Troisième Guerre Mondiale en préparation:Après la Syrie et la Libye, la Turquie ouvre un nouveau front anti-russe en Arménie

À la suite des pourparlers à Ankara avec le vice-ministre azerbaïdjanais de la Défense, Ramiz Tahirov, qui est également le chef des forces aériennes de cette république riche en pétrole, le ministre turc de la Défense, Hulusi Akar, a déclaré que l’Arménie « paierait pour ses actions ».
La coalition tripartite Azérie-turco-israélienne, soutenue par l’OTAN,  contre la petite Arménie  se heurtera cependant à la Russie, qui ne tolèrera pas un nouveau conflit sur sa frontière sud.

« Le président turc Recep Tayyip Erdogan est en contact avec son homologue azerbaïdjanais Ilham Aliyev. Le dirigeant turc suit de près les évolutions», a décadré Akar.
«Nous condamnons fermement l’attaque ignoble qui s’est produit dans la région de Tovuz en Azerbaïdjan. La douleur de l’Azerbaïdjan est notre douleur. La mort des militaires de l’armée azerbaïdjanaise ne restera pas sans réponse », a déclaré le chef du ministère turc de la Défense, Hulusi Akar, avertissant de représailles imminentes de la part Turquie.
Selon le site d’information russe Avia-pro, la Turquie semble avoir mobilisé son armée de l’air, surtout ses avions F-16, afin d’intervenir éventuellement dans le conflit entre les deux républiques de l’ex-Union soviétique. Étant donné la supériorité de la Turquie sur les capacités militaires de l’Arménie, il s’agit pour Erevan d’une menace on ne peut plus grave.
« Il est fort probable que la Russie ne souhaite que le rôle du pacificateur pour le moment, et ne souhaite que voir se réconcilier l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Mais au vu de l’animosité et des menaces du gouvernement turc, Ankara, motivé par l’idée nationaliste de créer un nouvel Empire ottoman, souhaiterait alimenter le feu de la discorde à travers des paroles provocatrices », ajoute la source.

Israël avec la Turquie contre la Russie

Des drones israéliens impliqués dans le conflit Arménie/Azerbaïdjan: la Russie passera-t-elle à l’acte pour les contrer? Une chose est sûre : le régime israélien tente, de concert avec les USA, de mettre les bâtons dans les roues de la Russie, d’embraser le flanc sud russe et ce, de concert avec l’OTAN, ne serait-ce que pour compromettre la désormais avérée présence russe au Levant. La raison? La Russie refuse de voir dans ses liens avec Israël autre chose qu’un frein aux sursaut d’une entité belliciste. Durant les quatre jours de conflits sporadiques dans les régions frontalières, la majorité des attaques de l’armée azerbaïdjanaise contre les positions arméniennes ont été menées par des drones et des missiles anti-blindés israéliens, selon des sources arméniennes. Pour une Arménie qui s’apprête à ouvrir l’ambassade d’Israël à Erevan c’est un avertissement. 

 

