Le Führer Adolf Hitler a écrit un opéra et le manuscrit est maintenant affiché en Autriche

 

Le Führer Adolph Hitler à l’opéra…vers 1937.

 

Dans ses premières années, le futur chef allemand rédige un opéra basé sur une œuvre inachevée de Wagner. Maintenant, le manuscrit musical est exposé pour la première fois.

Au-delà de la musique de Wagner, beaucoup pourraient être surpris d’apprendre que, quand il avait 20 ans, Adolf Hitler lui-même a écrit un opéra.

Wieland der Schmied (Wieland the Smith) a été rédigé par le futur leader allemand en 1908 et basé sur une œuvre inachevée du même nom du compositeur allemand Richard Wagner – son admiration pour qui est bien documentée.

Dans son premier volume de Mein Kampf, Hitler a écrit: «À l’âge de douze ans, j’ai vu… le premier opéra de ma vie, Lohengrin. En un instant, j’étais accro. Mon enthousiasme juvénile pour le maître de Bayreuth [Wagner] ne connaissait pas de limites. »

Maintenant, une feuille du manuscrit est exposée en Autriche dans une nouvelle exposition d’objets du début du Führer, montrant comment son passé a façonné son idéologie. Un croquis au piano de la première page a été réalisé par l’un des rares amis du jeune Hitler, August Kubizek.

L’exposition comprend des artefacts du début de la vie du leader national-socialiste, tous collectés entre 1907 et 1920 par Kubizek qui les a gardés comme souvenirs de sa propre jeunesse, avant de réaliser qu’ils pourraient avoir une importance historique.

D’autres objets incluent les premières peintures et croquis architecturaux d’Hitler, dont l’un d’un music-hall, et des lettres et des cartes postales écrites par Hitler à Kubizek.

En plus de documenter son histoire personnelle, l’exposition explore également le contexte politique et social en Autriche au tournant du XXe siècle.

 

 

 

La photo du jour: le putsch de Munich

Le 9 novembre 1923,arrive l’échec du Putsch de Munich.
C’est un événement qu’Adolph Hitler n’oubliera pas.
Le jeune homme qui porte le drapeau est un certain Henrich Himmler,le futur chef des SS.

 

 

1923 (que les Allemands surnomment l’«année inhumaine») a mal commencé.

 

Le 11 janvier, les troupes franco-belges occupent le bassin de la Ruhr, principale source de richesse du pays, pour obliger les Allemands à verser les réparations de guerre auxquelles le traité de Versaillesles a condamnés.

L’instabilité politique et la «résistance passive»à l’occupation étrangère entraînent des licenciements et des grèves dans tout le pays ainsi qu’une vertigineuse flambée des prix.

En octobre 1923, il faut compter plusieurs dizaines de milliards de marks (la monnaie de référence allemande) pour s’offrir… un dollar américain ou une baguette de pain ! Ce contexte encourage l’agitation révolutionnaire. À Berlin, le président de la République Ebert et le chancelier Streseman imposent l’état d’urgence le 26 septembre 1923, cependant que le financier Schacht donne un coup d’arrêt à l’inflation en créant une nouvelle monnaie, le Rentenmark. La Bavière refuse la dictature momentanée des Prussiens de Berlin. Elle proclame le même jour son propre état d’urgence et se donne un triumvirat aux pouvoirs dictatoriaux avec le commissaire d’État Gustav von Kahr, le général Otto von Lossow, commandant la Reischwehr(l’armée), et le colonel Hans von Seisser, chef de la police.

La menace du séparatisme bavarois plane sur le pays. C’est le moment que choisit Hitler pour tenter de se saisir du pouvoir à Munich.

Duel dans la Brasserie

Le 8 novembre, dans une grande brasserie de la capitale bavaroise, le Bürgerbraükeller, 3 000 bourgeois écoutent les trois principaux dirigeants du Land.

La brasserie est brutalement investie par les militants du parti nazi. Leur chef ou Führer, Hitler, monte sur l’estrade. Revolver au poing, il entraîne les dirigeants bavarois dans une arrière-salle et leur intime l’ordre de lui céder le pouvoir ! Mais les fieffés politiciens réussissent à s’esquiver après avoir fait mine de céder.

Déconfit, l’agitateur tente à l’aube de reprendre l’initiative en s’emparant du ministère de la Guerre du Land de Bavière. Au bout de l’étroite Residenzstrasse, une centaine de policiers barrent la route à sa troupe.

 

Dès les premiers coups de feu, les agitateurs se débandent piteusement, leur chef le premier. Seul, le général Ludendorff fait face à la mitraille. On relève seize morts.

Le «putsch de la Brasserie» débouche sur un fiasco complet. Le chef de la bande est arrêté deux jours plus tard. Au terme d’un procès orageux au cours duquel il va faire étalage de son talent de propagandiste, Hitler est condamné le 1er avril 1924 à cinq ans de prison. Il ne va en effectuer que neuf mois.

Il quitte la forteresse de Landsberg le 20 décembre 1924 avec un épais manuscrit qu’il a eu le loisir de dicter en prison à son fidèle Rudolf Hess. Il y annonce son projet politique pour l’Allemagne. Le titre ? Mein Kampf (Mon combat).

 

 

 

1919-2019:Cent ans de national socialisme

L’année 2019 marque le 100e anniversaire de la naissance du mouvement national-socialiste. Le 12 septembre 1919, Adolf Hitler assista à une réunion du parti ouvrier allemand à Munich et, quatre jours plus tard, le 16 septembre, il rejoignit officiellement le groupe.

 

 

Personne à l’époque n’aurait pu comprendre les implications fatales de cet événement apparemment insignifiant, mais l’histoire le reconnaît comme le début de la carrière politique de Hitler, un événement qui changera le monde pour toujours.

Pour raconter en détail l’histoire centenaire du national-socialisme, il faudrait plus qu’un seul article, voire plus qu’un seul livre. De nombreux volumes seraient nécessaires pour la tâche. Cependant, nous pouvons passer en revue certains des points saillants de notre héritage, dans la mesure où notre passé est un prélude à notre avenir.

DÉFINITIONS

Au commencement était l’ idée national-socialiste  , née de l’esprit d’Adolf Hitler.

La notion de  lutte nationale-socialiste est implicite dans l’Idée , car Hitler n’a jamais voulu que sa vision du monde n’existe que comme une construction abstraite que les intellectuels peuvent admirer de manière détachée, mais plutôt qu’elle devrait être concrétisée par l’action.

L’idée nationale socialiste ne se définit pas étroitement comme une idéologie ou une philosophie. Il s’agit plutôt d’une  vision du monde  ( Weltanschauung ), qui constitue une attitude fondamentale vis-à-vis de la vie humaine plus globale que les idéologies et les philosophies.

La lutte se déroule par l’intermédiaire du  Mouvement , qui a historiquement pris une forme concrète en tant que  parti.

De même, l’idée est formulée de manière définitive en tant que  Parole, en particulier telle qu’elle est énoncée avec autorité dans  Mein Kampf.

Un des premiers rassemblements du pati national socialiste des travailleurs allemands vers 1921.

EVOLUTION DU MOUVEMENT

Il ne faut pas s’étonner que le Mouvement ait évolué au cours du siècle dernier. Si ses principes fondamentaux sont restés constants, ses politiques et programmes spécifiques ont été adaptés aux besoins d’un monde en mutation. En 2019, le monde est bien différent de celui de 1919. Cette évolution est la preuve que le national socialisme est une entité vivante, et pas seulement les restes fossilisés d’un mouvement politique disparu depuis longtemps des générations précédentes.

Cette évolution peut être notée dans le développement de la pensée national-socialiste, tant dans le domaine de la politique raciale qu’ailleurs, ainsi que dans la structure organisationnelle formelle du Mouvement.

Mais dès les premiers jours de la lutte, le  Führer a  fixé des lignes directrices inébranlables pour son développement. Toute évolution du mouvement se déroule dans ce cadre.

S’adressant à la dernière session du congrès du NSDAP de 1934, il a énoncé ces principes d’organisation de base, qui fondent la vision du monde national-socialiste avec la politique pratique:

«… Alors que notre parti ne comptait que sept hommes, il avait déjà énoncé deux principes: premièrement, il souhaitait être un véritable mouvement conditionné par l’idéologie; et, deuxièmement, il voulait donc être l’unique puissance en Allemagne.

