Voici les héros choisis par Michel Duchaine pour lutter contre la tyrannie actuelle du totalitarisme covidien:
OTTO ET ELISE HAMPEL
Otto et Elise Hampel sont un couple de résistants allemands au nazisme. Vivant à Berlin pendant la Seconde Guerre mondiale, ils y diffusent pendant deux ans des cartes postales de protestation. Arrêtés, condamnés à mort, ils sont exécutés le 8 avril 1943.
Ils ont osé défier Hitler. OTTO ET ÉLISE HAMPEL : les vrais héros du roman de Hans Fallada
Considéré par Primo Levi comme l’« un des plus beaux livres sur la résistance allemande antinazie », Seul dans Berlin, de Hans Fallada, a pourtant été censuré lors de sa parution à Berlin dans la zone d’occupation soviétique en 1947 : s’il met en scène un couple de résistants berlinois qui tente d’enrayer, par un minuscule grain de sable, la terrible machine de guerre nazie, le roman montre également qu’au début du conflit l’adhésion des Allemands au IIIe Reich était quasi générale, y compris chez ceux qui finiraient par se détacher progressivement du régime. Cette vision sera inacceptable dans une RDA qui se veut résolument antifasciste. Pendant des décennies, seule une version expurgée de l’ouvrage sera disponible, et c’est en 2014 seulement que les lecteurs français ont redécouvert le roman de Fallada dans son intégralité.
Voici un vidéo en lien avec l’émission et l’Article:
Beaucoup de gens en Afrique,en Europe et ailleurs dans le monde ,rêvent d’immigrer au Québec (parfois en ignorant tout du Québec) afin d’améliorer leur vie.Beaucoup ignorent que des milliers de québécois vivent en dessous du seuil de la pauvreté et sont confronté à une misère sérieuse à se nourrir,même au minimum vital.Voici:
Des dizaines de personnes ont participé jeudi après-midi (le 28 mars 2019) à une manifestation devant l’École Charles-Lemoyne, dans le quartier Pointe-Saint-Charles, pour dénoncer la fin, en septembre prochain, de cette mesure alimentaire visant à venir en aide aux enfants dont les parents sont moins nantis.
Manifestation du 28 mars 2019
Ce programme disparaît en raison de la modification de l’indice de défavorisation de l’école. Le développement urbain et l’embourgeoisement ont augmenté le niveau des revenus dans l’ensemble du quartier, selon des données de Statistique Canada.
Le comité de gestion de la taxe scolaire de l’île de Montréal a produit en 2018 une carte révisée de la défavorisation à Montréal à partir du nouveau portrait dressé par Statistique Canada.
Marianne Dumas, qui siège au conseil d’établissement de l’École Charles-Lemoyne, que fréquente son enfant, considère qu’il est regrettable de mettre un terme au programme alimentaire, car il répond à des besoins concrets.
« C’est totalement un non-sens. Ce n’est pas parce que tes voisins ont plus d’argent maintenant que toi, que cela a changé quelque chose dans ton portefeuille. Les parents vont devoir continuer à nourrir leur enfant et cet argent, il va falloir qu’ils le trouvent quelque part. L’enfant n’arrêtera pas de manger, mais l’enfant ne va peut-être pas aller au camp de jour cet été, parce que ses parents ont été obligés de le mettre au service de garde », a-t-elle dit.
Mme Dumas
Mme Dumas déplore le fait que les parents seront forcés de faire des choix, avec la nouvelle tarification.
« Avant, c’était 1 $. L’enfant était gardé à l’école. Cela lui permettait de sociabiliser. Cela lui permettait d’être en sécurité, d’avoir un repas chaud. Maintenant, des parents vont peut-être faire le choix de retourner leur enfant à la maison », illustre-t-elle.
À compter de septembre, les parents vont devoir débourser en moyenne cinq dollars pour un repas chaud servi à l’école et trois dollars pour que leur enfant puisse utiliser le service de garde.
La nouvelle mesure affectera 300 élèves inscrits dans deux écoles du secteur, soit 40 % des élèves de l’école primaire Charles-Lemoyne et 33 % des élèves de l’école primaire Ludger-Duvernay, dans le quartier Saint-Henri.
À la Commission scolaire de Montréal (CSDM), on compte huit écoles qui vont perdre le programme alimentaire, alors que quatre établissements scolaires vont y gagner. Au total, 14 écoles sur l’île de Montréal vont voir disparaître la mesure d’accès à un repas et des services de garde.
Répercussions en vue
Camille Trudel
Camille Trudel, chargée de projets à la Corporation de développement communautaire de Pointe Saint-Charles, s’inquiète des répercussions qu’aura la disparition de cette mesure alimentaire.
« À Pointe-Saint-Charles, on est dans un quartier qui est défavorisé, mais aussi qui est considéré comme un désert alimentaire. L’accès à des aliments frais n’est pas évident. Donc, on peut penser que les lunchs n’auraient peut-être pas nécessairement tout ce qu’il faut pour certaines familles, par manque de ressources », avertit-elle.
La présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon, reconnaît que le portrait de la métropole a beaucoup changé.
« La différence, cette année, c’est qu’il y avait de nouvelles données statistiques du recensement de 2016. Cela a changé grandement entre 2006 et 2016. On se souvient qu’en 2011, c’était le gouvernement Harper. Cela n’avait pas été le même questionnaire. Cela avait été le questionnaire court. Dans le fond, il y a eu dix ans – une décennie – dans les données réelles qui ont été fournies, plus précises. Cela change grandement le portrait de la réalité de Montréal », a-t-elle affirmé.
De son côté, Camille Trudel croit que l’indice de défavorisation est un outil dépassé.
« On aime dire que l’indice n’est pas adéquat pour nos quartiers de plus en plus hétérogènes. Ce n’est pas tant la faute des gens qui arrivent dans le quartier que de la façon dont l’indice est formulé. En fait, il fausse les données. Il dit que finalement, on devient de plus en plus, selon eux, homogène. Donc, les familles sont de moins en moins pauvres, ce qui n’est pas le cas. Il y a des familles plus riches, des familles plus pauvres », souligne-t-elle.
Un programme universel réclamé
Catherine Harel Bourdon
Catherine Harel Bourdon réclame une mesure d’aide alimentaire universelle de Québec.
« Nous, ce qu’on demande, c’est d’avoir une cantine pour tous, vraiment une cantine universelle le midi comme [il y a dans] plusieurs pays de l’OCDE. Si ce n’était pas possible de le faire, il faudrait cibler les enfants défavorisés plutôt que juste cibler les écoles défavorisées. C’est cela, l’enjeu principal. On demande au gouvernement du Québec de financer plus largement les services alimentaires », réclame-t-elle.
La chargée de projets à la Corporation de développement communautaire de Pointe Saint-Charles appuie cette idée.
« On demande que les quatre paliers, CSDM, municipal, provincial et fédéral s’assoient ensemble pour développer une politique alimentaire universelle, que tous les enfants dans toutes les écoles aient accès à un repas », indique Camille Trudel.
Mme Harel Bourdon assure que la CSDM est à la recherche d’une solution de rechange. Elle souligne que son organisation va rencontrer prochainement divers organismes à ce sujet.
« On est en train de regarder nos services alimentaires, mais nos ressources sont limitées. On ne peut pas non plus déshabiller Paul pour habiller Jacques. Il y a quand même un enjeu interélèves, interécoles. On va regarder ce qu’on est capable de faire dans les budgets qu’on a. Mais, on ne pourra pas compenser à la même hauteur d’un repas pour tout le monde », a-t-elle prévenu.
De son côté, le ministère de l’Éducation n’interviendra pas. Il soutient avoir investi 60 millions de dollars supplémentaires dans le budget pour soutenir les élèves de milieux défavorisés, à même une enveloppe de 125 millions sur cinq ans consacrée à la réussite scolaire.
EN CONCLUSION
Depuis la dernière élection au Québec,beaucoup de gens ont cru qu’en remplaçant le parti politique au pouvoir (…par des bulletins de votes douteux ) qu’ils avaient réglé le problème lié à la corruption politique sur laquelle tout le système néolibéral s’est construit!
La majorité des gens en âge de voter me donnent l’impression de dormir au gaz et ne cherchent aucune solution.Tous semblent penser que les hauts-fonctionnaires sont devenus honnêtes parce que les libéraux ont été chassé du pouvoir politique,mais je vous signalais déjà avant l’élection du 1 er octobre 2018 que le choix du premier ministre avait déjà été fait et que la famille Desmarais ,alliée au crime organisé, avait dévolu son choix sur la Coalition Avenir Québec,à défaut de ne plus pouvoir continuer de maintenir Philippe Couillard au pouvoir.
Il est clair que les libéraux étaient devenu encombrant ,surtout depuis la Commission Charbonneau.Tôt ou tard ,le Peuple Québécois aurait fini par réclamer ce qui serait devenu impératif:la Justice!
