Sensationnelle découverte d’une planète jumelle de la Terre et autres nouvelles du ciel

Vue d’artiste de l’exoplanète Kepler-1649c avec vue sur son étoile, une naine rouge.

 

Cette semaine, on découvre une rare planète potentiellement habitable à peine plus grande que la Terre, trois astronautes dont une recordwoman retrouvent la terre ferme, la Nasa ressort son vieux logo rouge pour fêter son retour aux vols habités, et une vue de la «bille bleue» par BepiColombo, qui nous a survolés la semaine dernière.

Une jumelle de la Terre dans les archives de Kepler

Une nouvelle cousine pour la Terre ! En réanalysant des données enregistrées par le télescope spatial Kepler, à la retraite depuis deux ans, une équipe d’astrophysiciens a trouvé la trace d’une exoplanète passée inaperçue jusqu’ici. Toutes les observations de Kepler sont pourtant scannées par un algorithme, chargé de détecter des signaux inhabituels dans la luminosité des étoiles : quand elle faiblit légèrement de façon régulière, c’est sans doute qu’une planète lui passe devant. On appelle cela la méthode des transits – redoutable pour découvrir des exoplanètes à la pelle. Mais l’algorithme avait manqué cette planète-là, raconte la Nasa, et il a fallu un deuxième épluchage humain des données pour corriger l’oubli.

Taille comparée de la Terre et de Kepler-1649c, exoplanète 1,06 fois plus grosse.

 

Et à côté de quoi on a failli passer ! Kepler-1649c – de son petit nom – fait 1,06 fois la taille de la Terre. Une jumelle presque parfaite. Et elle orbite dans la zone habitable de son étoile, là où la température permet la présence d’eau liquide, ce qui en fait une exoplanète vraiment exceptionnelle. Sur les 4 100 planètes extrasolaires qu’on connaît à ce jour, seule une vingtaine sont à la fois de taille terrestre et potentiellement habitables. Nos meilleures candidates pour y chercher des traces de vie extraterrestre. En janvier, TOI 700d avait rejoint cette liste de happy few.

Située à 300 années-lumière de nous, Kepler-1649c reçoit 75% de la quantité de lumière que la Terre reçoit du Soleil. C’est assez semblable, et les températures en surface de la planète sont peut-être proches des nôtres. En revanche, l’exoplanète orbite autour d’une naine rouge, un type de petite étoile connu pour être parfois éruptive, et donc dangereuse pour son environnement… et hostile au développement de la vie.

Retour sur Terre en pleine crise sanitaire

Les astronautes se sentiront peut-être comme dans Good Bye Lenin ces prochains jours : parachutés (au sens propre !) dans un monde à la fois familier et très différent de ce qu’il était il y a six mois, la dernière qu’ils y ont vécu. Jessica Meir, Andrew Morgan et Oleg Skripochka ont atterri ce vendredi matin dans les plaines du Kazakhstan, redescendus de l’ISS où ils séjournaient depuis septembre – et même juillet pour Andrew Morgan.

Atterrissage de l’expédition 62 de l’ISS au Kazakhstan, le 17 avril 2020.

 

Les photos de l’atterrissage les montrent souriants sur les fauteuils où on les assied tout de suite, incapables de marcher car écrasés par le retour à la gravité, dans un comité d’accueil tout en masques chirurgicaux. Sur l’ISS, les astronautes ont entre autres mené des expériences sur les fluides humains et le fonctionnement du cœur en microgravité, la mécanique des gouttes d’eau, et amélioré un spectromètre chargé de chercher l’hypothétique matière noire.

L’Américaine Jessica Meir est entrée dans les livres d’histoire spatiale en participant, le 18 octobre 2019, à la toute première sortie dans l’espace 100% féminine. Elle accompagnait sa collègue de la Nasa Christina Koch pour remplacer des batteries en panne.

Coucou la Terre, ici Bepi !

Vendredi dernier (10 avril) était un grand jour pour BepiColombo, la sonde euro-japonaise qui file vers Mercure pour l’étudier en détail. Lancée en octobre 2018, elle a suivi la Terre dans son orbite autour du Soleil pendant un an et demi et doit maintenant infléchir sa course vers l’intérieur du système solaire pour se rapprocher de sa cible. Pour entamer son virage, elle a profité de l’«assistance gravitationnelle» de la Terre en frôlant notre planète. BepiColombo nous a survolés à 12 700 kilomètres, soit la moitié de l’altitude de croisière des satellites GPS et Galileo !

La sonde a pris des photos tout au long de son approche et de son éloignement. Mises bout à bout, elles forment une animation émouvante de notre «bille bleue» vue de loin…

Ci-dessous, une version retraitée pour homogénéiser l’exposition :

BepiColombo devait être surveillée d’un peu plus près que d’habitude durant le survol. Les ingénieurs de l’ESA qui gèrent les sondes au centre de Darmstadt, en Allemagne, n’avaient jamais vécu un tel moment dans des conditions aussi particulières – une partie des salariés en télétravail, les autres devant coopérer sans s’approcher dans les locaux…

Nasa : le retour du logo «ver»

C’est le genre de petit rien qui fait battre les cœurs nostalgiques. Le vieux logo tout rouge de la Nasa, utilisé entre 1975 et 1992, va orner une fusée de SpaceX pour célébrer «le retour des vols habités sur des fusées américaines depuis le sol américain».

La Falcon 9 qui emmènera les premiers astronautes vers l’ISS à bord d’une capsule Crew Dragon est ornée du vieux logo rouge de la Nasa.

 

 

La Falcon 9 qui emmènera les premiers astronautes vers l’ISS à bord d’une capsule Crew Dragon est ornée du vieux logo rouge de la Nasa. Photo SpaceX

Cela fait presque dix ans en effet, depuis le retrait de la navette spatiale en 2011, que les Américains n’ont pas pu se rendre sur la station spatiale par leurs propres moyens : tous les ans, ils achètent des places à bord des vaisseaux russes Soyuz, qui assurent seuls le trafic humain vers et depuis la station. Mais les choses vont bientôt changer. Deux nouvelles capsules américaines sont en cours de tests et feront bientôt leur premier vol habité. L’une est conçue par Boeing (la Starliner), l’autre par SpaceX (Crew Dragon). Cette dernière devrait décoller fin mai avec des astronautes à son bord.

Le sceau de la Nasa, son logo entre 1975 et 1992, et le logo historique utilisé aujourd’hui.

 

«Le design à la fois rétro et moderne du logo illustrera la joie d’ouvrir une nouvelle ère du vol spatial habité», espère la Nasa. L’agence rappelle que ce vieux logo est surnommé «le ver», avec ses quatre lettres épurées qui se tordent comme des asticots rouges. Le logo historique de la Nasa avec l’orbite blanche et le chevron rouge sur fond bleu, utilisé entre 1959 et 1975 puis de 1992 à aujourd’hui, est surnommé «meatball» (la boulette de viande).

L’hélicoptère martien est visible en bas de l’image, attaché au «ventre» de Perseverance. Il sera déployé environ deux mois et demi après l’atterrissage du rover américain.

L’hélicoptère martien de la mission Mars 2020 a été attaché au rover Perseverance la semaine dernière, au centre spatial Kennedy en Floride. Il est visible en bas de l’image, attaché au «ventre» de Perseverance. Il sera déployé sur Mars environ deux mois et demi après l’atterrissage du rover américain, en février 2021.

 

 

 

 

 

Le rover Curiosity de la NASA examine de plus près «  l’étrange creux  » sur Mars

 

Les découvertes du Rover Curiosity n’ont pas finies de nous étonner,voyez ici:

 

La fosse de Balby est pleine de sable foncé et se démarque du paysage martien.

The Balby Trough, un curieux paysage sur Mars.
The Balby Trough, un curieux paysage sur Mars.

Mettez les mots « étrange » et « Mars » ensemble et vous avez mon attention. NASA rover de Mars Curiosity vit jusqu’à son nom en consultant une formation inhabituelle situé dans une zone appelée Butte Ouest dans le cratère Gale.

« Dans les images de l’orbite, il semble que quelqu’un ait tracé une ligne droite épaisse avec un marqueur de feutre sombre sur le côté sud-est de la butte »  , a écrit Melissa Rice , membre de l’équipe de Curiosity , géologue planétaire à l’Université Western Washington, dans une mise à jour de mission. semaine intitulée A Strange Trough sur Western Butte.

Cette image du rover Curiosity du 14 janvier montre la vue depuis la descente de Western Butte.NASA / JPL-Caltech

Du point de vue de Curiosity, l’auge est peu profonde et remplie de sable foncé. 

Le rover a été chargé de capturer plus d’images de la région pour que les scientifiques puissent les étudier. « Nous ne savons pas ce qui a créé cette fonctionnalité, ni pourquoi elle se trouve ici », a écrit Rice, « il vaut donc la peine de s’arrêter pour y regarder de plus près. »    

L’équipe de rover a nommé le fossé Balgy Trough, une référence aux pittoresques chutes de Balgy en Écosse. L’équipe a donné des noms d’inspiration écossaise à certaines caractéristiques du paysage martien de cette région. 

Mars regorge de formations fascinantes, de petits nodules ronds  à des roches qui ressemblent par coïncidence à des objets familiers de la Terre . L’auge est une autre fonctionnalité intéressante à étudier par les scientifiques alors que nous en apprenons davantage sur la géologie sauvage et merveilleuse de la planète rouge.

 


AUTRES PHOTOS PARTICULIÈRES

 

Photo prise sur Mars durant une nuit.Le point blanc au-dessus,c’est notre terre!

 

 

L’énorme désert de Mars.

 

Le cratère Gusev: on dirait qu’une ancienne rivière s’y rendait.

 

Un élément inconnu apparaît ici.

 

 

Anomalie en forme de mâchoire de crocodile

 

 

…sous un angle différend.

 

 

Au pôle sud de Mars,une étrange fosse.

 

Le sol de Mars ressemble à celui de la Lune.

 

Terre et lune vue de mars

 

Un étrange « fossile » découvert sur une ancienne photo de Curiosity…restée inexpliquée!

 

…toujours inexpliquée!

 

Fossiles sur mars

 

Combien d’autres mystères restent enfouis sous la surface de la planète Mars qui n’attendent que le jour ou nous les sortirons des sables?
Pourquoi la NASA efface-t-elle les photos qui remettent la science en question?

 

 

 

Exploration spatiale:Des physiciens russes s’approchent d’un moteur à plasma pour un voyage dans l’espace ultra-rapide

 

Générateur de plasma

 

 

 

Des scientifiques russes et du monde entier considèrent la technologie des fusées à plasma comme un ingrédient possible essentiel pour des missions rapides sur Mars et au-delà.

Des physiciens de l’Institut Budker de physique nucléaire de la section sibérienne de l’Académie des sciences de Novosibirsk préparent une nouvelle série d’expériences visant à exploiter avec succès la puissance du plasma thermonucléaire destiné à être utilisé dans un moteur de fusée, a déclaré aux journalistes le directeur adjoint de l’institut, Alexander Ivanov .

Les expériences, qui débuteront plus tard ce mois-ci, feront suite à des tests déjà réussis qui ont confirmé la faisabilité du confinement du plasma dans une configuration expérimentale utilisant des paramètres appropriés pour un moteur de fusée, a déclaré Ivanov.

À la fin de 2018, l’institut a commencé à exploiter une installation unique, connue sous le nom de SMOLA, l’acronyme russe de « Spiral Magnetic Open Trap », ce dispositif servant de premier pas vers la création d’un réacteur à fusion. Le « piège à plasma » a permis aux scientifiques de travailler sur le confinement du plasma dans un système magnétique linéaire, ce qui, espérons-le, pourrait éventuellement contribuer à la création d’un prototype de moteur à plasma adapté aux voyages dans l’espace.

« Les premières expériences ont montré que l’effet existait. Le moteur spatial fonctionne, ainsi que le moyen de réduire les pertes de plasma. Un équipement standard est actuellement installé. Nous nous préparons à commencer des expériences en janvier 2019 qui devraient démontrer pleinement ses capacités, « Ivanov a dit.

Selon le physicien, la configuration actuelle sert de démonstrateur technologique. Les scientifiques atteignent une température de 100 000 degrés pour former le plasma et atteignent une densité suffisante pour leur fournir des données appropriées pour la poursuite des travaux de création d’une fusée à plasma. moteur.

En octobre, Energomash, une société russe d’ingénierie énergétique engagée dans la production de moteurs de fusées, a annoncé son intention de construire un moteur de fusée à plasma à haute puissance et sans électrodes. L’institut Kurchatov de Russie et le bureau de conception de produits chimiques automatiques ont tout d’abord annoncé qu’ils travaillaient sur un moteur à base de plasma pour les voyages dans l’espace en 2016 .

D’autres pays, y compris les États-Unis, sont engagés dans des développements similaires. En 2015, la NASA a attribué à la société privée de technologie de fusée à plasma Ad Astra un contrat portant sur la création de la « VASIMR ( » Variable Specific Impulse Magnetoplasma Rocket « ). Les moteurs proposés fonctionneraient en chauffant le gaz sous pression à des températures extrêmement élevées en utilisant des ondes radio. plasma sous contrôle utilisant des champs magnétiques.

Les moteurs de fusée à plasma sont l’une des options proposées pour l’exploration humaine d’autres planètes de notre système solaire et au-delà.

 


les vaisseaux spatiaux à propulsion nucléaire de l’avenir

Les vaisseaux spatiaux utilisant un combustible hydrogène-oxygène conventionnel pourront emmener les gens sur la Lune, Mars ou Vénus. Mais l’exploration humaine d’autres planètes dans notre système solaire, et au-delà, nécessitera la création de navires exploitant le pouvoir de la fission nucléaire et de la fusion nucléaire, notamment via le concept de propulsion nucléaire à impulsions.

L’idée d’un système de propulsion de fusée utilisant une combustion explosive a été proposée pour la première fois par l’expert en explosifs russe Nikolai Kibalchich à la fin du 19ème siècle. Cependant, c’est le physicien nucléaire américain né en Pologne, Stanislaw Ulam, qui a eu l’idée d’utiliser des explosions nucléaires pour propulser des engins spatiaux. Ulam a eu l’idée en 1947, une décennie avant le satellite Sputnik 1 et l’avènement de l’ère spatiale. La proposition d’Ulam envisageait l’utilisation d’un bouclier métallique fixé au navire pour exploiter la puissance d’une explosion nucléaire et faire avancer le navire.

Projet Orion & PK-5000

À la fin des années 1950, des scientifiques américains dirigés par les physiciens Ted Tailor et Freeman Dyson ont commencé à travailler sur le projet Orion, un programme visant à créer un modèle de vaisseau spatial propulsé par un système de propulsion nucléaire. Le concept de véhicule Project Orion comprenait une unité d’impulsion nucléaire et des réservoirs de stockage de liquide de refroidissement, une plaque de poussée et deux étages d’amortisseurs pour absorber l’énergie des explosions nucléaires et propulser le navire vers l’avant, ainsi qu’une section de charge utile à l’avant du navire.

Coupe transversale du vaisseau spatial orion

En plus de sa rapidité, le concept a été prédit pour pouvoir théoriquement supporter une charge utile d’un ordre de grandeur supérieur à celui des fusées à combustible classiques. Les scientifiques ont estimé que si une charge nucléaire était déclenchée une fois toutes les trois secondes, le navire serait capable d’atteindre 3% de la vitesse de la lumière, permettant ainsi à l’humanité d’atteindre Alpha Centauri, le système solaire le plus proche en dehors de chez nous, dans environ 140 ans.

