L’Union européenne a «relocalisé» – c’est-à-dire s’il est offert des trajets gratuits – plus de 45 000 envahisseurs non blancs prétendant être des réfugiés, les transférant de Grèce et d’Italie vers d’autres États membres de l’UE à compter du 30 avril de cette année, selon les chiffres officiels.
En regardant cette carte de « Relocalisation »,on voit qu’il s’agit d’un agenda caché,un plan!
Le programme de «relocalisation» a été adopté en septembre 2015 «pour reloger les demandeurs d’asile italiens et grecs, afin de les aider à faire face aux pressions de la crise des réfugiés».
Dans le cadre de ce programme, jusqu’à 106 000 envahisseurs «susceptibles de traiter leurs demandes avec succès (taux de reconnaissance moyen de l’UE supérieur à 75%) devaient être délocalisés de Grèce et d’Italie, où ils étaient arrivés, vers d’autres États membres où ils souhaiteraient voir leurs demandes d’asile traitées. «
La majorité d’entre eux étaient des hommes (63%), des adultes (68%) et des nationalités syrienne (52%), érythréenne (35%) et irakienne (11%). Le programme comprenait également 585 «mineurs non accompagnés».
C’est ce stratagème auquel les gouvernements hongrois et polonais se sont opposés et dans lequel ils ont refusé de participer, affirmant qu’aucun de ces soi-disant «réfugiés» ne fuyait pour sauver leur vie et que tous avaient un refuge leur pays d’origine ou dans des États beaucoup plus proches de leur domicile.
Les Aztèques pratiquaient une anthropophagie de masse d’une effrayante férocité.
Non seulement les prêtres aztèques prenaient un vif plaisir à sacrifier leurs victimes en se montrant le plus cruel possible, mais ils jouissaient carrément en les dévorant. Et toute la population suivait. À croire parfois que leurs immolations n’étaient qu’un prétexte pour se régaler de chair humaine. Oui, malgré leur haut degré de civilisation, les Aztèques furent les pires cannibales au monde. Chaque année, leurs victimes se chiffraient par dizaines de milliers. En effet, chaque fête, et Dieu sait si elles étaient nombreuses chez les Aztèques, était le prétexte pour chacun de sacrifier ses esclaves les plus dodus. Chaque propriétaire apportait son bétail humain aux prêtres.
Il leur arrachait le cœur
Le missionnaire franciscain Bernardino de Sahagún séjourna chez les Aztèques presque 60 ans à partir de 1529. Réalisant un extraordinaire travail d’ethnologue, il coucha toutes ses observations dans un manuscrit. Notamment celles ayant trait au cannibalisme. Ses descriptions étaient tellement épouvantables que le roi d’Espagne en interdit la publication.
Sahagún raconte, par exemple, comment les esclaves étaient traînés par les cheveux jusqu’à la pierre sacrificielle du temple : « On les y couchait sur le dos et, là, cinq individus les prenaient, deux par les jambes, deux par les bras et un à la tête. Le prêtre qui devait les sacrifier se présentait alors ; il les frappait sur la poitrine, des deux mains, avec une pierre d’obsidienne et, introduisant une main par l’ouverture qu’il venait de faire, il leur arrachait le cœur pour l’offrir immédiatement au soleil et le jeter ensuite dans un grand cuvier. Il prenait aussitôt du sang et le mettait dans une petite tasse qu’il donnait au maître de la victime, et celle-ci était jetée en bas par les degrés du temple (les marches, NDLR). Là, le corps était reçu par des vieillards qui l’emportaient dans leur chapelle, où il était mis en morceaux et distribué pour être donné en nourriture. Mais, avant de dépecer les captifs, on les écorchait, et certains individus se vêtaient de leurs peaux pour aller ensuite, dans ce costume, s’escarmoucher avec d’autres jeunes gens en simulant la petite guerre. »
Un enfant de lait se gavant comme une oie!
Un succulent « enfant de lait »
Tout en se déclarant outrageusement choqué, le brave missionnaire franciscain détaille également la façon dont les sacrifiés sont cuits et dégustés. « On allait généralement le manger dans la maison de celui qui avait réduit le défunt en captivité. On faisait cuire cette chair avec du maïs et l’on en donnait un morceau à chacun, dans une petite écuelle, avec un peu de bouillon et de maïs. Après avoir mangé, on s’enivrait. » Pour se procurer les dizaines de milliers d’esclaves nécessaires, les Aztèques guerroyaient sans cesse contre leurs ennemis. Chaque prisonnier devenait aussitôt l’esclave de son vainqueur. Mais il y avait également d’autres sources d’approvisionnement : les criminels et les pauvres. Pire, celui qui n’avait plus rien pour vivre pouvait se vendre comme esclave. De nombreux parents pauvres vendaient leurs enfants aux plus riches. À la table des rois, des princes et des riches seigneurs, il n’était pas rare de voir servi un succulent « enfant de lait ».
On dirait ici une recette de préparation d’un enfant de lait.
Des abattoirs de bétail humain
Autre témoignage, celui du conquistador Bernal Díaz del Castillo, qui participa à la conquête du Mexique au côté d’Hernán Cortés. Dans son ouvrage de souvenir L’Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle Espagne, il raconte que les temples possédaient de très nombreuses et énormes marmites, toujours prêtes à cuire les membres des victimes. À ses yeux, le véritable but des offrandes faites aux idoles était d’ordre culinaire. À croire que la véritable fonction des temples n’était que d’être des abattoirs de bétail humain. Diaz del Castillo raconte qu’après le prélèvement du cœur destiné aux idoles, les cadavres fumants étaient balancés sur les degrés du temple où ils roulaient jusqu’au pied de prêtres de second rang qui les dépeçaient sur-le-champ. Les membres étaient remis au propriétaire de la victime tandis que le reste allait alimenter les bêtes féroces de la ménagerie royale. Lors des sacrifices de masse, la viande non consommée immédiatement était découpée en lanières mises à sécher au soleil. Puis celles-ci étaient déposées dans de grandes jarres avec du sel et du piment.