« Le conflit qui a éclaté la semaine dernière entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan est étroitement lié aux activités d’Israël », dit d’ailleurs le ministre arménien des Affaires étrangères.
La tension entre ces deux voisins du Caucase remonte aux premières années après l’effondrement de l’ex-Union soviétique, les deux réclamant la souveraineté sur la région de Karabakh. N’empêche que rien n’indiquait l’imminence d’une escalade et que celle-ci a presque surpris tout le monde au point de pousser certains analystes à y voir un troisième front anti-russe ouvert par un OTAN/US déjà en pleine activité contre Moscou en Syrie, en Libye. 
De façon traditionnelle, l’Arménie est tout au long de ces années, soutenue par la Russie tandis que l’Azerbaïdjan bénéficie du soutien turc, bien que ni Moscou ni Ankara ne soit jamais intervenu directement, laissant les deux pays régler leurs problèmes via le dialogue. La Russie compte deux bases militaires, Erebuni dans le centre et Gymuri dans le nord-ouest de l’Arménie et ses Mig-29 déployés dans ces bases ont la mission de protéger la sécurité aérienne d’Erevan voire tout l’espace aérien arménien. Mais Moscou n’est jamais intervenu directement dans le conflit de Karabakh pour ne pas blesser la République d’Azerbaïdjan à laquelle elle a d’ailleurs vendu ces dernières années, un nombre considérable d’armements sophistiqués dont les systèmes de défense aérienne S-300 et Buk-M2. Cette nouvelle flambée de violence s’est assortie quelque part par des menaces d’attaques azerbaïdjanaise contre les installations vitales de l’Arménie dont sa centrale nucléaire. Et ce fut là que le rôle d’Israël a été porté au grand jour.
« Les armes israéliennes sont utilisées contre la population civile du pays, ce qui impliquera évidemment certaines mesures. La question est qu’Israël vend à l’Azerbaïdjan des armes meurtrières que l’Azerbaïdjan peut facilement utiliser contre les infrastructures civiles et la population », a ainsi lancé à la presse l’attachée de presse du ministère arménien des Affaires étrangères Anna Naghdalyan. 
Pour les stratèges de l’axe US/OTAN/Israël, il est grand temps que la Russie se sente menacée son propre territoire, au Caucase par exemple, ne serait-ce que pour lâcher la prise en Libye, en Syrie voire en Afghanistan. 
Mais l’implication israélienne dans ce conflit et son synergie avec Ankara, ne risque-t-elle pas de lui coûter chère? Au cours de la semaine du conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, l’armée arménienne a réussi à abattre au moins 15 drones, dont la grande majorité sont israéliens. Parmi les drones israéliens abattus, il y a deux Sky Striker, un Orbiter 3 et un Hermes 900, signe que la DCA russe est bien active et au contraire des assertions de l’armée sioniste en Syrie, elle est bien précise et bien puissante. L’armée arménienne est équipée de missiles Iskander et de chasseurs Su-30 russes, soit des armements que la Russie possède en Syrie et qui par considérations pour Israël, elle s’est refusée d’employer. Certains milieux évoquent les mesures que l’Arménie adoptera contre Israël dans les prochains jours et n’excluent pas que la Russie vienne au secours de l’Arménie. Après tout Erevan a envoyé ses forces spéciales en Syrie appuyer les Arméniens syriens d’Alep. La grande surprise pour Israël pourrait être « russe » et elle pourrait non pas venir de l’Arménie mais bien de la Syrie. Le S-400 en Syrie n’attend que tirer.
Source : Presstv

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Un bref aperçu des récents développements en Libye:

Les avions de transport militaire turcs ont intensifié leurs vols vers la base aérienne d’al-Watiyah. Au moins 4 vols ont été effectués au cours des derniers jours;
     Le GNA basé à Tripoli a envoyé de nouveaux renforts en première ligne à l’ouest de Syrte;
     Le porte-parole de la salle d’opération de Syrtefra du GNA a annoncé que le GNA se prépare à une avance sur les deux villes;
     Les tensions au sein des factions de l’ANL se poursuivent dans la région d’al-Brega. La brigade Al Saiqa exige la libération de ses membres détenus par la police.

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Un bref aperçu des récents développements en Syrie au 20/07

 

Une explosion s’est produite dans la ville d’Al-Qamishli, dans le gouvernorat d’al-Hasakah;
     Une explosion de voiture piégée a tué au moins 3 civils et blessé plusieurs autres dans la ville de Sajo, au nord de la ville d’Azaz;
     Un engin explosif improvisé a explosé dans un centre électoral de la ville de Busr Al-Harir dans le gouvernorat de Daraa;
     L’artillerie de l’armée arabe syrienne a bombardé des positions militantes près du village de Tal Wasit dans le gouvernorat de Hama;
     Selon l’ANHA, deux civils ont été blessés par des tirs d’artillerie turcs dans le district de Qamishli du gouvernorat d’al-Hasakah;
     460 personnes détenues dans le camp d’Al-Hol ont été libérées par les FDS des villes d’Al-Baghuz et de Susah.

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Un bref aperçu de l’évolution récente au Yémen

 

Des avions de combat de la coalition dirigée par l’Arabie saoudite ont effectué 6 frappes aériennes dans la région de Nate;
Des avions de combat de la coalition dirigée par l’Arabie saoudite ont effectué 6 frappes aériennes dans la région de Majzar;
     La salle des opérations des officiers de liaison et de coordination (fidèle à Ansar Allah) a signalé 112 violations du cessez-le-feu à al-Hudaydah au cours des dernières 24 heures;
     Des manifestations en faveur de la déclaration d’autogestion du Sud par le Conseil de transition du Sud ont eu lieu à Mukalla;
     La coalition dirigée par l’Arabie saoudite continue de détenir vingt navires transportant des dérivés du pétrole qui se rendaient au Yémen. Ce blocus contribue à la crise humanitaire au Yémen. 
Source : South Front

Cette photo prise au Yémen parle d’elle-même!

