Le Bloc Québécois et la menace communiste venue de l’intérieur

Depuis quelques jours,l’ancien chef du Parti Communiste du Québec et membre de Québec Solidaire,André Parizeau,est devenu officiellement candidat du Bloc Québécois!

Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, est à l’aise avec le passé communiste de l’un de ses candidats à l’investiture dans Ahuntsic-Cartierville, à Montréal.

La Presse canadienne a appris que le Bureau national du Bloc s’est réuni plus tôt cette semaine pour discuter du cas d’André Parizeau, qui était jusqu’à tout récemment chef du Parti communiste du Québec (PCQ)…pendant 21 ans!

André Parizeau, ex-chef du Parti communiste du Québec, a l’intention de se porter candidat bloquiste dans Ahunstic-Cartierville.

Et Yves-François Blanchet, le chef du Bloc, n’a aucun problème avec ça.

« Que quelqu’un soit pour plus ou moins d’intervention de l’État, on peut avoir la discussion », a-t-il dit.

En d’autres mots : le Bloc est une coalition. Qu’est-ce que ça fait que quelqu’un soit plus à gauche ou plus à droite ?

VIVE L’EXTRÊME GAUCHE !

Voici ce que j’aimerais rappeler à monsieur Blanchet.

André Parizeau n’a pas été un simple « compagnon de route » du Parti communiste du Québec, un simple partisan, comme de nombreux intellectuels dans les années 1970.

Il a été le chef du Parti !

Pendant 21 ans !

Jusqu’à l’an dernier !

Avec tout ce qu’on sait des régimes communistes ! Les exactions, les camps, la censure, les violations à répétition des droits fondamentaux !

Si ce n’est pas une preuve flagrante d’un sérieux manque de jugement, je ne sais pas ce que c’est…

Et le chef du Bloc n’a aucun problème à ce qu’André Parizeau représente le Bloc ? Ben coudonc.

Question quiz de la semaine : monsieur Blanchet accepterait-il que l’ex-chef du Parti fasciste du Québec brigue une candidature au Bloc ?

Certainement pas ! Le Parti fasciste, voyons, ça n’a aucun sens !

L’extrême droite ? Jamais !

Mais l’extrême gauche, pas de problème, venez, on vous ouvre tout grand les bras…

LES COCOS

Voici des extraits du programme du Parti communiste du Québec (attachez votre tuque avec de la broche).

  • Nationalisation de toutes les banques.
  • Mise sous tutelle gouvernementale de toutes les Caisses populaires.
  • Fermeture de toutes les banques américaines sur le territoire du Québec.
  • Nationalisation des secteurs de l’énergie, de la santé et de l’éducation.
  • Adoption de lois qui faciliteront la syndicalisation.
  • Signature d’ententes économiques
  • avec des pays progressistes afin de nous libérer de notre dépendance face au marché états-unien.
  • Nationalisation du secteur des communications.
  • Nationalisation des entreprises œuvrant dans la haute technologie.
  • Mise sous contrôle étatique de la presse.
  • Le gouvernement du Québec utilisera les médias pour procéder à une vaste campagne d’éducation citoyenne.

L’ÉTAT PARTOUT

  • Le gouvernement octroiera des prêts sans intérêt aux travailleurs pour les aider à racheter leurs entreprises des mains des propriétaires.
  • Le gouvernement possédera la majorité des voix dans les conseils d’administration de ces entreprises.
  • Rehaussement du niveau des taxations des entreprises.
  • Les entreprises seront dirigées par un comité de gestion composé à 30 % (minimum) de travailleurs.
  • Les cadres et les contremaîtres seront élus par les travailleurs eux-mêmes.
  • L’État élaborera un plan destiné à coordonner toute la production de biens et services au Québec.
  • Tous les avocats seront payés par l’État.
  • Ce ne seront plus des juges qui siégeront sur les tribunaux de première instance, mais de simples citoyens.
  • Les policiers n’auront plus le droit de porter des armes à feu.
  • Les escouades antiémeutes seront dissoutes.

Etc., etc.

Michel Gauthier, ancien chef du Bloc québécois qui a joint les rangs du Parti conservateur du Canada l’an dernier, affirme ne plus reconnaître son ancienne formation.
«Il n’y a rien de commun entre le Bloc aujourd’hui et le parti que j’ai dirigé», a-t-il indiqué, samedi,le 27 avril 2019i, alors qu’il prenait la parole, à Victoriaville, au congrès général de l’aile québécoise du Parti conservateur du Canada.

 

DIGNE DU PARTI RHINOCÉROS

André Parizeau a défendu ce programme surréaliste pendant 21 ans.

L’an dernier, il le défendait encore !

Et il pourrait devenir député du   Bloc à Ottawa ?


EN COMPLÉMENT

Québec Solidaire est né grâce au Parti communiste du Québec et du Parti Communiste du Canada

André Parizeau,alors qu’il était le chef du Parti Communiste du Québec

Le Parti communiste du Québec (PCQ) a participé à la fondation de Québec solidaire (QS). C’est du moins ce que le chef du PCQ, André Parizeau, a déclaré sur les ondes de la station Radio X. M. Parizeau est allé plus loin : « J’oserais même dire […] que sans notre présence […] ce projet-là n’aurait jamais vu le jour au départ […] ».

Les explications de M. Parizeau sur l’histoire des relations entre QS et le PCQ étaient un peu floues, mais en gros, c’est en 2008 que son parti s’est fait reconnaître comme collectif au sein de QS, qu’il a finalement quitté en 2014. M. Parizeau a admis qu’ils étaient plusieurs chez les solidaristes à penser que la présence du PCQ pouvait nuire à leur formation, ajoutant à ce sujet qu’il existait, de 2008 à 2014, un rapport amour-haine entre les deux partis.

Rappelons que le père d’Amir Khadir était un dirigeant du Parti communiste du Canada et qu’il a aidé à l’organisation  de la naissance de Québec Solidaire en apportant beaucoup de matériel provenant du Parti Communiste du Canada.

Nous pouvons apercevoir la silhouette du père d’Amir Khadir devant la boutique Le marcheur,dans le comté de Mercier,en décembre 2010. QS se faisait de la publicité sur le dos d’une entreprise familiale québécoise française parce qu’il y avaiot quelques souliers importés d’Israel sur les étagères.


Le dossier noir de Québec solidaire

 

Voici la ou les sources de cet article : L’Encyclopédie canadienneDossierQSFacebook, Point de bascule n° 1n° 2n° 3 et n° 4Presse gaucheYoutubeWikipédia et Marxists Internet Archive/Voici la source de la photo : Domaine public

Faut-il le rappeler ? C’est en URSS qu’a été légalisé pour la première fois dans l’époque moderne en 1920 l’avortement. C’est le marxisme culturel qui a répandu la théorie du genre dans bien des pays dont le Brésil. — CQV

Saviez-vous qu’un ex-coordonnateur d’Amir Khadir était une connaissance de Pol Pot ? Première partie de ce dossier.

Québec solidaire (QS) n’a plus besoin de présentation. Au départ populaire principalement à l’est du boulevard Saint-Laurent, l’organisation a réussi à soutirer 10 sièges aux dernières élections provinciales, dont un à Sherbrooke, un ancien fief de l’ex-Premier ministre libéral, Jean Charest.

Dépeint par plusieurs comme appartenant à l’extrême gauche, le parti de Manon Massé a déjà dû se défendre d’être associé aux antifas. Car si QS fait figure de modèle politique pour les maximalistes québécois, c’est parce qu’il a été bâti en grande partie sur le socle du communisme.

L’alliance des rouges

Québec solidaire est né en 2006 d’une fusion entre l’Union des forces progressistes et Option citoyenne. Dès le début, le parti accepta dans ses rangs des « collectifs » aux noms évocateurs : Gauche socialiste, Socialisme international, Masse critique, Parti communiste du Québec (PCQ), pour ne nommer que ceux-là.

De ces collectifs, c’est certainement le Parti communiste qui était le plus organisé. Sur son site, la formation avait très bien annoncé ses couleurs : « Tous les membres du PCQ sont également membres de Québec solidaire », était-il écrit à une certaine époque. Sur les ondes de Radio X, l’ex-chef du PCQ, André Parizeau, avait déclaré en septembre dernier que sans la présence de son ancien parti, « ce projet-là [la fondation de Québec solidaire] n’aurait jamais vu le jour au départ […] ».

M. Parizeau s’était d’ailleurs présenté sous la bannière de QS aux élections de 2007 et de 2008, de même que Francis Gagnon-Bergmann, un autre membre et ex-chef du PCQ.

Des militants fanatiques

Cet engouement pour la doctrine marxiste ne s’est pas évanoui avec le temps. En 2007, une autre ex-vedette de QS, Françoise David, était intervenue dans un atelier organisé dans le cadre d’un colloque appelé Marxism — A Festival of Resistance, qui avait eu lieu en Ontario.

En juin 2015, ce fut au tour d’Amir Khadir de participer à une conférence intitulée Bâtir une alternative politique à l’austérité : l’expérience de la gauche européenne. M. Khadir s’y était présenté en compagnie de délégués des partis d’extrême gauche européens Syriza, de la Grèce, Podemos, de l’Espagne et Die Linke, de l’Allemagne.

C’était le même Amir Khadir qui, au 6e congrès de la formation, s’était rendu compte à quel point les militants anti-capitalistes de son parti siégeaient « à gauche de la gauche ». Au micro, l’ex-député solidaire avait déclaré qu’il fallait « certes dépasser le capitalisme », c’est-à-dire « changer le système », mais que « la nouvelle gauche dont nous sommes issus se distingue quand même de la gauche radicale ». Il avait ajouté que l’erreur, pour QS, serait de proposer au peuple québécois, comme solution de rechange au capitalisme, « un système trop rigide ».

Le discours avait laissé de nombreux militants perplexes, dont plusieurs s’étaient ensuite mis à entonner le chant révolutionnaire L’Internationale, le même que chantaient les bolcheviks durant la révolution russe de 1917.

Une connaissance de Pol Pot

Roger Rashi n’est pas un nom qui vient à l’esprit de bien des Québécois. M. Rashi a été membre du comité de coordination de Québec solidaire dans la circonscription de Mercier, soit celle d’Amir Kadir, de décembre 2008 à octobre 2015. Mais ce que peu de gens savent, c’est qu’il a eu l’insigne honneur de serrer la main du diable. Ce diable, c’est le dictateur sanguinaire Pol Pot, du Cambodge, à qui M. Rashi semblait vouer une certaine admiration.

Notre homme s’était rendu au Cambodge en 1979 pour rencontrer le tyran, responsable de la mort de plus d’un million et demi de personnes. On peut le voir sur une photographie en compagnie de son idole des Khmers rouges. Aujourd’hui encore, Roger Rashi milite pour sa formation-coqueluche, Québec solidaire. À preuve, les nombreux billets et partages sur sa page Facebook en rapport avec le parti de Manon Massé. C’est peu dire que le soir du 1er octobre dernier, il jubilait.

 


SECONDE PARTIE DE L’ARTICLE

Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé

 

 

Voici la ou les sources de cette partie de l’ article : Point de bascule n°1n°2n°3 , n°4n°5n°6 et n°7, Le Point, France 24Québec solidaireWikipediaFacebookTimes of IsraelGouvernement du Canada,NewswireBarbara KayBateau canadien pour Gaza / Voici la source de la photo (rognée) : Asclepias, yanik_crepeau et Judicieux, WikimediaCC BY-SA 3.0

Le sujet de l’article ci-dessous est :

1) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun.

Or, pour comprendre pourquoi le christianisme est la seule vraie religion, il faut comprendre en quoi les autres sont fausses. — A. H.

En plus d’être un parti d’extrême gauche, QS cède à la complaisance à l’égard de l’islamisme. Deuxième partie de ce dossier.

Nul doute que l’attitude des partis de gauche à l’égard des cultures étrangères, en particulier envers l’islam, est marquée par l’empathie. Québec solidaire (QS) ne fait pas exception à cette règle, et les premiers signes de cette manifestation d’empathie sont apparus l’année suivant sa fondation, soit en 2007.

Cette année-là, l’ex-porte-parole de QS, Françoise David, avait participé, à Toronto, à un colloque appelé Marxism – A Festival of Resistance, organisé dans le but de renforcer l’alliance entre l’extrême gauche et les milieux islamistes. Une fratrie d’intégristes avait été invitée à cet événement à titre de conférenciers, parmi lesquels Zafar Bangash, un grand supporter de la révolution islamiste en Iran. Bangash souhaite d’ailleurs que ce type de révolution se propage dans tous les pays, dont le Canada.

QS côtoie des groupes islamistes

Au printemps 2011, lorsque les premières notes de la révolution syrienne se faisaient entendre, Québec solidaire avait pris fait et cause pour le Conseil national syrien (CNS). Un choix curieux, puisque le CNS a été noyauté par les tristement célèbres Frères musulmans. Selon le journal Le Point, « près d’un tiers des membres du CNS sont des islamistes, Frères musulmans syriens ou anciens de la confrérie ». Un autre média, France 24, cite un activiste syrien selon lequel les Frères étaient plutôt majoritaires au sein du CNS.

Cet appui aux Frères musulmans était-il délibéré ? Peut-être pas, mais toujours est-il que le 6 octobre 2012, Manon Massé et un député du Bloc québécois, Richard Nadeau, ont participé à la projection du film Sous les yeux de la Palestine, un événement organisé par Islamic Relief Canada, en collaboration avec Human Concern International, l’Association des étudiants musulmans de l’Université de Montréal et la Muslim Students Association (MSA).

Il est possible que les deux personnalités politiques n’aient pas été mises au courant que les bureaux de Human Concern avaient été fermés à la demande du gouvernement canadien à la fin des années 90 parce que l’organisme était accusé d’être un paravent d’Al-Qaida, ce qu’avait avoué Oussama ben Laden lui-même. À l’époque, le chef du bureau pakistanais de Human Concern était Ahmed Said Khadr, un des hauts gradés d’Al-Qaida et père d’Omar Khadr, qui a obtenu 10,5 millions du fédéral à titre de compensation pour avoir été interné à Guantanamo.

Islamic Relief Canada a été récemment accusé par certains pays d’entretenir des liens avec le terrorisme.

Un bateau pour des islamistes

En mai 2010, Manon Massé représentait Québec solidaire au sein d’une délégation de 17 Québécois qui voulaient tenter de sauver les Palestiniens victimes de la « persécution » israélienne*. Le communiqué publié pour l’occasion était signé par Mohamed Kamel et Ehab Lotayef. Des deux, c’est le second qui nous intéresse.

Ehab Lotayef était l’un des principaux organisateurs de l’opération Un bateau pour Gaza. Il est aujourd’hui membre du conseil de la Fédération canada-arabe (FCA), créée en 1967 pour représenter les intérêts des Canadiens d’origine arabe. En 2009, le gouvernement Harper avait mis fin au financement attribué à la FCA, accusant ses dirigeants d’avoir appuyé ouvertement deux groupes terroristes, le Hezbollah et le Hamas, et d’avoir tenu des propos antisémites. Omar Alghabra, membre du caucus libéral à Ottawa, a été président de la FCA de 2004 à 2005.

