La Gigantesque Arnaque du COVID 19:Le gouvernement du PCC a « intentionnellement diffusé » le COVID-19 « dans le monde entier », selon un virologue chinois

Un virologue chinois qui a tiré la sonnette d’alarme au début de 2020 sur l’origine du coronavirus a déclaré lundi que les États-Unis avaient atteint une « réalisation importante » après qu’un rapport de renseignement classifié du département de l’énergie aurait découvert que le virus provenait très probablement d’un laboratoire chinois.

Le Dr Li Meng Yan a déclaré à « Tucker Carlson Tonight » en septembre 2020 que le gouvernement chinois avait intentionnellement fabriqué et libéré le virus COVID-19 , entraînant des fermetures et des décès à l’échelle nationale.

L’hôte Tucker Carlson a demandé à Yan lundi si elle croyait toujours que le virus avait été intentionnellement libéré près de trois ans après le début de la pandémie.

 

« Bien sûr, ce n’était pas un accident », a-t-elle répondu.

 

« Peut-être que pour les personnes qui n’ont pas ce genre d’expérience de laboratoire de biosécurité 3 ou 4 sur le coronavirus, il leur est peut-être facile d’accepter la fuite du laboratoire d’accident. Cependant, je suis un scientifique, travaillant dans [un] laboratoire de recherche utilisant le coronavirus . Et je peux vous dire, sur la base du protocole d’impression et aussi de l’autre système de surveillance, il serait impossible que la fuite du laboratoire [to] se produise accidentellement dans un tel [a] laboratoire et provoque l’épidémie de Wuhan et aussi la pandémie « , Yan a dit. 

« Donc, maintenant, nous venons d’atteindre la première étape. Cela venait du laboratoire chinois, et nous devons rechercher la vérité sur l’origine, et nous devons continuer. »

Carlson a suggéré que le gouvernement chinois a déclenché le COVID pour détruire les économies occidentales et élever sa propre position à l’échelle mondiale. 

Un cadre pharmaceutique triplement vaxxé démissionne à cause du mandat du vaccin COVID

Yan a déclaré que sur la base des preuves qu’elle a vues et de la source à laquelle elle a parlé, le virus a été « intentionnellement sorti de ce laboratoire strict et libéré dans la communauté ».

« Cependant, je ne pense pas que l’épidémie à Wuhan était intentionnelle. Je dirais que c’est parce que [le] gouvernement du PCC et les scientifiques militaires ont sous-estimé la transmissibilité », a-t-elle ajouté. « C’est pourquoi finalement il est devenu incontrôlable et le coût [était] une épidémie locale. Cependant, nous devons savoir que [le] gouvernement du PCC l’a intentionnellement laissé aller partout dans le monde pour tuer des millions de personnes partout dans le monde plus tard. »

Yan était un médecin respecté qui s’est spécialisé en virologie et en immunologie à l’ École de santé publique de Hong Kong avant de fuir en avril 2020 après avoir commencé à enquêter sur le nombre croissant de cas en provenance de Chine continentale qui impliquaient une transmission interhumaine. 

Des résidents font la queue pour leur test de routine COVID-19 sur un site de test de coronavirus à Pékin, le 7 décembre 2022.

Des résidents font la queue pour leur test de routine COVID-19 sur un site de test de coronavirus à Pékin, le 7 décembre 2022. (AP Photo/Andy Wong)

Elle a dit avoir rapporté ses découvertes à son superviseur le 16 janvier, mais c’est à ce moment-là qu’il lui aurait dit « de se taire et d’être prudente ».

« Comme il m’a prévenu auparavant, ‘Ne touchez pas à la ligne rouge' », a déclaré Yan en se référant au gouvernement. « Nous aurons des ennuis, et nous serons disparus. » 

Le fait que les National Institutes of Health (NIH) concluent des accords avec des laboratoires chinois témoigne d’un certain degré de corruption, car ces laboratoires sont certainement affiliés au Parti communiste chinois (PCC), explique Natalie Winters, journaliste d’investigation pour The National Pulse.

« Je pense que cela montre à quel point la corruption est profonde, n’est‑ce pas ? Il y a quelque chose de très pourri aux NIH puisqu’ils soutiennent le transfert de fonds publics pour financer la recherche du Parti communiste chinois », déclare Mme Winters durant l’émission American Thought Leaders [Maîtres à penser américains] d’Epoch Times.

« Et vous pouvez le voir, un grand nombre des groupes qu’ils financent sont des branches de l’Armée populaire de libération. Je ne parle pas simplement d’entités liées à l’armée, mais d’entités explicitement militaires. »

Mme Winters s’est penchée sur les liens entre les NIH et les laboratoires liés au PCC, tel que l’Institut de virologie de Wuhan (WIV). Selon elle, un des liens les plus inquiétants est le contrat entre le laboratoire chinois et l’Université du Texas‑Galveston, qui a été rendu possible grâce au financement des NIH.

Le laboratoire P4 sur le site de l’Institut de virologie de Wuhan à Wuhan, dans la province de Hubei, en Chine, le 13 mai 2020.

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a bien eu une certaine opposition, mais « le fait que le contrat de [l’Université du Texas]Galveston ait été conclu avec cette clause de confidentialité et que pas une seule personne dans toute l’agence n’ait émis de mise en garde à ce sujet (…) nous amène à croire qu’il s’agit à la fois d’un problème de personnel et d’un problème politique », explique‑t‑elle à propos des protocoles d’accord et des ententes avec la Chine.

Le Galveston National Laboratory, (GNL) de l’University of Texas Medical Branch (UTMB), a conclu un protocole d’accord avec le WIV, qui oblige chacun des deux laboratoires à supprimer les « fichiers confidentiels » ou les matériaux à la demande de l’autre partenaire.

« Chaque partenaire est autorisé à exiger de son homologue la destruction et/ou la restitution de fichiers, de matériaux et d’équipements classés confidentiels sans aucune sauvegarde », indique le protocole d’accord obtenu en vertu de la Loi d’accès à l’information (FOIA) par l’organisation U.S. Right to Know, un groupe de recherche à but non lucratif spécialisé dans la santé publique.

Tout comme le WIV, le laboratoire de Galveston (GNL) est un laboratoire P4. C’est un des deux laboratoires universitaires de niveau de biosécurité maximale financés par le gouvernement des États‑Unis. Il a été construit grâce à des subventions accordées par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) dirigé par le Dr Anthony Fauci. Le NIAID est un des 27 instituts rattachés aux NIH.

Cinq ans après la signature de l’accord entre le GNL et le WIV chinois, le directeur adjoint du NIAID a élargi les clauses du partenariat, il était désormais permis au WIV de demander au GNL de supprimer les fichiers, les agents pathogènes, les matériaux et les sauvegardes des recherches menées en collaboration, explique Mme Winters : « [Ce qui ]donnait donc [au PCC] une totale liberté d’action et lui permettait de dicter ce qui se passe dans les laboratoires américains. »

En réponse à une demande de commentaires de la part d’Epoch Times, envoyée par courriel, l’UTMB a répondu : « Bien que les protocoles d’accord ne soient pas contraignants et ne servent en aucun cas d’accords contractuels, dès qu’il a été informé de l’erreur, le University of Texas System a immédiatement demandé à l’UTMB de résilier tout protocole d’accord contenant un langage contraire à la loi et au règlement. »

« Le University of Texas System a récemment lancé un examen des protocoles et pratiques de l’UTMB et est en train de mettre en place de nouveaux seuils de surveillance des protocoles. L’UTMB confirme qu’aucun document ou information confidentielle n’ont été détruits, et qu’il n’a jamais reçu aucune demande pour le faire. »

Le Dr Francis Collins à Washington le 9 septembre 2020.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Outre le partenariat des NIH avec le WIV, le Dr Francis Collins, directeur des NIH récemment retraité, faisait partie du comité consultatif de l’International Conference on Genomics, parrainée par la société BGI Genomics, basée en Chine.

Mme Winters a relevé que le FBI a émis une mise en garde à l’endroit de BGI Genomics, signalant que la société « essaye de voler les informations génétiques des Américains et de récolter leur ADN ». Le FBI a recommandé aux gouvernements locaux de ne pas utiliser les produits de BGI pour les tests de dépistage du Covid‑19. Malgré cela, le gouvernement fédéral n’a pas tenu compte de ce risque de sécurité national étant donné que le Dr Collins avait un rôle « fondamental dans l’équipe consultative [de la Maison Blanche] ».