Mais comme nous le voyons,l’un des éléments fondamentaux que la Coalition Avenir Québec réclamait durant la campagne électorale,était la remise des sommes d’argent payées en trop par les familles québécoises en versement de leurs comptes d’électricité à l’Hydro Québec et François Legault,leur chef,a refusé de remettre ces milliards détournés une fois au pouvoir!
Donc le gangstérisme et le crime organisé gèrent le gouvernement du Québec! …Rien n’a changé!
Comme je l’ai toujours dit et écrit: si voter changerait quelque chose,on l’aurait déjà aboli!
Réveillons-nous!…car il est presque trop tard !
Seule la désobéissance civile peut nous permettre de remplacer ce système,mais pour le remplacer il faut avoir le COURAGE de l’abattre dabord!
Voici pourquoi l’Ère Nouvelle du Québec ainsi que moi-même ne participeront pas aux élections du Québec en 2018:
Comme je vous l’avais annoncé antérieurement,les Élections du 1er octobre 2018 au Québec…sont truquées et arrangées d’avance par la famille Desmarais de Saggard,les libéraux corrompus et les anciens amis d’Arthur Porter (lire: les francs maçons,la mafia italienne et québécoise,etc) .
Quiconque en 2018 est assez crédule pour penser que l’on peut changer quoi que ce soit en allant voter mériterait de réfléchir a ceci: au Québec,si le fait d’aller voter suffirait a pouvoir changer quelque chose,on (les vrais Maîtres du système) abolirait tout simplement les élections et suspendrait le droit d’élire quelqu’un pour gérer l’état.
De cette façon ,la dictature néolibérale pourrait montrer son vrai visage et tous ceux et celles qui militeraient pour plus de démocratie seraient irrémédiablement poursuivi comme danger possible a la sécurité de l’état.
Organiser des manifestations est maintenant devenu potentiellement dangereux pour quiconque veux vivre heureux car le système va vous ficher et vous suivre a la loupe.
La seule manière sérieuse (mais qui demande un peu de courage et d’efforts) est d’organiser « Une seule et définitive manifestation (ou affrontement ) contre ce gouvernement pourri ,devant l’Assemblée Nationale du Québec …en réclamant sa démission totale (premier-ministre,ministres,députés de tous les partis et surtout les haut-fonctionnaires.
Un comité national de Salut Public devrait le remplacer afin de changer les règles pour un système politique dont l’élection comporterait au moins deux tours de scrutin avec proportionnelle.
Ce même comité pourrait profiter de son pouvoir temporaire afin de consulter le peuple québécois sur une Constitution de l’État du Québec et expulser les immigrants illégaux du territoire national.
Les anciens élus de l’ancienne Assemblée Nationale corrompue seraient jugés devant un tribunal du peuple afin de déterminer leur avenir dans la société.Le Comité National de Salut Public aurait le pouvoir d’abolir tout parti politique qui aurait des liens avec le crime organisé et certaines sociétés secrètes comme les francs maçons et les illuminati.Il aurait aussi le pouvoir de lever une milice d’autodéfense nationale afin de faire respecter les nouvelles lois!
Actuellement,les urnes de scrutin sont déjà prêtes ,pleines de beaux bulletins de vote bien remplis.Vous allez a nouveau assister ,en spectateur,au couronnement de Celui qui favori des Vrais Maîtres du Système,va vous imposer son gouvernement majoritaire avec environ 35 % des votes…a moins que l’on bourre les urnes un peu plus!Va-t-on les retrouver encore en dessous des tables d’un obscur McDonald’s près de chez vous ou tout simplement sur un coin de rue ,attendant d’être ramassées?
Je ne veux pas perdre mon temps a participer a un pareil cirque,mais vous ,allez-vous vous laisser marcher sur les pieds a nouveau en regardant le sourire imbécile de Philippe Couillard et le rire moqueur de François Legault?Je ne suis pas le seul homme qui au Québec voulait se battre pour changer ce système,mais qui en ont eu assez de voir un peuple abruti par le travail et les impôts ,continuer a baisser les bras devant des gouvernements majoritaires avec 32% des votes…prendre une attitude fataliste et docile devant toute cette tyrannie néolibérale!
Seule la désobéissance civile peut donner une vision d’avenir a ce système électoral dépassé en le forçant a se régénérer ou …mourir!
Annuler votre bulletin de vote et vous lancerez un signal fort au système politique corrompu et…corrupteur du Québec!
En attendant,voici un début de preuve de ce que je vous avais annoncé:
Fraude électorale dans le comté de Johnson
Hier, le 14 septembre 2018, M. Mario Roy, directeur de l’Unité Citoyenne d’Enquêtes Anti-Corruption est allé déposer son formulaire de candidat indépendant annexé de 117 signatures au bureau du Directeur du scrutin de Drummondville. Ce formulaire a été téléchargé sur le site Web du Directeur Générale des Élections Québec il y a 3 semaines.
Le Directeur du Scrutin a accepté sa candidature, mais le bureau de Québec l’a refusé, prétextant que le formulaire présenté n’était pas valide.
M. Denis Mercier, directeur du scrutin du bureau de Johnson, a parlé avec sa coordonnatrice du bureau de Québec, Mme Nadine Brissson, qui dit ne pas pouvoir accepter ses signatures en raison du numéro du formulaire, qui pourtant provient de leur site Web.
M. Roy a donc appelé le DGE et la téléphoniste a parlé avec M. Mercier. Le résultat de l’appel est que M. Roy n’a qu’à faire une plainte. Ce qui sera bien sûr effectué dans les plus brefs délais, ainsi que les procédures pour poursuivre le DGE.
En permettant à des citoyens de télécharger un formulaire de leur propre site que le DGE ne reconnait pas, M. Mario Roy ne pourra être sur le bulletin de vote et participer ce lundi 17 septembre 2018 au débat des candidats.
Deux vidéos seront mises dans la zone de commentaires. La première étant celle faite immédiatement après les appels au DGE. La deuxième étant celle où l’on peut entendre M. Denis Mercier expliquer la situation à la téléphoniste du DGE de Québec.
Économie, immigration, environnement et éducation : les quatre chefs des principaux partis, interrogés par de jeunes électeurs, ont clarifié leur position lors d’un événement organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM), vendredi soir,17 août 2018, moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale arrangée d’avance sous les bons soins des médias contrôlés par de grandes familles financières,au Québec.
Sur un ton majoritairement amical et détendu, les chefs du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, et la coporte-parole de Québec solidaire (QS), Manon Massé ont répondu à 20 questions, sélectionnées parmi celles rédigées par 400 jeunes électeurs.
L’Institut du Nouveau Monde n’aura invité que 4 représentants de partis politiques néolibéraux et sur-médiatisés sur plus de 20 partis politiques inscrits au Québec.Les urnes doivent être prêtes ,bien dissimulées des yeux du public qui croit que voter va leur donner un changement!
Devant 700 personnes, réunies dans un amphithéâtre de l’Université Concordia (le château-fort de la gauche communiste et des Antifa,au Québec), Manon Massé, Jean-François Lisée et François Legault ont notamment confirmé leur volonté de réformer le mode actuel de scrutin, en instaurant une dose de proportionnelle.
Cette « injustice » du système uninominal à un tour doit cesser, a clamé Manon Massé, avant d’être enlacée par le chef de la CAQ, tandis que Jean-François Lisée levait ses deux pouces(un message maçonnique connu), un grand sourire aux lèvres.
Moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale, les jeunes demandent aux chefs politiques québécois de se positionner sur la rémunération des stages et la santé psychologique de leurs pairs.
Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ), qui représente 79 000 étudiants dans la province, estime que les chefs des partis doivent prendre des engagements forts dans différents dossiers que les jeunes jugent primordiaux.
En entrevue à RDI matin, il est revenu sur le débat de vendredi soir, organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) et Le Devoir, dans un amphithéâtre de l’Université Concordia.
Le président de l’UEQ s’est dit très satisfait de l’échange qu’ont eu Philippe Couillard, du Parti libéral du Québec (PLQ), François Legault, de la Coalition avenir Québec (CAQ), Jean-François Lisée, du Parti québécois (PQ), et Manon Massé, de Québec solidaire (QS).
Les partis nous ont largement dit que l’éducation devait être la priorité. Maintenant, ça va être le temps de les voir passer de la parole aux actes.
Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec, plaide pour une rémunération des stages offerts aux étudiants. Photo : Union étudiante du Québec
Guillaume Lecorps fait notamment référence à la rémunération des stages et à l’offre de meilleurs services aux étudiants dans un souci d’équité. Pour le président de l’organisme, la compensation financière des stages permettrait de « donner un peu de souffle » aux jeunes.
L’autre dossier que l’UEQ veut voir aborder est celui de la santé psychologique étudiante. M. Lecorps se félicite des positions qu’ont prises les quatre chefs.
« Ils semblent vouloir développer une stratégie panquébécoise pour prévenir et combattre les problèmes de santé psychologique des étudiants », a détaillé M. Lecorps avant de citer une étude de l’Université de Montréal qui rapporte qu’un étudiant sur 10 a des idées suicidaires.
