Time : 23 mn 23 Les métaux courent à l’épuisement et il est temps de s’en inquiéter Si l’or, l’argent, ou encore le fer sont les métaux dont on entend le plus souvent parler, ils sont loin d’être les seuls dont nos économies modernes se sont rendues dépendantes. Loin de servir […]
Étiquette : répartition des richesses
Pour Elon Musk, le revenu universel est nécessaire face aux avancées de la robotique
Le revenu universel s’impose-t-il face à la montée en puissance de l’automatisation ? Oui, d’après le fondateur de SpaceX.
Elon Musk est l’une des principales figures de l’innovation technologique de nos jours, notamment dans le domaine des intelligences artificielles. Pour lui, la révolution est en marche et va inexorablement se poursuivre dans les prochaines années. L’Homme va devoir se résoudre à s’adapter à la vie avec les automates. Si une telle vision a de quoi inquiéter face aux millions d’emplois déjà détruits et à ceux qui doivent encore l’être dans les années à venir, l’ingénieur défend aussi une proposition compensatoire : l’instauration d’un revenu de base.
En effet, selon lui, la solution économique à cette réalité du monde moderne pourrait simplement être de rémunérer les Hommes indépendamment du fait qu’ils aient un travail ou non. Ce système de redistribution des richesses n’est donc rien d’autre quele revenu universel qui fait actuellement débat en France.
Cette position, Elon Musk la défend déjà depuis plusieurs mois, et il l’a encore réitérée cette semaine à l’occasion du Sommet sur la gouvernance mondiale qui s’est tenu du 12 au 14 février 2017 à Dubaï. D’après ses propos repris par fastcompany, les avancées de l’automatisation font « qu’il y aura de moins en moins d’emplois qu’un robot n’arrivera pas à mieux maîtriser ».
Il ne le dit pas avec enthousiasme, mais se veut réaliste : « Je veux être clair. Ce ne sont pas des choses que je souhaite voir arriver. Mais si mon évaluation est correcte, elles vont probablement se produire ».
Que devons-nous faire face une telle réalité ? À ce propos, le fondateur de SpaceX « pense qu’une certaine forme de revenu universel de base va être nécessaire ». Mais cela soulèvera selon lui un autre problème, puisqu’il s’interroge aussi sur le sens que les gens donneront à leur vie s’ils ne sont plus tenus de travailler pour gagner leur vie.
« Cela engendrera un défi beaucoup plus complexe. Comment les gens vont-ils donner un sens à leur vie ? Beaucoup se réalisent à travers leur emploi. Donc, si vous n’avez plus besoin d’un travail pour vivre, quel sens donnerez-vous à votre existence ? Vous sentirez-vous inutile ? C’est un problème beaucoup plus difficile à résoudre », conclut l’homme qui veut envoyer les humains coloniser la planète Mars.
HORS TEXTE
Elon Musk a raison car voici 5 métiers qui vont être remplacé par des robots
Cela fait des décennies que le monde du travail est reconfiguré par l’automatisation. Les robots, de plus en plus sophistiqués, sont plus que jamais capables de remplacer les Hommes dans plusieurs types de métiers.
Un rapport du Forum économique mondial indiquait tout récemment que d’ici 2020, près de 7,1 millions d’emplois pourraient être menacés à cause de la redondance et de l’automatisation.
Si les travaux manuels étaient davantage mis à mal, les métiers dont les tâches sont intellectuelles le sont également de plus en plus, avec de nouveaux types de robots humanoïdes qui sont aujourd’hui plus intelligents que jamais. Les métiers demandant de forts contenus décisionnels, de la créativité et de l’intelligence sociale semblent être ceux qui sont les plus susceptibles de résister à la concurrence des automates.
Voici cinq métiers où les robots pourraient remplacer les Hommes :
Chauffeur / conducteur
Les géants de la technologie ont beaucoup investi dans les voitures autonomes ces dernières années, et les projets dans ce domaine sont aujourd’hui arrivés à maturité. Des entreprises proposent déjà des services de taxi sans pilote. C’est le cas de Uber à Pittsburgh, aux États-Unis ou de nuTonomy à Singapour. Ces dernières comptent d’ailleurs augmenter le nombre de leurs voitures sans pilote dans les prochaines années. NuTonomy espère même se passer de chauffeurs d’ici 2018.
Serveur
Les robots humanoïdes sont maintenant à notre service. En chine, de plus en plus de restaurants font la part belle aux robots-serveurs, et ce, au détriment de la main d’œuvre humaine. Ces robots jouent même déjà dans certains cas le rôle de cuisiniers. Cette tendance pourrait se généraliser dans les années à venir, d’autant plus que des entreprises proposent déjà plusieurs modèles de robots-serveurs à la vente.
Ouvrier magasinier
Charger, transporter ou décharger des marchandises, cela fait un moment que les robots savent bien le faire. Certaines entreprises, dont le géant Amazon ont d’ailleurs progressivement remplacé les ouvriers humains par des robots dans leurs centres de stockage.