Ainsi, Mme Winters questionne : ces partenariats avec des organisations scientifiques soutenues par le PCC résultent‑elles de l’ignorance des NIH ou « y a‑t‑il quelque chose de plus dangereux en jeu ? »

« Sommes nous entré dans le domaine du compromis et de la collusion [avec] des groupes d’influence étrangers qui viennent de Chine et qui ciblent certaines des voix les plus puissantes des États‑Unis ? »

Les organisations scientifiques alignées sur le PCC

En février 2020, une des plus grandes revues médicales du monde, The Lancet, publiait une déclaration officielle sur l’origine du virus responsable du Covid‑19, dont le contenu s’alignait complètement sur les déclarations du PCC. Cette déclaration a eu une « influence maximale » pour étouffer le débat sur l’origine du virus, selon Mme Winters.

La déclaration du Lancet « rejetait catégoriquement [la théorie de la fuite du laboratoire] (…) si vous osiez prononcer le mot ‘laboratoire’, vous [étiez] catalogué complotiste », rappelle Mme Winters.

Parmi les signataires de la déclaration du Lancet du 19 février : Charles Calisher, Dennis Carroll, Rita Colwell, Ronald B. Corley, Peter Daszak et Christian Drosten. Un certain nombre avait des relations professionnelles avec le PCC. Peter Daszak a d’abord déclaré qu’il n’avait pas de conflit d’intérêts, puis il a corrigé sa déclaration pour dire qu’il avait des liens avec le laboratoire de Wuhan. Il a ensuite été retiré du comité d’enquête sur les origines du Covid‑19 menée par l’Organisation mondiale de la santé.

Le Dr Daszak dirige EcoHealth Alliance, une société à but non lucratif basée à New York qui a travaillé avec le WIV et a largement été financée par les NIH.

Peter Daszak et d’autres membres de l’équipe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargée d’étudier les origines du Covid‑19, arrivent à l’Institut de virologie de Wuhan le 3 février 2021.

 

 

 

 

 

L’article du Lancet aurait dû être impartial, soutient Mme Winters.

« Mais au lieu de cela, c’était un jugement prématuré, un rejet prématuré de la théorie de la fuite de laboratoire. »

« Tous les grands médias ont en quelque sorte repris ce texte. Ils l’ont utilisé pour leur couverture du Covid‑19, ils l’ont utilisé comme excuse pour censurer les personnes qui soutenaient la théorie de la fuite d’un laboratoire »

« Donc selon moi, c’est vraiment intriguant quand on voit toutes ces Big Tech qui ont des liens avec tellement de personnes ayant signé cette déclaration, mais aussi [quand on examine] les liens de tous ces personnes avec le PCC. »

Selon Mme Winters, il est important de se demander pourquoi les organisations américaines déploient tant d’efforts pour étouffer le débat sur les origines du virus et valider le narratif du PCC. « Si ces idées n’avaient aucun bien‑fondé, si elles étaient si tirées par les cheveux, si ridicules (…) pourquoi y a‑t‑il eu autant d’efforts pour les supprimer ? »

Les médias grand public influencés par le PCC

Selon Mme Winters, la plupart des preuves montrent que la pandémie a été causée par une fuite de laboratoire mais les médias grand public ont globalement étouffé le débat sur les origines du virus.

« Ca fait réfléchir, il est plus probable qu’un agent pathogène se soit échappé [d’un laboratoire] intentionnellement ou par accident, [plutôt que] [d’un] marché où on ne vendait même pas ces prétendus pangolins, chauves‑souris ou je ne sais quel autre animal mis en avant par le Parti communiste chinois. »

Selon Mme Winter, cette théorie d’un coronavirus provenant du marché de Huanan est absurde. Le PCC a émis cette théorie sans aucune véritable preuve, et au lieu d’essayer de rechercher la vérité sur l’origine du virus, les médias grand public l’ont relayée et qualifié de complotiste quiconque soupçonnait une fuite de laboratoire, ajoute‑t‑elle.

Le narratif du régime a été étayé par des organisations scientifiques qui fonctionnaient pour le compte du PCC, puis « les médias grand public occidentaux l’ont repris, sans le remettre en question, et l’ont diffusé ».

Selon la journaliste, au lieu d’aider la population chinoise à connaître la vérité, les médias grand public occidentaux leurs ont porté un coup fatal en reprenant le narratif mensonger du PCC.

« Vous savez, le fait que ces médias grand public aient simplement suivi la ligne du Parti communiste chinois, et ce, de manière indéfectible, et que concrètement, ils ont traité les personnes qui les critiquaient de complotistes, ça nous amène vraiment, selon moi, à devoir nous demander pour qui travaillent ces médias. »

Conflits d’intérêts des fact‑checkers

Pour la grande majorité, ni les organisations, ni fact‑checkers n’ont rectifié le biais pro‑PCC évident dès les premiers reportages couvrant les origines du virus. Selon Mme Winters, ces entités se sont révélées très partisanes et il s’avère qu’elles ont souvent des liens avec les Big Tech ou le PCC.

« Je pense que les fact‑checkers des médias sociaux sont vraiment au premier rang dans la guerre de l’information à laquelle nous assistons en ce moment même dans ce pays et, soyons franc, dans le monde entier. »

Durant ses investigations indépendantes, Mme Winters a découvert que la société pharmaceutique Pfizer finançait l’associé de Facebook chargé de fact‑checking, ce qui constitue un conflit d’intérêts évident. Par ailleurs, parmis les société de Fact‑cheking elle a repéré le groupe Lead Stories, dirigé par un ancien employé de CNN et financé par des sociétés telles que Facebook, Google et la plateforme chinoise TikTok.

« Aucune entreprise recevant des fonds de TikTok ne peut être un arbitre neutre en ce qui concerne les origines du Covid‑19. (…) Je pense donc que les gens doivent vraiment comprendre que ces fact‑checkers ne vérifient en aucun cas les faits – ils se tiennent exactement à l’opposé [de ceux qui le font]. Ils sont là pour renforcer un narratif. Ce qu’ils ont fait concernant les origines du Covid constitue selon moi l’exemple le plus flagrant, avec leur prétendues preuves pour supprimer un maximum de publications. »

Justin Trudeau avec l’une de ses idoles:le chef communiste chinois Xi Jin Pin.
Les Trudeau ont toujours aimé les dictateurs communistes.
Un écran à Pékin a montré Xi Jinping, le leader chinois, lors d’une visite cette semaine dans la ville de Wuhan, où le coronavirus a émergé.C’était en mars 2020.

La Gigantesque Arnaque du COVID-19:La fuite d’un laboratoire chinois est la source «  la plus crédible  » de l’épidémie de coronavirus, a déclaré un haut responsable du gouvernement américain, au milieu d’une bombe affirmant qu’un scientifique de Wuhan est devenu un dénonciateur

  • Le conseiller adjoint à la sécurité nationale de Donald Trump, Matthew Pottinger, a pris la parole
  • M. Pottinger a déclaré aux politiciens que la fuite était en train de devenir la «  source la plus crédible  » de virus
  • Il a affirmé que l’agent pathogène s’était peut-être échappé par une «  fuite ou un accident  » 
Matthew Pottinger, qui est le conseiller adjoint à la sécurité nationale respecté du président Donald Trump, dit que la théorie la plus «  crédible  » sur l’origine du coronavirus est qu’il s’est échappé de l’Institut de virologie top secret de Wuhan en Chine

L’un des plus hauts responsables du gouvernement américain a déclaré que la théorie la plus «  crédible  » sur l’origine du coronavirus est qu’il s’est échappé d’un laboratoire en Chine .

Matthew Pottinger, qui est le conseiller adjoint à la sécurité nationale respecté du président Donald Trump , a déclaré aux politiciens du monde entier que même les dirigeants chinois admettaient maintenant ouvertement que leurs affirmations antérieures selon lesquelles le virus provenait d’un marché de Wuhan étaient fausses.

M. Pottinger a déclaré que les dernières informations indiquent que le virus fuit de l’Institut top-secret de virologie de Wuhan, à 18 km du marché, déclarant: «  Il existe de plus en plus de preuves que le laboratoire est probablement la source la plus crédible du virus. ».