Une prostituée pour lui rendre l’appétit
Codex Borgia page 7
Avant d’être sacrifiés, les esclaves étaient soigneusement engraissés. Durant plusieurs semaines, ils étaient mis en cage comme de vulgaires porcs pour être gavés de nourriture. Et quand le futur « repas » déprimait au point de refuser de manger, toute la maison se réunissait autour de la cage pour le distraire et lui présenter des mets succulents. Souvent même, on lui fournissait une prostituée dans l’espoir de lui rendre l’appétit de vivre et de manger. Pour autant, les Aztèques avaient bon cœur. Certainement davantage que les esclavagistes occidentaux. En effet, ils traitaient leurs esclaves comme des membres de leur famille. Au point de ne pas le consommer s’ils le tuaient. Pour rien au monde ils n’auraient dégusté cette chair qu’ils considéraient comme la leur. Ils se bornaient à offrir les meilleurs morceaux à leurs amis et parents. Ils prenaient leur revanche en se régalant des esclaves de leurs voisins. À noter encore que les Aztèques étaient probablement les seuls à pratiquer un esclavagisme non héréditaire. Les enfants de leurs esclaves naissaient libres…au moins cela!
(WASHINGTON) — A California man on Wednesday was sentenced to six months in prison for unwittingly helping the Russian effort to disrupt the 2016 U.S. presidential election. U.S. District Court Judge Dabney Friedrich sentenced Richard Pinedo to six months imprisonment followed by six months of home detention for selling bank account numbers to Russian operatives.…
Le mois d’octobre marque les 100 ans du début de la pire épidémie de grippe espagnole à frapper le Manitoba. Le 30 septembre 1918, les soldats E. Murray et W. Barney débarquent dans la capitale manitobaine avec 21 autres soldats. Ils arrivent d’Europe où la Première Guerre mondiale en est à ses derniers jours à bord d’un train qui transporte des troupes vers le front sibérien. Ils souffrent de la grippe espagnole et en mourront quelques jours plus tard.
Il y a 100 ans, la grippe espagnole faisait 1200 morts à Winnipeg
Il s’agit des deux premiers décès enregistrés au Manitoba dus à cette maladie . La pandémie qui suivra fera 1200 morts à Winnipeg.
La pandémie déjà bien ancrée en Europe et dans l’est du Canada sera la plus meurtrière de la planète depuis la peste noire qui a tué environ 50 millions de personnes en Europe au 14e siècle.
Au Canada, la grippe espagnole a causé la mort d’environ 50 000 personnes, selon le site de Parcs Canada qui qualifie la situation de véritable chaos.
La professeure d’histoire à l’Université du Manitoba, Esyllt Jones, affirme qu’une telle pandémie serait toujours terrifiante aujourd’hui « si on imagine une épidémie qui tue plus de 1000 personnes en l’espace de peut-être trois mois ».
Des « poumons transformés en éponges »
D’après Esyllt Jones, la grippe espagnole présentait des symptômes similaires à ceux d’une grippe ordinaire, soit des douleurs et de la fièvre, qui pouvait toutefois être assez élevée pour provoquer des délires ou des pensées suicidaires.
Elle compare les poumons des personnes atteintes par le virus à des éponges. Ils s’emplissaient d’un liquide, ce qui entraînait une forme d’asphyxie. Elle explique que de nombreux malades sont morts d’infections secondaires liées à la maladie, comme des bronchites ou des pneumonies.
Dans son livre The Last Plague, l’historien Mark Humphries note que, malgré son nom, les chercheurs discutent encore de l’origine de la grippe « espagnole ». Elle a été nommée comme telle parce que les médias espagnols, qui n’étaient pas censurés, ont été les premiers à en rendre compte en mai 1918.
Mark Humphries estime qu’une fois que la grippe eut atteint l’est du Canada, le train du Corps expéditionnaire sibérien a contribué à son expansion à travers le pays. Esyllt Jones ajoute à cela les déplacements des civils. À Winnipeg, la première victime civile de la maladie était une femme qui revenait d’un voyage à Montréal.
Face à la propagation de la maladie, les fournisseurs de soins de santé étaient démunis, explique Esyllt Jones.
Une ville sous pression
Lorsque les soldats Murray et Barney sont morts à Winnipeg en 1918, la Ville n’était pas préparée à la virulence de cette vague de grippe espagnole.
« Rien de ce que nous avons connu dans le passé ne se rapproche de cette épidémie, tant au niveau de la rapidité de sa propagation que de sa virulence », peut-on lire dans le rapport annuel de santé de la Ville pour 1918.
Esyllt Jones explique que Winnipeg souffrait des difficultés causées par quatre années de guerre en Europe et était la plus grosse ville de l’Ouest canadien avec une population approchant les 180 000 habitants. Ayant connu plusieurs vagues d’immigration, elle faisait face à des tensions ethniques et sociales.
Des mesures de quarantaine inadéquates, le manque de coordination en matière de santé publique et une « impuissance » médicale ont créé une situation de tension. Le nombre de morts a atteint des centaines en quelques semaines et des mesures de santé publiques ont été mises en place.
Tous les rassemblements ont été interdits, tandis que les lieux comme les églises, les écoles et les bars ont été fermés. Cela n’a pas suffi. La maladie a atteint son apogée à la mi-novembre, avant de disparaître progressivement.
À l’époque, les bénévoles ont joué un rôle crucial. En 1918, il n’y avait pas de ministère de la Santé et Esyllt Jones explique que la plupart des tâches à effectuer à ce niveau relevaient des municipalités. À Winnipeg, au moins 650 femmes se sont portées volontaires pour aider les malades.
Un taux de mortalité 10 fois plus élevé dans les communautés autochtones
À Winnipeg, la grippe espagnole a tué environ 1200 personnes. Des recherches récentes au Manitoba établissent que le taux de mortalité au sein de certaines communautés autochtones était près de dix fois plus élevé qu’au sein des non-Autochtones.
D’après Esyllt Jones, c’est dû à l’héritage social et économique du colonialisme ainsi qu’au manque d’accès aux soins dans les régions plus éloignées.
