Des organismes de défense des locataires dénoncent les effets « catastrophiques » de l’embourgeoisement sur les résidents du sud-ouest de Montréal.
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), le POPIR – Comité Logement et le Regroupement Information Logement (RIL) de Pointe-Saint-Charles estiment que l’embourgeoisement cause des « effets dévastateurs » sur les ménages locataires à faible et modeste revenu du Sud-Ouest.
Les trois organismes ont procédé lundi à la présentation des données locales du Dossier noir sur le logement et la pauvreté publié par le FRAPRU, dont les chiffres sont tirés de l’Enquête nationale auprès des ménages menée par Statistique Canada en 2016.
La tendance que l’on observe d’emblée, c’est l’augmentation effarante des loyers médians dans tous les quartiers du Sud-Ouest.
Céline Magontier, responsable des dossiers montréalais du FRAPRU
On note une augmentation de 12,4 % du prix des loyers médians de 2011 à 2016 en général à Montréal, selon le document rendu public. Or, on constate une hausse plus accélérée dans les secteurs de Ville-Émard (13,7 %), Pointe-Saint-Charles (15,9 %) et Saint-Henri (19,8 %).
Le taux d’inoccupation des logements locatifs dans le sud-ouest de Montréal et Verdun a chuté de 4,8 % à 1,1 % en seulement un an, selon les dernières données de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).
Céline Magontier affirme que la hausse marquée du prix des logements dans le Sud-Ouest est liée à la construction de condominiums et de logements locatifs de luxe.
À Griffintown, par exemple, le nombre de logements a augmenté de plus de 60 % de 2011 à 2016 et le loyer médian est de 1347 $, précise le document.
Le FRAPRU souligne également que cette situation force 3685 ménages du secteur, et dont le revenu médian est de 12 353 $ par année, à dépenser plus de 50 % de leur budget pour le logement.
Des drames humains
Les organismes déplorent le fait que l’embourgeoisement constitue un « vecteur de drames humains auxquels nous faisons face au quotidien ».
« On est en train d’assister à la destruction du tissu social local de nos quartiers », s’indigne Hassan El Asri, organisateur au Regroupement Information Logement de Pointe-Saint-Charles.
Il dit être témoin d’un déplacement de la population traditionnelle qui est provoqué par la hausse des loyers, l’explosion des prix de l’immobilier, la prolifération des condos, l’augmentation du revenu médian et la diminution de la part de logements sociaux et abordables.
L’étude permet d’apprendre qu’il faudrait au minimum 1170 logements sociaux supplémentaires dans le Sud-Ouest pour répondre aux besoins des ménages en attente d’une habitation à loyer modique (HLM) dans l’arrondissement.
Des locataires subissent de la pression de promoteurs immobiliers pour quitter leur logement, mentionne le POPIR – Comité Logement.
« Rien qu’en ce moment, c’est une soixantaine de ménages locataires à Saint-Henri, dont plusieurs à très faible revenu, qui se font évincer de leur logement, par des promoteurs à la recherche de profit. Ils quittent parfois en échange de dédommagement aussi bas que 400 $ », précise Sandrine Belley, organisatrice au POPIR – Comité Logement.
Le FRAPRU réclame la construction de 50 000 logements sociaux en cinq ans pour répondre aux besoins.
Les personnes seules, les locataires âgés de plus de 65 ans, les jeunes et les ménages issus de l’immigration récente figurent parmi les ménages les plus à risque d’être mal logés, révèle l’étude.
De la panique
Carmen Prince
C’est le cas de Carmen Prince. Elle habite un logement depuis trois ans dans un bloc d’appartements dans le quartier Saint-Henri.
Elle paie un loyer de 765 $ par mois. Elle a choisi son logement parce qu’il est situé du métro, près des commerces de proximité, pour la vie de quartier et parce que son coût est raisonnable.
En septembre, elle a appris que le nouveau propriétaire voulait évincer les locataires pour construire des lofts ou des condos. Cette nouvelle a semé la panique chez les locataires, raconte-t-elle.
Carmen Prince refuse de partir. Elle veut rester chez elle.
Moi, je vais avoir 63 ans bientôt. Il me reste deux ans à travailler. Pour moi, les dépenses ne doivent pas aller en augmentant. Il faut qu’elles aient en diminuant.
Carmen Prince, une résidente de Saint-Henri
Si jamais elle devait partir, Mme Prince estime qu’elle ne parviendrait pas à trouver un logement équivalent dans le quartier.
Mme Prince qualifie l’approche du nouveau propriétaire de « sauvage » et considère qu’il se fout du monde.
« Je me sens traitée comme une minable. Moi, j’ai de l’argent et toi tu n’en as pas. Alors, décolle et arrange-toi avec tes troubles. Moi, je ne veux pas savoir si ça te fait de la peine », admet-elle.
Elle ajoute que le nouveau propriétaire s’est mis à poser des gestes d’intimidation à l’égard de certains locataires pour qu’ils partent.
« [Il a fait] des appels. Il y a des personnes qui se sont fait dire : » Ton logement va augmenter de 1000 $ par mois, on va détruire ta cour, ton jardin, tu ne pourras plus revenir, il n’en est pas question » », relate-t-elle.
Intimidation
Patricia Vianney
Patricia Vianney, organisatrice de POPIR-Comité Logement, indique que Carmen Prince n’est pas la seule dans cette situation.
Au total, 43 locataires sont concernés par le rachat de quatre lots d’immeubles différents dans le quartier Saint-Henri.
Elle explique que le nouveau propriétaire en question, l’entreprise Hillpark Capital, n’a pas encore émis un avis officiel d’éviction. Ainsi, les locataires sont encore chez eux.
« On trouve que la façon de faire est vraiment cavalière. Les propriétaires arrivent dans un quartier où il y a déjà un milieu de vie, il y a déjà des locataires. Ils font fi, en fait, de l’existant. Pour eux, c’est un investissement. Ils viennent et veulent rentabiliser leur investissement. Ils ne cherchent même pas à savoir quel impact cela va avoir sur les locataires qui l’entretiennent », déplore-t-elle.
Mme Vianney dénonce le fait que le nouveau propriétaire ait exercé de l’intimidation sur les locataires pour parvenir à ses fins.
« On voit qu’il a insisté particulièrement sur les locataires les plus vulnérables, les personnes très âgées entre autres, les personnes seules où les appels étaient très insistants. Il semble même faire un certain profilage à chercher qui est le plus vulnérable, qui va le plus facilement partir. Après, il se sert de ces premiers départs pour dire aux autres : » Regardez, tout le monde est parti, donc vous n’avez pas le choix de partir « . Ils font des menaces et annoncent le pire à venir. C’est complètement immoral », s’insurge-t-elle.
Donc Montréal se transforme de plus en plus en une jungle néolibérale capitaliste!
Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière – qui vise à criminaliser la critique de la migration – n’est rien d’autre que un effort dangereux pour affaiblir les frontières nationales, normaliser la migration de masse, effacer la frontière entre immigration légale et illégale, et de renforcer l’idée que les personnes qui prétendent être des réfugiés jouissent d’une panoplie de droits dans des pays où elles n’ont jamais mis les pieds.
En tout état de cause, l’accord est irréfutable: presque personne dans le monde occidental n’a réclamé cela. C’est tout simplement un projet d’élites mondialistes. C’est un coup de force de l’ONU.
C’est aussi quelque chose d’autre: il s’agit d’un effort visant à renforcer l’influence du bloc du pouvoir le plus important et le plus influent de l’ONU, à savoir les États arabes et musulmans. En bref, quel que soit cet accord, ce n’est certainement pas une bonne nouvelle pour l’Occident, pour la liberté, pour l’identité nationale et pour la sécurité.
Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière – qui vise à criminaliser la critique de la migration – n’est rien d’autre que un effort dangereux pour affaiblir les frontières nationales, normaliser les migrations massives, brouiller la ligne de démarcation entre immigration légale et illégale, et renforcer l’idée que les personnes qui prétendent être des réfugiés jouissent d’une panoplie de droits dans des pays où elles n’ont jamais mis les pieds. Sur la photo: des migrants se dirigent vers un camp de rétention à Dobova, en Slovénie, le 26 octobre 2015.
En Grande-Bretagne, la rage suscitée par les gangs de viols musulmans et l’encrassement de Theresa May au Brexit se propage. En Allemagne, la colère suscitée par la politique de transformation imprudente de Merkel ne cesse de grandir. En France, le coût croissant des freeloaders immigrés pour les contribuables a suscité les manifestations publiques les plus sensationnelles depuis 1968. En Italie et en Autriche, les opposants à l’islamisation de l’Europe tiennent maintenant les rênes du pouvoir. Ailleurs en Europe occidentale, de plus en plus de citoyens défendent la dhimmitude aux frontières ouvertes de leurs maîtres.
Maxime Bernier
Au Canada,seul le Parti Populaire du Canada de Maxime Bernier dénonce ce pacte satanique qui tuera la démocratie afin de permettre au Parti libéral du Canada de s’accrocher au pouvoir avec l’appui des immigrants,légaux ou non!Le Parti conservateur d’Andrew Scheer n’a fait que demander de ne pas le signer…sans insister!
Andrew Scheer
Au Québec,c’est le silence total et le peuple québécois est tenu endormi par la Coalition Avenir Québec avec ses pseudo promesses incertaines à réaliser et par les frasques vestimentaires des députés de Québec Solidaire ,extrême gauche bolchevique qui monopolisent l’attention sur leurs attitudes méprisables envers le peuple. J’estime qu’une Assemblée Nationale doit refléter le respect envers son peuple ,même si les élections sont arrangées d’avance et que la démocratie est contrôlée par le crime organisé.Croyez-le ou non,mais lorsque le premier ministre du Québec (Coalition Avenir Québec) a demandé et s’est fait élire en partie en demandant une réduction des 50,000 migrants envahisseurs demandés par Justin Trudeau,les libéraux et les solidaires voulaient déchirer leur chemise!Au Canada,vouloir faire des gestes nationalistes et/ou dénoncer la dictature mondialiste du Nouvel Ordre Mondial est devenu illégal,illicite,raciste et hautement dangereux!
Justin Trudeau ,le franc maçon mondialiste canadien…illuminé!
Seul le néolibéralisme marche sur le bon pas et parler autrement que l’élite est devenu interdit!Quelqu’un quelque part peut-il parler du Canada comme portant encore la démocratie dans son sein?
Pourtant, une grande partie de cette résistance patriotique et fondée sur des principes pourrait s’avérer vaine, grâce au « Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière », qui devrait être signé par les représentants des États membres de l’ONU, le 10 et 11 décembre ,en conférence. Les partisans du pacte n’hésitent pas à rassurer ses détracteurs sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un traité contraignant et qu’il réaffirme le concept de souveraineté nationale. Néanmoins, quand on en vient au fond, ce n’est ni plus ni moins qu’un effort dangereux pour affaiblir les frontières nationales, normaliser les migrations massives, brouiller la ligne de démarcation entre immigration légale et illégale, et renforcer l’idée que les personnes prétendant être Les réfugiés jouissent d’une panoplie de droits dans des pays où ils n’ont jamais mis les pieds.
En ce qui concerne les 34 pages du long document en lui – même, il est écrit dans le genre d’anesthésiant, la prose d’abstraction lourde qui sera familier à quiconque a déjà lu quelque chose écrite par l’ONU. Il déclare que « la migration est une caractéristique déterminante de notre monde globalisé, reliant les sociétés au sein de toutes les régions et à travers toutes les régions, faisant de nous tous les pays d’origine, de transit et de destination ». Le Pacte mondial a pour objectif « de créer des conditions propices permettant à tous [!] les migrants d’enrichir nos sociétés par leurs capacités humaines, économiques et sociales, et de faciliter ainsi leurs contributions au développement durable aux niveaux local, national, régional et régional. et les niveaux globaux. » Il affirme également que:
« Nous devons sauver des vies et protéger les migrants du danger. Nous devons donner aux migrants les moyens de devenir membres à part entière de nos sociétés, souligner leurs contributions positives et promouvoir l’inclusion et la cohésion sociale. Nous devons générer une plus grande prévisibilité et une plus grande certitude pour les États, Pour ce faire, nous nous engageons à faciliter et à assurer une migration sûre, ordonnée et régulière dans l’intérêt de tous. «
Cela va beaucoup plus loin, et ce que cela signifie en grande partie n’est pas tout à fait clair. S’agit-il d’une charge de rhétorique vide et de bien-être, ou faut-il engager les signataires dans des actions spécifiques? Qu’est-ce que cela signifie de dire que le Pacte mondial « intègre une perspective de genre » ou qu’une « approche pan gouvernementale est nécessaire pour assurer la cohérence des politiques horizontale et verticale dans tous les secteurs et à tous les niveaux de gouvernement »? D’un autre côté, le document semble certainement encourager la migration illégale. Il demande sans ambiguïté aux gouvernements de nourrir la propagande de leurs citoyens avec la propagande sur les délices des migrants et des migrations et de « sensibiliser et former les professionnels des médias aux questions et à la terminologie liées aux migrations » et, en fait, aux journalistes aux armes vives qui refusent jouer au ballon.
