Le 13 février, le bureau de presse du service russe de renseignement extérieur (SVR) a révélé que les États-Unis recrutaient des mercenaires djihadistes pour commettre des attentats terroristes sur le territoire de la Russie et dans les pays de la CEI.
Les militants sont recrutés parmi les groupes terroristes. Au moins 60 terroristes expérimentés s’entraînent déjà sur la base d’Al-Tanf en Syrie. Sur cette base, ainsi que dans les zones frontalières de la Jordanie, la CIA forme des militants depuis plus de 6 ans.
« Selon des données fiables reçues par le Service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie, l’armée américaine recrute activement des militants de groupes djihadistes affiliés à l’État islamique et à Al-Qaïda pour commettre des attentats terroristes sur le territoire de la Russie et dans les pays de la CEI », a déclaré le service de presse SVR.
Selon le SVR, « en janvier, 60 de ces terroristes ayant une expérience des opérations de combat au Moyen-Orient ont été sélectionnés ».
« Ils suivent actuellement une formation accélérée à la base américaine de Tanf en Syrie. Ils y sont formés aux techniques de fabrication et d’utilisation d’engins explosifs improvisés, ainsi qu’aux méthodes de sabotage et d’activités subversives », a déclaré le service de presse.
Les immigrants du Caucase du Nord russe et d’Asie centrale sont attirés par la coopération avec les États-Unis.
De nombreux anciens soldats américains travaillent déja comme mercenaires en Ukraine.
Le transfert de militants par petits groupes sur le territoire de la Russie et des États de la CEI est prévu dans un proche avenir. Ils seront chargés de préparer et d’exécuter des attentats terroristes contre des diplomates, des fonctionnaires, des forces de l’ordre et des membres des forces armées.
Selon le rapport du SVR, « une attention particulière est accordée à la planification d’attaques contre des installations bien gardées, y compris des missions diplomatiques étrangères ».
Un autre appel de l’ambassade des États-Unis aux citoyens américains pour qu’ils quittent le territoire de la Russie, qui a été publié le 12 février, pourrait devenir un autre signal d’attaques terroristes à venir sur le territoire russe préparées par les États-Unis et leur régime fantoche de Kiev.
Les citoyens américains devraient s’abstenir de se rendre en Russie en raison des « conséquences imprévisibles » du conflit en Ukraine, et ceux qui se trouvent déjà sur son territoire devraient quitter le pays de toute urgence, selon l’ambassade américaine.
Les responsables américains n’ont fourni aucune information fiable sur les raisons pour lesquelles les citoyens américains devraient quitter la Russie dès que possible, mais n’ont expliqué l’appel que par des raisons telles que « la Russie peut refuser de reconnaître la citoyenneté américaine des binationaux, leur refuser l’accès à l’assistance consulaire américaine, les soumettre à la mobilisation, empêcher leur départ de Russie et/ou les enrôler ».
Ainsi, aucune menace urgente n’a été révélée.
« La possibilité de terrorisme » a été mentionnée parmi les raisons.
« Si vous souhaitez quitter la Russie, vous devez prendre des dispositions indépendantes dès que possible. L’ambassade des États-Unis a de sévères limitations dans sa capacité à aider les citoyens américains à quitter le pays et les options de transport peuvent soudainement devenir encore plus limitées. »
Daniel Swift était un ancien militaire américain employé comme mercenaire en Ukraine.Voici sa carte que des soldats russes ont récupéré.
Auparavant, le chef de la Direction principale du renseignement du ministère de la Défense de l’Ukraine a reconnu que le régime de Kiev avait recours aux méthodes terroristes. Le régime terroriste de Kiev a des agents en Russie qui sont impliqués dans la préparation d’attentats, d’explosions, etc. sur le territoire russe.
Les saboteurs ukrainiens sur le territoire russe sont coordonnés par les services ukrainiens qui, à leur tour, sont en étroite coopération avec les États-Unis et d’autres services occidentaux.
La nouvelle de la connexion des banques russes au système de messagerie financière de l’Iran renforce la résistance aux sanctions imposées par les États-Unis aux deux pays et accélère la dédollarisation mondiale.
L’accord entre les banques centrales de Russie et d’Iran, signé officiellement le 29 janvier, qui relie leurs systèmes de transfert interbancaire, change la donne à plus d’un titre.
Techniquement, à partir de maintenant, 52 banques iraniennes utilisant déjà le SEPAM, le système de télécommunication interbancaire iranien, se connectent à 106 banques utilisant le SPFS, l’équivalent russe du système de messagerie bancaire occidental SWIFT.
Moins d’une semaine avant l’accord, le président de la Douma d’État, Vyachslav Volodin, était à Téhéran pour superviser les détails de dernière minute, dans le cadre d’une réunion de la commission interparlementaire Russie-Iran sur la coopération : il a insisté pour que les deux pays augmentent rapidement les échanges dans leur propre monnaie.
Échanges roubles-rials
Confirmant que la part du rouble et du rial dans les règlements mutuels dépasse déjà 60%, Volodine a ratifié le succès de « l’utilisation conjointe des systèmes de paiement nationaux Mir et Shetab ». Non seulement cela permet de contourner les sanctions occidentales, mais cela permet également de « résoudre les problèmes liés à la coopération mutuellement bénéfique et à l’augmentation des échanges commerciaux ».
Il est tout à fait possible que le rouble finisse par devenir la principale monnaie du commerce bilatéral, selon l’ambassadeur d’Iran à Moscou, Kazem Jalali : « Aujourd’hui, plus de 40% des échanges entre nos pays se font en roubles ».
Jalali a également confirmé, ce qui est crucial, que Téhéran est favorable à ce que le rouble soit la principale monnaie dans tous les mécanismes d’intégration régionale. Il faisait notamment référence à l’Union économique eurasiatique (UEE) dirigée par la Russie, avec laquelle l’Iran est en train de conclure un accord de libre-échange.
L’accord SEPAM-SPFS débute par un programme pilote supervisé par la Shahr Bank d’Iran et la VTB Bank de Russie. D’autres prêteurs interviendront une fois que le programme pilote aura éliminé tous les problèmes éventuels.
Le principal avantage est que le SEPAM et le SPFS sont à l’abri des sanctions américaines et occidentales impitoyablement imposées à Téhéran et à Moscou. Une fois l’accord complet mis en place, toutes les banques iraniennes et russes pourront être interconnectées.
Il n’est pas étonnant que le Sud mondial soit très attentif à cette affaire. Il s’agira probablement d’un cas de référence pour le contournement de SWIFT, basé en Belgique, qui est essentiellement contrôlé par Washington et, à une échelle moindre, par l’UE. Le succès du SEPAM-SPFS encouragera certainement d’autres accords bilatéraux ou même multilatéraux entre États.
Tout tourne autour de l’INSTC
Les banques centrales d’Iran et de Russie travaillent également à la création d’une monnaie stable pour le commerce extérieur, qui remplacerait le dollar américain, le rouble et le rial. Il s’agirait d’une monnaie numérique adossée à l’or, qui serait principalement utilisée dans la zone économique spéciale (ZES) d’Astrakhan, dans la mer Caspienne, où transitent déjà de nombreuses marchandises iraniennes.
Astrakhan se trouve être la plaque tournante russe du corridor international de transport Nord-Sud (INSTC), un vaste réseau de voies maritimes, ferroviaires et routières qui augmentera considérablement le commerce de la Russie – mais aussi de certaines parties de l’Europe – à travers l’Iran vers l’Asie occidentale et l’Asie du Sud, et vice-versa.
Et cela reflète toute la dimension géo-économique de l’accord SEPAM-SPFS. La Banque centrale russe a agi rapidement pour mettre en place le SPFS en 2014, lorsque Washington a commencé à menacer Moscou d’expulsion de SWIFT. Sa fusion avec le SEPAM iranien ouvre un tout nouvel horizon, surtout depuis la ratification de l’Iran en tant que membre à part entière de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), et désormais candidat de premier plan pour rejoindre le club élargi des BRICS+.
Trois mois déjà avant l’accord SEPAM-SPFS, le représentant commercial russe en Iran, Rustam Zhiganshin, laissait entendre que la décision de « créer un analogue du système SWIFT » était une affaire réglée.
Depuis l’été dernier, Téhéran préparait l’infrastructure nécessaire pour rejoindre le système de paiement russe Mir. Mais après que Moscou a été frappé par des sanctions occidentales extrêmement sévères et que les banques russes ont été coupées de SWIFT, Téhéran et Moscou ont décidé, stratégiquement, de se concentrer sur la création de leur propre système non-SWIFT pour les paiements transfrontaliers.
Tout cela est lié au rôle géoéconomique immensément stratégique de l’INSTC, qui est un corridor commercial beaucoup moins cher et plus rapide que l’ancienne route du canal de Suez.
La Russie est le premier investisseur étranger en Iran
En outre, la Russie est devenue le premier investisseur étranger en Iran, selon le vice-ministre iranien des Finances Ali Fekri : cela inclut « 2,7 milliards de dollars d’investissements dans deux projets pétroliers dans la province occidentale d’Ilam en Iran au cours des 15 derniers mois ». Cela représente environ 45% du total des investissements étrangers en Iran sur la période octobre 2021 – janvier 2023.
Bien sûr, l’ensemble du processus n’en est qu’à ses débuts, puisque le commerce bilatéral Russie-Iran ne représente que 3 milliards de dollars par an. Mais un boom est inévitable, en raison de l’effet cumulé des interactions entre le SEPAM-SPFS, l’INSTC et l’UEE, et surtout des nouvelles mesures prises pour développer la capacité énergétique, la logistique et les réseaux de transport de l’Iran, via l’INSTC.
Les projets russes en Iran ont de multiples facettes : énergie, chemins de fer, construction automobile et agriculture. Parallèlement, l’Iran fournit à la Russie des produits alimentaires et automobiles.
Ali Shamkhani, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, aime à rappeler que la Russie et l’Iran « jouent des rôles complémentaires dans l’énergie mondiale et le transit de marchandises ». L’accord de libre-échange (ALE) entre l’Iran et l’UEE est presque finalisé – avec notamment des droits de douane nuls pour plus de 7500 produits de base.
En 2022, l’UEE a échangé pour plus de 800 milliards de dollars de marchandises. Le plein accès de l’Iran à l’UEE sera inestimable en ce sens qu’il offrira une porte d’accès au marché à de vastes pans de l’Eurasie, tout en contournant les sanctions américaines. Selon une projection réaliste, Téhéran peut espérer un commerce annuel de 15 milliards de dollars avec les cinq membres de l’UEE dans cinq ans, dès que l’Iran sera le sixième membre.
L’héritage de Samarcande
Tout ce que nous suivons actuellement est, à bien des égards, une conséquence directe du sommet de l’OCS qui s’est tenu à Samarcande en septembre dernier, lorsque le président russe Vladimir Poutine et son homologue chinois Xi Jinping, en personne, ont parié sur le renforcement du monde multipolaire, l’Iran ayant signé un mémorandum pour rejoindre l’OCS.
Les entretiens privés que Poutine a eus avec le président iranien Ebrahim Raisi à Samarcande portaient tous sur la stratégie profonde.
L’INSTC est absolument crucial dans cette équation globale. La Russie et l’Iran investissent tous deux au moins 25 milliards de dollars pour renforcer ses capacités.
Les navires qui naviguent sur les fleuves Don et Volga ont toujours échangé des produits énergétiques et agricoles. Aujourd’hui, l’agence de presse maritime iranienne a confirmé que la Russie accordera à ses navires le droit de passage sur les voies navigables intérieures du Don et de la Volga.
Entre-temps, l’Iran est déjà établi comme le troisième plus grand importateur de céréales russes. Désormais, les échanges de turbines, de polymères, de fournitures médicales et de pièces automobiles vont se multiplier.