« Si nous voulons comprendre l’expérience des Canadiens autochtones, nous devons accepter le fait que leur inégalité en matière de santé n’est pas une chose inévitable. C’est un résultat de l’histoire », affirme-t-elle.
Esyllt Jones explique que « les épidémies sont une occasion pour les divisions de s’enfoncer davantage ». « Mais ce sont aussi des occasions pour les gens ordinaires de s’entraider », souligne-t-elle.
Avant de se séparer de presque tous ses moyens de communication avec le monde extérieur en mars 2018, le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, qui reste à l’ambassade équatorienne à Londres, a fait part de son point de vue sur les menaces pesant sur l’humanité face au développement de l’IA et à la protection des données.
Julian Assange en interview devant sa porte!
L’un des dénonciateurs les plus célèbres au monde, Julian Assange, recherché depuis près de dix ans par les États-Unis pour avoir divulgué des documents classifiés via son site WikiLeaks sur la guerre en Irak, a prédit un scénario sombre, « très instable à propos de la civilisation technologique ». ne dure pas longtemps »à cause de la concurrence très rapide dans le monde connecté.
«Il peut produire des intelligences artificielles très robustes pouvant être couplées à des états. Vous pouvez voir cela aux États-Unis et en Chine… ces deux forces vont prendre tout le marché. Et la concurrence rapide entre eux avec le soutien et l’appui des États derrière eux, l’exacerbation de la concurrence commerciale par la concurrence géopolitique vont conduire à un désir incontrôlable de croissance de la capacité de l’intelligence artificielle, conduisant à un conflit ou une stultification très grave. C’est notre plus grande menace », a-t-il déclaré dans la vidéo, enregistrée avant sa panne totale d’électricité et publiée par les organisateurs du World Ethical Data Forum à Barcelone.
Selon le fondateur de WikiLeaks, « cette compétition géopolitique exploitée par les plus grandes sociétés d’intelligence artificielle » est sur le point « de relancer un processus que l’homme ne peut plus contrôler ».
«Les institutions [humaines] sont bâties sur la concurrence. Leur taille, leur taille, leur domination sur le marché, etc., tirent parti de tous les avantages qu’elles obtiennent et continueront d’accroître la concurrence. Tout ce qu’ils produisent contient cet ADN. C’est là que nous nous dirigeons et c’est notre grave menace pour les êtres humains en général et pour toutes les entreprises. Peut-être que la réponse à cette menace est que les gens comprennent la sécurité informatique, la sécurité informatique offensive », a déclaré Assange lors de l’interview.
La capacité naissante des grandes entités et des entreprises privées à poursuivre la collecte de données de masse sur les personnes, associée à l’application de l’intelligence artificielle (IA), a également joué un rôle important. Avec Google et Baidu et Tencent et Amazon et Facebook, «la collecte de connaissances sur l’humanité de manière ouverte, lorsque nous communiquons entre nous», ce modèle classique, appelé «capitalisme de surveillance», a changé.
«C’est un changement économique vraiment très important et grave. Ce qui consiste à prendre le modèle de capitalisme de surveillance et à le transformer en un modèle qui n’a pas encore de nom, un «modèle d’IA». Ce qui consiste à utiliser ce vaste réservoir pour former des intelligences artificielles de différents types. Cela remplacerait non seulement les secteurs intermédiaires (la plupart des choses que vous ferez sur Internet est dans un sens une intermédiation plus efficace), mais également le secteur des transports ou créerait de nouveaux secteurs », a déclaré Assange.
Il a également mis en garde contre la vulnérabilité croissante des données personnelles, qui sont de plus en plus souvent ciblées et volées par des criminels. De plus, les gens doivent négocier leurs relations avec toutes les grandes puissances du monde dès leur plus jeune âge. Seulement « très peu de personnes techniquement capables sont capables de vivre séparément », ce qui « sent un peu le totalitarisme », estime Assange.
«Cette génération en train de naître maintenant… est la dernière génération libre. Vous êtes né et immédiatement ou dans un délai d’un an, vous êtes connu dans le monde entier. Votre identité, sous une forme ou une autre – parce que vos parents idiots collent votre nom et vos photos sur Facebook ou à la suite de demandes d’assurance ou de passeports – est connue de toutes les grandes puissances mondiales. C’est une situation très différente de ce qu’elle était auparavant », a-t-il déclaré dans la vidéo.
« Limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C nécessiterait des changements rapides, très profonds et sans précédent dans tous les aspects de la société », dit le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dévoilé dimanche.
C’est avec cet appel solennel que les experts en changements climatiques les plus influents du monde interpellent les décideurs de toutes les nations.
Pour arriver à leur fin, les 91 auteurs du GIEC citent 6000 sources scientifiques.
Leur rapport rigoureux a pour but de « donner aux décideurs les informations dont ils ont besoin pour prendre des décisions qui s’attaqueront aux changements climatiques », comme l’explique Debra Roberts, coprésidente d’un des groupes de travail du GIEC.
Les prochaines années sont parmi les plus importantes de notre histoire.
Debra Roberts, coprésidente d’un des groupes de travail du GIEC
Le GIEC répond ainsi à une requête qui lui a été adressée par les nations signataires lors de l’adoption de l’Accord de Paris en 2015 : analyser les effets d’un réchauffement climatique de 1,5 °C, mais aussi expliquer l’ampleur des efforts qui devraient être déployés pour limiter le réchauffement sous cette ambitieuse limite.
Photo de la fonte des glaces en Antartique.
D’après les graphiques diffusés, les risques d’un réchauffement de 2 °C sur les coraux des eaux chaudes où sur la région de l’Arctique serait « très élevés ». Les risques seraient « élevés » en ce qui concerne l’augmentation du niveau des océans et les événements météorologiques extrêmes.
Chaque fraction de degré compte
En signant l’Accord de Paris, au terme de la COP21, les États signataires se sont engagés à maintenir la hausse de la température globale « nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C ».
La mention du seuil maintenant bien connu de 1,5 °C avait été obtenue par les petits États insulaires, dont l’existence même de certains est menacée par la hausse du niveau des océans.
