La Criminelle Arnaque du Covid 19: Une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars pendant que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer claironne : « 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

 

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

 

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnation symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1% de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille
Michel Chossudovsky

 

 

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

 

 

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer lui même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

 


EN COMPLÉMENTAIRE CRIMINELLE

Une étude exhaustive évaluée par des pairs indique que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid

Les anglais connaissent maintenant officiellement la supercherie ! quand allons-nous réagir ?

Une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Cardiovascular Research, revue à comité de lecture, attire l’attention sur les dizaines de millions de nouveaux problèmes de santé graves qui sont apparus dans le monde entier depuis le lancement de l’opération Warp Speed.

L’arrivée des “vaccins” contre le Covid-19 a déclenché une recrudescence de toutes sortes de maladies mortelles affectant le cœur, la peau et le cerveau, révèle l’article. Et la plupart de ces affections persistent au moins 90 jours après l’injection.

Pour leurs recherches, les scientifiques ont examiné les mêmes personnes avant et après l’injection afin de déterminer comment les injections modifiaient leur risque de développer de nouveaux problèmes de santé. Ils ont constaté qu’une personne moyenne a 21 % plus de chances de recevoir un nouveau diagnostic dans les trois mois suivant l’injection que dans les trois mois précédant l’injection.

 

 

 

“Avec près de 240 millions d’adultes américains vaccinés, cette augmentation se traduit par des millions de nouveaux problèmes médicaux dans les mois qui suivent la vaccination, et des dizaines de millions dans le monde entier”,

explique Alex Berenson sur son site Substack.

(Voir aussi : Moderna a lancé une nouvelle injection d’ARNm pour “réparer le muscle cardiaque” endommagé par ses injections de covidés).

L’effet secondaire le plus probable des injections de covid semble être la myocardite (et d’autres problèmes cardiaques)

Dans les trois mois suivant l’injection, le risque d’hypertension augmente de 25 %, selon l’étude. En ce qui concerne la dépression, l’eczéma, le diabète et la cellulite, le risque augmente de 10 à 20 % après l’injection par rapport à la période précédant l’injection.

Le risque le plus grave est la myocardite, explique l’étude. L’injection de covid augmente le risque d’inflammation cardiaque de 260 %, en particulier chez les hommes.

“La myocardite est un effet secondaire connu des ARNm, et le fait qu’il y ait eu un taux particulièrement élevé de diagnostics supplémentaires constitue une preuve solide que le signal trouvé par les chercheurs était réel”, écrit Berenson.

Au total, les chercheurs ont constaté que parmi les 284 000 adultes vaccinés qu’ils ont évalués, près de 6 000 affections nouvelles et supplémentaires ont été diagnostiquées dans les 90 jours suivant l’introduction de l’aiguille dans leur bras.

“Avec environ 237 millions d’adultes américains vaccinés, cette estimation se traduirait par environ 5 millions de diagnostics supplémentaires pour des problèmes tels que le diabète dans les trois mois suivant la vaccination”,

explique M. Berenson.

“À l’échelle mondiale, ce chiffre pourrait atteindre 25 millions.

Comme on peut s’y attendre, les médias et le gouvernement n’ont accordé que peu d’attention à ce document. En effet, ses conclusions contredisent le discours officiel selon lequel les injections de COVID sont “sûres et efficaces”.

Une autre étude réalisée à Hong Kong a également mis en évidence une forte augmentation des “poussées” auto-immunes après l’injection de covidine.

Les nouveaux épisodes de lupus, de polyarthrite rhumatoïde et d’autres maladies auto-immunes graves montent en flèche à la suite de ces injections.

Cette étude a spécifiquement identifié les injections d’ARNm comme étant les coupables.

Les injections de virus inactivés de type chinois n’ont pas eu les mêmes effets, ce qui prouve que les types d’injections de Moderna et de Pfizer-BioNTech sont peut-être les injections de COVID les plus dangereuses qui soient.

“Les Américains n’ont pas cette possibilité, car les États-Unis n’autorisent pas l’utilisation des vaccins Covid inactivés chinois”, note M. Berenson, qui explique que les Américains ont reçu les pires des pires “vaccins”, tandis que la Chine communiste a reçu des vaccins “plus sûrs”.