Désintérêt des jeunes pour la politique
Depuis le début des années 1980, le taux de participation des jeunes est en déclin constant. M. Lecorps estime qu’il est de la responsabilité des chefs des partis d’intéresser les jeunes aux enjeux électoraux.
Je leur conseille d’écouter la jeunesse et de parler d’enjeux qui sont chers aux étudiants.
Un test de français qui divise
Cette bonne humeur a cependant disparu lorsque François Legault a évoqué sa volonté d’instaurer un test de français pour les nouveaux arrivants, notamment les adultes.
Pour le chef de la CAQ, au bout de trois ans, les immigrants doivent « réussir » un tel exercice sous peine de se retrouver « dans une situation illégale ».
C’est possible d’être nationaliste québécois sans être souverainiste. C’est possible de défendre le français, sans être souverainiste.
François Legault, chef de la CAQ
Ces propos lui ont valu des sifflets dans la salle, alors que le patron de la CAQ a indiqué qu’il était possible de « négocier » avec le fédéral, seul gouvernement responsable des expulsions.
Un peu plus tard, Philippe Couillard a souligné le « besoin » pour la province d’accueillir de « nouveaux arrivants » afin de pourvoir de nombreux postes. « Il faut aller plus loin dans leur intégration à la société », a-t-il lancé.
« La meilleure façon d’intégrer une personne, ce n’est pas de l’éloigner six mois dans une salle de classe », a-t-il complété, en ajoutant qu’il valait mieux leur offrir un emploi.
Nous croyons que le meilleur véhicule d’intégration, c’est avec l’emploi. On peut très bien franciser les gens dans le travail.
Philippe Couillard, chef du PLQ
Pas de baisse d’impôts pour le PQ
L’éducation a également été au cœur de ce dialogue, où les chefs ne pouvaient se répondre directement.
Jean-François Lisée a promis de ne pas baisser les taxes et les impôts afin de financer le service public, tout comme le système de santé.
« On aimerait ça promettre le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémaillère, mais on ne le fera pas », a-t-il clamé, avec le sourire, en détaillant son vœu d’offrir la gratuité scolaire aux personnes à « revenus modestes ».
Le chef du PQ, qui aimerait des écoles « belles, éclairées et conviviales », a promis qu’en cas de victoire le 1er octobre, il proposera un projet de loi qui interdira de « réduire les budgets de l’éducation en bas de sa progression normale », soit l’inflation, a-t-il précisé.
L’éducation doit être la priorité permanente de la nation.
Jean-François Lisée, chef du PQ
Questionné sur un thème semblable, François Legault a confirmé son intention d’offrir la maternelle dès 4 ans . Pour l’égalité des chances, a-t-il dit, « on doit agir tôt ».
Pour récupérer du budget, a-t-il insisté, il souhaite « éliminer une partie de la bureaucratie, le gaspillage et les bonis » distribuées dans « certaines sociétés d’État ».
QS défend l’environnement
À plusieurs reprises, Manon Massé a mis en avant la défense primordiale de l’environnement.
Dès son discours d’ouverture, elle a affirmé qu’« on est en train de scrapper notre planète », avant de s’adresser au jeune public. « Et vous êtes ceux qui vont vivre avec ces conséquences », a-t-elle mentionné.
On souhaite vous laisser une planète sur laquelle vous allez pouvoir travailler, élever vos enfants, accueillir, car vous allez être fier d’être québécois.
Manon Massé, coporte-parole de QS
De son côté, Philippe Couillard a défendu le bilan en santé de son équipe en place depuis 2014.
Il a aussi promis une « stratégie étoffée, chiffrée et avec des moyens » pour lutter contre « la pression » subie par les jeunes dans les milieux universitaires.
Un poids démographique important
Ce dialogue a été organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) dans le but de pousser les jeunes électeurs de 18 à 34 ans à aller voter.
Cette catégorie d’âge pourrait jouer un rôle important cette année, puisqu’elle représente plus du quart de la population en âge de voter.
Le taux de participation des 18-34 reste cependant fluctuant et surtout faible, élection après élection.
En 2014, 56 % des 18-24 ans et 60 % des 25-34 ans sont allés voter. Le taux de participation global était de 71 % lors de ces élections remportées par Philippe Couillard.
En 2008, ce taux était de 36 % pour les moins de 24 ans et de 42 % chez les 25-34 ans, avec une participation globale de 57,4 %.
Le Parti vert du Québec en colère
Une vingtaine de militants du Parti vert du Québec ont manifesté mardi soir devant les locaux de l’Université Concordia. Plusieurs pancartes ont été brandies afin de dénoncer leur absence à cet événement, vue comme une « trahison de la démocratie ».
« C’est antidémocratique, a clamé Alex Tyrrell, le chef du parti, âgé de 30 ans. Les trois quarts de nos candidats ont moins de 35 ans, c’est ridicule de nous exclure. Les organisateurs privilégient le statu quo en donnant une tribune à des gens qui sont déjà médiatisés. »
Le Parti Vert du Québec vient d’apprendre que la pseudo-démocratie au Québec est contrôlée par les médias et la famille Desmarais,entre-autres!
Des représentants du Parti communiste révolutionnaire étaient également présents.
EN CONCLUSION
Cette élection confirme que si voter pouvait changer quelque chose au Québec (et au Canada) on abolirait immédiatement le droit de voter a tout le monde,car cela menacerait les intérêts du 1 % et du Nouvel Ordre Mondial.
Au Québec,dernière colonie survivante de l’Empire Britannique,ce Quebec exclu du Rapatriement de la Constitution Canadienne en 1982,,ce Québec envahi et noyé par l’immigration massive permise par le franc maçon Justin Trudeau et ce Québec endormi par la fausse richesse de l’économie actuelle qui entre en crise,ce Québec que j’aime, semble accepter son sort en mouton qu’on mène a l’abattoir.
Le réveil sera brutal pour la jeunesse québécoise qui va souffrir pendant des décennies a venir,de se laisser mentir et manipuler ainsi par les médias corrompus,les 4 partis néolibéraux de l’Assemblée Nationale et ses très Hauts Fonctionnaires nommés a vie.
Peu de gens semblent avoir compris,en 2018 que nous sommes rendus au point de non-retour social,politique et économique prédit par un certain René Lévesque,après le premier référendum.
Non-seulement,la pensée politique du Parti Québécois est lessivée,mais ses chefs actuels applaudissent les chefs bolchéviques de Québec Solidaire pour se donner un mini prestige désuet.
Seule va rester la Désobéissance Civile alliée au courage d’un peuple qui va apprendre a se tenir debout pour vaincre,abolir et changer ce système mensonger d’oppression contrôlée!
En 2018,plus de 70 ans après son message lancé,le Manifeste du Refus Global garde tout son sens:
« Vous avez pas fini de mourir,bande de caves! »
*Je vous invite a joindre les rangs du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile : lien Facebook
Depuis son élection…..Justin investit des milliards de dollars pour le bien-être des non-canadiens.
En faisant des cadeaux ($$$$) à toutes sortes de « pays ». Dont le Hamas; un organisation terroriste. Faut dire que son frérot est très amouraché des palestiniens.
Les médias trouvent ça cool. Et, globalisation oblige; le Canada emprunte, s’endette et donne aux pays étrangers….
Irréaliste mais vrai. Déplorable et inquiétant.
Il n’y a vraiment rien de drôle ici,car si nous n’agissons pas maintenant,nous serons envahis par tout ces barbares,il faut se prendre en main et montrer à tous que le Québec ne sera jamais à eux car la menace est réelle.Nous devons immédiatement arrêter cette invasion de ces peuples sans foi ni loi, dont le but ultime étant de faire de la terre …un califat totalitaire qui portera le nom d’Islam.Une totale adhésion a leur secte merdique est en cours par les néolibéralistes de la trempe de Trudeau ,au Canada et de Couillard,l’espion canado-saoudien au Québec.
Et Couillard…dans tout cela:
Couillard se sent au dessus de tout et de nous tous !!!!
Je vais faire un commentaire simple. Le premier ministre,à une époque, disait: « Je suis Charlie »!
À une autre époque plus récente… »Allahou Akbar ». Ce qui veut dire: « Dieu est le plus grand ». Tout à fait diamétralement opposé au propos précédent. Opportunisme politique ? Ou une mouvance au service de l’ultra nation; la globalisation….
Islamophobie par ici, islamophobie par là….Il en rajoute.
Il est l’homme le plus intelligent du Québec.
L’intelligence étant une chose, le jugement, la mémoire et l’éthique étant d’autres entités….Je me permets de douter de notre grand calife globalisateur.
Duplessis suintait le catholicisme. On appelait cette époque la grande noirceur. Couillard comme Lisée ( antéchrist péquiste dont je n’ai rien à foutre) se véhicule au même carburant. La polarisation d’un peuple endormi par les médias.
Cette vision est partagée par tous les partis politiques néolibéraux du Québec (PLQ,PQ,CAQ et QS).La pensée critique au Québec et la libre pensée serait-elle morte ?