Téhéran et Moscou ont signé un contrat portant sur la construction d’un grand cargo pour l’Iran, qui sera utilisé dans le port caspien de Solyanka. Et RZD logistics, une filiale de la compagnie ferroviaire russe RZD, exploite régulièrement des trains de fret de conteneurs entre Moscou et l’Iran. Le Russian Journal for Economics prévoit que le seul trafic de marchandises sur l’INTSC pourrait atteindre 25 millions de tonnes d’ici à 2030, soit pas moins de 20 fois plus qu’en 2022.
À l’intérieur de l’Iran, de nouveaux terminaux sont presque prêts à recevoir les cargaisons des navires vers les chemins de fer qui sillonnent le pays de la mer Caspienne au golfe Persique. Sergey Katrin, directeur de la Chambre de commerce et d’industrie de Russie, est convaincu qu’une fois l’ALE avec l’UEE mis en place, le commerce bilatéral pourra bientôt atteindre 40 milliards de dollars par an.
Les plans de Téhéran sont extrêmement ambitieux, insérés dans le cadre d’un « axe oriental » qui privilégie les États régionaux que sont la Russie, la Chine, l’Inde et l’Asie centrale.
Sur le plan géostratégique et géoéconomique, cela implique une interconnexion sans faille entre l’INSTC, l’UEE, l’OCS et les BRICS+. Et tout cela est coordonné par le seul Quad qui compte vraiment : la Russie, la Chine, l’Inde et l’Iran.
Bien sûr, il y aura des problèmes. L’intraitable conflit Arménie-Azerbaïdjan pourrait faire dérailler l’INSTC : mais notez que les connexions Russie-Iran via la Caspienne peuvent facilement contourner Bakou si le besoin s’en fait sentir.
Les BRICS+ vont cimenter la chute du dollar
Outre la Russie et l’Iran, la Russie et la Chine tentent également d’interfacer leurs systèmes de messagerie bancaire depuis des années. Le système chinois CIPS est considéré comme un système de premier ordre. Le problème est que Washington a directement menacé d’expulser les banques chinoises de SWIFT si elles s’interconnectaient avec les banques russes.
Le succès SEPAM-SPFS pourrait permettre à Pékin de se lâcher – surtout maintenant, après la guerre extrêmement dure des semi-conducteurs et l’effroyable farce des ballons. En termes de souveraineté, il est clair que la Chine n’acceptera pas les restrictions américaines sur la manière de déplacer ses propres fonds.
Parallèlement, en 2023, les BRICS approfondiront le développement de leur système de paiements financiers mutuels et de leur propre monnaie de réserve. Pas moins de 13 candidats confirmés sont impatients de rejoindre les BRICS+, dont des puissances moyennes asiatiques comme l’Iran, l’Arabie saoudite et l’Indonésie.
Tous les regards seront tournés vers les États-Unis, qui sont endettés à hauteur de plus de 30 000 milliards de dollars, pour savoir s’ils menaceront d’expulser les BRICS+ de SWIFT, et comment.
Il est éclairant de se rappeler que le ratio dette/PIB de la Russie n’est que de 17%. Celui de la Chine est de 77%. Les BRICS actuels, sans la Russie, sont à 78%. Les BRICS+, Russie comprise, pourraient n’atteindre que 55% en moyenne. Une forte productivité à venir viendra d’un BRICS+ soutenu par une monnaie adossée à l’or et/ou aux matières premières et par un système de paiement différent qui contourne le dollar américain. Une forte productivité ne viendra certainement pas de l’Occident collectif dont les économies entrent en récession.
Au milieu de tant de développements entrelacés et de tant de défis, une chose est certaine. L’accord SEPAM-SPFS entre la Russie et l’Iran n’est peut-être que le premier signe du mouvement des plaques tectoniques dans les systèmes bancaires et de paiement mondiaux.
Bienvenue à un, deux, mille systèmes de messagerie de paiement. Et bienvenue à leur unification dans un réseau mondial. Bien sûr, cela prendra du temps. Mais ce train financier à grande vitesse a déjà quitté la gare.
PHOTO/MARCOS CORREA/PALACIO DO PLANALTO – De gauche à droite, le président sud-africain Cyril Ramaphosa, le Premier ministre indien Narendra Modi, le président russe Vladimir Poutine et le président brésilien Jair Bolsonaro participent à une table ronde lors du sommet des dirigeants des BRICS.C’était déja en 2022.
Big Bang en vue dans la finance : la fragmentation des systèmes de paiement internationaux s’accélère
DOSSIER MONDIALISATION- Le ver était déjà dans le fruit depuis l’application des sanctions contre l’Iran, puis la Russie. Mais la guerre en Ukraine et l’exclusion des banques russes du système Swift, sans parler des tensions géopolitiques entre la Chine et les États-Unis, ont accéléré le besoin des États ou des zones monétaires de se protéger en développant leurs propres infrastructures de paiement. Et l’essor des monnaies digitales de banque centrale devrait renforcer ce mouvement de fragmentation du système monétaire mondial, bâti dans les années 1970 pour accompagner la mondialisation de l’économie.
« La bombe atomique » que devait représenter la déconnexion de la Russie de la messagerie interbancaire internationale Swift semble, pour l’instant, avoir fait pschitt. L’impact sur l’économie se fait attendre, le pays continue d’engranger des dizaines de milliards de dollars de recettes énergétiques, et la devise russe a retrouvé ses niveaux d’avant l’invasion de l’Ukraine, grâce notamment à des mesures drastiques de contrôle des changes et des capitaux.
« C’est bien une bombe atomique, mais à retardement ! Les systèmes de paiement se sont construits jusqu’ici sur une logique de mondialisation et d’ouverture complète entre les différentes zones économiques ou monétaires. C’était la « globalisation », la construction du « Global Village » sur le Web », observe Hervé Sitruk, président de France Payments Forum.
Fragmentation des systèmes de paiement mondiaux
Les grands pays, Chine, Russie, mais aussi Inde, Brésil, Afrique du Sud ou bien Turquie l’ont bien compris, ils doivent trouver des alternatives dans les paiements dans le cas où ils tomberaient, pour une raison ou une autre, sous le coup des sanctions américaines.
« Les sanctions, certes nécessaires, vont casser ce mécanisme et conduire à une fragmentation des systèmes de paiement mondiaux, à la fois pour les transferts de gros et les paiements retail, qui vont donner place à des zones d’échanges concentriques, et parfois concurrentes. Pour l’Europe, ce sera la construction de systèmes de paiement internes à la zone SEPA, puis le renforcement des liens d’échange au sein du monde occidental, et le maintien de systèmes mondiaux existants mais aussi le développement de systèmes concurrents, qui regrouperont d’autres zones économiques et monétaires… », prédit Hervé Sitruk.
L’union sacrée entre Chine et Russie, cauchemar des États occidentaux
Lors du 14e sommet des BRICS – les principaux pays émergents – en juin dernier, sous la présidence du président chinois Xi Jinping, le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois dénoncé les pays occidentaux qui se servent « des mécanismes financiers pour rendre le monde entier responsable de leurs propres erreurs de politique économique », appelant les BRICS à créer leurs propres systèmes de paiement pour bâtir « un système mondial réellement multipolaire ». Le propos n’est pas nouveau. Il est même théorisé en Russie depuis les premières sanctions imposées par l’Occident lors de l’annexion de la Crimée en 2014.
Mais il a désormais le soutien officiel de la Chine dans une sorte de croisade commune contre l’Occident.
« Pour un groupe qui ne représente qu’environ un dixième de la population mondiale, le G7 n’a aucune qualification pour parler au nom du monde entier, et encore moins pour adopter leurs propres valeurs et normes comme étant les valeurs et normes internationales universelles », a martelé Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères le 29 juin dernier dans la foulée de la réunion du G7.
L’union sacrée entre la Russie et la Chine est le cauchemar des États occidentaux et sans doute les prémisses d’une fracture majeure.
Entente cordiale
Au cours des trente années qui ont suivi l’effondrement de l’Union soviétique, la Chine et la Russie ont considérablement amélioré leurs relations et les échanges commerciaux ont été multipliés par 14 en vingt ans. Et la confrontation parallèle entre la Chine et les États-Unis a encore renforcé ses liens, d’autant que les deux dirigeants russe et chinois ont cette volonté commune de redonner de la grandeur à leur pays en s’opposant au leadership américain.
C’est donc autant par nécessité que par idéologie que la Russie s’est engagée, dès 2014, à mettre en place un système équivalent à Swift de transfert interbancaire de messages, baptisé SPFS. L’idée est bien de répliquer la messagerie Swift, et les autorités russes ont fortement encouragé les banques du pays à adhérer à ce système, qui regroupe aujourd’hui environ 400 établissements, russes dans leur quasi-totalité. En revanche, aucune banque européenne ou américaine, ni même d’ailleurs une banque russe de renom comme Tinkoff (avant sa reprise en main par les autorités) n’a accepté de faire partie du système SPFS. On est loin donc des quelque 11.000 établissements bancaires qui utilisent 24H/24 le réseau Swift.
Vers une alliance sino-russe dans le domaine des paiements ?
Cette même politique a été appliquée au système de cartes bancaires pour tenter de s’extraire de la dépendance des réseaux américains Visa et Mastercard. Détenu par la banque centrale russe, et imposé, de fait, au public par le gouvernement, le réseau Mir (« le monde ») permet de compenser les transactions de cartes bancaires réalisées en Russie.
Mais Mir, qui porte assez mal son nom, est quasiment utilisé seulement pour des opérations domestiques. A l’étranger, la carte Mir doit être co-brandée avec un partenaire étranger, comme Mastercard ou le chinois UnionPay. En mai dernier, un diplomate chinois en visite à Moscou a évoqué, selon l’agence Reuters, des consultations à venir pour faciliter l’utilisation des réseaux Mir et UnionPay.
Car, dans un cas comme dans l’autre, ces initiatives russes butent sur un obstacle de taille : celui de leur non-acceptation par les grandes banques internationales et les grands sites marchands. D’où les promesses d’une alliance Russie/Chine dans le domaine des paiements.
C’est notamment le projet russe de faire converger le réseau SPFS avec la messagerie chinoise interbancaire CIPS pour faire naître une alternative plus crédible au réseau Swift. Mais, là aussi, il reste beaucoup de chemin à faire alors que la part du yuan dans les échanges internationaux demeure marginale (2% à 3 % environ, selon les chiffres de Swift) et que CIPS pèse encore peu par rapport aux volumes traités par Swift. On ne construit pas une infrastructure avec des protocoles acceptés par tous du jour au lendemain, sans parler du principal critère pour les échanges interbancaires, la confiance.
Enjeux de souveraineté : l’Union européenne aussi
Reste que la Chine et la Russie ne sont pas les seuls à revendiquer une souveraineté dans les paiements. C’est le cas notamment de l’Union européenne, ou du moins, au sein de la zone euro. En mai dernier, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a défendu l’idée « d’un système financier multilatéral coopératif » pour réduire une dépendance « excessive » à une monnaie, le dollar.
C’est d’ailleurs sur fond de désaccord avec la politique américaine à l’égard de l’Iran que l’Union européenne a lancé INSTEX, sorte d’alternative à Swift mais limitée au commerce humanitaire. Le projet européen IXB est plus ambitieux : il s’agit de créer un système de paiement international quasi instantané, du moins entre les deux rives de l’Atlantique. Il est lancé par les chambres de compensation EBA Clearing et The Clearing House et le réseau Swift, avec 24 banques (dont trois françaises) dans sa phase pilote.
« Ce projet est extrêmement important car il préfigure les nouveaux dispositifs européens. La guerre en Ukraine va contraindre l’Europe à construire, brique par brique, sa souveraineté et créer au-dessus de la zone euro, une nouvelle zone financière pour les échanges avec les Etats-Unis et les pays alliés », observe Hervé Sitruk.
Cela passe par une forte consolidation européenne des infrastructures, notamment dans le domaine de la compensation. Et le projet européen EPI, pour l’instant mis en demi-sommeil sur le seul volet carte bancaire, alors qu’il visait à créer un système européen face aux géants Visa et Mastercard, devra être repris par la suite mais sous de nouvelles approches.
