L’animal, une grosse masse visqueuse de 1,5 m de diamètre, a été découvert par une famille sur l’île de Tasmanie, en Australie.
C’est un type encore non répertorié. Cela ressemble plus à un tas de mousse. Mais c’est bien une méduse qui s’est échouée cette semaine sur une plage australienne. L’animal, une grosse masse visqueuse de 1,5 m de diamètre, a été découvert par une famille sur l’île de Tasmanie.
Selon la biologiste Lisa Gershwin, elle est apparentée à la méduse à crinière de lion, une espèce qui peut atteindre deux mètres. « Nous connaissons cette espèce mais elle n’a pas encore été classée », a-t-elle expliqué à l’AFP, précisant que les scientifiques observaient depuis quelques semaines une prolifération de grandes méduses dans les eaux de Tasmanie.Devons-nous comprendre que des mutations graves commencent à s’opérer dans les fonds marins…Serons-nous les prochaines victimes?
Le chasseur devient le chassé : un insecte évolue pour manger du maïs OGM empoisonné
Au fil des années, un insecte nuisible a réussi à développer une résistance à la toxicité d’une certaine variété de maïs OGM.
Aujourd’hui, les champs sont à nouveau ravagés. Voici la preuve que la nature est capable d’évoluer pour survivre ! Bien que nous comprenons que cela puisse causer des problèmes vis-à-vis de la nourriture, nous sommes heureux de voir que la vie triomphe après tout.
Lorsque le maïs Bt a été conçu pour la première fois, il a été annoncé comme étant l’arme parfaite pour lutter contre le plus grand fléau dévoreur de maïs : la chrysomèle des racines du maïs.
En 1996, quand cette variété génétiquement modifiée a été plantée, les populations de ces insectes invasifs ont massivement diminué, ce qui a permis aux agriculteurs d’économiser des milliards de dollars.
Pourtant, les années passant, des chercheurs ont exprimé leurs inquiétudes quant au fait que la chrysomèle pouvait devenir résistante au maïs Bt. Les fermiers n’ont pas écouté ces avertissements et aujourd’hui, l’animal dévaste les cultures à nouveau.
Le maïs Bt représente 75 % de la production de maïs aux Etats-Unis. Très efficace il y a 15 ans, il est censé tuer les chrysomèles grâce à une protéine qui cible les intestins de l’animal. Cette substance nommée endotoxine Bt Delta détruit les parois intestinales de l’insecte et laisse ainsi un passage aux bactéries qui y vivent.
Elles se répandent alors dans tout le corps et causent une infection létale. Selon une étude publiée dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, certaines chrysomèles supportent très bien cette protéine.
un insecte très social.
L’étude explique que la résistance à la toxine a commencé à se développer car certaines plantes produisent de plus faibles quantités de poison. Les doses réduites continuaient à tuer une partie des insectes, mais les plus résistants ont survécu, se sont reproduits et ont enfanté des générations d’individus résistants également. Avec le temps, ne sont restées que les chrysomèles les plus fortes.
Cela n’aurait pas dû être un problème si sérieux car les agriculteurs ont pour obligation de conserver des zones appelées « refuges », dans lesquelles ils font pousser du maïs classique. Ces lieux sont essentiels car ils abritent des insectes toujours vulnérables aux toxines Bt.
Lorsque ces populations s’accouplent avec les individus immunisés, cela diminue la résistance de leur progéniture. Pourtant, de nombreux fermiers ont abandonné l’idée de créer des zones « refuges » du fait de leurs trop faibles revenus. Les compagnies qui achètent le maïs ne font pas évoluer les choses non plus.
Bien que les chrysomèles résistantes se retrouvent toujours en plus grand nombre, le maïs Bt va rester la norme, car il continue d’être efficace contre d’autres types d’insectes.
Champ de maïs BT…une monstruosité qui nous vient de Monsanto.
Cela va obliger les agriculteurs à utiliser plus de pesticides, avec les conséquences sur l’écologie et notre organisme que nous connaissons. Enfin, le recours à l’utilisation d’insecticides augmente les coûts d’entretien des cultures, donc les prix du produit final.
Cette espèce d’insecte résistant aux maïs génétiquement modifiés nous prouve que nous ne réglerons pas les problèmes à coup de pesticides et autres produits chimiques.
L’homme a effectivement besoin de produire sa nourriture, mais nous devons maintenant trouver d’autres solutions plus subtiles pour y parvenir. Pensez-vous que nous arriverons un jour à mettre au point une agriculture en harmonie avec la nature ?
Une équipe de chercheurs de l’Université de Copenhague ont situé une seule mutation qui provoque le phénomène mystérieux de yeux bleus,chez les humains. Et toutes les personnes aux yeux bleus sont génétiquement liés à une personne qui a vécu dans la région de la mer Noire quelque part entre 6 ,000 à 10,000 ans dans le passé.
La recherche a été publiée dans le Journal of Human Genetics. Une mutation dans un gène appelé OCA2 a vu le jour il ya près de 8000 ans. Il peut être définitivement remonter à un ancêtre de la mer Noire.
Ce que vous voyez ci-contre existe réellement. Il s’appelle Ata, l’humanoïde d’Atacama. Il a tout de l’extraterrestre de SF : il a un gros crâne surmonté d’une crête et ne mesure que… 15 cm. Il a été découvert il y a une dizaine d’année dans le désert d’Atacama au Chili. Et son ADN vient d’être analysé. Et voici ce qu’il en est ressorti :
Tout est parti d’un projet Kickstarter, où un scientifique et un réalisateur souhaitaient produire un documentaire révélant la vérité sur la présence ou non d’extraterrestre. Intitulé Sirius, ce documentaire a pour point d’orgue l’analyse ADN d’Ata, le squelette le plus troublant jamais découvert sur Terre.
L’ADN d’Ata a été analysé par des chercheurs de l’Université de Stanford en Californie. Et leurs résultats sont formels. Ata n’est pas un extraterrestre. Il est humain. Son ADN est composé de 23 chromosomes et ils ont toutes les spécificités normales de l’homme. Son ADN est plus proche de nous que de celui des chimpanzés. Et les chercheurs vont plus loin, Ata est de sexe masculin, et il avait pour mère une indigène du Chili.
Contrairement à ce qui avait été dit, Ata n’est pas un fœtus fossilisé. Et c’est là que ça devient dingue : quand il est mort, Ata devait avoir entre 6 et 9 ans ! Pour les chercheurs, Ata est né, a respiré, a mangé et s’est développé. Ça ne fait aucun doute. Plus intrigant encore, si Ata mesure 15 cm après 6 ans de vie, quelle taille faisait-il à la naissance ?
Les recherches doivent être approfondies pour tenter de comprendre quel type de mutation a subi Ata. Il va falloir encore attendre plusieurs mois avant de pouvoir réellement lever le mystère sur l’humanoïde d’Atacama. En attendant, vous pouvez regarder le documentaire Sirius qui devrait sortir un jour au cinéma .
Personne n’a encore élucidé le mystère de ce qui est enregistré sur cette caméra de sécurité,mais je crois qu’il peut s’agir d’une nouvelle variété de méduses.
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