 

 

Moyen Orient:Pluie de missiles et de drones yéménites sur l’Arabie Saoudite

Selon le site web Al-Khabar Al-Yemeni, des militants saoudiens ont déclaré que de puissantes explosions s’étaient produites dans les villes de Khamis Mushait et Abha.
 « Les forces yéménites ont piloté des drones et tiré des missiles balistiques le dimanche 12 juillet 2020, au soir, en direction des villes saoudiennes de Khamis Mushait et Abha », ont rapporté des militants saoudiens sur Twitter.

Des internautes ont qualifié les explosions de puissantes alors que les médias ont prétendu que la DCA saoudienne avait intercepté trois drones dans le ciel de Khamis Mushait.

Le porte-parole des forces de la coalition saoudienne, Turki al-Maliki, a prétendu que l’Arabie saoudite avait intercepté et détruit deux missiles balistiques et plusieurs drones yéménites.

Les sources officielles d’Ansarallah n’ont pas encore réagi à cette nouvelle.
« La base aérienne de King Khalid, qui se situe à Khamis Mushait, a été l’objet des attaques des combattants d’Ansarallah », ont annoncé des militants saoudiens.La base de l’armée de l’air saoudienne King Khalid, qui fait partie de l’une des plus grandes bases militaires saoudiennes, a déjà été attaquée à plusieurs reprises par les combattants d’Ansarallah. La dernière attaque faisait partie d’une vaste opération baptisée la quatrième opération d’équilibrage de dissuasion.
Ansarallah va reconquérir Maarib
Les combattants d’Ansarallah ont été déployés à la périphérie de la province de Maarib, qui se situe à 120 km à l’est de la capitale yéménite Sanaa.

Dimanche, le général Abdullah Yahya al-Hakim, chef du renseignement du ministère de la Défense du gouvernement de salut national yéménite, a déclaré que les forces armées ainsi que toutes les tribus du Yémen, allaient bientôt reconquérir Maarib.
Il a annoncé que les forces armées yéménites se sont déployées aux alentours de Maarib et a mis en garde la coalition saoudienne contre toute offensive contre les installations économiques et pétrolières de la ville.
« Nous sommes en mesure de prendre pour cible toutes les installations pétrolières et économiques des pays agresseurs et de les détruire à un tas de ruines », a-t-il martelé.
Le général al-Hakim a réaffirmé que les forces yéménites avaient fourni une liste des cibles importantes et vitales en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis mais également à Tel-Aviv.
Quant aux succès enregistrés par les forces yéménites en matière de sécurité, il a indiqué que « les forces yéménites se sont infiltrées dans la salle des opérations des pays agresseurs et leurs centres de guerre électronique ».
La libération de la province de Maarib, riche en ressources pétrolières et gazières, revêt une importance toute particulière pour les forces yéménites.

Selon des observateurs politiques, si la province de Maarib tombe, plus aucune zone dans la partie nord du Yémen ne sera occupée par l’Arabie saoudite, ni ses mercenaires affiliés au gouvernement démissionnaire de Mansour Hadi.
Ansarallah sera une force incontestée dans la partie nord du Yémen qui affectera progressivement les équations politiques, sécuritaires et militaires de la péninsule arabique.

Pacte de défense irano-syrien: l’heure de vérité sonne pour Israël
Système de défense antiaérienne Bavar-373

« Qui dit résistance, dit volonté automatique, car la volonté est la condition sine qua non de la résistance. L’axe de la Résistance est entièrement préparé à entrer dans une guerre prolongée dont la dernière en date est la signature d’un accord militaire entre le chef d’état-major des forces armées iraniennes, Mohammad Baqeri, et le ministre syrien de la Guerre, Mohamed Ayoub » a écrit l’analyste Eyhap Choqi cité par Al-Ahed.
« Cet accord prévoit le renforcement de la coopération militaire et sécuritaire entre les forces armées et la poursuite des coordinations. Le général Baqeri, chef d’état-major des forces armées iraniennes, a déclaré que cet accord renforcera notre volonté et notre détermination à coopérer face aux pressions américaines. L’Iran renforcera le système de défense aérienne de la Syrie », a expliqué Eyhap Choqi.