S’exprimant avec Tatyana Pichugina, collaboratrice scientifique de Rossiya Segodnya, à propos du projet Orion, Anton Pervushin, cosmonautique, historien et auteur de science-fiction, a expliqué que l’idée était séduisante dans le fait que « seule l’aide d’un système de propulsion à impulsions nucléaires peut accélérer de manière significative .  » Ainsi, a noté Pervushin, « les planètes distantes de notre système solaire deviendront accessibles et il deviendra possible d’organiser la première expédition interstellaire ». 

Modèle informatique de la conception du projet Orion.

Naturellement, des scientifiques soviétiques, dont le physicien Andrei Sakharov, père de la bombe à hydrogène soviétique, ont également exploré le concept de vaisseau spatial propulsé par une explosion nucléaire. Avec un engin spatial surnommé « vsryvolet » (littéralement « avion explosif »), le travail des Soviétiques était axé sur l’utilisation possible du concept d’exploration spatiale de grande envergure.

Le concept de Sakharov , baptisé PK-5000, visait à utiliser des explosions pour alimenter des navires d’une charge utile de 1 000 tonnes ou plus et de 10 à 20 cosmonautes.

Capture d’écran d’un journal scientifique russe présentant le design de vzryvolet de Sakharov.

Les travaux relatifs au projet Orion et à son analogue soviétique ont été arrêtés en 1963 à la suite de la signature du Traité d’interdiction partielle des essais nucléaires, qui interdisait les essais d’armes nucléaires dans l’atmosphère terrestre, dans l’espace et sous l’eau.

Propulsion thermonucléaire

En 1971, le physicien germano-américain Friedwardt Winterberg a publié un article scientifique proposant d’utiliser des réactions à commande thermonucléaire déclenchées par des faisceaux d’électrons intenses pour accélérer les engins spatiaux. Selon l’historien spatial Willis L. Shirk, l’énergie produite par une réaction de fusion nucléaire serait 26 millions de fois supérieure à celle d’un propulseur hydrogène-oxygène conventionnel, et plus de 4,3 fois supérieure à celle de la fission nucléaire.

En 1973, des scientifiques de la British Interplanetary Society formèrent  le « Project Daedalus », une vision pour un système de propulsion à fusion nucléaire.

Tatyana Pichugina écrit: « La fusion thermonucléaire se produit à l’intérieur d’étoiles. Sa création sur Terre nécessiterait d’immenses températures et de l’hydrogène ou de l’hydrogène-hélium. Des calculs ont montré que l’énergie de la fusion thermonucléaire d’un mélange de deutérium et d’hélium-3 pourrait permettre des vitesses de vol 36 000 km par seconde, soit 12% de la vitesse de la lumière, permettant ainsi à Dédale d’atteindre l’étoile de Bernard, à 5,9 années terrestres de la Terre, en un demi-siècle. À titre de comparaison, le Voyager 1, actuellement le plus rapide au monde engin spatial accéléré à 17,02 km / s grâce à sa manœuvre gravitationnelle près de Saturne. « 

Sur le plan structurel, le projet Daedalus prévoyait un grand réservoir de carburant de 50 000 tonnes, dans lequel de petites quantités de pastilles de mélange de deutérium et d’hélium-3 seraient envoyées à la chambre de combustion pour une détonation toutes les secondes, le flux d’échappement de plasma résultant étant dirigé via une puissante buse magnétique . Le navire sans équipage aurait une charge utile utile de 500 tonnes constituée d’équipements scientifiques.

Les travaux sur le projet Daedalus ont été annulés en 1978. En 2009, des scientifiques de la British Interplanetary Society, appuyés par la Tau Zero Foundation, ont commencé à travailler sur le projet Icarus, son successeur spirituel. 

Icarus envisage d’ envoyer plusieurs sondes à travers plusieurs systèmes solaires à moins de 15 années-lumière de la Terre afin d’effectuer des études détaillées des étoiles et des planètes. Comme Dédale, le projet nécessite de l’hélium-3 comme carburant, que l’on trouve en quantité suffisante à Neptune ou à Jupiter, mais qui est rare sur Terre. Compte tenu du rythme actuel du développement technologique, une telle exploitation minière sur une autre planète et, partant, une telle mission, pourrait ne pas être possible avant 2 300 ans.

En fin de compte, Anton Pervushin estime que tant que le traité d’interdiction des essais nucléaires restera en vigueur, la propulsion par impulsions nucléaires restera inévitablement un concept théorique. En outre, comme l’a expliqué Pichugina, outre les problèmes juridiques, un certain nombre de problèmes techniques restent en suspens. Celles-ci incluent comment appliquer du carburant dans la chambre de combustion, amortir l’accélération, protéger les équipages du rayonnement cosmique et, d’une manière générale, déterminer les types d’engins spatiaux les plus efficaces.

Pourtant, comme le note Pervushin, si l’humanité veut échapper aux liens de notre système solaire et envoyer de gros engins spatiaux à ses voisins, la propulsion par impulsions nucléaires reste la seule option réaliste.

Post-scriptum: Fission nucléaire pour la propulsion électrique

Outre les propositions ambitieuses relatives à la propulsion par fission nucléaire et à la fusion nucléaire interstellaire, les scientifiques soviétiques ont travaillé intensément des années 1960 aux années 1980 sur les systèmes de propulsion électrique à fission nucléaire, qui transforment l’énergie thermique nucléaire en énergie électrique, qui est ensuite utilisée pour alimenter des systèmes électriques conventionnels. systèmes de propulsion.

 

 

 

Capture d’écran d’un film éducatif soviétique sur les moteurs de fusée à propulsion nucléaire destinés aux engins spatiaux.

Le programme spatial soviétique a été un pionnier et a travaillé à améliorer la technologie avec la série de satellites Kosmos, qui, bien que généralement couronnée de succès, avait une réputation quelque peu entachée après la descente d’urgence de Kosmos 954 en 1978, laquelle a propagé des débris radioactifs dans le nord du Canada.

Les Soviétiques ont continué à expérimenter ces technologies jusqu’à la fin des années 1980, et ont même envisagé d’ utiliser l’énergie issue de la fission nucléaire comme moyen réaliste d’atteindre Mars.

 

Vision soviétique de 1988 d’une mission martienne utilisant la technologie de propulsion nucléaire

 

 

Un volcan capable de détruire la terre pourrait entrer en éruption et la NASA veut le stopper

Sous le parc du Yellowstone, aux États-Unis, se trouve une chambre de magma qui, si elle entre en éruption, pourrait détruire l’humanité. Cette réalité inquiète la NASA qui cherche des solutions. L’une d’entre elles serait de… refroidir ce supervolcan en transformant la chaleur en électricité.

Le volcan de Yellowstone un jour va se réveiller!

Avec ses geysers, ses sources chaudes, ses bains à bulles naturelles et ses étangs aux couleurs variées, le Yellowstone est un parc qui attire des millions de touristes chaque année. Étendu sur trois états, le Wyoming, le Montana et l’Idaho, il concentre à lui seul deux tiers de tous les geysers de la planète. Mais c’est également une région sous laquelle se tient une véritable bombe à retardement.

Sous le Yellowstone se trouve une chambre de magma très importante – 50 kilomètres sur 70 – qui peut se transformer en un supervolcan si elle entre en éruption. Les supervolcans sont des volcans dont l’éruption est si importante qu’elle peut signer la fin de l’humanité. Si celui du Yellowstone se réveille, il pourrait éradiquer l’existence de l’homme en 74 jours, expliquait en 2017 la BBC.

Fin du monde en 74 jours

Le nuage de cendre d’un supervolcan priverait la Terre de soleil et obligerait les hommes à vivre sur leurs réserves. Or, selon un rapport de l’ONU datant de 2012, les réserves de la planète ne permettraient de tenir que 74 jours.

Cette possibilité préoccupe la NASA. Un chiffre en particulier rend pressant l’urgence de trouver des solutions: 600.000 ans. « Le Yellowstone explose tous les 600 000 ans environ, et cela fait environ 600.000 ans depuis sa dernière explosion, ce qui devrait nous amener à nous asseoir et à en prendre conscience », explique Brian Wilcox qui travaille à l’agence aérospatiale américaine.

 

Cela ne signifie pas forcément qu’il va exploser dans les prochaines années. En termes géologiques, « prêt à exploser » signifie qu’il pourrait le faire potentiellement aujourd’hui comme dans 10.000 ans. Le volcanologue

Cette carte montre les «calderas» de Yellowstone, qui sont des chambres massives qui se forment lorsque le magma et la lave jaillissent de la Terre.

Poland, qui se base sur les chiffres donnés par les nombreux capteurs et satellites qui surveillent en permanence le Yellowstone, explique au National Geographic que le volcan ne semble pour l’instant pas poser de menace.

Refroidir le volcan par géothermie

L’une des solutions envisagées par les scientifiques américains serait de refroidir le volcan. Dans un plan transmis à la BBC, l’équipe explique qu’elle pourrait empêcher une éruption en siphonnant la chaleur de la caldeira et en convertissant l’énergie géothermique en électricité.

Il faudrait envoyer de l’eau dans un trou de forage long de 10 kilomètres qui passerait au travers des roches bouillantes, puis remonterait à la surface à une température supérieure à 350 degrés Celsius. Cette chaleur serait alors utilisée pour faire tourner des turbines et générer de l’énergie électrique. Une fois refroidie, l’eau pourrait être renvoyée sous terre pour soustraire plus de chaleur.

Plusieurs risques majeurs

Il y a plusieurs problèmes liés à ce projet. Le premier est que ce dernier pourrait provoquer lui-même l’éruption du supervolcan. La deuxième difficulté consiste à faire venir l’eau sur place. L’eau est une denrée très précieuse et la gaspiller dans un projet aux conséquences incertaines ne convaincra pas beaucoup de monde, estime la NASA.

L’autre problème majeur est le temps. Refroidir le magma du Yellowstone pourrait se faire à un rythme d’un mètre par an. Il faudrait donc des dizaines de milliers d’années pour que la roche qui entoure le magma refroidisse et le volcan n’attendra peut-être pas. Mais Brian Wilcox reste optimiste. Si la communauté scientifique travaille de concert, des solutions pourraient être trouvées pour éviter cette catastrophe au moins aussi dangereuse que le crash d’un astéroïde géant.

Une des façons dont la NASA envisage de sauver le monde est de forer à la base du volcan et d’y injecter de l’eau hautement pressurisée, supprimant la chaleur dans la chambre magmatique. Cependant, Wilcox a déclaré qu’il y a de fortes chances que la tentative ne soit pas couronnée de succès et qu’elle finisse par une catastrophe.

La NASA envisage de sauver des personnes de ce que l’on appelle une “éruption super volcanique”comme celles des éruptions les plus étonnantes de l’histoire du monde. Des photographies ont été prises à partir de la lave flottant vers le bas de Kilauea avec des cendres en train de se répandre hors des cratères, en envoyant des panaches de fumée qui s’élèvent à plusieurs milliers de mètres dans le ciel. L’une des éruptions les plus violentes était celle du mont Sakurajima.

Le sol se déforme de plus en plus au centre du parc (le centre de la caldéra)

 

 

 

 

50 ième anniversaire du plus grand mensonge de l’histoire moderne:voici des preuves de la falsification du programme Apollo d’exploration spatiale vers la Lune

La Nasa (National Aeronautic and Space Administration), agence spatiale américaine, prétend avoir envoyé 6 misssions habitées sur la Lune de 1969 à 1972.

C’est entièrement faux! 

Toutes ces prétendus missions vers la Lune ont été réalisées en studio et avec des logiciels de photo et vidéo montage.

Les spécialistes trouveront certainement quelques erreurs dans les explications suivantes, mais il y a tant d’autres impossibilités, d’incohérences, de trucages flagrants, que le doute n’est plus permis.

J’ai simplifié le texte pour qu’il soit accessible aux lecteurs n’ayant pas une formation scientifique. Les liens en bas de page vous donneront des explications plus techniques.

1 + L’espace est trop radioactif pour les astronautes.

Il y a trois types de rayonnement ionisants: 
rayonnements ionisants le rayonnement α (alpha), arrêté par une simple feuille de papier. 
• le rayonnement β (béta), arrêté par une feuille d’aluminium de quelques millimètres d’épaisseur. 
• le rayonnement γ (gamma) , le plus nocif et difficile à arrêter. Ce rayonnement inflige des dégats à notre corps qui peuvent être graves pouvant aller de brûlures à différents degrés, jusqu’à une mort plus ou moins rapide. Cela dépend de l’intensité de ces rayonnements, de la nature de ce rayonnement et du temps d’exposition. 
Effets sur les humains des rayonnements ionisants.
L’espace est parcouru en permanence par un rayonnement cosmique α, β et γ provenant du soleil, d’étoiles ayant explosées, ou de quasars. 
Ce rayonnement cosmique est composé de particules ayant une énergie très élevée. Ce sont essentiellement des noyaux atomiques se déplaçant à des vitesses voisines de la lumière. 
Lorsque ces particules percutent un atome, le noyau de cet atome se casse, libère des neutrons qui vont heurter d’autres atomes, les brisant aussi. Ce processus continue tant que l’énergie des particules est suffisante pour briser des atomes. Et chaque fois qu’un atome est brisé, il apparaît de la radioactivité. Rayonnements cosmiquesceinture van allenHeureusement ce rayonnement ne nous atteint pas sur Terre, parce que la plupart des particules cosmiques sont déviées ou piégées par le champ magnétique de la Terre formant un bouclier, la Ceinture de Van Allen, de plusieurs milliers de kilomètres d’épaisseur au dessus de nous. 
Elle commence à 500 km environ au dessus de nos tête et s’étend jusqu’à 60 000 km.

 

Lorsque Certaines particules traversent malgré tout cette ceinture, elles réagissent avec les molécules dans la haute atmosphère et n’arrivent pas jusqu’au sol. 
C’est cette réaction qui cause les magnifiques aurores boréales et australes, visibles dans les latitudes nord et sud de la planète.
radiations atmosphère

Les particules cosmiques engendrant les rayonnements gammas sont très énergétiques et arrivent à plusieurs dizaines de milliers de kilomètres par seconde et chacune peut avoir une énergie de plusieurs milliard d’électron-volt par centimètre carré et par seconde. Elles traverseraient sans aucune difficulté les minces parois d’aluminium d’un vaisseau spatial, pénétrant dans le corps des astronautes, détruisant les cellules, endomageant gravement les brins des molécules d’ADN. 
Les pilotes d’avion de ligne qui passent du temps en haute altitude subissent un rayonnement 200 fois plus élevé qu’au sol et sont suivis régulièrement par les autorités médicales. Alors qu’ils sont protégés par l’atmosphère et par la ceinture de Van Allen. 
Les astronautes passant au travers de cette ceinture auraient du être sévèrement irradiés et souffrir de nombreuses lésions.
Sur Terre on nous protège avec un épais morceau de plomb pour une simple radio des dents et les astronautes de la Nasa auraient fait un voyage de huit jours dans l’espace sans subir aucun désagrément.
Pourtant il faut au moins une épaisseur de 1,5 cm d’épaisseur pour arrêter des rayons gammas, voire plus selon leur énérgie. Mais cela ne cause aucun problème pour une fusée dont les parois d’aluminium ne font que quelques millimètres d’épaisseur! 
Or il n’y a jamais de symptômes de radiation trouvés sur les astronautes. Aucun.

liquidateurs tchernobyl
Les courageux liquidateurs à Tchernobyl ont subi de telles radiationsque soit ils en sont morts, soit ils ont subi de graves séquelles pour tout le reste de leur vie.
Les radiations de la ceinture de Van Allen sont des milliers de fois plus importantes que celles de Tchernobyl, mais les astronautes sont passés à travers sans aucun problème.