 

Mr. Pottinger (< gauche)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pottinger a affirmé que l’agent pathogène s’était peut-être échappé par une «  fuite ou un accident  », ajoutant: «  Même les personnalités de l’establishment à Pékin ont ouvertement rejeté l’histoire du marché humide  ». Sur la photo: le virologue chinois Shi Zhengli, surnommé «  Batwoman  », au laboratoire de Wuhan avec un collègue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cela fait un an que le monde a appris qu’une nouvelle maladie respiratoire mortelle sévissait dans la ville de Wuhan, dans le centre de la Chine, écrit Ian Birrell. Sur la photo: le virologue chinois Shi Zhengli, surnommé «  Batwoman  », à l’Institut de virologie de Wuhan

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il a affirmé que l’agent pathogène s’était peut-être échappé par une «fuite ou un accident», ajoutant: «Même les personnalités de l’establishment à Pékin ont ouvertement rejeté l’histoire du marché humide.

Les commentaires, qui ont été faits lors d’une conférence Zoom avec des députés sur la Chine la semaine dernière, arrivent alors qu’une équipe d’experts de l’Organisation mondiale de la santé se prépare à se rendre à Wuhan pour enquêter sur le début de la pandémie.

Les critiques craignent que l’enquête ne soit un blanchiment étant donné l’influence de la Chine sur l’OMS.

«  Les députés du monde entier ont un rôle moral à jouer pour exposer l’enquête de l’OMS comme un exercice Potemkine  », a déclaré M. Pottinger aux parlementaires, en référence aux faux villages créés en Crimée au 18e siècle, destinés à convaincre l’impératrice russe en visite Catherine la Grande que la région était en bonne santé.

Iain Duncan Smith, l’ancien chef du Parti conservateur qui a assisté à la réunion, a déclaré que les commentaires de M. Pottinger représentaient un «  raidissement  » de la position américaine sur la théorie selon laquelle le virus provenait d’une fuite au laboratoire, alors que les Américains parlaient à un lanceur d’alerte de l’institut de Wuhan.

«On m’a dit que les États-Unis avaient un ancien scientifique du laboratoire américain pour le moment», a-t-il déclaré. «C’est ce que j’ai entendu il y a quelques semaines.

« J’ai été amené à croire que c’est ainsi qu’ils ont pu renforcer leur position sur l’origine de cette épidémie. »

Il a ajouté que le refus de Pékin d’autoriser les journalistes à visiter le laboratoire n’a fait qu’accroître les soupçons selon lesquels il s’agissait d’un «point zéro» pour la pandémie.

«La vérité est qu’il y a des gens qui ont été dans ces laboratoires qui soutiennent que c’est le cas», a-t-il déclaré. 

«Nous ne savons pas ce qu’ils ont fait dans ce laboratoire. 

«  Ils ont peut-être manipulé des coronavirus de chauves-souris et les ont examinés et ils ont commis une erreur. J’ai parlé à diverses personnes qui pensent que c’est le cas.

Sam Armstrong, directeur de la communication du groupe de réflexion sur la politique étrangère de la Henry Jackson Society, a déclaré: «  Avec un responsable du renseignement aussi haut placé et respecté en faveur de cette affirmation, le moment est venu pour le gouvernement britannique de rechercher à la fois des réponses et une compensation pour Covid19.’

M. Pottinger, qui parle couramment le mandarin, a précédemment travaillé comme journaliste pour Reuters et le Wall Street Journal, dont sept ans en tant que correspondant en Chine.

En 2005, il est devenu un marine américain et a servi comme officier du renseignement militaire avant d’être invité à rejoindre le Conseil de sécurité nationale des États-Unis en 2017, devenant directeur Asie avant d’assumer ses fonctions actuelles. 

Son frère aîné, Paul, est virologue à l’Université de Washington.

Le président Trump a accusé l’année dernière l’OMS d’être une «  marionnette de la Chine  » et a retiré le financement.

La visite à Wuhan de l’équipe de l’OMS est déjà embourbée dans la controverse après la publication d’un mandat révélant qu’elle n’enquêtera pas sur l’institut de Wuhan – le seul laboratoire en Chine avec le plus haut classement international de biosécurité – comme une source possible de Covid-19 .

Le monde doit enquêter sur toutes les preuves croissantes que Covid a fui d’un laboratoire de Wuhan, écrit IAN BIRRELL 

 

Cela fait un an que le monde a appris qu’une nouvelle maladie respiratoire mortelle sévissait dans la ville de Wuhan, dans le centre de la Chine. 

Pourtant, nous savons encore peu de choses sur comment et pourquoi le virus s’est propagé avec des conséquences si dévastatrices.

 Il peut presque certainement être attribué aux chauves-souris. Mais nous ne savons pas comment cet agent pathogène – ayant développé une extraordinaire capacité d’infection, causant de tels dommages à différents organes du corps – a fait le saut dans l’être humain.

Enfin, une enquête de l’Organisation mondiale de la santé est en cours sur les origines du coronavirus, mais il est accusé de se plier docilement à l’agenda de la Chine en recrutant des scientifiques patsy et en s’appuyant sur les données douteuses de Pékin.

Aujourd’hui, les experts du monde entier se disent de plus en plus nombreux à dire qu’aucune pierre ne doit être laissée de côté pendant cette enquête – et qu’elle doit inclure un élément clé d’une chasse qui a toutes les caractéristiques d’un roman à suspense.

 

Cela se concentre sur une grotte remplie de chauves-souris, une poignée de morts mystérieuses, de brillants scientifiques menant des expériences futuristes dans un laboratoire secret – et une dissimulation de proportions épiques qui, si elles étaient prouvées, auraient d’énormes conséquences pour le Parti communiste chinois et la pratique mondiale de la science.

Alors, quelle est précisément cette théorie sur les origines de cette pandémie?

Il faut dire clairement qu’il ne s’agit que d’une théorie, bien que basée sur des miettes de preuves taquinées par quelques scientifiques courageux et certains détectives en ligne.

De nouvelles maladies sont apparues au cours de l’histoire humaine. La plupart des experts pensent que Covid est une maladie «zoonotique» qui s’est propagée naturellement des animaux aux humains. 

Ils pensent qu’elle a probablement été «  amplifiée  » par une espèce intermédiaire – de la même manière que la consommation de civettes par les Chinois a déclenché l’épidémie de Sars en 2002.

Pourtant, dans le même temps, les actions de Pékin depuis le début – couvrir l’épidémie, blâmer un marché d’animaux sauvages qu’il a admis depuis n’étaient pas en faute, exclure les enquêteurs extérieurs, enterrer les données et faire taire ses propres experts – ont servi à alimenter les soupçons. .

La semaine dernière, des documents divulgués ont révélé comment le gouvernement chinois, sous les ordres du président Xi Jinping, contrôlait strictement toutes les recherches sur les origines de Covid tout en promouvant des théories marginales suggérant qu’il provenait de l’extérieur de la Chine.

Et c’est une coïncidence inconfortable que Wuhan – une ville qui bourdonne à nouveau, avec des magasins animés, des restaurants bondés et de nombreuses personnes sans masque dans les rues pour célébrer le Nouvel An – abrite la meilleure unité de recherche sur les coronavirus au monde ainsi que le point zéro d’une pandémie. d’une étrange nouvelle souche.

Les indices commencent par une mine de cuivre abandonnée à Mojiang, une région vallonnée du Yunnan, dans le sud de la Chine, où les chauves-souris se perchent dans un réseau de grottes souterraines, de fissures et de recoins.

Il y a deux semaines, un journaliste de la BBC a été empêché d’atteindre ce site isolé après avoir été suivi par la police sur des kilomètres le long de pistes cahoteuses, puis bloqué par un camion et confronté à des hommes aux barrages routiers disant que leur travail était de l’arrêter.

Quelques jours après la mort de trois mineurs chinois qui nettoyaient les excréments de chauves-souris à l’intérieur des grottes, Zhengli est allé enquêter

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le mois précédent, une équipe de journalistes américains avait également été suivie par des policiers en civil qui leur ont interdit l’accès. 

Une équipe de recherche a récemment réussi à prélever des échantillons à la mine, mais les aurait confisqués.

La raison de ce secret remonte à la fin du mois d’avril 2012, lorsqu’un homme de 42 ans en train de nettoyer les excréments de chauves-souris dans ces cavernes souterraines s’est présenté dans un hôpital voisin avec une mauvaise toux, une forte fièvre et du mal à respirer. 

En une semaine, cinq collègues avaient des symptômes similaires. Trois sont décédés plus tard, un après que les médecins aient passé plus de 100 jours à se battre pour lui sauver la vie – pourtant les deux plus jeunes ont passé moins d’une semaine à l’hôpital et ont survécu. Semble familier?