« Bien qu’il ne s’agisse pas du premier accord entre les deux pays, mais étant donné qu’il s’inscrit dans le cadre stratégique de la défense aérienne, il contient un message important », a-t-il poursuivi.
Premier message : la simple signature de cet accord envoie un message important aux États-Unis notamment par rapport à la loi César, car l’une des clauses de cette loi prévoit le retrait de Syrie de ce qu’elle qualifie de milices affiliées à l’Iran tandis que cet accord prévoit des coopérations similaires à celles entre l’Iran et le Venezuela qui subit des sanctions américaines et à la préparation de l’Iran à fournir au Liban ce dont il a besoin si son gouvernement le demande.
Le deuxième message qui est encore plus important que le premier, est que cet accord sur la défense aérienne modifie les règles du conflit, car il contrera les attaques ennemies dans le ciel syrien et créera une dissuasion suffisante, surtout si les systèmes iraniens de défense aérienne Yavar-373 et 3-Khordad y soient déployés.
Troisième message : faire face à la guerre psychologique contre l’axe de la Résistance.
L’accord entre l’Iran et la Syrie rend possible le remplacement du système de défense antimissile russe par les systèmes iraniens de défense aérienne. [1]
Les nouvelles zones de conflits en Syrie constituent des anneaux de la capacité de dissuasion, car premièrement, le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah, a déclaré qu’il ne permettrait pas la famine au Liban. Il a dit avoir créé une nouvelle base pour réponde à la poursuite de l’embargo et les politiques hideux qui visent à mettre dans l’impasse les solutions au Liban ; deuxièmement, l’axe de la Résistance ne se contentera pas d’une riposte. Elle agira de sa propre initiative d’autant plus que l’Iran a brisé les sanctions américaines en envoyant des aides aux pays visés par les sanctions américaines et promettant de répondre à toute attaque.
« Les arrogants ont sans aucun doute reçu ce message, et ceux qui ont compris ces messages ne seront peut-être pas en mesure d’accepter cette nouvelle situation et prendront des mesures creuses et stupides, mais l’axe de la Résistance est prêt à les affronter », a conclu Choghi.
Source : Presstv


NOTES

 1-La Russie a toujours été réticente à l’utilisation, par la Syrie, des défenses aériennes avancées S-300 contre les attaques israéliennes.

 

 

 

Alerte explosion atomique au Yémen: voici le vidéo

 

Récemment un de mes correspondant m’a fait parvenir ce vidéo.

D’après lui,le tout est survenu le 20 mai 2015 sur le dépôt de munitions de la capitale,Sanaa.

Tous les experts qui l’ont vérifié ont soient identifié une explosion atomique moyenne ou…soient identifié une explosion d’une bombe à neutrons.

Qu’en pensez-vous?

 

 


MISE À JOUR du 26 mai 2015 (12h15 ,heure de Montréal)

Selon Jeff Smith,un expert:

Une vidéo reçue en provenance du Yémen, dont on pense qu’elle a été prise le 20 mai 2015, et montre une explosion qui, après analyse par des experts en armes nucléaires, est, avec une très forte probabilité, une bombe à neutrons qui ne pouvait être qu’une attaque israélienne.

Analyse :

  1. Ce n’est pas une bombe conventionnelle de 2000 livres. Elle est beaucoup plus grosse.
  2. C’est soit une très grosse MOAB (Massive Ordnance Air Blast Bomb: bombe de destruction massive par souffle) supérieure à 4 000 lb ou??? Le poids maximum pour un F-15 / 16 est d’environ 2 000 lb par support de lancement de bombe, ce qui rend le déploiement d’un MOAB impossible.
  3. Il apparait qu’il s’agit d’une petite bombe à neutrons. La taille, la couleur, les effets lumineux, la durée de la boule de feu suspendue dans les airs et le très grand champignon atomique, sont les principaux signes qui peuvent nous y faire penser. L’appareil CCD qui a filmé les images s’est mis à « scintiller » (détection des Neutrons) avec des flashs de pixels blancs dans la vidéo. Quand une photo contient des flashs de pixels blancs, c’est parce qu’elle est frappée par des neutrons de l’explosion de la boule de feu nucléaire. Ils surchargent le circuit électronique de la CCD, produisant des éclairs blancs. Si les radiations sont trop élevées, elles brûlent la puce. Il y a eu de gros problèmes avec cela au Japon avec les caméras des robots de Fukushima à cause du niveau très élevé de radiations.
  4. Le transport de la bombe a très probablement été effectué par un F-16 de l’armée israélienne repeint en avion saoudien. Ils ne cachent même plus l’utilisation du nucléaire, ils refusent juste de l’admettre publiquement. Et l’AIEA ne fait rien ou ne dit rien. C’est le crime de guerre par excellence. L’ONU se contente de l’ignorer à moins que les États-Unis, la France ou la GB se plaigne… La Russie et la Chine ne disent rien.
  5. C’est maintenant la deuxième utilisation connue d’armes nucléaires au Yémen par l’Arabie Saoudite…

