Invasion des migrants en Amérique:Le maire de Tijuana déclare une crise humanitaire

Tijuana: le maire déclare une crise humanitaire

 

 

TIJUANA, Mexique – Le maire de Tijuana a déclaré une crise humanitaire et demandé l’aide des Nations unies en réponse aux quelque 5000 migrants arrivés dans sa ville depuis quelques jours.

Juan Manuel Gastelum affirme n’avoir reçu pratiquement aucune aide du gouvernement fédéral mexicain et prévient qu’il n’utilisera pas les ressources de sa ville pour affronter la situation.

Il a déclaré vendredi sur les ondes de la radio de Grupo Formula que Tijuana ne dispose pas des infrastructures nécessaires pour aider les migrants.

Son administration avait indiqué par voie de communiqué, jeudi, qu’elle demandait l’aide du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU.

M. Gastelum a prévenu qu’il ne dépensera pas l’argent des contribuables de Tijuana.

Les migrants qui se massent dans sa ville sont à la recherche d’une vie meilleure aux États-Unis….disent-ils!

Le 6 novembre 2018,des centaines de migrants s’emparaient de camions en route vers la frontière américaine.

SELON DIVERSES SOURCES 

Par coïncidence,plus de 5,000 honduriens se sont réveillé un bon matin,avec plus d’un mois à faire  avant les élections américaines de mi-mandat,et…,ils se sont donné collectivement le but d’atteindre la frontière américaine  tout en défiant le président Trump.

Il semble aussi que de « nombreux bienfaiteurs anonymes » leurs ont fourni nourriture,aide,assistance et même de l’hébergement durant leur croisade à travers le Mexique.

À travers tout cela,je crois deviner la main de George Soros,des Clinton …du Nouvel Ordre Mondial afin de nuire à Trump  dans ces élections.

Nous allons assister au début  officiel de la Seconde Révolution Américaine!Il s’avère qu’elle sera très sanglante!

 

Découverte d’un «passage vers le monde souterrain» sous la pyramide de la Lune

 

La pyramide de la Lune et sa grande place, sur le site archéologique de Teotihuacan, au nord-est de Mexico, la capitale du Mexique

 

Des archéologues ont découvert un passage secret «vers le monde souterrain» ainsi qu’une cavité cachée sous l’ancienne pyramide de la Lune qui est située au nord de l’allée des Morts au Mexique, relate The Daily Mail.

Les archéologues de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire ont annoncé avoir découvert, sous la pyramide de la Lune au Mexique, un tunnel secret et une cavité cachée qui aurait été dédiée à des rituels toltèques «du monde souterrain», annonce The Daily Mail.

Les spécialistes estiment notamment que ce «passage vers le monde souterrain» pourrait contenir des objets étranges et, entre autres, des crânes déformés.

«Des explorations antérieures ont permis de découvrir des squelettes d’individus présentant une déformation crânienne, comme dans la région maya, ainsi que divers objets en pierre verte (colliers, figures anthropomorphes en mosaïque)», a expliqué Veronica Ortega, directrice du projet de conservation intégrale de la pyramide.

La découverte de la chambre et du tunnel est le résultat d’une première étude utilisant la résistivité électrique et qui avait été réalisée autour de la pyramide de la Lune en juin 2017.

Le tunnel est situé vers le sud de pyramide et les experts estiment qu’il pourrait y avoir une autre entrée à l’est.

La pyramide de la Lune est une pyramide précolombienne du site archéologique de Teotihuacán, au Mexique, dont elle est le second plus grand édifice après la pyramide du Soleil. Elle se situe au nord de l’allée des Morts et mesure 46 mètres de haut.


D’énigmatiques galeries. 

 

Un passage souterrain inconnu a été identifié à proximité de la pyramide de la Lune, sur le site de Teotihuacan, l’antique Cité des Dieux, au Mexique. Les archéologues de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH) ont décelé sa présence entre la Place de la Lune, une petite esplanade, et l’imposant monument du même nom, grâce à des mesures de tomographie de résistivité électrique réalisées début juin 2017, comme l’a annoncée le 5 juillet 2017, l’archéologue de l’Inah, Veronica Ortega, directrice du  » Projet de conservation intégré Plaza de la Lune « . Ce couloir aurait été localisé à une dizaine de mètres sous la surface. Ignoré depuis 2000 ans, il témoigne néanmoins un schéma de construction très utilisé par les anciens résidents de Teotihuacan.

Les archéologues de l’Inah, procédant à des mesures de résistivités après avoir placé des électrodes dans le sol.