Le 30 juin 2009, Omar Shaban, vice-président de la FCA pour l’ouest du Canada, avait écrit sur sa page Facebook que le Canada était un « État génocidaire […] Il disait avoir honte d’être canadien.

Ehab Lotayef avait une fois lancé un boycottage à l’endroit des librairies Chapters et Indigo en raison du soutien de ses propriétaires, Heather Reisman et Gary Schwartz, à une fondation israélienne. Selon La Presse, Lotayef aurait par ailleurs été impliqué dans une tentative de mettre en place un tribunal de la charia à Montréal. Dans ce projet, il côtoyait l’imam Said Fawaz, un représentant de la Ligue islamique mondiale de l’Arabie saoudite.

Parmi les autres organisateurs du Bateau pour Gaza figurait Elias Hazineh, ex-président de Palestine House. S’adressant au rassemblement annuel de la Journée Al-Quds en août 2013, Elias Hazineh avait tenu des propos incendiaires sur les Israéliens : « Ils [les Israéliens] ne négocient pas. Et nous négocions avec eux depuis 65 ans. Nous disons [donc] : « Sors ou tu es mort ». On leur donne deux minutes et on commence à tirer. Et c’est la seule façon pour eux de comprendre », avait-il violemment déclaré.

Hazineh a été président de la circonscription Mississauga-Erindale sous le député libéral que nous avons cité plus haut, Omar Alghabra.


EN CONCLUSION

Le Bloc québécois est noyauté par le Parti Communiste du Québec et par Québec Solidaire.La dernière a a avoir défendu l’idée de l’indépendance du Québec aura été Martine Ouellet.

Martine Ouellet,la dernière bloquiste indépendantiste

Le simple fait d’être nationaliste de droite  peut vous faire éjecter de ce parti.

On est à des années-lumière du parti fondé par Lucien Bouchard qui lui-même a changé pour s’occuper de la défense de l’oligarchie,des libéraux bien nantis et des compagnies pétrolières.

Pour les vrais défenseurs de l’idée de l’indépendance du Québec,la seule option est devenu la désobéissance civile …totale!

Boycottons cette élection fédérale d’octobre 2019 ou votons pour des candidats indépendants.

En 1993,Lucien Bouchard était le chef du Bloc Québécois…Que de changements depuis ce jour!

 

*Rappelons que Lucien Bouchard est un grand ami de la famille Desmarais,de Sagard…nos Maîtres Illuminati!

 

 

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:L’immigration divise les chefs devant de jeunes électeurs québécois

Économie, immigration, environnement et éducation : les quatre chefs des principaux partis, interrogés par de jeunes électeurs, ont clarifié leur position lors d’un événement organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM), vendredi soir,17 août 2018, moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale arrangée d’avance sous les bons soins des médias contrôlés par de grandes familles financières,au Québec.

Sur un ton majoritairement amical et détendu, les chefs du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, et la coporte-parole de Québec solidaire (QS), Manon Massé ont répondu à 20 questions, sélectionnées parmi celles rédigées par 400 jeunes électeurs.

L’Institut du Nouveau Monde n’aura invité que 4 représentants de partis politiques néolibéraux et sur-médiatisés sur plus de 20 partis politiques inscrits au Québec.Les urnes doivent être prêtes ,bien dissimulées des yeux du public qui croit que voter va leur donner un changement!

Devant 700 personnes, réunies dans un amphithéâtre de l’Université Concordia (le château-fort de la gauche communiste et des Antifa,au Québec), Manon Massé, Jean-François Lisée et François Legault ont notamment confirmé leur volonté de réformer le mode actuel de scrutin, en instaurant une dose de proportionnelle.

Cette « injustice » du système uninominal à un tour doit cesser, a clamé Manon Massé, avant d’être enlacée par le chef de la CAQ, tandis que Jean-François Lisée levait ses deux pouces(un  message maçonnique connu), un grand sourire aux lèvres.

Manon Massé a ensuite invité « les boys » à « convaincre Philippe ». Ce dernier, qui n’est pas partisan de cette initiative , n’a pas bronché.

 


EN COMPLÉMENT

LES DEMANDES ÉTUDIANTES

 

Moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale, les jeunes demandent aux chefs politiques québécois de se positionner sur la rémunération des stages et la santé psychologique de leurs pairs.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ), qui représente 79 000 étudiants dans la province, estime que les chefs des partis doivent prendre des engagements forts dans différents dossiers que les jeunes jugent primordiaux.

En entrevue à RDI matin, il est revenu sur le débat de vendredi soir, organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) et Le Devoir, dans un amphithéâtre de l’Université Concordia.

Le président de l’UEQ s’est dit très satisfait de l’échange qu’ont eu Philippe Couillard, du Parti libéral du Québec (PLQ), François Legault, de la Coalition avenir Québec (CAQ), Jean-François Lisée, du Parti québécois (PQ), et Manon Massé, de Québec solidaire (QS).

Les partis nous ont largement dit que l’éducation devait être la priorité. Maintenant, ça va être le temps de les voir passer de la parole aux actes.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ)
Guillaume Lecorps, président de l'Union étudiante du Québec.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec, plaide pour une rémunération des stages offerts aux étudiants.  Photo : Union étudiante du Québec

Guillaume Lecorps fait notamment référence à la rémunération des stages et à l’offre de meilleurs services aux étudiants dans un souci d’équité. Pour le président de l’organisme, la compensation financière des stages permettrait de « donner un peu de souffle » aux jeunes.

L’autre dossier que l’UEQ veut voir aborder est celui de la santé psychologique étudiante. M. Lecorps se félicite des positions qu’ont prises les quatre chefs.

« Ils semblent vouloir développer une stratégie panquébécoise pour prévenir et combattre les problèmes de santé psychologique des étudiants », a détaillé M. Lecorps avant de citer une étude de l’Université de Montréal qui rapporte qu’un étudiant sur 10 a des idées suicidaires.

Désintérêt des jeunes pour la politique

Depuis le début des années 1980, le taux de participation des jeunes est en déclin constant. M. Lecorps estime qu’il est de la responsabilité des chefs des partis d’intéresser les jeunes aux enjeux électoraux.

Je leur conseille d’écouter la jeunesse et de parler d’enjeux qui sont chers aux étudiants.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ)

 

Un test de français qui divise

Cette bonne humeur a cependant disparu lorsque François Legault a évoqué sa volonté d’instaurer un test de français pour les nouveaux arrivants, notamment les adultes.

Pour le chef de la CAQ, au bout de trois ans, les immigrants doivent « réussir » un tel exercice sous peine de se retrouver « dans une situation illégale ».

Ces propos lui ont valu des sifflets dans la salle, alors que le patron de la CAQ a indiqué qu’il était possible de « négocier » avec le fédéral, seul gouvernement responsable des expulsions.

Un peu plus tard, Philippe Couillard a souligné le « besoin » pour la province d’accueillir de « nouveaux arrivants » afin de pourvoir de nombreux postes. « Il faut aller plus loin dans leur intégration à la société », a-t-il lancé.

« La meilleure façon d’intégrer une personne, ce n’est pas de l’éloigner six mois dans une salle de classe », a-t-il complété, en ajoutant qu’il valait mieux leur offrir un emploi.

Pas de baisse d’impôts pour le PQ

L’éducation a également été au cœur de ce dialogue, où les chefs ne pouvaient se répondre directement.

Jean-François Lisée a promis de ne pas baisser les taxes et les impôts afin de financer le service public, tout comme le système de santé.

« On aimerait ça promettre le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémaillère, mais on ne le fera pas », a-t-il clamé, avec le sourire, en détaillant son vœu d’offrir la gratuité scolaire aux personnes à « revenus modestes ».

Le chef du PQ, qui aimerait des écoles « belles, éclairées et conviviales », a promis qu’en cas de victoire le 1er octobre, il proposera un projet de loi qui interdira de « réduire les budgets de l’éducation en bas de sa progression normale », soit l’inflation, a-t-il précisé.

Questionné sur un thème semblable, François Legault a confirmé son intention d’offrir la maternelle dès 4 ans . Pour l’égalité des chances, a-t-il dit, « on doit agir tôt ».

Pour récupérer du budget, a-t-il insisté, il souhaite « éliminer une partie de la bureaucratie, le gaspillage et les bonis » distribuées dans « certaines sociétés d’État ».

QS défend l’environnement

À plusieurs reprises, Manon Massé a mis en avant la défense primordiale de l’environnement.

Dès son discours d’ouverture, elle a affirmé qu’« on est en train de scrapper notre planète », avant de s’adresser au jeune public. « Et vous êtes ceux qui vont vivre avec ces conséquences », a-t-elle mentionné.

De son côté, Philippe Couillard a défendu le bilan en santé de son équipe en place depuis 2014.

Il a aussi promis une « stratégie étoffée, chiffrée et avec des moyens » pour lutter contre « la pression » subie par les jeunes dans les milieux universitaires.

Un poids démographique important

Ce dialogue a été organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) dans le but de pousser les jeunes électeurs de 18 à 34 ans à aller voter.

Cette catégorie d’âge pourrait jouer un rôle important cette année, puisqu’elle représente plus du quart de la population en âge de voter.

Le taux de participation des 18-34 reste cependant fluctuant et surtout faible, élection après élection.

En 2014, 56 % des 18-24 ans et 60 % des 25-34 ans sont allés voter. Le taux de participation global était de 71 % lors de ces élections remportées par Philippe Couillard.

En 2008, ce taux était de 36 % pour les moins de 24 ans et de 42 % chez les 25-34 ans, avec une participation globale de 57,4 %.

Le Parti vert du Québec en colère

Une vingtaine de militants du Parti vert du Québec ont manifesté mardi soir devant les locaux de l’Université Concordia. Plusieurs pancartes ont été brandies afin de dénoncer leur absence à cet événement, vue comme une « trahison de la démocratie ».

« C’est antidémocratique, a clamé Alex Tyrrell, le chef du parti, âgé de 30 ans. Les trois quarts de nos candidats ont moins de 35 ans, c’est ridicule de nous exclure. Les organisateurs privilégient le statu quo en donnant une tribune à des gens qui sont déjà médiatisés. »

Le Parti Vert du Québec vient d’apprendre que la  pseudo-démocratie au Québec est contrôlée par les médias et la famille Desmarais,entre-autres! 

Des représentants du Parti communiste révolutionnaire étaient également présents.

EN CONCLUSION

Cette élection confirme que si voter pouvait changer quelque chose au Québec (et au Canada) on abolirait immédiatement le droit de voter a tout le monde,car cela menacerait les intérêts  du 1 % et du Nouvel Ordre Mondial.

Au Québec,dernière colonie survivante de l’Empire Britannique,ce Quebec exclu du Rapatriement de la Constitution Canadienne en 1982,,ce Québec envahi et noyé  par l’immigration massive permise par le  franc maçon Justin Trudeau  et ce Québec  endormi par la fausse richesse de l’économie actuelle qui entre en crise,ce Québec que j’aime, semble accepter son sort en mouton qu’on mène a l’abattoir.

Le réveil sera brutal  pour la jeunesse québécoise qui va souffrir pendant des décennies a venir,de se laisser  mentir et manipuler ainsi par les médias corrompus,les 4 partis néolibéraux de l’Assemblée Nationale et ses très Hauts Fonctionnaires nommés a vie.

Peu de gens semblent avoir compris,en 2018 que nous sommes rendus au point de non-retour social,politique et économique prédit par un certain René Lévesque,après le premier référendum.

Non-seulement,la pensée politique du Parti Québécois est lessivée,mais ses chefs actuels applaudissent  les chefs bolchéviques  de Québec Solidaire pour se donner un mini prestige désuet.

Seule va rester la Désobéissance Civile alliée au courage d’un peuple qui va apprendre a se tenir debout pour vaincre,abolir et changer ce système mensonger d’oppression contrôlée!

En 2018,plus de 70 ans après son message lancé,le Manifeste du Refus Global garde tout son sens:

                            « Vous avez pas fini de mourir,bande de caves! »

*Je vous invite a joindre les rangs du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile : lien Facebook 

*Nous  préparons aussi un nouveau parti politique pour prendre le pouvoir quand le système va s’écrouler :lien Facebook de l’Ère Nouvelle du Québec

 

 

Les preuves de la décadence sociale,économique et politique du Canada et du Québec

Depuis son élection…..Justin investit des milliards de dollars pour le bien-être des non-canadiens.

En faisant des cadeaux ($$$$) à toutes sortes de « pays ». Dont le Hamas; un organisation terroriste.
Faut dire que son frérot est très amouraché des palestiniens.

Les médias trouvent ça cool. Et, globalisation oblige; le Canada emprunte, s’endette et donne aux pays étrangers….

Irréaliste mais vrai. Déplorable et inquiétant.

Il n’y a vraiment  rien de drôle ici,car si nous n’agissons pas maintenant,nous serons envahis par tout ces barbares,il faut se prendre en main et montrer à tous que le Québec ne sera jamais à eux car la menace est réelle.Nous devons immédiatement arrêter  cette invasion de ces peuples sans foi ni loi, dont le but ultime étant de faire de la terre …un califat totalitaire qui portera le nom d’Islam.Une totale adhésion a leur secte merdique est en cours par les néolibéralistes de la trempe de Trudeau ,au Canada et de Couillard,l’espion canado-saoudien au Québec.

Et Couillard…dans tout cela:

 

Couillard se sent au dessus de tout et de nous tous !!!!

Je vais faire un commentaire simple. Le premier ministre,à une époque, disait: « Je suis Charlie »!

À une autre époque plus récente… »Allahou Akbar ». Ce qui veut dire: « Dieu est le plus grand ». Tout à fait diamétralement opposé au propos précédent. Opportunisme politique ? Ou une mouvance au service de l’ultra nation; la globalisation….

Islamophobie par ici, islamophobie par là….Il en rajoute.

Il est l’homme le plus intelligent du Québec.

L’intelligence étant une chose, le jugement, la mémoire et l’éthique étant d’autres entités….Je me permets de douter de notre grand calife globalisateur.

Duplessis suintait le catholicisme. On appelait cette époque la grande noirceur. Couillard comme Lisée ( antéchrist péquiste dont je n’ai rien à foutre) se véhicule au même carburant. La polarisation d’un peuple endormi par les médias.

Cette vision est  partagée par tous les partis politiques  néolibéraux du Québec (PLQ,PQ,CAQ et QS).La pensée critique au Québec et la libre pensée serait-elle morte ?
Trudeau père ce fils de richissime du pétrole avait des élans communistes au point d’admirer la Chine de Mao et Cuba de Castro. Il nous a laissé un panier de crabes, la charte des droits charcutée par tout nouvel arrivant car privilégiant l’individu à la société d’accueil. Nous avons maintenant 33 millions de pays différent car le Je, Me Moi à pris le dessus sur le NOUS
-Fernand Trudel

 

L’ado Just-a-teen fait des siennes: il voudrait que le vendredi, il n’y ait plus de séance au parlement, car vendredi, c’est jour de prière, et qu’il n’ y ait qu’une journée de questions par semaine.BRAVO À TRUDEAU! LE CANADA SERA LE cinquante-huitième pays MUSULMAN sur la planète. Il pense que c’est comme la Chrétienneté:DES PAYS OÙ TOUTES LES RELIGIONS SE CÔTOIENT!
-Éliane Acoca

 

 

LE QUÉBEC À LA CROISÉE DES CHEMINS

 

C’est bien là qu’est rendue la nation dite québécoise à ce moment précis. Cet exposé a pour but de bien faire comprendre que la suite dépend de chacun, et , pour ce faire il faut remonter dans le temps. Il faut bien constater que chaque individu qui compose cette nation est une bonne personne, honnête et travaillante.