Post-scriptum

Traduit par Avic – Réseau International

http://www.veteranstoday.com/2015/05/21/358343/

  1. Le champ de la caméra est évalué à environ 6 à 8 km du point d’impact, si l’on se réfère sur le timing de l’onde de choc.
  2. L’Arabie Saoudite ne possède pas de F-16. L’avion censé avoir servi à larguer la bombe au Yémen était un F-16. Les photos et la signature acoustique confirment que le bruit des moteurs provient d’un seul chasseur à réaction de type F-16.

Jeff Smith est un physicien nucléaire et ancien inspecteur de l’AIEA

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:le Pentagone tente de nous faire croire qu’il a perdu la trace de plus de $500 millions en stock d’armes

 

 

 

 

Le Pentagone est incapable de retrouver la trace de matériel militaire donné au Yémen, d’une valeur de plus de 500 millions de dollars. Les officiels U.S craignent que l’armement, les équipements militaires et aéronautiques aient été saisis par des rebelles soutenus par l’Iran ou par Al-Qaïda.

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Le Yémen traversant une période d’agitation politique et son gouvernement ayant volé en éclats, le département américain de la défense n’est plus en mesure de surveiller le bon déroulement des opérations de livraison d’armes légères, de munitions, de lunettes de vision de nuit, de vedettes de patrouille, et autres stocks de guerre. La situation a empiré depuis que les États-Unis ont fermé leur ambassade à Sanaa, la capitale, le mois dernier, et rapatrié la plupart de leurs conseillers militaires.

Ces dernières semaines, les membres du Congrès américain ont tenu des réunions à huis-clos avec des hauts représentants militaires U.S. afin d’obtenir un compte-rendu des opérations de livraison et des pertes de matériel. Les officiels du Pentagone ont affirmé avoir peu d’information à ce sujet et qu’ils ne peuvent peu ou prou empêcher que les armes et l’équipement soient livrés entre de mauvaises mains, à ce stade de l’opération.

« Nous devons assumer que l’opération est complètement compromise et que l’équipement a disparu », dit un assistant au Congrès, qui a préféré conserver l’anonymat en raison de la sensibilité du sujet.

Les officiers militaires U.S. ont refusé de commenter la situation. Un responsable de la défense, s’exprimant sous condition d’anonymat en raison des règles de sécurité édictées par le Pentagone, considère qu’il n’y a jusqu’ici aucune preuve d’un vol ou d’une confiscation des équipements, mais reconnaît qu’ils ont été perdus.

Le Yémen ,jadis un pays magifique,est devenu  un baril de poudre ...entre l'Iran et l'Arabie Saoudite.
Le Yémen ,jadis un pays magifique,est devenu un baril de poudre …entre l’Iran et l’Arabie Saoudite.

 

« Même dans le meilleur scénario imaginable dans un pays instable, nous n’avons jamais une comptabilité exacte de nos équipements à l’issue de leur livraison » dit un officiel de la défense.

Le gouvernement yéménite a été renversé en janvier par les rebelles chiites Houthis, qui reçoivent un soutien d’Iran et sont extrêmement critiques des frappes américaines par drones au Yémen.

Les Houthis se sont emparés de nombreuses bases militaires yéménites dans le Nord du Pays, dont quelques unes à Sanaa, qui abritaient des unités contre-terroristes entraînées par les États-Unis. D’autres bases ont été prises d’assaut par des combattants d’Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique.

Suite à cette disparition d’équipement militaire, le département de la défense a décidé de mettre un terme aux livraisons vers le Yémen. Une cargaison de matériel militaire d’une valeur de 125 millions de dollars, incluant des drones de reconnaissance ScanEagle, des équipements de vol et des jeeps, ne sera donc pas livrée. Cet équipement sera finalement donné à d’autres pays du Moyen-Orient et d’Afrique, d’après des officiels de la défense.

Bien que la perte d’armes et d’équipement délivrés au Yémen est embarrassante, les officiels U.S. estiment qu’il est très improbable que leur utilisation altèrera l’équilibre militaire des pouvoirs en place. Il est estimé que le Yémen est le deuxième pays dans le monde (derrière les États-Unis) où le taux de possession d’armes est le plus élevé, et ses bazars sont bien fournis en armes lourdes. Par ailleurs, le gouvernement américain a restreint son aide létale en armes à feu légères et en munitions et a refusé une demande yéménite de livraison d’avions de combat et de tanks.