«En tant que parti, nous devions rester dans la minorité, car nous devions mobiliser les éléments les plus précieux de lutte et de sacrifice du Reich, qui, à tout moment, ont constitué non pas une majorité mais une minorité. […]

«Ce ne sera toujours qu’une partie de la nation qui se composera de combattants réellement actifs, et on en demandera plus que d’autres que des millions d’autres citoyens. Pour eux, le simple engagement «je crois» ne suffit pas; au lieu de cela, ils jureront au serment «Je me bats».

«Le Parti représentera pour toujours l’élite des dirigeants politiques du peuple allemand.

«Il sera immuable dans sa doctrine; dur comme l’acier dans son organisation; tactiquement flexible et adaptable; dans son entité cependant, ce sera comme un ordre sacré!  […]

«Mais l’objectif doit être que tous les Allemands fidèles deviennent des national-socialistes. Seuls les meilleurs national-socialistes sont membres du parti!

Aujourd’hui comme par le passé, ce sont les directives que nous suivons.

CHRONOLOGIE

Le Führer en compagnie de femmes slaves.
Contrairement à toute la propagande haineuse émanant de ses ennemis,Hitler n’a jamais refusé de rencontrer d’autres ethnies.

Période d’incubation, 1919-1923  – Le Parti des travailleurs allemands ( Deutsche Arbeiterpartei ) a été officiellement fondé le 5 janvier 1919, mais ce n’est qu’au moment où Adolf Hitler l’a rejoint le 16 septembre de cette année que le Mouvement tel que nous le connaissons a réellement commencé . Au cours de ses quatre premières années d’activité, les fondements de l’avenir ont été jetés. Munich fut établie comme base d’opérations du Mouvement; son nom a été rallongé au Parti ouvrier national-socialiste allemand ( Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei ); la croix gammée a été choisie comme son symbole; les Stormtroops ( Sturmabteilung ) ont été formés en tant que milice du parti; et le Folkish Observer ( Völkischer Beobachter ) devint son journal officiel.

La carte de membre du Parti national socialiste au nom d’Adolph Hitler.
Ce fut la première émise.

Les 8 et 9 novembre 1923, le NSDAP et l’AS, appuyés par d’autres formations folkloriques, menèrent un soulèvement sans succès contre la République de Weimar. En conséquence, le Mouvement fut interdit et de nombreux dirigeants emprisonnés.

Entre 1924 et 1932,de nombreux partis nationalistes de droite virent le jour,en Allemagne.
Lors de l’élection de 1933,ils vont appuyer le parti national-socialiste.

Période d’interdiction, 1923-1925  – Même si un responsable est déclaré illégal, le Mouvement continue de fonctionner sur une base réduite pendant la période d’interdiction. Alfred Rosenberg a été nommé par Hitler pour diriger le Mouvement au cours de cette période. Il a formé un remplaçant ad hoc pour le NSDAP, appelé la Grande Communauté Folklorique Allemande ( Grossdeutsche Volksgemeinschaft ). D’autres formations de la Nouvelle-Écosse sont également apparues, telles que le National Socialist Freedom Movement et le Bloc folklorique de Bavière. La SA continua d’être une organisation souterraine connue sous le nom de  Frontbann.

L’élaboration la plus importante de cette période a toutefois été la rédaction du premier volume de  Mein Kampf  par le  Führer . Il y codifiait la vision du monde de la NS sous une forme définitive et définissait les directives opérationnelles pour l’avenir.

Période d’opposition à l’avant-garde, 1925-1930  – Le  Führer  est libéré de prison en décembre 1924. Il fonde officiellement le NSDAP en février 1925. Pendant cinq ans, le Mouvement existe comme un petit parti d’avant-garde en marge de la scène politique. Il a continué à diffuser son message auprès du peuple allemand et a progressivement renforcé sa force. Le 9 novembre 1925, la SS est fondée et le 3 juillet 1926, la jeunesse hitlérienne est créée. politique, le NSDAP a réalisé une percée politique décisive le 14 septembre 1930. Il a remporté 107 sièges au Parlement allemand, devenant ainsi le deuxième parti politique en importance. en Allemagne. La lutte pour le pouvoir politique national a alors commencé sérieusement. Lors de l’élection du 31 juillet 1932 au Reichstag, le NSDAP devint le plus grand parti politique. Conformément aux pratiques établies de la République de Weimar, Hitler aurait dû être invité à former un gouvernement national à ce moment-là. Cependant, les conservateurs l’ont bloqué et ce n’est que le 30 janvier 1933 que Hitler a été nommé chancelier. Il a immédiatement commencé les travaux de construction de l’État national-socialiste.

 

Percée et lutte pour le pouvoir, 1930-1932  

Après des années d’errance,des Années de paix, 1933-1939 

En 1932,le Führer reçoit de plus en plus d’appuis.

Il est impossible de résumer toutes les réalisations du national socialisme en Allemagne en quelques paragraphes. Au départ, le Mouvement avait pour objectif principal de consolider la révolution national-socialiste et d’empêcher la contre-révolution, de gauche ou de droite. La consolidation du pouvoir fut achevée vers le milieu de 1934. En 1936, l’Allemagne était sortie de la Grande Dépression, même si c’était la nation occidentale qui avait été la plus durement touchée. Les forces armées allemandes ont été reconstituées, les chaînes injustes du Traité de Versailles ont été levées et les Allemands des régions frontalières coupées du Reich ont été réintégrés dans la Patrie. En six années seulement, le Mouvement avait transformé l’Allemagne, qui était alors le malade de l’Europe, une grande puissance mondiale. Chômage, itinérance et pauvreté,

Outre le renforcement économique et militaire de l’Allemagne, l’État national-socialiste a également connu des avancées vertigineuses dans les domaines de la culture, des sciences, de la technologie, de l’agriculture et de l’éducation. Le célèbre   système d’autoroute Autobahn – le premier du genre au monde – a été construit pour relier toutes les régions du Reich.

Tout comme le Duce Mussolini,le Führer aimait à apporter son soutient aux travailleurs des autobahn allemandes.

Bien que le NSDAP ne reçoive que 40% du public allemand en 1933, en 1939, 98% de la population allemande était un national-socialiste enthousiaste. Le NSDAP était le mouvement politique le plus réussi de l’histoire moderne et Adolf Hitler était le dirigeant national le plus populaire de tous les temps.

Le Führer Adolph Hitler inaugurait une grande autoroute (autobahn) en 1934.

Années de guerre, 1939-1945  – Hitler avait déclaré à ses généraux que l’Allemagne serait imposée à la guerre en 1942. Cependant, son optimisme quant à l’espoir d’une période de paix prolongée était injustifié. En 1939, les Britanniques et les Français, sous l’impulsion juive, transformèrent un conflit frontalier entre l’Allemagne et la Pologne en une guerre mondiale. Après cinq ans et demi de lutte héroïque, l’Allemagne nationale-socialiste et ses alliés ont été submergés par une alliance impie de l’Union soviétique avec les ploutocraties occidentales. Jusqu’au bout, l’écrasante majorité du peuple allemand a maintenu sa foi dans la vision du monde du  Führer  et du national-socialisme.

Le Zeppelin Hindenburg au-dessus des installations olympiques de 1936.

Le mouvement d’après-guerre

À des fins pratiques, la guerre prit fin le 8 mai 1945 lorsqu’un armistice fut signé par le grand amiral Karl Dönitz, que Hitler avait nommé son successeur à la tête de l’État. Initialement, des nationalistes socialistes intransigeants ont poursuivi leur campagne militaire contre les Alliés et les Soviétiques par le biais du mouvement de guérilla «Werwolf». Cependant, en 1946, il a été reconnu que cet effort était futile. Les national-socialistes se sont regroupés dans une succession de partis politiques pro-NS, qui cherchaient à promouvoir l’idée de manière à ne pas contrevenir à l’interdiction du national-socialisme déclarée après la guerre par les Alliés et les Soviétiques (et qui reste en vigueur). L’Allemagne et l’Autriche aujourd’hui).

Le plus notable de ces partis se substituant au NSDAP est le Parti socialiste du Reich ( Sozialistische Reichspartei Deutschlands ), déclaré illégal en 1952. Il a été reconstitué sous une forme affaiblie en tant que Parti du Reich allemand ( Deutsche Reichspartei ). En 1964, le DRP et plusieurs autres organisations ont fusionné pour former le Parti national démocratique d’Allemagne ( Nationaldemokratische Partei Deutschlands , ou NPD), qui existe encore à ce jour.

