Les marxistes de Black Lives Matter rejouent encore le scénario bien rôdé

 

Kenosha et Jacob Blake, retenez ces noms. Bientôt ils risquent d’être aussi connus que ceux de Minneapolis et de George Floyd. Le même scénario est joué par les marxistes de Black Lives Matter: les policiers blancs, une “victime” noire, des émeutes qui mettent le pays à feu et à sang.

Les voitures brûlés par Black Lives Matter
Les voitures brûlés par Black Lives Matter

Les émeutes ont éclaté après qu’un Noir a reçu plusieurs balles dans le dos alors que la police essayait de l’empêcher de monter dans sa voiture dimanche après-midi. La victime, identifiée comme étant Jacob Blake, âgé de 29 ans, a été transportée par avion à l’hôpital dans un état grave.

La version larmoyante de l’incident, propagée par les médias, affirme que l’homme avait essayé de mettre fin à une dispute entre deux femmes. C’est alors que les policiers l’avaient tasé et lui ont tiré dans le dos. On ne sait rien de la version des policiers.

Pendant deux nuits consécutives, les émeutiers ont retourné la ville de Kenosha, dans le Wisconsin, en incendiant des bâtiments et en affrontant les forces de l’ordre.

Au mépris du couvre-feu de 20 heures, la foule a incendié un magasin de meubles, un bâtiment qui abrite le département correctionnel du Wisconsin et des dizaines de voitures chez un concessionnaire local.

Plus tôt dans la nuit, des manifestants ont affronté la police en tenue antiémeute devant le palais de justice du comté de Kenosha.

Des images mises en ligne ont montré des manifestants en train de jeter des objets, y compris des bouteilles, sur la police qui a utilisé des gaz lacrymogènes pour tenter de disperser la foule.

Les images impressionnantes qui circulent sur les réseaux sociaux montrent des voitures calcinées, des commerces incendiées, ainsi qu’un assaut contre le poste de police local, lorsque les émeutiers allumaient des feux.

Les vidéos des troubles postées sur les réseaux sociaux montrent des manifestants essayant de défoncer des fenêtres du quartier général de la police locale. On y voit un policier tomber au sol après avoir été reçu une brique sur la tête, tandis que les manifestants mettent le feu à des camions et bennes à ordures.

Une photo montre un commerce vandalisé dans la petite ville, et une autre montre une femme debout à côté d’une voiture incendiée tenant un panneau sur lequel on peut lire “Dieu + Loi + Ordre”, avec un drapeau américain et une église visible à l’arrière-plan.

Les protestations ont été déclenchées après qu’une vidéo virale ait montré un policier blanc tirant plusieurs fois dans le dos de Blake alors qu’il cherchait à monter dans son véhicule le dimanche.

Voici d’ailleurs la fameuse vidéo sauvegardée sur notre site:

[videopress bHpMSMnY]

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

LA MENACE COMMUNISTE DE BLACK LIVES MATTER

Aura-t-on le droit à un remake de “l’affaire George Floyd” qui depuis des mois sert de prétexte aux émeutiers gauchistes pour mettre le feu à l’Amérique? Une vidéo mise en ligne dimanche montre des policiers de Kenosha, dans le Wisconsin, en train de tirer sur un homme noir alors qu’il monte dans une voiture.

Les images qui circulent sur les réseaux sociaux montrent deux policiers armés qui suivent un homme alors qu’il se dirige vers une camionnette grise et ouvre la porte du côté conducteur.

L’un des policiers l’attrape alors par l’arrière de son débardeur et semble le descendre à bout portant. On entend des coups de feu, suivis d’un bruit de klaxon de voiture et de cris de badauds.

Le département de la police de Kenosha a déclaré dans un communiqué que les policiers intervenaient sur un incident domestique vers 17h10 alors qu’ils étaient “impliqués dans une fusillade impliquant un policier“.

La victime, identifiée comme étant Jacob Blake, un Noir âgé de 29 ans, a été transportée par avion à l’hôpital dans un état grave.

La version larmoyante de l’incident est déjà propagée par les médias. Un membre de la famille de la victime a déclaré que les enfants de Blake étaient dans le véhicule lorsque les policiers ont tiré.

Les médias rapportent aussi quelques témoignages selon lesquels l’homme avait essayé de mettre fin à une dispute entre deux femmes. Ils ont dit que les flics l’avaient tasé et qu’ils avaient entendu sept coups de feu retentir. On ne sait rien de la version des policiers.

Une foule s’est rassemblée sur le lieu de la fusillade plus tard dimanche et une  émeute rituelle a été déclenché avec des personnes qui ont vandalisé des voitures et cassé des fenêtres.

Le gouverneur gauchiste du Wisconsin, Tony Evers, a fait une déclaration dimanche soir en faveur de la victime et contre la police. “Jacob Blake a été touché de plusieurs balles dans le dos, en plein jour“, a tweeté Evers. “Nous nous joignons à sa famille, ses amis et ses voisins en espérant sincèrement qu’il ne succombera pas à ses blessures.”

Le gouverneur en a profité pour exprimer son allégeance au mouvement Black Lives Matter et a appelé à la responsabilité alors que les troubles commençaient à secouer Kenosha.