L’ours polaire aura disparu avant nous,mais nous ne réagissons pas!
Cette limite n’est cependant pas symbolique, et les experts du GIEC insistent sur l’importance de chaque fraction de degré Celsius de réchauffement sur « les écosystèmes, la santé et le bien-être humains ».
Le respect de cet objectif requerra cependant des actions radicales; il faudra réduire nos émissions nettes de CO2 de 45 % par rapport au niveau de 2010 d’ici 2030 et que l’humanité soit carboneutre en 2050. Dans un peu plus de 30 ans, il faudrait donc que chaque tonne de CO2 émise dans l’atmosphère par les humains soit ensuite retirée.
le monde en train de perdre la bataille
Les canicules au Québec en 2018 démontrent que le climat est très fortement perturbé.
Le monde n’atteindra pas son objectif le plus rigoureux des 25 dernières années en matière de changements climatiques à moins que les dirigeants politiques ne fassent preuve de la volonté nécessaire pour agir plus rapidement et plus directement afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
L’intensité des incendies en Grèce et en Californie,en 2018.
C’est le principal message du nouveau rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies qui doit être publié dimanche.
Le rapport vise à donner des lignes directrices scientifiques sur comment la communauté internationale peut atteindre ses objectifs relativement aux changements climatiques. Il devrait toutefois montrer que la planète est en voie de se réchauffer de 1,5 degré Celsius par rapport à l’ère préindustrielle d’ici 2040.
Actuellement, la température globale augmente de 0,2 degré Celsius chaque décennie et a déjà grimpé de 1 degré Celsius depuis 1850.
Selon la cible établie par l’Accord de Paris en 2015, les pays devraient réduire suffisamment leurs émissions d’ici la fin du siècle pour permettre un réchauffement maximal de 2 degrés Celsius comparativement à l’ère préindustrielle. Mais l’Accord prévoit aussi un objectif plus ambitieux de 1,5 degré Celsius.
Catherine Abreu
Catherine Abreu, la directrice générale de Réseau action climat Canada, affirme que la différence entre 1,5 et 2 degrés Celsius peut paraître minime, mais elle est en fait énorme sur le plan des changements climatiques.
Carbon Brief, un site web britannique spécialisé dans la recherche scientifique et les politiques sur le climat, a passé en revue 70 études approuvées par les pairs. À partir de cet examen, il a affirmé, vendredi, qu’avec un réchauffement de 1,5 degré Celsius, le niveau des mers augmenterait en moyenne de 48 centimètres contre 56 centimètres avec un réchauffement de 2 degrés.
De plus, le groupe a estimé les chances d’avoir un été sans glace dans l’Arctique à 3 pour cent avec un réchauffement de 1,5 degré Celsius comparativement à 16 pour cent avec un réchauffement de 2 degrés.
Et la fréquence des pluies torrentielles dans l’est du Canada passe de 26 pour cent avec un réchauffement de 1,5 degré Celsius à 55 pour cent avec un réchauffement de 2 degrés.
L’an prochain, les signataires de l’Accord de Paris devront témoigner de leurs progrès dans leurs efforts pour atteindre leurs objectifs nationaux sur le plan des émissions de gaz à effet de serre. Le Canada souhaite réduire les siennes de 30 pour cent par rapport aux niveaux enregistrés en 2005. En 2017, le gouvernement canadien avait informé les Nations unies qu’il était à 66 millions de tonnes de sa cible, et ce, en dépit de tous les programmes et politiques en place ou prévus. Ce chiffre correspond aux émissions produites par 14,5 millions de voitures au cours d’une seule année.
Lors d’une récente entrevue avec La Presse canadienne, la ministre fédérale de l’Environnement, Catherine McKenna, a dit savoir que le rapport annoncerait que «nous ne sommes pas sur la bonne voie pour atteindre le 1,5 degré».
«Nous le reconnaissons et nous savons tous que nous devons en faire plus, a-t-elle concédé. C’est pourquoi l’Accord de Paris a été conçu tel qu’il est. Chaque pays doit passer à l’action et nous devons nous montrer plus ambitieux au sujet des mesures qui seront adoptées.»
Le Canada n’a cependant aucunement l’intention de réviser ses ambitions dans un avenir proche. Il se concentre plutôt sur l’implantation de son plan actuel, qui comprend un prix national pour le carbone, l’élimination des centrales électriques au charbon, l’amélioration de l’efficacité énergétique des résidences et des entreprises, et l’investissement dans des sources d’énergie propres et renouvelables.
EN CONCLUSION
Chaque pays tient fermement ses positions:comme par exemple les Etats-Unis d’Amérique qui ne font pas partie d’aucun accord sur la lutte au réchauffement global.
Nous devons prendre comme acquis que le climat de la Terre va devenir hostile aux êtres humains et d’ici peu,nous aurons disparu au milieu de la Sixième Extinction Massive d’Espèces que nous aurons créé nous-mêmes!
Les Défenseurs de la Terre doivent se mettre au travail pour abattre ce système le plus rapidement possible!
Osons promouvoir une nouvelle démarche,une nouvelle société,même partir pour un autre monde,s’il le faut!
EN COMPLÉMENT
Voici à quoi ressemblera le monde une fois que toute la glace aura fondu
Au fil des années, nous avons appris que l’humanité a radicalement changé la planète Terre. Si toute la glace venait à fondre à la surface de la Terre, elle transformerait DRAMATIQUEMENT les continents de notre planète et inonderait les grandes villes autour du globe.
Les scientifiques estiment qu’il y a plus de 5 millions de kilomètres cubes de glace sur la Terre. De nombreux chercheurs s’accordent à penser qu’il faudrait environ 5 000 ans pour que toute la glace fonde.
Si cela venait à se produire, les continents sur Terre serait complètement réorganisés.
Toutefois, si nous continuons à rajouter des quantités de carbone dans l’atmosphère, nous pourrions facilement créer une planète totalement libérée de la glace. Comme le National Geographic l’a rapporté, cela se traduirait par une température moyenne de 26 degrés Celsius au lieu de la 13 en ce moment-même.