Dans le passé comme dans le présent, certains camarades de la Nouvelle-Écosse ont préféré une lutte clandestine ou semi-clandestine qui prônait ouvertement le national socialisme. Le Front d’action des nationalistes socialistes (années 1980) et le National Socialist Underground (2010) sont des exemples de telles formations. De nombreux groupes extrémistes ont été approvisionnés avec du matériel de propagande imprimé aux États-Unis par Gerhard Lauck et le NSDAP-AO.

LE MOUVEMENT HORS D’ALLEMAGNE

Juste avant la Deuxième Guerre Mondiale,Adrien Arcand fonde le Parti National-socialiste du Canada.
Devant sa popularité durant la guerre,il sera arrêté sans raison valable .
Il est le premier grand leader nationaliste de droite au Québec et au Canada.

Avant 1945  – Dès ses débuts dans les années 1920, le Mouvement attira des adeptes hors d’Allemagne. Le NSDAP n’avait que peu d’intérêt pour ces groupes, à l’exception de l’Autriche, considérée comme faisant partie du Reich allemand. La partie autrichienne de la Nouvelle-Écosse était simplement une extension du NSDAP. Après l’occupation allemande des Pays-Bas en 1940, le Mouvement national-socialiste néerlandais ( Nationaal-Socialistische Beweging in Nederland ) est officiellement reconnu par le NSDAP.

Affiche électorale de « notre » Führer canadien,Adrien Arcand.

D’autres partis de la NS existaient au Danemark, en Suède, au Chili et ailleurs, mais n’ont pas reçu de sanction officielle. Il y avait un petit groupe en Grande-Bretagne, le Mouvement national socialiste, créé par l’Union britannique des fascistes et des nationalistes socialistes de Sir Oswald Mosely. Aucune de ces organisations n’a été reconnue par le mouvement allemand. Aux États-Unis, le Bund germano-américain était la première formation de NS. Hitler, cependant, estimait que le Bund avait fait plus de tort à l’image de l’Allemagne aux États-Unis et mis autant de distance qu’il le pouvait avec les Bundistes.

Le développement le plus important du socialisme national extra-allemand a eu lieu dans la  Waffen-SS , dans laquelle des dizaines de milliers de non-Allemands se sont portés volontaires pour se battre pour le Troisième Reich. Si la guerre s’était terminée différemment, ces volontaires étrangers auraient sans aucun doute formé le noyau des gouvernements national-socialistes dans leurs pays respectifs.

Georges Lincoln Rockwell

Après 1945  – Ironiquement, c’est au-delà des frontières du Reich que le national-socialisme s’est ouvert après la guerre. En 1959, George Lincoln Rockwell a formé le parti nazi américain aux États-Unis. Il l’a rebaptisé Parti populaire national-socialiste blanc en 1967. Le NOUVEL ORDRE, l’organisation qui a succédé au NSWPP, a été formé en 1983 et se poursuit aujourd’hui. En Grande-Bretagne, Colin Jordan a fondé le Mouvement national socialiste en 1962. Il existe également aujourd’hui sous le nom de Mouvement britannique. En 2019, le Mouvement de résistance nordique ( Nordiska motståndsrörelsen ), basé en Suède, est la plus vaste et la plus viable formation NS. Elle possède également des succursales en Norvège, au Danemark et en Islande.

En août 1962, Rockwell, Jordan et des camarades de divers pays européens se sont réunis pour former l’Union mondiale des nationaux-socialistes. C’était la première fois que le Mouvement se dotait d’une structure internationale formelle.

Il est à noter que ces organisations nationales-socialistes d’après 1945 ont une taille, une influence et un soutien publics infimes par rapport au mouvement d’avant-guerre en Allemagne. Au mieux, le mouvement contemporain hors Allemagne se trouve dans une situation similaire à la phase d’avant-garde du NSDAP (1925-1930) évoquée ci-dessus.

NATIONALISME ALLEMAND ET INTERNATIONALISME PANARYEN

Sans aucun doute, Adolf Hitler était le nationaliste allemand par excellence de l’ère moderne et peut-être de tous les temps. Le mouvement national-socialiste, tel que le concevait Hitler, était avant tout un moyen de redonner à l’Allemagne sa grandeur, même aux dépens des autres nations et peuples. Et pourtant, dès le début, on se rendit compte que le peuple allemand et le Reich allemand étaient construits sur des fondements raciaux que les Allemands partageaient avec les autres peuples aryens de l’Europe et que le destin et les fortunes de l’Allemagne étaient indissolublement liés à ces autres peuples aryens. nations. En particulier, Hitler a reconnu l’Angleterre comme un grand pays frère du peuple allemand.

Sans pour autant abandonner le nationalisme allemand, il a également défendu le pan-aryanisme. Écrivant en 1927, il nota:

«Nous ne devons pas permettre que la grande communauté raciale ( die grössere Rassegemeinschaft ) soit déchirée par la différence des peuples individuels ( Völker ). La lutte qui fait rage aujourd’hui vise de très grands objectifs. Une culture combinant des millénaires et embrassant l’hellénisme et le germanisme se bat pour son existence. ”( Mein Kampf, volume II, chapitre 2, p. 423; s / 476  au deutsch ).

Il y avait donc une certaine tension, même dans l’esprit d’Hitler, entre le nationalisme allemand et l’unité pan-aryenne. Nous pouvons voir que cette tension se résorbe lentement dans les déclarations de Hitler au fil des ans.

Hitler a commencé sa carrière politique – sans doute sans reconnaître au moment où il le faisait – avec un discours impromptu lors d’une réunion privée du parti des travailleurs allemands le 12 septembre 1919. Plus précisément, il s’est prononcé contre une proposition de sécession de la Bavière de la Prusse et le reste de l’Allemagne et forment un État indépendant. La notion outrageait Hitler: pour lui, toutes les subdivisions politiques constitutives de l’Allemagne appartenaient ensemble à un Reich uni.

Cinq mois plus tard, en tant que dirigeant du Mouvement, il a officiellement promulgué la plate-forme politique du parti, le fameux 25 Points. Le premier point « demandait » l’union de tous les Allemands ( alle Deutschen )… dans une grande Allemagne. « 

Quatre ans plus tard, il écrivit le premier chapitre de  Mein Kampf.  Il commence son livre – comme il commençait les 25 points – par un appel à l’union de tous les Allemands dans un seul Reich. Mais ici, il étend l’idée des unités pan-allemandes aux seuls camarades du peuple vivant à l’intérieur du Reich aux Allemands d’Autriche. «Le sang lié appartient à un Reich commun», écrit-il.

Pendant la période du Troisième Reich, ceux ayant la citoyenneté allemande formelle ont été notés comme  Reichsdeutsche ; ceux de sang allemand qui vivaient hors de l’Allemagne mais qui conservaient leur langue et leur culture allemandes s’appelaient  Volksdeutsche . Cela se traduit littéralement par «folk allemand», mais peut-être est-il mieux traduit en anglais par «ethnie allemande». En tout état de cause, le concept est clair: le national-socialisme défendait l’unité de tous les Allemands, quelle que soit leur terre d’origine. un seul État-nation. En tant que chancelier de Reich, le Führer a fait entrer dans le Grand Reich allemand non seulement les Autrichiens, mais également des Allemands des Sudètes, du Memelland, de la Silésie, de l’Alsace et de la Lorraine, du Sud-Tyrol et d’ailleurs.

Mais il ne s’est pas arrêté là. Le peuple allemand, au sens étroit du terme, n’est qu’un élément de la grande famille germanique. Surtout après le début de la guerre, on a envisagé à long terme d’incorporer tous les peuples germaniques dans un seul Reich, en commençant probablement par les Néerlandais.

La Table Talks  enregistre Hitler comme disant:

«Dans le nouveau monde que nous construisons, peu importe si un homme est originaire d’une région ou d’une autre, qu’il vienne de Norvège ou d’Autriche, une fois les conditions de la pureté raciale réunies.» ( Soirée du 1er novembre – 2, 1941)

L’inclusion des germaniques non allemands dans les limites d’un futur Reich était un changement radical dans le nationalisme allemand traditionnel.

The Table Talks  rapporte également que le Fuehrer a confié à un major danois de la  Waffen-SS:

«Je comprends qu’il soit difficile pour un jeune Hollandais ou un jeune Norvégien de se voir appelé à former une unité commune, dans le cadre du Reich, avec des hommes ayant d’autres liens avec l’Allemagne. Mais ce qu’on leur demande n’est pas plus difficile que ce qui a été demandé aux tribus germaniques au moment des grandes migrations. À cette époque, l’amertume était si grande que le chef des tribus germaniques [ Arminius – Ed .] Fut assassiné par des membres de sa propre famille. Ce qui est demandé à des pays qui ont formé le deuxième Reich est semblable à ce que nous demandons maintenant, et à ce que nous avons récemment demandé des Autrichiens. »( Soirée du 22 Février, 1942)

Son intention d’inclure d’autres peuples germaniques occidentaux ainsi que les Allemands du Nord dans un seul Reich unifié peut également être vue dans l’intention du Führer de renommer un Berlin élargi d’après-guerre: «Germania».