Sur la Lune, il n’y a ni champ magnétique, ni atmosphère pour arrêter ces particules! Elles arrivent donc directement sur le sol lunaire, brisant les noyaux des atomes et occasionnant des mini réactions nucléaires en chaîne, libérant encore plus de rayonnement sous la forme de neutrons énergétiques. La surface de la Lune est donc très radioactive. 
Mais les astronautes seraient restés plusieurs heures sur le sol lunaire, sans aucun problème, avec une combinaison en plastique? 
Si ces combinaisons pouvaient arrêter les rayonnements radioactifs on les utiliserait aujourd’hui pour intervenir lors des accidents dans les centrales nucléaire de Fukushima et de Tchernobyl.

On nous dit que les rayonnements dans l’espace sont négligeables. Pourtant Kelly Smith, ingénieur sur le projet Orion,explique que la Nasa est en train de faire des recherches, pour savoir comment passer sans soucis à travers la ceinture de Van Alen. 
Mais … ce problème n’a-t-il pas déjà été résolu lors des voyages vers la Lune? Pourquoi doivent ils à nouveau travailler sur ce sujet? Pourquoi la Nasa affirmait que ces radiations sont négligeables, alors que maintenant ils doivent faire des recherches?
La partie sur les radiations commence à 3min 05seccamera astronaute hasselbladcamera astronaute hasselblad

Le rayonnement gamma voile les photos, laisse des taches et des trainées blanches. 
Les rayons X utilisés tous les jours en radiographie sont comme les rayons gammas, mais en moins puissants. Ces rayons ne sont arrêtés que par un épais blindage en plomb. Or les appareils photos et caméras Hasselblad des astronautes n’étaient protégées par aucun blindage et pourtant on ne voit aucune trace de cette radioactivité sur les photos prises par les astronautes. C’est totalement impossible.
Les caméras des astronautes
Autre fait curieux: alors que les industries pharmaceutiques sacrifient chaque année des milliers d’animaux pour tester les produits qu’ils mettront en vente, la Nasa n’a effectué aucune expérience préalable avec des animaux pour voir comment ils supporteraient le rayonnement cosmique dans l’espace. 
Directement, ils ont envoyé des humains.

2 + Incohérences et impossibilités

Lorsqu’on analyse les éléments des missions sur la Lune, on trouve une incroyable quantité d’incohérences. En voici quelques unes, mais il y en a beaucoup d’autres, décortiquées sur d’autres sites.Pourquoi les astronautes sur la Lune n’ont ils pas tenté de jeter une pierre au loinet filmer ce qu’il se passe? La pierre irait très loin et mettrait longtemps à retomber, ce serait spectaculaire à voir. Pourquoi il n’existe aucun film montrant ceci? 

S’ils ne l’ont pas fait, c’est parce que toutes leurs images ont été faites en studio où c’était impossible de réaliser un tel effet.
La seule expérience de ce style qu’ils auraient fait, c’est de lacher au même moment un marteau et une plume, pour montrer que les deux objets arrivent en même temps sur le sol. Et on ne peut pas voir s’il s’agit vraiment d’une plume.
Sur la Lune on s’attendrait à voir des effets plus spectacultaires que cette vidéo ridicule.

masaisaut astronaute

Cet astronaute fait un saut en hauteur sur la Lune. Sur Terre il pèse environ 170 kg avec son équipement. Sur la Lune, il ne pèserait que 27 kg. Sa musculature étant la même que sur Terre, il devrait donc monter sans difficulté beaucoup plus haut que ce saut ridicule. 
A quelle hauteur vous monterez si vous faisiez un saut en hauteur en ne pesant que 27 kg?
Les bergers Masai du Kenya lorsqu’ils dansent, sautent plus haut que cet astronaute, alors qu’ils pèsent beaucoup plus lourd que cet astronaute lorsqu’il est sur la Lune.
Sur cette vidéo on voit les astronautes effectuer quelques misérables sauts. Pourquoi sont ils à moitié cachés par les structures du Lem? 
Pourquoi leur saut donne vraiment l’impression qu’il sont suspendus à un cable?rotule lemCurieux que le pied du Lem ne soit pas recouvert d’un peu de poussière: l’engin se posant avec un réacteur de 5 tonnes de poussée, sur un sol épais de plusieurs centimètres de poussière, et rien sur le pied? 
Selon certains, c’est parce que le jet de la tuyère était très large et donc ne produisait pas de souffle important.
Bien sûr, pour poser un engin de 15 tonnes ayant une vitesse de départ de 6000 km/h, il suffit d’un jet ne produisant pas de souffle.

Le Lem se pose avec une composante de vitesse très horizontale (vidéo). Et les pieds se sont posés sans avoir glissés sur le sol? Sans aucun rebond?
Pas une seule pierre n’aurait été éjectée et roulée un peu plus loin en laissant des traces?

Et quelle est cette trace en forme de triangle devant le pied? Certains affirment que la marque de la sonde de contact du Lem. Et aucune trace de rebond, de trainée?
Photo numéro AS 11-40-5917 Site de la Nasa. 

armadillo
Pour comparer, regardez la poussière que soulève l’appareil de l’entreprise Armadillo…et il ne pèse qu’une centaine de kilos, mais le Lem ayant une masse de 15 tonnes se posant sur la Lune, n’aurait pas fait de poussière? 
Vidéo d’origine de Armidillo
Sur la photo d’au dessus, regardez l’articulation entre le pied du Lem et la plaque posée au sol.
Pensez vous que cette articulation peut supporter l’atterissage du Lem ayant une masse de 15 tonnes? 
Et à quoi servent ces 4 cables de titane reliant le pied à la plaque?
pied lem 3
Normalement une rotule tient seule dans son logement et elle pivote librement dans ce logement.
Il n’y a pas besoin de cable pour tenir l’ensemble.pied lem 2
Mais sur cette photo de la Nasa, la plaque posée sur le sol est tenue au pied du Lem par ces cables.
La rotule ne peut donc pas bouger, puisqu’elle est fixée par ces cables. Elle ne sert à rien.pied lem 1
Et si le Lem s’était posé sur un sol en pente, pensez vous que ces cables résisteraient à l’atterrissage du Lem ayant une masse de 15 tonnes?
Ils se seraient cassés.

météorite espace

Des milliers météorites de toutes tailles traversent en permanence l’espace entre la Terre et la Lune…et  aucune n’a jamais touché une fusée allant vers la Lune? 
La photo ci contre n’est pas à l’échelle bien sûr, mais une météorite de la taille d’une noisette et se déplaçant à 50 km/sec, si elle percutait le vaisseau spatial, elle dégagerait la même énergie qu’un camion lancé contre un mur à plus de 150 km/h.La combinaison des astronautes était composée de 21 épaisseurs de matériaux différents, dont une couche en Mylar/Teflon pour les protéger des météorites!
Une météorite pesant 1 gramme impactant un astronaute dégagerait la même énergie qu’une voiture lancée à 100 km/h contre un mur. Pensez vous que 1 millimètre de Kevlar serait efficace contre un tel choc?
Et si cette météorite impactait la visière de l’astronaute? 
Et si c’était une météorite de 10 grammes, l’impact correspondrait à celui d’un lourd camion lancé contre un mur.


nixon astronautes

Au retour de leur voyage sur la Lune, les astronautes ont été placés en quarantaine pour éviter une éventuelle contamination par des germes lunaires. 
Le président Nixon vient leur parler. 

Vidéo sans son:

Quelques jours plus tard, les héros faisaient leur première conférence de presse. Après un tel exploit, on devrait voir des visages émerveillés, une joie immense et contagieuse: ce sont les premiers humains à avoir été sur une autre planète. 
Mais là, aucune émotion dans leur paroles, la conférence est morose, les trois astronautes semblent malheureux, il n’arrivent pas à répondre à certaines questions. Aucune excitation à raconter cet exploit. 
La conférence dure 1h 20 mais cet extrait vidéo suffit pour montrer à quel point les soi disants astronautes sont embarrassés … Ils ressemblent plutôt à trois d’adolescents ayant été pris en train de voler des chocolats au supermarché, plutôt qu’à de fiers conquérants de l’espace! 

conférence astronautes champions du monde hand-ball
Photo du haut:Fiers conquérants de la Lune, héros de l’espace. 
Photo du bas:Champions du monde de handball 2015.

L’affaire des cassettes perdues de la NASA

Pourquoi la Nasa ne peut fournir les autres films tournés par les astronautes sur la Lune?
La Nasa prétend que ces bandes ont été transférées aux « Archives Nationales des Usa », où elles ont été démagnétisées pour être réutilisées … parce que cet organisme n’a pas les moyens d’acheter de nouvelles bandes! Ils sont obligés d’effacer des bandes historiques pour les réutiliser! 
La Nasa n’aurait pas effectué une seule copie avant? 
On se doute que si ces films ne sont plus disponibles, c’est parce que la supercherie serait trop facilement découverte.
Bandes perdues (en anglais)

camera astronautesLors de la mission Apollo 11, la Nasa a publié 129 photos que les astronautes ont pris sur la Lune.
Ils ne pouvaient pas viser puisque leur caméra était fixée sur la poitrine. Et dans des conditions de lumière très difficiles, ils ne pouvaient pas faire les bons réglages avec leurs mains gantées.
C’est impossible que les astronautes n’aient réalisé que des photos de qualité professionnelle, parfaitement cadrées, parfaitement exposées, au bon moment. 
Par exemple la photo de droite a une profondeur de champ parfaite, une lumière parfaite et a été prise exactement au bon moment. C’est impossible que l’astronaute ayant fait cette photo l’ai réussie du premier coup.
Selon la Nasa c’est parce que les astronautes auraient pris de nombreuses photos, et on n’aurait publié que les meilleures.
Pourquoi la Nasa ne nous montre-t-elle pas toutes ces photos mal cadrées, mal exposées, cela aurait été intéressant aussi. 
Mais ces photos ratées n’existent pas. Il y en a bien quelques unes mais beaucoup trop peu pour que ce soit crédible.
Admettons que pour chaque photo de réussie, il y en ait 8 de ratées. Un photographe professionel en élimine beaucoup plus. Les astronautes auraient donc pris environ 1000 photos.
Or où sont ces photos? Pourquoi elles ne sont elles pas disponibles?
Admettons que la Nasa les aient éliminées, il reste quand même un problème:Les astronautes seraient sortis pendant 2h31 minutes sur la Lune. Pendant ce temps, ils ont inspectés le Lem pour déceler s’il y avait des dégats, ils ont déployé le drapeau américain, ils ont déballé et sorti l’équipement radio et télévision, ils ont aussi déballé et sortis de nombreux autres objets pour faire des expériences, ils ont pris des notes, ils ont récolté 24 kg de roches lunaires. 
Admettons qu’ils aient eu besoin de deux heures pour effectuer tout cela. Temps pendant lequel ils ne pouvaient pas prendre de photos, puisqu’ils étaient occupés à autre chose.
On peut considérer qu’il restait environ 30 minutes pour faire ces 1000 photos, soit une photo toutes les 2 secondes. Il n’y avait qu’un seul appareil photo pour les deux astronautes. Et sachant qu’à chaque prise il faut un moment pour viser au jugé, sans pouvoir regarder dans le viseur, il faut éventuellement faire des réglages, parfois changer la pellicule. 
Tout ça avec d’épais gants pressurisés et en faisant une photo toutes les deux secondes!
C’est totalement impossible.

La  fameuse photo  de Charles Duke

photo duke
Charles Duke avait fait une photo de lui et sa famille, avant son voyage vers la Lune. Il a emballé cette photo dans un sac plastique, puis une fois sur la Lune, l’a posée sur le sol.
Tout d’abord, c’est curieux comme façon de faire: poser la photo de sa famille par terre, dans la poussière. D’ailleurs, cette photo numéro AS16 – 117 – 18841n’est plus disponible sur le site de la Nasa
Comment est ce que la photo pourrait résister à une température de +120°? Le temps que l’astronaute sorte du Lem, marche sur la Lune et pose sa photo sur le sol, celle ci devrait déjà être sérieusement abîmée. Et sur le sol, la température est encore beaucoup plus élevée parce que chauffée depuis plusieurs dizaines d’heures par le soleil. Immédiatement elle devrait se tordre, s’altérer.Prenez une photo, posez la sur une poêle chauffée à 120°. Immédiatement les couleurs vont s’altérer, puis disparaîre. Puis très rapidement la photo se recroqueville, se tord.
Mais pas sur la Lune!
Lunar reconnaissance orbiter
Le 18 juin 2009, la Nasa envoyait le LRO: Lunar Reconnaissance Orbiter,en orbite à 50 km de la surface lunaire. Elle était munie de plusieurs appareils de mesures, dont des caméras.
Lunar Reconnaissance Orbiter
Le but était de déterminer avec précisions les futurs lieux d’atterrissage sur la Lune, d’effectuer des analyses diverses et surtout de prendre des photos pour montrer les engins que les astronautes avaient laissés sur la Lune lors des missions précédentes.
Pourquoi les photos qu’ils nous montrent sont d’aussi mauvaise qualité?En 2009 la Nasa ne savait pas réaliser des images de très haute définition? A 50 km d’altitude on aurait espéré avoir des détails beaucoup plus précis, la technologie le permettait largement.
Cette photo est tirée du site de la Nasa.
Pourquoi le LRO n’a fait aucune photo de la face cachée de la Lune? Personne n’a jamais vu la face cachée de la Lune et le LRO n’aurait pas fait de photos?

cratères lune cratères lune

De nombreuses photos prises soi disant sur la Lune ne montrent pas de petits cratères. Or il y a en permanence des météorites qui tombent sur le sol de la Lune et avec une vitesse de plusieurs kilomètres par seconde. 
L’impact d’une météorite de 1 gramme arrivant à plusieurs kilomètres par seconde, correspond à l’impact d’une voiture lancée à 100 km/h contre un mur. Même l’impact de petites météorites devrait nécessairement laisser un cratère. 
La Lune passe au travers un flux d’environ 100 tonnes de météorites par an. Cela fait une moyenne de 100 millions de météorites d’un gramme. Cela fait environ 5 météorites de 1 gramme par an et par km². 
Ou une météorite de 1 gramme par 100 m² tous les 2 000 ans.
Puisque sur la Lune il n’y a pas de vent, pas d’eau, donc pas d’érosion, autre que celle causée par les météorites elles mêmes, un cratère d’impact peut rester intact pendant des millions d’années. 
Or les photos qu’ont pris les astronautes sur la Lune, montrent de grandes surfaces, sans aucun impact météoritique. 

cokpit csmcokpit csm
L’intérieur de la Capsule de retour montre une quantité de boutons, de voyants, de manettes… A quoi servaient ils, puisque les astronautes ne pouvaient absolument pas diriger l’engin?
Au mieux il faudrait quelques boutons pour réguler la température, le débit d’oxygène, la lumière. Pas besoin de tout ceci.
Mais cela n’aurait pas fait très sérieux de montrer une cabine qui n’a pas le tableau de bord d’un engin de science fiction!
Pourquoi sur les films du véhicule se déplaçant sur la Lune, la poussière soulevée par les roues retombe aussi vite sur le sol, comme sur Terre? La Lune ayant une gravité 6 fois plus faible, la poussière aurait du monter 6 fois plus haut et décrire de grands arcs en l’air avant de mettre plusieurs dizaines de secondes avant de retomber.Plusieurs sites ont analysés les photos prises par les astronautes. La Nasa aurait expliqué plusieurs cas, celui du drapeau qui flotte sur la Lune,une marque en forme de C sur une roche. Mais beaucoup d’autres photos ont été analysées et elles comportent des anomalies effarantes. 
Un spécialiste de la photographie a fait un travail énorme pour montrer les erreurs des soi disant photos sur la Lune.