Trudeau père ce fils de richissime du pétrole avait des élans communistes au point d’admirer la Chine de Mao et Cuba de Castro. Il nous a laissé un panier de crabes, la charte des droits charcutée par tout nouvel arrivant car privilégiant l’individu à la société d’accueil. Nous avons maintenant 33 millions de pays différent car le Je, Me Moi à pris le dessus sur le NOUS -Fernand Trudel
L’ado Just-a-teen fait des siennes: il voudrait que le vendredi, il n’y ait plus de séance au parlement, car vendredi, c’est jour de prière, et qu’il n’ y ait qu’une journée de questions par semaine.BRAVO À TRUDEAU! LE CANADA SERA LE cinquante-huitième pays MUSULMAN sur la planète. Il pense que c’est comme la Chrétienneté:DES PAYS OÙ TOUTES LES RELIGIONS SE CÔTOIENT! -Éliane Acoca
LE QUÉBEC À LA CROISÉE DES CHEMINS
C’est bien là qu’est rendue la nation dite québécoise à ce moment précis. Cet exposé a pour but de bien faire comprendre que la suite dépend de chacun, et , pour ce faire il faut remonter dans le temps. Il faut bien constater que chaque individu qui compose cette nation est une bonne personne, honnête et travaillante.
C’est quand ces individus se laissent contrôler et agissent en masse que le tout se gâte.
Ces dernières années, des philosophes, politicologues, chroniqueurs et journalistes se sont acharné à tenter de définir cette nation. Ils se sont livrés à un exercice continuel de masturbation intellectuelle jamais vue auparavant. Chacun y va de sa chronique, de son livre, de son essaie. Des forums de discussions furent crées. Certains tentent de la définir.
Peuple ou nation? Qui y est partie, les pure-laines seulement ou tous les Québécois. Qui est Québécois?
On tente par tous les moyens de nous inculquer que nous sommes différents et que nous devons être nationalistes et que nous sommes une société distincte.
Le but de ces exercices dans la plupart des cas est de nous trouver des raisons de se séparer du reste du Canada.
On demande des Etats-Généraux, des Commissions d’Étude, des Commissions Parlementaires et toutes sortes d’autres structures qui pourraient nous indiquer un tant soi peu ce que et qui nous sommes.
Certains avancent que nous sommes en crise identitaire. Imaginez, nous ne savons pas qui et ce que nous sommes. De quoi nous faire frémir.
Pour réussir à nous convaincre qu’il faut nous séparer du Canada, il faut nous convaincre que nous sommes mal dans notre peau.
Comment peut-on réussir à nous manipuler sans nous entendre rouspéter? C’est tellement facile que c’en est épeurant.
QUE SOMMES-NOUS
Nous sommes un peuple (si réellement nous formons un peuple) immature, encore à l’enfance, qui a encore besoin d’un père, d’un guide pour nous réconforter et nous diriger. Un guide qui nous dicte quoi et comment penser car penser est un exercice que notre culture nous a défendu. Nous avons besoin d’un icone à vénérer, d’un Moïse pour nous guider vers la terre promise.
Pendant longtemps, ce Moïse fut le clergé catholique. Il contrôlait nos pensés et nos actes. Il contrôlait nos lectures. Il contrôlait nos vies. Il déterminait le nombre d’enfants de chaque famille. Il nous disait pour qui voter aux élections. Il contrôlait notre système d’éducation, nos services de santé. Il était roi et maître de notre destiné.
Comme des imbéciles, nous avons tout gobé.
Il faut reconnaître qu’il était passé maître dans l’art de nous maintenir sous son joug et qu’il savait utiliser toute les subtilités nécessaires à l’atteinte de son but.
En contrôlant le système d’éducation, il nous a entraînés à détester les anglais car ces derniers contrôlaient notre économie. Nous étions les porteurs de pain et devions le demeurer car seul les pauvres voyaient s’ouvrir les portes du paradis. Le commerçant, celui qui aspirait à la richesse était forcément un voleur, un escroc.
Nos universités francophones, Montréal et Laval, dirigée par des religieux, refusaient dans leurs programmes d’introduire une faculté d’administration. Quand des francophones voulaient s’instruire en sciences administratives, il leur fallait être bilingue car la seule porte d’entrée était l’université anglophone.
Le système politique d’alors nous avait entraîné à détester les Juifs car ils avaient crucifié le Christ. C’est pourquoi, on nous enseignait qu’ils étaient un peuple errant, sans patrie, puni par Dieu.
La peur fut l’un des éléments majeurs de contrôle social. Quiconque n’obéissait pas à leurs dictés était damné. La femme était (et est encore) un personnage inférieur. Elle n’était admise à l’église que dans la nef et coiffée. Sa fonction principale était la reproduction et pour ce faire elle se devait être mariée. Si malencontreusement elle enfantait hors du mariage, ce ne pouvait être que des enfants du péché et on s’empressait de les expédier dans des hôpitaux psychiatriques et des orphelinats. Il en existe encore de ces enfants, ils sont aujourd’hui appelés ‘Les enfants de Duplessis’ pour lesquels le clergé réfute encore toute responsabilité.
On nous imposait aussi nos orientations politiques. Il se faisait fort de nous rappeler dans les sermons que ‘le Ciel est bleu et l’Enfer est rouge’, ce qui avantageait certainement Duplessis.
Comme des moutons, nous avons suivi, sans se poser de questions, sans penser. Pourquoi aurions- nous osé penser, osé s’astreindre à un effort intellectuel quand le maître le faisait pour nous.
Cette servitude nous allait tellement bien que nous l’exposions fièrement à la parade annuelle de la Saint-Jean Baptiste quand sur le dernier char allégorique on retrouvait Jean-Baptiste avec sa canne qui guidait les brebis, ce que nous étions.
Le clergé maintenait Duplessis (le Chef) au pouvoir et ce dernier leur repayait bien.Il y avait bien des voix qui tentèrent de réveiller le peuple des brebis,mais elles arrivaient trop en avance de leur temps.
Ce fut l’époque de la création de villages qui pour se trouver un nom se disputaient le nom des saints. Ainsi on retrouvait plusieurs villages du même nom qui, pour s’identifier, devait ajouter un nom de comté ou de région à leur nom. C’est ainsi qu’on retrouvait des noms comme Sainte-Anne-de- Bellevue, Sainte-Anne-des-Monts, Sante-Anne-des-Plaines, Sainte-Anne-de Beaupré, Sainte-Catherine, Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, etc. etc. Il en fut de même pour les noms de rue des villes et villages.
Au milieu des années 1950,un grand hockeyeur était devenu le symbole de la nation canadienne-française (car tout le monde à cette époque,au Québec s’identifiait comme canadien-français)et vous aurez tous reconnu Maurice Richard. Par son courage et sa détermination,il devenait le premier grand leader d’une jeune nation. À défaut d’avoir un vrai chef politique,c’est dans le sport que tous au Québec,nous avions un exemple à suivre.
LE RÉVEIL
Pendant que les ignares se complaisaient dans l’esclavage, une nouvelle génération grandissait, quasi imperméable au lavage de cerveau du clergé et le décès de Duplessis ouvrait la porte à affranchissement, à la liberté.
Ce peuple, dans l’ensemble n’avaient pas encore appris à penser et se mit à la recherche d’un nouvel icône, un nouveau Chef, un nouveau Moïse.La seule option politique trouvée à ce moment-là fut le néolibéralisme d’après-guerre.Comme nous le verrons,cela comportait des avantages et de nombreux désavantages.
Le choix s’arrêta finalement sur Jean Lesage en 1960 qui tassa allègrement le clergé et devint ce nouveau Moïse. Tout semblait alors baigner dans l’huile.
Ce fut cette période que l’on appelle aujourd’hui LA RÉVOLUTION TRANQUILLE.Vous noterez que le changement opéré à ce moment précis aurait pu se produire aussi si Paul sauvé ne serait pas mort aussi rapidement après Maurice Duplessis.Dans les nouveaux projets sociaux,économiques et politiques de l’Union Nationale ,alors gérée par M.Sauvé,il y avait de nombreux éléments qui ont été repris par les libéraux qui ont toujours agis par opportunisme.
Il a fallu rebâtir tout le système d’éducation avec le peu d’éléments que nous possédions (cf: le corps enseignant).
Le gouvernement a dû procéder à la hâte à l’introduction des CÉGEPs et la création de l’université du Québec avec des pendants dans plusieurs régions.Notez que les CEGEPs développés au Québec,proviennent d’une formule qui a échouée aux États-Unis.Ils sont à l’origine de l’organisation des réseaux de vendeurs de drogues,de pédophilie et de prostitution juvénile.On notera aussi l’augmentation sérieuse de la violence chez notre jeunesse.
Les universités francophones introduisaient frénétiquement des facultés d’administration dans leurs programmes qui allaient donner naissance à une petite bourgeoisie d’affaires.Parallèlement,le crime organisé québécois va se développer et s’étendre même à l’intérieur de l’appareil d’état.