Au Yémen et ailleurs, l’administration Obama poursuit une stratégie d’entraînement militaire et de fourniture d’équipements dans le but de réprimer les insurrections et de défaire les réseaux affiliés à Al-Qaïda. Cette stratégie a permis d’éviter jusqu’ici le déploiement de nombreuses forces américaines sur place, mais a aussi entraîné l’apparition de nouveaux défis à relever.

Washington a dépensé 25 milliards de dollars pour recréer puis armer les forces de sécurité irakiennes après l’invasion de 2003 menée par les États-Unis. Cela n’aura pas empêché l’armée irakienne d’être facilement défaite l’année dernière par une multitude de groupes de combattants de l’État Islamique qui ont pris le contrôle de larges parties du territoire, alors même que le président Obama présentait l’année dernière le Yémen comme un exemple de réussite de son approche pour combattre le terrorisme.

 

Pendant que l'industrie américaine de l'armement fait des profits,les cadavres jonchent le sol à Sanaa,au Yémen. Mais cela n'a pas d'importance à Washington,car   ce n'est pas du sang américain ou israélien qui coule.
Pendant que l’industrie américaine de l’armement fait des profits,les cadavres jonchent le sol à Sanaa,au Yémen.
Mais cela n’a pas d’importance à Washington,car ce n’est pas du sang américain ou israélien qui coule.

« L’administration souhaitait vraiment développer cette narration laissant croire que le Yémen était différent de l’Irak, qu’on s’en chargerait avec moins de personnels, avec moins de frais », dit le Républicain texan Mac Thornberry (R-Tex.), président du comité des services armés au Congrès. « Ils tentaient une approche minimaliste car elle devait coller à leur narration… qu’on n’aurait pas une répétition de l’Irak ».

Washington a dépensé plus de 500 millions de dollars en aide militaire pour le Yémen depuis 2007, sous l’égide de programmes des départements d’État et de la Défense. Le Pentagone et la CIA ont également fourni une assistance supplémentaire par le biais de programmes secrets, ce qui rend difficile la comptabilisation globale des dépenses pour le pays.

Les officiels du gouvernement américain disent que la branche d’Al-Qaïda au Yémen constitue une menace plus directe envers les États-Unis qu’aucun autre groupe terroriste. Pour la contrer, l’administration Obama se fie à une combinaison de forces de proximité et de frappes de drones pilotées depuis des bases en dehors du pays.

Dans le cadre de cette stratégie, les militaires états-uniens ont avant tout cherché à façonner et former au sein de la garde républicaine une force militaire yéménite d’élite pour les opérations spéciales, à entraîner les unités contre-terroristes du ministère de l’intérieur, et à améliorer les forces aériennes rudimentaires du Yémen.

Les progrès ont été difficiles. En 2011, l’administration Obama a suspendu son aide contre-terroriste et rapatrié ses conseillers militaires lorsque le président d’alors, Ali Abdullah Saleh, a réprimé les manifestants du printemps arabe. Le programme a repris l’année suivante lorsque Saleh fut remplacé par son vice-président, Abed Rabbo Mansour Hadi, suite à une négociation menée par Washington.

Dans un rapport datant de 2013, le bureau de comptabilité du gouvernement américain trouvait que le programme contre-terroriste déclassifié mené au Yémen était insuffisamment contrôlé et que le Pentagone avait été incapable d’évaluer son impact positif.

Parmi d’autres problèmes, les auditeurs du bureau ont découvert que les Humvees donnés au ministère de l’intérieur yéménite étaient inactifs ou endommagés car le ministère de la défense yéménite avait refusé de partager des pièces détachées de ces véhicules avec celui-ci. Les deux ministères luttent aussi fermement pour l’utilisation des hélicoptères Huey II fournis par Washington, d’après le même rapport.

Un cadre supérieur de l’armée américaine qui a longtemps servi au Yémen dit que les forces locales étaient investies dans leur entraînement et compétents pour utiliser les armes à feu et l’équipement américain, mais que leurs commandants rechignaient à mener des offensives contre Al-Qaïda, pour des raisons politiques.

« Ils pouvaient combattre et étaient assez compétents, mais nous n’avons pu les engager » dans le combat, constate ce même cadre, qui s’exprime sous l’anonymat car il n’est pas autorisé à échanger avec des journalistes.