En tout état de cause, l’accord est irréfutable: presque personne dans le monde occidental n’a réclamé cela. C’est tout simplement un projet d’élites mondialistes. C’est un coup de force de l’ONU. Comme le rapportait The Guardian l’année dernière, Louise Arbour, responsable du projet, considère le pacte mondial comme une occasion de modifier l’opinion mondiale sur la nécessité de faire face aux migrations futures, de la même manière que l’ONU avait réussi à convaincre. le monde dont il avait besoin pour lutter contre le changement climatique « . En bref, ceci est un autre rappel que l’ONU est dirigée par des corps mobilisés et assoiffés de pouvoir qui se voient confier pour tâche de ne pas réagir face à l’opinion mondiale, d’agir en conséquence, mais de la façonner et, au besoin, de la punir.
C’est aussi quelque chose d’autre: il s’agit d’un effort visant à renforcer l’influence du bloc du pouvoir le plus important et le plus influent de l’ONU, à savoir les États arabes et musulmans. Il suffit de consulter le site Web de l’ONU consacré à ce Pacte mondial. Il est illustré par la photo d’un jeune homme et d’une jeune femme tenant leur index et leur pouce pour former un cœur. Elle est en hijab. Répétez: elle est en hijab!. En bref, quel que soit cet accord, ce n’est certainement pas une bonne nouvelle pour l’Occident, pour la liberté, pour l’identité nationale et pour la sécurité. Il semble approprié que la cérémonie de signature du 10 au 11 décembre se déroule à Marrakech, au Maroc.
Le président des États-Unis, Donald J. Trump, a eu le mérite d’accomplir ce travail malicieux en décembre dernier lorsqu’il a annoncé que les États-Unis ne voulaient rien avoir à faire avec cela. Il a reçu des critiques pour ce mouvement. Lors d’un vote des Nations Unies en juillet dernier, le Pacte mondial a été approuvé par tous les pays membres à l’exception des États-Unis. Mais au moins quelques médias ont commencé à prêter attention et une résistance s’est formée. Au cours des dernières semaines, de plus en plus de gouvernements ont déclaré qu’ils n’allaient pas signer l’accord après tout. Jusqu’à présent, la liste comprend l’Australie, l’Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République tchèque, le Danemark, la République dominicaine, l’Estonie, la Hongrie, Israël, l’Italie, le Japon, la Pologne, la Slovaquie et la Suisse.
Dans plusieurs autres pays d’Europe occidentale, la question est toujours en discussion. Je soupçonne que la situation en Norvège n’est pas unique. La plupart des partis politiques norvégiens soutiennent ardemment le Pacte mondial et se sont efforcés, avec la collaboration des principaux médias du pays, de garder cet accord potentiellement controversé à l’abri des regards du public. avant la cérémonie de signature. Après qu’une poignée de sites alternatifs d’information et d’opinion aient sonné l’alarme à propos de l’accord, il a été rapporté le 5 décembre que le Parti du progrès avait forcé le gouvernement à autoriser un débat parlementaire sur l’accord proposé.
Hélas, les trois grands pays d’Europe occidentale sont tous présents. Theresa May a engagé son gouvernement dans l’accord. Idem Angela Merkel. Emmanuel Macron a tenu à ce que le Pacte mondial soit « admirable ». De plus, grâce à Justin Trudeau, dont le mantra continue d’être « La diversité est une source de force », le Canada est également de la partie.
Il est certains que dans peu de temps,la Charte Canadienne des Droits et Liberté sera effacée pour le compte de valeurs nouvelles qui n’auront rien à voir avec l’héritage canadien.Nous parlerons plutôt de l’influence de l’Aga Khan et de nombreuses sectes religieuses islamiques qui feront en sorte d’installer leur agenda à moyen terme :la Charia!L’action de Justin Trudeau dans ce dossier montre clairement les liens entre la franc maçonnerie ,les illuminati ,le Nouvel Ordre Mondial associés au crime organisé et aux multi nationales assoiffées de profits!
Ainsi, s’il n’est pas à craindre que le Pacte mondial supplante de sitôt la Constitution américaine, il est légitime de craindre que cet accord sournois ne constitue un obstacle supplémentaire pour les citoyens du monde libre soucieux de protéger et de préserver leurs pays – mais dont les élites sont résolues à contrecarrer leur volonté.
S’il est aux prises avec de nombreuses fake news, des trolls russes et des groupuscules politiques, Facebook supprime également les profils d’utilisateurs innocents, prouvant une fois de plus qu’il est incapable de s’auto-réguler
James Reader a pris ses précautions. Pas question qu’il se fasse avoir par des fakes news ou des spams. Âgé de 54 ans, ce camionneur californien cherchait à s’impliquer davantage sur la scène politique. Il a donc lancé un blog intitulé Everlasting GOP Stoppers afin de mobiliser les progressistes contre les Républicains.
« Nous sommes devenus Reverb Press, » se souvient-il. « Je n’ai pas fait ça pour l’argent. Je l’ai fait parce que je tiens à mon pays. »
En 2014, il a lancé Reverb en prenant grand soin d’être toujours correct et factuel. Le site indépendant mediabiasfactcheck.com l’a catégorisé fortement orienté à gauche, mais a complimenté la pertinence de ses reportages. Ses audiences se sont envolées pendant la dernière campagne électorale. « Nous avions trente rédacteurs et quatre rédacteurs en chef à temps plein, » explique Reader. « On totalisait quatre à cinq millions de visites par mois. » Selon ses estimations, Facebook et les autres médias sociaux ont permis à treize millions de personnes par semaine d’avoir accès aux articles de Reverb. Une grande partie de son contenu était agrégé, mais il comprenait également des reportages originaux, comme un récit à la première personne décrivant les abus de l’Église catholique dans le New Jersey, repris par les médias grand public.
Comme la plupart des éditeurs indépendants, il s’est appuyé sur une page Facebook pour générer du trafic et a utilisé les outils proposés par le réseau social pour augmenter son lectorat. « Nous versions entre 2 000 $ et 6 000 $ par mois à Facebook pour faire croître notre page, » précise Reader. « Nous avons essayé de faire tout ce qu’ils nous ont suggéré. »
Reader adaptait sa ligne éditoriale à chaque fois que Facebook modifiait son algorithme. Lorsque le réseau social a mis l’accent sur la vidéo, Reader a développé davantage de contenus vidéo. Il considérait Facebook comme un outil essentiel pour un média indépendant comme le sien. « Les petits blogs ne peuvent pas exister sans Facebook… Mais ce sont également eux qui ont aidé Facebook à se développer. »
Rapidement, Reader remarque un problème. Au lendemain des élections, plusieurs de ses articles sont publiés dans des groupes Facebook de droite et reçoivent un grand nombre de commentaires négatifs. Certains d’entre eux sont également signalés comme étant des spams. « Ça aurait pu être des Russes, » confie Reader. « Ça aurait pu être des groupuscules américains… Mais ça ressemblait vraiment à une sorte de manipulation. » Le trafic de Reverb a diminué. Les ventes publicitaires ont décliné à leur tour. Reader n’avait plus les moyens d’investir dans les outils proposés par Facebook, et même lorsqu’il le faisait, ces derniers ne fonctionnaient plus de la même façon. « C’était comme du crack, » poursuit Reader. « Les premières doses sont gratuites, mais il faut dépenser de plus en plus pour ne pas perdre de terrain. »
Reader a voulu se plaindre à Facebook, mais il a eu du mal à trouver un être humain à qui parler. De nombreuses sources contactées pour écrire cet article font part d’une expérience similaire. Après des mois sans réponse, Reader est finalement entré en contact avec un employé de Facebook qui lui a confié qu’il ne pouvait rien faire. « Facebook compte plus de deux milliards d’utilisateurs. Si vous êtes trop petits, vous n’êtes pas assez important pour que l’on fasse attention à vous. »
Le 11 octobre dernier, au moment de rentrer chez lui, Reader reçut un coup de fil des plus choquants. « Des gens m’ont appelé pour m’annoncer que Reverb n’était plus en ligne. Facebook avait effacé plus de 800 comptes et pages pour lutter contre le spam politique. » Et il n’était pas le seul. Près d’une centaine de petits éditeurs se sont fait virer de Facebook lors de ce qui a rapidement été surnommée « La Purge ». Si la suppression de comptes étrangers prétendument faux n’avait pas causé de remous, celle de comptes américains suivis par un grand nombre de personnes posait davantage de problèmes. Quelques jours plus tard, d’autres pages disparaissaient, ainsi que des fils Twitter. Certaines pages supprimées étaient pro-Trump. Nation in Distress avait par exemple prétendu qu’Obama déclarerait la loi martiale si Trump gagnait en 2016. D’autres, comme Reverb et Blue State Daily, soutenaient le parti démocrate. D’autres, comme le Free Thought Project et Anti-Media, étaient anti-guerre et méprisaient le gouvernement dans son intégralité. Le ciblage de ces sites pour éviter toute ingérence électorale semblait étrange, car ils étaient ouvertement désintéressés par les élections.
Reader a essayé d’accéder à ses sites. La page Facebook de Reverb n’était plus en ligne. Il en était de même pour son vieux blog Everlasting GOP Stoppers. Même America Against Trump et ses 225 000 fans avaient disparu. « Toutes mes années de travail ont été réduites à néant, » lâche Reader. Il avait été mis dans le même sac que les trolls russes. Il faisait désormais partie des sites qui publient des contenus « clickbait » pour attirer les internautes vers des articles débordant de publicités ciblées… Facebook étant lui-même conçu pour que les internautes consomment de la publicité en interne – douce ironie. « C’est une question d’argent, » déclare Reader. « Tout ce qui peut arriver ne doit arriver que sur Facebook. »
Après l’élection de Donald Trump en 2016, Facebook – et la Silicon Valley – étaient sous pression. Nombre de spécialistes craignaient que les fake news aient eu un impact destructeur, et qu’elles soient responsables tant du Brexit que de l’élection du Chapelier Fou. Des professeurs de journalisme aux sociologues, en passant par les anciens employés de Facebook, ils ont tous blâmé le réseau social pour l’augmentation des complots, des ingérences russes et des discours haineux. « Le fil d’actualités de Facebook optimise l’engagement, » a déclaré l’ancien concepteur Bobby Goodlatte. « …et les conneries, c’est très engageant. »
Nombre de politiciens ont commencé à réclamer une réglementation accrue, mais Facebook s’est moqué de l’idée qu’il était responsable de l’élection de Trump, ou de quoi que ce soit d’autre. Ses dirigeants ont insisté sur le fait qu’il s’agissait de « rassembler les gens« , et non d’éditer le contenu qu’ils pourraient poster. « Nous sommes un réseau social, pas un média, » a déclaré Mark Zuckerberg en 2016. Rassembler autant d’internautes que possible permet à Facebook de multiplier les annonces publicitaires. Restreindre la liberté d’expression signifierait restreindre le nombre de points de vue exprimés, et donc l’argent qui pourrait être généré par la fréquentation des publicités intégrées à Facebook.
En 2017, 45% des Américains s’informaient grâce à Facebook, ce qui en faisait de loin la plus grande source d’informations du pays. Le réseau social était maintenant en mesure d’offrir aux gouvernements (y compris celui des États-Unis) un marché en or : un contrôle accru sur la circulation des informations en échange d’une certaine liberté pour mener à bien leurs activités commerciales.
Collecte secrète de données, concurrence écrasée: ce que révèlent les documents confidentiels de Facebook
Le Parlement britannique a publié 250 pages de documents appartenant au premier réseau social mondial, au nom de «l’intérêt du public». Ils sont riches d’enseignements sur son exploitation des données et la façon dont il assure sa domination sur le marché.
Une initiative exceptionnelle, assumée par les députés britanniques. «Je pense qu’il est dans l’intérêt du public de publier ces documents», assure Damian Collins, à la tête de la commission du Parlement britannique dédiée au Numérique, à la Culture, aux Médias et au Sport, et à l’origine de cette affaire. «Ils soulèvent des questions importantes sur la manière dont Facebook traite les données de ses utilisateurs, sa politique vis-à-vis des développeurs d’applications, et comment il assure sa domination sur le marché des réseaux sociaux. Nous n’avons pas obtenu de réponses claires de Facebook sur ces sujets importants. C’est pour cela que nous publions ces documents.»