3 + Ils disent avoir placé un réflecteur sur la Lune.

réflecteur lunelaser lune

Les astronautes disent avoir installé un reflecteur sur la Lune.
Ensuite depuis la Terre, les scientifiques ont envoyé un faisceau laser vers ce réflecteur qui renvoie le faisceau exactement de la direction dont il vient, quelque soit sa direction. 
Le faisceau se réfléchissant sur l’appareil revenait vers la Terre après 2,5 secondes environ, où il était capté par plusieurs stations. 
Puisqu’on connait la vitesse de la lumière, en mesurant le temps du trajet aller retour du faisceau, cela permettait de calculer la distance exacte de la Terre à la Lune.
Cela leur permettait aussi prouver que les astronautes sont bien allés sur la Lune et y ont posé ce reflecteur.Encore un mensonge qui ne résiste pas à l’analyse. Placer un réflecteur sur la Lune est totalement inutile, puisque la surface de la Lune est suffisament réfléchissante.
* Le faisceau laser quitte La Terre qui tourne sur elle même à la vitesse de 400 m/sec. Il va donc se déplacer dans l’espace en suivant le mouvement de rotation de la Terre. 
* On ne pourrait pas viser directement le réflecteur posé sur la Lune, parce qu’il faut tenir compte du mouvement de la Terre et celui extrêmement complexe de la Lune. 
* La Lune tourne sur un plan incliné autour de la Terre à la vitesse de 1 km/sec.
* La Lune a un mouvement de rotation autour de son axe vertical. (nutation) 
* La Lune a un mouvement de balancier, libration.
Les mouvements de la Lune.laser reflecteur lune
Le faisceau laser subit une diffraction en traversant l’atmosphère terrestre.Mesurant quelques centimètres de diamètre, au départ de la station émettrice sur Terre, il arrivera sur la Lune avec un diamètre de 8 km, soit une surface de 50 km²! Cette diffraction varie selon l’atmosphère que le rayon traversera.
Imaginez quelle quantité de lumière recevra le réflecteur de un quart de mètre carré!
Le faisceau se reflète dans le réflecteur sur la Lune, puis l’infime partie reflétée revient vers la Terre, traverse l’atmosphère ou il subit à nouveau une importante diffraction.Il faut maintenant que des stations de réception arrivent à capter ce qu’il reste du faisceau. Non seulement celui ci n’aurait presque plus d’énergie en revenant sur Terre, mais surtout il serait noyé dans une quantité d’autres ondes électromagnétiques provenant de l’espace et beaucoup plus puissantes.
Les scientifiques prétendent envoyer une salve de faisceaux laser. 
Ils prétendent aussi avoir installés plusieurs filtres pour arriver à différencier le signal de retour du reste du bruit de l’univers. 
Ainsi ils nous font croire que puisque sur leur ordinateur il apparaît  être un signal provenant du réflecteur posé sur la Lune, c’est que les astronautes ont bien été sur la Lune pour l’installer.
Alors que la Lune réfléchirait très bien le faisceau laser, sans qu’il y ait besoin d’un reflecteur.

4 + Le voyage aller.

Si ce chapitre vous semble trop technique, passez directement au suivant.

Un avion qui veut se rendre d’un point à un autre doit être propulsé par un moteur à hélice ou un réacteur. Mais une fusée qui va soi disant vers la Lune, n’est pas propulsée!saturn 5

La fusée n’est propulsée qu’au décollage pendant 11 minutes pour la placer sur orbite. Deux heures plus tard, une nouvelle impulsion de 6 minutes pour envoyer la fusée vers la Lune. 
Ensuite, pendant les 75 heures que durent le voyage vers la Lune, la fusée n’est plus propulsée. Elle n’avance que grâce à l’impulsion donnée au départ. Exactement comme la balle d’un fusil n’est propulsée qu’au départ dans le fusil! 
Un tireur d’élite parvient à placer sa balle au centre d’une cible située à plusieurs centaines de mètres avec une balle pesant quelques grammes, la Nasa prétend avoir envoyé le Module de commande de 45 tonnes vers un point situé à 380 000 km, et après un voyage qui va durer 2 jours et demi!Voici la trajectoire du soi disant voyage vers la Lune:
1 + La fusée de 3000 tonnes décolle de la Terre et se place en orbite. Les réacteurs sont éteints.
2 + Les réacteurs sont rallumés, la fusée se dirige vers la position qu’aura la Lune 75 heures plus tard.
3 + Le vaisseau spatial se place en orbite autour de la Lune. 
4 + Le vaisseau spatial quitte l’orbite et se pose sur la Lune.
Il faut savoir que:
* Pendant tout le trajet vers la Lune, la fusée est attirée par la Terre, et plus la fusée s’éloigne, plus l’attraction de la Terre diminue et plus l’attraction de la Lune augmente. Jusqu’à ce que le vaisseau spatial soit capturé par la Lune.
Le vaisseau spatial est aussi soumis à l’attraction du soleil et dans une moindre mesure, des planètes Mars, Jupiter et Saturne.
* Depuis le départ de l’orbite terrestre, il faut arriver à déterminer exactement où le vaisseau spatial doit arriver sur l’orbite lunaire. Sachant que la Lune tourne autour de la Terre à la vitesse de 1 km/sec. 
Sachant que cette vitesse n’est pas régulière, puisque l’orbite de la Lune est elliptique. Cela signifie aussi que la distance Terre Lune change à chaque instant.
Sachant encore que la Lune tournant autour de la Terre sur une orbite inclinée, cela change à chaque instant la direction de l’attraction que subit le vaisseau spatial.
Au final, il aura parcouru près de 600 000 kms entre le moment où le vaisseau a quitté la Terre et le moment ou il se met en orbite autour de la Lune.
* Le vaisseau va trop vite lorsqu’il s’approche de la Lune, et il faut le ralentir.
* Chaque manoeuvre consomme du carburant, ce qui modifie la trajectoire du vaisseau spatial.Les astronautes ne dirigent pas la fusée. D’abord parce qu’il y a beaucoup trop de paramètres qui interviennent, et ensuite parce qu’on ne peut pas diriger une fusée comme un avion. 
Pour diriger un avion, il suffit d’agir sur les commandes et l’avion réagit. Mais dans l’espace, il n’y a pas d’air et des commandes de direction ne serviraient à rien. On ne peut qu’agir avec des moteurs fusées et en tenant compte de l’attraction de la Terre et de la Lune et du poids du vaisseau variant avec sa consommation de carburant.
De ce fait les calculs de trajectoires en mécanique spatiale sont extraordinairement complexes et ne peuvent être effectués que par des ordinateurs puissants et longtemps avant le voyage lui même. 
Seul l’alunissage aurait été réalisé par les astronautes.
ordinateur apollo
Ne comptez pas sur l’ordinateur de bord pour calculer la trajectoire: en 1969, celui ci avait à peine la puissance d’un smartphone d’aujourd’hui!
Cependant un ingénieur informatique a analysé le rapport expliquant le développement de l’ordinateur de bord des missions Apollo. Il a trouvé que ce rapport est truffé d’erreurs grossières, rendant impossible le fonctionnement de cet ordinateur. Lien vers cette analyse, assez technique.De plus, même les ordinateurs les plus puissants, ne peuvent pas connaître tous les paramètres avant le voyage, parce qu’avec des vitesses de plusieurs kilomètres par seconde et sur une telle distance, avec autant de paramètres qui interviennent, de très faibles variations amèneront des écarts considérables par la suite qu’il faudrait modifier en temps réel. 
Aujourd’hui il n’existe aucun avion de ligne entièrement dirigé par ordinateur. Mais il y a 50 ans, la Nasa aurait fabriqué une fusée dirigée par un programme informatique réalisé bien avant le voyage. et cette fusée aurait emmené des hommes sur la Lune, sur une distance de 600 000 km et à des vitesses de plusieurs kilomètres par seconde.La Nasa affirme qu’ils ont effectué une correction de trajectoire pendant le trajet. 
Puisqu’il n’y a pas de GPS dans l’espace il faut d’abord déterminer la position de la fusée … depuis la Terre. 
Les étoiles ne peuvent pas servir à guider la navigation parce qu’elles sont trop éloignées. Même l’écart de la Terre à la Lune est totalement indécelable avec les télescopes les plus puissants sur Terre. Les étoiles ne servent qu’à donner une orientation à un engin spatial.
radiotelescope goldstoneLa Nasa aurait utilisé le réseauDeep Space Horizonoù trois radiotéléscopes couplés ensemble vont rechercher la fusée dans l’espace.
Il faut plusieurs observations à plusieurs heures d’intervalle pour pouvoir déterminer la vitesse et la direction de celle-ci.
Sachant que la Terre tourne à la vitesse de 400m/sec pendant le temps des mesures, donc la distance entre les radiotelescopes et le vaisseau spatial va varier de plus de milliers de km. Sachant aussi que la Terre est inclinée sur son axe.
Bien sûr que les ordinateurs gèrent tout cela, mais cela fait à chaque fois plus de paramètres à gérer, donc plus d’opérations et donc plus de temps de calcul.
Puis il faut traiter ces informations. Et enfin il faut calculer comment modifier la trajectoire, sachant que les calculs de trajectoire en mécanique spatiale sont extrêmement longs complexes. 
Il faut aussi déterminer à quel moment il faudra démarrer un moteur fusée, lequel, pendant combien de temps. Sachant qu’en faisant fonctionner un moteur, cela consomme du carburant ce qui influence la trajectoire.
Une fois les calculs effectués, il faut enfin envoyer les ordres à la fusée.
Sans oublier que pendant tout le temps du calcul, la fusée se sera déplacée de plusieurs dizaines de milliers de km. 
Il faudrait aussi intégrer dans le calcul, le temps que mettront les ordinateurs à effectuer des calculs! Il faut plus de 6 mois pour déterminer la position d’une nouvelle comète. Combien de temps pour déterminer la position de la fusée? 
Ensuite il faudrait vérifier si la fusée a atteint la position désirée et à la vitesse souhaitée. Puis éventuellement recommencer toute l’opération si la position n’est pas bonne. 
Mais la Nasa affirme que qu’il n’y a eu besoin que d’une seule correction de trajectoire.
Il faut aussi savoir qu’une correction de trajectoire demande beaucoup de carburant: on ne déplace pas facilement une masse de 45 tonnes qui a une vitesse de 40 000 km/h … et lorsque l’on consomme du carburant, cela modifie la masse de la fusée, donc sa trajectoire.
Chaque manœuvre doit être faite à un endroit et à un moment très précis de la trajectoire.
* Si vous allez trop vite, vous arriverez trop tôt, vous raterez la Lune qui se sera déplacée entre temps et il faudra donc freiner, mais vous n’aurez pas assez de carburant pour tout le voyage. 
* Si vous allez trop lentement, vous arriverez trop tard et la Lune sera déjà passée, il faudrait accélérer mais là aussi il n’y aurait plus assez de carburant pour tout le voyage. La quantité de carburant a été déterminée pour une trajectoire parfaite. 
Si on est en retard de quelques minutes sur une manœuvre, il faudra recalculer tout le voyage, alors que cela demande des calculs longs et extrêmement complexes.Désarrimage du Module de commande 

astronaute t-shirt

Depuis le départ, les astronautes sont installés dans le Module de commande, qui est dans la partie terminale de la fusée. Ils devront rejoindre le Lem plus tard, ce qui est impossible pour l’instant à cause du réacteur. 
ILs vont donc faire effectuer un demi tour au Module de commande.

undocking apollo

Ce sont les astronautes qui font l’opération, alors qu’ils ne l’ont jamais effectué auparavant. Ils ont très peu de visibilité, puisque l’engin n’a que deux hublots minuscules et il pèse près de 30 tonnes, donc une énorme inertie. 
A partir de ce moment et pendant les 72 heures du voyage, les astronautes auront le dos tourné à la Lune. L’appareil n’est pas propulsé, il n’avance que grâce à l’injection de départ. 
Ce site explique pourquoi la vidéo de cette manoeuvre est fausse.ariane saturnC’est impossible d’envoyer une fusée à cause du poids du carburant Il faut assez de carburant pour emmener les 15 tonnes du Lem sur la Lune. Mais il faudra aussi du carburant pour se poser sur la Lune et pour en revenir.
Aujourd’hui on sait au mieux mettre en orbite des satellites de 6 tonnes et à une distance de 36 000 kilomètres de la Terre, avec les fusées Ariane. On enverrait une masse plus importante si on savait le faire, parce que cela coûterait beaucoup moins cher, vu le coût extraordinairement élevé d’un lancement.
Or on ne sait pas envoyer des masses plus importantes, et il n’existe aucune fusée capable d’envoyer 45 tonnes vers la lune. (Module de commande + Lem) 
Mais en 1969 la Nasa aurait envoyé le Lem qui pesait 45 tonnes et à une distance sur la Lune à 380 000 km. Ils avaient donc une technologie qu’on n’a pas aujourd’hui?

colonisation de la lune
Pourtant la Nasa envisage de coloniser la Lune d’ici 10 ans.S’il fallait une fusée de 3000 tonnes pour amener deux astronautes sur la Lune, il faudrait une fusée de quelle dimension pour envoyer plus d’hommes et plus de matériel?
Ou combien de fusées il faudrait pour envoyer plus d’hommes et plus de matériel. Sachant qu’une mission Apollo coûtait 130 000$/kg, cela reviendra cher! 
Colonisation de la Lune

5 + L’atterrissage sur la Lune avec le Lem.

Lorsque le vaisseau spatial arrive à proximité de la Lune, les astronautes ne dirigent absolument rien, tout se fait de façon automatique. Comment pourraient ils diriger? Ils n’ont aucune visibilité, non seulement parce qu’ils sont dans le cone du vaisseau spatial, mais en plus parce que les hublots sont minuscules.
Comment feraient ils pour connaître leur position par rapport à la Lune? Ils sont à 110 km d’altitude, impossible de voir les détails et la zone où ils doivent se poser. Tout est programmé dans l’ordinateur de bord.
Comment peuvent ils savoir à exactement quel moment ils doivent démarrer les rétrofusées pour ralentir?
LEM

Le LEM, Lunar Explorer Module, se détache du vaisseau spatial pour se poser sur le sol de la Lune avec deux astronautes à bord. 
Cette manoeuvre n’a jamais été réalisée avant. Le 8 mai 1968 Neil Armstrong, avait testé un appareil ressemblant au Lem. 
C’était une structure légère qui volait à faible vitesse et à basse altitude, mais comme on le voit sur la vidéo ci contre, l’appareil était incontrolable et s’est crashé, Armstrong s’est éjecté en parachute.Le 8 décembre 1968, le pilote Joe Algranti essaye une autre version du Lem … qui se crashe aussi. Et ils auraient réussi, 6 mois après, à poser sur la Lune un engin ayant une masse de 15 tonnes, descendant d’une altitude de 110 km, dans un environnement sans atmosphère, à une vitesse de 6000 km/h et avec une gravité 6 fois plus faible que sur Terre. 
La Nasa affirme qu’il y a eu plus de 200 tests du Lem en 1967/1968. Ce n’étaient pas des tests avec un engin en vol, c’était soit avec un appareil attaché à un portique (!), soit avec un simulateur de vol.
Comment croire que des pilotes expérimentés n’arrivant pas à contrôler l’engin de test dans l’environnement familier de la Terre, auraient réussis à contrôler un engin beaucoup plus lourd, plus rapide, dans l’environnement inconnu de la Lune.
Dans le film de l’atterrissage du Lem, on entend le pilote commenter ce qu’il fait. Les deux astronautes sont assis au dessus d’un réacteur délivrant 45 tonnes de poussée, l’équivalent de la poussée des réacteurs d’un avion de chasse Rafale.
atterrissage lem
Voici le son des réacteurs d’un Rafale et ces réacteurs sont situés loin à 10 mètres derrière le pilote. 
Dans le vide, le son ne se propage pas. On pourrait penser que c’est normal de ne pas entendre le bruit du moteur fusée à l’intérieur du Lem.
Mais les vibrations de ce moteur fusée devraient se transmettre à la structure métallique du Lem. On devrait entendre toute cette structure vibrer, un minimum. Or on entend absolument aucun bruit, alors que juste à côté du pilote, il y a un moteur fusée ayant la même poussée qu’un avion de chasse Rafale.
La voix de Armstrong qui sort du Lem et descend sur la Lune, est monotone. Le commentaire est d’une banalité affligeante: « je suis au pied de l’atterrisseur, l’empreinte au sol doit faire environ deux ou trois pouces… la surface du sol est poudreuse »
Pourtant devant ce spectacle extraordinaire qu’aucun humain n’a jamais vu, n’importe qui devrait être saisi d’une émotion intense. 
Bande tirée de cette vidéo à partir de 7’11.Une caméra installée sur le Lem filmait l’atterrissage. Elle aurait du être secouée par les très fortes vibrations engendrées par le moteur fusée. L’image devrait trembler, pourtant l’image est parfaitement stable. Même les avions qui se posent sur Terre, sont plus ou moins secoués à l’atterrissage. Pas le Lem?
Atterrissage Airbus A-380intérieur lem
L’interieur du Lem est irréel: il n’y aucune visibilité, alors qu’il faut le poser sur la Lune, depuis une altitude de 110 km, avec une vitesse de 6000 km/h.
cokpit avionComparez avec l’intérieur d’un jet, qui lui se pose depuis une altitude< de 10 km et qui fait son approche avec une vitesse de 300 km/h.
Comparez aussi la quantité de commandes, d’instruments, de témoins pour diriger l’avion à ceux utilisés dans le Lem.