De 1960 à 1967, c’est l’effervescence. Pour nous préparer pour l’expo universelle de 1967, nous construisions le métro, le tunnel Lafontaine et les pavillons pour l’expo sur l’Ile Sainte-Hélène et embellissions Montréal pour accueillir avec fierté les visiteurs internationaux.Les gros syndicats vont prendre plus de pouvoirs et vont davantage s’enrichir.
Nous avions atteint un summum. MONTRÉAL ÉTAIT LA MÉTROPOLE DU CANADA AINSI QUE SON CENTRE FINANCIER. Ville bilingue, Montréal était un pôle d’attraction pour les investisseurs et les bureaux chefs d’entreprises.Le capitalisme se développe rapidement.
Cette poussée de Montréal vers le sommet de l’économie canadienne ne se serait jamais produite sans l’apport des anglophones, considérant que dans ce temps la majorité francophone était totalement ignare et ne commençait qu’à s’éveiller.
L’UNION NATIONALE QUAND LE QUÉBEC SE TENAIT DEBOUT
On n’a pas craint, au cours des années 1960, d’aborder les enjeux constitutionnels de front. Même Daniel Johnson, arrivé au pouvoir en 1966, remettra directement en cause la Constitution du Canada en lançant son livre manifeste Égalité ou indépendance.
Pendant la Révolution tranquille, une question s’est posée avec une franchise inouïe: celle de l’avenir des Canadiens français (devenus soudainement les Québécois) dans la fédération. Le nationalisme devenait plus moderne, moins passéiste, et il formulait directement les interrogations fondamentales.
Un courant révisionniste voudrait nous présenter le régime Duplessis comme un certain âge d’or du nationalisme. Pour avoir connu et observé, comme jeune adulte, le nationalisme du «chef», je garde le souvenir d’un nationalisme défensif, qui protégeait notre «butin», combattait les empiétements fédéraux, refusait les subventions d’Ottawa aux universités et réclamait avec opiniâtreté de nouveaux champs fiscaux.
Ce nationalisme de conservation, garant de la langue et de la foi, drapé dans le fleurdelisé et l’autonomie provinciale, ne remettait pas en question l’ordre constitutionnel établi: il tentait d’en tirer le meilleur parti possible.
Quand apparaît en 1960 un nationalisme de rattrapage, des intellectuels, des journalistes, des syndicalistes et des visionnaires (notamment Georges-Émile Lapalme) avaient préparé le terrain. Mais avant 1960, l’idéologie dominante, soutenue par l’appareil du pouvoir et la structure ecclésiastique, restait le nationalisme de conservation. Malgré les étincelles qui brillaient ici et là, la grande noirceur, pour ceux qui l’ont vécue, est loin d’être un mythe.
Dès 1960, la question constitutionnelle se pose de manière stridente et directe. Comment les Québécois peuvent-ils améliorer leur sort au sein de la «Confédération»? Éviteront-ils le statut de simple minorité ethnique pour être considérés comme un peuple??
En août 1960, naît l’Action socialiste pour l’indépendance du Québec, fondée par Raoul Roy et d’inspiration marxiste. Un mois après se forme un autre mouvement, le RIN (Rassemblement pour l’indépendance nationale). Ces deux groupements, moins catholicards que les groupuscules indépendantistes des années 1930 et 1950, deviendront influents: le premier inspirera le Front de libération du Québec et le second sera un parti légitime aux élections de 1966.
Puis Jean Lesage, au sommet de sa puissance, porté par l’élan du «Maîtres chez nous» et de sa victoire électorale sur le thème de la nationalisation de l’électricité, porte le combat vers Ottawa. Il exige du premier ministre Pearson, minoritaire et conciliant, qu’Ottawa remette au Québec 25?% de l’impôt sur le revenu des particuliers, 25% de l’impôt sur les sociétés et 100% des droits successoraux.
Ébranlé par les coups de poing colériques de Jean Lesage, Lester B. Pearson finira par faire d’énormes concessions à l’égard des programmes conjoints et du régime universel de retraite. Pour une courte période, le Canada penchera vers la décentralisation.
Les personnages politiques fédéralistes (notamment Paul Gérin-Lajoie) envisageront toutes sortes de formules: statut particulier, États associés. Même Daniel Johnson, arrivé au pouvoir en 1966 et prolongeant (contre toutes prédictions) la Révolution tranquille, remettra directement en cause la Constitution du Canada en lançant son livre manifeste Égalité ou indépendance. Son gouvernement favorisera la tenue, en novembre 1967, des États généraux du Canada français, qui réuniront 2500 délégués.Ce fut la seule véritable consultation du peuple sur une question constitutionnelle du Québec.
On n’a pas craint, au cours de cette décennie, d’aborder les enjeux constitutionnels de front. Aujourd’hui, toute une mouvance de centre-droit voudrait qu’on mette en veilleuse les questions touchant l’avenir du Québec pour régler «nos problèmes», traiter des «vraies affaires». Proposition absurde. Le fait que le Québec se soit fait imposer une constitution qu’il n’a pas signée reste l’un des problèmes qui conservent toute leur actualité. De nouveaux irritants ne manqueront pas de nous le rappeler au quotidien.
Qui a intérêt à contrôler Daniel Johnson ? À écouter à qui il parle ? À lui défendre d’aller en France suite au voyage de De Gaulle au Québec ? — « Quoi qu’il arrive, j’irai en France ! »
Avant, il y avait le Canada français. Après, le Québec et les francophones hors Québec. La cicatrice ne s’est jamais vraiment refermée.
Jacques-Yvan Morin présidait les États généraux du Canada français en 1967. Le futur chef de l’opposition (de 1973 à 1976) était alors professeur de droit à l’Université de Montréal.
Le 23 novembre 1967 au matin, 1700 personnes envahissent la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal. Ces gens viennent de tous les coins du Canada: plus de 1000 d’entre eux ont été élus dans les 108 circonscriptions électorales du Québec, 425 représentent les communautés francophones du reste du Canada et 175, les organismes les plus divers, des Caisses populaires aux Cercles de fermières en passant pas les associations de Néo-Québécois.
Presque tous ces délégués ont sous le bras un exemplaire du Devoir, qui publiera toutes les résolutions de ces États généraux du Canada français. Parmi les membres de la commission générale qui a préparé la rencontre, on trouve d’ailleurs deux plumes prestigieuses issues du Devoir, Solange Chaput-Rolland et Jean-Marc Léger.
En 1967, Le Devoir était encore la bible des élites canadiennes-françaises et son directeur, Claude Ryan, avait accepté de s’associer à l’événement même s’il craignait un virage indépendantiste. Il avait d’ailleurs vu juste.
«On n’avait jamais vu un rassemblement d’une telle ampleur, aussi représentatif de ce qu’il faut bien appeler les forces vives de la nation, et il n’y en a jamais eu d’autre depuis», dit l’ancien ministre péquiste Jacques-Yvan Morin, qui présidait l’événement. Le futur chef de l’opposition (de 1973 à 1976) était alors simple professeur de droit à l’Université de Montréal.
Les États généraux de 1967 n’avaient aucune commune mesure avec les assises préliminaires tenues en 1966 ou les congrès de la langue française organisés à Québec en 1912, 1937 et 1952. «On était même étonnés de pouvoir remplir la Place des Arts. D’une certaine manière, nous prenions conscience de la force que nous représentions», dit Jacques-Yvan Morin.
Les francophones hors Québec
À l’offensive sur tous les plans, le Québec était alors en pleine Révolution tranquille. Le nouveau premier ministre Daniel Johnson ne réclamait rien de moins que «l’égalité ou l’indépendance». Le mouvement indépendantiste québécois et le nationalisme acadien étaient en pleine ascension. Le «Vive le Québec libre!» du général de Gaulle avait quatre mois à peine. Avec le rapport Laurendeau-Dunton, l’avenir du français devenait une préoccupation majeure.
Cette démonstration de force d’un océan à l’autre sera la dernière du genre. Car elle sera le lieu, à tout le moins symbolique, de l’éclatement définitif du Canada français. Les États généraux devaient définir l’avenir constitutionnel de la nation, disait dans son discours d’ouverture Rosaire Morin, un leader nationaliste très écouté à l’époque. On jonglait alors avec le «statut particulier», les «États associés» et l’indépendance.
René Lévesque, qui venait de quitter le Parti libéral et de fonder le Mouvement souveraineté-association quelques jours plus tôt, fit d’ailleurs une brève apparition au balcon, sous des applaudissements nourris.
L’assemblée se divisa lorsque vint le moment de reconnaître le droit à l’autodétermination du Québec, «territoire national et milieu politique fondamental» de la nation canadienne-française. Les Québécois votèrent pour à 98 %, avec 52 % des Acadiens. Les délégués de l’Ontario et de l’Ouest canadien votèrent contre ou s’abstinrent. Les Québécois affirmaient leur existence en tant que nation. Les francophones hors Québec, qui se percevaient toujours comme Canadiens français, venaient de naître.