Le Figaro fait le point sur les principaux enseignements de ces 250 pages, mélange de correspondance privée entre les dirigeants de Facebook et de détails sur le modèle économique du premier réseau social au monde.
Facebook ne voulait pas alerter ses utilisateurs qu’il collectait leurs données
On savait déjà que nos données personnelles étaient précieuses pour Facebook. Mais les documents publiés par le Parlement britannique révèlent jusqu’où le réseau social est capable d’aller pour les exploiter. Ainsi, des emails datant de février 2015 lèvent le voile sur les débats concernant une mise à jour de l’application Facebook pour Android, le système d’exploitation de Google. Cette dernière apportait une nouveauté technique: la collecte de l’historique de SMS et des appels du téléphone de l’utilisateur, à des fins de recommandations publicitaires. Cette fonctionnalité existe encore aujourd’hui. Par exemple, si une personne vous a récemment écrit, son compte vous est ensuite recommandé comme ami Facebook.
Problème: une mise à jour de cette importance provoque généralement l’apparition d’une fenêtre «pop-up» de la part d’Android, réclamant au propriétaire du smartphone d’autoriser cette nouvelle collecte de données avant de télécharger la dernière version d’une application. «Je pense que cette nouveauté a le risque de nous attirer une mauvaise presse», s’inquiétait l’un des dirigeants du réseau social, dans un email. D’autres messages montrent que Facebook a finalement trouvé une parade. La collecte des données a été menée à bien, mais sans provoquer l’apparition de la fameuse fenêtre, et donc attirant moins l’attention du grand public.
La réponse de Facebook: Dans une longue réponse à ces révélations, Facebook a précisé que cette collecte était «optionnelle», au choix de l’utilisateur, et que les données récupérées n’étaient stockées que pendant une année. «Passé ce délai, ces informations ne sont plus aussi utiles.»
Certaines applications ont accès à plus de données que d’autres
Entre 2014 et 2015, Facebook a restreint l’accès aux développeurs d’applications à certaines données personnelles de ses utilisateurs. Il s’agit d’ailleurs de sa principale ligne de défense dans l’affaire Cambridge Analytica, une société britannique d’analyse de données, qui a exploité de manière frauduleuse les informations de 87 millions de comptes sur le réseau social: puisque ses règles ont été durcies, une affaire similaire ne pourrait en théorie plus se produire. Néanmoins, d’après les documents publiés par le Parlement britannique, la réalité est plus complexe.
Dans certains emails, on retrouve la trace d’échanges entre Facebook et plusieurs applications, qui se voient garantir un droit d’accès aux données personnelles des utilisateurs plus large que les autres. Ainsi, le site de rencontres Badoo s’est plaint, en septembre 2014, d’un changement l’empêchant de récolter des données sur les amis Facebook de ses utilisateurs. La réponse de Facebook: proposer à Badoo une nouvelle API (une interface permettant à une application d’accéder aux données d’une autre) permettant, contrairement aux autres, de continuer à accéder à des informations portant sur la liste de contact des utilisateurs Facebook créant un compte sur Badoo. Cette API n’était accessible qu’aux membres d’une mystérieuse «liste blanche», comprenant Badoo et Bumble, une autre application de rencontres.
La réponse de Facebook: «Dans certaines situations, nous avons autorisé à des développeurs d’accéder au nom, prénom et à la photo de profil de vos amis Facebook. Les listes blanches sont une pratique banale pour tester des nouvelles fonctionnalités avec des partenaires.»
● Facebook empêche des rivaux d’accéder aux informations de ses utilisateurs
Dans d’autres cas, Facebook se montre au contraire peu enclin à partager les données de ses utilisateurs. Surtout quand il s’agit d’entreprises rivales sur le marché des réseaux sociaux. Ainsi, Vine, une plateforme de microvidéos, propriété de Twitter, a subi le couperet. «Ils utilisent nos outils pour que leurs utilisateurs puissent chercher leurs amis Facebook sur Vine. Si personne n’y voit d’inconvénients, nous allons les empêcher d’accéder à cette API à partir d’aujourd’hui», écrit Justin Osofsky, l’un des vice-présidents de Facebook. Réponse lapidaire de Mark Zuckerberg: «pas de problème.» Un mois plus tard, Instagram, l’application de Facebook, lançait son propre outil de microvidéos.
● Une application présentée comme protectrice de la vie privée servait en fait à collecter des données
Ce n’est pas la première fois que le nom d’«Onavo» provoque une polémique pour Facebook. Cette société israélienne, spécialisée dans l’analyse de données, a été rachetée par le réseau social en 2013. Il a ensuite proposé à ses utilisateurs l’une de ses applications, Onavo Project. Elle était présentée comme un VPN, un virtual private network. Son rôle était en théorie de permettre aux utilisateurs de naviguer anonymement sur Internet. Problème: l’application collectait aussi des données sur l’utilisation du smartphone et la manière dont les internautes naviguaient sur d’autres services, notamment chez les concurrents de Facebook.
Dans les documents publiés par le Parlement britannique, on peut consulter de nombreux graphiques issus de cette collecte de données, portant sur plusieurs applications qui intéressaient Facebook. C’est notamment le cas de WhatsApp, que le réseau social finira par racheter en 2014.
La réponse de Facebook: la polémique autour d’Onavo n’est pas nouvelle. L’application a déjà été retirée de l’App Store d’Apple cet été pour avoir enfreint ses règles sur la vie privée. «Les utilisateurs d’Onavo ont toujours le choix de régler leurs paramètres pour que leurs données ne soient pas utilisées à autre chose qu’à améliorer le service d’Onavo», précise simplement Facebook, qui assume utiliser cet outil «et d’autres» pour mieux comprendre le marché des applications mobiles.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, alors que les forces alliées chassaient de France les forces désormais démoralisées de Hitler, trois officiers allemands de haut rang ont fait défection.
Les informations qu’ils ont fournies aux services de renseignements britanniques ont été jugées si sensibles qu’elles ont été verrouillées en 1945 et ne devraient pas être publiées avant 2021.
Le programme Document de la BBC bénéficie désormais d’un accès privilégié à ce fichier secret. Il révèle comment des milliers de soldats indiens ayant rejoint la Grande-Bretagne dans la lutte contre le fascisme ont échangé leurs serments contre le roi britannique contre Adolf Hitler – une histoire étonnante de loyauté, de désespoir et de trahison qui menaçait de secouer la domination britannique en Inde:le Raj.
La rencontre historique de Bose avec le Führer Adolph Hitler en 1942.
L’histoire racontée par les officiers allemands à leurs interrogateurs débuta à Berlin le 3 avril 1941. C’était la date à laquelle le chef révolutionnaire indien de gauche, Subhas Chandra Bose, était arrivé dans la capitale allemande.
Bose, qui avait été arrêté 11 fois par les Britanniques en Inde, avait fui le Raj avec une seule mission en tête. C’était pour demander l’aide d’Hitler pour chasser les Britanniques de l’Inde.
Six mois plus tard, avec l’aide du ministère allemand des Affaires étrangères, il avait créé ce qu’il appelait le « Centre de l’Inde libre », à partir duquel il avait publié des tracts, écrit des discours et organisé des émissions de télévision pour soutenir sa cause.
À la fin de 1941, le régime de Hitler reconnut officiellement son « gouvernement de l’Inde libre » provisoire en exil et accepta même d’aider Chandra Bose à lever une armée pour défendre sa cause. Elle devait s’appeler « La Légion de l’Inde libre ».
Une partie des indiens recrutés se retrouvèrent dans une division SS.
Bose espérait réunir une force d’environ 100 000 hommes qui, une fois armés et équipés par les Allemands, pourraient être utilisés pour envahir l’Inde britannique.
Il décida de les élever en effectuant des visites de recrutement dans des camps de prisonniers de guerre en Allemagne, qui abritaient à l’époque des dizaines de milliers de soldats indiens capturés par Rommel en Afrique du Nord.
Bénévoles
Enfin, en août 1942, la campagne de recrutement de Bose est pleinement engagée. Des cérémonies de masse ont eu lieu au cours desquelles des dizaines de prisonniers de guerre indiens se sont unis pour prêter serment d’allégeance à Adolf Hitler.
Ce sont les mots qui ont été utilisés par des hommes qui avaient formellement prêté serment au roi britannique: « Je jure par Dieu de ce saint serment que je vais obéir au chef de la race et de l’État allemands, Adolf Hitler, en tant que commandant des forces armées dans la lutte pour l’Inde, dont le chef est Subhas Chandra Bose « .
J’ai réussi à retrouver l’une des anciennes recrues de Bose, le lieutenant Barwant Singh, qui peut encore se souvenir du révolutionnaire indien qui est arrivé dans son camp de prisonniers de guerre.
« Il nous a été présenté comme un dirigeant de notre pays qui souhaitait nous parler », a-t-il déclaré.
« Il voulait 500 volontaires qui seraient formés en Allemagne puis parachutés en Inde. Tout le monde levait la main. Des milliers d’entre nous se sont portés volontaires. »
Démoralisé
Au total, 3 000 prisonniers de guerre indiens se sont inscrits pour la Légion de l’Inde libre.
SUBHASH CHANDRA BOSE (1897-1945). Indian nationalist leader. Bose (right) with Japanese Prime Minister Hideki Tojo at a parade for Indian national independence at Shonan, Japan. Photographed 1944./ …en compagnie du premier ministre japonais Hidecky Tojo lors d’une parade pour soutenir l’indépendance nationale de l’Inde,à Shonan en 1944.
Mais au lieu d’être ravi, Bose était inquiet. Admirateur de gauche de la Russie, il fut dévasté lorsque les chars hitlériens traversèrent la frontière soviétique.
L’aggravation de la situation était due au fait qu’après Stalingrad, il était devenu évident que l’armée allemande en retraite ne serait pas en position d’offrir à Bose de l’aide pour conduire les Britanniques de l’Inde lointaine.
Lorsque le révolutionnaire indien rencontra Hitler en mai 1942, ses soupçons furent confirmés et il en vint à penser que le dirigeant nazi était plus intéressé par l’utilisation de ses hommes pour remporter des victoires de propagande que des victoires militaires.
Ainsi, en février 1943, Bose tourna le dos à ses légionnaires et se glissa secrètement à bord d’un sous-marin à destination du Japon.
Sur cette photo Bose est entouré des sous mariniers japonais qui le conduisirent au Japon.
Là, avec l’aide japonaise, il devait mobiliser une force de 60 000 hommes pour marcher sur l’Inde.
De retour en Allemagne, les hommes qu’il avait recrutés étaient sans chef et démoralisés. Après de nombreuses dissensions et même une mutinerie, le haut commandement allemand les envoya d’abord en Hollande, puis dans le sud-ouest de la France, où il leur fut demandé d’aider à fortifier la côte en vue d’un débarquement allié prévu.
Après le jour J, la Légion de l’Inde libre, qui faisait maintenant partie de la Waffen SS de Himmler, était en pleine retraite en France, aux côtés d’unités allemandes régulières.
C’est à cette époque qu’ils ont acquis une réputation sauvage et répugnante auprès de la population civile.
Henri Gendreaux, ancien combattant de la Résistance française, se souvient de la légion qui passait dans sa ville natale de Ruffec: -vieille fille. »
Enfin, au lieu de chasser les Britanniques de l’Inde, les Légions de l’Inde libre ont été chassées de la France puis de l’Allemagne.
À l’époque, leur traducteur militaire allemand était le soldat Rudolf Hartog.
Rudolf Hartog vers la fin de sa vie regardant des photos de la Légion indienne.
« Le dernier jour où nous étions ensemble, un blindé est apparu. Je me suis dit: mon Dieu, que puis-je faire? J’ai terminé », a-t-il déclaré.
« Mais il voulait seulement rassembler les Indiens. Nous nous sommes embrassés et avons pleuré. Vous voyez que c’était la fin. »
Mutineries
Un an plus tard, les légionnaires indiens ont été renvoyés en Inde, où ils ont tous été relâchés après de courtes peines de prison.
Mais lorsque les Britanniques ont jugé trois de leurs officiers supérieurs près de Delhi, des mutineries dans l’armée et des manifestations dans les rues ont eu lieu.
Les Britanniques sachant maintenant que le Raj ne pouvait plus compter sur l’armée indienne pour faire ce qui était à leur charge, l’indépendance s’ensuivit peu après.