Nous avons depuis appris d’une thèse de maîtrise détaillée, qui comprenait des rapports médicaux et des analyses radiologiques, que ces mineurs souffraient d’une pneumonie virale, attribuée à des coronavirus de type Sars provenant de chauves-souris en fer à cheval.

Un important organisme de santé américain a souligné l’année dernière qu’ils avaient «une maladie remarquablement similaire à Covid-19». 

Il n’est pas étonnant qu’un éminent spécialiste des vaccins me dise: «C’est à peu près aussi proche d’un pistolet fumant qu’il existe».

Curieusement, une deuxième thèse trois ans plus tard a également mis en évidence ces cas. 

Il a été rédigé par un étudiant du virologue formé à Oxford, le professeur George Gao Fu, qui dirige maintenant le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, qui dirige leur réponse à la pandémie.

Les autorités chinoises ont donc dû être au courant des mineurs morts. 

Pourtant, ils ont rapidement tenté de blâmer le marché de la faune de Wuhan comme étant la source de Covid, jusqu’à ce que des études respectées révélées dans ce journal le contestent. 

Après la mort des mineurs, Shi Zhengli, une virologue basée à Wuhan connue sous le nom de Batwoman pour ses expéditions visant à recueillir des échantillons dans ces grottes et un membre de l’équipe qui a retracé l’origine de Sars aux chauves-souris, est allée enquêter.

«  Le puits de la mine sentait l’enfer  », a-t-elle déclaré au magazine Scientific American, expliquant comment ses collègues ont passé un an à découvrir de nouveaux coronavirus dans des échantillons prélevés dans le sang et les excréments de chauves-souris. 

Les mineurs, selon elle, sont morts d’une infection fongique.

«  Le puits de la mine sentait l’enfer  », a-t-elle déclaré au magazine Scientific American, expliquant comment ses collègues ont passé un an à découvrir de nouveaux coronavirus dans des échantillons prélevés dans le sang et les excréments de chauves-souris. Les mineurs, selon elle, sont morts d’une infection fongique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un autre expert a noté comment les mineurs décédés étaient traités avec des médicaments antifongiques, tandis que ceux qui survivaient recevaient d’autres médicaments. 

« Donc, en plus du fait que les cas ressemblaient plus à des Sars qu’à des champignons, cette histoire de traitement plaide contre une [cause] fongique », a-t-il déclaré. 

«Il est très étrange que Shi Zhengli affirme que ces cas étaient fongiques.

Le professeur Shi a examiné des échantillons dans son laboratoire de Wuhan, à quelques kilomètres du tristement célèbre marché. Des études plus tard ont trouvé le virus dans les eaux usées, mais il n’a pas été détecté chez les animaux.

L’Institut de virologie de Wuhan est le premier laboratoire avec le niveau mondial de biosécurité le plus élevé en Chine. 

Il est spécialisé dans l’étude des virus transmis par les chauves-souris et est le fer de lance de la Chine pour s’affirmer dans la biotechnologie. 

Des fuites de câbles diplomatiques révèlent que les responsables américains qui ont visité le laboratoire il y a deux ans ont mis en garde contre les faiblesses en matière de sécurité et les risques d’une nouvelle épidémie de type Sars émergeant du site. 

Le chef de la sécurité du laboratoire a également admis publiquement ses préoccupations concernant les systèmes de sécurité défectueux.

L’institut mène des expériences sur les coronavirus de chauve-souris depuis 2015 – y compris des recherches qui peuvent augmenter leur virulence en combinant des extraits de différentes souches. 

Certains virus ont été injectés à des souris «humanisées» spéciales qui avaient été créées pour être utilisées dans des laboratoires avec des gènes, des cellules ou des tissus humains dans leur corps.

Ces expériences controversées forcent artificiellement l’évolution des virus afin d’améliorer notre compréhension des maladies et de leur transmissibilité. 

Ils aident les chercheurs à développer de nouveaux médicaments et vaccins.

Les scientifiques de Wuhan travaillaient avec d’éminents experts occidentaux et étaient soutenus financièrement par les National Institutes of Health, le plus important organisme de financement américain – bien que cette relation ait été interrompue pour des raisons de sécurité après avoir été révélée par The Mail dimanche.

Certains scientifiques affirment que ce type de recherche sur les agents pathogènes est trop risqué car il pourrait déclencher une pandémie à partir d’une nouvelle maladie. 

En conséquence, il y a eu un moratoire sur ce travail par les États-Unis pendant quatre ans sous l’administration Obama.

D’autres critiques ont averti que l’Institut de Wuhan construisait des coronavirus «  chimériques  » – de nouveaux micro-organismes hybrides qui ne montrent aucun signe de manipulation humaine.

Maintenant, la grande question est de savoir s’ils ont prélevé des échantillons du coronavirus qui a tué les mineurs du Yunnan et, de retour dans leur laboratoire à plus de 1000 kilomètres de là, ont créé un nouveau virus qui s’est en quelque sorte répandu dans leur propre ville.

Des fuites de câbles diplomatiques révèlent que des responsables américains qui ont visité le laboratoire il y a deux ans ont mis en garde contre les faiblesses en matière de sécurité et les risques d’une nouvelle épidémie de type Sars émergeant du site.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme l’ont suggéré d’éminents experts, il aurait été logique de créer des virus chimériques en combinant les propriétés de différents échantillons. 

De nombreuses percées scientifiques ont émergé de ces efforts spéculatifs. 

Un professeur de médecine m’a suggéré que les mineurs étaient peut-être morts après avoir été exposés à de très fortes doses de coronavirus alors qu’ils travaillaient dans des puits profonds remplis de chauves-souris et de leurs excréments. 

Mais les scientifiques de Wuhan ont ensuite eu du mal à prouver la causalité dans leur laboratoire car leurs échantillons étaient trop faibles pour infecter les cellules humaines.

«  Cela les aurait empêchés de publier une découverte majeure d’un nouveau virus de type Sars infectant les humains. 

La possibilité est qu’ils auraient alors essayé de modifier le virus pour le rendre plus apte à infecter les cellules humaines dans le but d’établir le lien manquant. 

C’est, il faut le souligner, une spéculation non prouvée. 

Et on comprend pourquoi la Chine veut comprendre le plus possible les virus de chauve-souris qui émergent dans leur pays.

Pourtant, comme le disent les experts, de nombreuses questions restent sans réponse, centrées sur la réticence de Pékin à révéler les cas, les virus et les échantillons des mineurs conservés dans leurs laboratoires. 

 

L’Institut de Wuhan a même mis hors ligne des bases de données clés.

La clé de tout cela est l’énigmatique Batwoman, le professeur Shi. Tout d’abord, elle a publié une séquence génétique de Sars-Cov-2 – la souche de coronavirus qui cause Covid-19 – qui, malgré une analyse approfondie d’autres caractéristiques nouvelles, a ignoré sa caractéristique la plus surprenante. 

Il s’agit du «  site de clivage de la furine  », une mutation non trouvée sur des types similaires de coronavirus qui permet à sa protéine de pointe de se lier si efficacement à de nombreuses cellules humaines.

 

Le propre chef de la sécurité du laboratoire a également admis publiquement ses préoccupations concernant les systèmes de sécurité défectueux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis, en janvier dernier, le professeur Shi et deux collègues ont publié un article dans Nature qui révélait l’existence d’un virus appelé RaTG13 qui avait été prélevé sur une chauve-souris en fer à cheval et stocké dans leurs locaux, le plus grand dépôt de coronavirus de chauve-souris en Asie.

Cet article, soumis le même jour que la Chine a admis la transmission humaine, a fait sensation dans le monde scientifique car il a révélé l’existence du plus proche parent connu de Sars-Cov-2 avec plus de 96% de similitude génétique.

Il a souligné que de telles maladies surviennent dans la nature – mais bien que étroitement liées, il aurait fallu plusieurs décennies à RaTG13 pour évoluer à l’état sauvage en Sars-Cov-2 et était trop éloignée pour être manipulée dans un laboratoire.

D’autres experts se sont demandé pourquoi il y avait si peu d’informations sur cette nouvelle souche. Une raison est vite devenue claire: le nom avait été changé de celui d’un autre virus appelé Ra4991 identifié dans un article précédent – mais, exceptionnellement, non cité dans l’article Nature.

Cela a obscurci un lien direct avec les mineurs morts, ce qui n’a été confirmé que lorsque Nature a demandé la publication d’un «addendum» à la suite de plaintes. 

L’équipe de Wuhan a également admis qu’elle contenait huit autres virus Sars de la mine du Yunnan qui n’ont pas été divulgués.