Une boîte à idées
Même si certains évoqueront un complot mûrement préparé, il n’y avait pas de volonté de rupture, explique Jacques-Yvan Morin. «Les délégués québécois votaient pour rapatrier tous les pouvoirs au Québec. Ils le faisaient spontanément, même s’ils n’étaient pas nécessairement indépendantistes. Ils votaient aussi pour que le français soit plus présent partout au Canada. Ce n’était pas très logique. Les États généraux ont été le témoin plus que la cause d’un éloignement inexorable lié à l’érosion du fait français, dans l’Ouest en particulier.»
Plusieurs délégués racontèrent être arrivés aux États généraux fédéralistes et en être sortis souverainistes. Les délégués n’ont pourtant jamais revendiqué l’indépendance, rappelait en 1990 Rosaire Morin, dans un article de L’Action nationale. Mais ils «revendiquaient pour le moins l’égalité». Plus de «40 ans plus tard, la question des pouvoirs du Québec n’est toujours pas réglée», souligne Jacques-Yvan Morin.
Ce qui n’empêchera pas ce rassemblement d’être une extraordinaire boîte à idées. Plusieurs marqueront leur époque, comme «une politique d’immigration qui enrichisse la culture et l’économie de la Nation», le français comme «seule langue officielle» du Québec et une «Charte des droits de l’Homme». D’autres resteront sans suite, telle la rédaction d’une «Constitution du Québec» reconnaissant son «droit à l’autodétermination».
La rupture
Hors du Québec, on a perçu l’événement comme une rupture, parfois même une trahison. L’historien Marcel Martel, de l’Université York à Toronto, a vu le signe précurseur de cette scission dans la dissolution, dès 1965, de l’Ordre de Jacques-Cartier, une organisation nationaliste plus ou moins secrète aussi appelée La Patente.
Selon lui, le Québec réclamant de plus en plus de pouvoir, le rapport traditionnel qui faisait des minorités hors Québec des avant-postes de la nation canadienne-française, fut inversé. L’avenir des minorités dépendrait dorénavant de l’édification d’un État national québécois.
«Les États généraux représentent le moment symbolique de cette rupture, peu importe, au fond, si elle s’y est vraiment produite, dit le sociologue d’origine acadienne Joseph-Yvon Thériault, de l’UQAM. C’est à ce moment que les francophones hors Québec ont réalisé que le Québec avait changé de trajectoire politique. Or c’était très dérangeant!»
Car, à l’époque, le Canada français n’était pas une figure de style. Pour «fonder et propager la civilisation franco-catholique sur ce continent», comme l’écrivait le journaliste Étienne Parent, on avait tissé d’un océan à l’autre un vaste réseau de journaux, d’entreprises, d’associations étudiantes, agricoles, politiques et religieuses.
L’archevêque de Montréal d’alors,Paul-Émile Léger en compagnie du premier-ministre Maurice Duplessis. La redéfinition des rapports entre le Québec et Ottawa. Les tensions entre Québec et Ottawa à l’époque de Duplessis. Au cours des 16 années où l’Union nationale est au pouvoir, soit de 1944 à 1960, les relations entre le Québec et le gouvernement fédéral sont plutôt orageuses. Au nom de l’autonomie provinciale, le premier ministre Maurice Duplessis déclare combattre la centralisation excessive d’Ottawa. Il est vrai que depuis qu’elles s’étaient octroyées des pouvoirs élargis en raison de la Deuxième Guerre mondiale, les autorités fédérales avaient une propension à investir des champs de compétence provinciale. Par ailleurs, cette attitude du gouvernement du Québec cache mal un fort penchant conservateur et rétrograde en matière de progrès social.
Dans les années 1940, le ministère de l’Agriculture du Québec n’hésitait pas à financer en Ontario la création d’une association canadienne-française de femmes d’agriculteurs!
Selon Thériault, si les francophones hors Québec disent que le Québec les a lâchés, c’est qu’ils ne voient pas que, chez eux aussi, le mouvement vers la provincialisation était amorcé. Dès le début des années 1960, les institutions canadiennes-françaises en quête de financement, comme l’Université d’Ottawa, se tournaient déjà vers leur gouvernement provincial respectif.
«On oublie souvent aussi que le nationalisme canadien-français avait été porté par une vague démographique, dit Thériault. Jusque dans les années 60, les Acadiens étaient convaincus qu’ils avaient gagné la bataille démographique.» De 17 % de la population du Nouveau-Brunswick en 1867, ils passent à 37 % en 1951.
À l’époque, André Laurendeau, écrivait même que le temps n’était pas loin où il y aurait deux provinces majoritairement françaises au Canada.
En 1961, les Acadiens étaient retombés à 33 %. La chute était encore plus prononcée au-delà de l’Outaouais. «C’est à cette époque qu’on a commencé à mesurer les ravages de l’assimilation, surtout dans l’Ouest du Canada», confirme Jacques-Yvan Morin.
Lorsque les États généraux se réuniront une dernière fois en 1969, ils n’auront plus du tout le même éclat. La scission était consommée. D’aucuns en concluront que le français n’avait plus d’avenir hors du Québec ou à proximité de ses frontières.
Réhabiliter les États généraux ?
Pour le rédacteur en chef du journal étudiant La Relève, Jean-François Laniel, il serait temps de redonner aux États généraux «une place plus honorable» dans l’histoire. La seule tenue d’un événement d’une telle ampleur devrait être un motif de fierté, écrivait-il.
Le journal ne cache pas sa volonté de contribuer à ressusciter, sous une forme ou une autre, le Canada français. Un peu comme le souhaite l’ancien ministre des Affaires intergouvernementales de Jean Charest, Benoît Pelletier, qui affirmait que le Québec était de retour dans le Canada.
«Recréer le Canada français, ça n’a aucun sens, dit Joseph-Yvon Thériault. Au lieu de dire que le Québec est de retour dans le Canada, il faut plutôt accepter que le Québec soit devenu une aire autonome. Les francophones hors Québec doivent assumer le fait qu’ils évoluent dorénavant dans un espace dont le centre est le Québec. Montréal demeure notre capitale culturelle, autrement nous régresserons vers une simple mémoire ethnique. La francophonie hors Québec doit assumer cette réalité et articuler un nouveau rapport au Québec, quel que soit le statut politique de ce dernier.»
L’Amérique française d’origine.
Ottawa refuse d’ouvrir la Constitution. En accédant aux demandes du Québec, le premier ministre Lester B. Pearson veut faire preuve d’ouverture à l’égard des Canadiens français. Le successeur de Jean Lesage, Daniel Johnson, souhaite pousser un cran plus loin les revendications du Québec. Lors de la conférence fédérale-provinciale de 1968, il tente d’obtenir un statut particulier pour le Québec. Mais le ministre de la Justice d’alors et futur premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trudeau, oppose une fin catégorique de non-recevoir. Pierre Elliott Trudeau et Daniel Johnson lors de l’annonce du Plan de développement de l’Est du Québec à Rimouski le 26 mai 1968. Deux hommes politiques. L’image vaut mille mots.
Toutefois, cela ne dura pas longtemps pour les collaborateurs fédéralistes et la petite bourgeoisie néolibérale naissante car un virus s’infiltra subrepticement dans la société francophone qui allait non seulement couler Montréal mais toute la province de Québec pour des générations à venir.
C’est ainsi qu’on vit naître des mouvements tels le RIN (Ralliement pour l’indépendance nationale) ,un parti politique de gauche électoraliste ,et, le FLQ (Front de Libération du Québec) qui ont réussi à vendre au peuple ,une vision de peur d’assimilation vers la culture anglophone. Ces mouvements produisirent…soient des Combattants pour la Libération…soient des terroristes (tout dépendant si vous êtes nationalistes ou fédéralistes) qui placèrent environ 95 bombes dans des boîtes postales des quartiers anglophones de Montréal jusqu’à entraîner la mort d’un policier tentant de désarmer l’une d’elles. S’en suivirent le meurtre d’un ministre du gouvernement québécois (Pierre Laporte) et de l’enlèvement d’un diplomate britannique (James Richard Cross).Vous noterez que Pierre Laporte était un « ami » de Vincent Cotroni et qu’il a été photographié souvent ,prenant un verre avec le chef de la mafia italienne de Montréal,dans des clubs du centreville.C’était un homme qui en savait trop et qui risquait de réveiller le bon peuple qui dort toujours au gaz.
De ces deux mouvements découle la naissance du Parti Québécois (LE VIRUS) dont l’objectif « officiel » principal était de faire une espèce de souveraineté-association entre le Québec et le Canada.Mais tous savent maintenant que jamais cela ne se produira jamais ,surtout depuis que Pauline Marois a administré ce parti politique,tout aussi corrompu que le Parti libéral du Québec.René Levesque,le fondateur du Parti,n’a parlé que du bout des lèvres d’indépendance du Québec,seulement si les négociations théoriques avec le reste du Canada aurait échoué.