Selon les rapports, le niveau de la mer a considérablement augmenté au cours de la dernière décennie et à un rythme encore plus effréné durant ces dernières années. Selon les estimations du Groupe Intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat, le niveau de la mer pourrait augmenter à un rythme alarmant d’un ou plusieurs mètres d’ici la fin du siècle.
Tout cela a été minutieusement démontré par le National Geographic en 2013, et que le niveau de la mer peut augmenter de 65 mètres si toute la glace sur notre planète venait fondre.
Les conséquences sont terrifiantes. Cela signifierait que le littoral atlantique ENTIER pourrait disparaître, y compris la Floride et la côte du Golfe. Consultez l’image ci-dessous:
Amérique du Nord…En Amérique du Sud, le Bassin de l’Amazone, au nord, et le Bassin de la rivière Paraguay, au sud, deviendraient des embouchures de l’Atlantique, en balayant Buenos Aires, le littoral de l’Uruguay et la majeure partie du Paraguay.
La même chose se produirait en Europe, en Afrique, en Asie et même en Antarctique.
Europe
Afrique
Asie
Océanie
Pour avoir une idée de ce qui se passerait si toute la glace sur Terre venait à fondre, le site Business Insider a créé une vidéo :
Les universitaires font valoir que de nombreuses personnes s’identifieront bientôt comme des «digisexuels» et prendront leur identité sexuelle après avoir eu des relations sexuelles avec des robots.
Alors que les robots sexuels sont actuellement assez primitifs, un nouveau rapport publié dans le Journal of Sexual and Relationship Therapy affirme qu’ils seront bientôt capables de regarder, de parler et d’agir comme de vraies personnes – et seront spécifiquement conçus pour répondre aux désirs de la personne.
Les auteurs du rapport, Neil McArthur et Markie LC Twist, de l’Université du Manitoba, au Canada, soutiennent qu’il faut être prêt à faire face au phénomène lorsqu’il sera mené à terme.
« Il ne fait aucun doute que les sexbots arrivent », déclarent McArthur et Twist . «Selon nous, ils représenteront une expérience sexuelle différente de celle proposée par les technologies existantes. Tout d’abord, les gens vont créer une connexion intense avec leurs compagnons robots. ”
«Ces robots seront conçus sur mesure pour répondre aux désirs des gens et feront des choses que les partenaires humains ne peuvent ou ne veulent pas faire. Pour cette raison, un nombre important de personnes en viendra probablement à utiliser des robots comme principal mode d’expérience sexuelle ».
Les deux hommes , qui ont également co-écrit le livre «Robot Sex: Un livre pour le sapiosexuel éclairé»,soutiennent que la montée de la digisexualité apportera des avantages, y compris potentiellement la sauvegarde des relations humaines.
Ils disent également que la digisexualité aura un impact positif, en particulier pour les personnes qui ont subi un traumatisme sexuel dans le passé ou pour celles qui ont des difficultés à établir des relations humaines.
Cependant, ils préviennent que cela apportera également une foule de difficultés et soutiennent que les médecins doivent être prêts à gérer la digisexualité et disposer d’un cadre pour la traiter.
Noel Sharkey de la Fondation pour une robotique responsable (FRR) s’est récemment prononcé contre le fait que des robots sexuels soient utilisés par des personnes âgées dans des maisons de retraite.
«Ils sont proposés aux personnes âgées dans les maisons de retraite, ce qui est à mon avis controversé. Si vous avez une maladie d’Alzheimer grave, vous ne pouvez pas vraiment faire la différence. En tant que société, nous devons réfléchir à ce que nous voulons faire à ce sujet », adéclaré la chercheuse.
« C’est très triste parce que ça va être une relation à sens unique », a-t- il poursuivi. « Si les gens nouent des liens avec des robots, c’est très inquiétant. Vous aimez un artefact qui ne peut pas vous aimer en retour, et le mieux qu’ils puissent faire est de le simuler. »
Les poupées sexuelles robotisées permettant aux hommes de simuler un viol devraient être proscrites, déclare un militant
Les poupées sexuelles qui peuvent être programmées pour résister aux avances et permettre aux hommes de les «violer» devraient être illégales en Grande-Bretagne, a déclaré un militant.
Katie Parker, qui a fondé le projet de consentement de l’école, un organisme de bienfaisance qui enseigne le consentement à ses élèves, a évoqué la poupée sexuelle Roxxxy créée par True Companion, société basée aux États-Unis, qui utilise l’intelligence artificielle pour créer différentes personnalités afin de répondre aux fantasmes des utilisateurs.
L’un de ces modèles s’appelle ‘Frigid Farrah’ et définit le robot pour qu’il résiste aux avances sexuelles. Il a des paramètres pour répondre à différents fantasmes tels que «la dominatrice» ou le «à peine 18 ans».
Parker dit que bien que posséder une des poupées au Royaume-Uni ne constitue pas un délit, cela normalise les violences sexuelles.
«Certains disent que ces robots renforcent l’objectivation des femmes et la marchandisation du sexe; d’autres, qu’ils permettent à des personnes autrement isolées de faire l’expérience de l’intimité. De toute façon, Roxxxy est une autre bête », a-t- elle écrit dans son blog .
«Le fait qu’elle ne pense pas, que se sentir humain ne rend pas son existence sans problème. Les robots normalisent les violences sexuelles. Ils servent et distraient les impulsions criminelles qui devraient probablement faire l’objet d’une intervention psychiatrique. »
Parker dit aux clients qu’on leur promet que s’ils touchent le robot « dans une zone privée, elle ne sera probablement pas très reconnaissante de votre avance. »
«La relation prouvée entre le comportement de chacun et le type de contenu auquel on est exposé expose de manière convaincante la criminalisation», a-t- elle ajouté.
Pour 7 770 £ (10 000 USD), True Companion permet aux clients de choisir l’une des 73 couleurs de cheveux disponibles dans 39 styles: couleur des yeux et des sourcils, couleur de la pédicure, la couleur de la peau et la forme et le type de poils pubiens.