Ce n’est pas que Subhas Chandra Bose devait voir le jour où il s’était battu si durement. Il est mort en 1945.
Depuis lors, on a peu entendu parler du lieutenant Barwant Singh et de ses collègues légionnaires.
À la fin de la guerre, il était interdit à la BBC de diffuser son histoire et cette saga remarquable était jusqu’alors enfermée dans les archives. Non pas que le lieutenant Singh ait jamais oublié ces jours dramatiques.
« Sous mes yeux, je peux voir à quoi nous ressemblons tous, comment nous chanterions tous et comment nous aurions tous parlé de ce qui allait nous arriver à tous », a-t-il déclaré.
Un des grands mystères de la Deuxième Guerre Mondiale:
La mort de Subhas Chandra Bose
Netaji Subhash Chandra Bose inspecting and INA regiment. Agency Photo
Subhas Chandra Bose était le fondateur et le chef de l’armée nationale indienne au cours des années qui ont entouré la Seconde Guerre mondiale. Du point de vue des Alliés, il était un traître dangereux. Bose avait rendu visite aux dirigeants allemands et japonais et avait été en compagnie amicale de Staline . Ses actions ont longtemps fait l’objet de débats, ses partisans affirmant qu’il était moins intéressé par les idéaux de l’Axe que par la recherche d’un ennemi des Britanniques avec lequel il pourrait s’allier. Les histoires de la vie de Bose sont dignes d’un film de James Bond: échapper à la surveillance britannique, s’enfuir en Italie, participer à des réunions secrètes et prendre différentes identités. . . il y a encore beaucoup d’inconnu sur le révolutionnaire indien. Une des questions qui a toujours été mise en doute est de savoir comment il est mort .
Les cendres de Bose reposeraient ici,à Tokyo.
Selon le récit officiel, Bose serait mort dans un accident d’avion en 1945. Son corps aurait été incinéré et ses cendres auraient été transportées à une place d’honneur au temple Renkoji, près de Tokyo. Il y a beaucoup de gens qui ne croient pas l’histoire, cependant; certains sont même allés jusqu’à nommer l’homme dont les cendres reposent à la place de Bose: ils disent que les cendres appartenaient à Ichiro Okura, un officier japonais de l’armée taïwanaise. On prétend que l’histoire de l’accident d’avion a été fabriquée de manière à dissuader les gens de la piste du vrai Bose.
Le type d’avion que Bose aurait pris lors de son dernier voyage,
Le pays tout entier espère toujours pouvoir un jour découvrir ce qui est arrivé à son chef patriotique, mais cela n’arrivera pas de si tôt. Le 1 er décembre 2014, l’Alliance démocratique nationale a rejeté une autre demande de publication des fichiers classifiés détenus par Bose. Trente-neuf fichiers ont été dissimulés au public à des degrés divers. dans certains cas, leur contenu – mais pas les fichiers réels – a été divulgué. Le gouvernement a également refusé de publier des documents qui avaient déjà été marqués «Non classés». Selon les responsables de l’information chargés du refus de la demande, cela a été fait car les informations contenues dans les documents pourraient en quelque sorte nuire aux relations de l’Inde avec d’autres pays.
Bose en compagnie d’Enrich Himmler en 1942.
Un nouveau rapport met en doute le sort de Bose
Pour les Britanniques, il était un traître qui avait rejoint Hitler. Pour les Indiens, il était un patriote qui prenait une position héroïque contre l’impérialisme.
Netaji Subhas Chandra Bose and Members of the Azad Hind Fauj – 1940′
Mais le sort de Subhas Chandra Bose, chef de l’Armée nationale indienne qui a collaboré avec les Japonais et les Allemands contre les Britanniques lors de la Seconde Guerre mondiale, demeure un mystère après six années d’enquêtes sur sa disparition qui contredisent la version officielle des événements.
Bose, connu en Inde sous le nom de Netaji ou leader respecté, serait mort des suites de brûlures dans un accident d’avion à Taïwan peu après la capitulation japonaise en août 1945. Cependant, une commission présidée par le juge de la Cour suprême, le député Mukherjee, a déclaré hier que Bose n’était pas mort l’accident et ses supposées cendres, conservés au temple Renkoji près de Tokyo, étaient ceux d’un soldat japonais et non ceux du héros indien.
« Les Taïwanais n’ont aucune trace de la crémation de Netaji ou de ses trois compagnons. Parmi eux figure un important général japonais Shidei qui aurait été définitivement enregistré », a déclaré le juge Mukherjee au Guardian. « Comme il aurait 108 ans aujourd’hui, je ne doute pas que Bose est mort, mais il n’est pas mort dans un accident d’avion. »
Le rapport Mukherjee affirme plutôt que les cendres, qui sont visitées par les dirigeants indiens modernes en visite à Tokyo, sont celles d’Ichiro Okura, un officier japonais de l’armée fantoche taïwanaise décédé des suites d’un « arrêt cardiaque ».
Tout ceci, conclut le rapport, était un « écran de fumée » de la part des autorités japonaises pour assurer le « passage sûr de Netaji ». Le gouvernement indien a émis une brève réplique affirmant qu’il avait « examiné le rapport … et qu’il n’était pas d’accord avec les conclusions ».
Une photo fit les manchettes ,il y a plusieurs années:on avait identifié le grand leader nationaliste Bose aux funérailles de Nehru en 1964…!
nombreux Indiens pensent que le juge Mukherjee a enfin mis au jour la vérité sur Bose. « Il a souvent été vu en Union soviétique un an après la fin de la guerre », a déclaré Anuj Dhar, auteur de Back from the Dead, un livre récent sur Bose. M. Dhar a déclaré qu’il aurait ensuite été retrouvé dans la Chine de Mao. un autre rapport indique que les Vietnamiens avaient des dossiers concernant son amitié d’après-guerre avec le leader vénéré du pays, Ho Chi Minh. Un thème récurrent est que Bose est retourné en Inde pour vivre ses derniers jours en tant que saint homme.
« Mais personne n’a pu enquêter tant que la théorie de l’accident d’avion aurait été acceptée », déclare M. Dhar. « Nous devons maintenant sonder plus avant. »
Les proches des Subhas, Chandra Bose, affirment qu’aucune de ces théories ne peut être facilement écartée. Pradip Bose, un neveu du chef de guerre indien, a déclaré qu’il y avait trop de trous dans la version acceptée de sa mort.
« Il y a des documents montrant que Staline parle de mon oncle et de ce qu’il faut faire de lui en 1946. Son plan était de se rendre en Russie et de s’y regrouper. Je garde toujours l’esprit ouvert sur ce qui lui est réellement arrivé. »
Netaji Subhas Chandra Bose Stamp
Bose reste une figure emblématique, en particulier dans son État d’origine, le Bengale occidental. Sa statue, en uniforme militaire, se tient au parlement indien avec ceux des deux dirigeants indiens les plus vénérés: Mohandas K. Gandhi et le premier Premier ministre du pays, Jawaharlal Nehru.
Une partie de la légende et de la mystique persistante de Bose découle de ses remarquables escapades en temps de guerre. Le combattant de la liberté formé à Cambridge a rejeté le pacifisme de Gandhi en faveur d’une révolution violente.
Bose s’est échappé de sa détention à domicile à Calcutta en 1941, voyageant via Kaboul jusqu’à Berlin où il a rencontré Hitler. Le Fuhrer a conseillé à Bose de demander de l’aide aux troupes japonaises en progression en Asie et lui a proposé de se rendre à Tokyo à bord d’un sous-marin allemand.
Bose est finalement arrivé en Birmanie à la tête d’une « armée nationale indienne » forte de 80 000 hommes et s’est avancé dans les États du nord-est de l’Inde britannique. Il avait mis en place un gouvernement en exil et inspiré les révoltes de l’armée indienne britannique. Un biopic l’an dernier l’a montré plantant pour la première fois le drapeau tricolore indien sur le sol indien.
Les universitaires ont fait valoir que Bose était en désaccord avec les arguments de supériorité raciale adoptés par le Japon et les nazis. La plupart décrivent Bose comme un pragmatique qui considérait « l’ennemi de l’ennemi comme un ami ».
« C’était un homme très intelligent et un bon gars. J’ai eu beaucoup de temps pour lui », a déclaré Hugh Guard, l’ancien officier des services de renseignement britannique chargé de retrouver Bose, au Guardian. « Si nous l’avions attrapé, il aurait pourtant été condamné à mort. Je pense toujours qu’il est décédé dans l’accident d’avion. »
Ici,Bose est photographié en compagnie de Gandhi,en 1938.
Une discussion franche sur la guerre contre les Blancs et sur la manière dont les médias, les institutions et l’industrie de la musique font constamment passer le message que le génocide blanc est une évolution positive.
Ce message empoisonné justifie la violence anti-blanche et suggère que le monde serait mieux si tous ceux d’ascendance européenne avaient disparu. Cependant, ce message anti-blanc n’est pas seulement toxique, il est également basé sur des mensonges et de faux récits historiques.
Selon un nouveau rapport publié par le Conseil national suédois pour la prévention du crime, 15,6% des habitants de ce pays ont été victimes d’une ou plusieurs infractions contre la personne (définies dans l’enquête comme des voies de fait, des menaces, des infractions sexuelles, des vols, des fraudes ou du harcèlement). l’année dernière.
Ce chiffre est en hausse par rapport à 13,3% en 2015 et constitue le chiffre le plus élevé enregistré depuis le début de l’enquête annuelle sur la criminalité en Suède, qui a débuté en 2006.
Le nombre d’infractions contre des personnes « était relativement stable entre 2005 et 2014, entre 11,3% et 13,1%, mais les deux dernières années montrent une augmentation », a déclaré le conseil dans le rapport publié cette semaine. Les crimes « qui ont connu le développement le plus net ces dernières années sont le harcèlement, la fraude et les infractions sexuelles », a déclaré l’agence.
Parmi les six types d’infractions contre la personne, cinq sur six ont atteint leur plus haut niveau jamais enregistré l’année dernière. Le nombre de cas de voies de fait a atteint son deuxième rang.
Le nombre de victimes d’infractions sexuelles est passé de 0,9% en moyenne entre 2005 et 2014 à 1,7% en 2015 et à 2,4% en 2016.
«Les jeunes femmes âgées de 16 à 24 ans constituent le groupe le plus sujet aux infractions sexuelles, 14% d’entre elles déclarant avoir été victimes d’au moins un crime de ce type en 2016», a déclaré le conseil. « Parmi les hommes du même groupe d’âge, 1,2% ont déclaré avoir été victimes. »
Les jeunes femmes sont également davantage victimes de harcèlement, a déclaré le conseil.
Moins de la moitié des crimes de l’enquête ont été signalés à la police. L’enquête a révélé que les infractions sexuelles, le harcèlement et les menaces étaient les moins signalés, tandis que les personnes le plus souvent informées de la police étaient au courant des cambriolages.
Leur enquête n’a fourni aucune ventilation de la race et de la criminalité – mais il existe de nombreuses preuves permettant d’établir un lien entre l’augmentation du taux de criminalité dans une Suède autrefois pacifique et l’afflux massif de non-Blancs.
Selon Statistics Sweden, les groupes de ressortissants nés à l’étranger et résidant actuellement en Suède sont, dans l’ordre numérique, les Syriens, les Irakiens, les Iraniens, les Somaliens, les Turcs, les Thaïlandais, les Erythréens, les Afghans, les Chinois, les Indiens, les Éthiopiens, les Vietnamiens, Pakistanais.
Réparties par région, les populations sont les suivantes: Asie occidentale 392 539; Afrique de l’Est 133 181; Asie du Sud 88 780; Asie du Sud-Est 78 133; Amérique du Sud 69 645; Asie orientale 48 847; Afrique du Nord 33 044; Afrique occidentale 18 502; Amérique centrale 8 978; Asie centrale 7 493; Afrique centrale 6 982; Océanie 5 575; Caraïbes 4 709; et Afrique australe 3 049.
Ils viennent en Suède en tant que « réfugiés » pour commencer une nouvelle vie aux frais des contribuables, mais ils veulent ensuite imposer la charia. Le nombre de musulmans vivant en Suède est d’environ 810 000, soit 8,1 % de la population.
Les demandeurs d’asile ne sont pas inclus dans ces chiffres. Selon les autorités suédoises de l’immigration, depuis 2013, les demandes «d’asile» suivantes ont été déposées en Suède:
58 000 demandes ont été déposées en 2013;
81 000 demandes ont été déposées en 2014;
162 000 demandes ont été déposées en 2015;
27 000 demandes ont été déposées en 2016; et
20 000 demandes (à ce jour) ont été déposées en 2017.