Pour récapituler:

1. En 1919, il commence par réclamer l’unité de tous les  Reichsdeutsche  .

2. En 1924, il étend son appel à l’unité des Allemands en Autriche.

3. Dans les années 1930, il intègre les Allemands des territoires frontaliers dans le cadre du Reich.

4. Après le début de la guerre en 1939, il rappelle au pays les  Volksdeutsche vivant dans les Balkans et ailleurs.

5. Au fur et à mesure que la guerre progresse, il élargit son appel pour inclure les peuples germaniques de Scandinavie et des Pays-Bas, et pas seulement les Allemands au sens strict du terme.

Mais il ne s’arrête pas là. Dans son Testament politique, il se fait passer pour le défenseur des «enfants européens des nations aryennes», pas seulement comme le chancelier du Reich allemand ou Chef germanique. Il a écrit:

De plus, je ne laissais aucun doute sur le fait que cette fois-ci des millions d’enfants européens des nations aryennes n’allaient pas mourir de faim (des millions d’hommes ont perdu un million d’enfants dans l’Europe , et que des millions d’hommes subir la mort, et des centaines de milliers de femmes et d’enfants ne seraient pas brûlés et bombardés à mort dans les villes, sans que les vrais coupables aient à se racheter de leur culpabilité, même par des moyens plus humains.

Il convient également de noter l’anecdote fréquemment répétée concernant le général belge  Waffen-SS Leon Degrelle. Hitler lui aurait dit: « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il soit comme vous. » Degrelle n’était ni allemand ni germanique, mais il était aryen.

Il restait à George Lincoln Rockwell de mener cette trajectoire raciale à sa conclusion naturelle. Dans son essai novateur  In Hoc Signo Vinces  (1960), il déclare que les intérêts des différentes nations aryennes sont subordonnés au bien-être de la race blanche dans le monde. Il écrit:

Nos problèmes aujourd’hui ne sont pas des problèmes «américains», des problèmes «britanniques», des problèmes «français», «allemands», «européens» ou «africains» – ce sont des problèmes de survie pour tous les hommes blancs. […]

La seule chose à laquelle je puisse être fidèle avec une conviction profonde – la seule loyauté qui ait un sens – est ma fraternité RACIALE, et donc culturelle, avec mon propre peuple, où qu’il soit né! Lorsque cette loyauté est mise au défi et que mon peuple est en danger, il est monstrueux de prétendre que nous devons nous méfier les uns des autres simplement parce que nous vivons au-delà de frontières géographiques imaginaires nous, Blancs, devons marcher pour nous tuer, nous bombarder et nous haïr de manière éternelle parce que nous sommes des «rivaux du commerce», de la «démocratie américaine», de «l’Empire britannique» ou de n’importe quoi d’autre au monde.

Je suis un homme blanc, et un frère de tous les hommes blancs, et je compte être aux côtés de tous et, au besoin, les mener au combat pour survivre contre la menace indicible des populations colorées de la Terre…

Dans le même essai, Rockwell inclut le passage suivant dans lequel il cherche à mettre fin à l’inimitié séculaire existant entre les Allemands et les peuples slaves:

Et cela inclut nos  frères russes aryens  , qui sont aussi des hommes blancs. Bientôt, ils se retrouveront avec nous contre les hordes colorées de la Chine.

Ainsi, alors que le national socialisme continue de progresser vers le XXIe siècle, l’unité raciale globale de la race aryenne prime maintenant sur le nationalisme étroit et mesquin, qui a ses racines au XIXe siècle et plus tôt.

DANS LE FUTUR: 
UNE VISION MONDIALE MULTIDIMENSIONNELLE

Après la guerre,le président argentin Juan Domingo Peron,accueuillit de très nombreux officiers et politiciens nationaux-socialistes,dont…le Führer lui-même.

La dimension raciale du national-socialisme est la caractéristique la plus importante du Mouvement, tant dans le passé que dans le présent. C’est comme il se doit, car le national socialisme est le seul  chemin réaliste, voire le seul  concevable , de l’humanité aryenne.

Aujourd’hui comme hier cependant, le national socialisme n’est pas un mouvement racial à une dimension; il englobe plutôt toutes les facettes de la société moderne.

• Le national socialisme remplace la société de consommation moderne par une communauté folklorique dans laquelle chaque homme, femme et enfant aryen est reconnu comme un camarade folklorique. Il est également anticommuniste et anticapitaliste et exige l’élimination des différences et des inégalités de classe. 
• Il s’agit d’une restructuration révolutionnaire du système éducatif qui met autant l’accent sur la forme physique et le développement du caractère, ainsi que sur les études universitaires traditionnelles. 
• C’est le «mouvement vert» original. Il reconnaît que l’homme n’est qu’un élément de l’ordre naturel et qu’il exige donc un environnement sain comme condition préalable à une population en bonne santé.
• Il reconnaît que la famille traditionnelle, avec un seul soutien de famille et des rôles de genre clairement définis, constitue le fondement social de base de la communauté populaire.

Contrairement à ce que prétendent ses nombreux ennemis, le national socialisme ne fait pas et n’a jamais fait partie de l’extrême droite. Ce n’est pas non plus une partie de la gauche. Le vieil ordre – la dispensation existante – a son aile droite et il a son aile gauche. Mais le national socialisme ne fait pas partie de l’ordre ancien et, par conséquent, il ne peut être véritablement placé nulle part dans son spectre politique. Au lieu de cela, il se distingue et représente un nouvel ordre renaissant pour notre race qui transcende l’ancienne dichotomie gauche-droite.

Après 100 ans de lutte incessante, nous nous trouvons à un moment crucial de l’histoire de notre race. Notre existence même biologique est attaquée et, en effet, nous sommes confrontés à l’extermination en tant que peuple. Le national-socialisme seul fournit la lumière, l’espoir et le chemin d’une humanité aryenne assiégée. Alors que le Mouvement hitlérien se prépare à entrer dans son deuxième siècle, ses dirigeants et ses membres sont conscients de la nature profondément historique de leur lutte. Ils se conduiront en conséquence.

 

 

 

 

 

Campagne européenne contre le bolchevisme: perspective allemande de la seconde guerre mondiale (VIDEO)

Comme le rapporte ce reportage allemand sur la guerre, des jeunes hommes de toute l’Europe se portent volontaires pour faire leur service militaire sur le front armé paneuropéen contre le bolchevisme soviétique.

 

 

Des scènes du Danemark, de la Norvège, des Pays-Bas et de l’Espagne. Les troupes allemandes libèrent Riga, la capitale de la Lettonie. Les cadavres de Lettons tués par les bolcheviks sont montrés.

Les Juifs sont rassemblés et contraints de travailler. Les forces allemandes percent les fortifications de la «ligne Staline». Dans la formidable «double bataille» de Bialystok-Minsk, plus de 300 000 prisonniers soviétiques sont capturés. Les forces allemandes prennent Minsk, capitale de la Biélorussie, que les Soviétiques ont incendiées avant de se retirer. Hebdomadaire allemand « Die Deutsche Wochenschau » du 16 juillet 1941 (n ° 567). Avec sous-titres anglais (pas tout à fait exact). Durée: 34:07 minutes

 

 

 

En mémoire des soldats de la Waffen-SS:Des symboles nationaux-socialistes exposés lors de la marche patriotique ukrainienne

Des centaines de personnes dans la ville ukrainienne de Lviv ont assisté à une marche nationaliste avec des symboles nazis qui commémoraient une unité Waffen SS avec de nombreux volontaires locaux.

 

La communauté juive se dit indignée par un « événement scandaleux » en l’honneur de la 14ème division Grenadier de la Waffen SS.

Eduard Dolinsky, directeur du Comité juif ukrainien, a condamné samedi la marche honorant la 14ème division Waffen Grenadier de la SS, ou le 1er Galicien, comme « un événement scandaleux qui ne devrait pas se produire en Ukraine dans lequel meurtriers de Juifs et autres sont glorifiés. « 

 

Et Andrew Srulevitch, le directeur des affaires européennes de l’Anti-Defamation League, a écrit sur Twitter que « les leaders ukrainiens doivent condamner de telles marches, où les extrémistes ukrainiens célèbrent les divisions SS nazies ukrainiennes (1er galicien), donnant des salutations nazies en uniforme au milieu d’une grande ville ukrainienne. « 

 

 

 

 

La Conspiration nazie:un événement en hommage à l’évasion du Führer Adolph Hitler,le 26 avril 1945

Photo de notre événement en français.
Photo de notre événement en français.