Dans la section des commentaires, quelqu’un a écrit qu’il avait souffert d’un blocage cardiaque quelques semaines après avoir été vacciné par Pfizer. Il a fini par recevoir un stent. Son beau-frère a également été victime d’une crise cardiaque après sa troisième piqûre, tandis que sa sœur a subi deux accidents vasculaires cérébraux après la sienne.

“Les personnes que nous connaissons ont développé plusieurs allergies alors qu’elles n’en avaient jamais eu auparavant”, ajoute cette personne. “On ne peut pas expliquer cela de manière cynique en disant qu’il s’agit de simples coïncidences.

Vous souhaitez vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant les médicaments mortels proposés par Big Pharma ? Vous pouvez le faire à l’adresse suivante : BadMedicine.news.

Source

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La politique Covid n’est qu’une falsification de chiffres

Dans les révélations du journal anglais, The Telegraph, nous apprenons que les décisions de confinement Covid n’ont en rien été sanitaire mais politique.
Nous retrouvons le même constat avec l’étude menée par le statisticien Pierre Chaillot, qui démontre que sans augmentation des décès en 2020, il n’y avait aucune raison de confiner la population.
Le confinement est une expérience politique de conservation du pouvoir face à un ennemi invisible, tout comme l’était le terrorisme fabriqué de toutes pièces par la stratégie du Pentagone.
Matt Hancock, ancien ministre de la santé britannique, a déclaré (dans ses messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files) qu’il voulait « effrayer tout le monde » pour que nous nous comportions tous comme de braves petits soldats.

C’est ce que Macron nous avait décrit dans son allocution à la veille du premier confinement de mars 2020, « Nous sommes en guerre ».

Comme tout ceci est une « farce », Matt Hancock ministre de la Santé de Boris Johnson, avait même décidé de participer à une émission de téléréalité, « I Am A Celebrity » (« Je suis une célébrité »), diffusée sur ITV, aux côtés de l’ex-rugbyman Mike Tindall ou du chanteur Boy George. Il s’est justifié en disant « Tous les politiciens, et moi en particulier, ont une image très stricte et ce n’est pas la réalité ».

Pour conclure cette manipulation résumée par Pierre Chaillot :
« Les statistiques sur le Covid-19 ne valent rien ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les fausses maladies que les laboratoires inventent pour s’enrichir sur les gens en bonne santé

Leur stratégie est la suivante : les laboratoires se saisissent de troubles légers, de symptômes communs ou de petits désordres de la vie de tous les jours et en fabriquent des maladies de toutes pièces, à grand renfort d’études, de publications et d’arguments cliniques. Miracle : avant que la maladie ne soit découverte, ils disposent déjà du médicament !

Le sujet peut prêter à rire, mais c’est pourtant une réalité : les laboratoires pharmaceutiques inventent sans cesse de nouvelles maladies, dans l’unique but d’élargir leurs parts de marché et de nous vendre davantage de médicaments. Jouant sur un détournement pernicieux du lien de confiance (et de dépendance) qui unit le patient à son médecin, manipulant bien souvent le monde médical lui-même, les vendeurs de molécules, pour continuer à s’enrichir, n’ont plus d’autre choix aujourd’hui que d’étendre à l’infini le périmètre des maladies et des malades, faute de nouvelles inventions lucratives comme le furent en leur temps les génériques ou les antibiotiques.

Leur stratégie est la suivante : les laboratoires se saisissent de troubles légers, de symptômes communs ou de petits désordres de la vie de tous les jours et en fabriquent des maladies de toutes pièces, à grand renfort d’études, de publications et d’arguments cliniques. Miracle : avant que la maladie ne soit découverte, ils disposent déjà du médicament ! C’est ainsi que les nouvelles pathologies fleurissent de nos jours un peu partout, alors qu’elles ne sont parfois que des sommes de symptômes isolés qui existaient auparavant, véritables cadavres exquis.

Dans l’univers médical, on appelle ce type d’escroquerie le « façonnage de maladies » et plusieurs chaînes de télévision lui ont déjà consacré des documentaires, peut-être trop vite tombés dans l’oubli.