Toutes les unités yéménites entraînées par les américains ont été commandées ou supervisées par des proches de Saleh, l’ancien président du pays. La plupart ont été progressivement destitués ou mutés suite au départ forcé de Saleh en 2012. Mais les officiels U.S. reconnaissent que quelques unités ont maintenu leur allégeance à Saleh et à sa famille.

D’après un rapport d’investigation publié par un groupe de travail des Nations Unies le mois dernier, le fils de l’ancien président Saleh s’est emparé d’un arsenal d’armes de la garde républicaine après avoir été démis de ses fonctions de commandant d’une unité d’élite il y a deux ans. Les armes ont été transférées dans une base militaire privée en dehors de Sanaa. D’après le rapport, la base serait contrôlée par la famille Saleh.

Les enquêteurs des Nations Unies présument, à partir de documents yéménites qu’ils ont récupéré, que des milliers de fusils d’assaut M-16 manufacturés aux États-Unis faisaient partie du stock volé.

La liste de l’équipement dérobé inclut aussi une douzaine de Humvees, de véhicules Ford et de pistolets Glock, tous fournis dans le passé par le gouvernement U.S. au Yémen. Ahmed Saleh a nié les accusations de vol en août 2014 lors d’une rencontre avec le groupe des Nations Unies, d’après le même rapport.

 

De nombreux officiels américains et yéménites ont accusé les Saleh de conspirer contre les Houthis afin de faire tomber le gouvernement à Sanaa. Suite aux pressions de Washington, les Nations Unies ont imposé en novembre dernier des sanctions financières et des interdictions de déplacement à l’ancien président, ainsi qu’à deux leaders Houthis, comme punition pour avoir déstabilisé le Yémen.

Ali Abdullah Saleh a rejeté les accusations; le mois dernier, il disait au Washington Post dépenser la plupart de son temps à lire et à récupérer des blessures dont il souffre suite à l’attaque du palais présidentiel en 2011.

Des signaux clairs montrent que Saleh et sa famille ont en tête un retour formel au pouvoir. Vendredi dernier, des centaines de personnes se sont rassemblées à Sanaa pour demander des élections présidentielles et une candidature d’Ahmed Saleh.

Bien que l’ambassade américaine dans la capitale reste fermée depuis le mois dernier, une poignée de conseillers militaires U.S. est restée dans les régions Sud du pays, dans des bases contrôlées par des commandants amis des États-Unis(1).

MA  TERRIBLE CONCLUSION POUR AUJOURD’HUI

Je laisse parler les médias du monde.

La nouvelle est toute fraiche, l’Arabie Saoudite,le pays le plus rétrograde au monde ,en ce qui concerne les droits et libertés, vient de lancer une offensive aérienne contre les milices chiites houthis dans différents points du pays. L’Arabie Saoudite  affirme mener cette action conjointement avec les forces émiratis, qataris et koweïtiennes. Une coalition plus large est annoncée pour une éventuelle offensive terrestre regroupant l’Égypte, le Maroc, la Jordanie, le Soudan et le Pakistan.

Pendant ce temps-là,l'Arabie Saoudite prépare une offensive terrestre.
Pendant ce temps-là,l’Arabie Saoudite prépare une offensive terrestre.

Cette action soudaine vient contrarier les plans de l’Iran,une autre dictature terroriste aux mains des Illuminatis et de la haute finance qui soutient partout au Moyen-Orient les armées chiites contre les populations sunnites avec la bénédiction des États-Unis d’Amérique.Le but est simple:diviser pour régner!C’est vieux comme le monde lui-même!

En outre nombreux sont ceux qui s’interrogent sur le pourquoi de cette action si tardive. En effet, il y a quelques mois les milices chiites houthis ne contrôlaient pour ainsi dire presque rien si ce n’est le désert du Nord et il aurait été alors beaucoup plus simple de les stopper …

Ce qui laisse à penser que l’Arabie semble beaucoup plus inquiète de l’effet domino produit par l’offensive chiite à savoir, l’allégeance de nombreux clans sunnites désemparés face aux exactions chiites à des groupes se revendiquant d’Al Qaïda ou pire encore pour l’Arabie de l’Etat Islamique.