C’est quand ces individus se laissent contrôler et agissent en masse que le tout se gâte.

Ces dernières années, des philosophes, politicologues, chroniqueurs et journalistes se sont acharné à tenter de définir cette nation. Ils se sont livrés à un exercice continuel de masturbation intellectuelle jamais vue auparavant. Chacun y va de sa chronique, de son livre, de son essaie. Des forums de discussions furent crées. Certains tentent de la définir.

Peuple ou nation? Qui y est partie, les pure-laines seulement ou tous les Québécois. Qui est Québécois?

On tente par tous les moyens de nous inculquer que nous sommes différents et que nous devons être nationalistes et que nous sommes une société distincte.

Le but de ces exercices dans la plupart des cas est de nous trouver des raisons de se séparer du reste du Canada.

On demande des Etats-Généraux, des Commissions d’Étude, des Commissions Parlementaires et toutes sortes d’autres structures qui pourraient nous indiquer un tant soi peu ce que et qui nous sommes.

Certains avancent que nous sommes en crise identitaire. Imaginez, nous ne savons pas qui et ce que nous sommes. De quoi nous faire frémir.

Pour réussir à nous convaincre qu’il faut nous séparer du Canada, il faut nous convaincre que nous sommes mal dans notre peau.

Comment peut-on réussir à nous manipuler sans nous entendre rouspéter? C’est tellement facile que c’en est épeurant.

QUE SOMMES-NOUS

Nous sommes un peuple (si réellement nous formons un peuple) immature, encore à l’enfance, qui a encore besoin d’un père, d’un guide pour nous réconforter et nous diriger. Un guide qui nous dicte quoi et comment penser car penser est un exercice que notre culture nous a défendu. Nous avons besoin d’un icone à vénérer, d’un Moïse pour nous guider vers la terre promise.

Pendant longtemps, ce Moïse fut le clergé catholique. Il contrôlait nos pensés et nos actes. Il contrôlait nos lectures. Il contrôlait nos vies. Il déterminait le nombre d’enfants de chaque famille. Il nous disait pour qui voter aux élections. Il contrôlait notre système d’éducation, nos services de santé. Il était roi et maître de notre destiné.

Comme des imbéciles, nous avons tout gobé.

Il faut reconnaître qu’il était passé maître dans l’art de nous maintenir sous son joug et qu’il savait utiliser toute les subtilités nécessaires à l’atteinte de son but.

En contrôlant le système d’éducation, il nous a entraînés à détester les anglais car ces derniers contrôlaient notre économie. Nous étions les porteurs de pain et devions le demeurer car seul les pauvres voyaient s’ouvrir les portes du paradis. Le commerçant, celui qui aspirait à la richesse était forcément un voleur, un escroc.

Nos universités francophones, Montréal et Laval, dirigée par des religieux, refusaient dans leurs programmes d’introduire une faculté d’administration. Quand des francophones voulaient s’instruire en sciences administratives, il leur fallait être bilingue car la seule porte d’entrée était l’université anglophone.

Le système politique d’alors  nous avait entraîné à détester les Juifs car ils avaient crucifié le Christ. C’est pourquoi, on nous enseignait qu’ils  étaient un peuple errant, sans patrie, puni par Dieu.

La peur fut l’un des éléments majeurs  de contrôle social. Quiconque  n’obéissait pas à leurs dictés était damné. La femme était (et est encore) un personnage inférieur. Elle n’était admise à l’église que dans la nef et coiffée. Sa fonction principale était la reproduction et pour ce faire elle se  devait être mariée. Si malencontreusement elle enfantait hors du mariage, ce ne pouvait être que des enfants du péché et on s’empressait de les expédier dans des hôpitaux psychiatriques et des orphelinats. Il en existe encore de ces enfants, ils sont aujourd’hui appelés ‘Les enfants de Duplessis’ pour lesquels le clergé réfute encore toute responsabilité.

On  nous imposait aussi nos orientations politiques. Il se faisait fort de nous rappeler dans les sermons que ‘le Ciel est bleu et l’Enfer est rouge’, ce qui avantageait certainement Duplessis.

Comme des moutons, nous avons suivi, sans se poser de questions, sans penser. Pourquoi aurions- nous osé penser, osé s’astreindre à un effort intellectuel quand le maître le faisait pour nous.

Cette servitude nous allait tellement bien que nous l’exposions fièrement à la parade annuelle de la Saint-Jean Baptiste quand sur le dernier char allégorique on retrouvait Jean-Baptiste avec sa canne qui guidait les brebis, ce que nous étions.

Le clergé maintenait Duplessis (le Chef) au pouvoir et ce dernier leur repayait bien.Il y avait bien des voix qui tentèrent de réveiller le peuple des brebis,mais elles arrivaient trop en avance de leur temps.

Ce fut l’époque de la création de villages qui pour se trouver un nom se disputaient le nom des saints. Ainsi on retrouvait plusieurs villages du même nom qui, pour s’identifier, devait ajouter un nom de comté ou de région à leur nom. C’est ainsi qu’on retrouvait des noms comme Sainte-Anne-de- Bellevue, Sainte-Anne-des-Monts, Sante-Anne-des-Plaines, Sainte-Anne-de Beaupré, Sainte-Catherine, Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, etc. etc. Il en fut de même pour les noms de rue des villes et villages.

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

Au milieu des années 1950,un grand hockeyeur était devenu le symbole de la nation canadienne-française (car tout le monde à cette époque,au Québec s’identifiait comme canadien-français)et vous aurez tous reconnu Maurice Richard.
Par son courage et sa détermination,il devenait le premier grand leader d’une jeune nation.
À défaut d’avoir un vrai chef politique,c’est dans le sport que tous au Québec,nous avions un exemple à suivre.

LE RÉVEIL

Pendant que les ignares se complaisaient dans l’esclavage, une nouvelle génération grandissait, quasi imperméable au lavage de cerveau du clergé et le décès de Duplessis ouvrait la porte à affranchissement, à la liberté.

Ce peuple, dans l’ensemble n’avaient pas encore appris à penser et se mit à la recherche d’un nouvel icône, un nouveau Chef, un nouveau Moïse.La seule option politique  trouvée à ce moment-là fut le néolibéralisme d’après-guerre.Comme nous le verrons,cela comportait des avantages et de nombreux désavantages.

Le choix s’arrêta finalement sur Jean Lesage en 1960 qui tassa allègrement le clergé et devint ce nouveau Moïse. Tout semblait alors baigner dans l’huile.

Ce fut cette période que l’on appelle aujourd’hui LA RÉVOLUTION TRANQUILLE.Vous noterez que le changement opéré à ce moment précis aurait pu se produire aussi si Paul sauvé ne serait pas mort aussi rapidement après Maurice Duplessis.Dans les nouveaux projets sociaux,économiques et politiques de l’Union Nationale ,alors gérée par M.Sauvé,il y avait de nombreux éléments qui ont été repris par les libéraux qui ont toujours agis par opportunisme.

Il a fallu rebâtir tout le système d’éducation avec le peu d’éléments que nous possédions (cf: le corps enseignant).

Le gouvernement a dû procéder à la hâte à l’introduction des CÉGEPs et la création de l’université du Québec avec des pendants dans plusieurs régions.Notez que les CEGEPs développés au Québec,proviennent d’une formule qui a échouée aux États-Unis.Ils sont à l’origine de l’organisation des réseaux de vendeurs de drogues,de pédophilie et de prostitution juvénile.On notera aussi l’augmentation sérieuse de la violence chez notre jeunesse.

Les universités francophones introduisaient frénétiquement des facultés d’administration dans leurs programmes qui allaient donner naissance à une petite  bourgeoisie d’affaires.Parallèlement,le crime organisé québécois va se développer et s’étendre même à l’intérieur de l’appareil d’état.

De 1960 à 1967, c’est l’effervescence. Pour nous préparer pour l’expo universelle de 1967, nous construisions le métro, le tunnel Lafontaine et les pavillons pour l’expo sur l’Ile Sainte-Hélène et embellissions Montréal pour accueillir avec fierté les visiteurs internationaux.Les gros syndicats  vont prendre plus de pouvoirs et vont davantage s’enrichir.

Nous avions atteint un summum. MONTRÉAL ÉTAIT LA MÉTROPOLE DU CANADA AINSI QUE SON CENTRE FINANCIER. Ville bilingue, Montréal était un pôle d’attraction pour les investisseurs et les bureaux chefs d’entreprises.Le capitalisme se développe rapidement.

Cette poussée de Montréal vers le sommet de l’économie canadienne ne se serait jamais produite sans l’apport des anglophones, considérant que dans ce temps la majorité francophone était totalement ignare et ne commençait qu’à s’éveiller.

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

L’UNION NATIONALE QUAND LE QUÉBEC SE TENAIT DEBOUT

 

On n’a pas craint, au cours des années 1960, d’aborder les enjeux constitutionnels de front. Même Daniel Johnson, arrivé au pouvoir en 1966, remettra directement en cause la Constitution du Canada en lançant son livre manifeste Égalité ou indépendance.

 

Pendant la Révolution tranquille, une question s’est posée avec une franchise inouïe: celle de l’avenir des Canadiens français (devenus soudainement les Québécois) dans la fédération. Le nationalisme devenait plus moderne, moins passéiste, et il formulait directement les interrogations fondamentales.

Un courant révisionniste voudrait nous présenter le régime Duplessis comme un certain âge d’or du nationalisme. Pour avoir connu et observé, comme jeune adulte, le nationalisme du «chef», je garde le souvenir d’un nationalisme défensif, qui protégeait notre «butin», combattait les empiétements fédéraux, refusait les subventions d’Ottawa aux universités et réclamait avec opiniâtreté de nouveaux champs fiscaux.

Ce nationalisme de conservation, garant de la langue et de la foi, drapé dans le fleurdelisé et l’autonomie provinciale, ne remettait pas en question l’ordre constitutionnel établi: il tentait d’en tirer le meilleur parti possible.

Quand apparaît en 1960 un nationalisme de rattrapage, des intellectuels, des journalistes, des syndicalistes et des visionnaires (notamment Georges-Émile Lapalme) avaient préparé le terrain. Mais avant 1960, l’idéologie dominante, soutenue par l’appareil du pouvoir et la structure ecclésiastique, restait le nationalisme de conservation. Malgré les étincelles qui brillaient ici et là, la grande noirceur, pour ceux qui l’ont vécue, est loin d’être un mythe.

Dès 1960, la question constitutionnelle se pose de manière stridente et directe. Comment les Québécois peuvent-ils améliorer leur sort au sein de la «Confédération»? Éviteront-ils le statut de simple minorité ethnique pour être considérés comme un peuple??

En août 1960, naît l’Action socialiste pour l’indépendance du Québec, fondée par Raoul Roy et d’inspiration marxiste. Un mois après se forme un autre mouvement, le RIN (Rassemblement pour l’indépendance nationale). Ces deux groupements, moins catholicards que les groupuscules indépendantistes des années 1930 et 1950, deviendront influents: le premier inspirera le Front de libération du Québec et le second sera un parti légitime aux élections de 1966.

 

Puis Jean Lesage, au sommet de sa puissance, porté par l’élan du «Maîtres chez nous» et de sa victoire électorale sur le thème de la nationalisation de l’électricité, porte le combat vers Ottawa. Il exige du premier ministre Pearson, minoritaire et conciliant, qu’Ottawa remette au Québec 25?% de l’impôt sur le revenu des particuliers, 25% de l’impôt sur les sociétés et 100% des droits successoraux.

Ébranlé par les coups de poing colériques de Jean Lesage, Lester B. Pearson finira par faire d’énormes concessions à l’égard des programmes conjoints et du régime universel de retraite. Pour une courte période, le Canada penchera vers la décentralisation.

Les personnages politiques fédéralistes (notamment Paul Gérin-Lajoie) envisageront toutes sortes de formules: statut particulier, États associés. Même Daniel Johnson, arrivé au pouvoir en 1966 et prolongeant (contre toutes prédictions) la Révolution tranquille, remettra directement en cause la Constitution du Canada en lançant son livre manifeste Égalité ou indépendance. Son gouvernement favorisera la tenue, en novembre 1967, des États généraux du Canada français, qui réuniront 2500 délégués.Ce fut  la seule véritable consultation du peuple sur une question constitutionnelle du Québec.

On n’a pas craint, au cours de cette décennie, d’aborder les enjeux constitutionnels de front. Aujourd’hui, toute une mouvance de centre-droit voudrait qu’on mette en veilleuse les questions touchant l’avenir du Québec pour régler «nos problèmes», traiter des «vraies affaires». Proposition absurde. Le fait que le Québec se soit fait imposer une constitution qu’il n’a pas signée reste l’un des problèmes qui conservent toute leur actualité. De nouveaux irritants ne manqueront pas de nous le rappeler au quotidien.

Qui a intérêt à contrôler Daniel Johnson ? À écouter à qui il parle ? À lui défendre d’aller en France suite au voyage de De Gaulle au Québec ? — « Quoi qu’il arrive, j’irai en France ! »

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

Les États généraux du Canada français en 1967

Avant, il y avait le Canada français. Après, le Québec et les francophones hors Québec. La cicatrice ne s’est jamais vraiment refermée.

Jacques-Yvan Morin présidait les États généraux du Canada français en 1967. Le futur chef de l’opposition (de 1973 à 1976) était alors professeur de droit à l’Université de Montréal.

Le 23 novembre 1967 au matin, 1700 personnes envahissent la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal. Ces gens viennent de tous les coins du Canada: plus de 1000 d’entre eux ont été élus dans les 108 circonscriptions électorales du Québec, 425 représentent les communautés francophones du reste du Canada et 175, les organismes les plus divers, des Caisses populaires aux Cercles de fermières en passant pas les associations de Néo-Québécois.

Presque tous ces délégués ont sous le bras un exemplaire du Devoir, qui publiera toutes les résolutions de ces États généraux du Canada français. Parmi les membres de la commission générale qui a préparé la rencontre, on trouve d’ailleurs deux plumes prestigieuses issues du Devoir, Solange Chaput-Rolland et Jean-Marc Léger.

En 1967, Le Devoir était encore la bible des élites canadiennes-françaises et son directeur, Claude Ryan, avait accepté de s’associer à l’événement même s’il craignait un virage indépendantiste. Il avait d’ailleurs vu juste.