Ainsi, le reportage de Cash investigation intitulé « Les vendeurs de maladies » est consacré à deux fausses maladies qui ont fait relativement scandale dans la première décennie de notre siècle : le « syndrome métabolique », alias le « syndrome de la bedaine » et l’ostéoporose. Le premier aurait été découvert en 1995 et concernerait une personne sur quatre (sic). Tous les médias en ont parlé au moment où, en 2007, le géant Sanofi a prétendu avoir trouvé la solution : l’Acomplia, une molécule de son cru, évidemment. Mais qu’est-ce que le syndrome de la bedaine ?

En réalité, de l’hypertension, du cholestérol, du diabète et du surpoids qui, collés tous ensemble, ont donné naissance à un nouvel emballage capable de décimer des populations entières à coups d’infarctus, d’AVC, de kystes et d’hépatites. Enfin sur le papier.

 

En 2007, l’Acomplia est immédiatement mis sur le marché et les médecins, désinformés, se poussent pour le prescrire, alors que tous les outils pour soigner chaque symptôme existent déjà et ont prouvé leur efficacité. Vous vous en souvenez peut-être, de gigantesques campagnes de communication sont lancées, des dizaines de milliers de médecins sont démarchés, des fausses études, des articles trompeurs, des livres sont publiés à tout-va, relayés par les médias qui croient accomplir leur devoir d’information et d’intérêt général. C’est toute une machinerie de manipulation qui se met en route et tourne alors à plein régime. L’Acomplia engrange des millions. 

Mais au bout d’un an et demi, on s’aperçoit que le médicament a produit des effets secondaires graves chez un millier de patients en France, les médecins sonnent l’alerte. Troubles psychiatriques, délire, panique, agressions, insomnies, angoisses, tendances suicidaires, la molécule est devenue incontrôlable et fait dix morts, dont quatre par suicide. Le ministère suspend alors la vente du médicament. Le reportage nous apprend ensuite que Sanofi connaissait dès les essais cliniques les effets secondaires du médicament, mais que ceux-ci avaient été minorés par le laboratoire et ignorés par les autorités sanitaires qui, dans le doute, avaient agi en faveur du médicament.

Pour l’ostéoporose, à savoir la « détérioration des os à cause de la vieillesse », l’histoire est la même. D’immenses campagnes de contrôle des individus sont financées par des fondations ou des associations derrière lesquelles on retrouve toujours de grands laboratoires pharmaceutiques. Sur la base d’examens ultra-rapides et douteux, des équipes déterminent si la densité de vos os est égale ou inférieure celle d’une femme de trente ans, qui fixe la norme en vigueur.

 

Vous n’avez pas cette densité ? Vous êtes malade, vous avez l’ostéoporose, même si vous vous sentez en parfaite santé. Seulement, le médicament commercialisé par l’entreprise Merck ne réduit le risque de fracture brutale des os que chez une personne sur cent ; parallèlement, on découvre que quatre personnes sur cent sont susceptibles, au bout de quatre ans de traitement, de développer une nécrose de la mâchoire. Au lieu d’être utile, le médicament s’avère dangereux. 

Mais l’arnaque ne s’arrête pas à ces maladies. Elle touche tous les domaines de la santé, avec une prédilection pour le sexe et les maladies chroniques. Prenez le diabète et le cholestérol. Il y a trente ans, on était diagnostiqué diabétique quand notre glycémie dépassait les 140 milligrammes par décilitre de sang ; sauf qu’en 1997, un comité d’experts de l’OMS (qu’on sait très proche des laboratoires) décide de baisser le seuil à 126 milligrammes.

Résultat : des dizaines de millions de personnes à travers le monde deviennent tout à coup diabétiques. Idem pour le cholestérol : en 1998, le seuil est abaissé de 240 milligrammes à 200, projetant par là même 43 millions d’Américains dans la catégorie des malades et faisant augmenter les clients des laboratoires de 86 % aux États-Unis.

En France, il y avait en 1985 un million de personnes concernées par le cholestérol ; aujourd’hui, depuis que le seuil est passé de trois à deux grammes par litre de sang, il y en a sept millions. C’est une épidémie sur mesure, programmée pour vendre davantage de médicaments, avec la bénédiction des autorités sanitaires.