L’empilement de ces différents systèmes de paiement (par zone monétaire, ou par zone d’influences entre alliés ou, enfin, au niveau mondial) va nécessairement rogner peu à peu la position de quasi-monopole de Swift pour les échanges internationaux.
Le mouvement prendra cependant des années et Swift ne disparaîtra pas du jour au lendemain : la messagerie a toujours sa capacité à accepter toutes les banques et elle conserve surtout son statut de tiers de confiance entre les banques, notamment en cas de litige. Les nouveaux systèmes auront bien du mal à totalement remplacer Swift, notamment pour les petites banques qui auront sans doute plus de difficulté à se faire entendre face à une banque centrale russe ou chinoise.
Révolution numérique, une course au leadership
Reste que Swift est une messagerie électronique qui n’a pas encore fait sa mue numérique. Or, à cette géopolitique des paiements qui se met en place répond un autre enjeu, plus technologique, celui des monnaies digitales. Et, dans ce domaine, après quelques retards à l’allumage, c’est une course qui s’enclenche sur fond de rivalités.
La place de Londres souhaite prendre le leadership sur les stables coins, les Etats-Unis misent les plateformes d’échange, et la Chine semble avoir pris une longueur d’avance sur la monnaie digitale de banque centrale. Elle a notamment testé des pilotes lors des Jeux Olympiques de Pékin, en y associant même de grandes entreprises américaines, comme McDonald’s.
La Chine développe également un projet de monnaie banque centrale pour les paiements transfrontières, baptisé M-CBDC Bridge(*), auquel participent 22 institutions financières, dont les six banques publiques chinoises, mais aussi des banques de Hong Kong, de Thaïlande ou des Émirats arabes unis. Ce projet, encore à un stade très précoce, pourrait en théorie, remplacer Swift pour les échanges entre les pays concernés. Des banques russes pourraient d’ailleurs rejoindre cette initiative.
« Vers une double fragmentation, géopolitique et numérique »
La Russie compte également aller vite dans ce domaine pour contourner les sanctions. Sa banque centrale multiplie les annonces de tests réussis sur la monnaie digitale et promet même la mise en œuvre d’un pilote grandeur nature de l’e-rouble dès 2023, soit avec un an d’avance sur le calendrier prévu. Enfin, le conglomérat Rostec, très lié au secteur de la défense russe, vient d’annoncer un projet blockchain pour permettre aux pays étrangers de payer leurs importations russes.
Reste un obstacle de taille : l’e-rouble, pas plus que le rouble, ne devrait être accepté en dehors de la Russie. Mais l’émergence de l’économie numérique est de nature à remettre en cause à terme l’hégémonie actuelle du dollar sur les paiements internationaux.
« Nous allons vers une double fragmentation, géopolitique et numérique, et il sera de plus en plus difficile de communiquer entre certaines zones économiques et monétaires. Le processus est lent mais bel et bien lancé », résume Hervé Sitruk.
Les crises nourrissent toujours les innovations et il n’y aura pas de retour en arrière – du moins, pas à la situation qui prévalait depuis les années 2000, et à laquelle les sanctions contre l’Iran puis contre la Russie ont mis fin.
La frégate de la marine à armement nucléaire russe a organisé des jeux de guerre avec un « lancement de missile hypersonique » dans l’Atlantique Ouest.
La frégate Amiral Gorshkov
La frégate Amiral Gorshkov est armé avec le nouveau missile hypersonique Zircon.
L’amiral Gorshkov, armé de missiles Mach 9 Zircon « inarrêtables », a effectué un lancement « électronique » sur une « cible de surface ennemie » après avoir prétendument dévié de sa route et navigué vers les États-Unis .
L’exercice, vu sur une vidéo du ministère russe de la Défense, impliquait un exercice de tir de l’arme mortelle, qui, selon Poutine, n’a « aucun équivalent dans le monde » à une distance de plus de 560 milles.
« Le lancement électronique et le travail de l’équipe de combat embarquée ont confirmé les caractéristiques de conception du système de missile démontrées lors des essais préliminaires et d’état », a déclaré le capitaine du navire, Igor Krokhmal.
Le navire a été étroitement surveillé par les marines de l’OTAN dans le cadre de leur mission, armé de l’arme Zircon volant à une vitesse de Mach 9 (6 670 mph) et qui a une portée maximale de 625 milles.
Plus tôt ce mois-ci, la frégate a été escortée dans les eaux britanniques par la Royal Navy, et des navires français et espagnols l’ont ensuite escortée à travers l’Atlantique.
Le navire devait se diriger vers le sud auprès de l’Afrique du Sud jusqu’à l’océan Indien, puis entrer dans la mer Méditerranée par le canal de Suez.
Des images terrifiantes montrant la marine se préparant à un lancement nucléaire montrent l’ouverture de la trappe en préparation du missile mortel
Un rapport non confirmé de la chaîne russe Telegram indique que le navire de guerre a été « repéré au radar dans les eaux neutres de l’océan Atlantique – à une distance de lancement de salve efficace de la côte américaine ».
Les sites de surveillance radar suggèrent que le Gorshkov s’est séparé de son navire-citerne à résidus Kama dans le golfe de Gascogne et s’est dirigé vers l’ouest.
La Kama a poursuivi son acheminement vers le sud en passant par les Açores.
La frégate transportant les missiles Mach 9 avait été suivie à 807 miles à l’ouest de l’île portugaise de Flores aux Açores, a suggéré ItaMilRadar.
Une frégate russe transportant des missiles de croisière hypersoniques à capacité nucléaire Mach 9 « irrésistibles » a dévié de sa trajectoire
Lancement du missile hypersonique en mer.
Le navire amiral Gorshkov est photographié lors d’un lancement d’essai de ses missiles Zircon dans la mer de Barents
Si tel est le cas, à cette distance, il ne serait pas à ce stade à portée des États-Unis pour ses Zircons mortels.
La frégate transporte également des missiles Kalibr, un type utilisé en Ukraine.
Poutine a personnellement participé – à distance – à la cérémonie d’adieu lorsque le navire de guerre a quitté la base navale arctique de Severomorsk le 4 janvier.
Il a précisé que cette mission était conçue comme une démonstration de force face à l’Ouest.
Il s’est vanté que l’OTAN ne pouvait égaler sa puissance de feu hypersonique de « dernière génération ».
Il a déclaré: « Je suis sûr qu’une arme aussi puissante nous permettra de protéger de manière fiable la Russie contre les menaces extérieures potentielles et contribuera à garantir les intérêts nationaux de notre pays. »
Le mois prochain, il participera à des exercices avec les marines chinoise et sud-africaine près des ports de Durban et de Richards Bay.
La frégate HMS Portland de la Royal Navy Type 23 surveillait le navire de guerre russe et le pétrolier Kama alors qu’ils naviguaient près du Royaume-Uni.
Auparavant, la marine norvégienne avait prêté une attention particulière à la mission hypersonique de ce navire russe.
Le dangereux ennemi des navires de surface dans les océans du monde est maintenant armé du nouveau missile hypersonique.
Le capitaine de la frégate, Igor Krokhmal, a déclaré précédemment : » Personne ne verra le lancement du missile ou son vol. Ils ne verront que le moment où le missile atteindra la cible. »
Une cible de surface, une cible côtière. Je ne pense pas qu’il y aura quoi que ce soit pour contrer cela dans les prochaines années.
Si vous doutiez encore de la corruption des politiques par les lobbys pharmas, cette nouvelle tentative pour rendre obligatoire le vaccin Gardasil contre les papillomavirus (HPV), soi-disant pour protéger nos enfants contre le cancer du col de l’utérus, doit tous nous alerter.
Il y a tellement à dire sur ce produit dont le développement a bénéficié d’une autorisation de développement accélérée = Merck n’a pas eu besoin de tout étudier lors de l’essai mais devait faire les études après la mise sur le marché tout comme pour les injections COVID-19 !
Je vous propose de commencer par les dernières nouvelles : après des années d’utilisation aux US, après des décès et des handicapés à vie, un juge a ordonné le 5 août 2022 l’ouverture du premier grand procès contre Merck qui débutera en février 2023. Les plaignants accusent Merck d’avoir caché les effets secondaires graves de ses vaccins en exagérant les bénéfices, induisant les parents en erreur et extorquant ainsi leur consentement non éclairé2,3.
Le juge a examiné 48 dossiers de victimes présentant beaucoup de similitudes au niveau des effets secondaires subis par les jeunes femmes et jeunes hommes, puis a demandé que toutes les plaintes (plus d’une centaine) soient présentées en même temps sous une « class action ».
Après avoir épuisé tous les recours pour empêcher ce procès, le dernier argument de Merck pour empêcher le juge d’ordonner l’ouverture d’un procès fut que « cela augmenterait l’hésitation vaccinale et contribuerait à la désinformation contre les vaccins ». N’est-ce pas fabuleux ?
Ils mettent des poisons sur le marché, corrompent les politiques pour faire voter des obligations, refusent d’admettre les effets secondaires graves et, quand il y a trop de victimes, ils demandent aux juges de ne pas faire de procès pour ne pas contribuer à la « désinformation ».
Parmi les effets secondaires les plus souvent recensés, dont la mort, on trouve beaucoup de réactions auto-immunes comme listé ci-dessous (en jaune sont surlignées celles qu’on trouve déjà avec les injections COVID-19)4.
Chez hommes et femmes :
L’avant-dernier effet listé concerne les problèmes de reproduction et l’insuffisance ovarienne précoce, prématurée = stérilisation. (Au passage, Bill Gates est l’un des plus fervents soutiens de la distribution de ce vaccin surtout en Afrique et Inde…)
Effets secondaires surtout chez les femmes indiquant des réactions auto-immunes :
Effets secondaires surtout chez les hommes indiquant des réactions auto-immunes :
Mais que trouve-t-on dans la notice des effets secondaires répertoriés par Merck ?
RIEN de plus que des petits désagréments, comme pour les injections COVID-19 !
De quelle manière le laboratoire Merck, à l’instar de TOUS les autres fabricants de vaccins pour prévenir les cancers du col de l’utérus à HPV comme GSK, a-t-il truqué ses essais cliniques pour couvrir les effets secondaires graves ?
Facile, ils n’ont PAS utilisé de vrai PLACEBO (solution saline INERTE) mais ils ont injecté aux groupes placebos un adjuvant neurotoxique à base d’aluminium dont la sécurité n’a jamais été étudiée sur l’homme.
L‘adjuvant utilisé est le 𝗔𝗔𝗛𝗦 (Amorphous Aluminium Hydroxyphosphase Sulfate) connu pour être à 100% absorbé dans les organes et tissus comme :
• le cerveau (maladies neurologiques), • les articulations (arthrite rhumatoïde), • et la rate (joue un rôle déterminant dans l’immunité et le processus de renouvellement cellulaire du sang)
Un placebo DOIT ÊTRE INERTE !
Vous comprenez aisément que si le groupe placebo est injecté avec ce qui cause des effets secondaires graves, le crime est effacé !
L’EMA a autorisé le vaccin sans exiger que les effets de cet adjuvant, jamais utilisé chez l’homme, ne soient étudiés !5
Comment un président de la République peut-il faire aussi ouvertement la promotion d’un vaccin connu pour avoir déjà été le plus dangereux avant l’arrivée des injections COVID-19 ?
Combien est-il offshorisé pour vouloir imposer à tous nos ados un tel produit qui n’a jamais démontré une quelconque efficacité contrairement à ce qu’ils martèlent ? (précisions dans les prochains épisodes…)
Et surtout comment pense-t-il pouvoir rendre obligatoire un produit pour nous protéger d’une maladie contre notre gré ? Une pensée envers tous les personnels suspendus pour avoir refusé la vaccination Covid-19.
On ne parle plus d’une maladie respiratoire transmissible contre laquelle il faudrait protéger des bébés pas encore en âge d’être vaccinés. Chacun décide pour le risque qu’il veut prendre et ce n’est certainement pas à Macron ou à Merck de décider pour nous.