«On n’avait jamais vu un rassemblement d’une telle ampleur, aussi représentatif de ce qu’il faut bien appeler les forces vives de la nation, et il n’y en a jamais eu d’autre depuis», dit l’ancien ministre péquiste Jacques-Yvan Morin, qui présidait l’événement. Le futur chef de l’opposition (de 1973 à 1976) était alors simple professeur de droit à l’Université de Montréal.

Les États généraux de 1967 n’avaient aucune commune mesure avec les assises préliminaires tenues en 1966 ou les congrès de la langue française organisés à Québec en 1912, 1937 et 1952. «On était même étonnés de pouvoir remplir la Place des Arts. D’une certaine manière, nous prenions conscience de la force que nous représentions», dit Jacques-Yvan Morin.

Les francophones hors Québec

À l’offensive sur tous les plans, le Québec était alors en pleine Révolution tranquille. Le nouveau premier ministre Daniel Johnson ne réclamait rien de moins que «l’égalité ou l’indépendance». Le mouvement indépendantiste québécois et le nationalisme acadien étaient en pleine ascension. Le «Vive le Québec libre!» du général de Gaulle avait quatre mois à peine. Avec le rapport Laurendeau-Dunton, l’avenir du français devenait une préoccupation majeure.

Cette démonstration de force d’un océan à l’autre sera la dernière du genre. Car elle sera le lieu, à tout le moins symbolique, de l’éclatement définitif du Canada français. Les États généraux devaient définir l’avenir constitutionnel de la nation, disait dans son discours d’ouverture Rosaire Morin, un leader nationaliste très écouté à l’époque. On jonglait alors avec le «statut particulier», les «États associés» et l’indépendance.

René Lévesque, qui venait de quitter le Parti libéral et de fonder le Mouvement souveraineté-association quelques jours plus tôt, fit d’ailleurs une brève apparition au balcon, sous des applaudissements nourris.

L’assemblée se divisa lorsque vint le moment de reconnaître le droit à l’autodétermination du Québec, «territoire national et milieu politique fondamental» de la nation canadienne-française. Les Québécois votèrent pour à 98 %, avec 52 % des Acadiens. Les délégués de l’Ontario et de l’Ouest canadien votèrent contre ou s’abstinrent. Les Québécois affirmaient leur existence en tant que nation. Les francophones hors Québec, qui se percevaient toujours comme Canadiens français, venaient de naître.

Une boîte à idées

Même si certains évoqueront un complot mûrement préparé, il n’y avait pas de volonté de rupture, explique Jacques-Yvan Morin. «Les délégués québécois votaient pour rapatrier tous les pouvoirs au Québec. Ils le faisaient spontanément, même s’ils n’étaient pas nécessairement indépendantistes. Ils votaient aussi pour que le français soit plus présent partout au Canada. Ce n’était pas très logique. Les États généraux ont été le témoin plus que la cause d’un éloignement inexorable lié à l’érosion du fait français, dans l’Ouest en particulier.»

Plusieurs délégués racontèrent être arrivés aux États généraux fédéralistes et en être sortis souverainistes. Les délégués n’ont pourtant jamais revendiqué l’indépendance, rappelait en 1990 Rosaire Morin, dans un article de L’Action nationale. Mais ils «revendiquaient pour le moins l’égalité». Plus de «40 ans plus tard, la question des pouvoirs du Québec n’est toujours pas réglée», souligne Jacques-Yvan Morin.

Ce qui n’empêchera pas ce rassemblement d’être une extraordinaire boîte à idées. Plusieurs marqueront leur époque, comme «une politique d’immigration qui enrichisse la culture et l’économie de la Nation», le français comme «seule langue officielle» du Québec et une «Charte des droits de l’Homme». D’autres resteront sans suite, telle la rédaction d’une «Constitution du Québec» reconnaissant son «droit à l’autodétermination».

La rupture

Hors du Québec, on a perçu l’événement comme une rupture, parfois même une trahison. L’historien Marcel Martel, de l’Université York à Toronto, a vu le signe précurseur de cette scission dans la dissolution, dès 1965, de l’Ordre de Jacques-Cartier, une organisation nationaliste plus ou moins secrète aussi appelée La Patente.

Selon lui, le Québec réclamant de plus en plus de pouvoir, le rapport traditionnel qui faisait des minorités hors Québec des avant-postes de la nation canadienne-française, fut inversé. L’avenir des minorités dépendrait dorénavant de l’édification d’un État national québécois.

«Les États généraux représentent le moment symbolique de cette rupture, peu importe, au fond, si elle s’y est vraiment produite, dit le sociologue d’origine acadienne Joseph-Yvon Thériault, de l’UQAM. C’est à ce moment que les francophones hors Québec ont réalisé que le Québec avait changé de trajectoire politique. Or c’était très dérangeant!»

Car, à l’époque, le Canada français n’était pas une figure de style. Pour «fonder et propager la civilisation franco-catholique sur ce continent», comme l’écrivait le journaliste Étienne Parent, on avait tissé d’un océan à l’autre un vaste réseau de journaux, d’entreprises, d’associations étudiantes, agricoles, politiques et religieuses.

L’archevêque de Montréal d’alors,Paul-Émile Léger en compagnie du premier-ministre Maurice Duplessis. La redéfinition des rapports entre le Québec et Ottawa. Les tensions entre Québec et Ottawa à l’époque de Duplessis. Au cours des 16 années où l’Union nationale est au pouvoir, soit de 1944 à 1960, les relations entre le Québec et le gouvernement fédéral sont plutôt orageuses. Au nom de l’autonomie provinciale, le premier ministre Maurice Duplessis déclare combattre la centralisation excessive d’Ottawa. Il est vrai que depuis qu’elles s’étaient octroyées des pouvoirs élargis en raison de la Deuxième Guerre mondiale, les autorités fédérales avaient une propension à investir des champs de compétence provinciale. Par ailleurs, cette attitude du gouvernement du Québec cache mal un fort penchant conservateur et rétrograde en matière de progrès social.

Dans les années 1940, le ministère de l’Agriculture du Québec n’hésitait pas à financer en Ontario la création d’une association canadienne-française de femmes d’agriculteurs!

Selon Thériault, si les francophones hors Québec disent que le Québec les a lâchés, c’est qu’ils ne voient pas que, chez eux aussi, le mouvement vers la provincialisation était amorcé. Dès le début des années 1960, les institutions canadiennes-françaises en quête de financement, comme l’Université d’Ottawa, se tournaient déjà vers leur gouvernement provincial respectif.

«On oublie souvent aussi que le nationalisme canadien-français avait été porté par une vague démographique, dit Thériault. Jusque dans les années 60, les Acadiens étaient convaincus qu’ils avaient gagné la bataille démographique.» De 17 % de la population du Nouveau-Brunswick en 1867, ils passent à 37 % en 1951.

À l’époque, André Laurendeau, écrivait même que le temps n’était pas loin où il y aurait deux provinces majoritairement françaises au Canada.

En 1961, les Acadiens étaient retombés à 33 %. La chute était encore plus prononcée au-delà de l’Outaouais. «C’est à cette époque qu’on a commencé à mesurer les ravages de l’assimilation, surtout dans l’Ouest du Canada», confirme Jacques-Yvan Morin.

Lorsque les États généraux se réuniront une dernière fois en 1969, ils n’auront plus du tout le même éclat. La scission était consommée. D’aucuns en concluront que le français n’avait plus d’avenir hors du Québec ou à proximité de ses frontières.

Réhabiliter les États généraux ?

Pour le rédacteur en chef du journal étudiant La Relève, Jean-François Laniel, il serait temps de redonner aux États généraux «une place plus honorable» dans l’histoire. La seule tenue d’un événement d’une telle ampleur devrait être un motif de fierté, écrivait-il.

Le journal ne cache pas sa volonté de contribuer à ressusciter, sous une forme ou une autre, le Canada français. Un peu comme le souhaite l’ancien ministre des Affaires intergouvernementales de Jean Charest, Benoît Pelletier, qui affirmait que le Québec était de retour dans le Canada.

«Recréer le Canada français, ça n’a aucun sens, dit Joseph-Yvon Thériault. Au lieu de dire que le Québec est de retour dans le Canada, il faut plutôt accepter que le Québec soit devenu une aire autonome. Les francophones hors Québec doivent assumer le fait qu’ils évoluent dorénavant dans un espace dont le centre est le Québec. Montréal demeure notre capitale culturelle, autrement nous régresserons vers une simple mémoire ethnique. La francophonie hors Québec doit assumer cette réalité et articuler un nouveau rapport au Québec, quel que soit le statut politique de ce dernier.»

 

L’Amérique française d’origine.

 

 

Ottawa refuse d’ouvrir la Constitution. En accédant aux demandes du Québec, le premier ministre Lester B. Pearson veut faire preuve d’ouverture à l’égard des Canadiens français. Le successeur de Jean Lesage, Daniel Johnson, souhaite pousser un cran plus loin les revendications du Québec.
Lors de la conférence fédérale-provinciale de 1968, il tente d’obtenir un statut particulier pour le Québec. Mais le ministre de la Justice d’alors et futur premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trudeau, oppose une fin catégorique de non-recevoir. Pierre Elliott Trudeau et Daniel Johnson lors de l’annonce du Plan de développement de l’Est du Québec à Rimouski le 26 mai 1968. Deux hommes politiques. L’image vaut mille mots.

 

 

 

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

LE DÉCLIN.

Toutefois, cela ne dura pas longtemps pour les collaborateurs fédéralistes et  la petite bourgeoisie néolibérale naissante car  un virus s’infiltra subrepticement dans la société francophone qui allait non seulement couler Montréal mais toute la province de Québec pour des générations à venir.

C’est ainsi qu’on vit naître des mouvements tels le  RIN (Ralliement pour l’indépendance nationale) ,un parti  politique de gauche électoraliste ,et, le FLQ (Front de Libération du Québec) qui ont réussi à vendre au  peuple ,une vision de   peur d’assimilation vers la culture anglophone. Ces mouvements produisirent…soient des Combattants  pour la Libération…soient des   terroristes (tout dépendant si vous êtes nationalistes ou fédéralistes) qui placèrent environ  95 bombes dans des boîtes postales des quartiers anglophones de Montréal jusqu’à entraîner la mort d’un policier tentant de désarmer l’une d’elles. S’en suivirent le meurtre d’un ministre du gouvernement québécois (Pierre Laporte) et de l’enlèvement d’un diplomate britannique (James Richard Cross).Vous noterez que Pierre Laporte était  un « ami » de Vincent Cotroni et qu’il a été photographié   souvent  ,prenant un verre avec le chef de la mafia  italienne de Montréal,dans des clubs du centreville.C’était un homme qui en savait trop et qui risquait  de réveiller le bon peuple qui dort toujours au gaz.

De ces deux mouvements découle la naissance du Parti Québécois (LE VIRUS) dont l’objectif  « officiel »  principal était de faire une espèce de souveraineté-association entre  le Québec et le  Canada.Mais tous savent maintenant que jamais cela ne se produira jamais ,surtout depuis que Pauline Marois a administré ce parti politique,tout aussi corrompu que le Parti libéral du Québec.René Levesque,le fondateur du Parti,n’a parlé que du bout des lèvres d’indépendance du Québec,seulement si les négociations théoriques avec le reste du Canada aurait échoué.

Deux référendums perdus sur la souveraineté ,dont un en 1995,noyauté par les fédéraliste et saboté par le scandale  des commandites et des immigrés pakistanais  , la loi sur les langues officielles (loi 101) dénaturée et négligée trop souvent, accentuaient la rapidité du déclin qui en est maintenant rendu au point où il est pratiquement irréversible.

Si on passe par-dessus quelques gouvernements éphémères, nous étions dans un carcan qui nous forçait à voter pour le parti québécois (LE VIRUS) qui, selon ses statuts, veux nous séparer du reste du Canada quelqu’en soient les coûts économiques (mais qui nous fait tourner en rond depuis 1976) ou le parti libéral dont le seul but était de se maintenir au pouvoir ,tout en faisant profité ses petits amis de l’argent public.

Le néolibéralisme  est devenu l’ennemi numéro 1 du peuple québécois!

La jeunesse québécoise ne s’identifie plus au néolibéralisme du Parti Québécois,du Parti libéral du Québec (et du Canada) de la Coalition Avenir Québec et de Québec Solidaire.

Bref,les politiciens de l’Assemblée Nationale du Québec actuelle sont disconnectés de la réalité sociale du peuple.

Pendant ces années, Montréal a perdu le titre de métropole du Canada ainsi que le titre de centre financier capitaliste du Canada le tout, ce dirigeant lentement vers Toronto et le pouvoir de Bay Street.

De plus, nous avons accumulé une dette qui est difficilement remboursable et qui nous a propulsé au premier rang au Canada,comme étant  la province la plus endettée et la plus taxée et dont le taux de chômage est toujours de beaucoup supérieure à la moyenne canadienne.

Notre service de santé et notre service d’assurance maladie était à une certaine époque notre grande fierté…qui faisait même l’envie des américains…avant l’obamacare actuelle!Maintenant,le Québec ressemble davantage à un pays du tiers- monde,après plus de 50 ans de néolibéralisme associé au crime organisé.En 2017,le Québec est davantage une république bannanière qu’un état respectable et respecté!Nous vivons sous le régime politique des gros docteurs  libéraux corrompus!

Nous avons laissé nos structures routières se détériorer jusqu’à en devenir la risée de ceux qui les utilisent.Nous continuons de tolérer les contracteurs  qui s’emplient les poches ,avec des contrats de voiries et d’aqueduc.Les maires des grandes villes sont de grands potentats pro-libéraux et nos petites villes sont à la merci d’une petite élite soutenue par des fabricants d’élections!

Nous avons eu l’audace imbécile de  laisser les francs maçons reprendre le pouvoir à Québec  par Phillippe Couillard,initié par le  grand maître de 33 ième dégré que  fut Arthur Porter,et en élisant le fils  de Pierre Elliot Trudeau ,le petit Justin Trudeau,champion des selfies,de la superficialité et grand protecteur des musulmans djihadistes et de lerus mosquées.Justin Trudeau qui fut jadis initié  par son père comme franc maçon et  présenté au communiste franc maçon Fidel Castro.

Arthur Porter a été déclaré mort…sans preuve fournie ,par les agents choisis  par Philippe Couillard,l’espion canado-saoudien!

 

Et c’est avec fierté qu’on appelle ça le MODÈLE QUÉBÉCOIS.

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

 

LE PRÉSENT

Nous sommes maintenant dans la merde jusqu’au cou, l’étau se resserre de plus en plus et l’avenir n’apparaît pas luisant.

Nous sommes dans la merde à tous les niveaux, tant du point de vue de L’ÉCONOMIE, DE LA SANTÉ , DE L’ÉDUCATION ET DE LA LANGUE.

Comment pouvons-nous nous en sortir?

Il ne nous reste qu’une décision à prendre,mais avant d’aller à fond dans ce projet,il  faudra apprendre,chacun d’entre nous,à apprendre à acquérir et développer son COURAGE et à maîtriser sa PEUR individuelle et collective!Cela s’appelle agir en équipe,en communauté,d’un seul élan avec un BUT COLLECTIF!