Deux référendums perdus sur la souveraineté ,dont un en 1995,noyauté par les fédéraliste et saboté par le scandale des commandites et des immigrés pakistanais , la loi sur les langues officielles (loi 101) dénaturée et négligée trop souvent, accentuaient la rapidité du déclin qui en est maintenant rendu au point où il est pratiquement irréversible.
Si on passe par-dessus quelques gouvernements éphémères, nous étions dans un carcan qui nous forçait à voter pour le parti québécois (LE VIRUS) qui, selon ses statuts, veux nous séparer du reste du Canada quelqu’en soient les coûts économiques (mais qui nous fait tourner en rond depuis 1976) ou le parti libéral dont le seul but était de se maintenir au pouvoir ,tout en faisant profité ses petits amis de l’argent public.
Le néolibéralisme est devenu l’ennemi numéro 1 du peuple québécois!
La jeunesse québécoise ne s’identifie plus au néolibéralisme du Parti Québécois,du Parti libéral du Québec (et du Canada) de la Coalition Avenir Québec et de Québec Solidaire.
Bref,les politiciens de l’Assemblée Nationale du Québec actuelle sont disconnectés de la réalité sociale du peuple.
Pendant ces années, Montréal a perdu le titre de métropole du Canada ainsi que le titre de centre financier capitaliste du Canada le tout, ce dirigeant lentement vers Toronto et le pouvoir de Bay Street.
De plus, nous avons accumulé une dette qui est difficilement remboursable et qui nous a propulsé au premier rang au Canada,comme étant la province la plus endettée et la plus taxée et dont le taux de chômage est toujours de beaucoup supérieure à la moyenne canadienne.
Notre service de santé et notre service d’assurance maladie était à une certaine époque notre grande fierté…qui faisait même l’envie des américains…avant l’obamacare actuelle!Maintenant,le Québec ressemble davantage à un pays du tiers- monde,après plus de 50 ans de néolibéralisme associé au crime organisé.En 2017,le Québec est davantage une république bannanière qu’un état respectable et respecté!Nous vivons sous le régime politique des gros docteurs libéraux corrompus!
Nous avons laissé nos structures routières se détériorer jusqu’à en devenir la risée de ceux qui les utilisent.Nous continuons de tolérer les contracteurs qui s’emplient les poches ,avec des contrats de voiries et d’aqueduc.Les maires des grandes villes sont de grands potentats pro-libéraux et nos petites villes sont à la merci d’une petite élite soutenue par des fabricants d’élections!
Nous avons eu l’audace imbécile de laisser les francs maçons reprendre le pouvoir à Québec par Phillippe Couillard,initié par le grand maître de 33 ième dégré que fut Arthur Porter,et en élisant le fils de Pierre Elliot Trudeau ,le petit Justin Trudeau,champion des selfies,de la superficialité et grand protecteur des musulmans djihadistes et de lerus mosquées.Justin Trudeau qui fut jadis initié par son père comme franc maçon et présenté au communiste franc maçon Fidel Castro.
Arthur Porter a été déclaré mort…sans preuve fournie ,par les agents choisis par Philippe Couillard,l’espion canado-saoudien!
Et c’est avec fierté qu’on appelle ça le MODÈLE QUÉBÉCOIS.
Nous sommes maintenant dans la merde jusqu’au cou, l’étau se resserre de plus en plus et l’avenir n’apparaît pas luisant.
Nous sommes dans la merde à tous les niveaux, tant du point de vue de L’ÉCONOMIE, DE LA SANTÉ , DE L’ÉDUCATION ET DE LA LANGUE.
Comment pouvons-nous nous en sortir?
Il ne nous reste qu’une décision à prendre,mais avant d’aller à fond dans ce projet,il faudra apprendre,chacun d’entre nous,à apprendre à acquérir et développer son COURAGE et à maîtriser sa PEUR individuelle et collective!Cela s’appelle agir en équipe,en communauté,d’un seul élan avec un BUT COLLECTIF!
Pour nous en sortir,il faudra apprendre à regarder les anglophones,non pas en envahisseur et en destructeur de notre culture,notre langue et notre territoire,mais en peuple ami qui partage un seul et même territoire!Bref,nous devons apprendre à changer,à évoluer et à nous adapter au monde actuel avant qu’il ne soit trop tard!
Pour vaincre un ennemi, nos gouvernements corrompus actuels,il nous faut nous trouver un allié qui a comme ennemi ces mêmes gouvernements libéraux et néolibéraux corrompus associés au crime organisé et aux sociétés secrètes francs maçonnes et illuminati.
Le travailleur de Toronto,de Moncton ,de Vancouvert ou de n’importe laquelle autre ville du reste du Canada qui se lève à 5h00 am pour préparer son lunch et aller travailler dans une usine,subit le même endoctrinement politique que nous: on lui enlève la faculté de réfléchir afin qu’on puisse le contrôler et éviter qu’il ne se réveille face au système corrompu actuel.
Le Québec est la Dernière Colonie Survivante de l’Empire Britannique,mais les travailleurs du reste du Canada n’ont jamais été consulté pour se libérer du colonialisme britannique.Il manque au Québec un parti politique qui veut changer le système,rétablir la Justice du Peuple,écrire une véritable constitution de l’État du Québec et une main tendue vers les Premières Nations et la Nation métissée du Québec pour s’unir dans un vaste projet social québécois.
Le Canada a besoin d’un mouvement de réforme propre afin de se débarrasser de ce système qui comme au Québec,s’est érigé à partir de la corruption ,de la collusion,du pillage des ressources du Peuple ,de l’intolérance face aux minorité fondatrices de ce pays et du crime organisé allié aux sionistes et aux terroristes islamiques qui nous envahissent de l’intérieur par « têtes de pont » ,par l’infiltration.
Vive la Désobéissance Civile du Québec et du Canada!
Longue vie aux combats actuels des Premières Nations du Québec,du Canada et des États-Unis d’Amérique!
Luttons contre le projet mortel du pipeline d’Endbridge!
Une élite pro musulmane et gauchiste appuie la dialectique de l’espion canado-saoudien au Pouvoir,Philippe Couillard!
Au Québec,nous refusons le califat des gauchistes néolibéraux!
Oui, je suis fatigué… épuisé… Ce putain de monde est devenu invivable pour des choses comme moi. Ils massacrent la faune et la flore…. on a beau se débattre, on sauve un arbre, ils en arrachent des milliers… on sauve un lion, ils organisent 50 chasses privées et en tuent 100. Pourquoi ? Pour du fric….
Ils massacrent nos frères et sœurs à l’étranger. A coup de bombes ou autres saloperies qui ne font aucune distinction entre un enfant et un » soldat « …. Aujourd’hui, ils assassinent des enfants, des pères, des mères, des grands-parents simplement pour sauver leurs privilèges et le système en place… Tout ça au nom de quoi ? D’un unique Dieu : le Dieu ARGENT Dans quel but ? Conservé le POUVOIR que leur procure l’argent.
Alors que faire ? Je ne vois pas comment se sortir de tout ça. A part refuser d’adhérer à tout ça et d’utiliser leur argent…
Ce que je vois autour de moi aujourd’hui, ceux sont des êtres hagards, qui ne savent plus vers quoi se tourner pour trouver la sérénité…. certains ont la chance de pouvoir trouver refuge auprès d’un Dieu, je suis content pour eux, c’est toujours réconfortant de penser qu’un » père » nous protège et qu’on trouvera la paix auprès de lui. Et qu’on arrête de me dire que les religions sont la source de tous les problèmes, je n’ai pas de religion, juste une philosophie qui peut s’apparenter au Bouddhisme, mais je comprends et je suis heureux pour celles et ceux qui ont trouvé la paix au sein d’une religion. Parce que je n’ai jamais vu un croyant (je ne parle pas de pratiquant, car c’est facile d’aller s’asseoir à l’Eglise au premier rang après avoir trompé sa femme avec une gamine de 15 ans qui se prostitue pour gagner sa vie ou encore après avoir assassiné je ne sais combien de civil à coups de bombes, tout comme c’est facile d’aller à la Mosquée, à la Synagogue ou au Temple etc… en ayant commis les mêmes infamies. La pourriture n’a pas de religion ni de couleur… juste une odeur… celle de la mort. ) Un croyant, lui applique au jour le jour ce en quoi il croit : la paix, l’amour, le pardon…. C’est l’argent une fois de plus qui s’est emparé des religions pour diviser les peuples. Les croisades, c’était pour quoi ? Pour livrer un message de paix à coup d’épée dans la gueule ? Pour apprendre comment allumer un feu avec les bûchers ? Non, c’était pour le fric. Ensuite les religions ont perdu le pouvoir d’unification qui leur permettait d’être un vecteur de haine, donc on nous a collé les guerres de territoires. Pourquoi on va faire la guerre en Afrique ? Pour libérer nos frères africains ? Pour ça, faudrait déjà reconnaître que les USA leur appartiennent autant qu’au blanc. Puis surtout reconnaître que nos ancêtres (dont nous sommes pas responsables) ont agit comme des grosses pourritures en asservissant tout un peuple et en pillant ses terres. Mais on peut pas faire ça. Pourquoi ? A cause de l’argent ! Ben oui, on continue à piller les terres là-bas. On leur donne de la main droite des cartons de stylo et de cahier pour qu’il puisse étudier soit-disant, pendant qu’on leur vide de la main gauche leurs mines d’or, de diamants et autres pierres précieuses.