Nous sommes aux côtés de tous ceux qui ont réclamé et continuent de réclamer la justice, l’équité et la responsabilité pour les vies noires dans notre pays, comme celles de George Floyd, de Breonna Taylor, de Tony Robinson, de Dontre Hamilton, d’Ernest Lacy et de Sylville Smith“, a-t-il écrit.

Dans les jours à venir, nous ne demanderons que cela aux élus de notre État qui n’ont pas reconnu le racisme dans notre État et notre pays depuis bien trop longtemps“, a-t-il écrit. Une lâche tentative de profiter d’une tragédie pour faire du chantage moral à ses adversaires politiques qui tiennent bon contre l’agenda marxiste du mouvement subversif BLM.


la famille de Jacob Blake appelle à des manifestations pacifiques

Le père de Jacob Blake lors d’une conférence de presse à Kenosha

« Ils ont tiré sur mon fils sept fois, sept fois, comme s’il n’avait pas d’importance », a déclaré le père de Blake, également nommé Jacob Blake. « Mais mon fils compte. C’est un être humain et il compte. »

Le père de la victime, accompagné des avocats de la famille, s’est exprimé mardi sur le drame vécu par la famille et a appelé à des manifestations pacifiques.

Il a ainsi rejoint le gouverneur du Wisconsin, Tony Evers, qui fait l’objet de pressions de la part des républicains pour sa gestion des troubles après la fusillade.

«Nous ne pouvons pas permettre au cycle du racisme systémique et de l’injustice de se poursuivre», a-t-il déclaré. «Nous ne pouvons pas non plus continuer sur cette voie de dégâts et de destruction», a-t-il ajouté.

Un camion municipal a été incendié par les émeutiers la nuit du lundi à mardi

La situation est toujours tendue à Kenosha, qui a connu deux nuits d’affrontements après que la police a tiré plusieurs coups de feu dans le dos de Jacob Blake, un Afro-Américain de 29 ans, qui est actuellement paralysé à partir de la taille.

L’avocat de la famille, Ben Crump, a déclaré mardi qu’il « faudrait un miracle » pour que Jacob Blake, père de six enfants, marche à nouveau.

Un autre avocat de la famille a annoncé qu’une action civile allait être intentée contre le service de police pour la fusillade.

De son côté, la police n’a pas donné de détails sur ce qui s’est passé hormis le fait qu’elle a répondu à un appel faisant état d’un conflit familial.

Pour sa part, le ministère de la Justice du Wisconsin enquête sur les circonstances de la fusillade.

Transporté d’urgence à l’hôpital dimanche, Jacob Blake se trouve dans un état stable après avoir subi une intervention chirurgicale.

Après George Floyd, Jacob Blake

La nouvelle apparente bavure policière est survenue environ trois mois après la mort de George Floyd, un Noir âgé de 46 ans, lors de son arrestation par la police de Minneapolis, provoquant de vastes manifestations contre les violences policières et les discriminations raciales aux États-Unis.

L’incident survenu dimanche a ainsi ravivé des braises encore fumantes. En raison des débordements, un couvre-feu avait été décrété à partir de 20 h pour la nuit de lundi à mardi, à Kenosha, une ville située sur la rive du lac Michigan, à 65 km au sud de Milwaukee.

 

Des bâtiments gouvernementaux, des boutiques et une partie de l’inventaire de concessionnaires automobiles ont été incendiés

Une heure après son entrée en vigueur, peu après la tombée de la nuit, les manifestants – présents en grand nombre – ont été la cible de tirs de gaz lacrymogène. Les policiers ont aussi eu recours aux balles de caoutchouc.

Les protestataires ont répliqué en leur lançant des bouteilles et quelques feux d’artifice. «Pas de justice, pas de paix!» scandaient environ un millier de manifestants rassemblés devant le tribunal.

Un peu plus tard, plusieurs camions de la Garde nationale ont été aperçus près du centre-ville, à proximité du tribunal et du bâtiment de la sûreté publique.

Plusieurs immeubles ont néanmoins été incendiés, particulièrement dans un secteur commercial où la majorité des entrepreneurs sont noirs. Des bâtiments gouvernementaux et des concessionnaires automobiles ont aussi été la proie des flammes.

Au moins un homme a été blessé à la tête.

Des manifestants ont de nouveau confronté les policiers lundi soir.

Des renforts pour la police locale

Les autorités du comté de Kenosha ont indiqué mardi avoir réclamé l’assistance des corps de police fédéraux, comme le US Marshals Service.

«Notre ville a pratiquement été réduite en cendres, immeuble après immeuble», a déploré Zach Rodriguez, un des superviseurs du comté. «Assez, c’est assez.»

Lundi, le gouverneur Tony Evers avait demandé le déploiement de 125 soldats de la Garde nationale afin de soutenir les forces de l’ordre locales. Le démocrate a toutefois dénoncé un recours excessif à la force lors de l’intervention policière de dimanche.

Son adjoint Mandela Barnes, un Afro-Américain, a estimé que le drame n’était «pas un accident […] ni une bavure. C’est une violence ordinaire pour beaucoup d’entre nous».

M. Evers a également décrété pour la semaine prochaine la tenue d’une session parlementaire extraordinaire pour se pencher sur d’éventuelles mesures touchant «la responsabilité et la transparence» des policiers.