Pour nous en sortir,il faudra apprendre à regarder les anglophones,non pas en envahisseur et en destructeur de notre culture,notre langue et notre territoire,mais en peuple ami qui partage un seul et même territoire!Bref,nous devons apprendre à changer,à évoluer et à nous adapter au monde actuel avant qu’il ne soit trop tard!

Pour vaincre un ennemi, nos gouvernements corrompus actuels,il nous faut nous trouver un allié qui a comme ennemi ces mêmes gouvernements libéraux et néolibéraux corrompus associés au crime organisé et aux sociétés secrètes francs maçonnes et illuminati.

Le travailleur de Toronto,de Moncton ,de Vancouvert ou de n’importe laquelle autre ville du reste du Canada qui se lève à 5h00 am pour préparer son lunch et aller travailler dans une usine,subit le même endoctrinement politique que nous: on lui  enlève la faculté de réfléchir afin qu’on puisse le contrôler  et éviter qu’il ne se réveille face au système corrompu actuel.

Le Québec est la Dernière Colonie Survivante de l’Empire Britannique,mais les travailleurs du reste du Canada n’ont jamais été consulté  pour se libérer du colonialisme britannique.Il manque au Québec un parti politique qui veut changer le système,rétablir la Justice du Peuple,écrire une véritable constitution de l’État du Québec et une main tendue vers les Premières Nations et la Nation métissée du Québec pour s’unir dans un vaste projet social québécois.

Le Canada a besoin d’un mouvement de réforme propre  afin de se débarrasser de ce système qui comme au Québec,s’est érigé à partir de la corruption ,de la collusion,du pillage des ressources du Peuple ,de l’intolérance face aux minorité fondatrices de ce pays et du crime organisé allié aux sionistes et aux terroristes islamiques qui nous envahissent de l’intérieur par « têtes de pont » ,par l’infiltration.

Vive la Désobéissance Civile du Québec et du Canada!

Longue vie aux combats actuels des Premières Nations du Québec,du Canada et des États-Unis d’Amérique!

Luttons contre le projet  mortel du pipeline  d’Endbridge!

 

Une élite pro musulmane et gauchiste appuie la dialectique de l’espion canado-saoudien au Pouvoir,Philippe Couillard!

 

Au Québec,nous refusons le califat des gauchistes néolibéraux!

 

 

 

 

Ère Nouvelle du Québec :retour sur un article antérieur « Constat sur l’élection du 4 septembre 2012 »

Constat sur l’élection du 4 septembre 2012 au Québec (posté le 09/09/2012 à 22:32)
Pendant que l’état général de la planète toute entière se dégrade à un rythme accéléré,que la fonte de l’Antartique et de la calotte polaire Artique s’intensifie à vue d’oeil,que la population humaine à plus que triplée depuis 1950 et que l’on peut prédire une crise alimentaire sans précédente  combinée à une  très prévisible pénurie « mondiale  » de l’eau douce,il existe au moins un peuple sur terre qui ose braver tout cela et qui croit en la « croissance illimitée jusqu’à la fin des temps »:

 

le peuple québécois,en  grande majorité!

 

En effet,la dernière élection du 4 septembre 2012,vient de nous confirmer qu’au Québec,les personnes qui veulent changer quelque chose aux mauvaises habitudes ,à la mauvaise gérance de l’état,au problème grandissant et vertigineux de la banalisation de la corruption et de la collusion politique ,sont honnies,méprisées et bannies du cirque électoral ,de « la province du Québec »!

chefs 2012

Ce qui a retenue mon attention,c’est le silence total ,un vrai « black out » sur les problèmes réels qui touchent le Québec et ils sont nombreux!Premièrement,aucun des trois principaux  partis qui ont été médiatisés durant cette période,n’a parlé de la pauvreté grandissante de la classe   moyenne des travailleurs et des travailleuses au Québec.Aucun programme sérieux n’existe afin d’établir un minimum de début de réflexion afin de trouver une solution à une « répartition quelconque des richesses  soi-disant  collectives » !Cette élection s’est passée comme si ce problème était inexistant!

Les travailleurs et travailleuses du Québec peuvent donc s’appeler maintenant par le vocable « d’inexistant(e)s »,car le Parti libéral du Québec,le Parti québécois et la Coalition avenir Québec vous négligent et ne veulent surtout pas parler de vous: vous sentez mauvais,vous nuisez à leur image « petite bourgeoise »,vous risquez d’être contagieux et de vous mettre à réfléchir!

Donc ,honte à vous et de grâce…cachez-vous!

Un silence total a été aussi « entendu » sur la masse grandissante des itinérants,à Montréal!Le nombre d’itinérants,plus ou moins rescencés à Montréal,dépasse allègrement les 5,000 personnes qui proviennent de tous les groupes d’âge,sans distinction de sexe,ni d’origine ethnique!Il coûte moins cher de ramasser un « sans abri » mort gelé dans la rue et de l’envoyer dans un trou,appelé « fosse commune » que de bâtir des loyers à prix modique.À Montréal,la mode est aux condominium à $300,000 et plus.On bâtit pour des gens qui vont s’enrichir de plus en plus,et on oublie les pauvres et les exclus de la société.C’est le mot d’ordre et le slogan électoral de la nouvelle Première Ministre ,Pauline Marois:pour  vous enrichir!Quelle baliverne!Qu’elle explique aux gens qui ont le ventre vide,comment »elle et son conjoint » sont devenus si riches,comme ils le sont actuellement!Surement pas en travaillant!

On semble oublier au Parti québécois qu’une bulle immobilière se prépare,au Canada,depuis Vancouver!On semble faire l’autruche sur la réalité d’une crise économique majeure qui se développe lentement,mais surement.dans peu de temps,remarquez bien ce que j’écris:aucune (AUCUNE) des promesses électorales avancées par les 3 principaux partis,ne pourront être réalisées,car tantôt ,l’Islande va faire belle figure comparée à nous…pendant que nous allons continuer à rêver aux idées de grandeurs néo-libérales d’une société en faillite technique!Nous aurons de plus en plus l’air d’un groupe épars de quémandeurs face au gouvernement  fédéral de Stephen Harper qui va trouver d’autres moyens de nous humilier davantage!

Silence total sur l’écologie!L’écologie a été complètement exclue des débats hargneux et haineux,des coups bas de la politique « à la petite semaine » avancée par les trois partis sans envergure qui ont monopolisés la scène dans les médias,vendus au système capitaliste!On préfère,au Québec,quand on est un politicien qui veut faire carrière,de garder le silence sur ce qui est pressant et qui ne rapporte pas assez de vote.Parlez-en à Scott McKey,l’ancien chef du Parti vert du Québec qui vient de se faire réélire sous la bannière du Parti québécois.Il va représenter la circonscription de Repentigny ou les espaces pour bâtir des maisons unifamiliales commence à manquer.Les prix des maisons et des terrains augmentent pendant que les bons emplois disparaissent.

Tout à l’heure la rarification des espèces,les espaces verts et la protection de l’environnement vont devenir une priorité absolue,mais oubliez cela,l’ancien « chef vert » s’est fait élire sans en dire un mot,dans ce comté baigné par la rivière la plus polluée au Québec,la rivière L’Assomption!

À bas  les écologistes!…vous coûtez trop chers et ne rapportez rien en profits!Comment notre petit paradis capitaliste peut-il tolérer l’existence de fous comme vous?

Le silence du  chef du seul petit parti qui aurait pu parler d’écologie,est très éloquent:en effet,comment expliquer que l’on n’a jamais entendu parler de Claude Sabourin,à Repentigny durant cette élection?Moi,j’aurais facilement fait dix fois mieux que lui!

 

Silence total sur l’agriculture du Québec,laissée à elle-même!Jadis,nous étions rendus auto suffisants à 75% en alimentation,maintenant notre part est rendu à 34% environ!Nous sommes devenus dépendant des autres et continuons à rêver de « souveraineté politique! »L’exemple commence par soi-même,…en tout!

 

Silence presque total sur l’idée de développer un projet de constitution de l’État du Québec…pas payant en période électorale:les frileux vont voter ailleurs!

 

Silence sur une enquête sérieuse dans l’industrie de la construction!

 

Silence sur la lutte au crime organisé!

 

Silence sur les droits des Premières Nations!

 

Silence sur l’idée d’indépendance du Québec…on oublie cela,on veut gagner les élections!

 

Silence sur la réforme  du système électoral:personne n’a surtout osé parler de proportionnelle et de deuxième tour de scrutin sur une carte électorale qui affiche une vingtaine de partis politiques.

 

Quelques petits mots de Pauline Marois sur l’idée de rebâtir la loi 101 pour protéger notre belle langue française,mais pas d’échéancier…surtout pas!

 

Bref,les libéraux corrompus et liés au crime organisé sont restés forts et puissants avec leurs 50 députés.La CAQ n’a réussi qu’un maigre 19  députés élus ,tous répartis dans le 450.Québec Solidaire a consolidé son emprise au cœur de Montréal,par l’élection de Françoise David.Pire,Jean-Martin Aussant qui proposait des réformes a même été battu dans son comté par un représentant « caquiste »!

 

L’élection qui a permis ce gouvernement de Pauline Marois,avec 53 élus,va durer le temps d’un …météore!Ce scrutin aura coûté $75 millions et ne règlera rien du tout.Aucune marge de manoeuvre pendant que nous oublierons,nous,la bande de caves,les $ milliard de dollars en promesses  qui ne pouvaient et ne seront jamais tenues!Avec $254 millards en dettes ,le Québec n’a plus de possibilitées:les petits amis ont tout bouffé en contrats de constructions de routes mal faites,de subventions déguisées et de détournements de fonds!La retraite de Jean Charest sera …dorée…et Paul Desmarais en a pour des années…à rire de nous,car il continue de tirer les ficelles dans l’ombre,en sachant que n’importe lequel de ces partis politiques lui mangera dans les mains …pour prendre le pouvoir!

C’est LUI le 1% au Québec!

Le 99% c’est nous …qui attendons et rêvons,mais il est trop tard et la social-démocratie néo-libérale est bel et bien morte au Québec!

 

Très vite,nous devinons que les « petits carrés rouges » vous devenir choses du passé,dans l’esprit de madame Marois!

Elle va peut-être vendre ses casseroles sur E-Bay,mais des gens comme moi ,n’oublieront pas.Il s’agira en fait,de la seule promesse qu’elle pourra peut-être tenir…pendant un temps!

 

Le temps de se faire prendre en photo ,pour accrocher ensuite le cadre dans le grand salon de l’assemblée Nationale,comme étant la première femme « à être élue Première Ministre du Québec »!

 

Paul Desmarais,le Seigneur de Saggard,va devenir le roi du Québec!

 

…Ensuite,les citoyens et citoyennes du Québec vont réfléchir à la futilité de ce système corrompu…jusqu’à la moelle dominé par la gauche,le syndicalisme d’affaires et les pouvoirs souterrains!

 

Pétition pour l’abolition de tous les partis politiques actuels,siégeant à l’Assemblée Nationale du Québec

Pour signer la pétition rendez-vous sur ce lien s’il-vous-plait: http://www.petitions24.net/petition_pour_labolition_des_partis_politiques_au_quebec

 

Pour un Québec libre et démocratique ,abolissons les partis politiques...et le crime organisé.
Pour un Québec libre et démocratique ,abolissons les partis politiques…et le crime organisé.

*Si vous avez des suggestions,je serai ravi de les recevoir sur la messagerie de ce site.Merci!

 

ATTENDU QUE depuis plus de 50 ans,le Québec a été administré par seulement trois partis politiques (le Parti libéral du Québec,le Parti Québécois et l’Union nationale de 1966 à 1970) dont seulement deux subsistent et se succèdent l’un à l’autre (le Parti libéral du Québec et le Parti québécois) depuis 1970.

ATTENDU QUE depuis surtout l’avènement de Jean Charest (John James Charest de son vrai nom) la corruption et la collusion ont servi de base à l’édification d’un système politique qui contrôle l’Assemblée Nationale du Québec par la nomination de hauts fonctionnaires liés à des partis politiques ou à de tierces organisations telles que compagnies privées ,petits amis,groupes de pressions,bureaux d’avocats,etc…

Une Commission d’Enquête présidée par la juge France Charbonneau a pu prouver les liens existants entre le Parti libéral du Québec,surtout, et diverses organisations mafieuses,au Québec,mais personne,dans l’appareil judiciaire du Québec, n’a condamné un seul politicien corrompu à une peine quelconque. Seuls des maîres et quelques échevins municipaux  se sont vu montrer la porte,mais la relève politique semble être devenue inexistante,au Québec.Il semble de plus en plus évident que le pouvoir politique appartient à qui veut l’avoir,au Québec et le crime organisé cumule de nombreuses années d’expérience pour gérer les fonds publics ou ce qui en reste.

La grande majorité des citoyens et citoyennes du Québec en a ras-le-bol de faire rire d’elle et demande,exige que « Justice  minimale soit Faite »!Si le fait de demander justice fera de moi ainsi que toute personne qui signe cette pétition « …des ennemis de l’État »,j’accepte d’être le premier à  porter ce tître qui me fera honneur,et qui démarquera  la prochaine génération  de travailleurs et travailleuses exploité(e)s et abruti(e)s par le travail et l’esclavagisme social.

ATTENDU QUE après 9 longues années de gouvernement Charest ,Pauline Marois ,première ministre du Parti Québécois qui lui a succédé,n’a pas daignée abolir le Parti libéral du Québec …mafieux,elle prouve ainsi  qu’il y a collusion entre ces partis politiques pour gérer le Québec,en alternance.Donc,nous faisons face à tout un système qui s’autogénère sur le dos des citoyens et citoyennes du Québec…un système  qui telle une sangsue ,vit en symbiose  avec la société normale.Pauline Marois n’a fait que gérer  le Québec en bonne néolibérale ,comme les libéraux eux-mêmes.Les promesses faites lors des manifestations étudiantes,n’ont été que poudre aux yeux pour s’attirer le vote des étudiants et récupérer la révolte naissante de la nouvelle génération face à un système qui se meurt.L’importance dans l’administration  des libéraux et des péquistes ,dans la gérance du Québec,est de s’assurer de rester le plus longtemps possible au pouvoir tout en maintenant  en vie,ce système si chéri de l’État-Providence qui se  noie dans les dettes  contractées aux banquiers de Wall Street depuis l’époque de René Lévesque et de Robert Bourassa.En étant exclus de la Constitution Canadienne de 1982,c’est le fédéral qui devient responsable de toutes nos dettes,car on ne nous a jamais demandé notre avis,sur ces décisions.

ATTENDU QUE tout un système de fabrication et de financement d’élections « clés en mains » a été développé par les travailleurs professionnels mafieux du système qui ont étendu leurs  tentacules dans les arènes municipales permettant à des Gérald Tremblay  de ce monde de profiter des fonds publics comme si c’était  leur  argent personnel.Ce système mafieux est très puissant et permettra au Parti libéral mafieux du Québec de se maintenir encore longtemps,au pouvoir…peu importe le pourcentage du vote reçu.Nous exigeons que tout élu ayant été  prouvé d’extorsion de biens publics,soit mis en état d’arrestation immédiatement,en attendant leur procès.