lem apollo
Voici le Lem qui s’est posé sur la Lune!
Les panneaux verticaux à peine fixés.
L’engin recouvert de papier d’emballage, tenus ensemble avec du scotch tape.
Et lors de la descente sur la Lune, les petits réacteurs n’ont pas mis le feu au papier?
Franchement est ce sérieux? Est ce crédible?
Photo de la Nasa numéro: AS11-40-5922

 

6 + Retourner sur Terre est impossible.

décollage lem
Le Lem décolle de la Lune pour rejoindre le CSM (Module de commande) qui est en orbite autour de la Lune. 
Pour faire décoller une fusée depuis la Terre et l’envoyer en un point précis dans l’espace, il faut effectuer des calculs extrêmement longs et complexes. Cela ne se fait pas en dix minutes, et cela ne peut se faire qu’à partir de données très précises et connues.
Mais lorsque le Lem se pose sur la Lune, on n’a pas ces données, ou pas tout de suite.

* Le Lem ne s’est pas posé précisément à l’endroit défini au départ, puisque c’est l’astronaute Armstrong qui l’a fait alunir. Il faut donc, depuis la Terre, déterminer où est situé exactement le Lem pour déterminer sa trajectoire de remontée vers le Module de commande. 
On ne peut pas savoir si le Lem s’est posé parfaitement à l’horizontale. Or l’inclinaison au départ va modifier sa trajectoire. Et c’est impossible de connaître dans quel sens est cette inclinaison. 
* Le Lem doit rejoindre le Module de commande en orbite autour de la Lune. Mais on ne peut pas connaître la position exacte de cet appareil. Puisque lorsque le Lem s’est détaché de lui pour aller se poser sur la Lune, cela a nécessairement influencé et donc modifier son orbite. Il faudra là aussi déterminer sa position depuis la Terre.
Or le Lem n’est resté que 22 heures sur la Lune. Comment arriver pendant ces 22 heures, à déterminer la position du Lem, celle du Module de commande en orbite autour de la Lun, puis calculer la trajectoire à donner au Lem lorsqu’il va quitter la Lune pour rejoindre le Module de commande.
décollage lemdécollage lem

Les réservoirs de carburants ne sont pas centrés.Lorsque le Lem décolle pour rejoindre le Module de commande, cela crée un moment de force qui fait tourner le Lem. Comme le réacteur central est fixe, il faut compenser ce déséquilibre du centre de gravité par les petits réacteurs latéraux. 
C’est géré par ordinateur, mais on ne pouvait pas ajuster la poussée de ces réacteurs: ils fonctionnaient en « tout ou rien »: ils ne pouvaient qu’être allumés ou éteints.
A cause de ceci le Lem monte en se balançant, lui donnant un vol irrégulier. Très pratique pour aller rejoindre le Module de commande à quelques milliers de kilomètres de là!
retour apollo
Comme pour le voyage aller, le Module de commande n’est pas propulsé pendant le voyage de retour: ses moteurs fusées lui ont donné une impulsion de quelques minutes au départ de la Lune, juste de quoi s’arracher de son attraction.
Mais une fois que le Module de commmande a quitté l’attraction lunaire, il est alors attiré par la Terre, comme un caillou qui tomberait vers le sol, sa vitesse ne fait qu’augmenter et dans une direction perpandiculaire au sol.
* Si on ne modifie pas sa trajectoire, il arrivera à la verticale (1) dans l’atmosphère terrestre à plus de 11 km/sec et se consummera en quelques secondes, avant même d’avoir touché le sol, comme les météorites.
* Mais s’il arrive avec un angle trop proche de l’horizontale (2), il passera au travers de l’atmosphère et entrera dans une orbite elliptique autour de la Terre, qui durera des années. Aucune chance de survie pour les astronautes.retour apolloIl faut donc qu’il arrive avec un angle très précis et à un moment très précis.
La Nasa prétend donc avoir effectué une correction de trajectoire, quand la capsule de retour était à environ 200 000 km de la Terre.
Dans quelle direction ont ils effectué la correction de trajectoire? Vers le Nord? Le Sud? L’Est? L’Ouest? 
Et à quel moment ils l’ont fait? Sachant que la Terre tourne sur elle même à la vitesse de 400 mètres par seconde, si la manoeuvre a été fait quelques minutes en avance ou en retard, ou si la vitesse du module de retour varie à peine, l’engin se posera a des dizaines de kilomètres du point prévu. 
Pourtant après un voyage de 8 jours dans l’espace et avoir parcouru 1 200 000 km, la Capsule s’est posée juste à côté du bateau de récupération!retour apollo
La Nasa peut déterminer la position du Module de retour, mais elle ne peut pas déterminer son inclinaison. Comment la Nasa savait quelle orientation donner aux moteurs fusée pour faire ce changement de trajectoire?
Quel moteur fusée démarrer, puisqu’il y avait 4 groupes de 4 moteurs.
Quelle force faut il appliquer à un engin de 5 tonnes voyageant à 40 000 km/h?
Quelle quantité de carburant faudra t’il ?Pour atterir à un endroit précis, le pilote d’un avion doit effectuer de nombreuses corrections de trajectoire jusqu’à la piste d’atterrissage, alors que sa vitesse est d’environ 200 km/h. Approche avion
Et un engin spatial arrivant à la vitesse de 40 000 km/h n’aurait besoin que d’une seule correction de trajectoire, 45 heures avant se poser en un point précis sur Terre?
Ces corrections n’étant même pas effectuées par les astronautes, elles ont été detérminées par ordinateur sur Terre et les ordres envoyés aux appareils de la capsule de retour.
Est ce crédible?
retour apollo rebond
Selon la Nasa, la capsule a rebondi sur l’atmosphère, exactement comme une pierre fait un ricochet sur l’eau. 
Mais une pierre ne rebondit que parce que l’eau a une certaine densité. Or lorsque la capsule arrive à une altitude de 120 km, il n’y a pas d’air, il n’y a que quelques molécules d’air: le vide est presque total. 
Imaginez un lourd camion de 6 tonnes arrivant depuis l’espace avec une vitesse hypersonique de 40 000 km/h. Croyez vous vraiment qu’il va rebondir sur les hautes couches de l’atmosphère puis descendre doucement en planant pendant 15 minutes, avant de se poser dans l’Océan Pacifique. 
La Capsule de retour ne pourrait pas avoir d’ailes, celles ci seraient arrachées lors de la rentrée à vitesse hypersonique. 
Dans la réalité, sa vitesse accélèrera et soit elle se consummera dans l’atmosphère, soit elle s’écrasera en moins de 10 secondes sur Terre.
Mais la Capsule revenant de la Lune avec 3 astronautes à bord, a traversé sans aucun problème l’atmosphère terrestre à la vitesse de 40 000 km/h .retour apollo capsule
Pour freiner une voiture, on doit appuyer sur les freins, ou attendre que les forces de frottements l’arrêtent. 
Mais la Capsule de retour n’a pas de freins, pas de rétrofusée. Elle ne ralentit qu’avec le frottement avec l’air sur une distance de plusieurs milliers de kilomètres.
Or les forces de frottement libèrent de la chaleur et à une vitesse de 40 000 km/h, ces forces de frottement sont très élevées. La température devrait tellement augmenter que la Capsule se consummerait en quelques secondes. Comme les météorites arrivant depuis l’espace et qui se vaporisent en un instant, donnant les étoiles filantes qu’on voit la nuit. Pourtant ce sont des blocs de pierre, mélangées à du métal, très dense. Mais la capsule faite de minces parois d’aluminium aurait résisté à l’énorme chaleur! 
Personne ne sait comment se produisent les écoulement de l’air à ces vitesses aussi élevées, puisqu’il n’y aucun moyen de le tester: il n’existe aucune soufflerie sur Terre permettant d’effectuer des essais. 
Le seul moyen pour ralentir un objet tombant de l’espace vers la Terre, serait d’utiliser une rétro fusée qui s’opposerait à la gravité terrestre. Mais pour cela il faudrait mettre plus de carburants dans la fusée, ce qui augmenterait encore son poids. 
De toutes façons, cette Capsule de retour n’avait pas de rétrofusées.
La Nasa prétend avoir placé un bouclier thermique à la base du Module de commande. Fabriqué par la société Avco, il pesait un peu plus d’une tonne et mesurait au plus 2,5 cm d’épaisseur. Il était composé de couches de résines qui fondaient et se détachaient, évacuant avec elles la chaleur avant qu’elle ne franchisse les parois du vaisseau. Bien sûr sa composition est tenue secrète. 
retour apollo capsule
Le côté du bouclier exposé au frottement de l’air montait à plus de 2700°. Alors qu’à l’intérieur la température devait être d’environ 120° pour être supportée par les astronautes pendant environ les 15 minutes de la descente.
Croyez vous qu’un bouclier thermique de 3 cm d’épaisseur permettrait d’avoir une température de 2700 degrés d’un côté et 120° de l’autre. La capsule de retour est petite, ses cloisons ne sont pas épaisses et les astronautes n’étaient qu’à quelques dizaines de centimètres du bouclier thermique.
 capsule apollo
La capsule ayant une forme de cône ne pouvait pas être stable à une telle vitesse. Et encore moins dans des zones où la densité de l’air est très faible, elle se mettrait à osciller à tourner sur elle même, subirait des mouvements chaotiques tellement violents que cela tuerait les astronautes à l’intérieur.
D’autre part la Capsule en basculant d’un côté et de l’autre, ce ne sera plus le bouclier qui sera en avant, mais les parois de la Capsule en aluminium, qui ne sont pas protégées par un bouclier thermique. L’aluminum fond à 660 degrés et la température de rentrée étant de 2700°, voire beaucoup plus, comment pourraient elles résister?
En plus des forces de friction, il y a aussi des charges latérales qui mettent une forte pression sur le vaisseau et devraient l’écraser. Jamais ses fines parois ne pourraient y résister.
Tout objet en chute libre dans l’atmosphère passe en autoration. Les parachutistes connaissent ce danger: s’ils ne controlent pas leur chute libre, ils vont tomber en tournant dans tous les sens et s’ils ne reprennent pas le contrôle à temps, la rotation devient si brutale qu’ils finiront par perdre connaissance et ne pourront plus ouvrir leur parachute. Vidéo de l’autorotation d’un parachutiste
Chute de Felix Baumgardtner, depuis 39 km d’altitude. L’autorotation est visible à partir de 51 secondes.Selon la Nasa ces mouvements seraient contrôlés par un ordinateur couplé à un gyroscope pour garder la capsule dans une bonne position.
Mais ces mouvements sont trop brusques et imprévisibles. Jamais un ordinateur n’aurait le temps de traiter des informations transmises par des capteurs, puis envoyez des ordres au gyroscope pour rééquilibrer la capsule.
Il ne s’agit pas d’un parachutiste tombant à 50m/sec, mais d’un engin de 6 tonnes tombant à 11 000 m/sec.amerissage apollo
Pourtant la capsule de 6 tonnes ayant volé doucement, sans ailes, sur une distance de 3000 km, s’est posée non loin du bateau de récupération.
Si son angle de pénétration dans l’atmosphère avait varié de quelques dixièmes de degrés, ou si la capsule avait pénétré une minute plus tard, la Terre aurait tourné de quelques degrés la capsule se serait posée 300 km plus loin et il aurait fallu une dizaines d’heures au bateau pour aller la récupérer, alors qu’elle est tombée presque à côté.
Après un soi disant voyage de 8 jours et 1 200 000 km dans l’espace.
capsule apollo hublots
Pourquoi les astronautes n’ont ils pas filmé le retour dans l’atmosphère? Pourtant il y avait des hublots permettant voir à l’extérieur.
Ils auraient fait 1400 photos sur la Lune, des films et dans des conditions très difficiles, mais rien lors de leur rentrée dans sur Terre? Pourtant cela aurait donné des images spectaculaires.
Puisque la Nasa savait exactement où se poserait la Capsule, pourquoi n’y avait il pas des avions en haute altitude pour filmer cette entrée? Ou des hélicoptères? Là aussi cela aurait donné des images spectaculaires! Mais il n’y a rien.

7 + Pourquoi un tel mensonge?

Il y aurait plusieurs raisons:
Les américains étaient en guerre froide contre les Russes et certains militaires avaient l’intention de fabriquer des missiles balistiques intercontinentaux pour éventuellement attaquer l’Urss, depuis le sol américain.
Il fallait pour cela des fusées très puissantes. Mais comme la guerre du Viet Nam devenait très impopulaire aux Usa, jamais le Congrès américain n’aurait accepté de débloquer des budgets pour fabriquer de telles fusées. Ils ont donc inventé cette idée de voyage vers la Lune, beaucoup plus facile à vendre.
De plus, cela renforçait l’égo des américains blessés dans leur amour propre, parce qu’ils avaient perdu Cuba, parce que le Vietnam était une catastrophe, parce que les Russes avaient été les premiers à envoyer dans l’espace.Le coût des 6 missions vers la Lune s’est élevé à 25 milliards, soit 130 milliards de dollars actuels. Ce n’est pas une petite somme, dont une bonne partie va directement dans le compte en banque de certains.
Mais cet argent vient de vos impots.
Trouvez vous normal que les agences spatiales vous ponctionnent des dizaines de milliards pour un tel mensonge, qui ne sert à rien. Parce que à quoi auront servis ces missions vers la Lune? En quoi cela aidé l’humanité à mieux vivre? 
Ne pensez vous pas que ces 130 milliards auraient pu être beaucoup mieux utilisés?
Ne croyez pas que cela ne vous concerne pas parce que cela se passe aux Usa. Dans les prochaines parutions sur ce site, vous verrez que l’ESA, agence spatiale européenne, ponctionne VOS impots pour des missions mensonges, comme la mission Rosetta vers la comète Tchourioumov, ou la toute récente mission vers Mars.