 

Je  vous invite tous à partager mes innombrables dossiers provenant  souvent des archives secrètes d’un gouvernement européen.

Je ne peux donner des noms,mais je peux facilement partager ces informations qui appartiennent à toute l’humanité.

Les Défenseurs de la terre sont d’avis que la connaissance doit être partagée également et gratuitement entre tous les Héritiers de l’Ère Nouvelle…et chaque humain vivant actuellement sur cette planète ,en est un.

Donc voici  le résultat  de plusieurs années de recherches que je vais me permettre de divulguer afin de contrebalancer les mensonges propagés depuis 1945.

Je vous invite è partager cet événement ,ces articles et ces vidéos qui,je le sais,vont probablement m’attirer  des poursuites judiciaires et faire de moi,davantage,un ennemi de l’état…pour ne pas dire:un ennemi de tous les états  vassaux du Nouvel Ordre Mondial.

Même si ces vérités vous dérangent,je vous les laisse en héritage et vous m’excuserez ,car dans ma vie,j’avais une Révolution Mondiale à proposer.

À ceux et celles que mes propos choqueront,essayez de vous adapter car nous ne sommes qu’au début du Grand Changement rendu nécessaire par  plus d’un siècle de négligence et de passivité.

Donc,voici le lien de l’événement Facebook  qui je l’espère,vous donnera le goût de changer vos mauvaises habitudes ,comme croire tout ce que vos gouvernements corrompus vous disent!

Événement Facebook en français: En hommage à l’évasion du Führer Adolph Hitler ,le 26 avril 1945

La tombe d’Erich Priebke va devenir un lieu de pélerinage

Des policiers en tenue anti-émeute en action,après que des émeutiers manifestaient  ,en dehors de la Société de Saint-Pie X siège, un groupe catholique schismatique, où les funérailles de l'ancien officier SSi Erich Priebke qui devait avoir lieu dans Albano Laziale.
Des policiers en tenue anti-émeute en action,après que des émeutiers manifestaient ,en dehors de la Société de Saint-Pie X siège, un groupe catholique schismatique, où les funérailles de l’ancien officier SSi Erich Priebke qui devait avoir lieu dans Albano Laziale.

 

La tombe de l’officier SS qui a accompagné le Führer Adolph Hitler en Argentine,Erich Priebke deviendra un lieu de pèlerinage pour les sympathisants , selon son avocat Dimanche – malgré les appels à l’enterrement qui se tiendra dans un lieu secret .

Paolo Giachini se bat pour obtenir pour  Priebke une tombe, après que  le maire de Rome lui eut  refusé la permission d’être enterré là , tout comme la ville natale de l’ancien officier SS  en Allemagne et en Argentine, où il vivait avant d’être extradé vers l’Italie . M. Giachini dit qu’il a été convenu samedi que Priebke pourrait être enterré en secret en Italie.

 » La communauté juive  voulait qu’il ait le sort de Ben Laden , avec ses cendres dispersées en mer, pour éviter de créer un lieu de pèlerinage « , a déclaré M. Giachini .

«Toutefois, celui qui veut ,pourra rendre hommage à un personnage qui est devenu un symbole de la dignité , de la liberté et de la souffrance humaine. Nous n’avons pas permis aux autorités ou à la communauté juive de marcher  sur ​​nous  » .
Priebke , décédé à 100 ans , a passé les 17 dernières années de sa vie en résidence surveillée à Rome pour son rôle dans le massacre de 335 Italiens , près de Rome en 1944. Dans un témoignage vidéo réalisé avant sa mort, il a insisté pour que les partisans italiens étaient à blâmer pour le massacre, en tuant des Allemands et en provoquant des représailles.

La première tentative de la tenue des funérailles de Priebke , près de Rome , mardi dernier, a été suspendu par la police après des affrontements survenus  en dehors de l’église. Son corps est actuellement à Pratica di Mare, à proximité d’une base de l’armée de l’air italienne .

Les gens se rassemblent devant l'église de Lefebvriani pour protester avec une bannière qui dit: "Bourreau Priebke" la semaine dernière à Albano Laziale, Italie.
Les gens se rassemblent devant l’église de Lefebvriani pour protester avec une bannière qui dit: « Bourreau Priebke » la semaine dernière à Albano Laziale, Italie.

Entretien historique et unique avec Erich Priebke …un témoin probable de la fuite du Führer

Erich Priebke est mort le vendredi 11 octobre 2013 à Rome, à l’âge de 100 ans. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fut capitaine de la Sicherheitspolizei allemande (police de sûreté). Enfui en Argentine après la guerre, il avait été retrouvé et arrêté en 1994, puis condamné à la perpétuité en Italie en 1998 pour le massacre des Fosses adréatines à Rome en mars 1944. Hier, le journal britannique International Business Times a mis en ligne une interview réalisée quelques mois avant sa mort.
Erich Priebke est mort le vendredi 11 octobre 2013 à Rome, à l’âge de 100 ans. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fut capitaine de la Sicherheitspolizei allemande (police de sûreté). Enfui en Argentine après la guerre, il avait été retrouvé et arrêté en 1994, puis condamné à la perpétuité en Italie en 1998 pour le massacre des Fosses adréatines à Rome en mars 1944. Hier, le journal britannique International Business Times a mis en ligne une interview réalisée quelques mois avant sa mort.

NOTES IMPORTANTES:

cet entretien de Erich Priebke consiste en un témoignage historique d’un des derniers témoins directs de la deuxième guerre mondiale, du nazisme et de Adolf Hitler. En cela il est d’un grand intérêt pour qui est attaché à l’analyse historique objective, celle qui consiste à étudier les témoignages des deux camps, s’affranchissant d’un manichéisme aussi peu scientifique que crédible. Cependant, la loi Gayssot du 13 juillet 1990 interdit en France de contester certains faits historiques qui sont donc désormais établis par la loi. Les contrevenants seront punis d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Or, dans l’entretien suivant qui ne devait être diffusé qu’après sa mort, M. Erich Priebke s’est naturellement peu inquiété de ces problèmes juridiques.

 

Moi,Michel Duchaine ,considère qu’il ne dit pas tout ,mais qu’il donne une grande partie de la Vérité.

 

 

Entretien donné fin juillet 2013 par Erich Priebke, quelques jours avant son 100e anniversaire

 

Q. — M. Priebke, il y a quelques années vous avez déclaré que vous ne reniiez pas votre passé. Aujourd’hui où vous avez 100 ans, pensez-vous toujours ainsi ?

 

R. — Oui.

 

Q. — Qu’entendez-vous exactement par cela ?

 

R. — Que j’ai choisi d’être moi-même.

 

Q. — Par conséquent encore aujourd’hui vous vous sentez nazi ?

 

R. — La fidélité à son passé, c’est une question de convictions. Il s’agit de ma façon de voir le monde, de mes idéaux, de ce que nous Allemands nous appelons la Weltanschauung [façon de voir le monde] et c’est aussi une question d’amour propre et d’honneur. La politique est une autre affaire. Le national-socialisme a disparu avec sa défaite et de toute façon il n’aurait aujourd’hui aucune possibilité de revenir.

 

Q. — Cette vision du monde dont vous parlez, l’antisémitisme en fait-il partie ?

R. — Si vos questions ont pour but de connaître la vérité il va falloir abandonner les lieux communs : critiquer quelqu’un ne signifie pas qu’on veuille le détruire. En Allemagne, dès le tout début des années 1900 on critiquait ouvertement le comportement des juifs. Le fait que les juifs aient accumulé entre leurs mains un immense pouvoir économique, et en conséquence politique, alors qu’ils représentaient une partie absolument infime de la population mondiale était considéré comme injuste. Il est un fait qu’encore aujourd’hui, si nous prenons les mille personnes les plus riches et puissantes du monde, il nous faut constater qu’une partie notable d’entre eux sont des juifs, banquiers ou actionnaires de sociétés multinationales. Puis en Allemagne, en particulier après la défaite de la première guerre mondiale et l’injustice des traités de Versailles, les immigrations juives de l’Est européen avaient provoqué de véritables désastres, avec l’accumulation en quelques années de capitaux immenses de la part de ces immigrés, pendant que dans la République de Weimar la majeure partie du peuple allemand vivait dans une extrême pauvreté. Dans ce climat les usuriers s’enrichissaient et le sentiment de frustration à l’égard des juifs croissait.