ATTENDU QUE l’ensemble des hauts fonctionnaires et  de nombreux employé(e)s de la fonction publique,au Québec,ont été nommé par ces deux partis politiques au pouvoir depuis des décennies,peu importe qui  des deux partis l’emporte,il va devenir à la merci de  ce groupe de plénipotentiaires qui tels des vampires du pouvoir ,vont transformer les honnêtes députés,si ça existent,en politiciens corrompus (si ça peut être un fait rare,dans un monde idéal).Le seul moyen pour que les citoyens et citoyennes puissent reprendre librement le pouvoir de leur gouvernement,serait de congédier tous ces fonctionnaires déjà corrompus et de les remplacer par de nouveaux diplômés,fraîchement sortis des écoles et universités du Québec.Il faut aussi changer les règles d’engagement des hauts fonctionnaires de l’état en évitant de commettre les mêmes erreurs.Il faudrait éviter que leurs fonds de pensions soient payés par les citoyens et qu’ils soient  assuré de leurs postes « protégés ».L’idéal serait de les soumettre à des  postes « à contrat et renouvelables sur des périodes définies dans le temps. »Les vieux partis ont trop gaspillés et détournés d’argent public pour continuer à garder l’État-Providence sur le même poumon artificiel.Ce sont nous,le peuple,les vrais employeurs des hauts fonctionnaires de l’État du Québec et non pas le Parti libéral du Québec avec le Parti Québécois.

ATTENDU QUE  Québec Solidaire a depuis avant l’élection fédérale du 2 mai 2011,montré son vrai visage en s’alliant avec le NPD de Jack Layton  pour effacer d’un trait tout forme d’intégrité et d’indépendance  future dans ses stratégies,ce parti joue comme les autres, un double jeu sur la scène politique et Amir Khadir a bien montré qu’il avait un agenda caché particulièrement envers les intégristes religieux.Son appartenance ancienne au Hezbollah pro-iranien montre sa partialité et sa dangerosité.Aussi lors de l’hiver 2010,2011,les manifestations organisées devant la boutique familiale « Au Marcheur »,dans son propre comté ,a clairement montré  son sens   démagogique.De plus,lors de l’élection du 7 avril 2014,nous avons vu le manque total de respect envers la population en ayant une espèce d’alliance tacite avec les libéraux et l’élection d’Hélène David,la sœur de la porte-parole  Françoise David.Ça s’appelle prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages.

ATTENDU QUE François Legault a fondé la Coalition Avenir Québec avec un ramassis de politiciens carriéristes,véreux et affairistes provenant surtout du Parti libéral fédéral et que lui-même a été un député et un ministre péquiste pendant de nombreuses années,il est certain que ce parti politique fait aussi partie du problème et non  pas de la solution à la crise politique,sociale et économique qui s’amène à grands pas ,au Québec.C’est sur le dos de l’environnement que ce parti cherche à se faire du capital politique.Si on lui donnerait carte blanche,il privatiserait l’eau,l’air et le droit de regarder mourir notre faune pour assouvir les  besoins farfelus de profits de Charles Sirois et de ses petits amis. Ce genre de vieille politique sale a déjà trop durée au Québec.

ATTENDU QUE  la méthode électorale n’est faite que pour seulement deux partis politiques en alternance,comment le droit démocratique peut-il être maintenu si les  partis politiques se multiplient à cause de l’évolution des idées et de la volonté de changement?Jamais,car cela  va consacrer  les seuls partis au pouvoir depuis 1960.Seul un système à deux tours de scrutin avec proportionnelle peut y parvenir,mais jamais cela ne se produira avec ces partis accrochés au pouvoir pour conserver des droits qu’ils pensent acquis pour l’éternité.Donc en étant attentistes face aux changements rendus nécessaires,nous ne changerons jamais rien,sauf changer de politiciens véreux à la tête des deux partis au pouvoir.Aucun peuple ayant un minimum de respectabilité,ne peut tolérer longtemps,une pareille situation.

ATTENDU QU’il n’existe aucune loi de Dissolution (cad: loi d’Impeachment) permettant de congédier des politiciens élus qui auraient menti,fait de fausses représentations,mis le peuple dans l’erreur en connaissance de causes,détourner de l’argent public,commis divers crimes dont celui de haute trahison envers le peuple …donc quand un politicien est élu au Québec,on est pris avec.C’est pourquoi,il faut prendre les devant et congédier tout ce beau monde en demandant à la seule autorité réelle qui existe pour régler impartialement ce problème,soit la Couronne Britannique,d’intervenir.Le Québec a été exclu ddes Accords Constitutionnels de 1982.Nous ne faisons donc pas partie du Canada,mais sur le plan légal « réel » nous sommes toujours assujettis par les lois qui régissaient les colonies de l’Empire Britannique.Le dernier exemple est survenu en Rhodésie sous le régime dictatorial d’Ian Smith.La Couronne Britannique étant intervenue alors pour empêcher l’aggravation d’une guerre civile naissante et les massacres racistes des mercenaires d’Ian Smith.Je considère que le Québec  a au moins autant de valeurs humaines que  la Rhodésie et que Philippe Couillard peut se comparer à Ian Smith.Je demande donc à la Couronne Britannique ,l’égalité des droits afin que justice soit faite.Ce sera toujours au propriétaire de sa colonie,de devoir prendre ses responsabilités afin d’éviter le pire.Il existe de nombreux exemples pour faire les choses correctement.Le Québec est en Amérique du Nord,la dernière colonie survivante de l’Empire Britannique,je réclame donc,moi et tous les signataires que justice soit faite au Québec comme elle le fut jadis pour toutes les autres colonies de l’Empire Britannique.Le Québec ,le peuple québécois,n’a pas à continuer de se culpabiliser pour des décisions prises ailleurs que chez lui.

Nous exigeons qu’un Conseil National de Transition soit formé par des citoyens  choisis au hasard parmi  les habitants du Québec,en y incluant les Premières Nations et la Nation Métissée du Québec afin de rechercher des suggestions venant du Peuple  pour y écrire la Constitution de l’État du Québec.

Les Citoyens et citoyennes du Québec pourront ensuite  avoir à voter sur  cette Constitution et choisir   le destin qu’ils veulent soit à l’intérieur du Canada,soit comme état indépendant,soit joindre les rangs des États-Unis  d’Amérique ,etcDurant ce Conseil National de Transition ,c’est Sa Majesté qui nommera un administrateur  temporaire qui fera office  gouvernement.Cet administrateur pourra choisir des ministres aussi sur une base temporaire.Si Sa Majesté refuse,nous pourrions choisir l’aide d’un autre pays neutre dans cette situation.

ATTENDU QUE les élections du 7 avril 2014 ont été empreintes d’une multitude de fraudes et de faits inacceptables qui portent atteintes au droit démocratiques des citoyens et citoyennes du Québec , dont entre autres: des personnes venant  de provinces étrangères qui viennent voter chez nous,des urnes de scrutin qui furent retrouvées dans des restaurants,des femmes voilées qui ont été voter et le directeur général des élections du Québec qui prend sa retraite plutôt que de demander une commission d’enquêtes sur  cette multitude de cas douteux.Aussi,il est à remarquer qu’un nombre aussi élevé que d’habitants du Québec avaient le droit de voter,le 7 avril 2014:ce qui est mathématiquement impossible.Donc,il s’agit d’un coup d’état bien orchestré  pour s’emparer du résultat du vote…et du pouvoir.Le directeur général des élections s’étant dépêché d’éliminer ces chiffres incriminant le surlendemain.Les  signataires de cette pétition  réclament l’annulation de cette élection du 7 avril 2014,la mise en état d’arrestation de Philippe Couillard ,de Jacques Drouin ,l’ancien directeur-général des élections ainsi que toute personne directement impliquée dans ce coup d’état qui  prend de plus en plus des allures de « Révolution Colorée » comme celles organisées par la CIA dans les pays de l’Est.

ATTENDU QUE Philippe Couillard a été plusieurs années employé comme espion par les services de sécurité du Canada,qu’il a été à l’emploie du gouvernement dictatorial de l’Arabie Saoudite qui permet la libre circulation sur son sol de nombreux membres de groupes terroristes ,comme Al Qaïda,qu’il a déposé durant cette période ,des sommes d’argent importante dans un paradis fiscal,l’Ile de Jersey,pour se soustraire  aux impôts canadiens et québécois et qu’en plus,il a été en affaires avec Arthur Porter,un dangereux criminel en collet blanc qui a fraudé les fonds publics au Québec pour plusieurs millions de dollars .Arthur Porter qui devrait être ramené au Québec pour y subir un procès important ,mais qui est maintenu dans une chambre de luxe  dans une prison à Panama.Donc tout ceci l’élimine comme premier ministre respectable et suppose que des doutes élevés entourent son élection.Il est de la nature d’être un gentleman,une personne honnète et sans passé douteux lorsque nous parlons de personne respectable.Ce qui est loin d’être le cas avec le duo Couillard-Porter.L’enlever de son poste de premier ministre est un minimum.Aussi,je suggère qu’après avoir  ramener Arthur Porter au Québec,pour y subir son procès que nous l’offrions au gouvernement du Sierra Leone ou de lourdes charges seraient retenues contre lui,là-bas.Particulièrement,sur des détournements de fonds afin de fabriquer une arme bactériologique au moyen du virus d’Ebola.

ATTENDU QUE nous devons procéder à un grand nettoyage de l’appareil d’état afin d’extraire le crime organisé de nos institution,nous allons envoyer les résultats de cette pétition au Conseil Privé de Londres,à Sa Majesté ,la Reine Elisabeth II,au représentant de la reine ici au Québec,au tribunal International de la Hay et au directeur-général des Nations Unis.Nous allons  simplement espérer que quelqu’un quelque part prenne conscience  que nos droits démocratiques ont été bafoué dangereusement,ici au Québec que $40 milliards ont été  détourné de la Caisse de dépôt et Placement du Québec,que notre dette s’accroit à une vitesse vertigineuse et que nous venons de perdre 84,000 emplois depuis que le régime du Parti libéral du Québec est revenu au pouvoir.

Nous exigeons que Justice soit faite et que tous ces partis politiques  soient abolis que les criminels soient mis en prison et qu’un Comité  National de Transition soit mis en place sous supervision  impartiale.

Merci d’appuyer la Lutte de Libération du Peuple québécois en signant notre pétition et en la partageant avec tous vos ami(e)s dans le monde entier afin que tous puissent savoir ce qui se passe au Québec.

Michel Duchaine

citoyen du Québec

Chercheur et Diseur de Vérités

http://Michelduchaine.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Suis-je d’un autre siècle ,par Jacques Lanctôt

 

Election non reconnue

 

Un récent sondage sur les choix politiques des jeunes du Québec me surprend et me laisse pantois. Non seulement une majorité rejette le Parti québécois et aurait voté NON à 69% à l’occasion d’un référendum sur la souveraineté, mais ils sont 34% de ces mêmes jeunes à adhérer aux valeurs du Parti libéral du Québec, un parti corrompu à l’os comme le démontre de plus en plus les derniers squelettes que la commission Charbonneau sort du placard du PLQ jour après jour.

C’est bien simple, je n’y crois pas. Je ne sais pas où s’est constitué l’échantillonnage de ces 500 jeunes Québécois mais je doute fort qu’il soit représentatif de l’ensemble des jeunes de 18 à 24 ans. Il y a deux ans à peine, des centaines de milliers d’étudiants avaient exprimé leur dégoût des politiques libérales de Jean Charest et bravé la police, tout en faisant preuve de beaucoup d’imagination. À tel point qu’une grande partie de la population, des parents de ces mêmes étudiants, entre autres, les ont appuyés et sont descendus dans la rue à leur côté. Rien n’a changé depuis, malgré le bref intermède d’un gouvernement minoritaire du Parti québécois qui n’a pas pu faire grand-chose en dix-huit mois.

Alors je doute et me demande si ce sondage n’avait pas pour but de nous faire oublier les perquisitions à répétition au siège du Parti libéral du Québec et chez des membres éminents de ce parti.

Je doute mais aussi je me questionne sur moi-même, sur mon demi-siècle de militantisme, d’appartenance sans faillir à un projet de société on ne peut plus noble, à courir, à crier, à souffrir en prison et en exil, à brandir des pancartes, à affronter les forces de l’ordre, à trébucher et à me relever. Pourquoi ai-je été et suis-je encore indépendantiste depuis cinquante ans? Qu’est-ce que ça signifie? Qu’est-ce que ça signifiait être indépendantiste en 1963? Suis-je carrément «à côté de la track» depuis tout ce temps? Suis-je buté ou obsédé par une chimère?

Pourquoi cette idée a-t-elle connu un essor considérable à partir des années soixante parmi les gens de ma génération, alors que nous bousculions l’ordre établi – le seul fait de se dire Québécois et non pas Canadien ou Canadien français constituait un crime, un scandale, un outrage – pour stagner maintenant et ne plus intéresser la génération des 18-24 ans? Le projet pourtant est toujours aussi noble: l’indépendance d’un peuple qui veut avoir le droit de décider de son destin par lui-même, en fonction de ses besoins, de sa culture, de son histoire, de sa langue, comme tant d’autres l’ont fait avant nous. Tous les autres partis politiques s’y opposent, y compris Québec solidaire qui joue sur les deux tableaux pour aller chercher des votes, un jour souverainiste, le lendemain fédéraliste derrière le NDP/NPD.

Dans le Québec des années soixante, nous risquions la prison pour nos idées, on nous matraquait, on nous ostracisait, on nous fichait et on nous marginalisait. Le film Les ordres, c’est de la petite bière en comparaison de la réalité. Aujourd’hui, en 2014, le projet indépendantiste a-t-il à ce point dégénéré qu’il suscite tant d’indifférence et de rejet? Tant que l’indépendance n’est pas faite, elle reste à faire, répétait sans cesse le poète Gaston Miron.

Pourtant, des jeunes s’affirment pour prendre la relève, comme Martine Desjardins et Léo Bureau-Blouin, entre autres. Au Chili, on a vu une figure charismatique des batailles étudiantes de 2011, la jeune Camila Vallejo, être élue aux dernières élections sous la bannière d’un vieux parti, le Parti communiste, qui représente encore les espoirs d’un monde meilleur.

Parfois, on me salue dans la rue, on me dit que je représente quelque chose à leurs yeux. Je ne veux pas être considéré comme un monument avec épitaphe et placé hors du temps. Je veux être de mon temps et non pas d’un autre siècle, sans mémoire qui flanche. Je me souviens, oui. Mais dans le feu de l’action.

Article de Jacques Lanctôt ,sur Canoe.ca

 

Ils sont tous pareils et corrompus par le pouvoir de l'argent.
Ils sont tous pareils et corrompus par le pouvoir de l’argent.Ce que Jacques Lanctôt que je considère comme un ami et un patriote ,devrait constater ,c’est que nous faisons face et trempons dans un système politique érigé sur la corruption  qui est toujours une colonie survivante de l’Empire Britannique.,la derrière encore active.Il faut donc abattre ce système avant de mourir,car il va surement nous tuer,si nous ne bougeons pas.