Dans le domaine du sexe, tout est désormais médicalisé. L’impuissance féminine, les difficultés d’érection, l’éjaculation précoce, la ménopause, l’andropause, la sécheresse vaginale et des milliers d’autres symptômes sont de plus en plus en voie d’intégrer les grandes classifications des maladies, à l’égal d’Alzheimer, des allergies, de la fatigue chronique, de la spasmophilie, de la dépression…

Pour chacune de ces fausses pathologies, les laboratoires possèdent un traitement ; et plus la maladie est nouvelle, plus le traitement est coûteux. La chute naturelle des cheveux chez les hommes, vieille comme le monde si l’on peut dire, est elle-même en passe de devenir une pathologie. De nos jours, 43 % des femmes de 18 à 59 ans souffriraient de dysfonctionnements sexuels, aurait révélé une étude menée par des experts aux conflits d’intérêt évidents. Voilà à quoi ressemble l’avenir : bientôt, nous serons tous malades de quelque chose et nous aurons tous besoin de médicaments.

C’est ce que montre un reportage de Sophie Bonnet : « Maladies imaginaires : le nouveau jackpot pour les labos ? » En vingt ans, depuis les années 2000, des centaines de nouvelles maladies ont été ajoutées aux anciennes dans le monde. Pour vous donner une idée, dans les années 1950, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) comportait 60 maladies ; aujourd’hui, ses 500 pages en comptent plus de 400, de la schizophrénie à la « phobie sociale », c’est-à-dire la timidité, considérée dès lors comme une maladie qu’on peut guérir par des antidépresseurs.

 

Encore une fois, on part d’une réalité somme toute normale et on fabrique une maladie, sans penser aux conséquences de cette médicalisation outrancière des individus, que l’on maintient dans une anxiété vertigineuse d’eux-mêmes, qu’on pousse à devenir hypocondriaques, parce que cet état est propice à la consommation de médicaments. Pire, c’est tout un système institutionnel de santé qui corrobore cette pathologisation des individus : quand un médecin ou un psychiatre prétend qu’on est malade, comment nous opposer ?

En France, 20 000 visiteurs médicaux écument en permanence les cabinets des médecins, s’immisçant dans tous les hôpitaux, dans les médias, les revues spécialisées, les pharmacies… Ce monde hautement lucratif de la santé est monopolisé par une bonne dizaine d’entreprises multinationales, qui déversent dans notre pays quelque 300 nouveaux médicaments par an.

Selon l’Inspection générale des affaires sociales, les laboratoires dépenseraient 25 000 euros par an et par médecin pour la promotion des médicaments, c’est-à-dire en trafic d’influence. Ils organisent des congrès, défraient les médecins qui y sont invités, financent certains d’entre eux pour gagner leur zèle, font courir des bruits sur les vertus d’une nouvelle molécule, le miracle d’un nouveau médicament, s’accaparent des revues scientifiques honorables, montent des fondations, font du mécénat, débloquent des opportunités…

Et même si les médecins sont de bonne foi, ils sont manipulés de toute part. Pour les autres, l’argent est le meilleur argument. 

 

En permettant que des mastodontes de la pharmacie existent, en les finançant grâce à l’argent public, en les laissant s’introduire dans toutes les institutions, nous avons donné naissance à un système monstrueux qui n’a plus rien à voir avec la noble cause de la santé. Les scandales du Mediator ou de la grippe A en 2009 nous l’ont montré : le corruption occupe tous les milieux, des laboratoires aux politiques en passant par les spécialistes, déterminés de concert à médicaliser le plus grand nombre d’individus, pourvu que la santé reste profitable.

Aujourd’hui qu’il existe une pilule ou une perfusion pour chaque chose, même pour les petits désordres de la vie courante qui ont toujours existé et qui devraient être réglés par le corps lui-même ou l’esprit, nous avons oublié que les médicaments sont dangereux, que s’ils tuent 18 000 personnes chaque année, c’est parce qu’ils consistent à modifier l’équilibre chimique de notre corps. De ce fait, ils doivent être utilisés avec le plus grand soin et ne jamais faire l’objet d’aucun compromis, d’aucun détournement.