 

Ces trouvailles confirment en effet que la pyramide de la Lune, autant que celle du Soleil et le temple de Quetzalcoatl, dit du Serpent à plumes, possédaient tous des galeries souterraines ! Dans les années 1970, le premier de ces corridors avait été trouvé pillé sous la pyramide du Soleil. Plus proche de nous, le temple de Quetzalcoatl ou du Serpent à plumes, a par contre tenu ses promesses avec la mise au jour de forts nombreux trésors archéologiques . Situé à 12 mètres de profondeur, scellé entre 200 et 250 de notre ère, ce tunnel accidentellement révélé par Sergio Gomez (Inah) sous le bâtiment à gradins étudié de 2009 à 2016, regorgeait de milliers de riches offrandes, statuettes en jades, céramiques, et coquillages , sans parler de l’étonnante présence de mercure dans les entrailles du monument. Cependant, aucune tombe royale n’y a été rencontrée. Celle des premiers  seigneurs de Teotihuacan, tant recherchés.

Image 3D d’un précédent tunnel découvert sous la pyramide du Serpent à plumes, à Teotihuacan.

 

A 18 m de profondeur, l’intérieur des 103m de long du tunnel de la pyramide de Quetzalcoatl, lors des fouilles de 2009 à 2016.

 

 

 

D’autres faux espoirs concernant ces dirigeants avaient déjà été soulevés en 1998, lors de la découverte, à l’époque dans les soubassements de la pyramide de la Lune, le même édifice auprès duquel vient d’être signalé un nouveau conduit méconnu. Là, dans d’étroits boyaux, avaient été dégagés les restes d’individus sacrifiés. Quatre hommes étendus sur le sol, les bras liés dans le dos entourés de prestigieuses offrandes : figurines, coquillages, conques, ossements de jaguars et de faucons, mais aussi quantités objets faisant référence à la guerre, tels que des lames d’obsidiennes et des pointes de flèches. Certaines victimes portaient un ornement nasal en forme de papillon. De précieux vestiges alors arrachés au silence de la mythique cité précolombienne par Saburo Sugiyama, professeur à l’Université d’Aïchi (Japon), et l’Université d’Arizona (Etats-Unis) ainsi que Ruben Cabrera Castro, de l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire (Inah) du Mexique.

Situé à 50 kilomètres au nord-est de Mexico, Teotihuacan est classé sur la liste du patrimoine mondial. Peuplé à son apogée d’environ 100.000 âmes, la cité précolombienne a été entre 200 et 700 de notre ère, le plus vaste centre urbain de Mésoamérique. Son plan architectural s’ordonnait autour du Miccaotli, une Allée des morts, dominée au nord par la pyramide de la Lune, et à mi-chemin, par celle du Soleil, une des plus grandes du monde. Au sud, la Citadelle, enserrait le temple du Serpent à plumes, Quetzalcóatl. Les raisons de son mystérieux abandon vers 700, bien avant l’arrivée des Aztèques, qui n’aura lieu qu’au XIVe siècle, n’ont toujours pas été élucidées. Ni l’origine de ses bâtisseurs clarifiée. Le site de Teotihuacan demeure toujours une énigme. Comme l’atteste une fois de plus l’existence de ce nouveau tunnel.

 

 

 

De nombreux cranes y ont été retrouvés.

 

 

 

 

 

La vie a rapidement repris après la chute de l’astéroïde au Mexique

La vie a rapidement repris dans la zone d’impact de l’astéroïde qui est tombé au Mexique il y a 66 millions d’années et qui a mené à l’extinction massive de 75 % des espèces sur Terre, dont les dinosaures.

 

La chute de l’astéroïde de 10 kilomètres de diamètre, qui s’est écrasé à une vitesse de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres-heure, a laissé un cratère de 180 kilomètres à Chicxulub Puerto dans la péninsule du Yucatan à la fin du Crétacé.

Le cratère a marqué la terre ferme, mais une grande partie de celui-ci se trouve au fond du golfe du Mexique.

Le paléonto-océanographe Chris Lowery, de l’Institut de géophysique de l’Université du Texas à Austin, et ses collègues ont procédé à l’analyse des sédiments recueillis dans le cratère d’impact submergé, pour constater que la vie y avait rapidement repris.

Selon eux, de minuscules créatures marines s’y sont développées, quelques années seulement après le cataclysme, grâce à la circulation d’eau riche en nutriments.

Ainsi, dans les 30 ans après l’impact, un écosystème s’était déjà recréé dans le bassin. Les chercheurs estiment que cette rapide récupération indique que la proximité de l’impact n’a pas retardé le retour de la vie.