Si l’on ajoute le nombre de «demandeurs d’asile» à la population née à l’étranger, le total s’élève à 1 040 309 personnes, soit 10% de la population totale actuelle de la Suède, qui s’élève à 10 093 734 personnes.
Cela ne donne toutefois pas une image complète, car d’autres statistiques officielles indiquent qu’au moins 27% de la population suédoise a au moins un parent né à l’étranger.
Étant donné que ce dernier chiffre inclura également les immigrants européens, on peut supposer que le nombre de «Suédois» d’ascendance non européenne représente au moins la moitié de ces 27% – ce qui signifie qu’environ 13% des «Suédois» « Les ressortissants ne sont pas blancs.
Si l’on ajoute cette population à la population non blanche née à l’étranger, le nombre total des pays du tiers-monde en Suède dépasse certainement 20% du total.
Des bénévoles distribuent boissons et nourritures à des réfugiés arrivant à la gare suédoise de Malmo
La criminalité en Suède n’a pas été la seule à connaître une augmentation proportionnelle depuis l’invasion massive du Tiers Monde. En 2015, l’augmentation du nombre d ‘«enfants immigrants» a été explicitement imputée aux résultats plus faibles obtenus par la Suède dans les tableaux de classement de l’éducation.
Un rapport de l’Agence suédoise pour l’éducation, dirigée par le gouvernement, a déclaré qu ‘«il faudrait davantage de ressources pour les écoles accueillant un grand nombre d’élèves immigrants ou ayant deux parents immigrés».
Selon le rapport, les « enfants d’immigrés » étaient responsables à 85% d’une augmentation de 4% du nombre d’enfants qui n’obtenaient pas de bonnes notes dans les dernières années d’école.
Depuis 2006, la Suède a vu ses résultats aux tests en lecture et en sciences chuter de plus de 20%, tandis que les résultats en mathématiques ont chuté de 15%.
Selon l’enquête Pisa de l’OCDE, la Suède «est passée de la moyenne à beaucoup moins que la moyenne au cours de la dernière décennie».
Il a déclaré: « Aucun autre pays participant à Pise n’a connu une chute plus abrupte. »
Les bénévoles affluaient en 2015…au début de la vague.
« On est dans un état insurrectionnel, on n’a jamais vu ça », a déclaré sur BFM TV Jeanne d’Hauteserre, maire du VIIIe arrondissement de Paris où se sont déroulés la plupart des affrontements, avec des dizaines de voitures brûlées dans plusieurs rues et des bâtiments incendiés.
Les magasins des Galeries Lafayette et du Printemps ont été évacués en raison des violences et des incendies qui menacent plusieurs bâtiments dans le centre de Paris, selon des journalistes de Reuters. Un incendie dans un bâtiment situé au rond-point de l’Étoile a été maîtrisé, mais plusieurs autres feux menacent d’autres immeubles.
Des sources policières déclarent qu’un manifestant a volé un fusil d’assaut dans une voiture de police.
Nos correspondants Jean-François Bélanger et Yannick Dumont-Baron suivent les événements.
Réactions politiques
De Buenos Aires, où il participe au sommet du G20, le président français Emmanuel Macron a fait savoir qu’il tiendra une rencontre interministérielle dès son retour au pays, dimanche. « Je respecterai toujours la contestation, j’écouterai toujours les oppositions, mais je n’accepterai jamais la violence », a-t-il écrit sur Twitter.
Les coupables de ces violences ne veulent pas de changement, ne veulent aucune amélioration, ils veulent le chaos : ils trahissent les causes qu’ils prétendent servir et qu’ils manipulent. Ils seront identifiés et tenus responsables de leurs actes devant la justice.
Emmanuel Macron, président de la France
« Aucune cause ne justifie que les forces de l’ordre soient attaquées, que des commerces soient pillés, que des bâtiments publics ou privés soient incendiés, que des passants ou des journalistes soient menacés, que l’Arc de Triomphe soit ainsi souillé. Ce qu’il s’est passé aujourd’hui à Paris n’a rien à voir avec l’expression pacifique d’une colère légitime. »
Forte présence policière
Toute la journée, l’avenue des Champs-Élysées a été fermée à la circulation. Le ministère de l’Intérieur n’autorisait l’accès aux piétons qu’après un contrôle d’identité et une fouille des sacs.
Pendant que des manifestants pacifiques étaient rassemblés autour de la tombe du Soldat inconnu pour chanter La Marseillaise, la place Charles-de-Gaulle (anciennement connue sous le nom de place de l’Étoile), en amont des contrôles de sécurité, a été le théâtre d’incidents.
Certains manifestants ont tenté de forcer un point de filtrage, selon la police, et ont jeté des projectiles sur les forces de l’ordre. Un des piliers de l’Arc de triomphe a été couvert du graffiti « Les gilets jaunes triompheront ».
Les forces de l’ordre sont mieux préparées que la semaine dernière, selon notre correspondant Jean-François Bélanger. Les 5000 policiers et gendarmes en tenue antiémeute ont réussi à limiter l’accès à la place Charles-de-Gaulle en utilisant des canons à eau, des grenades dispersantes, des balles de plastique et des gaz lacrymogènes.
Les éléments plus perturbateurs sont des groupes qui « viennent pour casser, qui sont équipés, qui sont structurés », a dit la porte-parole de la préfecture de police Johanna Primevert, qui a notamment mis en cause des groupes d’« ultra-droite ».
Selon le secrétaire d’État du ministère de l’Intérieur, Laurent Nunez, 3000 « casseurs » se trouvaient sur la place de l’Étoile, comparativement à 200 « manifestants pacifiques » sur les Champs-Élysées. « On a affaire à des groupes extrémistes, extrêmement violents qui s’en prennent aux institutions […] qui sont équipés, cagoulés, masqués […] et qui empêchent l’avancée des forces de l’ordre », a-t-il expliqué sur BFM TV.
À la mi-journée, les manifestants s’éparpillaient dans les avenues alentour tout en continuant les affrontements. Plusieurs voitures ont été incendiées.
Samedi dernier, plus de 60 personnes ont été arrêtées à Paris dans les débordements qui ont marqué le deuxième week-end de manifestation du mouvement.
Comparutions rapides pour les auteurs de violences
Le procureur de Paris, Rémy Heitz, a annoncé que tous les auteurs de violences lors de la manifestation des gilets jaunes samedi à Paris seraient jugés rapidement grâce à une mobilisation des magistrats et greffiers dès lundi.
« Je vous informe que mon parquet veillera à engager des poursuites devant le tribunal correctionnel contre tous les auteurs des faits de violences et de dégradations constatées qui seront identifiés, et à ne pas laisser impunies les exactions inacceptables qui ont été commises à Paris aujourd’hui », a-t-il dit dans un communiqué, faisant état de près de 200 personnes en garde à vue samedi en fin de journée.
« Pour ce faire, la permanence du parquet de Paris a été renforcée par la mobilisation de magistrats et de greffiers supplémentaires. De même, et en accord avec le président du tribunal, le nombre d’audiences correctionnelles sera adapté dès lundi, afin de pouvoir juger ceux qui seront poursuivis en comparution immédiate », a-t-il ajouté.
Des gilets jaunes désapprouvent les violences
Certaines figures de proue du mouvement des gilets jaunes ont dénoncé les violences commises par les casseurs, estimant que ces derniers décrédibilisaient leur message.
« Quel est le message que les gilets jaunes veulent faire passer aujourd’hui? Qu’on mette la France à feu et à sang, ou on veut trouver des solutions? Je trouve ça aberrant », a dit Jacline Mouraud sur BFMTV, l’une des premières à manifester sa colère contre le gouvernement sur une vidéo devenue virale. Elle se trouvait sur un blocage du dépôt pétrolier de Lorient.
Sur l’ensemble du territoire, on comptait « un peu moins de 36 000 manifestants » qui ont engagé des opérations « dans le plus grand calme », selon le premier ministre. À Paris, ils étaient 5500.
En dehors de la capitale, 582 blocages étaient comptabilisés à la mi-journée par les autorités françaises, selon des sources syndicales policières. Il y en avait 516 samedi dernier à midi. La circulation était perturbée sur 17 autoroutes, a indiqué le groupe Vinci.
Entre 8000 et 10 000 policiers sont mobilisés pour faire face aux actions des gilets jaunes sur le territoire, dont 5000 à Paris, a déclaré le secrétaire général du syndicat Alternative police, Denis Jacob.
Un périmètre d’exclusion interdisant rassemblements et manifestations a été instauré par le préfet de police de Paris pour « garantir la protection des institutions », notamment autour de l’Assemblée nationale et de l’Élysée.
Lors de la première journée de manifestation des gilets jaunes le 17 novembre, près de 300 000 personnes s’étaient mobilisées, selon le ministère de l’Intérieur. Lors de la deuxième journée, le 24, elles étaient un peu plus de 100 000, dont 8000 à Paris.
Les rencontres entre le premier ministre et des représentants du mouvement vendredi n’ont pas été concluantes, ce qui laisse présager un regain de colère.
Seuls deux gilets jaunes sur les huit invités ont accepté de venir à Matignon. L’un d’entre eux a coupé court à l’entretien après qu’on eut refusé de retransmettre cette discussion en direct à la télévision.
Lendemain d’émeutes à Paris
(le 3 décembre 2018)
Toute la journée de samedi, des casseurs et un certain nombre de «gilets jaunes» ont tenu en haleine plus de 5000 policiers.
Comment a-t-on pu en arriver là ? La question était sur toutes les lèvres au lendemain d’une journée d’émeute qui a fait 133 blessés à Paris et entraîné plus de 400 arrestations. C’était l’incompréhension la plus totale alors que, dimanche matin, le président Emmanuel Macron sitôt rentré d’Argentine est allé rencontrer les forces de l’ordre sur l’avenue Kléber, transformée en véritable scène de guerre.
Toute la journée, les Français ont d’ailleurs attendu un mot du président, qui n’est pas venu. Celui-ci a présidé une réunion de crise dont pratiquement rien n’a filtré, sinon que le premier ministre recevra les chefs de partis et que le retour de l’état d’urgence, réclamé par des syndicats de policiers, n’était pas à l’ordre du jour. Selon l’Élysée, Emmanuel Macron aurait simplement souhaité « une adaptation du dispositif du maintien de l’ordre dans les jours à venir ».
À Paris, la plupart des observateurs s’entendent cependant pour dire que le président ne pourra pas éviter de s’exprimer cette semaine, alors qu’on n’a pas connu de telles violences en France depuis les émeutes de 2005 qui avaient mis à feu et à sac les banlieues françaises. Toute la journée de samedi, des casseurs, auxquels se mêlaient un certain nombre de « gilets jaunes », ont tenu en haleine plus de 5000 policiers visiblement à bout de forces. Durant 12 heures, les casseurs ont semé la désolation sur les avenues environnant les Champs-Élysées, où manifestait pourtant une foule pacifique. Pendant que des pilleurs souvent sans vestes jaunes dévalisaient les commerces, des casseurs s’en sont même pris à l’Arc de triomphe où brûle la flamme du soldat inconnu.
« Samedi, on a eu le sentiment d’une espèce de vacance du pouvoir », a déclaré au quotidien Le Parisien le centriste Hervé Morin. Celui qui dirige la région Normandie exprimait un sentiment très largement partagé en affirmant que « le président doit parler rapidement » aux Français.
« Mai 68 des classes moyennes »
Marginalisée par ce mouvement spontané qui défie les cadres traditionnels, l’opposition a réagi en rangs dispersés. Les présidents du Rassemblement national, Marine Le Pen, et de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, ont tous deux réclamé des élections législatives. Le président des Républicains, Laurent Wauquiez, propose, lui, la tenue d’un référendum sur le plan de transition écologique et les hausses de taxes présentés la semaine dernière.
« Je n’ai jamais vu de ma vie un mouvement soutenu par 84 % des Français », disait sur la chaîne Europe 1 le philosophe Luc Ferry. L’ancien ministre estime que la crise est telle qu’elle justifie la dissolution de l’Assemblée nationale. La France a besoin d’une forme de « cohabitation », dit-il, comme elle en a connu à l’époque de François Mitterrand et de Jacques Chirac. Pour l’historien de gauche Jacques Julliard, il s’agit du « Mai 68 des classes moyennes ».
Devant ces violences devenues une constante dans toutes les grandes manifestations parisiennes, plusieurs montrent du doigt un dispositif policier inadapté face à des groupes de casseurs, dont certains étaient même venus samedi avec des haches, des marteaux et des frondes. « Hier, on était dans une situation où bientôt on pourrait être mis en échec : on s’est retrouvés pendant un laps de temps à court de munitions, ça a été une catastrophe », a lancé sur France Info un responsable du syndicat Unsa-police.