Mais putain qui profite de tout ça ? Vous ? Pas moi en tout cas. Ils sont combien à profiter de ce merdier ? Nous sommes combien à être : – soit des esclaves modernes (comme nous par exemple… des « privilégiés » paraîtrait-il… ben oui, faut pas se plaindre… y a pire que nous ) – soit des victimes comme nos frères palestiniens, africains vivant dans des pays constamment en guerre – soit à crever carrément de faim et/ou de soif, ces derniers étant là pour rappeler aux autres qu’il y a pire qu’eux et par conséquent qu’ils feraient mieux de la fermer.
Si on répartissait nos ressources, nous pourrions tous manger, boire et vivre sereinement, sans conflit. Mais bien entendu, on ne peut pas. Pourquoi ? Parce qu’il y a l’argent.
Alors ce soir j’y arrive plus, cet argent me donne envie de gerber…. au-delà, je ne comprends même pas comment on a pu en arriver là et comment des êtres humains peuvent vouloir maintenir un système pareil en place coûte que coûte….
Je ne trouverais pas de réconfort auprès d’un Dieu, d’ailleurs je cherche où je pourrais en trouver…. mais j’espère que les croyants ne croient pas en vain et que l’apocalypse va vite arriver…. parce qu’il est grand temps de faire RESET.
Sources: texte du film « La Ligne Verte »,Tsaph Kiel
Depuis les assassinats collectifs d’Orlando,l’Occident chrétien et spirituel est en guerre contre les terroristes islamistes infiltrés partout (grâce à la complicité des gouvernements néolibéraux corrompus) et leurs alliés.
Justin Trudeau:un franc maçon allié aux islamistes.
Il s’agit d’une résolution du PLC de l’Ontario, qui a été approuvée.Cette motion suit un don de $200,000 à une mosquée de l’Ontario,alors que nos églises catholiques ,au Québec,tombent en ruines et sont fermées par manque de fonds.Ceux et celles qui n’ont pas encore compris qu’il s’agit d’un complot maçonnique avec l’appui des sectes terroristes islamique,ne comprendront jamais rien …qui puissent les déranger dans leur sommeil et leur volonté de ne pas voir la Vérité.
peut-on se fier à un mondialiste semblable ,prèt à tout pour quelques votes de plus?
« ATTENDU QUE la Constitution du Parti libéral du Canada affirme que le Parti libéral souscrit aux droits et libertés fondamentaux des personnes en vertu de la primauté du droit ;
ATTENDU QUE l’énoncé sur les valeurs fondamentales du Parti libéral du Canada affirme que nous croyons en la dignité de chaque personne ;
ATTENDU QUE la 42e élection générale a été marquée par une forte progression de la politique de la peur et de la division, y compris des actes islamophobes comme l’incendie d’une mosquée à Peterborough ;
Le danger de ce genre de publicité sympathique du néolibéralisme.On la voit partout comme les annonces de magasins qui utilisent des chats ou des enfants pour nous tirer un sourire ou des larmes.
ATTENDU QUE le nombre d’actes islamophobes constatés a fortement augmenté en 2015, notamment le harcèlement, les agressions violentes, le meurtre, l’incendie criminel, les graffitis, le vandalisme et les menaces de mort à l’encontre de musulman(e)s ;
ATTENDU QUE le très honorable Justin Trudeau a maintes fois déclaré être « profondément troublé » par l’islamophobie croissante au Canada et qu’il s’est associé à des gouvernements du monde entier pour condamner de tels actes haineux envers les communautés musulmanes ;
IL EST RÉSOLU QUE le Parti libéral du Canada prendra des mesures pour combattre la haine et les préjugés et élaborera des politiques visant la diminution et l’élimination de toutes les formes d’islamophobie ;
Au lendemain de sa victoire électorale:le premier libéral franc maçon prie avec ses alliés islamistes.
IL EST ÉGALEMENT RÉSOLU QUE le Parti libéral du Canada créera un groupe de travail chargé de l’élimination de toutes les formes d’islamophobie ;
IL EST ÉGALEMENT RÉSOLU QUE les recommandations de ce groupe de travail seront envoyées au très honorable premier ministre, à son cabinet et à tous les députés afin qu’elles servent devision stratégique au gouvernement du Canada pour l’élimination de toutes les formes de haine et de discrimination. »
En clair, ça veut dire quoi ?
On ne pourra plus critiquer les ISLAMISTES ni l’ISLAM RADICAL sans se faire traiter de raciste ?
Avec la feuille de route de Justin « Kumbaya » Trudeau, ça ne me surprendrait pas.
Il est tellement imbu de sa foi franc maçonne de mondialisation qu’il considère toute critique légitime d’une religion comme une attaque xénophobe,même si cette secte religieuse qui a pour nom « Islam » est devenue une menace aux nations que constituent le Grand Canada,à commencer par la nation québécoise française.
Un autre combat à mener pour les défenseurs de la liberté d’expression.
Arrêtons de croire aux fausses informations des réseaux médiatiques du Canada…sortons dehors plutôt que de se laisser laver le cerveau!
Attendu que le premier ministre pro-islamiste Justin Trudeau et la majorité des députés libéraux ont voté contre une motion conservatrice déclarant que les violences perpétrées par le groupe armé État islamique (EI) constituent un génocide,ce mardi ,14 juin 2016,il est clair que toute forme de démocratie et toute forme de respect des héritages culturels canadiens et québécois ont été largué par dessus bord du navire mondialiste néolibéral.
La motion demandait aussi « que la Chambre convienne » que le groupe armé État islamique se sert du viol et des violences sexuelles comme d’une arme de guerre, réduit les femmes et les filles en esclavage, et cible les gais et les lesbiennes qui ont été torturés et assassinés.
La motion demandait par conséquent « que la Chambre condamne sans réserve ces atrocités et déclare que ces crimes constituent un génocide ».
Mardi,14 juin 2016, 166 députés ont voté contre la motion, incluant la majorité des députés libéraux, tandis que 139 députés, la plupart conservateurs et néo-démocrates, ont voté pour la motion.Donc,166 menteurs et vendus à la cause islamiste protègent les intérêts pro-sionistes des francs maçons,à Ottawa.Ce sont 166 traîtres qui sont élus pour saboter les « Valeurs Occidentales Chrétiennes » véhiculées dans ce Parlement depuis 1867!
Je suggère qu’une mesure d’Impeachment soit lancée d’une manière quelconque …pour les mettre dehors,sinon en prison!
Néanmoins, quatre députés libéraux ont décidé de la soutenir : Nathaniel Erskine-Smith, Anthony Housefather, Karen Ludwig et Borys Wrzesnewskyj.
M. Housefather a souligné qu’il s’agissait d’un vote libre, disant avoir pris sa décision en fonction de la vision des choses de ses électeurs et de lui-même.
« J’estime que [le groupe armé État islamique] commet des crimes horribles, et je crois personnellement qu’il s’agit d’un génocide », a dit le député de la circonscription montréalaise de Mont-Royal.
SEULE LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE POURRA CHANGER LA DONNE AU QUÉBEC
Il faudra bien se lever debout un jour pour lancer une autre brique dans le mur de cette façade de démocratie pourrie!
Avec la prise du pouvoir ,à Québec,de l’espion canado-saoudien Philippe Couillard,l’évasion réussie d’Arthur Porter de sa prison de Panama…afin de protéger les intérêts maçonniques de Justin Trudeau et de son meilleur ami (Philippe Couillard),la dictature néolibérale est fermement en place.
Vous pouvez être certain qu’aucune réforme démocratique ne sera entreprise et que tous les députés élus ,à ce qui sert d’Assemblée Nationale du Québec,sont vendu à la cause des francs maçons,du crime organisé et des sociétés secrètes affiliées aux illuminati.
La dernière façon de combattre cette dictature néolibérale,avant qu’il soit trop tard,est de se lever debout et de sortir dans la rue pour manifester,tous ensemble,contre ce dénie à la sécurité publique.
Le Canada anglais,tout entier,a les mêmes raisons fondamentales de s’insurger contre ces libéraux gangstérisés,mais au Québec,nous n’avons pas à attendre (et nous ne pouvons plus attendre) un siècle de plus avant de bouger!
Nous sommes en guerre et en guerre,nous nous devons de bien cibler notre ennemi!
Nous ne pouvons plus rien attendre des politiciens corrompus d’Ottawa et de Québec :Debout citoyens et citoyennes du Québec et en avant pour tenir le siège devant l’Assemblée Nationale du Québec pour réclamer la démission de ces traîtres à la Patrie!
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