des commandants tactiquement redoutables, des soldats motivés et des armes modernes, ne commence à porter ses fruits que lorsque le planificateur de l’opération a créé la «mise en scène» étape par étape de la science militaire, dans le respect des règles tactiques. Celles-ci concernent la concentration des forces sur la ligne de front et dans la profondeur, la création d’une densité optimale de moyens antichars, etc. et surtout le choix d’un secteur approprié pour briser les défenses de l’ennemi. On peut dire que les Ukrainiens ont la volonté de se battre et qu’ils disposent désormais d’une technologie occidentale très performante. Mais le planificateur de l’offensive ukrainienne était un imbécile, ne respectant aucune des lois et des principes de la science militaire.

Sur le front de Zaporijia, les Russes mettent en place un système de défense composé de 3 zones fortifiées. Au centre, à partir de la ligne de contact, les Russes ont laissé une zone non fortifiée mais minée de 35 km x 18 km, où le planificateur d’opération ukrainien a décidé d’attaquer. Jusqu’à présent, tout s’est déroulé au nord de cette bande. Au lieu d’un secteur unique brisant les défenses de cette bande, avec des blindés tenant en groupes, les Ukrainiens sont partis dans 6 directions, ce qui a dispersé les blindés occidentaux en petits groupes le long de routes divergentes truffées de mines. La carte montre que les Ukrainiens ont encore un long chemin à parcourir avant d’atteindre les zones fortifiées russes, où la densité des moyens antichars et d’artillerie est impressionnante. Si c’est à cela que ressemble la «grande contre-offensive de désengagement» annoncée par le président Zelinsky, je doute que les Ukrainiens disposent d’autant de forces et de techniques occidentales sacrificielles (2 à 3 corps d’armée) pour ne serait-ce que percer la première ligne de défense russe. Et si, par l’absurde, ils y parviennent, où trouveront-ils d’autres forces pour poursuivre l’offensive en profondeur, au moins jusqu’à la frontière de la Crimée ?

 


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