Discuter, mais avec qui ?
Mardi, le ministre de l’Intérieur devra d’ailleurs s’expliquer devant le Sénat sur les insuffisances du dispositif policier. Chez les policiers, plusieurs voix dénoncent des ordres venus d’en haut surtout destinés à éviter de faire des victimes chez les manifestants, mais qui mettent les policiers dans une situation intenable. Samedi sur BFM-TV, la représente syndicale Linda Kebbab dénonçait ces groupes anarchistes, connus pour leur activité de casseurs et qui se donnaient rendez-vous publiquement sur Twitter pour aller affronter les forces de l’ordre. De nombreux graffitis anarchistes ont en effet été retrouvés sur les lieux des affrontements. Selon certains, l’ultra-droite était aussi présente.
Toute la journée de dimanche, des gilets jaunes, dont le mouvement se poursuit principalement en région, ont déploré ces scènes de violence qui font de l’ombre aux centaines de villes et de villages où leur action s’est déroulée le plus pacifiquement du monde. Dans Le Journal du dimanche, une dizaine de porte-parole régionaux qui disent représenter l’aile modérée du mouvement ont lancé un appel à structurer le mouvement. Ils réclament des états généraux sur la fiscalité. Mais pour eux, comme pour une majorité de la population, il n’y aura pas de discussion sans moratoire sur les hausses de carburant. D’autant qu’elles doivent se poursuivre dès l’année prochaine. Sans plus de précisions, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a déclaré que le gouvernement était prêt à discuter avec les signataires de cet appel.
Les jours du néolibéralisme semblent comptés dans tout l’Occident,tant mieux!
« La naissance de la voie lactée » (1636-1637) de Peter Paul Rubens
L’allaitement est une pratique d’alimentation du nourrisson dans laquelle un enfant est nourri au lait maternel directement du sein à la bouche. L’allaitement peut être effectué par la mère elle-même ou par une nourrice. Des preuves de l’allaitement se trouvent dans diverses sociétés du passé et on peut supposer que l’allaitement est pratiqué depuis qu’il y a eu des bébés. Néanmoins, bien que l’allaitement soit sans doute le moyen le plus naturel de nourrir un bébé, il n’a jamais été un jour où tout le monde le faisait, car il a été prouvé que d’autres pratiques d’alimentation du nourrisson étaient également utilisées.
Peinture d’une femme qui allaite à la maison. (rijksmuseum
Lait maternel – Ce liquide remarquable est-il une source d’invincibilité?
Bien qu’il soit peu probable que les sociétés anciennes aient pleinement compris la valeur nutritive du lait maternel (les scientifiques en apprennent encore plus sur ce fluide corporel remarquable), ils étaient conscients de son importance. Cela peut être vu dans le rôle vénéré accordé au lait maternel dans la mythologie. Les anciens Grecs, par exemple, croyaient que c’était le lait maternel d’ Héra , la reine des dieux, qui avait rendu le héros Héraclès invincible. De plus, c’est le lait maternel de cette déesse qui a créé la Voie Lactée.
Le lait maternel a également été glorifié dans les mythes de l’ancienne Mésopotamie. Astarté , une importante déesse babylonienne, était considérée comme la «mère des seins fertiles, la reine des cieux, la créatrice de l’être humain et la mère des dieux».
Sculpture d’allaitement au Népal.
La révérence accordée au lait maternel a également été donnée à ceux qui ont allaité. Cela se voit d’abord dans les représentations artistiques de l’allaitement. De la civilisation égyptienne antique, des images de la déesse Isis allaitant son fils Horus ont été trouvées.
Isis dans un marais à papyrus en train d’allaiter Horus.
L’allaitement joue également un rôle important dans le mythe fondateur de Rome. Au lieu des seins d’une femme, cependant, les jumeaux Romulus et Remus ont été allaités par une louve jusqu’à leur découverte par le berger Faustulus et son épouse, Acca Larentia.
Allaitement d’animaux
Romulus et Remus n’étaient pas les seuls à avoir tété d’animaux. Dans le passé, si une mère était incapable de produire suffisamment de lait pour nourrir son bébé et qu’une autre femme ne pouvait pas prendre sa place, une femelle pouvait être utilisée pour maintenir l’enfant en vie. Comme dans l’histoire mythologique, il était préférable de téter directement l’animal plutôt que de le traire, puis de fournir le lait au bébé – il a été reconnu comme une méthode plus propre. Les animaux choisis à cet effet étaient des ânes, des vaches, des chèvres, des moutons ou des chiens. Certains historiens pensent que les vaches et les chèvres ont peut-être été domestiquées spécialement à cette fin.
Sculpture d’une louve nourrissant Romulus et Remus.
Les gens croyaient qu’un bébé qui se nourrit de lait d’origine animale (et parfois humaine) aurait un impact sur la personnalité de l’enfant. Le scientifique suédois Carl Linnaeus, par exemple, pensait qu’un lait de lionne favoriserait le courage. Les ânes étaient considérés comme plus moraux que les chèvres «vigoureuses», bien que celles-ci soient devenues des nourrices privilégiées pour les animaux trouvés au XVIIIe siècle.
Comment le rôle d’une infirmière mouillée a-t-il été envisagé?
En général, les sociétés anciennes accordaient une grande importance à l’allaitement. On peut supposer que les mères allaiteraient naturellement leur propre bébé, mais cela n’a pas toujours été possible, certaines mères étant décédées en accouchant et d’autres simplement incapables de allaiter. À la suite de cela, il y avait un marché pour les femmes qui allaient nourrir un autre enfant, elles étaient connues sous le nom d’infirmières humides.
La signification de ces femmes dans les sociétés anciennes est évidente dans le respect qui leur est accordé. Dans l’Égypte ancienne, malgré leur appartenance à la classe des servantes, les infirmières humides étaient très appréciées, en particulier celles qui allaitaient le pharaon. Autre exemple, dans l’ancienne Mésopotamie, le rôle des infirmières de soins infirmiers dans la société était si remarquable que des lois fixant les relations entre une infirmière de soins et son employeur ont été promulguées par le roi babylonien Hammurabi .
XVIIIe siècle, la vie de famille dans les demeures bourgeoises prussiennes: un bébé avec une nourrice .
Cependant, tout le monde n’avait pas une vision positive des infirmières. Au cours de la période romaine, les familles riches pouvaient se permettre des infirmières mouillées pour allaiter leurs bébés. Des auteurs tels que Cicero et Tacitus ont vivement critiqué cette pratique, estimant que les mères employant des infirmières soignantes négligeaient leur devoir envers Rome, étaient décadentes et mettaient en péril la stabilité de la société.
Les soins infirmiers ont continué pendant des siècles, mais les critiques étaient également présentes. À la fin des années 1700 et au début des années 1800, par exemple, les mouvements réformistes européens ont commencé à faire pression pour que les femmes allaitent leur propre bébé. Et les gouvernements de certaines nations ont même commencé à jouer un rôle dans ce sujet très personnel. Le gouvernement français a déclaré que les femmes qui n’allaitaient pas ne recevraient pas l’aide sociale en 1793. Et en 1794, les Allemands ont légalisé l’obligation pour toutes les femmes en bonne santé d’allaiter leurs propres enfants. Des facteurs sociétaux et politiques ont eu pour conséquence qu’au début des années 1800, de nombreuses femmes déclaraient fièrement leur pratique d’allaitement.
«Jeune femme qui allaite son enfant» (1777) de Louis-Roland Trinquesse.
Quelles étaient les autres formes anciennes d’alimentation du nourrisson?
Outre l’allaitement par une mère ou une nourrice, d’autres formes d’alimentation du nourrisson étaient utilisées par les sociétés anciennes. Des pots en terre cuite munis de longs becs ont été découverts dans des tombes de nourrissons. Ceux-ci auraient été utilisés pour nourrir les nourrissons.
Ces navires étaient le précurseur du biberon, introduit au 19e siècle. Quant au contenu de ces pots, ce n’était pas toujours du lait, comme on pouvait s’y attendre. Il a été rapporté que les anciens Grecs nourrissaient leurs bébés avec un mélange de vin et de miel dans de tels pots.
Le premier ministre franc maçon du Canada, Justin Trudeau, adhère au principe du mondialisme selon lequel le monde est sans frontières et l’idée des États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l’organe directeur est l’Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international qui est ensuite appliqué par les États membres.
Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière est un document détaillant les exigences que les États membres de l’ONU doivent adopter en tant que politique qui équivaut à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l’imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.
Le Pacte mondial exige des organes de presse des États membres qu’ils adhèrent aux objectifs et s’abstiennent de toute discussion critique de ceux-ci qui serait considérée comme non « éthique » et contraire aux normes ou standards de l’ONU conformes à l’idéologie du mondialisme.
Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau adhère au principe de la mondialisation, selon lequel l’idée d’États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l’organe directeur est l’Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international qui est ensuite appliqué par les États membres. Sur la photo: Trudeau tient une conférence de presse au siège des Nations Unies à New York, le 21 septembre 2017.
L’ annonce récente du gouvernement canadien selon laquelle il fournira plus de 600 millions de dollars canadiens (455 millions de dollars américains) au cours des cinq prochaines années pour venir en aide aux médias en difficulté financière du pays – dans le cadre de la mise à jour financière d’automne du budget fédéral précédant la 2019 élections fédérales – n’est pas aussi innocent que cela puisse paraître.
En réponse à cette annonce, les dirigeants des médias canadiens ont immédiatement ouvert le proverbial champagne et levé leurs verres au premier ministre Justin Trudeau. Unifor , un syndicat national représentant les journalistes canadiens, était encore plus jubilant. Il a estimé que son slogan de » Résistance » – qu’il qualifie de » pire cauchemar » du chef de l’opposition du Parti conservateur Andrew Scheer – avait si rapidement abouti à ouvrir le portefeuille du gouvernement et à distribuer l’argent des contribuables à une industrie qui devrait se battre pour rester fermement indépendant de toute forme de soutien gouvernemental.
C’est ce qu’est une « presse libre » sans doute après tout; pas comme dans les pays dotés de régimes totalitaires, tels que la Russie autrefois tsariste, devenue communiste, l’Union soviétique, la Chine maoïste, le Royaume d’Arabie saoudite, la République islamique d’Iran, Cuba ou encore beaucoup de pays tiers. Etats du monde dans lesquels la presse est simplement un outil de propagande du gouvernement, soumis aux diktats et aux caprices de son chef.
Les récipiendaires du « cadeau » de Trudeau feront valoir que leur indépendance éditoriale ne pourrait être entravée – le paradis derrière eux! – dans une démocratie aussi libérale que le Canada. Leur dos irréprochable montera à la simple suggestion que leur intégrité journalistique pourrait être compromise en concluant un accord financier avec le pouvoir en place.
Quelle que soit la quantité d’encre qu’ils renversent ou d’octets qu’ils gaspillent pour défendre leur vertu, ils ne pourront toutefois pas tromper le public sur la nature de ce marché de Faust , qui revient à être acheté par le parti libéral de Trudeau en échange d’une presse favorable à venir de la prochaine élection fédérale.
Les Canadiens devraient passer de cette « pente glissante » à une version de la société contrôlée par l’État créée par cet accord. Quelle ironie que l’annonce du sauvetage des médias intervienne moins d’une semaine après le 100e anniversairede l’armistice de la Première Guerre mondiale et du jour du Souvenir, durant lesquels les Canadiens honorèrent la mémoire des compatriotes tués et mutilés au cours de guerres pour la liberté contre l’avancée de la tyrannie.
Cependant, cet accord n’aurait sans doute pas dû surprendre, compte tenu de la position affirmée de Trudeau selon laquelle le Canada est un État post-national sans identité fondamentale. En d’autres termes, dans le Canada de Trudeau, il n’y a pas de tradition à vénérer, pas de valeurs sacrées à défendre et pas d’identité à préserver.
Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontière et l’idée d’États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l’organe directeur est l’ Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes , irresponsables , corrompues , dotées du pouvoir de légiférer en matière de droit international, qui sont ensuite appliquées par les États membres.
Trudeau semble déterminé à faire du Canada un laboratoire de l’agenda mondialiste. C’est probablement la raison pour laquelle il s’empresse d’adhérer au pacte mondial proposé par les Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières , à adopter lors de la conférence intergouvernementale de Marrakech, au Maroc, du 10 au 11 décembre 2018. La plupart des Canadiens n’en connaissent pas le contenu. du Pacte mondial, que leur gouvernement s’est engagé à signer. Pourtant, c’est dans le cadre de cet accord que diverses décisions prises par le gouvernement Trudeau peuvent être expliquées – décisions sur des questions telles que l’immigration, les changements climatiques, l’islamophobie et le sauvetage des médias par une somme de 600 millions de dollars.