Outre les présents résultats, l’analyse des sédiments extraits a permis de confirmer le modèle numérique selon lequel la force de l’impact aurait affaibli la roche au point de former, en seulement cinq ou dix minutes, des dénivelés importants, un peu à l’image d’une goutte qui tombe dans un verre d’eau.

Cette structure d’impact est la seule liée à un événement d’extinction à l’échelle planétaire. Pour cette raison, elle offre une vitrine exceptionnelle sur la façon dont les écosystèmes marins pourraient se rétablir après des changements dramatiques causés, par exemple, par les changements climatiques.

 Représentation artistique d’un astéroïde qui frappe la Terre.

 

La zone d’impact de l’astéroïde.

 

En s’appuyant sur des équations qui décrivent le temps qu’il faut à de minuscules particules pour se déposer à travers un liquide, les chercheurs ont calculé que les grains se sont déposés sur le fond marin rapidement après l’impact, en quelques années seulement.

Lorsqu’ils ont analysé les couches de calcaire, les scientifiques ont trouvé de nombreux fossiles et terriers, preuves de la présence de petites créatures connues sous les noms de foraminifera et de plancton. La vie était donc de retour.

Selon Chris Lowery, la vie est réapparue rapidement en raison de la forme du cratère. Le flanc nord-est du cratère était ouvert sur le golfe du Mexique, ce qui a permis à l’eau profonde transportant des nutriments de circuler dans tout le cratère.

Une carotte contenant des sédiments

 

Des carottes contenant des sédiments remontés à la surface, le 7 mai 2016.

 

 

 

Un exemple de résilience

Cet impact est certainement une leçon pour la vie océanique actuelle, qui est menacée par l’épuisement de l’oxygène, l’acidification des océans et la hausse des températures.

« C’est probablement le seul événement qui s’est produit plus rapidement que les changements climatiques et la pollution modernes », explique M. Lowery.

 

 

Le gouvernement mexicain cache les liens entre les mayas et des extraterrestres

Pour ceux qui avaient encore des doutes en ce qui concerne le contact extraterrestre avec nos anciennes civilisations, cette fois ne pouvait pas être plus clair! Le gouvernement mexicain a frappé un grand coup dans l’histoire cachée de l’humanité. Dans la section d’archéologie oublié le pays dévoiler publiquement une série de pièces Mayas y avons découvert environ 80 ans par une équipe de l’Institut national de Anthropoly et d’histoire (INAH) sur le site de Calakmul, au Mexique.

Ces pièces exceptionnelles ont été présenté l’année dernière et feront l’objet d’un documentaire qui sera publié cette année  et sera produit par Raul Julia-Levy et réalisé par Juan Carlos Rulfo, le gagnant du festival de Sundance 2006, avec son film « dans le fosse. « Ce documentaire  aura  le nom provisoire de  » Révélations des Mayas 2012 et au-delà « .

 

 

 

 

Des Êtres Intelligents,des extraterrestres ont visité la Terre dans l’antiquité ,même depuis  la préhistoire et ont pris contact avec les humains. Les partisans de ces informations  suggèrent que ce contact a influencé le développement des cultures humaines, les technologies et les religions. Une variante commune de l’idée est que les divinités de la plupart, sinon tous, les religions sont en fait des extraterrestres, et leurs technologies de pointe ont été mal comprises  par les hommes primitifs comme preuve de leur statut divin.

 

 

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En Septembre 2011 , le cinéaste Juan Carlos Rulfo a annoncé qu’il produit les documentaires Mayas 2012 et au-delà , en raison d’être libéré en 2012 , juste à temps pour la fin du calendrier maya . 

Cité maya de Calakmul , Campeche

Calakmul ( qui précise également Kalakmul , ainsi que d’autres variantes moins fréquentes ) est le nom moderne de l’une des villes les plus anciennes et les plus puissantes découvertes dans les basses terres mayas . Il est situé sur la 180 000 km 2 de la réserve de biosphère de Calakmul dans l’état mexicain de Campeche , dans la jungle de la région de Grand bassin de Petén , dans le centre de la péninsule du Yucatán , à 35 km au nord de la frontière ofGuatemala . Dans l’Antiquité, le coeur de la ville était connue sous le nom de Ox Te ‘ tuun 3 .

Cette puissante cité maya a été habité pendant plus d’un millénaire avant d’être avalé par la jungle après son abandon . À son apogée, Calakmul administré un grand domaine marqué par l’intégration généralisée de son glyphe emblème , qui est caractérisé par le signe de la tête de serpent qui se lisait Kaan . Calakmul était le siège de ce qu’on a appelé le Royaume du Serpent . Le Royaume du Serpent a statué comme Tikal , pendant la plus grande partie de la période classique . On estime que Calakmul elle-même avait une population de 50.000 personnes et localités contrôlées situées à une distance maximale de 150 km 2 .