Le candidat démocrate se saisit de l’affaire

Le candidat démocrate à l’élection présidentielle, Joe Biden, a pour sa part réclamé «une enquête immédiate, poussée et transparente et que les policiers répondent de leurs actes».

M. Biden a accompagné son message du mot «Assez» sur fond noir.

La police de Kenosha a quant à elle appelé la population à ne pas sauter aux conclusions «jusqu’à ce que l’ensemble des faits soient connus».

Des dizaines de manifestants ont demandé l’arrestation des policiers impliqués dans la fusillade

Une vidéo qui alimente la colère

D’après l’avocat de la famille, Ben Crump, le jeune homme avait tenté précédemment de s’interposer dans une dispute entre deux femmes.

«Alors qu’il s’éloignait pour aller voir ses enfants, la police a tiré à bout portant dans son dos», a affirmé dans un communiqué l’avocat qui représente aussi la famille de George Floyd.

«Les trois fils de M. Blake étaient juste à côté et ont vu la police tirer sur leur père», a-t-il ajouté, précisant qu’ils se trouvaient à moins d’un mètre de lui, dans la voiture familiale. Âgés de 3, 5 et 8 ans, «ils seront traumatisés à vie», selon l’avocat.

Une vidéo filmée par un témoin montre Jacob Blake marcher vers le côté conducteur d’un VUS gris, suivi par deux agents de police pointant leurs armes dans son dos. Sept coups de feu sont entendus lorsque M. Blake, qui semble être non armé, ouvre la portière avant du véhicule.

Les images, tournées avec un téléphone portable, sont vite devenues virales.

On ignore si les officiers ont vu quelque chose à l’intérieur du véhicule qui pourrait expliquer leur geste et si un seul ou les deux policiers ont fait usage de leurs armes.

Les policiers ont été placés en congé administratif le temps de l’enquête, a indiqué lundi le département de la Justice du Wisconsin.

Colère dans le pays

La colère a également gagné d’autres villes américaines. À Minneapolis, où George Floyd a été tué, des manifestants ont brûlé un drapeau américain.

De très nombreuses manifestations ont eu lieu partout dans tous les États-Unis, dans les derniers mois, pour dénoncer la discrimination raciale au sein des forces policières.

Environ 200 personnes, certaines le poing levé, ont aussi défilé à New York en criant le nom de Jacob Blake. Parmi elles, Camilla Spielman, 24 ans, déterminée à ne pas laisser la police «continuer à agir ainsi».

«C’est tellement accablant. Tirer à bout portant dans le dos de quelqu’un qui n’a rien fait du tout. On ne peut pas laisser passer ça», a dénoncé la jeune femme.

Des émeutes ont aussi éclaté à Portland et à Seattle.

 

 

 

État espagnol:la dignité indispensable

 

Marcha de 22 mars

L'Espagne est en marche!
L’Espagne est en marche!

 

 

La rage, le ras-le-bol, l’indignation, mais, aussi, la solidarité, le soutien mutuel et la dignité sont le combustible des « Marches de la Dignité » qui, depuis la fin mars et le début de février, parcourent tout l’Etat espagnol pour arriver demain à Madrid. Face à la spoliation de nos droits et à la soumission politique aux diktats de la « sainte » Troïka, les Marches exigent des emplois et des logements dignes, l’arrêt des coupes et qu’on cesse payer une dette illégitime. Il y a bien assez de motifs pour marcher.

Selon les chiffres du dernier rapport de l’Observatoire de la Réalité Sociale de Caritas, il y a aujourd’hui dans l’Etat espagnol trois millions de personnes qui vivent avec moins de 307 euros par mois, soit deux fois plus qu’en 2007, juste avant le début de la crise. La pauvreté devient sévère et chronique : deux millions de femmes et d’hommes sont au chômage depuis plus de deux ans et 3,5 millions le sont depuis plus d’un an. Selon cet organisme caritatif, sur le total des personnes aidées, une sur trois l’est depuis plus plus de trois ans. Des chiffres effrayants.

Ils nous disent que les mesures actuelles de sortie de crise génèrent de l’emploi. Néanmoins, les données contredisent ces affirmations. Selon les chiffres de l’OCDE, chaque semaine dans l’Etat espagnol entre 2007-2013, 13.000 personnes ont perdu leur emploi ; le taux de destruction d’emploi le plus élevé de toute l’Europe. Un triste record qui s’ajoute à la chute des revenus des ménages : 2.600 euros en moins par personne entre 2008 et 2012, l’une des plus fortes chutes du continent.

Le « tsunami » de la pauvreté, qui ravage nos vies et notre futur, n’a rien de naturel. C’est ce qu’indiquent les chiffres. L’appauvrissement n’est pas le patrimoine d’un pays ou de certains peuples, elle frappe, selon la doctrine sacrée du capital, une classe sociale déterminée. Dans l’Etat espagnol, les 10% les plus pauvres ont vu leurs revenus se réduire de 14% par an entre 2007 et 2010. La moyenne d’appauvrissement de ce secteur en Europe se situe à hauteur de 2% par an. Pendant ce temps, selon l’OCDE, les revenus des 10% les plus riches ont augmenté de 1%. L’Etat espagnol est devenu un pays où la brèche entre les pauvres et les riches est devenue encore plus importante et elle le situe en tête des inégalités en Europe après la Lettonie.