D’ailleurs le Président de la République Emmanuel Macron pourrait-il préciser ses récents propos6 :
« quand tout cela sera installé » CELA quoi ? • Nudging des médias et slogans de McKinsey ? « quand on aura les bonnes recommandations » de QUI ? • Les virements offshores de Merck, le WEF, Bill Gates, l’OMS ?
Et quelle hypocrisie de tout ce petit monde : le cancer du col de l’utérus représente 600 000 cas par an dans le monde et dont la grande majorité se résorbe sans traitement.
Quand bien même il s’agirait de 600 000 morts, nous sommes 8 MILLIARDS soit une prévalence de 0.0075% et ils voudraient vacciner tous les ados pour ça ?
En France, il y a 1000 morts par an par suite d’un cancer du col de l’utérus mais rien ne prouve que ce cancer soit lié aux virus HPV et ils veulent injecter des millions d’enfants chaque année ?
En France, on déplore 60 000 MORTS annuels (pas des cas) liés au tabac, pourtant personne ne parle d’interdire la cigarette, pourquoi ?
Parce que les big pharmas vendent pour une fortune leurs traitements pour les cancers des poumons, de la gorge et autres cancers liés au tabac. Et les jeunes commencent à fumer de plus en plus tôt !
Au lieu d’interdire la cigarette, Macron préfère rendre gratuits les préservatifs en pharmacie pour les mineurs, s’imaginant peut-être que tous nos ados ont les mêmes mœurs que lui, à moins que ce ne soit les premiers pas vers la légalisation d’autres choses moins avouables et dont rêvent ces globalistes !
un recalcul détaillé des décès camouflés qui intervinrent pendant l’étude menée par Pfizer pour qualifier leur vaccin anti-Covid, les chiffres parlaient d’eux-mêmes :
C’est difficile à admettre, mais les Anglo-Saxons ne s’en cachent pas. Pour paraphraser une citation célèbre du premier secrétaire général de l’Alliance, l’OTAN a été conçue pour « garder la Russie à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et l’Union européenne sous tutelle ».
Il n’y a aucune autre interprétation possible de la poursuite des inutiles « sanctions » contre Moscou et des vains combats meurtriers en Ukraine.
Cela fait presque un an que l’armée russe est entrée en Ukraine pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité. L’OTAN, rejetant ce motif, considère au contraire que la Russie a envahi l’Ukraine pour l’annexer. Dans quatre oblasts, les référendums d’adhésion à la Fédération de Russie semblent confirmer l’interprétation de l’OTAN, sauf que l’Histoire de la Novorossia confirme l’explication de la Russie. Les deux narrations se poursuivent en parallèle, sans jamais se recouper.
Pour ma part, ayant édité un bulletin quotidien durant la guerre du Kosovo1, je me souviens que la narration de l’OTAN à l’époque était contestée par toutes les agences de presse des Balkans, sans que j’aie le moyen de savoir qui avait raison. Deux jours après la fin du conflit, des journalistes des pays membres de l’Alliance atlantique purent se rendre sur place et constater qu’ils avaient été bernés. Les agences de presse régionales avaient raison. L’OTAN n’avait cessé de mentir. Par la suite, alors que j’étais membre du gouvernement libyen, l’OTAN, qui avait un mandat du Conseil de Sécurité pour protéger la population, l’a détourné pour renverser la Jamahiriya arabe libyenne, tuant 120 000 des personnes qu’elle devait protéger. Ces expériences nous montrent que l’Occident ment sans honte pour couvrir ses actes.
Aujourd’hui l’OTAN nous assure qu’elle n’est pas en guerre puisqu’elle n’a pas déployé d’hommes en Ukraine. Pourtant nous assistons d’une part à des transferts d’armes gigantesques vers l’Ukraine pour que les nationalistes intégraux ukrainiens2, formés par l’OTAN, résistent à Moscou et, d’autre part, à une guerre économique, elle aussi sans précédent, pour détruire l’économie russe. Compte-tenu de l’ampleur de cette guerre par Ukrainiens interposés, l’affrontement entre l’OTAN et la Russie semble à tout instant possible.
Une nouvelle Guerre Mondiale est pourtant hautement improbable, à court terme tout au moins : en effet, les actes contredisent déjà la narration de l’OTAN.
La guerre dure et dure encore. Non pas que les deux camps soient à égalité, mais parce que l’OTAN ne veut pas affronter la Russie. Nous l’avons vu, il y a trois mois, lors du sommet du G20 à Bali. Avec l’accord de la Russie, le président ukrainien Volodymyr Zelensky est intervenu dans les débats en vidéo, depuis Kiev. Il a demandé l’exclusion de la Russie du G20, comme elle l’avait été du G8 après l’adhésion de la Crimée à la Fédération russe. À sa grande surprise et à celle des membres de l’OTAN présents à ce sommet, les États-Unis et le Royaume-Uni ne l’ont pas soutenu3. Washington et Londres sont convenus qu’il y avait une ligne à ne pas dépasser. Et pour cause : les armes russes modernes sont bien supérieures à celles de l’OTAN, dont la technologie date des années 90. En cas d’affrontement, il ne fait aucun doute que certes la Russie souffrirait, mais qu’elle écraserait les Occidentaux en quelques jours.
À la lumière de cet événement, nous devons relire ce qui se passe sous nos yeux.
L’afflux d’armes vers l’Ukraine n’est qu’un leurre : la majorité des matériels envoyés n’atteint pas le champ de bataille. Nous avions annoncé qu’elles seraient envoyées pour déclencher une autre guerre au Sahel4, ce que le président du Nigeria, Muhammadu Buhari, a publiquement confirmé en attestant que de nombreuses armes destinées à l’Ukraine étaient déjà aux mains des jihadistes africains5. Au demeurant, constituer un arsenal de bric et de broc, en additionnant des armes d’âge et de calibres différents, ne sert à rien. Personne n’a la logistique suffisante pour approvisionner les combattants en munitions multiples. Il faut donc en conclure que ces armes ne sont pas données à l’Ukraine pour qu’elle gagne.
Le New York Times a sonné l’alerte en expliquant que les industriels occidentaux de la Défense ne parvenaient pas produire d’armes et de munitions en quantité suffisante. Les stocks sont déjà épuisés et les armées occidentales sont contraintes de donner le matériel indispensable à leur propre défense. Ceci a été confirmé par le secrétaire US à la Marine, Carlos Del Toro, qui a mis en garde face au déshabillage actuel des armées états-uniennes6. Il a précisé que si le complexe militaro-industriel US ne parvenait pas, dans les six mois, à produire plus d’armes que la Russie, les armées US ne pourraient plus accomplir leur mission.
Première remarque : si des politiciens US veulent déclencher l’Armageddon, ils n’ont pas les moyens de le faire dans les six prochains mois et ne les auront probablement pas non plus par la suite.
Mais pourquoi donc Josep Borrell, Charles Michel et Ursula von der Leyen, qui ont été convaincus de corruption et ont prouvé leur incompétence, sont devenus les leaders de l’Union européenne ? Pour souscrire à ce que leur dicte Jens Stoltenberg.
Étudions maintenant la guerre économique. Laissons de côté son camouflage sous un vocabulaire châtié : les « sanctions ». J’ai déjà traité cette question et souligné qu’il ne s’agit pas de décision d’un tribunal et qu’elles sont illégales en droit international. Observons les monnaies. Le dollar a écrasé le rouble durant deux mois, puis il est redescendu à la valeur qu’il avait de 2015 à 2020, sans que la Russie ait emprunté massivement. En d’autres termes, les prétendues « sanctions » n’ont eu qu’un effet négligeable sur la Russie. Elles ont gravement perturbé ses échanges durant les deux premiers mois, mais ne la gênent plus aujourd’hui. Par ailleurs, elles n’ont rien coûté aux USA et ne les ont pas du tout affectés.
Nous savons que, tout en interdisant à leurs alliés d’importer des hydrocarbures russes, les États-Unis en importent via l’Inde et reconstituent ainsi les stocks dans lesquels ils avaient puisé durant les premiers mois du conflit7.
Par contre, nous observons un chamboulement de l’économie européenne qui est contrainte d’emprunter massivement pour soutenir le régime de Kiev. Nous ne disposons ni de statistiques sur l’ampleur de ces emprunts, ni de l’identification des créanciers. Il est cependant clair que les gouvernements européens font appel à Washington au titre de la loi de prêt-bail US (Ukraine Democracy Defense Lend-Lease Act of 2022). Tout ce que les Européens donnent à l’Ukraine a un coût, mais il ne sera comptabilisé qu’après la guerre. Ce n’est qu’à ce moment-là que la facture sera établie. Et elle sera exorbitante. Jusque-là, tout va bien.
Le sabotage des pipe-lines Nord Stream 1 et Nord Stream 2, le 26 septembre 2022, n’a pas été revendiqué après coup, mais avant par le président états-unien Joe Biden, le 7 février 2022, à la Maison-Blanche, en présence du chancelier allemand Olaf Scholz. Certes, il ne s’est engagé qu’à détruire Nord Stream 2 en cas d’invasion russe de l’Ukraine, mais c’est que parce que la journaliste qui l’interrogeait avait cadré le sujet sans oser imaginer qu’il pourrait le faire aussi pour Nord Stream 1. Par cette déclaration et plus encore par ce sabotage, Washington a montré le mépris dans lequel il tient son allié allemand. Rien n’a changé depuis que le premier secrétaire général de l’OTAN, Lord Ismay, déclarait que le véritable but de l’Alliance était de « garder l’Union soviétique à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et les Allemands sous tutelle » (« keep the Soviet Union out, the Americans in, and the Germans down »)8. L’Union soviétique a disparu et l’Allemagne a pris la tête de l’Union européenne. S’il était toujours en vie, Lord Ismay dirait probablement que l’objectif de l’OTAN est de garder la Russie à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et l’Union européenne sous tutelle.
L’Allemagne, pour qui le sabotage de ces pipe-lines est le plus grave coup depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, a encaissé sans broncher. Simultanément, elle a avalé le plan Biden de sauvetage de l’économie US au détriment de l’industrie automobile allemande. À tout cela, elle a réagi en se rapprochant de la Chine et en évitant de se fâcher avec la Pologne, nouvel atout des États-Unis en Europe. Elle se propose aujourd’hui de reconstruire son industrie en développant des usines de munitions pour l’Alliance.
Par voie de conséquence, l’acceptation par l’Allemagne de la suzeraineté US a été partagée par l’Union européenne que Berlin contrôle9.
Deuxième remarque : Les Allemands et les membres de l’Union européenne dans leur ensemble ont pris acte d’une baisse de leur niveau de vie. Ils sont, avec les Ukrainiens, les seules victimes de la guerre actuelle et s’en accommodent.
En 1992, alors que la Fédération de Russie venait de naître sur les ruines de l’Union Soviétique, Dick Cheney, alors secrétaire à la Défense, commanda au straussien10 Paul Wolfowitz un rapport qui ne nous est parvenu qu’amplement caviardé. Les extraits de l’original qu’en ont publié le New York Times et le Washington Post font apparaître que Washington ne considérait plus la Russie comme une menace, mais l’Union européenne comme un rival potentiel11. On pouvait y lire : « Bien que les États-Unis soutiennent le projet d’intégration européenne, nous devons veiller à prévenir l’émergence d’un système de sécurité purement européen qui minerait l’OTAN, et particulièrement sa structure de commandement militaire intégré ». En d’autres termes, Washington approuve une Défense européenne subordonnée à l’OTAN, mais est prêt à détruire l’Union européenne si elle s’imagine devenir une puissance politique capable de lui tenir tête.
La stratégie actuelle des États-Unis, qui n’affaiblit pas la Russie, mais l’Union européenne au prétexte de lutter contre la Russie, est la seconde application concrète de la doctrine Wolfowitz. Sa première application, en 2003, consistait à punir la France de Jacques Chirac et l’Allemagne de Gerhard Schröder qui s’étaient opposées à ce que l’OTAN détruise l’Iraq12.