Roxxxy est le produit phare de la société. Il s’agit d’un «sexbot» entièrement personnalisable coûtant 7 700 £. En plus du sexe, True Companion dit qu’elle peut offrir de la compagnie et du soutien social aux hommes seuls.
La société affirme que la poupée n’est pas programmée pour participer à un scénario de viol et que ces allégations étaient «de pures conjectures». Elle indique que la poupée est conçue pour «donner son opinion ou ses commentaires, comme le ferait toute personne à une date donnée» et peut être un outil d’apprentissage «pour aider les gens à comprendre comment ils peuvent être intimes avec un partenaire»
Les robots sexuels pourraient fournir une thérapie et traiter la solitude dans les maisons de soins
Les personnes âgées vivant dans des maisons de retraite pourraient bientôt profiter de la compagnie de robots sexuels spécialement conçus, selon une organisation leader sur le terrain.
Les robots extrêmement réalistes pourraient être largement disponibles au cours de la prochaine décennie, utilisés non seulement par les fétichistes, mais aussi comme outils de thérapie sexuelle et de communication.
La Fondation pour la robotique responsable (FRR) a déclaré que bien que leur utilisation présente des inconvénients, l’arrivée de la machine sexuelle est imparable.
«Je peux vous dire que des robots vont certainement arriver», a déclaré Noel Sharkey, professeur émérite de robotique et d’intelligence artificielle à l’université de Sheffield, et co-fondateur du FRR.
«Le problème est que cela se passe [et] personne n’en parle. Les gens ricanent à leur sujet, mais ils en expédient beaucoup et nous allons les voir beaucoup plus. ”
La professeure Sharkey, qui a pris la parole mercredi lors du lancement d’un nouveau rapport de consultation, a déclaré qu’il était temps que le gouvernement intervienne et commence à réglementer les prostituées sexuelles.
«Ils sont proposés aux personnes âgées dans les maisons de retraite, ce qui est à mon avis controversé. Si vous avez une maladie d’Alzheimer grave, vous ne pouvez pas vraiment faire la différence », a déclaré le chercheur.
« Nous devons penser en tant que société à ce que nous voulons faire à ce sujet. »
Un robot sexuel identifié comme Henry, est un robot que les femmes ont qualifié d ‘ »irrésistible », en raison de son érection robotique infatigable, et qui a aussi un sens de l’humour.
Le rapport du professeur Sharkey a révélé que près des deux tiers des hommes et environ 30% des femmes sont favorables à l’utilisation de poupées sexuelles.
Des bordures de poupées sexuelles existent déjà au Japon, en Espagne et en Corée du Sud. La rumeur dit que l’ouverture d’un robot sex café dans l’ouest de Londres a commencé mais les sceptiques commencent à ressembler à une cascade de publicité ou à une légende urbaine.
Un entrepreneur qui souhaite ouvrir le premier « café de fellation » de Londres a révélé que son personnel serait entièrement constitué de robots sexuels. L’homme d’affaires Bradley Charvet, qui envisage d’ouvrir le «café des pipes» à Paddington, affirme que les sex-bots seront programmables selon les besoins de la personne et seront bientôt considérés comme « tout à fait normaux ». Une session de sexe oral de 15 minutes avec un espresso ne coûtera que 60 £ (78 $ US) aux parieurs. Les clients affamés devront payer un supplément pour une pâtisserie. Le café devrait ouvrir après le lancement de son premier café à Genève, en Suisse, plus tard cette année.
Les poupées individuelles peuvent coûter entre 4 000 et 12 000 £ (entre 5 000 et 15 000 $) et peuvent être personnalisées en fonction du sexe, de la taille, de la couleur des cheveux et des yeux. Les modèles avancés peuvent même inclure l’intelligence artificielle et répondre aux émotions humaines.
Mais les chercheurs ont averti que les relations sexuelles avec des robots pourraient isoler les gens.
«C’est très triste parce que ça va être une relation à sens unique», a déclaré le professeur Sharkey.
«Si les gens nouent des liens avec des robots, c’est très inquiétant. Vous aimez un artefact qui ne peut pas vous aimer en retour, et le mieux qu’ils puissent faire est de le simuler. «
Le secteur a également un «côté obscur» important, certains robots faisant valoir que des pédophiles non offensants et des personnes fantasmées pour le viol pourraient en tirer parti.
« Il n’y a pas de discussion dans le grand public sur ce qui est acceptable, permis et ce qui devrait être promu », a déclaré la cofondatrice de FRR, Aimee van Wynsberghe.
« Il s’agit d’une étape préliminaire pour engager les décideurs politiques, les universitaires, le secteur de la technologie et le grand public. »
Sous le parc du Yellowstone, aux États-Unis, se trouve une chambre de magma qui, si elle entre en éruption, pourrait détruire l’humanité. Cette réalité inquiète la NASA qui cherche des solutions. L’une d’entre elles serait de… refroidir ce supervolcan en transformant la chaleur en électricité.
Le volcan de Yellowstone un jour va se réveiller!
Avec ses geysers, ses sources chaudes, ses bains à bulles naturelles et ses étangs aux couleurs variées, le Yellowstone est un parc qui attire des millions de touristes chaque année. Étendu sur trois états, le Wyoming, le Montana et l’Idaho, il concentre à lui seul deux tiers de tous les geysers de la planète. Mais c’est également une région sous laquelle se tient une véritable bombe à retardement.
Sous le Yellowstone se trouve une chambre de magma très importante – 50 kilomètres sur 70 – qui peut se transformer en un supervolcan si elle entre en éruption. Les supervolcans sont des volcans dont l’éruption est si importante qu’elle peut signer la fin de l’humanité. Si celui du Yellowstone se réveille, il pourrait éradiquer l’existence de l’homme en 74 jours, expliquait en 2017 la BBC.
Fin du monde en 74 jours
Le nuage de cendre d’un supervolcan priverait la Terre de soleil et obligerait les hommes à vivre sur leurs réserves. Or, selon un rapport de l’ONU datant de 2012, les réserves de la planète ne permettraient de tenir que 74 jours.