Face à tant d’injustice, les rues devraient être en ébullition. Néanmoins, on nous inocule la peur, le scepticisme, l’apathie. Le nombre de suicides, qu’on veut souvent passer sous silence, augmente. Selon l’Institut de Statistiques, en 2012, les décès pour cause de lésions auto-infligées ont augmenté de 11,3% par rapport à l’année antérieure, dépassant ainsi le chiffre le plus élevé de morts par suicides de 2004 et constituant désormais la première cause externe de mortalité.

C’est pour tout cela que la récupération de la dignité, le « oui, nous pouvons » pour lequel luttent ces gens si indispensables des Marches de la Dignité et tant d’autres, est tellement importante. Révolte ou résignation ; mort ou vie : telle est la question.

Les marcheurs qui arrivent à Madrid de tout l’Etat espagnol et, aussi, de l’étranger, sont le meilleur exemple du fait que face à tant de barbarie il ne reste pas d’autre choix que de se serrer les coudes et de lutter. Ce n’est qu’ainsi que nous aurons la possibilité de gagner.

Esther VIVAS

Source :http://blogs.publico.es/esther-vivas/2014/03/21/la-dignidad-imprescindible/

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La manifestation de Madrid du 22 mars 2014
La manifestation de Madrid du 22 mars 2014

Manifeste des Marches de la dignité 22M

Nous lançons un appel pour la dignité et contre le mépris de l’Etat espagnol, dans la capitale, Madrid, le 22 mars :

  • Non au paiement de la dette
  • Stop aux coupes budgétaires
  • Contre les gouvernements au service de la Troïka [Commission européenne, FMI, Banque centrale européenne]
  • Un travail et un toit, pour toutes et tous.

En 2014, nous sommes confrontés à une situation extrêmement difficile, une situation extrême, une urgence sociale qui exige que nous donnions une réponse collective pour la classe ouvrière, pour les citoyens et citoyennes ainsi que pour le peuple.

Des millions de travailleurs et travailleuses sont au chômage. Disposer des capacités manuelles et intellectuelles et ne pas trouver un emploi décent est humiliant. C’est un gaspillage des talents collectifs de la société, une hypothèque permanente sur leur avenir. Les travailleurs ne méritent pas cette atteinte à leur dignité collective.

Des centaines de milliers de familles ont perdu leurs maisons. Il n’y a rien de plus inhumain que d’expulser une famille de son logement, pour la seule raison de répondre la voracité insatiable de quelques banquiers sans scrupule. Banquiers que les Etats soumis à la Troïka ont alimentés en appauvrissant encore plus les classes laborieuses et les personnes les plus précaires.

Pendant ce temps, le patronat, utilisant le drame du chômage massif, accentue la pression à la baisse des salaires et des conditions de travail des personnes qui disposent encore d’un emploi.

Les travailleurs et travailleuses, en raison de cette situation difficile, ne peuvent même pas s’opposer à leur statut de simples exploité•e•s par le capital. Le système essaie de nous forcer à nous montrer redevables vis-à-vis des employeurs qui sont transformés en bienfaiteurs de la société. Il est temps de répartir le travail et la richesse pour que les travailleuses et les travailleurs puissent se sentir maîtres de leur avenir.

Notre jeunesse ne peut pas se projeter dans l’avenir en raison des politiques actuelles et elle n’a pas d’autre choix que d’aller chercher du travail à l’étranger comme l’ont fait précédemment nos parents et nos grands-parents.

Nous disons NON à un système patriarcal qui nous repousse vers le passé, nous enlevant le droit de disposer de nos corps, nous déniant la capacité de décider si nous voulons ou non être mères, nous poussant à un retour au foyer afin de nous dédier aux soins des enfants.

Nous souffrons des politiques mises en œuvre par le gouvernement du PP [Parti populaire de Mariano Rajoy] sous les diktats de la Troïka, qui aboutissent à l’extorsion des droits et à la paupérisation généralisée de la majorité sociale. Ces politiques sont fondées sur le paiement d’une dette illégitime, qui n’a pas été contractée par les citoyens et citoyennes et qui est le produit de la spéculation bancaire et des excès des différents gouvernements.

Ils privatisent les secteurs rentables, alors qu’ils coupent dans les budgets de la santé, de l’éducation, des aides aux invalides, des transports publics, de l’eau, de l’énergie, des communications, des services sociaux, etc. Tout cela affecte négativement nos droits de citoyens et citoyennes. Les gouvernants et les dominants se moquent de nos aîné•e•s qui subissent une énorme diminution de leur pouvoir d’achat alors qu’ils voient comment leurs épargnes de toute une vie sont extorquées par des arnaques des banques d’affaires et par la diffusion de produits financiers frauduleux.

Le gouvernement du PSOE, avec le soutien du PP, a modifié l’article 135 de la Constitution pour que soit donnée la priorité au paiement de la dette face aux droits et aux besoins des personnes. Ils l’ont justifié en disant que nous avons « vécu au-dessus de nos moyens » et qu’il fallait être plus économes car il était impératif de réduire le déficit. Pourtant, il n’y a eu aucune austérité à l’heure d’injecter des dizaines de milliards d’euros pour « sauver » les banques et les spéculateurs.