C’est très exactement ce qu’a déclaré le président du comité des chefs d’état-major US, le général Mark Milley, lors d’une conférence de presse à l’issue de la réunion des alliés, le 20 janvier à Ramstein. Alors qu’il avait exigé de chaque participant le don d’armes à Kiev, il a reconnu que « Cette année, il sera très, très difficile d’éjecter militairement les forces russes de chaque centimètre carré de l’Ukraine occupée par la Russie » (« This year, it would be very, very difficult to militarily eject the Russian forces from every inch of Russian-occupied Ukraine »). En d’autres termes, les Alliés doivent se saigner, mais il n’y a aucun espoir de gagner quoi que ce soit en 2023 sur la Russie.
Troisième remarque : Cette guerre n’est pas conduite contre Moscou, mais pour affaiblir l’Union européenne.
La rupture du front à Soledar marque un tournant décisif dans la guerre qui se joue entre « l’Occident collectif » et le reste du monde emmené par la Russie pour l’occasion. Une question se pose : l’Occident collectif va-t-il franchir un palier dans son engagement en soutien à l’Ukraine ou bien accepter une porte de sortie ? Une question subsidiaire en découle : la co-belligérance sera-elle déclarée ou non ?
Sur le plan opérationnel, la rupture du front à Soledar marque un tournant considérable dans les opérations militaires. En effet, après des mois de guerre d’attrition méthodique, la percée tactique à Soledar place la Russie en position d’engager l’offensive décisive. À cet égard, la nomination du chef d’état-major de l’armée russe, le général Gerasimov, à la tête de l’opération et celle du général Sourovikine à la tête des opérations aériennes, alors que les réserves russes sont désormais prêtes au combat, laisse présager un changement d’ampleur de la stratégie militaire russe, et potentiellement, une victoire rapide de la Russie sur le terrain… bien avant que les chars lourds promis n’arrivent sur le front (et tant mieux pour eux).
Pour les États-Unis suivis de leurs toutous, il s’agissait jusqu’à présent d’alimenter le chaudron le plus longtemps possible en vue, pensaient-ils, d’essouffler la Russie, sans toutefois être déclarés co-belligérants. La bêtise de cette tactique a fait s’épuiser les ressources militaires des pays de l’OTAN sous les coups de l’artillerie et de l’aviation russe par un effet boomerang, de la même façon que les sanctions économiques contre la Russie se sont retournées contre leurs auteurs. De surcroît, compte tenu que l’armée ukrainienne a subie des pertes monstrueuses depuis le début, il faudrait de la chair à canon fraîche venue d’ailleurs, en l’occurrence des pays de l’OTAN. La Pologne semble montrer la voie.
Sur le plan géopolitique, les États-Unis ont enfin admis, par la voix de hauts responsables militaires et politiques, que cette guerre était existentielle pour eux, et de fait elle l’est puisqu’il s’agit de la dernière scène du dernier acte du changement de paradigme géopolitique débuté il y a quinze ans. L’effondrement des États-Unis en tant que super puissance mondiale s’accélère. Nous assistons à un mouvement de fond en vue de la dédollarisation de l’économie mondiale et au développement rapide des échanges économiques entre les pays du reste du monde (en dehors de l’Occident collectif). Les pays d’Afrique, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’Asie ont choisi leur camp. Mais au-delà des réalités de la situation, c’est peut-être l’aspect psychologique de ce changement de paradigme qui est le plus important. En effet, le sentiment de supériorité des dirigeants américains est fondé sur le mythe de l’exceptionnalisme américain qui fait qu’ils se sentent légitimes à donner des ordres au reste de la planète et à punir les pays qui refusent d’obéir. Baignés dans ce sentiment de supériorité qui aujourd’hui relève du fantasme plus que de la réalité de la situation, les neocons psychopathes qui sont aux commandes de l’Occident collectif jouent avec le feu (nucléaire). Il n’est même pas certain qu’ils aient bien évalué la puissance militaire russe.
Pour la Russie, il s’agit d’atteindre les objectifs géopolitiques de cette opération en évitant une escalade qui mènerait à une confrontation nucléaire. On marche sur des œufs. En fin stratège, Vladimir Poutine sait qu’il ne faut jamais acculer son adversaire mais toujours lui laisser une porte de sortie « honorable », tout en dessinant des lignes rouges pour le dissuader d’en faire trop (par exemple livrer des chars lourds à l’Ukraine, ce qui, sur le plan opérationnel ne changerait pas grand-chose, mais qui pourrait être considéré comme un acte de co-belligérance et permettrait à la Russie de frapper directement des cibles en territoire américain).
Voilà à peu près où nous en sommes actuellement. Cette partie qui se joue en ce moment est le point clé du changement de paradigme géopolitique. La Russie va vraisemblablement lancer son offensive décisive bientôt. Quelle sera la réaction des psychopathes ?
Pour ma part, j’imagine trois scénarios :
• Les psychopathes pourraient être ramenés les pieds sur terre, ou au minimum neutralisés, par des généraux de haut rang du Pentagone qui ont une vision suffisamment claire de la situation. J’estime que la probabilité de ce scénario est assez faible, mais on ne sait jamais.
• Des révolutions de palais ou des révolutions populaires pourraient avoir lieu dans les pays de l’Occident collectif et renverser les psychopathes, tant la situation économique de nos pays se dégrade à grande vitesse. Il m’est difficile d’évaluer la probabilité de ce scénario.
• Les psychopathes pourraient être ramenés les pieds sur terre par effet de sidération, comme pétrifiés. Si la Russie décrète que la ligne rouge a été franchie, elle pourrait envoyer par le fond les plus prestigieux des porte-avions américains à l’aide d’une bordée de missiles hypersoniques. En effet, les porte-avions américains constituent l’emblème absolu de la puissance militaire américaine. Des films tels que le Nimitz ou Top Gun l’illustrent très bien. Ce scénario me semble plus probable que les deux premiers.
Je n’envisage pas le scénario d’une montée aux extrêmes nucléaire, mais…
Qui vivra verra. Espérons que nous verrons.
EN COMPLÉMENTAIRE
Le chef de l’état-major interarmées US vient d’admettre que Kiev ne peut pas vaincre la Russie
Chairman of the Joint Chiefs of Staff Gen. Mark Milley speaks during a Senate Armed Services Committee hearing on the conclusion of military operations in Afghanistan and plans for future counterterrorism operations, Tuesday, Sept. 28, 2021, on Capitol Hill in Washington. (AP Photo/Patrick Semansky, Pool)
Le général Mark Milley, président des chefs d’état-major interarmées, est le plus haut responsable militaire des États-Unis et ne peut raisonnablement pas être accusé d’être un « propagandiste russe » , compte tenu de son rôle de premier plan dans l’orchestration de la guerre par procuration de l’OTAN contre ce pays par le biais de l’Ukraine. Au contraire, il est l’une des figures anti-russes les plus dures depuis la Seconde Guerre mondiale en raison de ce qu’il fait aujourd’hui, et c’est pourquoi sa dernière prédiction sur le conflitukrainien devrait faire l’objet d’une réflexion approfondie de la part de tous les Occidentaux.
Milley a conforté les propos tenus par le premier ministre, le président et le chef d’état-major des forces armées polonais au cours de la semaine écoulée en déclarant publiquement vendredi que « D’un point de vue militaire, je maintiens qu’à partir de cette année, il sera très, très difficile d’éjecter militairement les forces russes de chaque pouce de l’Ukraine occupée par la Russie. » Voici la vidéo de ses remarques partagée par The Guardian pour les sceptiques qui douteraient que le plus haut responsable militaire des États-Unis ait vraiment dit cela.
Ce que cela signifie, c’est que les quelque 100 milliards de dollars que les États-Unis ont déjà donnés à Kiev pour combattre la Russie en son nom n’ont manifestement pas suffi pour gagner. Le milliard doré occidental dirigé par les États-Unis est donc véritablement à un « point de basculement » , comme l’affirmaitCNN en début de semaine, où il devra soit augmenter indéfiniment le financement de l’Ukraine, à hauteur de centaines de milliards de dollars supplémentaires, soit accepter le fait accompli imminent de la victoire de la Russie.
Pour ajouter l’insulte à la blessure que les responsables militaires polonais et maintenant même américains viennent d’infliger au « récit officiel » antérieur sur cette guerre par procuration censée tendre vers une « inévitable victoire ukrainienne » , un haut responsable américain anonyme a déclaré aux médias que Kiev gaspillait de précieuses ressources en continuant à se battre pour Artymovsk/Bakhmut. Ce conseil est intervenu une semaine après que la Russie a officiellement confirmé la libération de Soledar, dont l’évolution a obligé le « récit officiel » à changer radicalement [Sauf sur les chaîne francophones comme Euronews, TF1, Fr2, LCI etc. pour lesquels l’Ukraine triomphe : il y aurait eu 180.000 morts russes pour 100.000 morts ukrainiennes !!] .
Dans ce qui n’est manifestement pas une coïncidence, Der Spiegelrapportait, le même jour que la déclaration des hauts fonctionnaires américains anonymes susmentionnés et celle de Milley, que l’agence de renseignement allemande avait précédemment informé les législateurs que Kiev perdait « un nombre à trois chiffres de soldats » chaque jour autour d’Artyomovsk. Pris ensemble, ces trois événements narratifs, plus les trois autres initiés par le premier ministre, le président et le chef d’état-major des forces armées polonais, préparent le public à la défaite de Kiev.
Cela ne signifie pas que le mandataire anti-russe du milliard doré va bientôt s’effondrer, et encore moins que les forces de son adversaire vont balayer l’ensemble de cette ancienne république soviétique en ruine dans un avenir proche, mais simplement que la défaite de Kiev semble désormais inévitable en l’absence d’une évolution qui change la donne. À tout le moins, les États-Unis, la Pologne et l’Allemagne s’attendent à de nouveaux revers dans la bataille du Donbass, ce qui explique pourquoi leurs responsables (nommés ou non) viennent de modifier de manière décisive le « récit officiel« .
Cette dynamique militaro-stratégique tardivement reconnue, qui était évidente depuis un certain temps déjà mais qui est devenue indéniable après la libération de Soledar la semaine dernière, contribue également à expliquer la réticence de Berlin à approuver la demande de ses partenaires européens d’envoyer en Ukraine les chars Leopard fournis par l’Allemagne. En d’autres termes, le leader de facto de l’UE ne veut pas parier sur un cheval perdant et se retrouver dans l’embarras si les forces russes commencent à partager des images d’elles détruisant ces armements surfaits.
L’Allemagne pourrait encore capituler devant la pression sans précédent exercée par le milliard doré pour qu’elle revienne sur sa décision, mais elle tient bon pour le moment, du moins en grande partie grâce à ces calculs prudents. Milley ayant déclaré publiquement qu’il ne s’attendait pas à ce que Kiev vainque la Russie cette année, le chancelier Olaf Scholz et son nouveau ministre de la défense Boris Pistorius n’ont aucune raison de faire marche arrière, ce qui pourrait accélérer le calendrier de la victoire apparemment inévitable de la Russie.
Prédiction de la nouvelle carte de l’Ukraine…si la tendance se maintient.
DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE
Le général allemand Kujat avertit que la guerre en Ukraine est perdue
Relance l’accusation de coup de poignard dans le dos contre les États-Unis et l’OTAN pour « avoir exposé l’Allemagne à la Russie ».
Un nouveau général allemand a émis un avertissement public que la guerre sur le champ de bataille ukrainien par les armées américaines et de l’OTAN est perdue, et que l’Allemagne sera ensuite perdue si l’avancée des forces russes vers Kiev et Lvov n’est pas stoppée rapidement par un armistice, une partition et la démilitarisation de l’Ukraine, et le temps de reconstruire l’armée allemande.
le général Harald Kujat
Le général de division à la retraite Harald Kujat — fils d’un soldat de la Wehrmacht tué au combat par l’Armée rouge qui a grandi pour devenir chef de l’armée allemande puis de l’état-major militaire de l’OTAN — est l’auteur d’un bilan militaire dans lequel il accuse la presse allemande, l’ex chancelière Angela Merkel, l’ex premier ministre britannique Boris Johnson ( image principale, centre droit ) et d’autres alliés de l’OTAN qu’il ne nomme pas d’êtrevune nouvelle version allemande du coup de poignard dans le dos ( image principale, gauche) .