Le Pacte mondial est un document détaillant les exigences que les États membres doivent adopter en tant que politique qui équivaut à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l’imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.
« Nous nous engageons à éliminer toutes les formes de discrimination, à condamner et à combattre les expressions, actes et manifestations de racisme, de discrimination raciale, de violence, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée, conformément au droit international des droits de l’homme. Nous nous engageons également à promouvoir la transparence et la preuve discours public sur les migrations et les migrants en partenariat avec toutes les composantes de la société, qui génère une perception plus réaliste, plus humaine et plus constructive à cet égard, et nous nous engageons également à protéger la liberté d’expression conformément au droit international, en reconnaissant le débat contribue à une compréhension globale de tous les aspects de la migration. » [Je souligne.]
En vertu de ce qui précède, les États membres sont donc tenus de:
« Promouvoir des reportages indépendants, objectifs et de qualité sur les médias, y compris sur Internet, notamment en sensibilisant et en informant les professionnels des médias sur les questions relatives à la migration et à la terminologie, en investissant dans des normes de reportage éthique et dans la publicité, et en arrêtant l’affectation de fonds publics ou d’un soutien matériel aux médias qui promeuvent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et d’autres formes de discrimination à l’égard des migrants, dans le plein respect de la liberté des médias. » [Je souligne.]
Traduit du langage ONU, cela signifie que les médias des États membres doivent adhérer aux objectifs adoptés dans le Pacte mondial et s’abstenir de toute discussion critique sur ces objectifs qui serait considérée comme non « éthique « et contraire aux normes de l’ONU ou des normes compatibles avec l’idéologie du mondialisme. Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.
En acceptant cet argent, l’ensemble des médias canadiens ne diffère pas de celui du radiodiffuseur public national CBC , dont les nouvelles et les opinions sont toutes orientées vers le centre-gauche, épousant les positions politique, économique et culturelle du Parti libéral – avec quelques marques occasionnelles. et une vue conservatrice hautement contrôlée dans le mélange dans le but de maintenir la façade de la liberté d’expression.
L’élimination progressive de la liberté d’expression est une caractéristique du gouvernement Trudeau, qui a adopté l’année dernière la motion parlementaire M-103 , condamnant toute discussion critique sur l’islam et les musulmans en tant qu ‘ » islamophobie « . Selon l’ONU, l’islamophobie est sectaire, raciste et pourrait faire l’objet de censure ou de poursuites pénales aux termes du « discours de haine » des commissions des droits de la personne au Canada. Cela est conforme à la récente décision de la Cour européenne des droits de l’homme , selon laquelle critiquer le prophète de l’islam équivaut à inciter à la haine et ne constitue donc pas une liberté d’expression protégée. Il est également conforme aux efforts de l’Organisation de la coopération islamique – le plus grand groupe de 57 États membres de l’ONU – à déclarer toute critique ou insulte au fondateur de l’islam et à la religion elle-même comme un blasphème conforme à la charia islamique.
Trudeau et son parti libéral tentent de créer un pays sans frontières où le droit international conçu par l’ONU l’emportera sur la législation adoptée par les représentants élus du peuple canadien qui s’y opposerait.
Si ce processus n’est pas inversé, les Canadiens et les québécois – inondés par une migration de masse – deviendront des citoyens du monde; et le Canada deviendra un protectorat multiculturel nord-américain d’un monde émergent du XXIe siècle, sans frontières et administré par l’ONU. Dans un tel monde, il n’y a pas de place pour la liberté d’expression ou une presse libre. Les médias canadiens devraient réfléchir longuement avant de vendre son âme à Trudeau.
« Les Français disent: » Monsieur le Président, nous ne pouvons pas joindre les deux bouts « , et le président répond: » Nous allons créer un Haut Conseil [pour le climat] « . Pouvez-vous imaginer le décalage? » – Laurence Saillet, porte-parole du parti de centre-droit, Les Républicains, 27 novembre 2018
Les « gilets jaunes » [manifestants] bénéficient désormais du soutien de 77% de la population française. Ils exigent la démission de Macron et un changement immédiat de gouvernement.
Le mouvement est maintenant une révolte de millions de personnes qui se sentent asphyxiées par une imposition « confiscatoire » et qui ne veulent pas « payer indéfiniment » pour un gouvernement qui semble « incapable de limiter les dépenses ». – Jean-Yves Camus, politologue.
Les élections européennes auront lieu ce printemps 2019. Les sondages montrent que le rassemblement national sera en tête, loin devant La République En Marche! [La République en mouvement!], La fête créée par Macron.
Emmanuel Macron avec Philippe Couillard,l’ancien premier ministre du Québec:le banquier de Rotschild s’amuse avec le franc maçon.
Le 11 Novembre 2018 , le président français Emmanuel Macron a commémoré le 100 e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale en invitant soixante – dix chefs d’Etat d’organiser une coûteuse, inutile, grandiloquent « Forum de la Paix » qui ne mènent à rien. Il a également invité le président américain Donald Trump, puis a choisi de l’insulter. Dans un discours pompeux, Macron – sachant que Donald Trump s’était défini quelques jours plus tôt comme un nationaliste voué à la défense de l’Amérique – a invoqué le « patriotisme »; ensuite, étrangement, le définissait comme « l’exact opposé du nationalisme »; alors appelé cela « trahison ».
En outre, peu avant la réunion, Macron n’avait pas seulement parlé de « l’urgence » de la construction d’une armée européenne ; il a également placé les États-Unis parmi les » ennemis » de l’Europe. Ce n’était pas la première fois que Macron plaçait l’Europe au-dessus des intérêts de son propre pays. C’était cependant la première fois qu’il plaçait les États-Unis sur la liste des ennemis de l’Europe.
En compagnie de Donald Trump…
Le président Trump a apparemment compris immédiatement que l’attitude de Macron était un moyen de maintenir ses illusions de grandeur et de tenter de tirer un avantage politique intérieur. Trump a apparemment aussi compris qu’il ne pouvait pas rester assis là et accepter des insultes. Dans une série de tweets , Trump a rappelé au monde que la France avait besoin de l’aide des États-Unis pour recouvrer sa liberté pendant les guerres mondiales, que l’OTAN protégeait toujours une Europe pratiquement sans défense et que de nombreux pays européens ne payaient toujours pas le montant promis pour leur propre pays. la défense. Trump a ajouté que Macron avait un taux d’approbation extrêmement bas (26%), faisait face à un taux de chômage extrêmement élevé et cherchait probablement à détourner son attention de cela.
Trump avait raison. La popularité de Macron est en chute libre depuis des mois: il est désormais le président français le plus impopulaire de l’histoire moderne à ce stade de son mandat. La population française s’est détournée de lui en masse.
Le chômage en France n’atteint pas seulement un niveau alarmant (9,1%); il a été alarmant pendant des années. Le nombre de personnes en situation de pauvretéest également élevé (8,8 millions de personnes, 14,2% de la population). La croissance économique est en réalité inexistante (0,4% au troisième trimestre de 2018, en hausse par rapport à 0,2% les trois mois précédents). Le revenu médian(20 520 euros, soit 23 000 dollars par an) est insoutenable. Cela indique que la moitié des Français vivent avec moins de 1710 euros par mois. Cinq millions de personnes survivent avec moins de 855 euros (973 dollars) par mois.
Lorsque Macron a été élu en mai 2017, il avait promis de libérer l’économie. Cependant, aucune mesure significative n’a été prise. En dépit de certaines réformes superficielles telles que la limitation du nombre de licenciements abusifs ou la possibilité légèrement accrue que les petites entreprises puissent négocier des contrats de travail à court terme, le code du travail français, qui est toujours l’un des plus rigides du monde développé, bloque habilement le travail. création. La charge fiscale (plus de 45% du PIB) est la plus élevée du monde développé. Même si certaines taxes ont été supprimées depuis que Macron est devenu président, de nombreuses nouvelles taxes ont été créées. Les dépenses publiques représentent encore environ 57% du PIB (16% de plus que la moyenne des pays de l’OCDE) et ne montrent aucun signe de déclin.
Macron a également promis, lors de son élection, de rétablir la sécurité. Le manque de sécurité , cependant, a explosé; le nombre d’agressions violentes et de viols n’a cessé d’augmenter. Les zones interdites sont aussi répandues qu’il ya un an et extrêmement incontrôlables. L’afflux d’immigrants clandestins non contrôlés dans le pays a malheureusement transformé des quartiers entiers en taudis .
La photo controversé du doigt d’honneur.
En mai, Macron avait averti que dans de nombreuses banlieues, la France avait « perdu la lutte contre le trafic de drogue « .
Lorsque le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a démissionné le 3 octobre, il a parlé d’une « situation très dégradée » et a ajouté que, dans de nombreux domaines, « la loi des plus forts – les trafiquants de drogue et les islamistes radicaux – a remplacé le République. » Il a été tout simplement les évaluations confirmant de refroidissement de « la faveur » des commentateurs tels que Éric Zemmour , auteur de Le suicide Français , et Georges Bensoussan , auteur de Une France Soumise ( A Soumise France) .
Les émeutes sont fréquentes. ils indiquent l’incapacité croissante du gouvernement à maintenir l’ordre. Les grèves dans les transports en commun, qui ont duré tout le printemps 2018, ont été accompagnées de manifestations et d’un pillage enthousiaste de banques et de magasins. La victoire de la France à la Coupe du monde de football en juillet a été suivie par une liesse qui a rapidement fait place à la violence de groupes qui ont brisé des vitrines et attaqué la police.
Depuis son entrée dans la vie politique, les remarques de Macron ont non seulement révélé un mépris pour la population française, mais elles se sont également multipliées. Cela n’a pas aidé. Dès 2014, alors que Macron était ministre de l’Économie, il a déclaré que les femmes employées dans une entreprise en faillite étaient » analphabètes « ; en juin 2017, juste après être devenu président, il a distingué « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien ». Plus récemment, il a confié à un jeune homme qui avait exprimé son désarroi à la recherche d’un emploi qu’il ne devait que se déplacer et « traverser la rue ». Lors d’une visite au Danemark, il a annoncé que les Français étaient « des Gaulois résistants au changement ».
L’un des rares sujets sur lesquels Macron semblait vouloir travailler était l’islam. Il a souligné à plusieurs reprises sa détermination à établir un » islam de France « . Ce qu’il a omis de prendre en compte, c’est la préoccupation du reste de la population face à l’islamisation rapide du pays. Le 20 juin 2017, il a déclaré (pas assez précisément, par exemple ici , ici , ici , ici , ici et ici ), « Personne ne peut faire croire que la foi (musulmane) n’est pas compatible avec la République ». Il semble également avoir omis de prendre en compte les risques du terrorisme islamique, qu’il appelle rarement par son nom. Il semble préférer utiliser le mot » terrorisme« », sans adjectif, et reconnaît simplement qu’il » existe une lecture radicale de l’Islam, dont les principes ne respectent pas les slogans religieux « ).
L’actuel ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, nommé par Macron pour remplacer Collomb, a écarté les préoccupations exprimées par son prédécesseur et a qualifié l’ islam de « religion du bonheur et de l’amour, à l’instar de la religion catholique ».
Un autre domaine dans lequel Macron a agi sans relâche est le « combat contre le changement climatique », dans lequel ses ennemis ennemis sont ciblés. Sur les véhicules de plus de quatre ans, les contrôles techniques obligatoires ont été rendus plus onéreux et le non-respect de ces contrôles plus punitif, dans l’espoir évident qu’un nombre croissant de voitures plus anciennes pourraient être éliminées. Les limites de vitesse sur la plupart des routes ont été abaissées à 80 km / h (50 mi / h), les radars de contrôle de la vitesse se sont multipliés et des dizaines de milliers de permis de conduire ont été suspendus . Les taxes sur l’ essence ont fortement augmenté (30 cents le gallon en un an). Un gallon d’essence sans plomb en France coûte maintenant plus de 7 dollars.
La petite minorité de Français qui soutiennent encore Macron ne sont pas concernés par ces mesures. Les sondages montrent qu’ils appartiennent aux couches les plus riches de la société, qu’ils vivent dans des quartiers riches et qu’ils n’utilisent presque jamais de véhicules personnels. La situation est douloureusement différente pour la plupart des autres individus, en particulier pour la classe moyenne oubliée .