Certains scientifiques disent que ces nouveaux détails soulèvent de nombreuses questions nouvelles – y compris une critique en 20 points publiée sur son blog par une microbiologiste indienne appelée Monali Rahalkar.

Cependant, de nombreux experts de haut niveau rejettent toujours l’idée d’une fuite de laboratoire comme une théorie du complot.

Pourtant, David Relman, l’un des plus grands experts mondiaux dans ce domaine, souligne que les scientifiques auraient facilement pu combiner un «site de clivage de la furine» d’un ancêtre viral avec l’épine dorsale de Sars-Cov-2 prélevée sur un autre.

«  Alternativement, la séquence complète de Sars-Cov-2 aurait pu être récupérée à partir d’un échantillon de chauve-souris et un virus viable recréé à partir d’un génome synthétique pour l’étudier avant que le virus ne s’échappe accidentellement  », a écrit Relman, professeur de microbiologie et d’immunologie à la faculté de médecine de l’Université de Stanford. , dans un article récent.

L’ancien conseiller du gouvernement américain sur la biosécurité m’a dit qu’il avait soulevé les problèmes par frustration avec des scientifiques qui semblaient gênés par l’idée. 

« Cette histoire déroutante ne s’additionne pas – la possibilité d’un accident de laboratoire ne peut être écartée », a-t-il déclaré.

On s’est également interrogé sur la disparition apparente d’une jeune chercheuse qui travaillait au laboratoire. 

Il a été suggéré qu’elle aurait pu être patiente zéro de cette pandémie, bien que cela ait été démenti par les autorités chinoises.

Même si le lien des mineurs était supprimé, cela n’exclurait pas la possibilité d’un accident causant cette pandémie. 

Alina Chan, biologiste moléculaire au Broad Institute of MIT et à Harvard, a déclaré que des scientifiques de Wuhan ont montré dans des publications qu’ils avaient échantillonné des centaines de chauves-souris et de personnes vivant près des grottes de chauves-souris dans leur recherche de virus liés à Sars.

«Même si le précurseur de Sars-Cov-2 ne provenait pas de ces mineurs ou de la mine de Mojiang, ont-ils trouvé d’autres virus très étroitement liés que nous ne connaissons pas encore? elle a demandé.

Cela ressemble à l’intrigue d’un film de science-fiction: un virus artificiel s’échappant d’un laboratoire de haute technologie pour provoquer le chaos mondial. 

Pourtant, il existe de nombreux précédents, dont deux chercheurs infectés par le Sars dans un laboratoire de virologie de Pékin en 2004.

Des études montrent également que les accidents avec des agents pathogènes mortels sont courants dans les laboratoires où des personnes travaillent avec des virus microscopiques.

Le professeur Shi a admis qu’elle ne s’attendait jamais à une épidémie dans une ville aussi éloignée du domicile des chauves-souris qu’elle a étudiées. 

Elle a déclaré que sa première pensée en entendant les coronavirus pourrait être le coupable était de se demander: «  Auraient-ils pu venir de notre laboratoire?  »

Elle s’est ensuite précipitée frénétiquement à Wuhan pour vérifier ses dossiers pour une éventuelle mauvaise gestion des matériaux – ce qui prouve qu’elle croyait qu’une telle fuite était une possibilité.

Il existe également un autre laboratoire à Wuhan avec un niveau de biosécurité inférieur, à 500 mètres du marché aux animaux. 

Une étude publiée par deux scientifiques chinois en février sur un site de partage de recherche – puis retirée deux jours plus tard – a énigmatiquement affirmé que 605 chauves-souris étaient gardées ici, décrivant comment certaines ont attaqué, saigné et uriné sur un chercheur. 

«Il est plausible que le virus ait fui», conclut le journal.

Peut-être que cette théorie s’effondrera à mesure que nous découvrirons des faits nouveaux. 

Ou les scientifiques découvriront une autre explication de la trajectoire du Covid-19 des chauves-souris aux humains. 

De même, il est possible que nous ne découvrions jamais la vérité sur les origines de ce virus.

Mais à ce stade, la seule certitude est que nous ne rendons pas service à la science – et en fait, aux rapports d’enquête – si cette idée est écartée sans être correctement réfutée et dépourvue de preuves.

Nous devons cela à un monde si terriblement bouleversé par cette pandémie.

 

 

 

 

 

 

En Chine communiste, la « pensée Xi Jinping » ne fait pas l’unanimité

Alors que le vice-président de l’Ecole centrale du Parti communiste compare le président chinois à Karl Marx, des voix minoritaires redoutent de voir la « capacité de penser » être « dévastée ».

A Pékin, le 28 mai.

 

Pour le 67e anniversaire de Xi Jinping, lundi 15 mai, He Yiting, vice-président de l’Ecole centrale du Parti communiste chinois a publié une tribune sur le site de l’école comparant le secrétaire général du Parti communiste chinois à Karl Marx. « La nouvelle ère du socialisme aux caractéristiques chinoises de Xi Jinping est le marxisme du XXIe siècle ». « Le développement de la Chine transcende les frontières géographiques nationales et acquiert une importance historique mondiale, signifiant que la Chine est qualifiée pour être le sommet idéologique et théorique qui guide le développement innovant du marxisme mondial », écrit-il notamment. Déjà le 11 juin, Dong Zhenhua, vice-directeur du département des affaires philosophiques de l’Ecole centrale du Parti, avait développé une idée comparable.

De tels propos sont récurrents depuis le XIXe congrès du Parti communiste chinois, qui s’est tenu en octobre 2017. Qu’ils soient désormais publiés à l’occasion de l’anniversaire de Xi Jinping confirme cependant le culte de la personnalité dont celui-ci est désormais l’objet. « Il se considère comme l’égal de Mao et de Marx. Ce qui peut justifier, à ses yeux, qu’il ait réformé la Constitution pour pouvoir rester au pouvoir plus de dix ans. Sa pensée dépasse le cadre de la Chine. Il se veut un penseur de classe mondiale, comme le montre l’expression de communauté de destins pour l’humanité ou l’initiative des “Nouvelles routes de la soie” », explique Willy Lam, chercheur à l’université chinoise de Hongkong.

« Réunion secrète »

Mais cette évolution ne fait pas l’unanimité. Deux ans après la fameuse modification de la Constitution, en mars 2018, quelques – rares – voix se font entendre pour dénoncer celle-ci. Depuis quelques jours, circule sur les réseaux sociaux l’enregistrement d’une intervention très sévère pour Xi Jinping prononcée par Cai Xia, une ancienne professeure à l’Ecole centrale du Parti à l’occasion, paraît-il, d’« une réunion secrète de notables rouges ».

Xi Jinping, le nouveau timonier

 

Aujourd’hui retraitée et vivant à l’étranger, cette femme juge que « la société chinoise ne manque pas de vitalité. Ce n’est pas que nous manquons d’énergie ou de personnes talentueuses. La société est en train d’être dévastée. La capacité de penser est en train d’être dévastée, le parti est en train d’être dévasté. Si cette menace pouvait être levée, je pense que tout irait mieux. Tout comme en 1976, après la mort de Mao, beaucoup pensaient que c’était la fin de la Chine, pourtant nous nous en sommes sortis. C’est pourquoi nous avons besoin de croire en cette nation, elle est résiliente et vivante. Toutefois, le problème est que cette personne a bloqué la voie à suivre pour le pays et le parti », explique cette femme, qui n’a pas besoin de nommer Xi Jinping pour être comprise et qui fait cette prédiction : « Je pense que vers la fin de cette année ou au premier semestre de l’année prochaine, l’économie va complètement s’effondrer ».

Nul doute qu’à l’intérieur du Parti, de telles voix sont extrêmement minoritaires. Elles prouvent néanmoins que « la pensée de Xi Jinping » continue de faire débat, notamment parmi une certaine élite intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

Courte opinion du jour:de sérieux doutes surgissent sur le nombre officiel de morts du coronavirus en Chine

 

La vie reprend doucement ses droits en Chine, où la province du Hubei, qui a vu naître la pandémie de coronavirus, s’ouvre de nouveau sur l’extérieur après deux mois de confinement. Pékin crie victoire et se plaît à souligner que le nombre de malades (81 470 cas, dont 3 304 morts) serait resté inférieur à celui aujourd’hui constaté aux Etats-Unis (143 025 cas, dont 2 514 décès) ou en Italie, le pays le plus durement frappé (97 689 cas, dont 10 779 morts).(*chiffres du 1 er avril 2020)

Il suffit pourtant de gratter un peu le vernis officiel pour que de sérieux doutes émergent sur le nombre réel de victimes chinoises. Le site d’informations financières chinois Caixin a publié la photo d’un camion chargé d’urnes funéraires, devant le crématorium de Hankou, un des quartiers de Wuhan. Le conducteur du camion a déclaré avoir transporté 2 500 urnes funéraires vendredi, après en avoir déplacé autant la veille. Les familles des victimes sont en effet autorisées à venir récupérer les cendres de leurs proches défunts, dont les corps avaient été incinérés pour limiter la contagion.