Q. — Une vieille histoire dit que les juifs pratiquaient l’usure qui était admise par leur religion, alors qu’elle était interdite aux chrétiens. Qu’y a-t-il de vrai, d’après vous ?

R. — En fait, ce n’est certainement pas une idée qui m’est personnelle. Il suffit de lire Shakespeare et Dostoïevsky pour comprendre que de tels problèmes avec les juifs ont effectivement existé au cours de l’histoire, depuis Venise jusqu’à Saint-Pétersbourg. Ceci ne veut absolument pas dire que les seuls usuriers à l’époque étaient des juifs. J’ai fait mienne une phrase du poète Ezra Pound : « Entre un voleur juif et un voleur aryen je ne vois aucune différence».

Q. — Pour toutes ces raisons, vous justifiez l’antisémitisme ?

 

R. — Non, écoutez, cela ne signifie pas qu’il n’y ait pas chez les juifs des gens bien. Je le répète : l’antisémitisme veut dire haine, haine indiscriminée. Et moi, même au cours de ces dernières années de ma persécution, moi qui suis vieux, privé de liberté, j’ai toujours refusé la haine. Je n’ai jamais voulu haïr même ceux qui me haïssaient. Je parle seulement de droit à la critique et j’en explique les motifs. Et je vous dirai de plus : il ne faut pas oublier que, en raison de leurs raisons religieuses particulières, une grande partie des juifs se considéraient supérieurs à tous les autres êtres humains. Ils s’identifiaient au « Peuple élu » de la Bible.

 

Q. — Hitler aussi disait de la race aryenne qu’elle était supérieure.

R. — Oui, Hitler s’est laissé allé lui aussi à recourir à cette idée équivoque de supériorité. Ce fut là une des causes d’erreurs sans retour. Considérez toutefois qu’un certain racisme était la norme dans ces années-là, non seulement au niveau des mentalités populaires mais aussi au niveau des gouvernements et du système juridique. Les Américains, après avoir déporté les populations africaines et avoir été esclavagistes, continuaient à être racistes, et en réalité ils faisaient de la discrimination contre les Noirs. Les premières lois, dites raciales, d’Hitler ne limitaient pas les droits des juifs plus que n’étaient limités les droits des Noirs dans divers Etats des USA. Il en était de même pour les populations indiennes de la part des Anglais et des Français, qui ne se sont pas comportés tellement différemment avec ce qu’on appelle les sujets de leurs colonies. Et ne parlons pas du traitement que subissaient à l’époque les minorités ethniques de l’ex-URSS.

Q. — Et ensuite comment les choses se sont-elles aggravées en Allemagne, d’après vous ?

 

R. — Le conflit s’est radicalisé, il a empiré. Les juifs allemands, américains, anglais et la communauté juive mondiale d’un côté, contre l’Allemagne de l’autre. Naturellement, les juifs allemands se sont retrouvés dans une situation toujours plus difficile. La décision qui fut prise ensuite de promulguer des lois très dures rendit la vie vraiment difficile aux juifs en Allemagne. Ensuite, en novembre 1938, un juif, un certain Grynszpan, pour protester contre l’Allemagne, a tué en France un conseiller de notre ambassade, Ernst von Rath. S’ensuivit la fameuse « Nuit de cristal ». A travers le Reich des groupes de manifestants ont brisé les vitrines de magasins appartenant à des juifs. C’est à partir de ce moment que les juifs furent considérés seulement et uniquement comme des ennemis. Hitler, après avoir gagné les élections, les avait, dans un premier temps, encouragés de multiples façons à quitter l’Allemagne. Par la suite, dans le climat de forte méfiance à l’égard des juifs allemands, causé par la guerre et le boycott et en raison du conflit ouvert contre les plus importantes organisations juives mondiales, il les enferma dans des camps, en tant qu’ennemis. Il est certain que pour beaucoup de familles, qui souvent n’avaient rien à se reprocher, ce fut désastreux.

 

Q. — Par conséquent, pour vous, il faut rechercher chez les juifs eux-mêmes la cause de ce qui leur est arrivé ?

 

R. — La cause est à rechercher un peu de tous les côtés. Chez les Alliés, aussi, qui déclenchèrent la seconde guerre mondiale contre l’Allemagne, à la suite de l’invasion de la Pologne, pour revendiquer des territoires où la forte communauté allemande était soumise à d’incessantes vexations. C’étaient des territoires qui avaient été placés par le Traité de Versailles sous le contrôle de l’Etat polonais nouveau-né. Contre la Russie de Staline et l’invasion de cette dernière dans le reste de la Pologne, personne n’a bougé le petit doigt. Mieux : à la fin du conflit, qui avait pris naissance officiellement pour défendre précisément indépendance de la Pologne contre les Allemands, on fit cadeau à Staline, sans façon, de tout l’Est européen, Pologne comprise.

 

Q. — Donc, toute politique mise à part, vous épousez les thèses historiques révisionnistes ?

R. — Je ne comprends pas bien ce qu’on entend par révisionnisme. Si nous parlons du procès de Nuremberg de 1945, alors je peux vous dire que ce fut une chose incroyable, une grande mise en scène créée exprès pour déshumaniser le peuple allemand et ses chefs aux yeux de l’opinion publique mondiale. Pour s’acharner sur le vaincu mis désormais dans l’impossibilité de se défendre.

 

Q. — Qu’est-ce qui vous fait dire cela ?

 

R. — Que peut-on dire d’un prétendu tribunal qui juge seulement les crimes des vaincus et non ceux des vainqueurs ; où le vainqueur est en même temps accusateur public, juge et partie lésée et où les articles du délit ont été spécialement créés après la constatation des faits, autrement dit pour condamner rétroactivement ? Le président américain Kennedy lui-même a condamné ce procès en le qualifiant de chose « dégoûtante » en ce que « les principes de la constitution américaine avaient été violés pour punir un adversaire vaincu ».

 

Q. — Si vous voulez dire que le délit de crime contre l’humanité qui a permis de condamner à Nuremberg n’existait pas avant d’être invoqué par ce tribunal international, cela veut dire en tout cas que les accusations concernaient des faits quand même terribles.

 

R. — A Nuremberg, les Allemands furent accusés du massacre de Katyn, et puis en 1990 Gorbatchev reconnut que c’étaient eux, les accusateurs russes, qui avaient tué les vingt mille officiers polonais par une balle dans la nuque dans la forêt de Katyn. En 1992, le président russe Eltsine produisit également le document original contenant l’ordre signé de Staline. Les Allemands furent aussi accusés d’avoir fait du savon à partir des juifs. Des échantillons de ce savon aboutirent dans les musées des USA, en Israël et dans d’autres pays. Il fallut attendre 1990 pour qu’un professeur de l’Université de Jérusalem étudie les échantillons et finisse par admettre qu’il s’agissait d’une escroquerie.

 

Q. — Oui, mais les camps de concentration ne sont pas une invention des juges de Nuremberg.

 

R. — Dans ces années terribles de guerre, enfermer dans des Lager (en italien ce sont les camps de concentration) les populations civiles qui présentent un danger pour la sécurité nationale était une chose normale. Dans le dernier conflit mondial les Russes en ont fait autant, tout comme les USA. Ces derniers en particulier avec les citoyens américains d’origine orientale.

Q. — Toutefois, en Amérique, dans les camps de concentration pour les populations d’ethnie japonaise il n’y avait pas de chambres à gaz ?

 

R. — Comme je l’ai dit, à Nuremberg on **** une infinité d’accusations. Pour ce qui concerne le fait que dans les camps de concentration il y avait des chambres à gaz, nous attendons **** *** *****. Dans les camps, les détenus travaillaient. Beaucoup de détenus sortaient du Lager pour travailler et rentraient le soir. Le besoin de main-d’œuvre pendant la guerre **** ****** avec la possibilité qu’au même moment il y ait eu, dans quelque point du camp, des files de personnes se rendant à ** ****** ** ****. L’activité d’une chambre à gaz est envahissante, mortelle, et même à l’extérieur elle est terriblement dangereuse. L’idée d’envoyer à la mort des millions de personnes de cette manière, dans le lieu même où vivent et travaillent d’autres personnes sans que ces dernières s’aperçoivent de quoi que ce soit, c’est de la folie, **** ***** ****** ***** ******* ***** ******.

 

Q. — Mais vous, quand avez-vous entendu parler pour la première fois du projet d’extermination des juifs et des chambres à gaz ?