Livreur
Le développement fulgurant des drones ne vous a certainement pas échappé. Leur utilisation dans le civil permet à de nombreux services de transport et de livraison de marchandises d’y avoir recours. Amazon est ici aussi l’une des sociétés qui s’activent le plus. Elle teste déjà depuis quelques années l’utilisation des drones pour la livraison à domicile de ses commandes. Il ne va peut-être pas falloir attendre longtemps pour voir les drones-livreurs nous envahir.
Téléconseiller
Beaucoup de téléconseillers aujourd’hui ne sont pas humains. Dans certains cas, comme vous l’avez surement déjà expérimenté, il n’y a pas un interlocuteur humain à l’autre bout de la ligne, mais des enregistrements organisés de sorte à répondre à vos préoccupations de manière précise. Tout ce que vous avez à faire est de suivre des instructions. Ex : « appuyez sur » 1 « pour plus d’informations », etc.
Mais dans les années à venir, il pourrait ne plus s’agir de naviguer entre plusieurs instructions déjà enregistrées, mais plutôt d’échanger directement avec une intelligence artificielle. C’est déjà le cas chez le géant IBM qui a développé un super-ordinateur baptisé Watson pour gérer une partie des standards téléphoniques.
Watson est composé de 2887 processeurs et dispose d’une mémoire de 16 téraoctets. Il est conçu pour gérer des conversations et fournir des réponses d’une précision impressionnante. Le dispositif a déjà été intégré aux services de téléconseillers de plusieurs grandes entreprises dont les banques ANZ (Australie) et Royale du Canada. Il prend en charge une bonne partie des appels reçus.
Voilà bien qui montre que le monde du travail est en constante mutation, ce qui nous amène à penser que ceux qui parlent aujourd’hui de l’instauration d’un revenu universel n’ont peut-être pas tort. Si les robots bossent déjà à la place des Hommes, on pourrait bien payer ces derniers à ne rien faire, non ?
« Abolir le droit à la fortune » : la proposition choc d’un économiste français
Mettre fin à l’enrichissement sans borne serait un pas salutaire face aux défis actuels de notre société. C’est l’idée développée par l’économiste Philippe Richard dans son livre intitulé « Abolir le droit à la fortune ».
Nous vivons dans une société encadrée par une myriade de lois. Pour respecter le vivre ensemble, nos droits et libertés sont bornés par des règles strictes. Mais pour Philippe Richard, docteur en économie et expert socio-économique, « concernant la richesse, il n’existe aucune limite ».
Il y a des sujets qui ne mettront jamais tout le monde d’accord. C’est comme la question du revenu universel qui s’impose désormais comme l’un des piliers de la campagne pour la présidentielle. Interrogé à ce propos par LCI, Olivier Besancenot, pourtant très à gauche, trouve qu’il s’agit « d’une fausse bonne idée ».
Un autre sujet tabou est aujourd’hui très loin de s’inviter dans les débats publics : le droit à l’enrichissement sans limite. La question est d’autant plus actuelle que le nouveau classement Forbes des plus grosses fortunes mondiales, récemment dévoilé, suggère que les 8 personnes les plus riches possèdent plus que la moitié de la population mondiale.
Mais autant être clair, l’idée de limiter le droit à l’enrichissement est aujourd’hui quasi utopique. C’est pourtant ce que prône Philippe Richard dans son livre « Abolir le droit à la fortune ». Pour lui, l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ne suffit pas. Il propose d’instaurer un plafond à deux millions d’euros de patrimoine. Au-delà de ce plafond, les personnes concernées devraient indiquer au fisc ce qu’elles souhaitent garder. Le reste serait confié à un organisme public autonome pour constituer « une sorte de fonds souverains ». Lors d’une interview récemment accordée à RCM, il affirmait que :
« La question n’est pas de se dire que l’on va être tous égaux, gagner tous la même chose. Je suis convaincu qu’il faut stimuler la motivation, mais ne pas aller trop loin. La question n’est pas que cette fortune parte à l’étranger puisqu’elle resterait au sein d’une sorte de fonds souverain. C’est sur la base de la nationalité et non sur les lieux de résidence que serait déterminé le prélèvement. »
Et pour finir, il explique que ce faisant, l’État devrait pouvoir récupérer 1.750 milliards d’euros d’actifs pour « en faire beaucoup de choses ».
La désobéissance civile ,seul et dernier moyen existant pour obtenir la vraie démocratie au Québec

Moi,je parle de constitution de l’État du Québec avec assistance du peuple et des communautés du Québec.
LA PREMIÈRE VRAIE QUESTION
La première vraie question est là; comment une infime minorité réussit à convaincre une immense majorité que l’écart entre riches et pauvres n’est qu’une question parmi tant d’autres et non l’essence même de la corruption de notre démocratie?
Quand avons-nous commencé à accepter le mot « Urgence » accompagné de dix-huit heures d’attente? Le manque de ressources pour nos enfants abandonnés qui finissent dans les rues? Pour nos vieux qui meurent misérablement abandonnés? Quand avons-nous commencé à accepter l’inacceptable? Il n’y a pas de date précise, nous avons tout accepté graduellement. Nous devons donc récupérer notre société graduellement… mais inéluctablement.