Cette possibilité préoccupe la NASA. Un chiffre en particulier rend pressant l’urgence de trouver des solutions: 600.000 ans. « Le Yellowstone explose tous les 600 000 ans environ, et cela fait environ 600.000 ans depuis sa dernière explosion, ce qui devrait nous amener à nous asseoir et à en prendre conscience », explique Brian Wilcox qui travaille à l’agence aérospatiale américaine.
Cela ne signifie pas forcément qu’il va exploser dans les prochaines années. En termes géologiques, « prêt à exploser » signifie qu’il pourrait le faire potentiellement aujourd’hui comme dans 10.000 ans. Le volcanologue
Cette carte montre les «calderas» de Yellowstone, qui sont des chambres massives qui se forment lorsque le magma et la lave jaillissent de la Terre.
Poland, qui se base sur les chiffres donnés par les nombreux capteurs et satellites qui surveillent en permanence le Yellowstone, explique au National Geographic que le volcan ne semble pour l’instant pas poser de menace.
Refroidir le volcan par géothermie
L’une des solutions envisagées par les scientifiques américains serait de refroidir le volcan. Dans un plan transmis à la BBC, l’équipe explique qu’elle pourrait empêcher une éruption en siphonnant la chaleur de la caldeira et en convertissant l’énergie géothermique en électricité.
Il faudrait envoyer de l’eau dans un trou de forage long de 10 kilomètres qui passerait au travers des roches bouillantes, puis remonterait à la surface à une température supérieure à 350 degrés Celsius. Cette chaleur serait alors utilisée pour faire tourner des turbines et générer de l’énergie électrique. Une fois refroidie, l’eau pourrait être renvoyée sous terre pour soustraire plus de chaleur.
Plusieurs risques majeurs
Il y a plusieurs problèmes liés à ce projet. Le premier est que ce dernier pourrait provoquer lui-même l’éruption du supervolcan. La deuxième difficulté consiste à faire venir l’eau sur place. L’eau est une denrée très précieuse et la gaspiller dans un projet aux conséquences incertaines ne convaincra pas beaucoup de monde, estime la NASA.
L’autre problème majeur est le temps. Refroidir le magma du Yellowstone pourrait se faire à un rythme d’un mètre par an. Il faudrait donc des dizaines de milliers d’années pour que la roche qui entoure le magma refroidisse et le volcan n’attendra peut-être pas. Mais Brian Wilcox reste optimiste. Si la communauté scientifique travaille de concert, des solutions pourraient être trouvées pour éviter cette catastrophe au moins aussi dangereuse que le crash d’un astéroïde géant.
Une des façons dont la NASA envisage de sauver le monde est de forer à la base du volcan et d’y injecter de l’eau hautement pressurisée, supprimant la chaleur dans la chambre magmatique. Cependant, Wilcox a déclaré qu’il y a de fortes chances que la tentative ne soit pas couronnée de succès et qu’elle finisse par une catastrophe.
La NASA envisage de sauver des personnes de ce que l’on appelle une “éruption super volcanique”comme celles des éruptions les plus étonnantes de l’histoire du monde. Des photographies ont été prises à partir de la lave flottant vers le bas de Kilauea avec des cendres en train de se répandre hors des cratères, en envoyant des panaches de fumée qui s’élèvent à plusieurs milliers de mètres dans le ciel. L’une des éruptions les plus violentes était celle du mont Sakurajima.
Le sol se déforme de plus en plus au centre du parc (le centre de la caldéra)
Le réchauffement climatique est annoncé depuis plus de 30 ans par les scientifiques, qui s’en veulent de l’avoir sous-estimé.
De l’élévation du niveau des océans à la montée des événements extrêmes, les bouleversements du dérèglement climatique sont annoncés depuis longtemps, soulignent les chercheurs. Ils admettent cependant avoir pu parfois en sous-estimer l’ampleur.
«Il y a un côté assez triste de voir se dérouler dans le monde réel ce que la physique du climat nous a appris depuis des années», a indiqué à Incheon la climatologue Valerie Masson Delmotte, qui copréside la réunion en cours entre le groupe des experts du climat de l’ONU (GIEC) et les gouvernements. «Malheureusement, tout ou presque était dit il y a 30 ans», souligne Jean Jouzel, longtemps vice-président du GIEC. «Ce réchauffement marqué sur lequel se superpose une recrudescence d’événements extrêmes, c’est ce que l’on vit aujourd’hui!».
«Les choses que les scientifiques avaient promises pour le futur sont en train de se produire», ajoute Jennifer Morgan, la directrice de Greenpeace International. «On pensait avoir plus de temps, mais non.»
Politiciens pointés du doigt
Le climatologue Jean-Pascal Ypersele cite le rapport «Une seule planète», préparé en 1972 pour la première conférence de l’ONU sur l’environnement humain. Le document parlait d’«effets globaux et catastrophiques» d’une possible augmentation de 2 degrés de la température du fait des émissions de CO2.
«Ceux qui ont sous-estimé la sévérité du changement climatique sont plutôt la plupart des dirigeants politiques, qui ont si peu agi pendant tant d’années», poursuit le scientifique belge. Il y voit deux raisons: «Le manque d’intérêt pour les questions à long terme, et les efforts des lobbies des industries des énergies fossiles pour instiller le doute dans les analyses sur le changement climatique et ses solutions».
Les scientifiques admettent aussi avoir souvent penché du côté de la prudence. Pour Michael Mann, de la Pennsylvania State University, «les modèles de projections ont été exagérément conservateurs, avec une tendance à sous-prévoir les impacts en cours, dont la perte de banquise en Arctique, de glace au Groenland ou en Antarctique ouest, et donc la montée des mers en résultant».
Le système «des études scientifiques, qui font l’objet de revue par les pairs, est hautement conservateur», ajoute le climatologue Peter Frumhoff, aujourd’hui à l’ONG Union of concerned scientists. «Et puis, il y a une tradition culturelle en sciences et surtout en science du climat, qui veut ne pas être trop alarmiste».
L’une des plus grandes cantatrices de tous les temps,Montserrat Caballe, qui a eu 85 ans en avril, souffrait de problèmes de santé depuis des années après son AVC en 2012.