8 + En conclusion

La science doit pouvoir prouver ce qu’elle affirme. Mais personne, absolument personne, ne peut prouver que ces voyages ont eu lieu. Les seules preuves qu’on a sont des photos, des films et le témoignage de 6 astronautes de la Nasa.
 * Le témoignage de 6 astronautes, militaires tenus au devoir de réserve, n’a aucune valeur scientifique.
 * A l’ère des logiciels ultra performants de retouche photo, les images ne sont en aucun cas une preuve scientifique.
* Le fait que plusieurs milliers de personnes aient travaillé pour ces missions vers la Lune, ne signifie pas que ces voyages ont eu lieu, mais que des milliers de personnes ont travaillé sur ces missions.
Chaque technicien travaille sur un secteur bien défini et ne se préoccupe pas du reste. Si par exemple un ingénieur travaille sur les moteurs fusée, il ne se préoccupe pas de savoir si la fusée ira bien vers la Lune. Et même s’il doutait, que pourrait il faire? Il préférera se taire et conserver son travail bien payé plutôt que de se faire licencier. 
Cependant, la majorité des personnes ayant travaillé de près ou de loin sur ces missions, sont convaincues que ces voyages vers la Lune ont eu lieu et refusent de voir la réalité: il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Certains envisagent que les voyages vers la Lune ont bien eu lieu, mais que la Nasa ne voulait pas publier les photos de ce que les astronautes ont vu sur place. La Nasa aurait donc fabriqué des images en studio.
D’une part on vient de voir que techniquement cela n’est pas possible. 
D’autre part, qu’est ce que les astronautes auraient vus sur la Lune qu’il ne fallait pas montrer? Des extraterrestres? Des monstres?La seule façon de prouver que ces voyages sur la Lune ont eu lieu, serait que l’on arrive à voir depuis la Terre, les appareils laissés sur la Lune.
Mais c’est totalement impossible, même avec les téléscopes les plus puissants, les objets les plus petits qu’on arrive à voir sur la Lune, font au minimum 20 mètres de diamètre.Si ces voyages sont un mensonge, pourquoi les Russes n’ont pas dévoilé la supercherie? Parce qu’eux aussi mentaient déjà avec l’histoire de Youri Gagarine en 1961 qui aurait été le premier humain dans l’espace. 
Ce n’est pas nouveau, depuis que l’humanité existe, certains mentent. Des enfants les plus jeunes, jusqu’aux responsables les plus hauts placés.
Voir aussi le mensonge des bombes atomiques.Toutes ces soi disantes missions vers la Lune ont été réalisées en studio, avec des logiciels de retouche d’images performants. Lorsqu’on le sait et qu’on regarde les images, la supercherie est flagrante.Les fusées ne peuvent emmener dans l’espace que des satellites. S’ils elles embarquaient un être vivant, jamais il ne reviendrait vivant sur Terre. 
Mais surtout, il n’y aucun intérêt à ce que des humains explorent l’espace. Mieux vaut utiliser des robots.
Les soi disant missions spatiales habitées prévues vers la planète Mars sont exactement le même mensonge que les missions vers la Lune.
Cela fera l’objet d’une prochaine parution.

 + Liens vers d’autres sites.

Il existe beaucoup de sites traitant de ce sujet. 

Heiwa: (en anglais) Site de Anders Bjorkman, très complet avec beaucoup d’explications techniques. 
Anders a lancé un challenge où il donne 1 000 000 d’euros à celui qui pourra prouver que les voyage sur la Lune ont eu lieu. Ce challenge existe depuis plusieurs années, personne n’a encore gagné.

Auteur inconnu! (français) Un ingénieur aéronautique fait une analyse très poussée et parfois très technique sur plusieurs aspects des missions Apollo.
Il montre aussi les incohérences et impossibilités sur de nombreuses photos..

Michel Palomino (français) Site très complet avec de nombreuses analyses.

Philipe Lheureux (français) L’auteur a écrit un livre « lumières sur la Lune ».

L’homme sur la Lune Article du site « Stop Mensonges »

Vidéo étonnante où Bart Sibrel demande à plusieurs astronautes de jurer sur la Bible qu’ils sont bien allés sur la Lune. Bien évidemment, aucun n’accepte de le faire. Buzz Aldrin lui décoche même un coup de poing.
Il n’y a que la vérité qui blesse! Si Aldrin était vraiment allé sur la Lune, pourquoi il répondrait de façon aussi agressive? 

Bill Kaysing qui travaillait sur les moteurs Saturn du programme Apollo, a été l’un des premiers à dénoncer la supercherie avant même les premiers soi disant vols vers la Lune.
Le livre « We Never Went to The Moon » est édité officiellement aux Etats-Unis seulement en 1987. Kaysing indique que les Etats-Unis n’avaient jamais eu la technique pour un voyage sur la lune en 1969. Qu’il n’y jamais eu de conquête spatiale. 

Il existe aussi une quantité de site anglais, sous le terme « Moon Hoax ». 

Sites expliquant le déroulement des missions.
Les missions lunaires.
Toutes les photos de Apollo 11, sur le site de la Nasa.
Déroulement d’une mission Apollo

J’espère que vous avez apprécié cet article. Faites passer le message que nous vivons dans le plus nocif paradigme imaginable…érigé sur un mensonge.

 


EN COMPLÉMENT
Les photos et documents qui prouvent  la supercherie

« Un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’Humanité. »
C’est par ces mots devenus historiques que l’astronaute américain Neil Armstrong commenta son arrivée sur la Lune le 21 juillet 1969. 
Sur cette carte Illuminati, il est inscrit : Les gens rient mais les platistes savent quelque chose. »
Oui, nous savons quelque chose mais sûrement pas tout encore…

Quelques questions nous interpellent : 
L’absence d’étoiles sur les photos, étrange ? 
Il n’y a pas de cratère sous le module du L.E.M. durant l’alunissage ? 
Pourquoi le drapeau américain flotte-t-il, pourtant il n’y a pas d’air ? 
Pourquoi les ombres ont plusieurs directions ? 
Et au sujet des radiations ?

La Nasa ainsi que Kodak, la société qui a remporté le marché concernant la fourniture des pellicules argentiques qui ont été soit disant utilisées pour documenter cet évènement, déclarent tous deux la même chose :

  1. – aucune source extérieure de lumière artificielle ni aucun flash n’a été apporté sur la lune.
  2. – l’appareil photo avait un réticule de visé inamovible montrant une croix au centre de chaque photo.

Comment ont elles survécu au chaud et au froid extrêmes ? Mystère ! 
La lumière naturelle (émise par le soleil) envois toujours les ombres dans la même direction (parallèles entres elles).Hors dans les photos de la N.A.S.A., les ombres sont soit de tailles différentes soit partent dans des directions différentes, cela ne peut avoir qu’une seule et unique explication scientifique : l’utilisation de lumière artificielle (spot) ou de plusieurs sources de lumières.

Encore plus flagrant, sur certains clichés, la croix du viseur de l’appareil photo, passe derrière l’image au premier plan. 
Sans parler des décors de montagnes en arrière plans qui se retrouvent être les mêmes dans des prises de vues censées être totalement différentes… 
Parlons maintenant de l’apesanteur. 

Sur la lune, l’apesanteur est 6 fois moins grande que sur terre. 
Ce qui veut dire qu’un astronaute de 80 kg avec 40 kg d’équipement soit 120 kg aurait un poids de 20 kg sur la lune. 
Selon les calculs de scientifiques, un homme sur la lune qui fait un bond vertical peut atteindre sans aucune difficulté les 2 mètres de haut (même avec un scaphandre). 
Hors sur les films de la N.A.S.A., le plus grand bond réalisé est de 30 centimètres, soit à peine le double de ce qu’ils auraient pu faire sur terre ! 

L’idée de faire croire que l’Homme pouvait marcher sur la surface de la lune a envoyé les esprits critiques de l’époque sur cette réalité soit disant indéniable, que plus grand monde n’était en mesure de contredire, et a presque donc anéanti toutes les autres théories concernant la forme de notre monde et des astres qui nous entourent… ou plutôt qui se trouvent au-dessus de nos têtes ! 
La théorie de la Terre plane, qui n’est en plus une, est ressortie ces dernières années grâce à Internet qui permet le partage facile entre les individus décortiquant les versions officielles, grâce aux appareils photographiques performants et abordables disponibles par tous, grâce à notre propre matériel informatique qui nous permet de vérifier plus de choses comme l’authenticité des photos qui nous proposent. 
Il y a 50 ou 60 ans pour ne pas dire plus, les humains devaient se contenter des versions officielles, de ce qu’annonçaient les journaux ou la télévision. 
L’envers du décor était camouflé, il était très difficile de trouver des éléments contradictoires.ous avez compris que nous n’avons jamais posé les pieds sur la lune, que vous savez déjà que les missions lunaires sont des enregistrements dans des studios. Vous avez déjà de nombreux sites, vidéos YouTube qui se sont penchés sur cette question et qui vous apportent les preuves que ces missions lunaires ne sont qu’une vaste tromperie. 
En effet, ceux qui pensent encore que 12 hommes ont foulé le sol lunaire avec neuf allers retours dont 6 qui se sont posé dessus, n’ont aucune chance d’accrocher le modèle géocentrique, ce qui est tout à fait logique. Ce chercheur de vérité réalise donc ses conclusions avec une sphère déjà implantée en lui. 

Analysons ensuite, la photo ci-dessus d’Apollo 15 : AS15-85-11435, une tentative de camouflage de deux traces différentes du soi-disant véhicule lunaire. 
La Jeep Willys ne peut rouler sur la lune, car son carburateur a besoin d’air pour fonctionner et sur la lune, l’air y est absent ! 
Que peut-on alors dire sur cette nouvelle affaire, de 2 traces différentes de jeeps, avec celle du rover lunaire et de la jeep Willys qui n’est, elle, jamais montée sur la Lune ? 
Il y a aussi les 2 traces qui diffèrent dans la photo d’Apollo 15 n° AS15-87-11818. 

Ce que les adeptes du globe débunkent dans leurs vidéos ne sont que des erreurs des platistes peu informés ou des fausses preuves, faciles à réaliser, ou de la géométrie qui peut être appliquées aux 2 modèles ; créées de toutes pièces car ils veulent discréditer notre mouvement qui prend de l’ampleur chaque année. 
Une fois que celles-ci se retrouvent largement diffusées sur les réseaux sociaux, elles deviennent vérité pour certains chercheurs de vérité peu regardants ou qui se sont donnés la liste de ces pseudos preuves issues de l’opposition contrôlée…

Certains accordent crédit à l’I.S.S. et à ses marionnettes, l’envoi des pseudos satellites par les fusées mais réfutent les missions Apollo – Où est leur logique ? 
Nous avons tous vu des dizaines de photographies de la Terre depuis (selon eux) l’espace, malheureusement, on peut prouver que ces photographies officielles sont fausses. 
Je vais vous demander de regarder attentivement les erreurs des photos officielles de notre Terre exposées ici, vous allez vous rendre compte qu’il y a plein de problèmes. 
Les photos de la Terre les plus connues datent de 1972 et ont évolué à la mesure de l’évolution des technologies graphiques. 
Ce sont celles-ci qui sont dans nos manuels scolaires, ce sont les photos qui ont été prises, soit disant, par les missions Apollo. Si vous prenez ces photos sur le site de la N.A.S.A. et que vous les uploadez sur votre logiciel de retouche photo comme Photoshop ou Lightroom, vous allez voir que, la plupart du temps, la Terre est détourée et mise sur un fond noir. 
En augmentant la luminosité, en baissant le contraste, vous allez vous rendre compte du montage absolu de ces images. 
Cela va tellement loin qu’il existe des photos de la Terre dites officielles comme la Blue Marble qui contiennent des nuages copiés collés grossièrement. Les formes des nuages sont dupliquées, doublés. Nous voyons vraiment qu’il s’agit de montages. Roch Sauquere disait : « Il y a clairement quelque chose qu’ils ne veulent pas nous montrer, il y a vraiment quelque chose qu’on nous cache sur la structure de la Terre et dire à quoi représente la terre aujourd’hui me semble impossible. » 
La rareté les photos de la Terre est très suspecte alors qu’elles devraient être ce qu’il y a de plus fréquent vu le nombre de soi-disant satellites présents dans le ciel.

 

 

 

 

 

Dans un entretien avec l’Express, David Meade explique que la fusée utilisée pendant la mission Apollo 11 n’aurait pas pu protéger Neil Armstrong et Buzz Aldrin des zones de rayonnement dans l’espace appelé ‘ceinture de radiation de Van Allen’. 
Il affirme que sans protection nucléaire, aucune forme de vie biologique, dont l’être humain, n’aurait pu traverser la ceinture en question. 
Il faudrait au moins six pieds de plomb pour se protéger du rayonnement. 
Pourtant à l’époque, Apollo n’était pas équipé d’un tel blindage, il s’agit d’une preuve irréfutable des mensonges de la N.A.S.A. 
Les images de l’homme sur la lune auraient été réalisées dans la Zone 51, une base militaire secrète installée dans le désert du Nevada, avec des effets spéciaux d’Hollywood, comme ceux du film 2001, L’Odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick, d’ailleurs soupçonné d’avoir collaboré avec la NASA. 

En 1974, deux ans après la fin du programme lunaire américain, Bill Kaysing publie Nous ne sommes jamais allés sur la Lune, l’escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. Il y relève de nombreuses incohérences sur les images de la N.A.S.A., comme l’absence d’étoiles dans le ciel, le drapeau américain qui flotte dans le vent alors que la Lune n’a pas d’atmosphère, des engins spatiaux qui se posent sans former de cratères sur le sol… 
Une somme d’observations simples qui le conduisent à prétendre que ces images ont été tournées sur Terre… 
En outre, de nombreuses vidéos présumées de la rotation de la Terre en time-lapse ont échoué à montrer les mouvements des nuages tandis que la Terre tourne, ce qui est clairement impossible. 
Toutefois, les techniques de C.G.I. s’améliorant, des mouvements nuageux ont récemment été inclus par un satellite japonais présumé mais la vidéo semble encore contenir des erreurs manifestes. Ils veulent que l’on continue d’argumenter en leur nom, à se battre pour eux… 
Ils ne veulent pas que vous puissiez vous autoriser à penser que quelqu’un ait pu vous mentir. 
Si la N.A.S.A. et les autres agences spatiales ne nous ont pas dit toute la vérité depuis les années 60, alors pourquoi devrions-nous les croire maintenant ? 
Un mensonge en entraîne inévitablement d’autres toujours plus gros, surtout lorsque les premiers sont passés comme des lettres à La Poste ! 
La principale raison des missions sur la lune était donc de fausser l’image de ce globe inexistant. 
Ils ne veulent vraiment pas nous montrer à quoi notre monde a l’air vu d’une hauteur assez suffisante pour avoir une vue panoramique. En d’autres termes, nous avons été délibérément trompés. 
Je pensais qu’il y avait des centaines de photographies légitimes de la Terre mais il s’avère qu’il n’y en a pas et celles qualifiées ‘d’officielles’ comportent des erreurs manifestes. 
Nous avons des motifs répétitifs de nuages, des changements dans la taille des continents qui pourraient néanmoins s’expliquer, des nuages qui couvrent tout le diamètre de la Terre, des montages Photoshop évidents!


MISE À JOUR COMPLÉMENTAIRE du 21 juillet 2019

     Tout cela vous laisse encore peu convaincu, alors avez vous déjà trouvé la réponse à la grave interrogation que nous pose par exemple, et il y en a beaucoup d’autres, la photo AS17-137-20979 d’Apollo 17 ? :

Alors que l’on apperçoit clairement les traces de pas de l’astronaute sur le sol lunaire meuble, , la roue arrière droite de la jeep lunaire (dont le garde-boue, nous dit-on, a été bricolé très grossièrement au cours d’une sortie lunaire bien déterminée), n’a laissé aucune trace ni en avant, ni en arrière prouvant un déplacement quelconque de cette jeep. Autrement dit la jeep lunaire est arrivée , sans rouler sur le sol lunaire, après pourtant avoir fait, de grandes ballades ailleurs. Comme il n’existait pas de grue pour poser, à un moment quelconque, en douceur, cette jeep sur le sol, à cet endroit, soit tout ceci s’est passé « sur Terre » avec une vraie grue (et dans la précipitation de l’action, les opérateurs ont oublié les traces des roues), ou soit, et c’est encore bien plus grave, il s’agit d’une vulgaire manipulation photographique, de diverses prises de vues bien terrestres, et réalisées plus tôt. Donc ici, la tromperie est très claire , et si vous avez une autre explication, nous serions très heureux de la présenter ici. 