Des milliers d’urnes funéraires

Un autre crématorium a annoncé la restitution de 500 urnes par jour entre le 23 mars et le 4 avril, soit 6 500 au total (le 4 avril est le jour d’une cérémonie religieuse de visite des tombes familiale, l’équivalent de la Toussaint, explique shanghaiist.com). Des images montrent des files d’attente impressionnantes pour récupérer les urnes funéraires.

Contactés par l’agence d’information Bloomberg, six crématoriums, sur les huit que compte Wuhan, ont refusé de communiquer le nombre d’urnes funéraires en leur possession – les deux autres n’ont pas répondu. Si l’ensemble de ces huit crématoriums était en possession d’un nombre d’urnes équivalent, le total avoisinerait donc les 50 000. Selon Bloomberg, les images postées sur les réseaux sociaux remettent donc en question le nombre officiel de morts enregistrées à Wuhan, même en tenant compte des décès qui ne seraient pas liés au coronavirus.

Le doute est d’autant plus grand que le recoupement des chiffres est rendu impossible, la Chine ayant pris soin de museler toute source d’information indépendante. Des journalistes et intellectuels qui ont critiqué la gestion de la crise ont « disparu », et la plupart des journalistes étrangers qui l’ont couverte ont été expulsés.

Des résiliations massives de lignes téléphoniques

D’autres indices confirment les doutes, explique Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine, au micro d’Europe 1 :

« Il y a aussi des données qui concernent la résiliation des lignes téléphoniques, avec des résiliations massives de dizaines de milliers de lignes. Effectivement, on peut tout à fait s’interroger. »

Un chiffre réévalué lui semblerait plus cohérent avec la morbidité du Covid-19 constatée ces derniers jours en Italie :

« Quand on a vu le nombre de morts en Italie et en Espagne, on s’est dit qu’il y avait beaucoup de choses cachées en Chine. »

Le risque d’une seconde vague

De son côté, Pékin affirme que ce sont les mesures drastiques de confinement qui ont permis de limiter le nombre de décès. Le régime communiste prétend avoir été exemplaire dans la gestion de l’épidémie et préfère passer sous silence son attitude lors des premières semaines, décisives dans la propagation du virus. Fin décembre, les autorités avaient tenté d’étouffer les signalements d’un médecin lanceur d’alerte, décédé depuis des suites de la maladie.

La Chine de Xi Jinping est-elle responsable de l’expansion du coronavirus ?

D’ailleurs, Pékin aurait également menti sur la date du début de l’épidémie. « C’est probablement une épidémie qui a démarré bien plus tôt, probablement dès le mois d’octobre, estime Karine Lacombe. Il a fallu du temps pour que le virus infiltre la population et qu’on voit un nombre de morts supérieur à la normale. »

Quel que soit le nombre de victimes chinoises, les médecins appellent à la plus grande prudence car un retour du Covid-19 est possible, voire probable, selon les épidémiologistes. En effet, la majeure partie du territoire chinois n’a pas été touchée. « La Chine n’a donc pas vraiment eu un nombre important d’infections au cours de la première vague, la population demeure très vulnérable et peut être touchée par une épidémie importante », selon Benjamin Cowling, épidémiologiste de l’université de Hong Kong, cité par le quotidien canadien « Globe and Mail »« Une seconde vague est inévitable. Totalement inévitable. »


La Chine de Xi Jinping est-elle responsable de l’expansion du coronavirus ?

 

« Le virus patriote. » C’est ainsi que, pendant un temps, les internautes avaient surnommé, non sans ironie, le mystérieux virus apparu fin 2019. Bien qu’originaire de Chine où il avait infecté ses premières victimes début décembre, il semblait en effet décidé à sévir exclusivement hors des frontières nationales. De nouveaux cas avaient beau surgir ici et là en Asie – en Thaïlande, au Vietnam, au Japon, à Hong Kong, etc. – la Chine semblait miraculeusement échapper à cette propagation. A Wuhan, berceau du « virus patriote », les autorités municipales se voulaient rassurantes : c’était certes une pneumonie virale, mais « beaucoup plus faible que le Sras », son redoutable prédécesseur qui avait, en 2003, mis la Chine au point mort pendant de longs mois. Le mal était cette fois « peu contagieux et facile à circonvenir ». Les dirigeants de Wuhan le tenaient d’ailleurs fermement sous leur contrôle. Vive le Parti communiste chinois et la pensée Xi Jinping !

Mais ce virus n’était pas réellement patriotique. Comme le Sras il y a dix-sept ans, il s’est propagé à un rythme effrayant, contaminant des milliers de personnes aux quatre coins de la Chine, et il continue à se répandre à l’étranger. Sa bénignité était un vœu pieux, colporté par les édiles de Wuhan qui avaient interdit aux médecins wuhanais de donner la moindre interview aux médias locaux.

 

Espionnage:l’histoire secrète de l’arme biologique du coronavirus

 

 

La visualisation ci – dessous L’histoire secrète de coronavirus Bioweapon est basé sur un rapport exclusif sur le coronavirus   – Comment la Chine vole  le coronavirus du Canada et  l’a militarisé .

 

Regardez l’interview exclusive de l’  expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, sur la guerre biologique contre les coronavirus  bloquée par l’  État profond


Arme biologique du coronavirus – Comment la Chine a volé le coronavirus au Canada et l’a armé

 

 

L’année dernière, une mystérieuse cargaison a été capturée en contrebande de coronavirus en provenance du Canada. Elle a été attribuée à des agents chinois travaillant dans un laboratoire canadien. Une enquête ultérieure a lié les agents au programme de guerre biologique chinoise d’où le virus est soupçonné d’avoir fui, provoquant l’épidémie de coronavirus de Wuhan. (Ce rapport sur le coronavirus Bioweapon a provoqué une controverse internationale majeure et est activement supprimé par une section des médias traditionnels.)

 

 

L’échantillon du SRAS saoudien

Le 13 juin 2012, un Saoudien de 60 ans a été admis dans un hôpital privé de Djeddah, en Arabie saoudite, avec une histoire de 7 jours de fièvre, toux, expectoration et essoufflement. Il n’avait aucun antécédent de maladie cardio-pulmonaire ou rénale, ne recevait aucun médicament à long terme et ne fumait pas.

Le virologue égyptien Dr Ali Mohamed Zaki a isolé et identifié un coronavirus inconnu dans ses poumons. Après que les diagnostics de routine n’aient pas identifié l’agent causal, Zaki a contacté Ron Fouchier, un virologue de premier plan au Centre médical Erasmus (EMC) à Rotterdam, aux Pays-Bas, pour obtenir des conseils. 

Anomalies sur l’imagerie thoracique du patient saoudien infecté par le coronavirus. Les radiographies thoraciques du patient sont présentées le jour de l’admission (panel A) et 2 jours plus tard (panel B) et la tomodensitométrie (TDM) 4 jours après l’admission (panel C).

Fouchier a séquencé le virus à partir d’un échantillon envoyé par Zaki. Fouchier a utilisé une méthode de réaction en chaîne par polymérase en temps réel (pan-coronavirus) à large spectre (RT-PCR) pour tester les caractéristiques distinctives d’un certain nombre de coronavirus connus connus pour infecter les humains.

Cette image de fichier non datée publiée par la British Health Protection Agency montre une image au microscope électronique d’un coronavirus, faisant partie d’une famille de virus qui causent des maladies, y compris le rhume et le SRAS, qui a été identifié pour la première fois au Moyen-Orient.

Cet échantillon de coronavirus a été acquis par le directeur scientifique, le Dr Frank Plummer (clé de l’enquête sur les coronavirus, Frank Plummer a récemment été assassiné en Afrique ) du Laboratoire national de microbiologie (LNM) du Canada à Winnipeg directement de Fouchier, qui l’a reçu de Zaki. Ce virus aurait été volé au laboratoire canadien par des agents chinois .