Ils profitent de la crise pour réduire nos droits. Ces politiques d’austérité provoquent la souffrance, la pauvreté, la faim et y compris des morts. Et tout cela afin que les banques et les pouvoirs économiques puissent continuer d’obtenir d’importants profits au détriment de nos vies.

Ils nous ont volé la liberté. Le capitalisme est le possesseur des libertés et des droits de la majorité sociale. C’est un système qui cherche exclusivement le bénéfice privé de quelques-uns et nous conduit inexorablement à une catastrophe environnementale et sociale d’une ampleur incalculable.

Pour la grande majorité, cette crise-escropquerie implique un gigantesque drame humain. Mais pour une minorité insignifiante, elle offre la possibilité d’opérer de fructueuses affaires. Quand nous protestons, nous faisons face sans cesse à la même réponse : la répression et la criminalisation du syndicalisme et des mouvements sociaux. Pour combattre cette répression, nous devons continuer à nous défendre et à descendre dans la rue. C’est un système qui a besoin de la répression pour se maintenir en place et qui doit être dépassé par la lutte directe, dans la rue.

La décomposition du régime issu de la Constitution de 1978 [Constitution assurant la transition, avec des éléments de continuité, de la dictature franquiste à ladite démocratie] devient évidente à cause des éléments qui ont présidé à sa naissance – laquelle se fit contre le peuple. Ce régime est rongé par la corruption et n’a aucune légitimité. Les droits et les libertés nous ont été volés pour favoriser les intérêts d’une minorité et pour assurer ses profits. Ces intérêts nous ont conduits à cet état d’exception sociale fondé sur le démantèlement de l’éducation et du système de santé publique, sur la réduction drastique des retraites de nos aînés, sur l’expropriation de nos logements et la fermeture des entreprises accompagnée du licenciement de milliers de travailleuses et travailleurs.

Les différents gouvernements se sont placés hors de la légalité ; ils ont transformé en négoce les droits dont la conquête nous a tant coûté et ils sont partie prenante de la corruption. C’est un fait généralisé mais qui n’est pas indépendant du système économique. Il fait partie de la structure même de cette société et est indispensable à son développement. Aussi bien les corrupteurs qui ceux qui se laissent corrompre font partie de ce système injuste de production et distribution de la richesse.

Nous appelons les peuples à exercer leur souveraineté, en faisant entendre, à partir d’en bas, leur voix. Démocratiquement, afin de construire un processus constituant qui garantisse réellement les libertés démocratiques, le droit de décider et les droits fondamentaux de la personne.

Du point de vue de la Marche de la dignité du 22M, il est important d’organiser une mobilisation unitaire, massive et vigoureuse contre les politiques qui portent atteinte aux droits humains et à la justice sociale.

Une mobilisation contre le paiement de la dette, pour un emploi digne, pour un revenu de base assuré, pour les droits sociaux, pour les libertés démocratiques, contre les coupures budgétaires, contre la répression et la corruption, pour une société d’hommes et de femmes libres. Une mobilisation contre un système, un régime et des gouvernements qui nous agressent et qui ne nous représentent pas.

Dès lors, nous exigeons qu’ils s’en aillent. Que s’en aille gouvernement du PP et aussi tous les gouvernements qui portent atteinte aux droits sociaux fondamentaux, tous les gouvernements qui collaborent avec les politiques de la Troïka.

Dans ce but, nous lançons cet appel, afin de remplir de dignité et de rébellion la capitale de l’Etat espagnol, Madrid, le 22 mars. Ce jour-là arriveront à Madrid des marches en provenance de toutes les régions de la Péninsule et nous demandons aux habitant•e•s de Madrid de descendre dans la rue et de s’insérer dans cette grande mobilisation de la majorité sociale.

Traduction et édition par A l’Encontre.

Source : http://alencontre.org/laune/espagne-manifeste-des-marches-pour-la-dign…

Manifestation monstre du 22 mars 2014,le peuple espagnol a bien signifié sa volonté d'en finir.
Manifestation monstre du 22 mars 2014,le peuple espagnol a bien signifié sa volonté d’en finir.

 

 

Coup d’état militaire en Lybie:un ancien officier de Kadhafi et allié de la CIA au pouvoir

Khalifa Hafter,un agent-double professionnel.
Khalifa Hafter,un agent-double professionnel.

 

La Libye a connu un putsch militaire au matin du vendredi 14 février 2014. Le renversement du pouvoir s’est matérialisé par la suspension du gouvernement et du parlement. Il est conduit par l’armée libyenne sous l’égide de Khalifa Hafter, ancien général des forces terrestres libyennes.

Selon une déclaration faite à ce propos, Khalifa Hafter justifie cette démarche par la nécessité de protéger la population libyenne contre la violence des milices militaires. Il a ajouté que l’armée a été obligée d’intervenir pour éviter à la Libye de perdre ses ressources et de voir sa population décimée.