Selon l’hôpital , la légendaire chanteuse d’opéra Montserrat Caballe est décédée à l’âge de 85 ans à Barcelone.
En septembre, le journal Vanguardia a annoncé que Caballe était soigné dans une clinique de Barcelone.
Votre humble serviteur qui aimait beaucoup écouter cette grande artiste ,a choisi une des oeuvres maîtresses de la grande dame:il s’agit de son interprétation de Barcelona qu’elle interpréta avec le grand Freddy Mercury…il y a de cela 20 ans! (comme le temps passe vite,mon dieu!)
Ses funérailles auront lieu lundi au salon funéraire des Corts.
La soprano emblématique a eu des problèmes de santé ces dernières années. En 2012, la diva espagnole a été victime d’un accident vasculaire cérébral en Russie, ce qui lui a provoqué des vertiges et une chute, entraînant une rupture de l’humérus.
Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a exprimé ses condoléances à la suite de la mort du trésor national espagnol, louant Caballe comme « la grande ambassadrice de notre pays » et « l’opéra soprano de renommée internationale ». « Montserrat Caballe, sa voix et votre douceur resteront avec nous pour toujours. »
Le président catalan Quim Torra a quant à lui promis de rendre un hommage posthume à «l’une des voix les plus significatives du XXe siècle».
Caballe était considérée comme l’une des plus grandes stars de la scène internationale de l’opéra. Elle a fait ses débuts professionnels en 1956 et a acquis une renommée internationale en 1965, lorsqu’elle a remplacé Marilyn Horne, malade, pour un rôle-titre dans Lucrezia Borgia de Donizetti lors d’un spectacle à Carnegie Hall. Caballe faisait également partie d’un duo célèbre avec sa fille, la chanteuse d’opéra espagnole Montserrat Marti.
Caballe a chanté dans une pléthore de rôles, y compris dans des opéras italiens classiques de Rossini, Bellini et Donizetti, et était probablement mieux connue pour sa technique exceptionnelle de chant du Bel Canto. Barcelone , un duo à succès avec Freddie Mercury, présenté aux Jeux olympiques d’été de 1992, a été l’ un des faits saillants de sa carrière au cours des six dernières décennies .
Montserrat Caballé et Marilyn Horne en concert interprétant le duo « Belle Nuit », aussi connu comme Barcarolle tiré de Les Contes d’Hoffmann par Offenbach. Munich, 1990
Duo entièrement lyrique cette fois-ci, entre les deux plus belles voix de l’époque. Munich, 1990, sublime robe émeraude scintillante pour l’une, parure noire et argent toute aussi étincelante pour l’autre, les deux cantatrices entrent sur scène main dans la main. Elles interprètent Belle Nuit, morceau extrait de l’opéra Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach. Sous les applaudissements du public, Marilyn Horne – très détendue – glisse une petite phrase «Dieses stück können sie bestimmt» (Vous connaissez certainement ce morceau). L’auditoire est amusé, Caballé glousse aussi et fait rire aux éclats salle et orchestre. Alors que l’orchestre commence à jouer, les deux cantatrices continuent de rigoler. Une complicité qui atteint son paroxysme dès les premières vocalises. La mezzo-soprano américaine et la soprano espagnole terminent leur prestation comme elles l’avaient commencée, tout en sourire. Les deux monstres sacrés s’étaient déjà retrouvés en 1980 lors du festival d’Aix-en-Provence pour interpréter La Semiramide de Rossini.
Une autre grande artiste vient de nous quitter…je suis triste!
«La Superba», c’était le surnom de Montserrat Caballé. Pendant deux décennies, la soprano a régné sur le monde de l’art lyrique. Elle possédait tous les attributs de la diva: une fabuleuse technique et cette aura magique qui savait capter le public. Une magie qu’elle nous lègue généreusement dans une discographie pléthorique et des instants de scène éternels.
● La première de Montserrat Caballé dans l’amphithéâtre millénaire d’Orange avec Trouvère de Verdi, en 1972
L’une des plus belles scènes au monde pour celle qui deviendra la reine de l’opéra. Pour sa première aux Chorégies d’Orange en 1972, la cantatrice interprète Trouvère de Verdi. Une prestation sublime dans l’amphithéâtre romain d’Orange qui accueille chaque année le plus vieux festival d’art lyrique et symphonique de France, créé en 1869. Elle reviendra en 1974 (voir ci-dessous) dans le théâtre antique de la «Cité des princes» qualifié de magique par les interprètes et le public.
● Le soir où Éole s’est incliné devant Montserrat Caballé (Chorégies d’Orange, 1974)
Montserrat Caballé revient aux Chorégies d’Orange en 1974 pour chanter Bellini. Ce soir d’été 1974, le mistral souffle à décorner les bœufs sur le théâtre antique. Montserrat Caballé entame Casta diva. Le vent ajoute sa poésie à un moment suspendu. Ce soir-là, le dieu Éole s’est accordé à la voix de la cantatrice pour un moment unique.
Il y a des duos dont on rêve, comme Mozart et les Beatles, Muse et Wagner… Et puis certains se réalisent. Un soir de 1988, à Barcelone, Montserrat Caballé et Freddie Mercury interprètent Barcelona, chanson officielle des Jeux Olympique prévus pour 1992. Une rencontre musicale entre les deux artistes qui débute en 1983. Le chanteur de Queen assiste à une représentation de Verdi: Un Ballo In Mascherainterprété par Montserrat Caballé au Royal Opera House de Londres. La cantatrice, qu’il entend pour la première fois, le marque énormément.
En 1987, alors que la ville catalane le contacte pour écrire la chanson officielle des JO, il sollicite à son tour Montserrat Caballé pour l’interpréter avec lui. Barcelona est née. Hélas, un duo au destin tragique. Huit mois avant le début de la compétition, Freddie Mercury, déjà atteint du virus du sida, meurt d’une pneumonie. La chanson officielle des Jeux Olympiques sera seulement diffusée sur écran géant lors de la cérémonie d’ouverture.
Freddy Mercury et Montserrat Caballe sont certainement deux des plus grands artistes de notre époque!