Le scénario irako-syrien ayant échappé à l’Arabie saoudite à la faveur de groupes ennemis une autre solution est donc tentée au sud. L’Iran ayant toujours 10 tours d’avance sur une diplomatie saoudienne sous tutelle américaine, tout prête à penser que cette action aboutira à un durcissement du conflit et donc aux mêmes résultats redoutés qu’en Irak et en Syrie.

C’est pourquoi ,quelqu’un quelque part dans un désert reculé entre l’Iraq,la Syrie et le Yémen ,a pris livraison d’un cadeau  de $500 millions en armes diverses pour  permettre à ses mercenaires financés par le Pentagone de pouvoir tenir le coup…aux  frais des payeurs de taxes américains!

Soit…

-Soit que ce que je viens d’écrire ,est une erreur dû au manque flagrant de connaissance de nombreux journalistes d’information en Géopolitique, et ,plus particulièrement des faits se déroulant actuellement au Yemen

-Soit, que vous mentez,vous les médias  et tentez de travestir la réalité et les faits! Ce qui est une honte..!

Voici des communiqués  qui nous montrent une banalisation du meurtre et du mensonge à travers le monde actuel:

COMMUNIQUÉ DE LA MAISON BLANCHE. OBAMA. : Les États-Unis, sans faire partie de la coalition, soutiennent l’opération. Le président Barack Obama a autorisé un soutien en matière de logistique et de renseignement.

[i24 NEWS]:
Soutien américain. Les Etats-Unis se coordonnent étroitement avec l’Arabie saoudite et d’autres alliés arabes dans le cadre de l’opération militaire lancée par ces pays contre les rebelles houthis au Yémen, a annoncé la Maison Blanche dans la nuit de mercredi à jeudi. [http://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/65602-150326-operation-au-yemen-egypte-maroc-et-pakistan-se-joignent-a-la-coalition]

[LEXPRESS.FR]:
A Washington, le président Barack Obama “a autorisé la fourniture d’un soutien en logistique et en renseignement aux opérations militaires menées par le CCG”, le Conseil de coopération du Golfe, a déclaré Bernadette Meehan, porte-parole du Conseil national de sécurité (NSC) de la présidence. [http://www.lexpress.fr/actualite/yemen-une-coalition-de-pays-arabes-au-secours-du-president_1665079.html]

[RADIO-CANADA]:
Les États-Unis, sans faire partie de la coalition, soutiennent l’opération. Le président Barack Obama a autorisé un soutien en matière de logistique et de renseignement, précise un communiqué de la Maison-Blanche. [http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/International/2015/03/25/008-yemen-arabie-saoudite-frappes-coalition-contre-rebelles-houtis.shtml]

Et j’en passe. Dans l’attente d’un erratum ou d’une explication.

L’État Islamique a de belles années devant lui:des années de complots,de meurtres,de pillages,de viols,de destructions etc…surtout  que l’Émir autoproclamé sait qu’il peut compter sur ses meilleurs alliés tels que  l’état sioniste et les USA.

 

 

Le peuple du Yémen n'en veut pas de cette guerre.
Le peuple du Yémen n’en veut pas de cette guerre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(1)Source  : Washington Post

 

 

Nouvelles de l’islam radical et des extrémistes terroristes 1.0

Je reçois beaucoup d’info depuis plusieurs semaines  en provenance de ces pays qui croupissent sous le fardeau  de la  tyrannie des Fous d’Allah.

Voici quelques exemples frappant d’informations reçues:

Cette jeune femme...au Yémen!
Cette jeune femme…au Yémen!

Brûlée vive par son père pour contact avec son fiancé !!!

Un père de famille au Yémen a immolé par le feu sa fille de 15 ans, qu’il soupçonnait d’avoir des contacts avec son fiancé, a annoncé la police yéménite.

L’homme de 35 ans a tué sa fille « en la brûlant vive, sous prétexte qu’elle avait eu des contacts avec son fiancé », a ajouté la police, précisant que le meurtre a eu lieu à Chabaa, un village de la province de Taëz, dans le centre du Yémen.

La dépouille de la fille a été transportée à l’hôpital et le père devrait être poursuivi en justice, selon la police.

Triste!

En Tunisie,on sait reconnaître les politiciens  pourris.
En Tunisie,on sait reconnaître les politiciens pourris…on les isole ,même dans un stade.

Dans un match de soccer , les spectateurs tunisiens ont remarqué un islamiste parmi eux regardez ce qu’ils ont fait  » le laisser seul ».

En Syrie,un mercenaire du groupe Terra Nostra (Al Qaïda) détruit une statue de la Viege Marie,enlevée dans une église chrétienne.