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Il ya 6750 structures anciennes identifiées à Calakmul , dont la plus importante est la grande pyramide site.Structure 2 est de plus de 45 mètres de haut , ce qui en fait l’une des plus haute pyramide de la civilisation maya . Quatre tombes se trouvent dans les nombreux temples ou pyramides de Mésoamérique pyramid.Like , la pyramide de Calakmul a augmenté sur la base du temple existant pour atteindre sa taille actuelle . La zone du monument central de l’architecture maya est d’environ 2 km 2 et l’ensemble du site couverte essentiellement un logement résidentiel dense , est d’environ 20 km 2 .

Redécouvert par exploration aérienne par le biologiste Cyrus Longworth Lundell de la société d’exploitation du Mexique Chicle le 29 Décembre 1931, son existence a été signalée à Sylvanus Morley de l’Institut Carnegie à Chichen Itza en Mars 1932. Selon Lundell , qui a nommé le site « , » ca  » en Maya signifie  » deux « , » lak »signifie« à côté »et« multi »désigne une colline artificielle ou pyramide , donc ‘ Calakmul » est la «ville des deux pyramides adjacentes «  » .

Maya contact étranger , par Raul Julia Levy sera publié 2014.

 

 

La cité de Tikal.
La cité de Tikal.

L’histoire de la civilisation maya classique a été dominée par la rivalité entre les alliances opposées  de Calakmul et  de Tikal (sur notre photo).

 

Sources …en espagnol: http://beforeitsnews.com/r2/?url=http://www.arcturius.org/chroniques/?p=17484

 

 

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Découverte intéressante: un masque de jade dans la pyramide du Soleil

Une découverte remarquable...
Une découverte remarquable…

Le masque  trouvé à l’intérieur de la  Pyramide du Soleil, au Mexique

La Pyramide du Soleil est le plus grand bâtiment à Teotihuacan et un des plus grands en Amérique centrale. Il se trouve le long de l’avenue des morts, entre la pyramide de la Lune et de la Ciudadela, et dans l’ombre de la montagne  du massif Cerro Gordo, la pyramide fait partie d’un grand complexe au coeur de la ville.

Le nom de  Pyramide du Soleil vient des Aztèques, qui ont visité la ville de Teotihuacán siècles après son abandon, le nom donné à la pyramide… par les Teotihuacanos est inconnue.

Les archéologues qui participent à la  recherche et au projet sur la Pyramide du Soleil , mené par l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH Conaculta), ont  découvert une série de dépôts à l’intérieur de la construction préhispanique, l’un d’eux peut être  situé et daté  dans les 50 premiers ans de notre ère, à consacrer le début de la construction du plus grand monument de Teotihuacan.

 

 

Archéologie: découvertes extraordinaires sous le Temple du Serpent à Plume

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L’archéologue Sergio Gómez est le responsable du Projet Tlalocan qui s’attèle depuis 5 ans à un projet de fouilles pharaoniques sous la Citadelle de Teotihuacan. Cette ensemble de structures l’enceinte où se trouve la Pyramide du Serpent à plumes. Au deuxième siècle de notre ère, la façade si finement sculptée fut recouverte par une autre pyramide. Sous leurs entrailles, un long tunnel connectait plusieurs chambres que les archéologues de l’INAH sont peu à peu en train de découvrir.

Après 800 tonnes de terre déblayée et plus de cinquante mille objets mis au jour, Gómez a annoncé une découverte inédite sur les réseaux sociaux et dans une brève publiée sur le site du quotidien La Jornada. Il s’agit de deux petates ou natte. Finement tressées, ces objets d’une grande fragilité ont finalement été conservés pendant près de deux mille ans sans trop de dommage. En revanche leur extraction a requis des travaux préalables très minutieux de la part d’une équipe de restaurateurs dirigés par Alfonso Cruz.

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Le contexte de la découverte est également très intéressant. Les deux nattes étaient disposées côte à côte au niveau du sol avec un mobilier varié comptant une cinquantaine d’artefacts. On a notamment compté des pots, des vases en terre cuite mais aussi des couteaux en silex et en obsidienne. La première mesure 1 m de longueur sur 40 cm de largeur tandis que la seconde atteint 40 cm de longueur sur 30 cm de largeur. Aucune précision n’est donnée sur une éventuelle pigmentation.