Il n’est pas question de mener une guerre aux nantis, mais bien de les forcer à faire leur juste part. On le demande à des étudiants, on peut bien le demander à des banques et pétrolières milliardaires.
Ça ne prend que du courage. Obtenir la vraie démocratie, ça ne s’obtient pas assis, mais debout. Debout, on se parle dans les yeux, assis on ne voit que des culs.
Et se faire traiter de bandit par des bandits devrait être un compliment.
LA SECONDE VRAIE QUESTION
Depuis de nombreuses années qu’on se plaint au Québec , du pouvoir grandissant du crime organisé dans nos institutions politiques,voilà que le 7 avril 2014,nous assistons bouche-bée à l’élection du pire parti politique de l’histoire du Québec.Comment concilier des attitudes si contradictoires?
Poser la question est y répondre:simplement parce que nous nous laissons influencer par ces forces politiques qui nous divisent afin de nous contrôler.
Durant toute la période que le Parti québécois a administré le Québec avec un gouvernement minoritaire,aucun parti politique n’a eu l’idée d’abolir ce parti noyauté par la mafia italienne,les groupes sionistes,les islamistes radicaux et une mafia politicienne qui a développé un savoir-faire pour faire élire un gouvernement par l’achat d’élections « clés en mains ».C’est donc dire que ces deux partis néolibéraux collaborent entre eux,pour se perpétuer et se partager le pouvoir depuis la fin des années ’60.
Il faut désormais comprendre que jamais ces partis politiques ne feront quelque chose de positif pour le peuple et l’environnement naturel autour de nous,car tout ce qu’ils évaluent par rapport à ce même peuple,c’est de pouvoir calculer les moyens pour se faire réélire.
Les néolibéraux se bercent dans l’illusion qu’il est possible de générer de la croissance économique et de la richesse jusqu’à la fin des temps,de façon illimitée et sans retenue.Ceci dit sans évaluer qu’ils sont directement responsable de la mort de leur monde,de leur planète.

LA TROISIÈME VRAIE QUESTION
Le gouvernement de l’espion canado-saoudien de Philippe Couillard entend puiser 2,7 milliards cette année dans l’appareil d’État pour réduire son déficit,ce qui est contraire et mensonger par rapport aux promesses faites durant la dernière campagne électorale.C’est le résultat du dernier étalage de fraudes économiques que nous appelons « budget gouvernemental »,au Québec.
Comme il l’avait annoncé, le ministre des Finances,l’ancien expert financier sorti de l’école d’Obama, Carlos Leitao impose une importante cure minceur à l’appareil d’État québécois, qui doit permettre au gouvernement d’économiser ou de frauder 2,7 milliards de dollars cette année et 2,4 milliards l’an prochain.Comme on le voit,on fait semblant de maintenir en vie l’État-Providence avec toutes les tares commises sous la responsabilité des libéraux (surtout) et des néolibéraux du Parti québécois,pour faire payer le peuple en le responsabilisant des fraudes et des vols commis ,sans parler de la mauvaise gérance de l’économie pendant plus de 50 ans.
La troisième vraie question et la plus importante de toutes concerne la tolérance à se faire dupper,se faire mentir,se faire traiter en esclave et se faire monter en bâteau par la même gang de petits amis : combien de temps le peuple québécois va-t-il prendre avant de sortir de son sommeil comateux et de renverser ce gouvernement contrôlé par le crime organisé?Combien de temps avant de voir arriver le point de non-retour et de marcher sur l’Assemblée Nationale ,comme l’ont fait les peuples fiers de l’Islande,de la Bolivie et tout récemment du nord de la Chine?Faudra-t-il fabriquer nos propres genouillères ,ici même au Québec,pour relancer notre économie?Faudra-t-il attendre que la population de chevreuils,de caribous ,de renards etc soit anéantie par les maniaques de l’industrie pétrolières alliés aux fous dasngereux du gaz de schistes pour commencer à comprendre?Faudra-t-il servir de domestiques aux travailleurs-esclaves chinois qui accompagneront les entreprises multinationales qui s’en viennent vider notre Grand Nord au mépris des droits ancestraux des Premières Nations et de la Nation Métissée du Québec?
Ma troisième question est un avertissement à un peuple qui semble ignoré qu’il est plus que jamais en danger de mort économique,culturelle,linguistique,politique ,sociale et surtout écologique!
Notre défi est donc d’organiser sérieusement la désobéissance civile sans nous faire distraire par les chantres et les clairons des partis politiques dont les députés sont bien assis sur leurs sièges à l’Assemblée Nationale du Québec! Faisons leur sentir qu’ils vivent sur du temps emprunté et que nous sommes à la veille de leur demander des comptes!
Vive le Mouvement Québécois de Désobéissance Civile!
Révolution Nationale en Marche!
Michel Duchaine,
un citoyen du Québec qui rêve à la Liberté!
un simple Diseur de Vérités!