50 longues années de mensonges et de fourberies!

 

 

 

QUI EST DERRIERE TOUT CELA ?

De très nombreux sites maintenant, démontrent clairement cette imposture, mais on découvre que les spécialistes soviétiques de l’Espace, eux qui, ont dû découvrir ces falsifications dès Juillet 1969, lors du prétendu débarquement sur la lune, n’ont pourtant, absolument rien dit ! 
C’est donc, qu’ils étaient parfaitement complices de cette mascarade, et le concept de Guerre froide à l’époque, n’est qu’une autre supercherie mis au point par les soviétiques et les américains, pour duper l’humanité, et poursuivre en douce leur collaboration occulte avec les élites Illuminati. 

De plus, les soviétiques n’auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison de pouvoir supérieur, à tout ce qui est économiquement et socialement et surtout militairement valable. S’ils ont gardé le silence, c’est parce qu’ils ont appris l’existence effective d’une organisation occulte puissante, plus puissante que les américains et les soviétiques eux-mêmes et donc que ces deux derniers pays, n’avaient plus aucune raison de se faire la guerre…

 

Voyons, aussi comment le Paris Match N°1028, nous présente l’étape du retour d’Apollo 8 vers la Terre :

La Une de Paris Match No 1028

« A 89 heures 19 minutes 30 secondes, les fusées qui doivent permettre à Apollo 8 de regagner la Terre sont allumées… Cap Kennedy peut annoncer que l’opération arrachement à l’attraction lunaire a réussi… 97 heures 20. La vitesse a encore augmenté pour dépasser maintenant 44 000 km/h… Apollo 8 est à 59 517 milles de la Terre et s’en rapproche à la vitesse de 8 029 pieds à la seconde. »
On note que le vaisseau Apollo 8 est passé de la vitesse de 44 000 km/h (12,22 km/s), à celle de 8029 pieds/s (2,447 Km/s ) – 
Une sacrée décélération, n’est-ce pas ! 

Avec des ordinateurs très primitifs de l’époque, comment fut-elle réalisée ? 
A cette question, le silence total… 
ARTivision, met en évidence une fois de plus, le fait, que ni Jonh Young d’Apollo 10, ni Michael Collins d’Apollo 11, ni Richard Cordon d’Apollo 12 ni Stuart Rossa d’Apollo 14, ni Alfred Worden d’Apolo 15, ni Thomas Mattingly d’Apollo 16, ni Ronald Evans d’Apollo 17 n’ont jamais pensé à photographier la Terre par les sas d’entrée. 
Maintenant, il nous vient à l’idée, que la N.A.S.A., nous a jamais montré, pour aucune des missions Apollo, ce qui serait somme toute, tout à fait normal et bien chargé d’émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de la lune, avec leur conjoint(e), qui leur fut privé. 
Or ce dernier avait assurément, à sa disposition à l’intérieur de la cabine, une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui… Pas de photos, ni de vidéos, étrange ! 

Et quelle joie ce serait en effet, pour eux, de filmer le passage, par le sas d’entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer également ces photos d’intense émotion, au monde entier ? 
Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le L.E.M. a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave, et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l’époque mal connu.

 

 

Sur plusieurs photos, on voit le L.E.M., avec des montagnes dans le paysage, or, sur d’autres images ou le L.E.M. n’apparait pas, le paysage est identique. Jan Lundbert a conçu les appareils Hasselblad, que les astronautes utilisaient pour prendre des photos sur la lune. D’après lui, ces appareils posaient un problème de visée, car l’encombrant casque ne permettait pas de viser correctement.
Des lors, comment les milliers de photos, parfaitement cadrées ont-elles pu été prises ?

Dernier point, la fameuse empreinte de chaussure : les rainures de semelle sont parfaitement distinctes, comme s’il y avait eu de l’eau et une pression atmosphérique pour maintenir la cohésion des grains. Logiquement, un sol lunaire, fait de poussières aussi fines que la farine, ne pourrait pas laisser une empreinte si nette.

Pour aller sur la lune, les astronautes doivent traverser (selon eux) la ceinture de Van Allen, une zone à la sortie de l’atmosphère terrestre contenant une grande densité de particules énergétiques qui, en gros, auraient dû les brûler.
Il n’y a aucune flamme ni fumée lorsque le module décolle de la lune, enfin si on veut, elle décolle en ligne droite comme hélitreuillé !?

Dans le premier extrait, l’ingénieur de la N.A.S.A. Kelly Smith nous indique qu’ils n’ont pas encore réussi à faire voyager des hommes au-delà de la ceinture de Van Allen.
En effet, il indique que la mission Orion doit d’abord répondre à certains défis liés aux fortes radiations au sein de cette partie de l’espace avant de pouvoir y envoyer des astronautes.
Comment ont-ils pu aller sur la Lune en 1969 sans répondre à ces problèmes ?
Terry Virts et Samantha Cristoforetti sont interviewés depuis l’ISS ; ce que dit Virts est sans équivoque.
Il indique que la capsule VLS permettrait d’envoyer des humains dans l’espace hors de l’orbite terrestre car pour le moment : « on ne peut voler que dans l’orbite terrestre, c’est le plus loin qu’on puisse atteindre. »

Trois astronautes sont censés être interviewés depuis l’ISS sauf que Chris Cassidy fait une petite boulette répondant à une question. 
Il évoque son adolescence ou : « il faisait beaucoup de sport dans la ville de York Maine à l’autre bout des État-Unis d’où nous vous parlons actuellement. » Et là…un gros blanc. Cassidy se rend compte de son erreur et ne la corrige pas bien évidemment, le malaise est palpable...
les missions Apollo

  1. En 1969, comment la communication entre la Terre et la fusée a pu se faire à la vitesse de la lumière ?
  2. Comment la communication a-t-elle pu être établie ?
  3. Comment une fusée a-t-elle pu alunir sur une soi-disant planète qui se déplace à 1 023 mètres par seconde ?
  4. Pourquoi n’y a-t-il ni poussière sur les pieds du LEM, ni cratère en dessous du LEM ?
  5. Comment expliquer que le drapeau américain ait flotté au vent ?
  6. Comment le décollage de la lune a-t-il pu être filmé depuis la surface de la lune avec un objectif qui a suivi l’envol du LEM ?

Les principales composantes de la fusée Apollo 11 étaient les suivantes: alliage d’aluminium (point de fusion à 463 C°), acier inoxydable (1510 C°), acier nickelé (1453 C°) et verre thermorésistant (760 °C). 
Les deux dernières couches atmosphériques ayant une très forte radiation et des températures pouvant aller jusqu’à 2000 C°, comment peut-on expliquer que la fusée Apollo 11 ne se soit pas désintégrée en traversant la thermosphère ? 
Comment la fusée a-t-elle réalisé l’exploit de ne pas être endommagée suite aux nombreux changements climatiques et aux températures lunaires qui oscillent entre 125°C et -175°C? 
Enfin, comment les acteurs de la NASA ont-ils fait pour ne pas être irradiés avec les combinaisons de l’époque? 


EN COMPLÉMENT DE LA MISE à JOUR DE 2019

L’ORDINATEUR PRÉHISTORIQUE D’APOLLO XI
Apollo 11 de la NASA ordinateur de bord était vraiment aussi primitif comme on dit

C’EST L’UN DES PLUS GRANDS ARTÉFACTS  LIÉS AU DÉBARQUEMENT DE LA LUNE C’est à ce moment de la conversation où l’on se rend compte que l’ordinateur du navire était moins puissant qu’un téléphone portable.

Mais qu’est-ce que cela signifie exactement? Comment était l’ordinateur qui nous a emmenés sur la lune?

La première chose à dire est que, oui, les faits sont véridiques, l’ Apollo Guidance Computer (AGC) était en effet moins puissant qu’un mobile. En fait, il a à peu près la même puissance de calcul qu’un Apple II , qui serait mis en vente en 1977 pour 1298 $, ne disposant que de 4 Ko de RAM…Et c’est ce supposé ordinateur qui aurait permit au véhicule spatial d’aller sur la lune..!!!?

C’est beaucoup moins qu’un téléphone mobile. 

Mais pensons un peu à cela. Les progrès d’Apollo nous ont permis d’acheter un ordinateur personnel, aussi puissant que celui de la NASA. à peine huit ans après le débarquement supposé de la lune. C’est assez cool, et un rappel des effets secondaires positifs de la course à l’espace…Sans blague comme dirait  un nerd de l’époque! 

ACG a été le premier ordinateur à utiliser des circuits intégrés, qui sont devenus la norme pour l’informatique moderne.

Malgré cela, l’AGC a effectué l’essentiel du levage, les commandes de dérogation manuelles n’étant prévues que pour l’atterrissage lunaire. C’était une avancée majeure de Gemini et Mercury, dont la plupart ont dû être pilotés manuellement. 

Les astronautes pourraient programmer l’ordinateur avec l’interface, connue sous le nom de DSKY (disons-la ‘Disky’). Il n’y avait que des clés numérotées, avec une légende utile imprimée sur le côté de la cabine pour rappeler aux trois astronautes intrépides comment donner des ordres. La disposition de style de calculatrice deviendra plus tard la norme pour les calculatrices domestiques.

Trois interfaces DSKY ont été reliées à Apollo XI – deux dans le module de commande, une autre dans l’atterrisseur lunaire.

Le processeur ne fonctionnait pas à 2,048 Mhz (à comparer aux 2 GHz de votre téléphone), et la mémoire RAM de 15 bits (avec 1 bit de parité) utilisait une combinaison de noyau magnétique pouvant contenir 2048 mots et de corde ( ROM) qui en détient 36,384.

Deux ordinateurs supplémentaires ont également été utilisés: le LVDC pour programmer le rappel Saturn V et le système AGS, qui déclencherait le vol si l’atterrissage / décollage lunaire devait être interrompu. Si l’AGS entrait en jeu, les astronautes savaient que leur mission avait changé: ils n’étaient plus sur la Lune mais à la maison.

Si tout cela vous a fait penser, « si c’est aussi simple que ça, pourquoi ne sommes-nous pas encore rentrés », optez pour votre vie – le code source de l’ACG est disponible dans son intégralité sur Github .


AUTRE COMPLÉMENT
L’AFFAIRE DES FAUSSES PIERRES LUNAIRES
Tout commence par l’incapacité connue ,par les autorités de la NASA ,à pouvoir se rendre sur la lune et par la découverte,juste avant  le « pseudo départ » de la mission Apollo XI,de la composition des roches lunaires par les missions Surveyor…dont Surveyor 3,en particulier
Détails des fonctions de Surveyor 3 qui permit d’analyser la composition des pierres lunaires.
, et ceci est accompagné du texte suivant:

Il ne fut pas donc difficile, étant données des études poussées réalisées, de vite repérer sur Terre, les zones qui présentaient des analogies avec les roches lunaires dépistées.

Puis, il se pourrait que ces Messieurs de la NASA, aient utilisé cette astuce du minerai trouvé sur Terre, pour nous faire croire qu’ils l’avaient ramené de la Lune. Mais il y a eu aussi de ratés, puisque l’on se souvient de cela qui n’a pas fait grand bruit à l’époque, car les principaux journaux télévisés, sont restés lamentablement bouche cousue, à ce sujet :

Et en français c’est mieux sur le site :

Mais comme tout cela peut disparaître, du jour au lendemain, voici de quoi il s’agit vraiment :

*Devant la masse de documents que nous avons à traiter,il y aura de nouvelles mises à jour sur cet article,de façon continue!Mettez donc  le lien dans vos favoris!
Merci de me partager dans vos réseaux sociaux,nous continuons d’avoir du succès malgré la censure !
Michel Duchaine ,Défenseur de la Terre

Lers armes du Nouvel Ordre Mondial:Une nouvelle vidéo montre un robot ressemblant à un être humain faisant un backflip

Le nouveau développement du robot militaire Atlas.

 

 

Une nouvelle vidéo montre un robot exécutant des prouesses acrobatiques étonnantes, des backflips aux sauts de demi-tour.

Le robot bizarrement humanoïde, appelé Atlas, mesurait 4,9 pieds (1,5 mètre) de haut et pèse 165 livres (75 kilogrammes), et utilise le lidar et la stéréovision pour naviguer dans son environnement, selon Boston Dynamics, qui fabrique le robot. Atlas est conçu pour pouvoir faire face à des situations d’urgence où la vie humaine serait normalement menacée, comme entrer dans des bâtiments qui se sont effondrés après un tremblement de terre, ou traiter des patients qui ont des maladies mortelles hautement contagieuses,  selon la Défense avancée. Agence de projets de recherche (DARPA ).

Dans la vidéo, la nouvelle version de l’humanoïde fait une sorte de saut deformation appelé plyométrie , sautant entre des plates-formes surélevées, faisant un virage à 180 degrés dans les airs sur des plateformes surélevées et effectuant un backflip sur une plateforme. Bien qu’il ne puisse pas donner une course pour son argent à la gymnaste américaine Simone Biles en ce moment, le robot parvient à tenir l’atterrissage. [ Rêves mécaniques: 22 androïdes humains de la science-fiction

 

D’autres vidéos montrent le robot empilant des boîtes sur une étagère, marchant sur une promenade dans la neige avec un «ami» humain et poursuivant et ramassant une boîte qui a délibérément été déplacée hors de sa portée. Selon le site Web de Boston Dynamics, Atlas peut transporter des charges utiles allant jusqu’à 24 lb. (11 kg).

Atlas a d’autres capacités semblables à celles de l’humain, comme un sens de l’équilibre, de sorte qu’il résiste à la chute lorsqu’il est poussé, et peut se relever après une poussée féroce.

La version actuelle d’Atlas n’est pas encore aussi agile que l’humain moyen; quand il marche, il utilise une démarche maladroite ressemblant à une personne qui doit vraiment, vraiment, se rendre à une salle de bain.Et bien qu’il puisse voyager sur un terrain accidenté, la vidéo semble montrer qu’il trébuche là où un humain pourrait bien aller.   

Pourtant, la version actuelle d’Atlas est une amélioration spectaculaire par rapport à ses ancêtres: en 2013, quand il a fait ses débuts au DARPA Robotics Challenge, Atlas pesait 330 livres. (150 kg) et nécessitait un cordon d’alimentation, a rapporté Technology Review à l’époque .

Le but ultime de ce type de robot est de remplacer les humains sur les champs de bataille du futur et aussi dans les fusées d’exploration spatiale.

 

 

 

 

 

Dernière heure:Le vaisseau spatial d’espionnage militaire X-37 B vient d’être lancé ce matin

Le programme  spatial secret X-37B de l’ Armée de l’Air  avait  prévu de lancer aujourd’hui sa 5ème mission classée: la seule question  restante étant de savoir  exactement quand….Voilà,c’est fait!

 

X-37b launch

Ce vol marque le deuxième lancement militaire de SpaceX; En mai, une fusée Falcon a transporté un satellite d’espionnage classé en orbite pour le ministère de la Défense.

La 45e aile spatiale de la Force aérienne a publié un avis de fermeture de l’espace aérien dans une fenêtre légèrement plus de 5 heures pour le lancement.

Bien sûr, ce lancement dépend du temps. Selon SpaceNews , la météo est de 50 pour cent pour un lancement de demain, mais va de plus en plus pire au cours des jours suivants alors que l’ouragan Irma s’approche de la région. Si SpaceX est incapable de lancer le X-37B aujourd’hui, il a un jour de lancement de sauvegarde du 8 septembre.