Frank Plummer – Un scientifique canadien clé d’une enquête sur un coronavirus assassiné en Afrique

 

Dans une tournure des événements très dramatique, le scientifique renommé Frank Plummer qui a reçu un échantillon de coronavirus du SARS saoudien et travaillait sur le vaccin contre le coronavirus (VIH) dans le laboratoire canadien de Winnipeg d’où le virus a été sorti en contrebande par des agents de la guerre biologique chinoise et armé comme révélé dans l’  enquête  , est mort dans des conditions mystérieuses. Frank Plummer est la clé du cas d’espionnage biologique chinois au Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg.

Frank Plummer – Un scientifique canadien clé d’une enquête sur un coronavirus assassiné en Afrique

 

Selon CBC , Plummer, 67 ans, était au Kenya, où il était conférencier d’honneur lors de la réunion annuelle du centre collaboratif de l’Université de Nairobi pour la recherche et la formation sur le VIH / SIDA / IST.

Le Dr Larry Gelmon, qui a aidé à organiser cette réunion, a déclaré que Plummer s’était effondré et avait été transporté à l’hôpital de Nairobi, où il a été déclaré mort à son arrivée.

Aucune cause confirmée de décès n’a encore été révélée.

Plummer est né et a grandi à Winnipeg, où il a dirigé le Laboratoire national de microbiologie du Canada pendant plusieurs années.

Il a également participé à un partenariat de recherche novateur entre l’Université du Manitoba et l’Université de Nairobi, établi avant que le monde ne soit très conscient du VIH / sida.

«Il a aidé à identifier un grand nombre des facteurs clés qui sont impliqués dans la transmission du VIH dans les premiers jours», a déclaré Keith Fowke, professeur au département de microbiologie médicale et des maladies infectieuses à l’Université du Manitoba.

«Il était tellement optimiste qu’il était sur la voie qui se terminerait par la découverte du vaccin contre le VIH – la route qu’il avait empruntée il y a près de 30 ans», a déclaré le collègue de Plummer, le Dr Allan Ronald.

Cependant, ce qui n’est pas mentionné dans le rapport de la CBC, c’est que Plummer a travaillé dans le même Laboratoire national de microbiologie (LNM) à Winnipeg, au Canada, où l’agent chinois de la guerre biologique Xiangguo Qiu et ses collègues ont fait passer clandestinement le coronavirus du SRAS à l’Institut chinois de virologie de Wuhan, où on pense qu’il ont été armés et ont fui.

 


 

Le laboratoire canadien

Le 4 mai 2013, un échantillon de ce SRAS saoudien (aka roman Coronavirus) provenant du tout premier patient saoudien infecté est arrivé au Laboratoire national de microbiologie du Canada à Winnipeg via Ron Fouchier du Erasmus Medical Center à Rotterdam, aux Pays-Bas, qui a séquencé l’échantillon de virus.

Le coronavirus est arrivé aux installations canadiennes du LNM à Winnipeg le 4 mai 2013 en provenance du laboratoire néerlandais. Le laboratoire canadien a augmenté les stocks de virus et l’a utilisé pour évaluer les tests de diagnostic utilisés au Canada. Des scientifiques de Winnipeg ont cherché à déterminer quelles espèces animales pouvaient être infectées par le nouveau virus.

La recherche a été effectuée en collaboration avec le laboratoire national de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, le Centre national des maladies animales exotiques, qui est situé dans le même complexe que le Laboratoire national de microbiologie.

Le Laboratoire national de microbiologie (Centre canadien des sciences pour la santé humaine et animale) sur la rue Arlington à Winnipeg.

NML offre depuis longtemps des services de test complets pour les coronavirus . Il a isolé et fourni la première séquence du génome du coronavirus du SRAS et identifié un autre coronavirus NL63 en 2004.

Ce laboratoire canadien basé à Winnipeg a été ciblé par des agents chinois dans ce que l’on pourrait appeler l’ espionnage biologique .

 

Espionnage biologique chinois

En mars 2019, dans un événement mystérieux, un envoi de virus exceptionnellement virulents  du LNM canadien s’est retrouvé en Chine . L’événement a provoqué un scandale majeur, les experts de la guerre biologique se demandant pourquoi le  Canada envoyait des virus mortels en Chine .

Quatre mois plus tard, en juillet 2019, un groupe de virologues chinois a été envoyé de force du laboratoire canadien – le seul établissement de niveau 4 équipé pour traiter les maladies les plus meurtrières au monde où un échantillon de coronavirus du premier patient saoudien était examiné.

En mars 2019, dans un événement mystérieux, un envoi de virus exceptionnellement virulents du LNM canadien s’est retrouvé en Chine . L’événement a provoqué un scandale majeur, les experts de la guerre biologique se demandant pourquoi le Canada envoyait des virus mortels en Chine . Les scientifiques du LNM ont déclaré que les virus hautement mortels étaient une bio-arme potentielle.

Après enquête, l’incident a été retracé à des agents chinois travaillant au NML . Quatre mois plus tard, en juillet 2019, un groupe de virologues chinois a été envoyé de force du Laboratoire national canadien de microbiologie (LNM). Le LNM est le seul établissement de niveau 4 au Canada et l’un des rares en Amérique du Nord équipé pour gérer les maladies les plus meurtrières au monde, notamment Ebola, SRAS, Coronavirus , etc.

 

 

 

 

Xiangguo Qiu

La scientifique qui a été escortée hors du laboratoire canadien avec des membres de son équipe de recherche serait un  agent chinois de la guerre biologique Xiangguo Qiu .

Le Dr Xiangguo Qiu est mariée à un autre scientifique chinois, le Dr Keding Cheng – le couple est responsable de l’infiltration du LNM canadien avec de nombreux agents chinois se faisant passer pour des étudiants provenant d’une gamme d’installations scientifiques chinoises directement liées au programme chinois de guerre biologique .

Dr Xiangguo Qiu , l’agente de guerre biologique chinoise travaillant au Laboratoire national de microbiologie, Canada

La Dre Xiangguo Qiu a effectué au moins cinq voyages au Laboratoire national de biosécurité de Wuhan, situé à seulement 32 kilomètres du marché des fruits de mer de Huanan, qui est l’épicentre de l’épidémie .

L’  enquête canadienne  est en cours et il reste à savoir si des expéditions antérieures vers la Chine d’autres virus ou d’autres préparations essentielles ont eu lieu de 2006 à 2018, d’une manière ou d’une autre.

Mais un changement a eu lieu, en quelque sorte. Depuis 2006, elle étudie des virus puissants dans le LNM canadien. Les virus expédiés de LNM en Chine ont été étudiés par elle en 2014, par exemple ( en même temps que les virus Machupo, Junin, la vallée du Rift, de Crimée-Congo Fièvre Hémorragique et Hendra).

Infiltrer le laboratoire canadien

 

Des sources affirment que Xiangguo Qiu et son mari Keding Cheng ont été escortés du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg le 5 juillet 2019. Depuis lors, l’Université du Manitoba a mis fin à ses rendez-vous, réaffecté ses étudiants diplômés et averti le personnel, les étudiants et les professeurs  d’éviter de voyager en Chine. (Prix du Gouverneur général pour l’innovation)

Le Dr Xiangguo Qiu est marié à un autre scientifique chinois – le Dr Keding Cheng, également affilié au LNM, en particulier le «Science and Technology Core». Le Dr Cheng est principalement un bactériologiste qui est passé à la virologie. Le couple est responsable de l’infiltration du LNM canadien avec de nombreux agents chinois en tant qu’étudiants d’une gamme d’installations scientifiques chinoises directement liées au programme de guerre biologique de la Chine , à savoir:

  1. Institut de médecine vétérinaire militaire, Académie des sciences médicales militaires, Changchun
  2. Centre de contrôle et de prévention des maladies, région militaire de Chengdu
  3. Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences, Hubei
  4. Institut de microbiologie, Académie chinoise des sciences, Pékin

Savants ou espions

Le  Thousand Talents Plan ou Thousand Talents Program a été créé en 2008 par le gouvernement central de Chine pour reconnaître et recruter des experts internationaux de premier plan en recherche scientifique, en innovation et en entrepreneuriat – en d’autres termes pour voler la technologie occidentale.

Les quatre installations susmentionnées de guerre biologique chinoise ont collaboré avec le Dr Xiangguo Qiu dans le contexte du virus Ebola, l’Institut de médecine vétérinaire militaire a également rejoint une étude sur le virus de la fièvre de la vallée du Rift, tandis que l’Institut de microbiologie a rejoint une étude sur le virus de Marburg. . De manière notable, le médicament utilisé dans cette dernière étude – le Favipiravir – a été précédemment testé avec succès par l’Académie chinoise des sciences médicales militaires, sous la désignation JK-05 (à l’origine un brevet japonais enregistré en Chine déjà en 2006), contre Ebola et d’autres virus. .