Il a tenu à préciser que ce mouvement n’est pas un putsch militaire dans le sens traditionnel du terme et que ce n’est pas une voie pour la mise en place d’un pouvoir militaire. Pour le prouver, les chefs de l’armée libyenne vont présenter une feuille de route dont les détails seront connus dans quelques jours après avoir été discuté avec les forces politiques du pays. Les premiers pas de cette feuille de route seront la mise en place d’une instance présidentielle qui devra charger une personne de constituer un gouvernement restreint et temporaire. Une instance de défense nationale, relevant de l’instance présidentielle, sera également créée. Cette instance se chargera de toutes les affaires concernant la défense du territoire libyen et la sûreté intérieure.

Il est également question d’activer les lois transitionnelles pour assurer le respect de la loi. Khalifa Hafter a ajouté que l’espoir était de mise et qu’il est temps de se consacrer au travail et à la construction de la nation libyenne. Pour conclure, la direction générale de l’armée demande au peuple de l’aider dans cette mission en ajoutant qu’ils pouvaient continuer à vivre normalement. Khalifa Hafter a également invité l’ensemble des forces de l’ordre libyennes à rejoindre leurs postes et à aider au sauvetage du pays. Il a conclu en disant que tous les engagements extérieurs et les accords bilatéraux de la Libye seront respectés et qu’il n’est pas question de les remettre en cause.

 

Le chef du gouvernement libyen, Ali Zeidan, a réagi à l’annonce faite par les militaires libyens. Il a déclaré qu’il était hors de question de tolérer le « vol de la révolution », selon ses dires  sur la chaîne Al Alrabiya. Il a également déclaré que les mesures nécessaires seront prises contre Khalifa Hafter en précisant que le gouvernement et le parlement poursuivaient leurs fonctions normalement. Ali Zeidan a également appelé l’armée libyenne à faire preuve de responsabilité.

 

Le général libyen, Khalifa Hafter, ancien allié de la CIA

 

Le général Haftr alors qu'il s'entrainait aux États-Unis d'amérique  avec de l'équipement fournit par la CIA.
Le général Haftr alors qu’il s’entrainait aux États-Unis d’amérique avec de l’équipement fournit par la CIA.

 

L’ex-général à la retraite, Khalifa Haftar, ancien chef d’état-major de l’armée libyenne, ayant conduit aujourd’hui, vendredi 14 février 2014, un putsch militaire, serait un ancien allié de la CIA. Alors que sa cooptation à la tête de l’armée nationale avait été assez controversée et avait suscité la colère des islamistes, Khalifa Haftar déclare aujourd’hui que sa démarche se justifie par « la nécessité de protéger la population libyenne contre la violence des milices militaires ». 

L’ancien général Haftar, fait prisonnier au milieu des années 90, a bénéficie de la clémence des autorités libyennes et a obtenu l’asile politique aux Etats-Unis. Il a ensuite été militairement entraîné par la CIA afin de préparer le renversement de l’ancien président libyen Kadhafi.
La chaîne de télévision CNN décrit l’histoire de cet homme comme « un thriller politique » et note : « Celui qui a d’abord été le confident de Mouammar Kadhafi devient par la suite son ennemi juré. Il a d’abord dirigé un groupe d’exilés libyens qui tentaient de renverser le régime libyen avant d’être exilé dans le secret aux Etats-Unis quand les choses allaient mal ». 

Alors qu’il a été fraîchement nommé chef d’état-major de l’armée libyenne, en 2011, Khalifa Haftar avait déclaré à la télévision locale que « les voisins qui voient la Libye inférieure sont des pays hostiles, y compris la Tunisie, l’Egypte, le Mali, l’Algérie et le Tchad », des pays qu’il considère comme « ennemis ». Il ajoute également qu’en tant que chef de l’armée, « il devra trouver la force en son armée pour faire face à ceux qui perçoivent la Libye comme une nation inférieure ». 

Sources: Business News.com.tn

 

 

Les Illuminati au pouvoir en Iran:un ancien rapport de la SAVAK

Une loge franc maçonne liée aux Illuminati et aux sionistes a orchestré cette prise en main. Cette photo provient de nos nouveaux alliés en Iran.
Une loge franc maçonne liée aux Illuminati et aux sionistes a orchestré cette prise en main.
Cette photo provient de nos nouveaux alliés en Iran.

Pas facile à voir , où manger et de ne pas répéter l’histoire,les mêmes erreurs . Nous recherchons tout ce que nous demandons , en parlant de l’Iran pour s’assurer qu’aucune mesure individuelle non seulement la sagesse ,mais aussi  la connaissance de la situation réelle:la Vérité .

Récemment ,j’ai reçu quelques documents relatifs aux liens réels entre l’organisation de la révolte de l’Ayatolla  Khomény,dans les années ’70 et la naissance rapide d’une loge maçonnique importante,commanditée  par celles  de France et du Royaume Uni.

C’était la première fois que je traduisait un texte de la langue perse  au français,aussi mes nouveaux alliés en Iran m’ont apporté une aide précieuse.Il s’agit d’un rapport en plusieurs parties provenant de la police politique du shah d’Iran,à l’époque .Ce rapport nous éclaire beaucoup sur qui a financé et organisé la révolte de Khomény,depuis  sa retraite en France.Les policiers de la SAVAK le savaient depuis le début,alors pourquoi ont-ils été  largués par la CIA?