Bien que Irma soit à 950 milles au sud-est du port spatial et n’affectera pas le lancement d’un lancement du jeudi, un glissement de l’horaire au vendredi pourrait signifier des vents jusqu’à 20 km / h à la fin de la fenêtre de lancement, Emre Kelly a signalé pour Florida Today .

Le plan spatial X-37B,   également appelé véhicule d’essai orbital (OTV), est l’un des deux véhicules réutilisables connus dans la flotte militaire.

« La cinquième mission de l’OTV continue de faire progresser la performance et la flexibilité du X-37B en tant que démonstrateur de technologie spatiale et plate-forme hôte pour les charges utiles expérimentales », ont déclaré desresponsables de la Force aérienne dans un communiqué . « Cette mission porte de petites actions de transport par satellite et démontrera de plus grandes possibilités d’accès rapide à l’espace et de tests en orbite des technologies spatiales émergentes ».

Ils ont ajouté que la mission accueillera une charge utile pour tester l’électronique expérimentale et les technologies de caloducs oscillantes pour une utilisation dans des missions de longue durée. Il sera également lancé et débarqué d’une orbite d’inclinaison plus élevée que dans les missions précédentes.

X-37 b landing

Divers préparatifs photographiés depuis 3 jours par des journalistes d’enquêtes!

Le mini shuttle robotique n’est pas étranger à l’incertitude civile; la dernière mission X-37B a finalement atterri le 7 mai après 718 jours dans l’espace, sans avertissement préalable. Chacune des quatre missions OTV, à partir de 2010, est restée dans l’espace plus longtemps que la précédente.

Il y a donc quelques points d’interrogation avec cette mission: non seulement le temps de lancement précis et les détails de la mission sont nébuleux, mais la date d’atterrissage est également incertaine – même si il est prudent de deviner qu’il ne se fera  pas plus rapidement.

On peut supposer que la situation politique mondiale y est pour quelque chose!…Sans parler de l’ouragan Irma!

 

 

 

 

 

 

Astronautique : En hommage aux deux sondes Voyager I et II …1977-2017

Les sondes jumelles Voyager de la NASA ont été lancées à la fin des années 1970 pour explorer les planètes extérieures dans notre système solaire. Les deux engins spatiaux, appelés Voyager 1 et Voyager 2, sortent de notre quartier cosmique, frappant à la porte de l’espace interstellaire.

Voyager 2 a lancé le 20 août 1977 et Voyager 1 a lancé environ deux semaines plus tard, le 5 septembre. Depuis lors, le vaisseau spatial a parcouru différentes voies de vol et à différentes vitesses.

Le mardi 5 septembre marque 40 ans depuis le lancement des sondes Voyager et le début de l’un des programmes les plus ambitieux de la NASA à ce jour, et le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de l’agence veut partager cette étape extraordinaire avec le public en offrant deux merveilleuses ressources en ligne.

Les vaisseaux spatiaux Voyager 1 et 2 ont été lancé en  deux semaines , le 20 août et le 5 septembre 1977, dans une mission d’étude des planètes et, éventuellement, du bord du système solaire. Le Voyager 2 a été lancé en premier, bien que le Voyager 1, plus rapide, soit maintenant plus éloigné de la Terre que sa soeur .Voyager 1 a atteint l’espace interstellaire en 2013 . Voyager 2 parcourt actuellement la bulle interne du matériau solaire qui marque la limite entre le système solaire et l’espace interstellaire.

Vous pouvez apporter la mission Voyager dans votre maison en téléchargeant et en imprimant les affiches Voyager gratuites de la NASA. Les affiches font partie d’une série créée par une équipe de stratèges visuels de JPL, connue sous le nom de  » The Studio « . L’une des affiches du Voyager est une image d’un ciel nocturne étoilé et une autre annonce la mission en utilisant le style de design flamboyant des années 1970, la décennie où les sondes ont été lancées. Une troisième affiche honore la «grande tournée» des sondes , sur le  seuil de la frontière  du système solaire.

Voici le premier poster commémoratif du JPL sur Yoyager!

 

De plus, les membres du public peuvent faire un regard intérieur sur la mission Voyager de certains scientifiques, ingénieurs et autres contributeurs de la mission sur ses plus de 40 ans d’histoire. Les responsables de JPL ont demandé aux membres de l’équipe Voyager d’écrire sur leur «moment Voyager le plus mémorable», et les ont affichés sur le site JPL . Les histoires comprennent les réflexions de personnes qui étaient là quand la mission a commencé et les personnes qui se sont jointes lorsque Voyager 1 était déjà près de notre système solaire.

Une affiche Voyager gratuite d’une équipe de conception au Jet Propulsion Laboratory de la NASA honore la décennie dans laquelle les sondes ont été lancé

« Pour moi, les points forts du Voyager étaient clairement les rencontres planétaires « , a écrit Ed Stone , un scientifique du projet Voyager qui a été la mission depuis sa création. « Tous les six d’entre eux ont été des expériences merveilleuses où chaque jour nous avons vu et appris de nouvelles choses. Nous avons eu une vie de découverte emballée dans chacun d’eux. 

« Les éruptions sur [la lune de Jupiter] Io ont été la première preuve directe de volcans actifs ailleurs dans le système solaire », a-t- il poursuivi . « Bien que Io soit beaucoup plus petit que la Terre, il a eu dix fois plus d’activité volcanique. Cette découverte étonnante a clairement indiqué que nous pourrions nous attendre à beaucoup plus de surprises. Et Voyager a certainement révélé une diversité remarquable de planètes et leurs lunes, anneaux et champs magnétiques. Cela a changé notre vision du système solaire. « 

Linda Spilker , qui est actuellement scientifique en chef de la mission Cassini à Saturne, a écrit que son poste avec la mission Voyager était son premier travail hors du collège. 

«J’étais le spectromètre infrarouge et le radiomètre (IRIS), l’interface entre le projet Voyager et les scientifiques d’IRIS à Goddard [Space Flight Centre dans le Maryland]», a déclaré Spilker. «J’étais la seule femme de leur groupe et très fier de les représenter. Quel frisson pour travailler avec un tel incroyable groupe de scientifiques talentueux. Ils m’ont conseillé et plus tard m’ont invité à les rejoindre dans le cadre de l’équipe infrarouge Cassini».

Source: NASA


Un  petit album photo souvenir…en complément et conclusion

 

La Terre et la lune vers le 9 septembre 1977.

 

 

 

 

La Terre et la lune (en haut,cachée par l’obscurité),le 18 septembre 1977.

 

La Terre vue en 1990…on est déjà très très loin!
Chacune des sondes emporte un disque doré comportant l’enregistrement de plus de 50 sons issus de la Terre,la position de la Terre dans le système solaire,une méthode pour lire sur le disque,une représentation de notre système solaire etc…Elles s’adressent à une forme de vie évoluée qui aurait la chance de les retrouver!
Jupiter,Io et Europa.

 

Situation des deux sondes Voyager au mois de février 2013.La sonde Voyager I venait de quitter les frontières du système solaire.
Voyager II va faire de même en 2018.

 

La prochaine destination de Voyager I sera dans 40,000 ans.Il passera alors à 1.6 année-lumière de l’étoile AC+38888.Le point encerclé au centre!

 

Quant à Voyager II,il passera à seulement 4.3 années-lumière de la belle étoile Sirius dans …296,000 ans.

 

Voyager I et II vous faites un voyage historique au nom de l’humanité!

 

 

 

 

 

La Force aérienne des États-Unis prépare l’avion spatial mystérieux X-37B pour le lancement de septembre

 

 

Le programme X-37B de la Force aérienne des États-Unis prépare sa prochaine mini-navette robotique pour le lancement, cette fois au sommet d’une fusée SpaceX Falcon 9 .

Le décollage devrait avoir lieu début septembre, selon les médias.

Le capitaine Annmarie Annicelli, porte-parole de la Force aérienne des États-Unis, a déclaré à Inside Extern Space: « À cette époque, je n’ai pas la date de lancement pour sortir ».

La prochaine mission X-37B – appelée Orbital Test Vehicle-5 (OTV-5) – décollera du complexe de lancement 39A au Kennedy Space Center de la NASA en Floride.

L’Air Force est connue pour posséder deux plans spatiaux réutilisables du  X-37B, construits par Boeing. Les véhicules ressemblent à des versions miniatures de l’onduleur de navette spatiale maintenant retiré de la NASA; Chaque X-37B mesure 29 pieds (8,8 mètres) de long et 9,6 pieds (2,9 m) de hauteur, et chacun a une envergure de près de 15 pieds (4,6 m).

Le drone spatial dispose d’une baie de chargement utile de la taille d’un lit de camion pickup qui peut être équipé d’un bras robotique. Il a un poids de lancement de 11 000 livres. (4 990 kilogrammes) et est alimenté en orbite par des cellules solaires au gallium-arséniure avec des batteries au lithium-ion.

Le programme X-37B est géré par le Bureau des capacités rapides de l’Armée de l’air pour effectuer la réduction des risques, l’expérimentation et le concept de développement des opérations pour les technologies des véhicules spatiaux réutilisables.

En 2014,sur son pode de lancement…juste avant le départ.

La Force aérienne a piloté quatre missions X-37B à ce jour. Tous ont été lancés par les fusées Atlas V, construites par United Launch Alliance – une coentreprise de Lockheed Martin et Boeing.

Chaque mission a établi un nouveau record de longévité X-37B. OTV-1 a été lancé le 22 avril 2010 et s’est terminé le 3 décembre 2010, après 224 jours en orbite. OTV-2 a débuté le 5 mars 2011 et a conclu le 16 juin 2012, après 468 jours en orbite.

OTV-3 a marqué près de 675 jours en orbite, finissant son atterrissage le 17 octobre 2014. Et OTV-4 a mené des expériences en orbite pendant 718 jours au cours de sa mission, prolongeant le nombre total de jours passés dans l’espace pour le X-37B Programme à 2 085 jours.

Le 7 mai 2017, OTV-4 a atterri à l’installation d’atterrissage de la navette Kennedy Space Center de la NASA – une première pour le programme, car toutes les missions précédentes avaient pris fin avec un touché tarmac à la base aérienne de Vandenberg en Californie.

Il n’est pas clair ce qu’exactement le X-37B fera pendant OTV-5, ou la durée de la mission:tout est tenu secret à ce niveau. Mais, selon la Force aérienne, une charge utile intégrée OTV-5 est l’épandage thermique structuré avancé de l’US Air Force Research Laboratory, ou ASETS-11. Cet instrument va tester l’électronique expérimentale et les tubes thermiques oscillants dans l’environnement spatial de longue durée.

Les ingénieurs travaillent même la nuit.

 

 

 

 

La NASA recrute un officier de protection planétaire pour protéger la Terre contre les extraterrestres

La NASA a récemment publié une offre d’emploi aussi étrange qu’alléchante : l’agence américaine recherche un agent pour protéger la Terre contre des menaces extraterrestres. Ce poste d’officier de protection planétaire vous fera certainement penser aux « Men In Black ». L’agent que recherche la NASA devra notamment être en mesure d’éviter la contamination de notre planète par une forme de vie extraterrestre.

 

La NASA recherche un « officier de protection planétaire » pour défendre la Terre contre des menaces extraterrestres. Le poste a de quoi faire rêver et vous plongerait sans doute dans un monde imaginaire où vous vous voyez dans la peau de Will Smith, dans Men in Black. Seulement, il ne s’agit pas ici de travailleur pour une organisation ultra-secrète, encore moins d’avoir affaire avec des aliens aux technologies ultra-avancées.

La NASA recherche un officier de protection planétaire contre les menaces extraterrestres

La fiche descriptive du poste nous renseigne sur les attributions de ce « Planetary Protection Officer ». Sa mission sera de protéger notre planète en évitant qu’elle-ci soit contaminée par des microbes extraterrestres, notamment au retour des Hommes et machines sur Terre après des missions dans l’espace. La personne recherchée devra aussi faire en sorte que l’inverse ne se produise pas. C’est à dire, éviter que les astronautes contaminent d’autres planètes.

Vous vous en doutez surement, ce poste n’est pas destiné au premier venu. S’il est très bien rémunéré, jusqu’à 187.000 dollars (un peu plus de 157 000 euros) par an, l’officier devra disposer de compétences pointues, avec au minimum 24 semestres d’apprentissage des sciences, de l’ingénierie ou de l’électronique. À cela s’ajoute une « connaissance avancée de la protection des planètes ». 

Cette offre est postée alors que les voyages dans l’espace vont se multiplier. La NASA se prépare notamment aux premières missions habitées sur Mars. Sans oublier celles qu’envisage Elon Musk dans le cadre de son plan de conquête de la planète rouge, entre autres missions.

 


EN COMPLÉMENT:

Donald Trump veut des humains sur mars avant 2025

Lors d’une vidéo-conférence avec une astronaute de la NASA, Donald Trump a exprimé son souhait d’envoyer des hommes sur Mars avant 2025. Le président des États-Unis souhaiterait en effet coloniser la planète rouge au plus tôt, si possible durant son premier mandat. Un objectif difficilement réalisable selon l’Agence, qui ne pense pas être en mesure d’accomplir ce genre de mission avant les années 2030.

Quand il n’autorise pas les chasseurs à massacrer les animaux sauvages de l’Alaska, Donald Trump a visiblement des rêves de conquête spatiale. Alors que Mars est le prochain grand objectif spatial de l’Homme, le président des États-Unis souhaite à tout prix être en fonction lorsque la NASA enverra un astronaute fouler le sol de la planète rouge.

NASA : Trump veut coloniser Mars avant 2025

C’est en tout cas ce qu’il a fait savoir à l’astronaute Peggy Whitson un peu plus tôt dans la semaine. D’origine américaine, l’astronaute vient tout juste de battre un record national en passant plus de 534 jours dans l’espace, à bord de l’ISS.

Le président était d’ailleurs en vidéo-conférence avec elle pour reconnaître solennellement cet exploit (la vidéo en question peut être visionnée plus bas dans l’article). Mais quelques instants après avoir félicité l’astronaute, Donald Trump, curieux, change de sujet et demande :

Dites-moi…Mars. Quand pensez-vous que nous serons en mesure d’envoyer des hommes sur Mars ? Il y a-t-il un agenda de prévu ? Quand pensez-vous que cela arrivera ?

Très professionnelle, Peggy Whitson lui répond alors que selon les prévisions de la NASA, et un décret signé par le président lui-même, un voyage vers Mars semble impossible avant 2033. Elle précise :

Nous sommes actuellement en train de construire le matériel nécessaire pour tester le nouveau véhicule qui nous conduira plus loin que jamais. Malheureusement, les voyages spatiaux demandent beaucoup de temps et d’argent : nous rendre là-bas nécessitera une coopération à échelle internationale.

Quelque peu déçu, Donald Trump déclare, non sans une pointe d’humour, que la NASA va devoir accélérer les choses pour s’aligner sur les ambitions pour le moins irréalisables du président.

« On va essayer… », répond alors l’astronaute, visiblement pas convaincue. A moins que l’ambitieux projet de colonisation de l’entrepreneur Elon Musk fonctionne, Mars va donc devoir attendre encore quelques années avant de pouvoir nous accueillir.

 


EN CONCLUSION

Il est clair  que de nombreuses affaires sombres et  périlleuses sont tenu secrètes depuis fort longtemps,afin d’éviter  la perte de contrôle sur les masses sociales…le peuple,en général!

Si la NASA et le président Trump vont de l’avant avec leurs projets respectifs,c’est parce que nous sommes tous menacés et que le plan illuminati de dépopulation mondiale…est déjà en marche!

Déjà depuis quelques années,nous observons une recrudescence d’apparitions d’ovni!

Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard…mais peut-être est-il déjà trop tard!