Cependant, les études du Dr Qiu sont considérablement plus avancées et apparemment vitales pour le développement des armes biologiques chinoises dans le cas où des virus de la fièvre Coronavirus , Ebola, Nipah, Marburg ou Rift Valley y sont inclus.

L’ enquête canadienne est en cours et il reste à savoir si des expéditions antérieures vers la Chine d’autres virus ou d’autres préparations essentielles ont eu lieu de 2006 à 2018, d’une manière ou d’une autre.
Le Dr Gary Kobinger, ancien chef des agents pathogènes spéciaux (à droite), et le Dr Xiangguo Qiu , chercheur (deuxième à droite) ont rencontré le Dr Kent Brantly et le Dr Linda Mobula, professeur adjoint à la Johns Hopkins School of Medicine et le médecin qui a administré ZMapp à Brantly au Libéria lorsqu’il a été infecté par Ebola lors de l’épidémie de 2014-2016. (Soumis par Santé Canada)

Le Dr Xiangguo Qiu a étudie et également collaboré en 2018 avec trois scientifiques de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses, Maryland, pour  l’immunothérapie post-exposition pour deux virus Ebola et le virus Marburg chez des singes; une étude soutenue par la US Defense Threat Reduction Agency.

Le coronavirus de Wuhan

Le Dr Xiangguo Qiu a effectué au moins cinq voyages au cours de l’année scolaire 2017-2018 au laboratoire national de biosécurité de Wuhan susmentionné de l’Académie chinoise des sciences, qui a été certifié BSL4 en janvier 2017. En outre, en août 2017, la Commission nationale de la santé de la Chine a approuvé des activités de recherche sur les virus de la fièvre hémorragique Ebola, Nipah et Crimée-Congo dans l’installation de Wuhan.

Par coïncidence,* le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à seulement 32 kilomètres du marché des fruits de mer de Huanan, qui est l’épicentre de l’ épidémie de coronavirus surnommé le coronavirus de Wuhan .


*À cet effet,veuillez lire notre article sur le nid d’espions du professeur Charles Lieber sur ce lien: Charles Lieber


 

Le laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à environ 32 km du marché des fruits de mer de Huanan, l’épicentre de l’épidémie de coronavirus

Le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est hébergé dans les installations militaires chinoises de l’Institut de virologie de Wuhan lié au programme chinois de guerre biologique . Il s’agissait du tout premier laboratoire du pays conçu pour répondre aux normes de niveau de biosécurité 4 (BSL-4) – le niveau de risque biologique le plus élevé, ce qui signifie qu’il serait qualifié pour gérer les agents pathogènes les plus dangereux. 

En janvier 2018, le laboratoire était opérationnel «  pour des expériences mondiales sur les agents pathogènes BSL-4  », a écrit Guizhen Wu dans la revue Biosafety and Health. « Après un incident de fuite de SRAS en 2004, l’ancien ministère de la Santé de Chine a lancé la construction de laboratoires de conservation pour les pathogènes de haut niveau tels que le SRAS, le coronavirus et le virus de la grippe pandémique », a écrit Guizhen Wu.

Arme biologique du coronavirus

L’institut de Wuhan a étudié les coronavirus dans le passé, y compris la souche qui provoque le syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS, le virus de la grippe H5N1, l’encéphalite japonaise et la dengue. Les chercheurs de l’institut ont également étudié le germe qui cause l’anthrax – un agent biologique développé autrefois en Russie.

« Les coronavirus (en particulier le SRAS) ont été étudiés dans l’institut et y sont probablement détenus », a déclaré Dany Shoham, un ancien officier de renseignement militaire israélien qui a étudié le biocombat en Chine . Il a dit. « Le SRAS est inclus dans le programme chinois BW , dans son ensemble, et est traité dans plusieurs installations pertinentes. »

James Giordano, professeur de neurologie à l’Université de Georgetown et chargé de recherche en biowarfare à l’US Special Operations Command, a déclaré que les investissements croissants de la Chine dans la bio-science, l’éthique plus souple autour de l’édition de gènes et d’autres technologies de pointe et l’intégration entre le gouvernement et le monde universitaire augmentent la spectre de ces agents pathogènes étant militarisés.

Cela pourrait signifier un agent offensant, ou un germe modifié libéré par des mandataires, pour lequel seule la Chine a le traitement ou le vaccin. « Ce n’est pas une guerre en soi », a-t-il dit. «Mais ce qu’elle fait, c’est tirer parti de sa capacité à agir en tant que sauveur mondial, ce qui crée ensuite divers niveaux de dépendances macro et microéconomiques et de bioénergie.»

Programme de guerre biologique de la Chine

Dans un article académique de 2015, Shoham – du Centre Begin-Sadat d’études stratégiques de Bar-Ilan – affirme que plus de 40 installations chinoises sont impliquées dans la production d’armes biologiques.

L’Académie chinoise des sciences médicales militaires a en fait développé un médicament contre le virus Ebola – appelé JK-05 – mais peu de choses ont été divulguées à ce sujet ou sur la possession par le centre de défense du virus, ce qui a incité à spéculer que ses cellules Ebola font partie de l’ arsenal chinois de la guerre biologique , a déclaré Shoham. National Post.

Ebola est classé comme agent de bioterrorisme de «catégorie A» par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, ce qui signifie qu’il pourrait être facilement transmis d’une personne à une autre, entraînerait des taux de mortalité élevés et «pourrait provoquer la panique». Le CDC classe le Nipah comme une substance de catégorie C, un pathogène émergent mortel qui pourrait être conçu pour une diffusion de masse.

Le programme de guerre biologique de la Chine serait à un stade avancé qui comprend des capacités de recherche et développement, de production et d’armement. On pense que son inventaire actuel comprend la gamme complète d’agents chimiques et biologiques traditionnels avec une grande variété de systèmes de livraison, notamment des roquettes d’artillerie, des bombes aériennes, des pulvérisateurs et des missiles balistiques à courte portée.

L’APL poursuit des applications militaires pour la biologie et étudie les intersections prometteuses avec d’autres disciplines, notamment la science du cerveau, le supercalcul et l’intelligence artificielle. Depuis 2016, la Commission militaire centrale a financé des projets sur la science militaire du cerveau, les systèmes biomimétiques avancés, les matériaux biologiques et biomimétiques, l’amélioration des performances humaines et la biotechnologie «nouveau concept».

En 2016, un chercheur au doctorat de l’AMMS a publié une thèse, «Recherche sur l’évaluation de la technologie d’amélioration des performances humaines», qui caractérisait CRISPR-Cas comme l’une des trois technologies principales susceptibles de renforcer l’efficacité au combat des troupes. La recherche de soutien a examiné l’efficacité du médicament Modafinil, qui a des applications dans l’amélioration cognitive; et à la stimulation magnétique transcrânienne, un type de stimulation cérébrale, tout en affirmant que le « grand potentiel » de CRISPR-Cas est une « technologie de dissuasion militaire dans laquelle la Chine devrait » saisir l’initiative « en développement.

En 2016, la valeur stratégique potentielle de l’information génétique a conduit le gouvernement chinois à lancer la National Genebank, qui a l’intention de devenir le plus grand référentiel mondial de ces données. Il vise à «développer et utiliser les précieuses ressources génétiques de la Chine, à sauvegarder la sécurité nationale en bioinformatique et à renforcer la capacité de la Chine à s’emparer des sommets stratégiques» dans le domaine de la guerre biotechnologique .

L’intérêt des militaires chinois pour la biologie en tant que domaine émergent de la guerre est guidé par des stratèges qui parlent des «armes génétiques» potentielles et de la possibilité d’une «victoire sans effusion de sang».

Cette histoire a été publiée dans son intégralité sur l’un des plus grands réseaux chinois d’information télévisée au monde

 

 

La stratégie nationale chinoise de fusion militaro-civile a mis la biologie au premier plan et l’Armée populaire de libération pourrait être à l’avant-garde de l’expansion et de l’exploitation de ces connaissances. L’intérêt des militaires chinois pour la biologie en tant que domaine émergent de la guerre est guidé par des stratèges qui parlent des «armes génétiques» potentielles et de la possibilité d’une «victoire sans effusion de sang».