 

R. — La première fois que j’ai entendu des choses pareilles la guerre était finie et je me trouvais dans un camp de concentration anglais, j’étais avec Walter Rauff. Nous sommes restés tous les deux pantois. Nous ne pouvions absolument pas croire des choses aussi horribles : des chambres à gaz pour exterminer des hommes, des femmes et des enfants ! Pendant des jours nous en avons parlé entre nous, avec le colonel Rauff et d’autres collègues. Nous avions beau avoir été tous des SS, chacun d’entre nous à son niveau à une position particulière dans l’appareil national-socialiste, mais jamais des choses pareilles n’étaient parvenues à nos oreilles. Imaginez que, des années et des années plus tard, j’ai appris que mon ami et supérieur Walter Rauff, qui avait aussi partagé avec moi des morceaux de pain dur dans le camp de concentration, avait été accusé d’être l’inventeur d’un fantomatique camion à gaz ! On ne peut pas croire à des choses de ce genre quand on a connu Walter Rauff.

 

Q. — Et tous les témoignages de l’existence des chambres à gaz ?

R. — Dans les camps on n’a jamais ***** *** ****** ** ****, **** celle construite après la guerre par les Américains à Dachau. Il ****** *** de témoignages fiables sur le plan judiciaire ou historique à propos des ****** ** **** ; à commencer par ceux de certains des derniers commandants et responsables de camp, comme par exemple celui du plus connu des commandants d’Auschwitz, Rudolf Höss. Outre les grandes contradictions de son témoignage, il fut torturé avant de déposer à Nuremberg et, après son témoignage, sur l’ordre des Russes on le fit taire pour de bon en le pendant. Pour ces témoins, considérés comme précieux par les vainqueurs, les violences physiques et morales qu’on leur infligea en cas de manque de complaisance étaient insupportables ; ainsi que les menaces de vengeance sur les membres de leur famille. Je sais, par expérience personnelle en prison et celle de mes collègues, comment les vainqueurs parvenaient à extorquer, dans les camps de concentration, des confessions aux prisonniers, qui souvent ne connaissaient même pas l’anglais. Et puis, le traitement réservé aux prisonniers dans les camps russes de la Sibérie était connu, on signait alors n’importe quel type d’aveux demandé ; un point c’est tout.

Q. — Donc pour vous ces millions de morts sont une invention ?

R. — Moi j’ai connu personnellement les Lager. La dernière fois que je suis allé à Mauthausen, c’était en 1944 pour interroger le fils de Badoglio, Mario, sur l’ordre d’Hitler. J’ai tourné dans ce camp de long en large pendant deux jours. Il y avait d’immenses cuisines en fonction pour les internés et il y avait aussi à l’intérieur du camp un bordel pour leurs exigences. Pas de ******** ** *****. Malheureusement tellement de gens sont morts dans les camps mais pas en vertu d’une volonté de tuer : la guerre, les dures conditions de vie, la faim, l’absence de soins adéquats ont tourné au désastre. Mais ces tragédies des civils, elles étaient à l’ordre du jour non seulement dans les camps mais dans toute l’Allemagne, et principalement à cause des bombardements sans discernement des villes.

Q. — Par conséquent vous minimisez la tragédie des juifs : l’Holocauste ?

 

R. — Il ne s’agit pas de minimiser, une tragédie est une tragédie. S’il y a un problème, c’est celui de la vérité historique. Les vainqueurs du second conflit mondial avaient intérêt à ce qu’on ne leur demande pas de rendre compte de leurs crimes. Ils avaient rasé des villes allemandes entières où il n’y avait pas un soldat, et ce pour tuer des femmes, des enfants et des vieillards et ainsi affaiblir la volonté de combattre de leur ennemi. C’est ce qui est arrivé à Hambourg, à Lübeck, à Berlin, à Dresde et à tant d’autres villes. Ils profitaient de la supériorité de leurs bombardiers pour tuer impunément et avec une cruauté folle les civils. Puis c’est arrivé à la population de Tokyo et, finalement, avec les bombes atomiques, aux civils de Nagasaki et d’Hiroshima. Pour cette raison il était nécessaire d’inventer des crimes spéciaux commis par l’Allemagne et de les colporter suffisamment pour présenter les Allemands comme des créatures maléfiques et autres non-sens : des sujets de romans d’horreur sur lesquels Hollywood a tourné des centaines de films. D’ailleurs, depuis lors la méthode des vainqueurs de la deuxième guerre mondiale n’a pas beaucoup changé : à les entendre ils exportent la démocratie à l’aide de ces prétendues missions de la paix contre les canailles, ils décrivent des terroristes qui ont commis des actes toujours monstrueux, indicibles. Mais dans la pratique ils attaquent surtout au moyen de leur aviation ceux qui ne se soumettent pas. Ils massacrent les militaires et les civils qui n’ont pas les moyens de se défendre. Finalement, d’une intervention humanitaire à l’autre dans divers pays, ils placent, sur les fauteuils des gouvernements, des marionnettes qui servent leurs intérêts économiques et politiques.

 

Q. — Mais alors certaines de ces preuves inattaquables comme les films et les photographies des camps, comment les expliquez-vous ?

R. — Ces films sont une preuve supplémentaire de la ********. Presque tous proviennent du camp de Bergen-Belsen. C’est un camp où les autorités allemandes envoyaient les internés des autres camps qui étaient inaptes au travail. Il y avait à l’intérieur un secteur pour convalescents. Rien que cela en dit long sur la volonté des Allemands d’assassiner : il semble étrange que, en temps de guerre, on mette en place une structure pour accueillir ceux qu’on voulait gazer. Les bombardements de 1945 ont laissé ce camp dénué de vivres, d’eau et de médicaments. Une épidémie de typhus s’est répandue qui a causé des milliers de malades et de morts. Ces films datent de ces faits, lorsque le camp de réfugiés de Bergen Belsen, dévasté par l’épidémie, en avril 1945, était alors entre les mains des Alliés. Les scènes furent tournées exprès, à des fins de propagande, par le metteur en scène anglais Hitchcock, le maître de l’horreur. Il est affreux de voir le cynisme, l’absence de tout sens d’humanité avec lesquels encore aujourd’hui on spécule sur ces images. En les projetant pendant des années sur les écrans de télévision, accompagnées de fonds musicaux angoissants, on a trompé le public en associant, avec une ruse impitoyable, ces scènes terribles *** ******* *** ****, alors qu’elles n’avaient aucun rapport. Un ****** !

Q. — D’après vous, le motif de toutes ces ***** serait, de la part des vainqueurs, de couvrir leurs crimes ?

 

R. — Dans un premier temps il en fut ainsi. Un scénario identique à celui de Nuremberg fut inventé aussi par le général McArthur au Japon avec le procès de Tokyo. Pour pendre les accusés ils imaginèrent d’autres histoires et d’autres crimes. Pour criminaliser les Japonais qui avaient été victimes de la bombe atomique, ils allèrent à l’époque jusqu’à inventer des accusations de cannibalisme.

 

Q. — Pourquoi « dans un premier temps » ?

 

R. — Parce que par la suite la littérature sur l’Holocauste fut utilisée principalement par l’Etat d’Israël pour deux raisons. La première est bien expliquée par un écrivain juif fils de déportés : Norman Finkelstein. Dans son livre L’Industrie de l’Holocauste, il explique comment cette industrie a rapporté, à travers une campagne de revendications, des milliards d’indemnisations dans les caisses des institutions juives et dans celle de l’Etat d’Isaël. Finkelstein parle d’un « véritable racket d’extorsions ». Pour ce qui concerne le second point, l’écrivain Sergio Romano, qui n’est certes pas un révisionniste, explique qu’après la « guerre du Liban », l’Etat d’Israël a compris qu’en augmentant et en mettant l’accent sur l’aspect dramatique de la « littérature sur l’Holocauste » cela lui aurait procuré des avantages dans son contentieux territorial avec les Arabes et « une sorte de semi-immunité diplomatique ».

Q. — Dans le monde entier on parle de l’Holocauste comme d’extermination, mais vous, vous avez des doutes ou vous le niez carrément ?