Dans ce plan, selon Kujat, les alliés de l’OTAN ont cherché à saboter la puissance de l’Allemagne en Europe. Cela se fait, a-t-il dit, en augmentant le « risque d’une attaque conventionnelle contre l’Allemagne » et en « poursuivant l’objectif d’exposer l’Allemagne à la Russie en particulier ». Sans viser explicitement les États-Unis, Kujat accuse Washington d’avoir créé une menace nucléaire directe contre la Russie par les batteries de missiles Aegis désormais installées en Pologne et en Roumanie ; pour avoir fait de l’Allemagne une partie directe à la guerre en Ukraine en permettant « aux États-Unis [de] former des soldats ukrainiens en Allemagne » ; et pour avoir détruit les gazoducs Nord Stream vers l’Allemagne.
L’évaluation de Kujat a été publiée en Suisse le 18 janvier ; La publication allemande a suivi le 20 janvier . Attaquée dans le passé par les grands médias allemands et par des représentants du gouvernement américain, la nouvelle déclaration de Kujat a été ignorée en Allemagne et aux États-Unis.
« Plus la guerre dure, plus le risque d’expansion ou d’escalade est grand« , a averti Kujat, ajoutant que l’armée allemande, la sécurité territoriale allemande et la puissance industrielle allemande seront les perdants car « la Russie pourrait dépasser l’escalade occidentale à tout moment avec ses armes. » Kujat voulait dire que cela incluait l’utilisation d’armes nucléaires.
Kujat est l’officier allemand le plus haut gradé à avoir rendu publique une attaque contre la guerre menée par l’Allemagne et les alliés pour vaincre la Russie en Europe.
Il succède au vice-amiral Kay-Achim Schönbach, chef de la marine allemande, qui a été contraint de démissionner en janvier 2022 , après un discours public dans lequel il a déclaré que « la péninsule de Crimée est partie : elle ne reviendra jamais — c’est un fait ». ”; et que les préoccupations russes en matière de sécurité doivent être traitées avec « respect ». « Ce que [Poutine] veut vraiment, c’est le respect. Et, mon Dieu, donner du respect à quelqu’un coûte peu, voire pas de coût. … Il est facile de lui accorder le respect qu’il exige vraiment – et qu’il mérite probablement aussi. »
Après l’éviction de Schönbach, aucun officier allemand en service n’a osé risquer la critique publique de la politique de guerre en Allemagne. Au lieu de cela, ils s’expriment par l’intermédiaire d’officiers à la retraite. Le général de brigade Erich Vad, l’ancien chef du groupe militaire de la chancellerie de Merkel, a lancé une attaque détaillée au début du mois ; lire les détails ici .
Left to right: Vice Admiral Kay-Achim Schönbach, Brigadier General Erich Vad, and Major General Kujat.
Se référant à la résistance du chancelier Olaf Scholz ( image principale, à droite à droite ) à l’envoi de chars Leopard allemands en Ukraine, Kujat déclare que « le débat sur la fourniture de certains systèmes d’armes montre clairement l’intention de nombreux médias de faire eux-mêmes la politique. Il se peut que mon malaise face à cette évolution soit la conséquence de mes nombreuses années de service au sein de l’OTAN, notamment en tant que président du Conseil OTAN-Russie et de la Commission des chefs d’état-major OTAN-Ukraine. Je trouve particulièrement ennuyeux que les intérêts de sécurité allemands et les dangers pour notre pays posés par une expansion et une escalade de la guerre reçoivent si peu d’attention. Cela montre un manque de responsabilité ou, pour utiliser un terme démodé, une attitude hautement antipatriotique. »
Kujat affirme « avoir toujours cru que cette guerre devait être empêchée et qu’elle aurait pu l’être ». Que cela n’a pas été le résultat qu’il reproche à Merkel pour sa politique de tromper la Russie, qualifiant cela « d’abus de confiance flagrant » et « de violation du droit international, c’est clair« .
Le tournant dans l’équilibre des forces de sécurité russo-allemand a commencé à Washington en 2002, dit Kujat, lorsque le président américain George W. Bush a annulé le traité sur les missiles anti-balistiques (ABM), puis en 2008 lorsque Bush « a tenté de faire passer une invitation de l’Ukraine et de la Géorgie à rejoindre l’OTAN « . La décision de l’administration Obama en 2009 de déployer « le système de défense antimissile balistique de l’OTAN en Pologne et en Roumanie » était une nouvelle escalade « parce que la Russie est convaincue que les États-Unis pourraient également éliminer les systèmes stratégiques intercontinentaux russes par ces installations de lancement et ainsi mettre en danger l’équilibre stratégique nucléaire. ”
La survie de l’Allemagne est menacée par ce déséquilibre nucléaire, selon Kujat, car les armes nucléaires russes sont désormais directement menacées par les États-Unis, et par l’escalade des armes conventionnelles américaines et de l’OTAN sur le champ de bataille ukrainien. « Il faut compter avec ça. Plus la guerre dure, plus le risque d’expansion ou d’escalade est grand. [ Question : Nous avons déjà eu cela lors de la crise des missiles de Cuba ? ] C’était une situation comparable.
Comme Vad, Kujat a été obligé de publier dans un magazine zurichois à petit tirage, Zeitgeschehen im Fokus (« Focus sur les événements actuels »), puis dans une obscure publication allemande basée à Francfort ; Appelé Overton , un nom révolutionnaire anglais , ce magazine ne révèle rien sur lui-même si ce n’est qu’il est « une voix contre l’étranglement du débat et le moralisme. Il remet en question les récits généraux et n’est décidément pas un porte-parole idéologique ou un organe de déclaration, mais se sent engagé dans les Lumières. Vad a publié son analyse militaire dans Emma , un magazine féministe de Cologne.
Vad a été explicite dans sa critique de Merkel et de l’actuelle ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock. Bien qu’il ait été interrogé à son sujet dans son interview, Kujat évite d’attaquer Baerbock par son nom. Il affirme également que les médias américains ont été moins trompeurs dans leurs reportages sur la guerre que la presse allemande, citant un « article dans Foreign Affairs… de Fiona Hill, un ancien haut responsable du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche. Elle est très compétente et absolument fiable.
Left, Henriette Hanke Güttinger, editor in chief of Zeitgeschehen im Fokus; centre: Alice Schwartzer, publisher and editor-in-chief of Emma; right, Fiona Hill, former US intelligence analyst and Russia policy director on President Trump’s National Security Council.
Kujat accuse les Britanniques, et non les Américains, d’avoir perturbé les conditions de cessez-le-feu qu’il pense que le Kremlin était prêt à signer à la suite des négociations d’Istanbul fin mars 2022. Suivez ce qui s’est passé à Moscou et à Istanbul à l’époque dans ce rapport .
Dans la version de Kujat, » la Russie avait apparemment [ sic ] accepté de retirer ses forces au niveau du 23 février, c’est-à-dire avant le début de l’attaque contre l’Ukraine. Aujourd’hui, le retrait complet est réclamé à plusieurs reprises comme condition préalable aux négociations… L’Ukraine s’était engagée à renoncer à l’adhésion à l’OTAN et à ne permettre le stationnement d’aucune troupe ou installation militaire étrangère. En contrepartie, elle devrait recevoir des garanties de sécurité des États de son choix. L’avenir des territoires occupés devrait se régler diplomatiquement d’ici 15 ans, avec le renoncement explicite à la force militaire… Selon des informations dignes de foi [ sic ], le Premier ministre britannique de l’époque, Boris Johnson, est intervenu à Kiev le 9 avril et a empêché une signature. Son raisonnement était que l’Occident n’était pas prêt pour la fin de la guerre. »
Kujat n’a pas révélé les sources « apparentes » et « fiables » de ses affirmations. Il semble également signaler que les responsables américains n’étaient pas derrière l’action de Johnson, et ce que Kujat appelle également le président Vladimir Zelensky « modifiant à plusieurs reprises les objectifs stratégiques de la guerre ukrainienne ».
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Comme Vad au début du mois, Kujat appelle le Pentagone, les officiers militaires américains et les fabricants d’armes américains à arrêter l’escalade de la guerre sur le champ de bataille ukrainien alors que les objectifs stratégiques russes se durcissent et que la défaite tactique des armes américaines, allemandes et de l’OTAN devient inévitable. . « Selon les chefs d’état-major interarmées américains, le général Mark Milley », déclare Kujat, « l’Ukraine a réalisé ce qu’elle pouvait réaliser militairement. Plus n’est pas possible. C’est pourquoi des efforts diplomatiques doivent être faits maintenant pour parvenir à une paix négociée. Je partage ce point de vue… on peut se demander si les forces armées ukrainiennes disposent encore d’un nombre suffisant de soldats aptes à pouvoir utiliser ces systèmes d’armes compte tenu des pertes importantes de ces derniers mois. En tout cas, la déclaration [du chef d’état-major ukrainien, le général Valery] Zaluzhny explique aussi pourquoi les livraisons d’armes occidentales ne permettent pas à l’Ukraine d’atteindre ses objectifs militaires, mais ne font que prolonger la guerre. De plus, la Russie pourrait surpasser l’escalade occidentale à tout moment avec la sienne. Dans la discussion allemande, ces connexions ne sont pas comprises ou ignorées. La manière dont certains [ sic ] alliés tentent publiquement d’exhorter le gouvernement fédéral à livrer des chars de combat Leopard 2 joue également un rôle. Cela ne s’est pas produit à l’OTAN jusqu’à présent. Cela montre à quel point la réputation de l’Allemagne au sein de l’alliance a souffert de l’affaiblissement de la Bundeswehr et de l’engagement avec lequel certains alliés poursuivent l’objectif d’exposer l’Allemagne à la Russie notamment.
Kujat laisse entendre que le chancelier Olaf Scholz subit secrètement des pressions de la part des États-Unis pour des raisons que Kujat ne veut pas révéler maintenant – à l’exception de son indice selon lequel les Américains et les Britanniques visent à affaiblir politiquement l’Allemagne en Europe et à supplanter l’industrie allemande de l’armement avec leurs propres entreprises. . « Les efforts actuels des États-Unis pour inciter les Européens à fournir davantage d’armes pourraient avoir quelque chose à voir avec cette situation. Une distinction doit être faite entre les raisons exprimées publiquement et les décisions concrètes du gouvernement fédéral. Ça irait trop loin [ sic] pour entrer dans tout le spectre de cette discussion. Cependant, je souhaite que le gouvernement fédéral reçoive des conseils vraiment compétents sur cette question et – peut-être plus important encore – qu’il soit réceptif et capable de jugement en fonction de l’importance de cette question. »
Left: Baerbock campaigning in Kiel, September 26, 2021; Right: Scholz campaigning in Kiel on May 5, 2022, before the SPD’s defeat by the CDU and Greens in the Schleswig-Holstein state election.
Kujat omet également de mentionner l’alliance de Baerbock et du Parti vert avec l’industrie aérospatiale et de la défense allemande pour obtenir des votes verts à Kiel, Düsseldorf, Munich et d’autres électorats de villes et d’États ( Bundesland ) où les Verts visent à attirer de grandes oscillations de vote de la part du social-démocrate. parti (SDP) et l’Union chrétienne-démocrate (CDU).
Kiel abrite Krauss-Maffei Wegmann Maschinenbau, constructeur du char Leopard. Lors du vote parlementaire de Kiel en 2021, les Verts ont gagné près de 14 % pour marquer 28 % du total, tandis que le SDP a perdu du terrain mais a conservé le siège avec 29,5 %. Un peu plus de deux mille voix les séparaient. Les candidats anti-guerre de la gauche et de l’alternative pour l’Allemagne (AfD) ont perdu du terrain à Kiel, terminant avec 5 % et un peu plus de 7 000 voix chacun. A Düsseldorf, siège du groupe Rheinmetall, les Verts ont gagné 13 % en 2021 sur le SDP et la CDU, perdant de justesse face à la CDU. Des changements de vote similaires vers les Verts ont été enregistrés à Essen et Duisburg, où Thyssen-Krupp dirige son complexe militaro-industriel.