En médicalisant le monde entier, les laboratoires espèrent s’enrichir sur les personnes en bonne santé. Dans ce chaos moléculaire, il n’existera bientôt plus que deux types de patients, comme le rappelle le reportage de Cash Investigation : ceux qui sont bel et bien malades et ceux qui ne le savent pas encore. Pour aller jusqu’au bout de leur stratégie, les firmes pharmaceutiques nous font peur, elles nous rendent étrangers à notre propre corps, craintifs de notre propre esprit.

Crainte du vieillissement, du suicide, de l’infarctus, peur de l’échec scolaire ou professionnel, de la solitude, de la tristesse, ce sont autant de terrains présents en chacun de nous et sur lesquels raffinent effrontément ces entreprises. Mais les aléas de la vie, les pannes sexuelles, le passage de la jeunesse à la vieillesse ne sont pas des symptômes et ne font pas de nous des malades : au contraire, c’est l’être humain tout entier, c’est notre humanité elle-même. La véritable maladie, ne serait-ce pas plutôt la voracité et le gigantisme de ces titans de la pharmacie ?

– Source : La Relève et La Peste

 

 

 

 

 

 

La logique de la priorité du profit sur la vie humaine :le système carcéral

prison us

La logique suit un principe tout simple et indéniable.

1- Les entreprises cherchent les profits.

2- Elles sont prêtes à tout pour les garder ou les augmenter.

Si on instaure un système de maladie où la maladie est payante comme dans notre système actuel (et que la santé ne rapporte rien $) et bien je  vous assure que  vous verrez  de plus en plus de maladies. C’est logique et incontournable.

C’est la même chose pour le crime. Si on privatise des prisons, comme aux USA, tu verras de plus en plus de crimes, criminels et incarcérations. Et comme de fait, le nombre de prisonniers a décuplé (10 fois) en dix ans aux USA alors que tous les endroits dans le monde où le système carcéral est déficitaire, le nombre baisse.

Résultat: 23% de tous les prisonniers dans le monde se retrouve aux USA, au grand plaisir des actionnaires. (Il sont la moitié de 1% de la population mondiale aux USA mais 23% de la population carcérale mondiale.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_population_carc%C3%A9rale

La méthode que les lobbies ont employés pour y arriver fut la fameuse campagne « Tolerance Zero ». Sachant que les PDG des cies cotées en bourse sont obligés par la loi à toujours mettre les intérêts des actionnaires en premier, les profits deviennent une loi!

C’est la même chose avec le système de maladie. On pouvait prédire, juste par des connaissances de base en économie, ce qu’il confirme ici:

https://www.youtube.com/watch?v=nnZMUa8d0Vs

Et c’est facile de constater le résultat de ce système de maladie qui est tout aussi indéniable en comparant les nations en relation avec leurs moyens financiers. Par exemple, le Canada et les USA sont pratiquement le même pays en terme de bassin génétique. Tous les 2 des descendants européens puis forte immigration. Mais la santé des gens du pays où la maladie égale profit est dans bien pire condition que celle du Canada où le gouvernement ne veut pas de malade. Ça lui coûte cher!

J’adore l’exemple de Cuba qui avec des moyens financiers très modestes réussi très bien. Il est plus que facile, même pour un enfant, de constater qu’avec les moyens financiers par habitant équivalent au Canada, le système de santé cubain serait NETTEMENT supérieur.

Et c’est facile de comprendre pourquoi,il s’agit d’écouter cette vidéo:

https://www.youtube.com/watch?v=nnZMUa8d0Vs

Saviez-vous que de plus en plus de canadiens vont se faire soigner à Cuba? Un pays du « tiers-monde » !!!

Saviez-vous  que le système d’éducation à Cuba était noté supérieur à celui du Canada par les organismes mondiaux? C’est normal qu’un système d’éducation gouvernemental surpasse un privé. L’un tient l’éducation à coeur et l’autre les profits. C’est la vie sous le soleil du capitalisme sauvage…

Je vous laisse la parole:

fr.wikipedia.org

Ce tableau a été renseigné d’après l’étude[1] réalisée en 2011 par Roy Walmsley, pour le Centre international d’études pénitentiaires.