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Pourquoi faire tant d’histoires  pour cette découverte alors ? D’une part parce que c’est la première fois que de tels objets sont retrouvés à Teotihuacan. Ensuite parce que les petates sont des objets à forte connotation politique dans les civilisations mésoaméricaines anciennes. La natte est un des attributs de pouvoir au même titre que le sceptre ou la peau de jaguar. On en a des témoignages depuis les Olmèques jusqu’aux témoignages des informateurs de Sahagún. Dans les années 1980 et 1990, les travaux de Cabrera Castro (1), Sugiyama (2), Manzanilla (3) ou López Austin et López Luján (4) avaient émis l’hypothèse d’au moins deux groupes se disputant le contrôle sur une ville qui pourrait avoir compté plus de cent mille habitants. L’un d’eux aurait eu le serpent à plumes comme emblème, la pyramide homonyme étant le symbole de leur assise. Cependant au deuxième siècle de notre ère, différents lieux incendiés autour de la pyramide laisse penser à un changement. La pyramide du Serpent à plumes fut couverte par une pyramide adossée, les représentations de la créature détruite ou transformé pour celle, presque exclusive de félins. La présence des deux nattes prend donc un sens tout particulier dans ce contexte.

Parallèlement, une autre offrande a été rapporté dans une autre partie du tunnel. Elle comprenait différents objets, probablement en bois, incrustés de cristaux, de roches et de jadéite. Gómez Chávez estime cependant qu’une reconstitution de ces objets pourra être effectuée.

L’exploration par un robot des sous-sols d’un temple de la cité pré-hispanique de Teotihuacan, près de Mexico, a révélé l’existence de trois chambres funéraires qui pourraient révéler quelques secrets sur les rituels funéraires de l’époque, ont annoncé les autorités.

« L’arrivée du robot Tláloc II-TC dans la dernière tranche du tunnel situé sous le Temple du Serpent à Plumes, à Teotihuacan, a révélé l’existence d’au moins trois chambres funéraires au fond du conduit », a annoncé l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH) dans un communiqué.

Cette découverte dépasse les attentes des archéologues, qui ne tablaient que sur la présence d’une seule chambre dans ce tunnel vieux de 2.000 ans, selon l’INAH. « Si se confirme l’existence de sépultures dans ces espaces, qui datent des débuts de notre ère, ils pourraient révéler plusieurs aspects de la vie rituelle à Teotihuacan », a indiqué dans le communiqué l’architecte Sergio Gomez, directeur des recherches. Ce dernier précise qu’il s’agit certainement de tombeaux de gouvernants ou de personnes de haut rang de cette civilisation dont on ne sait pratiquement rien. La prochaine étape consistera à dégager l’éboulis qui obstrue les 30 derniers mètres du tunnel, d’une longueur estimée de 120 mètres.

C’est en 2003 que de fortes pluies sur le site, l’un des plus visités du Mexique, ont permis de découvrir l’existence du tunnel sous le temple du Serpent à Plumes, grâce à une petite ouverture dégagée par les eaux. Six ans plus tard, une équipe mexicaine d’une trentaine de personnes, financée par l’INAH a commencé à creuser.

Le robot Tláloc II-TC est composé un véhicule transporteur capable de passer n’importe quel obstacle et d’un scanner permettant d’établir des cartes détaillées de son parcours. Il transporte également un robot « insecte » équipé d’une caméra infrarouge télécommandée par ordinateur.

Célèbre pour ses imposantes pyramides du Soleil et de la Lune, Teotihuacan a été créé vers 100 avant J.-C. et a compté jusqu’à 200.000 habitants à son apogée, avant sa chute aux VIe ou VIIe siècles après J.-C. Seulement 5% du site, qui s’étend sur quelque 25 km2, a été fouillé, bien que le travail d’exploration de l’ancienne ville ait commencé il y a plus d’un siècle.

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L’exploration des trois salles enfouies sous le grand Temple du Serpent à Plume de Teotihuacan continue et une découverte assez extraordinaire a été révélée sous la caméra du robot : des centaines de petites sphères recouvrent une partie du sol.

Des centaines de sphères mystérieuses se trouvent sous le temple du Serpent à plumes, une ancienne pyramide à six niveaux à seulement 30 miles de la ville de Mexico.

Les sphères énigmatiques ont été trouvés lors d’une fouille archéologique à l’aide d’un robot équipé d’une caméra à l’un des bâtiments les plus importants de la ville préhispanique de Teotihuacan.

Ces sphères pourraient être des morceaux de copal. Le copal est une résine à moitié fossilisée, de l’ambre adolescent pourrait-on dire, dont les Mayas et autres se servaient en guise d’encens et qui ressemble à ça à l’état brut :

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