Les liens de Kujat avec ces principaux fabricants d’armes allemands sont indiqués par sa présidence du conseil consultatif du Network Centric Operations Industry Consortium, une association de fabricants d’armes américains, allemands et européens . Pour en savoir plus sur les perspectives des entreprises allemandes que lui et le consortium représentent, lisez ceci .
Kujat prévient que la défaite des États-Unis et de l’OTAN par les forces russes en Ukraine met en péril la rentabilité future de cette entreprise. « C’est la situation actuelle dans laquelle les systèmes d’armes occidentaux modernes sont utilisés dans la guerre en Ukraine. En décembre, la Russie a lancé un vaste programme d’évaluation des paramètres techniques et opérationnels-tactiques des armes occidentales capturées, ce qui devrait accroître l’efficacité de ses propres opérations et l’efficacité de ses armes. »
La Fédération des Scientifiques Américains (FAS) confirme en janvier l’information donnée par Grandangolo en décembre 2022 sur la base d’un document de l’US Air Force : l’avion C-17A Globemaster a été autorisé à transporter en Italie et d’autres pays européens la bombe nucléaire USA B61-12. Des fonctionnaires de l’Administration Biden ayant annoncé que l’envoi des B61-12 aurait été anticipé en décembre, nous estimons que les nouvelles bombes nucléaires US sont déjà en train d’arriver en Europe pour être déployées contre la Russie.
Bombe B61-12 en test de larguage
USA et OTAN sont en train de déverser en Ukraine d’énormes quantités de munitions pour l’artillerie lourde fournie aux forces armées de Kiev. Les États-Unis -selon les données officielles- ont jusqu’à présent envoyé en Ukraine plus d’un million de munitions pour obusiers de 115 mm, plus des dizaines de milliers de missiles. Environ 300 000 projectiles proviennent de dépôts militaires US en Israël. L’envoi d’armes est géré par un réseau international, dans lequel jour un rôle central (la base USA proche de Pise) Camp Derby, le plus grand arsenal US hors de la mère-patrie, relié au port de Livourne et à l’aéroport militaire de Pise. Grande-Bretagne, France, Pologne et Finlande sont en train de fournir des chars d’assaut à Kiev, et la Pologne acquiert aux USA des chars Abrams dont une partie peut être destinée à l’Ukraine.
La bombe nucléaire guidée B61-12 est prise pour un essai en vol au Nevada Test and Training Range. (Photo de l’US Air Force par SSgt. Cody Griffith)
Dans le même temps USA et OTAN potentialisent le déploiement de leurs forces en Europe, toujours plus adossées à la Russie. En Roumanie l’OTAN a déployé des avions AWACS, dotés des plus sophistiquées installations électroniques, tenus constamment en vol près de l’espace aérien russe. En Roumanie toujours, le Pentagone a installé la 101e Division aéroportée, qui se trouve déployée en Europe pour la première fois depuis la Deuxième Guerre mondiale.
L’OTAN et l’UE instituent « une task force sur la résilience et les infrastructures critiques ». « L’OTAN – déclare le Conseil de l’Union européenne – reste le fondement de notre défense collective. Nous reconnaissons la valeur d’une Défense européenne plus forte qui contribue à la sécurité transatlantique et soit complémentaire et inter-opérationnelle avec l’OTAN ».
À la mémoire de Jean-Marie Six, ✝︎ 21 janvier 2022,
Polytechnicien, pilote d’avion, ingénieur retraité de la Direction Générale de l’Armement, militant contre la Traite des Etres Humains.
Face au déferlement actuel de propagande guerrière anti-russe, ses immenses compétences intellectuelles et professionnelles (armement aéronautique et spatial), son attachement à la Russie et sa générosité lucide nous manquent. Mais s’en souvenir nous aide à continuer ce combat commun.
Le vieux sénile manipulé par la gauche US au pouvoir est responsable de ce déploiement nucléaire! Joe Biden ,un fou dangereux!
La première [présumée] dame française, Brigitte Macron, a suggéré de redessiner la flèche emblématique de la cathédrale Notre-Dame de Paris après un incendie en 2019 pour qu’elle ressemble à des organes génitaux masculins dorés, a déclaré l’ancienne ministre de la Culture Roselyne Bachelot dans ses mémoires « 682 jours – Le bal des hypocrites », publié jeudi.
Quelques jours seulement après que l’administration du président Emmanuel Macron aurait fustigé sa décision de faire reconstruire la flèche de la cathédrale Notre-Dame ravagée par le feu en une réplique de l’ancienne, Bachelot était en train de déjeuner avec l’épouse du président lorsque la Première Dame lui a montré « un projet surmonté d’une sorte de phallus dressé dont la base est entourée de boules dorées », révèle le livre.
William Galibert
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Les idées de Brigitte Macron pour la flèche de Notre-Dame de Paris… récit de Roselyne Bachelot dans son nouveau livre!
La réaction de la politicienne n’a pas été incluse dans l’extrait du tome révélateur de 682 pages publié jeudi sur les réseaux sociaux.
Bachelot a insisté dès le début des discussions sur la reconstruction de la flèche pour qu’elle soit « construite à l’identique pour respecter la Convention de Venise », écrit-elle. Cela a déplu au président, qui avait voulu « un geste architectural contemporain », estimant que la flèche ne faisait pas partie de la cathédrale Notre-Dame d’origine.
« L’Élysée rêve d’un geste architectural et m’accuse de n’en faire qu’à ma tête », a-t-elle écrit, précisant avoir défendu son choix auprès de l’administration et l’avoir finalement emporté.
La vision X de Macron pour la reconstruction de la flèche n’était pas la seule étrange. L’architecte britannique Lord Foster de la Thames Bank a proposé une « aiguille super fine touchant les nuages du ciel », tandis que d’autres voulaient construire le tout en verre ou en cristal, ou le recouvrir d’une serre et de ruches, ou ajouter un laser.
En tant que ministre de la Culture, Bachelot était chargé de superviser la réparation du monument médiéval bien-aimé après qu’il ait subi de lourds dommages lors de l’incendie d’origine mystérieuse de 2019. En juillet 2020, elle a confirmé que malgré l’annonce par le président dans les jours qui ont suivi l’incendie d’un « concours » sollicitant des plans pour un remplacement, « un large consensus s’est dégagé pour la reconstruction à l’identique de la flèche ».
Les autorités françaises espèrent rouvrir Notre-Dame en 2024 et achever la restauration l’année suivante. L’intérieur a déjà été partiellement restauré et la construction du toit et de la flèche devrait commencer cette année.
L’homosexualité de Macron révélée en direct sur LCI (9eme minute vidéo).
« Puis en 2010, à seulement 33 ans, Gallet est propulsé à la tête de l’INA par l’entremise du dégénéré Mitterrand : « Les compliments de Mitterrand ont laissé supposer qu’il était in love », expliquera lui-même Mathieu Gallet dans Le Monde. Après avoir dirigé l’INA, soit un millier de salariés et 120 millions d’euros de budget, il a succédé à Jean-Luc Hees à la tête de Radio France le 27 février 2014. (source) »
Diplômé de Sciences-Po Bordeaux et d’un DEA « analyse économique des décisions politiques » obtenu à Paris I, Mathieu Gallet a commencé sa carrière comme secrétaire particulier du metteur en scène homosexuel américain Robert « Bob » Wilson, avant de rejoindre Studio Canal comme lobbyiste, puis le ministère de la Culture en 2007. C’est là qu’il est rapidement devenu le « chouchou » de Frédéric Mitterrand, qui, hypnotisé, décrira à peine implicitement son jeune conseiller dans La Récréation (Robert Laffont, 2013) :
« Tancrède [nom du personnage incarné par Alain Delon dans Le Guépard, NDLR] séduit tout le monde et je n’échappe pas à la règle. On s’épuiserait à dresser la liste des raisons qui expliquent ce succès ; mettons que ses qualité intellectuelles sont à la mesure de l’attirance qu’exerce son physique. [ …] Tancrède se prête à chacun et ne se donne à personne. » (source)
Qui est Robert « Bob » Wilson ?
Robert Wilson, né le à Waco au Texas, est un metteur en scène et plasticien américain. C’est lui qui aura parrainé Mathieu Gallet, qui fut son « secrétaire personnel », au sein de l’élite …
Car Mathieu Gallet, chemise blanche impeccable brodée à ses initiales sur un physique qui lui valut d’être élu «homme de médias le plus sexy de France» par le magazine gay Têtu en 2014, joue avec brio dans tous les registres. A l’aise avec les chiffres. Doué pour repérer qui, dans le millefeuille étatique français, pourra servir au mieux ses intérêts. Avec, toujours, ce coté «dandy-rock» soigné, à la fin des années 90, comme proche collaborateur du metteur en scène américain de théâtre Bob Wilson, puis dans le giron de Canal +, et enfin, aux côtés de Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, entre 2009 et 2010. (source)
C’est Robert Wilson, qu’on voit ici, lors de l’exposition « The Devil’s Heaven » (le Paradis du Diable) se livrant à un simulacre de festin cannibale, en compagnie des sorcières Lady Gaga (passée par l’école Tisch) et surtout, Marina Abramovic ! C’est cette femme qui fut au cœur du scandale du Spirit Cooking, quand les mails détournés par Wikileaks de Julian Assange révélèrent que des membres du premier cercle d’Hillary Clinton s’adonnaient à cette pratique, héritée tout droit d’Aleister Crowley, consistant à confectionner des gâteaux à base de sang menstruel, de matières fécales et séminales, à consommer pour d’obscures pratiques rituelles.
Robert Wilson est très proche de Marina Abramovic, au point d’avoir collaboré avec elle dans le cadre d’une pièce de théâtre qu’il a produit :
Dans cette pièce de théâtre malsaine, la sorcière fournit même des recettes de « Spirit Cooking » :
La malice pèse tout au long du spectacle comme lors de certains passages lorsqu’elle fournit une série de récettes de « spirit cooking » …. (source)
Derrière Macron, le « lobby gay », paravent de la mafia pédocriminelle des Rothschilds
Dans une interview à Sputnik news (agence de presse russe) du 4 février, Nicolas Dhuicq (élu Républicain) a déclaré :Il s’avère qu’en effet, tout le gratin de ce que la France compte de pédomanes plus ou moins notoires s’agglutinent à la traine de leur petit protégé :
Soutien de l’immonde Pierre Bergé, ancien amant d’Yves Saint Laurent, auteur de l’abominable bande-dessinée la Vilaine Lulu :
En conclusion, nous espérons que Julian Assange ne manquera pas de tenir sa promesse en dévoilant les informations qu’il détient à propos du minable Micron, tant ses liens avec l’oligarchie satanique semblent sans cesse plus évidents. Il est d’une importance capitale que le public soit toujours plus au fait des pratiques, abominables, de ces démoniaques vermines qui se veulent nos maîtres et agissent dans l’ombre, pour nous détruire, spirituellement et physiquement.
Des liens avec l’organisation pédocriminelle dans l’équipe de campagne de Macron
Jean-Marc Borello et Emmanuel Macron participant à la présentation de la liste des principaux représentants du mouvement « En marche! » au pavillon Gabriel à Paris, mercredi 26 octobre 2016
Le directeur de ce foyer, Robert Megel, haut fonctionnaire de la République Française avait été condamné à 12 ans de prison ferme. Les gamins étaient prostitués en France et à l’étranger à de puissants clients, membres de l’élite internationale, des gouvernements et de la haute finance.
Le foyer avait pu bénéficier du soutien à l’époque de personnalités telles que la femme du président de la République, Danièle Mitterand, de la célèbre pédiatre Françoise Dolto, du journaliste Michel Polac ou bien de Robert Badinter.