Élections 2014 -Changements climatiques : la CAQ, le PLQ et le PQ n’obtiennent pas la note de passage

changements-climatiques_sn635

 

 

Des groupes environnementaux, dont Nature Québec et la Fondation David Suzuki, ont fait passer un questionnaire sur la lutte contre les changements climatiques aux partis politiques qui souhaitent prendre le pouvoir lors du prochain scrutin au Québec. Résultat : selon leurs critères, la moitié des formations n’obtient pas la note de passage.

À la lumière des réponses aux 17 questions posées aux partis, si les environnementalistes observent qu’il existe un certain consensus sur les cibles de réduction des gaz à effet de serre, ils notent un clivage entre les partis sur la question de l’exploitation et de la consommation pétrolières dans la province.

Les notes obtenues par les partis :

  • Québec solidaire : 98 %
  • Parti vert du Québec : 96 %
  • Option nationale : 75 %
  • Parti québécois : 46 %
  • Parti libéral du Québec : 32 %
  • Coalition avenir Québec : 28 %

 

Des réductions de GES de 20 % à 40 %

Les groupes environnementaux constatent que presque tous les partis se sont engagés à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 20 à 40 % d’ici 2020 par rapport au niveau de 1990.

« Toutefois, il existe des différences significatives entre les partis quant à la compréhension du problème et l’urgence pour le Québec de contribuer à sa solution et à prendre le virage qui s’impose », estime Marie-Claude Lemieux, directrice pour le Québec du Fonds mondial pour la nature.

Les groupes, qui soulignent que ces notes sont dévoilées au lendemain de la publication d’un rapport alarmant du GIEC sur les changements climatiques, déplorent le peu d’importance accordée à cet enjeu au cours de la présente campagne électorale.

Pour Patrick Bonin, de Greenpeace, si les partis émettent de bonnes intentions, il importe qu’ils « passent de la parole aux actes ». Il souligne que si plusieurs partis proposent des objectifs de réduction, ils n’avancent que peu de moyens concrets pour les atteindre.

« Il est ahurissant que si peu d’importance ait été accordée à la question climatique dans la présente campagne électorale, en particulier chez les partis qui mènent dans les sondages. Nous espérons que le récent rapport du GIEC réveillera les partis qui ont échoué le test et qui manquent d’ambition pour briser notre dépendance au pétrole. »— Patrick Bonin, de Greenpeace

Division sur la question du pétrole

Les groupes environnementaux constatent un « clivage net » entre les partis qui s’opposent à l’exploitation du pétrole de schiste d’Anticosti (Québec solidaire, Parti vert du Québec, Option nationale) et ceux qui souhaitent « à la fois réduire la consommation de pétrole et foncer sans débat dans l’aventure pétrolière d’Anticosti », position qu’ils associent au PQ et à la CAQ. Quant au PLQ, les groupes affirment que la formation « n’a pas d’objectif de réduction de consommation du pétrole ».

Pour Christian Simard, de Nature Québec, « il est pourtant de première importance que la classe politique québécoise résiste aux chants des sirènes des marchands de pétrole et concentre sa lutte aux changements climatiques sur ce qui fait sa force, soit l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables ».

 

Autobus électrique de la STL.
Autobus électrique de la STL.

En outre, les groupes estiment que la lutte contre les changements climatiques passe notamment par un virage vers les transports collectifs. « Malgré certains engagements intéressants en matière de transports collectifs et d’électrification des transports, il faudra bien plus pour atteindre la réduction de GES urgente demandée hier par le GIEC », déclare André Bélisle, président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA).

Du positif…

Des mesures avancées par les partis politiques sont tout de même qualifiées de « dignes de mention » par les groupes environnementaux. Ils soulignent notamment l’engagement des libéraux à commander une évaluation environnementale stratégique sur l’ensemble de la filière de l’exploitation des hydrocarbures, et l’opposition de Québec solidaire à toute forme de transport de pétrole en provenance des sables bitumineux sur le territoire québécois.

Les groupes mentionnent aussi l’engagement de certains partis visant à interdire la fracturation hydraulique pour le pétrole et le gaz de schiste sur tout le territoire de la province. Finalement, ils font ressortir que plusieurs partis se sont engagés « à une stratégie énergétique qui prend en compte les perspectives de demande à long terme », misant sur l’expertise développée au Québec sur le plan des nouvelles énergies propres, des technologies d’efficacité énergétique et de l’économie d’énergie.

 

Source:Radio-Canada

 

 

 

 

 

Élection 2014 au Québec-La Rive Nord en crise économique réelle… avant l’élection

Le nombre des pancartes de maisons à vendre surpassent de beaucoup les posters de François Legault sur le boulevard  le Bourg Neuf à Repentigny, dans le comté  du chef de la CAQ.
Le nombre des pancartes de maisons à vendre surpassent de beaucoup les posters de François Legault sur le boulevard le Bourg Neuf à Repentigny, dans le comté du chef de la CAQ.

L’ASSOMPTION

« Le gouvernement du Parti québécois a carrément abandonné les travailleurs », a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec François Legault, en réaction à la fermeture prévue de l’usine Electrolux à L’Assomption.

En effet,vendredi le 28 mars 2014,à quelques  jours d’aller voter au Québec,la direction de l’Usine Électrolux de L’Assomption  avait réuni tous les employés pour leur annoncer que le 16 juillet 2014,l’usine fermerait définitivement ses portes.Il faudra lancer rapidement des mesures d’aide pour la replacer des 1300 travailleurs licenciés d’Electrolux, dont la masse salariale pèse quelques dizaines de millions par année dans l’économie régionale.

Selon le patron nord-américain d’Electrolux, Billy Benson, qui s’est déplacé,en 2010 ,à  L’Assomption pour informer le personnel de l’usine, cette délocalisation s’inscrit dans le mouvement de mondialisation du marché.Retenez bien ce mot:mondialisation!

«Les principaux fabricants d’électroménagers ont réduit leur structure de coûts en s’installant dans des marchés à moindre coût», lit-on dans le communiqué officiel.

Parmi les intervenants de l’économie locale, on dit connaître depuis des années les «défis de productivité» auxquels est confrontée l’usine d’Electrolux, ce qui en a fait d’ailleurs une priorité de suivi et d’intervention.

Depuis  2010 ,les deux députés qui se sont succédés  Scott McKay (qui  a déménagé à Repentigny en 2012 lors de l’arrivée de François Legault dans le décors) et François Legault lui-même le chef de la CAQ. Ces deux politiciens   professionnels et rompus aux manoeuvres électoralistes n’ont fait que multiplier les séances ,les rencontres,les prises de photos etc…mais n’ont jamais  fait avancer ces dossiers et les travailleurs d’Électrolux sont laissés à eux-mêmes.

 

À partir de maintenant,la direction des Ressources humaines d’Electrolux commencera les congédiements des 1300 employés à son usine L’Assomption.Une seconde vague de départs aura lieu en mai;longtemps après l’élection.D’ici le 18 juillet ,beaucoup de gens auront oubliés les « postures de madones outrées et les fausses promesses   » que tous savent fausses et dont tout le monde se complaît à  jouer à l’autruche et suivre le troupeau de moutons.Tout le monde que j’ai rencontré au début de cette élection,connait  les difficultés de l’économie nord-américaine et beaucoup a de gens appréhendent une crise économique majeure.

SEULEMENT DES PROMESSES DE PERPÉTUER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE

François Legault,le plan B des Illuminati au Québec...en cas de défaillance des libéraux.
François Legault,le plan B des Illuminati au Québec…en cas de défaillance des libéraux.Ce  plan actuellement fonctionne avec la complaisance des médias contrôlés par Pierre-Karl Péladeau et Power Corporation.

Rappelons que le chef  caquiste  a annoncé qu’un gouvernement de la Coalition Avenir Québec mettra en place un fonds financé entre autres par la réorganisation de certains crédits d’impôt aux entreprises, visant à attirer de nouveaux investisseurs. Ce fonds sera administré par Investissement Québec, de concert avec les besoins du milieu. « Je m’engage à travailler pour les familles qui seront touchées par cette fermeture et à tout mettre en œuvre pour créer de nouveaux emplois payants, dans la région », a ajouté le chef de la Coalition Avenir Québec.

 

Le rêve de grandeur de François Legault  se dresse à partir de ce postulat dérisoire et utopiste: un des grands objectifs du Projet Saint-Laurent (la bible des caquistes que François Legault s’est amusé à écrire dans ses temps libres à l’Assemblée Nationale) , le plan de relance du Québec proposé par François Legault, inclut la création d’emplois de qualité et payants. Ce projet passera par l’émergence d’une Vallée de l’innovation, qui comprendra 20 zones d’innovation, dont une dans la région de Lanaudière.Ce sont exactement le même genre de promesses que l’on entend depuis le début de la frauduleuse « Révolution Tranquille » de Jean Lesage qui marque les débuts de l’emprise néolibéraliste  sur le Québec.

LA MONDIALISATION A PARLÉ  ET LE QUÉBEC SERA MIS AU PAS

Dans la semaine du 12 novembre 2013 , Electrolux avait  annoncé dans un communiqué que 500 travailleurs de l’usine de Memphis,au Tennessee, avaient commencé la fabrication de produits ménagers.

 

La facade de l'usine d'Electrolux à Memphis au Tennessee.Electrolux est l'hôte d'une journée portes ouvertes et inauguration aujourd'hui pour sa nouvelle usine de Memphis. Jack Truong , président et chef de la direction d'Electrolux Major Appliances North America, le gouverneur Bill Haslam , Memphis maire AC Wharton et maire du comté de Shelby Mark Luttrell sera présent. La construction de la nouvelle installation $ 266 000 000 a commencé en Octobre 2011, et l'usine produit maintenant des appareils de cuisine à domicile. L'usine emploiera environ 1200 personnes une fois qu'il atteint sa pleine production. En Novembre, les premiers produits fabriqués à Memphis sorti de la ligne d'assemblage.
La facade de l’usine d’Electrolux à Memphis au Tennessee.Electrolux était  l’hôte d’une journée portes ouvertes,le 9 janvier 2014 et inauguration  pour sa nouvelle usine de Memphis.
Jack Truong , président et chef de la direction d’Electrolux Major Appliances North America, le gouverneur Bill Haslam , le maie de Memphis AC Wharton et  le maire du comté de Shelby ,Mark Luttrell étaient  présent.
La construction de la nouvelle installation est estimé à  $ 266 millions et  a  été commencé en Octobre 2011. L’usine produit maintenant des appareils de cuisine à domicile. L’usine emploiera environ 1200 personnes une fois qu’il aura  atteint sa pleine production.
En Novembre  2014 , les premiers produits fabriqués à Memphis sortiront de la ligne d’assemblage.

 À Memphis,Electrolux a reçu un nombre remarquable de cadeaux financiers qui lui permettent de fonctionner avec une grande efficacité capitaliste.Pendant que nos politiciens  nous  faisaient tourner en rond,la ville de Memphis y est allé à vitesse « Grand V » dans l' »exposure » d’un  admirable projet qui va  permettre de perpétuer,pendant une courte période dans le futur,le mythe de « l’American Way Of Life ».

 

 

Vidéo de l’ouverture de l’usine Electrolux ,à Memphis: VIDEO

 

 

Ce vidéo nous montre des patrons et des employés avec le sourire et fiers d’eux-mêmes.Dans quelques années,on ressortira ce vidéo à Memphis et  on le montrera comme une grande réussite économique et une preuve du savoir-faire américain  pour créer de la croissance économique.Tout comme George Walter Bush,on enseignera aux enfants des travailleurs de cette usine qu’il ne faut pas regarder les effets collatéraux d’une victoire diplomatique sur un front économique qui sera devenu une jungle anarchique.On leur dira peut-être même que c’est grâce à Dieu  que tout c’est accompli.

Je propose aux travailleurs et travailleuses de l’usine Electrolux de L’Assomption qui risquent fort d’aller grossir la masse des assistés sociaux dans un futur   très proche,de  rester en contact ensemble,de créer une association et de prévoir d’envoyer une délégation à Memphis,au Tennesse d’ici 10 ans.Cette délégation pourrait rencontrer des journalistes et des travailleurs d’Electrolux là-bas,afin de leur expliquer  la misère qu’aura produit chez nous,la mondialisation et l’esclavage social relié à la lutte  pour maintenir la croissance économique aux États-Unis d’Amérique.Je leur suggère d’emmener avec eux,des photos grandeur nature de François Legault et de Scott McKay pour leur montrer quels politiciens inaptes ,corrompus,imbus de leur petite personne ,retors,millionnaires et menteurs nous avons dans notre environnement québécois.Je leur suggère d’emmener aussi des photos  de leurs enfants et de l’environnement qui a été détruit par l’existence chez nous ,de l’entreprise Electrolux.

Pendant ce temps-là,François Legault,le chef de la CAQ,ancien ministre péquiste qui d’homme d’affaire est devenu  politicien aguerri ,sera à sa retraite dorée avec les $10 millions qu’il a accumulé en étant toute sa vie,une partie du problème dont ont hérité les citoyens québécois durant sa fructueuse carrière sans scrupule.Il fera partie avec Pauline Marois ,Jean Charest,Françoise David,Amir Khadir et Philippe Couillard ,d’un club sélect d’anciens politiciens qui vont vivre  le reste de leur vie ,comme des sangsues sur le dos du peuple québécois.

Des employés d’Electrolux à Memphis, Tennessee, montent  déjà des cuisinières sur les lignes de montage.
Des employés d’Electrolux à Memphis, Tennessee, montent déjà des cuisinières sur les lignes de montage.

 

Pendant qu’à Memphis ,les nouveaux employés d’Electrolux se voient offrir des plans avantageux pour devenir propriétaires d’une des nombreuses maisons à vendre là-bas,François Legault,prenant des airs  phalangistes dignes d’un Franco crie à tout rompre:

« Il est inacceptable que le gouvernement Marois se contente d’agir en spectateur devant cette catastrophe humaine, sociale et économique. À ce jour, à peine 600 000$ ont été investis pour contrer la perte éventuelle de 1300 emplois directs et plus de 450 emplois indirects, pendant que le gouvernement n’a pas hésité à investir $450 millions en Gaspésie pour la création éventuelle de 400 emplois. Le Parti Québécois a prouvé encore une fois l’incompétence de son équipe économique. Dans une situation aussi dramatique, le gouvernement a l’obligation d’assumer son leadership afin de mettre en place toutes les mesures nécessaires favorisant la création d’emplois de qualité ».

C’est la vieille technique connue depuis des années.Justement George W. Bush la connaissait bien: on  crée le problème  en utilisant  un intermédiaire  ,de préférence des hommes de confiance…ou bien on  voit venir un problème  de loin ,on le prévoit , mais on laisse pourrir  les événements en mentant à tout le monde (ou en  falsifiant la vérité)  sur les origines du même problème.Ensuite,après avoir  fabriqué de toutes pièces un faux,mais volumineux dossier,on se présente comme le sauveur du peuple en promettant tout ce qu’on rêve d’entendre.Il s’agit d’être fin renard et de ne jamais trop parler de la vérité et des conséquences de ce que l’on a fait ou …de ce que l’on a omis de faire.