 

R. — Les moyens de propagande de ceux qui aujourd’hui détiennent le pouvoir mondial sont inextinguibles. Au travers d’une sous-culture historique créée spécialement et divulguée par la télévision et le cinéma, on a manipulé les consciences en travaillant sur les émotions. En particulier les jeunes générations, à commencer par l’école, ont été soumises à un lavage de cerveaux, abreuvées d’histoires macabres pour assujettir leur liberté de jugement. Comme je vous l’ai dit, voilà 70 ans que nous attendons les preuves de ces méfaits que conteste le peuple allemand. Les historiens n’ont pas trouvé le moindre document qui concernerait *** ******* *** **** : pas un ordre écrit, pas un compte rendu ou un avis de la part d’une institution allemande, pas un rapport d’un employé. Rien de rien. En l’absence de document, les juges de Nuremberg ont considéré comme acquis que le projet qui s’intitulait « Solution finale du problème juif » à l’étude dans le Reich, qui évaluait les possibilités territoriales permettant d’éloigner les juifs de l’Allemagne et par la suite des territoires occupés, y compris la possibilité de transfert à Madagascar, était un code secret de couverture qui signifiait leur extermination. *** ******* ! En pleine guerre, alors que nous étions encore vainqueurs aussi bien en Afrique qu’en Russie, les juifs, qui avaient été en un premier temps simplement encouragés, furent poussés, à la fin 1941, de toutes sortes de façons à quitter l’Allemagne de manière indépendante. Ce n’est que deux ans après le commencement de la guerre que commencèrent les mesures restreignant leur liberté.

 

Q. — Admettons que l’on découvre les preuves dont vous parlez. Je veux dire un document signé d’Hitler ou d’un autre dignitaire. Quelle serait votre position ?

R. — Ma réponse serait celle d’une condamnation décisive de faits de ce genre. Tous les actes de violence indiscriminée contre des communautés, sans même tenir compte des responsabilités individuelles, sont inacceptables, et absolument condamnables. Ce qui est arrivé aux Indiens d’Amérique, aux koulaks en Russie, aux Italiens enfouis dans les fosses en Istrie, aux Arméniens en Turquie, aux prisonniers allemands dans les camps de concentration américains en Allemagne et en France, comme dans les camps russes, les premiers qu’on a laissés mourir de faim volontairement par la volonté du président Eisenhower, les seconds par celle de Staline. Ces deux chefs d’Etat n’ont volontairement pas respecté la convention de Genève pour sévir jusqu’à la tragédie. Tous ces épisodes, je le répète, sont à condamner sans restriction, y compris les

ersécutions faites par des Allemands au détriment de juifs ; qui ont indubitablement eu lieu. Mais les vraies, non celles qui ont été inventées par la propagande.

Q. — Vous admettez donc la possibilité que ces preuves, qui auraient échappé à une éventuelle destruction pratiquée par les Allemands à la fin du conflit, pourraient un jour survenir ?

R. — Je vous ai déjà dit que certains faits doivent absolument être condamnés. Par conséquent en raisonnant par l’absurde si nous devions trouver demain des preuves sur *** ******** *** *****, la condamnation de choses aussi horribles, de celui qui les a voulues et de qui les a utilisées pour tuer, devrait être sans discussion et totale. Vous voyez, j’ai appris que dans la vie les surprises peuvent ne jamais finir. Mais dans ce cas précis, je crois pouvoir exclure la chose avec certitude parce que pendant presque soixante ans les documents allemands, séquestrés par les vainqueurs de la guerre, ont été examinés et évalués par des centaines et des centaines de chercheurs, si bien que ce qui n’a pas émergé à ce jour pourra difficilement émerger à l’avenir. Pour une autre raison je dois considérer la chose comme extrêmement improbable et je vous explique pourquoi : alors que la guerre était déjà bien engagée, nos adversaires ont commencé à insinuer des soupçons sur des activités homicides dans les Lager. Je parle de la déclaration interalliée de décembre 1942, dans laquelle on parlait généralement de crimes barbares de l’Allemagne contre les juifs et on prévoyait la punition des coupables. Puis, à la fin de 1943, j’ai appris qu’il ne s’agissait pas de propagande de guerre générale, mais qu’en réalité nos ennemis pensaient fabriquer de fausses preuves de ces crimes. La première nouvelle me fut donnée par mon compagnon de cours, un grand ami, le capitaine Paul Reinicke, qui passait ses journées en contact avec le numéro deux du gouvernement allemand, le Reichsmarschall Göring : il était son chef d’escorte. La dernière fois que je l’ai vu je lui ai fait part de ce projet de véritables falsifications. Göring était furibond du fait qu’il considérait ces mystifications comme infamantes aux yeux du monde entier. Précisément Göring, avant de se suicider, contesta violemment devant le tribunal de Nuremberg la production de preuves falsifiées. Un autre signe me fut donné par le chef de la police Ernst Kaltenbrunner, l’homme qui avait remplacé Heydrich après sa mort et qui fut ensuite envoyé à la potence à la suite du verdict de Nuremberg. Je l’ai vu vers la fin de la guerre pour lui rapporter les informations recueillies sur la trahison du roi Victor Emmanuel. Il m’indiqua que les futurs vainqueurs étaient déjà à l’œuvre pour construire de fausses preuves de crimes de guerre et autres atrocités qu’ils auraient inventées sur les Lager comme preuves de la cruauté allemande. Ils se mettaient déjà d’accord sur les détails sur la façon de mettre en scène un procès spécial pour les vaincus. Mais surtout j’ai rencontré en août 1944 le collaborateur direct du général Kaltenbrunner, chef de la Gestapo, le général Heinrich Müller. Grâce à lui j’avais réussi à fréquenter le cours des élèves officiers. Je lui devais beaucoup et il m’avait pris en affection. Il était venu à Rome pour résoudre un problème personnel de mon commandant, le colonel Herbert Kappler. A cette époque, la cinquième armée américaine était sur le point de percer à Cassino, les Russes avançaient vers l’Allemagne. La guerre était déjà inexorablement perdue. Ce soir-là il me demanda de l’accompagner à son hôtel. Comme il y avait entre nous un minimum de confiance, je me permis de lui demander des détails importants sur la question. Il me dit que, grâce à l’espionnage, il avait eu la confirmation que l’ennemi, dans l’attente de la victoire finale, était en train d’essayer de fabriquer les preuves de nos crimes pour mettre en place un procès spectaculaire de criminalisation de l’Allemagne une fois vaincue. Il avait des nouvelles précises et il était sérieusement inquiet. Il soutenait qu’il ne fallait pas se fier à ces gens parce qu’ils n’avaient ni sens de l’honneur ni scrupules. J’étais jeune alors et je n’accordai pas le juste poids à ses paroles mais les choses, en fait, se passèrent exactement comme le général Müller m’avait dit. Voilà les hommes, les dignitaires qui, selon ce qu’on raconte aujourd’hui, auraient imaginé et organisé **** ***** ***** ** ***** ***** **** ** *** ****** ! Je trouverais cela ridicule s’il ne s’agissait pas de faits tragiques. C’est pourquoi, lorsque les Américains, en 2003, ont agressé l’Irak sous prétexte qu’il possédait des « armes de destruction massive », avec tant de faux serments prêtés devant le conseil de sécurité de l’ONU par le secrétaire d’Etat Powell, alors que c’était eux précisément qui avaient été les seuls à les utiliser dans la guerre, je me suis dit : rien de nouveau !

Q. — Vous-même, qui êtes citoyen allemand, savez-vous que des lois en Allemagne, en Autriche, en France, en Suisse punissent de prison celui qui nie l’Holocauste ?

R. — Oui, les pouvoirs forts mondiaux les ont imposées et sous peu les imposeront aussi en Italie. La ruse ce sera en fait de faire croire aux gens que celui qui, par exemple, s’oppose au colonialisme israélien ou au sionisme en Palestine est antisémite ; que celui qui se permet de critiquer les juifs est toujours et de toute façon antisémite ; que celui qui ose réclamer les preuves de l’existence de ces chambres à gaz dans les camps de concentration, c’est comme s’il approuvait l’idée d’exterminer les juifs. Il s’agit d’une falsification éhontée. Ces lois démontrent justement la peur que la vérité vienne à la surface. Visiblement on redoute qu’après la campagne de propagande à base d’émotions, les historiens ne s’interrogent sur les preuves, les chercheurs ne se rendent compte des mystifications. Ces lois vont justement ouvrir les yeux à qui croit encore à la liberté de pensée et à l’importance de l’indépendance de la recherche historique. Il est évident que pour ce que j’ai dit je pourrais être poursuivi, ma situation pourrait certainement empirer mais je devais raconter les choses telles qu’elles se sont réellement passées, le courage de la sincérité était un devoir à l’égard de mon pays, une contribution, à l’occasion de mes cent ans, à la rédemption et à la dignité de mon peuple.

(Sources:Égalité et réconcilliation)