Une décision récente d’augmenter les taxes sur l’essence était la goutte d’eau. Cela a déclenché une colère instantanée. Une pétition demandant au gouvernement d’ annuler l’augmentation des taxes a reçu près d’un million de signatures en deux jours. Sur les réseaux sociaux, des personnes ont discuté de l’organisation de manifestations dans tout le pays et ont suggéré aux manifestants de porter les gilets de protection jaunes que les conducteurs sont obligés de ranger dans leur voiture en cas de panne sur le bord de la route. Ainsi, le 17 novembre , des centaines de milliers de manifestants ont bloqué de grandes parties du pays.
Le gouvernement a ignoré les demandes des manifestants. Au lieu de cela, les responsables ont répété les nombreux impératifs non prouvés du « changement climatique » et la nécessité d’ éliminer l’utilisation des « combustibles fossiles » – mais ont refusé de changer de cap.
Après cela, une autre journée de protestation nationale a été choisie. Le 24 novembre , les manifestants ont organisé une marche sur Paris. Beaucoup, semble-t-il, ont décidé, malgré l’interdiction du gouvernement, de se rendre sur les Champs-Élysées et de continuer vers le palais présidentiel.
Des affrontements ont eu lieu, des barricades ont été érigées et des véhicules incendiés. La police a répondu durement. Ils ont attaqué des manifestants non violents et ont utilisé des milliers de grenades au gaz lacrymogène et de canons à eau, ce qu’ils n’avaient jamais fait auparavant. Bien que de nombreux manifestants aient brandi des drapeaux rouges indiquant qu’ils appartenaient à la gauche politique, le nouveau ministre de l’Intérieur, Castaner, a déclaré que la violence venait d’une « extrême droite » sédentaire et fractionnée. Un membre du gouvernement a attisé l’incendie en comparant les « gilets jaunes » français aux « chemises brunes » allemandes des années 1930. Macron a déclaré que ceux qui essayaient « d’intimider les officiels » devraient être «
Enfin, le 25 novembre, Macron a fini par reconnaître , avec une apparente réticence, la souffrance de la « classe ouvrière ». Deux jours plus tard, Macron a prononcé un discours solennel, annonçant qu’il créerait un « grand conseil pour le climat », composé d’écologistes et de politiciens professionnels, et que son objectif était de sauver la planète et d’éviter « la fin du monde ». Il n’a toujours pas dit un seul mot sur les griefs économiques qui s’étaient exprimés au cours des dix jours précédents.
La républicaine Laurence Saillet, porte-parole du parti de centre-droit, a déclaré : « Les Français disent: » Monsieur le Président, nous ne pouvons pas joindre les deux bouts « , et le président répond: » nous allons créer un Haut Conseil [pour le climat] ] ‘Pouvez-vous imaginer la déconnexion? « .
Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national de droite (l’ancien parti du Front national et aujourd’hui le principal parti d’opposition en France), a déclaré : « Il y a une minuscule caste qui fonctionne pour elle-même et la grande majorité des Les Français qui sont abandonnés par le gouvernement et se sentent rétrogradés, dépossédés « .
Les « jaunes » bénéficient désormais du soutien de 84% de la population française. Ils exigent la démission de Macron et un changement immédiat de gouvernement. Ceux qui parlent à la radio et à la télévision disent que Macron et le gouvernement sont désespérément aveugles et sourds.
Pour le moment, les « vestes jaunes » ont décidé d’organiser une troisième manifestation nationale – aujourd’hui samedi 1 er décembre – avec une nouvelle marche vers Paris et le palais de l’Elysée. La révolte dans le pays s’intensifie et ne montre aucun signe de ralentissement.
Le politologue Jean-Yves Camus a déclaré que le mouvement des « vestes jaunes » est maintenant une révolte de millions de personnes qui se sentent asphyxiées par des taxes « confiscatoires » et qui ne veulent pas « payer indéfiniment » pour un gouvernement qui semble « incapable de limiter dépenses ». « Certains ne mesurent pas l’étendue du rejet exprimé par les manifestants », a- t- il ajouté .
Dominique Reynié, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris, a déclaréque « Macron et le gouvernement ne s’attendaient pas à ce que leur politique fiscale aboutisse à cela ».
Les élections européennes auront lieu en mai 2019. Les sondages montrent que le parti du Rassemblement national de Le Pen sera en tête, loin devant le parti créé par Macron, La République En Marche! [La République en mouvement!].
En un peu plus d’un an, Macron, élu en mai 2017, a perdu presque tout crédit et légitimité. Il est également l’un des derniers dirigeants européens au pouvoir à soutenir l’Union européenne telle qu’elle est.
Macron, qui a affirmé vouloir vaincre la vague « populiste » qui se répandait sur tout le continent, a également affirmé que les dirigeants qui écoutaient les gens désireux de défendre leur mode de vie étaient la » lèpre » et le » mauvais vent « .
La vague « populiste » frappe maintenant la France; cela pourrait bien signifier la fin du mandat de Macron.
EN conclusion:
Deux grands mondialistes unis dans l’effacement de leur peuple:Justin Trudeau qui cherche à assimiler les québécois français à la majorité anglophone du Canada et Emmanuel Macron qui ouvre les portes de la France à l’Islam..
Le but des mondialistes : remplacer les Français par des musulmans
La France – et l’Europe en général – est confrontée à une montée de l’islamisme, c’est désormais bien clair. Mais pourquoi cette montée est-elle apparue ? Voila la bonne question. C’est parce que les mondialistes financiers veulent à tout prix que la finance dirige la politique en remplaçant un peuple rebelle par un peuple soumis. Leur but est de dominer politiquement par la finance et ce, au niveau mondial. Pour cela, ils utilisent les acteurs politiciens corrompus qui en France, veulent instaurer l’islamisme radical. Mais pourquoi l’islamisme et pas autre chose ?
C’est très facile à comprendre parce que cela part d’un constat réel, sans état d’âme particulier, basé sur l’étude ainsi que sur les comportements. D’aucuns affirment que l’islam est une religion. Non, l’islam n’est pas une religion. L’islam est un faux système religieux qui impose et entretient à tout prix l’abaissement humain. En islam, les gens doivent obéir aveuglément aux ordres du coran. Du fait que le coran interdit toute évolution, les islamistes sont privés de cette possibilité depuis l’avènement de cette fausse religion, qui est en réalité un système de négation universelle. Il n’existe aucune possibilité d’élévation dans l’islam appliqué à la lettre. Les preuves se voient tous les jours dans le comportement des personnes islamisées. Tout ce qui est négatif et criminel appartient et est revendiqué par l’islam. L’islam manifeste en permanence la haine et le racisme à l’égard de tous ceux qui ne sont pas de confession musulmane et ces deux notions sont encouragées intensivement par les mondialistes auprès de ces populations. Les humains qui ne sont pas musulmans sont de ce fait les victimes de cette haine et de ce racisme. C’est tellement visible actuellement, à travers les terribles événements qui défraient la chronique, qu’on ne peut s’y tromper.
Quoiqu’on en pense, il existe effectivement deux catégories de personnes islamisées. Ceux qui n’ont jamais appliqué les ordres du coran au pied de la lettre, et ceux qui appliquent ces ordres au iota près. Les premiers sont des apostats, c’est le jugement des islamistes radicaux. Certains emploient le terme : « modérés ». Les seconds sont les radicaux. Les apostats, par crainte ou par respect de leur environnement et des lois de la République, ne pratiquent pas réellement l’islam. Ils évitent, par peur ou par ignorance, d’obéir aveuglément aux ordres du coran. Ils sont donc des traîtres pour les radicaux et doivent payer de leur vie cette désobéissance aux ordres de ce livre. Ce sont les radicaux eux-mêmes qui l’affirment et c’est écrit en toutes lettres dans le livre en question. Il apparaît aussi que pour certaines populations d’apostats, une petite chiquenaude suffirait à les faire changer d’avis et à se rallier aux radicaux. Là encore, la terreur et l’interdiction de l’évolution ordonnée par le coran, font de grands ravages. Pour en être convaincu, il suffit d’observer, entre autres aspects, la condition féminine musulmane.
Les islamistes radicaux n’ont qu’un idée en tête, imposer leurs croyances mortifères partout et obliger le monde entier à respecter le coran et l’islam sans aucune possibilité de retour en arrière. A ce propos, il est extraordinaire de constater à quel point quelques pages de papier peuvent tenir des peuples entiers dans l’immobilité totale de l’esprit pendant aussi longtemps. Vous n’ignorez pas que si vous êtes musulman et que vous quittez l’islam, vous signez votre arrêt de mort. Le mot est lâché. La mort. C’est le maître mot de l’islam. Les apostats n’ont aucune envie de tuer. Ils souhaitent faire un peu comme tout le monde, ne pas trop en savoir sur leur « religion », et ne pas la pratiquer de façon radicale en préservant au mieux leur dignité d’êtres humains. Comparativement, voyez le nombre de fidèles dans les églises et vous aurez compris que les religions n’intéressent plus grand monde aujourd’hui au sein des populations qui ont décidé de sortir de ce carcan. C’est normal du fait que chaque religion a été depuis son avènement, un moyen de domination infernal dont les chefs ont usé et abusé pour maintenir les populations dans la crainte et l’ignorance (pour info, voyez les performances de la « sainte inquisition » et certains « ratés » gênants dont le vatican aimerait qu’ils soient tenus secrets). Cela ne fonctionne plus vraiment de nos jours car heureusement, beaucoup de populations ont évolué.
LES PEUPLES FRANÇAIS DE FRANCE ET D’AMÉRIQUE DU NORD ONT UN COMBAT COMMUN
Deux couples:ceux d’Emmanuel Macron et de Justin Trudeau dévoués au Nouvel Ordre Mondial pro-islamique!
Le Québec et les canadiens français de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick font face à Justin Trudeau qui ne rêve que de mondialisation et de libre-échange.Le gouvernement conservateur de Ford en Ontario a coupé tous les budgets devant permettre de soutenir la francophonie dans sa province,mais il fait face à la mobilisation générale des franco-ontariens.Il faut noter que Ford a même coupé la totalité du projet d’une université francophone en Ontario sous le prétexte de sabrer dans les dépenses…inutiles!
Au Québec,nous avons évité le pire en élisant François Legault de la Coalition Avenir Québec, mais celui-ci va-t-il bloquer l’immigration massive réclamé par Justin Trudeau qui lui réclamait 50,000 immigrants au Québec pour cette année.François Legault s’est fait élire en promettant de baisser ce chiffre à 40,000,mais c’est même trop car qui va payer pour ces envahisseurs qui parfois,ne parlent pas un mot de français?…Nous les travailleurs et travailleuses du Québec!Nous payons de nos impôts pour assurer la disparition assurée de notre peuple pour permettre à l' »ÉLITE » de continuer à engranger les profits capitalistes!
Depuis fin septembre, les Acadiens retiennent leur souffle. La balance du pouvoir est entre les mains des trois députés de l’Alliance des gens du Nouveau-Brunswick, un parti qui s’est positionné ouvertement contre le bilinguisme tel que pratiqué dans la seule province officiellement bilingue du Canada.
S’ils espéraient davantage d’ouverture, les Franco-Ontariens essaient actuellement d’inverser les décisions de leur gouvernement progressiste-conservateur d’abolir le Commissariat aux services en français et d’abandonner le projet d’université franco-ontarienne.
Pour l’avocat spécialiste des droits linguistiques, Michel Doucet, les situations ont quelque chose de similaire.
«Il y a des parallèles à faire. Mais l’approche au Nouveau-Brunswick est beaucoup plus sournoise. On voit depuis de nombreuses années un affaiblissement du Commissariat aux langues officielles du Nouveau-Brunswick avec un budget qui, depuis 2002, n’a augmenté que de 500 000 $ à 514 000 $ [le dernier budget du Commissariat aux services en français en Ontario était de 2,9 millions $]. Si bien que le commissaire n’a pas les ressources de faire son travail.»
Le Québec ,comme l’Ontario ,comme le Nouveau-Brunswick et la France,notre Mère-Patrie,en a ras-le-bol!
Nos quatre états sont actuellement gouvernés par des néolibéraux vendus à l’oligarchie financière rattachée au Nouvel Ordre Mondial et au crime organisé entretenu par les sociétés secrètes qui les contrôle derrière le rideau dont les francs maçons liés au rite écossais et les illuminati qui leur sont associés!
Seule la désobéissance civile peut en venir à bout et rétablir la démocratie du Peuple,par le Peuple et pour le Peuple!
À bas le néolibéralisme du Nouvel Ordre Mondial et vive la Révolution Nationale Universelle !