Ce que  François Legault oublie de dire ici,c’est ce qu’il a fait…ou omis de faire pour régler ce problème qu’il connaissait surement depuis le début.François Legault  par son expérience suffisamment longue comme ministre et homme de confiance de Jacques Parizeau,de  Lucien Bouchard,de Bernard Landry et pour avoir travaillé avec Madame Pauline Marois ne peut prétendre qu’il ne savait rien de tout ce qui s’en venait,à L’Assomption.Il fait parti du problème et non de la solution du même problème.

Partout sur le Bourg Neuf ,à Repentigny,l'on peut apercevoir les pancartes à vendre sur le plus récent boulevard "totalement bâti" à Repentigny. Notons au passage qu'il ne reste presque plus d'espace de terrains pour encore  construire des maisons. Les empntreprises de syndic de faillites vont faire fortune avec l'augmentation prévisible des taux d'intérêts.
Partout sur le Bourg Neuf ,à Repentigny,l’on peut apercevoir les pancartes à vendre sur le plus récent boulevard « totalement bâti » à Repentigny.
Notons au passage qu’il ne reste presque plus d’espace de terrains pour encore construire des maisons.
Les empntreprises de syndic de faillites vont faire fortune avec l’augmentation prévisible des taux d’intérêts.

 

EN CONCLUSION

On promet des milliers d’emplois aux citoyens et citoyennes de L’Assomption

 

Les candidats  à l'élection dans L'Assomption:François Legault (coin gauche en haut),Pierre Paquette (Parti québécois,en  haut à droite),Marc Bergevin (Parti libéral corrompu du Québec à gauche en bas) et Sylvain Fournier (QS  à droite en bas).En commun,ils ont tous un beau sourire et ils mentent comme ils respirent.
Les candidats à l’élection dans L’Assomption:François Legault (coin gauche en haut),Pierre Paquette (Parti québécois,en haut à droite),Marc Bergevin (Parti libéral corrompu du Québec à gauche en bas) et Sylvain Fournier (QS à droite en bas).En commun,ils ont tous un beau sourire et ils mentent comme ils respirent.

Si les élections continueraient encore pendant une semaine de plus,on ferait des promesses  de créer plus d’emplois qu’il y a de citoyens,à L’Assomption.

En plus de Legault qui promet  …tenez vous bien …7,600 emplis s’il est élu,il y a:

Pierre Paquette (PQ)

Du côté du candidat du Parti Québécois, Pierre Paquette précise que le gouvernement s’est engagé dans une Politique économique en quatre axes à l’automne dernier évalué à 2 G$ et qui créera à terme 43 000 nouveaux emplois d’ici 2017. On parle d’une Politique en recherche et développement, l’accompagnement de plus de 300 entreprises afin d’augmenter leur productivité, augmenter le pourcentage du PIB via l’exportation de produits et l’électrification des transports.

Pour ce qui est d’Electrolux, Pierre Paquette soutient que Pauline Marois a rencontré la préfète de la MRC de L’Assomption, Chantal Deschamps, vendredi dernier lors de son passage, afin de lui réaffirmé son soutien. «En principe, on appui les trois axes et les quatre projets, mais il y a encore des discussions à avoir», a-t-il affirmé.

Jean-Marc Bergevin (PLQ)

Le candidat du Parti libéral du Québec (PLQ), Jean-Marc Bergevin parle de deux programmes mis en place par son parti qui généreront beaucoup d’emplois, soit le Programme d’infrastructures évalué à 15 G$ de même que le crédit d’impôt sur la rénovation domiciliaire.

Impossible, par contre de savoir combien d’emplois exactement dans ces deux domaines, ni combien pour la région. «Ça dépend de combien de projets vont être entamés dans la région», dit-il.

Dans le cas d’Electrolux, Jean-Marc Bergevin se dit préoccupé par le sort des employés d’Electrolux. «Dans le plan dévoilé, il n’y a rien pour les employés d’Electrolux. Je veux voir s’ils ont un plan à ce niveau», a-t-il mentionné.

Sylvain Fournier (QS)

Pour le candidat de Québec Solidaire, Sylvain Fournier, l’emploi passe définitivement par une économie plus verte. «Nous avons sorti un plan pour réduire notre dépendance au pétrole, mentionne-t-il. Si on veut générer des emplois, il faut se tourner vers une économie verte. Le transport en commun générera 10 000 nouveaux emplois pour le Québec d’ici 2020 en plus de 145 000 additionnels dans la construction, tout cela encore d’ici 2020.»

Québec Solidaire promet d’investir 3 G$, ce qui correspond à 1 % du PIB du Québec.

 

Cette élection commence à ressembler au cirque de la WWF dans ces pires années quand tout le monde savait que les lutteurs étaient des menteurs,de bons comédiens et qu’ils étaient tous drogués.

 

À L’Assomption,montrons qu’on est fatigué  de voir qu’on prend encore  » les  Enfants du Bon Dieu pour des Canards Sauvages…,il ne reste qu’une solution :

 

N’ALLONS PAS VOTER! FAISONS N’IMPORTE QUOI SAUF VOTER  POUR DES CORROMPUS ET DES MENTEURS DE LA SORTE!

 

Élections 2014 bbb

 

Élections 2014 au Québec: Retour en force des habitudes criminelles des partis politiques actuels

Pierre Duchesne
Pierre Duchesne

Détournements de fonds:

MONTRÉAL,le 25  mars 2014  – Le Parti québécois (PQ) a déposé une plainte auprès du Directeur général des élections (DGEQ) en lien avec une activité de financement du Parti libéral du Québec (PLQ).

L’activité aurait permis d’amasser 428 000 $ et ne se trouverait pas dans les états financiers du PLQ, indique le candidat péquiste Pierre Duchesne. Le PQ dit avoir fait des recherches pour les y trouver.

Quant aux informations sur l’activité, elles sont tirées des documents de perquisition de l’UPAC et ont été révélées par les médias il y a plusieurs semaines déjà.

M. Duschesne croit que le Québec serait plongé dans un véritable «cauchemar» advenant une victoire libérale aux élections. Il demande aux Québécois s’ils sont prêts à revivre une succession d’allégations à l’encontre des libéraux «toutes les semaines».

M. Duchesne s’est défendu d’avoir attendu tard en campagne pour annoncer cette nouvelle alors que toutes les informations étaient connues.

 

…………………………………………………….

Dossier intégrité

 

 

Les chefs politiques du Québec font pitié
Les chefs politiques du Québec font de plus en plus pitié.

Philippe Couillard a invité, mardi, les autres chefs de parti à dévoiler leur rapport d’impôt et un bilan chiffré de leurs actifs ainsi que ceux de leurs conjoints(es). Un défi que Pauline Marois et François Legault ne relèveront pas.

Couillard soutient qu’il n’a rien à cacher. Il s’est engagé à dévoiler, d’ici le prochain débat, sa plus récente déclaration d’impôts (2012) alors qu’il était toujours dans le privé et un bilan détaillé de tous ses actifs et ceux de son épouse. Les informations seront diffusées sur le site web du Parti libéral.

«Vous allez voir que ce n’est pas très compliqué, j’ai une maison et des REER», a-t-il évoqué. Il a ensuite invité ses adversaires à suivre son exemple. «J’ai bien réussi dans la vie, je ne dis pas que je suis pauvre, vous allez voir tout ce que j’ai et on pourra comparer», a mentionné le neurochirurgien de formation.

À l’écouter parler,ce n’est pas payant être médecin,de travailler comme espion et de servir de domestique aux  potentats  d’Arabie Saoudite.Nous,le peuple,sommes une bande d’imbéciles heureux.

UNE «DIVERSION» SELON MAROIS ET LEGAULT

 

La chef péquiste Pauline Marois a décliné l’invitation de M. Couillard qui va trop loin selon elle. Sa déclaration d’intérêts suffit. Pas question de dévoiler l’ensemble de ses actifs chiffrés ni ceux de son conjoint. Elle associe la manœuvre à une diversion et a rappelé qu’elle a déjà déposé tous les documents requis au Commissaire à l’éthique.

«Il y a un code d’éthique que je respecte strictement, a-t-elle dit. Je crois qu’en demandant cela, il remet en question l’intégrité du commissaire à l’éthique qui est garant que nous respectons le code.»

Après avoir manifesté son ouverture, le chef caquiste François Legault a changé son fusil d’épaule, n’ayant visiblement pas compris, dans un premier temps, la nature de la demande de M. Couillard. Il juge que le dévoilement de son rapport d’impôt suffit et a accusé à son tour le chef libéral de vouloir créer une «diversion».

Lors de la dernière campagne électorale, en 2012, Mme Marois et M. Legault avaient accepté de dévoiler leurs déclarations de revenus au provincial. Ironiquement, le prédécesseur de M. Couillard, Jean Charest, avait refusé de le faire.

On peut  se poser la question : c’est quoi le problème d’inverser les rôles?Est-ce qu’on a changé de comptable…y aurait-il double standard?

…………………………………………………………………………..

Philippe Couillard et le pouvoir occulte des mass médias  capitalistes et « canadian »

 

Philippe Couillard,dit le corrompu et le "pôvre" neurochirurgien espion de l'Arabie Saoudite.
Philippe Couillard,dit le corrompu et le « pôvre » neurochirurgien espion de l’Arabie Saoudite.

L’article qui suit a été écrit par Jacques Lanctot

Qu’est-ce qu’ils attendent, les journalistes, pour poser les vraies questions à Philippe Couillard, celui qui aspire à être premier ministre du Québec. 

Comme ils sont mignons et candides, ces journalistes, ceux de Radio-Canada tout particulièrement, lorsqu’ils rapportent les propos agressifs de Philippe Couillard. M. Couillard dit parler avec «ses tripes, ses viscères» et moi je lui dis qu’il y a un endroit pour le faire et c’est aux toilettes. 

Cet homme veut détruire le Québec et sa culture en voulant faire du Québec une province comme les autres, mais les journalistes radio-canadiens ne trouvent rien à redire à ce beau programme libéral, car leur mission première, comme le soulignait Gilles Duceppe, est de défendre d’abord et avant tout les valeurs sociales, culturelles et politiques du Canada. Pour l’objectivité, on repassera.

Comme ils sont mignons et candides lorsqu’ils parlent de Québec solidaire et interviewent sa chef, Françoise David, qui se comporte en gérant d’estrade ou en mouche du coche. QS est devenu l’allié du Parti libéral du Québec malgré son discours soi-disant de gauche. Les stratèges qui s’activent en coulisse, ceux qui ont pour mission de défendre bec et ongles l’unité canadienne, journalistes, politiciens et agents de la sécurité fédérale, savent qu’accorder plus de visibilité à QS, malgré ses 7 ou 8 %, ne peut que gruger l’électorat du Parti québécois dans ces comtés fragiles où chaque vote va être déterminant pour un gouvernement majoritaire péquiste. Ça, QS ne peut pas ne pas le savoir, mais il persiste et signe au nom d’un purisme qui fait fuir même ses alliés naturels.

Puis on ressort Chantal Hébert et Liza Frulla pour commenter l’actualité politique québécoise, deux personnes reconnues pour leur grande impartialité, mais on met le journaliste d’enquête Alain Gravel au repos. Pourtant, Radio-Canada n’a pas à suivre les consignes que s’est données la commission Charbonneau pendant la campagne électorale. Il y a deux semaines à peine, l’UPAC rendait publics des documents saisis en novembre dernier au siège du PLQ et dans des entreprises appartenant à Marc Bibeau, le grand argentier du parti de Philippe Couillard. On y apprend que plus de 700 000 $ (de l’argent sale, on s’entend) ont été remis à ce même parti. Mais comme on dit dans le langage judicaire, les noms ont été caviardés. Un beau défi pour des journalistes qui pourraient enquêter «sur le rôle occulte qu’aurait joué Marc Bibeau dans le financement illicite du PLQ et les stratagèmes de collusion» (Le Devoir, 4 mars 2014). 

Mais non, c’est plus facile de gloser sur le manque d’éthique de Pierre Karl Péladeau et de Pauline Marois que de se questionner sur le fait que ce même M. Bibeau, ami de Jean Charest et stratège du PLQ, siège au conseil de la Société financière Power, propriétaire du quotidien La Presse, aux côtés de Paul Desmarais Jr. M. Bibeau, ce n’est sûrement pas un deux de pique. 

Pourquoi ne pas demander à ce journaliste spécialiste des faits divers et reconnu pour sa pensée profonde, Patrick Lagacé, d’enquêter sur les liens incestueux entre ses patrons et le PLQ? Vaste programme, trop vaste même. On comprendrait sans doute mieux comment il se fait que La Pressea changé subitement la question qu’elle posait en ligne, mardi dernier: «Selon le candidat-vedette du Parti québécois, Pierre Karl Péladeau, « l’indépendance du Québec doit se faire. Un peuple, une nation, est légitimement en droit d’avoir un pays. » Êtes-vous d’accord avec M. Péladeau à ce sujet?» Vers 14 h, 64% des répondants étaient d’accord avec cette affirmation. C’en était trop, on a fait disparaître ce sondage maison pour le remplacer par un autre. Un détail. On appelle cela le contrôle de l’information. Aurons-nous droit à une caricature de Chapleau? Sacré Chapleau! Apolitique, mais du bon bord.

Comme disait quelqu’un sur Facebook, si PKP utilisait vraiment tous les médias qu’il possède pour favoriser l’idée d’indépendance, nous aurions droit à un véritable équilibre. Mais nous n’en sommes pas là. Par contre, Radio-Canada et La Presse ne se gênent pas pour détruire allégrement le projet d’un Québec souverain, avec la complicité de QS, un repère de la soi-disant gauche pure et dure mais qui ne fait pas peur à l’establishment. D’ailleurs, le DGE devrait, à mon avis, comptabiliser les articles de La Presse comme dépense électorale du PLQ.

Source:Canoe

En conclusion:

La roue continue et le tournage en rond   combiné au jeu de  la chaise musicale entre  le PQ et le PLQ  se poursuit.Tout se passe comme si nous n’étions pas assez éveillé pour comprendre leur petit jeu …de faire semblant.Nous assistons ,nous …le peuple québécois  écrasé par les taxes et la mauvaise gestion qui est en fait un complot  pour nous déposséder,à une mauvaise représentation  d’un numéro de cirque en faillite.Le petit monde  de la « classe politicienne » forme une petite famille dont les membres se soutiennent entre eux,car  vous  l’aurez remarqué,ils vieillissent mal et seront rapidement mis à la retraite dorée …que vous allez leur payer ,le reste de  votre vie,sans vraiment profiter de votre propre retraite.

La politique québécoise est devenue un piège à cons…et ça marche depuis longtemps…trop longtemps!Ceux et celles qui pensent faire l’indépendance du Québec en votant pour le PQ  vont   sortir de leur rêve très vite…car ces partis marchent main dans la main et aucun n’a intérêt à changer quoi que ce soit en profondeur:ils vivent grâce au système colonial.