Les fondateurs de la Grande Loge de l’Iran 
La Grande Loge de l’Iran  a été fondé par  un franc-maçon  iranien,  Jafar Sharif – Emami ,membre de  la Grande Loge d’Ecosse et en coordination  avec de grandes  loges  de l’Ecosse , la France et l’Allemagne , a été fondée en 1969 . Les Loges écossaises avec 14  membres  ,10 français et 3 dans les loges allemandes  y travaillaient . La cérémonie d’ouverture de cette Loge le 10 Mars 1347 en temps perse  (1 Mars 1969) a été suivie par un grand nombre de grandes  loges européennes et américaine Masvnhay Grandmastrhay , Ecosse , France et Allemagne en tenue . Le nombre de boîtes dans les grandes loges en Iran jusqu’à la fin des années 1970 , avec plus de 5000 membres a atteint 43 .L’ Iran  avait déjà trop de traîtres au sein du régime et les membres de l’opposition dans les loges de la franc-maçonnerie sont rares .

La Loge   » Lumineuse   » de la Grande Loge de l’Iran :
À partir de l’année perse  1343 (1966) avec Syed Jaafar Shryfamamy ,un religieux connu ,et Sayyed Hassan Emami ( leader  de la prière du vendredi ,à Téhéran et membre du Sénat ),la Loge « Lumineuse  » de la Grande Loge de l’Iran fut mise en place .Les loges de France et l’Allemagne l’ont créé .

UN RAPPORT:

*Certaines lettres en ajout sont des codes.

Dans la SAVAK  (police politique de l’empereur d’Iran) un des rapports remis  au Shah d’Iran stipulait  à cet égard:il a été  déclaré  depuis  que .. Adham Luqman  médecin gérontologue  et  membre de la Prière le  vendredi ,était aussi avec  Mmm M. Sharif – Emami était censé être la tête de la  Loge « Lumineuse » de l’Iran .

Les quelques personnes ForumRulesHelp de gauche à droite ;
J. enseignant (ministre d’État , le premier ministre de l’Année 56 )
Sayed Jafar Sharif – Emami – Foi ( Président du Sénat , le premier ministre , 57 ans )
Abdullah Maths – Foi ( Président de l’Assemblée nationale , 57 ans )
Akhund , Syed Hasan Imam – Foi ( chef de prière du vendredi à Téhéran , le président des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat , 57 ans )
A. Généralités Gharehbaghi ​​- Foi ( chef d’état-major des Forces armées de l’armée et a rendu une ordonnance à rendre aux forces , 57 ans )

Y compris les deux loges maçonnique de la Grande Loge d’Ecosse pour une interface directe Khomeini du plan de l’Iran à piller les Juifs , les bahá’ís étaient anglais et origine arabe ;
Mahdavi Kani ayatollah ( Juifs – a plusieurs femme juive dans le Royaume-Uni )
Ayatollah Tabassi ( juif )

Juifs et les Baha’is , y compris une autre ;
Mollah Makarem Shirazi ( Juif – une femme juive dans le Royaume-Uni )
Clerc irakien Seyyed Mahmoud Hashemi Shahroudi
Mollah Hossein Nouri Hamadani
Mollah Mohammad Yazdi
Clerc Bahramani Ali Akbar Hashemi ( Rafsanjani )
Mollah Mohammad ( Mhyaldyn ) Haeri Shirazi
A. clerc Khazali
Taghi Mesbah mollah Mohammad Yazdi
Clerc Sayyed Mohammad Hosseini Beheshti
Clerc , Hojjat ol- Eslam Mehdi Tayb
Hojjat al -Assad régime foi
Mohajerani
Seyyed Hossein Moussavi Khamenei
Clerc Mehdi Karroubi
Mollah Mohammad Khatami
Habibullah musulman Sgravlady
Asad musulman Sgravlady
Syed Ali Naqi ( Kamal ) Fantaisie
Hossein Shariatmadari
les frères Larijani

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*Voici en dessous,la signature de mes nouveaux alliés

Conscience aryenne continue .

Vive l’Iran
soldat et  patrie

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EN CONCLUSION

Une photo vaut mille mots:

Le voici avec un ancient client,Mohammed Khatami lors du forum économique de Davos ,en 2008.
Voici John Kerry,un membre connu de la société secrète Skulls and Bones, avec un ancien client,Mohammed Khatami lors du forum économique de Davos ,en 2008.

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=XEE24bzBGUI

 

 

Ahmadinejad illuminati

 

Ahmadinejad illuminati. 002

 

 

Manifestations et protestations monstres en Ukraine

Le peuple es descendu dans la rue

Les combats ont éclaté dans une rue latérale menant à la Verkhovnaya Rada, ou Parlement, et à proximité de Place de l’Indépendance, qui a été le centre des manifestations.

MOSCOU ,19 janvier 2014 – Un grand rassemblement à Kiev, en Ukraine, qui a été appelé en partie pour protester contre une nouvelle série de lois réprimant les manifestations publiques a dégénéré dimanche quand les hommes encagoulés ont attaqué la police avec des bâtons et ont jeté des pétards et des pavés à eux.

La police a répondu avec des gaz lacrymogènes. En début de soirée, au moins un fourgon de police brûlait sur une rue du centre de la ville, et des témoins dit que les gens avaient été blessés, mais on voit mal comment sévèrement.