Les révélations commencent à partir de la 4ème minute :
[1] L’ambitieux Macron, gigolo marié à l’héritière d’une des plus grosses fortunes Amiénoises, Brigitte Trogneux, de 24 ans son aînée, cette dernière lui ayant mis le grappin dessus alors que cette salope était son enseignante et qu’il n’avait que 15 ans (Brigitte Trogneux est donc pédophile et devrait être poursuivie pour détournement de mineur).
A l’époque où il était élève au collège-lycée de la Providence, un établissement dans lequel sa femme a pu avoir pour collègue Allassane Ouatara, homme de paille du gouvernement français, ancien employé du FMI et désormais président fantoche de la Côte d’Ivoire …
Des rumeurs persistantes font état de la relation sodomite que le minable Macron entretient avec une autre tantouze du nom de Matthieu Gallet, ce dernier étant passé à l’époque où il était « mannequin » par l’agence de luxe Yves-Saint-Laurent, du nom du couturier sataniste amant du non-moins répugnant Pierre Bergé, actuel PDG de l’entreprise. Matthieu Gallet, surement au terme d’une jeunesse dédiée à se faire sodomiser par de puissants francs-maçons et juifs du réseau pédo-sataniste parisien et new-yorkais, s’étant vu récompenser en devenant le président de (((Radio France))). Peut-on se remettre d’une agression pédophile ? Les victimes n’oublient pas mais apprennent à se reconstruire. Il ne s’agit pas de gommer le traumatisme mais de mettre un pansement dessus. Ce processus est long et dépend de la personnalité, forte ou fragile, de la victime. Cela nécessite un accompagnement spécialisé ainsi que la patience et l’écoute de la part de la famille. Il faudrait une équipe spécialisée auprès du futur « couple » présidentiel pour surveiller l’une et soigner l’autre. La France est dans de sales draps….au « propre » comme au figuré.
(Ce site vient d’être fermé par la censure du gouvernement français)
EN COMPLÉMENTAIRE
MACRON,L’ÉLU ET L’ENFANT DU NOUVEL ORDRE MONDIAL (N.O.M)
Emmanuel Macron, ex ministre de l’économie a participé à une réunion du groupe Bilderberg, qui s’est tenu à Copenhague les 31 mai et 1 juin 2014. Il y assistait en tant que conseiller de François Hollande à la présidence de la République. Cette réunion s’est tenue, dans le mutisme habituel des « médias français ». Le groupe Bilderberg réunit chaque année durant deux jours les principaux dirigeants économiques et politiques – ainsi que quelques journalistes – pour discuter des « affaires du monde ». Ce cénacle est un de ceux qui coordonnent l’application internationale du dogme néo-libéral.
Henri de Castries, président de la compagnie Axa, préside le groupe Bilderberg. Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international, Fleur Pellerin, alors secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur et maintenant ministre de la Culture, François Baroin, UMP, et Natalie Nougayrède, ex-directrice du Monde, journal possédé par MM. Bergé, Niel et Pigasse, étaient quelques-uns des membres de la réunion de Copenhague.
Macron, c’est l’homme capable de vous dire droit dans les yeux, que vous n’êtes même pas foutu de vous payer un costume à 3000 euros, mais qui par bonté d’âme vous embauchera, à condition de ne pas demander de salaire, faut pas pousser quand même…
Macron, c’est le diable qui s’habille en Prada, main de fer dans un gant de velours.
Macron, c’est le substitut même de la soupe populaire, qu’il vous servira une fois Président, en vous faisant passer cette mélasse pour du caviar…
Macron, c’est le plus grand danger qui guette la France et les Français, qu’une certaine élite, souhaite pourtant lui imposer.
Une élite qui s’est organisée depuis longtemps dans cette optique, j’ai nommé le groupe Bilderberg, qui se réunit chaque année pendant deux jours avec les principaux dirigeants économiques et politiques de la planète- ainsi que quelques journalistes inféodés- pour discuter des « affaires du monde » et ce, dans le plus grand silence.
De nombreux articles existent sur le « groupe Bilderberg » mais étonnamment cela n’intéresse pas grand monde et pourtant, nous frémissons quand nous relisons les propos de David Rockefeller, co-fondateur du Bilderberg (Newsweek International, 1er février 1999) :
« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire »
Le Bilderberg a été fondé en 1954 par ce dernier et le prince Bernhard des Pays-Bas.
A l’origine, c’est une sorte de club privé, afin de discuter des grands enjeux économiques et stratégiques, visant à terme une gouvernance mondiale avec l’OTAN comme commandement. Il réunit chaque année entre 100 et 150 participants, membres ou invités, qui débattent à huis clos d’un ordre du jour hautement stratégique.
Aux réunions annuelles du Bilderberg, on retrouve le gratin politique national et international, des présidents de multinationales et des journalistes de tendance libérale.
Pas de conférence de presse, pas de journalistes non accrédités, et interdiction formelle de prendre des notes.
Une à deux semaines après leur réunion, c’est le G8 ou le G20 qui s’ouvrent, attirant cette fois la plupart des médias de la planète.
Exemples : En 2003, la réunion du groupe Bilderberg s’est tenue à Versailles en même temps que le G8 qui se déroulait à Paris et c’est au G8 que sont concrétisées une partie des décisions prises par les Bilderbergers, dont certains sont présents également au G8. C’est le lieu où seraient choisis dit-on, les futurs présidents et premiers ministres, une thèse confirmée d’ailleurs par la participation à la conférence de Bill Clinton en 1991 et celle de Tony Blair en 1993.
Silence médiatique sur les réunions de l’élite mondiale et pour cause, la plupart des patrons de presse en sont membres..Mais c’est surtout en Europe que les médias sont silencieux.
Aux états-unis, le New York Times a mentionné Bilderberg une vingtaine de fois depuis 1981, dont un article de 2004 intitulé « une conférence secrète pour dominer le monde ». D’autres articles dans le Washington Post, le Chicago Tribune et le Boston Globe mentionnent le groupe.
Macron est membre du Bilderberg
Macron jusqu’à l’overdose,
mais c’est pour votre bien…
Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, a participé à une réunion du groupe, qui s’est tenu à Copenhague les 31 mai et 1 juin 2014. M. Macron y assistait en tant que conseiller de François Hollande à la présidence de la République.
Les médias, à coup de sondages favorables finiront donc pas l’installer dans la conscience collective comme un bon politique, qui œuvrera pour leurs intérêts.
On a assisté au même phénomène avec DSK: de sondages en sondages, on a fabriqué un présidentiable. De là à affirmer que le Bilderberg contrôle les instituts de sondage, en plus que la plupart des médias français , il n’y a qu’un petit pas, car n’oublions pas que DSK avait aussi été convié au Bilderberg en son temps.
Prenons l’humour macabre comme il se doit. Zelensky a parfaitement réussi l’opération Morgenthau en Ukraine, détruire la base industrielle et accessoirement, le peuple ukrainien, dont le total ne doit pas dépasser, désormais, 20 millions (en Ukraine).
Le tyran de Kiev…Zelensky!
« Au moins huit millions de personnes ont quitté l’Ukraine en 2022. Si l’on tient compte de la population des territoires perdus, il ne reste pas plus de 18 à 20 millions d’habitants dans le pays. Et en raison des restrictions sévères imposées au départ des hommes, ce sont surtout les femmes et les enfants qui quittent l’État ».
Du moins, ceux qui restent, sont ceux qui ne peuvent pas payer…
Les plus riches, aide internationale obligent, ont vu leurs fortunes augmenter de 20 milliards de $. Il fallait bien les consoler, les pôvres !
La moitié du PIB a disparu, la production minière est en berne, et l’industrielle a baissé de 50 à 90% suivant les régions…
Le pays n’est qu’une coquille désormais vide.
Seule la coquille existe encore, entre les soldats, payés au front 100 000 hryvnias (2700$) et les fortifications érigées en 8 ans, elle commence à s’effondrer avec la prise de Soledar, et Zelensky, tel Hitler, refuse tout recul. Ça tient un temps, mais aux prix de lourdes pertes, dont on disait qu’elles étaient dix fois plus lourdes que les russes, mais ce ratio bouge lui aussi, il est largement dépassé, certains affirmant qu’il atteint 30 contre 1…
Zelensky entouré d’un groupe de rabbins juifs en Ukraine.
Les USA battent les records de vente d’armes, en réalité, ce ne sont pas parce qu’elles sont meilleures ou plus nombreuses, c’est qu’elles sont plus chères, sans avoir une qualité adéquate. 800 milliards de budgets pour des résultats inférieurs à ceux de la Russie, qui en dépensent 65, et sans doute inférieurs aussi, à ceux de la Chine, 290 milliards. Mais dans un des cas, le complexe militaro industriel est privé, corrompt et accumule, dans l’autre, ils ont une industrie nationale…
Deripaska, qui en détenait une bonne part en Russie, a dû tout revendre à l’état. La rentabilité était incertaine, et les contrôles du FSB, incessants.
En Europe, on suit la voie Morgenthau de l’appauvrissement, du dépeuplement. Personne n’en a conscience, mais la jean-foutrerie du richofemenclimatic occupe encore tous les esprits.
Les dirigeants européens, vont finir par choisir la voie Belge : chauffage à 14° pour sauver l’industrie, ou ce qu’il en reste.
L’expert en armes Mark Steele a averti le public que la 5G est un système d’armes conçu pour tuer des personnes. La 5G se fait passer pour une technologie avancée bénigne pour des communications améliorées et des téléchargements plus rapides.
Dans un rapport d’expert, Steele a déclaré que la 5G représente un crime odieux et il faut comprendre le motif de son déploiement.
Steele a précédemment agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, révélant l’absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (LED) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs. Il a également exposé les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations contre COVID-19.
Ses efforts ont porté leurs fruits car un juge du Newcastle Crown Court a déclaré que « le risque 5G doit être débattu ».
« Les preuves que j’ai présentées au tribunal ont vaincu la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques posés au public et à l’environnement par le réseau radar urbain 5G et son objectif ultime, », a déclaré Steele.
Cette victoire sur le champ de bataille juridique a créé une preuve qui a mis en valeur les risques réels du déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total d’attention des régulateurs.
Steele a déploré que le monde suive aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique pour éliminer un grand nombre de populations à travers le monde.
« La compartimentation du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les membres des autorités de réglementation et de l’industrie des télécommunications sur le véritable objectif et les intentions de ceux qui réalisent et financent le déploiement de la 5G et des armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins COVID-19 pour une grille de contrôle et de commande planifiée », a-t-il déclaré.
Steele explique les liens entre les vaccins 5G et COVID-19
« Les données sur les effets indésirables du vaccin COVID-19 ressemblent à la destruction de l’humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans l’expérience médicale qui enfreint le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale« , a déclaré Steele. .
« Le fait que les données vectorielles des vaccins COVID-19 aient été créées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’elles ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et la mort à travers l’Occident révélant leur véritable objectif« , a déclaré Steele. (Connexe : Étude : L’exposition à la 5G est un « facteur important » dans les cas de covid et les décès les plus élevés )
Selon Steele, le réseau 5G a la capacité de cibler, d’acquérir et d’attaquer les vaccinés grâce à l’antenne nano métamatériau du vaccin COVID-19.
« Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) ont besoin des réseaux 5G pour maintenir leur géopositionnement et naviguer dans leur environnement jusqu’à la cible », a-t-il expliqué.
« Ces armes ne peuvent pas compter sur les communications par satellite en raison du potentiel d’événements météo-réceptifs et de la latence du signal pour perturber leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l’environnement de champ de bataille du paysage urbain à venir, pour la capacité d’assassinat et pour la domination du champ de bataille dans les futures guerres prévues. »
Suivez 5GAlert.com pour plus d’informations sur les dangers de la technologie 5G.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi l’expert en armes Mark Steele a qualifié la 5G de système d’armes conçu pour tuer des gens.