La violence semble être le pire dans au moins un mois pour le mouvement de protestation continue en Ukraine, et il signifiait une aggravation de la crise politique dans le pays, l’ancien Etat soviétique le plus peuplé à côté de la Russie.

Les protestations ont commencé en Novembre, après que le gouvernement du président Viktor Ianoukovitch F. a refusé de signer un accord de libre-échange de balayage avec l’Union européenne. Il a négocié plus tard un programme d’aide financière de la Russie.

Dans les discours sur la place, les dirigeants de l’opposition ont dénoncé les participants à la mêlée comme provocateurs et ont dit qu’ils ne représentent pas les aspirations des manifestants pacifiques. Mais les dirigeants étaient également impuissants à arrêter les combats.

A minuit, les rues étaient une scène de chaos total. Ceux qui luttent la police les a frappés avec des longueurs de tuyaux et de bâtons, et les pavés lancés de la taille de ballons de football dans leur milieu. Ils ont envoyé des feux d’artifice qui sifflent et des étincelles dans leurs rangs, et jeté ce qui semblait être des bombes incendiaires, floraison en flammes quand ils ont frappé. La police trébuché en arrière, caressant leurs vêtements comme le feu a brûlé leurs boucliers métalliques.

La police anti-émeute a pulvérisé à partir d’un canon à eau, malgré les températures glaciales. Gazeta.ru, un portail de nouvelles de Russie, a indiqué que 70 policiers ont été blessés et 40 hospitalisés.

La manifestation contre les nouvelles lois adoptées jeudi a attiré des dizaines de milliers de personnes, une petite foule de au sommet du mouvement de protestation en Décembre, mais plus grand que le week-end récentes.Depuis Novembre, les manifestants ont occupé les bâtiments carrés et plusieurs, y compris l’hôtel de ville.

Les manifestants ont dit qu’ils étaient en colère par les lois considérées comme circonscrivant les droits de réunion publique.

Les lois raidis les sanctions pour la mise en place des tentes et des stades dans les espaces publics. Ils ont interdit le port du casque et cagoule, une tactique des militants de l’opposition pour se protéger contre la police, l’identification ou l’arrestation.

Au mépris, de nombreux manifestants ont montré jusqu’à porter bouilloires à l’envers sur la tête.

Les dirigeants du mouvement ont du mal à formuler une réponse à la législation.

Lancer media viewerLes manifestants se sont protégés en lançant des feux d'artifice à la police anti-émeute à Kiev le dimanche.
Lancer media viewerLes manifestants se sont protégés en lançant des feux d’artifice à la police anti-émeute à Kiev le dimanche.

Les manifestants ont dit qu’ils étaient en colère par les lois considérées comme circonscrivant les droits de réunion publique.

Les lois raidis les sanctions pour la mise en place des tentes et des stades dans les espaces publics. Ils ont interdit le port du casque et cagoule, une tactique des militants de l’opposition pour se protéger contre la police, l’identification ou l’arrestation.

Au mépris, de nombreux manifestants ont montré jusqu’à porter des bouilloires à l’envers sur la tête.

Les dirigeants du mouvement ont du mal à formuler une réponse à la législation.

 

Les manifestants armés de bâtons ont essayé de briser le blocus de la police et d'assaut le Parlement ukrainien le dimanche.
Les manifestants armés de bâtons ont essayé de briser le blocus de la police et d’assaut le Parlement ukrainien le dimanche.

Arseniy Iatseniouk P., l’un des principaux organisateurs de la manifestation, a annoncé un plan pour former une ombre Parlement, le gouvernement et Kiev administration de la ville qui fonctionnerait selon les lois d’une Constitution de 2004 que M. Ianoukovitch a modifié illégalement -,a affirmé  un porte-parole de  l’opposition .

Dimanche soir, M. Iatseniouk, parlant de la scène sur la place, a dit qu’il avait reçu un appel de M. Ianoukovitch dit que le gouvernement était prêt à des négociations.

Vitali Klitschko, le leader de Punch, un parti politique, et un ancien champion de boxe poids lourd, dit à la foule qu’il était « annonce une élection présidentielle pression,« si l’opposition parlementaire n’a pas de motifs juridiques pour forcer un vote si M. Ianoukovitch ne pas démissionner.

Cette incapacité des dirigeants à imposer un changement politique en vertu de la Constitution actuelle ou consolider autour d’un chef unique, en dépit de l’appui populaire clair de leur ordre du jour antigouvernementale dans la capitale est devenue une cause immédiate de la violence, le dimanche.

Un chef de file d’un groupe de manifestants qui sont arrivés dans une colonne de voitures, un mouvement appelé Auto Maidan, après le nom de la place, a pris la scène et dit que l’opposition doit choisir un chef, et si elle ne pouvait pas, la foule devrait marcher au Parlement.

M. Iatseniouk a appelé ce discours une provocation à la violence. Mais certains dans la foule a agi de toute façon, se déplaçant vers le Parlement et des affrontements avec des policiers anti-émeute.

Après le début des combats, M. Iatseniouk, parlant de la scène sur la place, a appelé les manifestants à s’abstenir de toute violence et dénonce ceux qui luttent contre la police, disant qu’ils ne représentent pas l’opposition.

Source:New York Time